Post on 16-Sep-2018
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Index
Merci à ces scientifiques 5
Regard métaphysique 5
Écart entre les attributs de la source créatrice et l’humanité 5
Les quatre règnes 5
La conscience 8
Pont entre le virtuel et le réel 8
Fonction d’onde et vecteur de la réalité matérielle 8
Auto- organisation psychocorporel 9
Conscience outil indispensable 9
Boucle de la conscience et champ d’influence 10
L’intelligence, la pensée et l’intention 11
L’intelligence 11
La pensée réalité virtuelle 11
L’intention force métaphysique 12
Effets électromagnétiques 13
Hyper champ 13
Réunion de l’ordre implicite et ordre explicite 13
Boucle reliant le temps tout entier 14
Déclenchement dendritiques 14
Le cerveau 15
Lien constitutif avec les dimensions supérieures 15
Processeur quantique non localisé 15
Analyseur de fréquences 15
Synapses et ondes scalaires 15
Résonance avec le temps 16
Les dimensions 16
Le système pensée-cerveau non localisé 16
Le cerveau et ses limites 17
La nature de l’univers 18
Un grand tout indivisible 18
Définition holomorphe 18
Mouvement holomorphe 18
Hologramme 18
Matière et pensée 19
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Le potentiel quantique 19
Influence des plans supérieurs de réalité 19
Du virtuel au réel pour la biologie (MdeC p.167 à 168)
Conscience, pensée, intention, champ de torsion, vide polarisation 20
Selon la loi de l’attraction 20
Le mode des quanta – convivialité et non-localité 21
Particules élémentaire et leur convivialité 21
Particules élémentaires et la non-localité 21
La non-localité et la non-distance 22
Les pour et les contre de la non-localité 22
De la cause à l’effet 23
Théorie quantique 24
Concepts 24
L’hyperespace et définition de monde virtuel 24
Physique quantique 24
Dimension et multi dimensionnalité 25
Syntoniseur humain 25
Particules élémentaires 26
Fermions – électron, neutrino et quarks 26
Bosons – photon, gluon, le boson et les bosons intermédiaires 28
Le champ de Higgs et le boson de Higgs 29
Hadron 30
Le spin 30
Notes – Principe d’incertitude 31
Définition de catégories de particules 31
Le concept de la charge 32
Mécanique classique et quantique 32
Les quatre forces 33
La force nucléaire forte 33
La force électromagnétique 33
La force gravitationnelle 33
La force nucléaire faible 33
Définition des lois de la nature. 33
La théorie de cordes 34
Unification de ces forces 34
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Super symétrie 35
Le champ électromagnétique 36
Le concept du champ électromagnétique 36
Origine de l’électromagnétique 36
Le magnétisme 37
Trois ordres d’électromagnétisme 37
Électricité 38
Glossaire 39
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Merci à ces scientifiques
À ces scientifiques qui approfondissent et dévoilent la complexité de la biologie
de l’homme. Tout comme à ces physiciens et à ces mathématiciens qui explorent
le monde quantique, cet infiniment petit, support de la matière, je vous souligne
une reconnaissance la plus sincère. Vos travaux permettent à nous les profanes
d’en savoir un peu plus quant à notre environnement et à notre pertinence.
Regard philosophique
Descartes, philosophe, mathématicien et physicien français qui suite à ses
méditations métaphysique, en l’an 1641, fait cet énoncé: « Je pense, donc je
suis. »
Descartes construit sa métaphysique en partant d’un doute méthodique,
l’amenant à faire table rase de toute connaissance non fondée. Seule subsiste la
certitude de la pensée qui doute. Il en conclut même l’existence de celui qui
pense, puis celle de Dieu « preuve ontologique ». De cela, il en déduit l’existence
du monde extérieur. L’ontologie est une spéculation sur l’être en tant qu’être en
soi. Elle consiste après avoir posé Dieu comme parfait, à soutenir que, s’il lui
manquait l’existence, il ne serait pas parfait, donc, il existe.
Cette perception de conscientisé que décèle l’être. Quand chacun peut avoir une
perception plus ou moins claire de son existence et de celle du monde extérieur
mérite qu’on s’y attarde. Le fait d’élargir les probabilités du pourquoi de
l’existence de l’homme dans la matière doué de fonctions créatrices ne peut
qu’être bénéfique pour amener l’homme à prendre conscience de son « je suis »
et d’en développer, voir d’élargir les fondements de sa raison d’être.
Écart entre les attributs de la source créatrice et celle de l’humanité
Ajoutons à cela les trois règnes implantés sur la terre précédant la venue de
l’homme, nous amène à concevoir le principe d’une source créatrice préparant
un environnement approprié à la venue d’un être conscientisé.
Pourquoi cette mise en scène et cette venue en soi consciente…mais pourquoi?
Est-ce l’effet du hasard, la constitution de ces trois règnes et de la venue d’un
quatrième? À toutes ces questions que je me pose, il me revient souvent à
l’esprit cette perception de l’astrophysicien nucléaire Hubert Reeves dans son
livre Patience dans l’azur : « Que le cosmos ne retient que les bons coups. »
La marche est haute entre les attributs créatifs que possèdent la Déité et nous
pauvre humanité. Elle, qui ne sait à quelle porte frapper ou à quel saint se vouer
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dans sa recherche de la raison de vivre dans la matière et de l’orientation à
donner aux prérogatives attachées à son état conscientisé.
Pour l’instant l’humain et son égocentrisme issu du troisième règne se prévaut
de ses capacités créatives pour ses propres fins. Un peu comme l’animal et sa
survie dans sa tanière. Ajoutons à cette prérogative issue de ses capacités
intellectuelles, l’accès au pouvoir sur ses semblables par la griserie qu’elle
procure. Cette sensation recherchée est loin de l’amour partagé.
LES QUATRE RÈGNES
Ce qui m’étonne, c’est l’écart entre le règne animal qui pour assurer sa survie ne
peut que protéger son territoire et le règne humain qui possède la faculté
créatrice et le pouvoir intrinsèque, propre à toute évolution, de ne retenir que les
bons coups. Pourquoi tant d’écart avec toute cette similarité biologique?
Que l’on pense à la musique, à l’ère industrielle, aux nouvelles technologies et à
ces scientifiques qui louvoient entre les standards reconnus des lois de la
physique régissant la matière et la découverte récente de ce monde quantique
qui englobe les particules élémentaires dont les quatre règnes en sont issus, me
médusent.
Il est bon de considérer que les règnes initiés par le cosmos, du minéral en
passant par le végétal et l’animal pour déboucher chez l’humain qui possède
cette capacité créatrice n’a rien d’une commune mesure avec les règnes qui le
précède. Alliant la chaine alimentaire au développement de la biologie et de sa
cellule, ces trois règnes ont servis de base à l’implantation du genre humain,
Ainsi, après plus de trois milliards d’année de la première cellule, s’est créé un
environnement compatible à l’éclosion de la vie, à son autonomie et à son
évolution.
Le premier règne est le minéral qui possède deux centres énergétiques, celui de
la géométrie de la forme et celui de la couleur. Fut ajouté au deuxième règne,
celui du végétal, par cette volonté créatrice que recèle le cosmos, les vertus du
parfum ou de la senteur. Pour la mise en œuvre du règne animal, vint ensuite
l’émotion, un pouvoir dévolu au dit règne d’identifier et de s’ajuster à tout
environnement compatible à l’émergence et au maintien biologique de la vie. La
table est mise pour le quatrième règne. À ce pactole de vie, trois autres centres
énergétiques furent ajoutés en regard des objectifs en vue pour le genre humain.
La dynamique énergétique humaine se déroule dans un cadre interactif entre le
psychique et le physique. Le corps physique est conçu pour qu’il serve de
véhicule à un état conscientisé capable de vivre l’expérience de la matière et de
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la dominer. C’est pour cela que le règne humain issu des trois premiers s’est vu
attribuer trois autres centres d’énergie branchés sur le cosmos.
La parole, élément de communication et d’influence du son sur l’atome.
La pensée, en lien avec la totalité de la pensée, pilotée par la conscience
de chacun. Conscience, douée de déductibilité et d’élaboration.
L’action englobant l’intention pour mener à bon port l’orientation retenue.
Ces trois centres, outils affectés à la faculté créatrice, affublés du libre arbitre,
ont été dévolus à des états conscientisés pour élargir la conscience universelle
d’un apprentissage dans la matière
Les centres énergétiques ou canaux en lien avec la trame cosmique ont la
capacité d’être en résonance avec celle-ci. Lorsqu’en résonance, ils sont en
syntonie et peuvent vibrer à l’unisson permettant l’échange d’informations (in-
form) ou d’énergie d’avoir lieu sur le plan de la configuration et de la forme.
Les sept centres énergétiques dévolus à l’être humain et aux autres règnes se
définissent comme étant des liens d’accès avec le cosmos pour le maintien de la
vie et à son évolution. Il revient à l’être humain de considérer que cette réalité lui
est accessible et de s’éveiller à cette dimension cosmique, source de vie, dont
l’humain en est issu.
Tout intérêt, curiosité, éveil ou considération à cette prise de conscience de la
dimension de l’humain, conduit à une avenue de compréhension sur le pourquoi
de la présence humaine sur le plan terrestre et de l’envergure de son « Je suis ».
Selon la langue de l’Inde, le Sanskrit, ces centres sont appelés : « Chakra ». Ce
sont les points de jonction des canaux d’énergie situés entre la base de la
colonne vertébrale et le sommet de la tête. Ils sont reliés au système nerveux
sympathique. Les chakras font partie de l’anatomie énergétique véhiculant de
l’énergie vitale, d’où l’importance de leur bon fonctionnement et de leur équilibre
entre eux.
Le système nerveux et le cerveau, centre d’intégration et de traitement des
données, comblent trois fonctions liées à la réception, le transport de
l’information sensorielle et la réponse à un stimulus.
Victor Hugo a écrit : « La grande énigme humaine et le secret du monde ».
Le « secret » s’il y a, va-il lever le voile sur « l’énigme » humaine qui, sans trop
savoir pourquoi, chevauche dans son plan d’existence entre la grandeur et la
bassesse de ses actions, ou l’inverse. Ouf…, quel dur apprentissage!
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LA CONSCIENCE
Le phénomène de la conscience désigne une capacité orientée vers l’extérieur
de percevoir ce qui est. Pour humain, conscient de son état d’être, fait aussi
référence au fait que l’on est connecté au système psychocorporel. Par la
connaissance de ses états, il peut intensifier alignement et ajustement à
l’organisation et à l’évolution de son psychisme. Il est bon de considérer que la
conscience est le vêtement de l‘âme, soit un acquis à l’âme conscientisée.
Pont entre le virtuel et le réel
Sceptique, on peut l’être. Des questions peuvent se poser quant à la capacité de
l’âme conscientisée à servir de pont entre le réel, cette réalité objective qu’on ne
met pas en doute, et la réalité virtuelle, ce vide apparent dans lequel on baigne
ou qui nous entoure. Pour n’en citer que deux : De quelle façon l’âme
conscientisée interagit avec la matière? Comment les aspects localisés (rée) et
non localisés (virtuel) de la conscience humaine entrent-ils en rapport?
Les scientifiques de l’avant-garde s’arrêtent de plus en plus sur la notion selon
laquelle la conscience joue un rôle dans le monde quantique. Une autre notion
veut qu’aucune réalité objective ne puisse exister indépendamment de la
conscience. Ami Goswani soulève dans son ouvrage The self-aware Universe
Notre univers est conscient de lui-même et c’est la conscience elle-même qui
crée ce que nous appelons le monde matériel. (MdeC. p.46)
Conscience, fonction d’onde et vecteur de la réalité matérielle
Beaucoup d’incompréhensions rattachées au monde quantique se dissipent
lorsque la conscience devient un vecteur (une mesure, une direction et une
magnitude) de la réalité matérielle. Comme le monde quantique est un lieu
indéterminé, il ne peut être question de propriétés absolues. Ce monde est défini
par une équation appelée fonction d’onde, fonction qui entre en relation avec des
probabilités ou des possibilités. Suite à ces relations, un choix sera plus probable
que les autres. Une fois effectué, il y a compression de la fonction d’onde et un
événement physique unique se matérialise dans le monde physique.
Dans son ouvrage The Quantum Tai Chi, Selon Peterson l’âme conscientisée
joue un rôle dans la sélection de l’angle de phase de la magnétisation qui entre
en jeu pour susciter la compression de la fonction d’onde afin de créer ce que
nous avons choisi comme réalité. (MdeC. p.46)
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La fonction d’onde quantique est une phase pré matière en lien avec la
probabilité de l’occurrence d’un événement. Cette lumière supra luminale avance
et recule dans le temps et relie notre pensée au monde physique.
Suite au captage de la pensée issue des archives cosmiques à qui lui revient la
détermination de la dynamique de la forme encastrée dans la fonction d’onde,
l’âme conscientisée active ses vecteurs d’influence et par sa capacité d’attrait ou
de magnétisme qui lui est propre, celle-ci procède à la sélection de l’angle de
phase de magnétisation, compressant la fonction d’onde selon la réalité
recherchée.
De fait l’âme conscientisée, et la fonction d’onde captée par la pensée et sa
dynamique ayant reçu de l’intention l’action de procéder, joue le rôle d’auto-
organisation de par l’interaction entre la pensée et la matière. De la dynamique
de la forme issue du retour de la pensée, l’âme conscientisée fournit la forme
géométrique ou la mise en forme aussi bien de la matière que de l’énergie.
Auto-organisation psychocorporel
Sous l’égide de la conscience existe un système d’auto-organisation du
psychocorporel qui réunit la pensée, l’intention et l’expérience du vécu. Le
processus d’auto-organisation devient une démarche active où l’information,
initiée par la pensée, acquiert un sens du système qui l’organise (MdeC p. 222).
L’auto-organisation est une qualité inhérente à tous les être animés. Elle est
l’émergence spontanée d’un ordre au sein d’un système. Les objets animés (tel
l’humain) sont des systèmes ouverts en constante interaction avec leur
environnement. L’auto-organisation est la manifestation d’un ordre caché sous
une des formes suivantes : modes et états vibratoires, de résonance, plans
virtuels de réalité, biochamp, champs virtuels ou morphogénétiques (champ de
formes bleus des configurations) et apports continus d’énergie intelligente
(glossaire).
Conscience, outil indispensable
Est-ce que la conscience pour chacun d’entre nous est d’un même niveau
d’efficacité quelque soit les expériences vécues? Peut-on lui donner plus de
capacité, plus d’envergure? Est-ce un élément de soi, intangible? J’en doute fort.
Or, que faire pour son élévation ou son évolution?
Un élément important est de prendre conscience qu’en chacun existe un champ
interactif, l’âme. On a l’outil qui peut corriger des situations. L’humain peut
prendre position face à son environnement dans lequel il baigne.
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La vie n’est pas une beurrée de merde. Ne soyons pas fataliste. Nous pouvons
la redresser selon l’idéal envisagé, ou du moins grandement atténuer la difficulté
qui se présente. Quel encouragement lors de résultats.
Selon Sarthe, L’être et le néant, 1943, p.22 « on ne peut assigner à une
conscience une autre motivation qu’elle-même. Sinon, il faudrait concevoir que la
conscience dans la mesure où elle est un effet, est non consciente de soi. La
conscience n’est pas un demi-inconscient ou une passivité. Elle ne saurait donc
être limitée que par elle-même » (Wikipédia).
Donc, la conscience n’est pas un effet. Mais par sa capacité d’interaction, elle est
la cause qui initie l’effet.
Il faut être cohérent avec les outils qu’on a, cerveau, pensée, intention et
conscience et, ne pas avoir de doute sur leurs capacités. Utilisons-les devant les
défis reliés à notre environnement. Il faut éviter la peur, l’inquiétude ou
l’incertitude qui paralyse l’intention, mettant l’âme conscientisée et sa capacité
d’interaction sur la voie d’évitement.
En plus de considérer que la conscience est un outil indispensable et de la mise
de côté peur et incertitude; ajoutons le désir de s’enquérir sur les à propos de
notre anatomie énergétique et de cet outil qu’est l’âme conscientisée. Ce serait
une troisième corde à notre arc qui ne peut que contribuer à donner plus de
fougue à notre « Je suis ». Il est approprié de mieux se connaître (MdeC p. 110).
Boucle de la conscience et champ d’influence (MdeC. p. 26 fig. 2,5)
La notion de multi-dimensionnalité que l’on retrouve dans la réalité virtuelle a
cependant un rapport avec l’existence d’une hiérarchie d’influence qui existe
dans le canevas cosmique. Le terme réalité touche aussi bien l’univers que nous
percevons que celui que nous ne percevons pas. Cette réalité virtuelle est
structurée sous forme de couches. Les plus affinées sont à l’intérieur des
couches. Nous qualifions ces couches de dimensions. Chacune d’elles ont des
liens propres, s’identifiant par des vibrations uniques. Ci-après, des exemples
d’interconnexions pilotées par l’âme conscientisée qui forme des liens entre les
dimensions.
Il existe une hiérarchie d’influence dans la boucle de la conscience qui relie le
champ de la pensée au corps physique et vice-versa. Les composantes sont :
le champ des neutrinos, (il existe un million de neutrinos, pour un photon),
le champ de la lumière photonique,
les photons virtuels et bio-photoniques,
le champ électromagnétique et le corps physique.
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L’INTELLIGENCE, LA PENSÉE ET L’INTENTION
L’intelligence
L’intelligence est omniprésente et se manifeste par la puissance de la pensée.
(Nicola Tesla – The wall of light) (MdeC p.19). Par le développement des
consciences de l’humanité et de leurs pensées considérées, l’intelligence est
intégrée à la totalité de la pensée. Il nous appartient d’y puiser par une action
consciente.
Dans Le Sophiste, Platon définit la pensée comme "discours intérieur que l'âme
tient en silence avec elle-même. Dans wikipédia : L’intelligence est l’aptitude à lier
des éléments entre eux.
L’Intelligence est la résultante d’un retour intérieur, d’introspection conscientisée. Elle favorise la compréhension et permet à l’humain l’adaptation. Elle contribue à de la créativité dans la matière.
La pensée est le véhicule de l’intelligence initiée par la conscience et sa faculté
d’introspection. Celle-ci est un outil de la pensée. La pensée est une réalité
virtuelle, tout comme la conscience.
L’intelligence n’est pas le propre de l’être humain. Elle fait partie de la
conscience universelle et l’homme selon le mode de ses pensées, besoins à
combler et ou attraits à la créativité, y puise.
La pensée réalité virtuelle
Dans son ouvrage, Excalibur Briefing, Bearden aborde la nature de l’énergie
mentale. Selon l’auteur, on peut considérer les pensées comme des entités
virtuelles qui existent en tant qu’objet réel dans leur propre cadre d’hyperespace,
c'est-à-dire dans une dimension au delà du cadre spatio-temporel.
Dans ce vide apparent, ou éthérique, constitué de particules élémentaires dans
lequel la matière fait son nid se retrouve la totalité de la Pensée. Lieu ou toutes
les pensées passées, présentes et futures des états conscientisés se retrouvent,
accessibles à l’être humain dans son développement et son expression. (MdeC. p.
53)
Le système pensée-cerveau met en œuvre une interaction nécessitant un
instrument classique, le cerveau relié à l’espace-temps, et un instrument
quantique, la pensée non localisée, mais présente dans l’hyperespace (MdeC p.
51).
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Quand dans votre commencement, la Pensée se contempla elle-même, elle
devint le principe de la lumière. La lumière fut la première création. À chaque fois
qu’une pensée est considérée sa fréquence vibratoire est abaissée, elle devient
lumière. (Ramtha P.97)
Jeunes, on se taquinait lorsque que l’un d’entre-nous n’avait pas de réponse ou
d’idée à une question. Rapidement on rétorquait : Voyons donc, tu n’es pas un
100 watts. Une résurgence de l’être humain sous forme de boutade qui décrit
bien notre nature.
L’intention force métaphysique
Il existe une indissociabilité entre l’intention, la pensée et la matière. La totalité
de la pensée influe sur tous les champs classiques. L’entité virtuelle qu’est la
pensée devient énergie grâce à l’intention.
L’intention se définit comme une action de diriger, un dessein délibéré
d’accomplir un acte ferme et prémédité. C’est un but qu’on se propose
d’atteindre. Dans le concept tissulaire, c’est une modulation de l’attention à
laquelle la conscience donne un sens, une forme. Avec l’intention, la conscience
envoie une information dans l’espace qu’elle a choisi d’occuper. L’intention
permet de formuler une demande. La structure vivante répond à l’intention, mais
elle répond selon ses possibilités du moment. (intention/Wikipédia). Cette
information active transporte le potentiel mais ne devient véritablement active
que si elle a un sens (compatible à la dimension matérielle). L’information active
est la forme. (MdeC p.50).
La pensée est un contenu d’intelligence et de potentiel d’organisation. Ce
contenu nécessite l’intention considérée comme une force métaphysique réelle
pour.la mise en route (inception) de la convertibilité de l’énergie de la pensée en
divers effets électromagnétiques. Elle contient des directives pour naviguer parmi
les géométries des dimensions supérieures. Selon les directives, l’intention
oriente le potentiel de vecteurs magnétiques.
Ces effets sont des zones d’influence organisées, endroit destiné à
emmagasiner.de l’énergie pour le spatio-temporel. L’intention agit pour
influencer, modifier, ou créer les configurations ou champs informationnels qui
organisent et façonnent notre réalité. Le seul qualificatif que nous puissions
attribuer à cette force est métaphysique, puisque cette force dépasse toute
notion de physique classique. (MdeC. P.xxv)
Le nouveau paradigme de la physique doit comprendre l’élément d’intention ou
encore ce que Bearden l’appelle en anglais inception (Mise en route). Sinon les
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physiciens continueront d’être confrontés à des mystères non expliqués dans la
science ordinaire. (MdeC p.53)
Effets électromagnétiques
La science moderne a démontré à la fois le caractère électrique et biochimique
de notre organisme. Cependant celui-ci est beaucoup plus que cela, puisqu’il est
aussi de nature électromagnétique. Or, l’électromagnétisme est un phénomène
inter dimensionnel. (MdeC p.59)
Selon Bearden, l’application de l’énergie de la pensée comporte les effets
électromagnétiques suivant (MdeC p 53) :
élimination de la charge d’une particule ou instauration d’une charge à un
objet qui n’avait pas de charge électrique;
production d’un champ électromagnétique sur un objet externe;
production d’un champ électromagnétique dans un espace entourant un
objet, pour interagir avec ce dernier;
condensation des énergies subtiles en un hyper champ de champs
magnétiques;
condensation continue en configurations électriques qui touchent, façonnent
et modulent tous les processus vitaux du corps.
Hyper champ
L’hyper champ est une configuration de structures ou de perturbations dans
l’espace. Bearden dans Excalibur Briefing considèrent que le premier hyper
champ est le champ électromagnétique Le deuxième est le champ neutrinique,
suivi du champ de la pensée. Les hyper champs constituent les niveaux
supérieurs des états imbriqués (glossaire).
Réunion de l’ordre implicite et de l’ordre explicite
David Bohm emploie le terme « implicite » pour expliquer comment notre réalité
est une manifestation qui se déploie à partir d’une intelligence et d’un potentiel
d’organisation qui ne nous sont pas immédiatement visibles (MdeC p. xxvi). Quant
à l’ordre « explicite », c’est la matière observable qui veut que cette réalité
objective soit indépendante de la pensée et dont le caractère scientifique ne peut
être contesté.
L’ordre implicite est le champ de l’information et l’ordre explicite est composé des
champs électromagnétiques, des champs gravité et des champs de torsion. Ces
deux ordres font des échanges entre la source et le receveur. Cette
autoréférence est un phénomène à double sens qui sert de fondement à toute
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interaction.et à l’auto-organisation ci-après appelée l’action renversée. Cette
expression initiée par Jack Sarfatti est pour décrire les interactions entre la
pensée et la matière. L’information active constitue la forme. Elle transporte le
potentiel partout mais ne devient véritablement active que là où elle a un sens,
c'est-à-dire compatible avec la dimension temporelle (glossaire).
Boucle reliant le temps tout entier
Actions et réactions s’enchainent hors de l’espace-temps. Elles sont donc non-
localisées. Les ondes pilotes quantiques générées par la pensée semblables aux
configurations sont responsables de l’organisation de la matière. C’est sous la
forme d’une boucle que le passé, le présent et le futur sont reliés. L’intention
portée par le futur se raccorde à l’expérience du passé et l’intention portée par le
passé se raccorde à l’expérience du futur. Là où la trajectoire se recoupe, il s’agit
du moment présent, d’un état conscient. Le temps tout entier est ainsi relié.
En fonction de similarités de fréquences et de formes entre elles, les entités
pensées se rassemblent et restent unies. Cela comprend les configurations du
temps passé, présent et futur, lesquelles peuvent être utilisées lors des
expériences du maintenant. (MdeC fig. 2,21 p.51)
Déclenchements dendritiques
Stephen Peterson, dans son livre The Dance of Mind Over Matter, avance que
pour s’exprimer, la pensée est constamment en train de programmer le cerveau
dans le but de l’amener à sélectionner et à formuler le meilleur des réseaux
dendritiques. Les configurations de déclenchements dendritiques (terminaisons
nerveuses) dans le cerveau sont déterminées par la conscience. Davantage il y
a relation pensée cerveau, davantage il y a développements de terminaisons
nerveuses.
De plus, afin que le pouvoir de magnétisation de l’énergie mentale soit à un haut
niveau dans le processus de matérialisation, cela implique une cohérence
systémique des terminaisons nerveuses (MdeC. p. 54).
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LE CERVEAU
Lien constitutif avec les dimensions supérieures
Le cerveau est doté de systèmes destinés à entrer en résonance avec les
informations du spectre universel et de la pensée sous forme d’ondes hyper
spatial et multidimensionnel. Le cerveau, aux neurones excitables, convertit les
fréquences en impulsions électriques et celles-ci sont mises en rapport avec les
champs électromagnétiques tridimensionnels de notre réalité dans la matière.
Ces champs électromagnétiques sont en grande partie issus de l’émotion et du
cœur.
Processeur quantique non localisé
Le cerveau se définit comme un processeur quantique non localisé. C’est un
organe capable d’assurer le traitement complet d’une série d’informations de ce
monde non localisé des quanta dont il est issu. Il y a au-delà de l’activité
électromagnétique visible et mesurable du cerveau, une activité d’ondes
scalaires et des processus capable de jeter un pont entre le monde observable
et le monde non observable. Ces processus comportent des mécanismes qui
permettent d’articuler la conscience au-delà des systèmes physiques que nous
connaissons. (MdeC p.83)
Analyseur de fréquences
On a découvert que le cerveau est beaucoup plus un analyseur de fréquences
qu’un analyseur de voltage. C’est un système qui peut convertir des ondes
scalaires en ondes électromagnétiques et vice-versa. On le qualifie de
translateur ou convertisseur. Son activité électromagnétique en est la
composante visible et mesurable. On a découvert que le cerveau est un
analyseur de configurations d’ondes électromagnétiques. (MdeC p.84)
Synapses et ondes scalaires
Les synapses au cerveau produisent des décharges qui correspondent à des
configurations d’onde scalaire (glossaire). Elles apportent leur contribution à
l’élargissement de la totalité de la pensée. Ces configurations durent
éternellement. Elles englobent l’intelligence. Sur le plan quantique ce sont ces
mêmes ondes qui interagissent dans la réalité virtuelle pour structurer la matière.
(MdeC p.171)
Les ondes scalaires sont des oscillations dans l’énergie de contrainte du vide. Ce
sont des ondes d’espace-temps qui peuvent se déplacer dans quatre dimensions
et plus. Ces ondes sont la réunion de l’électromagnétisme et de la gravité.
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Résonnance avec le temps
Les ondes scalaires stressent ou modifient et peuvent se déplacer dans quatre
dimensions ou plus. Elles peuvent se mouvoir soit dans le temps ou l’espace
séparément. Elles peuvent aussi bouger en fonction de ces deux possibilités. On
qualifie ces modes de comportement de phénomène de résonnance. Ici, le
concept de résonnance se conçoit sous la forme d’une combinaison avec
l’espace et le temps seulement. Vivre dans le temps présent, c’est être en
résonnance avec l’espace et le temps (MdeC p.86, 87).
Par l’apport à notre biologie de ce potentiel scalaire, flux virtuel de particules,
ayant la capacité de créer la géométrie de l’espace-temps ou configuration de
forme, on peut qualifier le temps présent de creuset à toute transformation
Le qualificatif scalaire renvoie à une quantité qui consiste en un nombre réel
unique employé pour mesurer une amplitude. Les mesures de voltage, masse et
température peuvent être qualifiées de quantités scalaires (MdeC glossaire).
Les dimensions
Les dimensions sont des systèmes qui ont des propriétés propres à un plan
vibratoire. Ces systèmes coordonnés désignent simultanément une direction et
une magnitude. Les ondes scalaires en font partie. Il existe bel et bien des
dimensions en dehors de la dimension spatio-temporelle qui en compte trois,
base, largeur et profondeur et d’une quatrième, celle du temps que nous
connaissons (glossaire). Le cerveau a la capacité de se relier à d’autres
dimensions supérieures, dont certaines ci-après décrites : 5e le champ
électromagnétique issu de la matière, 6e le champ des photons, particules de la
lumière et celui des bio-photons issu de l’ADN, 7e le champ des neutrinos,
particules appartenant aux leptons qui accompagnent la formation d’un électron
lors de la transformation d’un neutron en proton, et, de bien d’autres des plus
complexes selon la théorie des super-cordes.
Le système pensée-cerveau est non localisé
Une expérience menée par le neurophysiologue mexicain Jacobo Grinberg
Zylberbaum vient confirmer la non-localité de l’interaction du système pensée-
cerveau entre les humains. Dans cette expérience, on a demandé à deux sujets
d’interagir pendant un certain temps jusqu’à ce qu’ils sentent qu’une connexion
se soit établie entre eux. Puis, on a placé les deux sujets dans deux cages
Faraday, celles-ci assurant l’arrêt et le blocage de tout signal électromagnétique
conventionnel. On a ensuite montré au premier sujet une lumière clignotante, le
deuxième sujet n’ayant pas été mis au courant de cette activité. La lumière
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clignotante a produit immédiatement une réaction qui fut mesurée avec un
électroencéphalogramme. Ce qui fut fascinant, c’est qu’un signal de forme et de
puissance similaires est alors apparu en même temps dans le cerveau du
deuxième sujet. (MdeC. p.44)
En résumé, le cerveau est une interface qui permet les échanges entre la réalité
virtuelle (le monde quantique) et la réalité objective (les objets animés et
inanimés).
Le cerveau et ses limites
Aux nouvelles de Radio Canada de 22 heures, 1 octobre 2013, on montrait un
équipement à forte résonnance magnétique pour l’étude du cerveau et de ses
composantes. Le but recherché est de découvrir parmi les cent milliards de
neurones et de leurs ramifications, les causes de maladies telles que les
difficultés cognitives, l’autisme et les maladies dégénératives.
Cependant, le chercheur précisait qu’il y a des limites à l'imagerie par résonance
magnétique (IRM), comme de trouver l’endroit ou se trouve le siège de la
conscience. C’est normal, la conscience, le manteau de l’âme, est une
réalité virtuelle et sans âge. Celle-ci ne saurait être issue d’un composé de
la matière.
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LA NATURE DE L’UNIVERS (MdeC p.47 à 49)
Un grand tout indivisible
Selon le postulat David Bohm, la nature ultime de la réalité physique ne consiste
pas à un assemblage d’objets distincts, mais plutôt en un grand tout indivisible
qui se trouve en perpétuel flux dynamique. À ses yeux, la mécanique quantique
et la théorie de la relativité semblent indiquer que l’univers est indivisible et que
toutes ses parties « fusionnent et convergent en une seule totalité. »
Définition – Holomorphe
Holomorphe qui vient du Grec (forme ou configuration toute entière), est en
relation avec les mathématiques. Holomorphe se dit d’une fonction analytique,
pour une région du plan. Quand elle est définie et continue, elle admet une
dérivée unique sur tous les points de la région considérée. (Définition Wikipédia)
Mouvement holomorphe
C’est un terme inventé par David Bohm pour décrire l’incessant déploiement du
monde extérieur à partir de sa source qui se trouve dans un ordre implicite
caché, ordre qui appartient à une dimension supérieure. Le terme holo (tout en
grec) provient du mot holographe. Vu la nature holographique de notre réalité,
tout est relié à tout, l’animé comme l’inanimé (glossaire).
Hologramme
L’hologramme est une architecture encodée au sein de laquelle toute partie
contient l’information sur le tout. C’est une architecture qui laisse une trace en
mémoire de tout événement des propriétés des configurations d’interférence qui
créent l’hologramme Chaque partie a la même importance que le tout. En
d’autres mots, c’est une structure dans laquelle chaque point est en contact avec
les autres. Les phénomènes hyper spatiaux sont dotés de propriétés
holographiques en ce sens qu’ils reflètent les configurations du tout. Le champ
énergétique humain est également un hologramme et nous vivons dans un
hologramme cosmique. Tout variable d’une configuration par rapport à un autre
est issu de la conscience.qui fait le lien avec les dimensions supérieures, siège
de la totalité de la pensée (glossaire).
Par cette architecture qu’est l’hologramme qui engramme tout événement, le
petit dans le grand, le grand dans le petit, prend toute sa signification.
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Matière et pensée
Selon Bohm : « Dans ce mouvement, la pensée et la matière ne sont pas des
entités dissociées. Ce sont plutôt les différents aspects d’un mouvement total
indivisible. » Bohm a aussi établi un lien entre les objets animés et inanimés.
« La capacité de la forme à être dynamique est l’élément le plus caractéristique
de la pensée. » « D’ailleurs avec l’électron, nous avons quelque chose qui
ressemble à la pensée. »
Le potentiel quantique
Selon Bohn, chaque élément de la réalité physique contient de l’information sur
le tout. Sous cet angle, chaque élément de l’univers contient donc toute
l’information sur l’univers entier. Quelle est alors la trame qui relie entre elles les
particules subatomiques? Bohm a avancé un concept totalement nouveau, celui
de l’existence d’un champ qui interpénètre tout et qui relie tout. Il a appelé ce
champ le « potentiel quantique ».
Ce potentiel quantique devient la structure organisatrice du tout. Par exemple,
lorsque des électrons isolés se retrouvent dans un plasma (gaz ionisé), l’activité
collective est coordonnée par l’intermédiaire du potentiel quantique. Ce dernier
est un champ d’information sous formes d’ondes qui sert de guide à l’électron.
On peut en déduire que les électrons ont littéralement accès à de l’information
quantique qui les amène à « savoir » ce qui se passe autour d’eux. Ce champ
procure seulement de l’information à un système, pas d’énergie. Il y a analogie
entre ce concept et un navire en mer qui est sous contrôle radar à partir de
côtes.
Suite à ce qui précède, Jack Sarfatti ajoute que le potentiel quantique de Bohm
devient les ondes pilotes d’information bit-q qui, en réalité prennent leur source
dans les champs d’ondes mentales. Ces ondes sont responsables de la
coordination de la complexe et dynamique auto-organisation de la matière. Ainsi,
Sarfatti nous procure le chaînon manquant entre le champ d’onde mental et le
potentiel quantique, chaînon qui donne l’information d’orientation à l’électron.
Influence des plans supérieurs de réalité
Selon William Tiller, les déséquilibres doivent être corrigés en fonction d’une
hiérarchie ordonnée d’influence. Comme le changement s’amorce à un plan
supérieur, les déséquilibres sur le plan biologique exigent un ajustement sur le
plan électromagnétique, celui du plan éthérique ou siège de la totalité de la
pensée et ainsi de suite. Le plan émotionnel, mental, et spirituel (conscientisé) se
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doivent d’être pris en compte, l’un après l’autre. C’est en focalisant sur les
structures subtiles que nous pouvons influencer les fonctions biologiques.
Du virtuel au réel pour la biologie (MdeC p.167 à 168)
Conscience, pensée, intention, champ de torsion, vide et polarisation
L’intention est considérée comme une force métaphysique réelle, une force
allant au-delà de la physique orthodoxe mesurable. L’intention agit pour
influencer, modifier, façonner ou créer les conditions ou champs informationnels
qui organisent et façonnent notre réalité.
Le champ de torsion active le milieu qui entoure les champs subtils de l’objet
par des configurations d’ondes d’information qui sont en fait des gabarits
d’organisation de géométrie, de structure et de forme influençant la
restructuration de ces champs subtils. (Glossaire)
Le champ subtil réagit aux configurations d’onde d’information en fonction de
l’endroit où la configuration achemine une signification, un peu comme si une
recherche de vibration « amie » et une résonance harmonique s’effectuait.
Ici, le terme vide renvoie à quelque chose de « physique ». Le vide est plein, un
plein océan d’énergie servant de substrat à la matérialité physique. Les
perturbations au sein du vide génèrent les diverses forces que nous pouvons
observer : gravité, électromagnétisme et champ de torsion. Lorsqu’on structure
l’état de vide, on organise ces forces. Ceci nous donne la possibilité d’extraire
l’énergie à partir du vide.
La polarisation, soit l’orientation du plan de vibration d'une onde, réfère à
l’alignement ou à l’orientation préférentielle des particules aléatoires non
observable qui constituent la structure actuelle du vide.
D’une prise de conscience à l’éveil au changement, orientant la pensée vers
une nouvelle perspective, le tout attisé par une intention ferme, les projections
prennent place pour puiser dans ce vide l’énergie compatible à ce besoin.
Selon la loi de l’attraction (MdeC p. 58)
L’univers permet aux énergies semblables de s’attirer les uns les autres.
Selon les lois de l’univers, ce sur quoi nous focalisons notre pensée et
notre intention se manifestera dans notre vie. L’intention vient du cœur.
Elle est extrêmement puissante lorsqu’elle est en alignement avec le
Moi supérieur.
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LE MONDE DES QUANTA, CONVIVIALITÉ ET NON-LOCALITÉ
Dans le monde des quanta, de ces particules élémentaires, il existe un non
temps et un non espace qui sont le propre de notre réalité virtuelle; c’est-à-dire,
non observable. Tous les événements sont instantanément reliés, même s’ils se
produisent aux quatre coins de l’univers. Cette propriété, inaccoutumée à notre
environnement matériel, s’appelle la non-localité (MdeC. p.21).
Notre réalité virtuelle se définit par la capacité de l’intention (de toute action
dirigée), issue de l’âme conscientisée, d’influencer dans le présent les particules
du monde quantique, pour ne nommer que les électrons qui font partie des
particules élémentaires.
Particules élémentaires et leur convivialité
Révolus sont les jours ou les particules élémentaires étaient vues comme de
simples objets inanimées. On a observé chez elles une existence organique.
Individuellement ou collectivement, ces particules nous ont montré qu’elles ont
effectivement conscience de leur milieu environnant.
En les observant, les physiciens ont constaté que les regroupements d’électrons
réagissent en coordonnant leurs mouvements aux informations provenant du
monde extérieur (MdeC. p.22).
Particules élémentaires et la non-localité (MdeC. p.22 et 23)
En quoi consiste cette réalité invisible, cet ensemble de rapport favorable entre
les éléments qui unifie, qui relie tout ce qui existe et cette convivialité entre le
champ électromagnétique et la géométrie de la forme (le corps humain)? Voici
ce que les physiciens avancent à propos de ces particules élémentaires et de
cette convivialité.
Individuellement ou collectivement, ces particules nous ont montré quelles
ont effectivement conscience de leur milieu, tout comme l’homme qui a
conscience de son milieu environnant.
Sur la base de la mécanique quantique, on admet que les particules ont une
intelligence organique.
Les particules élémentaires ne sont plus vues comme des objets inanimés.
On a constaté que les électrons réagissent en coordonnant leurs
mouvements aux informations provenant du monde extérieur (celui du
véhicule). Ce faisant, l’électron porte intrinsèquement en lui de l’information
sur le temps tout entier, passé, présent et futur.
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Les particules peuvent se syntoniser sur de l’information, entrer en résonance
ou bien réagir.
Spécifiquement, elles sont (in-formées), elles contiennent de l’information.sur
la géométrie de la forme De fait les électrons sont formés pour une fonction
organique spécifique. Nous comprenons actuellement que ces informations
sont transmises par le véhicule de la forme.
Les photons de lumière sont les messagers du champ électromagnétique. Ils
déferlent en cascade pour amener de l’information aux électrons et en
échanger avec eux.
La lumière est une réflexion de la 5e dimension (champ électromagnétique).
Le corps émet des biophotons à partir de l’ADN.
Plus l’activité du champ électromagnétique du cerveau est chargé, davantage
l’information est dynamique.et cette activité est visible.
C’est l’information provenant des structures actives de notre champ
électromagnétique qui amène notre conscience à prendre de l’expansion et à
s’éveiller à son environnement.
La non-localité et la non-distance (non séparation)
La non-localité est la propriété selon laquelle l’information est transmise
instantanément peu importe la distance séparant les particules ou les systèmes.
En 1982, l’expérience Alain Aspect a établi qu’il y avait un lien non localisé entre
deux photons ayant pour origine le même événement. Dans cette expérience,
lorsque les photons furent éloignés l’un de l’autre, ils continuèrent à « connaître »
l’état de polarisation des autres photons. Cette connaissance fut immédiate et
non restreinte par la vitesse de la lumière ni par la distance les séparant. Une
expérience similaire fut répétée en 1997 par Gisin et al. à l’université de Genève,
sauf que dans ce cas-ci, les photons furent séparés par 11 km au lieu de 13
mètres pour l’expérience de Alain Aspect. Cette expérience à forcé les
physiciens à conclure que la non-localité pouvait se réaliser même si les
particules se trouvaient respectivement aux confins de l’univers et, que la non-
localité est une dynamique universelle propre à la vie dans le cosmos (MdeC. p.42
et glossaire)
Les « pour » et les « contre » de la non-localité
Einstein qui était contre, précise : « Il semble essentiel pour cette disposition
des choses introduites en physique que ces dernières, à un moment donné,
revendiquent une existence indépendante l’une de l’autre. On ne voit pas
comment les lois physiques pourraient être formulées et vérifiées sans une telle
formulation ».
23
Pour Hiley et Bohm, les objections à la non-localité semblent être plus de l’ordre
d’un préjugé qui s’est développé avec la science moderne. Dans les
superstitions primitives et les notions magiques, la notion de non-localité était
clairement une notion-clé. Faisant table rase du préjugé, John Bell ajoute dans
une présentation au CERN en 1990 : « Il se pourrait bien que nous devrions
apprendre non pas tant à accepter l’action à distance, mais à accepter
l’insuffisance de « pas d’action à distance. »
Bohm et Hiley estiment qu’il n’existe aucun bien-fondé aux objections au concept
de non-localité. Répondant à ceux qui jugent que l’acceptation de la non-localité
minerait la possibilité d’isoler et d’observer scientifiquement quelque objets que
ce soit. » Ils ajoutent que dans le monde macroscopique, les effets de la non-
localité ne sont pas significatifs. »
Bohm Hiley et Bell soulignent que ce n’est pas une transmission de signaux qui
est en jeux dans la notion de non-localité. (Principe de localité – Wikipédia)
De la cause à l’effet.
L’effet, c’est la réalité objective (qui a rapport à l’objet) et la mécanique classique
de Newton qui affirme que la dynamique de la particule est entièrement
déterminée si on connait à chaque instant sa position x et sa quantité de
mouvement; n’est pas mis aux oubliettes. Elle a prépondérance en ce qui
concerne la détermination des assises de la matière.
De plus, la nature de l’univers, et sa réalité virtuelle se définit comme un grand
tout indivisible. Sa fonction holomorphe et son architecture encodée sous forme
d’hologramme au sein de laquelle toute partie contient l’information sur le tout
n’enlève rien à la mécanique de Newton.
La cause est une notion universelle qui désigne une force productive engendrant
un effet tout en se prolongeant en lui. Selon les connaissances sur les
constituants de la réalité virtuelle, de ses particules élémentaires et d’autres
particules ou champs interactifs, on peut avancer que la réalité virtuelle est à
la réalité objective ce que la cause est l’effet.
24
THÉORIE QUANTIQUE
La théorie quantique est le fondement de la physique moderne qui explique la
nature et le comportement de la matière et de l’énergie sur un plan atomique et
subatomique. Cette théorie remonte au début des années 1900 relative aux
découvertes du physicien Max Planck Les contributions d’Albert Einstein, Louis
de Broglie, Werner Heisenberg, et David Bohm s’y ajoutent. La théorie quantique
est le fondement de la physique quantique.
Concepts de la théorie quantique (MdeC. p. 43)
Non-localité
Complétude immuable
Organisation coordonnée
Non-ingérence du temps et de l’espace
Indissociabilité entre observateur et expérience
Existence d’un champ quantique sous-jacent
À toutes les forces agissant sur la matière
Conscience qui pénètre tout objet animé et inanimé
L’hyperespace – définition du monde virtuel
Quand nous entrons dans le monde virtuel, nous entrons dans celui de
l’hyperespace ou vide, selon le terme employé par les physiciens ou encore,
dans celui de la matrice cosmique, selon l’expression de certains lecteurs.
Contrairement à ce que l’on croit, le vide n’est pas vide, mais plein, et les
physiciens le définissent comme un plénum d’énergie. Bien que le vide soit une
zone de non-temps et de non-espace, un point zéro, il est tout de même la
structure qui sert de canevas à partir duquel la matière, le temps et l’espace
émergent en tant que propriétés dimensionnelles. Ce sont ces propriétés qui
nous confèrent une vision linéaire (unidirectionnelle) de la réalité qu’est la nôtre. (MdeC p.26 et 27)
Physique quantique
C’est une branche de la physique qui a prouvé qu’il existe fondamentalement
une relation entre les pensées que nous entretenons sur le monde et la façon
dont le monde nous apparait. Selon une des théories qui sous-tendent la
physique quantique, il nous est non seulement impossible de mesurer
simultanément la position et la force d’impulsion d’une particule avec égale
précision, mais il n’y a aucune preuve qu’une particule puisse posséder n’importe
25
quelle propriété bien définie lorsqu’on ne la mesure pas. Nous faisons bel et bien
partie du monde que nos observons. Nous ne pouvons prétendre en être
détachés et de n’y jouer que le rôle d’observateurs objectifs (glossaire).
Dimension et multi dimensionnalité
Une dimension est un système coordonné arbitraire utilisé pour définir n’importe
quelle gamme de propriétés propres à un plan vibratoire.
La multi dimensionnalité est ce qui possède simultanément des propriétés ou
caractéristiques de plusieurs plans vibratoires ou systèmes coordonnés. Elle a
entre autres caractéristiques celle de pouvoir contenir plus d’une chose dans le
seul et même espace. Prenons l’exemple des ondes radio qui se superposent
tout simplement dans un même espace. Elles sont séparées les unes des autres
par des caractéristiques comme les fréquences, les phases et l’amplitude. Pour
les utiliser il s’agit d’avoir un circuit de syntonisation approprié (glossaire).
Syntoniseur humain
En augmentant la capacité du syntoniseur, on augmente la plage de réception
pour capter davantage de postes. Dans cet ordre d’idées, les sens humains
fonctionnent dans le cadre d’un spectre vibratoire distinct. Pour avoir accès à
cette multi dimensionnalité, source de notre monde spatio-temporel, il appartient
à chacun de nous de développer sa conscience, syntoniseur par excellence, bien
soutenu par la pensée, l’intention et le cerveau (fidèle interface).
26
Particules élémentaires
Particules élémentaires
On appelle particules élémentaires les constituants fondamentaux de l’univers.
Ces particules subatomiques sont dites élémentaires parce qu’elles ne résultent
pas de l’interaction d’autres particules plus petites. Un atome n’est pas une
particule élémentaire. Il est constitué d’électrons, de protons et de neutrons. Ces
deux derniers ne sont pas élémentaires car ils sont constitués de quarks On peut
considérer les particules qui conservent leur identité première comme particules
élémentaires ou constituants fondamentaux. Il s’agit de l’électron, du photon du
neutrino et du quark. Les particules qui existent sont de deux types : fermions et
bosons. (Particule élémentaire – Wikipédia)
La distinction entre les bosons et les fermions découlent essentiellement du
caractère vectoriel, (qui signifie un système qui distingue une direction et une
magnitude,) de l’espace des états (Mécanique quantique – Wikipédia).
Les fermions
On appelle fermions, l’électron, le neutrino et le quark. Ces particules sont des
particules élémentaires ou constituantes fondamentaux qui conservent leur
identité première. Elles ont un spin demi-entier et n’occupent pas le même état
quantique. De par leur masse légère, ils font également partie de la famille des
leptons, désignation qui signifie léger. (particules élémentaires/Wikipédia).
L’électron est une particule élémentaire qui possède une charge élémentaire de
caractère négatif. Il est l’un des composants de l’atome. Les mouvements
imprévisibles de l’électron rendent toute mesure difficile. On ne peut connaître,
simultanément, la vitesse et la position de l’électron autour du noyau (Le principe
d’incertitude Heinsenberg). Le spin de l'électron joue un rôle important dans le
magnétisme et la manipulation des courants de spins dans des nano-circuits
conduit à un nouveau champ de recherche : la spintronique qui a pour but de
stocker des informations (Spintronique/Wikipédia).
Un électron, faisant un "grand saut" d'une orbite atomique à une autre, émettra
donc un photon d'autant plus énergétique et donc de fréquence d'autant plus
élevé. Inversement, l'électron d'un atome pourra absorber un photon d'énergie
donnée et ainsi sauter d'une orbite peu énergétique à une orbite plus
énergétique: Il sera ainsi excité car sur une orbite plus énergétique que la
normale. C'est en se désexcitant qu'il pourra réémettre un photon. C’est par ce
27
saut de l’électron d’une orbite à une autre que la lumière est émise par la
matière.(le photon quantique).
Lors de la radioactivité bêta-, quand les conditions s’y prêtent pour une action
de la force nucléaire faible, un neutron se désintègre en donnant naissance à un
proton. Un électron (particule chargée négativement) et un antineutrino (particule
chargée positivement) sont alors émis. L’inverse également se produit. Un proton
est converti en neutron par la radioactivité bêta+, et un positron (antiparticule
associée à l’électron) et un neutrino est émis.
Les observations faites dans le monde de quanta laissent entendre que la réalité
des particules élémentaires n’a que faire du temps dont nous nous servons. En
effet, dans le monde des quanta et des particules élémentaires, il existe un non-
temps et un non-espace qui sont le propre de cette réalité virtuelle (non
observable).
Un électron (particule élémentaire) peut être simultanément dans son passé et
dans son futur. Dans notre réalité, nous percevons cet électron seulement
pendant une fraction de temps, alors qu’il effectue sa danse dans tous les cadres
temporels en même temps, faisant de grands sauts d’une orbite atomique à
l’autre. Ce faisant, l’électron porte intrinsèquement en lui de l’information sur le
temps tout entier passé, présent et futur (MdeC p.21 et 22). Tout en générant un
photon et, suite à l’information qu’il détient, l’électron modifie les fonctions de
l’atome dans la matière.
Le neutrino. Les premiers seraient apparus il y a environ 13,7 milliards
d’années, peu après la naissance de l’univers. Aujourd’hui, l’énergie de ces
neutrinos est trop faible pour qu’il puisse être détecté avec les technologies
actuelles. Les autres neutrinos que l’on trouve dans l’univers sont créés au cours
de la vie des étoiles ou lors de l’explosion de supernovas. L’effondrement d’une
supernova est rayonné au loin sous la forme de neutrinos produits quand les
protons et les électrons se combinent dans le noyau pour former des neutrons.
Le neutrino est une particule élémentaire du modèle standard de la physique des
particules. Il en existe trois saveurs : électronique, muonique et tanique. Le
neutrino a une charge nulle. Les neutrinos ne possédant pas de charge
électrique interagissent uniquement par interaction faible. (Neutrino Wikipédia).
Relation neutrino-électron. La manière la plus simple de concevoir un neutrino
est de l’imaginer comme un électron qui aurait perdu sa charge électrique.
28
Les quarks n’ont pas encore été observés seuls à l’état libre. Ils refusent de se
montrer en dehors des composants du noyau des atomes. On n’a jamais réussi
à désolidariser un quark d’un autre. Les quarks servent à contenir la charge
électrique positive du proton qui est excessive. À l’instar de ce qui se passe avec
l’électromagnétisme, les quarks portent une charge spécifique significative qui
traduit leur sensibilité à l’interaction.
Les quarks avec les électrons forment les particules les plus fondamentales de
la matière. Les quarks servent à contenir la charge positive du proton, Ils n’ont
jamais été observés à l’état libre. On ne les retrouve qu’à l’intérieur des
composants du noyau des atomes (Big Bang – Wikipédia).
Les bosons
On appelle bosons : le photon, le gluon et le boson. Ces particules ont un spin
entier à l’exception du boson de Higgs, d’un spin zéro, associé au champ de
Higgs. Ils constituent des champs de force, étant considérées comme des
champs d’interactions. La gravitation n’en fait pas partie (Liste des
particules/Wikipédia).
Le photon est la particule associée aux ondes électromagnétiques et des ondes
radio aux rayons gamma en passant par la lumière visible. Regroupés, les
photons constituent le rayon laser. Il n’a pas de masse, ni de charge électrique. Il
est classifié comme particule élémentaire. Son spin est égal à 1. (Photon/Wikipédia).
Les bosons intermédiaires W+, W- et le Z ont une masse, qui par celle-ci,
apportent leurs contributions dans l’unification de la force nucléaire faible avec
la force électromagnétique en une seule et même interaction, baptisée
« électrofaible » (Les 4 forces fondamentales de l’Univers - Google).
Le gluon n’a probablement pas de masse. Il est responsable de l’interaction
forte, dite nucléaire. Les gluons confinent les quarks en les liant très fortement,
permettant ainsi l’existence des protons et des neutrons dans leurs fonctions
atomiques de l’atome. Selon la théorie du Big Bang, c’est lors du refroidissement
de l’univers que les gluons ont regroupé les quarks ensemble (Gluon/Wikipédia).
29
Le champ de Higgs et le Boson de Higgs
La théorie est qu’après le Big Bang, aucune particule n’avait de masse. Lorsque
l’univers a refroidi et que la température est tombée en dessous d’un seuil
critique, un champ invisible appelé « champ de Higgs » s’est formé en même
temps que le boson de Higgs, particule qui lui est associée. L’interaction avec ce
champ répandu partout dans le cosmos a permit aux particules d’acquérir une
masse par l’intermédiaire du boson de Higgs. Si on fait la preuve que le boson
de Higgs existe, on prouve également que le champ de Higgs existe (CERN – Le
boson manquant et Boson de Higgs traduction – Wikipédia).
Le Centre Européen pour la Recherche Nucléaire (CERN) a annoncé en juillet
2012 avoir identifié avec une degré de confiance un nouveau boson d’une masse
qui paraît compatible avec celui du boson de Higgs. Toutefois des études
complémentaires seront nécessaires pour déterminer si cette particule possède
l’ensemble des caractéristiques prévues pour le boson de Higgs (Wikipédia).
Le champ de Higgs, théorie formulée par six physiciens, est un champ scalaire,
champ, qui associe un nombre à chaque point de l’espace. Ce champ interactif,
appelé au gauchissement, est indispensable pour expliquer la brisure de
symétrie qui se manifeste par la portée infinie de la force forte électromagnétique
et la portée très limitée de la force faible. On explique cette différence par le fait
que le photon, médiateur de l’interaction électromagnétique, n’interagit pas avec
le champ de Higgs, ce qui n’est pas le cas des bosons intermédiaires W+, W- et
Z, médiateurs de l’interaction faible. Or, le photon n’a pas de masse, et le trois
bosons intermédiaires sont lourds d’environ 90 GeV (Champ de Higgs électrofaible –
wikipédia).
Le boson de Higgs. Au niveau des particules élémentaires, la masse des
bozons de jauge de l’interaction faible (bosons W+, E- et Z), serait due au boson
de Higgs, leur donnant des propriétés différentes de celle de
l’électromagnétisme, le photon. Dans le modèle standard, un couplage des
particules élémentaires au boson de Higgs permettrait d’expliquer la provenance
de la masse de ces particules, qui avaient alors, au niveau fondamental, une
masse nulle. Du coup, le, ou les bosons de Higgs serai(en)t responsable de la
masse de toutes les particules élémentaires ainsi que de celle de certains
bosons d’échanges d’interactions. On pense donc que l’interaction avec le
champ de Higgs serait responsable de l’apparition de la masse inertielle et
affecterait toutes les particules élémentaires, même le neutrino dont l’oscillation
de saveur récemment détectée confirme effectivement une masse non-nulle) (Masse – Wikipédia).
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Le champ de Higgs crée la masse inertielle. Depuis longtemps, des
physiciens s’interrogent sur l’origine de l’inertie de la matière. Le champ de
Higgs, intervenant par le biais du mécanisme de Higgs, fournirait un élément de
réponse important, si, cette explication était confirmée par des expériences
réalisées au Grand Collimateur Hadron (LHD) du CERN. En mouvement
accéléré, c’est le champ de Higgs qui freine les quarks qui composent les objets
que nous soulevons. La masse inertielle d’une particule résulterait donc de
son degré d’interaction avec le champ de Higgs (Champ de Higgs électrofaible –
Wikipédia).
L’hadron est un composé de particules subatomiques régi par l’interaction forte
qui constitue l’atome. Ces particules sont composées de quarks, d’antiquarks
ainsi que de gluons. L’hadronthérapie est l’utilisation d’ions légers de haute
énergie pour le traitement des tumeurs. Ces ions sont responsables de la
conductivité électrique dans les solutions (Hadron – Wikipédia).
Bosons élémentaires – résumé (Liste des particules – Wikipédia)
Nom Spin Masse Interaction
Photon 1 0 Électromagnétisme
W+ 1 80.4 Interaction faible
W- 1 80.4 Interaction faible
Z 1 91.2 Interaction forte
Gluon 1 0 Interaction forte
Higgs 0 à identifier interaction de masse
Note. Seuls les bosons W+ et W- ont une charge électrique positive ou négative.
Le spin
Le spin d’une particule est son moment angulaire intrinsèque associée à chaque
particule, caractéristique de la nature de la particule, au même titre que sa
masse et sa charge électrique. Le spin est une propriété quantique. Il joue un
rôle important dans le magnétisme. Selon les caractéristiques de la nature de la
particule, celle-ci est classée selon la valeur de leur nombre quantique de spin,
les bosons ne peuvent prendre que des valeurs entières ou nulles et les fermions
que des valeurs demi-entières Fermions et bosons se comportent différemment
dans des systèmes comprenant plusieurs particules identiques avec des
résultats d’interaction différents. Exemples : l’interaction spin-orbite de l’électron
conduit à la structure fine du spectre atomique de l’atome. L’hélicité du spin du
31
photon est associé, à la polarisation de la lumière. L’hélicidé est la projection de
spin d’une particule sur l’axe de sa quantité de mouvement.
Le spin a d'importantes implications théoriques et pratiques. Il influence
pratiquement tout le monde physique. Il est responsable du moment magnétique
de spin, associé au mouvement cinétique qui engendre de l’énergie. Exemple : la
manipulation des spins nucléaires par résonnance magnétique nucléaire est
importante dans la spectroscopie RMN et l’imagerie médicale (IRM) (Spin –
Wikipédia).
Notes : Tout comme d’autres observables quantiques, la mesure du spin donne
des valeurs discrètes et est soumise au principe d’incertitude. C’est la seule
observable quantique qui ne présente pas d’équivalent classique, contrairement
à la position, l’impulsion et l’énergie d’une particule (Principe d’incertitude –
Wikipédia).
Le principe d’incertitude ou (principe d’indétermination) énonce que, pour une
particule donnée, on ne peut connaître simultanément sa position et sa vitesse.
Définitions de catégories de particules (Mc. Glossaire)
Particule : Événement spatio-temporel qui transporte de l’information.
Manifestation autre de l’énergie qui existe dans des états simultanés de réalité.
Particule élémentaire : Toute partie constituante de particules subatomiques
comme les électrons, les protons ou les neutrons. Les particules élémentaires
sont dotées de réalités virtuelles internes ou de réalités virtuelles propres aux
dimensions supérieures.
Particule virtuelle : Particule qui émerge abruptement du vide et disparait
rapidement. Ce phénomène se produit si rapidement qu’il ne peut être observé.
Par contre, les virtuelles interagissent avec la masse ou la charge pour créer des
effets qui sont, eux, tout à fait observables.
Concept de la charge (MdeC. p.27)
Les particules dotées d’une masse et celles sans masse peuvent avoir les unes
comme les autres une charge (au sens électrique). La particule chargée est
schématisée sous la forme d’une entité sphérique pivotante ou à spin. Le spin
emprisonne les particules virtuelles ainsi que la lumière. Tant pour les particules
avec masse ou sans masse se produit un mouvement ou flux continu de
particules qui arrive ou part de la sphère en question.
32
La particule chargée agit comme une pompe qui absorbe les particules
virtuelles et les relâche. Un ensemble ou une concentration de particules sans
charge dans le vide crée un potentiel. Un groupe de photons de lumière forme le
potentiel scalaire électromagnétique, qui est un point (stationnaire) des particules
virtuelles en mouvement. La charge s’établit par rapport au flux et n’est pas
constante. Une particule ayant une masse est constamment chargée et
déchargée par l’absorption et l’émission d’ondes scalaires.
Selon Bearden (Excalibur Briefing), le champ mental peut interagir pour modifier,
augmenter ou éliminer la charge d’une particule. Chaque fois que nous modifions
le flux, nous modifions aussi la charge. Dans ce sens, charge et flux deviennent
des termes synonymes.
Mécanique classique et quantique
La mécanique classique de Newton affirme que la dynamique de la particule
est entièrement déterminée si l’on connait à chaque instant sa position « x » et
sa quantité de mouvement. Du point de vue mathématique, on décrit l’état de la
particule par un nombre fini de grandeurs scalaires (nombre réel. qui mesure
l’amplitude ou la taille seulement, tel que : mesure de voltage, de masse, de
température).
En mécanique quantique, la valeur précise des paramètres physiques tels que
la position ou la vitesse n’est pas déterminée tant qu’elle n’est pas mesurée.
Seule la distribution statistique de ces valeurs est parfaitement déterminée à tout
instant. Face à cette indétermination, cela vient du fait que les grandeurs
scalaires classiques sont insuffisantes pour décrire la réalité quantique. On doit
faire appel à des fonctions d’onde qui sont des vecteurs appartenant à un
espace de Hilbert (mathématicien du 19e siècle qui a clairement distingué les
mathématiques des métamathématiques) de dimension infinie.
33
LES QUATRES FORCES
La force nucléaire forte est celle qui cimente les particules, protons et neutrons
dans les noyaux de l’atome. C’est elle qui associe les quarks à l’intérieur des
nucléons qui donne naissance à l’énergie nucléaire. Elle est 100 fois plus forte
que la force électromagnétique.
La force électromagnétique est bien supérieure à la force de gravité. Elle n’agit
que sur les particules chargées, soit positivement comme les protons, soit
négativement comme les électrons. Elle forme les atomes en attachant les
électrons aux atomes. De plus, elle soude les atomes en les obligeant à partager
leurs électrons pour former les molécules. Elle pousse les molécules à se
combiner à leur tour en de longues chaînes. La plus haute expression de ces
chaînes est l’ADN qui permet la vie.
La force gravitationnelle est cette force attractive qui agit sur toutes les
masses. C’est la plus faible des quatre forces de la nature, mais c’est celle qui la
plus grande portée. Elle agit sur l’ensemble de l’univers, elle est la colle du
cosmos. L’intensité de cette force dépend de la masse de l’objet. Ce n’est qu’à
l’échelle astronomique que la gravité se fait réellement sentir, dans d’énormes
masses comme celle de la terre.
La force nucléaire faible est celle qui permet aux neutrons de se transformer en
protons et vice versa quand les conditions s’y prêtent. Lors de la radioactivité
bêta, un neutron se désintègre en donnant naissance à un proton; un électron et
un antineutrino sont alors émis. Elle n’agit pas sur les particules immortelles
comme l’électron, le photon et le neutrino. Bien que plus forte que la gravité, elle
est 1000 fois plus faible que la force électromagnétique.
Note. La radioactivité bêta est la propriété qu’ont certains noyaux d’atomes de se
désintégrer de manière naturelle et spontanée, pour donner un autre élément, en
émettant des particules ou des rayonnements électromagnétiques. Elle peut être
artificielle lorsqu’on bombarde les noyaux des atomes. Cette radioactivité
découle de l’échange d’un bozon W entre un proton et un neutron.
Définition des lois de la nature
Les physiciens cherchent à bâtir une théorie unificatrice, voulant que la nature
évolue avec harmonie et raffinement. Comment les forces fondamentales
34
finissent-elles par se réunir? Proviennent-elles d’une origine commune? À partir
de l’origine commune, comment se manifestent-elles de façon commune?
La théorie de cordes apporte des réponses plausibles à ces questions. Une
particule subatomique est simplement l’expression observable d’une vibration en
résonnance unique. C’est une configuration qui ondule, énergétique en
résonnance constante. On peut considérer la matière comme étant une
résonance ondulaire scalaire qui se mesure. La géométrie de conformation et la
vibration détermine la nature, la qualité et les proportions des choses qui se
matérialisent dans l’univers. Toute la réalité physique est faite de regroupements
de cordes. L’ADN en est un bel exemple.
De plus, la théorie des cordes repose sur l’idée que les briques fondamentales
ne sont pas des particules comme nous le pensons habituellement, mais des
cordes. Elles pourraient ouvertes ou fermées. Une des hypothèses est que les
cordes fermées sont des bosons (particules qui véhiculent les forces
fondamentales comme le photon et le graviton, et que les cordes ouvertes
représentent les fermions (Particules de matière telle que le neutrino, l’électron et
le quark). Toutes les particules seraient constituées des mêmes cordes à la
base, mais se distingueraient par la vibration de celles-ci de la même façon
qu’une note jouée dans un orchestre par des instruments différents.
L’ultime convergence dont il est question dans la théorie des cordes s’effectue
dans un espace à 10 dimensions. Il est même question d’une théorie à 26
dimensions. On se retrouve donc devant un fait que l’univers part initialement
d’un point convergent de définition d’origine.
Unification de ces forces
Suite à la découverte de ces quatre forces, les physiciens cherche une théorie
pour les unifier, considérant que ces forces résulteraient d’une seule et unique
force encore plus fondamentale. Cette force unique aurait été brisée au cours de
l’évolution de l’univers sous l’effet du Big Bang et du refroidissement par la suite.
En 1979, trois physiciens ont réussi à unifier la force nucléaire faible avec la
force électromagnétique en une seule et même interaction baptisée
« électrofaible ». Pour réaliser cette union improbable, les trois chercheurs ont
dû imaginer l’existence de particules porteuses de cette interaction, qu’ils
appelèrent bosons intermédiaires W+, W- et Z.
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L’étape suivante consiste en principe à relier la force nucléaire forte au tandem
électrofaible. La force ainsi unifiée est baptisée électronucléaire. Un ingrédient
supplémentaire doit probablement y être ajouté : la notion de super symétrie.
Super symétrie
Les particules qui existent dans la nature sont de deux types : fermions et boson,
et la notion de super symétrie pour unifier ces deux éléments consistent en la
possibilité de comprendre comment ces particules sont liées. Le spin des
fermions ne prend que des valeurs demi-entières et celui des bosons ne prend
que des valeurs entières. La rotation de la particule sur elle-même est
responsable du magnétisme de spin. De plus, deux fermions ne peuvent occuper
le même état. C’est pourquoi dans l’atome, les électrons se positionnent sur des
couches successives au lieu de s’accumuler sur celle de base énergie.
Contrairement aux fermions, les bosons peuvent occuper le même état. Dans un
état donné, plus on trouve de bosons, plus il est facile que d’autres viennent s’y
ajouter. C’est le principe du fonctionnement du rayon laser : les photons se
trouvent dans le même état, donc dans la même direction et avec la même
fréquence.
Pour l’unification finale de la force gravitationnelle avec la mécanique
quantique des particules qui régit l’infiniment petit, on s’appuie sur la théorie
des cordes. De plus, ces cordes vibreraient dans un espace-temps à non pas
quatre mais dix dimensions.
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LE CHAMP ÉLECTROMAGNÉTIQUE(CEM)
Le champ électromagnétique est la représentation dans l’espace de la force
électromagnétique qu’exercent des particules chargées. Ce champ est issu de la
dimension spatio-temporelle et de celle du temps. En regard de la gamme de
fréquences, il existe une grande variété de spectres électromagnétiques tel que :
les ondes radioélectriques, la lumière visible, les micro-ondes, les rayons X, les
rayons gamma, ultraviolets et infrarouges.
Le concept du champ électromagnétique(CEM)
- Le concept d’onde électromagnétique est considéré comme étant une
oscillation de champs électrique et magnétique associés.
- Le champ électromagnétique est caractérisé par des grandeurs et des mesures
électriques et magnétiques.
- Le CEM est une structure externe d’une réalité organisée provenant de
dimensions supérieures Ce champ est une zone d’influence organisée
typiquement destinée à emmagasiner l’énergie. Cette zone sert de lien pour
relier la matière aux dimensions supérieures.
- C’est le CEM qui organise dans la structure et la forme la substance appelée
matière. Sans le champ électromagnétique, il n’y aurait aucune matérialisation.
- Les systèmes électromagnétiques sont des systèmes ouverts qui échangent et
communiquent constamment avec le flux de particules virtuelles du vide.
- Un jour nous viendrons à comprendre que la lumière transporte des
configurations encodées par la conscience, lesquels photons de cette lumière
s’enroulent autour du champ électromagnétique. De plus, cette lumière est reliée
au champ de la pensée de l’humain. (MdeC glossaire et index)
Origine de l’électromagnétisme La conception actuelle veut que la gravité soit une attraction de masse, est
incorrecte. Par définition, tout ce qui courbe l’espace-temps est un champ de
gravité, toutes les diverses forces émanent donc de la courbe de l’espace-temps.
Le potentiel de gravitation en 5D (les trois dimensions de l’espace + le champ de
gravité ordinaire et le champ électromagnétisme) s’exprime sous la forme de
l’électromagnétisme. L’électromagnétisme provient également de la somme
totale des configurations de différents types de courbes ou potentiels de
l’espace-temps. Ceci comprend la contribution des particules virtuelles, tel que :
les photons, neutrinos, particules chargées et non chargées, qui sont en état de
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flux permanent dans le vide. Ainsi un champ unifié de gravitation en 5D est à
l’origine de l’expression de notre nature électromagnétique (MdeC p.28 et note 50).
Ce champ peut être accru dans sa charge. En augmentant la charge des états
virtuels, nous augmentons le potentiel de ce champ premier, procurant
davantage d’électricité électromagnétique à notre disposition.
Le magnétisme
Le magnétisme est un phénomène physique par lequel se manifestent des
forces attractives ou répulsives d’un objet sur un autre. Le mouvement des
électrons dans un nuage électronique est responsable de l’existence d’un
magnétisme dit orbital, alors que la rotation sur eux-mêmes est responsable du
magnétisme de spin. Ce champ magnétique de spin attribue une vitesse
angulaire à l’ensemble des mouvements électroniques. Il n’est pas possible
d’ignorer l’aspect quantique de ces phénomènes pour justifier le magnétisme. (Champ Magnétique-Les Aurores Polaires-Wikipédia)
La science a démontré à la fois le caractère électrique et biochimique de notre
organisme. Cependant, celui-ci est plus que cela, puisqu’il est de nature
électromagnétique. Or, l’électromagnétique est un phénomène inter
dimensionnel (MdeC P. 59). C’est la relation entre l’électron et le magnétisme.
Dans le monde hyper spatial, un développement électrique est issu du
magnétisme.
Avec ou sans masse (masse inertielle), les particules peuvent avoir une charge
au sens électrique. Il y a trois ordres d’électromagnétisme : (MdeC glossaire)
Trois ordres d’électromagnétisme (MdeC p. 266)
Électromagnétisme de premier ordre : composantes réelles des ondes
électromagnétiques se déplaçant à la vitesse de la lumière et produisant des
signaux observables (électrocardiogramme) dans l’espace physique.
Électromagnétisme de deuxième ordre : Composantes ondulatoires hyper
spatiales qui ne se traduisent pas par des signaux observables dans l’espace
tridimensionnel. Il s’agit d’ondes scalaires longitudinales se déplaçant à une
vitesse supraluminale.
Électromagnétisme de troisième ordre : Potentiel hyper spatial qui affecte tout
le continuum spatio-temporel. Ce potentiel bouge à une vitesse infinie. Les
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ondes propres aux solitons, aux neutrons et aux tachyons figurent dans cette
catégorie. On dit que les tachyons obéissent à la conscience.
L’électricité
Le principe énoncé par Lavoisier sur la conservation de la matière s'applique en
fait plus justement à l'énergie : « rien ne se crée ». Ainsi toute « production »
d'énergie est en fait une récupération par transformation de formes d'énergie
dont l'origine est aussi celle de l'univers. Source d’énergie Wikipédia. L’électricité est
l’effet du déplacement de particules chargées initiées par le développement
industriel pour la récupération de cette énergie à des usages spécifiques. Elle
constitue aussi bien l’influx nerveux des êtres vivants. Électricité Wikipédia.
Les physiciens définissent le monde virtuel ou le vide, cette matrice cosmique
dans lequel la matière y baigne, comme un plénum d’énergie. Bien que le vide
soit une zone de non-temps et de non-espace, il est tout de même la structure
qui sert de canevas à partir duquel la matière, le temps et l’espace émergent en
tant que propriétés dimensionnelles (MdeC p.27). Comment se forme dans le vide
ce plénum d’énergie qu’on utilise sous forme d’électricité? J’amène cette
hypothèse : ce plénum d’énergie serait l’écho des mouvements de spin des
particules, initiateur d’énergie, déferlant sous formes d’ondes ondulatoires
(voir la théorie des cordes).
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GLOSSAIRE (Mde C. p.262 à 278)
Auto-organisation : Qualité inhérente à tous les êtres animés. L’auto-
organisation est l’émergence spontanée d’un ordre au sein d’un système. Plus le
degré de complexité et la conscience chez les êtres animés sont élevés, plus la
capacité d’auto-organisation ne l’est. Les objets animés sont des systèmes
ouverts en constante interaction avec leur milieu ambiant.
Champ de torsion : Le champ de torsion est la conséquence directe du spin
angulaire ou de rotation. Les spins collectifs d’un objet se superposent pour créer
des configurations d’interférence uniques autour des objets. Configurations qui
forment en fait des champs d’information holographiques. Hyper spatiaux de
nature et plus rapide que la lumière, les champs de torsion transfèrent de
l’information sans transférer de l’énergie
Conscience : En anglais, il existe deux termes pour décrire les phénomènes de
la conscience : awareness et consciousness. Awareness désigne la capacité
« radar » ou présence (perception) de ce qui est. Consciousness indique la
capacité « témoin » d’observer ce que le radar est en train d’observer. Ce qui
compte, c’est d’améliorer la capacité « radar ».
Dimension : Système coordonné arbitraire utilisé pour définir n’importe quelle
gamme de propriétés propre à un plan vibratoire tel les ondes scalaires, les
vecteurs, les symboles, les tenseurs, le flux d’énergie ou d‘échange d’énergie. Il
existe des dimensions en dehors de la dimension spatio-temporelle que nous
connaissons.
Éther - Chez les anciens : fluide subtil qui emplissait tout l'espace au-dessus de
l'atmosphère. En physique, l’éther était considéré comme la substance qui
remplissait l’espace. L'éther ne désigne pas une quelconque substance ténue,
mais ce qui donne à toute substance sa forme.
Fonction d’onde quantique : Phase prématière en lien avec la probabilité de
l’occurrence d’un événement. Cette lumière supraluminale avance et recule dans
le temps et relie notre pensée au monde physique.
Hyper champ : Configuration de structure et de configuration dans
l‘hyperespace. Bearden considère que le premier hyperchamp est le champ
électromagnétique. Le deuxième est le champ neutrinique, suivi du champ de la
pensée.
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Hyperespace : Dimensions au-delà de la dimension spatio-temporelle. (def.
P.269)
Mouvement holomorphe : Terme inventé par David Bohm pour décrire
l’incessant mouvement du monde extérieur à partir de sa source qui se trouve
dans un ordre implicite caché. Cet ordre appartient à une dimension supérieure.
Le terme holo (tout en grec) provient du mot holographe. David Bohm avait
compris que le monde physique est une projection mouvante et vivante d’un
ordre implicite. Vu la nature holographique de notre réalité, tout est relié à tout,
l’animé comme l’inanimé.
Multi dimensionnalité : Ce qui possède simultanément des propriétés ou des
caractéristiques de plusieurs plans vibratoires ou systèmes coordonnés.
Non-localité : Propriété de l’univers désormais établie selon laquelle il existe
des corrélations entre des événements distincts peu importe leur éloignement
spatial. Les corrélations (communications) s’exécutent en un « rien de temps ».
On a fait la preuve de cette propriété en laboratoire autant sur les particules que
sur les êtres humains (avec des signaux cérébraux). L‘influence ou la
communication instantanée à distance a lieu sans qu’il y ait échange de signaux
dans l‘espace temps. Le tout ininterrompu est la caractéristique de la non-localité
qui transcende (franchit) l’espace temps.
Onde scalaire : Oscillations dans l’énergie de contrainte du vide qui contiennent
une sous structure de configurations virtuelles. Les ondes peuvent se mouvoir
dans le temps, la gravité ou les propriétés d’un objet. Elles peuvent aussi ne se
déplacer que dans l’espace, le temps demeurant stable, et en fonction d’une
combinaison de ces deux modes. Les autres termes employés pour désigner les
ondes scalaires sont : ondes Tesla, ondes gravitationnelles, ondes sonores
électromagnétiques et ondes électrogravitationnelles. Selon Bearden, les ondes
scalaires sont la réunion de l’électromagnétisme et de la gravité. Non contraintes
de se déplacer à la vitesse de la lumière, elles sont donc supraluminales et
hyperspatiales.
Ordre implicite : Terme inventé par le défunt physicien David Bohm pour
désigner l’ordre caché, enroulé d’une réalité supérieure. Le monde extérieur se
déploie à partir de la totalité et de la connectivité qui sont propre à l’ordre
implicite, lui-même un état sous quantique.
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Ordre explicite : Terme inventé par David Bohm physicien pour qualifier
l‘univers visible externe qui se déploie à partir de la totalité et de la connectivité
de l‘ordre implicite. Cet ordre explicite est en constant échange et en interaction
avec l’ordre implicite. Bohm fait appel au mouvement holomorphe pour décrire le
processus interactif de déploiement de l‘ordre explicite à partir de l’ordre
implicite. Par conséquent, les propriétés de totalité et de connectivité de l’ordre
implicite sont également inhérentes à l’ordre explicite.
Particule subatomique : Une particule subatomique est simplement
l’expression observable d’une vibration en résonnance unique. Ces particules
sont composées de quarks, d’antiquarks ainsi que de gluons.
Physique quantique : Branche de la physique qui nous a prouvé qu’il existe
fondamentalement une relation entre les pensées que nous entretenons sur le
monde et la façon dont le monde nous apparait. Nous faisons bel et bien partie
du monde que nous observons. Nous ne pouvons prétendre en être détachés et
n’y jouer que le rôle d’observateurs objectifs.
Potentiel quantique : Terme inventé par David Bohm pour désigner un champ
d’information qui communique avec le monde quantique tout en l’informant. Par
exemple, les électrons reçoivent des informations sur leur environnement à partir
des ondes émanant de ce champ d’information. Le potentiel est une construction
non localisée qui se situe en dehors de l‘espace et du temps.
Potentiel scalaire : Dans le domaine des particules, Bearden définit le potentiel
comme étant le flux virtuel de particules. Créer un potentiel, c’est créer la
géométrie de l’espace-temps elle-même. Les potentiels peuvent s’exprimer
comme des potentiels dans des potentiels et chaque successif imbriqué
représente une dimension supérieure (cinquième, sixième, septième, etc.) de
l’hyperespace.
Résonnance : Être en syntonie avec, être empathique, vibrer à l‘unisson. États
existant entre deux systèmes dotés de caractéristiques similaires et permettant
un échange d’informations. On dit du système qu’il est en état de résonnance
lorsqu’il se produit un échange d’information (in-form) ou d’énergie. La matière
est une manifestation de la résonance scalaire, ou ondes stationnaires. Lorsque
les deux systèmes sont en syntonie, les configurations d’énergie qui
apparaissent dans un système suscitent la création de configurations similaires
dans un autre système.
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Scalaire : En mathématiques, le qualificatif renvoie à une quantité qui consiste en un nombre réel unique employé pour mesurer l’amplitude ou la taille seulement. Les mesures de voltage, de masse et de température peuvent être qualifiée de quantités scalaires. Ces quantités peuvent contenir des sous-structures virtuelles. Tachyon : Particule subliminale qui dit-on obéit à la conscience. Translateur scalaire : Élément qui peut convertir l’électromagnétisme en onde scalaires et vice-versa. Vecteur : En physique, les vecteurs sont grandement utilisés, ils permettent de modéliser des grandeurs comme une force, une vitesse, une accélération, une quantité de mouvement ou certains champs (électrique magnétique gravitationnel…). Une grandeur vectorielle s'oppose à une grandeur scalaire. La grandeur scalaire a uniquement une valeur mais pas de direction ou de sens (Wikipédia).
Vecteur : Opérateur mathématique, qui dans n’importe quel système coordonné, désigne simultanément une direction et une magnitude. (MdeC p.278)