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ÉDITORIAL

Le lecteur de la revue BD Nostalgia sera peut-être surpris de redécouvrir la nouvelle formule de son Bi-mensuel. Un tournant capital est en effet en marche : afin de s’adapter aux usages de ses lecteurs, l’équipe rédactionelle de la revue a pris le parti de souligner mieux encore la singularité de son journal avec une formule rénovée, rédigée dans un nouveau langage, plus ac-tuel et plus moderne. Désormais, l’essentiel des articles comme des analyses sera rédigé sur le mode plus attrayantes en couleur.

Quel autre média que la bande dessinée pouvait en effet mieux répondre à la crise de la presse écrite ? On ne le sait que trop bien – et les études et les sondages le confirment –, toutefois nous allons être un bi-mensuel qui sera seulement disponible sur internet.

Notre formule proposera aux lecteurs une compréhension de la bédé européenne, américaine et japonaise se qui fera le plaisir de tous,

Cependant, pour ne pas brusquer les habitudes de nos lecteurs les plus assi-dus, La revue changemera petit a petit sont look et visuel, petit-à-petit pour que le lecteur ne sois pas choqué par le changement.C’est le progrès ; n’ayez pas peur.

Sylvio Martins

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Dossier spécial:

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Dossier spécial:

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Véritable nom : Anthony Edward « Tony » Stark.Profession : Aventurier, PDG de Stark Industries ; anciennement secrétaire de la Défense US, technicien d’Askew Electronics, PG de Stark International, Circuits Maximus, Stark Enterprises, Stark Solutions.Statut légal : Citoyen des Etats-Unis sans casier judiciaire.Identité : Publiquement connu.Autre identité : « Tête de fer », « Ven-geur Doré », « Tetsujin », anciennement Crimson Dynamo, Iron Knight, Hogan Potts, « Spare Parts Man », a remplacé Cobalt Man (Ralph Roberts).Lieu de naissance : Long Island, New York.Situation de famille : Célibataire.Parents connus : Howard Anthony Stark (père, décédé), Maria Collins Carbonell Stark (mère, décédée), Mor-gan Stark (cousin), Isaac Stark Sr, Isaac Stark Jr (ancêtres, décédés).Appartenance à un groupe : Les Ven-geurs, le Club des Damnés (en dehors du cercle) ; anciennement les Illumina-ti, les Thunderbolts et la Force Works.

Première apparition : U.S.A.: Tales of Suspense #39 - France: Strange n°1.

Taille : 1,85 m (1,95 m en armure)Poids : 100 kg (192 kg en armure)Yeux : BleusCheveux : Noirs.

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Anthony « Tony » Stark est le fils de Howard et Maria Stark, dont la compagnie Stark Indus-

tries était l’une des plus importantes corporations US. A l’âge de sept ans, Tony fut envoyé à l’internat par son père dans l’espoir de l’« endurcir ». Tony trouvait difficile à se lier avec des gens, et il devint fasciné par les machines, qui pouvaient être con-trôlés ou réparés. Après avoir lui Le Morte d’Ar-thur par Thomas Malory, Tony devint passionné par ces histoires de Roi Arthur et de Chevaliers de la Table Ronde. Il fut aussi fasciné par les récits de science-fiction d’Isaac Asimov et de Robert A. Hein-lein, mais il grandit et commença à admirer des scientifiques et des explorateurs telles que Marco Polo, Wilbur et Orville Wright et Vasco Da Gama. Etant adolescent, Tony sortait avec Meredith Mc-Call, dont le père conduisait une compagnie rivale de Stark Industries. Les pères de Meredith et Tony forcèrent les deux à mettre fin à leur relation.

Enrôlé au MIT à l’âge de quinze ans, Tony était super-visé par les professeurs Théodore Slaight et Sal Ken-nedy. Il prouva qu’il était un prodige, et fut finalement diplômé du MIT avec une double maîtrise en physique et en ingénierie à l’âge de dix-neuf ans. Tony com-mença à travailler pour la compagnie de son père, mais en dépit de ses talents incroyables en tant qu’inventeur, il avait peu d’intérêt en l’ingénierie et encore moins

aux affaires. Il passa une grande partie de son temps à séduire les femmes et à boire avec son cousin Mor-gan et son meilleur ami Tiberius Stone. Tony s’engagea ensuite avec Sunset Bain, une femme de cinq ans son aînée, et sans faire attention, lui donna les accès de la sécurité de Stark Industries. Bain finança un raid sur la Stark Industries et utilisa des données volées pour créer sa propre compagnie rivale, Baintronics, mais les Stark ne pouvaient pas prouver leur engagement dans le vol.

Les origines

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Quand Tony atteint l’âge de vingt-et-un ans, ses par-ents moururent dans un accident de voiture et il hérita de Stark Industries. Son premier acte fut de racheter le

fabriquant de la voiture de ses parents et de corriger le problème des freins qui avait apparemment causé leur mort. Méconnu de Tony, le vrai superviseur de la mort de ses parents était le compagnie rivale Republic Oil (plus tard Roxxon Oil), qui espérait que Tony, qui ne s’intéressait pas à l’entreprise, puisse leur vendre. Manquant toujours de perspicacité en affaire, Tony promu sa secrétaire Virginia « Pepper » Potts comme son assistante exécutive, et lui laissa la majorité de sa charge de travail afin qu’il puisse se soustraire de ce qu’il concevait comme une charge.

Tony commença finalement à montrer quelques signes de rétablissement quand il devint engagé avec Joanna Nivena. Il développa aussi plusieurs contrats militaires pour sa compagnie, dont une proposition de tenue de combat pour protéger les soldats et développer leur capacité sur le terrain. Cherchant toujours des excuses pour sortir de son bureau, Stark supervisa personnel-lement un essai sur site de son matériel informatique militaire dans l’une de ses usines internationales ; cependant, peu après son arrivée, le groupe de Stark fut attaqué par une bande de terroristes dirigée par le révo-lutionnaire Sin-Cong, Wong-Chu (qui s’avéra être un laquais de conquérant nommé le Mandarin). Pendant l’escarmouche, une mine explosa et logea une pièce de l’éclat d’obus derrière le cœur de Tony. Amené au camp de Wong-Chu, Stark partagea une cellule avec

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le professeur Yo Hinsen, un technicien en médicament chinois. Wong-Chu demanda que les deux scientifiques développent des armes avancées pour son équipe. Sachant qu’il n’allait pas vivre assez longtemps avec l’éclat d’obus si près de son cœur, Stark proposa à Yin-sen qu’il développe avec lui ses talents pour créer une des ses tenues de combat qu’il avait conçu, équipé avec un générateur de champ magnétique pour empêcher l’éclat d’obus d’atteindre son cœur. L’armure qu’ils créèrent devint la première vraie armure d’Iron Man, et était équipé avec un armement magnétique grossi-er pour se défendre. Tandis que la batterie de l’armure se rechargeait, quelques un des hommes de Wong-Chu essayaient de pénétrer dans leur cellule pendant le pro-cessus. Yinsen créa alors une diversion, et fut tué par les balles des hommes de Wong-Chu. Quand les batter-ies devinrent complètement chargées, Tony Stark alla au combat en tant que Iron Man et terrassa le camp de Wong-Chu. Il retourna finalement aux Etats-Unis avec l’aide de l’US Marine James Rhodes. En tant que Stark, il offrit un travail à Rhodes dans sa compagnie au mo-ment où il en avait besoin.

Au début, Stark trouva sa nouvelle vie comme étant un tourment ; son poitrail d’armure devait être porté fréquemment et requérait des chargements réguliers ; et il garda son armure en secret pour n’importe qui, dont

sa fiancée. Devenant suicidaire, il enleva son poitrail pour mettre fin à ses jours, mais le replaça finalement, déterminé à conquérir son infirmité. Il commença à boire beaucoup pour surpasser sa dépression. Il chercha ensuite comment vendre son armure d’Iron Man, mais abandonna finalement ses plans, craignant de ce qui pourrait arriver si son armure tomba entre de mauvais-es mains. Il partagea finalement sa double identité avec Joanna, et elle l’encouragea à utiliser son armure pour devenir un super-héros et sauver des vies. Tony tourna autour de cette idée, mais Joanna rejeta immédiatement leur engagement parce qu’elle cherchait une famille et savait que Tony ne serait jamais le mari qu’elle désirait tant.

Iron Man commença à s’établir comme étant l’un des super-héros les plus éminents des Etats-Unis, mais tan-dis qu’il arrêtait une évasion de lions et de tigres d’un cirque, Tony aperçut que l’apparence de son armure ef-frayait les gens qu’il défendait. Inspiré par une sugges-tion de son rendez-vous nommée Marion, Tony dével-oppa l’armure en une version dorée. Sous le tutorat de Pepper, Tony commença à se développer comme un homme d’affaire tranchant dont le génie inventif, les marchés ingénieux et le marketing exalté éten-dirent l’influence et la renommée de Stark Industries. L’ennemi le plus fatiguant de Stark dans le monde des

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affaires s’avéra être le sénateur Harrington Byrd, qui dû être à plusieurs reprise convaincu des compétenc-es de Stark Industries à s’acquitter de leurs contrats, et teint des doutes insistants sur la véracité de Iron Man. Iron Man devint une mascotte importante de la com-pagnie, et Stark le nomma comme son « garde du corps » personnel.

Quand Hulk fut manipulé pour commettre des crimes par le sorcier asgardien Loki afin de le mener par la suite contre son demi-frère, Thor, le jeune ami de Hulk, Rick Jones, envoya un appel de détresse aux Quatre Fantastiques, seulement, Loki le détourna vers Thor. Par chance, le message fut aussi intercepté par Iron Man, et par l’Homme-Fourmi (Henry Pym) et la Guêpe (Janet van Dyne). Les quatre héros firent finalement équipe avec Hulk pour vaincre Loki. L’Homme-Four-mi suggéra que les cinq restent en équipe, et la Guêpe les nomma les « Vengeurs ». Tony fut productif en in-stallant le groupe, les finançant en premier à travers sa fortune personnelle et plus tard via l’association cari-tative nommé la Fondation Maria Stark. Il leur fournit aussi le manoir de sa famille à Manhattan pour servir de quartier général, renommé Manoir des Vengeurs. Le majordome de sa famille depuis longtemps nommé Ed-win Jarvis devint le seul membre de l’équipe qui resta pour servir les Vengeurs, et il devint une ressource indispensable pour l’équipe. Stark négocia également avec le NSA pour établir une permission de sécurité nationale avec l’agent spécial James Murch.

Alors qu’il testait sa voiture de course « Stark Spé-cial » se blessa dans un accident, mais fut sauvé par

l’ex-boxeur Harold « Happy » Hogan. Afin de le remer-cier, Stark engagea Happy comme chauffeur person-nel, et Happy devint comme un garde du corps pour Stark, éprouvant même du ressentiment pour Iron Man. Happy essaya également de séduire Pepper Potts, bien qu’elle semblait tour à tour intéressé par Stark ou bien Iron Man. Tony était fortement attiré par Pepper, mais il compris qu’il ne pourrait jamais connaître une relation normale à cause de son armure, et il essaya souvent de décourager les attentions romantiques de Pepper. Pen-dant ce temps, l’ancien scientifique de Stark Industries Gregor Shapanka (viré pour vol) revint poue menacer Stark en tant que le générateur de glace nommé Jack Frost, et allait combattre sans cesse Iron Man dans le futur sous el nom de Blizzard. Stark combattit égale-ment super-agent russe en armure nommé la Dynamo Pourpre (Anton Vanko) et le convainquit d’abandon-ner sa carrière criminelle. Vanko rejoignit la Stark In-dustries et mourut plus tard en défendant la compagnie d’un nouveau Dynamo Pourpre (Boris Turgenov) et de l’espionne russe nommée la Veuve Noire (Natasha Ro-manoff).

Dans l’une des premières aventures des Vengeurs, le Fantôme de l’Espace prit la place de Hulk, qui réalisa alors comment ses coéquipiers avaient peu confiance en lui. Hulk quitta les Vengeurs, et Stark avança pénible-ment pour prouver au gouvernement que l’équipe était encore viable. Tandis qu’il combattait le vilain Mr Doll, Iron Man se trouva lui-même sans pouvoir con-tre les aptitudes de son ennemi qui lui causa des dou-leurs en utilisant des talismans magiques. Stark reprit complètement la conception de son armure en une nou-

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velle, d’une configuration rouge et or plus légère, et il vainquit Mr Doll dans un nouveau combat. Iron Man rejoint ensuite les Vengeurs pour chercher Hulk, et ils tombèrent alors dans un combat avec Namor le Prince des Mers. Tandis qu’ils pourchassaient Hulk, ils tom-bèrent sur le corps comateux de Captain America, le fameux héros de la seconde guerre mondiale. Remit sur pied, Captain America fut bien accueilli dans le présent par les Vengeurs et fut invité à les rejoindre dans leurs rangs. Captain America fut important pour prouver que l’équipe était viable, et il devint aussi important parmi eux que Stark lui-même.

Iron Man vint ensuite à se confronter en face à face avec le Mandarin pour la première fois. A un moment de ses aventures, la batterie de l’armure d’Iron Man commença à s’affaiblir et Stark manqua de succomb-er à une attaque cardiaque, mais il resta dans l’armure d’Iron Man pendant des semaines jusqu’à ce qu’il fut finalement capable de modifier la batterie du poitrail. Au même moment qu’il avait fondé les Vengeurs, Stark aida à établir la super-agence d’espionnage du SHIELD pour combattre des menaces terroristes. Stark fut re-joint par Red Richards (Mr Fantastic des Quatre Fan-tastiques) et l’inventeur mutant Forge pour construire le premier héliporteur, un énorme vaisseau aéroporté qui devint la base d’opérations mobile du SHIELD. Stark fournit également le SHIELD avec des armes, des uni-formes de protection, des véhicules et toute sortes d’ac-cessoires spéciaux. L’androïde LMD (Life Model De-coy) de Stark qui pouvait prendre la place d’un humain, fut d’un usage particulier au SHIELD, et Stark utilisa occasionnellement le LMD pour que lui et Iron Man puissent apparaître au même endroit. Stark recomman-da le Colonel Nick Fury pour servir comme directeur du SHIELD et Fury prit immédiatement cette position.

Iron Man, Giant-Man (Henry Pym), la Guêpe et Thor quittèrent tout provisoirement les Vengeurs, mais l’équipe continua sous le commandement de Captain America, avec les nouvelles recrues dont la Sorcière Rouge, Vif-Argent et Œil de Faucon (Clint Barton), un archer hors-la-loi, Œil de Faucon avait combattu Iron Man sous l’influence de sa copine, la Veuve Noire, mais Iron Man reconnut le désir sincère d’œil de Faucon de se réformer et supporta son adhésion chez les Vengeurs. Continuant à fournir les Vengeurs financièrement et avec des besoins technologiques, Tony resta disponible en tant qu’Iron Man si c’était nécessaire, rejoignant et

sortant de leurs rangs plusieurs fois au fil des années qui suivirent, servant parfois comme président. Quand le russe en armure nommé Titanium Man (Boris Bull-ski) défia Iron Man de le combattre en Albérie, Stark rencontra et défia son ennemi, mais Happy fut blessé en aidant Iron Man. Au même moment, Pepper réalisa qu’elle aimait plus Happy que Tony, et Tony les en-couragea à se mettre en couple. Happy détermina par la suite que Tony était Iron Man. Quand Tony s’effondra sous la douleur après un autre combat avec Titanium

Man, le public commença à spéculer qu’il était Iron Man. Pour aider Tony à garder ses secrets, Happy enfi-la l’armure, seulement pour être capturé par erreur par le Mandarin. Se forçant à se remettre de ses dernières attaques cardiaques, Tony sauva Happy. Peu après cela, Pepper et Happy se marièrent.

Le SHIELD envoya leur agent Jasper Sitwell pour aider à diriger la sécurité de Stark Industries et défen-dre leurs intérêts dans la compagnie. Stark trouva cela comme étant une nuisance non recherché alors que la présence de Sitwell compromettait sa double iden-tité. Jasper et Tony tombèrent tous deux amoureux de la magnifique Whitney Frost, mais elle s’avéra être la fille de l’ennemi des Vengeurs le Comte Néfaria et membre de haut rang du syndicat du crime nommé la Maggia. Cherchant à voler les inventions de Stark, elle envoya des agents comme Whiplash (Mark Scarlotti) et le Gladiateur (Melvin Potter) contre lui. Quand l’ar-mure de Tony commença à lui faire défaut et avait be-

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soin d’une modification immédiate pour sauver sa vie, Happy aida Tony à construire la nouvelle armure. Tony Stark s’engagea aussi avec Janice Cord, dont le père mourut dans une tentative conduite par la haine pour tuer Iron Man.

Après avoir utilisé un LMD pour duper le Mandarin et protéger son identité, Stark fut horrifié quand le LMD développa une personnalité indépendante et usurpa son identité. Le LMD obtint une armure d’Iron Man et commença à diriger la Stark Industries quand le vrai Stark était ailleurs, croyant être supérieur à Tony. In-capable de prouver son identité, Tony tomba sous la prise de Madame Masque (Whitney Frost maintenant costumée), un agent de l’adorateur de l’or Mordecai Midas, qui essaya de forcer Stark à lui donner sa for-tune. Tony utilisa son armure d’origine d’Iron Man pour détruire l’imposteur LMD, mais il souffrit d’une autre attaque cardiaque en agissant. Les Vengeurs le conduisirent à l’hôpital où le Dr José Santini transplan-ta un cœur synthétique dans son buste, afin que Stark n’ait plus besoin de son poitrail pour vire. Effrayé de continuer en tant qu’Iron Man par crainte de sa santé précaire, Stark détruisit les opérations de Midas, puis il chercha à se retirer. Stark se reporta sur le boxeur Edward « Eddie » March, le partenaire de l’époque de Happy, pour servir comme le nouveau Iron Man. Fan

d’Iron Man, March accepta la mission, mais il n’infor-ma pas Stark qu’il souffrait d’un caillot sanguin dans son cerveau qui pouvait conclure à sa mort pendant un combat. Quand March entra en action pour la première fois, il se trouva face au dernier Dynamo pourpre (Alex Nevsky). March mourut presque au combat et Stark fu forcé de reprendre l’identité d’Iron Man. Alors qu’Iron Man combattit la Dynamo pourpre, ils furent tous deux attaqués par Titanium Man, et Janice fut tué dans la zone de combat. Encore liés romantiquement à Janice, Nevsky et Stark s’accusèrent l’un et l’autre.

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Alors que les sentiments du public contre sa compag-nie augmentaient, Tony commença à retirer la partie armement de sa compagnie. Se liant d’amitié avec l’ingénieur Kévin O’Brien, Stark lui révéla finalement sa double identité. Il conçut une seconde armure pour O’Brien, lui permettant de devenir Guardsman et l’as-sister en cas d’urgence ; cependant, quand O’Brien en-fila l’armure, un fonctionnement défectueux dans ses contrôlés cybernétiques causa un désordre de person-nalité faisant en sorte que O’Brien commença à haïr Iron Man, et il chercha à voler la copine actuelle de Stark, Marianne Rogers. O’Brien s’allia avec Simon Gilbert, un actionnaire de Stark Industries qui s’opposa au retrait de l’armement de la Stark. Quand Iron Man et Guardsman combattirent, Iron Man tua accidentel-lement Kévin. Simon Guilbert continua à importuner Stark, avec son fils Gary, le vilain activiste Firebrand ; cependant, la sœur de Gary, Roxanne, était amoureuse de Tony et essaya de mettre fin aux hostilités de sa fa-mille envers lui. Suivant l’engagement des Vengeurs dans la guerre Kree-Skrull, Iron Man rejoint Mr Fan-tastic, Flèche Noire des Inhumains, le Professeur Xavi-er des X-Men, le sorcier Dr Strange et Namor afin de fonder les Illuminati, une organisation secrète conçut pour partager leurs connaissances et mettre leurs res-sources en commun contre des menaces majeures.

Alors que sa compagnie commençait à s’étendre à tra-vers le monde, Tony renomma la corporation en Stark International pour le refléter. Après avoir été princi-pal témoin de l’impact que les armes de sa compagnie avait sur les vies innocentes, Tony se résolut à aban-donner l’armement pour toujours, et Stark Internation-al se tourna plutôt vers la fabrication d’électronique et d’ordinateur à partir de cet instant. Michael O’Brien se retroussa finalement à blâmer Iron Man pour la mort de son frère Kévin et chercha à le poursuivre en justice, mais il reconnut finalement l’héroïsme d’Iron Man et laissa tomber. Adoptant une nouvelle armure de Guardsman, O’Brien aida Iron Man contre le Man-darin et fit plu tard équipe avec le novice super-héros nommé Valet de Cœur et d’autres pour aider Iron Man contre Midas. Iron Man prit sous son aile le Valet de Cœur pendant un moment après cela, puis le Valet s’envola ensuite de ses propres ailes en solo.

Stark et Madame Masque devinrent amoureux l’un de l’autre et se fréquentèrent, mais elle se retourna finale-ment contre Tony dans l’espoir de sauver la vie de son

père. Néfaria mourut apparemment pendant le conflit entre Iron Man et Madame Masque et les deux amou-reux se séparèrent. Pendant ce temps, le SHIELD était frustré que Stark International laisse tomber l’arme-ment, ce qui les força à se tourner vers des fabricants inférieurs pour les fournir. Nick Fury autorisa trois de ses agents à tenter une prise de pouvoir hostile sur la

compagnie de Stark, mais les agents devinrent dangere-ux et tentèrent de tuer Stark au lieu de cela. Bien que Stark survécut, il fut frustré de la trahison de Fury en leur confiance.

A cette époque, le personnel clé de la Stark Interna-tional comprenait James Rhodes, qui accepta finale-ment un poste comme pilote de Stark ; la secrétaire extrêmement compétente de Stark, Bambina « Bambi » Arbogast ; le chargé de relations publiques Artemus « Artie » Pithins ; le chef de la sécurité Victor « Vic » Martinelli, postés à la Stark par le programme de réimplantation des témoins ; la vice-présidente Yvette Avril ; la neurochirurgienne Erica Sondheim et enfin le technicien en électronique Scott Lang (secrètement le

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nouvel Homme-Fourmi). Tony commença également à sortir avec la garde du corps Béthany Cabe.

L’industriel rival de Stark nommé Justin Hammer conçut un appareil qui pouvait lui permettre d’avoir un contrôlé limité sur l’armure d’Iron Man, et il com-mença à tester ses contrôlés, en créant des fonctionne-ments défectueux aléatoires, du moins en apparence. Hammer prit finalement plein avantage de son pouvoir

quand Iron Man assista à une cérémonie publique de Sergei Kotznin, ambassadeur de Carmélie, dont l pays était prêt à signer un contrat avec Stark International.

Hammer fit en sorte que l’armure tire un rayon répul-sif à travers le torse de Kotznin, le tuant sur le coup. Quand Iron Man enquêta et coopta son armure, Cap-tain America entraîna Tony en combat à mains nues afin qu’il puisse essayer de nettoyer son nom sans uti-liser l’armure. Découvrant que Hammer dirigeait une île artificielle pleine de super-vilains comme employés, Stark les vainquit en tant qu’Iron Man, puis captura un des meilleurs scientifiques de Hammer pour témoigner en son nom ; cependant, Hammer restait intouchable par la loi.

Le stess combiné des machinations de Hammer et la pression constante du SHIELD conduisirent Tony à boire encore plus souvent. Béthany Cabe empêcha Tony de succomber complètement, et il commença à se rendre compte de son alcoolisme et à le maîtriser. Rebondissant, Tony fit face à des épreuves comme Ed-win Cord de la compagnie Cordco, et, en exposant les activités criminelles de Cord, le conduisit à la ruine. Tony acheta ensuite Cordco pour Stark International. Stark commença à développer des armures spéciales d’Iron Man, dont sa première armure spatiale et celle à faible visibilité (furtive). Il utilisa au début l’armure furtive pour sauver le mari depuis longtemps disparu de Bethany, Alex von Tiburg, mais cela conduisit Tony et Bethany à se séparer alors qu’elle retourna avec von Tiburg. Quand Pourpoint Jaune (identité actuelle de Henry Pym) commença à devenir instable et abu-sa de sa femme, la Guêpe, Tony eut la tâche difficile de joindre les autres Vengeurs pour le juger, forçant le départ de Pym de l’équipe. Tony commença ensuite à fréquenter la Guêpe, mais Captain America – ayant récemment appris que Tony était Iron Man – le con-vainquit que cette relation n’était pas d’éthique. Tony

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Tony commença à fréquenter Clytemnestra tandis que les quatre commençaient à poser leur propre compagnie basée en Californie Circuits Maximus, mais Stane n’en avait pas encore fini avec Stark. Il implanta une bombe dans leur laboratoire, tuant Morley et blessant griève-ment Rhodes. Réalisant que Stane devait être stoppé, Tony construisit son armure la plus avancée tech-nologiquement à ce moment au nouveau Complexe des Vengeurs de la Côte Ouest et se confronta à Stane, qui avait conçu sa propre identité en armure sous le nom de

Iron Monger. Quand Tony vainquit Iron Monger, Stane se suicida.

Rejoignant les Vengeurs comme membre leur nou-velle équipe de l’ouest (dirigée par Œil de Faucon), Tony commença à réacquérir sa fortune et développa fi-nalement sa propre nouvelle compagnie sous le nom de Stark Enterprises, se concentrant sur l’exploration spa-tiale ; cependant, la mort de Morley tourna Clytemnes-tra contre lui. Elle trahit Tony pour l’AIM et mourut en

révéla sa double identité à la Guèpe, et elle mit fin à leur romance.

En s’opposant aux tentatives d’Obadiah Stane de for-mer un conglomérat des plus importantes multinatio-nales, Tony se fit sans le vouloir un dangereux ennemi. Stane mit en place des jeux de guerre psychologique contre Tony qui comprenaient des attaques physiques de ses super-agents les Pièces d’Echecs, mettant des surenchères sur des contrats clés de la Stark Interna-tional, et amenant son laquais Indries Moomji à séduire Stark, tout cela afin que Stark se remette à tomber dans l’alcool. Sous la pression de Stane, Tony répondit comme il l’avait anticipé, et après qu’Indries ne re-jette Stark, elle tenta réellement de s’opposer à Stane. Quand le vilain Magma attaqua Stark International, Tony s’avéra trop saoul pour faire un combat efficace, et révéla à sa place sa double identité à Rhodes. Avec Tony dans les vappes, Rhodes enfila l’armure et dé-fia Magma, et Tony lui demanda de garder l’armure. Il tourna ensuite le dos à la Stark International et conti-nua à boire alors que la compagnie, ses propriétés et sa fortune commencèrent à battre de l’aile. Obadiah Stane intervint alors et réclama la Stark International, la re-nommant Stane International, Rhodes empêcha Stane d’obtenir les armures d’Iron Man.

Tandis que Rhodes continua à servir en tant qu’Iron Man sans lui, Tony tomba au plus bas, buvant pour oublier ses problèmes. Il se lia d’amitié avec une femme enceinte nommée Gretl Anders, une parte-naire de beuverie régulière. Lors d’une nuit enneigée, Gretl fut prête à donner naissance, mais ils n’avaient pas d’argent pour une chambre chaleureuse ; Tony mit au monde l’enfant et le garda vivant, mais Gretl périt. Après ces expériences, Tony surpassa finalement son alcoolisme. Il chercha à réparer son amitié avec Rhodes et ses lia d’amitié avec les jumeaux alliés de Rhodes, Morley et Clytemnestra Erwin, qui avait été responsable de l’entretien de l’armure pendant des mois ; cependant, Rhodes devint méfiant de Tony et refusa la maintenance de l’armure. Tony réalisa que le lien cybernétique avait probablement fait barrage aux ondes cérébrales de Rhodes, et il façonna un nouveau modèle de son armure original pour se confronter à Rhodes et prouver qu’il n’était pas son ennemi. Con-vaincu, Rhodes permit finalement à Tony de prendre soin de son armure.

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essayant de combattre Iron Man. Rhodes resta fidèle à Tony et porta occasionnellement l’armure d’Iron Man, mais après un incident où il fut presque brûlé à mort, il essaya de renoncer à l’armure pour son bien.

Alors que Tony venait d’acquérir la compagnie Ac-cutech, elle fut sabotée par Ghost, un mercenaire an-ti-industrie. L’ennemi de toujours de Tony nommé Spymaster prit également pour cible Accutech, et il infiltra les ressources de Stark Enterprises avant que Ghost ne le tue. Tony intervint encore dans les plans de Justin Hammer quand il fournit un sanctuaire à Force (Clayton Wilson), un agent de Hammer qui cherchait à se réformer. Stark s’arrangea pour fausser la mort de Force et lui conféra une nouvelle identité en tant que Carl Walker, un chercheur en sciences. Pendant la dé-flection de Force, Iron Man rencontra aussi d’autres super-agents de Hammer dont le nouveau Blizzard (Donnie Gill) et Tony chercha à aider le jeune Gill à se réformer également. Saisissant l’armure de Force, Stark l’analysa immédiatement. A son grand étonne-ment, il trouva des structures de circuits électroniques

basé sur ses propres design de l’armure. Employant l’ingénieur informatique Abraham Zimmer (ancienne-ment d’Accutech) et Scott Lang, Tony fit une incursion dans les enregistrements informatiques de Hammer et découvrit que Spymaster avait volé ses conceptions et les avait vendus à ses clients super-vilains, dont le Scarabée (Abner Jenkins), le Contrôleur, le fondeur (Brendan Doyle), les Raiders et l’Homme-Echasses (Wilbur Day). Enragé à l’idée que des gens innocents puissent avoir, été tué à cause de sa technologie, Tony se résolu à éliminer toutes traces de sa technologie qui était tombée entre de mauvaises mains.

Ayant déjà effacé tout les enregistrements informa-tiques de Hammer avec un virus fait par Zimmer, Tony assigna son équipe juridique pour arrêter les criminels tandis qu’Iron Man les confronta directement, en util-isant un pack pour geler les circuits de leurs amures ; cependant, il y eut peu d’avocats de Stark capables de l’aider. Apprenant que Zimmer et Lang avaient été incapables retrouver un nom dans la base de données de Hammer, Tony suspecta que cela pouvait être Sting-

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ray, un employé fédéral. Quand Stingray refusa qu’on lui confisque son armure, Iron Man le battit au combat, seulement pour trouver que Stingray ne possédait au-cunes de ses conceptions dans son armure. Iron Man était maintenant recherché pour avoir agressé Stingray, et Tony dénonça publiquement et renvoya son autre identité en croyant que c’était la meilleure solution possible pour tenir le combat en dehors de la loi.

Quand le SHIELD devint engagé, Stark prétendit de coopérer avec eux pour capturer Iron Man, mais il util-isa finalement l’opportunité pour confisquer l’armure de combat du Mandroïde qu’il avait construit pour leurs agents. Décidant qu’il ne pouvait plus faire confi-ance en quiconque possédant sa technologie, Tony prit ensuite pour cible l’armure des Guardsman qu’il avait fourni pour la Voûte, la prison national pour les plus dangereux surhumains. Au même moment, le gouver-nement avait retiré à Captain America son identitéet il adopta un nouvel alias en tant que « Captain ». A la demande de Rogers, Tony lui fournit un nouveau bou-clier, espérant qu’il pourrait servir comme pot-de-vin pour empêcher l’interférence de Steve dans sa crois-ade en armure ; cependant, Captain essaya de stopper le raid de Tony dans la Voûte, et défendit les derniers Guardsman restants. Iron Man conduisit finalement Captain à rendre le bouclier de Tony Stark, et depuis ce temps, leur relation a été très tendue.

Attaquant ensuite la Dynamo Pourpre (Dimitri Bukharin) et Titanium Man (le Gremlin) en Russie, Tony gela l’armure de la Dynamo et tua accidentelle-ment Titanium Man. Dénoncé comme un hors-la-loi international, Iron Man fut renvoyé des Vengeurs. De plus en plus concerné par les mauvaises actions d’Iron Man, les militaires US se tournèrent vers Edwin Cord, qui les fournit avec la seul armure de Hammer dérivée de celle de Stark qu’il avait été incapable de localiser plus tôt : Firepower. L’agent de Cord, Firepower, leurra Iron Man dans un combat et lança une attaque dévasta-trice sur lui. Ne voyant pas d’autres issues, Tony faus-sa la mort de Stark en lançant à distance son armure, que Firepower détruisit. Stark fut content de passer ses jours sans Iron Man derrière lui, mais Cord continua sa vendetta contre Stark en envoyant Firepower détruire son affaire. Finalement, Tony construisit une nouvelle version de l’armure d’Iron Man et vainquit Firepower. Tony décida de rester « actif » en tant qu’Iron Man, mais clama publiquement que sa compagnie avait en-

gagé un nouvel Iron Man. Le « nouveau » Iron Man rejoignit les Vengeurs, plusieurs d’entre virent la trom-perie de Tony immédiatement, et Iron Man déclara plus tard aux Vengeurs qu’il était toujours Tony Stark.

Alors que les affaires de Tony continuaient à prospérer, il s’engagea avec des femmes comme Brie Daniels, Rae La Coste et Kathleen Dare. Préoccupé par son style de vie trépidant, Tony ne réalisa pas que Kathleen le traqua jusqu’à ce qu’il soit trop tard ; elle

lui tira dessus, endommageant sa colonne vertébrale et le laissant incapable de marcher. Utilisant à l’origine une chaise roulante, Tony devint irrité de la façon dont les gens le voyaient. Il modifia l’armure d’Iron Man afin qu’il puisse avoir pleine mobilité tandis qu’il était en armure, et il commença à passer plus de temps en armure. Quand Tony apprit qu’une biopuce pouvait lui permettre de retrouver son entière mobilité, il risqua sa vie en l’implantant et il retrouva finalement sa mobilité.

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La biopuce gagna l’attention d’un ennemi industriel nommé Kearson DeWitt, qui causa des torts à Stark Enterprises dont Tony resta ignorant. Financé person-nellement par Desmond Marrs de Marrs Corporation, DeWitt détourna la biopuce et contrôla le système nerveux de Tony, plaçant son corps entier sous une douleur terrible. Stark résista au contrôlé extérieur en utilisant un lien encéphalogramme dans son armure, mais au moment où il vainquit DeWitt, son corps fut si endommagé qu’il ne pouvait quasiment plus bouger. Tony enfila un costume neuronet très fin qui l’aida dans ses fonctions, mais son armure devint la seule voie sûre pour le garder en vie. Il chercha l’aide du Dr Su Yin en Chine, mais le gouvernement chinois lui permettait seulement d’assister Stark s’il envoyait Iron Man con-tre le Mandarin, qui avait formé une alliance avec le dragon Makluen Fin Fang Foom et son peuple. Rhodes enfila l’armure pour affronter le Mandarin, espérant épargner Tony du combat, mais Rhodes fut vaincu. Tony recourut à utiliser une unité de téléprésence qui lui permettait de contrôler son armure à distance, mais dût finalement se résoudre à enfiler l’armure pour vain-cre el Mandarin et ses dragons.

Lors d’une mission avec les Vengeurs pour stopper la guerre Kree-Shi’ar qui avait menacé le système solaire de la Terre, Iron Man fut consterné en découvrant que

la Suprême Intelligence Kree avait prévu un massacre de son propre peuple. Désobéissant à Captain Ameri-ca, Iron Man dirigea une équipe de Vengeurs rebelles pour apparemment exécuter la Suprême Intelligence. Après cela, il exprima ses regrets à Captain America, et les deux tentèrent de réparer leur amitié déjà assez effilochée. Alors que le cœur de Tony continua à se détériorer, il conçut une armure estimant les menaces variables (aussi nommée « War Machine ») et gagna les fonds de Stane International de son dernier pro-priétaire, Justin Hammer. Succombant à un défaut to-tal du système nerveux, Tony périt apparemment sur la table d’opération. Selon ses dernières volontés, il fit de Rhodes le nouveau PDG de Stark Enterprises, et lui laissa l’armure de War Machine poursuivre en tant qu’Iron Man. Rhodes respecta ses volontés.

Tony, cependant, avait employé Erica Sondheim et Abe Zimmer pour le placer en conservation cryogénique tandis qu’ils refirent la carte de son système nerveux, reconstruisant essentiellement son corps. Après qu’une interface de cyber-espace fut installé, Tony les aida à compléter leur travail tandis qu’il était en stase. Une fois qu’il ressuscita, Tony trouva qu’il devait ré-ap-prendre comment perfectionner même les plus simples fonctions de son corps, mais ses sens étaient plus acérés qu’avant. Il révéla sa survie à Rhodes, qui fut furieux

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au point d’être déçu et quitta immédiatement Stark En-terprises. Les Vengeurs furent brouillés également avec la tromperie de Stark, et Rhodes prit encore la place de Tony dans l’équipe. Tony permit à Jim et garder l’ar-mure de War Machine et Rhodes continua ses aven-tures sous l’identité de War Machine. Tony lança un nouveau set d’armure, la Neuromimetic Telepresence Unit 150 (soit l’unité de téléprésence neuromimétique ou NTU-150), qu’il pouvait contrôler de son lit. Em-ployant Veronica Benning pour l’assister dans sa ré-éd-ucation, Tony devint engagé romantiquement avec elle. Il commença aussi à concevoir des intelligences artifi-cielles pour les aider dans leurs travaux, dont HOMER (Heuristically Operative Matric Emulation Rostrum) et PLATO (Piezo-electrical Logistic Analytic Tactical Operator).

Quand le NTU-150 fut détruit en combat avec Ultimo, le feedback tua presque Tony. War Machine recruta Bethany Cabe, Michael O’Brien, Eddie March, Hap-py Hogan et Clayton Wilson pour porter d’anciennes armures d’Iron Man et combattre Ultimo en tant que la « Iron Legion », mais finalement, ce fut Stark, équipé avec sa nouvelle armure modulaire, qui vainquit Ul-timo. Quand les Vengeurs débattirent pour supprimer leur branche de la côte ouest qui galérait, Iron Man re-tourna juste assez longtemps pour participer au vote dé-cisif en faveur de démanteler l’équipe de l’ouest, puis il se résigna. Il recruta rapidement plusieurs Vengeurs de l’ouest dans une équipe de sa propre fabrication, la Force Works, et leur fournit un plein accès à sa tech-nologie de pointe. Bien qu’il nomma la Sorcière Rouge comme chef d’équipe, Tony assuma souvent le rôle, causant des tensions internes. Quand la santé de Cap-tain America commença à partir dû à la détérioration de son sérum de super-soldat, Tony l’équipa avec une armure pour l’aider à prolonger sa vie et lui permettre de continuer à combattre le crime, ayant été dans une situation similaire lui-même.

A cette époque, Tony était tombé secrètement et pe-tit-à-petit sous le contrôle d’Immortus, dirigeant de Limbo, qui s’avérait être un Kang alternatif (apparem-ment, son influence avait contribué à sa participation dans l’exécution de la Suprême Intelligence). Planifiant de garder les Vengeurs occupés grâce à ses maîtres cos-miques les Time-Keppers, Immortus fournit Iron Man avec de mystérieux alliés, finalement des Fantômes de l’Espace déguisés. Alors que Tony perdit le contrôle,

il tua un Vengeur (Pourpoint Jaune alias Rita DeMa-ra), la nounou du Manoir des Vengeurs Marilla et la journaliste de Force Works Amanda Chaney. Quand les Vengeurs réalisèrent que maintenant Tony Stark était leur ennemi, ils s’arrêtèrent dans une époque al-ternative pour recruter un jeune Tony Stark qui était certain d’être libre de l’influence d’Immortus, depuis qu’Immortus avait apparemment corrompu l’esprit de Stark depuis des années. Le jeune Tony Stark les aida à anticiper les actions de Tony, et ils prirent d’assaut

un bunker arctique où Tony avait travaillé sur la su-per-arme d’Immortus, un transposeur temporel, qui allait porter la Terre en dehors de son époque. Tony failli tuer sa jeune personne au combat, mais il regretta finalement ses actions, conçut plaque thoracique pour sauver le jeune Tony et donna sa propre vie pour détru-ire le transposeur.

Le jeune Tony Stark démarra une nouvelle vie tandis

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que Stark Enterprises tomba sous les mains de Fujik-awa Industries, mergeant en Stark-Fujikawa. Rhodes empêcha encore une fois les secrets de l’armure d’Iron Man d’être acquis. Le jeune Tony Stark, portant sa pro-pre armure d’Iron Man, périt apparemment avec les Quatre Fantastiques et les Vengeurs dans un combat avec le monstre psionique Onslaught ; cependant, ils furent tous recréés sur la Contre-Terre façonnée par les pouvoirs mutants de Franklin Richards, un monde où Tony Stark renaquit en tant qu’adulte plutôt qu’un adolescent. Sur ce monde, le cœur de Stark était en-dommagé suite à un combat avec Hulk, et il requérait l’armure d’Iron Man pour prolonger sa vie. Lui et les autres personnes emmenés sur la Contre-Terre appri-rent finalement que ce n’était pas leur monde et furent renvoyés chez eux. Suivant son retour, Tony, encore adulte, trouva qu’il avait les souvenirs et les expérienc-es collectés du Tony Stark original, mergés avec celle de l’adolescent alternatif Tony et la personne qu’il avait

été sur la Contre-Terre.

Encore une fois au pic de la mort, Tony conçut une nouvelle armure d’Iron Man et aida à ré-établir les Ven-geurs. Plutôt qu’essayer de regagner sa vieille compag-nie, Tony mit sur pied Stark Solutions, une firme de con-sultants. Il rencontra ensuite Rumiko Fujikawa, la petite fille du fondateur de Fujikawa et ils commencèrent à se fréquenter. La vie de Tony fut encore en danger quand il apprit que l’exposition constante à la technologie de son armure menaçait sa vie, mais il reconçut l’armure pour corriger ce problème. Quand Iron Man vainquit le vilain Mentallo, Tony prit avantage de cette situation et utilisa l’appareil qu’utilisait Mentallo pour contrôler l’esprit afin d’effacer toute connaissance de son iden-tité secrète souvent compromise de chaque personne sur Terre. Il révéla ensuite ceci aux personnes qu’il considérait fidèles, leur causant ainsi de se souvenir de ce qui avait été effacé. Certains furent vraiment peu

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à l’aise sachant qu’on avait touché à leur mental uni-latéral, Captain America en particulier le désapprouva. Tony aida aussi le Vengeur Warbird (Carol Danvers), car elle avait développée des problèmes d’alcoolémie. Il la conduisit aux Alcooliques Anonymes et aida à la réhabiliter.

Pendant un conflit avec Sunset Bain, Tony découvrit que la conscience du robot Jocaste, un Vengeur de l’époque, était captive de Bain. Tony libéra Jocaste, qui devint son ordinateur assistant personnel ; cepen-dant, Jocaste souffrit sans le vouloir de Ultron Im-perative, un programme enfoncé profondément, dans toutes les créations la menace robot nommée Ultron, les forçant à chercher les moyens de ressusciter Ultorn s’il était vaincu. Jocaste fut forcé de préparer l’armure d’Iron Man pour devenir le nouvel hôte d’Ultorn, mais le processus accéléra quand Iron Man fut touché par un arc électrique, causant à Tony de souffrir d’une at-taque cardiaque au même moment. Pensant que l’ar-mure s’était alloué une propre conscience, Tony essaya d’éduquer l’armure, et l’aspect bénin de la personnalité d’Ultron 12 fut réceptif, mais la cruauté de la plupart des anciens modèles d’Ultron corrompirent l’armure, et elle assassina Whiplash pendant un combat ; cepen-dant, l’armure sacrifia sa « vie » pour sauver Tony, dont le cœur avait lâché. Après avoir implanté un « cœur » robotique dans le buste de Tony qui le sauva, l’armure se désactiva.

Soucieux qu’il puisse développer une autre armure in-contrôlable, Tony commença à porter de vieux modèles de l’armure plutôt que de construire un nouveau de-sign. Il rencontra ensuite les Fils de Yinsen, des moines dont le mentor était Ho Yinsen, qui avait préservé le cerveau de leur leader après sa mort. Les Fils portèrent des armures similaires à celle que Tony et Yinsen avaient construites des années auparavant. Apprenant que Wong-Chu était encore vivant, Stark aida les Fils de Yinsen à le combattre, et un des moines assassina finalement Wong-Chu. Plus tard, Tiberius Stone se réinséra dans la vie de Tony quand il commença à com-mercialiser sa technologie de réalité virtuelle nommée « Dreamvision ». Stone commença à sortir avec Ru-miko, stoppant sa relation avec Tony, et Stark décou-vrit que Stone avait de grands plans pour conquérir la Terre avec Dreamvision ; il commença ses plans en focalisant ses ressources en salissant l’image publique de Tony. Stark défia finalement Stone avec Dreamvi-

sion, mais Stone planta un message subliminal dans le cerveau de Tony qui lui causa de donner sa fortune et de fermer Stark Solutions. Adoptant l’identité d’Hogan Potts, Tony devint un simple technicien informatique pour Askew Electronics, construisant petit à petit une nouvelle armure à partir de SKIN (Synthetic Kinetic

Interfacing Nanofluid – Cinétique synthétique interfa-cant avec nanofluides) d’Askew, un fluide digital qui peut former une enveloppe autour d’objets les rendant quasiment plus solides que l’Adamantium. Iron Man combattit le Fantôme et l’AIM quand ils tentèrent de bombarder Askew, et il reprit finalement son identité de Tony Stark, réclamant sa fortune et retourna à ses affaires à la Stark Enterprises.

Les Fils de Yinsen trouvèrent les restes de l’armure qu’Ultron avait habité et ils tentèrent de la transform-er pour en faire un nouveau foyer pour le cerveau de Yinsen ; cependant, le programme Ultron ressuscita et assuma la maîtrise des Fils de Yinsen. Le seul moine

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qui résista, Sun Tao, rejoint ses forces avec Tony pour vaincre Ultron, mais les autres Fils de Yinsen périrent apparemment. A ce moment, le programme de Jocaste sortit des systèmes de Tony et prit résidence dans le corps de Antigone, l’androïde désactivé progéniture de l’épouse truande d’Ultron nommée Alkhema. Tony révéla finalement sa double identité au public quand il enfila son armure pour sauver un chien de finir mort écrasé par une voiture. Rumiko, finalement séparé de Stone, se réconcilia avec Tony et s’arrangea pour qu’il retrouve le contrôle de sa compagnie de base sous son nom d’origine – Stark Industries. Depuis ce moment, Tony et Rumiko devinrent un vrai couple. Tony rent-ra également plusieurs fois en conflit avec Temugin, le fils du Mandarin (apparemment décédé), qui com-battit Tony principalement hors de l’engagement de la mémoire de son père.

Le chef d’équipe du président des Etats-Unis, Stu Conrad, offrit à Tony un poste dans le département de la défense comme fournisseur. Bien que Tony n’était pas intéressé, il enquêta sur les récents problèmes du département et découvrit que le chef des acquisitions Sonny Burch avait utilisé la technologie d’Iron Man dans l’équipement de la défense, exploitant un point faible dans les brevets de Tony. Stark fut incapable

d’empêcher Burch d’utiliser ses conceptions, et les faibles compréhensions de Bruch sur la technologie de Stark résultait à des mésaventures sur le terrain pour mauvais fonctionnement. Résolu à résoudre ce prob-lème, Tony s’offrit comme nouveau Secrétaire de la Défense, promettant de concevoir des armures d’Iron Man pour les soldats US et de les entraîner à l’utiliser. Tony fut immédiatement engagé et Burch commit un suicide en désaccord.

Découvrant que Burch avait aussi fait chanter Force afin qu’il l’assiste dans le département de la Défense, Tony essaya de rectifier tout cela, lui garantissant une position afin qu’il prépare les soldats à s’entraîner avec l’armure d’Iron Man ; cependant, le poste de Secrétaire de la Défense de Tony prit fin en scandale quand la folle Sorcière Rouge força Tony à s’engager dans un com-portement d’alcoolique belligérant aux Nations Unies. Disgracié, Tony fut rapidement licencié de sa position au gouvernement. La maladie mentale grandissante de la Sorcière Rouge conduisit à la dissolution des Ven-geurs quand ses pouvoirs hors de contrôle détruisirent le Manoir des Vengeurs et tua plusieurs partenaires, dont Œil de Faucon et l’Homme-Fourmi (Scott Lang). Tony fut également sali quand un rival industriel de l’époque Clarence Howard vola une armure d’Iron Man, l’utili-

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sa pour tuer le conseil d’administration de Stark Indus-tries et Rumiko. Iron Man le vainquit, et récupéra toutes les armures qu’il avait fourni à l’armée. Il « renonça » publiquement à son identité d’Iron Man mais continua secrètement à agir en tant que tel, clamant que c’était un autre homme dans l’armure.Iron Man rencontra Mallen, un terroriste dopé au virus

Extremis, un agent techno-organique développé par la partenaire de classe de Tony à l’époque, Maya Hansen et qui le divulgua intentionnellment afin que le monde puisse voir son potentiel destructeur. Après que Mallen en vainque Iron Man, Tony demanda à Maya de lui in-jecter le virus Extremis afin qu’il puisse rencontrer Mal-len comme son égal. Le processus résulta que le corps de Stark se reconstruisit lui-même avec des organes supérieurs, et Tony découvrit qu’il pouvait emmagasin-er son enveloppe inférieure de l’armure dans ses os et la relâcher quand il activait l’armure ; il était maintenant capable de se lier virtuellement avec n’importe quel or-dinateur sur Terre et effectuer des douzaines de tâches simultanées avec son cerveau. Le nouveau surhumain Tony tua Mallen dans un autre combat.

Avec Captain America, Tony aida à redémarrer les Vengeurs, comprenant cette fois des héros comme Spi-der-Man (Peter Parker) et Wolverine dans leurs rangs, et il fournit également la Tour Stark comme nouvelle base d’opérations. Jarvis fut réengagé pour servir les Vengeurs à la Tour. Tony devint un mentor pour Spi-der-Man, et il l’encouragea à déménager avec Tante May et Mary-Jane à la Tour Stark quand leur maison fut détruite lors d’un combat. Tony fournit également Peter avec une armure personnelle qui développait ses pouvoirs. Apprenant l’intérêt du congrès sur la Loi de Recensement des Surhumains (LRS), Tony emmena Peter avec lui dans l’espoir d’arrêter les procédés, em-ployant secrètement son ancien ennemi Titanium Man pour démarrer un combat afin de montrer la valeur des super-héros.

Tony apprit que tandis qu’il était un prisonnier de Wong-Chu, le professeur Yinsen avait implanté un ap-pareil dans son cerveau qui pouvait le placer sous con-trôle d’une unité d’envoi porté par le fils de Yinsen. Croyant que Tony avait trahit les idéaux de son père, le fils de Yinsen prit contrôle d’Iron Man et le força à exécuter les membres restants du réseau de Wong-Chu. Quand un sniper du SHIELD tua le fils, il activa un pro-gramme de survie qui envoya quatre des dernières ar-

mures de Tony dans une destruction mondiale. Aidé par les Vengeurs et les Quatre Fantastiques, Tony stop-pa les armures, mais cet incident le laissa penser que les surhumains devaient avoir une supervision par des autorités supérieures.

Après un combat entre les New Warriors et Nitro à Stamford dans le Connecticut, qui se résolut en tuant plusieurs écoliers, la pression monta pour mettre en place la LRS. Cette foi, Tony supporta les mesures, croyant que si la communauté de héros ne prenait pas en charge la situation, ils allaient devenir impuissant devant un gouvernement puissant. Plusieurs des Illu-

minati n’approuvèrent pas Stark et ils se séparèrent en mauvais termes. Collaborant avec Pourpoint Jaune (Pym) et Mr Fantastic pour développer l’initiative pro-LRS et diriger le mouvement, Tony rendit sa double identité encore une fois publique comme partie de son support de la loi ; cependant, Captain America n’était pas d’accord avec Tony et dirigea un groupe de résis-tance dans les bas-fonds contre la nouvelle loi. Désil-lusionné petit à petit par les questions de moralités des forces du pro-recensement et de Stark en particulier, le protégé de Tony, Spider-Man rejoint la résistance également.

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Pouvoirs : Le corps entier de Tony Stark a été aug-menté par le virus techno-organique Extremis, lui ga-rantissant des sens et des réflexes développés. Il peut lier son cerveau avec quasiment chaque ordinateur de la Terre, et effectuer des douzaines de tâches simul-tanément. Son enveloppe inférieure de l’armure d’Iron Man est emmagasinée dans ses os, et il peut appeler cette dernière quand il enfile l’armure. L’armure elle-même est dirigée magnétiquement par l’enveloppe in-férieure, s’assemblant d’elle-même autour du corps de Stark en quelques secondes.

Accessoires : L’armure actuelle de Tony possède plu-sieurs des attributs standards des anciennes armures, et elle peut-être porté dans un porte-documents quand elle est désassemblée. La technologie mémoire-métal de l’armure la rend légère et flexible tandis qu’elle n’est pas utilisée, mais extrêmement résistance quand elle est polarisée. L’armure est aussi défendu par un

bouclier draineur d’énergie qui s’étend depuis ses gants, et un champ de force personnel. L’armure ga-rantit son porteur d’une force surhumaine lui permet-tant de porter plus de 100 tonnes. Les bottes à réactions de l’armure peut le propulser à une vitesse supérieur à mach-8. L’armure est spécialement recouverte pour la résistance au radar et l’annulation de blocages sur cible et elle peut être rendue invisible (déguisée) pour de brefs modes furtifs. Son fournisseur d’air interne dure environ une heure, et l’armure peut être obturé pour des voyages à faible oxygène, sous l’air ou à travers un environnement spatial. Les ordinateurs de l’armure incluent des détecteurs de cible et un mode d’auto-pilotage, des compléments que Stark a peu util-isé depuis qu’il a reçu Extremis. Le lien cybernétique de l’ordinateur permet à Tony d’agir sur toutes les fonctions de l’armure, aussi bien que fournir un lien lointain sur les autres ordinateurs. Tony a amélioré le lien cybernétique pour défendre son esprit contre les contrôles extérieurs, puisque l’armure a souvent

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laissé son esprit vulnérable aux attaques psychiques. L’armure comporte également des radars et des détec-teurs environnementaux. L’armure contient une zone de communication radio satellite sophistiquée, qui peut aussi fournir des signaux de radios locales. En cas de capture, l’armure est équipée avec un mécanisme d’au-todestruction.

Les suppléments exotiques de l’armure comprennent l’arme principale d’énergie de Tony, les rayons à ré-pulsions, une arme à rayon de particules puissantes conçue pour repousser les attaques. Les accessoires de la plaque thoracique contiennent l’unirayon, une puis-sante lumière de recherche qui peut projeter des ray-ons à quasiment chaque spectre (visible, infrarouge et ultraviolet). L’unirayon possède aussi un projecteur de rayon laser, un générateur d’EMP (Electro Magnetic Pulse) qui peut couper le courant à tout les équipements dans un rayon de 45 mètres (l’armure elle-même peut se rebooter en quelques minutes) et un générateur holo-graphique qui peut soit déguiser l’armure, soit projeter des images pour distraire et rendre confus les opposants. L’armure a aussi été équipé avec des arcs à pulsations (des décharges de plasma extrêmement puissantes), des générateurs soniques, des générateurs de champ mag-nétique et une torche laser.

Stark a aussi conçu un nombre d’armure spéciales pour des environnements ou situations particuliers. Ceci inclus le « Hulkbuster », sa plus puissante armure, conçue à l’origine pour combattre Hulk. Similairement, son modèle « Thorbuster » fut conçu pour vaincre Thor, et combina technologie de Stark et magie asgar-dienne. Il a aussi employé diverses armures furtives, qui sont quasiment immunisés de la détection mais ont une petite puissance brut ; un modèle fut construit de matériaux non-métalliques. Les armures à submersion profonde sont conçus pour des missions de 5 kilomètres de profondeurs environ ; sa spatiale, ses armures en-de-hors de l’atmosphère et à forte gravité sont conçues pour des missions longues en dehors de la Terre. Son armure ablative fut construite en utilisant une série de puces auto-remplaçantes que chaque dommage fait à la structure pouvait être automatiquement réparé, et son armure arctique fut conçu pour des périodes éten-dues en-dessous de zéro degré. Son armure tunnelier fut conçue pour percer à travers la roche solide ; son armure anti-radiation fut conçue pour voyager à travers des zones contaminées par les radiations.

Stark garde des copies de ses anciennes armures. Les dispositifs de ses anciennes armures qu’il n’a pas gardé longtemps comprennent des ajouts comme un revête-ment à l’épreuve des lasers, des lanceurs de missiles, des mini-pistolets, des mini-canons, des mitrailleuses, des patins à roulettes propulsés dans ses bottes, une lame tranchante comme un rasoir des ses gants, une scie rotative dans ses gants, un rayon de protons porta-

ble, des gaz lacrymogènes, des explosifs, des ventous-es construites dans ses bottes, un générateur de champ magnétique qui servait comme pacemaker tandis que le débris de bombe atteignait son cœur, une lame d’éner-gie localisée dans ses gants, une unité de télé-présence qui permet à Tony d’avoir un contrôle complet sur l’ar-mure à de nombreux kilomètres, un lanceur de flammes, des chargeurs qui permettent à Tony de connecter l’ar-mure à de larges sources de puissances, la technologie SKIN qui rendit l’une de ses armures quasiment invul-nérable, des sondes à détection automatique, des tasers et de la mousse à incendie.

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A Game of ThronesLE TRônE DE fER ( TOME 1 )

LE MOnDE DES COMICS

Trois frères de la Garde de Nuit chevauchent ensemble dans la neige. Ser Waymar dirige la patrouille même si les deux autres, Will et Gared, sont bien plus aguerris que lui. Mais bientôt, ils vont tomber sur leur pire me-nace : un Autre, créature non-vivante mais ô combien dangereuse. Les frères n’ont aucune chance de tuer ce qui est déjà mort. À Winterfell, le seigneur Eddard Stark doit rendre la justice en ce jour. Un déserteur de la Garde de Nuit doit être exécuté. Eddard, dit Ned, sait que si on condamne un homme à mort, il est de notre devoir de lui appliquer la sentence nous-même. Ce n’est pourtant pas de gaieté de cœur qu’il va trancher le cou de cet homme. Cette fois, il a emmené avec lui son jeune fils, Bran, afin qu’il apprenne. Les plus âgés sont là aussi mais ont déjà assisté à ce genre de spec-tacle. À leur retour de l’exécution, la troupe va tomber sur un loup-garou tuée qui avait juste eu le temps de mettre bas. Chacun des enfants de Ned va donc en prendre un pour lui ; ce sera par contre sa seule responsabilité ; personne du château ne devra perdre son temps à s’occuper des loups-garous des enfants. Le même jour, une nouvelle va arriver à Winterfell : Jon Arryn, Main du roi, vient de mourir. Une autre nouvelle l’accompagnait : le roi Robert Baratheon vient à Winterfell. S’il fait tout ce déplacement, cela ne peut signifier qu’une seule chose : il souhaite de-mander à son vieil ami Ned de prendre la place de Jon Arryn. Ned et sa femme, Catheryn, ne voient pas d’autre explication. Ned n’a aucune envie de porter cette charge. Mais avant de prendre la moindre déci-sion, il va attendre de savoir ce que le roi veut exac-tement. Depuis la série télévisée, A game of thrones, beaucoup de monde connait maintenant l’histoire de Westeros. Il n’y a plus que les seuls amateurs de fan-tasy en roman qui peuvent suivre les aventures de Jon Snow, Arya, Sansa et tous les autres. Mais il y a aussi eu une adaptation en comic, que les éditions Dargaud publient aujourd’hui. Comme le dit George R.R. Martin dans sa préface, il ne faut par contre pas s’attendre à retrouver les personnages de la série télévisée dans ce comic. C’est une autre adaptation, un autre support, qui va vivre sa vie avec ses lois, ses contraintes et ses changements aussi, certainement.Mais l’adaptation est-elle réussie ? Mon opinion

est mitigée. Concernant le scénario, je réponds oui sans aucune restriction. C’est tout à la fois fluide, bien agencé, tout en gardant le côté narratif propre au roman via des voix off. Daniel Abraham a fait un bon travail sur cette transposition, un travail qu’on

ne peut que saluer selon moi. Par contre, là où le bât blesse c’est au niveau du dessin, je trouve. Non pas qu’il soit mauvais en soi, ce n’est pas ça. C’est plutôt qu’il ne colle pas à l’univers, selon moi. Malgré un bon niveau de détail, c’est trop lisse, trop informatisé, pour correspondre à l’idée que je me faisais d’une telle adap-tation. Pour moi, il aurait fallu quelque chose de plus rugueux, plus brut. Et puis, il y a aussi un problème dans les personnages, du moins pour les plus âgés. Ned ou Catheryn ne font pas leur âge. Mis à côté de Robb, par exemple, on ne voit pas la différence évidente qu’il faudrait faire apparaitre. Et cela m’a gêné dans ma lec-ture. Donc, je trouve qu’il y a un énorme potentiel nar-ratif dans cette adaptation, malheureusement desservie par un dessin qui, loin d’être mauvais, ne colle pas à l’univers.

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Ultimate Fantastic Four 2003-2009LE MOnDE DES COMICS

Il y a 21 ans. Mr et Mme Richards viennent d’avoir un fils, Red. Le petit bébé semble aussitôt très intéres-sé par le monde qui l’entoure. Il y a 11 ans. Red est le souffre-douleur de ses camarades de classe. Heu-reusement pour lui, il est protégé par Ben Grimm, son meilleur ami mais aussi un colosse craint et respecté des autres élèves. Red rentre régulièrement chez lui le visage amoché et même si sa mère s’inquiète pour lui, Red remarque surtout que son père ne lui prête aucune attention, préférant discuter avec Ben comme si c’était son fils.Red est un génie et passe son temps

dans sa chambre à faire des recherches et construire toutes sortes d’appareils sophistiqués aux usages les plus va-riés. Son père ne supporte pas que Red utilise des appareils de la maison et les démonte pour récupérer les pièces dont il a besoin. Dans son garage, Red a mis au point un étrange appareil qu’il montre à Ben. Après lui avoir fait pro-mettre le secret, il lui explique qu’il a découvert une autre dimension lié à la notre, et a prévu d’y envoyer des ob-jets avant de tenter d’y aller lui-même. Une nuit, une explosion secoue la mai-son des Richards. Red vient de trouver comment franchir la barrière entre les deux dimensions mais son père est par-ticulièrement furieux et ne veut même pas entendre ce qu’il a à dire.Six mois plus tard. Lors de la fête de

la science de son collège, Red présente son projet de téléportation. Devant une foule incrédule, il explique son procédé et ses objectifs avant de faire une dé-monstration. Devant un public médu-sé, il fait disparaître une petite voiture. Un certain Lumpkin contacte aussitôt une mystérieuse personne et semble avoir de projets pour Red. Lumpkin se rend chez les Richards et leur explique qu’il travaille pour le gouvernement. Il est chargé de recruter de jeunes génies pour mettre leur intellect au service de leur pays. Les parents de Red donnent leur accord et Red part s’installer au Baxter Building.Red est présenté au Dr Storm, direc-

teur du Baxter Building. Il lui présente sa fille Jane et son fils Johnny. Il lui ex-

plique que ses théories sur la téléportation l’intéressent tout particulièrement. Il lui explique que les scienti-fiques du Baxter Building ont eux aussi trouvé l’autre dimension, qu’ils ont baptisé Zone N, mais que Red est le seul à avoir pu y envoyer des objets. Le Dr Storm lui montre alors une immense pièce avec une sorte de porte ouvrant sur la Zone N, les petites voitures de Red flot-tant au milieu. Red est ravi de pouvoir enfin voir cette autre dimension.

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LE MOnDE DES COMICS

All-New X-MenAll-New X-Men #1, c’est un peu un avant-goût de ce

que le Uncanny X-Men de Bendis (prévu pour février) sera. Etre mutant a rarement été aussi difficile. Cyclope et sa bande de joyeux lurons ont fait flipper le monde entier lorsqu’ils étaient sous l’emprise du Phénix. Si les 200 mutants qui étaient sorti indemne de House of M ont appris à vivre dans la crainte et la haine, les nouveaux mutants qui émergent un peu partout sur le globe sont pris au dépourvu lorsque leurs pouvoirs se manifestent. Un rapide coup d’œil sur la situation à tra-

vers les pages du présent numéro et du Wolverine and the X-Men #20 permet de se rendre compte que tous les mutants influant de la planète, des plus vicieux aux porteurs des meilleurs intentions, ont un plan pour ces nouveaux porteurs du gène X.Le plan de Cyclope est simple. Recruter une armée

de défense des droits mutants qui agira à l’échelle planétaire. Un humain cherche des noises à un mu-tant ? Cyclope débarque, livre une guerre expresse à la Rambo, embarque le mutant en détresse et le prend sous son aile. Ce premier épisode a le mérite de ne pas ennuyer. On suit Scott,Magnéto, Emma Frost et Magik d’un bout à l’autre du globe pour assister à des scènes d’action parfaitement mises en image parStuart Immo-nen. C’est dynamique, c’est beau, ça pète de partout... Utopia est derrière nous et bordel c’que ça fait du bien d’avoir quitté ce morceau de roche au milieu de l’océan et San Fransisco ! La révolution de Cyclope sent bon la liberté, la désinvolture, l’anarchie. Bendis se fait plai-sir. Immonen se fait plaisir. Le lecteur prend du plaisir.A côté de ça, on suit tout de même la réaction des «

gentils » X-Men face à la révolution de Scott. Témoins impuissants parqués dans l’école Jean Grey de Wolver-ine, Tornade, Kitty Pryde, Iceman et le Fauve débattent

sur la meilleure chose à faire. Arrêter Scott par la force ? Le laisser vivre sa vie et nuire à l’image des mutants sans rien n’y faire ? Les passages à l’école paraissent parfois artificielles. On voit où Bendis veut en venir et on a juste envie qu’il aille droit au but et passe à l’ac-tion avec son histoire de voyage dans le temps.Etrangement, ici la qualité du trait de Immonen suit la

qualité d’écriture de Bendis. Le Fauve sera clairement l’un des personnages essentiels de cette histoire. En conséquence Immonen le réinvente et livre le design le

plus convainquant du monstre bleu de ces dix dernières années. Si pour le moment il ne fait que discuter, l’imag-iner en action fait rêver. Seulement, sur les fameux pas-sages qui n’ont que pour but que de mener de façon très artificielle au voyage dans le temps, l’artiste canadien se laisse aller et grave à l’occasion des expressions des plus étranges sur les visages de Kitty Pryde et Iceberg. Anecdotiques, ces défauts ne sauraient gâcher le plaisir de lecture offert par un numéro qui la plupart du temps transporte tant visuellement que narrativement.

All-New X-Men #1 est une bonne intro à ce que sera l’univers mutant ces prochaines années. Les lecteurs de longue date se voient récompensé de leur fidélité par le retour d’un univers mutant dans lequel tout est à nouveau possible. Les nouveaux lecteurs trou-veront eux aussi leur compte. Si avoir suivi l’évolu-tion de la race mutante ces dernières années amélio-re l’expérience de lecture, le titre est parfaitement accessible et ouvre la voie à des histoires novatrices et une nouvelle ère. En somme, on a du bon Bendis, du bon Immonen et du bon X-Men. La suite est dis-po dans deux semaines et devrait achever de lancer la machine. Que demander de plus ?

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LE MOnDE DES COMICS

Constantine #1Les amoureux de trench-coat et d’accent britannique

ont vécu la fin de ligne Hellblazer chez Vertigo, pour un transfert en D1 chez Dc Comics, comme une trahi-son et la fin des haricots. Rebaptisé Constantine pour des raisons d’association plus rapide, ce sont Jeff Le-mire, Ray Fawkes et Renato Guedes qui héritent de ce que certains appellent « la patate chaude ». Seulement voilà, préférez-vous l’arrêt net d’une série peu ven-deuse ou qu’elle continue de vivre ailleurs? Comme si Buffy saison 8 n’avait pas lieu d’exister en comics et uniquement dans son format d’origine. Rien ne sert de râler quand il faut lire à point.

Loin de l’idée que pouvait donner Keanu Reeves, le Constantine « comics » est un cabotin anglais. Un de ceux qui aurait raté le casting de James Bond pour mau-vaise conduite et incendie volontaire dans les locaux de tournage. John Constantine vit dans un monde où le danger est à chaque coin de rue sombre. Un danger que peu d’élus peuvent déceler, son lot quotidien n’est pas celui des héros en collant mais de ceux qui ramassent les rognures et les rebuts de ces sur-hommes trop aveugles pour voir ce qu’ils ne comprendraient pas de toute fa-çon. La magie régit la vie du dandy. Les incantations, grimoires, amulettes, voix de démon ou portes trans-dimensionnelles, John Constantine en mange tous les matins en guise de petit-déjeuner. Mélange entre David Copperfield et du jeune Malcolm McDowell, le person-nage est attachant. Les bad-boys nous feront toujours craquer, quoi de plus normal après tout. Ses histoires sont variées et celle contée ici part d’un jeune homme aux étranges pouvoirs de localisation, un compas et une divinité malfaisante. La règle de base dans un essai magique est qu’il y a

toujours une entité démoniaque, plus puissante et dan-gereuse que la précédente. Cela se règle alors de deux manières, soit par la ruse, soit par un artefact secret qui enfermera le vilain pas beau dans un réceptacle (un ar-rosoir ou un bilboquet). Simpliste certes, mais c’est que l’on aime; le fameux ressort classique qui dit que “le prochain est plus fort encore”, utilisé partout et tout le temps.Appelez cela sécurité ou conscience mais il est bon

d’admettre que Jeff Lemire sait écrire ce genre de titre et que DC Comics ne s’est pas trompé. Le scénariste a l’art de faire passer des dialogues incohérents pour des

incantations magiques, c’est tout le flegme et la cocas-serie britannique qui ressortent de ses pages. Sautant du coq à l’âne puis de l’âne au chorizo, n’attendez pas non plus une lecture carrée et parfaitement structurée. C’est une marque de fabrique, à la fois de Lemire et de Constantine, faire d’un écrit un jeu de piste et un foutoir magique. Les explications peuvent attendre, Constantine est détective du surnaturel et les réponses n’arrivent qu’à la fin.La magie a toujours sa part de mystère et Lemire, via

ce premier chapitre, la cultive avec grand soin. Un dé-but de numéro flou et nageant dans la brume nous est présenté, sans explication ou même de support pour la continuité. Lâché dans l’immensité de la magie, le lec-teur peut être rebuté par ce manque d’intérêt qui lui est porté; « si tu veux rester n’espère pas être guidé ». Et après tout cela n’est pas bien grave puisqu’il suffit de suivre aveuglément le blond mal rasé pour au final être accroché à son récit. Si tout n’est pas toujours clair, le plaisir de lecture est toujours présent, tout est calibré pour aimer Constantine, même le dessin.

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DC Comics : un an après les New 522011 : cela fait des décennies maintenant que Marvel

Comics a pris le pas sur les personnages de DC Comics. Les multiples events (les différentes Crises, les morts de Superman et Batman) n’y font rien et les ventes, sans être catastrophiques, sont loin des espoirs de la firme. L’univers DC a vieilli et toute la continuité ins-tallée alourdi pour beaucoup la lecture et l’accès à cet univers. Au milieu de tout ça, seuls s’en sortent bien les univers de Batman grâce à la révolution de Grant Mor-rison et l’arrivée de Scott Snyder sur Detective Comics, et l’univers des Green Lantern dépoussiéré et fortement élargi depuis l’arrivée de Geoff Johns en 2004.

Après un crossover géant d’un an, Brightest Day, qui affiche une qualité exceptionnelle mais qui ne concerne que des seconds et des troisièmes couteaux, on com-mence à sentir l’envie de DC de ramener une Justice League “classique” (les différents personnages origi-naux reviennent peu à peu sur le devant de la scène), mais le crossover de l’année semble surtout tourner

autour de Flash. Puis d’un seul coup, l’absence d’an-nonces pour le futur de la Distinguée Concurrence vient nous mettre la puce à l’oreille pour un gros choc à venir.

Je pense que je me souviendrai toujours de cette pers-picacité de Sullivan qui le 17 mai 2011, à l’avant-pre-mière de Pirates des Caraïbes 4, qui me dit “Mec, les sollicitations du mois d’août pour DC, tous leurs arcs se terminent et rien n’est annoncé pour l’après-Flashpoint. A mon avis, ils vont rebooter tout leur univers”. C’était assez fort de sa part, et depuis j’ai pour défi personnel d’anticiper avant lui quelque chose d’encore plus gros, mais ça ne risque pas d’être pour demain.Nous voilà donc à la grosse révélation de DC en juin,

qui nous cloue le bec en annonçant préparer un re-launch de toutes ses séries, pour sortir 52 titres. Par-mi ces séries, on retrouve Action Comics et Detective Comics, deux titres qui n’ont jamais subit de relaunch. Et petit à petit, les indices tendent à prouver que plus qu’un relaunch, une bonne partie de l’univers verra sa

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continuité modifiée. Katchoo “néologise” le terme tout trouvé de rebaunch pour ce qui s’avérera réellement un mix des deux : une renumérotation et un changement partiel de la continuité.Bienvenue dans les New 52 : un univers DC Comics

remodelé pour faciliter l’accès des nouveaux lecteurs, tout en essayant de ne surtout pas perdre les fidèles. A grand renfort de promotion, à travers tous les médias, la firme vend les mérites de son opération, et son fa-

meux “Keep it always new, always 52”: une envie de se renouveler constamment, d’expérimenter, de dépous-siérer ses personnages pour les rendre plus modernes et plus accessibles, et de toujours proposer le même nombre de séries aux lecteurs sous son label principal. Dès le début, l’opération est clairement un succès, et DC repasse en tête des ventes pour venir maintenir un coude-à-coude constant avec son principal concurrent. Alors, un an après, qu’en est-il de tout ça ?

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La voie du sabre - Tome 1 LES CEnDRES DE L’EnfAnCE

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Mikédi est le fils d’un empereur japonais, seigneur d’un immense domaine. Aujourd’hui est un jour un peu spécial, puisqu’un inconnu plutôt mal lavé et mal sapé se présente. L’homme porte un magnifique katana, et se présente sous le nom de Miyamoto Musashi. Il sou-haite prendre un bain, et rencontrer le père de Mikédi, et pour cela, il défie plusieurs des guerriers du seigneur, guerriers qu’il parvient à défaire en quelques secondes, grâce à une rapidité d’action prodigieuse.Le seigneur en question, Nakamura Ito, invite alors ce

mystérieux visiteur et en fait son premier samuraï. Ito sait que Musashi possède un pouvoir extraordinaire, en maîtrisant un art qu’on appelle la voie du sabre. Bien évidemment, il aimerait bénéficier de l’enseignement d’un tel art, mais Musashi lui fait une confidence : Ito est bien trop âgé et influencé pour pouvoir apprendre cet art qui lui permettrait d’épouser la fille de l’empe-reur. Par contre, cet art pourrait être enseigné à Mikédi, un fils que jusque-là Ito ne remarquait même pas.Alors, Mikédi part avec l’étranger, et l’apprentissage

commence, durement. Mikédi apprend vite qu’il devra réfléchir par lui-même, sans prendre pour argent comp-tant tout ce que son maître lui dit. Mikédi déteste cet étranger dans un premier temps, et il déteste encore plus les siens et son propre père, de l’avoir forcé à suivre cet étranger en quittant sa future épouse et ses demi frères et soeurs. D’autant que Musashi souhaite maintenant visiter un village de pêcheurs qui a été dévasté par les guerriers de Ito.C’est un choc pour Mikédi qui se rend compte que son

père a massacré énormément de personnes, sans tenir compte du bushido, uniquement dans le but d’acqué-rir de l’encre de Shô, un poison rougeoyant qui doit se collecter sur des coquillages qui trouvent refuge sur les nageoires d’immenses monstres des mers.La voie du sabre est une adaptation en bande dessinée

d’un roman de Thomas Day, dont la couverture était signée par un certain Guillaume Sorel, que les amateurs du neuvième art connaissent bien. On retrouve ici le premier tome de ce qui sera un triptyque, et qui nous plonge très rapidement dans les paysages du Japon, où les codes d’honneur ont toujours eu une importance ca-pitale.Pourtant, le héros présenté est quelqu’un de plutôt sale,

qui revient sur sa parole, et qui voue un culte sans borne aux femmes. De quoi en faire un antihéros idéal, plein de profondeur et de complexité philosophique : bref, l’idéal pour un personnage de bande dessinée ! En cela, Mathieu Mariolle a profité du filon, en nous présentant

ce personnage atypique, particulièrement attachant, aux méthodes de combat purement radicales.Autant le dire tout de suite, le dessin de Federico

Ferniani (qui partage son atelier avec un certain Theo Caneshi) est une pure merveille de précision et de mou-vement également : c’est beau, cela fourmille de détails et de couleurs, et les mouvements lors des nombreux

combats bénéficient d’un réalisme impressionnant, qui n’est pas sans rappeler le récent Isabellae paru derniè-rement chez Le Lombard.Le Japon médiéval flirte ici avec la fantasy (il suffit

de jeter un oeil à l’extraordinaire couverture pour s’en convaincre !), pour donner un premier tome de cette adaptation de toute beauté. Comme si cela ne suffisait pas, la première édition bénéficie en outre des tradi-tionnelles huit pages de croquis, qui valent également le détour, notamment sur les différents travaux qui ont pu donner la couverture (sélectionnée sur une cinquan-taine). Décidément, je cherche encore une bonne raison pour ne pas se ruer sur ce livre, pour les fans de Okko comme pour les autres !

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Conquistador - Tome 2Les combattants espagnols missionnés par Cortès ont

trahi la confiance du peuple aztèque en dérobant leur trésor. Ils sont désormais en fuite et doivent se méfier non seulement des peuples autochtones, mais aussi d'un monstre végétal nommé Txlaka. Le récit est toujours raconté par Hernando de Roya, le seul à avoir réchap-

pé aux dangers de la forêt. Il nous explique comment ses compagnons ont disparu les uns après les autres, et surtout, pourquoi lui a été sauvé. Si le premier tome po-sait bien les bases de l'intrigue, ce second tome ne tient pas tout à fait ses promesses. Une trilogie eut été plus adaptée pour approfondir davantage les questions sur-naturelles, et le cours des évènements tout simplement. Sans dire que ce tome est plus brouillon, il manque clairement de profondeur et de cohérence. Non pas dans l'histoire elle-même, mais dans la façon dont elle est racontée. Ce n'est pas un mauvais tome, n'exagérons

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pas, mais la première partie était si bonne qu'on était en droit de s'attendre à une suite du même niveau. La fin se termine en eau de boudin, je me suis demandée s'il s'agissait bien d'un diptyque en arrivant à la dernière page. Y aurait-il une suite cachée ?En tous les cas, je salue toujours le travail de Philippe

Xavier et de Jean-Jacques Chagnaud. Quels dessins ! Quelles couleurs ! La précision des vignettes nous fait entrer pleinement dans le récit, dans cette jungle hu-mide et inquiétante.Je suis donc mitigée. J'ai adoré les planches et le con-

texte historique, mais ce second tome n'honore pas les promesses suscitées par le premier tome. Et si cela peut sembler paradoxal, je conseille tout de même la lecture de ce diptyque. Je suis exigeante car le premier tome est au-dessus, mais cela forme tout de même une histoire agréable à lire.

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Le plan

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Gaby est une sublime jeune black qui, pour se faire un peu d’argent et se payer des études, fait le sosie de Tina Turner dans une église de mariage minute. Aujourd’hui, pas de bol, le sosie de Marilyn n’est pas venu et elle a dû la remplacer au pied levé. Ce qui n’est pas du tout au goût du jeune marié qui se sauve aussi sec. Comme ça ne suffit pas vraiment à payer aussi les factures que son père n’assume plus depuis pas mal de temps, Gaby fait aussi la manche dans les rames du métro. Quand elle rentre chez elle, elle a une nouvelle mauvaise sur-prise : les frais d’inscription de Harvard ont pris 30% d’augmentation. Comment va-t-elle pouvoir se payer une inscription à près de 14000 dol-lars ? C’est à ce moment-là que le téléphone sonne.C’est une connaissance de son père

pour lui proposer une partie de po-ker. Comme il cuve, Gaby décide d’y aller à sa place, histoire de plu-mer quelques pigeons. Et être une femme va lui permettre d’avoir l’air encore plus débutante qu’une débu-tante. Et elle sera aidée par sa robe moulante et son décolleté plongeant. Malheureusement, le débarque-ment d’une troupe de gars armés, hommes de main de la mafia, pour venir chercher le petit frère d’un chef, va dévoiler que Gaby était sur le point de tricher. Elle va être sau-vée de justesse par un homme se di-sant flic, mais qu’il ne l’est pas plus qu’elle. Par contre, il a un plan à lui proposer pour se faire de l’argent.Jérôme Félix et Gunt, que l’on

avait déjà pu croiser au détour de Mort et entêté, nous reviennent avec un one shot qui se dévore sans qu’on demande son reste. Les pages coulent toutes seules et on a envie de les tourner pour savoir comment tout ça va se terminer. L’intrigue gé-nérale tourne autour du poker, mais contrairement à une série comme Poker face, c’est juste un prétexte pour développer une intrigue de braquage. On aura bien sûr en tête les canons du genre au cinéma, comme la suite des Ocean’s… Ici la narration aura toute son importance.Pour servir ce scénario aux petits

oignons, Gunt nous produit un dessin expressif mais sans trop de détails sur ses personnages. Les décors, par contre, sont plus poussés. Mais cela suffit finalement et cadre très bien avec l’ambiance qu’il veut poser. Gaby a des airs de Rihanna, et c’est voulu. Pas étonnant qu’elle ait ce chien. Mais il y a plein d’autres “gueules” dans cette histoire ; elle en est bourré.Comme souvent, ce nouveau tome de Jérôme Félix

est une lecture à côté de laquelle il serait dommage de passer. Et comme son duo avec Gunt fonctionne à mer-veille et est maintenant rôdé, cela donne une nouvelle bonne raison de foncer lire Le plan.

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Les trois soeurs Minkelsönn LeS MoNdeS de THoRgAL - LA jeuNeSSe - ToMe 1 A l’époque où Thorgal et Aaricia étaient encore en-

fants, l’époque, donc des albums Aaricia et L’enfant des étoiles, une famine faillit faire périr les habitants du petit village viking. Les drakkars, menés par Gandalf-le-fou, étant partis en raids, seuls restaient les vieillards, femmes et enfants, menés par Björn, le fils de Gandalf, que Hiérulf, le porte-parole de l’Althing, ne parvenait qu’à peine à contrôler.

Alors que tout le village meurt de faim, Aaricia se prive pour que Thorgal puisse un peu manger, le jeune scalde n’ayant droit à aucune des maigres rations. Björn envisage un moyen de ramener la nourriture et se dé-barrasser de celui qu’il déteste déjà : sacrifier Thorgal au dieu de la mer.

Mais alors qu’il s’apprête à accomplir son crime, trois baleines, attirées par le chant du musicien, viennent se faire piéger dans le fjörd. Björn brûle de les faire mettre à mort, mais Thorgal a communiqué avec elles et com-pris qu’il s’agissait des trois soeurs Minkelsönn, de belles jeunes filles transformées en cétacés par la jalou-sie d’une déesse. Qu’à cela ne tienne, Thorgal partira en quête pour attendrir l’irascible Frigg.

Ce nouveau tome de Les mondes de Thorgal nous per-met de retrouver certains personnages clefs du début de la série mère, notamment la magicienne trahie, mais aussi d’ouvrir la voie vers des explications que l’on at-tend depuis longtemps : pourquoi donc Thorgal était-il accroché aux chaînes de fer de l’Anneau des trépassés,

dans le premier album de la série ? Ici, il y échappe, mais la quête qu’il entame lui fera courir nombre d’autres dangers, et on espère que certains mystères se-ront vite levés.

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Les mystérieuses cités d’or ( Tome 1 )

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Il y a de cela quelques années, un enfant a été sau-vé des eaux par un marin courageux qui n’a pas hé-sité à plonger dans une mer démontée pour lui venir en aide. Aujourd’hui, l’enfant a grandi. Il est à bord d’un navire, à fond de cale. Il s’appelle Esteban. Dans une caisse, il va découvrir une jeune fille, Zia. Elle est bâillonnée et attachée. Il va bien sûr la libérer de ses entraves. Esteban remarque rapidement que Zia porte un médaillon autour du cou qui ressemble beaucoup à celui qu’il possède lui-même, la seule chose qu’il portait quand le marin l’a sauvé. Celui de Zia semble complet alors qu’il manque la partie centrale à celui d’Esteban. Zia demande alors à Esteban ce qu’il fait sur ce navire. Et Esteban lui répond qu’en Espagne, on l’appelle l’Enfant du Soleil, parce qu’il pourrait, selon certains, faire apparaître le soleil à volonté. Du coup, c’est une aide précieuse dans un voyage aussi périlleux vers le nouveau monde. Et Mendoza, l’homme en qui Esteban avait confiance, l’a fait entrer de force dans la cale du navire. Zia a aussi eu affaire à lui puisque c’est lui qui l’a enlevée. Esteban promet à Zia de la protéger à présent. Et c’est sur ces belles paroles qu’arrive dans la cale un homme, le capitaine Gaspard, qui prend les enfants sous son bras pour les jeter à la mer.Nous sommes beaucoup à avoir grandi avec le dessin

animé Les mystérieuses cités d’or. Nous nous rappe-lons encore le générique ainsi que les reportages de fin d’épisode. Et pour tout dire, c’est un des rares dessins animés de l’époque qui n’a pas trop mal vieilli et dont le visionnage aujourd’hui ne gâche pas complètement le

souvenir qu’on en avait. Aujourd’hui qu’une nouvelle série animée voit le jour, les éditions Kazé éditent une version manga de la série originale. Aux commandes, Bernard Deyriès, un des auteurs de la série télévisée. Aux dessins, nous avons Thomas Bouveret, que l’on connait déjà pour son travail sur Element R. Donc, un travail très japonais mais avec une empreinte fortement française.

Au niveau du scénario, nous suivons bien la trame et cela avance relativement vite pour qu’on ne s’ennuie pas. Rappelons-nous que nous n’arrivons pas tout de suite en Amérique du Sud dans la série. Tout ce premier tome va être rempli par le voyage qui va mener nos amis dans ces contrées à visiter. Pour le dessin, Tho-mas Bouveret assure un travail correct, mais sans plus. Certaines pages fournissent un certain niveau de détail, sans être trop chargées. Mais une bonne partie sont trop esquissées à mon goût. Certes, cela donne une lecture rythmée et dynamique, mais j’aurais sans doute aimé un travail un peu plus soutenu. Après, le job est quand même fait et on tourne les pages sans trop se poser de questions.

Y a-t-il un reportage à la fin de l’ouvrage ? oui ! Il porte sur la navigation à l’époque et les découvertes, notamment celle de Magellan et de son détroit. C’est toujours instructif même si le format est un peu plus écrasant que les reportages que l’on connaissait (forcément).

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City Hall ( Tome 1 )Londres, 1902. Le ministre des finances Downing

est dans son bureau en cette soirée et il demande à ne plus être dérangé. Sa tasse de thé en main, il se dirige vers la fenêtre quand une ombre gigantesque lui cache la lumière naturelle. Un poing immense traverse la fenêtre et le broie comme s’il n’était rien. La créature va ensuite terminer brû-lée par son créateur, maintenant qu’elle n’a plus d’utilité.Carlton Lester est l’inspecteur

chef de City Hall. Il va être em-mené sur les lieux du crime. La façade de l’immeuble semble avoir été soufflée de l’extérieur et elle est totalement noircie, comme s’il y avait eu un incendie, mais seule la façade et la rue ont subis ce traitement, pas l’intérieur des bâtiments. C’est à n’y rien com-prendre. Quand, sur le corps de Downing, Lester voit une lettre, il s’en empare et demande à ce que les personnes présentes ne parlent jamais de ce qu’elles viennent de voir. Il fonce tout droit voir le maire, Malcolm Little. Ce qu’a trouvé Lester sur le cadavre de Downing n’est tout simplement pas possible. Le papier n’existe plus depuis de très nombreuses années et les gens ne savent plus écrire autrement qu’en tapant sur des machines. En effet, ce qu’écrivaient les gens prenait vie, sans qu’ils sachent pourquoi. Au dé-but, ils ont surtout créer des créatures qui pouvaient leur rendre service, porter leurs paquets, s’occuper des tâches ménagères. Mais, bien sûr, certains virent là le moyen de faire la guerre sans perte. Et donc une guerre éclata entre ceux qui ne voulaient pas que le papier et l’imagination soient utilisés à de mauvaises fins et les autres. La guerre fut remporté par ceux qui voulaient faire disparaitre le papier, mais il leur fallut encore de nombreuses années avant de tout brûler. La population mondiale n’est pas au courant de cette histoire, pensant que le papier n’est plus utilisé uniquement pour des rai-sons économiques et écologiques.Donc, City Hall se retrouve confronté à un homme

ayant accès à du papier et qui sait comment s’en servir. Pour le contrer, des méthodes traditionnelles ne seront pas suffisantes. Il va donc falloir faire appel à quelqu’un ayant une grande imagination et capable de trouver des contres à ce criminel. Un écrivain. Little va donc faire appel à Jules Verne, qui sera accompagné par son ami

Arthur Conan Doyle. À eux deux, ils vont devoir af-fronter le plus grand criminel de l’histoire moderne, un certain Lord Black Fowl.Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre nous proposent

avec City Hall une nouvelle his-toire sous format manga. Preuve est de constater que ce type de narration, de dessin et de format en général leur convient par-faitement. Ils nous livrent une histoire qui fait preuve d’inven-tivité, d’originalité, avec des per-sonnages forts et qui ne fait que débuter à nous révéler son poten-tiel. Le choix d’utiliser des per-sonnages ayant réellement exis-ter n’est qu’un détail, finalement. Cela permet de ne pas avoir à expliquer pourquoi les créatures issues de l’imagination de Verne ont toutes un aspect mécanique poussé, par exemple, mais sinon ils auraient pu s’appeler Tar-tampion, cela n’aurait pas chan-gé grand-chose. Du moins pour l’instant. L’univers dans lequel l’histoire se déroule nage dans le steampunk. Nous sommes dans un savoureux mélange de rétro et de futuriste. Le côté rétro est dominant, dans les costumes,

les machines, les habitations, mais nous avons quand même des ordinateurs tels que nous n’en avons pas en-core nous-mêmes de ces modèles. Le mélange est fait sans fausses notes et rien ne semble forcé. L’action est présente, dans des courses poursuite ou bien dans des affrontements de créatures issues du papier (qu’on ap-pelle des papercut). Il y a aussi de l’humour, sans que cela soit exagéré non plus. Et, bien sûr, une enquête qui nous permet à nous lecteur de découvrir le monde et ses secrets (secrets dont Arthur Conan Doyle ne connais-sait pas l’existence).Côté dessin, c’est du tout bon. Les cases sont par-

faitement utilisées comme il faut. Certaines n’ont pas beaucoup d’arrière-plan, mais cela ne donne pas une impression de vide puisque les décors, quand il y en a (et ce n’est pas anecdotique), sont détaillés et ciselés comme il faut. Guillaume Lapeyre livre ici un travail de grande qualité.

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Sara et les contes perdus ( Tome 1 )Sara est une adolescente ordinaire, qui partage son

temps entre le lycée et les copines et donne réguliè-rement un petit coup de main à sa mère pour tenir la librairie familiale. Elle aime lire, et lire des contes de

fées en particulier. Un jour, un mystérieux petit garçon apparaît devant elle et lui indique une pièce secrète au sous-sol de la librairie. Sara y découvre un vieux recueil de contes, et ne peut s’empêcher de l’ouvrir...Un éclair s’échappe de l’ouvrage et Sara se

réveille dans sa chambre en compagnie d’une fée nommée Clotie qui lui explique qu’elle a déclenché une malédiction : les personnages des contes se sont échappés du livre et déam-bulent maintenant dans notre monde. Sara va devoir se faire “chasseuse de contes” pour les ramener dans leurs royaumes respectifs.

Premier tome d’une trilogie par la créatrice de Pink diary et de Mathilde, Sara et les contes perdus propose une incursion drôle et édulco-rée dans l’univers des contes de fées classiques. Sara y croisera Clotie, une version très potelée

de la fée Clochette, le prince charmant de Blanche-Neige, les sept nains... Le scénario est agréable à suivre, même s’il recèle relativement peu de surprises. On de-vine néanmoins que le second tome pourrait être un peu plus fouillé, notamment avec l’arrivée de la marâtre de Blanche-Neige.Les dessins sont vifs et les situations amusantes. On

découvre avec ce premier tome un univers léger et des personnages attachants. J’espère que la suite sera à la hauteur de cette introduction, et apportera un petit plus du côté du scénario. Il y a pas mal de pistes à creuser : qui est ce mystérieux petit garçon ? pourquoi Sara a-t-elle été désignée pour être la chasseuse de contes ? à qui appartiennent les livres et les vieux vêtements de la pièce secrète de la librairie ? Il y a de quoi faire. Affaire à suivre donc...

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Avatar, le dernier maître de l’air

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Dans le pays de l’eau, deux frères et soeurs sont par-tis chasser sur la banquise. Mais Katara essaye plutôt de maîtriser le faible pouvoir qu’elle a sur cet élément. Son frère, Sokka, découvre alors une lueur étrange. Les deux adolescents décident d’en avoir le coeur net. D’un coup de lance, Sokka fait craquer la glace qui se fissure très vite, laissant apparaître une étrange bulle contenant un enfant, et un gros animal. Le plus incroyable, c’est que ce garçon porte sur son front et son dos un tatouage. Mais au moment où le garçon commençait à raconter son histoire, les hommes du pays du feu arrivent pour demander à tous les anciens de la tribu de partir avec eux. Le peuple de l’eau n’est pas assez fort pour contrer les exigences de leurs ennemis... mais ils emmènent aussi l’étrange garçon avec eux, sur l’ordre du prince Zuko.Mais l’ancienne a compris quels étaient ces tatouages,

celle du peuple de l’air qui a disparu depuis si long-temps. Ce garçon est peut-être l’Avatar, celui qui doit rétablir l’équilibre du monde. Son destin est à présent

lié à celui de Katara et de Sokka.Adapté du film éponyme de Night Shyamalan, ce

global manga de Joon Choi s’avère être une sorte de grande introduction à ce monde, basé sur l’interaction des quatre éléments. l’Avatar est celui qui maîtrise tous les éléments. Sauf qu’il n’y a pas eu d’Avatar depuis des siècles, et que le pays du feu a complètement dé-truit l’équilibre du monde. Dans cet album au scéna-rio calqué sur le film, le jeune homme devra passer des épreuves pour découvrir ses pouvoirs ignorés jusqu’ici, et pouvoir se mesurer à ses adversaires.À la fois idéaliste, et globalement plutôt simple, Ava-

tar s’avère une lecture pour les jeunes amateurs de philosophie orientale, avec du combat et des pouvoirs. Rien de très original en soi. Les plus jeunes seront sans doute plus attirés que leurs aînés, pour retrouver par exemple les héros qu’ils ont aimé sur l’écran. Pour ma part, je suis resté un peu de côté. Pas assez accrocheur à mon goût.

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Il semble bien que le synopsis du film de Zack Snyder, Man of Steel, vienne d’être dévoilé. La fuite viendrait d’un casting et nous confirme globalement ce que l’on savait déjà.

“Au panthéon des super-héros, Superman est le plus reconnu et respecté de tous les temps. Clark Kent/Kal EL est un jeune journaliste d’une vingtaine d’années qui se sent à part à cause de ses pouvoirs qui dépas-sent l’imagination. Venu sur Terre il y a de ça quelques années depuis Krypton, une planète extraterrestre avancée, Clark se pose une question existentielle : Qui suis-je ? Éduqué avec les valeurs de ses parents adop-tifs Martha et Jonathan Kent, Clark va découvrir très rapidement qu’avoir des pouvoirs implique de grandes responsabilités de prendre des décisions difficiles. Mais alors que le monde a besoin de stabilité, il doit réagir. Va t-il utiliser ses pouvoirs pour maintenir la paix ou pour diviser et conquérir ? Clark doit devenir le héros connu sous le nom de Superman, pas seulement pour briller et devenir le producteur de ce monde mais aussi pour protéger ceux qu’il aime.”

FILMES À VENIR

MAN OF STEEL

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Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va atta-quer sur tous les fronts.

Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant.

Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inven-tions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante se-crètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?

IRON MAN 3 est interprété par Robert Downey Jr., Gwyneth Paltrow, Don Cheadle, Guy Pearce, Rebecca Hall, Stephanie Szostak, James Badge Dale, avec éga-lement Jon Favreau et Ben Kingsley. Le film est réali-sé par Shane Black sur un scénario de Drew Pearce et Shane Black, d’après le super-héros emblématique de

Marvel, Iron Man, apparu pour la première fois dans le n° 39 de “Tales of Suspense” en 1963, et qui a eu son propre comic book à partir de mai 1968 avec le 1er numéro de “The Invincible Iron Man”.

Dans le film Marvel IRON MAN 3, l’univers de Tony Stark/Iron Man est réduit en cendres par un ennemi aus-si redoutable que cruel. Il va devoir faire appel à son in-géniosité et son instinct pour protéger ses proches, tout en cherchant à détruire les forces de son adversaire…

IRON MAN 3 est présenté par Marvel Studios en as-sociation avec Paramount Pictures et DMG Entertain-ment. Kevin Feige, président des Marvel Studios, est producteur, et Jon Favreau, Louis D’Esposito, Alan Fine, Stan Lee, Charles Newirth, Victoria Alonso, Ste-phen Broussard et Dan Mintz sont producteurs exécu-tifs.

Le film sera sur les écrans américains le 24 avril 2013, et sera distribué par Walt Disney Studios Motion Pic-tures.

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Injustice: Les Dieux sont parmi nous introduit une nouvelle franchise audacieuse dans l’univ-ers des jeux de combat grâce à netherRealm Studios, créateur du mythique jeu de combat Mortal Kombat.

Avec des personnages incontournables de dC Comics comme Batman, Flash, Harley Quinn, Solomon Grundy, Superman et Wonder Woman, le dernier titre du studio à succès propose un scénario recherché et original. Héros et vilains se lanceront dans un combat épique à grande échelle, dans un monde où la limite entre le bien et le mal est de plus en plus floue.

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3 mai 2013