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Etudes sur OlifeDocteur Samuel Debard

1/ OLIFE et DOPAMINE 2/ ATPMétrie et OLIFE 3/ Action d’OLIFE en énergétique

STRESS• De nombreux troubles émotionnels et physiques ont été associés au stress,

notamment la dépression, l'anxiété, les crises cardiaques, l'AVC, l'hypertension, les perturbations du système immunitaire qui augmentent la susceptibilité aux infections, une foule de troubles liés au virus et au sida. certains cancers, ainsi que des maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques.

• De plus, le stress peut avoir des effets directs sur la peau (éruptions cutanées, urticaire, dermatite atopique, système gastro-intestinal (RGO (reflux gastro oesophagien), ulcère peptique, syndrome du côlon irritable, rectocolite hémorragique) et contribuer à l'insomnie et aux troubles neurologiques dégénératifs comme la maladie de Parkinson.

• Il est difficile de penser à une maladie dans laquelle le stress ne peut pas jouer un rôle aggravant ou une partie du corps qui n'est pas affectée (voir les effets du stress sur le diagramme de stress corporel) ou cette liste augmentera sans aucun doute.

OLIFE et le stress

• D’après les travaux de Andrea PUHAR (PhD - Département de Biologie moléculaire UMEA University Suède)

Notre groupe étudie le rôle des signaux de danger endogènes (DAMP), en particulier l'ATP extracellulaire (eATP), lors d'infections intestinales et d'inflammations.

Nous souhaitons comprendre comment les éléments de l'intestin et les bactéries intestinales - pathogènes et commensaux - régulent et répondent à l'apparition et à la disparition dynamiques de l'ATP et comment cela influe sur le développement de la maladie.

AT P M É T R I E E T O L I F E

Au cours de l'infection, on pense que les molécules produites par des microorganismes, qui ne sont normalement pas présents dans les tissus sains, déclenchent l'inflammation.

Au contraire, pendant une inflammation stérile - c'est-à-dire en l'absence d'infection - on pense que des molécules endogènes agissant comme des signaux de danger signant l’inflammation.

Un exemple d'une telle molécule est l'ATP extracellulaire (eATP).

Alors que l'inflammation peut protéger pendant l'infection parce qu'elle élimine les pathogènes, elle est considérée comme d a n g e r e u s e d a n s l e s t r o u b l e s i n fl a m m a t o i r e s , c a r e l l e f a v o r i s e généralement la progression de la maladie.

AT P M É T R I E•L'ATPmétrie est une technique de biologie molécula i re , basée sur le pr inc ipe de la bioluminescence, qui permet de mesurer la quantité d'ATP présente dans un échantillon, et qui a de nombreuses applications (développées dans les années 1980) pour le contrôle microbiologique des eaux ou diverses boissons (ex jus de fruits, vins) ou de divers aliments (ex  : viande hachée) et aussi la salive dans le cadre de notre travail en paro..

L'adénosine triphosphate (ATP) est une molécule utilisée chez tous les organismes vivants pour fournir de l'énergie aux réactions chimiques = carburant des cellules.

L’ATP est donc spécifique des milieux vivants, on considèrera que toute trace d'ATP est le témoin d'une trace de vie.

L'ATP est un produit du métabolisme cellulaire synthétisé dans

des mitochondries chez les eucaryotes et au niveau de la

membrane cellulaire des procaryotes (ATP-synthase).

L’Adénosine TriPhosphate (ATP) est présent dans toutes les cellules vivantes.

Comme la majorité des aliments ont été à un moment donné des êtres vivants, de l’ATP est présent dans les résidus restants sur des surfaces alimentaires après nettoyage.

Il y en a aussi dans la salive. Elle est le marqueur de l’inflammation et du niveau infectieux.

Les micro-organismes tels que les bactéries, les levures et les moisissures contiennent également de l’ATP.

Pour cette raison, la mesure de l’ATP sur les surfaces ou dans les eaux de rinçage est devenue l’outil de référence des industries agro-alimentaires pour mesurer l’efficacité du nettoyage des chaines de production.

Nous utilisons la BIOLUMINESCENCE

Luciférine

ATP

Luciferyl-adénylate

Luciférase

OxyluciférinePhoton

(lumière)

+ O2

Réaction de bioluminescence

+ Mg+

D A N S L A S A L I V E

Cette méthode ne permet pas d'identifier les bactéries ou d'autre espèces.

Mais elle offre un indicateur de niveau de risque de développement dans un milieu d'amibes et autres micro-organismes, et donc de biofilms ou et de bactéries pathogènes comme les pathogènes parodontaux salivaires.

M AT E R I E L

L E M AT É R I E L

L E S R É A C T I F S

R E S U LTAT S

Q U A N T I T É D E S A L I V E M E S U R É E

• On peut estimer que la goutte salive est plus grosse que la goutte d’eau (0,05ml/goutte)

• En effet la tension superficielle étant plus importante, le poids (et non pas la masse) sera d’autant plus important, il dépend aussi de la fluidité et du diamètre de la pipette.

• J’ai donc évalué le volume moyen de la goutte de salive a peu ou prou 0,1 ml avec une seringue de 1ml et 0,2 ml avec une seringue de 5 ml et j’utilise toujours les mêmes seringues.

DATE DE LA

MESURE

VOLUME FILTRÉ (EN ML)

STANDARD LIMIT

E BASS

E (RLU)

STANDARD LIMITE HAUT

E (RLU)

VALEUR

ÉCHANTILLON

= R1 (EN

RLU)

VALEUR ÉCHANTIL

LON + STANDAR

D = R2 (EN RLU)

VALEUR

R2-R1 (EN RLU)

RÉSULTAT DE

L'ÉTALON (RLU/PG)

QUANTITÉ D'ATP

(EN PG/ML)

EQUIVALENT EN

BACTÉRIES / ML

RÉSULTAT EN LOG

20012018 0.1 200 3500 309 808 499 0.50 6192.38 6192385 6.79

0.1 200 3500 2579 2969 390 0.39 66128.21 66128205 7.82

0.1 200 3500 2402 2827 425 0.43 56517.65 56517647 7.75

VALEURS MESUREES SUR UNE JOURNEE

Nous avons ici des valeurs sur une journée avec des patients ayant tous une bonne hygiène et étant traités et suivis en parodontologie.

On note des R1 (RLU initiaux moyens, la quantité d’ATP est relativement normale. Ce qui est important de constater est le LOG des résultats qui permettent d’avoir une vison rapide de la

quantité de germes, le chiffre est petit donc facile à lire)

O N C O N S TAT E É G A L E M E N T:

• la corrélation entre quantité d’ATP et nombre de bactéries par ml.

0

15000

30000

45000

60000

Sans titre 1 Sans titre 3 Sans titre 5

0

15000000

30000000

45000000

60000000

Sans titre 1 Sans titre 3 Sans titre 5

Quantité d’ATP

Nombre de bactéries /ml

O N C O N S TAT E É G A L E M E N T:

• La corrélation entre quantité d’ATP et nombre de bactéries par ml.

• Le point suivant est tout aussi intéressant: résultat de l’étalon RLU/PG nous indique l’indice d’inflammation du patient

• Cet indice n’est pas forcément proportionnel à la quantité d’ATP . Logique car inflammation ≠ infection. On rejoint les travaux d’Andrea PUHAR.

Etude Andra PUHAR. Au cours de l'infection, on pense que les molécules produites par des microorganismes, qui ne sont normalement pas présents dans les tissus sains, déclenchent l'inflammation. Au contraire, pendant une inflammation stérile - c'est-à-dire en l'absence d'infection - on pense que des molécules endogènes agissant comme des signaux de danger signant l'inflammation.

Un exemple d'une telle molécule est l'ATP extracellulaire (eATP). Dans les tissus sains, l'ATP est présent à des concentrations appréciables à l'intérieur mais pas à l'extérieur des cellules. En conséquence, la présence prolongée de l'eATP (comme celle qui suit la rupture de la membrane plasmique) est perçue comme un dommage ou un stress et induit une réponse inflammatoire.

Alors que l'inflammation peut protéger pendant l'infection parce qu'elle élimine les pathogènes, elle est considérée comme dangereuse dans les troubles inflammatoires, car elle favorise généralement la progression de la maladie. Par conséquent, nous devons acquérir une compréhension profonde de la régulation des processus inflammatoires, pour les allumer et les éteindre à volonté au cours de la maladie par manipulation pharmacologique.

Au cours de l'infection, on pense que les molécules produites par des microorganismes, qui ne sont normalement pas présents dans les tissus sains, déclenchent l'inflammation.

Au contraire, pendant une inflammation stérile - c'est-à-dire en l'absence d'infection - on pense que des molécules endogènes agissant comme des signaux de danger signant l'inflammation.

Un exemple d'une telle molécule est l'ATP extracellulaire (eATP). Dans les tissus sains, l'ATP est présent à des concentrations appréciables à l'intérieur mais pas à l'extérieur des cellules.

En conséquence, la présence prolongée de l'eATP (comme celle qui suit la rupture de la membrane plasmique) est perçue comme un dommage ou un stress et induit une réponse inflammatoire.

Validité de la mesure

Erreur 1 Erreur 2 Erreur 3

06.07.-11556 0.1 200 3500 3825 4232 407 0.41 93980.34 93980344 7.97 #DIV/0!

0.1 200 3500 356 607 251 0.25 14183.27 14183267 7.15 #DIV/0!

0.1 200 3500 190 628 438 0.44 4337.90 4337900 6.64 #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

20,02201/8 0.1 200 3500 550 799 249 0.25 22088.35 22088353 7.34 #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

11.11.7609 0.1 200 3500 870 1074 204 0.20 42647.06 42647059 7.63 #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

12.03.2018 0.1 200 3500 5275 8662 3387 3.39 15574.25 15574255 7.19 #DIV/0!

0.1 200 3500 2773 2927 154 X 0.15 180064.94 180064935 8.26 #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

200 3500 3499 0.00 #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0! #DIV/0!

Date de lamesure

Volume filtré

(en ml)

Standardlimitebasse(RLU)

Standardlimitehaute(RLU)

Valeuréchantillon= R1 (en RLU)

Valeuréchantillon +standard =

R2

(en RLU)

Valeur R2-R1

(enRLU)

Résultat del'étalon

(RLU/pg)

Quantitéd'ATP (en

pg/ml)

Equivalent enbactéries / ml

Résultat

en LOG

Limite desurveillance

Facteur de l’inflammation Facteur de l’infection

Dans cet exemple l’infection est très faible en revanche l’inflammation est importante si l’on compare les valeurs avec celles situées en dessus.

D A N S C E C A S P R É C I S , L A PAT I E N T E P R É S E N T E À L’ A N A M N È S E U N P R O B L È M E I N T E S T I N A L . N O U S L’ AV O N S A D R E S S É E A U S P É C I A L I S T E AV E C L E R É S U L T A T E N A T P M É T R I E Q U I P R O U V E B I E N C E Q U ’ E X P L I Q U E A . P U H A R E T S O N É Q U I P E :

Nous avons montré que l'eATP agit en amont des médiateurs inflammatoires classiques tels que les cytokines et provoque une inflammation massive des intestins. ¨A. Puhar

Résultat de l'étalon (RLU/pg)

0.410.250.440.000.250.000.200.003.390.15

0

1

2

3

4

Sans titre 1 Sans titre 4 Sans titre 7 Sans titre 10

N O U S E N AV O N S D É D U I T L’ E X P É R I E N C E S U I VA N T E .

• Nous utilisons conjointement 2 produits de la gamme EVERGREENLIFE:

• OLIFE

• SOOTHING Mouthwash

M O D E O P É R AT O I R E

• Nous avons fait une première mesure avant toute action, sans brossage dentaire juste avant, afin d’évaluer le biofilm.

• Puis nous avons mesuré après ingestion d’une dose de 70ml d’OLIFE et bain de bouche , à 2H50 après et à 5H00.

• Dans cette étude nous avons voulu teste l’effet ANTI-INFLAMMATOIRE conjoint de la molécule d’OLIFE prise par voie générale, conjointement à un bain de bouche .

P R O T O C O L E

• Nous prenons le matin à 11H30 (le brossage a eu lieu vers 8H00) la première mesure puis nous prenons:

• -une dose d’OLIFE

• un bain de bouche (1 bouchon dans 3/4 de verre d’eau).

• Nous réalisons extemporanément la deuxième mesure.

• Puis après le déjeuner, soit 2,5 H après sans brossage, nous faisons un autre bain de bouche avec le produit , sans dose d’OLIFE puis nous faisons la troisième mesure

• Enfin, 5H00 après la première mesure nous refaisons la dernière mesure sans acte d’aucune manière.

V O I C I L E S R É S U LTAT S .

TABLEAU DE CALCUL DES VALEURS DE BIOMASSE TOTALE D'UNE EAU (en pgATP/ml ou eq.bact./ml)

BIOSURVEILLANCE

Date de la mesure

Volume filtré (en ml)

Standard limite basse (RLU)

Standard limite haute (RLU)

Valeur échantillon

= R1 (en RLU)

Valeur échantillon + standard =

R2 (en RLU)

Valeur R2-R1 (en RLU)

Validité de la mesure Résultat de l'étalon

(RLU/pg)

Quantité d'ATP

(en pg/ml)Equivalent en bactéries / ml

Résultat en LOG

Limite de surveillance

Limite de contrôle

Erreur 1 Erreur 2 Erreur 3

OLIFE 020 03 2018 0 200 3500 177 512 335 0.34 5283.58 5283582 6.72 8.18Juste Apres 0 200 3500 320 564 244 0.24 13114.75 13114754 7.12 8.18

Apres (2H50) 0 200 3500 304 421 117 0.12 25982.91 25982906 7.41 8.188.18

aPRES (5H00) 0 200 3500 1992 2304 312 0.31 63846.15 63846154 7.81 8.188.18

�1

O N C O N S TAT E Q U E :

TABLEAU DE CALCUL DES VALEURS DE BIOMASSE TOTALE D'UNE EAU (en pgATP/ml ou eq.bact./ml)

BIOSURVEILLANCE

Date de la mesure

Volume filtré (en ml)

Standard limite basse (RLU)

Standard limite haute (RLU)

Valeur échantillon

= R1 (en RLU)

Valeur échantillon + standard =

R2 (en RLU)

Valeur R2-R1 (en RLU)

Validité de la mesure Résultat de l'étalon

(RLU/pg)

Quantité d'ATP

(en pg/ml)Equivalent en bactéries / ml

Résultat en LOG

Limite de surveillance

Limite de contrôle

Erreur 1 Erreur 2 Erreur 3

OLIFE 020 03 2018 0 200 3500 177 512 335 0.34 5283.58 5283582 6.72 8.18Juste Apres 0 200 3500 320 564 244 0.24 13114.75 13114754 7.12 8.18

Apres (2H50) 0 200 3500 304 421 117 0.12 25982.91 25982906 7.41 8.188.18

aPRES (5H00) 0 200 3500 1992 2304 312 0.31 63846.15 63846154 7.81 8.188.18

�1

L’indice inflammatoire diminue

L’indice infectieux augmente peu

aPRES (5H00)0 200 3500 1992 2304 312 0.31 63846.15 63846154 7.81

En revanche après 5H00, l’indice inflammatoire revient en position de départ.

L’indice infectieux reste dans la fourchette

La molécule d’Olivum (présente à la fois dans OLIFE et le bain de bouche , semble présenter un

effet anti-inflammatoire intéressant.

Il est à noter l’action générale de même que l’action locale.

Je vous remercie.Docteur Samuel Debard