Post on 24-Oct-2020
09.04.2020 – S4 MMI IUT de Troyes
M4103 Référencement et optimisation
Loris Atak TPE
Partie 1 : Sujet
1. Définition / présentation
2. Objectifs
3. Illustration, infographie, exemple, démo
Partie 2 : Audit web Analytics : analyse d’un
rapport
1. Présentation du rapport
2. Explications
3. Analyse et préconisations
09.04.2020 – S4 MMI IUT de Troyes
Partie 1 : Les recherches Google et les
résultats que l’on peut en attendre.
Problématique : Comment doit-on effectuer une recherche pour avoir
la réponse la plus pertinente ?
Sommaire :
1. Comment faire une bonne recherche
a. Les termes de recherches et leurs interprétations
par Google
b. Affiner une recherche à travers les filtres et les
catégories
2. Les différentes réponses que Google peut fournir
a. Les réponses classiques
b. Les réponses rapides
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Comment faire une bonne recherche ?
Voici une question intéressante, mais d’abord définissons ensemble ce qu’est
une recherche sur Google, et comment Google l’interprète.
Une recherche est un ensemble de mots que nous allons envoyer sous forme de requête, afin d’obtenir
des informations sur celle-ci par le biais de contenus numérique (site web, vidéos, photos…). Les
recherches étant informatisées, il faut parfois reformuler sa requête pour obtenir de meilleurs résultats.
Les requêtes sur le moteur de recherche Google répondent à certaines limites. La taille maximum d’une
requête est de 32 mots. La deuxième limite étant le nombre de résultats que l’on peut obtenir. Les 1000
résultats les plus pertinents sont sélectionnés pour être affichés. Il est bien entendu possible d’en avoir
moins.
Pour effectuer une bonne recherche, il faut donc utiliser les mots les plus pertinents. Par exemple, si je
cherche à acheter du pain frais il est plus pertinent d’utiliser « Boulangerie à Troyes » que « pain frais ».
Aucune boulangerie n’est visible sur la requête « pain frais » qui est pourtant ce que l’ont désir, il est en
revanche plus aisé de trouver du pain frais en demandant « Boulangerie à Troyes ».
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Google étant un moteur de recherche qui englobe beaucoup de choses, il ne faut pas hésiter à
complexifier une recherche pour être sûr de trouver le résultat attendu. Si je prends maintenant
l’exemple d’une recherche pour un cours d’histoire, imaginons que je veuille des informations sur la
ville de Vichy.
Résultat de la recherche "Vichy". De nombreuses informations intéressantes sont ici visible.
En analysant rapidement les résultats obtenus, nous pouvons voir que le navigateur construit la réponse
à notre requête en plusieurs blocs.
Nous avons tout d’abord la partie principale de l’écran à gauche, celle-ci comporte les liens hypertextes
vers les sites jugés les plus pertinents par les algorithmes de traitement.
Nous pouvons également voir un bloc « principales activités à découvrir à Vichy ». Il est jugé pertinent,
car les utilisateurs qui recherchent le mot clé « Vichy », recherche souvent des activités à effectuer sur
place.
Le dernier bloc sur la droite est un ensemble d’informations provenant de plusieurs sources fiables
(Wikipédia, l’INSEE…) ainsi que de calculs effectué par google sur la moyenne des résultats qu’il propose
(prix d’un hôtel, duré de vol et prix)
Les principaux intérêts du deuxième et troisième bloc sont de réduire le nombre de clics avant d’avoir
le résultat escompté.
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Voyons maintenant pourquoi et comment faire des recherches plus complexes.
Nous savons maintenant faire une recherche pertinente et utiliser l’interface de résultats pour trouver
la meilleure information, mais est-ce suffisant ? Non.
Il est facile de voir que le 1er résultat de notre précédent exemple est une marque de cosmétique et
non des informations sur la ville de Vichy.
Afin d’avoir des résultats plus pertinents nous pouvons utiliser divers outils :
La longue traîne = le but est ici d’optimiser notre requête, utiliser des mots peu connus ou des
recherches longues afin de réduire la concurrence entre les résultats. Cela permet d’avoir un résultat
plus précis.
Les catégories filtres proposées par Google = Le moteur de recherche va de lui-même trier les
résultats d’après leurs natures. Si on recherche la position d’un lieu ou une vidéo, cela peut être plus
rapide par exemple. Les catégories proposées sont généralement : Actualités, Images, Shopping,
Livres, Vidéo, Maps.
Résultat de la recherche "IUT Troyes" après avoir sélectionné la catégorie "Maps"
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Les opérateurs de recherches = Ceux-ci sont peu utilisé mais ont une grande efficacité pour faire une
recherche précise rapidement. Ils sont constitués de caractères avant et/ou après les mots-clés.
Il est par exemple possible d’obliger Google à n’afficher que les résultats comportant les mots « chaton »
et « chocolat » en utilisant des guillemets autour de la requête.
De nombreux opérateurs permettant de filtrer nos résultats sont disponibles.
Quelques exemples présents sur le support de Google.
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Les différentes réponses que Google peut fournir
Les réponses classiques :
Il s’agit des résultats prenant les formes les plus courantes que vous pouvez observer. J’en ai montré
quelques-unes dans mon deuxième exemple sur Vichy.
Celles-ci sont le plus souvent des liens vers des sites contenants beaucoup d’informations, voir des
images.
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Les réponses rapides :
Ce type de réponses représente la nouvelle génération de résultats. Il permet d’obtenir le plus souvent
l’information précise que nous recherchons, sans avoir à aller sur un site web. Pour cela, Google analyse
les mots présents dans les pages web et propose de courts extraits répondants à une question ou
requête simple.
Le résultat attendu le plus souvent est visible sans même lancer la requête. Le résultat n’est d’ailleurs pas perturbé par la faute à « capitale » car celle-ci est courante.
Le résultat affiché en premier est ici une fiche résumée qui condense plusieurs informations (image, carte, description).
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La température à Troyes est disponible immédiatement grâce aux données récupérées par Google sur le site weather.com dans cet exemple.
Google extrait un passage présent sur le site programme-tv.net pour répondre à la requête.
Les réponses rapides représentent l’avenir des résultats. Ceux-ci sont utilisés par exemple pour informer un utilisateur d’assistant vocal, réduire les calculs à effectuer avec des algorithmes…
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Partie 2 : Audit web Analytics : analyse d’un
rapport
1. Présentation du rapport
Ceci est la page d’accueil de Google Analytics, avec un rapport du Google Merchandise Store. Nous
pouvons y voir diverses informations se présentent sous la forme de blocs (il est possible de
personnaliser cette page pour avoir les blocs qui nous intéressent).
Nous pouvons voir ici plus en détail des informations sur l’audience du site avec le nombre de pages
vues, le taux de rebond, la durée moyenne des sessions…
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2. Explications
Ces données nous permettent d’obtenir des informations précieuses sur notre clientèle.
Pays d’origine, navigateur, système d’exploitation… Ces informations permettent
d’optimiser le site par la suite pour le public le plus courant, ou d’améliorer des éléments
pour capter un public peu présent par exemple.
On peut aussi analyser facilement l’efficacité de notre site web. On peut par exemple voir si
les utilisateurs de smartphone restent longtemps sur le site, reviennent par la suite. Il est
également possible de voir s’ils effectuent certaines actions de conversions (abonnement à
la newsletter ou achat par exemple).
3. Analyse et préconisations
Si nous prenons par exemple l’âge des visiteurs ayant visité le site entre le 1 février et le 8
avril 2020. Nous pouvons voir que 16% des visiteurs ont plus de 44 ans, cela peut donc être
intéressent d’accentuer l’accessibilité en améliorant la lisibilité du site, ainsi que le taux de
contraste entre les textes et le fond. Cela peut augmenter les ventes, en effet que 35% des
ventes réalisées sur cette période proviennent de cette catégorie de visiteurs.
Voici un autre exemple de données permettant d’améliorer le site en fonction de ses
visiteurs (pour atteindre un ou des objectifs comme améliorer les ventes par exemple)
On peut y voir qu’entre le 1er février et le 10 avril 2020, le site est visité par 39% de femme, contre
61% d’homme. On pourrait donc dans un premier temps être tenté de penser que les hommes sont
plus intéressants commercialement. Mais en observant de plus près les femmes réalise 52% du chiffre
d’affaires en 10 transactions, contre 12 pour les hommes. On peut en conclure que les femmes
dépensent plus sur le site que les hommes.
Tout dépend de l’objectif que l’on se fixe, mais il ne faut pas rester bloquer sur une unique donnée !