PRODUITS ET CHARGES D’EXPLOITATION
Chiffre d’affaires des télévisions nationales en 2000 (en MF)
Secteur public Secteur privé
FRANCE 2 FRANCE 3 LA CINQUIÈME TF1 M6 CANAL+
Redevance d’exploitation (1) 3 406,7 4 122 734,8 - - -
Publicité et parrainage (2) 2 646,9 1 737,7 59,6 9 734 3 573,6 662
Abonnements - - - - - 9 249
Autres 89,7 521,3 8,8 51 62,7 512
Chiffre d’affaires 6 143,3 6 381 803,2 9 785 3 636,3 10 423
Répartition du chiffre d’affaires en 2000 (en %)
FRANCE 2 FRANCE 3 LA CINQUIÈME TF1 M6 CANAL+
Redevance d’exploitation 55,4 % 64,6 % 91,5 % - - -
Publicité et parrainage 43,1 % 27,2 % 7,4 % 99,5 % 98,3 % 6,4 %
Abonnements - - - - - 88,7 %
Autres 1,5 % 8,2 % 1,1 % 0,5 % 1,7 % 4,9 %
Chiffre d’affaires 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 %
Evolution du chiffre d’affaires et du coût de grille en 2000 (en %)
FRANCE 2 FRANCE 3 LA CINQUIÈME TF1 M6 CANAL+
Evolution du chiffre d’affaires 7,6 % 7,6 % 4,1 % 16 % 22,9 % - 1,5 %
Evolution du coût de grille 4,2 % 4,9 % 4,8 % 2,4 % 12,4 % 12,5 %
Coût de grille / CA 66,1 % 64,8 % 54,9 % 50 % 33,8 % 46,7 %
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I. RÉSULTATS DES SOCIÉTÉS
(1) La redevance d’exploitation entre dans le calcul du chiffre d’affaires au compte de résultat.En revanche, la redevance d’investissement apparaît au passif du bilan.
(2) Les recettes de publicité et de parrainage représentent des montants nets des frais de régie pour TF1, Canal+ et France 3 et des montantsbruts pour M6, France 2 et La Cinquième.
LE SECTEUR PUBLIC : FRANCE TÉLÉVISION
La création du nouveau groupe audiovisuel public France Télévision dans le cadre de la loi du 1er août 2000constitue sans nul doute une évolution majeure pour les trois sociétés nationales de programmes France 2,France 3 et La Cinquième.
Comptes de résultat simplifiés des chaînes publiques pour 2000 (en MF)
FRANCE 2 FRANCE 3 LA CINQUIÈME
Chiffre d’affaires 6 143,3 6 381 803,2
Dont Redevance 3 406,7 4 122 734,8
Publicité et parrainage 1 2 646,9 1 737,7 59,6
Autres produits d’exploitation 3 289,8 2 037,7 540,6
Total Produits d’exploitation 9 433,1 8 418,7 1 343,8
Total Charges d’exploitation 9 226,3 8 455 1 317,1
RÉSULTAT D’EXPLOITATION 206,8 – 36,3 26,7
Résultat financier 32,2 23,8 3,4
Résultat exceptionnel – 177,5 30,8 – 29,2
RESULTAT NET 2000 61,3 19,7 0,4
(1) Montants nets des frais de régie pour France 3 et bruts pour France 2 et La Cinquième.
FRANCE TÉLÉVISION
Le coût de grille global du groupe France Télévision s’établit en 2000 à 8,6 MdF. Les différentes compo-santes de celui-ci s’élèvent respectivement à plus de 4 milliards pour France 2 comme pour France 3 et àplus de 430 MF pour La Cinquième. La répartition de ces charges traduit clairement l’augmentationsensible du coût des programmes sportifs, du fait de la couverture de l’Euro 2000 et des Jeux olympiquesde Sydney (respectivement + 55 % et + 71 % pour France 2 et France 3). Le coût de grille progresse globa-lement de 4,6 % et ne représente plus que 62,7 % du chiffre d’affaires consolidé (13,8 MdF), dont la crois-sance a été plus rapide en 2000 (+ 10 %). Il en ressort un ratio coût de grille/chiffre d’affaires en chute de5 points par rapport à 1999 (près de 66 %).
France 2
Malgré le recul des recettes propres de la chaîne liée à la limitation publicitaire, France 2 affiche en 2000un chiffre d’affaires de plus de 6 milliards de francs, qui s’explique par le surplus de redevance accordé à lachaîne, dont les ressources publiques représentent désormais plus de 3,4 MdF. Au total, les produits d’ex-ploitation s’élèvent à 9,4 MdF, en progression de 825 MF par rapport à 1999 (+ 9,6 %), du fait essentiel-lement de l’évolution des ressources publiques (+ 29 %) et des recettes de publicité et de parrainage(– 6,3 %), qui s’élèvent à 2,6 MdF en 2000 (– 6,3 %).
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L’année 2000, marquée par de grands événements sportifs (Euro 2000 et JO de Sydney) et la mise en placede la réduction du temps de travail, est également caractérisée par la maîtrise des dépenses prévues surl’année. Les charges d’exploitation s’établissent néanmoins à 9,2 MdF, en augmentation de près de 493 MFen 2000 (+ 5,6 %). Cette évolution concerne essentiellement les droits de retransmission et les prestationsde sous-traitance et assimilées, qui augmentent de 303 MF (+ 22 %) du fait des événements sportifs del’année, et le coût des programmes d’autre part (+ 3,3 %). Le coût de grille s’élève ainsi à plus de 4 MdF en2000, en progression de + 165,2 MF par rapport à 1999 (+ 4,2 %).
Dans ce contexte, le résultat d’exploitation de France 2 se retrouve largement positif à 206,8 MF, après avoiraccusé une perte de 125,9 MF sur l’exercice précédent (du fait notamment des dotations relatives aux provi-sions sur événements sportifs, établies à 122,2 MF en 1999). Notons que les opérations de transfert destitres à France Télévision, qui s’avèrent globalement neutres sur le résultat de l’exercice, se traduisent parune incidence positive de 43,5 MF sur le résultat financier (32,2 MF contre – 24,9 MF en 1999) et unimpact négatif équivalent sur le résultat exceptionnel (toujours déficitaire à – 177,5 MF).
Le résultat net de l’année 2000, en forte amélioration (contre une perte de 249,8 MF enregistrée en 1999),traduit le redressement financier de France 2 et dégage un bénéfice de 61,3 MF, intégrant notamment l’in-cidence des dotations complémentaires aux amortissements dérogatoires (soit – 181,3 MF).
France 3
Le chiffre d’affaires de France 3 s’élève à près de 6,4 milliards de francs en 2000, soit une progression de451 MF par rapport à 1999 (+ 7,6 %), liée à la forte hausse de la redevance (+ 482,2 MF), qui s’établit àplus de 4 MdF sur l’exercice. Au total, les produits d’exploitation atteignent 8,4 MdF, en hausse de 684 MF(+ 8,8 %) du fait de l’augmentation des ressources publiques (+ 13,2 %), qui vient largement compenser labaisse des recettes publicitaires et de parrainage, établies à 2,6 MdF (– 2,6 %).
De leur côté, les charges d’exploitation, en augmentation de 568 MF par rapport à 1999 (+ 7,2 %), s’élè-vent à près de 8,5 MdF en 2000. Comme pour France 2, la croissance du coût de grille de France 3, quis’inscrit à 4,1 MdF (+ 193,5 MF, soit + 4,9 %), est principalement liée à la couverture des grands événe-ments sportifs de l’an 2000. Notons que ce coût est comparable à celui des autres grandes chaînes hert-ziennes pour un volume de diffusion deux fois supérieur (17 870 heures).
Le coût des grilles régionales progresse à lui seul de plus de 134 MF, pour s’établir à près de 1,8 MdF. France3 a ainsi supporté des charges supplémentaires sur l’année 2000, en raison des nouveaux objectifs de diffu-sion et de l’augmentation des frais de personnel, liée notamment à la mise en place des 35 heures et à l’ac-cord sur les intermittents techniques (AESPA).
Ces facteurs ont permis d’engager un rétablissement des équilibres d’exploitation en 2000, la chaîne affi-chant cependant un résultat d’exploitation toujours négatif de 36,3 MF (contre – 152,9 MF en 1999). Lasituation financière de France 3 se retrouve ainsi bénéficiaire, avec un résultat net positif de 19,7 MF (àcomparer à la perte de 118,6 MF enregistrée l’année précédente).
La Cinquième
L’exercice 2000 s’est inscrit pour La Cinquième dans un contexte bien particulier, marqué par l’abandon duprocessus de fusion avec Arte France et par l’intégration de la société au sein du groupe France Télévision.La nouvelle équipe de direction a alors engagé un processus de réorganisation et s’est attachée à faire aboutir
SITUATION FINANCIÈRESITUATION FINANCIÈRE
les chantiers restés en suspens. Ainsi, le contrat de régie que La Cinquième négociait avec France TélévisionPublicité a été finalisé et, concernant l’activité de la Banque de programmes et de services (BPS), les litigesopposant La Cinquième à ses sociétés prestataires ont été résolus dans le cadre d’une économie maîtrisée.
La gestion de la chaîne, née en 1995, a permis à la « Télévision du savoir, de la formation et de l’emploi »de dégager de nouvelles marges de manœuvre grâce à l’amélioration de ses ressources propres et à la réali-sation d’économies sur ses dépenses de fonctionnement, malgré la hausse sensible des charges supportées.Les produits d’exploitation s’élèvent ainsi à plus de 1,3 milliard de francs, en hausse de près de 116 MF parrapport à 1999 (+ 9,4 %). En croissance légèrement plus rapide, mais sur un montant moindre, les chargesd’exploitation passent de 1,2 à 1,3 milliard de francs. Cette progression de près de 120 MF en 2000(+ 10 %) est liée en bonne partie à l’évolution du coût de grille, établi à 441,3 MF (+ 4,8 %).
Au total, le résultat d’exploitation se réduit pour s’établir à 26,7 MF (contre 30,5 MF en 1999), tandis quele résultat net reste stable à 0,4 MF par rapport à l’an passé (près de 444 KF contre 405 KF en 1999).
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Année de transition avec la création de la holding, l’année 2000 a vu la mise en place de synergies dans la gestion des trois chaînes publiques, qui devraient connaître leur plein
développement dans les années à venir.
LE SECTEUR PRIVÉ : TF1, M6, CANAL+
Comptes de résultat simplifiés des chaînes privées (en MF)
TF1 M6 CANAL+
CHIFFRE D’AFFAIRES 9 785 3 636,3 10 423
Dont Publicité et parrainage (1) 9 734 3 573,6 662
Abonnements – – 9 249
Autres 51 62,7 512
Autres produits d’exploitation (2) 724 367,2 72
Total Produits d’exploitation 10 510 4 003,5 10 495
Total Charges d’exploitation 7 745 2 744,1 10 115
RÉSULTAT D’EXPLOITATION 2 765 1 259,4 380
Résultat financier 158 224,5 – 26
Résultat exceptionnel 500 – 97,5 – 144
RESULTAT NET 2000 2 349 1 017,6 59
(1) Montants nets des frais de régie pour TF1 et Canal+ et bruts pour M6.
(2) Ventes de droits de diffusion et refacturations de charges ou de matériels aux filiales.
TF1
TF1 reste de loin la première chaîne nationale en matière d’investissements publicitaires. Sa part de marchépublicitaire a atteint 53,8 % en 2000 tandis que, dans le même temps, compte tenu de la concurrenceaccrue de l’offre des chaînes thématiques, sa part d’audience subissait une légère érosion pour s’établir à33,4 %.
Dans la ligne des exercices précédents, TF1 a bénéficié d’une nouvelle croissance et présenté des résultatsfinanciers remarquables pour l’exercice 2000. La société TF1 a en effet réalisé un chiffre d’affaires, essen-tiellement publicitaire, de près de 10 milliards de francs (9 785 MF), en hausse de 16 % par rapport àl’année précédente. Ce montant correspond principalement (99 %) aux recettes nettes (1) de publicité et deparrainage, lesquelles s’élèvent à 9 734 MF, en croissance forte de 17,6 %.
Le total des produits d’exploitation s’est élevé à 10,5 MdF, en augmentation de 16,2 % par rapport à 1999.Parallèlement, les charges d’exploitation qui s’établissent à 7,7 MdF n’ont augmenté que de 8,1 %, en raisonde la stabilité bien maîtrisée de la masse salariale (924 MF, contre 896 MF en 1999) et du coût desprogrammes (4 862 MF, contre 4 749 MF en 1999). Il en ressort un résultat d’exploitation de 2 765 MF,en augmentation de 46,8 % par rapport à 1999 (1 884 MF).
Le coût de grille de TF1 – c’est-à-dire le total des coûts internes et externes des programmes diffusés aucours de l’exercice (y compris les charges relatives aux droits de diffusion échus ou réformés) – s’est main-tenu en 2000 à 4 862 MF (contre 4 749 MF en 1999), soit un surplus de 113 MF en progression de 2,4 %.
La majeure partie du coût de grille a porté sur les programmes de fiction qui, bien qu’en légère baisse avec1 305 MF, représentent 26,8 %, sur le sport (850 MF), qui compte pour 17,5 % du coût de grille et surl’information (700 MF), qui constitue 14,4 % du coût de grille. Il ressort que la croissance du chiffre d’af-faires de TF1 (+ 16,2 %) a encore été très supérieure en 2000 à celle de son coût de grille (+ 2,4 %). Cedernier représente néanmoins 50 % du chiffre d’affaires mais s’infléchit notablement par rapport aux exer-cices précédents.
Grâce à un maintien soutenu des coûts, la première chaîne généraliste améliore encore ses marges. Comptetenu par ailleurs d’un résultat financier positif de 158 MF (contre 98 MF en 1999) et d’un résultat excep-tionnel (2) de 500 MF, de la participation des salariés et de l’impôt sur les sociétés (984 MF), en augmenta-tion sensible de 31,2 % par rapport à 1999, le bénéfice de la société s’établit à plus d’un milliard de plusqu’en 1999.
TF1 a en effet dégagé en 2000 un bénéfice net de 2 349 MF (358,1 M€), soit un doublement par rapportà 1999 (1 173 MF), qui lui permet d’afficher un excellent taux de rentabilité nette (résultat net / chiffred’affaires) de 24 % en 2000 (à comparer avec 13,9 % en 1999, 12 % en 1998 et 8,1 % en 1997). Le ratiorésultat net / capitaux propres traduit une amélioration de la rentabilité financière de TF1 SA, qui atteintle niveau le plus élevé depuis 1996, à 37 % en 2000 (+ 12 points par rapport à 1999).
M6
Les investissements publicitaires des annonceurs à destination de M6 ont progressé trois fois plus vite(+ 18,9 %) que la croissance globale du marché publicitaire de la télévision (+ 6,1 %), ce qui permet audiffuseur de se positionner comme la deuxième chaîne en termes de part de marché publicitaire derrière
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SITUATION FINANCIÈRE
.
.
(1) Est déduit le coût de régie de TF1 Publicité, qui atteint 570 MF en 2000 : les recettes de publicité et de parrainage brutes s’élè-vent donc en 2000 à 9 734 MF + 570MF = 10 304 MF.(2) Essentiellement dû à des plus-values sur cessions de titres reclassés au sein du groupe TF1.
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.
TF1. Ainsi, d’après SECODIP, la part de marché publicitaire du diffuseur s’est établie à 21,4 % en 2000,soit 2,3 points de plus qu’en 1999. Cette évolution s’est cependant accompagnée d’une érosion de la partd’audience (1) de la chaîne, de 13,6 % à 12,7 % en moyenne, due principalement au changement de métho-dologie opéré par Médiamétrie.
Dans le prolongement de 1998 et 1999, M6 affiche de très bons résultats économiques et financiers pour2000. Le diffuseur a en effet réalisé un chiffre d’affaires de plus de 3,6 milliards de francs (554,3 M€), enaugmentation de 22,9 % par rapport à l’exercice précédent. Ce montant correspond principalement auxrecettes brutes (2) de publicité et de parrainage (98 %), lesquelles s’élèvent à près de 3,6 MdF, après avoiraugmenté de 23,7 % au cours de l’exercice. Avec un montant de 3 457 MF, les recettes publicitaires strictosensu (écrans) ont crû de 23,7 %. S’agissant des recettes de parrainage, qui atteignent 116,4 MF, elles affi-chent une progression de 24,4 %.
Le total des produits d’exploitation s’élève à 4 MdF, en augmentation de 21,6 % par rapport à 1999.Parallèlement, les charges d’exploitation, qui ressortent à 2,7 MdF, s’accroissent de 14,5 % au cours del’exercice. Il en résulte une nouvelle amélioration du résultat d’exploitation (+ 363 MF) avec un montantde 1 259,4 MF en 2000, contre 895,9 MF en 1999.
Le coût de grille de M6, c’est-à-dire le total des charges afférentes à l’ensemble des programmes diffusés aucours de l’exercice, atteint 1 229,2 MF en 2000, en augmentation sensible de 12,4 % comparée à l’annéeprécédente (+ 7,2 % par rapport à 1998). Dans l’évolution générale du coût de la grille, l’effort financierdu diffuseur en matière de programmes s’est concentré sur la fiction (+ 15 %). Le poste Magazines etMusique, qui avait progressé sensiblement en 1999 (+ 24,3 %), connaît une progression de 10,7 % en2000. Enfin, les dépenses correspondant à l’information et aux décrochages locaux s’accroissent de 4,5 %.
L’exercice 2000, comme l’année précédente, s’est caractérisé par une croissance du chiffre d’affaires de M6supérieure à la croissance de son coût de grille. Le poids de ce dernier dans le chiffre d’affaires diminueencore pour se situer à 33,8 %.
Par ailleurs, M6 a dégagé un résultat financier positif de 224,5 MF, du même ordre que celui de 1999. Dansces conditions, le résultat courant avant impôt s’établit à 1 483,9 MF, soit un gain de 348 MF par rapportà 1999. Après prise en compte d’un résultat exceptionnel négatif (– 97,5 MF), de la participation des sala-riés et de l’impôt sur les sociétés, le bénéfice de la société atteint plus d’un milliard de francs (1 017,6 MFou 155,1 M€) en 2000, soit 128 MF de plus qu’en 1999.
Il en résulte une remarquable rentabilité nette (résultat net / chiffre d’affaires) atteignant 27,9 %, contre30 % en 1999. Le ratio résultat net / capitaux propres traduit également une exceptionnelle rentabilitéfinancière de la société M6 qui atteint 36,6 % en 2000.
Canal+
L’exercice 2000 a été marqué pour Canal+ par l’opération de fusion, effective le 8 décembre 2000, avec lasociété française Vivendi et la société canadienne Seagram, donnant naissance au nouveau groupe VivendiUniversal.
La principale conséquence a été pour la chaîne cryptée de ne conserver que les activités d’édition et de diffu-sion ainsi que la propriété de la base d’abonnés, dont la jouissance a été apportée à la société Canal+
(1) Source Médiamétrie (sur les individus de 4 ans et plus).(2) Les frais de régie (295,8 MF en 2000) ne sont pas déduits des recettes de publicité et de parrainage brutes.
169
SITUATION FINANCIÈRE
Distribution dans le cadre d’une convention de distribution. C’est pourquoi il convient de souligner lesfortes incidences de cette fusion sur les comptes sociaux et consolidés, pour pouvoir apprécier leur compa-rabilité entre l’année 2000 et l’exercice précédent.
Ces incidences sont essentiellement les suivantes :
• la sensible diminution des capitaux propres de la société : 879 MF, contre 15 MdF en 1999 ;
• une importante réduction du périmètre de consolidation du groupe (six filiales (1) en 2000, contre plusd’une vingtaine en 1999) ;
• les effets structurels de la convention de distribution sur les comptes de résultat (mécanisme de versementde commissions par la société en contrepartie d’un résultat garanti pour le groupe).
En 2000, Canal+ a réalisé un chiffre d’affaires de 10 423 MF, en baisse de 1,5 % par rapport à 1999. Cemontant correspond principalement (88,7 %) aux abonnements, lesquels s’élèvent à 9 249 MF, en crois-sance de 2,5 %, aux recettes de publicité et parrainage pour 662 MF, en augmentation de 18,8 % et àd’autres produits pour 512 MF, en baisse de 49 %.
La croissance de 2,5 % du chiffre d’affaires des abonnements est due essentiellement à l’augmentation duportefeuille des abonnements individuels. Celui-ci comptait, au 31 décembre 2000, 4 620 386 abonnésindividuels (dont près de 1 400 000 à Canal Numérique), contre 4 576 549 en 1999. La croissance nettedu portefeuille des abonnés (2) individuels s’établit ainsi à 43 837. Pour leur part, les abonnements collec-tifs atteignaient 345 748 prises installées à la fin de l’année 2000 (soit + 13 658 par rapport à 1999). Enoutre, doit être prise en compte la revalorisation du tarif de l’abonnement, porté de 184 F à 189 F au 15 août 2000.
La progression de 18,8 % des recettes publicitaires et de parrainage trouve son origine dans la croissance dumarché publicitaire et le succès des émissions en clair. Enfin, les autres produits tirés de la vente de droitsde diffusion et de refacturations de charges ou de matériels aux filiales ont baissé de 68,5 %. Le total desproduits d’exploitation s’est élevé à 10 495 MF, en baisse de 2,9 % par rapport à 1999.
Parallèlement, les charges d’exploitation qui s’établissent à 10 115 MF ont augmenté de 8,7 %. Leur struc-ture a été modifiée de la manière suivante. Le poste « consommation de programmes externes » est passé de4 028 MF en 1999 à 4 007 MF en 2000, soit une baisse de 0,5 %, cependant que les « autres achats etcharges externes » se sont accrus sensiblement. Ils ont représenté 3 818 MF en 2000 (à comparer à 2 493 MF en 1999), soit une augmentation de 53,1 %. Ce dernier poste tient en effet compte de la nouvellerépartition des rôles de la société Canal+ vis-à-vis particulièrement de Canal Distribution. Il est constituéprincipalement d’une commission de distribution de 2 532 MF, d’une commission de régie de 131 MF etde frais de fonctionnement de services centraux (289 MF) que ne compensent pas la quasi absence de coûtsliés au recrutement d’abonnés (globalement 65 MF en 2000 comparés à 614 MF en 1999) et la diminu-tion des charges de personnel qui se sont établies à 597 MF en 2000, soit une diminution de 43,1 % parrapport à 1999 ; l’effectif permanent moyen de la société se situait à 733 personnes à la fin 2000 (contre 1 841 personnes en 1999).
Le coût de grille (3) de Canal+, c’est-à-dire le total des charges afférentes à l’ensemble des programmesdiffusés au cours de l’exercice, a atteint 4 867 MF en 2000, en augmentation de 12,5 % (+ 544,4 MF). Ilreprésente 48,1 % des charges d’exploitation. Le coût de la fiction cinématographique et audiovisuelle a
(1) Le nouveau groupe Canal+ comprenait au 31 décembre 2000 les filiales suivantes : NPA Production SNC (détenue à 100 %),S.E.S.I. SNC (100 %), S.G.S.I. SA (99,84 %), TV SPORT SA (39 %), QUIRATS+SA (100 %), Best of Europ SA (99,97 %) etCompagnie du numérique hertzien SA (100 %), non consolidée à cette date.
(2) Il convient toutefois de noter que le taux de désabonnement s’élève en 2000 à 9,88 %.
(3) Il recouvre, pour une grande part, les postes « consommation des programmes externes » et « autres achats et charges externes ».
170
augmenté de 9,9 % et représente 43,2 % du coût de grille total. L’effort financier de Canal+ a aussi portésur le sport (+ 17 %), qui représente 35,1 % de ce même coût de grille total en 2000, la chaîne cryptée ayantcouvert les Jeux olympiques de Sydney et la Ligue des Champions de football toute la saison.
L’exercice 2000 de Canal+ s’est caractérisé par une croissance du coût de grille (+ 12,5 %) que l’on peutcomparer à la baisse du chiffre d’affaires (– 1,5 %). Le poids du coût de la grille dans le chiffre d’affaires sesitue à 46,7 %.
Il ressort un résultat d’exploitation de 380 MF, en baisse de 74,7 %. Après prise en compte d’une perte de144,3 MF au résultat exceptionnel, due essentiellement à la dépréciation du portefeuille de droits de copro-ductions audiovisuelles, prise en compte de la participation des salariés (6,5 MF) et de la charge d’impôt(150,8 MF), le bénéfice de Canal+ s’établit à 59 MF, contre 774 MF l’année précédente, soit 715 MF demoins qu’en 1999.
Durant l’année 2000, les télévisions privées en clair voient progresser leurs bénéfices, tandis que celui de la chaîne payante Canal+ enregistre une baisse.
171
II. RÉSULTATS DES GROUPES
LE SECTEUR PUBLIC : FRANCE TÉLÉVISION
Avec la création de la holding, l’année 2000 a été marquée par le changement d’actionnaire des trois chaînespubliques, l’État ayant transféré à France Télévision la totalité de sa participation dans chacune d’elles enseptembre 2000. La réorganisation du groupe a par ailleurs conduit chacune de ses trois composantes àtransférer la quasi-totalité de ses filiales et participations vers la nouvelle société mère France Télévision SA,par arrêté le 29 décembre 2000.
En examinant les comptes consolidés du groupe France Télévision pour l’exercice 2000, le Conseil a pourla première fois l’occasion de rendre compte de l’activité de l’ensemble des sociétés réunies au sein du pôleaudiovisuel public et de la mise en place effective de la holding telle que l’ont voulue les pouvoirs publics.
L’amélioration sensible de la situation économique de France Télévision en 2000 est liée au redressementdu résultat d’exploitation, qui s’explique essentiellement par l’accroissement des ressources publiques destrois chaînes nationales et par la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement.
Le chiffre d’affaires consolidé s’établit pour 2000 à 13,8 milliards de francs, en progression de près de 1,3 milliard, soit + 10 % par rapport à 1999. Au total, les produits d’exploitation (14,5 MdF) enregistrentune augmentation plus rapide sur l’année (+ 12,3 %) que les charges d’exploitation (plus de 14,2 MdF), enhausse de 8,3 %.
Il en ressort un résultat d’exploitation bénéficiaire de 260,3 MF pour l’ensemble du groupe, contre uneperte de 238,3 MF enregistrée en 1999. Après prise en compte des résultats financier et exceptionnel, lerésultat net consolidé, largement positif en 2000, dégage un bénéfice de 255 MF, contre une perte recons-tituée de 213,4 MF l’année précédente.
Les performances du groupe lui ont permis de dégager une capacité d’autofinancement de 430 MF surl’année 2000. Notons que ces nouvelles ressources financières viendront compléter la dotation en capital de1 milliard de francs dont le principe a été confirmé par le gouvernement le 29 mars 2001.
Comptes de résultat consolidés simplifiés (en MF)
FRANCE TÉLÉVISION TF1 M6 CANAL+
CHIFFRE D’AFFAIRES 13 790,4 * 4 870,6 10 161
Dont Redevance 8 263,6 – – –
Publicité et parrainage 4 623,4 10 304 3 523,4 9 380
Abonnements – – – 695
Autres produits
(dont diversification) 733,1 4 588 1 347,2 85
Produits d’exploitation 14 523,5 14 892 4 900,6 *
Charges d’exploitation 14 263,2 12 115 3 506,4 *
RÉSULTAT D’EXPLOITATION 260,3 2 776 1 394,2 433
Résultat financier – 143,2 118 22,8 39
Résultat exceptionnel 166,3 2 – 75,3 – 171
RÉSULTAT NET part du groupe 255 1 642 678,6 164
* Éléments non mentionnés dans les comptes consolidés.
172
LE SECTEUR PRIVÉ : TF1, M6, CANAL+
Le Groupe TF1
S’agissant des résultats consolidés (1) du groupe TF1, les produits d’exploitation se sont élevés à près de 15 milliards de francs (14 892 MF soit 2 270,3 M ), soit une progression annuelle de 22,4 %. La commer-cialisation d’espaces publicitaires et la part de la chaîne historique y sont prépondérantes : 10,8 MdF dont10,3 MdF (69 %) au titre de TF1. Cependant, la part de TF1 SA diminue au profit des recettes de diver-sification qui représentent plus de 4,5 MdF en 2000, soit 30,8 % du volume d’activité contre 27,1 % en1999.
Parallèlement, les charges d’exploitation consolidées, établies à plus de 12 MdF, ont augmenté de 18,2 %.Il en découle un résultat d’exploitation de près de 2,8 MdF, en croissance de 44,8 %, qui améliore la renta-bilité du groupe.
Après prise en compte des résultats financier et exceptionnel, le résultat net consolidé part du groupe, quiprend en compte les pertes consolidées de TPS (réduites de 15 % en 2000), atteint 1 642 MF en 2000,contre 1 039 MF en 1999 (+58 %).
Avec une rentabilité financière qui a atteint son niveau le plus élevé en 2000 avec 36,5 %, en l’absence d’en-dettement à long terme, le groupe TF1 a une capacité solide de mobiliser des ressources pour financer sacroissance externe à hauteur de 6,7 MdF en 2000.
Diversification du groupe
Les produits de la diversification ont progressé plus vite (+ 38,9 %) que les recettes publicitaires brutes dugroupe (+ 16,2 %). En complémentarité avec l’antenne de TF1, le groupe a développé deux synergiesdirectes, la production de programmes et l’acquisition de droits audiovisuels. La diversification proprementdite s’articule autour de quatre axes.
1. Les activités d’édition et de distribution de produits dérivés, actuellement seul relais de croissance et derentabilité (avec Eurosport) pour le groupe, ont enregistré de bons résultats. Avec une croissance de 24,2 %,les activités de vidéo et de téléachat essentiellement contribuent en 2000 aux produits consolidés pour 1,8 milliard de francs et au résultat net consolidé pour 99 MF.
2. Les chaînes thématiques enregistrent une croissance régulière (contribution en 2000 de 355 MF auxproduits d’exploitation consolidés, et de 1,5 milliard de francs si l’on inclut Eurosport). Elles arrivent (horsEurosport) presque à l’équilibre (contribution 2000 de – 4 MF au résultat net consolidé). Pour sa part,Eurosport est une réussite. En 2000, la chaîne a contribué pour 1 154 MF aux produits d’exploitationconsolidés et pour 22 MF au résultat net consolidé. La chaîne était reçue au 31 décembre 2000, dans 54 pays, par 92 millions de foyers européens (+ 5,7 % par rapport à 1999). TF1 a augmenté en 2000 saparticipation dans Eurosport International à 50,5 % et dans Eurosport France à 36 % en rachetant, avecCanal+, les parts d’ESPN.
On notera dans ce domaine le lancement en septembre 2000 d’une nouvelle chaîne thématique, TV Breizh,chaîne régionale généraliste consacrée à la Bretagne. A l’automne 2001, une chaîne financière dans laquelleTF1 détiendrait 40 %, en partenariat avec la chaîne américaine CNBC, devrait voir le jour.
.
(1) La société TF1 utilise les 3 méthodes de consolidation des comptes : 1) intégration globale (du CA et du résultat) pour les filialesdétenues à 100 % ; 2) intégration proportionnelle (du CA et du résultat) pour les filiales sous contrôle économique partagé ; 3) miseen équivalence (effet sur résultat seul) dans le cas où la société, détentrice d’une participation, exerce une influence notable sur uneautre (cas de TPS).
173
SITUATION FINANCIÈRE
(1) N’inclut ni TPS, société consolidée par mise en équivalence, ni les Girondins de Bordeaux.
3. La diffusion d’un bouquet de télévision numérique avec TPS qui observe une croissance régulière (en2000, contribution de 631 MF au volume d’affaires du groupe) mais génère encore des pertes (en 2000,contribution de – 132 MF au résultat net consolidé). TPS comptait au 31 décembre 2000 un milliond’abonnés en réception directe. Par ailleurs, en 2000, l’initiative de rapprochement entre TF1 et M6 apermis de développer une nouvelle chaîne, TF6. Enfin, le groupe TF1 a acquis 23,6 % du capital deVisioWave, société spécialisée dans l’encodage d’images.
4. Enfin, le multimédia et les services en ligne (télévision interactive, PC et Internet, téléphonie mobile),nouvel axe depuis 1998, démarrent rapidement. Au travers de TF1 Interactif, ils contribuent en 2000 auxproduits d’exploitation consolidés pour 27 MF et au résultat net consolidé pour – 122 MF.
Le Groupe M6
Grâce aux capacités financières dégagées par la chaîne hertzienne, le groupe M6 développe une politique dediversification dynamique. Le chiffre d’affaires consolidé (1), en progression de 18 % par rapport à 1999s’élève ainsi à près de 4,9 milliards de francs (742,5 M ) en 2000. Au sein du chiffre d’affaires consolidé, lapart liée à la publicité (72,3 %) demeure prépondérante avec 3,5 MdF, en hausse de 23,6 %. Les ressourcesissues de la diversification (27,4 % du chiffre d’affaires avec 1 347,2 MF) connaissent une croissance de7,9 % par rapport à 1999.
En 2000, les produits d’exploitation consolidés ont crû à un rythme supérieur (+ 16,2 %) à celui des chargesd’exploitation (+ 14,4 %). Il résulte que le résultat d’exploitation, lequel s’établit à 1 394,2 MF en 2000,s’accroît de 267,4 MF. Après prise en compte d’un résultat financier en augmentation, le résultat courantavant impôt s’élève à 1 417 MF, en progression de 273 MF et le résultat exceptionnel est de – 75,3 MF.
Le résultat net consolidé de M6 s’améliore également et atteint 678,6 MF (103,5 M ), bien que les pertesimputables à TPS (– 201 MF avant impôt) pèsent encore. D’un point de vue stratégique, M6 a développéen 2000 de nouvelles activités autour d’internet. En outre, la chaîne a ouvert à la fin novembre 2000 un12e décrochage local à Toulouse.
Au total, le résultat net consolidé-part du groupe s’établit à 678,6 MF en 2000, soit 171,5 MF de plus qu’en1999. Ce résultat tient notamment compte du résultat des minoritaires (– 4,7 MF pour SEDI TV - Tévaprincipalement) et des pertes de TPS, lesquelles sont prises en compte à hauteur de 201 MF avant impôten 2000 contre 237,5 MF en 1999. Enfin, le groupe M6 obtient une rentabilité financière qui a atteint sonniveau le plus élevé en 2000 avec 37,6 %.
Diversification du groupe
En 2000, M6 a poursuivi sa stratégie de développement en affichant quatre axes de développement priori-taires.
1. La télévision hertzienne en clair dite « gratuite » constitue le métier de base du groupe M6. Autour del’antenne, gravitent des filiales dont l’activité est directement liée à celle de la société mère. Il s’agit de larégie publicitaire M6 Publicité, des sociétés de production M6 Films, Métropole Production et C.Productions et des sociétés de commercialisation de droits M6 DA et TCM DA.
2. Le deuxième axe de diversification consiste en l’exploitation de la marque M6, pôle qui correspondessentiellement aux activités de la filiale M6 Interactions, présente dans les domaines du disque, de la vidéo,des produits dérivés, des publications et du téléachat via Home Shopping Service (HSS). M6 Interactions
.
174
.
détient deux filiales, M6 Editions, chargée de développer de nouveaux titres de presse et M6 Événementqui a pour objet l’organisation de manifestations diverses.
A ce titre, le groupe M6 détient une participation de 66 % dans le club de football professionnel desGirondins de Bordeaux, par l’intermédiaire de la société M6 Foot qu’il contrôle à 90 % (les 10 % restantssont détenus par le groupe Sud-Ouest). En outre, M6 devait en 2001 s’associer à RTL Télévision et RTLNewmedia, à hauteur de 20 %, dans RTL Shop pour exploiter le téléachat en Allemagne.
3. Le troisième axe correspond à la télévision payante avec les activités d’édition de chaînes thématiques(Série Club, Téva, M6 Music, Fun TV, éditées par M6 Thématique, Club Téléachat, éditée par HSS et ParisPremière, dont M6 détient 11 %), ainsi que sa participation de 25 % dans le bouquet TPS, via M6Thématique. En mars 2000, cette dernière, déjà titulaire de 80 % du capital de Fun TV, a porté sa partici-pation à 100 %. En novembre 2000, elle a acquis 50 % du capital de TF6, la chaîne lancée en associationavec TF1 le 18 décembre dernier, et 50 % du capital de TF6 Gestion.
4. Internet est le dernier axe de développement du groupe. Le site Web de la chaîne a poursuivi son déve-loppement en 2000. Avaient d’abord été lancés les sites de trois chaînes thématiques (Série Club, M6 Musicet Fun TV) et les deux sites de commerce électronique (clubteleachat. com et m6boutique. com). En janvier2000, a été créée la société M6 Web regroupant l’ensemble des activités Internet du groupe. En mars 2000,celle-ci a pris une participation de 33 % dans le capital de Ticketnet, premier opérateur européen en matièrede billetterie de spectacles. En juin 2000, elle a lancé m6net.fr, fournisseur d’accès à Internet et portailspécialisé dans les activités de loisirs, suivi en septembre 2000 par m6music.fr et turbo.fr, en novembre 2000par m6toulouse.fr (déclinaison du portail d’information locale m6ville.fr) et enfin, en décembre 2000, parm6eco.fr dans le secteur économique.
Le Groupe Canal+
A l’issue de l’opération de fusion entre Canal+, Vivendi et The Seagram Company Limited, qui a abouti àla constitution du groupe Vivendi Universal, le nouveau périmètre de consolidation de Canal+ était à la fin2000 le suivant :– QUIRATS +, société à vocation financière et fiscale, détenue à 100 % ;– NPA Production SNC, société de production audiovisuelle, détenue à 100 % qui produit Les Guignols
de l’Info ;– SESI SNC, société éditrice de la chaîne thématique I Télévision, détenue à 100 % après le rachat de 5 %
en avril 2000 à la société américaine ESPN. Cette participation devait être rétrocédée en 2001 au GroupeCanal+ ;
– SESI SA, société gérante de SESI, détenue à 99,84 % ;– Best of Europ SA, société d’études pour le lancement de chaînes thématiques, détenue à 99,97 % ;– TV Sport SA, société éditrice de la déclinaison française du programme Eurosport, détenue à 39 % ; cette
participation devait être cédée en février 2001.
La convention de distribution, conclue entre Canal+ SA et Canal+ Distribution le 8 décembre 2000,prévoit notamment que la société Canal+ encaisse directement les produits des abonnements, mais qu’encontrepartie des prestations de distribution et de commercialisation de son programme qu’elle confie àCanal+ Distribution, elle reverse à cette dernière une commission. En retour, Canal+ Distribution garantità Canal+ un résultat d’exploitation majoré du résultat exceptionnel déterminés sur une base consolidée (1)
(1) Les charges d’exploitation ne figurent pas en tant que telles dans le compte de résultat consolidé. Analysées en termes de coût, ellesont représenté 9 465 MF en 1999 retraité et 9 728 MF en 2000 (soit + 2,7 %).
175
SITUATION FINANCIÈRE
et égal à 3,3 % du chiffre d’affaires d’abonnements net de Canal+. Ce montant peut varier annuellemententre 308 MF et 348 MF, ces deux bornes devant augmenter de 2,5 % par an à compter de 2002.
Par exception, s’agissant de l’exercice 2000, le résultat garanti par Canal+ Distribution à Canal+ a été calculéprorata temporis à compter du 30 juin 2000. Sur ces bases, le résultat garanti devait être compris entre 154MF et 174 MF. En 2000, après prise en compte du résultat garanti, le résultat net consolidé part du grouperessort à 166,6 MF.
Compte tenu de la place prééminente de la société mère Canal+ dans le groupe, la structure des comptesconsolidés est proche de celle des comptes sociaux.
L’année 2000 a été caractérisée par la poursuite de la diversification des groupes dans latélévision numérique par satellite, dont le coût a de nouveau pesé sur leurs résultats, ainsi que
dans l’édition sur divers supports.
Actionnariat des diffuseurs au 31 décembre 2000
FRANCE 2FRANCE 3 France Télévision (100 % État) 100 %
LA CINQUIÈME
Bouygues SA 39,8 %
Société Générale 1,4 %
TF1 Public 58,8 %
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dont bloc d’auto-contrôle 0,6 %
CLT-UFA (RTL Group) 43,79 %
M6 Suez-Lyonnaise des Eaux 36,73 %
Institutionnels et public 17,93 %
Auto-contrôle 1,55 %
Groupe Canal+ (100 % Vivendi Universal) 48,7 %
CANAL+ Groupe Caisse des Dépôts 3,5 %
Société Générale 0,6 %
Public 47 %
PROGRAMMESIV.ANNEXES
I. Organigrammes
II. Grilles de programmes
III. Programmes régionaux de France 3
IV. Bilan synthétique de RFO
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II. GRILLES DES PROGRAMMES
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
JEU : LES Z'AMOURS
JEU : MOTUS
FLASH INFO DES SOURDS ET MALENTENDANTS
JEU : PYRAMIDE
TIERCÉ TIERCÉ
JOURNAL 13H
SÉRIE : LE RENARD
SÉRIE : DERRICK
LA CHANCE AUX CHANSONS
LA CHANCE AUX CHANSONS (reprise)
LA PLANÈTE DEDONKEY KONG
C'EST AU PROGRAMME C'EST AU PROGRAMME
FEUILLETON : AMOUR, GLOIRE ET BEAUTÉ
FEUILLETON : AMOUREUSEMENT VOTRE
TÉLÉMATIN
ANIME TON WEEK END
THÉ OU CAFÉ
ANIME+
THÉ OU CAFÉ
EXPRESSION DIRECTE
LA PLANÈTE DEDONKEY KONG
ÉMISSIONSRELIGIEUSES
MESSE
RENCONTRE A 15
MIDI MOINS 7
JEU : LES Z'AMOURS
JEU : PYRAMIDE
JOURNAL 13H JOURNAL 13H
MAGAZINE DEPAUL AMAR
(titre en attente)
INC
SAVOIR PLUSSANTÉ
LES
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VIVEMENTDIMANCHE
SAMEDI SPORTOU
MINI-SERIES
SÉRIE : NASHBRIDGES
SÉRIE : NIKITA
UNION LIBRE
DOCUMENTAIRE :NATIONAL
GEOGRAPHIC
LES CINGLESDE LA TELE
STADE 2
VIVEMENTDIMANCHEPROCHAIN
DIVERTISSEMENT
JOURNAL DE LA NUIT
RINCE TA BAIGNOIRE(Redif.)
TOUTLE MONDEEN PARLE
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FILM
DOCUMENTAIRE :LIGNES DE VIE
LA 25e HEURE
JOURNAL DE LA NUIT JOURNAL DE LA NUIT
JOURNAL DE LA NUIT
JOURNAL DE LA NUIT
JOURNAL DE LA NUIT
JOURNAL DE LA NUIT
SERIE :MILLENNIUM
HISTOIRES COURTES
DES MOTS DE MINUIT
CINE-CLUBENVOYE SPECIAL
(Redif.)
FILMTV FILM TVFILM
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JOURNAL 20H
MUSIQUESAU CŒUR
ÇA SE DISCUTE
ENVOYÉSPÉCIAL
BOUILLONDE CULTURE
JEU : DES CHIFFRES ET DES LETTRES
FEUILLETON : CAP DES PINS
FEUILLETON :CAP DES PINS
RINCE TA BAIGNOIRE
SERIE
SERIE : UNE FILLEA SCANDALE
SERIE : FRIENDS
SERIE : LE PRINCE DE BEL AIR
SERIE : HARTLEY CŒURS A VIF
JEU : DES CHIFFRES ET DES LETTRES
FEUILLETON : CAP DES PINS
SERIE : LE PRINCE DE BEL AIR
SERIE : HARTLEY CŒURS A VIF
JEU QUI EST QUI ?
FILMTV
Grille des programmes de France 2
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FRANCE 2 / ANNEXES
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
JEU : LES Z'AMOURS
JEU : MOTUS
JOURNAL DES SOURDS ET MALENTENDANTS
CONSOMAG EXPRESSION DIRECTE
JEU : PYRAMIDE
TIERCÉ TIERCÉ
JOURNAL 13H
LA CHANCE AUX CHANSONS
ENQUETES SUR LA 2 : SERIE : UN CAS POUR DEUX
ENQUETES SUR LA 2 : SERIE : REX
C'EST AU PROGRAMME C'EST AU PROGRAMME
FEUILLETON : AMOUR, GLOIRE ET BEAUTÉ
TÉLÉMATIN
FEUILLETON : DES JOURS ET DES VIES
PETITS MATINS.COOL
THÉ OU CAFÉ
DKTV.COOL DKTV.COOL
LES Z'AMOURS
THÉ OU CAFÉ
EXPRESSION DIRECTE
METEOMETEOMETEO
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METEOMETEOMETEO
MIDI MOINS 7
ÉMISSIONSRELIGIEUSES
ÉMISSIONSRELIGIEUSES
(MESSE)
RENCONTRE A 15
DMA(DIMANCHE MIDI AMAR)
OUSPECIALE INFOPYRAMIDE
CONSOMAG
SAVOIR PLUS SANTELES DOCUMENTS SANTELES GRANDES ENIGMES
JOURNAL 13HJOURNAL 13H
L'HEBDO DU MEDIATEUR
VIVEMENTDIMANCHE
DOCUMANTAIRE
SAMEDI SPORT
JOURNAL DE 20 H JOURNAL DE 20 H
SERIE : URGENCE
SERIE : LES SOPRANO
FILM
TIERCE
SÉRIE : UN AGENTTRES SECRET
UNION LIBRE
UNION LIBRE(REPRISE)
LES CINGLESDE LA TELE
STADE 2
VIVEMENTDIMANCHEPROCHAIN
VIVEMENTDIMANCHEPROCHAIN
VARIETESDIVERTISSEMENT
JOURNAL DE LA NUIT
TOUTLE MONDEEN PARLE
LES DOCUMENTSDU DIMANCHE
LES DOCUMENTSDU DIMANCHE
JOURNAL DE LA NUIT JOURNAL DE LA NUIT
MOTS CROISESARGENT PUBLIC
FICTION
JOUR APRES JOURÇA S'EN VA ET ÇA REVIENT
SPECIALES !
JOURNAL DE LA NUIT
CINE CLUBFILM
FOUS D'HUMOUR
JOURNAL DE LA NUITJOURNAL DE LA NUIT
SERIE : NIKITA
COMME AU CINEMA JOURNAL DE LA NUIT
ENVOYE SPECIAL(REPRISE)
DES MOTS DE MINUITSPECTACLE
L(ENTRETIENFUTUR ANTERIEUR
FICTION FICTIONPOLICIERE
FILM
ON A TOUT ASSAYEALORS HEUREUX
MUSIQUESAU CŒUR
ÇA SE DISCUTE
ENVOYÉSPÉCIAL
BOUILLONDE CULTURE
HISTOIRES COURTES
BOUCHE A OREILLE
JEU : DES CHIFFRES ET DES LETTRES
SERIE : JAG
JEU : QUI EST QUI ?
DU LUNDI AU VENDREDI, C'EST JULIE
UN GARS, UNE FILLE
SERIE : 70'S SHOW SERIE : FREINDS SERIE : 70'S SHOW
JOURNEL DE 20 H
Grille des programmes de France 2 Rentrée 2000
184
Grille des programmes de France 3 Rentrée 1999
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
MINIKEUMS
EURONEWS EURONEWS
MINIKEUMS
MINIKEUMS
3X+NET
3X+NET
C'EST PAS SORCIER
L'HEBDO DE RFO
GRANDS GOURMANDSOUTREMERS
MO
NTA
GN
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LE 12/13
COULEUR PAYS
COTE MAISON
COULEUR PAYS
CHRONIQUES D'ICI
SUR UN AIR D'ACCORDEON
MAGAZINE DU CHEVAL
LES PIEDS SUR L'HERBE
DESTINATION PÊCHE
SPORTSDIMANCHE
VA SAVOIR
QUESTIONS POURUN CHAMPION LE MAGAZINE
DU DIMANCHE
SOIR 3
SOIR 3 SOIR 3SOIR 3 SOIR 3 SOIR 3 SOIR 3
DIVERTISSEMENT
VARIETESDIVERTISSEMENT
TOUT LE SPORT TOUT LE SPORT
DOC SOCIÉTÉCOLLECTIONS
UN SIECLED'ECRIVAIN
PLUMES ET PAILLETTESNOCTURNALES
TELEFILMFICTION FRANÇAISE
SERIEFICTION FRANÇAISE
SERIEFICTION FRANÇAISE
CINÉMA DE MINUIT
MR BEAN
FRANCE EUROPEEXPRESS
FILM FILM
LA CASE DEL'ONCLE DOC
LA CASE DEL'ONCLE DOC
NOCTURNALES
NOCTURNALES
NOCTURNALES
NOCTURNALES
SAGA-CITES (Reprise)
MAGAZINE
NOCTURNALES
MAGAZINE OLYMPIQUE
LIBRE COURT
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ILLE
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LES DOSSIERSDE L'HISTOIRE
FILM
ESPACEFRANCOPHONE
THALASSA
FAUT PASRÊVER
CINEMA
MINIKEUMS
MINIKEUMS
UN JOUR EN FRANCE
COMMENT ÇA VA AUJOURD'HUI ? (Reprise)
EUROFICTION
SERIE
UN JOUR EN FRANCE
COMMENT ÇA VA AUJOURD'HUI ? (Reprise)
COMMENT ÇA VA AUJOURD'HUI ? (Reprise)
COMMENT ÇA VA AUJOURD'HUI ?
EUROFICTION
SERIE
À TABLE !
LE 12/13
MAGAZINE RÉGIONAL
C'EST MON CHOIX
QUESTIONS À L'ASSEMBLÉENATIONALE
TÉLÉFILM TÉLÉFILM
TÉLÉ
FILM
TÉLÉ
FILM
SAGA-CITÉS
SÉN
AT
SÉN
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CÔ
TÉJA
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IN
CÔ
TÉJA
RD
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LE 19/20
TOUT LE SPORT
UN LIVRE UN JOUR
MINIKEUMS
C'EST PAS SORCIER(reprise)LE KADOX LE KADOX
QUESTIONS POUR UN CHAMPION
FA SI LA
MAGAZINE
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FRANCE 3 / ANNEXES
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
MINIKEUMSMINIKEUMS MINIKEUMS
EURONEWS
PTIKEUMS
OUTREMERS
PTIKEUMSPTIKEUMS PTIKEUMS
PTIKEUMS
LA BANDE A DEXTER
C'EST PAS SORCIER
BON APPETIT, BIEN SUR
BON APPETIT, BIEN SÛR
3 FOIS PLUS NET
LE 12/14
LE 12/14
EXPRESSION DIRECTE
EXPRESSION DIRECTE
METEO
METEO
METEO
METEO
CONSOMAG
UN LIVRE UN JOUR
UN LIVRE UN JOUR
COTE MAISON
COTE JARDINS
LA VIE D'ICI
ECHAPPEES SAUVAGES
LE 12/14 MAG DU DIMANCHE
KENO
KENO
LE JOURNAL DE RFOLE JOURNAL DE RFO
LE JOURNAL DES JOURNAUX
KENO
TÉLÉFILM
DESTINATION PÊCHE
SPORTSDIMANCHE
STRIP TEASE
STRIP TEASE
19/2019/20
QUESTIONS POURUN CHAMPION
SOIR 3
SOIR 3SOIR 3
SOIR 3SOIR 3
SOIR 3
ON NE PEUT PASPLAIRE A
TOUT LE MONDE
DIVERTISSEMENT
TOUT LE SPORT TOUT LE SPORT
METEO
METEO
METEO
METEOMETEO
TOUT LE SPORT
METEOMETEO
TOUT LE SPORTTOUT LE SPORTCONSOMAG
DOCUMENTAIRESOCIÉTÉ
TRIBALES
SERIE
SAGA-CITÉS
FILM DE TELEVISION
FILM
DE
TELE
VIS
ION
DIVERTISSEMENT
CINÉMA DE MINUIT
FRANCE EUROPEEXPRESS
FILM
FILM
DE
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FILM
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LA CASE DEL'ONCLE DOC
NOCTURALES
NOCTURALES
NOCTURALES
NOCTURALES
NOCTURALES
LIBRE COURT
CINE MERCREDI
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LES DOSSIERSDE L'HISTOIRE
FILM
ESPACEFRANCOPHONE
UN SIECLE D'ECRIVAINS
THALASSA
FAUT PASRÊVER
MINIKEUMS
MINIKEUMS
UN JOUR EN FRANCE
SERIE
UN JOUR EN FRANCE
SERIE
SERIE SERIE
LE 12/14
QUESTIONS AUGOUVERNEMENT
LE MAGAZINE DU SENAT
C'EST MON CHOIX
C'EST MON CHOIX
C'EST MON CHOIXC'EST MON CHOIX
C'EST MON CHOIX
C'EST MON CHOIX
LES PIEDS SUR L'HERBE
C'EST MON CHOIX C'EST MON CHOIX
QUESTIONS AUGOUVERNEMENT
QU
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S A
UG
OU
VER
NEM
ENT
TÉLÉFILM TÉLÉFILM
TÉLÉ
FILM
SAGA-CITÉS CHRONIQUESD'ICI
A TOI L'ACTUA
UN LIVRE UN JOUR
LE 19/20
MINIKEUMS
C'EST PAS SORCIER
QUESTIONS POUR UN CHAMPION
ALE
AS
TEX
TO
TEX
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MSP
ECTA
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Grille des programmes de France 3Rentrée 2000
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
LE MONDE DES ANIMAUX
PASSE PARTOUT(ALLEMAND)
COUSIN WILLIAMS
DOC
DOC DOC
DOC DOC
DOC
LES AMPHIS DE LA CINQUIÈME
LANGUE VICTOR
FICTION
DEBOUT LES ZOUZOUS
DEBOUT LES ZOUZOUS
ÇA TOURNE BROMBY
ÇA TOURNE BROMBY
ÇA TOURNE BROMBY
L'ŒIL ET LA MAIN /A VOUS DE VOIR
UN AUTOMNEDE CONCERT
LEÇON DETHEATRE
JOURNAL DELA CREATION
DOC HISTOIRE
DOC ARTS
LE MAGAZINE CINÉ
DROIT D'AUTEURS
LA VIE AU QUOTIDIEN
LA VIE AU QUOTIDIEN
ARRET SUR IMAGES
ARRET SUR IMAGES
COUPLESLEGENDAIRES
ANIMALIER
100 % QUESTION
100 % QUESTION
COTE CINQUIEME
ECONOCLASTE
ECONOCLASTE
PI = 3,14
PI = 3,14
FORUM TERREFORUM TERRE
SILENCE, ÇA POUSSE !
SILENCE, ÇA POUSSE !
FETE DES BEBES
TOUR DE FRANCEDES METIERS
TOUR DE FRANCEDES METIERS
ECO ET CO EUROPE
CINQ SUR CINQ
CINQ SUR CINQ CINQ SUR CINQ
CINQ SUR CINQ
TOUS SUR ORBITE
CULTURE BASKET
CULTURE BASKET
NET PLUS ULTRA
NET PLUS ULTRANET PLUS ULTRA
HISTOIRE DE PROFS
HISTOIRE DE PROFSHISTOIRE DE PROFS
ABECEDAIRE DU POLAR
ABECEDAIRE DU POLAR
VA SAVOIR
JANGAL
JANGAL
LES LUMIÈRESDU MUSIC HALL
LES LUMIÈRESDU MUSIC HALL
DOCETHNO
LES GEANTSDU SIECLE
LE JOURNAL DELA SANTÉ
CORRESPONDANCEPOUR L'EUROPE /PASSE PARTOUT
CORRESPONDANCEPOUR L'EUROPE /PASSE PARTOUT
DOCDÉCOUVERTE
DOCDÉCOUVERTE
LA CINQUIEMERENCONTRE ...
ECONOMIEEMPLOI
LA CINQUIEMERENCONTRE ...
SOCIETEJUSTICE
EN JUIN,ÇA SERA BIEN
LA CINQUIEMERENCONTRE ...
SANTÉSCIENCES
LA CINQUIEMERENCONTRE ...
FAMILLEÉCOLE
DOCDÉCOUVERTE
DOCDÉCOUVERTE
LE SENS
DE
L'HISTOIRE
FICTION
FICTION
DROIT DE RIPOSTE
HISTOIRE DECOMPRENDRE
HISTOIRE PERSODE LA LITT.
ALLO LA TERREALLO LA TERRE ALLO LA TERREALLO LA TERRE
LES MOTSDE L'ECONOMIE
LES DESSOUSDES CARTES
LES DESSOUSDE LA TERRE
LES CHEMINSDU SAVOIR
GALILÉE (d'images et de sons)
GALILÉE (d'images et de sons)
GALILÉE (les 30 dernières)
GALILÉE (les 30 dernières)
BÊTES DE TÉLÉ
LES ENQUÊTESDU MOUTARD
T.A.F.
T.A.F.DOCU
EMPLOI/ECONOMIEDOCU
EMPLOI/ECONOMIEDOCU
EMPLOI/ECONOMIE
VA SAVOIR
SERIE
LE MONDE DES ANIMAUX
100 % QUESTION
CELLULO
LE JOURNAL DE LA SANTÉ
CINÉMA"100 ANS DE FILMS
FRANÇAIS"
ABECEDAIRE DU POLAR
HISTOIRE DE PROFS
CINQ SUR CINQ
CULTURE BASKET
CINQ SUR CINQ
GALILÉE (d'images et de sons)
LE MAGAZINECINE
METEO
DROIT D'AUTEURS
ÉCO & CIELES MOTS DU DROIT
Grille des programmes de La CinquièmeRentrée 1999
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La Cinquième / ANNEXES
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
PASSE PARTOUT(ALLEMAND)
COUSIN WILLIAMS
L'UNIVERSITE DETOUS LES SAVOIRS
L'UNIVERSITE DETOUS LES SAVOIRS
L'UNIVERSITE DETOUS LES SAVOIRS
LE JOURNALDE L'HISTOIRE
LE JOURNAL DE L'HISTOIRE
LES ECRANS DU SAVOIR
LES AMPHIS DE LA CINQUIÈME
LEÇONS D'ANGLAIS
LES GRANDESDOCUMENTS
DE LA CINQUIÈMELES GRANDESDOCUMENTS
DE LA CINQUIÈME
L'ŒIL ET LA MAIN /A VOUS DE VOIR
JOURNAL DELA CREATION
DOC HISTOIRE
EXPERTISE
DOC ARTS
DOC ARTS
DOC EUREKA
DROIT D'AUTEURS
DROIT D'AUTEURS
ARRET SUR IMAGES
ARRET SUR IMAGES
MAGAZINE CINEMAPREMIERE SÉANCE
JEU : LEGAL,PAS LEGAL
JEU : LEGAL,PAS LEGAL
J.-L. PETIRENAUD
ANIMALIER
FETE DES BEBES
FICTION FRANÇAISE :SUR LES CHEMINS
DU MONDE
ECONOCLASTE DOC EMPLOI DOC EMPLOI
LES ECRANS DE L'APRES-MIDI
PI = 3,14
PI = 3,14
T.A.F.
T.A.F.
SILENCE, ÇA POUSSE !
ECONOCLASTE
VA SAVOIR
C'EST QUOI LA FRANCE C'EST QUOI LA FRANCE
LES LUMIÈRESDU MUSIC HALL
LES LUMIÈRESDU MUSIC HALL
LE MONDE DES ANIMAUX
LE MONDE DES ANIMAUX
LE BONHEUREST DANS LE PRE
LE BONHEUREST DANS LE PRE
DOCETHNOLOGIE
DOCSCIENCE/
ENVIREONNEMENT
DOCGEOGRAPHIE
DOCGEOGRAPHIE
DOCGEOGRAPHIE
DOC DECOUVERTE
LE JOURNAL DE LA SANTE
LE MAGAZINE DELA SANTE
MAGAZINE
CELLULO
DOCENVIRONEMENT
GAÏA
DOCENVIRONEMENT
GAÏA
LA CINQUIEMERENCONTRE
EMPLOI/ECONOMIE
LA CINQUIEMERENCONTRE
FAMILLE/ECOLE
LA CINQUIEMERENCONTRE
JUSTICE/SOCIETE
LA CINQUIEMERENCONTRE
SANTE/SCIENCE
EN JUINCE SERA BIEN
LE SENS DEL'HISTOIRE
LE MAGAZINEDE LA SANTE RIPOSTE
RIPOSTE
LES DESSOUSDE LA TERRE
LES DESSOUSDE LA TERRE
100 % QUESTION
100 % QUESTION 2° GENERATION
CINÉMA
MAGAZINEMISE AU POINT
MAGAZINECORRESPONDANCE
MAGAZINEC'EST VOUS QUI LE DITES
METEO
DEBOUT LES ZOUZOUS
DEBOUT LES ZOUZOUS
Grille des programmes de La CinquièmeRentrée 2000
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DIMANCHESAMEDIVENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
FICTION CEEHERITAGES
Météo
TF1 JEUNESSESALUT LES TOONS
TF1 JEUNESSE
FICTION USCHICAGO HOPE
FICTION USLES FEUX DE L'AMOUR
Météo
TÉLÉSHOPPINGTÉLÉSHOPPING
TÉLÉVITRINE
SHOPPING A LA UNE
FICTION CEELA JOYEUSE TRIBU
FICTION CEEFAUST
Météo
TF1 JEUNESSESALUT LES TOONS
Météo
TÉLÉSHOPPING
FICTION CEELA JOYEUSE TRIBU
FICTION CEEFAUST
MétéoTF1 INFO (LCI) - Météo TF1 INFO (LCI) - Météo TF1 INFO (LCI) - Météo TF1 INFO (LCI) - Météo TF1 INFO (LCI) - Météo
TF1 INFO (LCI)
TF1 INFO (LCI)
Météo
Météo
MétéoL'esprit du foot
MétéoAu nom du sort
Météo
Météo
Météo
MétéoBoom Boom Boom Boom Boom
Météo Météo Météo Météo Météo Météo
Tac O Tac TV
Du côté de chez nous
Du côté de chez nousDu côté de chez nous
Résultats du Tiercé Du côté de chez nous Du côté de chez nous Au nom du sportDu côté de chez nous
Résultats du TiercéRésultats du Tiercé
Au nom du sportRésultats du Tiercé
Bien jardiner Bien jardiner Bien jardiner Bien jardiner
Tac O Tac TV Tac O Tac TV
LE JUSTE PRIX LE JUSTE PRIX LE JUSTE PRIX
LE JOURNAL
FICTION USARABESQUE
FICTION USSYDNEY POLICE
FICTION EOFISLAND DETECTIVE
FICTION USCINQ SUR 6 !
FICTION USMELROSE PLACE
MAGAZINEEXCLUSIF
FICTION USSUNSET BEACH
FICTION USARABESQUE
FICTION USSYDNEY POLICE
FICTION USSUNSET BEACH
FICTION CEEMEDICOPTER
JEULE BIGDIL
Clic et Net Clic et Net Clic et Net Clic et Net Clic et Net Bloc Modes
LE JOURNAL LE JOURNAL
FICTION EOF
Y A PAS PHOTO
MINUIT SPORT
F1 MAGAZINE
LIGUE DES CHAMPIONS
TF1 NUIT + Du côté... + Météo + Clic
TF1 NUIT + Du côté... + Météo + Clic
TF1 NUIT + Du côté... + Météo + ClicTF1 NUIT + Du côté... + Météo + Clic
TF1 NUIT + Du côté... + Météo + Clic TF1 NUIT + Météo
TF1 NUIT + Météo
TF1 JEUNESSE
TF1 JEUNESSE
MAGAZINELES MEILLEURS MOMENTSDE 30 MILLIONS D'AMIS
LE JUSTE PRIX
LE JOURNAL
REPORTAGES
FICTION USMAC GYVER
FICTION USALERTE A MALIBU
FICTION USFLIPPER
FICTION USDINGUE DE TOI
FICTION USHERCULE
FICTION EOFMANATEA,
LES PERLES DU PACIFIQUE
FICTION USBEVERLY HILLS
FICTION EOFLES ANNES FAC AIMER VIVRE EN FRANCE
EMBARQUEMENTPORTE N° 1
LE DISNEY !
AUTO MOTO
TÉLÉFOOT
LE JOURNAL
FICTION USLE SUCCESSEUR
FICTION USL.A. DOCS
FICTION USV.I.P.
FICTION USDAWSON
FICTION USLES DESSOUS DE
PALM BEACH
VIDEO GAG
19 H, DIMANCHE
30 MILLIONS D’AMIS
L’Euro en poche
CELEBRITES
52 SUR LA UNE
LE DROIT DE SAVOIR
CINE MARDI
LES RENDEZ-VOUSDE L’ENTREPRISE
FOOTBALL
COMBIEN CA COÛTE
USHUAIA NATURE
MINUIT SPORTS
TELEFILM USCOLUMBO
CULTURE!
HISTOIRES NATURELLES
FICTION EOF
« MADE IN AMERICA »
TELEFILM US
DIVERTISSEMENT
LES ENFANTS DE LA TÉLÉ
LES ANNÉES TUBES
SPÉCIAL VIDÉO GAG
SPECIALES
DIVERTISSEMENT
PLEIN LES YEUX
INTERVILLES PARIS/PEKIN
SUCCES
SPECIALES
SANS AUCUN DOUTE
LES COUPS D'HUMOUR
« HOLLYWOOD NIGHT »TELEFILM US
SPECIAL SPORT LA VIE DES MEDIAS
CINÉ DIMANCHE
FILM DE CINÉMA
CINÉ DIMANCHE
FILM DE CINÉMA
Les Films dans les Salles
A vrai dire A vrai dire A vrai dire A vrai dire A vrai direA vrai dire
A vrai direMétéo
Grille des programmes de TF1Rentrée 1999
189
TF1 / ANNEXES
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DIMANCHESAMEDIVENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
TF1 JEUNESSESALUT LES TOONS
TÉLÉSHOPPING
SALLE D'URGENCES
HIGH SECRET CITY
LES DESSOUS DE PALM BEACH
7 A LA MAISON
HIGH SECRET CITY
LES DESSOUS DE PALM BEACH
7 A LA MAISON
LES VACANCESDE L'AMOUR
CINQ SUR 5
MISSION SAUVETAGE
AU CŒUR DES FLAMMES
TF1 JEUNESSESALUT LES TOONS
TF1 JEUNESSESALUT LES TOONS
DOCUMENTAIRE
TÉLÉSHOPPING
SALLE D'URGENCES
AU CŒUR DES FLAMMES
TF1 INFOTF1 INFOTF1 INFO
METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
SUNSET BEACH
LE JOURNAL LE JOURNAL
DROLES DE BLAGUES
SOUS LE SOLEIL
BEVERLY HILLS
WILL & GRACE
FLIPPER
ALERTE A MALIBU
MAC GYVER
REPORTAGES
PLEIN LES YEUXLES P'TITES CANAILLES
L'EMISSION DES RECORDSSPECIALES
LE JOURNAL
FICTION
TELEFILM
FICTION
VIDEO GAG
SEPT A 8
CINE MARDIFILM DE CINEMA
VOL DE NUITHISTOIRES NATURELLES
TRES CHASSE TRES PECHE
« MADE IN AMERICA »TELEFILM
LE GRAND SOIRLES ENFANTS DE LA TÉLÉLES 7 PECHES CAPITAUX
SUCCES
SANS AUCUN DOUTEC'EST QUOI L'AMOUR
LES COUPS D'HUMOUR
METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
METEOMETEOMETEO
FICTION FICTION
FICTION
TF1 JEUNESSE
TF1 JEUNESSE
TELESHOPPING
SHOPPING AVENUEMATIN
30 MILLIONS D'AMISMEILLEURS MOMMENTS
TF1 INFOTF1 INFOTF1 INFOTF1 INFO
TELEVITRINE
TF1 MERCREDI
DALLAS
TAC O TAC TV + ETRE HEUREUX COMMETAC O TAC TV + ETRE HEUREUX COMME
ETRE HEUREUX COMMEETRE HEUREUX COMME
ETRE HEUREUX COMMEETRE HEUREUX COMME
L'EURO EN POCHEL'EURO EN POCHE
HYPER NETHYPER NET
LE JUSTE PRIX LE JUSTE PRIX LE JUSTE PRIX
TELEFOOT
AUTO MOTO
SPECIAL SPORT
DISNEY !
A VRAI DIREA VRAI DIREA VRAI DIRE A VRAI DIREA VRAI DIREA VRAI DIREA VRAI DIRE + METEOA VRAI DIRE + METEOA VRAI DIRE + METEO
LE JOURNAL
LES FEUX DE L'AMOUR
DU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENT DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENT DU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENT DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENTDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENT
DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS +UN PETIT GOUT DE PARADIS
TF1 NUITTF1 NUITDU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS
TF1 NUITDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS TF1 NUITTF1 NUIT
DU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUSTF1 NUIT
DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS
TF1 NUITTF1 NUITDU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS
TF1 NUITDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS
TF1 NUITTF1 NUITDU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS
TF1 NUITDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS
TF1 NUITTF1 NUITDU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS
TF1 NUITDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS
TF1 NUITTF1 NUITDU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS
TF1 NUITDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS
DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS +UN PETIT GOUT DE PARADIS
DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS +UN PETIT GOUT DE PARADIS
DU CÔTÉ… + RESULTATS…UN PETIT GOUT DE PARADIS
DU CÔTÉ… + RESULTATS…UN PETIT GOUT DE PARADIS
AU NOM DU SPORT+ RESULTATS DES COURSES
AU NOM DU SPORT + RESULTATS…+ LE TEMPS
DU CDU CÔTÉ DE CHEZ NOUS DE CHEZ NOUS+ LE TEMPS + LE TEMPS …
DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS+ LE TEMPS … DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS + LES JARDINS DE LAURENT
EXCLUSIF
LE BIGDIL
COMBIEN CA COÛTEUSHUAIA NATUREDEFENSE D'ENTRER
FOOTBALL
Y A PAS PHOTOCELEBRITES
CIEL MON MARDI
LE TEMPS D'UN TOURNAGELE TEMPS D'UN TOURNAGELE TEMPS D'UN TOURNAGE
LES RENDEZ-VOUSDE L’ENTREPRISE
SPECIAL SPORT
SPECIAL SPORT
EXCLUSIF
EXCLUSIF
EXCLUSIF
EXCLUSIF EXCLUSIF
52 SUR LA UNE
LE DROIT DE SAVOIR
CINÉ DIMANCHE1ER FILM
FILM DE CINÉMA
CINÉ DIMANCHE2E FILM
FILM DE CINÉMA
30 MILLIONS D’AMIS
DAWSON
MEDICOPTER
NEW YORK UNITESPECIALE
WALKERTEXAS RANGER
WALKERTEXAS RANGER
LE JOUIRNALAU NOM DU SPORT
METEO
LE JOUIRNAL
Grille des programmes de TF1 Rentrée 2000
190
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
PRODUITS STARS PASSÉ SIMPLEAVANT 1ERE POLITIQUEMENT ROCKE = M6 DÉCOUVERTE
JAZZ 6
LES JEUDISDE L'ANGOISSE
M6 KID
M6 KID
SAMEDI BOUTIQUEM6 BOUTIQUE
SÉRIES
SÉRIESSPORTÉVÈNEMENT
HIT MACHINE
PROJECTION PRIVÉE
TURBO
WARNING
FAN DE
SÉRIES
SÉRIES
LA SAGADU DIMANCHE
TURBO
WARNING
6 MINUTES 6 MINUTES
E = M6
SPORT 6
SPORT 6
CINÉ 6
PLUS VITE QUELA MUSIQUE
FRÉQUENSTAR/FILM TV
6 MINUTES
ZONE INTERDITE
CAPITAL
ZONE INTERDITE
CAPITAL
LA TRILOGIEDU SAMEDI
SERIESCULTURE PUB
CULTURE PUB
FILM / FILM TV
FILM / FILM TV
FILM MAGAZINES
MAGAZINES
ALLY MC BEAL /COLLECTIONS M6
MARDI SUSPENSE
FILM TV
DIVERTISSEMENT /FILM TV
X-FILES /FILM
FILM TV
FILM / FILM TV
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
LES BEBES DE M6 KID
M6 KID
FAN DE
PVQLM
SÉRIES
SÉRIES
SÉRIE
SÉRIE
SÉRIE
FILM TV
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
LES BEBES DE M6 KID
SÉRIE
FILM TV
UNISEXE
M6 BOUTIQUE
SERIESDISNEY
DISNEY KID
Grille des programmes de M6
191
M6 / ANNEXES
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DIMANCHESAMEDI VENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDI
6 MINUTES 6 MINUTES 6 MINUTES
E = M6
E = M6 DECOUVERTESPORT 6 CINE 6 JOUR J PASSE SIMPLE POLITIQUEMENT ROCK
MAGAZINES/FICTIONCINEMA FICTION TV CINEMA/SERIE FICTION/DIVERTISSEMENT
E = M6 DECOUVERTEE = M6
TOUTES LES TELESFREQUENSTAR
MOMENTS DE VERITEJEU D'ENFANT
FILMLUNDI CINEMA
FILMLUNDI CINEMA
SERIESPOLICE DISTRICT
LYCEEALLY MC BEAL
FILMX FILES
FICTION TVDIVERTISSEMENT
MARDI SUSPENS
MARDI SUSPENSFILM
TV FILM
CINEMA MERCREDI EMOTION
MERCREDI EMOTIONTV FILMSERIES
JEUDI DE L'ANGOISSE
JEUDI DE L'ANGOISSEFILM
TV FILM
SERIES
SERIES
SERIESSERIESJAZZ 6
PLUS VITE QUELA MUSIQUE
VU A LA TELE
TRILOGIE
ZONE INTERDITECAPITAL
ZONE INTERDITECAPITAL(REDIF.)
MAGAZINE (REDIF.)
CULTURE PUB
TELEFILM EROTIQUEOU FILM EROTIQUE
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
M COMME MUSIQUE
IMMORTELLE
DESSINS ANIMES
LA VIE A CINQ
DHARMA & GREG
DHARMA & GREG
CHARMED
ETALON NOIR
MORNING LIVE
RINTINTIN JUNIOR
STUDIO SUD
CHERIE J'AI RETRECILES GOSSES
M6 KID
M6 KID
M6 BOUTIQUE
SAMEDI BOUTIQUE
HIT MACHINE
FAN DE
FAN DE (REDIF.)
SERIEDROLES DE FILLES
DEMAIN A LA UNE
FX EFFETS SPECIAUX
LE MONDE PERDUDE SIR ARTHUR
MYSTERES DE L'OUEST
L.A. HEAT
AMICALEMENT VOTRE
CHAPEAU MELONBUGS
TURBO (REDIF.)WARNING
SPORTÉVÈNEMENT
MINI SERIE
MINI SERIE
MAGAZINE
MAGAZINE
TURBO
WARNING
FRÉQUENSTAR/FILM TV
STARGATE
CAMELEON
SENTINEL
BUFFY
SLIDERS
DARK SERIE
M6 EXPRESS
M6 EXPRESS
M6 EXPRESS
M COMME MUSIQUE
M6 EXPRESS
DISNEY KID
LA VIE DE FAMILLE
LA PETITE MAISON DANS LA PRAIRIE
FILM TV US
CODE QUANTUM
M COMME MUSIQUE
IMMORTELLE
DESSINS ANIMES
FILM TV US
CODE QUANTUMM6 KID (7 DA)
NOTRE BELLE FAMILLE
Grille des programmes de M6
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DIMANCHESAMEDIVENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDIABC NEWS
JOURNAL EMPLOI
JOURNAL EMPLOI
JOURNAL DU CINEMA
JOURNAL DU SPORT JOURNAL DU SPORT JOURNAL DU SPORT JOURNAL DU SPORT JOURNAL DU SPORT
JOURNAL DU CINEMA JOURNAL DU CINEMA JOURNAL DU CINEMA JOURNAL DU CINEMA
ABC NEWSJOURNAL EMPLOI
ABC NEWSJOURNAL EMPLOI
ABC NEWSJOURNAL EMPLOI
ABC NEWSJOURNAL EMPLOI
LA SEMAINEDES GUIGNOLS
LE VRAI JOURNAL
LE VRAI JOURNAL
BIENVENUE EN FRANCE !
BIENVENUE EN FRANCE !
UN AUTRE JOURNAL
FILM
FILM
FILM
FILM
FILM
BOXE HEBDO
FOOT ETRANGER
FILM
FILM
FILM
BASKET USNBA
FILM
FILM
SOUTH PARK V.O.
SOUTH PARK
SOUTH PARK V.O.COURT METRAGE
SEINFELD V.O.
SPIN CITY V.O.
L'EQUIPE DUDIMANCHE
FILM
FILM
FILM
FOOT USNFL
FILM
HOCKEYNHL
QUARTIER LIBREAGNES MICHAUX
NPA 1ÈRE PARTIE
NULLE PART AILLEURS2E PARTIE
FILM
FILMou
LIGUEDES CHAMPIONS
FILM
FILM
FILM
FILM
FOOT EUROPE
FILM
FILM
FILM
FILM
FILM FILM
FILM
FILM
JOURNAL DU CINÉMAJOURNAL DU CINÉMA JOURNAL DU CINÉMAJOURNAL DU CINÉMA
JOURNAL DU CINÉMA
NPA 1ÈRE PARTIE
NULLE PART AILLEURS2E PARTIE
NPA 1ÈRE PARTIE
FILM DETELEVISION
TOTAL RECALL 2070
TOTAL RECALL 2070
NULLE PART AILLEURS2E PARTIE
NPA 1ÈRE PARTIE
NULLE PART AILLEURS2E PARTIE
NPA 1ÈRE PARTIE
C'EST OUVERT LE SAMEDI
NULLE PART AILLEURS2E PARTIE
TV. +
JOURNAL EMPLOI
UN AUTRE JOURNAL
FILM CINÉMA DE QUARTIER
FILM
FILM
FILM
FILM FILM
FILM FILM
FILM
FILM
FILM
JOURNAL EMPLOI
UN AUTRE JOURNAL
JOURNAL EMPLOI
UN AUTRE JOURNAL
JOURNAL EMPLOI
UN AUTRE JOURNAL
FILM
FILM
FILM
FILM
FILM
FILM
FILMFILM
FILM FILM
FILM X 1ER MOIS
ALLONS AU CINÉ…
JOUR DE FOOT(sous réserve)
JOUR DE FOOT(sous réserve)
FILM
1 AN DE +
C+ CLÉOANIMATION
HSPIN CITYSEINFELD
SAMEDI COMEDIEH
SPIN CITYSEINFELD
H
SEINFELD
GOLF
CATCH
ALLONS AU CINÉ…
INFOS
INFOS 5'
INFOS
1 AN DE +
C'EST OUVERT LE SAMEDI
SPORTSRUGBY
SPORTS US
ANIMATION
ANIMATION
ANIMATION
TV +
FILM
ÇA CARTOON
FILM DETELEVISION
DOCUMENTAIRE
ÇA CARTOON1 AN DE +
OUFOOT EUROPE
TV. +D2 MAX
LA SEMAINEDES GUIGNOLS
TELETUBBIES TELETUBBIES TELETUBBIES TELETUBBIES TELETUBBIES
LE VRAI JOURNAL
Grille des programmes de Canal +Rentrée 1999
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Canal+ / ANNEXES
TELETUBBIES
NULLE PART AILLEURS(MATIN)
NULLE PART AILLEURS(MATIN)
NULLE PART AILLEURS(MATIN)
NULLE PART AILLEURS(MATIN)
NULLE PART AILLEURS(MATIN)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(MIDI)
NULLE PART AILLEURS(SOIR)
NULLE PART AILLEURS(SOIR)
NULLE PART AILLEURS(SOIR)
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NULLE PART AILLEURS(SOIR)
(MON)NULLE PART AILLEURS
SAMEDI COMEDIE
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DIMANCHESAMEDIVENDREDIJEUDIMERCREDIMARDILUNDIJOURNAL EMPLOI
JOURNAL EMPLOI
NPA (CLASSIQUE)
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
LE VRAI JOURNAL
D2 MAX
NPA (CLASSIQUE) NPA (CLASSIQUE) NPA (CLASSIQUE) NPA (CLASSIQUE) NPA (CLASSIQUE) INFOS
INFOS
JOURNAL EMPLOITELETUBBIES
JOURNAL EMPLOITELETUBBIES
JOURNAL EMPLOITELETUBBIES
JOURNAL EMPLOITELETUBBIES
LA SEMAINEDES GUIGNOLS
LE VRAI JOURNAL
L'APPARTEMENT
CINÉMA
BOXE HEBDO
FOOT ETRANGER
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
BASKET USNBA
CINÉMA
CINÉMA
SAMEDI COMEDIE V.O.
L'EQUIPE DUDIMANCHE
L'EQUIPE DUDIMANCHE
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
FOOT US
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
BANDE(S)A PART
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA CINÉMA
QUARTIERINTERDIT
CINÉMA
CINÉMADE QUARTIER
CINÉMA
CINÉMA CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
JOURNAL DU CINÉMA
JOURNAL DU CINÉMA
LES SIMPSON LES SIMPSON LES SIMPSON LES SIMPSON LES SIMPSONLES SIMPSON
FICTION
SERIE
MICKRO CINE
JOURNAL EMPLOI
CINÉMA CINÉMA DE QUARTIER
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
DOC
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
L'APPARTEMENT
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
JOURNAL EMPLOI JOURNAL EMPLOI JOURNAL EMPLOI
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
CINÉMA
ALLONS AU CINÉ…
JOURDE FOOT
FOOTDT
FOOTDT
(REDIFF.)
NPALIVE
FILM X
CINÉMA
MERRO CINE
DOC
MERCREDIANIMATION
SAMEDICOMEDIE
JOURNAL DU GOLF
CATCH
ALLONS AU CINÉ…
SPORTSRUGBY
BASKETUS
FICTION
SPORTSRUGBY
JOUR DERUGBY
FICTION
SAMEDICOMEDIE
FOOTUS
SERIE
SAMEDIANIMATION
CINÉMA
ÇA CARTOON
DOC
LES SHADOKS
LA SEMAINEDES GUIGNOLES
Grille des programmes de Canal+Rentrée 2000
194
III. PROGRAMMES RÉGIONAUX DE FRANCE 3
Avec 10 762 heures (1), le volume de diffusion régionale est en augmentation (+ 1,8 %). Cet accroissements’explique par plusieurs facteurs : la présence renforcée des informations régionales dans le 12/14 quiremplace depuis le mois d’octobre le 12/13, le lancement de quatre nouvelles éditions locales, la rediffusionà partir d’octobre des éditions locales à 19 h 57 et, enfin, une stratégie visant à développer des décrochagesexceptionnels par les antennes régionales.
L’année 2000 a également été marquée par l’intensification des échanges entre les différentes rédactionsgrâce à l’utilisation du réseau d’échange numérique SPIDER (Système permanent interactif d’échangesrégionaux), notamment dans le cadre du nouveau 12/14.
L’INFORMATION
Le 12/14
A compter d’octobre, le 12/14 a succédé au 12/13. Le créneau de la mi-journée, qui auparavant étaitcomposé du journal régional et d’un magazine propre à chaque station, propose dorénavant une sessiond’information nationale et régionale continue. L’ensemble du réseau de la chaîne, la rédaction nationale, les13 directions régionales, les 24 rédactions régionales et les 37 rédactions locales s’associent pour un nouveautraitement de l’information avec une présence renforcée de l’information régionale.
Du lundi au vendredi, chacune des treize antennes régionales traite l’actualité en deux temps. L’actualité dujour est présentée dans le journal régional à 12 h 17, suivi de l’édition nationale à 12 h 28, puis analysée etmise en perspective dans une deuxième partie, à 12 h 55, en présence d’un ou de plusieurs invités et àtravers des reportages régionaux et interrégionaux, des rubriques spécifiques.
Le 12/14 se termine à 13 h 35 par Le Journal de RFO, diffusé du lundi au samedi.
Le week-end, le 12/14 intègre Le Magazine du dimanche désormais diffusé à 12 h 55 au lieu de 18 h 20.D’une durée de 26 minutes, ce magazine est composé d’un ou de plusieurs reportages et traite, selon lesstations, de l’actualité de la semaine, de faits de société ou de thèmes spécifiques à une région.
Les éditions locales
En 2000, France 3 a poursuivi sa politique de développement de l’information locale. Quatre nouvelleséditions de sept minutes, en images et sans présentateur, ont été diffusées cinq jours sur sept, à 18 h 56, enamorce des journaux régionaux.
Dans le département de la Seine-Maritime, France 3 Baie de Seine (Le Havre), lancée en avril couvre unezone allant de Fécamp à Honfleur et du Havre à Bolbec, soit 1/5e de la superficie du département.
Dans la région Centre, deux éditions ont été créées en septembre : France 3 Orléans Soir (Orléans), quicouvre l’essentiel de l’agglomération orléanaise et France 3 Télé Berry (Châteauroux) qui traite de l’actualitédu Berry dans l’Indre et le Cher.
Enfin, France 3 Limoges Première (Limoges) est diffusée depuis le mois d’octobre en Haute-Vienne et dansla Creuse.
Avec ces quatre nouvelles éditions, France 3 comptait à la fin de l’année 37 éditions locales ou de proximité.
(1) Hors programmes régionaux diffusés sur l’antenne nationale. Ces programmes inclus, le volume est de 10 911 heures.
195
ANNEXES
Afin de toucher les téléspectateurs non disponibles à l8 h 55, ces éditions sont rediffusées depuis octobre à 19 h 57.
Le volume global des éditions locales ou de proximité a ainsi atteint 1 101 heures (+ 21,50 % par rapportà l999).
Les prises d’antenne exceptionnelles
Les prises d’antenne exceptionnelles par les antennes régionales ont représenté un volume de 114 heures (+ 35 heures par rapport à 1999). Elles concernent principalement les événements sportifs (matchGueugnon/ Strasbourg retransmis simultanément par les antennes de Strasbourg et de Bourgogne Franche-Comté, départ du Tour de France à Limoges, Grand prix de tennis à Lyon, pelote basque à Bordeaux…) ouculturels (Festival interceltique de Lorient à Rennes, Biennale de la danse à Lyon, Festival du court métrageà Clermont-Ferrand…).
Certains événements importants se déroulant en régions ont également suscité des décrochages exception-nels dans une ou deux régions (obsèques de Jacques Chaban-Delmas à Bordeaux, débats de l’Assembléeterritoriale de Corse, émissions sur la tempête diffusées, l’une dans le Limousin, l’autre en Poitou-Charentes) ou dans l’ensemble des régions : ainsi, tout le réseau régional de France 3 s’est mobilisé le 8 juinpour organiser à 20 h 55 une soirée spéciale sur la sécurité routière.
Chacune des treize antennes régionales a retransmis des débats spécifiques après la diffusion d’un filmcommun à toutes les régions (Meurtres sans risques de Christina Spiero). Devant le succès de cette opéra-tion, rédaction nationale et antennes régionales se sont une nouvelle fois associées pour renouveler l’expé-rience le 18 décembre, sur le thème de l’alimentation et le problème de la vache folle.
LES MAGAZINES ET DOCUMENTAIRES RÉGIONAUX
Hormis l’information, France 3 a réservé certains créneaux de sa grille aux programmes régionaux qui ontreprésenté 5 439 heures en 2000 (– 70 heures par rapport à 1999).
Tous les samedis, de 15 h 55 à 18 h 10, chacune des treize régions propose des programmes spécifiquesregroupés désormais sous le terme générique de La vie d’ici. Il s’agit de magazines aux thèmes diversifiés(nature et découverte, patrimoine régional, histoire, littérature, musique, éducation, faits de société, sport,santé ou cuisine). Certains de ces magazines sont diffusés en langues régionales. Leur volume (344 heures)a progressé de 20 heures par rapport à celui observé en 1999.
Parmi les nouveaux magazines lancés au cours de l’année, citons, à titre d’exemple, l’émission interactive LaTélé est à vous (France 3 Bourgogne Franche-Comté), l’émission de proximité en français et en alsacien Teat’heim (France 3 Alsace), des émissions itinérantes permettant de découvrir les lieux et les habitants d’unerégion : Micro-Climat (France 3 Limousin Poitou-Charentes) ou Reflets du Sud-Ouest (France 3 Aquitaine),l’émission sur les quartiers et les villes de l’Ile-de-France A vos Quartiers (Paris Ile-de-France Centre).
Le samedi après-midi, une case Côté Docs destinée à soutenir la politique de création en régions est réservéeà des documentaires de 26 ou de 52 minutes.
Autre créneau de diffusion des programmes régionaux : le dimanche matin, de 12 h 55 à 13 h 25, consacréà des émissions de débats, à des magazines sportifs ou de divertissement, ainsi qu’au Magazine du Dimanche(voir supra).
196
LES ÉMISSIONS RÉGIONALES DIFFUSÉES SUR L’ANTENNE NATIONALE
Les émissions régionales diffusées sur le réseau national ont représenté un volume de 150 heures, contre 144 heures en 1999.
Elles ont été constituées du magazine de la rédaction européenne basée à Strasbourg et à Bruxelles Européosdésormais diffusé un mardi par mois à minuit sur l’antenne nationale, des émissions régionales diffuséespendant l’été (Les Estivales), des magazines à programmation régulière (Sur un air d’accordéon, Destinationpêche, Aléas, Côté Jardins, Côté maison,…), des documentaires programmés dans deux cases (La Case del’Oncle Doc, le lundi et le mercredi dans un format de 52 minutes, et Chroniques d’ici dans un format de 26 minutes le jeudi après-midi), ainsi que des soirées thématiques (La télé des régions a 50 ans, la sécuritéroutière ou l’alimentation).
Indépendamment de ces émissions, certains magazines diffusés sur l’antenne nationale sont réalisés avec leconcours des régions. C’est le cas de l’émission Un jour en France (45 minutes), diffusée à 8 h 45 quatre jourspar semaine et du magazine d’information quotidienne Régions.com (25 minutes), programmé à 13 h 20.
Par ailleurs, il convient de rappeler que la plupart des programmes régionaux sont diffusés sur Régions,chaîne lancée en mai 1998 et diffusée sur TPS et de nombreux réseaux câblés.
La programmation de Régions est composée à 85 % de magazines et documentaires issus des antennes régio-nales de France 3 que le réseau numérique SPIDER met à sa disposition. Elle est complétée par une produc-tion propre qui représente plus de deux heures par jour sur 18 heures de programmes et que la chaîneenvisage de développer davantage.
LES ÉMISSIONS EN LANGUE RÉGIONALE
France 3 doit « contribuer à l’expression des principales langues régionales parlées sur le territoire métropolitain ».
Un total de 344 heures a été diffusé à ce titre :
2000 1999 Variation 2000/1999
Langue bretonne 66 heures 68 heures – 2 heures
Langue alsacienne 72 heures 71 heures + 1 heure
Langue corse 103 heures 79 heures + 24 heures
Langue provençale 39 heures 40 heures – 1 heure
Langue basque 27 heures 27 heures –
Langue catalane et occitane 37 heures 39 heures – 2 heures
Total 344 heures 324 heures + 20 heures
197
IV. BILAN SYNTHÉTIQUE DE RFO (1)
I. OFFRE DE PROGRAMMES
La diffusion des programmes radiophoniques et télévisés, conçus par RFO ou fournis par d’autres diffu-seurs, est assurée par les neuf stations de la société : Martinique, Guadeloupe, Guyane, Réunion, Polynésiefrançaise, Nouvelle-Calédonie, Saint-Pierre-et-Miquelon, Wallis-et-Futuna, Mayotte.
Pour la retransmission des émissions de télévision (2), les stations utilisent deux canaux, à l’exception deMayotte et Wallis qui ne disposent toujours que du Canal 1.
La programmation de Télé Pays sur le Canal 1, à vocation généraliste, est composée d’émissions locales etd’émissions reprises des chaînes métropolitaines (dont TF1) ; celle de Tempo sur le Canal 2, comporte desémissions provenant essentiellement du service public (La Cinquième, France 2, France 3 et Arte).
L’année 2000 a été marquée par :
• une augmentation du volume global de diffusion des Télés Pays qui a atteint 60 477 heures, soit + 2,70 %par rapport à 1999 ;
• une hausse de l’offre globale des programmes locaux avec 10 565 heures (+ 9,14 %), ainsi que des émis-sions locales produites en première diffusion avec 7 659 heures (+ 15,12 %) ;
• une augmentation du volume global de diffusion de Tempo qui a atteint 50 328 heures (+ 17,85 %).
L’offre totale d’émissions de télévision s’est ainsi élevée à 110 805 heures au lieu de 101 587 heures en 1999(+9,07 %).
Programmes locaux
Télé Pays
L’analyse de la structure des programmes locaux confirme la tendance observée depuis 1998 concernant labaisse des magazines de proximité (– 393 heures) au profit d’émissions susceptibles d’être rediffusées sur leréseau de RFO et sur RFO Sat : les émission musicales (+ 431 heures), ainsi que les documentaires et maga-zines (+ 307 heures).
(1) Réseau France Outre-mer
(2) RFO diffuse également des émissions radiophoniques sur ses deux canaux : le canal 1 ou Radio Pays qui propose un programmeessentiellement local et le canal 2 qui est consacré à la retransmission du programme de France Inter.
.
198
Programmes métropolitains
Télé Pays
Les émissions métropolitaines, avant d’être diffusées, subissent un certain nombre d’interventions : suppres-sion des messages publicitaires, habillage, adaptation aux différents horaires des départements et territoiresd’outre-mer.
Sont reprises de TF1 essentiellement des fictions (téléfilms, feuilletons et séries). Des programmes auxgenres diversifiés proviennent du service public : de France 2, des fictions, mais aussi des magazines et desémissions pour la jeunesse ; de France 3, des émissions pour la jeunesse, des magazines et documentaires,ainsi que des fictions.
Sur les grilles des stations des départements comme sur celles des territoires d’outre-mer, on observe unediminution des émissions de TF1 au profit notamment des programmes de France 3.
Les programmes locaux diffusés sur Télé Pays (canal 1)
Genre de programmes Vol. hor. %Variation par
rapport à 1999
IInformation :
– dont 800 h de magazines d’information
régionale et de pages spéciales 3 800 h 36 % – 10 h
Magazines de proximité 864 h 8,2 % – 393 h
Documentaires et magazines :
– dont 261 h de documentaires 599 h 5,7 % + 307 h
Divertissement, musique et spectacles 1 310 h 12,4 % + 431 h
Sport :
– dont 405 h de magazines sportifs
et 136 h de retransmissions sportives 541 h 5,1 % + 8 h
Emissions pour la jeunesse 308 h 2,9 % – 91 h
Emissions religieuses 449 h 4,2 % – 81 h
Opérations exceptionnelles 26 h 0,2 % – 60 h
Fiction - - – 6 h
Autres émissions : (publicité, météo) 1 114 h 10,5 % + 139 h
Autres éléments : (bandes-annonces, indicatifs,
interludes...) 1 554 h 14,7 % – 479 h
Ensemble 10 565 h
Source : CSA d’après les éléments fournis par RFO.
.
199
ANNEXES
Tempo
La programmation de Tempo n’a pas subi de changements notables en 2000. Ce canal, à vocation cultu-relle et pédagogique, retransmet uniquement des émissions du service public. Les programmes provenantde La Cinquième qui représentaient en 1999 plus de 42 % sur les grilles des DOM et des TOM diminuent(respectivement 34 % et 37,2 % en 2000), au profit d’émissions de France 3. On observe par ailleurs ladisparition quasi totale d’émissions de TF1 sur toutes les grilles.
Répartition des émissions métropolitaines reprises sur Télé Pays (canal 1)
1999 2000
DOM TOM DOM TOM
France 2 42,1 % 38,7 % 41,8 % 39,7 %
France 3 30 % 27,6 % 34 % 31,8 %
La Cinquième 0,3 % 0,2 % 0,1 % 0,1 %
Arte 0,003 % 0,003 % 0,2 % 0,2 %
TF1 27,6 % 33,4 % 22,9 % 27,1 %
Source : RFO.
.
Répartition des émissions métropolitaines reprises sur Tempo (canal 2)
1999 2000
DOM TOM DOM TOM
France 2 33,3 % 29,9 % 34,7 % 29 %
France 3 18,5 % 19,5 % 25,4 % 26,3 %
La Cinquième 42,3 % 42,3 % 34 % 37,7 %
Arte 4,7 % 4,8 % 4 % 4,3 %
TF1 1,3 % 3,4 % 0,1 % 0,7 %
Source : RFO.
II. OFFRE DE PROGRAMMES PAR GENRE
Fiction cinématographique
Le décret du 5 novembre 1992 fixant le régime de diffusion des œuvres cinématographiques dans lesdépartements et territoires d’outre-mer prévoit des assouplissements par rapport au régime applicable enmétropole en raison du contexte culturel, économique et social des départements et territoires d’outre-mer : parc restreint de salles de cinéma et concentration de ces salles dans les principales agglomérations,importance de la consommation cinématographique sur support vidéo enregistré.
200
La programmation cinématographique est établie par RFO Paris qui propose deux grilles de films en fonc-tion de la spécificité des canaux.
S’agissant des films de TF1 auxquels des télévisions locales privées outre-mer ont un accès prioritaire, onconstate :
• une diminution très importante des films issus de la chaîne privée sur les Télés Pays (Canal 1) (6,7 %),alors qu’ils constituaient jusqu’à présent la principale source d’approvisionnement d’œuvres cinémato-graphiques sur ce canal (+ de 40 % en 1999).
• La suppression totale des films provenant de TF1 sur Tempo (Canal 2).
Provenance des films repris par Télé Pays (canal 1)
1999 2000 (1)
DOM TOM DOM et TOM
Nombre % Nombre % Nombre %
France 2 63 33,2 68 36 94 52,8
France 3 42 22,1 41 21,7 70 39,3
La Cinquième 1 0,5 1 0,5 1 0,6
Arte – – – – 1 0,6
TF1 84 44,2 79 41,8 12 6,7
Total 190 189 178
Source : CSA.
Provenance des films repris par Tempo (canal 2)
1999 2000
DOM TOM DOM TOM
Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %
France 2 62 33,9 57 31,5 35 20,7 37 22,2
France 3 46 25,1 51 28,2 71 42 67 40,1
La Cinquième 18 9,8 17 9,4 20 11,8 22 13,2
Arte 35 19,1 33 18,2 43 25,4 41 24,6
TF1 22 12 23 12,7 – – – –
Total 183 181 169 167
Source : CSA.
(1) En 2000, RFO Paris propose une seule grille aux stations des départements et des territoires d’outre-mer.
201
ANNEXES
Information et documentaires
La plupart des stations produisent deux journaux quotidiens ainsi que des magazines d’information dont levolume global est en augmentation (+ 4,2 %).
Certains de ces journaux sont diffusés en langues régionales : Télé Polynésie réalise chaque jour un journalde 15 minutes, Vé a Tahiti diffusé à 18 h 45 avant le journal régional, ainsi qu’un flash en tahitien dans lecadre de l’émission de proximité de la mi-journée, Avatéa.
Télé Martinique diffuse, tous les jours, un journal en langue créole de 15 minutes, Télé Guadeloupe, unjournal quotidien en créole de 5 minutes Koud Zié et Télé Guyane un flash info Info Peyi de trois minutes,quatre jours par semaine.
Enfin, Télé Mayotte et Télé Wallis proposent, le samedi, des résumés de l’actualité, respectivement enmahorais et en wallisien.
Les journaux, dont les stations ont l’entière responsabilité éditoriale, portent sur l’actualité locale, régionale,nationale et internationale. Ils sont composés de reportages réalisés par les stations, complétés par des sujetscommandés à la rédaction parisienne dont les activités se concentrent davantage sur son rôle d’agence auservice des stations.
On observe une diminution de plus en plus importante de sujets réalisés par RFO Paris (– 70 %). Les effec-tifs de la rédaction parisienne ont, en effet, été redéployés vers les stations régionales, lesquelles bénéficientdorénavant d’une plus grande capacité de production.
Par ailleurs, certains magazines produits par RFO Paris, ainsi que les journaux quotidiens tout en images desix minutes envoyés par la rédaction parisienne aux stations, ont été supprimés.
Enfin, le magazine L’Hebdo de RFO (26 minutes) qui était diffusé sur France 3 et systématiquement reprispar les stations, a été remplacé, au mois d’octobre, par Le Journal de RFO d’une durée de six minutes quiactuellement n’est pas retransmis sur l’ensemble des stations.
Avec 599 heures représentant 5,7 % de la diffusion locale, un effort important a été réalisé par la sociétédans le domaine de la diffusion de magazines et documentaires (+ 307 heures par rapport à 1999).
Cette hausse s’explique par le développement de la politique de réseau mise en place par RFO en 1999 etnotamment par la diffusion de magazines mensuels de 52 minutes réalisées avec la contribution des stationset pilotées par l’une d’entre elles : Eclats de mer (RFO Nouvelle-Calédonie), Pays mêlés, un magazine d’in-formation centré sur l’international (RFO Martinique), Shakawé, un magazine de découverte (RFORéunion), 200 pulsations minute, le rendez-vous de l’aventure et des sports (RFO Paris) et Voix au chapitre,un nouveau magazine littéraire proposé en septembre par RFO Paris.
Dans le domaine de la production de documentaires, on observe, en 2000, une augmentation de projetsaidés par le CNC, soit 46 documentaires (45 h 40) pour 20 documentaires en 1999 (17 h 57) et 17 en1998 (13 h 21).
RFO a, par ailleurs, poursuivi la production du magazine Outremers (soit une quarantaine d’heures dontprès de 90 % réalisées en coproduction). Certains numéros ont été dédiés, en 2000, à des personnalitésoriginaires d’outre-mer comme Félix Eboué, ou consacrés à des événements culturels importants tels : l’ou-verture d’une salle des arts premiers au Louvre ou le Festival des arts du Pacifique à Nouméa.
Le magazine Outremers, habituellement diffusé sur France 3 le dimanche à 10 h 45 est programmé, depuisle 2 octobre, le samedi à 9 heures. Il est rediffusé sur France 2 dans la nuit du mercredi au jeudi, sur TV5,ainsi que sur le réseau de RFO et RFO Sat.
202
Par ailleurs RFO gère l’Agence internationale d’images de télévision (AITV) qui constitue une deuxièmerédaction de RFO. Partenaire de Canal France international (CFI) et de TV5, elle propose aux télévisionsétrangères, notamment africaines un service d’actualités ainsi que quelques magazines, en diminutionsensible en 2000.
Divertissement, musique et spectacle
La société a diffusé un volume de 1 310 heures (toutes stations confondues) d’émissions de musique, spec-tacle et divertissement représentant 12,4 % de l’offre globale des programmes locaux. 910 heures deprogrammes musicaux ont été diffusés en première diffusion (+ 149 heures par rapport à l’année précé-dente).
L’effort réalisé en 1999 s’est poursuivi en 2000, notamment en Guyane (+ 158 heures), à Mayotte (+ 30 heures) et à Wallis (+ 11 heures).
Les manifestations artistiques et culturelles se déroulant outre-mer ont donné lieu à des retransmissionsparmi lesquelles les spectacles sur le carnaval aux Antilles et en Guyane, le Festival de jazz de Sainte-Lucieet les Soirées caraïbiennes en Martinique, le Festival des arts du Pacifique Sud en Nouvelle-Calédonie, leschants et danses traditionnels en Polynésie et à Mayotte.
Les stations se sont, par ailleurs, attachées à promouvoir des artistes d’outre-mer notamment à l’occasion dela Fête de la musique, dans le cadre d’émissions de proximité ou dans des émissions spécifiques consacréesà l’actualité musicale : Pacific Boulevard par Télé Nouvelle-Calédonie, Rythme d’enfer par Télé Réunion,Ladla de clips par Télé Martinique, Polynésique et Perete’i par Télé Polynésie ou Zikotop par Télé Guyane.
Notons enfin que RFO Paris produit une émission musicale destinée au réseau de RFO, 100 % mêlés(mensuel de 26 minutes) qui traite des différentes modes musicales et présente les dernières nouveautés.
Sport
Quasiment toutes les Télés Pays produisent un magazine sportif hebdomadaire généralement diffusé ledimanche ou le lundi soir en milieu de soirée et retransmettent, en direct ou en léger différé, les manifes-tations locales et régionales qui se déroulent dans les régions où les stations sont implantées.
Par ailleurs, RFO Paris produit, avec la participation des stations, un magazine sportif 200 pulsations minute(52 minutes, mensuel), qui est diffusé sur l’ensemble du réseau.
En 2000, les émissions sportives et les retransmissions locales et régionales ont représenté un volume de 541 heures, (soit 5,1 % de la diffusion locale), dont 425 heures ont été produites en première diffusion.
S’agissant des événements sportifs nationaux ou internationaux, rappelons que, conformément aux accordsconclus avec TF1, seules les stations des territoires d’outre-mer ont accès à la reprise intégrale des retrans-missions sportives de TF1.
Dans les départements d’outre-mer, les droits de retransmission sont réservés aux chaînes locales privées.Certains spectateurs s’estiment cependant pénalisés, notamment en Guyane où la seule chaîne locale privée,Antenne Créole Guyane, ne couvre pas encore tout le département. Les stations des départements ont, enrevanche, accès à l’ensemble des retransmissions en France 2 et France 3.
Le moment fort de l’année a été la retransmission des Jeux olympiques de Sydney du 15 septembre au 1er octobre. Des sujets quotidiens de 6 à 7 minutes, réalisés par une équipe des sports de la rédaction de
203
ANNEXES
RFO, ont été envoyés dans chaque station. Par ailleurs, l’ensemble des directs de France Télévision ont étédiffusés sur Tempo et l’intégralité des magazines de France 2 et France 3 retransmis sur les Télés Pays.
En Polynésie, en raison du nouveau contexte concurrentiel créé par le lancement, en juin 2000, de la chaîneTahiti Nui Télévision (TNTV), la couverture des JO a été renforcée.
En Nouvelle-Calédonie, indépendamment des programmes réalisés par les équipes de RFO sur place, plusde trois cents heures de direct ont été diffusées sur les antennes de la station.
Les autres manifestations sportives intéressant particulièrement les départements d’outre-mer ont égalementété couvertes par RFO, qu’il s’agisse de la Coupe des DOM de football, les 2 et 4 novembre, ou de la Coupede France/Clubs des DOM-TOM, les 25 et 26 novembre.
Programmes destinés à la jeunesse
Le volume des émissions destinées aux enfants et aux adolescents produites localement a atteint 308 heures(en diminution de 91 heures par rapport à l’année précédente), et représente 2,9 % de l’offre globale desprogrammes locaux.
Les émissions télévisées destinées au jeune public sont généralement de courte durée (entre 3 et 5 minutes)et se proposent de recueillir la parole des enfants et leurs « bons mots » : Motamo par Télé Polynésie, ouleurs réactions spontanées à une question : Pawol a Ti Moun par Télé Guadeloupe.
Il convient de noter l’effort effectué par RFO dans la coproduction d’un dessin animé (destiné aux 4-8 ans),Domdom, les aventures outre-mer, (13 ✕ 4 minutes et 1 ✕ 52 minutes) dont le premier épisode, Domdom àla Réunion a été diffusé au cours de l’année sur le réseau de RFO.
Les émissions qui s’adressent aux adolescents comportent des magazines liés à l’actualité et à des thèmes desociété (Bien glacé diffusé jusqu’en juin, par Télé Martinique) ou aux modes de vie et aux goûts des adoles-cents (Djembé par Télé Réunion), plus fréquemment des magazines musicaux (Ladla de clips programmé àpartir d’octobre par Télé Martinique ou Maxi Quizz par Télé Réunion).
En complément des programmes produits localement, un grand nombre d’émissions sont reprises deschaînes métropolitaines dans le but de satisfaire différentes tranches d’âge.
III. AUDIENCE
En 2000, Médiamétrie a réalisé deux enquêtes d’audience dans trois départements (Martinique,Guadeloupe et Réunion) : une première étude de septembre à novembre, suivie par une deuxième étude dejanvier à juin 2000.
Par rapport à la vague de septembre – novembre 1999 qu’il convient de comparer à celle effectuée à la mêmepériode en 2000, on constate :
• Sur Télé Pays, une érosion de la part d’audience dans les trois départements : Télé Martinique perd 6 points de part d’audience, Télé Guadeloupe 7,9 points et Télé Réunion 5,7 points. Malgré ce fléchis-sement, Télé Pays reste la chaîne la plus regardée dans ces départements.
• Tempo enregistre, pour sa part, une progression de sa part d’audience. Elle gagne 1,3 point à laMartinique, 2 points à la Guadeloupe et 1,9 à la Réunion.
204
IV. RESPECT DES OBLIGATIONS ET DES ENGAGEMENTS
Pluralisme et honnêteté de l’information
Le respect du principe du pluralisme n’a pas rencontré de problèmes particuliers lors des différentes élec-tions qui ont eu lieu pendant l’année : les élections au Congrès de Nouvelle-Calédonie et à l’Assemblée dela province des îles Loyauté (25 juin 2000), la consultation de la population de Mayotte (2 juillet 2000) etle référendum du 24 septembre 2000.
Les questions relatives au pluralisme demeurent cependant un thème récurrent des saisines qui ont étéadressées au Conseil de la part d’organisations syndicales et professionnelles ou de personnalités politiques.Le Conseil a été amené à rappeler aux requérants le principe de la liberté éditoriale qui conduit les rédac-tions à opérer des choix dans les sujets traités ou, dans certains cas, à transmettre à RFO ces plaintes endemandant à la société, si nécessaire, des éléments d’information supplémentaires.
Le Conseil a par ailleurs relevé des difficultés en matière de pluralisme inhérentes à la situation de quasimonopole de RFO dans certaines régions. Quelle que soit la complexité du paysage politique local, leConseil a souhaité que ces difficultés soient résolues au bénéfice du débat démocratique.
Protection de l’enfance et de l’adolescence
Le dispositif relatif à la protection du jeune public conclu entre le CSA et RFO a été approuvé par décisiondu 29 juillet 1998.
D’après les sondages effectués à intervalles réguliers, RFO reprend sur les deux canaux le dispositif de clas-sification des émissions mis en place sur les chaînes métropolitaines, ainsi que la signalétique adoptée parles diffuseurs métropolitains, au moment de la diffusion des émissions concernées, comme dans les bandes-annonces.
En 2000, le Conseil n’a pas observé de manquements en matière de protection de l’enfance et de l’adoles-cence.
Œuvres audiovisuelles
RFO n’est pas assujettie au respect des quotas de diffusion d’œuvres audiovisuelles contrairement aux télé-visions métropolitaines diffusées en clair par voie hertzienne terrestre et aux télévisions locales privées diffu-sées dans les départements et territoires d’outre-mer.
Il en résulte que le régime applicable à RFO est moins contraignant que celui des télévisions locales privéesdiffusées dans les départements et territoires d’outre-mer. C’est pourquoi, dans son avis du 11 mars 1993sur le projet de décret portant approbation du cahier des missions et des charges de la société, le Conseilavait estimé que RFO devait se voir imposer les mêmes obligations que ces dernières. En effet, RFOprogramme un nombre très important d’œuvres américaines, souvent des fictions reprises de TF1. L’examendes grilles de diffusion des stations révèle que les 60 % d’œuvres européennes requis ne seraient pas atteintssi RFO était assujettie au respect des quotas d’œuvres audiovisuelles.
RFO n’est pas davantage soumise aux obligations de production d’œuvres audiovisuelles, contrairement auxautres diffuseurs. La société doit cependant, conformément à la mission culturelle, éducative et sociale qui
205
ANNEXES
lui est assignée par la loi, contribuer à la mise en valeur du patrimoine audiovisuel et participer à son enri-chissement par les créations qu’elle propose sur ses antennes, comme le prescrivent les articles 3 et 26 deson cahier des missions et des charges.
Œuvres cinématographiques
En 2000, toutes les stations ont respecté, sur Télé Pays comme sur Tempo, leurs obligations de diffusiond’œuvres d’expression originale française et d’œuvres européennes, sur l’ensemble de la diffusion commeaux heures de grande écoute.
Publicité et parrainage
D’après les sondages effectués, RFO n’a pas diffusé de messages publicitaires sur Tempo conformément audécret du 9 mai 1997 interdisant toute publicité sur ce canal dans les départements d’outre-mer.
En revanche, le Conseil a constaté que Télé Réunion avait diffusé, entre novembre 2000 et mars 2001,plusieurs émissions de La Réunion vue du ciel, réalisées en partenariat avec Le Journal de l’île. Le contenu deces émissions n’était pas conforme à la réglementation publicitaire telle que précisée dans la lettre circulairedu 24 juillet 1995 relative aux relations entre la presse et la télévision, dont RFO a été destinataire.
A la suite de ces manquements, le Conseil a demandé que la société se conforme strictement, à l’avenir, aurespect de ses obligations en la matière.
Obligations de service public et obligations spécifiques
Si RFO se conforme à la plupart des obligations qui lui sont spécifiques (expression des principales languesrégionales parlées outre-mer, informations météorologiques, expression du Parlement et des assembléerégionales et territoriales, émissions consacrées aux diverses famille de croyance et de pensée…), deuxd’entre elles soulèvent des problèmes récurrents qui n’ont toujours pas trouvé de solutions satisfaisantes.
Émissions à l’intention des personnes sourdes et malentendantes
Le volume annuel de ces émissions n’a toujours pas été fixé par arrêté du ministre chargé de laCommunication contrairement à ce qui prévoit l’article 9 du cahier des missions et des charges de RFO.
Émissions d’expression directe
Le cahier des missions et des charges de RFO prévoit que la société prend en charge le coût financier desémissions d’expression directe dans les limites d’un plafond fixé par arrêté du ministre chargé de la commu-nication. En l’absence de cet arrêté, et parce que le financement de ces émissions n’a pas été prévu dans lebudget de RFO, la société n’a pas pu les mettre en place.
.
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206
Relations avec les autres organismes
Relations avec France 2
Malgré l’obligation qui lui en est faite, France 2 n’a toujours pas conclu de convention avec RFO concer-nant la production et la diffusion d’une émission régulière commune relative la vie économique, sociale etculturelle dans les départements et territoires d’outre-mer.
Relations avec l’INA
S’agissant du dépôt, de la conservation et de l’utilisation des archives de RFO, la convention conclue avecl’INA, le 19 décembre 1994, n’a toujours pas été appliquée pour des raisons budgétaires.
Relations avec TF1
Conformément à l’article 53 du cahier des missions et des charges de RFO, la chaîne a toujours un accèsgratuit aux programmes de TF1, mais elle ne bénéficie plus d’aucune exclusivité.
La convention conclue entre le CSA et TF1, le 31 juillet 1996, précise, d’autre part, que TF1 « peutconclure une convention avec RFO pour la reprise de ses programmes » (article 12). A ce jour, aucuneconvention n’a été signée entre les deux chaînes malgré le souhait du CSA que soit défini le protocole d’ac-cord prévu à cet article.
Les relations entre RFO et TF1 demeurent cependant fondées sur un accord transitoire conclu entre lesdeux sociétés, au terme duquel la chaîne publique conserve le libre accès aux émissions n’ayant pas faitl’objet d’acquisition de droits de commercialisation par TF1 outre-mer.
Certains téléspectateurs de la Guyane ou de la Guadeloupe, se sentent cependant pénalisés lorsque desévénements d’intérêt général retransmis par TF1 ne sont diffusés que par les chaînes locales privées de cesdépartements, dont la couverture hertzienne n’est pas encore totale.
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