CaMnet du Doctaur ÂRWADD - Issoire

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Moniteur d'ïssolre

verras, ma Jeannine, comme c'est malde m'avqir soupçonné... Tiens, sonnet o i - m ê m e ? ! » • • • • ; • ? : < ; • • • ; M ? ? ?

Elle hésite. En posant la main sur letimbre, elle voit sur la porte une plaquede cuivre portant celle mention : « Coursde danse » ; ses traits se transforment ;elle croit comprendre à son tour... maisnon, c'est impossible !... « Eh bien son-ne ! » dit Claude, « Mais, j'y songe, jene peux pas avouer la vérité et pourquoitu-m'as suivie, petite jalouse... Tiens,dissimule toi dans ce coin sombre, tuverras sans être vue et nul mouvementde physionomie ne pourra t'jîchapper... »Un peu honteuse, incertaine de ce qu'elledoit croire, elle agit cependant ainsi.Claude a sonné.

La porte s'ouvre, un homme parait : —« Oh ! Oh ! vous êtes en retard MonsieurSourdeval, dit-il en souriant, ce n'est pasalors que vous devenez bon valseur qu'ilfaut écourter les leçons... C'est que j'aià cœur que la surprise soit immense pourvoire jeune femme... Mais il nous restepeu de temps avant ce mariage, il fautle bien employer ! »

— « C'est que, murmura Claude, jene viens ce soir que pour m'excuser ; mafemme est souffrante et j 'ai pu tout justem'échapper pour vous prévenir qu'il mesera impossible de prendre ma leçon cesoir... Oh ! non, ce n'est rien de grave,un simple malaise passager... ». . . ..

* Jeannie et Claude, serrés l'un contrel'autre, parcourent le chemin dans lequeltout à l'heure, tous deux se sont suivis.Elle n'a trouvé qu'un mot en se pressantcontre la poitrine de Claude : <t Par-don !... » Comment eut-il pu garder ran-cune : sa jalousie n'était-elle.; pas unenouvelle preuve d'amour?

Ils marchent silencieusement.' Elleéprouve un irrésistible élan de recon-naissance envers son mari, cet intellec-tuel, si éloigné de toutes choses vaines,qui pour qu'une ombre fugitive ne voilepas les yeux de sa Jeannine, s'est imposéufl fastidieux apprentissage chorégraphi-que.*

,,...De l'amour, jusqu'ici elle n'avaitsoupçonné que les joies ; d'avoir imaginétin gouffre horrible entrouvert sous sespas, elle appréciera mieux désormais sonbonheur: son amour se fera plus grave.La leçon de mathémathiques dissimulaitune leçon de danse, à son tour la leçonde danse cachait une leçon de bonheur.;.

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tion de guérison à tant d'autres et vous témoi-gner toute ma reconnaissance pour la guérisonque m'a procuré votre appareil sans ressort siléger et si souple. Grâce à vous depuis 27 mois,je ne porte plus d'appareil malgré mon âge de56 ans, je vous autorise de publier ma lettre. Avous toute ma reconnaissance.

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Hector MALOT [Zyte, p. 70 et 323).<t De ce flot montant d'articles de jour-

naux que l'Argus de la Presse envoyait àVallobra, malin et soir, un liers environétait étranger : il y en avait de toutes lesnations et dans toutes les langues,: les an-glais les allemands dominaient : ils riaientmôme les plus sérieusement faits. »

Paul ALEXIS (V;i(/oô»-a, p. 183-186).« Continuez-moi ponctuellement l'envoi

de vos Argus, qui m'ont toujours rendu déréels services. »

(Lettre du marquis de Mores, 1893).VArgus de la Presse .se charge de toutes

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docteur en droit, avoué;à Clermont-Ferrand, rue d'Enfer, n° 3i suc1 de M<* NUGER et PERREAU.

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en suite de Faillite^ ,.

en nature de

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Ferre et Terre vagueSitués commune de

GRAND E YROLLË Scanton de CHAMPEIX

arrondissement d'Issoire.

L'Adjudication aura lie\i le QUA-TORZE AOUT 1914, a une heuredu soir, en ta chambve des criéesdu Tribunal civil de Clermont-Ferrand, sise au Palais de Justicede ladite ville [local de la secondechambre)* • • : : . ] ' .

A la requête de Monsieur FrançoisDURAND, agréé près 1© Tribunal deCommerce de Clermont-Ferrand « agis-sant en qualité de syndic et au nom del'union des créanciers de Ja faillite deMonsieur Ernest COUSTEIXPONS,

marchand de bestiaux à Laval, com-mune du Vernet-Sainte-Marguerite.

Poursuivant ayant pour avoué cons-titué M0 G. David, exerçant près leTribunal civil de Clermont Ferrand,demeurant en ladite ville, rue d'Enfer,numéro 3.

Et en vertu d'un jugement sur re-quête rendu par la première chambredu Tribunal civil de Clermont-Ferrand,1e quinze juillet mil neuf cent quatorze,enregistré.

Il sera, aux jour, lieu et heure ci-dessus indiqués, procédé à la vente auxenchères publiques des immeubles dontla désignation suit :

DESIGNATIONTroisième Lot

Une terre vague sise au lieu dit LaQuaire, portée sous les numéros 124 et125 de la section B du plan cadastral,d'une contenance d'environ cinq arescinquante.

Mise à prix : dix francs, ci 10 fr.Quatrième lot . .,',

Une terre sise au lieu dit PierreGrasse et Bagnon, d'une contenanced'environ un hectare rfix ares quatre-vingt centiares, comprise sous les nu-méros 209 et 210, section B du cadastre.

Mise à prix : deux cents fr., ci 200 fr.Cinquième Lot

Un corps de bâtiments d'habitationet d'exploitation sis en la commune deGrandeyrolles, avec cour et aisances,occupant une superficie de un are qua-tre-vingt centiares environ, comprissous les numéros 159 et 192, section Bdu cadastre. ... , ; :

Mise à prix : cinquante fr., ci 50 fr.

Les frais faits pour parvenir 5 lavente sont payables en diminution duprix.

Fait et rédigé par Me G. David, avouépoursuivant soussigné.

Clermont Ferrand, le trente juilletmil neuf cent quatorze.

Signé : G. D A V I D ,avoué.

Pour plus amples renseignements,s'adresser aux avoués de Clermont-Ferrand, qui ont seuls qualités pourenchérir.

Etude,de M»avoué à Issoire.

EXTRAIT, -:•. '•:• v - . . ' _ • • ' , : • . • - . i - ' - • '" • - . . . . - u t ' •-.:' •..'

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JU G E MENT•' . ' j ; . < ; S . . • • • : • ' ':•''.•• p o r t a n t . ;; ? . ? Ï : . : .'.•*. "' ï ;

'INTERDICTION.;:;D'un jugement par défaut rendu par

le Tribunal civil de première instanced'Issoire le vingt-un juillet mil neufcent quatorze, enregistré 9t signifié.

Entre Monsieur Antoine GIROIX,propriétaire, demeurant à Veyssière,commune de Chassagne.

Demandeur ayant pour avoué M8

Greriet.Et Monsieur Jean dit Eugène LOU-

BINOUX, cultivateur, demeurant àDauzat-sur-Vodable.

Défendeur défaillant faute de com-paraître et d'avoir constitué avoué.

Il appert que ledit Monsieur Jean ditEugène Loubinoux, sus-nommé, a étédéclaré interdit de l'administration desa personne el de ses biens.

Issoire, le vingt-sept juillet mil neufcent quatorze.

Pour extrait certifié conforme,Signé : G R E N E T ,

avoué.

Etude de Mc ANGLARET,notaire à Issoire.

Suivant contrat passé devant Me

Anglaret, notaire à Issoire, le treizejuillet mil neuf cent quatorze, MonsieurAndré CHALAMBEL, négociant etMadame Marguerite BELLY ou BELY,son épouse, demeurant ensemble àIssoire, ont fait donation à leur fils,Monsieur Jean François CHALAMBEL,négociant, demeurant à Issoire. f

D'un Forids de Commerce deMarchand de Vaisselle et Ver-rerie exploité à Issoire, rue de laPoterne, n° 1 et place de là République,comprenant : l'enseigne, .le nom com-mercial, l'achalandage y attachés et lematériel servant à son exploitation.

L'entrée en jouissance a été fixée autreize juillet mil neuf cent quatorze.

Les oppositions devront être faites àpeine de forolusion dans les dix joursde la présente insertion et seront repuesen l'étude de M9 Anglaret, notaire àIssoire. -•• > = « - ~ - • • - . • ; ; • / - • • < - • " : • • " •••' ••

Celle insertion est faite en renouvel-lement de celle parue dans le mêmejournal à la date du vingt-deux juilletmil neuf cent quatorze, numéro vingt-neuf.

Pour deuxième insertion :ANGLARET.

REPUBLIQUEUJTR ANC AISE

Ministère de la Guerre

Pain âe Troupe à la RatioE• II sera procédé les 20, 24 et 27 août

1914, à l'adjudication publique de lafourniture et de la fabrication du painnécessaire aux troupes de toutes armesà faire du lor octobre 1914 au 30 sep-tembre 1915, dans toutes les places degarnison du territoire où le servicen'est pas assuré par gestion directe.

En ce qui concerne le départementdu Puy-de-Dôme, l'adjudication duservice de la F o u r n i t u r e d e P a i nde T r o u p e , dans les places de Riomet d'Issoire aura lieu le lundi 24 aoûtprochain, à 14 heures, à Clermont-F e r r a n d . • . ; • - • • • •

Pour tous renseignements complé-mentaires s'adresser à la Ira Sous-In-tendance Militaire de Clermont Fer-rand (place. Michel de l'IIospital) etconsulter les affiches placardées dansles diverses places du département.

I OTA : La date: extrèrm du dépôtdes pièces pour être admis à soumis-sionner est fixée au II août 1914 à,18 heures. . " l