ABD EL NABI Walaa, ASTIER Alizée, KAMARA Bambi, SOARES Rafaela GMO 1
Le secteur cinématographique Un secteur en pleine expansion
Table des matières
Introduction ............................................................................................................................................. 2
Le secteur cinématographique ................................................................................................................ 2
Au niveau mondial ............................................................................................................................... 2
Au niveau de la France ........................................................................................................................ 3
L’histoire du cinéma ............................................................................................................................ 3
Les métiers du cinéma ......................................................................................................................... 3
PESTEL du secteur cinématographique ............................................................................................... 4
Les cinémas indépendants ...................................................................................................................... 4
Face à de nombreux et puissants concurrents.................................................................................... 4
Les organismes pour les aider ............................................................................................................. 5
Comparaison entre deux entreprises du cinéma .................................................................................... 6
Gaumont Pathé ................................................................................................................................... 6
Cinémas Indépendants Parisiens ......................................................................................................... 7
Annexes ................................................................................................................................................... 9
Bibliographie.......................................................................................................................................... 10
Introduction
Le secteur économique correspond à un regroupement d’activités qui apparaissent comme
semblables. On distingue trois secteurs économiques : le secteur primaire, le secteur secondaire
et le secteur tertiaire.
Le secteur du cinéma est essentiellement dominé par une incertitude au niveau de la réussite ou
l’échec d’un film. Même à un stade avancé de la production, le succès commercial reste
pratiquement impossible à prévoir. En termes de prix, il faut distinguer le problème de la
fixation des coûts en amont (en particulier la rémunération des acteurs) alors qu’en aval, trois
prix résument les relations entre les différents acteurs : le billet d’entrée payé par le spectateur,
le prix de location payé par la salle de cinéma (exploitant) pour projeter le film et le prix de
distribution, c’est-à-dire la somme versée par le producteur au distributeur de son film.
L'économie de la filière cinématographique est intégrée à celle de la filière audiovisuelle. Une
part majoritaire des recettes des producteurs de films provient ainsi des ventes télévisuelles ou
sur supports numériques variés (DVD, etc…).
Le secteur cinématographique
Au niveau mondial Il ressort que l’Inde est le plus grand pays producteur de films (1255 en 2011), suivi du Nigéria
(997) et des Etats-Unis (818). L’ISU (institut de statistiques de l’UNESCO) a publié des
données du secteur cinématographique.
Ces nouvelles données mettent en lumière l’importance croissante des pays en développement
dans l’industrie cinématographique. En 2015, les pays en développement représentent 59.4%
de la production mondiale de film (cf. graphique). Les industries cinématographiques en plein
essor de l’Inde et du Nigeria, connues comme Bollywood et Nollywood, sont à l’origine de
cette croissance. En Inde, par exemple, la production de films a presque doublé depuis 2005,
où elle atteignait déjà plus de 1000 films. Avec l’introduction de la technologie numérique, la
production de films en Inde a commencé à exploser à partir de 2012, pour atteindre 1907 en
2015.
Ces 25 dernières années, le secteur cinématographique a connu une croissance soutenue, que
ce soit au niveau des films proposés ou de la fréquentation des salles. De nos jours,
superproductions américaines et films d'auteur se côtoient sur un marché qui connaît des
changements structurels importants du fait d'un déclin tout récent de l'activité.
De plus, le marché des biens culturels semble prendre une place substantielle dans nos
économies modernes. On appelle « bien culturel » un bien de consommation qui transporte des
valeurs et des modes de vie et qui permet de diffuser une identité culturelle tout en modifiant
les pratiques culturelles. En 1996, les ventes de produits culturels à l'international (dont le
cinéma fait partie) dépassaient aux Etats-Unis les secteurs de l'agriculture, de l'aérospatial, de
l'automobile et de la défense. Le cinéma semble donc cacher différents enjeux culturels et
économiques.
Au niveau de la France La France se défend bien en termes de chiffre d’affaires. Elle passe la barre des 200 millions de
tickets vendus en 2017, soit le 3e meilleur résultat depuis 50 ans. Malgré la concurrence des
sites de vidéos à la demande type Netflix, Amazon ou Hulu, les salles de cinéma continuent
plus que jamais à faire le plein. La part du cinéma français est en hausse de 2,6 % à 78 millions
d'entrées alors que celle des films américains diminue de 8,6% à 102 millions, selon le Centre
National du Cinéma (CNC).
Depuis l’an 2000, le nombre d’entrées et le nombre de séances augmentent sans cesse, malgré
un léger relâchement en 2017. La fréquentation des salles est très irrégulière d’une année sur
l’autre : certains millésimes cinématographiques attirent ainsi plus de spectateurs que
d’autres. « C’est souvent dû à une conjonction de films français et américains très attendus sur
une même année », note Benoît Danard, directeur des études statistiques et de la prospective au
Centre national du cinéma (CNC). Avec 2016 cinémas, la France est le quatrième pays le plus
équipé au monde derrière les Etats-Unis, l’Inde et la Chine, mais en termes de services, le retard
est criant. En France, on peut imprimer chez soi ses billets de train, d’avion et ses timbres-poste,
mais pas ses tickets de cinéma, d’où les files d’attente qui découragent particulièrement les
jeunes. On voit justement que les jeunes se rendent de moins en moins au cinéma (annexe).
L’histoire du cinéma Les frères Lumière, bien qu'ils n'aient pas directement créé le Cinématographe (invention de
Léon Bouly en 1892), en déposent le brevet le 13 février 1895. Ils tournent quelques films en
1894 et en effectuent des projections privées en 1895. Cette même année, ils décident
d'organiser une projection publique payante, le 28 décembre 1895, au salon Indien du Grand
Café, à Paris.
Il s'agit d'une révolution dans le sens où le cinéma est le premier art né de la révolution
industrielle. Pour la première fois, la représentation du mouvement est libre des contraintes
spatiales et temporelles (théâtre, danse) et la narration est valorisée, offrant de grandes
perspectives avec les illusions de trucage et le montage.
Les métiers du cinéma Dans le secteur cinématographique on trouve plusieurs métiers plus ou moins connus mais tout
aussi utiles. Parmi les plus connus :
- Scénariste : écrit tous les éléments du tournage (dialogues, décors, attitudes…)
- Acteur : joue les rôles décrits par le scénariste
- Réalisateur : dirige la fabrication audiovisuelle du film
- Producteur : recherche des projets de films et met en œuvre le financement
- Monteur : sélectionne et assemble les séquences
- Maquilleur / costumier : habille et maquille les acteurs et les figurants
- Cadreur : filme les séquences (cameraman)
- Ingénieur son : assure la qualité du son lors des prises (micro etc)
PESTEL du secteur cinématographique
Économique : Depuis 2000, le nombre d’entrées et de séances en salle de cinéma ne cesse de
progresser en France. Pour la troisième année consécutive, les entrées en salles ont ainsi dépassé
la barre des 200 millions en 2016, atteignant leur deuxième meilleur niveau depuis cinquante
ans. En 2016, le nombre d’entrées au cinéma était de 213 millions d’euros, soit +3,6 par rapport
2015. 43% C'est la part de marché des films français qui poursuit sa progression sur le 1er
trimestre 2017 par rapport à début 2016. Activité supplémentaire générée par les crédits d’impôt
: 211 M€ au titre des films d’initiative française dont le tournage a été relocalisé en France et
59 M€ au titre des productions étrangères partiellement ou entièrement tournées dans
l’Hexagone.
Socioculturel : Le cinéma, c’est la sortie culturelle préférée des Français avec l’ouverture en
mars 2017 de la toute première salle 4DX en France, au Pathé la Villette. Le nombre d’entrées
au cinéma à fortement augmenter (Annexe 1). De moins en moins de jeunes vont au cinéma,
tandis que la fréquentation des seniors augmente sans discontinuer (Annexe 3). En 2015, les
deux catégories atteignent le même score : 32,2 % des spectateurs ont moins de 25 ans et autant
ont plus de 50 ans. Sur les 205 millions de tickets de cinéma vendus en 2015, presque 25 % des
entrées ont été réalisées grâce à 3,6 % de spectateurs assidus, c’est-à-dire se rendant au cinéma
plusieurs fois par semaine. Si l’on s’attache à observer la population cinéphile en fonction du
sexe des amateurs de grand écran, on peut observer que les femmes se rendent plus
régulièrement au cinéma (Annexe 2).
Technologique : Mise en place de nouveaux dispositifs avec l’ouverture en mars 2017 de la
toute première salle 4DX en France. Les avancées technologiques et numériques utilisant les
hommes pour jouer des créatures extraterrestres ou autres, grâce aux ordinateurs et aux images
de synthèse, ont révolutionné l’industrie du cinéma mondial. Exemple d’Avatar 2 qui sortira au
cinéma en 2020, tournant technologique de la prochaine décennie cinématographique, Avatar
doit servir de test grandeur nature à la 3D stéréoscopique.
Légal : Le droit du cinéma est défini par le code de l'industrie cinématographique ainsi que par
de nombreuses dispositions réglementaires. Ce code rassemble pour l'essentiel des textes
adoptés avant 1956 et il n'a jamais fait l'objet d'une modernisation d'ensemble depuis cette date.
Les droits de diffusion à la télévision sont très strictes également (décret n°90-66). Aussi, les
partenaires sociaux du cinéma ont signé, sous l’égide du CNC, un accord après de longs mois
de discussion. Les salles se sont engagées à “mieux diffuser, et plus longtemps, les films de
distributeurs plus petits”. On revient à une idée de contrat entre distributeurs et salles.
Les cinémas indépendants
Face à de nombreux et puissants concurrents Sur Paris, en 10 ans les salles indépendantes parisiennes ont perdu 32% de leurs entrées, 31%
de leurs recettes et de leurs fauteuils. Malgré les subventions du CNC, de la Mairie de Paris et
de la région, les salles indépendantes de Paris sont financièrement faibles. Trois opérateurs
(Gaumont Pathé, UGC et MK2) se développent leur faisant de l’ombre. Ils détiennent 88% des
pdm des films d’auteurs et presque 100% pour les films commerciaux.
En France, les trois principaux opérateurs (Gaumont, UGC et CGR) détiennent, grâce à leurs
multiples écrans bien répartis sur le territoire, 73% des parts de marché de la région de
Bordeaux, 75,8% sur la région de Marseille, 86% sur la région Nord, 79% de la région Est.
Les salles indépendantes vont à terme devoir fermer si elles ne réussissent pas à avoir accès aux
films qui leur assureraient un bon équilibre économique.
Les écrans de ces géants du cinéma diffusent tous les mêmes films à des prix plus ou moins
similaires. Les salles indépendantes quant à elles, pratiquent des prix plus bas. Ces cinémas
indépendants n’ont plus accès aux films les plus populaires et ont de moins en moins accès aux
grands films d’auteurs qui ont pourtant été leur point fort et qu’elles ont contribué à les
développer dans le pays.
Les organismes pour les aider L’association des Cinémas Indépendants de Paris aide leurs 28 salles partenaires à la promotion
et la communication de leurs séances. Les salles sont réunies depuis 25 ans afin de regrouper
les moyens pour renforcer le secteur indépendant parisien, conquérir de nouveaux publics, et
défendre l’art du cinéma. En attirant les collèges, lycées et autres organes éducatifs, les CIP
font connaître leurs salles en offrant un contenu pédagogique pour les enseignants. En effet les
CIP coordonnent des actions d’éducation au cinéma. Par la création de la ciné carte CIP,
l’association permet au public d’accéder plus facilement, plus rapidement aux salles. Elles sont
alors plus accessibles et visitées. De plus, l’organisation d'événements tels qu’ « Avant-
première » ou « L'enfance de l’art », permet de diversifier ses offres. CIP fait en sorte d’attirer
toujours plus de clients avec le développement futur de chèques CE, afin de s’intégrer dans un
public plus large, et chercher des clients et des salles partenaires autour des frontières de Paris.
Aussi, le CNC et de nombreux syndicats du cinéma aident financièrement les activités des salles
indépendantes. Celles-ci perçoivent des subventions, des aides promotionnelles, et un soutien.
Le Centre national de la cinématographie (CNC) a été créé par la loi du 25 octobre 1946.
Établissement public à caractère administratif, il est doté de la personnalité juridique et de
l'autonomie financière et placé sous l'autorité du ministère de la culture et de la communication.
Ses missions montrent sa spécificité, liée à son double visage : administration d'État d'une part,
et opérateur de l'État, d'autre part, qui lui confère une efficacité reconnue.
Comparaison entre deux entreprises du cinéma
Gaumont Pathé
Les cinémas Pathé
Gaumont est une
filiale du groupe
Pathé, spécialisée dans l’exploitation cinématographique. La société a été fondée en juin 2001
sous le nom de Europlaces, elle exploite les cinémas aux enseignes Pathé et Gaumont.
Les cinémas Gaumont Pathé a été créée en tant que coentreprise des sociétés françaises de
production et de distribution cinématographiques Pathé et Gaumont, détenues respectivement
par Jérôme Seydoux et Nicolas Seydoux. Gaumont en possédait 34% et Pathé 66% des actions
de la coentreprise. Au cours des premières années d’exploitation, la société s’appelait
Europalaces, mais elle a ensuite été modifiée.
La société des Cinémas Pathé Gaumont est présente en France, en Suisse, aux Pays-Bas et en
Belgique. La société est le leader du marché dans chaque pays, à l’exception de la Belgique.
Les cinémas Pathé et Gaumont totalisent en 2017, 66,2 millions d'entrées pour un total de 111
cinémas et 1 091 écrans. En 2017, le chiffre d'affaires s'établit à 760 millions d'euros.
En France, la société exploite, en 2017, 69 cinémas totalisant 773 salles ayant réalisé 46,2
millions d'entrées et emploie 1 800 collaborateurs. Le groupe a prévu de lancer un programme
d'investissement pour les cinq années à venir. Il propose une offre d’abonnement illimité, le
Ciné Pass qui permet d’aller au cinéma régulièrement à un prix très accessible. Pourtant
l’abonnement au cinéma peine à se répandre massivement.
SWOT GAUMONT PATHÉ
Forces
Gaumont Pathé dispose d’un grand nombre
de salles, situées distinctement.
Une grande partie de ses salles sont équipés
du dispositif 3D ou encore tout récemment
la 4Dx. Le groupe dispose également de
nombreux partenariats (EclairGame,etc..)
Faiblesses
A cause du manque de nouveautés et
d'équipements, certaines salles de cinéma du
groupe ne sont pas équipées de jeux ou
d’écrans animés pour pouvoir laisser le
temps de patienter aux clients.
Opportunités
Le secteur du cinéma est en pleine
croissance avec de nombreuses nouveautés
qui permettent aux cinémas de se spécialiser
ou de se diversifier.
Elle dispose d’une fréquentation diverse
(senior, jeunes etc..)
Menaces
En raison d’un environnement hostile, les
entrées dans les salles de cinéma ont
fortement baissé, ce qui a fragilisé le secteur.
De plus le développement de la plateforme
Netflix nécessite une grande prudence des
cinémas.
Cinémas Indépendants Parisiens
Cinémas Indépendants Parisiens est une
association culturelle créée en 1992,
regroupant un réseau de 28 salles art et essai
indépendantes (76 écrans), réunies autour de
projets de tarifications communes (tarif jeune
public CIP, carte abonnement, chèque CE), de
programmations partagées et d’animation de
séances (Avant- premières, l’Enfance de
l’art).
Avant, elle était sous la dénomination de Paris
ciné recherche, et à partir de 1997 elle décide
de changer et opte pour Cinémas
Indépendants Parisiens. Cette modification est
due à l’augmentation des salles adhérentes qui
ne sont pas toutes des salles de recherche mais
des salles d’art et essai. Ainsi la nouvelle
dénomination de l’association se trouve être
plus en accord avec les adhérents.
CIP a pour objectifs de mettre en place des moyens pour renforcer le secteur indépendant
parisien, conquérir de nouveaux publics et les rendre sensibles au cinéma en tant qu’art. Elle
veut promouvoir et répandre la culture cinématographique en favorisant son accès au plus large
public et en mettant en avant les activités des exploitants indépendants des salles de cinémas
parisiens. Elle a ainsi élaboré différentes activités d’éducation à la culture cinématographique
en temps scolaire (Les rendez-vous des cinémas indépendants Parisiens) et hors temps scolaire
(L’enfance de l’art- cinéma). CIP est également chargé de la mise en place à Paris de plusieurs
dispositifs nationaux d’éducation à l’image comme : Collège au cinéma, Lycéens et apprentis
au cinéma et du pilotage d’ateliers de création artistiques de longue durée. CIP participe ainsi à
l’éducation de l’art cinématographique et l’art de l’image notamment avec comme cible un
public jeune et des enseignants à l’aide de tous dispositifs scolaires privés ou publics.
Egalement elle essaye de mettre en place des actions pour une meilleure promotion des films
novateurs. Ses objectifs sont de développer la fréquentation des cinémas indépendants
notamment par la rénovation des sites de chaque salle, le développement des échanges
d’informations entre les adhérents, le public, la région, la ville de Paris et tout autre
établissement public ou privé ayant une compétence dans le domaine d’exploitation de cinémas.
Ils mettent en place des moyens humains, financiers et techniques qui sont nécessaires à la
réalisation des objectifs de l’association en faisant par exemple appel à des partenaires
professionnels extérieurs. Pour finir leur objectif est de représenter les adhérents tant au point
de vue national qu’international. Les salles faisant partie de CIP sont seulement situées sur
Paris et leur objectif est de s’étendre en banlieues afin d'accroître son activité.
CIP a lancé un programme
d’abonnement avec deux offres
différentes, les adhérents pourront
alors adhérer au concept de la Ciné
Carte CIP. Annoncée comme une
alternative à l’offre illimitée
proposée par Gaumont/Pathé l’offre
regroupe 24 sites indépendants,
regroupés au sein de l’association.
Deux offres sont proposées aux
clients à la recherche d’offres
alternatives et d’une programmation
rigoureuse de quartier, CIP propose
une carte de 5 places à 30 euros,
valable 6 mois ainsi qu'une carte de
9 places à 48 euros, valable 9 mois.
Non nominative et rechargeable en
salle et en ligne, la carte elle inclut
les frais de gestion, contrairement
aux grands circuits qui aiment
demander aux clients la charge des
frais de dossier.
Bibliographie
Gralon, Cinémas Indépendants Parisiens CIP, disponible sur https://www.gralon.net/mairies-
france/paris/association-cinemas-independants-parisiens-cip-paris_W751103661.htm
UNESCO, Indicateurs pour l’industrie du cinéma, disponible sur
http://uis.unesco.org/fr/news/indicateurs-pour-lindustrie-du-cinema
L’Etudiant, le cinema un secteur porteur pour l’emploi, disponible sur
https://etudiant.lefigaro.fr/article/le-cinema-un-secteur-porteur-pour-l-emploi-en-france_6a084136-
29b3-11e7-aee4-98c78486978d/
Letsgofrance, le cinéma une industrie française en plein boom, consulté le 20/11/18, disponible sur
https://letsgofrance.fr/secteurs//cinema-une-industrie-francaise-en-plein-boom Le Monde, Comment le cinéma se porte-t-il en France, disponible sur
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/05/19/en-chiffres-l-etat-du-cinema-en-france_4922637_4355770.html
CNC, L’exportation des films français en 2016, disponible sur https://www.cnc.fr/cinema/etudes-et-rapports/etudes-prospectives/lexportation-des-films-francais-en-2016_229978
Avoir Alire, Exploitation salle Paris : lancement de la carte CIP, disponible sur https://www.avoir-alire.com/exploitation-salle-paris-lancement-de-la-carte-cip-contre-ugc-et-
gaumont-cette-semaine
Mediapart, Un cinéma indépendant peut il encore exister face aux grancdes enseignes ?, disponible
sur : https://blogs.mediapart.fr/michel-ferry/blog/200717/un-cinema-independant-peut-il-encore-
exister-face-aux-grandes-enseignes
Musée-virtuel, Brève histoire du cinéma, consulté le 14/12/18, disponible sur http://www.musee-
virtuel.com/histoire-cinema.htm
Wikipédia, Histoire du cinéma :la naissance d’une industrie, consulté le 14/12/18, disponible sur
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_cin%C3%A9ma#Naissance_d'une_industrie
CNC, réglementation des relations cinéma-télévision, disponible sur https://www.cnc.fr/a-propos-du-
cnc/missions/reglementer/reglementation-des-relations-cinema-television
Sénat, https://www.senat.fr/rap/l08-150/l08-15060.html
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