Post on 12-Jan-2016
description
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Mobilités et trajectoires résidentiellesMobilités et trajectoires résidentiellesRenouvellement urbain région PACARenouvellement urbain région PACA
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Les opérations
0pération Bailleurs sociaux
Démolitions de logements prévues
Relogement Reconstruction
Marseille,
Plan d’Aou
915 lgts de 1971
Logirem,
Provence Logis
Phocéenne
(Erilia)
629 entre 1989 et 2003
258 à partir de 2005 (30 en 2007)
492 depuis 1995,
Dont 185 hors site
(109 décohabit.)
307 sur site (57 décohabitations)
173 lgts neufs (dont 98 pour relogt) 1997-2007
+ 43 lgts réhab. en 2001 et 2002
Avignon,
Croix des Oiseaux
704 lgts de 1960
Vaucluse Logement et
OPHLM d’Avignon
352 lgts types grands logements
(1 barre Vaucluse Lgt,
1 barre OPHLM, 1 tour vide) 1997
Fin 1991 :
44 ménages VL
83 ménages OPHLM
Maisons individuelles en bande – accession libre
Nice,
Pasteur
320 lgts de 1960
OPAM (Côte d’Azur Habitat)
205 lgts 2005-2007
(convention ANRU)
106 ménages entre juin 2004 et juin 2007
54 lgts neufs in site
32 lgts Foncière
151 lgts sociaux hors site
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Types de mobilités observéesMobilité géographique
Mobilité d’adaptation
Mobilité segmentielle
Marseille Plan d’Aou
Minoritaire pour les ménages locataires (326),
Majoritaire pour les décohabitants (166)
Type dominant Sur site pour les ménages qui ont attendu le neuf,
Hors site pour les autres
Avignon Croix des Oiseaux
Majoritaire (autres groupes), mais dans le même secteur géographique de la ville (Rocade)
Type dominant.
Effectif sur site et hors site, mais plutôt hors site pour les grands logements
¼ des relogements (certains groupes de logements hors site),
Mobilité mi subie-mi assumée
Pas de relogement dans la cité ANRU (Monclar)
Nice Pasteur
Majoritaire, mais de faible amplitude (même secteur de la ville Nice-Est)
Faiblement dominant et à nuancer
Segmentielle en partie négative
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Relogement et trajectoires résidentielles
Le relogement au sein de trois catégories de trajectoires Des personnes âgées ayant quitté des logements sans confort pour
l’habitat social quand étaient des salariés de l’industrie et du commerce. Ont vu l’HLM se dégrader. Souhaitaient un immeuble propre, tranquille, et jouissant d’une bonne isolation thermique et phonique. Certains l’ont obtenu.
Des migrants ruraux (de la campagne provençale, d’Italie, du Maghreb), et des Gitans ayant fait souche dans l’habitat social depuis 2 ou 3 générations. Pas de projet de trajectoire pour les parents mais pour les enfants. Décohabitations obtenues. Peu d’amélioration pour les parents.
Des passants de l’habitat social (arrivés par accident ou par commodité, choix contraint). Plus ou moins de capacité à négocier le relogement. Des jeunes ménages ont réussi une mobilité ascendante.
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Un fort taux de mobilité opérationnelle
Des ménages objets et non sujets du relogement Des relogements fréquents dans le bâti existant, de
qualité équivalente ou moins bonne Des ménages relogés devenus prioritaires devant les
nouveaux demandeurs de logements Des constructions neuves qui ne contribuent pas à
augmenter l’offre en logement social En conséquence un risque général :
Des opérations qui tendent à renforcer la saturation du marché sans offrir de progression des parcours résidentiels à la clientèle concernée.