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111111621- juin 1993
nIstere de l'Industrie des Postes et Télécommunications
el du Co mrnercia Extérieur DirecI en Générale des Stratégies Industrielles
Poids des entreprises étrangères dans l'industrie française au 01.01,91 Le contrôle plutôt que la participation minoritaire
Pariepation majoritaire
2G-
1::
5-
Periierpaum minoritaire
Nombre C:AHI cpoiluhurs
Saunas 7 szse,. reeser
L'investissement étranger en France Près de 30% de la production industrielle
Les entreprises industriell es à Ca-ptions étrangers Contribuent aujour-d'hui pin - une part irremplaçable à .1a valeurajoutéf.e, taux experinlinnei et aux emplois, Leur orientation pré ré-rentlent pour trisecteurs d'acti.vité de haute technologie ne fiérhit pas, Tris différentes des entreprises frençaism Indépendantes, les rdiules de g roupm étrarigers se distinguent peu en revan-che des filiales de groupes français en renne d1lulégratill.t . tri m'In ui fion, de rentabilité nette et de salaires. Cepen-dant, une plus grande produetinité ré-sulte pu u r clics de hi nese en genre de facteurs de production extérieurs au terri luire, avec pour contrepartie le transfert tin: s redeifanccs çorrespon-d au tes.
Duns leS amie> sju atre -Vingt la urdis-sauce dm flux d'investissements directs nuls frelinièrea a surpassé celles de La produc'
innikilale et du commerce international. Cer écan de développement stmbledevoirsc maintenir d= la période *rude du faible croissance économique ou de récession. La France, quanr à elle. exporte struc. turrilemeru plus de capitaux n'en importe_ mais l'attractivité du territoire fran- çais n'est pas Cté çaLlSd ï pie "1" de-, flux annuels d.investissernentetrangeron.elle reçoit, la France est dans une situation me-dium pu-rapport àsC5irriGliCiF11.1x pirigrFaire kndusiriali
La France dans ta mo:tenne d'une Europe tris pénétr&
ljuc panic tirs flux arIllueLq d'invas-issomeril lrirrige-r se dirige versifies entrepri,
sr s déjà conirêlées ou en pfreie de création Jes erres de ces; rld:Fuveen ingeÉiS5.erELemni sur ie 'niveau de coninile étran8er dans 1' in. dueri:e sont donc amortis et différés dans le le-mirs. C'est 'Image:M. la place dim. Ci/iules de groupes él rangers parmi les entreprises in-
augmente lereenterir niais après une période de pause. entre
deux chocs pétroliers_ la place dm entre- prises à cap iules éuanEers passe de 22 r..1 des veules indueirielfm en 1979 à 21% en 1990, de I Krk à 245., de l'empilai industriel_ el de 2Y11.. à 32% des expontaticas.
Le niveau du contrMe étranger sur la production imnolikenirie-re feurtçaise Act su-périeur à ceux de deux autres glands pays européens (Italie et Al lernagne) mem campa raille à celui (le la (inerte-Bretagne. Il Ke sjme clans le moyenne 'observée a f" intérieur de hi C7Ilit::; 3.0% Ut lu pluduelion, dont 11#i r.1. par des firmes hors CEE. Cctic pénétration dh la Commuxi:alfé peut eue considérée crame étuvée. Supérieure en tout cas 'à. cc/1c observée aux Etats-Unis et surtout au Japon avec un Eaux de cannelle étranger sur sa production industriellede 6 seulement. Un entre d'études. le CE.1'11, a montré par une méthode. éconornétriq uc que tes mua de con-trôle étranger sur l'industrie mondiale de-mien' rumentereensiderahlement. notem•
ment du fait de la tendance ii ['intégration
croittnie Sirs &.-unorniti tuRepéerti in.: 12. toux 11141yel dans la C.T.E pourrait al teindre 51% d'ici l'an 200D. Tl esi peu probable que lu si/moirai d'as l'industrie fraoçuise s'étai- cc beaucoup rie celle prévisinn
En 1990, environ 30% des Sakai& employés ieirilcs n'are prises àcopitairx élniri-gers cri France Ir sont par des filiales de groupes arriérietrins, lundis que 611`7*~ d'erg iu eux irwlillrnt tliarrx {Crx etgactrreS; elIFT.IpeelliS. (44% !mur la seule CE.F.J._ Ces propsilionit stable%. ne tendent à diminuer (LUC très lenieruent, elec d'une part Ili venus. d Liu 11OU VVIII3X pays investisseurs no,' ofrul er d'aube po du bic ck la çrteissawe MILACI1t elolulei tient eurojk%erebes. inafis morr a Tre:cables par nature à un seul pays_
Le Jupgim, premier inwesi iMetIF mon-dial, déborde depuis peu rie sa politique d'implantlaion UOTTITTleMidC til FrarleC pour eriber des ëUlblis t ticFIL.. producieum T1 tuile enture très peu pr6ent dans le utpiLal des eramprises françaises et rie coricdik 1111C 2 des emplois nnlusnials
Les entreprises étrangères dans les secteurs (en % du chiffre d'araires)
Mil:maque Paraehlmie Pharrnade
Matériel de manutention Industrie chimique
Papier canon Irtorumenis de préeleian
machinEe-QuEs
Équipement agricole Equipement ménager Minerais divers
Équipement industriel Caoutchouc
Matières plastiques Électronique
Matériel elebblque Matériaux de construction
Inataltures industries &verses 'maronne. presse
Industries de la chaussure Industries du verre
Automobiles Induebie textile
Travail des métaux lére Ironsturrnation rie l'acier
Fonderie
SourCOS ; SESSI. User - 1990
L'importance de la préne nce des Etats- Unis et des investisseurs européens sc re- trouve dans tous les puys de la ce.E. à l'ex- ception du Royaume-Uni dont l'industrie
apparaît mains concernée par l'intégration économique des pays de la Communauté.
Ni les très petites entrenrinnsi
ni les très grandes
Le connele étranger concerne avent tout ds entreprisses industrielles de taille moyenne, employant entre ln° et 1100 sala-
riés plus précisément 37%, des emplois des entreprises de 100 à 500 salariés. et 48% des
emplois des entreprise de 500 d 2000 sidll• rias. une multitude d'investisseurs ntran- gers, runamment européens, S031 d'enver-
sure 'moyenne ci ne peuvent aire qualifiés de groupes mondiaux. Ils s'implantent en France
dues ces entreprises de taille moyenne. Mais les groupes Wani5 eux-mêmes manifestera une préférence puurees structures moyenne_
Les tailles extrêmes attirent moine les capitaux étrangers les plus petites entre-
prises ne eDngittient pas une base suffisante pole pénétrer le marelle français et le marché européen, sauf les petites entreprises
innovantes à fort potentiel. Celles-ci bénéfi- cieront du financement étranger et se retrou-
veront eve mur-liement à «terme avec plus de 100 salariés. Quant aux entreprises de 2000
salariés et plus. elles constituent pour la plupart le fief dc grands concurrents français.. et Re powiant étre acquises généralement que par des trocs stratégiques. Il n'est pas exclu que, la crise aidant, ainsi qu'à l'occa- sion des privatisations ou ripes, ks grandes
entvgiA ;ses soient de plus en plus accessible: aux investisseurs étraneers.
Les iii ii étranger,
s'orientent vers la hante technologie
Dans la périndede croissance d-aprés guerre, tes investissements directs interna-
tionaux se sont tout d abçrtl dirigés vers l'industrie, Les autres secteurs étaient plus fermés ou tanins internationalisés. C'étail le C35 des activités de se ives non financiers. nouvelle cible importante. ruais oit le poids
tics entreprises à capitaux étrangers ne dé- passe genre aujourd'hui en France a% des
emplois et 10% des ventes. 13e mante. avec
13% des emplois. le commerce reste moire pénétré que l'industrie par les capitaux .diritn-
gi.mi. De plus, le commerce de gros inter- industriel est le sous-secteur commercial k
plus pénétré. C'est en tait à mers lui que s'effectue en France une bonne part des flux iniernationaux intru-gmupes-
A ien niveau sectoriel fin. Ici filiales
de groupes diranners en Franco sont surtout ivéseracs dans l'informatique (plus des trois.
quarts du chiffre d'affaires du senteur), la parachimie (55%), l'industrie plianneeerni- que (53%) et la n'Inn ie (43%), k matériel de
manutention (465.), le papier-carton (40%). Cc dernier secteur vient récemment de rc-
joindre les trois pôles traditionnels de
l'implantation étrangère en France : elecIro- nique-informatique, chimie, matériels d'équipement_ Les investisseurs étrangers tendent à s'implanter dans les semeurs qui
sten les points Forts de leur pays d'origine : hante technologie pour les Etats-Unis.
moyenne technologie (mécanique par exem- ple) pour la RFA...
Dans tous les pays industrialisés on retrouve en fait les mêmes pôles d'attraction
de la pénétration étrangère : il s'ugit d'indus- trie très internationalinies avec un rôle déci- sif de l a technologie ou de l'accès aux matiè-
res pretniètes. C'est pourquoi l'attrait dc la France sur les capitaux étrangers ne provient
pas essentiellement de ses cires d'exploita- lion mais plutôt de Na situation au coeur de l'Europe, de la formation et de la qualifica- tion de sa main-d'oeuvre (mécanique. élec- tronique). de la disponibilité de son espace Cl
de ses infrustnictures (chimie), de sa situa- tion démographique (laboratoires pharma- ceutiques) et de l'impercance dc son sen- teur agricole el agro-alimentaire (bois,
emballage).
Moindre influence des proximités géographiques
Tanin., les régions françaises n'exer- cent pas le noème attrait sur les entreprises
étrangères. Les capitaux étrangers ont sur- tout investi fies réions situées à l'est d'une
ligne Le lavre-Marseil ie. c'est-à-dire les régions les plus intégrées à l'Europe et les
plus industrialisées-Début 1991, ks emplois industriels de la partie ouest ne dépendent qu'Ir 17% dm capitaux étrangers, tandis que
fat pnion ion s 'n1n-ve à 26% dans la panic est.
Part des effectifs industriels de le région employés dans des entreprises
étrangères au 01.01.91 Une ligne Le Havre-Marseille
[—Ide 0 à • de 15%, Micle 20a -de 25 %
&mina-de 20% IM 25%etplus
rinncnre nationale %
Sources SESS1, Trésor
L'Alsace est la réginn la plus carKer- n6c ; 39% des salariés de l'industrie alsa-
vienne travaillent dans entreprises cen-
t-niée par l'étranger. A rinver".;e, ta Bretagne demeure la région la moins concernée par les
eapilaux étrangers ; 10% de ses effectifs industriels seulement travaillaient en 1990
dans des filiales de groupes étrangers. Des effets de proximité européenne
sont perceptibles en Alsace et en Lorraine
(capitaux allemands), Rhône-Alpes et Film- ehe-Crimté (capitaux suisses), ainsi que dans
le Nord et la Haute-Normandie (capitaux belges el anglais). Les capitaux nord-améri-
Cali> "lointains" restent investis de préfé-
rence en lic-&-Frenee ou en Picardie.
2
TDLLIefoÈS, ces effetç de proximité [endent à s'c,ininper, Par exemple, les ré-
gions limitrophes de ]'Allemagne ne repré-sentent plus en 1W0 que 33% des effectifs
employés dura des entreprises N capitaux allemands, contre 43% dix arts plustiti pour la Suisse les proportions sont respectivement
40% contre 48%; dans le rnénne esprit dc rodep. loicmcnt. les capitaux américains ne
coma: rrien I. plus exclusive rne rit ['lie-de-France (29% sonne 34%).
Profitent (le set essaimage, avant
tout. le pourtour du bassin parisien et les régions du sud-ouest. Un léger rééquilibrage
desumix *pénétration étron gbre encre L'ouest ci res.1 de la ligne Le Havre-Marseille est d'ailleurs perceptible entre 19811 et 199! la
pénétratien l'cwest augmente de 3.5 points centre 2,5 points ii l'Est. Le entrepri5C-S à capituus étrangers eril ainsi ihreompapé le
TruevencLIL dr deounçcntration industrielle impulsée par Ir aclutinisinnion.
Les entreprises â capitaux étrangers
exportent plus
»es innirint ions qui repu:sent
sur les brevets de la maison mère
Panant du principe que la réussite sur les marches est liée aujourd'hui à l'irino-
valinn, les entremises à capitaux dtrangenç iratinduiscra en Fiance autant ou plus de produits innovante dans leur .chiffre d'affai-
res que Tes cnin...prises nationales, Selon tes données de I. 'enquéte d u SE SI surl' ienova-litrn dais l'indos[rie cri 19.13Q. les produits irineliara-i de (110iOS de cinq ans d'âge consti-tuent Itee.. du chiffre d'utraires des PMI filiales de (troupes étrangers. conne 16%
litas Les PM I de groupes français et 16% dans les PMI indépendatuer.. ézITini les gr-Indes enirepvines, l produits innovants repr&gcri-
tern un tiers du elliffre. «ladres dans Les filiales de groupes étrangers curnme dans les fil Laies de groupes français, La [Fru/enjeu de
'pionniers technologiques" est aussi imper.. tante parmi les rhums innoya.tues à capilaii
.dtrangcrs que parmi les filiales ütnsjwautlirb des groupas français_
Mais l'innovation des erarepiiscs
capitaux -étranÉers puise plut t tans les bre-vets du ,groupe étranger et moins dans un effort de reclierelle-dévetrappenieni
Ces entrcprisees sont dune le vecteur cfun transfert technologique. En effet, 70% des grandes entreprises filiales desroupes Étran-
gers déclarent, dans l'enquête innovation, que leurs innovations résultent de la R.TID du
woupe ei dos te vet4 détenus. corme moins de la moitié de leurs homologues filiales da groupes français. Selon les donném de l'en-
quêk annuelle du minisicre dc la Recherche, ces grandes entreprises à capitaux &rangers
ne arien-Dl mie 3 % de leur valeur ajerutéc dans une recherene et délie/open:ut interne contre 12 %Llruts [ils filiales homologues de
erniprs français, La rorherehe-dévcloppc-mem IOcale tirs entreprises à capitaux étran-ger est d'ailleurs axée gejudralernem sur l'adaptation aras marchés locaux, français et euiopéens, phuslit que sur la création d'inno-
vations majeures. Ires &anomies re'aliséesdc ce faitout eornine contrepartie les redevances sur licence' que ces eratepfisey doivent payer à leurs maisons nues.
Le gro.upe étrangers ne se sent pas implantis en France dois lt lui d'aborder le
srul usarché français, lis utilisera aussi leur base française pour emperler vol l'Europe ut le ru Onde entier, meurs son[ plus
tonnes ver,: rexportution que les entrepri-ses à eap.itanix fraripis Ï k fonts (Ume rrial ion directe des enirepris à mipiuoix étrangers
est de •:"i29 eopinc 2851.tlaOS bre rte enireprises à capitaux fraiçai.s. A dimension d'entreprise 'J'Imparable, lets de gnru- pesétrreagen3r.Xprateetitignife,mriVententrlus
que les "Le groupes français. L'écart cm 'milice] PLI:Feux:ni trairsio.d( IO poilas) panni tes employant de LOO à 500
e la reprises: elkait les dimensions sont aujourd-hui attrayantes pour tes capitaux étrangers.
Les filiale-i; de g 'Dupes .CillaigerS. insplamis en France t"..spOilerU En grprec pÉurie vers leur raniseui coè.re e[ iÉ:.; mares filiales du groupe à l'étranger. fmrsement, les PMI françaises filiales de groupes fran-
çuis expertut peu directement, guère plus que ne le font les PMI indépendantes_ En fait_ leurs exportations passent par leur maison
mère clou les secidtds commerciales du groupe installées en franeeLllexisterait ainsi
un efiel de mil- sir entre le comportement des filiales de grimpes étrangers en France et uetui des Filiales framaises à l'étranger.
Par ailleurs. selon certaines études.. IL semble que les entreprises à capitaux étran-
gers imporleni relativement plus que lee enireprises nationales. D'ailleurs leur taux cl' in[égraiian esl faiblie comparé à celui des
erareprims indépendrinles. (F..pit en moyenne Lisdérielar Mem, à initie d'entreprise corn-pandire ) à celui des filiales de groupes fran-çais ce pliériuribCrie prupi-e aux groupes ne peur provo i r que dm départs Min-groupes el donc essentielTemenr des. importations im ec gai C.Orkertie tcS gruupt> élnuagers.
Inffltissernent direct et hnplantatinri étrangère.
On considère qu'il y a in fl Lm mue de l'étranger pour des pardcipadons dans te capital e niprises croie il Y.4, et 5tYli, tna rl icipul ions minoritnim). l'influence recouvrant des situations diverses et dans cemains .uo.' des çuriirÔles cFheif5, Lu contrôle e4t certain lorsque La es[ .ALVictniitni :.›.111r2riieurr. à 50% (participations majoritairesy Au sous du seuil de 210% Tes panielporion% étnimeme nntilucnt un simple place, mea finander eLt ne. Eraduiserupe une volonteirinflurmour la gestion de l'entreprise. En Franec, comme. dans la plupart do bores puys, les entremises détoures rriajornairemein sont prépondérantes dans implaniation érratere,
US sources d'information
Lu Direction du Trésor gùre un fichier stock de la tombé des eimlieprises participations etrarights. Ce fa,-hier contiera notamment pour chaque entreprise investie la Liste der." azlionuaire (personne pluesique ou =prise.) avec leur taux de participation, leur pays etc résidence et leur pays droriene. Le pay3 d'origine differe rira p5 'S provenance pour toutes le effectuées par l'intermédiaire de sociétés liÈrees par bœillige, si une trcéëié UlTberiuzi i ne prend des participations en France par l'intermédiaire d-une i ale allemande, le pdykitkprievenaritx sera l'A[turnagne et k pays d'origine lm Fiais- Unie_
Par ailleurs l'enquête annuelle d'entreprise du service statistique du minkmèreo ire incluserie (SESSI) fouira notamment pour chaque entreprise : son activité principale,
son compte etc ksultat,%„ la liste de ses établissements tivw leur adresse, L'enquke annuelle portant SUI- 1990 comporte de pl us un vole; ̀ -innovation". ensemble de questions
sur cc rhème ajoutées au questionnaire. Ont 41 I également 1.anquéte annuelle sur le liubions nnaneières (lel) de l'INSEE et l'ainipÂte annuelle sur l'effort de Recherche et Développement des eutreprifieselTeuluét parle Ministère de la Recherthe.
Mesure de l'implantation &il-ingère
A partis des prineipales variable,. ikonsuniques annuelle d'enlrcprisc (ffectif employé_ chiffre d'affaires. exportation directe,,,) on construit deux types d'indicatetus ;
- le poids dans l'industrie, qui mpone l'imsemble des entreprises à participation
étraneérc (inDiClitatr2S eL InireriuireS) l'ensemble des creepiises françaises_ l'indice de pénétration Cil mariblable ou rapport poecédcru, 'nais les erarepritei
participation minoritaire n 'y coraribuen1 qu'au. proreta du taux de participation élranekre. La mesure de 1'irnplihrulitm dirangère concerne ici les entreprises empluyunt 20
Mariés et plus dcl'industrie Innantfaellorrere ci.rile stricto sensu, Cest-à-dire trucs hergie_ hors bàiiment et gésir cd,ril, hors industries agno.atimentaires.
3
Taux d'exportation selon la taille des entreprisEs
A taille égale, tes filiales de groupes étrangers exportent plus
Taille F] I Foies* de
groupes élrangers
Fl Hales' de groupes français
indéper,_ dardes
Toutes entésorina
20 à «I coloriés 19% 13% -
9% 10% 50à 99 salariés 25% 15% 13% 15%
toc É-.1199 salariés 26% 18% 18% 20% 200 à 499 salariés 80 % 20% 18 % 23 % 500 a 999 salaries 32 % 26 % 17 % 2a%
1con à loge salariés 33 % 29% n s 31 %
. 2004à 4999 si:dal-liés 35 % 28 % n s 31 %
5000 salariés et plus 42 % 43 % - 43 %
Donneurs d'ordres 48 % 39% 28% 34 %
Toutes tailles 32% 32 % 14 % 28 %
Sources : SE ;St, Nem', INSEE 19SO n non significatif Par acon nia en Les perniernunees des entreprises
Des performances comparables entre filiales de groupes étrangers et de groupes français
Ratios Filiales' de groupes étrangers
. Rliolne de groupes français
Indépen- dentes
I Toutes catégories
vidd-i-recAiir 22 % 02 % 39% 33 %
VA1-171Effeolif 35.0 kF 320 kF 230 kF 31:e kF
Frais de personnel/0We 210 kF 210 kF 170 kF 200 kF
EBENAHT 34 % 29 % 23 % 29 %
Rois finaneiersiVAHT 7 % 8 % 5 % 7 Impôts sur benéticoNAHT 6 % 4 % 4 % 4 %
InvesUssementsNAHT 16 % 18 % 12 % 16 %
Dot, arnortisstNAHT 10 % 13 % 7 % 11 % Autres chargesrVAHT 7 % 3 % 2 % 3 %
Résultat ne1/ CAI-IT 3 % 3 % 3 % 3 %
EDE 7eneskro.brukd'c.Npleitzdal
VAtfr : /punk CA PU: chilTru
Sconces Tr.ésue, INSEE -
Pour en savoir phis - "L'implantialon étran wredtrui l'inÉlibirie:au i er janvier 1991" sEsst.093 - " I.es estisenrs. inclusrrie «rangers a I muni fun peul. France F. [kern. 'kiki in du
Crédil Nuilunui.o.erobre 1992. "L'impluntulion -Étrurapbre dans lu ennimeree el les services au ter JarprIer MO"
J-IW. N]viet >111rUsitre du Commerce el del"Arrisanag992- - "Qui fidig...in0Linur LiustFrtTele: ?" F. Mal h leu. I .r4 pages, 4Fr5 til.aaiYl 1992 - "I -e poids des sociétés érrangérte ..1-P. Français. La France des entrepris. ri- !spécial
ÉNSEE.I.'ErmireprI2e..uuvembry vaut, - "Curarôle des prodlictinm nationales" estimallo.ns de M, D. de Laubler in Econumie
14l1n-21)1H/ i l'impernilf de rru.luulu.x.. rapport tir CF P111_ EirutirFrmira, 14K12.
Rentnbilité et rémunération
des investissements étrangers
Les fil iulcx de groupes étrangers sr.)nt souvent bien plaoks sur leur marché et ob- ilennem une productivité appirente élewee (valeur ajoutée pçer iEir); 'rérrturiénint leurs cmpl.oyésa.0 même niveau que leurs homolo- gues dc-. grutipcs kur 6conornique bnite, mesurée per la part +[e valeurtijekttsiCeLsnsticrée nrérrui rerer eapi- lat. est néce.p.sairement plus élevée.
De plus. bonne rentabilité économi- que larme rime pour olle$ avec bonne rentabilité finanriZ-re brute. En effet., les en- in-prises tl capilaux .diningere ne semblent pas êlre plus CapJrgistiEpErs. car leurs invrs- tissermenis, de marne que leurs donnions aux limon imieinerns. rerriberitcru dos pourcen gsts (le kur valcurajotnér isrefie.s de ceux 1.1C1 erorepnses i capiiini ri. fronçais. voire ira- rieurs_ Par ailleurs., el [es rte forat guère plus de négoce* stm3A peine moins intégrées égale (les filiales de earnmen.:inlisiiiion on avec une simple activiré d—usine tournevis" sont recensées dais Feliquele aider des entreprises opçnn-iemiallei ei ne sont donc pas prises en considération ici).
Cependant. leur rentabilité brute su- périeuredébunehe sur une mai-genette comp- table beuternern égale â, e'rte dis entreprises indépendantes et à celle des filiales de grou- pes français tto rdsultar net reprif:scrite Élans uses trois ealégories environ 35' du chiffre d'affaires en L990}_
t,C tlesage cime k reMabill brute et la rentabilité nerte est complexe. car inter- viennent de J11:EniLtreux élérilenK cernpLahle.s. comme la politique earnonissernern enan• cier des prêts octroyés par les groupes ei la rémunération des capitaux qui ' ils ont I nvesli. .clans ces entreprises. Mais les redevances technologiques versées (environ 7 r de la valeur ajoutée des Males de groupes écran. gis) contribuent pour moitié i ce dÉcalage erure rC11tt4bllit brute Ct rcraabiliipe *MC comptable. Plus génézaiemem on peut dire que ces entreprises sont en mesure de aga- ger plus de valeur eiouiée garce L des fauteurs extérieurs à l'hexagone. mais que la reinune • ration sk r C4 [icteurs. aboutit à raillerie Leur r4,1111174 net dans la muyenne nationale.
U Marie-Jeanne DUPONT Édouard MATHIEU
' Peirti*ItiOn Olajerkreet
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CUCIfl postal Il III Commune •
Ct.:rafle mon rilt.glàrnect J'ordee de M. le régisseur des recettes Ou Mirilstém da t'industrie Dein Signature