1 Les expositions La programmation du Louvre Les … · 2014-06-18 · en 1989 avaient été...

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Les années qui s’annoncent vont marquer un tournant dans l’histoire du Louvre. Mon prédécesseur, Henri Loyrette, laisse un musée considérablement modernisé, à l’aise dans son époque, rayonnant dans le monde entier et sachant s’adresser aux publics les plus variés. Il nous faut aujourd’hui consolider cet héritage et valoriser ce qui a fait le succès du Louvre dans ces dernières années. En me nommant à la tête de cet établissement, le président de la République a fait le choix d’une forme de continuité et a ainsi reconnu l’ampleur du chemin parcouru par notre institution en une décennie.

Le contexte actuel est à la fois celui d’un resserrement des contraintes qui pèsent sur les acteurs publics comme privés, et celui d’une nécessité croissante de mettre la culture au cœur de la société civile dont les membres nous rappellent chaque jour que le « désir de Louvre » est présent en France autant qu’à l’étranger. Voilà pourquoi ma première priorité sera de placer la rencontre entre le public et les collections permanentes au centre de nos préoccupations. Ce document vous présente l’ensemble des projets que nous allons mettre en œuvre dans les prochaines années et pour lesquels le soutien des mécènes est indispensable. La plupart permettront au public de redécouvrir ce patrimoine universel et pourtant encore largement mécon-nu. Parmi les chantiers emblématiques, la restauration de la Victoire de Samothrace, œuvre icône du musée, sera la première étape d’un impor-tant chantier de réaménagement du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines. À l’extérieur du Palais, le jardin des Tuileries, fréquenté chaque année par plus de 14 millions de promeneurs, fera l’objet d’une vaste opération de réaménagement et de reverdissement pour lui redonner sa splendeur d’origine. Enfin, le « projet Pyramide » a comme ambition d’adapter les espaces d’accueil et de médiation du Louvre à la fréquentation que nous connaissons aujourd’hui : près de 10 millions de visiteurs chaque année, alors que les espaces d’accueil conçus par I. M. Pei en 1989 avaient été pensés pour recevoir un maximum de 5 millions de personnes.

Chaque année, les expositions temporaires auront elles aussi pour vocation de mettre en lumière la richesse de nos collections et le travail continu que menèrent les conservateurs du Louvre pour en dévoiler le sens.

Aucun de ces projets ne verra le jour sans le soutien de mécènes. En 2013, rejoignez le Louvre et écrivons ensemble cette nouvelle page de l’histoire du musée.

Jean-Luc MartinezPrésident-directeur du musée du Louvre

Un musée en mouvement, des collections exceptionnelles :en 2013, rejoignez-nous !

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Devenez mécène du Louvre 4

Adhérez au Cercle Louvre Entreprises 7 La programmation du Louvre 9

Les expositionsLe printemps de la Renaissance : la sculpture et les arts à Florence 10 Trésors du Maroc médiéval et d’Andalousie 11Velázquez en son siècle 12 La Thrace antique : les trésors de la vallée des rois de Kazanlak 13Le trésor de Saint-Maurice d’Agaune 14 Rhodes 14François Ier et l’art du Nord 15La figure du fou 15

Les concerts de l’auditorium 16

Les publics jeunesLes nocturnes du vendredi 17

Le musée Eugène-Delacroix Un nouveau parcours muséographique 18Delacroix en héritage, chefs-d’œuvre de la collection Moreau-Nélaton 19Delacroix et la Nouvelle Peinture, un maître disparu pour de jeunes peintres 19

Les expositions du Louvre-LensL’Europe de Rubens 20Les Étrusques et la Méditerranée 21 Les désastres de la Guerre 1800-2014 21

Le Louvre à l’étrangerReligion et céramique grecque 22Méditerranée 23

Les grands chantiers muséographiques 24Le Projet Pyramide 26 La rénovation des salles dédiées aux objets d’art du XVIIIe siècle 28 Les nouvelles salles du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines 30La rénovation du jardin des Tuileries 32

Les programmes éducatifs et sociaux 34Le Louvre à l’hôpital 36Les ateliers pédagogiques 37« Viens lire au Louvre » 37La semaine de la Femme 38 « Osez le Louvre », un programme contre l’illettrisme 39L’accessibilité aux personnes handicapées 39

Les restaurations 40

Le fonds de dotation du musée du Louvre 46

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Depuis 2003, la part de mécénat n’a cessé de croître dans l’équilibre budgétaire du musée. Le Louvre est aujourd’hui financé à parts égales par l’État et par ses ressources propres. C’est dire le caractère essentiel que revêt l’engagement de nos mécènes pour la réussite des projets du musée.

Le mécénat n’est pas seulement une question d’argent : il s’agit éga-lement d’échanges, de savoir-faire, de proximité et de fidélité. Cette relation privilégiée explique que des entreprises de toutes tailles continuent à rejoindre le Louvre, de plus en plus nombreuses malgré le contexte économique.

Dans la période qui s’annonce, plus que jamais, nous comptons sur le soutien de nos mécènes. Symbole fort, c’est au début de l’année 2014 qu’ouvriront les nouvelles salles dédiées aux objets d’art du XVIIIe siècle, première initiative du Louvre reposant uniquement sur des financements privés provenant d’entreprises, de fondations et de donateurs individuels de France et du monde entier.

Christophe MoninDirecteur du Développement et du Mécénat

80 entreprises mécènes en 2012

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Profitez d’un accès privilégié au musée• Laissez-passer pour les expositions temporaires et les collections permanentes• Libre accès de vos salariés au Louvre• Invitations aux vernissages• Rencontres avec les conservateurs

Participez à des événements réservés aux mécènes• Le dîner annuel dans les salles du musée• Le récital de remerciement• Le Comité d’orientation du mécénat du Louvre

1. Récital de Michelle DeYoung dans lles salles des Peintures françaises2. Visite privée dans le département des Sculptures 3. Soirée privée dans le Café Mollien

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Organisez des événements exceptionnels Des petits déjeuners ou des soirées associés à une visite privée un jour de fermeture du musée, dans différents espaces pouvant accueillir de 60 à 3 000 invités :• la pyramide,• les mezzanines Richelieu et Denon,• la rotonde Sully,• le Café Mollien,• le Café Richelieu.

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Bénéficiez d’importantes réductions fiscales Une entreprise déduit 60 % du montant de son mécénat directement de son impôt sur les sociétés, dans la limite de 0,5 % de son chiffre d’affaires hors taxes. Elle peut disposer par ailleurs de contreparties matérielles à hauteur de 25 % de son don (organi-sation d’événements, facilité d’accès au musée, visibilité sur les supports de communication du Louvre…).

Par exemple, pour le mécénat d’un projet de 100 000 euros : • vous bénéficiez d’une réduction de 60 000 euros de votre impôt sur les sociétés,• vous profitez de 25 000 euros de contreparties matérielles,• le coût réel de votre investissement est de 15 000 euros.

Devenez mécène du Louvre

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Communiquez auprès d’un large public Une visibilité exceptionnelle sur nos supports de communication :• affiches et bannières,• cartons d’invitation aux vernissages,• communiqués et dossiers de presse,• www.louvre.fr et page dédiée sur www.louvremecenat.fr,• à partir d’un certain montant, une reconnaissance patrimoniale pérenne dans le musée : plaque de remerciement sous la pyramide ou dans les salles.

Du contenu éditorial et visuel pour la communication institutionnelle de votre entreprise :• rapports d’activité, cartes de vœux, newsletter, intranet…,• catalogues d’exposition personnalisés.

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Soirée privée Cercle Louvre Entreprises

Le Cercle Louvre Entreprises s’adresse aux entreprises à la recherche d’opportunités de relations publiques prestigieuses et dési-reuses d’aider le musée du Louvre dans ses grandes missions patrimoniales, éducatives et sociales. Créé en 2004, il rassemble aujourd’hui près de cinquante membres.

Ces dernières années, ce groupe de mécènes a notamment contribué à faire découvrir aux enfants les collections du musée grâce à des ateliers pédagogiques et ludiques. Il a financé la restauration de chefs-d’œuvre. Enfin, il a permis d’accueillir des apprentis au sein des ateliers du Louvre, assurant ainsi la transmission de métiers d’art exceptionnels.

Les membres du Cercle sont associés à une série d’événements qui leur sont réservés et auxquels ils invitent leurs clients et collaborateurs :• des petits déjeuners suivis d’une visite privée d’exposition menée par le commis-saire un jour de fermeture du musée,• des visites « coulisses », orchestrées par les conservateurs, pour découvrir les espaces du palais fermés au public (ateliers de restauration, réserves…),• des promenades nocturnes sur des thèmes originaux, précédées d’un cocktail,• des événements en dehors du Louvre pour découvrir d’autres institutions culturelles à Paris.

En exclusivité, les membres disposent de cartes Cercle Louvre Entreprises donnant un accès prioritaire et illimité au musée pendant un an pour deux personnes. Ils bénéficient par ailleurs des avantages classiques liés au mécénat.

Adhérez au Cercle Louvre Entreprises

Exemple de partenariat

Montant du mécénatDe 6 000 € à 128 000 €60 % de réduction fiscale et 25 % de contreparties

Exemple d’avantages

Relations publiques de prestige• Invitations aux événements exclusifs du Cercle• Priorité de réservation sur les espaces de location du musée• Petit déjeuner dans le Café Grand Louvre suivi d’une visite privée. • Cocktail au Café Mollien ou au Café Richelieu• Réunion de travail dans l’atelier d’Eugène Delacroix• Possibilité de réserver des places pour le dîner annuel du Cercle au cœur des collections• Invitations aux vernissages• Invitation au récital annuel de remerciement des mécènes

Forte visibilité• Mention sur l’affiche de remerciement annuelle• Mention dans le rapport d’activité• Logo sur www.louvremecenat.fr• Visuels et mention pour vos supports de communication institutionnelle

Accès privilégié au musée• Cartes Cercle Louvre Entreprises (accès prioritaire et illimité pendant un an)• Laissez-passer• Accès libre au musée pour vos salariés• Siège au Comité d’orientation du mécénat• Conférence d’un conservateur du Louvre

6« La campagne d’appel aux dons pour les Trois Grâces m’a permis de découvrir que toutes les entreprises, quels que soient leur taille ou leur âge, peuvent contribuer à l’acquisition d’un chef-d’œuvre et à l’accroissement des collections du Louvre. Cette opération aux retombées médiatiques importantes a été une source de satisfaction pour Pylônes et une fierté pour l’ensemble du personnel et de nos partenaires. Afin de prolonger cette dynamique culturelle, valorisante pour l’entre-prise, j’ai décidé d’engager Pylônes sur le long terme comme membre fondateur du Cercle Louvre Entreprises : ainsi nous nous associons à l’image forte du Louvre et nous avons accès à de nombreux événements privilégiés, tout en continuant à soutenir le musée dans ses missions quotidiennes et dans le développement de ses métiers. »

Jacques Guillemet

Président-fondateur de l’entreprise de design Pylônes

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Nocturnes du vendredi : « Combat » avec Mourad Merzouki et les danseurs du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne

Chaque année, le Louvre propose une programmation riche, diversifiée et pluridisciplinaire. Temps forts de la scène cultu-relle parisienne et internationale, de nombreuses expositions temporaires ont lieu dans le palais.

Plusieurs vendredis par an, les arts vivants – théâtre, danse, musique, cirque – investissent les collections perma-nentes lors de nocturnes à destination des jeunes. Enfin, l’auditorium invite des jeunes talents et des interprètes internationalement reconnus pour des concerts exceptionnels.

La programmation du Louvre Participez aux temps forts du musée

Exemple de partenariatpour les expositions

Montant du mécénatDe 50 000 € à 800 000 €60 % de réduction fiscale et 25 % de contreparties

Exemple d’avantages

Relations publiques de prestige• Priorité de réservation sur les espaces de location du musée• Événements en avant- première• Visites privées par le commissaire de l’exposition• Soirées sous la pyramide• Cocktails au Café Mollien ou au Café Richelieu• Réunions de travail dans l’atelier d’Eugène Delacroix• Invitations aux vernissages• Invitation au récital annuel de remerciement des mécènes• Possibilité de réserver des places pour le dîner annuel des mécènes au cœur des collections

Forte visibilité• Logo sur les supports de promotion : affiches métro, bannières, etc.• Mention sur les invitations aux vernissages• Logo et préface dans le catalogue

• Mention et logo dans le dossier et le communiqué de presse• Mention dans le programme trimestriel• Mention sur l’affiche de remerciement annuelle des mécènes• Mention dans le rapport d’activité• Logo et page dédiée sur www.louvremecenat.fr• Crédits dans l’exposition• Visuels et mention pour vos supports de communication institutionnelle• Article dans Grande Galerie

Accès privilégié au musée• Laissez-passer• Accès libre au musée pour les salariés• Siège au Comité d’orientation du mécénat• Conférence d’un conservateur du Louvre

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1. Donato di Niccolo, dit Donatello, Putto ailé de la cantoria de Santa Maria del Fiore, 1439 2. Pyxide sans couvercle

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Pour sa première exposition temporaire depuis l’ouverture de ses spectaculaires espaces muséographiques, le département des Arts de l’Islam du Louvre propose un parcours inédit, de grande envergure, sur l’histoire médiévale du Maroc (dans son sens géogra-phique actuel) construite autour des dynasties Almoravides, Almohades et Mérinides. Du XIe au XVe siècle, celles-ci ont unifié l’espace qui a donné naissance à l’actuel Royaume du Maroc. Leur influence s’est également étendue au-delà de la sphère maghrébine pour atteindre le Portugal et l’Espagne actuels, fédérant les confins de l’Occident islamique pour plusieurs siècles. C’est une période d’apogée, tant du point de vue commercial qu’artistique, qui a notamment vu la fondation des villes majeures de la région, au premier rang desquelles Marrakech et Fès.

Chefs-d’œuvre connus ou méconnus du Maroc, d’Espagne et du Portugal et récentes découvertes archéologiques encore jamais montrées se croisent au fil du parcours, permettant de resituer le Maroc dans l’histoire des arts de l’Islam et de présenter les sources de sa modernité.

Cette exposition et son itinérance en Espagne, au Maroc et au Qatar offriront une vision inédite de l’histoire et des arts du Maroc et seront l’occasion d’une véritable réappropriation de leur histoire par les Marocains, une histoire écrite par et pour eux-mêmes, différente de celle qu’ont pu rédiger les Français ou les Espagnols par le passé.

25 septembre 2014 – 5 janvier 2015Hall Napoléon

Besoin de financement : 800 000 € Devenez mécène à partir de 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

Trésors du Maroc médiéval et d’Andalousie

Une coopération historique avec le Maroc

L’exposition d’œuvres, issues de fouilles récentes, jamais présentées au public

Cette exposition révèle le rôle fondateur de la sculpture florentine dans l’émergence de la Renaissance italienne. Elle présente des pièces emblématiques comme les reliefs proposés par Ghiberti et Brunelleschi pour le baptistère Saint-Jean, en soulignant le caractère précurseur de la statuaire conçue pour les monuments de l’époque. D’autres créations ornementales pour l’église d’Orsanmichele témoignent des échos permanents entre art profane et art sacré, confirmant l’importance de la cité dans l’encouragement à l’innovation artistique. Donatello est particulièrement mis à l’honneur, à travers la présentation d’œuvres majeures comme le superbe buste reliquaire de San Rossore.

Les nouveautés introduites par les maîtres de l’époque ont influencé l’Europe entière, notamment grâce à l’appui de la célèbre famille Médicis. Le parcours retrace les étapes de cette diffusion, plongeant le visiteur au cœur de la plus grande aventure artistique du XVe siècle.

Le printemps de la Renaissance : la sculpture et les arts à Florence (1400-1460)

Des partenariats exceptionnelsavec le musée Bargello et le Palazzo Strozzi

26 septembre 2013 – 6 janvier 2014Hall Napoléon

Besoin de financement : 800 000 € Devenez mécène à partir de 100 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 40 000 €

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1. Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, L’Infante Marie-Thérèse, future reine de France 2. Tête en bronze de Seuthès III

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La vitalité de l’archéologie bulgare a permis, ces dernières années, des découvertes exceptionnelles dans les tombes de l’ancien royaume de Thrace. Les nombreuses sépul-tures mises au jour dans la « vallée des rois » rendent compte de la richesse économique, sociale, culturelle et artisanale de la Thrace qui se nourrit des échanges avec toutes les civilisations qui l’entourent. La manifestation du Louvre est ainsi l’occasion de présenter des ensembles funéraires dans leur totalité afin de mieux comprendre la pompe aristocra-tique, l’histoire et les croyances thraces.

La réunion, pour la première fois, des objets de la tombe de Seuthès III découverte en 2004, notamment une magnifique tête en bronze du roi, est le point fort de l’exposition.

16 avril – 21 juillet 2014 Salles Richelieu

Besoin de financement : 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

La Thrace antique : les trésors de la vallée des rois de Kazanlak

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L’exposition programmée au Louvre au printemps 2015, en coopération avec le Kunsthistorisches Museum de Vienne, entend présenter un panorama complet de l’œuvre de Diego Velázquez, depuis ses débuts à Séville jusqu’à ses dernières années et l’influence que son art exerça sur ses contemporains. Elle se donne en outre pour mission de porter les principales interrogations et découvertes survenues ces dernières années quant à la connaissance et l’analyse de l’œuvre du peintre et de son contexte.

Les différentes sections s’attacheront ainsi à évoquer le climat artistique de l’Andalousie au début du XVIIe siècle, les voyages en Italie, déterminants pour la carrière de Velázquez, mais également ses débuts à la cour d’Espagne, et son influence sur ceux que l’on appellera les vélasquésiens.

Les visiteurs pourront découvrir que l’artiste, maître dans l’art du portrait dont il libère et renouvelle le genre, n’excelle pas moins dans le paysage, la peinture d’histoire ou, dans sa jeunesse, la scène de genre et la nature morte.

Velázquez en son siècle

printemps 2015 Hall Napoléon

Besoin de financement : 800 000 € Devenez mécène à partir de 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

Une rétrospective inédite de l’œuvre de l’un des plus grands maîtres de la peinture espagnole

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Si l’attirance de François Ier pour les arts de l’Italie est notoire, son goût pour la création flamande l’est beaucoup moins. Pourtant, nombreux sont les artistes flamands qui viennent travailler à sa cour, et le roi achète régulièrement auprès des marchands anversois des tapisseries, des tableaux et de l’orfèvrerie. L’exposition s’attache à mettre en lumière les œuvres de ces artistes originaires des Pays-Bas qui, pour certains, sont aujourd’hui considérés comme typiquement français, mais également à montrer que ce courant flamand n’est pas imperméable à l’art italien.

Les personnalités de Jean Clouet et de Corneille de Lyon, portraitistes renommés, ainsi que celle de Godefroy le Batave, miniaturiste de talent, sont mises en avant. Le parcours fait ainsi la part belle aux portraits de ces artistes rarement réunis de ces artistes.

printemps 2015 Salles Richelieu

Besoin de financement : 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

François Ier et l’art du Nord

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La figure du fou

Entre le XIIIe siècle et le milieu du XVIe siècle, la notion de folie a inspiré et stimulé la création artistique européenne, aussi bien dans le domaine de la littérature que dans celui des arts visuels. Issue de racines religieuses, la figure subversive du fou prend une importance croissante à la cour ou au sein des villes et remet en cause l’ordre social lui-même, jusqu’au triomphe de la folie dans les écrits d’Érasme comme dans les œuvres de Bosch. Étudié par l’histoire sociale et culturelle, c’est la première fois que le thème du fou au Moyen Âge fait l’objet d’une exposition en France.

Besoin de financement : 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

automne 2015 Salles Richelieu

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En 2014, l’abbaye de Saint-Maurice d’Agaune dans le Valais fête ses mille cinq cents ans de présence continue sur le site où furent martyrisés saint Maurice et ses compagnons de la légion thébaine. À l’occasion de cet anniversaire unique dans le christianisme occidental, et pendant la création d’un nouvel espace muséo-graphique, les pièces majeures du trésor seront exposées au Louvre. Cet événement donnera la possibilité au public de découvrir des chefs-d’œuvre de l’orfèvrerie médiévale sans équivalent en France, comme l’aiguière dite de Charlemagne et le coffret de Teudéric, ou les précieux dons par lesquels Saint Louis et les ducs de Savoie manifestèrent leur dévotion à ce saint militaire. Une occasion qui ne se reproduira pas avant mille cinq cents ans !

printemps 2014 Salle Anne de Bretagne

Besoin de financement : 100 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 40 000 €

Le trésor de Saint-Maurice d’Agaune

1. Coffret de Teudéric 2. Pendant de tempe 3. Jean Clouet, Portrait de François Ier

4. Hieronymus van Aken, dit Jérôme Bosch, La Nef des fous

Rendue célèbre par le Colosse, une des sept merveilles du monde antique, et par la présence des chevaliers à l’époque médiévale, Rhodes occupe une position stratégique, qui en fait une des portes entre l’Égée et l’Orient. Terre d’échanges, cette île située au croisement de nombreuses routes maritimes s’est nourrie de la rencontre des cultures grecque, levantine, égyptienne et anatolienne. L’exposition insiste sur les périodes hautes, de l’âge du Bronze à l’ar-chaïsme, afin de mettre en valeur la dimension orientalisante de l’art grec, révélée par les fouilles de Rhodes.

Rhodes

13 novembre 2014 – 10 février 2015Salles Richelieu

Besoin de financement : 200 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 80 000 €

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2. Jeunes dans les salles lors d’une nocturnes du vendredi3. Nocturne du vendredi : «Les médusées» de Damien Jalet

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Les Nocturnes exceptionnels renou-vellent en profondeur l’approche des collections du musée du Louvre. Danse, hip-hop, musique, slam et théâtre investissent les salles, attirant de nouveaux publics pour leur faire découvrir les œuvres sous un jour différent. Ces soirées s’affirment ainsi comme des moments privilégiés de dialogue et de rencontre entre les artistes d’aujourd’hui, les œuvres du musée et les visiteurs.

Les nocturnes du vendredi

Les publics jeunes La moitié des visiteurs du Louvre ont moins de 30 ans. Depuis huit ans, des soirées exceptionnelles leur sont consacrées quelques vendredis soir chaque année. Fortement médiatisées, elles ont vu leur fréquentation doubler depuis leur lancement.

Besoin de financement : 150 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 6 0 000 €

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Le développement des échanges avec un public qui est parfois éloigné du monde de l’art et de la culture est possible grâce à la mise en place des dispositifs spécifiques de communication autour de ces événements uniques.

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1. Concert sous la pyramide lors de la Fête de la musique

Les « Concerts du jeudi » proposent, à des tarifs préférentiels, des programmes accessibles à tous couplés à une diffusion par le biais de médias radio et Web. Il s’agit de rampes de lancement pour de jeunes artistes prometteurs.

Les Concerts du jeudi

Les Grands Classiques

Les « Grands Classiques » sont répartis en quatre rendez-vous annuels présentant, les soirs de nocturnes du vendredi, les œuvres phares du répertoire. Ces concerts sont gratuits pour les moins de 26 ans.

Besoin de financement : 15 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 6 000 €

Les concerts sous la pyramide

En 2013, deux chefs de renommée internationale, Pierre Boulez et Paavo Järvi, dirigeront l’Orchestre de Paris sous la pyramide. Ces événements prestigieux, qui ont lieu en juin et en décembre, remportent un véritable succès populaire grâce à leur gratuité : depuis leur lancement, 2 500 personnes ont assisté à chaque concert.

Besoin de financement : 50 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 20 000 €

Besoin de financement : 25 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 10 000 €

Les concerts de l’auditorium Depuis 1989, la programmation musicale de l’auditorium vise à faire découvrir la musique classique à un large public. La création est à l’honneur : les commandes passées à de jeunes compositeurs alternent avec les invitations d’interprètes internationalement reconnus. Quarante concerts sont organisés chaque saison, dont dix font l’objet d’un webcast comptabilisant 80 000 connexions. Le taux de fréquentation est supérieur à 90 % depuis dix ans.

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1. Le jardin du musée Eugène-Delacroix après rénovation 2. Musée Eugène-Delacroix, atelier du peintre 3. Pierre Lanith Petit, Portrait d’Eugène Delacroix 4. Eugène Delacroix, esquisse de la Mort de Sardanapale

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La disparition du peintre en août 1863 marqua profondément les esprits ; pour toute une génération de jeunes peintres qui ne l’avaient jamais rencontré, le décès de Delacroix fut l’occasion de revenir vers son œuvre qui les influença profondément. Cette exposition fait correspondre tableaux, dessins et esquisses du peintre avec les esquisses que ses jeunes héritiers, Edgar Degas, Paul Cézanne, Claude Monet, Odilon Redon notamment, réalisèrent de la fin des années 1850 à la fin des années 1860.

Delacroix et la Nouvelle Peinture, un maître disparu pour de jeunes peintres

décembre 2014 - mars 2015

Besoin de financement : 50 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 20 000 €

L’exposition au musée Eugène-Delacroix présente un choix particulier de dessins et de peintures de la collec-tion Moreau-Nélaton en lien avec des œuvres de la collection permanente du musée. Elle montre également des lettres échangées entre Eugène Delacroix et Adolphe Moreau père et évoque le travail d’historiens de l’art d’Adolphe Moreau fils, qui rédigea un des premiers catalogues sommaires de l’œuvre de Delacroix, et d’Étienne Moreau-Nélaton, qui publia une monographie sur l’artiste. Elle permettra aux visiteurs de découvrir des œuvres très rarement montrées, dévoilant toutes les facettes de l’art du peintre, en rendant hommage à une famille de très grands collectionneurs.

Delacroix en héritage, chefs-d’œuvre de la collection Moreau-Nélaton

11 décembre 2013 – 17 mars 2014

Besoin de financement : 50 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 20 000 €

18Le musée Eugène-Delacroix Rattaché au Louvre depuis 2004, le musée Eugène-Delacroix est situé dans le dernier logement du peintre. Celui-ci s’y était installé pour se rapprocher de l’église Saint-Sulpice, où il achevait son ultime décoration. Aujourd’hui, le public peut admirer ses œuvres dans son atelier, pénétrer l’atmosphère feutrée de son appartement et goûter au charme de son jardin privatif. L’année 2013 marque le 150e anniversaire de la mort de Delacroix. Le musée sera ainsi le lieu privilégié de commémo-ration de cette disparition, événement majeur de la vie artistique des années 1860, avec la présentation de deux expositions consacrées aux liens qu’entretenait l’artiste avec son époque.

Un nouveau parcours muséographique

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Afin de rendre davantage lisible la distribution d’origine de l’apparte-ment, le musée Eugène-Delacroix entreprendra en 2014 de déplacer l’accueil au rez-de-chaussée et d’installer à sa place la documentation- bibliothèque, actuellement située dans l’ancienne salle à manger du peintre. Cette nouvelle disposition permet de réaffecter un espace historique au parcours muséographique et d’augmenter sensiblement la surface d’exposition de l’établissement, offrant ainsi des possibilités nouvelles de visites et d’activités culturelles.

2013 – 2014

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Organisée en collaboration avec le Palazzo delle Esposizioni de Rome, cette exposition entend présenter la civilisation étrusque dans son contexte méditerranéen, à travers l’histoire d’une de ses plus grandes métropoles, Cerveteri, la seule dont on puisse retracer l’évolution des origines à la romanisation. Une large sélection d’objets archéolo-giques accompagne des maquettes modernes de tombes et de temples dont la reconstitution inédite permettra au visiteur de mieux appré-hender l’échelle et l’aspect de quelques monuments emblématiques de l’archi-tecture étrusque.

Contact : Raphaël Wolff Chef du service Communication & relations extérieures Musée du Louvre-Lens03 21 18 62 [email protected]

L’art de la guerre fut dominé par la représentation de la bataille et de ses héros jusqu’au début du XIXe siècle, tournant à partir duquel elle est de plus en plus considérée sous tous ses aspects, y compris les plus atroces. Cent ans après la Première Guerre mondiale, cette grande exposition porte sur les représentations nées du désenchantement face à la guerre, à travers tous types de supports, peinture, sculpture, photographie, vidéo, installations, bande-dessinée, dessin de presse, etc. Pour ce faire, elle rassemble des œuvres d’artistes majeurs du XIXe siècle à nos jours, parmi lesquels David, Delacroix, Goya, Turner, Manet, Dix, Picasso, ou encore Sutherland et Chapman.

Les Étrusques et la Méditerranée

4 décembre 2013 – 10 mars 2014

Besoin de financement : 400 000 € Devenez mécène à partir de 30 000 €

Les désastres de la Guerre 1800-2014

28 mai - 6 octobre 2014

Besoin de financement : 400 000 € Devenez mécène à partir de 30 000 €

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D’un dynamisme inégalé, inspiré par les grands maîtres de la Renaissance, Rubens est un artiste à dimension européenne. La fréquence de ses voyages, rare pour son temps, est liée à son activité de diplomate reconnu. Européenne, l’exposition vise ainsi à illustrer l’infinie variété des formes artistiques qui formèrent l’univers de Rubens – et à donner, par là même, l’appréciation d’un moment faste de notre histoire. À travers peintures, dessins, sculptures et objets d’art provenant de plus d’une cinquantaine de collections différentes en Europe et aux États-Unis, le parcours propose aux visiteurs un regard inédit sur Rubens et ses contemporains.

Les expositions du Louvre-Lens Le musée du Louvre-Lens a ouvert ses portes au public le 4 décembre 2012. Projet ambitieux de décentralisation culturelle, le Louvre-Lens présente les collections du Louvre autrement, dans un écrin de verre pensé par le cabinet d’architectes SANAA (prix Priztzker 2010). Le Louvre-Lens est l’illustration même de l’engagement du musée du Louvre en faveur de la démocratisation de l’accès à la culture. Le musée rencontre déjà un grand succès auprès du public, puisque plus de 400 000 personnes l’ont visité au cours des quatre mois qui ont suivi son ouverture.

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1. Galerie du temps, musée du Louvre-Lens2.Pierre Paul Rubens, Vénus et l’Amour 3. Miroir étrusque en bronze 4. Eugène Delacroix, Scène des massacres de Scio

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L’Europe de Rubens

22 mai – 23 septembre 2013

Besoin de financement : 400 000 € Devenez mécène à partir de 30 000 €

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Grâce à la richesse de ses collections et à son rôle moteur dans les fouilles archéologiques aussi bien en Grèce qu’en Égypte ou en Turquie, le Louvre est aujourd’hui l’un des rares musées au monde à pouvoir raconter l’histoire du bassin méditerranéen dans son ensemble. À l’automne 2013, le musée exposera près de 250 œuvres provenant de tous ses départements au Musée national de Chine de Pékin. L’ambition de cet événement est de présenter la civilisation aux abords de la Méditerranée dans toute son unité et sa diversité en évoquant aussi bien les civilisations grecque, phénicienne, vénitienne que celles de l’Empire ottoman ou de l’Afrique du Nord. Une section s’intéresse également à la représenta-tion rêvée de cette région dans l’imagi-naire européen à l’époque moderne.

Méditerranée

Chine / octobre 2013 – janvier 2014

Besoin de financement : 500 000 € Devenez mécène à partir de 50 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 20 000 €

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Le musée du Louvre prépare actuelle-ment l’itinérance d’une exposition de céramiques grecques issues du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, dans l’optique d’offrir une approche cohérente et concrète de la vie reli-gieuse dans la Grèce antique. Plus de cent chefs-d’œuvre permettent de découvrir une production allant de l’époque géométrique (VIIIe siècle av. J.-C.) à la fin de l’époque classique (IVe siècle av. J.-C.). L’exposition s’articule en trois volets : les dieux de l’Olympe, la religion dans la cité, la religion et la sphère privée. En outre, sa portée pédagogique et son ambition éducative sont renforcées par la présence de deux dispositifs multimédias conçus par le musée du Louvre.

Le Louvre à l’étranger Chaque année, le musée du Louvre développe des partenariats avec des institutions culturelles du monde entier et permet la mise en place d’expositions, par des prêts d’œuvres, traduisant une volonté de faire rayonner l’universalité de ses collections.

Religion et céramique grecque

Amérique latine / été 2013 – été 2014

Besoin de financement : 400 000 € Devenez mécène à partir de 100 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 40 000 €

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1. Amphore panathénaïque 2. Théodore Chasseriau, Danseuses marocaines. La Danse des mouchoirs

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esLes grands chantiers muséographiquesBâtissons le Louvre de demain

Depuis la fin du XIIe siècle, le Louvre a connu de nombreuses transformations. La forteresse médiévale est devenue la résidence modernisée de François Ier, puis le somptueux palais de Louis XIV, grâce à de grands projets architecturaux et à d’importants aménagements intérieurs. Aujourd’hui encore, le Louvre évolue. Après la pyramide, les galeries du Carrousel, la couverture des cours de l’aile Richelieu et les nouveaux espaces du département des Arts de l’Islam, de considérables chantiers vont être engagés pour rénover et agrandir les espaces, ainsi que pour renouveler la présentation des œuvres.

Exemple de partenariat

Montant du mécénatÀ partir de 200 000 €60 % de réduction fiscaleet 25 % de contreparties

Exemple d’avantages

Relations publiques de prestige• Priorité de réservation sur les espaces de location du musée• Événements en avant-première• Visites privées par un conservateur du musée• Soirées sous la pyramide• Cocktails au Café Mollien ou au Café Richelieu• Réunions de travail dans l’atelier d’Eugène Delacroix• Possibilité de réserver des places pour le dîner annuel des mécènes au cœur des collections

La Victoire de Samothrace

• Invitations aux inauguration• Invitation au récital annuel de remerciement des mécènes

Forte visibilité• Logo sur les supports de promotion : affiches métro, bannières, etc.• Mention sur les invitations des inaugurations• Logo et préface dans les publications• Mention et logo dans le dossier et le communiqué de presse• Mention dans le programme trimestriel• Mention sur l’affiche de remerciement annuelle des mécènes• Mention dans le rapport d’activité• Logo et page dédiée sur www.louvremecenat.fr• Visuels et mention pour vos supports de communication institutionnelle• Article dans Grande Galerie

Accès privilégié au musée• Laissez-passer• Accès libre au musée pour les salariés• Siège au Comité d’orientation du mécénat• Conférence d’un conservateur du Louvre

Et à partir d’un certain montant : • Plaque de remerciement dans les salles du musée• Nom gravé dans le marbre sous la pyramide

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Le Projet Pyramide s’articule en plusieurs volets :- la rénovation du hall Napoléon sous la pyramide pour créer un espace d’information, d’orientation et d’éducation ;- le développement de nouveaux espaces et outils pédagogiques sous la pyramide et dans les galeries du musée ;

- l’amélioration de l’accessibilité et de la circulation au niveau des nouvelles aires d’accueil, à la fois pour les groupes et pour les visiteurs individuels grâce à des comptoirs modernisés ;- la reformulation de l’offre culturelle et commerciale dans l’allée du Grand Louvre.

Cour Napoléon et pyramide

Avec près de 10 millions de visiteurs par an – un chiffre qui ne cesse de croître – il est indispensable pour le musée du Louvre de rénover certaines de ses installations initiale-ment prévues pour accueillir 4,5 millions de visiteurs annuels.

Le Projet Pyramide

Besoin de financement : nous consulter

Le Projet Pyramide consiste en une transformation importante des zones d’accueil du musée dans le but d’amé-liorer leur accessibilité au public et les conditions de visite. Il s’agit du plus grand projet architectural du musée depuis celui du Grand Louvre qui a vu, entre 1981 et 1999, l’extension et la modernisation des espaces.

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Projets de muséographie dans les salles d’objets d’art du XVIIIe siècle (premières esquisses)

L’intégration d’éléments comme les panneaux du château de Voré et le plafond d’un salon du palais Pisani à Venise rappellera la prépondé-rance de la peinture au XVIIIe siècle.

Enfin, le remontage de l’extraordinaire coupole centrale d’un ancien pavillon du palais Bourbon constituera l’un des temps forts du nouveau parcours.

Les period roomsLa reconstitution d’ensembles déco-ratifs complets dans des period rooms replacera les œuvres dans leur contexte esthétique et historique, avant d’en dévoiler les détails.

Plusieurs ensembles de lambris aujourd’hui dispersés, incomplètement exposés ou profon-dément altérés seront remis en valeur : hôtel du Bas de Montargis, petit salon de l’hôtel de Villemaré, chambre de l’hôtel de Luynes…

Le département des Objets d’art est l’un des huit départements scientifiques du musée du Louvre. Il conserve une collection extrême-ment riche d’objets d’art du XVIIIe siècle qui offre un témoignage éclatant du savoir-faire français tant admiré à travers le monde. Les salles de l’aile nord de la cour Carrée qui abritent ces chefs-d’œuvre font actuellement l’objet d’une rénovation en profon-deur. La conception de la nouvelle muséographie a été confiée au célèbre décorateur français Jacques Garcia.

La rénovation des salles dédiées aux objets d’art du XVIIIe siècleOuverture prévue en janvier 2014

Besoin de financement : 5 M€ 

Devenez mécène à partir de 500 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 200 000 €

Ces futures salles s’organiseront en trois sections chronologiques : la première sera dédiée au règne de Louis XIV et à la Régence ; la deuxième, au style rocaille de la première partie du règne de Louis XV ; la troisième, au renouveau classicisant qui s’impose à partir de 1750 et jusqu’à la fin du règne de Louis XVI. Quelques thèmes plus larges seront également abordés : grandes figures de comman-ditaires, circuits de production et de commercialisation de l’artisanat de luxe, contexte architectural…

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souhaite rendre tout son lustre à l’ensemble en restaurant également les escaliers, les parois et les voûtes qui font écrin au monument.

Le réaménagement du parcours des antiquités étrusques et romainesLe réaménagement au sein du département des AGER permettra de redéployer les collec-tions étrusques et romaines et d’augmenter la surface muséogra-phique. Des séries entières qui sont actuellement conservées en réserve et des pièces d’intérêt parfois exceptionnel, inédites et souvent demandées pour des expositions, pourront ainsi être présentées

Rotonde de Mars

au public, tel le portrait de Lucille qui fait plus de 2 mètres de hauteur. L’augmentation des espaces muséogra-phiques offrira une vision plus cohérente des civilisations étrusques et romaines, tout en améliorant le confort du visiteur.

Le département des Antiquités grecques, étrusques et romaines (AGER) est l’un des premiers dépar-tements, avec celui des peintures, à avoir été créé à l’ouverture du musée en 1793. Situé au cœur du palais historique, il réunit des collections d’une extraordinaire richesse, allant du début du IIIe millénaire avant J.-C. jusqu’au VIe siècle après J.-C. et provenant du bassin méditerranéen, de la péninsule italienne notamment et d’autres régions d’Europe, ainsi que d’Afrique du Nord, du Proche- Orient et d’Asie Mineure.

Le musée du Louvre prévoit un vaste projet de réaména-gement de ce département qui portera dès 2013 sur la restauration de La Victoire de Samothrace, puis sur le parcours des antiquités étrusques et romaines.

Le réaménagement du département des Antiquités grecques, étrusques et romainesDébut de travaux en 2015

Besoin de financement : 30 M€

La restauration de La Victoire de Samothrace : première étape du réaménagementInstallée au Louvre depuis 1886, La Victoire de Samothrace est aujourd’hui l’une des trois icônes du musée avec Monna Lisa et la Vénus de Milo. Installée en haut d’un escalier monumental, cette œuvre est au cœur de l’une des mises en scène les plus emblématiques du musée. Le Louvre démarrera à l’automne 2013 un grand chantier de restauration visant à améliorer la structure aujourd’hui fissurée, mais aussi à rendre aux marbres de la Victoire leur tonalité d’origine en retrouvant le contraste du marbre blanc de la statue avec le marbre gris de sa base en forme de bateau. À cette occasion, le musée

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Ainsi, le Louvre prévoit de remonter en contrebas de la terrasse du Bord de l’Eau deux arcades de l’ancien palais des Tuileries, incendié pendant la Commune. Par ailleurs, les deux sphinges d’Odessa ramenées à Paris lors de la victoire de Sébastopol en 1855 seront réinstallées à l’entrée du jardin qui jouxte le pavillon de Flore.

Les sculptures présentes dans le jardin des Tuileries souffrent des conditions climatiques et s’abîment à cause des intempéries, des variations de température mais aussi de la pollution. Ce contexte rend nécessaires certaines restaura-tions et la réalisation de moulages, pour mettre les originaux à l’abri dans le musée.

La Prisonnière barbare de Pierre II Legros

Besoin de financement : 40 000 € Cette copie d’un antique de la collection Médicis, commandée en 1692 par l’Académie de France à Rome, est considérée au XVIIIe siècle comme un chef-d’œuvre transcendant l’original antique.

Impératrice Agrippine ou Plotine de Robert Doisy

Besoin de financement : 40 000 € Ce marbre, exécuté de 1685 à 1690, est installé aux Tuileries en 1722. Il représente l’impératrice Agrippine, sœur de Caligula et mère de Néron.

Les Fils de Caïn de Paul Landowski

Besoin de financement : 60 000 € Cette sculpture, réalisée en 1906, est aujourd’hui très dégradée. Elle s’inscrit dans un temple que Landowski voulait construire à la gloire de l’Homme.

Le Monument à Waldeck-Rousseau de Laurent Marqueste

Besoin de financement : 20000 € Cette œuvre de 1909 nécessite un important travail de nettoyage, de bouchage des fissures et de protection locale du marbre pour retrouver sa splendeur d’antan.

Créé pour Catherine de Médicis à la Renaissance et redessiné par André Le Nôtre sous le règne de Louis XIV, le jardin des Tuileries s’étend au pied du Louvre sur une superficie de 22 hectares. Plus grand et plus ancien jardin de la capitale, il renferme une diversité paysagère et une richesse biologique insoupçon-nées. Ce havre de détente accueille environ 14 millions de visiteurs par an. Depuis 2005, les Tuileries sont administrées par l’établissement public du Louvre. Démarré en 2012, un ambitieux programme de rever-dissement et de réaménagement du jardin doit permettre de réparer les dégâts causés par l’Histoire et par les intempéries. Ces restaura-tions d’ordre à la fois végétal, patri-monial et architectural concerneront plusieurs sous-ensembles du jardin, du Grand Carré au Fer à cheval de l’entrée Concorde, en passant par les terrasses ou l’espace le plus vert des Tuileries, le Grand Couvert.

1. Auguste Nicolas Cain, Tigresse portant un paon à ses petits 2. Jardin des Tuileries

La rénovation du jardin des TuileriesDébut des travaux en 2013

Besoin de financement : 1,5 M € par an pendant 10 ans Devenez mécène à partir de 150 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 60 000 €

Le Grand Couvert Le secteur boisé du jardin compte près de 2 000 arbres qui participent intensément à la respiration de la ville. Ils sont aujourd’hui dans un état fragile : un grand chantier de replanta-tion permettra l’insertion d’une variété d’essences plus importante et l’épa-nouissement de la biodiversité, tout en redessinant les bosquets de Le Nôtre. Des bandes forestières favorisant une végétation de sous-bois seront également plantées au pied des arbres, apportant une touche nouvelle au dessin du jardin et rendant le Grand Couvert plus agréable que jamais.

La rénovation du patrimoine historiqueVéritable musée en plein air, le jardin des Tuileries abrite de superbes monuments et sculptures, du XVIe au XXIe siècle. Plusieurs interventions patrimoniales doivent être menées.

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xLes programmes éducatifs et sociauxLe Louvre ouvert à tous

Afin de favoriser l’accès à la culture, de lutter contre l’exclu-sion, de rendre le musée plus proche et plus accueillant, le Louvre mène depuis plus de quinze ans une politique volontariste en direction des publics du champ social. Membre de la mission « Vivre ensemble » du ministère de la Culture, il met en place une offre culturelle variée et des médiations adaptées en direction des visiteurs peu familiers des musées. Il collabore avec des centaines d’associations intervenant dans les domaines de l’alphabétisation, de la prévention, de l’insertion, du soutien scolaire… Des travailleurs sociaux et des éducateurs sont formés pour jouer un rôle de relais entre le Louvre, ses collections et ses publics. Ainsi 1 200 groupes ont pu être accueillis en 2012 de manière spécifique, soit près de 24 000 visiteurs. Ce nombre progresse régulièrement : le soutien des mécènes permet chaque année d’accroître l’envergure des programmes existants.

Exemple de partenariat

Montant du mécénatDe 15 000 € à 200 000 €60 % de réduction fiscaleet 25 % de contreparties

Exemple d’avantages

Relations publiques de prestige• Priorité de réservation sur les espaces de location du musée• Petit déjeuner dans le Café Grand Louvre suivi d’une visite privée• Cocktail au Café Mollien ou au Café Richelieu.• Réunion de travail dans l’atelier d’Eugène Delacroix

Visite dans le cadre de la semaine de la Femme

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• Possibilité de réserver des places pour le dîner annuel des mécènes au cœur des collections• Invitation au récital annuel de remerciement des mécènes

Forte visibilité• Mention sur les supports de promotion du programme (flyers, affiches, etc.)• Mention dans le programme trimestriel• Mention sur l’affiche de remerciement annuelle des mécènes• Mention dans le rapport d’activité• Logo sur www.louvremecenat.fr• Visuels et mention pour vos supports de communication institutionnelle

Accès privilégié au musée• Laissez-passer• Siège au Comité d’orientation du mécénat• Conférence d’un conservateur du Louvre

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1. et 2. Atelier « Enfance et sculpture » 3. Viens lire au Louvre

« Viens lire au Louvre »

Depuis 2006, le programme « Viens lire au Louvre » se destine à des classes du CM1 à la 5e issues d’établissements scolaires en zone d’éducation priori-taire. Les élèves sont sensibilisés à la lecture à travers une approche pluridisciplinaire. Tout au long de l’année, ils suivent des ateliers de « lecture interprétée » au sein de leur établissement et participent parallèlement à un programme de visites et d’activités pédagogiques au musée. Après avoir assisté à plusieurs lectures sur scène, les enfants créent leur propre spectacle et le présentent sur la scène de l’auditorium.

Besoin de financement : 40 000 € par an Soit un coût après réduction fiscale de 16 000 € par an

Les ateliers pédagogiques apprennent aux enfants à comprendre de manière ludique les techniques utilisées par les artistes. Des moments d’observation des œuvres dans les salles alternent avec des moments d’expérimentation dans un atelier. Les participants sont encadrés par des plasticiens, des histo-riens de l’art, des architectes ou encore des professionnels du spectacle vivant. Ce programme, au cœur du cursus de nombreux établissements scolaires d’Île-de-France, est appelé à se péren-niser et à s’élargir.

Les ateliers pédagogiques

Besoin de financement : 100 000 € par an Soit un coût après réduction fiscale de 40 000 € par an

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Le Louvre à l’hôpital

Le nouveau projet du musée « Le Louvre à l’hôpital » mené en collaboration avec l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, premier centre hospitalier universitaire européen, vise à améliorer la vie des patients à l’hôpital, à atténuer les ruptures qu’entraînent souvent la maladie et l’hospitalisation, à participer à l’amélioration de l’accueil et de l’environnement de tous les usagers de l’hôpital, ainsi qu’à enrichir les relations entre soignants et soignés.

La découverte du patrimoine du Louvre et les activités proposées par le musée seront ainsi des outils de valorisation personnelle, professionnelle et sociale, permettant aux patients comme au personnel hospitalier d’être pleinement acteurs d’un projet culturel. En ce sens, une exposition sera conçue en collaboration avec les patients et le personnel de l’hôpital Charle-Foix à partir de reproductions d’œuvres du Louvre. Des conférences, des ateliers et des rencontres avec des professionnels de la culture seront par ailleurs régulièrement organisés dans divers hôpitaux.

Besoin de financement : 450 000 € sur trois ans Soit 150 000 € par an

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1. Carte postale éditée à l’occasion de la 7e semaine de la Femme 2. Visite pour le public du champ social 3. Visite-conférence dans la galerie Médicis

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nsL’accessibilité

pour les personnes handicapées

En 2012, ce sont 800 groupes, soit 10 000 visiteurs, porteurs d’un handicap qui ont été accueillis au Louvre grâce au développement de parcours adaptés, de programmes de formation pour les conférenciers, de guides en braille et d’outils de visite dédiés aux personnes atteintes d’autisme ou de la maladie d’Alzheimer.

Besoin de financement : nous consulter

Avec son nouveau programme « Osez le Louvre », le musée s’engage contre l’illettrisme. L’ambition est de permettre à plus de 20 000 éducateurs de se familiariser avec les collections pour en faire un outil d’apprentissage linguistique. À l’issue de la formation, les associa-tions participantes disposent des outils nécessaires pour accompagner dans les salles du musée les personnes qu’elles encadrent. Ces dernières sont en grande majorité des femmes que leur méconnaissance de la langue met en situation de grande fragilité ou d’exclusion sociale.

« Osez le Louvre »,un programme contre l’illettrisme

Besoin de financement : 15 000 € par an Soit un coût après réduction fiscale de 6 000 € par an

La semaine de la Femme

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7e semaine de la FemmeDu 18 au 25 mars 2013

Depuis 2007, la semaine de la Femme est organisée en résonance avec la journée interna-tionale de la Femme. De nombreuses structures sociales travaillant avec des publics féminins défavorisés sont invitées au Louvre pour une série de visites-conférences. Lors de l’édition 2012, 52 groupes, soit plus de 2 000 visiteurs, ont été accueillis, notamment grâce à la participation d’associations comme l’École de la deuxième chance, le Secours Populaire, Elle’s Imagine’nt et Accueil et Culture. Les parcours des visites ont permis d’aborder des thèmes questionnant la condition féminine et suscitant le dialogue entre les cultures, comme « La femme en Égypte ancienne », « La parité » ou encore « La femme au Moyen Âge ».

Besoin de financement : 40 000 € par an Soit un coût après réduction fiscale de 16 000 € par an

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Restauration en cours de la Sainte Anne de Léonard de Vinci

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nsLes restaurations

Engagez-vous pour la préservation des collections

Le Louvre possède une collection riche de plus de 400 000 œuvres mais, actuellement, seules 35 000 d’entre elles sont exposées dans les salles du musée. Ce nombre imposant laisse entrevoir l’ampleur des campagnes de restau-ration qui doivent être menées en permanence pour permettre aux pièces les plus fragiles de conserver leur éternelle jeunesse. Car la mission première des musées est de conserver, de restaurer et d’étudier les collections.

Votre entreprise peut apporter son concours au Louvre dans sa mission fondamentale de préservation du patrimoine en soutenant diverses restaurations de première urgence.

Les restaurations

Montant du mécénatDe 45 000 € à 150 000 €60 % de réduction fiscaleet 25 % de contreparties

Exemple d’avantages

Relations publiques de prestige• Priorité de réservation sur les espaces de location du musée• Petit déjeuner au Café Richelieu suivi d’une visite privée

• Réunion de travail dans l’atelier Eugène Delacroix• Possibilité de réserver des places pour le dîner annuel des mécènes• Invitations aux vernissages

Forte visibilité• Mention sur le cartel de l’œuvre• Mention dans les publications scientifiques• Mention et logo dans le dossier et le communiqué de presse• Mention sur l’affiche de remerciement annuelle des mécènes

• Mention dans le rapport d’activité• Logo sur www.louvremecenat.fr• Visuels et mention pour vos supports de communication institutionnelle

Accès privilégié au musée• Laissez-passer.• Conférence d’un conservateur du Louvre

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Dès son entrée dans les collections royales en 1665, ce tableau devient célèbre et fait même, deux ans plus tard, l’objet d’une conférence de l’Académie royale de peinture et de sculpture. Il respecte la simplicité du récit évangélique dans la composi-tion ordonnée, l’harmonie du paysage, le placement minutieux de chaque personnage et de la figure centrale du Christ. Peu montré en raison de sa fragilité, le tableau rentre un temps dans l’ombre. Il est à présent considéré comme l’une des œuvres les plus exemplaires de l’art de Poussin mais n’est plus exposé en raison de son état.

Ce tableau présente une rare et harmonieuse synthèse de modèles de sculpture antique auxquels viennent s’ajouter des influences, à la fois italiennes et nordiques, dans le traitement du paysage ou le motif du satyre et de la nymphe endormie. Les altérations, principale-ment en périphérie, ainsi que les dimensions suggèrent un dessus de porte. Le songe est une thématique récurrente chez Watteau qui a, de surcroît, allié ici un rendu subtil et gracieux de la nudité féminine à une lointaine interprétation mythologique.

Besoin de financement : 42 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 16 800 €

Besoin de financement : 37 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 14 800 €

Les Aveugles de Jéricho de Nicolas Poussin

Nymphe et satyre d’Antoine Watteau

3. Nicolas Poussin, Les Aveugles de Jéricho4. Antoine Watteau, Nymphe et satyre

L’Assassinat de l’évêque de Liège d’Eugène Delacroix

1. Eugène Delacroix, L’Assassinat de l’évêque de Liège 2. Hieronymus van Aken, dit Jérôme Bosch, La Nef des fous

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En 1829, le duc d’Orléans commanda à Delacroix une peinture inspirée du chapitre « L’Orgie » de Quentin Durward de Sir Walter Scott, histoire d’un archer écossais au service de Louis XI, roi de France. L’épisode relaté ici reprend l’exécution de l’évêque de Liège, au cours d’une orgie dans son château, assailli par les habitants révoltés. Plusieurs esquisses, dont celle-ci est l’avant-dernière, furent nécessaires à l’artiste pour camper les personnages et livrer une œuvre définitive. Ce tableau apparaît caractéristique du romantisme à inspiration médiévale et met en évidence le souci de la lumière qui préoccupe l’artiste.

Bosch connut de son vivant succès et célébrité, puis de nombreux suiveurs l’imitèrent après sa mort. Redécouvert au XXe siècle, adulé par le courant surréaliste que captive son univers fantasmagorique, il interroge et fascine encore aujourd’hui. Ce fragment du volet gauche d’un triptyque – dont on ignore tout du panneau central – est un exemple de cet univers fantastique que Bosch nous tend comme un miroir. Une allégorie morale reflétant la corruption de la société et particulièrement celle du clergé, figurée en une sorte de tourbillon de folie burlesque.

La Nef des fous de Jerôme Bosch

Besoin de financement : 40 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 16 000 €

Besoin de financement : 50 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 20 000 €

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Les membres de l’ordre du Saint-Esprit portaient un grand manteau brodé de flammes pour les cérémonies. Le Louvre en conserve quatre, dont un particulièrement riche par leurs broderies et qui appartenait probablement au roi, grand-maître de l’ordre. Il aurait été réalisé pour Louis XIII ou Louis XIV. La fragilité du velours noir et l’oxydation des lames métalliques des broderies nécessitent une intervention de restau-ration et de consolidation. Cette opération s’accompagnera de la réalisation d’un mannequin de présentation permettant une meilleure conservation de l’œuvre.

Réalisé vers 1490 pour un retable de l’église Sant’Agostino de Sienne par le sculpteur Francesco di Girogio Martini, ce Saint Christophe en bois doit sa force à sa spectaculaire polychromie composée d’azurite, de laque rouge et d’or. Des études ont montré qu’il était possible de retrouver la précieuse azurite originale qui ornait le manteau, grâce à un long et minutieux travail de restaura-tion sous loupe binoculaire. Cette impor-tante intervention permettrait de rendre toute sa splendeur à ce chef-d’œuvre de la sculpture de la Renaissance.

Besoin de financement : 30 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 12 000 €

Besoin de financement : 37 500 € Soit un coût après réduction fiscale de 15 000 €

Grand manteau brodé de l’ordre du Saint-Esprit

Le Saint Christophe de Francesco di Girogio Martini

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3. Manteau de l’ordre du Saint-Esprit4. Francesco di Giorgio Martini, Saint Christophe

1. Atelier de Catharina Hasselet, tenture de Saint-Anatoile de Salins : « Le miracle de l’eau »2. Bouclier de parement avec une figure de Milon de Crotone

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La plus ancienne tenture d’origine brugeoise subsistante est celle de la Vie de saint Anatoile, commandée par les chanoines de la collégiale de Salins dans le Jura. La tenture, en laine et soie, fut exécutée entre 1502 et 1506, mais seules trois pièces, conservées au Louvre, ont survécu. Une campagne de restauration entamée en 2010 a permis de restaurer la scène des « Funérailles de saint Anatoile », il s’agit maintenant de restaurer un autre épisode de la vie du saint, « Le miracle de l’eau », une scène étonnante où figurent la procession derrière le chef-reliquaire du saint et la représentation du système hydraulique utilisé dans les salines au début du XVIe siècle.

Ce bouclier de stuc, attribué à Antonio del Pollaiolo (1431-1496), est l’unique exemple conservé d’arme de parade produites dans un atelier de peintre ou de sculpteur à Florence au XVe siècle. L’ambitieux décor à l’antique est réalisé dans une technique hardie de stuc modelé, doré et polychromé. Lors de son passage dans diverses grandes collections, avant son entrée au Louvre en 1922, l’œuvre a été plusieurs fois repeinte. La présente restauration vise à retrouver sa chromie d’origine et rendre justice à son ancienne splendeur. Cette œuvre d’exception rejoindra ensuite une nouvelle vitrine au sein du département des Objets d’art.

« Le miracle de l’eau », pièce de la tenture de Saint-Anatoile

Bouclier de parement avec la figure de Milon de Crotone

Besoin de financement : 30 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 12 000 €

Besoin de financement : 20 000 € Soit un coût après réduction fiscale de 8 000 €

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perse, a effectué un don qui financera chaque année les programmes éducatifs et de recherche, ainsi que les bourses d’études sur l’art et la culture du monde iranien au Louvre.

À travers la création d’un fonds à son nom, M. Frédéric Jousset a quant à lui souhaité pérenniser son engagement en faveur des projets liés à l’action éducative et sociale du Louvre en prolongeant son soutien à la mise en place de conférences d’histoire de l’art, d’ateliers et de médiation culturelle en univers carcéral (prison de la Santé).

Pour plus d’informations : Croisine Martin-Roland Chargée du mécénat Fonds de dotation [email protected] 01 40 20 84 41

Le mécénat individuelVous pouvez aussi devenir donateur à titre individuel en rejoignant l’un des cercles de mécènes :• Cercle des Mécènes• Cercle Cressent (objets d’art du XVIIIe siècle) • Cercle International

Contact : Éléonore Valais-de-Sibert Chef du service Mécénat individuel [email protected] 01 40 20 56 33

Un nouvel outil de mécénat : le fonds de dotation du musée du Louvre

Le Louvre est le premier musée français à avoir créé un fonds de dotation, sur le modèle des endowment funds américains. À travers cette initiative pionnière, le Louvre se dote d’un nouvel outil de financement qui vient compléter les ressources propres du musée, garantissant la pérennité financière de l’institution et la transmission de son patrimoine exceptionnel aux générations futures.

Le fonds de dotation reçoit, gère et développe un capital qui génère chaque année des produits financiers. Ce capital est préservé, et seuls ses revenus annuels sont utilisés

pour financer des activités du Louvre. Cet objectif de préservation de la dotation du fonds dans la durée permet de perpétuer la valeur de chacun des apports, des dons et des mécénats qui viennent augmenter le capital.

Fort d’un solide apport initial issu de l’accord intergouverne-mental entre la France et les Émirats arabes unis sur le projet Louvre Abou Dabi, le fonds de dotation du Louvre constitue déjà un outil de financement et de développement incontournable du musée, dédié aux grands projets stratégiques du Louvre, tout en ouvrant des opportunités de mécénat pérennes en complément du mécénat traditionnel.

Ainsi, en 2011, Mme Elahé Mir-Djalali Omidyar, présidente et fondatrice du Roshan Cultural Heritage Institute consacré au monde

Contacts—Musée du LouvreDirection du Développement et du Mécénat75 058 Paris Cedex 01France—Christophe MoninDirecteur du Développement et du Mécénat01 40 20 52 [email protected]

Le service Mécénat des entreprises—Constance Lombard-FahriChef du service 01 40 20 58 [email protected]—Axelle Baillet01 40 20 59 [email protected]—Juliette de Charmoy01 40 20 84 [email protected]—Sarah Galer01 40 20 59 [email protected] —Anaïs Izard01 40 20 68 [email protected]—Amélie Strobel01 40 20 59 [email protected] —Cécile Vaullerin01 40 20 54 [email protected]