Fête de gymnastique—Demain soir,to courant aura lieu la salie de l'Inspec-tion des viandes,boulevard de la Ferrage,une forte gentille tête organisée par lasociété de gymnastique 1' Avenir

Ce sera certainement un régal pourles amateurs et une source d'amusementspour tes charmantes invitées.

Anciens sous-officiera . - Les sous-officiers libérés qui désirent faire partiede la Société Amicale et Mutuelle poursont demander les renseignemen's M.Laurens, président, 43 . rue d'Antibes,ou î M . Camons trésorier, rue de Pro-vence.

Classe 1902 . - Les jeunes gens ila

la classe 1902 et les ajournés des classes1900 et 1901 Sont priés d'assister laréunion, qui aura lieu ce soir, vendredi,

8 heures es demie, au café MariUme,quai Saint Pierre , pour l'organisationd'un banques . sa-

Amicale Lyonnaise . - Reunio du

bureau samedi, 10 octobre, è8 heures etdemie du soir, au siège social, café desAllées Ordre du jour : Admission denouveaux sociétaires ; fixation de ta datepour la prochaine assemblée générale.

Au commissariat central . - M . Dey-res, commissaire central, ayant termineson congé, s repris ce matOt, s 9 heuresta direction des divers services de la police, dont l'interint était assuré depuisun mois par M . Anfossi commissaire depolice.

Coup de couteau . - fier soir, versri heures, le nommé Guèhenr',ec, mar-chand de parapluies, rue Grande, a euune vive discussion avec les nommésGuilisumet et Davaille, sortant un cou-teau de sa poche il en s menace cesderniers

Davaille ayant voulu passer derrièreGuéhennec pour le desarmer, ce derniers'est retourné vivement et u porté unviolent coup de couteau è Davarl'e Il l'aatteint au bras gauche et lui u fait uneblessure assez sérieuse.

Plainte ayant 'té portée è la po'Ice,une enquête est ouverte.

Escroquerie Hier matin, le nom-

me F . Unie, cordonnier, boulevard duCanne!, s été victime d'une escroqueriedans les circonstances suivantes

Une femme est venue à son magasin,de la part d'une personne honorablementconnue è Cannes, chez qui elle s dit êtreemployée, pour prendre deux paires dechaussures, que le cordonnier luta remi-ses sans défiance

Dans l'aptès .midi,Unia s'éta't présen-té au domicile de la famille en questionu été fort surplis d'apprendre que l'onn'avait envoyé personne chez lui pourprendre quoi que ce soit.

Comprenant qu'il était vole, il s'estempressé d'aller porter plainte a la poli .

ce .L'enquête ouverte aussitôt aurait ré-

vélé les traces de t'escroqueuse qui nelardera pas è tomber entre lus mains dela police.

Ancien négociant au courant des af-'(aires s'intéresserait ou prendrait la sutte d'un commerce ou industrie Ecrire à

M Léger û Bagnères-de-Bigorre, (Han-tes Pyrénées) .

3303-

On demande une nourrice sèche . S'a-

dresser 42 . rue d'Antibes.eii . _titi __dette__

BOUCHONSse NICOLAS

FEUILLETON DU LITTORAL 39

ARTHUR BERNÊDE

La FavoriteROMAN HISTORIQUE

-- Où ça . .. I,arden,zcs- Mais l'homme qui vient etc nous cou-

doyer.- Tu es ((lu .- Non, je t'ai flairé .. . Lardenois c .r facile

à flairer . Il est fort coquet, et quand il vaen mission secrète riiez les danses, il parfu-

me toujours ses mouchoirs avec de l'aillerblanc niélé d'iris,, . C'est lu,.

- C'est lui ! . . . répéta Paire-d'Ecl,asses,

absolument convaincu . Mais, ajouta-t-il, cive

vient faire ici t . ..Et, sans attendre ta réponse de son rima-

rade . Paire. d'Enletssvs allongeant ses ont-

pas, toI bientôt au liant rie l'escalier.Marguerite était sur la porte- Et l'ami Nez-en-moins t . . tir-elle.

- Il vient Il vient t ,- 31e voici, glapissait le policier. . . qui,

légèrement essoufflé, parut son rune.

Et àIargUeriie fit entrer les deux amis

dans si chambre où clame Nicsite larod,sstune chasuble pour régisse de N,,rre . 11amc.

- . Avez-sous du nouveau demanda la

pauvre mère,

Monluc ROMVallauris

Enqta de commodo et incommodo.- Le Maire de Vallauris informe leshabitants de la commune qu'an exécutiond'un arrête de M . le Préfet, en date du24 septembre 1903, une enquête admi-nistrative cas ouverte sur le projet deconstruction d'un hôpital mixte è Val-lauris et sur l'aliénation des titres derente.

Les pièces de ces projets resterontdéposées au secrétariat de la niairie .pendent quinze jours, du 5 aLt 19 octobreinclusivement, pour ètre communiquéesà tout requérant, tous les mura de 8heures du matis à 6 heures du soir.

A l'expiration de ce délai. M Bonorsso,commissaire, délégué per M . le Préfet,se rendra la Mairie, les 2o, 31 et 22octobre courant et y recevra, de neufheures du matin è 4 heures du soir, lesobservations qui pourraient être faitessur lesdits projets.

YACHT INC - AUTOMOBILE

De Paris à Monaco par CannesCent mille francs de Prix

Une grosse nouvelle est lancée, qui(ail, actuellement, le tour de la presse.

1h s'agit dune exposition de canotsautomobiles Monaco, précédée d'unelongue épreuve de Paris à Monaco desdits canots.

Un Comité d'organisation u été aus-sitôt COsatilué par MM . Camille Blanc,I obros, Desgrasges, Gahiran, Lepélre,Pitre, Sanerweie, Tampier, etc., etc.

Cette idée si simple,issue du cerveaudua particulier que nous connaissonsbien u Cannes u donc fait son chemin.

Il est certain qu'une manifestation desport nautique quelle qu'elle fuit, nepouvait trouver un cadre plus pittores-que, des rades plus propices que celittoral merveilleux eu sa végetaliorsprjlitauiera et celle mer Méditerranée,toujours bleue dans son horizon infini I

Eu outre, aucune contréene parais-sait as .sez riche pour assurer aux cons-riicteurs de moteurs et aux architectes

navals, oit heureux dédommagementde leurs teilles angoissantes, de leurslaborieux efforts.

Prix de cent mille (rancs,l Voilà cer-tes qui est fail,comme il convient,gran-dioserneul . Voilà qui est de nature àfrapper les esprits dans le monde, ufasciuer .uu delà des mers .le génie de laconstruction et la hardiesse des yachts-men,

Il fallait, en outre, pour assurer laréussite de ce grand coup de collier ré-gional faire tond sur la caisse de taprincipauté de Monaco et adresser unpressant appel aux sommités parisien-nes, afin que ce mouvement de réno-vattoa de l'art nautique (ut dirigé, cen-tralisé, canalisé.

IL reste u déterminer dans quellemesure les sociétés nautiques du lit-toral - et via parlicutier les sociétésdes régates de Cannes et d'Antibes -conlribtieroutacette poussée vigoureu .sou s'cgil aussi de connaître les avanta-ges qui s pourront en retirer et dequelle manière ils pourront retirer lernaxirittiin d'avantages possible

Nous appelons spécialement sur cepoint 1 attention de l'Union des Yachts-men et de ta Société des Régates Canrjcci se s.

Ne pourront elles organiser, en radedo Causes, durant la grande semaine,tise epreuve spéciale, comportant plu-sieurs prix, avec des conditions decourses tout-â-fait spéciales, de façons encourager les vaincus de l'épreuveprécédente et â amener,dans notre port,qui ne (ut jamais plus coquet, une flot-

- Oui . ., madame, répondit Nez-en-moins.Et ils bon . . de t'excellent-. Enfin

pourrai-je bientôt embrassermon fils t ..

- - . Je ne liais rien encore vous affirmer:mus espérez.

- Oh

merci . s'écrièrent dame Nivale etSI :crgueri te

- - D'autant plus, reprit dame Nicole, quenias veni,,ns d'apprendre des choses quin,,cis avaient plongées dans une grande per.plexIté.

D'abord, l'assassinat tIn comte d'Etvrn -Rassures-vous, 50 Nez-en-moins, il n'estmin . li y u nvSnie lieu de croire qu'il

pin rscliapjsera.Oies, s ' ils entende, fit Marguerite.

- -- Pui, continua la mère du chevalier,n,,u-,uvi,ns reçu aujourd'hui la visite domessager de Mme sje Pompadour ...- i .e messager de aime de Pompadour . ..

Il nia paru toujours très singulier, ce mes-sager de ha favorite . Et use vous mail dit

-- II nous u recommandé plus que jamaisd'étui prudentes. Nous l'avons prié de solli-

citer en noir,', faveur une audience de lamerquise.

- - Ah I ah I . . . grommela Nez-en-moins.- . il a d'abord refusé, comme toujours,

alléguant qu'il droit préférable qu'on ne, nousvit pas à Versailles.

Parbleu t . -- alois Marguerite u insisté . Et, se ra-

visant soudain, le gentilhomme flans 'a don-né rendez-vous deni .ciu sine, à cinq heure.,,

tille de canot.'automobiles, de yachts,de ateam .yachts, etc ., etc.

II y a certainement beaucoup â faire,et surtout beaucoup à étudier, dans cesens.

Dores et déjà, il nous parait que lessociétés nautiques de Cannes et d'An-tibes ,— car Antibes est bien dans lemouvement aussi - devraient nommerune commiasion d'eludes destinée àposer les problèmes techniques de lanavigation a voiles, mixte ois a pétrole,car toutes ces branches du yachtingsont intimement tees

Cette commission aurait surtout pourmission de se tenir en contact aise lesmunicipalités, afin d'obtenir de loua,dans l'intérêt commun, le maximumd'efforts.

Jamais l'occasion ne fut plus favo-rable ; â l'oeuvre tous I

S.

BONS ET MAUVAIS REMÈDESD'une langue lettre de M . le D' Mora, Of-

ficier de l'instruction Publique, tu, rue deNesle à Paris, flous détachons le passagesuivant, qui flous parait contenir use leçondes plus importantes

Je ri'hdaite pas à déclarer qu'avant de con-naine i'Emutsinn Scott j'avine presque renoncé* pi'escere l'huile de fuie tIc morue, tellementje trouvais le répugnance chez ceux à qui je laconseillais, et parce qu'aussi beaucoup des hui-les do commerce vendues à des prix infimesmont falsifiée, et n'ont de l'huile de face de mo-rue quo te nom. Le choix do l'huile mitre estdonc de la plue haute importance et c 'est ungrossi progrès d'avoir donné, doua l'EmulsionSeuIl, s la meilleure huile de foie do morue deNorvège, nom seulement au aspect et une sa-veur agréable, main encore d'avoir renforcé su:principes actif, par l'adjonction des hypophos.phaiem D.

II n'y a pas de guérison, sans bons remè-des, et le D' Mura met en effet le doigt sue laplaie en signalant, à propos de l'huile defoie de morue, tontes les huiles falsifiées etsans valeur médicinale, vendues sous l'appâtdu bon marche . Le mal est le même pourl'Eninlsiori Scott, ii la place de laquelle onoffre, toujours sous prétexte de bon marché,tontes sortes d'émulsions de la plus inférieu-re qualité, à hase sic ces houes falsifiées questigmatise si justement notre honorable cor-respnridast. Os ssrsdt prendre un remède quiu fait ses preuves contre toutes les affectionsrespiratoires, les maladies de misère physio-logique, lymphatisme, rachitisme, tubercu-lose, etc ., et on tombe sur des imitationscomposée pour la plupart d'huiles de baleineet sans valeur médicinale, quand elles nesont pas nuisibles,

Conclusion s Exigez toujours l'EmshuionScott véritable et sa marque bien connue : lepêcheur tenant sur l'épaule une grosse mo-rue ; refusez hautes imitations.

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3292

à s, barrière de Versailles.-- A cinq tiennes du soir. . . Slaca il faut

deux heures, avec de bons chevaux, pourse rendre à Versailles. . . Alors, sept cou-res . ., l'audivner C'est impossible . .. Ce gen-tilhomme s'est ,us,,i1ssi de suas, . . Au fait, àquel so,,menivous a-t-il, aujourd'hui, re'n-

- - - Il venait de sortir bisque sous êIssarrrvé . vous avez messie dû vous crorser avr .-Inc dans l'escalier.

- i,ardenols J, . . s'écrie Nez-en-moins . ..llugrc clv bigre t suas l'osez stcluapjié sel ho,nues pauvres ul .cmrs.

- Comment cela t, ., demanda dame Ni-cole effrayée.

- -- Ce sait-disant messager de la favmiite,reprit le policier, n'est autre quo 'bouedamnée de M . de Beaumont . . . Un certainLaedensis qui aura bientôt de mes nasseles.

- - Encore cet homme ! . ., dii Margoi'.rite,

II est certain qu'il u voulu vous atterredans un guet-apens.

si àlon Dieu.- ',ius n'irez pas à ce rendez-vous, dut

Nez-en-moins avec autorité . ..

t)ss'as'uns-nosis donc fait , la Prccvdencepour qu'elle nous accable de la sorte s . . . gé-mit dame Nicole.

-- Oh I à la Providence. ., rien . ., repritNez-en-moins . ., mais, scias génez sons ds,niche .iacoiup Monsieur le lieutenant de police .

ernière jeun

DE NOS DIVERS CORRESPONDANTS

Le Pape et le Tzar

Rome .— Le Pape saisira l'occasionde lus visite du Tzar au Vatican pour

lui demander l'intervention de la

Russie en faveur des chrétiens deMacédonie.

Entente 'Tureo-Bulgare

Sofia, - On annonce qu'une en-

tente aurait eu lieu entre la Bulgarie

et la Turquie, au sujet de la disloca-tion des troupes.

La Bulgarie licenciera 00 .000 hom-mes et ta Turquie 40 .000.

Les Macédoniens auraient décidé

de suspendre le mouvement insur-rectionnel afin que la Turquie appli-

que les réformes imposées par lespuissances.

Traité général d'arbitrage

Paria - Les journaux de New-York reproduisent un câblogramme

de Paris annonçant comme ferme le

traité général d'arbitrage entre laFrance et l'Angleterre, dont tous les

articles sont arrètés,

il reste à régler les détails d'im-portance secondaire . Ce traité sciasigné prochainement.

La gré-se oses port de Dunkerque

Duru/s'eî'que . - Les ouvriers du portde Dunkerque et les déchargeurs da

charbon tint présenté de nouvellesrevendications . Ils réclament uneaugmentation de salaires.

Une commission, composée de né-

gociants et d'ouvriers, examinera cesrevendications.

On u dirigé sur' Dunkerque desgendarmes et de la troupe.

(Agence f°uurnier).

ETUDE de Mc ROUSTAN, avoué à NEc,2, Place du Palais.

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Pour renseignements, s'adresser u Me Ruas-tan, avoue poursuivant et à Me Breel, avouécolicitant.

(3302)

A . ROUSTAN.

Renseignements

E5a5-Ciil du S octobre css.cV.icssatccc's, - Sorbe François-Antoine au

Petit-Ju:is.Nazarc Joseph-Antoine-François, au Petit'

Juas.Chétaigner Eut ile'Aadré-Louis, rue dUo-

Eut_l, 5).M,it's,t,',', - Piccon Joseph . bordinicr'lteu'

nists', oh fbrc.sgoi Jeanne, 000tariere,[J'-s,

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RENTES VIAGÊRÉS 18,10,12,14,17 0/o?.-z,flniui et ai,az,Qn.0050 àoûtw il f,a.

Ah I le misérable . . . si je pouvais enfinsisle confundre.

Mais vas avez ce qu'il faut . ., ce pa-pier signé Pierre Ronceraie, ., Ah J j'ai trou-vil j'ai trouvé . . . s'écria Nez-en-ovins ts,titbateau . Oui, ce papier établissant la forfai-ture de votre ennemi . . . d,cnnez-le moi,,, l'insule remettre moi-même à madame de Pompa-deur.

- J'avais bien songé à ce moyen, repritdame Nicole, mais si je me dessaisis de cvut,'piès:e, que me restera-t-il pour me justifieraux yuee cle mon mari :'

Oh h je ocra charge, . . Donnez-moutoujours ha pièce . . . Ah ! ah t. voilà du bontravail et si Paire-d'Eehasses et moi nousréussissons dans 001cc expédition de remue

- Votre expédition t,,, fui Marguerite.-- Ohc J un simple ramonage de chemi-

née. . . Je visos jure, acheva Nez-on-Mucus,que .nous aluns la partie belle . ..

I .e ciel rosas entende J fit dame Niche.Et je suis certain c(oe c'est Mme de

Pompadour elle-méroc qui demandera aueau la ge .ico de votre fils J,, . Alors,,, je . ..

Quelques coups très discrets frappés à laperte interrompirent l'accès de lyrisme deNez-en-Moins.

Faut-cl ouvrir b demanda t'aire-dE.chasses.

- Si .cis oui, répondit dame Nicsile.Alors parut sur le seuil une femme d'une

merveilleuse beauté, et dont te visage tien-tait les testes de larmes récentes,

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Nez-en-Moins ne put réprimer une excla-mation -

Madame la Marquise de Pompadour !-

- Dame Nicole t .., demanda la fiuvorite.C'est nciou, mad,cme, répondit ta mère

du chevalier.-- Et cette jeune fille t altiuisu la marqui-

se eu désignant Marguerite.C'est ha Samiote de min fils,

ni Et ces deux hommes ? . ., reprit Mmede Pompadour, en montranu avec une cer-taine inquiétude Nez-en-Moins et Paire-d'Ectcasses, qui s'efforçaient cependant deprendre une attitude aussi respectueuse ciCourtcsanesu1ue ttne 1oossibte.

Ne5-en-Sloczs, voué d'une vive éloquen-ce naturelle, prit ,,nmédiameieneni ha parole

- Madame ha marquise, fit-il voua n'a-vez rien u redouter de flans . Sien camaradees nus,, uc,ius sommes les amis dévoués de cesexcellentes dames, comme nous sommes voshumbles serviteurs.

Madame de Pompadour ne paraisaim pasentit'n,nsoot rassurée, alors, Nez-en-Moinscontinua .

- Nous ne sommes c1ne des policiers,c'est crac, mais min plus au servicve de M.de Beaumont, mais au vôtre . ..

- Ait mien-- Oui ichoclame la marquise . Car, c'est

noua stuc M . te Comte d'Elven a daignéchanger d'une muosuicu c1u, oc saurait man-quer ule route intéresser,

-'i'ssucvnc Raoul I soupira ta favorite.(A suivre).

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