ÉCOLE SUPÉRIEURE
MARSEILLE-MÉDITERRANÉE
D’ART & DE DESIGN
DOSSIER DE PRESSE
PiLABCRÉATIONCAMPUS 2013
EXPOSITION
GALERIE MADVernissage vendredi 05 juillet 2013, à 18h30 Exposition du 06 au 30 juillet 2013
30 bis boulevard Chave, 13005 Marseille du mardi au samedi de 14h30 à 19h T : 04 91 53 91 81 Visites en LSF les 13, 20 et 27 juillet (réservations : [email protected])
Coproduction École supérieure d’art et de design de Marseille-Méditerranée et Campus2013, jeune création en Méditerranée Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture
DOSSIER DE PRESSE
POLISSensorielle
Organisé par le Studio DOA - Fabrice Pincin
WORKSHOP
DOA est un espace de recherche qui travaille sur l’objet et la relation d’interdépendance que celui‑ci entretien avec son environnement. Ce studio en perpétuelle évolution, permet une approche ouverte des questions de design, en cohérence avec l’actualité ainsi qu’avec la transformation des besoins et des usages.Son fonctionnement s’apparente à celui d’une agence, au sein de laquelle chaque étudiant expérimente la responsabilité de projet (qu’il soit à visée pédagogique ou réaliste), tout en restant contributeur des autres études menées au sein du collectif.C’est la mutualisation des compétences, des énergies et des idées qui est recherchée, pour aboutir à plus de cohésion, d’efficacité ainsi qu’à un ensemble de connaissances et de savoir-faire, capitalisable dans un parcours professionnel.La diversité des projets proposés, le pragmatisme de la méthodologie enseignée et le réalisme des situations traitées, vise à former des designers capables d’intervenir dans le champ du design d’objets et de ses composantes associées (innovation, environnement, service...).La pédagogie employée s’appuie sur des rencontres, des visites et des enseignements théoriques qui s’articulent autours de situations de réflexion concrètes, interdisciplinaires et toujours menées en collaboration avec des partenaires professionnels (organismes d’enseignement, institutions, chercheurs, industriels, créateurs,...).
Professeur responsable :Fabrice PincinDesigner, professeur d’enseignement artistique, consultant en design, veille, stratégie et communication, auteur et président du Centre Design Marseille Provence
AssistantPierre BrocaArchitecte
Inter-relations extérieures :
École supérieure d’art d’Aix‑en‑ProvenceÉcoles d’ingénieurs : Polytech’Marseille, École des Mines de St Etienne, Centrale MarseilleÉcole nationale supérieure d’architecture de MarseilleDépartement hypermédia‑communication, Université de SavoieÉcole de Communication Visuelle, Aix en ProvenceLycée Jean‑Perrin, section DSAA, MarseilleKEDGE Design School, ToulonGroupe Dunes, artistes résidents à la Friche Belle de MaiAurel Design Urbain, Agence spécialisée en aménagement et design urbainLe FabLab MarseilleAssociation M2F, responsable du festival GAMERZ, Aix en ProvenceSociété 3BIGGG, Impression 3D
LE STUDIO
École supérieure d’art et de design de Marseille‑méditerranée — Atelier B3184 Avenue de Luminy — 13009 Marseille
POLIS sensorielle – La ville sensibleEntre corps humain et corps urbain
Si nos villes n’ont plus grand-chose à voir avec la POLIS, cette cité-état de la Grèce antique qu’Aristote décrivait comme un groupe « d’animaux politiques » réunis par un choix de vie commune, elles en ont toutefois conservé certaines dimensions, sociale, spatiale et politique, auxquelles d’autres d’ordre phénoménologique, sont par la suite venues s’agréger.Ainsi, l’espace urbain devenu lieu d’expériences sensorielles, s’appréhende et se pratique par le corps dont les mouvements et les déplacements induisent l’organisation et la forme des villes1. Une forme d’autant plus difficile à maîtriser, qu’elle est désormais le résultat d’une fusion toujours plus forte du réel et du virtuel.Dans cette possible confusion perceptive, se pose aujourd’hui au sein même de l’architecture, la question de la définition des interfaces de communication et de prise de connaissance.On constate aujourd’hui, que la prolifération en ville des capteurs, des dispositifs (inter)connectés et des données et informations exploitables, attribue à l’environnement urbain une sensibilité diffuse, immanente, à laquelle il convient de donner sens et forme.Dans le même temps, l’avènement ou le développement de nouveaux modes de conception et de production (design génératif et paramétrique, fabrication additive, assemblage moléculaire2), rend plausible l’avènement d’espaces, d’objets ou d’interfaces complexes, dont la composition et la configuration évoquent le vivant.En abordant l’espace public par le biais de la dimension sensible et sensorielle, nous traiterons cette relation complexe qui s’instaure entre le corps humain et le corps urbain et tenterons d’ébaucher des scénarios d’usage, mettant en œuvre des interfaces tangibles3, modes de communication directs entre ville et individu.
Un workshop initié par :Fabrice Pincin, Designer, Professeur d’enseignement artistique ‑ DOA ESADMM
Organisé et suivi par :L’École Supérieure d’Art et de Design Marseille Méditerranée (Fabrice Pincin, Pierre Broca)L’École Supérieure d’Art d’Aix en Provence (France Cadet et l’équipe de l’atelier mécatronique)L’École des Mines de St Etienne/Gardanne (Laurent Freund)L’École Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille (Didier Dalbera)M2F (Quentin Destieu)Le Groupe Dunes (Madeleine Chiche et Bernard Misrachi)
Des conférences en amont pour alimenter les réflexions et une semaine de travail interdisciplinaire avec près de 50 étudiants issus de 6 écoles différentes :L’École Supérieure d’Art et de Design Marseille MéditerranéeL’École Supérieure d’Art d’Aix en ProvenceL’École Supérieure d’Art de GrenobleL’École des Mines de St Etienne/GardanneL’École Nationale Supérieure d’Architecture de MarseilleL’École de Communication Visuelle d’Aix en Provence
10 projets, une exposition et une publication.
1 « Le corps des citadins, c’est le capital le plus précieux de l’urbanisme », Isaac Joseph.2 Machine moléculaire qui assemble des atomes et des molécules pour fabriquer des objets. En anglais, l’appellation Drexler’s assembler (ou Drexler assembler ou drexler) provient du nom de l’ingénieur américain Kim Eric Drexler qui, dans les années 80, a développé ce concept d’« assembleur moléculaire ».3 La notion d’Interface tangible (Tangible User Interface en anglais), a été définie en 1997 au MIT par Hiroshi Ishii. Ce type d’interface a pour principe de fournir une forme physique à l’information numérique.
LE WORKSHOP
LES ÉTUDIANTS
Ecole Supérieure d’Art et de DesignMarseille Méditerrannée - ESADMMInéha COSTEROUSSE 4ACamille LAMY 4ASalaheddine JBARI 4AVince MUSY 4AJulien Cyril ABIE 3AHugo PARAPONARIS 2ASégolène MIONI 2ALivia RIPAMONTI 4AAmine Mohamed DJABI 3A
Ecole Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence - ESAAixMathieu FERRAND 3AAmandine SIMONNET 3ARobin MORETTI 3ADaan DELANGE 3AChloé DESMOINEAUX 4AYann MANFRINI 4AManon DERAIN 4AAmandine PROVOST 5AYashar VALKJE 4AMaelys REBUTTINI 4A
Ecole Nationale Supérieure d’Architecture - ENSAYnès ABDELMOULA 3ADiane AYMARD 3AApolline BEAUFORT 3AJonathan BENYAMINE 3AJérémy LASNE 3AMargaux LEDUC 3AMargot MERLIN 3AAnne‑Pauline WOLFF 3A
Ecole de Comunication visuelle - ECVFlorent JOANNES 4AJulia WOLTER 4AEmilie GENOVESE 4AThomas LOUZOUN 4A
Ecole Supérieure d’Art et de DesignGrenoble | Valence - ESADCamille CHAPON 5A
Ecole Nationales Supérieure des Mines de GardanneFabien DAOULAS 3AClément DÉRON 3AAlbano SCARABINO 3AFlorent BOUTIN 3AAlexis KRAKOVINSKY 3AFlorian BERTON 3ACharles-Henry DUFETEL 3ALudovic FRANCONIERI 3ADamien DELÉPINE 3AJulien REPELE 3ACéline BOUILLET 3ABaptiste COPPÉRÉ 3AJean‑François AUBRY 3AThibault LINGLAIN 3ADavid EL BAZE 3AJean‑Baptiste FABRE 3A
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail wo
rksho
p Vén
us 20
13 | 2 installatio
n lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o G
ao, Aïch
a Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le trop
ique de l'O
rient" livia R
ipam
on
ti, assistée de Ro
main
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
DOAVISAGE URBAIN La ville sensible
Objectifs du projet:La ville sensible reflète plusieurs caractéristiques que nous n’avons pas l’habitude d’observer, voire même de qualifier ou de quantifier. Nous nous sommes donc concentrés sur ce que signifie le sensible à l’échelle d’une ville, et sur le type d’informations susceptibles d’en rendre compte.Dès l’origine du projet, nous avions envie de créer une corrélation entre «corps humain» et «corps urbain», l’envie également de personnifier la ville pour pouvoir rendre tangible l’invisible, le sensible.Le concept de ville sensible vise en fait à donner une silhouette ou un visage à l’espace urbain.
Le dispositif:Le processus de recherche et de réflexion s’est déroulé en deux temps.Tout d’abord une phase d’observation et d’analyse du
PROTOCOLE D’ASSOCIATION DONNEES (MESUREES) / FORMES (RETRANSCRITES)
Mouvement :vitesse / longueuractivité / évider, remplir
Son :fréquence / textureintensité / démultiplication
Couleur / couleur
Luminosité / opacité, transparence Température / « mollesse » ou rigidité
Stress :rythme cardiaque / torsionhumidité / anguleux, arrondi proximité / densité
Scénario d’usage:Des capteurs pouvant être disposés sur des personnes ou des bâtiments répartis dans la ville, mesurent un ensemble de paramètres qui une fois réunis, caractérisent la dimension sensible de l’espace urbain. Ces variables sont ensuites converties en données formelles qui composent en temps réel un visage urbain, diffusé sous forme d’hologramme et consultable par les citadins.
contexte urbain pour déterminer les paramètres essentiels pouvant caractériser la dimension sensible d’une ville. Ensuite, il nous a fallut associer et composer avec nos différents points de vue issus de nos disciplines respectives. Cela a permis d’aboutir à une approche plus complète de la ville.Nous avions envie de capter des données sensibles pour pouvoir les modéliser en temps réel. Nous avons donc dans un premier temps, listé celles qui nous paraissaient incontournables. Puis nous avons mis en place un protocole pour traduire les données relevées, en paramètres formels et créer ainsi ce que nous avons appelé « Le visage urbain ».
Le «Visage urbain» est donc la projection de l’image mentale du concept de ville sensible, sa représentation se fait par le biais d’un hologramme. En constante métamorphose, ce visage a valeur d’identité commune. Il peu facilement s’apparenter à un totem, non pas par l’accumulation d’entitées superposées, mais plutôt dans sa dimension spirituelle, tel un esprit bienveillant qui protège les hommes.
Qu’est ce qui fait la ville? Comment peut-on la comprendre et quelle est la place de l’homme dans l’espace urbain? Voici quelques questions qui ont accompagnées notre projet tout au long de son élaboration. Partant du postulat que la ville moderne est de plus en plus complexe et que l’homme a parfois du mal à y trouver sa place, le projet cherche à donner une lecture plus claire de notre environnement urbain tout en abordant la question de la sensation et celle de l’information dans l’espace public.
Ineha COSTEROUSSE — Amandine SIMONNET — Jonathan BENYAMINE — Mathieu FERRAND
STUDIO
ÉCOLE S UP ÉRIEURE
MARSMÉD ITERRA NÉE
D’AR T & DE DE S IGN
1 Séance de travail workshop Vénus 2013 |
2 installation lumineuse interactive "Faridah Rabah, Bo G
ao, Aïcha Flore O
uattara, Azza Selm
i, Yujie Wang, Jean Sanchez" |
EXEMPLES : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit
vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TERRIT TESPACES URBAINS- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
PROFESSION DESIGNERÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
APPRENTISSAGESSPÉCIFIQUES AU STUDIO
et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
SUPPORTS PÉDAGOGIQUESTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
PROFESSEURSFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
INT TIONSEXTERIEURESDépartement hypermédia-communication , Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
FORMER LES DESIGNERS DU XXIe SIÈCLE
STUDIO
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
MÉD ITERRA NÉE
installation lumineuse interactive "Faridah Rabah, Bo G
ao, Aïcha Flore O
uattara, Azza Selm
i, Yujie Wang, Jean Sanchez" |
3 "le tropique de l'Orient"
Livia Ripamonti, assistée de Rom
ain Chassaing, Lena Fillet,
Ivan Loisy | 4 W
orkshop "mur com
municant" en collaboration avec l’École Supérieure d'A
rt d'Aix en Provence (D
ouglas Edric Stanley), projet "tags num
ériques" Mickaël D
ebelfort
DOARADAR à SOLITUDE«Pour votre liberté, vous êtes sous-veillés.»
Objectifs du projet La ville nous appartient et pourtant, nous sommes aujourd’hui suivis à la trace dans l’espace urbain. Nous ne sommes plus de simples anonymes ou des passants énigmatiques. Les caméras de vidéo-surveillance se multiplient et nous scrutent. Nous sommes des sources intarissables d’informations de toutes sortes : géolocalisation,
et pourtant, nous ne nous rendons pas compte que ces données sont bel et bien réelles, tangibles. L’importance de prendre conscience de cette surveillance permanente et de lutter contre elle, nous est apparue
asymétriques et tee-shirts anti-reconnaissance faciale sont des moyens passifs de déployer sa cape d’invisibilité dans l’espace urbain. Lorsqu’il s’agit de surveillance des comportements considérés comme suspects, cela va encore plus loin. Certaines caméras proposent des fonctions qui détectent ces comportements jugés à risque. Ainsi sont détectés et signalés les regroupements de personnes, les silhouettes accroupies
excessive, les arrêts fréquents, les contresens... Nous proposons, en réponse à ces dispositifs, d’installer une zone de sous-veillance dans la ville.
Le dispositif Dans l’espace urbain, des yeux, ceux des caméras, nous regardent. Il s’agit donc ici de donner à voir une caméra de sécurité, de l’exposer, comme une sorte de ready-made.Une nouvelle relation s’installe alors entre le passant et le dispositif qui est ainsi mis en valeur. Cette caméra sur son socle n’est en fait qu’un leurre : elle est
Elle incite donc à la formation de groupes, en réaction aux caméras de surveillance standards qui elles les considèrent comme suspects.
Pédagogie comportementale Nous ne voyons pas ce que les caméras de sécurité retiennent de nous. Nous proposons donc un retour d’informations : les panneaux informatifs présents dans les villes, sont utilisés comme support pour communiquer les informations prélevées, à l’instar des panneaux d’autoroute qui préviennent les conducteurs en excès de vitesse et qui
villes, on diffuse largement l’information dérobée, ce qui peut aider à prendre conscience du fait que l’on est surveillé.
Nous sommes des sources d’information à notre insu.Nous prenons conscience de notre surveillance permanente et revendiquons notre droit à pratiquer l’espace urbain comme bon nous semble.
Julien ABIÉ — Apolline BEAUFORT— Chloé DESMOINEAUX — Robin MORETTI
«L’air de la ville rend libre» Nous revendiquons le droit de pratiquer l’espace urbain comme nous le souhaitons. C’est pourquoi nous voulons
une liste non exhaustive de propositions de comportements qui illustrent notre revendication. Alors à vous de jouer !
Nous revendiquons le droit de :
1 - Nous regrouper2 - Flâner, traîner3 - nous allonger4 - Ramper5 - Zigzaguer, aller à contresens, tourner en rond6 - Manifester nos états d’âme7 - de nous asseoir pour pique-niquer8 - d’aménager une balançoire sous un panneau publicitaire9 - Crier10 - Habiller les statues11 - ...........................12 - ..........................
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail wo
rksho
p Vén
us 20
13 | 2 installatio
n lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o G
ao, Aïch
a Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le trop
ique de l'O
rient" livia R
ipam
on
ti, assistée de Ro
main
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
DOABITES ENCHANTEESEchelles de perception
Objectif du projet
Ce dispositif expérimental interactif amplifie des informations sonores urbaines englouties par le flux de la rumeur ambiante, ou tenues hors de portée de nos aptitudes sensorielles.
Le dispositif
C’est au moyen d’un potelet urbain technologiquement augmenté, que nous révélons donc des sons dérobés, masqués, soustraits à la ville (tension électrique, flux des eaux, bruits d’insectes et d’animaux) en les restituant de façon subtile et ténue sur les trottoirs et passages empruntés quotidiennement par les citadins.Le système est pensé de manière à ce que le dispositif technologique soit complètement caché dans le potelet. C’est l’attention de l’usager qui est ici sollicitée, ainsi que son écoute et sa vigilance face aux stimuli sonores environnants.
Scénario d’usage
Sans perturber le parcours des usagers nous proposons une augmentation de données au sein même de sa déambulation.Considérant la ville comme un espace véritablement public et démocratique, il est important que tout individu puisse profiter du dispositif sans nécessiter l’apport d’outils technologiques supplémentaires. Nous agissons donc par une perturbation légère, en diffusant de façon continue les informations (ici sonores) puisées en temps réel à divers points stratégiques de la rue (exemple: sondes installées dans les canalisations disposées sous la chaussée).
L’individu en approche du dispositif est exposé durant un certain laps de temps à un son à inattendu, qu’il doit identifier et détacher du reste de la pollution sonore. Pour autant, ce son n’est pas antagoniste au lieu.
Lorsque l’usager arrive à hauteur du potelet, le son s’arrête jusqu’à ce qu’il soit de nouveau suffisamment loin.Nous rendons ainsi notre dispositif invisible, éphémère, pour stimuler l’attention des passants qui doivent tenter d’identifier la source sonore, et la réattribuer à leur environnement.
Selon le Secrétaire Général de la francophonie Abdou Diouf «le XXIe siècle sera le siècle des villes», mais de quelles villes parlons-nous ? Et quelle urbanité pouvons-nous y associer ? Le citadin, en étant toujours plus immergé dans un univers technologique et informationnel voit son comportement se modifier et par là-même, ses aptitudes et capacités évoluer. Une des conséquences possibles, est la perte ou l’émoussement de certaines dispositions sensorielles au quotidien. Notre projet souhaite donc raviver certaines de ces facultés par la mise en place d’une expérience urbaine.
Maëlys REBUTTINI — Margaux LEDUC — Hugo PARAPONARIS — Vince MUSY — Amandine PROVOST
En l’absence de passage, les potelets diffusent en les am-plifiant, les informations sonores qu’ils reçoivent.
Dès que la personne s’éloigne, les potelets reprennent leur diffusion sonore. Les capteurs de présence permettent ainsi d’éveiller la curiosité du passant, tout en rendant l’interven-tion plus fugitive.
Lorsqu’une personne s’approche, celle-ci est détectée par le pote-let qui cesse alors d’émettre les signaux sonores.
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail wo
rksho
p Vén
us 20
13 | 2 installatio
n lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o G
ao, Aïch
a Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le trop
ique de l'O
rient" livia R
ipam
on
ti, assistée de Ro
main
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
DOACi-gîtNature, Ordre et Chaos
Le dispositif:L’idée est d’extraire un bout de friche abandonnée avec son contexte, son sol et sa végétation pour le réimplanter dans un espace urbain vivant et animé. A l’image de la carotte géologique, on donne ici à voir les différentes couches d’un passé que l’homme délaisse et oublie. Il s’agit alors d’appréhender, de parcourir, d’écouter la ruine afin de la découvrir et la connaitre. Ainsi, nous offrons à chacun un sentiment d’ubiquité en prenant connaissance via tous ses sens d’un morceau d’espace appartenant à un tout autre temps et à une tout autre histoire. L’homme n’est plus un spectateur passif, il interagit avec la ruine qu’il fait vivre ou mourir par l’attention qu’il lui porte.En effet, celle‑ci réagit et s’exprime lorsqu’un passant l’approche, la touche et cherche à la comprendre. Par contre, dès qu’elle est à nouveau ignorée ou délaissée, elle s’effrite, s’effondre. L’installation est donc éphémère et vouée à disparaître, à tomber totalement en ruine dans un laps de temps qui dépend de l’intérêt porté par les usagers de l’espace urbain.
La friche est par définition une « propriété sans occupant actif », un espace rendu à la nature et livré au chaos. La ville à contrario ne peut s’envisager sans l’homme, ou sans ordre.L’ordre de la ville est fonction de sa fréquentation, de sa pratique par les habitants. Logiquement, ordre et chaos sont deux notions indissociables, nous avons donc souhaité injecter une part de chaos dans une zone active et vivante de l’espace public.
Ynès ABDELMOULA — Diane AYMARD — Salaheddine JBARI — Camille LAMY
Scénario d’usage:Le projet s’inscrit dans l’espace public, sur une place ou un quelconque lieu de passage. Un endroit où l’architecture vivante et ordonnée de la ville peut se confronter au délabrement de cet extrait de friche. Un système sonore intégré au mur permet aux passants de revivre la phase d’extraction de son lieu d’origine. Les sons audibles sont ceux des 24h du jour de l’événement. Ainsi entend‑on le calme, le bruit ambiant avant le carottage, puis le bruit des ouvriers et la violence de l’action mécanique des outils et des scies à béton. Enfin la quiétude revient et s’installe à nouveau dans le lieu mutilé.En parallèle une vidéo projetée sur le mur nous parle de son avenir hypothétique et des deux options envisageables.La première est le processus naturel de destruction d’une ruine, lié au désintérêt de l’homme. N’étant plus habitée l’architecture s’effondre, réduite en cendre, c’est le dessein de la tragédie antique.La seconde option est le processus de conservation que l’homme met en place dès qu’il renouvelle sont intérêt pour un lieu, le considérant dès lors comme un patrimoine, témoin de l’histoire. C’est l’oscillation entre attention et oublie qui fait varier le statut et la fonction de cet édifice, entre architecture vivante et ruine, entre ordre et chaos.
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail wo
rksho
p Vén
us 20
13 | 2 installatio
n lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o G
ao, Aïch
a Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le trop
ique de l'O
rient" livia R
ipam
on
ti, assistée de Ro
main
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
DOALES FRONTIÈRES : FAÇADE SONOREFrontières urbaines
Objectifs du projet :La thématique du projet « entre corps Humain et corps Urbain », nous a amené à nous intéresser à la notion de frontière et plus particulièrement à celle que constitue une façade. Cette dernière interroge la question de la limite entre espace privé et espace public, ou bien entre l’homme et la ville. Ici nous avons abordé la façade en tant que membrane, ou peau considérée comme une matière ou un décor jouant bien souvent un rôle de trompe l’œil. C’est ainsi qu’a émergé l’idée de la façade de chantier, rempart généralement disposé entre la ville et un bâtiment en cours de construction ou de rénovation.Le travail sur cette interface permet de générer une interaction entre le passant et le chantier (évoquant lui même le bâtiment à venir, composant de la densité urbaine).
Le dispositif :Pour répondre à cette intention, nous mettons en place un dispositif in-situ, composé d’une membrane qui capte l’activité sonore et les mouvements du chantier en vue de les retranscrire vers l’espace public.Cette interface interactive disposée entre les travaux et la ville vient ainsi remplacer la palissade de chantier préexistante. L’idée est d’obtenir un échafaudage à la fois scénographié et mécanisé pour animer la rue.
Photos du projet, de l’objet, du concept, diagrames... avec légendes.
Il est possible de mettre le storyboard en vertical ici, auquel cas à gauche, vous mettrez vos images du projet etc.
Scénario d’usage :Lors de sa mise en marche, ce mécanisme vient alors frapper la toile reliée à la structure. Ce mouvement produit un relief sur le matériau tendu, ainsi qu’une luminosité plus ou moins diffuse. Ces actions sont rythmées par le bruit capté au cœur du chantier via des micros reliés à un système électronique, lui même raccordé au bras de levier.L’impact des «marteaux» sur les panneaux est induit par l’intensité et le rythme produit pendant les travaux (marteau piqueur, chocs entre pièces métalliques...).L’objectif est de créer un «plan sonore du chantier» en localisant visuellement les différents sons, puis de les traiter et de les retranscrire vers l’espace public et les passants.
Comment la façade, tout en créant une frontière entre espace privé et espace public, entre individu et ville, pourrait-elle constituer un lien entre ces derniers et jouer le rôle d’interface?
Camille CHAPON — Amine DJABI — Margot MERLIN — Pauline WOLFF
Nous avons imaginé un dispositif qui viendrait se greffer sur des échafaudages existants. Le module est composé d’une structure en acier, sur laquelle est soudé un système de vérins pneumatiques venant actionner un bras de levier au bout duquel est fixée une lumière.
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation
lum
ineu
se interactive "Faridah
Rabah
, Bo G
ao, Aïch
a Flore Ou
attara, Azza S
elmi, Yu
jie Wan
g, Jean
San
chez" | 3 "le tropiqu
e de l'Orien
t" livia Ripam
onti, assistée de R
omain
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4 W
orkshop "m
ur com
mu
nican
t" en collaboration
avec l’École Su
périeure d'A
rt d'Aix en
Proven
ce (Dou
glas edric S
tanley), projet "tag
s nu
mériqu
es" Mickaël D
ebelfort
DOAEXPANDEREspace urbain et paysage sonore
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir stocker la sensation d’un moment, d’une promenade ? C’est ce qu’Expander vous propose en accompagnant vos ballades.Développée par Alexis Krakovinsky (EMS) et designée par Émilie Génovèse (ECV), Expander est une application qui utilise les capteurs sensibles d’un téléphone mobile pour interpréter les déplacements de son utilisateur en lui proposant une expérience tangible de ses perceptions.En fonction des éléments extérieurs qu’elle capte, tels que la température, la vitesse de déplacement, le nombre de pas effectués, le niveau d’humidité, l’intensité des champs magnétiques ou encore la luminosité ambiante, l’application
Peut-on créer un lien entre les lieux que nous traversons tous les jours, les sons et les im ages inscrits dans nos mémoires ?
Émilie GÉNOVÈSE — Alexis KRAKOVINSKY
analyse et convertit les données récupérées sous forme de sons et de visuels génératifs. D’abord elle génère, puis elle sauvegarde.Avec ses facultés sensitives et sensorielles finement réglées pour la collecte d’informations, l’application devient ainsi un relais indispensable pour la mémoire. Ce que l’utilisateur perçoit du monde extérieur se voit alors transformé en paysage sensible et sauvegardé dans le téléphone mobile. Ce panorama de sons et d’images, consultable à volonté, rappelle le moment du parcours et se transforme à nouveau dans le cerveau en sensations et impressions qui vont construire à leur tour de nouveaux souvenirs.
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation
lum
ineu
se interactive "Faridah
Rabah
, Bo G
ao, Aïch
a Flore Ou
attara, Azza S
elmi, Yu
jie Wan
g, Jean
San
chez" | 3 "le tropiqu
e de l'Orien
t" livia Ripam
onti, assistée de R
omain
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4 W
orkshop "m
ur com
mu
nican
t" en collaboration
avec l’École Su
périeure d'A
rt d'Aix en
Proven
ce (Dou
glas edric S
tanley), projet "tag
s nu
mériqu
es" Mickaël D
ebelfort
DOAAller plus hautChanger de point de vue
Port de lunettes non-obligatoire!La condition préalable au fait de changer de point de vue et d’accepter de sortir de soi, de se projeter dans des paramètres inconnus et ce, quel que soit le degré de technique employé.Changer de point de vue nécessite d’avoir une position d’interrogation. C’est justement ce qui a déterminé notre problématique.Marcher sur les toits, voir le réseau invisible des égouts qui s’écoulent sous nos pieds, percer le secret des murs, mettre nos yeux au bout de nos chaussures, percevoir les plus infimes détails ou embrasser au contraire d’un seul regard le corps urbain dans son ensemble, ainsi déifié, voilà autant de pistes possibles à explorer.
Le changement de point du vue a aussi été pour nous un espace de jeux et de découverte. Questionner le regard c’est ainsi se mettre à la place de l’autre : peut-on voir à travers les yeux d’un enfant ou d’une personne âgée ?Appréhender notre relation à la ville c’est étudier notre vitesse de circulation et s’arrêter sur l’idée de parcours.
Bien que notre réflexion nous ait amené à envisager le très petit comme l’horizon le plus large, les souterrains ou encore une réalité augmentée, le projet que nous proposons se concentre sur l’espace aérien, situé à la limite de la cime des bâtiments et du ciel. Car ce n’est pas la seule vision qui est ici convoquée, mais bien une expérience sensorielle totale, engageant le corps dans son entier. C’est aussi pourquoi nous avons choisi qu’il y ait un véritable effort et un investissement physique dans notre démarche.La ville nous apparaît souvent comme un univers saturé ne laissant que peu d’espaces inutilisés. Afin de combattre cette saturation, nous en sommes arrivés à retisser au sens
Comment le fait de changer de point de vue engage-t-il notre perception et notre capacité d’abstraction autant que notre corps, dans cet organe complexe qu’est la ville? Et quelle possibilités celles-ci nous offre-t-elle pour éprouver des sensations différentes alors qu’elle constitue une part de notre quotidien?
Daan De Lange — Manon DERAIN — Jérémy LASNE — Ségolène MIONI
propre comme au figuré et par dessus la canopée citadine, une nouvelle trame urbaine, espace de déambulation et de flânerie.
Le paradis du stégophile.Le stégophile est celui qui grimpe sur les immeubles pour prendre de la hauteur. Il collectionne les points de vues insolites. Les idées n’ont pas manqué pour imaginer des dispositifs singuliers qui permettraient de circuler sur la cime des toits.
Nous avons d’abord créé notre univers grâce à quelques photomontages et croquis. Au final nous nous sommes rapprochés du domaine sportif, avec des pratiques comme l’escalade, l’accrobranche, le canoeing, et aussi d’une certaine simplicité de conception avec une économie dans le choix des outils et des matériaux, tel que le filet.La présence d’un filet est une invitation à imaginer les recoins inexplorés de la ville, à envisager des parcours aventureux et insoupçonnés, bien loin du chemin convenu et machinal qu’offre le flux de circulation classique. C’est un moment de suspension et d’imagination qui est ainsi proposé et rendu possible par un outil aussi sommaire qu’efficace.
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation lu
min
euse in
teractive "Faridah R
abah, B
o Gao, A
ïcha Flore O
uattara, A
zza Selm
i, Yujie W
ang
, Jean S
anch
ez" | 3 "le tropique de l'O
rient" livia R
ipamon
ti, assistée de Rom
ain C
hassain
g, len
a Fillet, ivan loisy | 4
Worksh
op "mu
r comm
un
icant" en
collaboration avec l’École S
upérieu
re d'Art d'A
ix en P
rovence (D
oug
las edric Stan
ley), projet "tags n
um
ériques" M
ickaël Debelfort
exemples : Un panneau qui évolue et indique en temps réel le nombre de places de stationnement libres dans une rue
Un musée qui sait quelle langue vous parlez et qui change ses messages lorsque vous approchez
Une statue qui parle, de temps en temps
Une sculpture plus ou moins éclairée la nuit selon le nombre de personnes qui la regardent
Un métro dont le plafond montre ce qui se passe en surface (soleil, places, rues...)
Une étagère qui reçoit des sms et les affiche quand vous rentrez chez vous
Un pont levant qui twitte quand on ne peut pas l’emprunter
TerriToire : design eTespaces urbains- Usages et pratiques innovants des espaces urbains- Rendre les musées amicaux et leur visite interactive- Rendre plus facile l’usage des technologies
complexes- Accompagner le lien social et le développement
durable- Donner du sens au vivre ensemble.
profession designerÉclairage et mobilier urbain interactif | concepteur d’applications mobiles | muséographe | objets connectés et communicants
apprenTissagesspécifiques au sTudioÉdition, mise en page, traitement des images fixes et animées, conception et réalisation de QR-codes, programmation, processing, arduino, notions de Pure-Data, conception et réalisation de réalité augmentée (à partir de patterns), conception et réalisation de projets interactifs (Kinect, capteurs, timeline...)
supporTs pédagogiquesTravail en atelier pour des réalisations échelle 1Réseaux sociaux, Twitter, Facebook, forums, blogs...Travailler en équipe pluridisciplinaire avec les professionnels.
workshops : imprimante 3D, murs et écrans tactiles multitouch, muséographie et scénographie, la ville augmentée...
professeursFrédérique Entrialgo Docteur en sciences de l’information et de la communication, consultante en innovation urbaine
Ronan Kerdreux Urbaniste, designer, scénographe d'expositions interactives
Fabrice Pincin Designer, critique du design, consultant en veille technologique
Grégoire Lauvin Artiste, assistant chargé de la réalisation technique des travaux d’étudiants
Dominik Barbier Artiste, scénographe électronique
inTer-relaTionsexTerieuresDépartement hypermédia-communication, Université de Savoie
École supérieure d’art d’Aix-en-Provence
Écoles d’ingénieurs (Polytech’Marseille, École des Mines de Gardanne)
École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Musée départemental Arles Antique
former les designers du xxie siècle
sTudio
www.studiolentigo.netFacebook groupe Studio-lentigoTwitter compte studiolentigo(utilisé seulement pendant les workshops)
École SupÉrieure
MARSeille-MÉDiTeRRAnÉe
d’arT & de deSign
1 Séan
ce de travail worksh
op Vénu
s 2013 | 2 in
stallation
lum
ineu
se interactive "Faridah
Rabah
, Bo G
ao, Aïch
a Flore Ou
attara, Azza S
elmi, Yu
jie Wan
g, Jean
San
chez" | 3 "le tropiqu
e de l'Orien
t" livia Ripam
onti, assistée de R
omain
Ch
assaing
, lena Fillet, ivan
loisy | 4 W
orkshop "m
ur com
mu
nican
t" en collaboration
avec l’École Su
périeure d'A
rt d'Aix en
Proven
ce (Dou
glas edric S
tanley), projet "tag
s nu
mériqu
es" Mickaël D
ebelfort
DOAEXPANDEREspace urbain et paysage sonore
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir stocker la sensation d’un moment, d’une promenade ? C’est ce qu’Expander vous propose en accompagnant vos ballades.Développée par Alexis Krakovinsky (EMS) et designée par Émilie Génovèse (ECV), Expander est une application qui utilise les capteurs sensibles d’un téléphone mobile pour interpréter les déplacements de son utilisateur en lui proposant une expérience tangible de ses perceptions.En fonction des éléments extérieurs qu’elle capte, tels que la température, la vitesse de déplacement, le nombre de pas effectués, le niveau d’humidité, l’intensité des champs magnétiques ou encore la luminosité ambiante, l’application
Peut-on créer un lien entre les lieux que nous traversons tous les jours, les sons et les im ages inscrits dans nos mémoires ?
Émilie GÉNOVÈSE — Alexis KRAKOVINSKY
analyse et convertit les données récupérées sous forme de sons et de visuels génératifs. D’abord elle génère, puis elle sauvegarde.Avec ses facultés sensitives et sensorielles finement réglées pour la collecte d’informations, l’application devient ainsi un relais indispensable pour la mémoire. Ce que l’utilisateur perçoit du monde extérieur se voit alors transformé en paysage sensible et sauvegardé dans le téléphone mobile. Ce panorama de sons et d’images, consultable à volonté, rappelle le moment du parcours et se transforme à nouveau dans le cerveau en sensations et impressions qui vont construire à leur tour de nouveaux souvenirs.
STUDIO DOA
École supérieure d’art et de design de Marseille‑méditerranée — Atelier B3184 Avenue de Luminy — 13009 Marseille
CONTACT
COMMUNICATION & PRESSE
Valérie Chardon Langlais
T : + 33(0)4 91 82 83 23
184, avenue de Luminy – 13009 Marseille
T : + 33 (0)4 91 82 83 10
www.esadmm.fr
http://twitter.com/ESADMM
http://www.facebook.com/EcoleSuperieureArtDesignMarseilleMediterranee
CONTACTS
ÉCOLE SUPÉRIEURE D’ART & DE DESIGN MARSEILLE-MÉDITERRANÉE
Top Related