Le journal des événements du Parc Expo et du Palais des congrès - www.toursevenements-lejournal.com

N°40 - JUIN 2018

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Tours’nManNascarLe retour des monstres Nascar sera accompagné sur le Tours Speedway par les habituelles épreuves de « drift » et l’arrivée des Legend cars pour la première fois à Tours.

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Coter clubLes collectivités locales se retrouvent au Palais des congrès pour faire de la France un pays à l’administration entièrement « dématérialisée ». Les forêts apprécieront.

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Jeff PanaclocLe copain de l’affreux Jean-Marc déboule avec quelques nouveaux compagnons tout aussi mal embouchés que le célèbre singe.

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Étienne Daho pour la vie

NUIT D’IVRESSEREVUE ET CORRIGÉEOn se rappelle le film, on a peut-être vu la pièce, on sait qu’elle est signée (et fut jouée) par Josiane Balasko et que c’est Thierry Lhermitte (au cinéma) et Michel Blanc (au théâtre) qui lui ont d’abord donné la réplique. On connaît l’histoire : un présentateur de télévision célèbre prend une cuite et se réveille le lendemain avec, dans son lit, une partenaire qui ne correspond pas à ses cri-tères habituels.Balasko a adapté sa pièce pour d’autres. Mais cette fois, c’est à un (vrai) présentateur de télévision qu’elle offre le rôle, Jean-Luc Reichmann. Avec un petit changement : c’est avec un homme qu’il se réveille, non sans l’avoir demandé en mariage. Une Nuit d’ivresse gay et tou-jours gaie.

On l’avait oublié. On avait tort. Didier Gustin est un formidable imitateur, un grand comique, et un vrai chanteur. Que dire de plus que les formidables épithètes du Canard Enchaîné : « Fregoli du larynx », « contorsionniste de l’épiglotte ». C’est vrai et Didier Gustin y ajoute une incroyable capacité à imiter le physique de ses voix. Lesquelles rendent hommage à l’immense Claude Nougaro à travers une centaine de personnages. La foire du clone… Ah ! tu verras, dit le titre du spectacle, en hommage à la chanson de Nougaro. On ne demande que ça.

Parce qu’il privilégie sa vie privée, on a tendance à croire Étienne Daho hors-circuit. Depuis 2015 et Les chansons de l’in-nocence retrouvée, il était plus que discret. Des épreuves per-sonnelles (la perte de sa sœur, une maladie qui a failli le tuer, la disparition de son amie Jeanne Moreau…) lui ont paradoxa-lement redonné l’envie d’écrire. Il en est né Blitz, son dernier album, un assemblage de poésie, de fête, de pop – inspirée par les Pink Floyd – considéré par beaucoup comme le meilleur qu’il ait jamais produit. « Cet album est tourné vers le plaisir, la fascination pour la vie » dit-il. (Le Figaro)

DIDIER GUSTIN, tel qu’en Nougaro

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Samedi 19 janvier 2019 à 20h30 au Palais des congrès de Tours Places de 35 à 65 €

Samedi 9 juin 2018 à 20h 30 au Palais des Congrès de ToursPlaces : 30 €

Jeudi 20 décembre 2018 à 20 h au Palais des Congrès de ToursPlaces de 46 à 57 €

« Emportés par la foule » chantait Édith Piaf, qui y voyait une heureuse « folle farandole ». Sans doute « la môme » eût-elle apprécié celle de la Foire de Tours. Mesurée en détail de façon électronique pour la première fois, la manifestation a comptabilisé quelque 275 000 entrées pour son édition 2018. Un chiffre calculé sur la journée uniquement (de 10 h à 20 h), auquel on peut rajouter les promeneurs des soirées qui ont arpenté les allées du Village gastronomique.

Le visiteur type est une visiteuse (57 %), entre 25 et 44 ans (57 % aussi), vient surtout de Tours et de son agglo (22 et 45 %) mais aussi du Loir-et-Cher (10 %). Avec 100 % de sourires !

Foire de Tours : emportés par la foule…

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Du tourisme au pas de course Dimanche 10 juin, 1500 athlètes vont se lancer pour la première fois sur le parcours du Tours’nMan, un triathlon exceptionnel. Mais les animations débuteront dès le vendredi 8 au Parc Expo.

Les organisateurs l’affirment, les coureurs pourront apprécier le paysage lors du Tours’nMan. Pas facile, tout de même, de faire du tourisme avec de la sueur plein les mirettes ! On ne se lance pas à l’assaut de 3.8 km de natation, de 180 km à vélo et de 42,195 km de course à pied (ah ! le bon vieux mara-thon !) en sifflotant et le selfie en bandoulière. Ou alors pas longtemps

La vie de château dans la foulée

Premier triathlon du genre dans la région, le Tours’nMan aura sa base au Parc Expo. Au niveau sportif des plus cé-lèbres « IronMan » – sans les grimpettes de certains, Tou-raine oblige – le Tours’nMan suivra un bien joli parcours, à l’ombre des châteaux, au moins pour les vélos. Voi-là qui ajoutera au plaisir des 6 000 spectateurs attendus qui se répartiront sur le circuit pour assister au Défi des rois. Pour ceux qui seraient tentés, c’est trop tard : toutes les courses affichent complet. Mais il sera possible de se rabattre sur les animations !

C’est dans le Cher que l’épreuve de natation (deux fois 1 900 m) se déroulera en ouverture le dimanche, à proxi-mité du Parc Expo. Une fois égouttés, les athlètes enfour-cheront leur bicyclette pour deux boucles (touristiques ?) de 90 kilomètres sous les fe-nêtres des châteaux de Villandry, Langeais, Rigny-Ussé et Azay-le-Rideau. De retour au Parc Expo, ils abandonneront la roue pour la semelle, allant « se balader » (comme disent

les organisateurs, sans doute avec un brin d’ironie) en lon-geant et traversant – à pied sec, cette fois – le Cher via le stade de football avant de faire la tournée des lacs (Peupleraies, Parc Honoré de Balzac et Bergeonnerie).

Pour tous les niveaux

Une journée à laquelle par-ticiperont des « pointures » (voir encadré), à commencer par Médéric Pion, employé de Tours événements, qui est à l’origine de l’idée, reprise par sa direction et mise en place par le Comité Départemental de Triathlon d’Indre et Loire.

De grands producteurs et consommateurs d’endorphines surentrainés. Mais le Tours’nMan s’adresse aussi aux autres. À côté de l’impressionnant XXL, une version allégée baptisée « L » fera le même parcours tout en divisant les distances par deux (un seul tour à chaque fois). Attention, même si elle n’exige pas le même niveau que la XXL, elle impose une sérieuse préparation. Dans un triathlon de ce niveau, seuls les vélos font de la gonflette.

Enfin, pour les moins aguer-ris, les mêmes parcours pour-ront être effectués en relais de trois équipiers ou équipières. Ils seront 700 à se partager les épreuves XXL et L.

Tout le monde partira du même endroit, selon le principe du « rolling start » qui lâche les participants par petits groupes. Pas de bousculade sur la ligne et l’idéal pour encourager son idole.

Médéric Pion, employé de Tours événements, passionné d’Iron Man, a convaincu ses patrons de créer le Tours’nMan sur ses terres.

8 au 10 juin 2018 / Parc ExpoTours’nMan

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La tête et les jambesLe vendredi après-midi, une séance de dédicace sera organisée dans le village expo de 19 h à 20 h. Une rencontre avec les hommes et les femmes… de tête.Parmi eux, la Dijonnaise Anaïs Labalec, 5e à l’international de Cannes et première « non pro », qui fera le L, comme Léna Berthelot-Moritz, de Rouen, une jeune habituée des places d’honneur.Les hommes afficheront deux « ambassadeurs », tous deux militaires, Toumy Degham, qui sera sur son terrain, et Aurélien Raphaël, un spé-cialiste des « courtes distances » et qui veut s’essayer au triathlon avec son complice.Ils rejoindront Jérémy Legout, l’un des meilleurs régionaux, et, bien en-tendu, Médéric Pion, de l’AC Nouâtre, initiateur du Tours’nMan.

Du vendredi 8 au dimanche 10 juin 2018Parc Expo de Tours - Tours et dans le départementAccès et parking gratuit

www.toursnman.com

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Un week-end très animéLa première animation sera la course, évidemment. Mais, pour le public, de nombreuses activités – sportives ou non – sont prévues le samedi..

Entre Village des partenaires (et gastronomique) et épreuves pour les jeunes, le week-end du Tours’nMan sera bien rempli pour le public comme pour les triathloniens.

Le village : il rassemblera tous les partenaires de la manifesta-tion. On y trouvera aussi bien des producteurs de quinoa que des spécialistes de la bicyclette, des coaches sportifs que des assureurs spécialisés dans les associations sportives. Bien d’autres encore (ils ne sont pas loin de la cinquantaine) dont une radio, RTL2.

Mais le village sera aussi l’en-droit idéal pour une rencontre amicale. On pourra y boire un verre (pas seulement de jus de carotte) et s’y restaurer.

Bike and Run : pour ceux que les L et XXL effraient, une rando sur deux roues parcour-ra une boucle de 2,3 km le samedi entre 11 heures et 12h30. Pas de chrono, on est là pour la balade (la vraie, cette fois) à deux ou plus. Les en-fants sont acceptés (à partir de 10 ans) et l’on peut passer plusieurs fois par la case dé-part. (Inscriptions de 10h15 à 11h45)

Cross Duathlon : c’est un peu une initiation pour les jeunes (nés entre 2006 et 2012). Sans compétition, comme pour le Bike and Run, le samedi aussi. Elle comporte 250 m de course à pied, puis 1,1 km de vélo et, à nouveau, 300 m de course à pied. Possibilité de faire le par-cours plusieurs fois, si l’on a

encore du souffle. (Inscriptions de 13h30 à 15h00). Premier départ à 14 heures.

Speedway : les plus anciens y retrouveront l’esprit du mythique vélodrome de Tours, né en 1896 là où se trouve aujourd’hui le carrefour de Verdun. La course, qui aura lieu sur le « Speedway » du Parc Expo (la piste où roulent les voitures Nascar) à partir de 16 heures le samedi, retrouvera les sensations des virages relevés. Il s’agira – pour les amateurs – de faire un tour chronométré départ lancé, comme pour les pros. Ouvert à tous, dès lors que l’on est né à partir de 2012. (Inscriptions de 15h30 à 17h00)

Tours’nParty : une soirée ami-

cale, ouverte à tous, le vendre-di soir, avec la traditionnelle « pasta party » triathlonienne. Mais les moins sportifs pour-ront aussi tester les andouil-lettes au Vouvray ! (17 € pour les adultes, 8 € pour les en-fants). Attention, nombre de places limité.

Et aussi : plusieurs tables rondes seront organisées. L’oc-casion d’en apprendre plus sur la médecine et la diététique sportives.

Des survols de l’épreuve et de la région en hélicoptère se-ront possibles, du baptême de 7 mn (45 €) à la virée d’une de-mi-heure (206 €). Décollages de 11 h à 15 h avec les 30’ en premier.

Un parcours de roi pour les triathlètes.

Tours’nMan8 au 10 juin 2018 / Parc Expo

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Infos pratiques : pour toutes les épreuves, il faut apporter son matériel, autrement dit un vélo et un casque. On participe pour le plaisir : pas de médaille à attendre !

Inscription (sur place) : 2 € pour le Bike and Run et le Cross Duathlon, gratuite pour le Speedway.

Lenny Kravitz en pièce rareD’accord, il n’y aura sans doute pas 500 000 personnes pour applaudir Lenny Kravitz au Parc Expo, son record, signé par le New-Yorkais de Paris sur une plage de Copacabana en 2005. N’em-pêche, le Tours Speedway, sur lequel la star se produira lors de l’American Tours Festival, est tout de même capable d’ac-cueillir 35 000 spectateurs, ce qui fut le cas l’an dernier avec le concert des Insus.

Le chiffre pourrait bien être ap-proché en 2018 si l’on en juge par le remplissage des autres – et rares : moins d’une dizaine – dates prévues en France lors de sa tournée Raise Vibration. Constat valable aussi pour ses prestations à travers l’Europe, pratiquement toutes quasi complètes. Normal, Lenny Kravitz n’est pas souvent en tournée (la dernière remonte à 2014) et son passage à Tours relève de la pièce rare.

Un album à chaque « tour »

Des tournées qui correspondent généralement à la sortie d’un nouvel album. En 2014, c’était Strut. Cette fois, c’est Raise Vibration, un disque dont on ne sait pas grand-chose, l’ar-tiste manipulant les teasers mieux que personne. Tout juste sait-on qu’il a dû être compo-sé dans sa maison du bois de Boulogne et enregistré aux Bahamas, dans son propre stu-dio, le Gregory Town Sound.

Il faut donc se dépêcher de profiter de l’occasion pour voir le monsieur qui a pro-clamé The rock is dead dans un titre qui démontrait bril-lamment le contraire et fut un tube planétaire. D’autant que le concert est inclus dans le pass trois jours de l’American Tours Festival, comme celui de Deep Purple (c’est la tournée de leurs cinquante ans de car-rière), de Gord Bamford (la star mondiale de la country)

et d’Imelda May (la sublime Irlandaise au blues hypno-tique).

C’est l’une des caractéristiques de l’American Tours Festival : pour 59 € on peut ingurgiter un régime US très riche, entre animations, concerts country (une vingtaine) et shows de stars. Seules les places assises exigent un supplément, ce qui fait le pass avec fauteuil à 69 €, soit 10 euros de plus que pour la seule entrée au festival (64 € pour Imelda May).

Quoi de neuf, cow-boy ?

Côté festival, il y aura toujours le « tractor pulling » (des trac-teurs shooté aux amphétamines qui tirent un poids énorme en rugissant comme des lions), le rodéo (le Grand Hall est une véritable plongée dans Les Mis-fits, sans Marylin Monroe mais avec une bande d’émules de Montgomery Clift sur leurs chevaux ou leurs taureaux), le camp US (et une leçon de conduite d’un char rescapé de la Seconde Guerre Mondiale), des milliers de Harley-David-son (et des concours de cus-tom), du poker, des stands, des cours de danse et une vingtaine de concerts country. C’est la règle. Mais il y aura aussi des nou-veautés dans les plaines du Far-West Tourageau. D’étran-ges voitures notamment, alias « lowrider », atteintes de la danse de Saint Guy. Côté moto, on pourra s’attaquer au mon-tage des bêtes chromées chères à Johnny.

Et parce que tout cela aura lieu lors du week-end du 14 juillet, les écrans géants du Tours Speedway éviteront aux footeux d’être frustrés grâce à la diffusion de la Coupe du Monde. Quant aux tenants des traditions républicaines, le feu d’artifices du dimanche soir leur en mettra plein les yeux.

American Tours Festival13, 14 et 15 juillet 2018 / Parc Expo

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Du vendredi 13 au dimanche 15 juillet 2018Parc Expo de ToursPrix du pass 3 jours incluant l’accès à tous les concerts « en fosse » : 59 € (69 € avec des places assises numérotées, 64 € pour le concert d’Imelda May)Billetterie sur toursevenements-lejournal.com et dans les points de vente habituels.www.americantoursfestival.com - #americantoursfestival

« Lowrider », kézako ?Les « lowriders » sont des voitures américaines – généralement de la génération années soixante – dont le système de suspension permet de se tortiller, de se pencher (avant/arrière et droite/gauche) ou de rouler au ras du sol. Un système dont le but n’est pas de rouler plus vite (à la manière des véhicules de Fast and Furious) mais de se faire remarquer, surtout des jolies filles. Une version mécanique du paseo traditionnel, qui se faisait à pied… ou à cheval.

Ces engins bichonnés au polish se dandinent sur leurs amortisseurs comme des danseurs de salsa. Logique, puisque c’est la communauté chicano qui a lancé la mode aux États-Unis dans les années cinquante. Au commencement, on se contentait de mettre des sacs de sable dans le coffre ou de raccourcir les ressorts. Inutile de dire que la police n’a pas apprécié…

Lowriders est aussi un film récent dans lequel apparaît Eva Longoria.

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Lenny Kravitz ne fera que quelques concerts en Europe. Le voir à Tours est exceptionnel.

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Nascar, Legend, Drift : « Moteurs ! »Il y aura de la circulation sur la piste du Tours Speedway en ce week-end du mois de juin. Le retour des courses Nascar se fera en compagnie des champions du drift et de nouvelles venues, les étonnantes Legend Cars.

Pour aller sur la piste, il faut être sérieusement… pistonné. Mais l’un des grands avan-tages des courses Nascar du Tours Speedway, c’est le contact direct avec les pilotes et les machines. Pour le pu-blic, le spectacle est autant sur le bitume que dans les stands (on peut approcher les voitures et les mécaniciens au plus près), sans oublier la traditionnelle séance de dé-dicaces. Un moment où il y a foule pour rencontrer les seigneurs de l’anneau.

Des seigneurs, des vrais, puisque les meilleurs du cir-cuit européen arriveront de Brands Hatch en Grande-Bre-tagne pour disputer à Tours leur seule course sur ovale, « bumper to bumper » (pare-chocs contre pare-chocs), comme aux USA. Mais, cette année, ils ne seront pas seuls : des « collègues » venus d’outre-Atlantique viendront se mesurer aux champions du vieux continent pour l’Oval World Challenge. Pas encore Daytona, mais presque…

Des nouveautés et toujours du drift

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, les voitures Nascar cachent sous des robes qui ressemblent à de « sages » Mustang et autres Chevro-let, des blocs V8 de 5,7 litres développant 450 chevaux. Pas facile à maîtriser une telle cavalerie quand on sait que la voiture ne pèse que 1 100 kilos et ne possède pas d’aide élec-tronique. Voilà qui explique quelques rencontres musclées

Oval World Challenge29, 30 juin et 1er juillet / Parc Expo

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America firstJusqu’à présent, chacun jouait dans sa cour, même si les Européens allaient parfois faire des virées outre-Atlan-tique, histoire de respirer l’air des origines. Mais cette année, ce sont les pilotes US qui ont fait le voyage. Une belle façon de jauger des capacités des uns et des autres.

Aux USA, la saison NASCAR voit des compétitions se succéder toutes les semaines. Pas un week-end sans prendre la piste, avec comme date phare, évidemment, les fameux 500 miles à Daytona en février. La plupart des courses a lieu sur des ovales (plus ou moins longs) dont les « bankings » (les virages relevés) peuvent atteindre plus de 30 degrés d’inclinaison.

Un avantage sur les Européens qui ne connaissent qu’un seul ovale, le Tours Speedway. Voilà qui rend encore plus exceptionnelle la manifestation tourangelle.

au fil des tours.

Des rencontres musclées, il y en aura aussi avec les Legend Cars. Nouvelles ve-nues en Touraine, ces voitures au look post-prohibition ne roulent pas des mécaniques (leur moteur n’est qu’un 1 300 cm3) mais sont très légères et se passent de différentiel. Là encore, il risque d’y avoir de l’animation sur la piste.

Même chose, comme le savent les habitués du circuit, pour les compétitions de Drift. Ces courses, effectuées entière-ment en dérapage, évoquent les films de poursuites améri-cains. Un travail de précision qui est jugé sur la qualité des trajectoires plus que sur la vitesse. Fumant !

Au total, c’est un week-end multiforme que les amateurs pourront apprécier. Mais dans toutes les catégories, il y aura un dénominateur commun : voir de telles voitures rassem-blées sur la même piste est une occasion rarissime que seul l’ovale du Tours Speedway est capable d’offrir.

Vendredi 29, samedi 30 juin et dimanche 1er juillet.Parc Expo de ToursPrix des places : Pass 3 jours : 25 € (debout), 55 €( assis)Billet 1 jour : 15 € (debout), 30 € (assis) samedi ou dimanche, 12 et 25 € le vendredi.Billetterie sur toursevenements-lejournal.com et dans les points de vente habituels.www.tours-speedway.com

L’ovale du Tours Speedway est le seul en Europe à s’inspirer de ses homolo-gues mythiques d’outre-Atlantique.

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Vingt-cinq ans sous la casquetteIl y a vingt-cinq ans, le grand navire conçu par Jean Nouvel ouvrait ses portes. Pour cet anniversaire, le Palais des congrès recevra le public à la façon des stars pour un incroyable « Crazy birthday ».

C’était en 1993 : Jean Royer allait chercher Jean Nouvel pour concevoir le Centre des congrès de Tours. Un quart de siècle plus tard, la fameuse « casquette » domine toujours le boulevard Heurteloup et il est devenu un lieu prisé des Tourangeaux où se succèdent spectacles, salons et congrès.

50 performances exceptionnelles

Pour fêter ses 25 ans, le Palais des congrès de Tours offrira aux Tourangeaux un Crazy Birthday, Le public – accueil-li gratuitement – sera la star du jour, avec tapis rouge et « photo call ». Sur les diffé-rentes scènes, quarante ac-teurs du monde culturel local se succèderont, toutes caté-gories confondues, du lyrique à la chanson pour enfant, de l’art plastique à la danse.

Un programme fou où l’on croisera, par exemple, l’Opéra de Tours, le Centre de Création Contemporaine Olivier Debré, le Centre Chorégraphique Na-tional de Tours, les Z’imbert et Moreau, Le Nouvel Olym-pia, l’Ensemble Jacques Ibert, Tous en scène, le Festival de la Grange de Meslay, Danses du Monde, Gospel d’aujourd’hui, etc. Après les avoir admirés sur scène, le public pourra rencontrer tous ces acteurs de la journée sur leurs stands au niveau -2. Pour clore cet anniversaire, une soirée tout aussi exceptionnelle réserve-ra nombre de surprises de la même qualité.

Tours événements présentera

plusieurs de ses manifesta-tions dont Novafleur, la Foire de Tours, l’American Tours Festival, le Japan Tours Festival, le Festival de la magie avec de nombreuses ani-mations sur chaque espace dédié.

La star, c’est vous

Vous pourrez aussi monter sur scène en participant à un Crazy Karaoké (sur inscrip-tion), en partant à la décou-verte du Palais des congrès via une exposition de photos et un jeu de piste pour petits et grands (occasion pour le public de découvrir gratui-tement les coulisses du bâti-ment). Les enfants auront leur espace réservé avec de très nombreuses activités (Musée des Beaux-Arts, jeux en bois, jeux vidéo, ateliers créatifs, etc.)..

Un débat réunira les médias locaux pour analyser « L’évo-lution des médias depuis 25 ans ». Car il est vrai qu’en un quart de siècle, il n’y a guère que le Palais des congrès qui n’ait pas pris une ride.

Enfin la gastronomie locale s’exprimera à travers une table « gargantuesque », composée par Rodolphe le Meunier (accès payant).

15 septembre 2018 / Palais des congrès25 ans du Palais des congrès

Si le Palais des congrès s’ouvrira à tous durant le Crazy Birthday, certains privilégiés pourront al-ler encore plus loin. Ce passage au-delà du rideau sera accessible via la page Facebook (@ToursE-venements37) du Crazy Birthday grâce à un jeu. Il est d’ores et déjà possible de s’inscrire pour explo-rer en VIP toutes les coursives du navire de verre et d’acier.

Des VIP derrière le rideau

Samedi 15 septembre 2018 (horaires à confirmer)

Palais des congrès de ToursEntrée gratuitewww.crazybirthday.fr - #CrazyBirthday @ToursEvenements37

Maëva Coucke, Miss France 2018 - Elue le 16 décembre 2017 en direct de Châteauroux sur TF1.

Dimanche 7 Octobre 2018 de 10 h à 19 hLundi 8 Octobre 2018 de 9 h à 18 h

Palais des congrès de Tours - Entrée gratuitewww.novafleur.fr - #Novafleur

Mignonne, allons voir si la rose, etc.Des professionnels venus du monde entier, des concours, des expositions et Miss France 2018. Les amateurs de belles plantes ont rendez-vous à Novafleur 2018 début octobre.

Il n’y aura pas que des roses, loin s’en faut, mais il est cer-tain que Ronsard aimera l’édi-tion 2018 de Novafleur. L’âme du poète pourra abandonner sans risque de frustration les allées du Prieuré de Saint-Cosme pour se balader dans celles du Palais des congrès de Tours à la découverte de quelques merveilles, écloses pour l’occasion. Et comme il y croisera une « mignonne » (au sens du XVIe siècle), nul doute que sa verve en sera ra-jeunie.

Ce n’est pas la Cassandre du poème qui apportera son éclat à Novafleur mais Maëva Coucke, Miss France 2018, qui sera d’autant plus à sa place qu’elle est originaire… de Fougères. Elle sera pré-sente le lundi, à charge (lé-gère) pour elle de récompen-ser les gagnants de la Coupe de France des Fleuristes et de la Coupe Oasis après avoir promené son « teint à nul autre pareil » (Ronsard, toujours Ronsard…) dans le salon et, bien entendu, s’être

prêtée à la tradition des dédi-caces et, désormais, selfies.

Des fleurs dans les étoiles

Un joli rendez-vous, qui vien-dra couronner une manifesta-tion d’abord professionnelle (coorganisée par C2F, Le Club des Fournisseurs Fleuristes) mais dont les épreuves sont ouvertes au public. Le plus fa-meuse est évidemment la Fi-nale de la Coupe de France des Fleuristes. Un combat à bouquets mouchetés qui voit des artistes venus du monde entier assembler fleurs et tiges comme autant de sculptures et qui devront imaginer une planète totalement organique (encadré).

Traditionnellement, la Coupe Oasis, du nom de la mousse qui permet des assemblages floraux très spécifiques, est aussi au programme. Chez les pros, le Fiacre d’Or récom-pensera la Meilleure Entre-prise Fleuriste Française de l’année.

Et, pour les visiteurs, il sera toujours temps d’aller vérifier avec Ronsard si les œuvres

n’ont « point perdu cette ves-prée, les plis de leur robe… » Pourprée ou non.

Novafleur7 et 8 octobre 2018 / Palais des Congrès

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Ce sera organique ou pas. Pour la Finale de la Coupe de France des Fleuristes 2018, le thème de l’épreuve « libre » (six autres sont imposées) évoquera une planète où les objets auront une âme (Lamartine appréciera) puisque les machines y seront vivantes et que la vie y sera « en symbiose avec les éléments. »

Un jardin d’Eden (le concours s’in-titule La Terre n’existe plus) qui sera réalisé avec les produits très terrestres trouvés sur le marché aux fleurs du boulevard Béran-ger et jugé par des professionnels

de haut niveau. Et un spectacle superbe et impressionnant, ma-gnifié pour le public par des prises de vues retransmises sur grand écran.

Les dix participants au concours viendront du monde entier. Mais d’ores et déjà, la Fédération Française des Artisans Fleuristes (F.F.A.F.) a sélectionné deux can-didats hexagonaux : Damien Thuaud, Oscar des Jeunes Fleu-ristes lors du Salon de l’Agri-culture 2018, et Aurélie Fachin, gagnante de la Coupe Oasis 2017.

La coupe est pleine©

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La convivialité fait mousser la franchiseLe concept s’appuie sur la convivialité, tradition française, et le goût des bonnes choses, qui ne l’est pas moins. Un assemblage réussi qui voit V&B (Vins et Bières) multiplier ses enseignes. Le 4 juin, le groupe fera ses achats de Noël au Palais des congrès de Tours.

Que V&B ait le vent en poupe n’aura échappé à personne. L’enseigne (Vins et Bières) s‘installe un peu partout en France, notamment à Tours où elle possède deux an-tennes. Une image que l’on retrouve dans sa communica-tion : V&B est aussi un bateau Class40 dont le skipper est Maxime Sorel.

C’est vrai que l’on surfe sur le succès chez V&B. Né en 2001 en Mayenne, à Châ-teau-Gontier pour être précis, le concept mêle l’esprit du pub anglais, l’envie du verre entre amis après le boulot à la française (« after work », outre-Manche) et le principe de la cave à vins (et autres plaisirs liquides). Avec un pe-tit plus : une présence en pé-riphérie, pas loin des grandes surfaces et des zones où l’homo sapiens turbinus tra-vaille désormais. L’avantage ultime, c’est qu’il peut garer sa voiture sans problème. Car chez V&B, on déguste mais on n’abuse pas, c’est la règle.

Château-Gontier conquiert la France

D’ailleurs, pour éviter les excès, on se fait sonner les cloches. « La » cloche, en vé-rité. Elle tinte pour signaler la fermeture de l’établisse-ment, à une heure elle aussi raisonnable. Juste le temps de faire ses courses ou de passer commande d’un cadeau dans l’une des caves estampillées « vins », « bières » ou « spi-ritueux ».

Logique car les fondateurs of-ficiaient déjà dans ces univers : Emmanuel Bouvet faisait

mousser la bière, Jean-Pierre Derouet était caviste. L’union faisant la force, ils régnaient sur cinquante établissements une dizaine d’années après avoir lancé la marque. Au-jourd’hui, le chiffre a plus que triplé.

Fidèles à leurs origines, les deux compères ont toujours leur base à Château-Gontier. Mais désormais – outre les deux V&B originels – c’est la centrale d’achat qui en constitue le cœur. Elle ali-mente (ou abreuve) les maga-sins de France en bières, vins et alcools venus d’Europe et du Monde.

C’est déjà Noël

Pour que la source ne tarisse pas, V&B rencontrera ses fournisseurs lors d’un salon. C’est au Palais des congrès qu’aura lieu la première édi-tion, le lundi 4 juin. L’occa-sion de faire ses achats de Noël, des produits dédiés qui seront proposés aux consom-mateurs en fin d’année. Bières rares (V&B en affiche plu-sieurs centaines…), whiskies d’Écosse, d’Irlande ou de l’Extrême-Orient, vins venus de tous les horizons (on n’est pas sectaires…) ou rhums, armagnacs et autres cognacs, s’exposeront dans près de

90 stands qui accueilleront plus de 170 fournisseurs.

Face à eux les représentants des 162 franchisés de l’en-seigne (auxquels il faut ajou-ter une vingtaine de magasins « intégrés ») et leurs person-nels. Le salon est aussi un lieu de rencontre. Conviviali-té, toujours…Désolé pour les amateurs, l’accès est réservé aux pro-fessionnels. Mais pour la convivialité, le public aura toujours la possibilité de se rendre dans l’un des adresses du groupe, avenue Maginot à Tours-Nord et rue Henri Potez à Chambray-lès-Tours.

La convivialité, premier ingrédient du succès des V&B.

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Salon des fournisseurs V&B4 juin 2018 / Palais des congrès

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Lundi 4 juin 2018

Palais des congrès de ToursAccès réservé aux professionnels.

« French connection » pour les collectivitésProtéger les forêts et gagner du temps. En gros, c’est ce que vise le CoTer-numérique, qui veut dématérialiser » le plus grand nombre de démarches administratives possible.

Il faut « DÉ-MA-TÉ-RIA-LI-SER ». Plus qu’une mode, une nécessité. D’abord, parce qu’à l’époque des tweets présiden-tiels et des smartphones ad-dictifs, il serait bête de ne pas utiliser les avantages de l’élec-tronique universelle. Ensuite parce qu’il y a là une mission écologique : arrêter de gâcher (c’est le mot) les forêts de la planète. Enfin, parce que si les deux précédentes propositions pouvaient rendre la vie plus facile à l’utilisateur de l’admi-nistration, ce que tout citoyen est par essence, ce ne serait pas plus mal. Bref, « dématé-rialiser » (traduction : rendre facilement accessible en ligne ce qui exigeait jusqu’à pré-sent une plongée à l’aveugle dans la paperasse) est une « French connection » d’utili-té publique.

d’un État 100% numérique ». Pour les collectivités, c’est le programme DCANT (Déve-loppement Concerté de l’Ad-ministration Numérique Terri-toriale) qui servira de guide. Il sera d’ailleurs présenté en ou-verture du congrès par Alexis Boudard, directeur du pro-gramme, après l’intervention du directeur de la Direction interministérielle du numé-rique et du système d’infor-mation et de communication, Henri Verdier.

Un Web ouvert à tous

Associé au DCANT, un « kit » offre clef en main aux collec-tivités le système dont elles ont besoin. L’union faisant la force et – surtout en matière de numérique – évitant la dispa-rité des modèles (avec comme

Les collectivités sur la toile

Ce n’est donc pas un ha-sard si les collectivités ter-ritoriales se penchent sur le problème. Réunies au sein du CoTer-numérique, villes, communautés urbaines, syn-dicats, groupements, conseils départementaux et régionaux étudient « les problématiques liées à l’informatique et à la communication ». Ils seront à Tours lors du 29e congrès du CoTer-numérique les 5 et 6 juin prochains.

Le CoTer a reçu récemment une aide de poids, par la voix du premier ministre Édouard Philippe : « 9,3 milliards d’euros seront débloqués sur cinq ans pour la création

conséquence une jungle impé-nétrable peuplée de bugs au contact irritant pour le com-mun des internautes), il faut espérer que le pari sera tenu. Les fonctionnaires, moins dé-bordés, y gagneront sourire et disponibilité, les citoyens y trouveront leur avantage.

Parmi eux, les personnes han-dicapées apprécieront que le RGAA (Référentiel Général d’Accessibilité pour les Ad-ministrations) impose « l’ac-cessibilité de ces contenus web à tous les publics, quelles que soient leurs aptitudes physiques ou mentales. »

Une fois toutes ses missions remplies, il ne restera plus qu’à simplifier les règlements et les lois. Mais c’est une autre histoire…

Au-delà de son aspect pratique pour l’utilisateur, la dématérialisation administrative aura un effet favorable sur les forêts en limitant l’utilisation du papier.

5 et 6 juin 2018 / Palais des congrès

Mardi 5 et mercredi 6 juin 2018

Palais des congrès de ToursAccès réservé aux congressistes

Congrès du CoTer Numérique

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Coup de ballet sur le répertoireUn balayage des plus grands ballets du répertoire, c’est un bonheur pour tous les apprentis danseurs et danseuses. Il sera effectué par une troupe venue de l’Est le 13 juin au Palais des congrès.

C’est un survol, au pas… de deux, sur les classiques (cer-tains diraient les poncifs) du genre. Je vous mets une dose de Petipa (Don Quichotte), deux gouttes de Tchaïkovski (Casse-noisette et le Lac des cygnes), un mélange des deux (La Belle au bois dormant) et quelques autres ingrédients, à découvrir au moment de déguster. On secoue le tout et on vous sert une sorte de Ballet pour les Nuls, un cock-tail pas détonnant mais qui en vaut sans doute un autre, une sorte de « compil », cette mode où l’on vous découpe le répertoire symphonique ou lyrique comme un pâté de Pâques, pour vous servir les ouvertures en tranches ou les arias en salade. Pourquoi pas, si c’est un moyen d’attirer le grand public vers la musique (ou la danse) classique ? Mais on a aussi le droit de regretter ce dépeçage de type Reader’s Digest qui atomise le livret et ratiboise l’équilibre voulu par le compositeur et, c’est notre sujet, le chorégraphe.

Un grand écart pas si facile

L’ennui, avec ce genre de cui-sine pour contemporain pres-sé, c’est qu’il extrait ce qu’il y a de plus célèbre dans les œuvres et, par le fait même, ce qu’il y a de plus difficile. La question est donc de savoir si la compagnie à laquelle on demande de faire le grand écart entre les espagnolades de Don Quichotte et le pas de quatre du Lac des cygnes sera digne de relever le défi. Tout le monde n’est pas capable d’attaquer les moulins à vent comme Noureev ou de taper

de la pointe avec la régularité d’un métronome emplumé.

Pour les Grands Ballets Clas-siques qui seront présentés au Palais des congrès le 13 juin, la troupe du Bolchoï de Minsk a d’abord été annoncée. C’est aujourd’hui le Théâtre Natio-nal d’Opéra et de Ballet de Moldavie « Maria Biesu », venu de Chisinau (la capi-tale), que l’on attend. On aura donc droit à une troupe

constituée et non à un assem-blage hétérogène de danseurs récupérés à travers les pays de l’Est (et souvent à la sortie de l’école) comme c’est trop souvent le cas.

Un véritable orchestre

Au public de juger « sur pièces », et à l’aveugle puisque les noms des danseurs ne sont pas connus. Même remarque pour l’orchestre qui sera pré-

sent en bois et en cuivre, ce qui est un bon point pour la tournée.Les petits rats en chignon devraient apprécier une soi-rée conçue sur mesure pour leur donner des fourmis dans les chaussons avant de re-partir tenter les trente-deux « fouettés » improvisés par l’interprète d’Odette lors de la première du Lac à Saint- Pétersbourg.

Les « espagnolades » de Don Quichotte, au programme d’un patchwork moins facile qu’il n’y paraît.

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Les Grands Ballets Classiques13 juin 2018 / Palais des congrès

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Mercredi 13 juin 2018 à 20 h

Palais des congrèsPrix des places : de 15 à 65 €Billetterie sur toursevenements-lejournal.com et dans les points de vente habituels

Main dans le dos et ventre pleinLe ventriloque fait le plein de voix pour son nouveau spectacle, Jeff Panacloc contre-attaque. En plus de l’infâme Jean-Marc, il donnera la parole à Nabilouche et Jacky, aussi peu fréquentables que son habituel complice.

C’est un peu l’histoire de la rencontre Trump/Macron, avec Jeff Panacloc dans le rôle du président américain, la main toujours dans le dos (Jean-Marc a une vision plus trash de la situation) des autres. « Des » autres. Car pour son prochain spectacle, Jeff Panacloc contre-attaque, le duo indissociable aura deux compagnons sur scène, heureusement aussi infré-quentables que l’affreux-jojo poilu dénommé Jean-Marc, simiesque complice du ventriloque, toujours présent évidemment.

Un pingouin nommé Nestor

Cet élargissement du cercle familial est une révolution. Depuis ses débuts, lorsque Jeff Panacloc décida de re-prendre un type de spec-tacle en voie de disparition (normal, c’est un pingouin, Nestor, qui en était le porte-drapeau à l’époque), son seul partenaire a toujours été la peluche orangée (cette fois sans rapport avec le teint du président US susnommé), dénichée sur l’étagère d’un commerçant nommé… Jean-

Marc. La bestiole a débuté ses singeries dans les petits cabarets, puis dans le grand (cabaret) que pilote Patrick Sébastien et sur le canapé rouge de Michel Drucker avant de sortir ses énormi-tés devant le public des plus grandes salles. A Tours, il sera au Palais des congrès le 7 juin. Et en 2019, c’est le Grand Hall du Parc Expo qui l’attend.

Haro sur la « first lady »

L’évocation des États-Unis (où le duo a fait une tour-née) et de son président n’est pas totalement fortuite. Si Jeff Panacloc contre-attaque, c’est notamment parce que l’infâme Jean-Marc n’a pas pu se retenir de s’attaquer à la « first lady ». Son amour de la gent féminine (dont les spectatrices profitent également) lui a valu de se retrouver derrière les bar-reaux, situation pénible pour un singe zoophobe. Son éva-sion entraînera le duo dans un véritable scénario de polar pour échapper à la maréchaussée. Au passage, on découvrira la copine de

Jean-Marc, Nabilouche, dont le niveau intellectuel fait du rase-motte, et Jacky, tech-nicien fan de Johnny et du bourbon dont il est largement imprégné.

De quoi remplir le ventre ba-vard de Jeff et en rajouter dans le délire, à quatre voix, de la joyeuse bande. Juste le temps de réserver sa place pour ne pas trouver le guichet fermé.

La duo infernal Jean-Marc/Jeff Panacloc accueillera de nouveaux personnages pour son prochain spectacle.

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Jeff Panacloc7 juin 2018 - Palais des congrès / 13 avril 2019 - Grand Hall du Parc Expo

Samedi 13 avril 2019 à 20 hGrand Hall du Parc ExpoPrix des places : de 43 à 53 €Billetterie sur toursevenements-lejournal.com et dans les points de vente habituels.

Si le nom de scène de Jeff Panacloc paraît sortir d’une prise de tête pour comédien en devenir, il semble pourtant que son histoire soit beaucoup plus simple, à en croire le papa de Jean-Marc lui-même. Car si le patronyme du singe insolent est simplement celui du propriétaire du magasin de magie que Jeff fréquentait lorsqu’il était enfant (la peluche n’attendait que lui pour quitter son étagère et trouver sa voix) c’est tout simplement en retournant son – vrai – nom qu’il a trouvé le sien. L’électricien (son métier d’alors) s’appelait… Damien Colcanap, soit l’anagramme parfait de Panacloc. Joli, à condition que ce ne soit pas une blague, évidemment.

Vice et versa, et réciproquement

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Jeudi 7 juin 2018 à 20 hPalais des congrès de ToursPrix à partir de 39 €

Agenda

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Juin 2018 Juillet 2018Jeudi 7 juin 2018Jeff PanaclocPalais des congrès - 20 hTarifs : à partir de 39 €

Mercredi 13 juin 2018Les Grands Ballets ClassiquesPalais des congrès - 20 hTarifs : à partir de 15 €

Samedi 9 juin 2018Didier GustinPalais des congrès - 20 h 30Tarifs : à partir de 30 €

Du samedi 14 au dimanche 15 juillet 2018American ToursFestivalParc Expo - de 10 h Tarifs : à partir de 35 €(Pass 1 jour)

Du vendredi 13 au dimanche 15 juillet 2018American ToursFestivalParc Expo - de 10 h Tarifs : à partir de 59 €(Pass 3 jours)

Du vendredi 29 juin au dimanche 1er juillet 2018Courses NascarParc Expo - 15 h le vendredi et 9 h 30 les samedi et dimanche Tarifs : à partir de 12 €

Samedi 14 juillet 2018Deep PurpleParc Expo - 22 h 30Tarifs : à partir de 59 €

Diamnche 15 juillet 2018Imelda MayParc Expo - 20 hTarifs : à partir de 59 €

Vendredi 13 juillet 2018Lenny KravitzParc Expo - 22 h 30Tarifs : à partir de 59 €

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Directeur de la publication :Christophe CAILLAUD-JOOS, Directeur Général de Tours ÉvénementsCoordonnatrice éditoriale :Valérie POCHART-AUGERGraphiste : Virginie BOURGOINRédaction : RédaConsult’www.redaconsult.frSite internet :Agence BTG Communication - ToursDépôt légal : à parutionLe Journal Tours Événements est édité par la SAEM Tours Événements,26 bd Heurteloup - 37000 ToursTous droits de reproduction réservés

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Tous les mois, le Journal Tours Événements vous offre des places pour des concerts, salons, spectacles...Pour tenter votre chance, rendez-vous sur le site du journal, remplissez le formulaire et... croisez-les doigts !

Bonne chance à tous !

Ce mois-ci, Tours événements

vous offre 2 Pass 3 jours pour

l’American Tours Festival

(valeur totale 118 €) qui aura

lieu les 13, 14 et 15 juillet

2018 au Parc Expo de Tours.

Dépêchez-vous, le Grand jeu

est ouvert du 1er au 15 juin

2018 seulement…

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