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mardi 20h—Opérade Reims—25€* - 15€* - 10€*(*selon catégorie)

Partenaire

concert n°10

Orchestre d’AuvergneRoberto Forés Veses /direction

Emmanuel Rossfelder /guitare

• Albert ROUSSEL (1869-1937) : Sinfonietta pour orchestre à cordes op.52 1. Allegro molto 2. Andante 3. Allegro

• Jean FRANÇAIX (1912-1997) : Six Préludes 1. Apertura 2. Elegia 3. Scherzo 4. Intermezzo alla tedesca 5. Sogno 6. Finale

• Igor STRAVINSKY (1882-1971) : Concerto en Ré majeur pour orchestre à cordes 1. Vivace 2. Arioso 3. Rondo

• Joaquín RODRIGO (1901-1999) : Concierto de Aranjùez 1. Allegro con spirito 2. Adagio 3. Allegro gentile

22 juin>12 juillet 2012

www.flaneriesreims.com

juin •••

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DATE EXCEPTIONNELLE

21/07samedi concert

pique-nique

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Trois questions à Emmanuel Rossfelder

À propos du concert

Sous la direction de son tout nouveau chef, Roberto Forés Veses, l’Orchestre d’Auvergne met en lumière deux compositeurs français méconnus avant d’interpréter le Concerto en Ré majeur pour cordes de Stravinsky et le célébrissime Concierto de Aranjùez de Joaquin Rodrigo, avec le guitariste Emmanuel Rossfelder en soliste.

Que représente pour vous le Concierto de Aranjùez de Joaquin Rodrigo ?Emmanuel Rossfelder : Ce concerto de Rodrigo est sans doute le concerto de guitare le plus célèbre du répertoire. Composé en 1939, ce concerto doit sa renommée à son deuxième mouvement, un adagio très émouvant, d’une grande sensibilité lyrique, souvent utilisé dans les musiques de film et même repris par Miles Davis dans l’album Sketches of Spain. C’est une œuvre que je connais bien car je viens de l’enregistrer à l’Opéra de Vichy avec l’Orchestre d’Auvergne justement, sous la direction d’Arie van Beek (à paraître chez Harmonia Mundi en octobre, ndlr) et je me réjouis de l’interpréter de nouveau sous la baguette espagnole de Roberto Forés Veses.

Comment abordez-vous cette œuvre qui a été interprétée par les plus grands de Narciso Yepes à Alexandre Lagoya ?Emmanuel Rossfelder : Il n’existe pas une seule et unique interprétation de l’œuvre, chaque interprète laisse sa patte sonore. A mon tour de m’approprier cette œuvre, de la personnaliser, d’imprimer mon empreinte. Il s’agit de la façonner selon l’inspiration du moment qui peut varier selon le cadre, l’environnement… Il n’y a pas de règle !

C’est un défi pour un guitariste de jouer avec tout un orchestre ?Emmanuel Rossfelder : C’est assez sportif effectivement ! Jouer avec un orchestre exige une concentration d’énergie intense. Il faut donner pleine puissance pour affronter un environnement sonore très dense. Mais le dialogue avec l’orchestre offre une dimension émotionnelle incomparable. On est porté par le souffle, le vent orchestral qui aide à projeter la sonorité et à se dépasser. C’est une expérience unique.

Propos recueillis par Anne de la Giraudière

À propos des autres œuvres

Sinfonietta d’Albert Roussel

Éternel outsider de la musique française, Albert Roussel (1869-1937) fut influencé à ses débuts par Claude Debussy et Vincent d’Indy son professeur d’orchestration, avant de développer un langage personnel d’une grande originalité. Sa musique se distingue par le raffinement de l’harmonie, les audaces rythmiques et la richesse du coloris toujours au service d’une musique pure libérée de tout pittoresque ou de références folkloriques. La Sinfonietta op.52 est une petite symphonie pour orchestre à cordes composée en 1934, juste avant sa Quatrième Symphonie. Cette œuvre pousse l’économie formelle dans ses derniers retranchements sans jamais pécher par aridité. Le premier mouvement est une forme-sonate en miniature, les thèmes animés et expressifs y sont développés avec créativité.

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Six Préludes de Jean Françaix

Jean Françaix (1912-1997) aurait eu 100 ans cette année. Lui qui fut en son temps le compositeur le plus joué de son vivant est aujourd’hui très peu connu du grand public. Premier prix du Conservatoire de Paris à 18 ans, élève de Nadia Boulanger, Françaix connaît très tôt le succès avec le Concertino pour piano composé à 20 ans. Il a laissé plus de 80 œuvres musicales dont 12 opéras et la musique d’une dizaine de films dont Si Versailles m’était conté de Sacha Guitry. Ses œuvres sont typiquement françaises : elles ont du charme, de l’esprit. Gracieuses, souvent mêlées d’ironie, elles se distinguent par leur clarté et leur aisance comme en attestent ses Six Préludes pour cordes, composés en 1963. Le style de Françaix est défini par le sens inné de l’humour, sa culture littéraire étendue et par sa relation étroite à la tradition musicale de l’occident.

Concerto en ré pour cordes d’Igor Stravinsky

Compositeur emblématique du XXe siècle, Igor Stravinsky (1882-1971) navigue avec virtuosité entre écriture néo-classique, polytonalité ou musique sérielle tout en conservant toujours une empreinte personnelle, reconnaissable entre toutes. En 1913, son œuvre phare Le Sacre du Printemps, sous l’égide des Ballets Russes, marque un tournant dans la musique du XXe siècle. Musicien en perpétuelle évolution, il prend un virage néo-classique dans les années 20 et renoue avec des formes traditionnelles et l’écriture religieuse avant de se tourner dans les années 50 vers un sérialisme très personnel.Composé aux États-Unis en 1946, le Concerto en ré pour cordes est l’une des créations les plus élégantes et raffinées du compositeur. D’un caractère surtout mélodique, évoquant le concerto grosso baroque, il est cependant traversé par une pulsation vibrante et une tension rythmique qui mènent l’œuvre à une conclusion effervescente.

Textes rédigés par Anne de la Giraudière

Orchestre d’Auvergne

Biographies

Formation à part dans le paysage musical des orchestres permanents français, l’Orchestre d’Auvergne est un ensemble à cordes dont l’excellence est reconnue bien au-delà de ses frontières. La particularité de ses 21 cordes réside dans la stabilité exceptionnelle des effectifs et dans la très grande qualité d’un travail spécifique à l’orchestre de chambre, mené par Jean-Jacques Kantorow, puis par Arie van Beek et aujourd’hui par Roberto Forés Veses, avec la participation de solistes et de chefs parmi les meilleurs, tous instruments et toutes générations confondus.Les nombreuses pages écrites dans l’histoire de la formation ont été marquées d’un indéfectible engagement musical, tant de la part des musiciens, que de celle des directeurs musicaux, permettant la réalisation de très nombreuses tournées et de plus de 30 CD tout en assurant conjointement et

avec fidélité la vie musicale de la Région Auvergne et de la ville de Clermont-Ferrand.Il revient tout d’abord à Jean-Jacques Kantorow d’avoir compris cet orchestre et d’en avoir forgé le son et le jeu engagé, qualités ayant séduit tous ses publics. Infatigable visionnaire, il a porté la formation au plus haut niveau international, avec générosité et exigence, permettant également à chaque musicien de trouver sa voie, notamment en créant une série de concerts de musique de chambre en petites formations. Cette pratique n’est certainement pas étrangère à la grande cohésion instrumentale de l’ensemble.Arie van Beek, a su conserver cet esprit tout en ouvrant très largement les horizons musicaux de l’orchestre  : le répertoire abordé est sans cesse renouvelé, de la première période baroque à la plus contemporaine des créations, d’un continent

Roberto Forés Veses

Roberto Forés Veses est né en Espagne à Valencia. Il étudie la direction d’orchestre à l’Accademia Musicale Pescarese et à l’Académie Sibelius d’Helsinki où il obtient son diplôme de direction d’orchestre sous la tutelle de Leif Segerstam.En 2006, il sort lauréat à l’unanimité du concours de Direction d’orchestre d’Orvieto (Italie) avec un Prix spécial du jury. En 2007, il devient également lauréat du concours Evgeny Svetlanov au Luxembourg. Ce nouveau succès lui apporte de futurs engagements avec le Théâtre du Bolchoï, le Teatro Regio de Torino, l’Opéra de Nice, l’Orchestre National de Montpellier, l’Orchestra Sinfonica di Milano Giuseppe Verdi, le Hague Residentie Symphonic Orchestra, et le New Russian State Symphony Orchestra.Preuve de son éclectisme, Roberto Forés Veses est aussi à l’aise dans le répertoire symphonique que dans l’opéra. En 2008, il fait ses débuts au Teatro Regio de Torino avec Salome et l’Elisir  d’amore et au Bolchoï avec Macbeth. En France, il dirigera également Il viaggio a Reims dans plusieurs Opéras, la Cenerentola à Avignon et à Vichy, et Lakmé à Rouen. Il a également dirigé La Finta Gardiniera au Svenska Teatern d’Helsinki, La Bohème à l’Orvieto Opera Festival…

Roberto Forés Veses a dirigé de nombreux orchestres tels que l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, le Prague Philharmonia, le Spanish Radio Orchestra, le St Petersbourg Symphony Orchestra, l’Orquesta de Valencia, l’Orquesta Sinfónica de Galicia, le Asturias Symphony Orchestra, l’Orchestre de l’Opéra de Rouen, l’Orchestre de l’Opéra de Saint-Etienne, l’Orquesta Filarmónica de Málaga, l’Orquesta de Córdoba, le Navarra Symphony Orchestra, le Sinfonia Finlandia.En tant que chef principal de l’Orquesta Clásica de Valencia, il a dirigé des productions telles que Amahl and the Night Visitors et Cosi fan tutte, organisé par Arte Opéra Productions…Ses futurs projets comportent, entre autres, des concerts avec l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre Régional de Cannes, le Samara Philharmonic Orchestra, le Filarmonía de Galicia, l’Opéra de Toulon et l’Opéra d’Avignon.Roberto Forés Veses a été nommé Directeur musical et artistique de l’Orchestre d’Auvergne. Il a débuté son mandat pour la saison 2012-2013.

Site Internet : http://www.robertofores.com/

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à un autre, avec un souci permanent du détail et un respect absolu du compositeur et de la partition.Aujourd’hui c’est sous la baguette de son nouveau directeur musical, Roberto Forés Veses, que l’Orchestre d’Auvergne poursuit sa carrière. Une carrière qui s’annonce longue et fructueuse pour cet ensemble de chambre, né de la volonté

d’une politique culturelle décentralisée pour la musique classique, musique qu’il a su défendre, faire vivre et porter au plus haut niveau depuis sa création.

Site Internet : http://www.orchestre-auvergne.fr/

Discographie

W.A. MOZART : Concerti pour piano KV 271 - KV 414 - KV 449Edna Stern (piano), Arie van Beek (direction) et Orchestre d’Auvergne2010 - Zig-zag Territoires

J. FRANÇAIX : Les inestimables chroniques du Bon Géant Gargantua - d’après François RabelaisGabriel Bacquier (récitant), Arie van Beek (direction) et Orchestre d’Auvergne2009 - Integral Classic Distribution

C.P.E. BACH : Concertos pour flûte H431, H435, H438 - Sonate pour flûte seuleJuliette Hurel (flûte), Arie van Beek (direction) et Orchestre d’Auvergne2006 - Zig-zag Territoires

Emmanuel Rossfelder

A trois ans ses parents lui offrent une petite guitare en plastique qu’il met vite au rebut, plus attiré qu’il est par la guitare « sèche » de sa mère, elle-même musicienne.Dès l’âge de cinq ans il débute la guitare classique, instrument qu’il dira plus tard avoir choisi pour ses courbes et sa sonorité. Ses parents entretiennent son goût pour la musique et l’encouragent sans relâche dans les cours de guitare qu’il suit. Son étonnante facilité, sa motivation, son caractère enjoué et communicatif le conduisent rapidement devant le public.À 14 ans, après avoir obtenu la Médaille d’or à l’unanimité avec les félicitations du Jury au Conservatoire National d’Aix en Provence dans la classe de Bertrand Thomas, il devient le plus jeune guitariste jamais admis dans la classe d’Alexandre Lagoya au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Dès lors une relation privilégiée s’instaure entre le Maître et l’élève. Il voue une admiration sans borne à son professeur qui en retour lui prodigue un enseignement fondé sur une technique spécifique de la main droite qu’il avait élaboré avec Ida Presti.En 1991 et 1992, il obtient deux premiers prix à l’unanimité au CNSM de Paris (guitare et musique de chambre)« Emmanuel offre à la guitare une sonorité puissante, de la virtuosité, de l’émotion et une fantaisie qui font déjà de lui un grand artiste. »Alexandre LAGOYAIl se présente alors à des concours internationaux et reçoit de nombreux prix : Masters de la Guitare de Paris, Prix Pierre Salvi remis par le Ministre Français de la Culture, Stotsenberg (États-Unis),

Walcourt (Belgique), Benicasim (Espagne), Vina del Mar (Chili)…Mais son bonheur n’est complet que devant le public auquel il fait découvrir toutes les possibilités de la guitare.Il se produit sur les grandes scènes françaises et étrangères : Opéra d’Avignon, de Vichy, de Strasbourg, salle Gaveau et salle Cortot à Paris, Festivals d’Auvers sur Oise, de Berlioz, de La Chaise Dieu, de la Vézère, du Jeune Soliste, de Sully sur Loire, aux Flâneries Musicales de Reims, à Boston, New York, Philadelphie, Los Angeles.Il joue également en soliste avec de grands orchestres : Orchestre Philharmonique de Radio-France, de Cannes, de Nice, d’Auvergne, de Perrugia, de la Scala de Milan, le Landmarks Boston Orchestra, le Baltic Chamber Orchestra…Et sous la direction de chefs prestigieux : Roberto Benzi, Philippe Bender, Jànos Fürst, Charles Ansbacher, Stanislas Lefort…Concertiste reconnu, il est en 1998 lauréat de la Fondation d’Entreprise Groupe Banque Populaire. Ce prix lui permet entre autre d’enregistrer son premier CD : « Danses Latines ».« Découverte Classica » en 2001, « Révélation Classique » par l’ADAMI en 2002, il est « Victoire de la Musique Classique » en 2004 (catégorie Révélation Soliste Instrumental de l’année).Ses succès et récompenses en France sont remarqués par le Japon, la Russie, le Canada, les Etats-Unis, le Brésil, qui l’invitent dès lors pour des tournées régulières.

Site Internet : http://www.emmanuelrossfelder.fr/

Discographie

Danses pour cordes... - Le maître et l’élèveEmmanuel Rossfelder (guitare), Tristan Cornut (violoncelle) et Raphaël Mata (guitare)2012 - 1001 Notes

Bach - Haendel - Scarlatti - WeissEmmanuel Rossfelder (guitare)2009 - Loreley

Danses latinesEmmanuel Rossfelder (guitare)2002 - Loreley

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Visite avant-concert

L’extraordinaire variété et beauté des lieux de concerts du festival nous a donné l’envie d’ouvrir des espaces au public avant l’entrée en scène des artistes. Une manière inédite et singulière de découvrir des lieux d’exception.

Vendredi 29 juin 2012L’Ange au Sourire de la Cathédrale de Reims avec Aymeric Péniguet de Stoutz, administrateur du Palais du Tau. Cette statue emblématique de Reims ne cessera jamais de nous surprendre. Quelle est l’origine de sa légende ?17h45 > rendez-vous devant le portail central de l’entrée principale18h-19h > visite19h > ouverture des portes au public20h > concert du Quatuor Talich dans la Salle du Festin du Palais du Tau (tarif : 15€)

Visite réservée aux personnes munies d’un billet pour le concert du Quatuor Talich.Étant donné le nombre limité de participants, l’inscription est obligatoire.Renseignements et inscriptions au 03 26 36 78 15 / s.brunet@flaneriesreims.com

Réservez vos billets

Réservations et vente de billets

En ligne :Vous pouvez acheter vos places sur le site Internet du festival www.flaneriesreims.comou sur celui de la Fnac www.fnac.comRéservation par téléphone : 0 892 68 36 22 (0,34€/min)Points de vente :• Fnac, espace Drouet d’Erlon à Reims (du lundi ou samedi de 10h à 19h30)• Fnac, ZAC Nord de Thillois (du lundi au samedi de 10h à 20h)• Réseaux Fnac

Retrouvez-nous à bord du camion billetterie du 22 juin au 21 juillet• Place Drouet d’Erlon : du mardi au vendredi de 11h à 14h• Marché du Boulingrin : tous les samedis de 9h à 13h• Sur les lieux de concerts : une heure avant le début des concerts

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juin •••mercredi 16h—TempleProtestant—10€

Ensemble Zellig• Claude DEBUSSY : Prélude à l’Après-midi d’un Faune• Claude DEBUSSY : Syrinx• Claude DEBUSSY : Rhapsodie pour clarinette et piano• Philippe HERSANT : Les Ombres de Giverny • Philippe HERSANT : 3 Esquisses japonaises• Philippe HERSANT : 5 miniatures• Claude DEBUSSY : Sonate pour violoncelle et piano • Philippe HERSANT : 6 Bagatelles• Claude DEBUSSY : Fêtes (extrait de Nocturnes, arr. d’Etienne Lamaison) • Extraits de « Monsieur Croche Antidilettante » de Claude Debussy, dits par Ivan Morane

concert n°11

Vos prochains concerts

juin •••mercredi 20h—Manège—15€

Jean-Philippe Collard /piano

Patrick Poivre d’Arvor /récitant

concert n°12

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Chopin, l’âme déchirée

• Œuvres pour piano de Frédéric Chopin et poèmes de Paul Verlaine, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, Charles Baudelaire…

Le concert du 23 juin à 19h avec l’Orchestre National de Lille et Jean-Claude Casadesus à la direction est diffusé sur ARTE Live Web (www.arteliveweb.com) et reste disponible sur ce site pendant plusieurs mois.

Il sera diffusé sur ARTE le 16 septembre prochain à 19h.

Les fauteuils de théâtre sont prêtés par l’Opéra de Reims.

Concert complet

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Responsable de publication Joëlle Damery, Déléguée Générale des Flâneries Musicales de Reims. Tirage 500 exemplaires. Conception visuel www.monsieurthibault.com + byarno. Impression Diazo 51

Champagne Charles de CazanoveChampagne de CastelnauSita Reims Nettoiement (S.R.N.)Champagne RuinartDiazo 51 Class’AffairCharbonneaux-BrabantPhilippet TraiteurJardiland

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