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Google A propos de ce livre Ceci est une copie numerique d'un ouvrage conserve depuis des generations dans les rayonnages d'une bibliotheque avant d'etre numerise avec precaution par Google dans le cadre d'un projet visant ä permettre aux internautes de decouvrir l'ensemble du patrimoine litteraire mondial en ligne. Ce livre etant relativement ancien, il n'est plus protege par la loi sur les droits d'auteur et appartient ä present au domaine public. L'expression "appartenir au domaine public" signifie que le livre en question n'a jamais ete soumis aux droits d'auteur ou que ses droits legaux sont arrives ä expiration. Les conditions requises pour qu'un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d'un pays ä l'autre. Les livres libres de droit sont autant de liens avec le passe. Iis sont les temoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont trop souvent difficilement accessibles au public. Les notes de bas de page et autres annotations en marge du texte presentes dans le volume original sont reprises dans ce fichier, comme un souvenir du long chemin parcouru par 1' ouvrage depuis la maison d'edition en passant par la bibliotheque pour finalement se retrouver entre vos mains. Consignes d'utilisation Google est fier de travailler en partenariat avec des bibliotheques ä la numerisation des ouvrages appartenant au domaine public et de les rendre ainsi accessibles ä tous. Ces livres sont en effet la propriete de tous et de toutes et nous sommes tout simplement les gardiens de ce patrimoine. II s'agit toutefois d'un projet coüteux. Par consequent et en vue de poursuivre la diffusion de ces ressources inepuisables, nous avons pris les dispositions necessaires afin de prevenir les eventuels abus auxquels pourraient se livrer des sites marchands tiers, notamment en instaurant des contraintes techniques relatives aux requetes automatisees. Nous vous demandons egalement de: + Ne pas utiliser les fichiers ä des fins commerciales Nous avons concu le programme Google Recherche de Livres ä l'usage des particuliers. Nous vous demandons donc d' utiliser uniquement ces fichiers ä des fins personnelles. Iis ne sauraient en effet etre employes dans un quelconque but commercial. + Ne pas proceder ä des requetes automatisees N'envoyez aucune requete automatisee quelle qu'elle soit au Systeme Google. Si vous effectuez des recherches concernant les logiciels de traduction, la reconnaissance optique de caracteres ou tout autre domaine necessitant de disposer d'importantes quantites de texte, n'hesitez pas ä nous contacter. Nous encourageons pour la realisation de ce type de travaux l'utilisation des ouvrages et documents appartenant au domaine public et serions heureux de vous etre utile. + Ne pas supprimer V attribution Le filigrane Google contenu dans chaque fichier est indispensable pour informer les internautes de notre projet et leur permettre d'acceder ä davantage de documents par l'intermediaire du Programme Google Recherche de Livres. Ne le supprimez en aucun cas. + Rester dans la legalite Quelle que soit l'utilisation que vous comptez faire des fichiers, n'oubliez pas qu'il est de votre responsabilite de veiller ä respecter la loi. Si un ouvrage appartient au domaine public americain, n'en deduisez pas pour autant qu'il en va de meme dans les autres pays. La duree legale des droits d'auteur d'un livre varie d'un pays ä l'autre. Nous ne sommes donc pas en mesure de repertorier les ouvrages dont l'utilisation est autorisee et ceux dont eile ne Test pas. Ne croyez pas que le simple fait d'afficher un livre sur Google Recherche de Livres signifie que celui-ci peut etre utilise de quelque facon que ce soit dans le monde entier. La condamnation ä laquelle vous vous exposeriez en cas de violation des droits d'auteur peut etre severe. Ä propos du service Google Recherche de Livres En favorisant la recherche et l'acces ä un nombre croissant de livres disponibles dans de nombreuses langues, dont le franoais, Google souhaite contribuer ä promouvoir la diversite culturelle gräce ä Google Recherche de Livres. En effet, le Programme Google Recherche de Livres permet aux internautes de decouvrir le patrimoine litteraire mondial, tout en aidant les auteurs et les editeurs ä elargir leur public. Vous pouvez effectuer des recherches en ligne dans le texte integral de cet ouvrage ä l'adresse|http : //books . qooqle . com

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Google

A propos de ce livre

Ceci est une copie numerique d'un ouvrage conserve depuis des generations dans les rayonnages d'une bibliotheque avant d'etre numerise avec

precaution par Google dans le cadre d'un projet visant ä permettre aux internautes de decouvrir l'ensemble du patrimoine litteraire mondial en

ligne.

Ce livre etant relativement ancien, il n'est plus protege par la loi sur les droits d'auteur et appartient ä present au domaine public. L'expression

"appartenir au domaine public" signifie que le livre en question n'a jamais ete soumis aux droits d'auteur ou que ses droits legaux sont arrives ä

expiration. Les conditions requises pour qu'un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d'un pays ä l'autre. Les livres libres de droit sont

autant de liens avec le passe. Iis sont les temoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont

trop souvent difficilement accessibles au public.

Les notes de bas de page et autres annotations en marge du texte presentes dans le volume original sont reprises dans ce fichier, comme un souvenir

du long chemin parcouru par 1' ouvrage depuis la maison d'edition en passant par la bibliotheque pour finalement se retrouver entre vos mains.

Consignes d'utilisation

Google est fier de travailler en partenariat avec des bibliotheques ä la numerisation des ouvrages appartenant au domaine public et de les rendre

ainsi accessibles ä tous. Ces livres sont en effet la propriete de tous et de toutes et nous sommes tout simplement les gardiens de ce patrimoine.

II s'agit toutefois d'un projet coüteux. Par consequent et en vue de poursuivre la diffusion de ces ressources inepuisables, nous avons pris les

dispositions necessaires afin de prevenir les eventuels abus auxquels pourraient se livrer des sites marchands tiers, notamment en instaurant des

contraintes techniques relatives aux requetes automatisees.

Nous vous demandons egalement de:

+ Ne pas utiliser les fichiers ä des fins commerciales Nous avons concu le programme Google Recherche de Livres ä l'usage des particuliers.

Nous vous demandons donc d' utiliser uniquement ces fichiers ä des fins personnelles. Iis ne sauraient en effet etre employes dans un

quelconque but commercial.

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aucun cas.

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veiller ä respecter la loi. Si un ouvrage appartient au domaine public americain, n'en deduisez pas pour autant qu'il en va de meme dans

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Recherche de Livres signifie que celui-ci peut etre utilise de quelque facon que ce soit dans le monde entier. La condamnation ä laquelle vous

vous exposeriez en cas de violation des droits d'auteur peut etre severe.

Ä propos du service Google Recherche de Livres

En favorisant la recherche et l'acces ä un nombre croissant de livres disponibles dans de nombreuses langues, dont le franoais, Google souhaite

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aux internautes de decouvrir le patrimoine litteraire mondial, tout en aidant les auteurs et les editeurs ä elargir leur public. Vous pouvez effectuer

des recherches en ligne dans le texte integral de cet ouvrage ä l'adresse|http : //books . qooqle . com

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Die spräche

des Raoul de

Cambrai

Richard Wilhelm

Goerke

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Die Sprache des Raoul de Gambrai,

eine Lautuntersuchung.

Inaiigural-Dissertation

zur

Erlangung der Doktorwurde der philosophischen Fakultät

der Christian-Albreehts-Universität zu Kiel

vorgelegt von

Richard, Goerke/\-=

\ aus Gr. Bandtken.

Siel.

Druck von H. Fiencke.

1887.

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Meinen lieben Eltern

und meinem lieben Onkel

ERNST GOEßKE

in Dankbarkeit

gewidmet.

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Das altfranzösische Epos Raoul de Cambrai ist eins der

wenigen, die sich eng an ein historisches Faktum anschliessen.

Eine ausführliche Darstellung der historischen Grundlage finden,

wir in der Einleitung der letzten Ausgabe des Gedichts. Diese

wurde von P. Meyer und A. Longnon nach einer schon zu einer

früheren Ausgabe (von Le Glay, Paris 1840) benutzten Hand-

schrift besorgt. 1

) Die Handschrift befindet sich auf der Biblio-

teque nat., du fonds fr. No. 2493. Ausserdem lag den letzten

Herausgebern noch ein Auszug (von 250 Versen) aus einer ver-

lornen Handschrift vor (Einl. s, III). Nach der Beschreibung

jener einzigen vorhandenen Hs. (s. LXXVI) ist unser Gedicht in

einem kleinen Pergamentbande überliefert und zerfällt der Schrift

nach in 2 Teile. Ein zweiter Copist nämlich führte die Arbeit

des ersten zu Ende (von v. 6250 an) und ergänzte das erste

Blatt (v. 1 —57). Doch auch in seiner ursprünglichen Gestalt

bildete das Gedicht 2 Teile, einen gereimten (v. 1—5555) und %

einen assonierenden (v. 5556 bis zu Ende), beide rühren, wie es

auch die Sprache zeigt, von verschiedenen Verfassern her. Zu

der Sprache der Verfasser geben die Herausgeber (seite LXIVbis LXXVI) eine kurze Uebersicht über die Reime und Laute

und weisen dem ersten Verfasser (s. LXX) den Nordosten

Frankreichs als Heimat an, dem zweiten (s. LXXVI) die Gegend,

welche an den nordöstlichen Teil von Ile-de-France grenzt. Ebenso

wird die Sprache der Copisten (s. LXXVI—XCI) nur in ihren

Hauptzügen angegeben und ihre Mundart als die der nördlichen

Champagne bezeichnet. Nirgends werden diese Urteile durch

Belege genauer begründet, auch wird nicht eine genauere Locali-

sirung der Dialecte (von Verfasser und Copisten) versucht. Diesen

l

) Erschienen als 16. Band der Soci&e* des anciens textes, Paris 1882.

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fehlenden Teil der sonst mustergültigen Ausgabe zu ersetzen, soll

der Zweck meiner Arbeit sein. Ich verbinde damit eine detail-

lirte Darstellung der Lautverhältnisse in der Sprache der Verfasser

und Copisten. hebe aber, wenn irgend möglich, nur das vom

francischen Dialekt Verschiedene hervor. Hierbei haben mir die

Arbeiten von F. Apfelstedt (Lothringer Psalter) und von W. Foerster

(Lyoner Yzopet) als Muster gedient.

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I. Sprachliche Untersuchung.

A. Lautliche Erscheinungen.

I. Im Vocalismus.

Vlglat. a (kl. lat. ä, ä).

Dasselbe wird in offener Silbe immer zu e.

1. Die Infinitivendung der i. Conj., are= er, bei beiden

Verfassern und Copisten.

2. Die Participialendung -atus und Endungssuffix -atus geben

bei beiden Verfassern es (oder ez). Der erste Copist schreibt

dafür sehr oft eiz (oder eis): sereiz 605, fauseiz 617, penseiz 877,

4893, delivreis 898, aveiz 524, 897, 2206, 2310, 3699, 3753,

4140, 5082, 5438, 5807, 6190, aseiz(s) 1793, 1831, 2143, 2740,

4925, 5178, pevreis 1560, beveiz 1104, saveiz 1830, reteneis

1885, leiz 1894, 2365, fereis 2771, preneis 2213, desarmeis

2337, areis 2448, vivreiz 5155, agreveiz 5156, deveiz 5439,

— preiz 606. Der zweite Cop. es. —4. Suffix — ata giebt immer ee.

5. Die Endung der 3. plur. Perf der 1. schw. Conjug. er-

scheint bei Verfassern und Copisten als erent.

6. Lat. mater, pater, frater heissen immer mere, pere, frere.

7. Die Worte, deren e vor Doppelkonsonanz steht und Neu-

franz, offen ist, haben auch beim ersten Cop. immer e. Als

alleinige Ausnahme beim ersten Cop.: remeist 520, 1227, 2991,

3483, 5174 (remeise 1889).

8. a ist erhalten in den bekannten einsilbigen Wörtern, so

hat der erste Verf. va 157, ja 169, 2420, la 2423, 2881, 9a

3418. Fast alle diese Worte werden von ihm auch mit ai ge-

schrieben: cf. § 18. Für den zweiten Verf. lassen sich diese

Worte nicht belegen. Die beiden Copisten schreiben sie immer

mit a. Gemeinfrz. ist der Gebrauch des vait neben va; der erste

1*

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Copist braucht ebenso oft va als vait ; der Zweite va nur zweimal

(7353; 8216) dagegen vait 15 mal.

9. a vor 1 wird zu e; es kommt unter Reimen im 1. Teil

nicht vor; der Copist hat es häufig: tex 938, 11 86, 12 10, 1596,

2041, 2455 etc., ostex 955, 2080, 5445» mortel 483O; 6078,

mortex 3872, charnel 1626 (5834), (auch charnal 4519). Eine

gemeinfrz. Ausnahme machen communax 1331 , loiaument 2195,

2653, 4269, roiax 5430, einmal bauliant 511 (vgl. Foerster an-

merke zu v. 2483 des Rieh, le Bei). Beim zweiten Verf. dieses

e in e = Assonanzen : autel (durch Suffixvertauschung aus altare)

6676, 8224, el (alum st. aliud) 8062, ostel 7661, charnes 7802,

mortes 6650, tel 6656, 8019. Beim Copisten : tex 26, 43, 6748,

6788, 8233, tes 8248 etc., charnel 5834, 7576, 8258, daneben

auch charnal 7853, hier wie auch beim ersten Cop. ist es Subst.

10. J-Element -f- a in offener Silbe = ie. Die Beispiele

sind sehr zahlreich; ich erwähne nur die 1. od. 2. plur. des

Imperf. Indic, des Condition. und des Impf. Conj., alle lauten

auf iens aus; der erste Verfasser kennt auch ions: 3949. Bei-

spiele für -iens, -ies in B § 6 und in C 5

.

-ien cf. § 14. — Analogische Bildungen sind beim ersten

Verfasser die bekannten: amistie' 1703, 3040, 4021 (neben amistez

4356) pitie 3031, 4959 (neben pitez 5180, d. Ms. hat pitid),

irier 2836, 2932, 4704 (neben irer 548 ; 598, 3745) airier 1632,

1858 etc. (neben airee 2972, 2988; 5168). — »Beim zweiten:

amistie 5623, 5648, 5677 etc. (neben amistes 8070, 8210, pite

8697) devisier 7 191 (neben deviser 6614, 6966) irie' 6901, 6924,

7296 (neben ire's 6886, 8077). Alle diese ie reimen mit dem

aus e entstandenen (§ 2 3). — Auffällig ist, dass sich unter diesen

Reimen Worte wie detrier 3732 u. oblie 3037 finden, da sie

sonst nur mit e reimen (oublier: er 3584; oublid: e 1582, 3753,

4093, 4321, 4940). Der zweite Copist lässt das schon vor-

handene i noch ein i erzeugen und macht dies auch durch die

Schrift kenntlich: espiier 7383, humiliier 7386, mereiier 7448,

oeiies 6923, aviies 7475 (überall ist das erste i auch silbenzählend),

ebenso iien § 14. Doch ist er in der Schreibung dieses ii nicht

konsequent, sonst hätte er auch delaiier 7473, 7528 etc. und

esmaiier 7529 schreiben müssen.

13. a-|-u od. U= o wie auch sonst im Frz. : o (ab, apud)

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font (fakunt), ont (habimt), vont (vadunt), or (hac hora), nebst ore,

vois (vado -|- is) 1227, 2113, 2683 etc. oi (habui) 1109, 1340,

1895, 2798, 3781. 2. Cop. os (= oi-J~ s) 7266 (vgl. pos = poi

-|- s § 42) oi 6589 eine Perfektform, wo der Sinn ein Praesens

verlangt. — habuit: ot, einmal out 6196; orent (habuerunt) 6715,

soi (sapui) 5864, sot (sapuit) 2336, 3400, auch sout 815 und

seut 3606. — clox (clavus) 511, 588, povre 725, 4144, 4535,

5190. — Die^ Endung -amus lautet gewöhnlich ons, od. on, doch

finden wir auch die sogen, picard Formen (vgl. Ausgabe, s. LXXu. Raynaud, • fitude sur le dial. picard in Bibl. de l'fic. des Ch.

B- 37> 345 £) Beim ersten Verf. alomes 1268, 1291, avonmes

2649; beim zweiten mandomes 5885, aideromes 5888, feronmes

5889, revenromes 5891 ; avonmes 7094, volonmes 7095.

Auch vor dem Ton: poour 2400, 2627, 2896, 2948, 3045

etc. espoentant (expaventantem) 3504 ocis (*abcisos) 2741, 3058;

ocions 2106 etc. — Zweiter Copist 7970, 8384 etc., troe (trau-

catum 4075, 44-32, 4450, estora 164, 168, 2150. — roubez

(raubatus) 5479. 5532, beim zweiten Copisten raubet 6674; ebenso

saurent (sorent) 7898 u. claure 8589.

14. a -f- Nasalis giebt ain. Beispiele sind sehr zahlreich:

demain 695, premerains 2441, 4857, 4859, vilain 1790, 4654

etc. Hierher gehören auch die Accusative putain (sehr häufig)

Evain 2238, antain (v. amita) 3306 ; 6579 (vgl. zs. III, 566).

a -(- Nasalis vort., bleibt so; amer 569, 3559 etc., ama 471,

528 etc., clamera 2525, reclama 1140, 2595, 3124, remanra 1292,

amor 991, 1530 etc. ramu 2870. Ebenso beim zweiten Cop.:

ames 7206, ameroie 7769, amor 6764, 6806, 8120 etc.

i 4- an giebt ien, eigentlich iien. Der erste Copist schreibt

christiente 1568, crestiente 6 191. Dagegen der zweite fast immer

Hen, so Juliiens (unter 28 Beispielen eins mit ien: 7823), cre-

stiiens 6908, 6916, 7038, 7690, 7926, 8045, 8089, terriien 7272,

crestiiente 7686, 8006, 8091, vgl. § 10.

15. Betontes a in geschlossener Silbe wird von den Copisten

einzeln in ai verwandelt, nämlich 1) bei folgender Muta: nur

Tieraisse 2030. — Vor dem Ton: aisist 1584, aissit 4699, (doch

asient 1921), paission 1060 (passion 2093, 2939, 3186). — Beim

zweiten Cop» nur paission 6772, 8243. — 2) Bei folgend. Pala-

tal, vor c, g: Im 1. Teil: saige 4400 (im Reim auf aige=aticum),

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— 6 —

im 2. saige 7309 (assonierend mit a). Hiernach wäre es zweifel-

haft, ob beide Verfasser das ai in saige kannten., nach der spä-

teren Dialektbestimmung beider darf man es ihnen wol zugestehn.

Die Copisten wenden es häufig an: vaiche (vacca) 3855, saiche

(sapiam) 4776, 5647- saige (*sabium) 2012, 2444, 3545, 3998,

2. Copist 7339, 7553, 8183. — Vor dem Ton Schwanken:

saichant 512, 4405, saichies 389, 3263 (sachie's 3100) — sai-

chier (saccare) 2643, 3121, 4019, 4853, 5428 ^sachie 2619,

3032, 3625, 5006); baicheler 314, 5804, 5816 (bachelerie 1875),

naigier 1636. — Beim zweiten Cop. fand ich dieselben Worte

immer mit ai geschrieben, ebenso esraigiet 7866 (welches der

erste Copist 3mal, 1086, 4664, 4681 mit ai und 6mal mit a

schreibt) aber auch bacheler 7744, 8272, 8573.

16. Suffix— aige (aticum) zeigt beim ersten Cop. Schwanken.

Unter den Reimen (Tirade 10, 42, 204) befindet sich keiner,

der dieses aige auch dem Verfasser zusichert (vgl. Gott. gel. Anz.

1874, s. 1032 u. Chev. as II espees s. XXXIII). Der Copist

kannte auch Formen wie oumaje 900, 15 14, froumaje 1187, lig-

naje 4391, barnaje 4393, 4401, imaje 4390 (diese 4 im Reim

auf aige). Es ist wahrscheinlich, dass der Copist kein a und auch

kein ai sprach, sondern einen Laut, der zwischen beiden lag:

vgl- § a 57- Jean Palsgrave constatiert noch für das 16. Jahrh.

die Aussprache aige (cap. VII, reg. quarta) in F. Lütgenau's

diss. : J. Palsgrave u. seine Aussprache des Frz., Bonn 1880, s. 7)

Unser Copist hat jedenfalls ein dem ä sich näherndes a gesprochen.

Die Aussprache ege findet L. Bellanger '(fitudes hist. et phil. sur

la rime fr. s. 181 : Lütgenau a. a. O.) noch jetzt in Haut-Maine

und in Teilen von Anjou. Auch im Wallonischen soll noch heute

ege gesprochen werden (Lütgenau a. a. O. s. 8). — Einen zwischen,

a und ai liegenden Laut constatiert in diesem Falle (u. § 57)N. de Wailly in der Sprache Joinville's (Bibl. de l'fic. des Ch.

6. serie bd. 4, s. 385). — Der zweite Copist hat regelmässig

aige; dass er auch aige sprach, könnte die Form coraijous 7780

beweisen.

17. — abulam, —abilem geben bei beiden Copisten able :

table 4816, 4840, 4848, 4853, 5231, 5625, 5644, diables 2997,

3979, 5401, diablie 1913, II. mirables (im Reim) 7308.

18. Für a schreibt der erste Verf. zuweilen ai (vergl. Jahrb.

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VIII, 398) estait 946 Nicolai 2794,3162, 5039 lai 5018 jai 5035

(im Ms. steht ja, doch der Verf. sprach sicher in Übereinstimmung

mit dem Reim jai). Bei dem ersten Cop. : Braibant 2893,3685

Braibencons 2459 Baiviere 5046 (Baviere 1325) fraipaille 1064

(frapaille 107 1).

19. Umgekehrt erscheint bei dem ersten Cop. sehr oft a für

ai: avera 2656,3328, donra 6049 etc, ja 1696,5035 envoia

2799 ^ra 16 17 volra 3761 etc. sa 5017. — Beim zweiten Cop.

ist dies selten: j'a 6994, partira 7934, vgl. § 16.

20. Alle möglichen Fälle des vortonigen a u. sein Verhalten

in denselben hat erschöpfend behandelt Joh. Ellenbeck in sein.

Diss. : Die Vorton-Vokale in französ. Texten bis z. Ende des zwölften

Jahrh. Strassburg 1884. Ich führe nur noch einige von dem ge-

wöhnlichen Gebrauche abweichenden Fälle an : chäi 678,2731,3111,

3342, 3896 (chei 4469) chaoir 3527. Der erste Copist hat poour

(§ 13), der zweite immer paor 6589,7914,8292,8476. — Durch

c ist ursprünglich a zu i geworden in chivalier 146 (sonst immer

chevalier), ebenso durch g: gisant 2631 etc. hier trat e wieder

ein, wenn in der folgenden Silbe ein i stand, z. B. gesir 333,

3 191 und immer. —Hervorzuheben ist noch gairir 7419 (sonst immer garir)'pairins

16 (der erste Cop. parins 2452, 2519), beim ersten atairgies 2355.

— Ferner wird dieses a vor r zu e, beim ersten Cop. nur in

comperrois 5951, beim zweiten: chergids 6926, 7046, 7878, 7889

(aber deschargier 7857). Diese Formen, wie auch die vorher

erwähnten gairir, pairins, atairgie's lassen vermuten, dass allen ein

einheitlicher Laut zu Grunde lag. Derselbe war jedenfalls ein dem

e sich näherndes ä. Im Dialekt von Ile-de-France constatirt Metzke,

(in seiner diss.: Die Mundart von Ile-de-France, Breslau 1880,

s. 12) ein ähnliches Verhalten, und Nisard (£tude sur le lang,

pop. au patois de Paris et de sa banlieue, Paris 1872, p. 135)

weist eine e-artige Aussprache des a vor r noch in der heutigen

Pariser Vulgärsprache nach.

20 a. Vortonig a ist abgefallen in Puille (Apulia) 3654, 5277.

21. an -f- Cons. = an. Die beiden ans = Tiraden (114

und 189) enthalten, abgesehn von den schon in der Ausgabe s.

LXV constatirten Unregelmässigkeiten im Wortauslaut, nur Worte

mit an oder solche, die mit an reimen dürfen: dolans 2325, 3919,

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3921, sanglans 3941. Die einzige Ausnahme bildet, gent 3913.

Die viel zahlreicheren ant-Tiraden zeigen in der Unterscheidung

von an und en eine grosse Inconsequenz. Ausser dolant (44,

517, 905, 920, 3230, 3270, 3509, 4054, 4416), talant (40, 680.

1262, 2684, 4065, 4413) sanglant (698, 2675, 3234), welche regel-

mässig mit ä assoniren und reimen, findet sich auch gent 1258

hardemant 2407 garnemant 3708 hautement 3718,5367 Oriant

2687 (Suchier, Reimpredigt s. 69 f.) erranment 47 omnipotent 470.

Tirade 241 besteht zur Hälfte aus ent-Reimen, doch die

meisten von diesen fanden sich schon in den ant-Tiraden. Unter

den ant-Reimen dieser Tirade noch Worte wie parent (5383) au-

tremant 5382. Tir. 226 allein (28 Verse) besteht nur aus Worten

auf ant. Die 4 ance-Tiraden (38, 87, 139, 195), die mit Ausnahme

von sapience 4145 ganz rein sind, können kaum in Betracht

kommen, da es wenig Worte auf ence gab.

Die Herausgeber sagen (s. LXX) hierzu: »Die Endungen an

und en bilden im Princip geschiedene Reime, dennoch muss die

Tonverschiedenheit schwach gewesen sein « . Dieses Urteil ist viel-

leicht noch mehr zu Gunsten einer Vermischung von an und en

einzuschränken, denn die wenigen ent-Tiraden (3, wenn die Hälfte

von 241 gerechnet wird, gegen 22 ans- und ant-Tir.) enthalten

ausser Worten auf -ment und gent (die auch in den ant-Tir. vor-

kamen) und covenant, esciant, dolent (Suchier, a. a. O.) auch

noch pesans und avant, die in echt picard. und normann, Denk-

mälern nicht mit ent reimen dürfen.

Während bei dem ersten Verf. die Vermischung von an und

en nur für wahrscheinlich gilt, ist sie bei dem zweiten ganz sicher.

Dies zeigen uns die zahlreichen Assonanzen auf an und en und

die weibliche an-Tirade (310).

Der erste Copist schied an von en, immer mander, estanchier

1603, 5127 etc. langes 401 1 espandre 10 16, 1607, 2246 etc. mans

(mancus) 2929 (manc) 4821 pan (pannum) 2509,4688. Eine

Neigung zu en zeigt er im nfr. manger, neben 15maligem mengier

nur 3 mangier und in craventer 2696,4049,4092,4112,4462,

(von crepantare, s. Suchier a. a. O. s. 7 1). (Der zweite Copist

cravante 6642, 8707 etc.) cf. fitude sur le dial. du Ponthieu p.

Raynaud: Bibl. du l'fic. des Ch. B. 37, s. 34.

Der zweite Copist mischte an und en ; d. h. er sprach beides

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an: dies zeigen Schreibungen wie mentel 6258,7356,8171 con-

ment 7293,7648,7716,7728 conmendement 7649, enfent 7638,

roumens 6988 etc. und § 27 und 36.

21 a. Folgte auf dieses an ein ihaltiger Consonant, so finden

wir bei dem zweiten Cop., auch vor dem Ton, immer ain, so vor

g, c, g: trainche 7786, 7796, 7851, 7852, 8677 diemainge 7173

frainche 6871. — Vor dem Ton: sainglant 6257 trainchant

6942, 8675 ; 6921, 6930, 7883, 7911, 8559 etc. maingier 6932,

6936, 7°99> 7187, 7253, 7255, 7349, 8360 mainjue(nt) 7349,

8360, (manja 6935) plainchier 6255 Aingelier 81 14 chaingies 7725.

In diese Lauterscheinung wurden natürlich auch die entspre-

chenden Worte auf en gezogen, so raingier (ahd. hrinc) 7 743, 7749;

8610, vaingier (vindicare) 6265, 8545, 8579, 8667, losaingier 6261,

7092, 8133, 8136, chaslaingier (calumniare) 7745, 8581, 8606,

8617, gainchit (ahd. wenkjan) 7790.

Beim ersten Cop. findet sich ausser estrainge 1337 (estrange

411) hiervon keine Spur.

Vulglat e (kl. lat. e, ae).

23. Betont und in offener Silbe wird es zu ie. Dieses ie

dessen e anfangs offenen Laut hatte, reimt im ganzen Denkmal

mit ie = I -f a. Die Reimworte dieser Art sind sehr zahlreich

:

ciel, entier, ier, autrier, derier, arier, sie, pie, fier, espie, (spetum)

I 7 I 3» 3°3 r (im Innern des Verses espieu 510, 2147, 2498, 3026,

5010), (engien 1900,2862) estrie 4990^ (von strgpum); daraus

estrier 2616, 2818, 2916 etc. II 8413: wegen des r vgl, § 87;

ebenso niers, iers etc. in § 87. — Die sich auch in anderen

Denkmälern findende Scheidung von ert (= erat) und iert (= erit)

ist von beiden Copisten streng durchgeführt: iere 2369,3100,

4930, zweiter Cop. ieres 7936, iert 642,744,1149 etc. zweiter

Cop. 6357,6382,6616,6911 etc. ierent 696; — ere 2279, 2331,

3066, 5942, ert 90, 1590, 1814, 2515, 2929 etc. II 6886, 6977,

erent 5549. — Einmal ert für iert 4970. — Perf. entendie (im

Reim auf ie) 3629 = intendedi.

23 a. Eine Ausnahme von der Diphtongirung dieses e machen

bei beiden Copisten die Verba venir und tenir in der 1. p. sg.

Praes. Diese erscheinen als vaing und taing gegenüber den frz.

Formen und denen des Ponthieu (Bibl. de l'fic des Ch. 37, s.

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IO —

344): vieng, tieng (pic. viench und tiench), z. B- devaig 5690 II

je vains 6307,7329,7454; taign 2664,2710,3988, taig 3256,

taing 668, 743, 1 160, 2025, 3840, 4030, 4400, 4607, 5369, 5866,

II 7226. — Die Conjunctivformen schreiben sie daher auch mit

ai, welches vom ersten Cop. auch unter dem Ton wie e gesprochen

wurde: vaignes 2159, 5624, 5886, daneben vegnent 5391 und

vegnie's 5575, einmal sogar die frz. Form viegne 1967. Der

zweite Cop. immer ai: 6264,6363,7587,7744,8527, vaignies

6810,8282.

23 b. e -f- u (U) diphtongirt in Diex, welches das gewöhn-

liche ist, daneben auch sehr oft Deu ; — beim zweiten Cop. ausser-

dem auch noch sehr häufig De, im Reim auf e: 7705,8053,

8094,8207,8692. — Giue (v. Judaeus) 1267 ist gebildet wie

De. — Einmal jou (ego, vermittelnde Form jeu) 631 1.

24. vlglat. e in geschlossener Silbe bleibt. Der erste Copist,

der das östliche ei — e kannte, schreibt einige Male: preis 2872,

la preisse 2889, veist 2136; — hier sei auch gleich erwähnt veiz

1777, das eigentlich e hat.

25. ella giebt ele, vgl. Tir. 49, 47, 86, 172, 181, 216, 253, cf.

§ 34 anm.

26. ellum giebt el (Tir. 135, 214,11 258). Die angeführten

Tiraden enthalten kein el (= illum);wegen des dort vorkommenden

cenbel (2773,5864,5868) vgl. Rom. Forsch. II p. 546 No. 1,

wo cenbel = cymbellum angenommen wird, ital. zimbello.

eil Cons, wird immer iau. Bei den Verf. nicht belegt. Bei den Co-

pisten : Manciaus 300, 532, 649, 710, 5921, viautre 333, viax 646,

684, chastiax 2031, 5501, 5543, 5786, 6144, pommiaus 1272, jo-

venciax 2854, hateriax 4022, damoisiax 1594, 5640, cenbiaus

3880, penonciaus 4323, batiaus 4945, aniax 6167. Gociaumes

(prov. Gaucelm) 753, Miax (Meldi) 787, Antiaume 4209, Aliaume

4484,4525,4559 etc. (Aliames 4365), immer biaus, oder wenn

ein anderer Cons. als s auf bei folgt: biau 2027,3559, 4656, 47 11,

5 743, 5787, 5853. Schwanken zwischen Diphtongirung und Er-

haltung des e zeigt elme, das so geschrieben viel häufiger erscheint

als hiaume, z. B. 483, 581, 1706, 1957, 1989, 2137, 2278, 2695,

3133 etc. im ganzen 34 mal gegen 5 maliges hiaume (476, 1834,

2413, 3643, 4027). — Beim zweiten Cop. fand ich hiaume 10

mal und elme nur 5 mal. — Der zweite Cop. hat noch : Biauvais

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T I

16, 55 (Biavais 51) Bordiax 8350, Antiaume 8331, biax 6372 etc.

biau (vor Cous.) 7947,8048,8486, creniax 8689, chastiax 7935,

nientiax 7356.

26 a, Anders wurde das lat. ill -|- s behandelt. Dieses ill

ergab zwar ein e, das von dem in geschlossener Silbe stehenden

lat. e verschieden war (vgl. Rom. VII, 122) doch gilt dies nur

für die ältesten Denkmäler bis zum Rolandsliede. Seit dem letzten

Viertel des 11. Jahrh., nimmt man an, fiel jenes e (aus illum) mit

dem e aus ellum zusammen und beide durften mit einander reimen.

Doch das e — i(ll) scheint (vor dem 1) seine frühere Natur

(eines geschloss. e) nicht ganz aufgegeben zu haben. Zu dieser

Vermutung wurde ich durch den Umstand geführt, dass eil -j- s

immer iaus giebt, dagegen ill Cons. eus, ous und zuweilen auch

aus; bei geschlossener Aussprache gab es eus, etwas offen gespr.

ous und ganz offen : aus;

(vgl. hierzu die Notiz in Rom. Forseh

II p. 547, wonach Koschwitz auf demselben Wege zu demselben

Resultat gelangt ist, z. B. illos: eis: 1) ex 64, 2) ox 2946, 3257,

3503, 4026, 5664, oux 940, 2432, 5550, 3) aus 995, 2240, 2810,

3369,4103,5750,5953. — Der zweite Cop. hat durchweg iax

633°) 6 5°9> 6 559> 6 753> 68 9 2> 7801, 8606, 8641, 8663, er sprach

also dieses e (in el = illum) sehr offen. — cels (ecce illos):

1) kein Beispiel, 2) sox 4163, 5121, 5513, 5541, (cox) 5788, 5887,

6101, 3) ciax 166, 817. 853, 2836, 3214, 4813, 5883, sax 4171.

Der zweite Cop. wieder nur ciax 7893. Auf der 2. Stufe blieb

stehn: chevos (-ox) (capillos) 949,2635,4511,4844. I)er~*zweite

Cop. hat wieder cheviax 7995. Ebenso bei ihm fautre (filtrum)

7 161;einige Male dou (del) 7792, 8204 und ou (el) 6950, 7443,

8481.

27. en -|~ Cons. — en oder an beim ersten Verf. Die ent-

Tiraden, deren Zahl im Vergleich zu den ant-Tir. sehr gering ist

(3 §egen 2 °) liefern, wie schon § 21 gesagt wurde, keinen sicheren

Beweis für die Scheidung des en von an. Der zweite Verf. sprach

en = an, § 22. — Der erste Copist hat vereinzelt an : Oriant

4716 fame 3664 (ferne 1668,3665,5696,5724 etc.) tans 1308,

3779,3896,4421, 5302, 6078. Ausser diesen wenigen schreibt

er rendre, prendre, pendre, vendre etc. in allen Formen mit en.

Beim zweiten Cop. zeigt sich eine starke Mischung von en mit

an: sanc (= sensus) 6623,8644, vans 8674, vanter 7673, nan-

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7465, 7597, 7947, P*nre 7372, 7517, entandes 7319, jantil

6521,6607,7252,7296,7303 etc.

25 a. Dieses en wurde bei den Copisten, wenn es vor g oder

n stand, zu ain : praing 480, 1662. Der erste Cop. sprach dieses

ai schon wie e: pregn 4912; ebenso pregne 144,2847,4709,

5798, praigne 5463 (= prendiam). Der zweite Cop. hat praigne

7641.

28. Vortoniges e diphtongirt in viellars 3309, 3434, 3905,

3948,4219,4999, II 7994,8029,8042,8105,8113, 8410,8507,

8582, 8699; — fierte 4429, zweiter Cop. fieror 7, fierement 2183,

2298., zweiter Cop. 7865,8670, wo der Laut des Simplex in das

Compositum überging, es sind französ. Neubildungen. Der zweite

Cop. hat noch entiercier 7166, 7484. — Zu i wurde es reducirt

in: estriviere 2923, 5048, 5053, II 8412, desestrive 4078, grigois

2145. — Mit Ausnahme von entiercier sind diese Fälle alle ge-

meinfrz. und die Regel ist, dass vortoniges e nicht diphtongirt,

also tenant, venu, greve, se-ies 3679 etc.

29. Vortoniges e wird zu a nur in asaier (= essaier) 31 19,

4591,4224, (essaier 4613, 777 1)-

29 a. Aphärese des anlautenden e in vesques 84, conses (f.

esconses) 7719,

30. Vortoniges e wird durch vorhergehendes j zu i: maiste

1569. — Zu a in garais (vervactum) 2578 und craventer, (oder

cravanter) : § 21. Wegen v zu o: provoire 3986. — Durch ein

folgendes c, g wurde e zu i : (beim zweiten Cop.) lichieres (lec-

cator) 7139, licheors 6252, pichie'(s) 6589, 7002, 7201, 7204,

7300. 8439, 8552, 8600, ligier 6346, 7744, 8573, haubrigier 6936,

herbigier 6297,7301,8110,8125.

Vulglat. e (kl. lat. e, 1 (oe).

31. Dieses e wird in offener Silbe nach allgemeiner Regel

zu oi. Der erste Verfasser reimt das so entstandene oi mit oi =u-)-i: crois 2149 z. B., mit bos 3384, d. h. mit offenem o (cf.

2344). Der zweite Verf. reimt ebenso unbedenklich oi = e mit

crois 5768, 6413, 6826, oi (habui) 6589, vois (vocem) 6822 u.

mos (mit o: 2374) 5934. — Beim ersten Verfasser findet sich

nur die Form feois (= fidelis) 215 1, 3389, nie feel oder feal.

Ferner sind den Verfassern eigen die 2. p. plur. des Fu-

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— i3 —

turs auf ois (neben den analogischen auf ez): orrois 733 tenrois

737 porrois 5513. II avrois 6809, 6821. serois 5940. revenrois

6825. Conj. Praes. aiois 6815. Beispiele für die Endung ez sehr

zahlreich: serez 605, verrez 615, 2001. 4332, 4360 etc. orez

4926, 4927 etc. II direz 5823, savres 7230, orres 7236, porres

8050 etc. — Die Copisten zeigen hierin dasselbe Verhalten, der

zweite hat noch saichois 6759. — Auffällig ist pox = poils 2314,

2429. — Eine Anzahl Doppelformen zeigt sich bei beiden Ver-

fassern. Von den betonten Pronomen: me, te, se" findet sich

beim ersten nur soi 5555, beim zweiten moi 5936, 6588, 6593,

6598, 6816, 6820. toi 5942, 5944, 6595. soi 5773, 5946, 6415,

6601, — neben mi 1529, ti 997, II mi 5687, 5710, 6446, 6860,

7040, 7041, 7933, 7946, 8304, 8307; ti 6315, 8309; — tenoir

3834, II 5786, 6610; neben tenir 335, 2254, 2900, 3008, 3014

etc. II 63 11, 6436; 6503, 6530, 6537 etc. — veoir 3849, II

5775» 57^4; 6808 neben veir 406, 2258, 4563 II 7129, 7955,

8714 — otroi (v. otroiier) findet sich beim ersten Verf. nicht,

da keine oi = Tiraden vorhanden, II ostrois 6164, 6814 neben

otri 883, 2194, 4592, II 6183, 6463, 6557, 6868 etc.; — soie

(s6ta) 2067, d. II hat keine weibl. oi-Tiraden, neben sie 5263,

II 5567 (siie), 5573 (sie, 3silbig . — Der erste Verf. noch aseir

4562. — Vgl. pri: proi § 63. — Die Copisten verwenden meistens

die franz. Formen, nur einmal beim ersten mi 5769, ferner veir

1365, 1369, 4310. Hervorzuheben ist oire (iter) 2291, 6035, II

6600. Im Girbert v. Metz 122, oire (3 p. sg. praes. v. errer),

Vor dem Ton Schwanken zwischen oi u. e. Im Hiatus ge-

wöhnlich oi, doch conreer 664, 1356 etc. II 6954 etc. veez (v.

veoir) 4967 moneet 8705, etc. Wo die Silbe im Frz. geschlossen

ist, steht immer e: verte' 389, 663 etc. II 35, 6331, 7196 etc.

i zeigt sich in bauliant 511. — Durch Dissimilation wurde e zu i;

iretier 70, 450, 15 10, II deshiretes 7696 (eritage 894, heritier

7457, herites 8014). —33. e-f-n = ain (ein, en) eine picard. Eigentümlichkeit. Für

die Verfasser lässt sie sich nicht nachweisen. Bei den Co-

pisten finden wir: mains (minus) 2 43 5, avainne 1358 paine 315,

564, 2289, 3121 • 4564, 4610 II 8164, (peine 3179) plaine 1601,

273°» 3975» 498i, II 8539 plaignier (plenus -f arium) 1933,

2267, 4507, 4765 (plagnier 4815, plegnier 3538, 4831 plenier

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— 14 —

5600, frainc 1152, 4073, 4448 demaine (dominium) 1 5 5 1 , Rains

(Remi) 786, 1711, 1465, Saine 5120; a-, de-, en-, pormaine (nt)

820, 15 17, 1992, 2034, 2037, 2068, 2634, 3405, 3919, 5553,

5901, 6060, II 6524, 6846, 6939, 7111, 7879, 8146, 8178 II

alainnc 8513, cf. § 36a. Vor dem Ton bei beiden Copisten e:

mene, pener etc. beim zweiten auch an : manrai 7464.

34. Vlglt. e in geschlossener Silbe wird gewöhnlich zu e.

Reime sind ausser den Worten auf illa= ele (ancele estencele etc.)

die mit ele (= ellum) reimen, (cf. Pohl, Rom. Forsch, II, p. 540,

No. 8, wo ele (illa) = ele (ella) gesetzt wird), hierfür nicht vor-

handen. Hervorzuheben ist espois (im Reim) 5961, u (im Vers-

innern) espoisse 2775, die Foerster (CligeS, LV1) von einem *spic-

sus ableitet; mit e in espessier 3123; prois 719 (im Reim) über-

setzen die Herausgeber mit pres ; woher stammt das Wort, viell.

an prois [nie] angebildet?

36. Vlglat. e vor gedecktem n bleibt meistens bei dem ersten

Cop. ; mit an schreibt er immer sans, zweimal an: 376, 3764,

Sambier u. seine Composita immer mit am: 501, 796, 1219,

1294, 1822 etc. einmal ensemble 5389, anterre 3722, anuier

136 1, 3266, anuitier 1233, 1466, andemain 541, 6009, angar-

dez 1281. Ausser diesen wenigen sind die zahlreichen Zusam-

mensetzungen mit en (= in) u. en (= inde) immer mit en ge-

schrieben, ebenso regelmässig vengier u. losengier. Dass der erste

Copist en von an noch schied, zeigen auch die Fälle, wo er vor

m od. p statt en: em schreibt: § 88. — In anemis (immer an

geschrieben) ist wohl mit Foerster (Cliges LXVII) Dissimilation

anzunehmen. —Der zweite Copist spric ht dieses en wie an und schreibt da-

her sehr oft an: anfant 45, 6613, 7212, 7291, 8212, 8397, 8535,

8542, 8598, an 46, 6824, 6980, 7288, 8497, 8660, angole 7226,

anvaie 8641, anvoiet 7445, 7469, dedans 7020, anvers 6446,

73^6, 7771 etc. antre 631 1, 8422, ancontre 6546, 6654, 6883

etc. Bei ihm daher auch kein Beispiel, wo em vor m od. p ge-

schrieben wird.

36a. Folgte diesem en ein i = haltiger Consonant : g, c, ng

od. n, so wurde dasselbe auch vortonig, zu ain: beim zweiten

Cop. losaingier, vaingier, raingier: § 21a; beim ersten: enpainst

(impingere) 4065, 4243, 4652, tu vains (vincis) 2486, cainst

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„ i5 —

486, $S2, 4317, 4937. cainssist 49 J 9; 3- P- saint (cing't) 6938;

caint (cinctum) 1990, 1802, 3672, II 8114; vaint (vinctum) 1576.

sain (singum f Signum) 1250; — n: saigne 1566, 2691, 3096,

II saingnies 6947, en-saingne 6496, 7572, pre-, en-saingnies

64, 73, 4817, 5637, 5664, 6020, 6023; 5013 des-caigne(nt)

1546, 5518 daigna (dignare) 1681, II 8339 destraignant 513.

Der erste Copist sprach dieses ai (wie wir schon aus 23a, 27a

wissen) wie e aus, wir finden bei ihm venchu 2777, 4488 (neben

vainchue 12 15), degnie's 4007. ventra 5028.

38. Vlglt. e ist zu a geworden: dalez 1503 II 6876, 7415,

7562, 7657, — manecies 4000 (= menace 7322, aber auch

manace 418, 1417, 1857, 2901, 4070. desfaes (disfidatus: Tob-

ler, Jahrbuch XV, s. 248) esfrae (ex - fridatum) 8495, 8518.

Durch Assimilation: penaant 693.

Vulglt. I.

39. i bleibt sowohl unter als auch vor dem Ton. Wegen

der Formen celi u. Ii (= celui, lui) cf. § 77 — wegen veir, mi,

ti, si: § 31. Bemerkenswert ist beim zweiten Verf. virge, 8174.

Durch Einfluss der folgenden Labialis wurde i zu u : afuble

3660, 5874; desfuble 8 181. — Durch Dissimilation is es vor be-

tontem i zu e geworden: petis 2798, II 6192, 6460, 7124. 7604,

8366, 8404 fenir 3015, 3190, 4569, II 7209 devis (v. divisare)

1686, 3205, 4735, 5539- 5186, 5545; 4863 (devision); 5702;

II 6614, 6966, 7 191. — Es ist ferner vortonig i zu a geworden:

aronde (hirundo) 3413, arondel 4662; alluec (illuec) 6892 ; eist

eingeschoben vor dem i : peitie 6489. Immer meisme, nur ein-

mal meesme 2792. — Reciut 2042, 2502, 5269, giurent 1255,

5132 zeigen, dass die Sprache des Copisten dem Gebiet der diu-

Formation angehörte (cf. zs. II, s. 258 ff. s. 284).

Vulglat. O (kl. lat. ö).

40. Betont und in offener Silbe wird es ue : vuelent 2 171

truevent 68, 829, 1447, 2041, 2051, 2071 etc. (troevent 59,

3505) uevre 5844 (oevres 501) euer, fuere, bues 3855, pues 3830

etc. puet 2065, 3008, 3017 etc. pueent 1399, 4136 (daneben

puent 141 7, 2064, enfuent [v. enfoir 3200] 4764, vgl. brüllet

neben bruellet § 71), Diez II, 137. —Dieser Laut schwächt sich in einigen Worten schon zu e:

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i6 —

avec 2893, 4270, 6006, aveqes 2089 (avueques 4362), (immer

iluec 3296, 6126, ilueques 3890, 5839); vgl. hierzu veve (= veuve,

yidua) 2991. Offenbar ist das v hier sehr von Einfluss gewesen

und man darf wohl daraus schliessen, dass die ue u. eu z. Zeit

des Cop. schon einen einfachen Laut (ö) angenommen hatten,

der sich dann durch Einfluss von v zu e schwächte. — Der zweite

Cop. zeigt ziemlich consequente Schreibung mit ue ; ausser oef

8706, schreibt er immer pueple 8056, uel 7109, 7485, avuec,

illuec (alluec 6892) u. illueques 8163. Ebenso regelmässig je vuel

6454, 6592, 6930 etc. tu vuels 8057, il vuelt 6324, 6350, 6380,

6458, 7447, Ii duels 6712, 6713, 8410, 8527, 8522, il vuellent

7745» 8548; Conj. vuelle 7142. Doch darf man daraus nicht

schliessen, dass er auch vuelle, vuels, vuelt u. duels, ohne mouil-

liertes 1, sprach, denn wir finden bei dem ersten Cop. neben or-

guel 47 16 dieSchreibungorgueil3 02 7,neben zahlreichem diex(=duels)

566, 3488, 3652, Ii dues 4561. Ganz consequent aber hat der erste

Cop. viex 1129, 1131, 1648, 1760, 2128, 4622, 5075, 5255, 5417,

5620. vieut 72, 105, 891, 960, 1085, 1 74i» 1779» l835> l8 5 2>2 93 6

>

2950, 3845, 3958, 5558. sieut 840, 1323. orgiex 1156; u. der

zweite Cop. iex (ocul's) 6372, 6766, 7071, 7 181, 7275, 7540,

7602, 7949, 8337. Auch diese Formen zeigen: 1) dass das

alte ue sich dem geschlossenen ö (= e) genähert hatte, 2) dass

dieses e mit dem aus 1, 1 (vor Cons.) entstandenen u wieder einen

Diphtong eu bildete, und 3) dass immer nur vor 1, 1 Cons. das

eu zu ieu wurde. — Ob Mussafia, der (zs. f. öster. Gymn. 1877,

s. 291) aus eus : ieus entstehn lässt, Recht hat, oder Foerster, der

(Chev. as II espees, s. XLI) die Reihenfolge eis: iels: ieus an-

nimmt, wage ich noch nicht zu entscheiden, doch scheinen mir

die von Mussafia angeführten Gründe für die Entwicklung: eis:

eus: ieus zu sprechen. — Sehr wahrscheinlich ist es nun, dass

der erste Cop. ex (1303, 3577, 5568) u. oils 3191 : iex sprach.

Das iex des zweiten Cop. macht es auch wahrscheinlich, dass er

vieus, vieut, dieus etc. sprach. Dass ue bei ihm nicht mehr den

alten Diphtong repräsentierte, zeigen ausser aqueullent 8351, aqueulli

7313, 7579 etc. (qu = q, § 103) das Wort Ribuemont 6580,

6582,6705,6712,6780,6796,7074, wo ohne Grund ein u ein-

geschoben ist (der erste Cop. schreibt daher auch immer Ribemont),

und huerta 6255: § 51.

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— —

4 i . ö —J- ri giebt bei beiden Cop. on ; so schreiben sie immer

bon und bone ; hom kommt im Reime auf on vor, entweder als

on oder hons 1044,3359, (A- Copist schreibt es auch hom) 1656,

3177,3981,4876,6201,6204. Der zweite Copist immer hon (s)

:

§88. — Vor m wurde o zu a in dem bekannten dame, dans,

damoisel, in den Zusammensetzungen Damedieus 65, 2149 und

Damerdieus -, das hier durch Dissimilation aus n entstandene r

erscheint noch an der ursprünglichen Stelle in der consequenten

Schreibung des zweiten Cop. Damredieu 6570, 6596,7268,7455

etc. — Wenn n die Silbe schloss, wurde ebenfalls o geschrieben,

Ions 625 (im Reim), lonc 4123 (II7596); nur das Adverb longe

lautet loing 3654, 3976, 4223, 5949.

42. 9 + u (IT) zeigt verschiedene Gestalt: 1) ou: jougleres

2443,6087, II 8228, moulez (modulatus) 4326; 2) eu: peule

(populum) 2063,6077,6234, beim zweiten Cop. noch fex 7713,

8566, lex 6893,7864,8384; — 3) o: poi (potui) 2274,3062,

3559,6015. Der zweite Copist zeigt hier wie oft eine verdorbene

späte Aussprache: pos = poi -|- s> (

V&1- § io2 ) 8134;

os = oi -|- s 7866. —* Beim ersten sehr häufig: pot (potuit)

porent (potuerunt) : — Vortonig: pois 11 15, poist 4952,5210,

5488. — 4) u: fu 1453 (im Reim), 1467,5482. (daneben feu

332, 1482, i486, 1503), immer liu 1234.. 1242, 1297, 1351, 1389,

2324, 3782, 3827 etc., giu 91, 548, 1590, 3448, 3876, 4623, 4656,

5210. Das i wurde hier überall durch den vorhergehenden

Consonanten hervorgerufen, vgl. Giue' 1267. (Über die Ent-

wickelung des löcum, föcum, jöcum, vgl. Foerster, Rom. St. III,

182 ff. und Pohl, Rom. Forsch. II, 612, wo neben neu, feu, fiu,

für Wace die Form fie nachgewiesen wird). Der zweite Copist

kennt auch die picard. Entwicklung des ou (o -\- 1) zu au : vaus

7571, vaut (= volt) 6267, 6291, 7007, 7008, 7298, 7467, 75 1 1,

7533, 8383, vaurai 6480, 6503, 8606, vaura 8645, vaurons 6892,

vaurent 8565, vausissie's 7707, saudoiers 6435, 8537. Daneben

auch vot 8014, vorai 8081, immer coper (in seinen verschiedenen

Formen) und cop, ebenso votis 6736, 7799, 8188, 8264. — Der

erste Copist hat hier überall die Formen mit o.

44. Vlglat, o in geschlossener Silbe ist geblieben. Der erste

Verf. kannte auch die abgekürzte Form für nostre = nos 2375,

Sie sowol wie vos (= vostre) kommt sehr häufig im Versinnern

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— i8 —

vor und darf des Metrums wegen auch wohl dem zweiten Verf.

zugesprochen werden. Aus den Reimen hervorzuheben ist : noce

(== nuptia) 7343 und beim ersten Verf. das schon früher (§ 31)

erwähnte bos, das sich einmal in einer ois = Tirade (3384), und

einmal in einer o = Tir. findet: 2344. Nach Foerster (Chev. as II

espees s. IX) ist dies die picard. Form des Wortes. — Der zweite Cop.

kennt nur bois: 6355, 7425» 7443« — mos (reimt mit o) 2374; 5934mit oi (wohl= pi, cf. 3 1) gebunden. Dieses Wort ist bemerkenswert,

weil es in einigen normannischen Texten nur mit o reimt (cf.

Rom. Forsch. II, p. 565).— o ist in e gewandelt: envoslespe 46.

Beide Copisten schwanken in dem Falle, wo durch den folgenden

Palatal in der vorhergehenden Silbe ein i hervorgerufen wird, (cf.

15, 16, 2i b): Beim ersten: Roiche 5056 aproichier 1249, I2 98,

1716,4209,2876; — der zweite hat: reprochies 7541, aprochier

7 OI 3» 774i» 8615, broiche 1946, 2494, 2725; 2887, 2894, 3421,

4226,4999, (auch broche 4378); der zweite broiche 7772. —Vortonig: broichier 1401, 4037 etc. (auch brochies 2340), vgl.

loigent: 78.

45. Vortoniges o ist meist geblieben, sogar in offener Silbe:

novel, seltener nouvel, poons 4163, II, 6657,6758, poes 1345,

301 1, II, 6362, 7462, 7474, 7528, pooir 3828, voloir 7336, voles,

voloit, trover 2064,3576,3240,4178 etc. II, 7669,7952 etc.,

trouvai 6995, trouverent 6564, (mit o: 8369), ebenso prover,

rover (vgl. § 13, vortonig a -j- U) joerent 547, 4659 (jouer 545).

Nach Groeber (Zs. VIII, s. 315 Recension zu Ellenbeck's Diss.

a. a. O. s. 39) bleibt gedecktes offenes o der Vortonsilbe ausser

vor Nasal o; freies offenes o und durch Nasal gedecktes offenes

o der Vortonsilbe wird zu geschlossenem o. Hiatustilgendes i

wurde eingeschoben in joier (jocare) 5625, 5644 (im Reim auf ier).

Vulglat 0 (kl. lat. ö, ü).

46. In offener Silbe ist es o, ou oder eu geworden. Suffix

-orem bald o, bald ou geschrieben, oft beides neben einander:

dolor 1003, 2403 etc., dolour 4136, combateor 4137, combatoeur

4140, sehr oft onor, onour 3525, seror 5204, serour 4 131 etc.

Beim zweiten Cop. ist mir kein Beispiel mit ou aufgjfallen. Beide

haben consequent signor und lor (ausser 748, 1405 : leur), so

dass man wohl für beide die Aussprache 9 annehmen darf. —

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- i 9 —

Suffix-osus wird vom ersten Cop. verschieden dargestellt: i) corecos

750, mervillos 2819, 3828, 5008, orguillos T414, 2) mervillous

1392, 2644, 2906, 2928, 5044, 5512, glorious 3125, 5585, orgui-

llous 1869, 4176,4178. soufraitouse 1682 •

3) glorieus 1 1 4 1 ,1826,

3688, 4696, 5782, corageus 3609, dolereus 3985, angoisseus 5952.

Der zweite Copist hat immer ous : 6341, 6713, 6885, 6899, 7780,

nur einmal eus : gloriex 6993. Wenn wir os — ous setzen (da

das letztere viel zahlreicher ist), so haben wir 17 ous gegen 8

eus (zweiter Cop. 5 ous : 1 eus) dürfen also ous als die dialectische

Aussprache der Copisten ansehn. — Aber wie ihnen eus von der

Iie-de-France oder Champagne her schon bekannt war, so auch das

diphtonpirte 9 (=eu) in eure 539, 2000, 3666 etc., 11,6854,6870,

7 283, 8069 etc., seul 854, 1055, 2 1 1 7, 2654 etc., II 7028, 7975 (seus),

go35,neu (nödum) 1860, 1929, preus 534, 1157, 1475, *5 2 °> l834etc., II, 6275, 6685,(preut) 7052, 7523, 7530 etc. — pleurent 1495,

2385 etc., II, 8071, deus (— duos, — ou) 2801, 2645, 3232,

etc., II, 8071, neveu 293,318,527,779 etc., II, neveut 7635,

queue (cöda) 7031. — Ferner seure (supra) 3884,4557, 5095,

5244, (deseur 1774, 5567), neben sor 2059, sore 3318, 4476 etc.;

suefre 19 14 gehört (trotz des ue, sonst = o) hierher, es hat lat.

o in geschlossener Silbe, aber franz. ist die Silbe offen, daher wie ge-

wöhnlich aus ou : eu. Vortonig bleibt eu in preudomme 1 64 1 , 5 8 1 1

,

5887, 6153, sonst o oder ou : plorant 37 13, 14 10, plour(r)ont 2404.

47. Die possessiven Pronomina lauten immer mon, ton, son

im obl. cas ; zweimal wendet der erste Copist die picard. Formen

an: men 5857, sen 1363.

48. o in geshlossener Silbe mit folgendem Palatal wird zu

oi: joinchie (juncare) 2985, (jonchies 3893), 5613, II, joinchie

8185;— men^oingier 1 1 1 8 ,soinge 3516, soinga 3516; ebenso vor ng

:

poign 3, poig 3475» Poing 2863, 2900, 3007 etc.; einmal pong

3177, II, poings 7299. —49. Vulglat O in geschlossener Silbe. Hier fragt es sich

immer, ob o in frz. geschlossener Silbe steht, oder nicht. In

ersterem Falle wird gewöhnlich o, im zweiten ou geschrieben

und gesprochen. Beide Copisten (die Verfasser lassen uns hier

im Stich) haben durchweg por (der zweite nur 6277 pour), dann

hat der erste immer vos und nos (vous nur 1849, 2280, 5473;

nous 3224, 4263, 4623), der zweite immer vous und nous (ausser

2*

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20

6922, 7 20I > 7323, 7940, 7946 : vos). Dieses ou des zweiten Cop.

findet seine Erklärung darin, dass zu seiner Zeit die Endconso-

nanten schon verstummten, (vgl, d. Cap. Cönsonanten). Auch beim

ersten zeigt sich dieses schon in der doppelten Schreibung von

tot 1098, 1348, 141 8 etc und tout 811, 1601, 167 1 etc., desos (z)

und desous, tos und tous. Am auffallendsten erscheint dies in

Fällen, wo der die Silbe ursprüngling schliessende Consonant schon

früh ausfiel und so die geschlossene Silbe zur offenen wurde, hier

ist auch gewöhnlich ou geschrieben: route 1998,2679, desrous

3991, II, 8628, desrout 660, II, 6640, 7820, escarboucle 484.

Vor dem Ton: espouser 130, 592, 1674, 5604, 5730, 5735 etc.,

II, 7139, (esposee 5856,8499), immer cousin 527,2791,5719,

6195, cousut 8484, couvent 733, 796, 1456, 3813, 4593, II, 8245,

8342, (covent geschr. 650,907,4605,4926,8157,8342), couvine

2159, couvient 1349, 1936, 3481, (covient auch öfter; doch überall,

wo convent oder convine in der Ausgabe geschrieben steht, kann

auch couvent u. couvine gelesen werden s. LXXXVII). — o vor mehr-

facher Consonanz immer durch o wiedergegeben : jors 135, 1458,

1872 etc., II, 6612, 6925, 8002 etc., morne 6276,6564, torne

309, 2606 etc., II, 8370 etc., secors 1508, 2934, 3501 etc.

Ebenso vor dem Ton : monta 156, torner 2704, torna 159, 802

etc., II, tornes 6511,8101, 8216, 8639, 8660, (tournes 7063), jornees

7 116, 7656, 7659, 8097, (journees 8564) retornerent 7065 etc.

Vor Nasalis finden wir sehr oft ou (indem n (m) zur nächstenSilbe

gerechnet wird): poume 793, 1908, 3006 preudoume 1679, (auch

preudomme 1641). — Vortonig : poumier 1859,3075,3821, (pu-

mier 2910, auch pommier 4846), pautounier 1111,5416, oumaje

900, noum<§ 3743, 4311,11,8311, renoumee 5755, Toumas 1379,

tounant 2480, estoune 4090. — Vor Nasalis schreibt der (erste)

Copist oft u: Im Reime auf ont : sunt 5893, (sont 5903), parfunt

5896. Ferner sunt 2815, venderunt 3376, morrunt 2701, raruns

5973» cum 3596- — Vortonig: acumenia 2428,3369, nuncier

5116, 6030, confundu 1461, plungier 3155, rumpue 1902, pumier

2910. Der zweite Cop. hat nur anbruncha 8284, plungies 7535.

Auch in anderen (nördlichen) Denkmälern findet man crupe 1803,

2415, 4079, sus(sous) 5345.— 9+1 w*rd ou m poumon (pulmonem)

2072, escoute 3746,5294 etc., doucement 1 147, 2240, 3766 etc.

estoutie 2349/4307,4797, (estotie 5280) couchier (sehr oft).

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2 1

50. Für vortoniges o rinden wir e: chalengier 1129, 1833,

1853, 2541 etc., (auch unter dem Ton: chalenge 290,654, 5854),

secors 1508, 2813, sejor 1940,3762 etc., volente 5164, 5294,

5304 etc., II, 6398, 6628 etc., (nie volonte) volentiers 612, 1022,

1121,1679 etc., II, 6475,6913 etc. Loenois (aus Loon) 5515,

corecier 1532, 1649, x 7 2 9 etc> (immer e, nur 3989 corrocieV).

Salemon 6206, nen (= non) 2263, 3174, 3399, 4491, 4496, 4744,

4754,5390,5738, II, 7272, (nan) 7371.

Vulglat U (kl lat. ü).

51. Dieses u bleibt im Frz. bestehn. Bemerkenswert sind

die Part. Perf. arestu 1950, 1954 (v arester) consentu 3322,

4381, (v. consentir). -— Ein parasitisches i vor ch in : trebuiche

3458 ;— hurter zeigt einmal die Form huerta 6255, woraus viel-

leicht zu schliessen, dass sich das* ü vor r etwas dem ö genähert

hatte (vgl. Ribuemont §40).— Über fibula= fuble vgl. 39. Beim

zweiten Cop. finden wir ui zu u reducirt in us (= uis) 7305,

7358, (vgl. os = oi -|- s 7266); bei ihm noch die stammbetonte

Form mainjue(nt) 7349, 8360. — Vortonig wird u zu e in acu-

menia 2428, cumenier 3369. (aber communement 4275). — Was

jusque (= in)de usque) anbelangt, so brauchen beide Copisten

es selten (1 : 11, II : 3 mal), um so häufiger seine Nebenformen

:

dusque (I: 10, II 19 mal) u. desq(u)e (I: 31, II 1 mal). Aus

den Zahlen ersieht man, dass dem ersten Cop. desque am geläu-

figsten war, dem zweiten dusque.

Lat. ae.

52. Dieses ae hat dieselbe Behandlung wie e erfahren, in

offener Silbe ist es zu ie geworden, ausser praeda, das gemeinfrz.

proie giebt; also immer requiert, lies, ciel (= caelum) etc.

53. In geschlossener Silbe ist es geblieben (= e): preste

8124, aprester 77,4340 etc.

54. Vortoniges ae ist geworden: 1) zu e: esmer (aestimare)

1 168, aesmee 4796, (acesmer ist ein anderes Wort, 4943), pre-

vost (praepositum) 1029/ 7978, plevir (praebere) 4578 etc.; esle-

escier 2732, 2926, 6031, 7112, 8525, 2) zu i: grigois 2145,

(wegen des g) 3) zu a: aaige 2689 (durch Dissimilation). Aus-

gefallen ist es im Hiatus in eslecier 7557.

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22

Lat. oe

ist wie e behandelt, paine § 33.

Lat. au.

55. Lat. betontes au ist in offener Silbe wie sonst zu o ge-

worden : § 13, parole (paraula) subst. und verb, Pol 4859, loent

2282, 3068, chose, los (laus) 2523, 7306. Gelehrt ist cause.

56. Vortoniges au erscheint wie sonst als e im Anlaut in:

escoute (auscultatum) 2156, 3746, 5294 etc. als o: reposer

3727 : § i3-

Die betonten Vokale,

combinirt mit nachtonigem und secundärem i.

A.

a57. Der Diphtong ai wurde vom ersten Verfasser auch ai

gesprochen; die ai-Tiraden (45, 137, 156, 232; aire : 50) sind

ganz rein. — Der Copist mag diesen Laut (ai) nicht mehr diph.

tongisch gesprochen haben, sondern mehr e (vor dem n sahen

wir dies schon §14, 27 a: preng, vegnent), wie dies vor dem

Ton § 59 besonders hervortritt, vgl. § 16. Der zweite Verfasser

reimt auf ai : menbres 5985 (das er wohl mit etwas offenem e

gesprochen hat) und mes(missus) 5987 • demanois 5 988, solche Reime

ganz gewöhnlich in der Sprache v. Ile-de-France : Archiv B 65,

s. 65 (oi lautl. = oe). Die Form set, die v. 7231 unter e-As-

sonanzen (ausnahmslos = lat. a) erscheint, muss als Nebenform

von sait, als direct aus sa[pi]t entstanden gedacht werden (wie

vet = vädit); cf. Aiol, anm. zu v. 146, v. 150 reimt set mit e.

Ferner bindet der zweite Verf. auch ai mit a: repaire (in weibl.

a-Tirade) 7305 und, wenn die Endung aige ihm auch angehört

(§ 16): saige 731 1, voiaige 7313, prioraige 7314. — Der zweite

Copist scheint dieses ai noch wie ai gesprochen zu haben, denn

wir finden nicht einmal die Schreibung e bei ihm (vgl. § 16).

57. ai (resp. ei) ist entstanden

:

1) Durch Contraction : mais, aitre 3492, aise (*asium) 2249

etc. repaire 7305, 4277, paile 1383, 2145, 35 69 etc - Ferner

sai (sapio) 4283, II 7286, — 2 p. ses 7285; 3 p. seit 856,

1321, 1667, 2632, 3007, 5382, 5987 etc. — set 5458 II (im

Reim: e) 7231; 6274 etc. — vas 1413, vait sehr häufig (dane-

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~ 23 -

ben auch oft va). Der zweite Cop. fast ausschliesslich vait (ismal

gegen 2 va); — hei.t 1276, 5510, 6135, 6l 39- —2) Vor einer gedeckten Gutturalis oder einer Sibilans, die

ein i abgeben: frait (fractum) 2535, 4075 etc. sairement 860,

5839 garais (vervactum) 2778, Saisnes 2740, fait, retrait, eslais>

gaite etc. — palais, belais (belatius) 2446, malvais, tais (tace)

5416; — Beim ersten Verf. noch das rätselhafte irais (2574),

welches auf ein sonst nichtbekanntes iratius zurückzugehn scheint:

s. Ausg. Glossar. — Hervorzuheben ist dann noch aigue (= ak-va),

ein Wort, welches unter verschiedener Gestalt erscheint : eve, eaue,

(Osten) iaue (Champagne, vgl. Foerster Cliges LXI). Der erste

Copist hat nur aigue 106, 357, 473, 478, 3383, 4038, 4045,

S l 93'i (ague 1959). Der zweite Cop. neben aigue 7570, 8417:

iaue 8408, 8483. —3) a einfacher Gutturalis vor einem dunkelen Vokal

:

Doai, Cambrai, Cimai, verai 2595, 2831 (vrai 5014) esmai (ma-

gan); auslaut. Gutt. in fai 2296. Im Reim (v. 939) ntesfai, das

nach den Herausgebern (s. LXX) statt mesfaces steht. Metzke

(Archiv B. 65, s. 91) constatiert in einer Urkunde aus Ile-de-Fr«

que tu fai neben gewöhnlichem que tu faces.

4) taie (Grossmutter) 5238, aus tata, wie cräie aus creta :

Diez, E. W. — Vor dem Ton ist in diesen Fällen meistens (vgl.

unten) ai erhalten;wenigstens habe ich ausser ferai, feroie, nie e

für ai geschrieben gefunden: repairier 3518, baisier 965 etc.

7512, afaities 3998, essaier 4613, 5123, lairai 998, 1633 etc-

lairoie 332, plaisoit 2156, II 6608, faisoient 1302; 2111, 5372flairier 1494, uiaissele 1012, 1190, 3487, aissele 1189,3695,11

taisies 6697, 6828, gaitier 7373, 7443, etc. — In caiens 4804,

II: 7404, 5406 ist i nur hiatustilgend.

57 a. Als dialectische Eigentümlichkeit (Lothr. Psalter XXIX,

Corssen, Pred. über Ezechiel, s. 20. N, de Wailly: Mem. sur

la langue de Joinville, Bibl. de l'fic. des Chartes, 6. serie, B. 4,

s. 38.5 f finden wir oft a für ai (vgl. auch § 16, 19 und 18):

ague (= aigue) 1959, bes. fas (— fais) 122, 1243, 1769, 2930,

3790, -3813, 5078, 5360, II 8254. — Der erste Cop. immer

ancois (= antius -|- ius) der zweite aincois. je has 6171, agu

1442, 2620, 2859, 3902 (aigu 1957), laroi 3623, laroie 1061,

1465, 1755) 45&3 , lassies 5 118 reparier 2562, esclarier 1947,

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— 24 —

6036, 5406 (esclaire im Reim, 1028), aasier 1103, 1354, 3727,

chatis 1222 (chaitis 3854, 5194), hatte 3038, 4707 (rehaitier

1926). Der zweite Cop. nur larmes 6767. —58. Das Suffix-arium ergiebt wie gewöhnlich: ier. Hierher

gehören auch die Substantive, die von dem entsprechenden Infi-

nitiv (durch Suffixvertauschung) stammen: destorbier 1089, I 54 I>

1572, II 6264, 7378, 7387, 8599, encombrier 4752, 4830,

5226 etc. II 6271, 7182, 7399, 7893, 8128; desirier 2609,

3802, 4532, recovrier 69, 1647, 2602 etc. reprovier 2927, 4604,

4747, II 7556. — Der zweite Verf. hat noch adversier 6945. —Aire finden wir in viaire 1017, II 6379, 7159, contraire 1019,

2637. Ylaire (Hilarius) 1023, 2639, essamplaire 2639, II suaire

8505.— Suffix-aria giebt iere: Tir. 65: proiierei323, Baviere 1325,

baniere 1326, chanberiere 1329 etc. — Noch streng von diesen

Suffixen scheiden die Copisten das Suffix-arem: soler (1 19), 1409,

5250, baicheler 314, II 7744, 8272, 8573, sengler 3579. —Vor dem Ton wird wie sonst ier zu er: acerois 2147 etc. Lohe-

rei 6513; aber legierement 1306. —50. Lat. a-f-n-f-i (

e)giebt aigne (ene). Reime fehlen. Der

Copist hat: Champaigne 2045, compaigne 181 5, II 6491, 6510

remaigne 4600 (auch remegne 4595) II Espaingne 6980, 7076,

7600, 81 15, 8177. Vor dem Ton: compaignon 3249 (anch com-

pagnie 5575); mehaignier 4678 (und mehenies 4673), gregnor

2447- Ferner baignier 2729, 3153, II 7520, 7547, 7542, 8294,

engraignier 2703, 3532, 5086. Der zweite Copist schreibt immer

ai, wenigstens ist mir keine Ausnahme aufgefallen. — Eine ge-

meinfrz. Ausnahme macht estrange 411; 1337.

60. Lat. a-f-l-f-i = ail. — Tir. 53 giebt Beispiele für den

ersten Verf. : faille, vaille, bataille, maaille, paille;wegen des

Suffixes aille in pietaille 1066, devinaille 1072, coraille 1073,

commensaille 5923, vgl. Foerster, Rieh. Ii biaus, Anmerk. zu v.

2089. — Zuweilen all geschrieben: § 89. Über den Lautwert

dieses Suffixes = al (nicht ail) vgl. Rom Forsch. II p. 584. —Der erste Copist schreibt vor dem Ton zuweilen i statt ai in tra-

villier 3190, 5298, 6068. — Der zweite Copist schreibt auch

hier immer ai.

61. Die Endung -ationem und -a[n]sionem geben aison: rai-

son 397, 1757, 3360 etc. II 6728, 7319, 8435 etc - desraison

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— 25 —

924. II 7326, anaisnier, maison. — Vortonig wird dieses ai zu

oi: venoison 1561, livroison 1357; oder zu i: arestisons 4164

etc. II 6773, 6794 etc. orison 1309, oquison 3185, II commen-

dison 6761/ acordison 8261, pasmisons 6991. — Facon (392,

399 etc.) geht auf factionem zurück, ebenso retragon 3328 auf

retractionera;daneber^ gelehrt : retracion 630. Gelehrt ist auch:

estration 7325 und Ascention 7334.

Vulglat. e (kl. lat. e).

62. Betontes vlglat. e -|- nachtonig, i giebt wie frz. i: mi

321, 544, 1234 etc. miedis 2647, 4249, mire 2544, 2714, 4759,

4776, 4779 etc. II mie 6850, 6858, 7223, sire 3705, 5352.

Vortonig durchweg i: signor (auch beim 2. Cop.) ebenso millor.

— Vor t-\-i ebenso: pris (bei Verf. u. Cop.) 1220, 1594, 2078,

2516 etc. — Vor dem Ton Schwanken zwischen i und oi: pri-

sier 1430, II 7739, 7760, proisier: 1364, 1638, 2104. 4715,

5216, 5597, 5660, einmal mit Auslassung des i: prosies 4715.

63. vlglat. e -|~ I -|- Cons. geben (bei Verf. und Copisten)

nach franz. Art ein i: ist (exit) 952, 3521 etc. pis fpectus) 253 1;

3181, eslis (exlectus) 5185 II 5682, 5692, lit 1239, 5247, re-

spit 3222. — Lat. ecce, soweit es selbstständig vorkommt, hat

eine abweichende Behandlunn erfahren; durch eis (1991, 2514,

2542, 2598 etc.) wurde es zu es: 1798, 2571, 4377. 5448,

5924, II 6504, 6850, 7693, 7908 oder zu e: 2481, 2672, 2684,

3345 etc. Es wurde dann als ein selbstständiges Verbum ange-

sehen und durch Analogie entstand: estes 4792; 5450, II 8630.

Bei Anlehnungen an andere Worte durchweg i: icel 483, 6090;

6338* 7074 etc. icil 6179, iceste 76, 1206, 3294, 5183 etc. II

6334» 7223 etc. icelui 8523, icestui 7627, ice 983, 1762, 2474,

3867 etc. II 7324, 8049, 8142, i°i (ecce hic) 3984, II 7002,

7131, 7422, 7524 etc. — Etwas anderen Ursprungs ist das i in

itant (1686, 4044 [äitant 3945]) und iteles 493 ; 5858, dieses i

= eccum (oder nach Anderen = aeque). In derselben Weise

entsteht das i in prier (aus (precare). Die stammbetonte Form

dieses Wortes erscheint als pri 866, 991, 2296 etc. u. proi 632,

3954, 5270, II 5768, 7 151, ebenso vortonig: 1360, 1480, 1681,

1749 etc. II 6593, 7088, 7455, 7507 etc.

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— 26

64. S. -erium = ier (reimt mit ie = I -f- a) mestier, roos-

tier. Beim Cop. auch baptestire (— baptesterium) 1569.

Vulglat. e (lat. e, i).

65. Nachfolgendes i bewirkt bei e Umlant zu i: ris, fit (beim

zweiten Cop. auch fist geschr.) pris (pre[n]»i) ving ting, couvine

(con-venium) 2159; 7446, 7471, tapis (tapetium, vgl. Cornu, Rom.

vn> 357)i 1615; II 6439, 6495- — eglise (ecclesia) 1211, 2119,

pis 2537, II 7951, 8292, pires 1562, II 5786. — Ferner ist i

aus e geworden durch den Einrluss benachbarter Consonanten

:

1) nach s oder c: merci, plaisir, loisir, nuisir 4893, Sarrasin 472,

476, II 6488, 6726 etc. — 2) nach ch oder (ausgefallener) Gut-

turalis: marchis 373, 830, 4258, II 7375, 8244, 8381, pais 370,

554, 81 1, 819, 12 18 etc. II 6177, 6189, 6440 etc. sains (sa.

gena vgl. Schuchardt, Vocal. III, 121) i486. — Vor dem Ton

schwankt dieser Laut zwischen i und oi: prison 6792, 8250, proi-

son 6278, mesprison 4865, II 7322, mesproison 957, 4570.

66. vlglat. e -|- G -f- 1 giebt oi: esplois 2473, revois 2472,

3395» drois 2461, 5521, 5554 etc. II 6416, 6583 etc. destrois

55o8, 55491 II 595 2,6l6 °, 6^ 2 4, frois 5947, 5953, 6607.

doies (digita -\- s) 7788 (dois 6167) auch wegen des e (— a in

digita) bemerkenswert. — Vortonig wird dieses oi zuweilen o

:

esplotiet 6345, 7534 (moties 3598, prosi^s 4715). — Sonst oi:

estroitement 6436. —67. Das Suffix-itia giebt: 1) esse (esce) proesce 1378, pe-

titece 380, 5778. 2) ice: justice 7836, 7955; ebenso -itiiun:

prospice 6389, servke 639, 645, 982, 1645, l664, *7°5 ; 3)

ise: amendise 1770, 2274, 2294, 3062, 3427, 3431, coardise

4367 (coardie 2568) und servise 3746, II 6481, 8286, 8334.

Dies ist die gewöhnliche Form des Wortes, obiges service picard.

:

Cliges s. LVII.

68. 1 -j- Gutt. -f- 1 giebt: e -f- 1, inlautend gewöhnlich eil ge-

schrieben (zuweilen auch auslautend): solell 695, orelle 5010,

5015, 5025 etc. aparelle[nt] 85, 314, 3809 etc. vermel 1895,

verraelle 3662. — Ebenso i -\- 1 -f- i : mervelle (s. 585, 971,

1581, 2766, 3794, 4566, 4883 etc. II 6977, 7639 etc. concel[l]

535, 748, 11 54, 1743, 2290 etc. II 6506 etc. cf. anm. zu 60.

— Wenn zu diesem eil noch ein s hinzutritt, wird eis zu aus:

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- 27 —

solaus 3940, 4166, II 7719, vermaus 5894, 5900, consaus 1520;

doch consox 1659, consoux 2013, consout (Conj. v. consellier)

3871: vgl. § 26a. — Vortonig: 1) e + 1 : (es)vellier 3801,

6239, II 8357; 8523, consellier 1519, 1522, 1523, 1537, 1732

etc. (der zweite Cop. anders, s. unten); 2) i —|— 1 : concillier II:

6274,6588, 6903, 7890, 8547, mervillier 1845, 5666,5998. II, 7759,

8 5 1 1 ,aparillier 1238, 1708, 1945 etc. (so auch immer beim zweiten

Cop.); bei beiden ebenso beständig: mervillons, sonmillier (3800)

goupillier 5430.

69. Vortoniges e -f- J giebt oi : loiaument 2653, 4269, 5310,

II, 8255, roiax 5430, roiaume 7041.

Vulglat O (lat. ö).

70. Betontes o -\- i (J) hat durch ue -[- i nach französ. Art

ui gegeben. Reime giebt es nicht. Bei den Copisten ancui 3434,

5988,6162, hui 2652,3813,5405 etc., jehui 4111. cuisse 4832)

5434, nuit 1946, 6609 etc., pui 3902, puis (posco) 354, 648,

686,780,1515 etc. und der Conj. puise, puist, puisent, muire»

(moriam) 765 ete. truis (trovo -j- is) truisent. — U für ui inus (ostium)

73°6, 7358. Vortonig auch ui: apuia 2147, 3053, II, 6301, anui-

*er 1735, 3088, huimais 1637 otc, anuitier 6065, 11, 6296, vui-

dier 1185; 640,780 puissance 2815,4147.

7 1 . Neben jenem ui finden wir auch die (dem Osien eigen-

tümliche) Form oi: oile (oleum) 78, toil (tollio) 4384, toille

(tolliam) 2941,4643; doch wenn wir im Folgenden oi neben uei

(= eui) finden, so wird das erstere wohl rein graphisch und

phonetisch = uei (= eui § 40) sein, im Renaut de Montauban

339» 9> J 6 z. B., reimt despoille mit orguelle (vgl. Rom. Stud.

III, s. 184, anm). In unserem Denkmal sind es folgende Fälle :

erster Cop. acoillent 3854, 5897, zweiter: aqueullent 8347, 8351,

moille 6767. Vortonig: re-a-coilli 984, 1609, 1878, 2071, 2197,

2291, 5287, zweiter Cop. 6581. 7920, 8482, neben re-a-cuelli

532, 5200, zweiter Cop. 7313, 7579, 8169; malvoillance 1782,

vuellance 4158,— fuelles 8441, foillis 6327, 7425, I, 2365; ferner

bruel 6081, bruellet 2546, zweiter Cop. 6327, 6329, 6429, beim

zweiten Cop. auch: brüllet (vgl. puent § 40) 6385,6407,6420.

Beide Copisten haben: orguillo(u)s 1414,1869,4176,4178, II,

6899. Zu oiis 3 191, vgl. § 40.

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— 28 —

Suffix-oriam giebt wie sonst oire: beim zweiten Verf. in weibl.

p — Assonanz: gloire 7344; dann noch 7244, beim ersten Cop.

1838, 3031.

73. Betontes au i giebt oi: noise (nansea), joie. — Lat.

paucum ist bei beiden Cop. consequent poi geschrieben. — Vor

dem Ton ebenso: joians: 31 12, 2391 etc. II, 6574, 6727, 6863,

7621 noisier 8607 choisi 1608 etc. Das i in loigent 2058, 2069,

loiga 1979, loiges 2101 (loges 1483, II logier 7746, 8618)

möchte ich mir so entstanden denken , wie in aproichent § 44(Apfelstedt, Lothr. Psalter, s. XXXV nennt es ein parasitisches).

In cloistre (clatistrum) 8532 wurde i wol durch das folgende s

hervorgerufen, cf. nfr. cuistre (v. custor). In Joifroi (Galfredum)

60, 108, 892, 1693, 4187, 4191, 5056, 5115 scheint i para-

sitisch zu sein.

Vulglat. O (lat. ö, ü).

74. Betontes o -j- Cons. i (I) giebt oi;

Beispiele nur bei

den Copisten ausser essoine (assonierend mit 9) 5882 (broigne

5884, besoingne 5890: auf o reimend): 1) vor n: besoing 1128,

2000, besoign. 337, 1983, 1974, soing 791, 5284, soign 3474,

cointe 3486, 3740. Hierher gehören auch die Formen: doing

907, 4149, abandoins 5377, pardoins 8437, doinst 1513, 2 113,

5142, doint, 478, II, 7607 (vgl. vois, estois, truis, pruis). 2) vor

n: besoingne (im Reim auf o) 5890, 7508, broigne 1902, 2976,

2981, 3284, 5884 (reimt auf o) poignent 61 21, 6509, Borgoigne

789, II/7658, Gascoingne (Vasconia) 7664. — Vortonig: poig-

nant 2514, 2598, 2572, 2603, 2630 etc.; 4559 ; 5919, 11,7752,

8664; 8, 7838, roignon (v. renio) 4174, coignies (cuneatos), ro-

oignie' 1416, 2922, 3043, 3997, II, 7573, resoignier 2592, 2834

5088. — 3) vor st: angoisse 6986- vortonig angoisseus 5959.

75. Vor einer gedeckten Gutturalis, die ein i abgiebt, ent-

steht oi: crois (im Reim) 2149, 57^8, 6413, vois 6822; -- bei

den Cop.: cognois 7510. — Auch wenn vor der Gutturalis noch

ein n stand: point 3576 etc. jointes 8443. — Vor dem Ton:

oi: connoissans 2323, od. i: reconisant 2399. Vor kl tritt Mouil-

lirung ein: genoil 2924, agenoille(nt) 1602, 1757, 5101, 5324.

Vortonig: agenoillier 2593, 5633; 627, verollier (veruculus 8589.

56. o wird durch nachfolgendes i umgelautet: zu ü: suis,

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— 2 9 —

tuit, cuidier (cuit 4922) dui (beim zweiten Cop. neben dui 7022,

8577, auch doi : andoi 6978, 8577) puison 1104 cuivers (colli-

bertus) findet sich beim ersten Cop. i3mal und imal cuvert 1264,

der zweite hat cuvers 8133.

Lat. u.

77. ui ist regelrecht entstanden: 1) aus u -f~1 ' fuison (fu-

sionem) 782, 3354, 3982, ruiste 4429, 4460, 4480. Umstellung

des iu in ruissel 7494. Ein gelehrtes Wort ist confusion 3955.

2) aus u c + Voc. reluisent 2060 reluise 6422, luist 4687 etc.

3) aus u —J- t —j- i : findet sich nur vortonig in amenuisier 2130, 3371.

4) aus u -{- G -f-Cons : destruire (destrug're) 1034, 1242, 1345

etc., luire 11 70 etc. Vortonig auch ui in allen 4 Punkten: pluis-

or (plusiorem) 102,1868,2392, 2671, 3293; daneben plusor 2.

conduisant 2498, reluisant 3241 etc, destruiant 1268. — 5159

finden wir^ fuissies, wo i wohl durch Einfluss des folgenden ss

entstanden ist. — Statt des betonten Pron. lui finden wir beim

zweiten Verf. öfter Ii: 6188, 6725, 6739, 7 OI 7> 779^, 7905*8290,

8319,8325, ebenso für celui : celi 6108. Im Versinnern nur Ii

8330 und celi 6518. Beim ersten Cop. fand ich nur celi 3301.

Diese Vewechselung von lui und Ii findet sich schon im kolands-

liede : v. 9, Müller giebt in der Anmerk. seiner 3. Ausgabe noch

einige Beispiele dazu: Rois (Quatre livres des Rois) s. 74: pur

Ii salver. Foerster, zs. II, s. 167 will hier überall die betonte

Form eingeführt wissen. Dies hält Stimming (Vorlesung über das

Rolandslied, S. S. 1885) nicht für nötig, da jener Gebrauch (Ii

st. lui) verbreiteter war als Foerster glaubt. Die zahlreichen Bei-

spiele in unserem Denkmal zeigen dies schon. Nat. de Wailly

constatiert Ii st. lui und celi st. celui in den Urkunden Joinville's

(Bibl. de l'fic. des Ch. B. 29, s. 349). Ein Schreiber des 14.

Jahrh. brauchte die obl. Form (betont) sogar für den Nom. Auch

in den Urkunden von Aire in Artois weist Nat. de Wailly (Bibl.

de r£c. des Ch. B. 32, s. 297) einige Beispiele nach. In der

Chrest. anc. fr. Leip. 1866, sp. 316 z. 6 pour celi qui mon

•coeur a (sagt eine verliebte Dame) (aus d. 13. Jahrh.). Möglich

ist aber auch, dass der zweite Verfasser lui schrieb und sprach,

aber es mit i reimen Hess. Die Betonung des ui schwankte im

Altfrz. sehr. Suchier (zs, II, 269) führt einen Reim aus der zweiten

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— 3° —

Hälfte des 12. Jahrh. an, Rom. du Mont-Saint-Michel s. 237:

kü: confundi und aus dem Ende des 13. Jahrh.: Floriant und

Florete : lui : Artu. Tobler: Dis dou vrai Amiel, s. XXIII weist

Reime v. ui: i bei Wace und Chrestien de Troies nach. Bei

Ruteboeuf immer ui : u (Metzke, Archiv 65, s. 69); bei Gautier

de Coincy aber : celui : enselvi. — Wenn nun für den zweiten

Verf. die Sache (ob lui od. Ii etc.) unentschieden bleibt, so kannte

der zweite Copist aber bestimmt jene Formen, unbedenklich führte

er sie in die Reime ein, doch sind sie weder in seiner Sprache,

noch überhaupt sehr verbreitet gewesen.

Hiatus.

78. Zur Tilgung des Hialus bediente man sich eines i oder

h: joier 5625,5644, caiens 4804,7404,7406, huier 2178; —rahier 4521, esbahie 3681, Lohier (Lotharius) 752, Loherel 6513,

Pohier (Picarius, Scheler, Jean de Conde I, 609), 2 131, 2167,

3366,5411,6351,6889,7397,7481, (Poiers 2214). — Der Hi-

atus ist verschwunden durch Ausfall des vortonigen Vokals in

eslecier 7557.

2. Im Consonantismus.

L.

79. Geecktes L vocalisirt sich am frühesten vor a: Reime

auf au sind nicht vorhanden. Neben unzähligen Fällen, wo für

al au geschrieben ist, finden sich, besonders beim ersten Cop.

einige mit al: maldit 1137, 1909, malfe 888, (maudis 3550,

maudie 3514) loialment 4269 (mit au: 2195, 2653). Das

1 ist hier rein ortographisch , der Copist sprach also auch

vaut (valt geschr.) 4689, vaura (st valra) 1323 , 2386, 5006

etc., ebenso chevaus 1382, 3208, vasau(l)s. 1 153, 2838, 3218 etc.

Der zweite Copist schreibt hier auch überall au: chevax 6433,

6436,6633,8840 etc., max 6608,8410, senechax 7051,7055,

7682,vassax 7145, vaut 7203 etc. au (= al) vor folgend. Cons.

1, 5959, zweiter Cop. 8186, 8257, 8630. — 1 fallt nach a aus

in as (= a les); dies bei beiden Cop. consequent durchgeführt.

Bei o ist es nicht so sicher, ob 1 zu u wurde oder ausfiel, wir*

finden coutel 1149,4824,4849 etc., tout (tolit) 668,6107, fox

3238,3938, cox 614,4228, aber cols 15 mal, 16 mal colp. Das

Verbum lautet nur colper, einmal cope 4438. Ferner schreibt

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— 3i —

der erste Copist sodoiers 1332,4123, milsoldor 4127. soldoier

1112, soldee 3638, voltis 5213,5450; — dann voux 1858 und

vox 1862, aber immer vost (= volsit) vossent, (einmal vot 4616),

vossisse (volsist 310, 2185) volssisent 5123. Ausser vost und

vossent darf man für die übrigen wohl die einheitliche Aussprache

ou annehmen, so dass die Schreibungen mit ol od. blossem o

rein ortographische Abweichungen sind. — Der zweite Copist

schreibt immer coper (in seinen verschiedenen Formen) und cop,

ebenso votis 6736, 7799, 8188, 8264; dagegen ebenso consequent

die Perfect- und Futurformen von voloir mit au, sowie saudoier:

§ 42. Ferner schreibt er immer molt s. Einl. LXXXVII. —Hier sei auch noch erwähnt chevos 949, chevox 4511,4844,

chevols 2635, w0 dem 0 em gehemmtes i zu Grunde liegt, (ca-

pillos). Auch dieses Wort sprach der erste Cop. mit ou; ebenso

o —J- 1 (beim ersten und zweiten Cop.) = ou: couchier 7237,

escoutes 6444, 7243, 8047, dous 6700, 6870, 7 151, 7277, caillox

8710. Bemerkenswert ist noch bei dem ersten Cop. neben sehr

zahlreichem couchier und estoutie: cochier 5129 nnd estotie 5280.

Nach u fällt 1 immer aus : immer nus ; cf. Cliges LXIX : nuls

:

plus; beim zweiten Cop. einmal nuns 6375.

89. Nach e und i fällt gedecktes 1 (1) bei dem zweiten, resp.

beiden Verfassern aus. Der erste zeigt in den es-Tiraden kein

Beispiel für e, der zweite: mortes 6650, ostes 581 1. — Nachi:

1. fis (vom Cop. fix geschr.) 2077,2515, gentis 80,372,2837,

3840,3216,3605,4224,4264,4740,5202. — Zweiter Cop. fis

7070, 7803, 8143, 8335- 8452, 8477, jantis 7000, 7055, 7059,

7077, 741 1, 7926, 8232, 8341. — Der erste Copist schreibt immer

fix, gentix, auch qex (qes 4396,4411,4527). viex 2253,3444,

4485,5462, (vies 2228 kommt von vetus), tex (telx 1210 tels

1596), ostex, mortex 3872, miex. Schreibungen wie gentils 11 19,

1339» l84i> 3575> 4946, 5716, 5732 sind rein ortographisch, weil

ls = us. — Der zweite Copist kennt beides, er lässt 1 bald

ausfallen, bald sich zu u vocalisiren; tes 8248, (tex 26,43, 6748,

6788, 8233), charnes 7802, fis 8004, 8090, 8221, 8463 (fix 7214,

7388, 7604, 7779 etc.), vite 81 17, sehr oft jantix, vgl. dazu Rom.

Forsch. II, p. 612 z. 6 und p. 616. Beide Copisten schreiben

consequent es (= eis, en les). —80a. 1 wird im Innern des Wortes beim ersten Cop. nie

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— 32 —

verdoppelt, beim zweiten immer: eile 50, 6437, 6862 etc. beÜe

2 4> 7 557, 7592 etc., mollier 24 etc. apelle 54, 6624, 6953.

6992 etc. (22 mal gegen 2 mal. apele 7068, 8266) chevallier

36, 42, 7363 etc. (nur 3 mal mit 1: 6800, 8330, 8454) ebenso

quelle, pucelle, nulle, valles etc. mille, ville, illuec, tollir 8383.

Schluss-1 wird vom zweiten Cop. häufig verdoppelt, wenn das

folgende Wort mit einem Vocal beginnt: cillautre 4, quillat 28,

illest 6351 etc. E. s. LXXXVII; bei folgendem Conson. ver-

stummte 1, der Cop. schreibt es daher auch nicht in nanni 7465, 7947.

81. Mouillirtes 1 (:1) entsteht wie gewöhnlich aus l-J-i-)-Voc.

u. Gutt -|- 1; im Inlaut steht gewöhnlich ill, zuweilen auch il

:

bataile 2491, vaile 728, vailant 4419, 6064, essilier 2108, milor

2448, meilor 2688 pavilion 4871 (pavillons 2035). — ImAuslaut: a) 11: concell 1154, 6199, solell 695, vgl. § 60 anm.,

fill 846, 1820, 3306. Ebenso findet sich gentill 849, 3613, 5708

geschrieben, von dem man gewöhnlich kein mouillirtes 1 annimmt,

doch muss in älterer Zeit eine mouillirte Aussprache existiert

haben, denn sie findet sich noch im neufrz. gentilhomme, ausser-

dem hat sie jedenfalls den Uebergang zum Verstummen des 1

gebildet (nfr. gentil; outil vielleicht ebenso zu erklären?). In den

oben angeführten Beispielen findet sich gentill zweimal (849, 3613)

in Verbindung mit u. vor home, u. 5708 als Reimwort unter

i-Assonanzen. — b) lg: sollelg 5228, concelg 740, mervelg 978,

filg 379, 963, 1054, 1137, 1145. — Gewöhnlich wird in unserem

Denkmal i vor 1 ausgelassen; selten nach a: asalles 8702, asal-

lent 6672; oft nach o; agenollier 2593, 5638 (agenolle 1602)

verollier 8589 acolli 11 54, mollie 3494, immer nach ue : vuellans

2336, vuellance 4158, bruel u. bruellet, fuelles, oel, recuelli etc.

in § 71, vuell 4913. Dann immer nach e: consellier, concel,

solel, mervelles, vellier, vermel u. orelle: § 68. —Mouill. 1 vor s fällt aus bei beiden Verf. : § 80 ; es vocali-

siert sich ausser in den § 80 angegebenen Fällen, immer beim

ersten Cop.; diex, orgiex etc. § 40 vermaus, consaus: § 68;

ebenso beim zweiten Cop : § 40, 68. —82. 1 -f- r behält der erste Cop. (in den allermeisten Fällen)

bei: unter 35 Beispielen nur vorra 5066, vorent 5393. Es hat

diese Erscheinung grosse Aehnlichkeit mit der, wo n r (9i)neben

einander bestehen bleibt, ohne dass, wie sonst, ein Hilfsbuchstabe

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— 33 —

dazwischen geschoben wird. — Der zweite Cop. lässt das 1 vor

r sich vocalisiren: § 42.

82a. 1 —|— f= ff: maßet 6506, 6643, 6965.

83. Nachtoniges 1 ist wie sonst zu r geworden in: apostre

693, 39^5» 4057» 4872, 5 82 7. II 7347, 7407, 8252. Ferner

unter dem Ton, vor einem m: erme = elme 472; vgl. corpe

(= colpe): 7010 Dieu moie corpe u. 8444 Bati sa corpe;

dieselbe Form (corpe) in Guerre de Metz, str. 268, z. 7; dageg.

coupe im Mis. du Renclus, str. 62, z. 3 u. str. 115, z. 10.

85. L. ist durch Dissimilation ausgestossen in afoibloier

3026, 4680. — Das i für 1 in giorious 3125 ist wol nur ein

Schreib- oder Lesefehler.

R.

86. Umstellung des r in: troblent 4522, quernu (f. crenu)

4378, burni (d. brunjan)3526, haubrigier 6936 : aber pormener34o6.

86a. Ein r der vorhergehenden Silbe entwickelt eins in der

nächsten: tristre 4339, (triste 6276). — Wechsel von r zu 1 (wie

erme corpe § 83) in elmin (= ermin) 1554. Dieses 1 vocalisierte

sich vor einem Cons. zu u in aubalestrier 8538, aubres 1299,

(haubres) 6218, (im Glossar verdruckt).

86b. r hat einem l Platz gemacht. 1) Durch Dissimilation

:

contraloies 3977, 4016, pelerin 7284, 7416, 7432, 7526, plevir

(praebere) 4578, flairier (fragrare) 1494. 2) durch Assimilation in

Ollenois (Orlenois= Aurelane(n)sis) 7 36. 3) in temple (tempora) 4834.

87. r ist im Inlaut verstummt und ausgefallen: herbigier

6297, 7301, 8110, 8125; hier sowohl wie in den folgenden wirkte

Dissimilation: penre 3761, (auch prendre 1862, 2280, 3731, 3958,

4244, 57 iq). Der zweite Copist panre 7372, 8549, panrai 7517,

severa , (Futur v. sevrer) 4488, kann auch für severra stehn, cf.

Einl. LXXXII), porpaler 3003, orde (ordre) 7340.

87a. r findet sich beim zweiten Cop. oft hinter ie (= e)

eingeschoben: iers (= es) 6858, 6916, 6962, 6963, 7690, 7691,

7696, 7926, 8089, niers 6724, 7125, 7127, 7151, 7569, 7575,

7762, 7951, 7988, 8596, 8647, 8692. Poitiers 8347, sierge

6443, fiers 7390, (v. foedum, fie 7398). Der erste Cop. hat nur

estrier. — P. Meyer (Rom. VI, 44) führt aus einem burgund. Ms.

noch einige Formen an und sagt, dass dieses r dazu diente, die

Silbe zu verlängern, aber stumm sei. Dies ist mir nicht verständ-

3

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lieh, wie man, um fürs Auge d. Silbe zu verlängern, in verschie-

denen Gegenden übereinstimmend einen so tönenden Cons. wie

r einschieben konnte. Die zahlreichen Beispiele, die Meyer selbst

noch anführt, ebenso Suchier (zs. I, 430) und Foerster (Aiol,

anmerk. zu v. 890 und Yzopet s. XXXVI) machen es wahr-

scheinlich, dass das r auch für das Ohr die Silbe verlängern sollte,

wie in estrier st. estrie, (bei Meyer a. a. O.) Bartelemier st.

Bartelemieu, Mathier (v. Mathaeus) Andrier, pressiours (st. pressi-

ous) orguillors (st. orguillos) etc. Jedenfalls ist hier überall falsche

Analogie im Spiele gewesen, oder Saffixvertauschung, wie in ver-

gier f. vergie' requier f. requie' (Yzopet XXXVI). Uber den euphon.

Wert des r vgl. noch Mussafia, zs. f. österr. Gyran. 1877, s - 203-

Bemerkenswert is auch, dass solche Formen mit r (ausser estrier,

Poitier) bes. in nordöstl. und östl. Texten bemerkt worden sind,

(Aiol, Durmart Ii Galois, Dial. Greg. Sermo de Sapientia, Lyoner

Yzopet, bürg. Ms., Gir. de Rossillon (cler st. clef),

87b. Die Verdoppelung des r ist bei beiden Cop. sehr un-

regelmässig. Der erste hat neben fast alleinigem terre (tere 1094)

gewöhnlich guere, ferner Aras, biere, piere. Der zweite dagegen

Arras, bierre, pierre (6575, 7586, 7590 etc„ 8343, 8485, 8501

etc., 8^10), aber wieder guere 7209. guerier 7761, (guerrier 8558).

Der erste Copist schreibt fast immer auferrant (ausser 2415, 2485,

3310, 8 mal: rr), dagegen die Futurformen oft mit einfachem r:

chara 3874, morai 5083, moras 5276; 4772; 5201, orez 1135,

1637, verez 1346, verai 1753, gara 5501; 2734, dura 5183,

poront 4579, pores 404, 3010, 3479 etc. Daneben und ebenso

oft mit rr. Der zweite Cop. schreibt sowohl auferrant wie jene

Futurformen immer mit rr, ausserdem noch repairrier 7114, ocirre

8010, ocirrent 6751, norrit 6341, 6454. 7605, 8145, (norir 6280,

7616), Guerri 8405, immer correcier, Sarrazins, arrabis, guerre-

doner 7977, marris 6309, 6401, 6523 etc.

M.

88. Die latein. ConsonantenVerbindung mn ist durch Assi-

milation zu mm und dann zu m geworden: ferne (fame), qme

(hdmme beim ersten Cop. häufig: 900, 1641, 2564, 2739, 4059,

4405 etc.), darhe ; vor t oder s wurde dieses m zu n : dant (dans),

wo t jedoch etymologisch nicht berechtigt ist. — Auffällig ist bei

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— 35 —

dem zweiten Cop. die consequente Schreibung mit n vor einem

Cons., sogar vor m: sonmes 7094, 7608, 7952, 8290, volonmes,

avonmes (§ 13) conmence 6372, 7 171, 7256, 7402 etc., fenme

8324, (temme 6584, 7559, 8251, weil fame gespr.), conme 7370,

(comme 7307), conment 6548, 7641, conmendement 7649, 8102,

8139, 8187, enmener ronpre 7995, onbre 6544, immer (re) sanbler

6744, 7167, 7168 etc., chanp 7897, 8558 etc. Diese Schreibung

hat offenbar den Zweck, die Nasalirung des vorhergehenden Vo-

cals anzuzeigen. Nom, hom und com werden daher regelmässig

vor s oder am Ende des Verses mit n geschrieben;dagegen vor

einem Vocal mit m: nomes 7726, om a 7407, (Mahom et 7959,

8054, Mahon -(- Cons. 7674, 7928, 8094), com 6519, 6884,

7620, 7763. Ganz anders verhält sich hierzu der erste Cop.,

er behält nicht nur zum grössten Teil das etymologisch geforderte

m bei, sondern er schreibt vor m und p auch statt des ursprüngl.

n ein m: tarn (= tant) poing 4042, em (= en) 380, 560, 1662,

2815, 4233, 4665, 5122, vor m: 544, 590, 1202, 1234, 1584,

2264; im Reime auf on schreibt er oft hom: § 41.

89. In die Consonantengruppe ml und mr ist, wie gewöhn-

lich, ein euphonisches b eingeschoben: sanble (§ 36 und 88),

chanbre 655, 1103. Zwischen mn: p : solempnite 157 1. Durch

Dissimilation wurde m zu b: marbre 15.03, marberin 6545.

N.

90 Palatales n entsteht wie gemeinfrz. aus n, ng, n (d) -]-

i -f- Voc, gn. Dieses n wird beim ersten Cop. meistens durch

gn, beim zweiten durch ngn ausgedrückt: § 59 und 74. — Bis-

weilen wird beim ersten Cop. dieses n vor i durch n dargestellt

:

mehenids (v. mehaignier 4678) 4673, sainier (signare) 3379, (sai-

gner: 36a), esparmer (espargnier 4616, 4841, 5063, 5068) 2912,

3149. — Der palatale Laut ist ganz aufgegeben in asene (ad-

signatum) 3750, aus den von Foerster (zs. II, 167) angeführten

Gründen glaube ich, dass die Verfasser rene gesprochen haben

statt regnd, wie die Copisten immer schreiben : 377, 7698, 7656,

vgl. hierzu die Ausführungen Pohls in Rom. Forsch, II, p. 597.

Umgekehrt ist n palatisirt in moingnes 7316, dies geschah zuweilen

nach i, (oder durch Ausfall eines s vor n) : Lyoner Yzopet § 90.

So vielleicht n in gregnon 6783, figna 6340, 6543. Sollte dies

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auch der Fall sein in cognois 7510, cognust 6302, 7683; 6496,

7 io 5> 7375, 7486, 7489? Die Frage ist wohl zu verneinen, es

ist dieses gn jedenfalls eine Spur von der bes. im 14. Jahrh.

stark auftretenden Tendenz, etymologisch zu schreiben, cf. Jahrb.

VIII, s. 30. Beim ersten Cop. ist nur viegnent 6033 anzuführen,

gn statt ng ein mal in desregne (f. desrenge) 6426, (2380 desrengent).

91. Nr bleibt unverändert, es wird kein d eingeschoben:

venredi 1142, (devenres 1571), tenre 1505, 3691, tenrement 3382,

II tanrement 6766, Ii menres 2076, (mendres 2077), semonre

405, remanra 1292, 5726, 5809, 6145, remanres 4304; die Futur-

und Conditionalformen von venir: venra 51 12, 5880, 62 11 (re)

venront 581 1, 6210, II devanrai8247; 6825;— venroit 1084, 5718,

5722.— Ebenso tenrai 4008, 4556, 5023 ; 5005 ; 127, 2052, 2075,

5608; 4657,4875,4984; 737 tenroit5593. In derselben Weise die

Futur- und Conditionalformen von doner und mener: donrai 2284,

2928, 3070, 5871; 764, 776, 2123, donroie 4640, 6001, II 6538,

6734, 6926, 7681, 8275; 63 2 3> 7609; 6432; 7225, 8037, men-

rai 1775, 6053, 6248, II 7464, 8158; 7550; 7278, manroie

7338. Der zweite Cop. ausserdem noch: genre (= gendre) 672 1,

engenret (Part.) 8004, 8066, 8204, 8508. — Ausnahmen giebt

es sehr wenige, ausser dem oben erwähnten mendres, noch tendra

2884, maintendroit 5781, revendrois 6790; einmal sogar statt

organischem ndr: nr: vanras (vendras) 6865.

92. N ist zu r geworden durch Dissimilation in: arme 151 2.

25 6l > 3!5 6> 4882, 5857, II 6643, 6 772> 8446, 8653, daneben

ame 2924, ordre 7339, (aber ordenee"3 2 7 4) (dafür orde cf. 87)

damredieu (beim zweiten Cop., der erste hat damerdieus): § 41.

92 a. N hat sich dem f assimilirt in effant, welches die bei

weitem häufigste Form beim ersten Cop. ist, enfant nur 62, 78,

81, 83, 124, 347, 515, 2719, 4418. Die Form enffans 3938scheint zu beweisen, dass n nur graphischen Wert hatte, und dass

der Copist immer effant sprach, aber ebenso regelmässig schrieb

und sprach er enfes 125, 305, 353, 956, 1460 etc., da hier die

erste Silbe betont war. — Der zweite Copist hat nur en- od. an-

fant: 39, 45, 6609, 6613, 7113, 7212, 7291 etc.

93. N wird eingeschoben in ensi (immer beim ersten Cop.

u» ensement 3548). Der zweite Cop. hat durchweg ainsis. — anste

(sofern es nach Foerster von hasta kommt) 2510, 2882, 2910,

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2957» 2977 etc > II 6637, 7755. — Wir finden dann beim zweiten

Cop. : nuns (= nus, nuls) 6375 und prinrent (— prirent) 7092,

vgl. noch Foerster, Chev. as II, epees, s. L (prinse, print, prin-

sent), Lothr. Psalter s. XL, Guerre Metz s. 443.

94. Vor Contonanten fiel n gewöhnlich aus: mostier (mou-

stier 80, 3138, 6036), mostre 1342, 3967, 5844, 4215, (auch

monstrer 852), tourt (Conj. v. torner) 798, desrout 660, couvine

2159, der zweite Cop. allerdings convinne 7446, 7471, aber es

kann auch couvinne heissen : vgl. Einl. s. LXXXVII, espouser

(schon vulglat. spösus) immer ohne n. Schwanken bei couvent

(650, 733» 796 > 907, 1456, 3813. 4593 etc.), daneben auch

convent 123, ebenso convenant 2665, 44 10»

(covenant 4281,

covint (häufig) neben convint 3570, 374°- — Der zweite Cop.

hat immer mostier, aber auch immer monstrer : 7622, 7763, 7854,

7985, 8020, 8206, 8463, ebenso fast nur convient und convint

(covant 8157, 8342); convinne schon obenerwähnt. Eine Eigen-

tümlichheit, bes. des ersten Cop., in der Endung der 3. p. pl.,

wenn diese nicht betont ist, das n auszulassen, wird bespr. in

d. Einl. LXXXI.

95. Wo einfach n zu Grunde Hegt, beibt es der Regel nach

beim ersten Cop. ; doch daneben, bes. nach o vorwiegend doppeltes

n, immer onnor, (nur 3 mal onor 764, 1674, 4918), fast immer

mit nn die Formen von donner (done 365, 1382; 1004, 1024,

5335 etc., conneu 333i,connut 1818, gonnele 1757, 4688, sonne

1806, sonnerent 1280, sonne 5099, neben bonne auch bone 5325,

4335, 45 TO> 4354i 5 OIO )> honni 6 7°, 746, 825, 979, iooo,

3197, 4583, 4584, 4888, 6200, nonnains 1241, 1542, 1300,

1574, 19 10, 2196, 2244, (nonains 1480, 1490, 2023), pauton-

nier 1400, 6042, confanonnier 1039, (confanonier 2718), sablonnier

2925, folonnie 1893, 4903 etc. Nach u nur in unne 3542;

nach i öfter nn: painne 498, (paine 97, 315), avainne 1358,

amainne 3817, 2078, (ämaine 2138). Der zweite Copist dagegen

schreibt einfaches n nach o : so alle Formen von doner, honorer,

ferner sonent 6679 etc, (sonnant 8399, 8684), corone 8217;

fast immer nn nach e, i: pennes 8055, (penes 7721), hennir 6437,

Orquennie 8194, (aber vienent 8267, 8579, 8626), painne 7078,

7687, 7811, 8164, mainne 6268, 6524, 7111, 7292, 8146,

8178, Sainne 6492, immer fontainne (8 mal, fontaine 7271, 7278),

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convinne 7446, 7471, alainne 8508, quinsainne 8521. Nach u:

unne 6259. Apfelstedt (Lothr. Psalter s. XL) sieht in diesem

nn ein n, was Neuburgund Regel ist, ct. moingnes und viegnent

:

§ 90. — Schreibungen wie taign, taig (§ 23a) pregn (§ 25a) be-

soign, soign (§ 74) sollen nach Mebes (Die Nasalität im Altfrz.,

Jahrb. N. F. 2, s. 385 ff) dafür sprechen, dass auslautendes und

complicirtes n wie das mouillirte n in Espagne gesprochen

wurden. Diese Behauptung ist richtig, wenn die von Mebes auf-

gestellte Umschreibung des mouillirt. n-Lautes die richtige ist, nach

ihm ist n = ng -(- einem kurz gesprochenem i.

T.

96. Der zweite Copist behält sehr oft das etymologische t

im Part. P. bei: oft 6381, veut 6668, servit 7034 etc. Daneben

auch Fälle, wo dieses t etymologisch nicht berechtigt ist: Savarit (Sava-

ricum) 8104, ausit 8354, matinet64i2, 7396 8295, 8358, 8530 etc.

Aus diesen Beispielen ersieht man, dass auch in denen mit ety-

molog. t das t stumm war; cf. Einl. s. LXXXIX. Nach n, it

s verstummte ebenfalls auslautendes t, beim ersten Cop. : tan 2090,

2551, 4040, daher einmal tarn 4042, pren 1760, 1782, aten

2625, je per (v. perdre 2369, 6002, ver (t) 476, 5567. Unbe-

rechtigt steht t in iert (heri) 3633, etymologisierende Schreibung

in ent (inde) 1341, 2303. 2319, 3962, 5332 (es rindet sich so

geschr. vor Vocalen und Consonanten). — Bei beiden verstummte

Schluss-t in ces (= cest) 4769, II 8122, 8645, c *s (— c^st)

476, 3957, 4022, 4333, 4489, 5578, 5930, (4334, 4489, sogar

ci(s)t) II 819, 6772, 6826, 6898, 7365. Der zweite Copist

schreibt Schluss-t nicht in fier(t) 7874, avan(t) 7515, sain(t)

:

von den 35 Fällen, in denen t v. saint fortgelassen wird, kommen

29 auf Saint Quentin, ausserdem noch Sain Cloot 6326, 6353

und Sain Gile 6672, 8096, 81 15, 8723. Saint Quentin finden

wir nur noch in v. 6275, 6342, 8237. Durch etymologisirende

Schreibung wurde t eingeschoben in tantdis (tamdiu) 7523.

97. Auslautendes t -f- s scheint bei beiden Verfassern s zu

ergeben. Die Beweise hierfür sind beim ersten Verf. nicht zu

zahlreich: Zu der as-Tirade das noch zweifelhafte mas 137 1 ; in

den vielen ez-Tiraden remez 5487, das nur remes lauten kann,

mehr Beispiele in den is-Tiraden: pis (pectus) 2531, petis 2798.,

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(petiz 1873) ef5ns (exlectus) 5185, fis (fidus) 3870, 5527, aatiz

(vom Cop. so geschrieben) 4737. Zu der us-Tirade, wo alle En-

dungen = 111 + s smd> wlrd us gesichert durch Jhesus 3904.

In einer os-Tir. (117) finden wir mos (= mot -f- s) un<* os

(= ost -f- s). Beim zweiten Verf. können wir ts = s annehmen,

da der zweite Copist diese Schreibung consequent zeigt. Der erste Co-

pist giebt dieses ts bald durch z, bald durch s wieder. Die Tiraden

auf ie's sind durchweg mit s im Auslaut geschrieben. . Fast regel-

mässig aber schreibt er z in den es-Tiraden. Doch ist mit Wahr-

scheinlichkeit anzunehmen, dass er nicht mehr ez aussprach, son-

dern es, denn wir finden bei ihm das z an Stellen, wo es garnicht

berechtigt ist: remez 5487, faiz (= fais) 1305, doiz (debeo) 5640,

feiz (feis im Reim 2797), 2802, 5941 etc., hastiz (hast -\- ivus)

1228. — Fürsts: s: os (im Reim) 2382, zweiter Cop. 7805, 8572,

8597, ces (— cests) 3197, 4168, ses 2799, II, 7084.

97a. t r = rr: errer 1161, 1573, 6063 etc., II 6630,

erranment 47, 5356, 6835, 8667, eranment (wo das doppelte r

in der Schrift vereinfacht erscheint) 7292, larron 6287.

97 b. Die merkwürdige Erscheinung, dass intervoc. d (t)

zu r wird, wird in unserem Denkmal vertreten durch mire (me

dicum) cf. § 62. Eine Erklärung derselben versuchte Tobler-

Rom II, 241 —44. G. Paris, Rom VI, 129 und Havet, Rom.

VI, 254 f. Letzterer scheint mir das Richtige getroffen zu haben:

d = dh (<$) = r. Im 2. Teil haben wir noch die Form mit

ausgefallenem r: mie (cf. § 62), vgl. zs. III, p. 477.

S.

98. Lat. s. und c (t)-i-Voc, also auch die Combination sc

geben im Frz. I ein und denselben stimmlosen s-Laut. Derselbe

wird aber in unserem Denkmal veschieden dargestellt:

a. im Anlaut

1^ Vereinzelt durch s (sonst c) : erster Cop.: sa (?= ca)

1985, ses (= ces) 2799, si (=*= ci)5°7i» se (= ce) 1851, 5068,

sox (= cels) 4163, 4171, 5121, 5513. 5541, 5887, 6ioi,siax

817, seier (celer) 5579, siel (ciel) 3127. Zweiter Cop. : se 7213,

7410, 7465, 8030, 8227, sei 6329, sil (eil) 6464, si 5642, saiens

7404, 7406. saint 6938 (caint). 2) durch c (dieses schon häufiger,

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sonst s): erster Copist ces (= ses) fast immer: 156, 335. 556,

719, 818, 949 etc., ce (= se, pron. refl.) 1221, 1453, 1566,

1723, 1996, 2354 etc., ci (si, pron. poss.) 41 27, ci (= si, conj.)

2010, 2878, ce (= se, Conj.) 734, 797, 1090, 1158, 1257,

1417, 2264 etc., ciens 1321, cerai (— serai) 5194, cers (= serfs)

1193, 5691, cens (= sens) 1205, 1378, 1696, 3192, 4633,

4905, cele (= sella) 141, 500, 1007, 1179, 1773, 2300, 3410,

3483 etc. Zweiter Cop. ces 6266, 6824, 6847, 6849, 6880,

6895 etc., (ses nur 6583, 6887, 7398, 8190, 8365, 8477, 8556);

ebenso häufig ce (pron. u. conj), ci (pron,) 8452, 8524, ci (conj.)

6546, 6567, 8066, 8687.

b. im Inlaut.

1 ) Zwischen Vocalen : a) durch ss : abaissie 1 7 2 1 , conoissans

etc., zweiter Cop. issi 6264, contesse 6688, 7647, 8391, 8451,

prioresse 7401, proesse 6770. ß) durch sc: manascent 1416,

descaignent 1546, redresce 3695, 5235, (redrese 3682) forteresce

3624, 4124, escera 1077, 4263, (essera 3220, 4018 etc.), con-

tesce 5251, essauscier 1125, (sorhaucier 1127. 3024, sorhauchier

1082), proesce 1378, 4224 etc. Zweiter Cop. escillet .7008,

7 66 5> 793 r > desci 6493, 6517, 6543, 7818, 7854, 8349, escil

8717, lasce 6937, 6943 (= lacer), leescier 7112:^) durch c (neben

s) : petitece 380, 5778, chauces 4318, fauce 2960, 3972, face-

(nt) 928, 4158 etc., groces 4227, foces 1432, (fose 1435) (cor"

cier 1363, 2275, 3063 gehört zu No. 2), zweiter Cop. chauces

7101, faucer 6970 etc. — 2) nach Consonanten : durch c: corcier

(s. oben) arces 1574, 1646, 1738, 1747, 1888, 2017 etc., II

7713, despencier 1920, 4859, chancon 2041, 2448, arcons 640,

(arson 3975). Der zweite Copist hat: chancon 12, 13, 7653,

8263, forcener 6378, 8503, immer conciller : 6274, 7890 etc,

(§ 68), porcive 7654, ancement 8677, pencent 6406, 6952, pencer

7976, 8022, 8028, 8033, 8431, pences 7549, pencif 6563, —oder s : acordanse 1746, raenson 4069, (raencon 4173), concel 1091,

1520, der erste Copist immer consellier, tronson 4453, commen-

saille 5923, garsons 4165, (garcon 3988), Barselone 790 etc.

Zweiter Cop. ensainte 8124, ainsois 7719, (sonst immer mit c),

commensa 7256, 7548, 8173 etc., etc.

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— 4i -

c. im Auslaut.

i) Nach Conson. durch c: sanc (= sens) 6623, 8644, (vgl.

Ausg. Glossar). 2) Nach Vocalen, durch z: faiz, feiz : § 97.

II. Stimmhaftes s wird vom ersten Cop. durch s und z wieder-

gegeben, doch hat s den Vorzug, in gewissen Worten (von Eigen-

namen stammend) schwankt er zwischen beidem, so finden wir:

Carabrezin 107, Cambrezis 519, 561, 2458, 2526, Cambrizis

37i, 533» 646, 657, 714, 807, 2521 etc., Sarrazin 472, 476

etc., bezant 683, parizis 2648, 5537 etc., palazin 104, jazerant

3706, 4041, 4050 etc., doch auch: Cambrisis 1585, 2242, 2657,

2796, 2808, 3588, 3606, 3850 etc., Cambresi(s) 1216, 1524,

1606, 2082 etc., besant 914, 3717, 4069, parisi 1618 etc., pa-

lasin 1599, 1502, jaserois 2136. — Von anderen Worten kommt

vereinzelt mit z vor: nazel 483, 4086, (nasel 4546), blazon 2508,

3971, (blason 2959), refuzer 3069, (refuse 1779 etc.) — Beim

zweiten Cop. habe ich diese Vertauschung von s und z nicht ge-

funden. Im Allgemeinen aber herrscht bei beiden Copisten, wie

wir gesehen haben, eine grosse Willkür in der Darstellung des

s-Lautes. Dies zeigt sich auch noch darin, dass bes. vom ersten

Cop. mit Vorliehe s geschrieben wird, wo ss stehn müsste: niese

3718, 3808, 6071, (messe 3250, 4223), mesires 1382, 1537, me-

saiges 2377, 5815, vasal i960, 2054 etc., (vassal 2317), pase-

rent 3881, pase 3779, 3783, eusies 4572, ^333> 3 64 2> 57 8o "i

1421, peüse 6176; 664, fuse 1203, 4732, 5228, 5651, 5762,

isent 4839, deüse 2952; 5227; 6238, laisa 2062, 3194; 3°7 ;

2473 etc -> Soison 5895, (Soisson 2036,' 5892, 6017), felonese

3677, laisier 5250, richese 1690, abeese 1457, isi 6104, redrese

3310, mesaiges 5627, 5651, 5655, 5657 etc., maisele 3487 etc.

Beim zweiten Cop. habe ich diese ortograph. Eigentümlichkeit

nicht gefunden, doch schreibt er s für c in resoit 8447, resut

8442, forse 8654. Umgekehrt finden wir vereinzelt ss für s:

saissi 2963, baissier (baisier ) 2550, taissent 6192, loissor 4 I2 5;

beim zweiten Cop. poisse (poise) 7460, baissie 8195.

98a. s -f f = ff: effrois 3392, 3393, 5512, 5516, (esfrois

711, 2455, 2476), deffendant 5976, 6528, 8340, 8709, wo ff

= s -f f und dieses s eingeschoben ist, desfendre 929, 1297,

1391 ;überhaupt nur in dieser Gestalt beim ersten Copisten, der

zweite hat ausser 6458 immer die Form mit ff. — Efforciement

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— 42 —

6847» (esforce 7342), meffais 8078, deffier 8320, effrae'e 8495.

Ebenso s + r = rr: erragier 1474, 3028, 3554, 4003, 4218,

4664, 4681, (esragier 1086, 3993, II, 7866).

99. Der Buchstabe x findet in unserem Denkmal nur Ver-

wendung als graphisches Zeichen für us: clox 511, vox 1862,

prex 3441 etc. Zuweilen hat der Copist, nachdem er schon u

geschrieben, dies vergessen und dann noch ein x dahintergesetzt

:

oux 940, 2432, 5550, biaux 1006, voux 1858 etc. x = lat.

ks wird zu s (ss): Saisnes 2740, eslais 2572, mais(s)el 2765,

paisson (paxum) 1398, bois 6355, 7425.

101. Zwischen s und r wird kein t eingeschoben, man Hess

vielmehr das r ausfallen und erhielt so: fisent 57, 1254, 1390,

1454, 2101, 3501, 3543, 4495,4765,5130, 5431, (fissent 3476,

3542), prisent 58, 311, 575, 1289, 1402, 1924, 2095, 2096,

misent 1496. — Sonst ist nach franz. Art zwischen s und r ein

t eingeschoben: acroistre 4538, II 7390 etc., estre 1762, 1890

etc., II, 6397, 7233, 8605. — Wegen des manchmal dazwischen

eingeschalteten e vgl. I B 8.

102. Inlautendes s vor Consonanten ist verstummt und daher

oft auch nicht geschrieben: hatis 815, 834, (hastiz 1228) hante

3821, graile 5099, (graisle, gracilem 2474), prit 5135, art 1525,

am Ende hinter Conson. : ver (enver) 1502, 2205, 2316, 2717,

2749, 2849, 3837, flor (im cas. obl. pl.) 2696, feron 6774,

6787, saluon 6288, diron 6282, donon 6757, cor (s) 38 ; hinter

Vocalen: crucifi 1139, taP* (dessen s wie auch beim vorigen

Worte stammhaft ist) 1615, onque 7467. Daher s oft unberechtigt

eingeschoben: erster C©p. hat resne 2679, 4202, cisnes 1560,

(der zweite eine 7251), desfendre 929, 1297, 1391, vgl. § 98a;

zweiter Cop. : respasser 8058, aist 6364, 6478, 6483, 7127, 7344,

8062, 8425, (der erste Copist immer ait), chaslaingier 7745,

8581, 8606, 8617, mestre 8127, 8566 etc., envoslespe 46, dust

7135, ostroiier 6354, 6365, 8127 etc., pasmier 7365, 7404, 7459,

prospice 6389, sosmiers 6926, 8084 etc. — Oft wird den ersten

pers. sg. ein s angefügt: beim ersten Cop. nur je fus 2647, (sonst

immer fui) ; der zweite Copist thut es oft: vis (vidi) 24, .6909,

6910 etc., prois (v. proier) 7 151, fuis 7061, dis (Imper.) 6288,

7463, pos (poi -|- s) 8134,0s (= oi -4 s) 7266, ostrois (2 mal nicht-

etymolog. s) 6700, 6814, dois 6359, 7891, vois (video) 6904, 6919.

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— 43 —

K. Qu.

103. Diese beiden Buchstaben hatten afrz. denselben Laut.

Vor a im Anlaut und hinter Consonanten im Inlaut ist k zu ch

geworden. Hiervon weicht nur ab: cose 1496; ebenso cascuns

5046, welches in Betreff des anlautenden k-Lautes genau das

Verhalten der oben bezeichneten Gruppe zeigt. Umgekehrt ist,

wo k gesprochen wird, ch geschrieben: revischus 3906, venchus

2 777» 4488 vainchue 12 15. — Statt des üblichen ch finden wir

g in diemainge 7173, saige (= saiche) 731 1. ^Umgekehrt beim

ersten Cop. statt des g: ch: charchier 3573, 4535. Dieser Wechsel

zwischen g u. ch scheint sehr verbreitet gewesen zu sein : in der

Sprache Joinville's (Bibl. de l'fic. des Ch. B 29, s. 428), wie

auch in der Ile-de-France ; Ruteboeuf u. G. de Coincy bieten

Reime mit charche (charge) domaiche (domage), venche (venge)

:

cf. Metzke, Archiv 65, s. 82. Intervocales k vor u: agu 1442,

2620, 2859 etc > sk = ks : § 99. sk blieb im Franz. in evesque

6 3> 59» 73 etcv vesqui 28. Da der Laut k mit dem des qu

(= q) susammenfiel, wird öfters q für k geschrieben : beim ersten

Cop. immer quens quidier u. seine Formen, mesqerrez (v. cro-

ire) 5157, escheq 4163,6154, clerq6i89, esquier 1467 etc., quer 650,

759>7 78, i449> 1462,1696,2938,3689 etc., requlerent3357, chas-

quns 1821, qeurent 1722 etc irasqu 1449 (irascu 4459, 4625) —qu für c : oquison 3 1 8 5 , quernu 4378, queus 5 8 2 1 . Es ist daher zweifel-

haft, ob requeillis 5 200 = recueillis, oder= rekeillis ist, (vgl. avec und

veve : § 40). Trotz des häufigen q = c schreibt der Copist doch

immer car. — Der zweite Copist schreibt wegen des folgenden

e: qu in aqueullent 8351, aqueulli 7313, 7 579, 8169. 8450,

esvesques 6835, sonst immer c, wo der ursprüngliche k-Laut bleibt.

Für lat. qu finden wir beim ersten Cop. selten qu geschrieben,

öfter q, zuweilen c: ce (= que) 1204, c' (= que rel. u. conj.)

582, 1763, 1891, 1926, 3324, 3496, 6125 etc. Der zweite

Cop. schreibt ziemlich regelmässig qu, garnicht einfaches q, aber

häufig c: 7105, 7203, 7407, 7486, 7566, 8019, 8252, 8342, 8714.

104. k im Auslaut löst sich auf oder fällt ab: fai, poi (pau-

cum) leu, feu, di, (die). — Wo es geschrieben wird, scheint es

nicht verstummt zu sein: avec, illuec, flanc 3782, blanc 4076,

(aber hauber 2728, 3706). Vor s fällt es aus: flans 4077, esches

657, 1583, haubers 607, 2497, 2754, 3099, blans 2497, 2754 etc.

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— 44 —

G.

a 105. Beim G. zeigt der erste Copist ein ganz picard. Ver-

halten, er schreibt für den palat. Laut vor a, o, u fast immer g:

forgugier 926, gavelos 2379, gogleor 4144, gambe 4673, 5249,

borgois 1413, 1463, 1439, 3528, 3857, 3907, fast immer goie

517, 1127, 2067, 2114, 2657, 2987, 3004, 3211, 3218, 3317,

33 2 5> 3409 etc., goi 92, 528, 3459 ;2 39*> 3n 2

> 3499» 4°68,

goue 1585, segornent 5547, Angou 863, changast 4327, mengast

1922, rengast 3269, damaigant 2692, chalengant 516, 918, ser-

gant 1066, 1776, 1920, 3536, 4067 etc., vengance 1754. 3 141,

(venjance 1788); ferner für den gutturalen Laut g einfaches g vor

e: longement 986, 3114, 3209, 5124, (longe(s) 1191, 3630,

•5999, (longuement 518, 643. 972, longues 5054). — Doch wir

finden neben diesem g auchj

geschrieben, (allerdings seltener):

ausser d. oben erwähnten venjance auch joie 541, joue 657. joe

3749» 3757» Üoe")j jougler 6087 u. jougleres 2443, immer jovenes

(jovene) 125, 1448,2515, 2689 etc.. ju'is 5203, 5342, juise 5322.

joste 4418, joier, (jocare) 5625, 5644 etc.; dann schreibt er gu

regelmässig in guenchir n. guerpir, sowie deren Nebenformen.

Wenn nun auch in der Schreibung dieses guttur. g (= frz. j.)

in picard. Texten grosse Unsicherheit herrscht, (vgl. Dial. des

Ponthieu: Bibl. de l'fic. des Ch. B 37, s. 15 jour, s; 16 jou,

s. 25 jugeurs, s. 26 jorneus etc.; Suchier, Aucassin et Nicol.

No. 12), so werden wir unserem Cop. dennoch die picard. Aus-

sprache g (st. d. frz. j) absprechen müssen, da seiner Mundart

die Erhaltung des lat. k-Lautes vor a, o, u nicht eigen war, (§ 1 03).

Ausserdem finden wir g st.j(vor a, o) in Denkmälern geschrieben,

in deren Mundart jener Laut—j (dem ital. palat. g) war, z. B. in

Urkunden aus der Ile-de-France : Archiv B 65, s. 81, aus De-

schamps und Cuvelier (beide im 14. Jahrh. lebend) : Jahrb. VIII

s. 38; im Guerre de Metz s. 475, Glossar unter g : borgoy, chain-

gour; in Bibl. de I'fic. des Ch. B 29, s. 427. Der zweite Cop.

schreibt vor a, o, u immer j. Auslautendes g wird zu c: sanc

1144, !73o etc., bore 1005, 1195 etc., lonc 3779, 5302; wenn

g am Ende bestehn blieb, wurde es mit n zum nasalen Guttural:

loing, poing. Dieses g wie das vorige c fallen vor flexivischem

s: sans 2246, 4548, 4739 etc -> l°ns 625.(mi Reime auf ons),

ferner poins 4458, 4720; der zweite Cop. einmal poings 7299

J

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— 45 ~

g vocalisirte sich zu u vor m : piument (pigmentum) 571, 574,

1601, 1607, sonmier (sagma, sauma -J- arium) 1235, 6926,

8084. Zwischen Vocalen fiel er aus: Droon (pr. Draugon) 787,

Huon 785, (Ugon 3281, 3305).

Labiales; P, B, F, V, W.

a 106. ps wird anlautend zu s: sautier 1506; p vor Conso-

nanten vokalisirte sich: bautiser 1942. Der zweite Cop. schreibt

aber immer baptisier 6613, 7615, 7768, 8052, 8064,8065, 8113

etc. B wird wie gemeinfrz. behandelt, ebenso F.

107. Von V ist zu erwähnen, dass der erste Copist es gern

in den Futur- und Conditionalformen von avoir auslässt und arai,

aras, ara etc. schreibt. Unter 86 Fällen fand ich 57 ohne v.

Beim zweiten Cop. fand ich diese Formen nur 2mal : 6737, 8429.

— Der erste Cop. giebt vu zuweilen durch ein deutsches w wieder:

widierent 780 (vuidier 1185) u. Wedon 1972 (Vuedon 3345).

Auslautendes v = f verstummte beim ersten Verf., daher auch

ausgelassen: Ponti 525, 996, 2184, 2301, 3525. Wenn wir im

Reim auf i 1628: vif, und 2241 estrif finden, so ist wohl anzu-

nehmen, dass das f in diesen Worten nicht vom Verfasser, son-

dern von einem Copisten herrührt. Dieser Copist wiederum muss

ein anderer, viell. der Vorgänger von dem gewesen sein, welcher

uns das Gedicht bis v. 6250 überlieferte, denn der letztere schreibt

Pontiu 2737, 3729. Hiermit stimmt auch gut überein die conse-

quente Schreibung: fix od. fius (aber nie fieus od. gentieus : vgl.

Dis dou vrai Aniel s. XXV und Aue. et Nicol. No. 30). Der

zweite Copist schrieb if: Pontif 6324, 6462, 6479, 6491, 6527,

6760 etc. postif 7328.

208. Das deutsche w ist ohne Ausnahme zu g (gu) gewor-

den: Gautier (Waltharins) gues 1394, 1954, 4043, — guere 98,

102 etc. guerpir, guise (wisa) guiant (wenn es, wie Diez annimmt,

von witan kommt) 2406, guenchir (wenkjan) 2538, 3007, 3447 etc.

Deutsches w ist erhalten in wiches (guichets) 8589. — Auch. lat.

v ergab g: gaster 1824, 7655, goupiller 5430.

H109. H fällt bald fort, bald steht es, um einen Hiatus zu

verhindern. Taubere 1801, 2960 etc. aber Ii hauberc 2813, 5050,

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— 46 -

le hauberc 6640, l'anste 2510, 2977, 3472, 3891, la hanste

2910, 2957, 3336, 3969, 4208, 4628, 4647, II 6637, 7755, de

Harn 5883, de Hantonne 785, la hainche 7787, de hiaume 7754

(d'yaume 7753). — Bei con Henries 7624, 8294 muss h aspi-

riert worden sein, da con beim zweiten Cop. nur vor Conson. auf

n anslautet. —

B. Metrische Erscheinungen.

Hierher rechne ich alle Erscheinungen, welche bei der Bil-

dung der Verse von Einfluss gewesen sind :

1. Hiatus, Elision. — Das Versmass des Gedichtes (iosil-

big mit der Caesur nach der betonten 4.) und die von Tobler (i.

afrz. Versbau) aufgestellten Regeln in Bezug auf Hiatus u. Elision

werden überall streng gewahrt; im 2. Teil jedoch bieten einige

Verse die erforderliche Silbenzahl nur durch Nichtelision des stummen

e (s. Ausg. s. LXXIV) z. B. v. 6564, 6839, 7302, 7303 etc.

Auch die von Tobler (Versbau s. 48, aber nur in sehr späten

Denkmälern vorkommende) nur zweimal belegte Ausnahme: das i

von qui (rel. u. frag. Pron.) vor einem Vocal zu elidieren, rindet

sich vereinzelt in unserem Gedicht : q'est 1546, 3301, q'en 3862;

qu'asses 7203 ;— In de il 7186, Nichtelision des e von de, weil

auf il der Ton ruht.

2. Zweisilbig werden gebraucht die bekannten: jovenes 125,

2515, 2689, 2012 (jone 385) und virgene 1182, 1769, 3491 etc.

ferner verais 2595, 2831, 3904, neben vrais 5014; — diable

ist dreisilbig gebraucht: 2997, 3979, 5401, ebenso Loeys; 602,

747, 821, 844, 880 etc.

3. Inlautendes e vor einem Vocal ist fast durchgängig er-

halten: veu 622, 2624, 2626, 3882, 3990, 4639, 4838 etc. II

5807, 5938, 6128 etc. aconseu 5020, aseur 708, aseures 1559,

benei 2238, immer eu, peus (2 p.) 3560, peust 1603, peuses 664,

peussiez 406, 1168 etc. meu 2627, 4386, meue 1206, pleu 2774,

deust 2568, 3586 etc. deuses 5227, deusent 1257, feu 1964, cheu

33 J 7, 4733» 4743. cneue 4i97> pecheor 1574, veneor 17 14, etc.

Im 2. Teil ebenso: geumes 6188, seusse 8033, peust 7971, as-

seures 6636, 6644, veut 6668, eussent 6663, deussies 8601,

8603, peussiens 7456, 7678; im ganzen Gedicht veoir u. veir:

§ 31, ebenso meisme (t mal meesme). Auch andere Vokale als

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— 47 -

e sind vortonig erhalten: aaige 4324, praaige 4396, penaant 693,

gaaing 4033, 7923; 4721, 5678, raaaille 1068, maailliere 1330,

1338, graaillier 3542, 1855, 20I 9> 2I2 °, roognier 1416, 3043

(reognier 2922, 4265) etc. — Beim ersten Verf. aresteu 1954, neben

arestu 1950, beim zweiten eslecier 7557 (st. esleecier), amentu

6424 maille 8650, 8673. — Ferner beim ersten ves 1

) (st. vees):

716, (veiz) 1777, 3042, 3250, 437 2; beim zweiten nur 5824;

daneben auch oft vees: 3963; 5699, 6478, 6808, 6954 etc.

neis 5049 ist zusammengezogen in nes 800, 926, 1022, 1768,

3867 etc. u. in nis 2) 7872. —

4. Beide Verfasser bedienten sich der endungsbetonten Par-

ticipia der debui- u. cognovi-Klasse : conneu 331 1, II 7489 re-"

creu 2778, 4470, 4645 etc. Doch dem ersten Verfasser schienen

auch die stammbetonten bekannt gewesen zu sein: reciut 931, cf.

zs. II, 267 ff. —5. Die Adjectiva der 3. Deel, haben für Masc. und Fem.

nur eine Endung. G. Paris (Vie de St. Alexis s. 115) nennt

als Ausnahme die Adj. auf -ent, -ois und commun, diese nehmen

schon im Alexiusliede im Fem. e an. Beispiele für die Adj. einer

Endung sehr zahlreich: la jantil dame 30, 38, 160 etc. gentil-

ment 93, gentix dame 133; — sa grant terre 306 etc., une grant

piesce 520, 538 etc. II, gentils pucele 5716 etc., gentils ferne

5732 etc., grant 5592, grans 5755, 5963 etc., tex 1186, 1210,

2041, 2455, 3°°5 'etc., quex 5458, II, tex 5738, itel gent 5858

etc. Als Ausnahme fand ich nur grande 4294; 6629; — bei

*) ves (= Jve£s) wird von Hossner (Zur Gesch. d. unbet. Vokale im

Altfrz. u. Neufrz. Freiburg 1886, s. 16) als eine besondere von vide-f- ecce

kommende Form erklärt. Doch scheint mir auch hier Contraction vorzuliegen.

Wenn ves auch in solchen Denkmälern vorkommt, die sonst keine contrahier-

ten Formen kenneu (Cliges), so hat der häufige Gebrauch des vees wohl früh u.

überall ein ves daraus entstehen lassen.

*) Cf. Rom. Forsch. II, s. 335, u. anm., wo Pohl behauptet, nis

stamme nicht von neis. Hier scheint es mir sogar wahrscheinlich, dass nis

(ebenso misme) und nes (mesme) aus neis (meisme) hervorgegangen sind, je

nachdem das e od. i von neis (u. meisme) stärker betont wurde. Dies wird

noch wahrscheinlicher dadurch, dass die zusammengezogen Formen neis (und

meisme aus meisme) vorkommen. Ausserdem weist M. Hossner (a. a. O. s.

17 tT. 18) derartig contrahierte Formen für das Pik.-Artes. -Wallonische und

Lothr.-Burgundische schon in der ersten Hälfte des 12. Jahrh. nach.

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— 4* —

tele herbe u. quelle est wird das betr. e elidiert (7224, 7229).

Hier sei auch noch erwähnt, dass bei beiden Verf. die abgekürzten

Formen nos (no) und vos (vo) für nostre u. vostre vorkommen:

§44: 4813; 1103, 1104, 1231, 1354, 1356, 1779, l *99 etc.,

II 6149, 6920 etc.; 5690, 5693, 6305, 6318, 6394 etc.

6. Die Endungen dei* 1. u. 2. pers. plur. Imperf. od Condit.

:

iens u. ies sind bei beiden Verf. gewöhnlich einsilbig: se-ie's 3670,

resamblie's 3671, monteries 2301, aries 3986, fernes 17 11, avies

3289; 3672 würde man durch Ergänzung von vos auch avies

erhalten; ebenso in v. 1020 devies. — Beim zweiten Verf. finden

wir: aideriens 7679, seriens 6391, arie's 5801, volie's 6530, 7677,

conbaties 6922, ine's 6924, seriös 6925, avrids 6958 : einsilbig.

Durch Ergänzung von vous würden wir auch erhalten: avi(i)es

7475, esti(i)es 7706; ebenso bei estiiens 6386, 6390, nous zu

ergänzen, wie es schon einen Vers weiter bei seriens (6391) steht.

Wollten wir aber dieses vous u. nous fortlassen und sogar die

Verse, wo es steht, anzweifeln, so würden noch immer die vv:

7677, 6924, 6925, 6958, dem zweiten Verf. das einsilbige ies

sichern. Doch scheint dieser Verf. auch wirklich iies gekannt zu

haben; v. 6923: et vous si Tociiez : cf. zs. II, s. 281.

7. Die Endung iee wird le, z. B. commencie 1898, percie

1901 ; im Versinnern : percie 4159, joinchie 2984, enpoignie 3643,

forgie 488. II, trecie 5570, baisie 5577, 6874, 8195, rengie

6150, joinchie 8185, percie 8634; im Versinnern: baisie 5764,

(8341 ist zweifelhaft). Wenn nun die Beispiele etwas zahlreicher

sind, als die Herausgeber geglaubt haben, (s. LXVIII u. s. LXXVJ,

(denn auch die durch das Versmass gesicherten Beispiele müssen

herangezogen werden), so ist ihre Zahl noch immer gering genug.

Für iee habe ich kein Beispiel gefunden, was entschieden dafür

spricht, dass beiden Verfassern fe = iee eigen war. Beim zweiten

fand ich dann noch lie 5590, liement 6844; (aber noch chieent

1485; II 5965).

8. Eine Eigentümlichkeit des NO und O ist, zwischen d

(t) s, v u. r ein e einzuschieben ; sie findet sich auch in unserem

Denkmal in mehreren Beispielen: 1) zw. v-r: averai 2656, 3625,

avcras 5410, avera 5380, 4270, averons 881. 2) zw. Dent. u.

r: perderas 1377, aprenderoie 3984, venderunt 3375, 2. Teil:

penderai 7409, isteront 6519. 3) zw. s-r: esserai 4220, 4707,

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essera 2463, 3220, 4018, escera 1077. 3&97> 4 2 <>3> esscront

1235-

9. Dem Vorigen entgegengesetzt ist die Auslassung des e im

Futur und Condit. von mener und doner, wie wir sie bei beiden

Verfassern und Copisten consequent ausgeführt finden: cf. § 91.

Dasselbe geschah in comparres 5082 und comperrois: § 20 etc.

C. Flexivische Erscheinungen.

Dieselben sollen hier nur ganz kurz und soweit sie für die

Dialektbestimmung des Gedichtes von Wert sind, erwähnt werden

:

1. Artikel.

Seine weibliche Form ist zuweilen Ii, aber nur vor einem

Vocal oder h : 490, 5559, 5586, IT 6411, 7229, del : dou:

A 26 a.

2. Substantiv.

Die Copisten schreiben die Subst. auf -re oft mit s im Nom.

Sg. (Ausg. s. LXXXIII) z. B. freres 60, 2032 etc., peres 992,

2222 etc., empereres 40, 468, 471,681,893,2107,4787,4795,

4879, 4865 etc., 6525 etc., lechieres 662, 2223, 4904 etc.,

(ebenso nostrcs 2377, 5305, 7606 etc., a(u)tres 4919 etc.) Doch

keins der Beispiele sichert dieses Nom. s auch schon den Ver-

fassern. Als ein Rest des lat. Neutrums im Plur. ist zu erwähnen:

brace fiere 5060.

3. Adjectiv: cf. B 5.

4. Pronomen.

Das Pron. conj. der dritten Pers. heisst einmal im Acc. lo

5094; der dat. masc. betont beim zweiten Verf. Ii: cf. A 77,

gewöhnlich steht diese Form nach Praepositionen ; 6188, 8290,

auch allein. 7186 fand ich de il meismes, also il = lui. Ähn-

liches constatierte Nat. de Wailly in den Urkunden Joinville's :

Bib. de l'fic. des Ch. 6. serie, t IV, s. 442. — Je finden wir

ebenso verwendet: 6093 et je mon mul (zu ergänzen Ii donrai);

6188 u. 8290: moi et Ii: ich u. er. Die betonte obl. Form der

ersten pers. bei beiden Verf. mi, ebenso ti u. si (neben moi, toi,

soi) für die zweite u. dritte pers. : A 3 1 .—

Demonstrat. Pron.:

celi beim zweiten Verf. (st. celui), cf. § 77. Wir finden auch

4

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— 5* —

schon ce liu 1351, cet pais (wo t stumm war, vgl. § 96) 6058.

Interrog. Pron.

Der zweite Copist kannte schon die weibliehe Form quelle

7229 : cf. B 5.

5. Verbum.

Der zweite Cop. schreibt in der ersten pers. sg. ' oft ein s:

cf. § 102: vois (video) dis (dico) fuis etc.- — der erste thut es

nie, immer sui, fui, fai (tac) 2296 etc. — Sons (= sumus) 887,

sonst sonmes od. somes 897. Die Endung der ersten pers. plur.

ons, od; auch omes (cf. A 13) u. iens (cf. A 10, B 6), aber nie

iemes. Dann fand ich Formen wie mandissies 102 1, alissies 2362,

5966, getissies 2413, 6931, trovissies 5967, ensaingnissies 7572,

amenissies 6912, (vgl. Diez II, 234). — Gemischte Formen sind:

norresimes 1874, guerpesiz 1876, 3590, garesissent 6177, vossis-

siez 4731, vausissies 7707. Bemerkenswert sind auch die Impf-

Formen von pooir : pois 11 15, Conj. poist 495 2> 5 2I <>

5 5488.

Diese sollen nach Suchier (zs. II, s. 270) nur dem N u. O der

oil-Sprache angehören. Doch muss die Champagne dazu gerech-

net werden : cf. Cliges s. LV1I. — Gerundia : valisant 191 1, 1452,

2489, sogar vaillisant 1882, 5379, (Diez II, 240).

II. Resultat der Untersuchungen

Wir wollen nun versuchen mit Hilfe der bisherigen Unter-

suchungen die Dialectgebiete der Verfasser u. Copisten zu bestimmen .

und zwar soll dies so geschehn, dass zuerst die Sprache der Ver-

fasser durch Vergleichung der Sprachen beider bestimmt wird,

unb dann die Sprache der Copisten in derselben Weise. Der

Grund für diese Anordnung ist der, dass bei beiden Verfassern

die sprachlichen Eigentümlichkeiten gleich spärlich sind u. oben-

ein zu nahe verwandten Dialecten gehören. .Es sei hier gleich

bemerkt, dass das Normann. von vornherein auszuschliessen ist,

weil im ganzen Denkmal die Impf-Endung des Ind. in der ersten

pers. oie heisst, (2070 im Reim avoie). — Um die Übersicht zu

erleichtern, will ich noch die im Folgenden benutzten Abhand-

lungen, resp. Ausgaben zusammenstellen :

Metzke : Der Dialect von Ile-de-France im 13. und 14. Jahrh.

Breslau diss. 1880, ders. d. Fortsetzung in Archiv, B 65, s. 57.

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W. Foerster: Cliges p. Chretien de Troyes, Halle 1884.

Nat. de Wailly : Memoire sur la langue de Joinville in Bibl.

de l'£c. des Chartes, 6. serie t. IV, s. 329 ff.

Chartes franc,. du Vcrmandois de 1218 — 1250: Bibl. de l£c.

des Chartes B 35, s. 437 ff.

Tobler: Dis dou Vrai Aniel, Leipz. 187 1.

G. Raynaud: fetude sur le dialect picard dans le Fonthieu nach

den Urkunden des 13. u. 14. Jahrh. in Bibl. de l'Ec. des

Ch. t. 37, s. 5 ff.

Van Hamel: Li Romans de Carite et Miserere du Renclus de

Moliens, Paris 1885.

W. Foerster: Li Dialoge Gregoire lo pape, Halle (Paris) 1876.

K. Jenrich : Die Mundart des Münch Brut, Halle, diss. 1881.

K. Bouteiller: La Guerre de Metz en 1324, Paris 1875.

Suchier: Die Mundart des Leodegarliedes, Zeitschrift (zs.) f. rom.

Phil. II, 255.

Nat. de Wailly : Observations sur ta langue de Rheims en XIII.

s. in Mem. de 1' Acad. des Inscrip. XXVIII, II, p. 297.

Ders. Observ. sur les actes des amans de Metz, Mem. de l'Ac.

des Inscript. XXX, I, 303.

J. Zemlin : Der Nachlaut i in den Nord- u. Ostfranzösischen

Denkmälern, Halle, diss. 1881.

.Knauer : Beiträge zur Kenntniss der franz. Sprache des XIV.

Jahrh., Jahrbuch VIII, s. 14—44 und 388— 408.

Jean Palsgrave und seine Ausspr. des Frz. v. Fr. Lütgenau,

Bonn 1880.

Max Hossner: Zur Geschichte d. unbetonten Vokale im Alt-

frz. und Neufrz., diss. Freiberg 1886.

A. Die Sprache der Verfasser.

a. Ihre Sprache gleicht sich in folgenden Punkten :

1) betontes offenes a wird zu e (I A § 1— 7),

2) die Vermischung von an und en (beim ersten Verf. nicht

ganz sicher), I A 21.

3) kurzes offenes lat. e = ie (I A 23), in geschlossener Silbe

= e: I A 24, 25, 26, 28.

4) e in offener Silbe = oi, reimt mit oi (— o -}- i 11. — 0-f- i)

;

I A 31.

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— $2 —

5) Die Futurendung ois neben es: I A 31.

6) neben moi, toi, soi auch mi, ti. ti, veoir, tenoir, seoir, seoie

u. veir, tenir, seir, sie: I A 31, ebenso pri, otri neben proi,

otroi: I A 31, 63,

7) hom(i)nem = hom, hon, on, Nom. hons. I A 41. •

8) S.-arium = ier: I A 58.

9) a + 1 -f i = al: I A 60.

10) e + i = i (J): I A 62, 63.

11) e + G -f t = oit: I A 66.

12) 1 (1) vor s fällt aus nach e u. i : I A 80.

13) t -j- s = s (beim ersten nicht ganz sicher): I A 97.

14) v von ivus verstummte beim ersten Verf., beim zweiten nicht

ganz sicher, ob Pontis od. Pontif: I A 107.

15) Inlautendes e vor Vocalen blieb bestehn : I B 3.

1 6) iens u. ies (Endg, des Impf. u. Condit.) sind einsilbig : I B

6; der erste Verf. auch ions : v. 3949.

17) i<*e = fe: I B 7.

18) 1. p. plur. omes neb. gew. ons (on) I A 13.

19) in d. Futurendungen der Verba 3. Conjug. zuweilen e ein

geschoben: I B 8.

20) donrai und menrai etc.: I B 9.

21) Der Vortonige im Hiatus befindliche Vokal ist erhalten : I B 3.

Es soll nun hiernach das beiden Verfassern gemeinsame

Sprachgebiet bestimmt werden : No. 1 7 schliesst die Ile-de-France

u. d. Champagne aus (vgl. Metzke, Archiv 65, s. 70 f. u. Cliges

s. LXIII), ebenso No. 16 (zs. II, s. 281). Durch 2, 12, 14 wird

das Picard. Wallonische ausgeschlossen, (Bibl. de l'fic. B 37, s.

33 f. Vrai Aniel s. XXV, M. Brut a.a. O. s. 11 u. 30, zs. II,

297 u. 98. Mis, du Renclus: str. XXVII lentiu: antiu, ebenso

in str. 90, 187). No. 10 schliesst das Lütticher Gebiet (Dial.

Greg. : e -|- i = ei) u. Lothringen (Metz) (Serm. de S. Bern.) aus.

Doch M. Brut (Namur: Jenrich a. a. O.) hat e -f- i — i. Nach

den bisherigen Ausführungen konnten die Verf. keiner Provinz

sicher zugewiesen werden ; es bleibt uns also nur noch zu unter-

suchen, welcher od. weichen Dialectprovinzen ihre Sprache sich

am meisten nähert. No. 6 u. 13 sagen uns schon, dass wir die

Heimat der Verf. in einer Gegend zu suchen haben, welche das

Gebiet der moi, toi, soi etc. (Ile-de-Frz. Champagne) mit dem

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- 53 —

der mi, ti, si (Picardie, Lothringen) u. des t -\- s = s (Picardie)

verbindet. No. 21 endlich bezeugt uns, dass beide Verfasser an

der Grenze der Ile-de-France od. der Champagne gelebt haben

müssen, da in diesen Ländern bis ins 13. u. 14. Jahrh. hinein

fafet kein Fall der Contraction nachgewiesen ist, (cf. M. Hossner,

a. a. O. p. 22, 23). Die beiden Verf. gemeinsame Heimat würde

sich demnach südlich von Namur (M. Brut u. Dial. Greg, haben

immer moi, toi, toi) zu beiden Seiten der Maas (in einem nach

der Picardie zu breiteren Streifen (mi, ti, si u. t -J- s = s) bis

in die Nähe von Rheims erstrecken. Vielleicht ermöglichen uns nun

b. die abweichenden, resp. nur bei dem einen vorhandenen

Punkte eine genauere Fixirung des Dialects.

Erster Verf. Zweiter Verf.

1) für a öfter ai (jai, lai etc.: 1) garnicht vorhanden.

I A 18.

2) nicht vorhanden. 2) De assohiert mit e, ebenso

tes, ostes : I A 9 u. 80.

3) nicht vorhanden. 3) lui zu Ii, celui zu celi ge-

worden: I A 77.

4) fu (focum): 1 A 42. 4) nicht vorhanden.

5) die ai-Tir. enthalten nur 5) ai — e: I Aa 57.

Worte mit ai : I a 57.

6) nicht vorhanden. 6) essoine, broigne, besoingne

assonieren mit o : I A 74.

7) Part. P. reciut: 1 13 4. 7) nicht vorhanden.

Erster Verf.

No. 1 nötigt uns von dem oben bezeichneten Landstriche

die Ostseite als die wahrscheinliche Heimat des Dichters anzu-

zunehmen, denn lai, jai etc. waren hauptsächlich in Lothringen,

Serm. de St. B. s. 523) in Joinville u. Franche Comte* bekannt:

Zemlin a. a O. s. 15 unten. — Wenn ferner die Participialform

reciut (No. 7) dem Verfasser angehört, so würde seine Heimat

nach der Bestimmung des diu-Gebietes durch Suchier (zs. II s. 280)

nördlich von den Städten Rheims u. Metz liegen. Vereinigen wir

dieses Resultat mit dem vorhergehenden, so wäre die Heimat des

ersten Verf. in der Nähe der Städte Me'zieres u. Sedan zu suchen.

Beim zweiten Verf. ist eine genauere Fixirung des Dialect-

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— 54 —

gebietes schwieriger. No. 3 kann nach den Ausführungen in I A

7 7 kaum in Betracht kommen ; No. 5 (ai = e) giebt uns viel-

leicht einen Fingerzeig, da ai = e am frühesten 11. ausgedehntesten

in Ile-de-France u. Champagne vorkam, (vgl. I Aa 57, Archiv

B 65, s * 57 ff- bei Chrestien de Troies : Chev. au lyon, Cliges

etc.; Beza: DeFranciae linguae recta pronuntiatione Genevae 1584,

(ed. v. Tobler, Berlin 1868) s. 47 tadelt die Ausspache des Pa-

riser Volks, es spreche fesons, cf. B b, zweiter Cop. No. 6 u. 12),

während der Norden und NO. lange noch ai sprach : (Beza und

Palsgrave (aus d. 16. Jahrh.) bezeugen noch für ihre Zeit die

Aussprache ai (cf. I A 16), bei Beza sogar ai, ein deutlicher

Doppellaut. — Für eine Annäherung an die Champagne spricht

auch No. 2, (vgl. Cliges s. LXVIII u. d. Sprache Joinv's: a. a.

0. s. 393). Die Heimat des zweiten Verf. dürfte demnach zwischen

Laon u. Mezieres liegen, (vgl. hierzu die Ausführungen unter

II A a zu No. 6).

B. Die Sprache der Copisten und ihre Heimat.

a. Beide Cop. stimmen überein in

:

1) a vor 1 wird zu e (I A 9).

2) a -}- n — ain, i -]~ an = icn, d. 2. iien 1 A 14.

3) a vor s u. Palat. : ai, doch Schwanken hierin (I A 15,

16, 59).

4) -abulam, -abilem = -able (I A 17).

5) Vortonig a vor r zu ai od. e ;i A 20).

6) e (=e u. e) vor n, ng, n = ain (I A 23a 33, 36a).

7) e in offener Silbe = ie: I A 23, in geschlossener = e

d a 24).

8 eil + Cons. = iaus (I A 26).

9) e in offener Silbe — oi, immer moi, toi, soi, (d. erste ein-

mal mi u. einige Male veir): I A 31, ebenso ois neben es

in der zweiten p. plur. des Futur (u. Conj.)

10) für ue = o zuweilen u: I A 40, 71.

11) o -j- n = on: I A 41.

12) (o -f- u = ou> °» eu: I A 42).

13) nos u. vos f. nostre vostre: I B 5.

14) orem = or (seltener our) : I A 46.

15) osus = ous (eus): I A 46.

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16) daneben auch eure, deus, seul etc. : I A 46.

17) o 4" Palat. — oi (beim zweiten selten) 1 A 44 u. 48.

18) o vor Nas. : ou od. u (beim zweiten selten) 1 A 49.

19) mon, ton, son, (beim ersten je ein mal men u. ten) : J A 47.

20) a + n + i (e) = aigne :

\ { Abeim ersten Cop. auch agne I

2 1) a -\- 1 -f~ i = aille, vort. b. ersten Cop. auch ill: I A 60.

22) ationem u. a(n)sionem = aison, vort. oison u. ison (d. zweite

nur ison) I A 61.

23) e -|- i — i ; vort. i u. oi: I A 62.

24) e -|- G -|- t = oit, vort. zuw. o: I A 66.

25) i -f G -f 1 (od. 1 + 1 -f i) = eille, vort. ill: 1 A 68.

26) o i — ui; vort. auch ui : I A 70.

27) au -(- i — oi (immer poi — paucum) 1 A 73.

28) o-J- i — ui.

29) o -|- Gutt. -\- ^°ns - — - 01 : 1 A 75.

30) a ^ Cons. = au : I A 79.

Si) Kein d zw. nr u. t zw. sr. ^ _,

, . {I A 90, 101.

venredi etc und misent. ;

32) t s (beim ersten zweifelhaft), beim zweiten sicher — s

I A 97.

33) v in d. Futur- u. Conditionalformen von avoir fällt aus (beim

zweiten seltener) I A 107.

34) lat. c vor a, o zu ch : I A 103; deut. w == g: A 108.

Das beiden Cop. gemeinsame Gebiet:

No. 11 (o -}" n = on) schliesst die Ile-de-France u. mittlere

Champagne aus, vaing u. taing. v. No. 6, 4 u. 34 die Picardie

(G. Raynaud a. a. O. s. 344, 327 u. Vrai Aniel s. XXXI, doch

M. Brut u. Dial. Greg, haben able). Die Urkunden des Ver-

mandois a. a. O. s. 441 ff: k = k etc. Es bleiben uns nur

noch die obere Champagne, der Osten u. Nordosten. No. 23,

25, 26 u. 30 aber verringern dieses Gebiet noch um Lothringen,

(Senn, de S. B.: e -j* i = ei, o -|~ i = oi. el = oil u. al

Cons. = a Cons.) u. das Lütticher Gebiet (Dial. Greg.) Der

südliche Teil des Wallon. Gebiets (Namur : M. Brut a. a. O.) hat

e -}- i = i, o -|— i = ui und al Cons. — au. Es bleibt uns

somit nur noch ein schmaler die Pikardie, Lothringen, Namur u#

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- 56 -

Champagne verbindender Landstrich. Die Plaids de l'fichevinage

de Rheims (a, a. O.) nötigen uns wegen des dort überwiegenden

leur und des eur (= orem) auch Rheims von dem zuletzt gefun-

denen gemeinsamen Gebiet auszuschHessen : vgl. No. 14— 15. Die

Südgrenze der gemeinsamen Heimat beider Copisten wäre dann nörd-

lich von Rheims, die Nordgrenze Namur, an den Seitenvon Lothringen

und der Pikardie begrenzt. Hiermit stimmen alle übrigen Punkte

überein; so No. 13 (nos u. vos für nostre, vostre), No. 25 (vort.

el = il) dem Wallon. und besonders NO. eigen: vgl. Guerre de

Metz s. 439; No. 31 (zs. II, 297) und 32 (t -f~ s = s: Cam

brai und Valenciennes zeigen entschieden s : Jenrich a. a. O. s.

30); No. 20 (a -j- n -|- i — aigne) auch in der Ile-de-France

üblich, (Eust. Deschamps, Gaut de Coincy, Fr. Villon etc. haben

es, cf. Metzke, Archiv 65,'s. 61); ebenso No. 8 (eil Cons= iau),

Archiv a. a. O. s. 77.

b. Die Cop. weichen von einander ab in:

Erster Cop. Zweiter Cop.

1 ) nicht vorhanden.1) e (= lat. a) in ei über-

gegangen, ebenso e in geschl.

Silbe: I A 1, 7, 24.

2) sehr häufig a statt ai: I

A 19, 57a, 59.

3) a -f- u = o, auch ou

(eu) I A 13.

4) nicht vorhanden.

3) oft au geschr. I A 13.

4) ai für a vor n -]- c» k

I A 21a, 36a.

5) an u. en werden vermischt.

2) sehr selten.

5) an wird von en geschieden

1 A 21, 27, 36.

7) ill 4" Cons. = ous (oft

auch aus), el (in ellum)= el,

ebenso del I A 26,

6) e vor ng, n = ain (= en)

I A 23a, 27a, 36a.

6) auch noch vor c, g u. dann

immer ain geschr. I A 36a.

7) immer iaus, zuweilen ou

und dou.

8) Vort. e vor ein. Palat. zu

i nur in chivalier I A 20.

9) fu (focuni) (2 mal feu) giu,

liu I A 42.

8) immer zu i : I A 30.

9) immer eu.

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— 57—

10) o-J-

1 Cons. = ou. I A 42.

ix) oft o vor Nas. = ou (10

Beisp.) oder u (15 Beisp.)

12) ai vor n — e I A 59.

13) mire (medicum) IA 62.

14) el -|- Cons. = ous und

aus I A 68.

15) nach e, i wird ged. 1, 1

vocalisiert I A 80.

16) nicht vorhanden.

17) etymol. t rindet sich ganz

vereinzelt : ent, reciut I A 96.

18) t -}- s = z od. s I A 97.

19) oft g (st j) vor a, o, u

I A a 105.

20) Auslaut. vvocalisirtlA 107.

21) reciut, giurent I A 39.

22) pois, poist I C 5.

10) = au (o).

11) selten: ou 1 mal, u 2 mal.

12) — ai.

13) — mie,

14) = aus.

15) bald vocal., bald ausge-

lassen

16) iers, niers, Poitiers, fiers,

sierge 1 A 87 a.

17) sehr oft gesetzt.

18) = s.

19) immer j.

20) wird zu f.

21) nicht vorhanden.

22) nicht vorhanden.

Heimat des ersten Cop.

No. 1 ( e u. e — ei) besonders im NO. u. O. üblich (Zem-

lin, a. a. O. ; Actes des Amans de Metz a. a. O.) Ebenso No.

2 im NO, u. O. verbreitet (Namur: M. Brut, a. a. O. Lothr.:

Actes des A. de Metz a. a. O. 303, Guerre de Metz, s. 438).

Wir müssen also von dem beiden Cop. gemeinsamen Gebiet die

nordöstl. Seite als mutmassliche Heimat des ersten annehmen. Auch

No. 7 (ill Cons. — ous (aus) (u. 14) sprechen für eine Annähe-

rung an Lothringen (Serm. de St. B. s. 522: ceos, ols etc. Guerre

de Metz s. 444, etc.) No. 21 (reciut, giurent) warnt uns, zu weit

nach Lothringen zu gehn : zs. II 280 u. No. 5 verlangt, das Ge-

biet des en nichtgleich an aufzusuchen: K. Jenrich (a. a. O. s.

30) constatiert in Chiny (Urkunde aus 1240, 4 Meilen nördlich

von Stenay und 6 Meilen östlich von Mezieres) u. in einer Ur-

kunde aus Chimay (aus d. Jahr 1341, 5 Meilen nordwestl. v. Me-

zieres) keinen Fall der Vermischung von en u. an. — Nehmenwir nun den zwischen Chimay u Chiny liegenden, von Chiny aus

aber sich etwas nordwärts ziehenden District als die Heimat des

ersten Cop. an, so würden auch alle übrigen Erscheinungen, diese

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Idealisierung des Dialects des ersten Cop. bestätigen, oder wenig-

stens derselben nicht widersprechen: No. 20 (iu = ivum): vgl.

IIAa das zu No. 14 Gesagte. No. 9 (liu, fu, giu) findet sich

oft in picard. u. wallon. Denkmälern ; ebenso No. 11:9 vor Nas.

= ou und u. — mi, veir : I A 3 1 u. No. 17 weisen nach Loth-

ringen (die Pikardie kann hier nicht mehr in Betracht kommen),

oile I A 71 auch dem Wallon. eigen; dem letzteren aber entschie-

den sich zuneigend die regelmässige Wandlung des deutsch, w in

g (M. Brut, s. 34, Dial. Greg). Wegen No. 16 vgl. I A 87 ;wegen

No. i8:IIBa das zu 32 Gesagte ; zu No. 22 (pois): I C 5, No.

19 (g vor a, o, u) : I A a 105. — Die ortograph. Eigentümlich-

keit, q statt k zu schreiben (I A 103), weist Knauer als fast regel-

mässig (vor u) bei Froissart (a. a. O. s. 39 unten) nach. Einige

Notizen dazu auch in der Ausg. s. LXXXIII: In den Urkunden

aus St. Quentin (a. a. (). 440 ff.): aus d. Jahr 12 18 (s. 444—46)

fast immer k für q, ebenso in der aus 1219; eine aus dem Jahr

1220 hat wieder qui u. que, ebenso die aus 1222; die aus dem

Jahr 1226 dagegen regelmässig q für qu, ebenso aus 1228, 1231

u. 32. Die Urkunde aus 1234 hat wieder qu, die darauf fol-

gende einfaches q, dann wieder eine mit k (für qu) etc. — Mansieht, dass eine grosse Regellosigkeit in der Schreibung des k-

Lautes herrschte. Da Froissart ziemlich regelmässig q für lat. c

(vor u) schrieb, so scheint diese Ortogräphie in Froissart 's Heimat

(in Valenciennes geboren) am gebräuchlichsten gewesen zu sein.

— Ebenso belegt Knauer (a. a. O. s. 36 u. 37) aus meistens

nördl. Denkmälern, die bei unserem Cop. üblichen Schreibweisen

für das (stimmlose) s : I A 98,

Zweiter Copist.

Hin Hauptmoment in der Sprache dieses Copisten ist, dass

sich nie ei für e (— lat. a) findet. Dieses schon sagt uns, dass

wir nur im südl. Teile des beiden Copisten gemeinsamen Gebie-

tes die Heimat des zweiten Cop. zu suchen haben. Zemlin (a. a.

O. s. 23 u. 28) wies das Nichtvorkommen von ei (=e; lat. a)

für Cambrai u. Laon (nur aus einer Urkunde) nach. — Cambrai

jedoch wird ausgeschlossen durch No. 19 (j). ausserdem geht dort

e in geschl. Silbe in ie über (Jenrich a. a. (). s. 26). Dass sich

ferner in der Gegend von Laon ein neutrales (von ei freies, unter

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— 59 —

d. Einfluss d. Ile-de-France stehendes) Gebiet befand, scheint auch

eine Urkunde aus Rethel (Dep. Ardennes) zu bestätigen. Dann

ist in Betracht zu ziehen, dass sich der Gebrauch dieses ei (Zem-

lin, a. a. O. s. 30) im 1.3. Jahrh. verringerte u. (ausser in Loth-

ringen) ganz schwand. Da unser Copist einer ziemlich späten Zeit

(Ende d. 13. oder gar Anfang d. 14. Jahrh.) angehört, so steht

nichts im Wege, Laon od. besser das von Laon etwas nördlich

gelegene Gebiet (wegen No. 3, 10, 17) als seine Heimat anzu-

nehmen. Bei Laon begegneten sich mehrere Dialecte : No.3^

10 11. 17 zeigen einen starken Einfluss der Pikardie ; eil (ill) -p

(Joris. = (i)aus war nach Metzke (Archiv 65, s. 77) auch der

lle-de-France eigen. Einfluss von N. oder O. her zeigt das vor-

tonige i für e (vor Pal.) (No. 8); wegen iers, etc. (No. 16) vgl.

IA 87a. Östlichem oder nördlich. Einfluss haben wir vielleicht

das rein auftretende (in d. Schrift nie mit e abwechselnde) ai zu-

zuschreiben: No. 6, 12, II A b, No. 5. Wenn (Lütgenau, a. a.

O. s. 8) aige im Walion. heute wie ege gesprochen wird, muss

man wohl eine Zwischenstufe (aige gespr.) annehmen. Auch soll,

'nach Tobler, in der Picardie der Diphtong ai noch heute deut-

lich ai gesprochen werden. — Ferner waren diemainche, main-

gier etc. in No. 5 besonders in Lothringen u. Joinvile gebräuch-

lich (Zemlin, a. a. O. s. 20 u. 30; Guerre de Metz s. 441.)

Zemlin belegt blainche aber auch in der Urkunde aus Laon (1248).

Demnach scheint mir das Gebiet nördlich von Laon als Heimat

des zweiten Cop. gesichert.

Wir ersehen nun aus diesem Abschnitt II, dass die Heimats-

gebiete des ersten Verf. u. Copisten nahe zusammenlagen, dass

des ersten Verfassers nämlich südlich von den Städten Mdzieres u.

Sedan ungefähr, das des ersten Cop. nördlich von jenen Städten;

ebenso fanden wir als mutmassliche Heimat des zweiten Verf. das

Gebiet zwischen Laon u. Mezieres, als die Haimat des zweiten^

Copisten das nördlich von Laon gelegene Gebiet.

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\('

Ich, Richard Wilhelm Goerke, wurde geboren zu Gr. Bandt-

ken b. Marienwerder am 16. December 1860. Bis zum 11. Jahr

besuchte ich die Volksschule meines Heimatortes und wurde Ostern

187 1 in die Vorschule der Höheren Bürgerschule zu Marienwerder

aufgenommen. Mit dem Reifezeugnis für Prima von dieser Schule

entlassen, besuchte ich dann noch die Prima des Real-Gymnasiums

zu Thorn und bezog Ostern 1882 die Universität Berlin, um neuere

Sprachen zu studieren. Seit Ostern 1885 bin ich in Kiel imma-

trikuliert. Hier bestand ich am 8. Januar 1887 das Examen ri-

gorosum.

Ich besuchte die Vorlesungen der Herren Professoren und

Privatdocenten : du Bois-Reymond, Dilthey, Foerster, Geiger, G\o.

gau, Hoffory, Horstmann, Jessen, Krümmel, Paulsen, Scherer,

Sarrazin, Sterroz, Stimming, Tobler, Vogt, Zeller, Zupitza. Ihnen

Allen, insbesondere Herrn Prot. Stimming, spreche ich meinen

wärmsten Dank aus für die freundliche Förderung meiner Studien.

Thesen,

1) Das altfrz. maufd ist nicht aus malum factum entstanden,

wie Diez annimmt, sondern aus malum fatum.

2) Das Tierepos verdankt seine Entstehung nicht ener volks-

tümlichen Tiersage, sondern hat einen gelehrten Ursprung.

3) Die Grundbedeutung von regretter ist nicht: »beklagen«,

sondern: »herbeisehnen, herbeirufen«.

4) Das frz. ötage (afr. ostage) ist nicht wie Diez meint, auf

obsidaticum, sondern auf hospitaticura zurückzuführen.

5) Im Raoul de Cambrai, v. 1895 (nach d. Ausgabe von

P. Meyer) ist statt souplie souillie zu lesen.

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HB

Ca

HIB

Mfllif