Compagnon Maths Méthode et découpage du manuel
Ces exercices et problèmes sont répartis systématiquement en quatre rubriques :
J’APPLIQUECette rubrique propose un exercice d’application directe de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence. L’élève réinvestit ce qu’il a appris avec le problème résolu. C’est la démarche personnalisée.
JE M’ENTRAÎNE AVEC COMPAGNON MATHSL’entraînementPour chaque leçon, l’élève dispose de plusieurs exercices et problèmes très diversifiés. Ils vont du plus facile au plus difficile. Il n’est pas indispensable de les réaliser tous. C’est l’enseignant qui adaptera selon les besoins : c’est la pédagogie différenciée.
JE M’ENTRAÎNE SANS AIDECette rubrique propose une série de problèmes de plus en plus difficiles sans aide.Cette seconde double page se termine systématiquement par une rubrique fondamentale concernant l’institutionnalisation de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence.
CE QUE JE DOIS SAVOIRCette rubrique fait partie des « écrits de référence », c’est la synthèse de ce que l’élève a appris.
Cette nouvelle collection a été conçue pour répondre au mieux aux dernières I.O. Elle a pris le parti de garantir l’autonomie de l’élève (démarche experte) et de permettre à tous de réussir par des exercices progressifs et la présence d’un petit personnage complice : le compagnon d’apprentissage qui intervient à tout moment pour aider l’élève à comprendre et à réussir.La démarche adoptée est la suivante :
• Une évaluation diagnostique : pour situer l’élève avant de l’engager vers une nouvelle difficulté mathématique.
• Un énoncé de problème (situation-problème).
• Une solution expliquée (démarche experte) qui servira de référence par la suite à l’élève.
• Un problème à résoudre similaire (démarche personnalisée).
• Des exercices aux difficultés progressives. Petit à petit, les aides diminuent mais les élèves peuvent toujours avoir recours à la démarche experte (solution expliquée précédemment).
+ 12 pages de problèmes (en fin de manuel) + 12 pages de calcul mental (en fin de manuel)
Les enjeux des mathématiques au cycle 3La pratique des mathématiques développe le goût de la recherche et du raisonnement, l’imagination et les capacités d’abstraction, la rigueur et la précision.Du CE2 au CM2, on retrouve (comme au CP-CE1) les quatre domaines du programme : 1. Nombres et calcul 2. Géométrie 3. Grandeurs et mesures 4. Organisation et gestion de données
Dans ces quatre domaines, l’élève : • enrichit ses connaissances, acquiert
de nouveaux outils, et continue d’ap-prendre à résoudre des problèmes ;
• renforce ses compétences en calcul mental ; • acquiert de nouveaux automatismes
(acquisition de mécanismes toujours asso-ciée à une intelligence de leur signification).
La maîtrise des principaux éléments mathé-matiques aide à agir dans la vie quotidienne et prépare la poursuite d’études au collège.
La résolution de problèmes au centre des activités« La résolution de problèmes joue un rôle essentiel dans l’activité mathématique. Elle est présente dans tous les domaines et s’exerce à tous les stades des apprentissa-ges. » Extrait I.O. 2008. Ces deux phrases résument bien l’idée que les problèmes sont le fondement de l’activité mathématique à tous les niveaux avec cepen-dant différents objectifs selon les connaissan-ces des élèves, le moment où ils sont posés, les besoins repérés par l’enseignant…
Un problème peut être posé pour : • construire de nouvelles connaissances
L’enseignant propose un problème qui doit permettre aux élèves de prendre conscience des limites ou de l’insuffisance des connaissances dont ils disposent déjà et d’en élaborer de nouvelles dont le sens sera ensuite progressivement enrichi. Ce type de problème permettra l’introduc-tion d’une nouvelle notion, d’un nouveau signe mathématique, d’une nouvelle technique opératoire…
• s’exercer et s’entraîner L’enseignant propose des problèmes qui doivent permettre l’utilisation « directe » des connaissances acquises. C’est en rencon-trant plusieurs fois ces connaissances dans des situations différentes qu’on apprend à les réinvestir, les renforcer et les maîtriser. Ce type de problème permettra l’acquisition et la maîtrise de procédures expertes. Ces problèmes peuvent être présentés sous forme écrite (énoncés écrits, mais aussi tableaux, schémas ou graphiques), fournis oralement ou encore s’appuyer sur des situations authentiques.
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
Une addition posée se compte en commençant par :a) les unités.b) les dizaines.c) les centaines.
Une addition permet de calculer :a) un produit.b) une somme.c) une différence.
D’après toi, le résultat de cette addition : 674 + 1 084 + 9 000 est à peu près égal à :a) 5 000.b) 10 000.c) 16 000.
Une soustraction permet de calculer :a) un quotient.b) une somme.c) une différence.
Quelle soustraction est bien posée ?
a)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
b)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
c)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
1
2
3
4
5
En additionnant un nombre de la colonne BLEUE et un nombre
de la colonne JAUNE, retrouve un nombre de la colonne VERTE.
1000 1 500 1 000
500 800 3 000
300 400 4 040
2 600 50 2 000
5 000 4 000 5 050
40 700 1 800
Chloé et Alexis doivent composer un nombre en utilisant leurs 4 étiquettes. Quand ils ont trouvé leur nombre, ils décident de les additionner. Leurs deux nombres additionnés font 7 100 130.Retrouve leurs deux nombres.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.
>
26
4
t’eN souvieNs-tu ?
ChERChONs ENsEMBLE
Les grands nombres :addition et soustraction
Calcul mental
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
CENT(S) CENT(S)TROIS MILLEQUATRE TRENTE MILLIONS MILLIONS
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
et un nombre Mercure
Vénus
Terre
MarsJupiter
? km
nom des planètes distance par rapport au soleil (en km)
Mercure 58 145 500
Vénus 108 025 200
Terre 149 087 400
Mars 227 981 000
Jupiter 778 095 300
Quelle est la distance entre Mars et Jupiter quand elles sont alignées ?
Additionne tous les nombres du tableau.
1
2
Je commence par calculer la distance entre Mars et Jupiter. En lisant le tableau, je vois que Mars est situé à 227 981 000 de km du soleil et que Jupiter est situé à 778 095 300 de km du soleil.Je complète le dessin situé en haut de la page en indiquant ces nouvelles distances. Cela donne :
Mercure
Vénus
Terre
Mars
Jupiter
227 981 000 km
? km
778 095 300 km
Il suffit de soustraire 778 095 300 – 227 981 000.
Je pose
7 7 8 0 9 5 3 0 0– 2 2 7 9 8 1 0 0 0
5 5 0 1 1 4 3 0 0 et je trouve 550 114 300 km.
Il suffit de poser correctement son addition, en alignant bien chaque chiffre de chaque nombre, ce qui donne :
➁ ➃ ➀ ➂ ➁ ➀
5 8 1 4 5 5 0 01 0 8 0 2 5 2 0 01 4 9 0 8 7 4 0 02 2 7 9 8 1 0 0 0
+ 7 7 8 0 9 5 3 0 01 3 2 1 3 3 4 4 0 0
soit 1 321 334 400 km.
1
2
Ce qu‛il faut savoir…
… sur la solutionQuand on pose une opération en colonnes (addition, soustraction…), on aligne correctement les chiff res de chaque nombre, en commençant par le chiff re des unités.
Exemples : 3 147 236 + 13 028 104 = 16 175 340
➀ ➀
3 1 4 7 2 3 6+ 1 3 0 2 8 1 0 4
1 6 1 7 5 3 4 0
1 800 399 – 16 286 = 1 784 113
1 8 ➀ 0 ➀ 0 3 9 9– 1 6 2 8 6
➀ ➀
1 7 8 4 1 1 3
27
J’appreNds avec compagNoN maths
La situation problème
Calcul mental
La solution expliquée
« Attention, n’oublie pas
les retenues ! »
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
Voici un tableau t’indiquant le nombre d’habitants que comptent quelques pays de l’Union européenne :Quel est le pays le plus peuplé ? Calcule l’écart de population entre :• l’Allemagne et l’Autriche ;• l’Autriche et le luxembourg ;• la France et l’Espagne.
> pays population
Allemagne 84 500 000
Autriche 8 720 000
Espagne 41 250 000
France 63 500 000
Luxembourg 384 000
Pays-Bas 15 980 000
Pose et calcule les soustractions ci-dessous.• 4 247 – 125• 21 627 – 9 528• 890 – 682• 349 – 97
À partir de chaque couple de nombres, pose et calcule une soustraction.• 587 et 1 038• 11 000 et 7 347• 6 209 et 24 273
Pose et calcule ces additions. Indique d’abord l’ordre de grandeur de chaque résultat.Exemple : 345 209 + 65 847On arrondit les nombres au millier le plus proche.345 000 + 66 000 = 411 000
➀ ➀ ➀ ➀
3 4 5 2 0 9+ 6 5 8 4 7
4 1 1 0 5 6
• 487 + 1 527• 786 + 1 023 + 3 975• 327 751 + 4 130 + 37• 628 + 17 416 + 364 884
Complète ces additions à trous.
4 8 6 9 7+ . . . . .
7 2 9 2 4
. . . . . .
+ 7 9 6 8 23 1 5 4 3 8
7 1 6 . 8+ 3 . 7 2 .
1 . 6 . 8 3
Quel est l’ordre de grandeur des différences entre les nombres de chaque paire ?
2 538 625 ➟ …
37 000 9 592 ➟ …
23 678 7 901 ➟ …
6 987 1 879 ➟ …
Voici cinq nombres :426 854 – 696 052 – 41 297 – 389 765 – 703 852
Lequel est le plus proche de 401 523 ? Lequel est le plus proche de 700 002 ?
1
2
3
4
5
6
28
J’applique
Je m’eNtraîNe avec compagNoN maths
« Vérifie avec ta calculatrice… va bien lentement
pour ne pas te tromper ! »
Associe à chaque opération l’étiquette résultat qui convient.
515 724 158 427 518 247
• 74 632 + 83 795• 284 056 + 234 191• (158 x 1 000) + (4 x 100) + (2 x 10) + 7• 592 341 – 76 617• 500 000 + 18 247• 624 307 – 106 060• 500 000 + 15 724• 2 562 163 – 2 403 736
Voici la superficie de la Terre et des six continents.
surface superficie (en km2)
Terre 510 065 285
Asie 43 807 785
Europe 10 392 855
Amérique 39 923 488
Afrique 30 221 532
Océanie 8 523 655
Antarctique 14 107 637
Quelle est la différence de superficie entre le continent le plus vaste et le plus petit ? Quelle est la superficie des mers et océans ?
Mme Leconte-Hébont a dressé ce tableau pour calculer les entrées de la semaine au château de Chenonceau.Aide-la à le compléter.
jourentrées
plein tarif9 €
entrées tarif enfant
6 €total
lundi 5 769 1 524 …
mardi 11 025 … 13 533
mercredi 15 111 3 192 …
jeudi 9 864 1 314 …
vendredi 20 583 3 018 …
samedi 17 136 … 19 854
dimanche 9 855 954 …
totaux … … …
M. et Mme Yapluka veulent acheter une maison ancienne à 252 500 €. Il va falloir faire des travaux, et cela va leur coûter environ 33 000 €. En plus, ils aimeraient faire un jardin paysager, pour lequel ils prévoient de dépenser 12 000 €.Combien vont leur coûter en tout l’achat de la maison et les travaux ?
Monsieur a sur son compte en banque 35 623 € et sa femme a mis de côté 28 236 €.Quelle somme vont-ils devoir emprunter à la banque ?
7
8
9
10
Pour additionner des grands nombres, il faut poser l’addition en colonnes, en veillant à bien placer les unités sous les unités, les dizaines sous les dizaines, les centaines sous les centaines…
Exemple :
543 627 + 6 789 + 15 300 = 565 716➀ ➀ ➀ ➀
5 4 3 6 2 7+ 6 7 8 9+ 1 5 3 0 0
5 6 5 7 1 6
Pour soustraire des grands nombres, il faut en plus poser le plus grand en premier.
Exemple :
891 798 – 645 901 = 245 897
8 9 ➀ 1 ➀ 7 9 8– 6 4 5 9 0 1
➀ ➀
2 4 5 8 9 7
29
Je m’eNtraîNe saNs aide
ce que Je dois savoir
LA BDAu début de chaque grand chapitre, l’enfant lit une bande dessinée et retrouve son compagnon d’apprentissage dans une petite aventure qui donne du sens aux leçons qui vont suivre (géométrie, numération…).
Ce compagnon est représenté par une mascotte que nous avons créée. Gentille comme un ours pour le CE2, maligne comme un singe pour le CM1 et intelligente comme un rat pour le CM2. Cette mascotte est un compagnon d’apprentissage qui interviendra à tout moment, tout au long des pages pour aider, donner des astuces, encourager…
Compter...… les étoiles en se levant... ... les moutons en s’endormant !
Additionner... Soustraire... Multiplier... Diviser...
Chouette !25 pots
de miel en plus...100 en tout !
Qui a mangéces 4 pots de miel ?
2 cuillerées demiel pendant4 jours, matin
et soir !
Et tu partagesces 18 bonbons
avec tes 2 copains.
Mais le vrai bonheur : résoudre un petit problème !Une abeille butine117 fleurs par jour.
Sur chaque fleur, elleprélève 1 mg de pollen.
100 g de pollen donnent 1 g de miel.
Il y a 28 400 abeillesdans une ruche.
Et moi, je mange2 Kg de miel par jour !
Alors,combiend'abeillestravaillentpour moi
par jour ?
T’EN SOUVIENS-TU ?Les préalablesCette rubrique propose un petit QCM ayant un rôle diagnostique permettant d’identifier les acquis et éventuellement les lacunes des élèves. Le contenu de ce QCM est toujours en liaison avec l’apprentissage visé dans la séquence.Cette petite évaluation diagnostique permet à l’élève et à l’enseignant d’évaluer le niveau des acquisitions antérieures nécessaires et indispensables pour entreprendre, avec les meilleures chances de réussite, une nouvelle leçon. En cas d’échec important, l’élève devra revoir les connais-sances encore mal maîtrisées : c’est la remédiation.
CHERCHONS ENSEMBLECette rubrique propose un problème s’inscrivant dans la catégorie « construire de nouvelles connaissances ». Son rôle est fondamental dans la construction des connaissances, l’élève étant l’acteur principal avec ses acquis, ses insuffisances, ses stratégies. Les solutions personnelles sont construites individuellement, par équipe ou collectivement. Elles montrent à l’élève que la démarche experte est certes utile mais que d’autres démarches mathé-matiques sont aussi possibles et mettent en jeu des connaissances et compétences antérieures.
CALCUL MENTALChaque jour, comme demandé par les I.O., l’élève s’exerce au calcul mental. Il renforcera ses compétences grâce aux 10 pages en fin de manuel spécialement consacrées au calcul mental.
J’APPRENDS AVEC COMPAGNON MATHSLa solution experteL’élève assiste au déroulement de la solution experte (I.O.). Il possède là un modèle qu’il pourra transférer. Cette solution experte met en jeu des compétences relatives à la leçon du jour. C’est le cœur de la méthode « Compagnon maths ». Cette rubrique propose deux parties :• Une « situation problème » avec sa « solution expliquée » qui permet essentiellement aux élèves
de prendre conscience de la différence entre une procédure personnelle et une procédure experte dont l’objet principal est la connaissance visée.
• Des aides et des informations dans la colonne « Ce qu’il faut savoir » qui seront reprises un peu plus tard lors de l’institutionnalisation des savoirs nouveaux liés à la séquence.
Le compagnon d’apprentissage, innovant et efficace
Pour chaque séquence, une première double page…
… et une seconde double page !
Elle constitue l’essentiel de l’entraînement indispensable à la maîtrise des connaissances. Les exercices et problèmes proposés s’inscrivent pour la majorité dans la catégorie « s’exercer et s’entraîner » et, pour une moindre proportion, dans la catégorie « apprendre à chercher ».
ProlongementsÀ la fin du manuel : 18 pages consacrées au calcul mental (I.O.),18 pages consacrées aux résolutions de problèmes (I.O.). Chaque exercice et problème est en relation avec une leçon du manuel. Ce choix éditorial des auteurs permet de répondre au mieux aux nouvelles I.O.
Un compagnon d’apprentissageLe compagnon d’apprentissage est un élément central de la mise en pages du manuel. C’est à la fois son image et surtout ses commentaires qui vont « soutenir » l’élève tout au long de la séquence. La plupart du temps, le texte a pour objet :
• d’aider l’élève dans sa recherche ;
• de le mettre en garde sur certains pièges ;
• de lui rappeler certains savoirs déjà vus ;
• de lui expliquer des mots importants ;
• de le rassurer sur certaines difficultés ;
Compagnon Maths Cycle 3
Compagnon Maths Cycle 3
La première double page prend en compte la démarche scientifique reconnue par l’ensemble des péda-gogues. La séquence commence par une évaluation diagnostique et la recherche de solutions personna-lisées. La situation problème et sa correction (solution experte) permettront à l’élève de comprendre les mécanismes nécessaires lors de la résolution des exercices à venir.
Compagnon Maths Méthode et découpage du manuel
Ces exercices et problèmes sont répartis systématiquement en quatre rubriques :
J’APPLIQUECette rubrique propose un exercice d’application directe de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence. L’élève réinvestit ce qu’il a appris avec le problème résolu. C’est la démarche personnalisée.
JE M’ENTRAÎNE AVEC COMPAGNON MATHSL’entraînementPour chaque leçon, l’élève dispose de plusieurs exercices et problèmes très diversifiés. Ils vont du plus facile au plus difficile. Il n’est pas indispensable de les réaliser tous. C’est l’enseignant qui adaptera selon les besoins : c’est la pédagogie différenciée.
JE M’ENTRAÎNE SANS AIDECette rubrique propose une série de problèmes de plus en plus difficiles sans aide.Cette seconde double page se termine systématiquement par une rubrique fondamentale concernant l’institutionnalisation de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence.
CE QUE JE DOIS SAVOIRCette rubrique fait partie des « écrits de référence », c’est la synthèse de ce que l’élève a appris.
Cette nouvelle collection a été conçue pour répondre au mieux aux dernières I.O. Elle a pris le parti de garantir l’autonomie de l’élève (démarche experte) et de permettre à tous de réussir par des exercices progressifs et la présence d’un petit personnage complice : le compagnon d’apprentissage qui intervient à tout moment pour aider l’élève à comprendre et à réussir.La démarche adoptée est la suivante :
• Une évaluation diagnostique : pour situer l’élève avant de l’engager vers une nouvelle difficulté mathématique.
• Un énoncé de problème (situation-problème).
• Une solution expliquée (démarche experte) qui servira de référence par la suite à l’élève.
• Un problème à résoudre similaire (démarche personnalisée).
• Des exercices aux difficultés progressives. Petit à petit, les aides diminuent mais les élèves peuvent toujours avoir recours à la démarche experte (solution expliquée précédemment).
+ 12 pages de problèmes (en fin de manuel) + 12 pages de calcul mental (en fin de manuel)
Les enjeux des mathématiques au cycle 3La pratique des mathématiques développe le goût de la recherche et du raisonnement, l’imagination et les capacités d’abstraction, la rigueur et la précision.Du CE2 au CM2, on retrouve (comme au CP-CE1) les quatre domaines du programme : 1. Nombres et calcul 2. Géométrie 3. Grandeurs et mesures 4. Organisation et gestion de données
Dans ces quatre domaines, l’élève : • enrichit ses connaissances, acquiert
de nouveaux outils, et continue d’ap-prendre à résoudre des problèmes ;
• renforce ses compétences en calcul mental ; • acquiert de nouveaux automatismes
(acquisition de mécanismes toujours asso-ciée à une intelligence de leur signification).
La maîtrise des principaux éléments mathé-matiques aide à agir dans la vie quotidienne et prépare la poursuite d’études au collège.
La résolution de problèmes au centre des activités« La résolution de problèmes joue un rôle essentiel dans l’activité mathématique. Elle est présente dans tous les domaines et s’exerce à tous les stades des apprentissa-ges. » Extrait I.O. 2008. Ces deux phrases résument bien l’idée que les problèmes sont le fondement de l’activité mathématique à tous les niveaux avec cepen-dant différents objectifs selon les connaissan-ces des élèves, le moment où ils sont posés, les besoins repérés par l’enseignant…
Un problème peut être posé pour : • construire de nouvelles connaissances
L’enseignant propose un problème qui doit permettre aux élèves de prendre conscience des limites ou de l’insuffisance des connaissances dont ils disposent déjà et d’en élaborer de nouvelles dont le sens sera ensuite progressivement enrichi. Ce type de problème permettra l’introduc-tion d’une nouvelle notion, d’un nouveau signe mathématique, d’une nouvelle technique opératoire…
• s’exercer et s’entraîner L’enseignant propose des problèmes qui doivent permettre l’utilisation « directe » des connaissances acquises. C’est en rencon-trant plusieurs fois ces connaissances dans des situations différentes qu’on apprend à les réinvestir, les renforcer et les maîtriser. Ce type de problème permettra l’acquisition et la maîtrise de procédures expertes. Ces problèmes peuvent être présentés sous forme écrite (énoncés écrits, mais aussi tableaux, schémas ou graphiques), fournis oralement ou encore s’appuyer sur des situations authentiques.
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
Une addition posée se compte en commençant par :a) les unités.b) les dizaines.c) les centaines.
Une addition permet de calculer :a) un produit.b) une somme.c) une différence.
D’après toi, le résultat de cette addition : 674 + 1 084 + 9 000 est à peu près égal à :a) 5 000.b) 10 000.c) 16 000.
Une soustraction permet de calculer :a) un quotient.b) une somme.c) une différence.
Quelle soustraction est bien posée ?
a)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
b)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
c)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
1
2
3
4
5
En additionnant un nombre de la colonne BLEUE et un nombre
de la colonne JAUNE, retrouve un nombre de la colonne VERTE.
1000 1 500 1 000
500 800 3 000
300 400 4 040
2 600 50 2 000
5 000 4 000 5 050
40 700 1 800
Chloé et Alexis doivent composer un nombre en utilisant leurs 4 étiquettes. Quand ils ont trouvé leur nombre, ils décident de les additionner. Leurs deux nombres additionnés font 7 100 130.Retrouve leurs deux nombres.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.
>
26
4
t’eN souvieNs-tu ?
ChERChONs ENsEMBLE
Les grands nombres :addition et soustraction
Calcul mental
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
CENT(S) CENT(S)TROIS MILLEQUATRE TRENTE MILLIONS MILLIONS
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
et un nombre Mercure
Vénus
Terre
MarsJupiter
? km
nom des planètes distance par rapport au soleil (en km)
Mercure 58 145 500
Vénus 108 025 200
Terre 149 087 400
Mars 227 981 000
Jupiter 778 095 300
Quelle est la distance entre Mars et Jupiter quand elles sont alignées ?
Additionne tous les nombres du tableau.
Je commence par calculer la distance entre Mars et Jupiter. En lisant le tableau, je vois que Mars est situé à 227 981 000 de km du soleil et que Jupiter est situé à 778 095 300 de km du soleil.Je complète le dessin situé en haut de la page en indiquant ces nouvelles distances. Cela donne :
Mercure
Vénus
Terre
Mars
Jupiter
227 981 000 km
? km
778 095 300 km
Il suffit de soustraire 778 095 300 – 227 981 000.
Je pose
7 7 8 0 9 5 3 0 0– 2 2 7 9 8 1 0 0 0
5 5 0 1 1 4 3 0 0 et je trouve 550 114 300 km.
Il suffit de poser correctement son addition, en alignant bien chaque chiffre de chaque nombre, ce qui donne :
➁ ➃ ➀ ➂ ➁ ➀
5 8 1 4 5 5 0 01 0 8 0 2 5 2 0 01 4 9 0 8 7 4 0 02 2 7 9 8 1 0 0 0
+ 7 7 8 0 9 5 3 0 01 3 2 1 3 3 4 4 0 0
soit 1 321 334 400 km.
1
2
Ce qu‛il faut savoir…
… sur la solutionQuand on pose une opération en colonnes (addition, soustraction…), on aligne correctement les chiff res de chaque nombre, en commençant par le chiff re des unités.
Exemples : 3 147 236 + 13 028 104 = 16 175 340
➀ ➀
3 1 4 7 2 3 6+ 1 3 0 2 8 1 0 4
1 6 1 7 5 3 4 0
1 800 399 – 16 286 = 1 784 113
1 8 ➀ 0 ➀ 0 3 9 9– 1 6 2 8 6
➀ ➀
1 7 8 4 1 1 3
27
J’appreNds avec compagNoN maths
La situation problème
Calcul mental
La solution expliquée
« Attention, n’oublie pas
les retenues ! »
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
En additionnant un nombre et un nombre
, retrouve VERTE.
Chloé et Alexis doivent composer un nombre en utilisant leurs 4 étiquettes. Quand ils ont trouvé leur nombre,
À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.
de la colonne verte et je me dis :
Quels sont les deux nombres qui additionnés vont
nom des planètes
Quelle est la distance entre Mars et Jupiter quand elles sont alignées ?
Additionne tous les nombres du tableau.
Je commence par calculer la distance entre Mars et Jupiter. Je commence par calculer la distance entre Mars et Jupiter. En lisant le tableau, je vois que Mars est situé à 227 981 000 de km du soleil et que Jupiter est situé à 778 095 300 de km du soleil.Je complète le dessin situé en haut de la page en indiquant ces nouvelles distances. Cela donne :
Il suffit de soustraire 778 095 300 – 227 981 000.
Je pose
Il suffit de poser correctement son addition, en alignant bien chaque chiffre de chaque nombre, ce qui donne :
+1
1
2
Voici un tableau t’indiquant le nombre d’habitants que comptent quelques pays de l’Union européenne :Quel est le pays le plus peuplé ? Calcule l’écart de population entre :• l’Allemagne et l’Autriche ;• l’Autriche et le luxembourg ;• la France et l’Espagne.
> pays population
Allemagne 84 500 000
Autriche 8 720 000
Espagne 41 250 000
France 63 500 000
Luxembourg 384 000
Pays-Bas 15 980 000
Pose et calcule les soustractions ci-dessous.• 4 247 – 125• 21 627 – 9 528• 890 – 682• 349 – 97
À partir de chaque couple de nombres, pose et calcule une soustraction.• 587 et 1 038• 11 000 et 7 347• 6 209 et 24 273
Pose et calcule ces additions. Indique d’abord l’ordre de grandeur de chaque résultat.Exemple : 345 209 + 65 847On arrondit les nombres au millier le plus proche.345 000 + 66 000 = 411 000
➀ ➀ ➀ ➀
3 4 5 2 0 9+ 6 5 8 4 7
4 1 1 0 5 6
• 487 + 1 527• 786 + 1 023 + 3 975• 327 751 + 4 130 + 37• 628 + 17 416 + 364 884
Complète ces additions à trous.
4 8 6 9 7+ . . . . .
7 2 9 2 4
. . . . . .
+ 7 9 6 8 23 1 5 4 3 8
7 1 6 . 8+ 3 . 7 2 .
1 . 6 . 8 3
Quel est l’ordre de grandeur des différences entre les nombres de chaque paire ?
2 538 625 ➟ …
37 000 9 592 ➟ …
23 678 7 901 ➟ …
6 987 1 879 ➟ …
Voici cinq nombres :426 854 – 696 052 – 41 297 – 389 765 – 703 852
Lequel est le plus proche de 401 523 ? Lequel est le plus proche de 700 002 ?
1
2
3
4
5
6
28
J’applique
Je m’eNtraîNe avec compagNoN maths
« Vérifie avec ta calculatrice… va bien lentement
pour ne pas te tromper ! »
Associe à chaque opération l’étiquette résultat qui convient.
515 724 158 427 518 247
• 74 632 + 83 795• 284 056 + 234 191• (158 x 1 000) + (4 x 100) + (2 x 10) + 7• 592 341 – 76 617• 500 000 + 18 247• 624 307 – 106 060• 500 000 + 15 724• 2 562 163 – 2 403 736
Voici la superficie de la Terre et des six continents.
surface superficie (en km2)
Terre 510 065 285
Asie 43 807 785
Europe 10 392 855
Amérique 39 923 488
Afrique 30 221 532
Océanie 8 523 655
Antarctique 14 107 637
Quelle est la différence de superficie entre le continent le plus vaste et le plus petit ? Quelle est la superficie des mers et océans ?
Mme Leconte-Hébont a dressé ce tableau pour calculer les entrées de la semaine au château de Chenonceau.Aide-la à le compléter.
jourentrées
plein tarif9 €
entrées tarif enfant
6 €total
lundi 5 769 1 524 …
mardi 11 025 … 13 533
mercredi 15 111 3 192 …
jeudi 9 864 1 314 …
vendredi 20 583 3 018 …
samedi 17 136 … 19 854
dimanche 9 855 954 …
totaux … … …
M. et Mme Yapluka veulent acheter une maison ancienne à 252 500 €. Il va falloir faire des travaux, et cela va leur coûter environ 33 000 €. En plus, ils aimeraient faire un jardin paysager, pour lequel ils prévoient de dépenser 12 000 €.Combien vont leur coûter en tout l’achat de la maison et les travaux ?
Monsieur a sur son compte en banque 35 623 € et sa femme a mis de côté 28 236 €.Quelle somme vont-ils devoir emprunter à la banque ?
7
8
9
10
Pour additionner des grands nombres, il faut poser l’addition en colonnes, en veillant à bien placer les unités sous les unités, les dizaines sous les dizaines, les centaines sous les centaines…
Exemple :
543 627 + 6 789 + 15 300 = 565 716➀ ➀ ➀ ➀
5 4 3 6 2 7+ 6 7 8 9+ 1 5 3 0 0
5 6 5 7 1 6
Pour soustraire des grands nombres, il faut en plus poser le plus grand en premier.
Exemple :
891 798 – 645 901 = 245 897
8 9 ➀ 1 ➀ 7 9 8– 6 4 5 9 0 1
➀ ➀
2 4 5 8 9 7
29
Je m’eNtraîNe saNs aide
ce que Je dois savoir
LA BDAu début de chaque grand chapitre, l’enfant lit une bande dessinée et retrouve son compagnon d’apprentissage dans une petite aventure qui donne du sens aux leçons qui vont suivre (géométrie, numération…).
Ce compagnon est représenté par une mascotte que nous avons créée. Gentille comme un ours pour le CE2, maligne comme un singe pour le CM1 et intelligente comme un rat pour le CM2. Cette mascotte est un compagnon d’apprentissage qui interviendra à tout moment, tout au long des pages pour aider, donner des astuces, encourager…
Chloé et Alexis doivent composer un nombre en utilisant leurs 4 étiquettes. Quand ils ont trouvé leur nombre, ils décident de les additionner. Leurs deux nombres additionnés font 7 100 130.Retrouve leurs deux nombres.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.
>
CENT(S) QUATRE
LA BDLA BD
Compter...… les étoiles en se levant... ... les moutons en s’endormant !
Additionner... Soustraire... Multiplier... Diviser...
Chouette !25 pots
de miel en plus...100 en tout !
Qui a mangéces 4 pots de miel ?
2 cuillerées demiel pendant4 jours, matin
et soir !
Et tu partagesces 18 bonbons
avec tes 2 copains.
Mais le vrai bonheur : résoudre un petit problème !Une abeille butine117 fleurs par jour.
Sur chaque fleur, elleprélève 1 mg de pollen.
100 g de pollen donnent 1 g de miel.
Il y a 28 400 abeillesdans une ruche.
Et moi, je mange2 Kg de miel par jour !
Alors,combiend'abeillestravaillentpour moi
par jour ?
T’EN SOUVIENS-TU ?Les préalablesCette rubrique propose un petit QCM ayant un rôle diagnostique permettant d’identifier les acquis et éventuellement les lacunes des élèves. Le contenu de ce QCM est toujours en liaison avec l’apprentissage visé dans la séquence.Cette petite évaluation diagnostique permet à l’élève et à l’enseignant d’évaluer le niveau des acquisitions antérieures nécessaires et indispensables pour entreprendre, avec les meilleures chances de réussite, une nouvelle leçon. En cas d’échec important, l’élève devra revoir les connais-sances encore mal maîtrisées : c’est la remédiation.
CHERCHONS ENSEMBLECette rubrique propose un problème s’inscrivant dans la catégorie « construire de nouvelles connaissances ». Son rôle est fondamental dans la construction des connaissances, l’élève étant l’acteur principal avec ses acquis, ses insuffisances, ses stratégies. Les solutions personnelles sont construites individuellement, par équipe ou collectivement. Elles montrent à l’élève que la démarche experte est certes utile mais que d’autres démarches mathé-matiques sont aussi possibles et mettent en jeu des connaissances et compétences antérieures.
CALCUL MENTALChaque jour, comme demandé par les I.O., l’élève s’exerce au calcul mental. Il renforcera ses compétences grâce aux 10 pages en fin de manuel spécialement consacrées au calcul mental.
J’APPRENDS AVEC COMPAGNON MATHSLa solution experteL’élève assiste au déroulement de la solution experte (I.O.). Il possède là un modèle qu’il pourra transférer. Cette solution experte met en jeu des compétences relatives à la leçon du jour. C’est le cœur de la méthode « Compagnon maths ». Cette rubrique propose deux parties :• Une « situation problème » avec sa « solution expliquée » qui permet essentiellement aux élèves
de prendre conscience de la différence entre une procédure personnelle et une procédure experte dont l’objet principal est la connaissance visée.
• Des aides et des informations dans la colonne « Ce qu’il faut savoir » qui seront reprises un peu plus tard lors de l’institutionnalisation des savoirs nouveaux liés à la séquence.
Le compagnon d’apprentissage, innovant et efficace
Pour chaque séquence, une première double page…
… et une seconde double page !
Elle constitue l’essentiel de l’entraînement indispensable à la maîtrise des connaissances. Les exercices et problèmes proposés s’inscrivent pour la majorité dans la catégorie « s’exercer et s’entraîner » et, pour une moindre proportion, dans la catégorie « apprendre à chercher ».
ProlongementsÀ la fin du manuel : 18 pages consacrées au calcul mental (I.O.),18 pages consacrées aux résolutions de problèmes (I.O.). Chaque exercice et problème est en relation avec une leçon du manuel. Ce choix éditorial des auteurs permet de répondre au mieux aux nouvelles I.O.
Un compagnon d’apprentissageLe compagnon d’apprentissage est un élément central de la mise en pages du manuel. C’est à la fois son image et surtout ses commentaires qui vont « soutenir » l’élève tout au long de la séquence. La plupart du temps, le texte a pour objet :
• d’aider l’élève dans sa recherche ;
• de le mettre en garde sur certains pièges ;
• de lui rappeler certains savoirs déjà vus ;
• de lui expliquer des mots importants ;
• de le rassurer sur certaines difficultés ;
Compagnon Maths Cycle 3
Compagnon Maths Cycle 3
La première double page prend en compte la démarche scientifique reconnue par l’ensemble des péda-gogues. La séquence commence par une évaluation diagnostique et la recherche de solutions personna-lisées. La situation problème et sa correction (solution experte) permettront à l’élève de comprendre les mécanismes nécessaires lors de la résolution des exercices à venir.
Compagnon Maths Méthode et découpage du manuel
Ces exercices et problèmes sont répartis systématiquement en quatre rubriques :
J’APPLIQUECette rubrique propose un exercice d’application directe de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence. L’élève réinvestit ce qu’il a appris avec le problème résolu. C’est la démarche personnalisée.
JE M’ENTRAÎNE AVEC COMPAGNON MATHSL’entraînementPour chaque leçon, l’élève dispose de plusieurs exercices et problèmes très diversifiés. Ils vont du plus facile au plus difficile. Il n’est pas indispensable de les réaliser tous. C’est l’enseignant qui adaptera selon les besoins : c’est la pédagogie différenciée.
JE M’ENTRAÎNE SANS AIDECette rubrique propose une série de problèmes de plus en plus difficiles sans aide.Cette seconde double page se termine systématiquement par une rubrique fondamentale concernant l’institutionnalisation de la (des) connaissance(s) visée(s) dans la séquence.
CE QUE JE DOIS SAVOIRCette rubrique fait partie des « écrits de référence », c’est la synthèse de ce que l’élève a appris.
Cette nouvelle collection a été conçue pour répondre au mieux aux dernières I.O. Elle a pris le parti de garantir l’autonomie de l’élève (démarche experte) et de permettre à tous de réussir par des exercices progressifs et la présence d’un petit personnage complice : le compagnon d’apprentissage qui intervient à tout moment pour aider l’élève à comprendre et à réussir.La démarche adoptée est la suivante :
• Une évaluation diagnostique : pour situer l’élève avant de l’engager vers une nouvelle difficulté mathématique.
• Un énoncé de problème (situation-problème).
• Une solution expliquée (démarche experte) qui servira de référence par la suite à l’élève.
• Un problème à résoudre similaire (démarche personnalisée).
• Des exercices aux difficultés progressives. Petit à petit, les aides diminuent mais les élèves peuvent toujours avoir recours à la démarche experte (solution expliquée précédemment).
+ 12 pages de problèmes (en fin de manuel) + 12 pages de calcul mental (en fin de manuel)
Les enjeux des mathématiques au cycle 3La pratique des mathématiques développe le goût de la recherche et du raisonnement, l’imagination et les capacités d’abstraction, la rigueur et la précision.Du CE2 au CM2, on retrouve (comme au CP-CE1) les quatre domaines du programme : 1. Nombres et calcul 2. Géométrie 3. Grandeurs et mesures 4. Organisation et gestion de données
Dans ces quatre domaines, l’élève : • enrichit ses connaissances, acquiert
de nouveaux outils, et continue d’ap-prendre à résoudre des problèmes ;
• renforce ses compétences en calcul mental ; • acquiert de nouveaux automatismes
(acquisition de mécanismes toujours asso-ciée à une intelligence de leur signification).
La maîtrise des principaux éléments mathé-matiques aide à agir dans la vie quotidienne et prépare la poursuite d’études au collège.
La résolution de problèmes au centre des activités« La résolution de problèmes joue un rôle essentiel dans l’activité mathématique. Elle est présente dans tous les domaines et s’exerce à tous les stades des apprentissa-ges. » Extrait I.O. 2008. Ces deux phrases résument bien l’idée que les problèmes sont le fondement de l’activité mathématique à tous les niveaux avec cepen-dant différents objectifs selon les connaissan-ces des élèves, le moment où ils sont posés, les besoins repérés par l’enseignant…
Un problème peut être posé pour : • construire de nouvelles connaissances
L’enseignant propose un problème qui doit permettre aux élèves de prendre conscience des limites ou de l’insuffisance des connaissances dont ils disposent déjà et d’en élaborer de nouvelles dont le sens sera ensuite progressivement enrichi. Ce type de problème permettra l’introduc-tion d’une nouvelle notion, d’un nouveau signe mathématique, d’une nouvelle technique opératoire…
• s’exercer et s’entraîner L’enseignant propose des problèmes qui doivent permettre l’utilisation « directe » des connaissances acquises. C’est en rencon-trant plusieurs fois ces connaissances dans des situations différentes qu’on apprend à les réinvestir, les renforcer et les maîtriser. Ce type de problème permettra l’acquisition et la maîtrise de procédures expertes. Ces problèmes peuvent être présentés sous forme écrite (énoncés écrits, mais aussi tableaux, schémas ou graphiques), fournis oralement ou encore s’appuyer sur des situations authentiques.
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
Une addition posée se compte en commençant par :a) les unités.b) les dizaines.c) les centaines.
Une addition permet de calculer :a) un produit.b) une somme.c) une différence.
D’après toi, le résultat de cette addition : 674 + 1 084 + 9 000 est à peu près égal à :a) 5 000.b) 10 000.c) 16 000.
Une soustraction permet de calculer :a) un quotient.b) une somme.c) une différence.
Quelle soustraction est bien posée ?
a)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
b)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
c)
1 8 7 5 3
– 5 3 9
. . . . .
1
2
3
4
5
En additionnant un nombre de la colonne BLEUE et un nombre
de la colonne JAUNE, retrouve un nombre de la colonne VERTE.
1000 1 500 1 000
500 800 3 000
300 400 4 040
2 600 50 2 000
5 000 4 000 5 050
40 700 1 800
Chloé et Alexis doivent composer un nombre en utilisant leurs 4 étiquettes. Quand ils ont trouvé leur nombre, ils décident de les additionner. Leurs deux nombres additionnés font 7 100 130.Retrouve leurs deux nombres.À toi ensuite, de composer un nombre pour chaque enfant. Additionne ces deux nombres puis soustrais-les.
>
26
4
t’eN souvieNs-tu ?
ChERChONs ENsEMBLE
Les grands nombres :addition et soustraction
Calcul mental
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
CENT(S) CENT(S)TROIS MILLEQUATRE TRENTE MILLIONS MILLIONS
Objectif : Savoir additionner et soustraire des grands nombres.
et un nombre Mercure
Vénus
Terre
MarsJupiter
? km
nom des planètes distance par rapport au soleil (en km)
Mercure 58 145 500
Vénus 108 025 200
Terre 149 087 400
Mars 227 981 000
Jupiter 778 095 300
Quelle est la distance entre Mars et Jupiter quand elles sont alignées ?
Additionne tous les nombres du tableau.
1
2
Je commence par calculer la distance entre Mars et Jupiter. En lisant le tableau, je vois que Mars est situé à 227 981 000 de km du soleil et que Jupiter est situé à 778 095 300 de km du soleil.Je complète le dessin situé en haut de la page en indiquant ces nouvelles distances. Cela donne :
Mercure
Vénus
Terre
Mars
Jupiter
227 981 000 km
? km
778 095 300 km
Il suffit de soustraire 778 095 300 – 227 981 000.
Je pose
7 7 8 0 9 5 3 0 0– 2 2 7 9 8 1 0 0 0
5 5 0 1 1 4 3 0 0 et je trouve 550 114 300 km.
Il suffit de poser correctement son addition, en alignant bien chaque chiffre de chaque nombre, ce qui donne :
➁ ➃ ➀ ➂ ➁ ➀
5 8 1 4 5 5 0 01 0 8 0 2 5 2 0 01 4 9 0 8 7 4 0 02 2 7 9 8 1 0 0 0
+ 7 7 8 0 9 5 3 0 01 3 2 1 3 3 4 4 0 0
soit 1 321 334 400 km.
1
2
Ce qu‛il faut savoir…
… sur la solutionQuand on pose une opération en colonnes (addition, soustraction…), on aligne correctement les chiff res de chaque nombre, en commençant par le chiff re des unités.
Exemples : 3 147 236 + 13 028 104 = 16 175 340
➀ ➀
3 1 4 7 2 3 6+ 1 3 0 2 8 1 0 4
1 6 1 7 5 3 4 0
1 800 399 – 16 286 = 1 784 113
1 8 ➀ 0 ➀ 0 3 9 9– 1 6 2 8 6
➀ ➀
1 7 8 4 1 1 3
27
J’appreNds avec compagNoN maths
La situation problème
Calcul mental
La solution expliquée
« Attention, n’oublie pas
les retenues ! »
« Moi, je pars de la colonne verte
(ex : 1 000) et je me dis : Quels sont les deux nombres
qui additionnés vont faire 1 000 ? »
Voici un tableau t’indiquant le nombre d’habitants que comptent quelques pays de l’Union européenne :Quel est le pays le plus peuplé ? Calcule l’écart de population entre :• l’Allemagne et l’Autriche ;• l’Autriche et le luxembourg ;• la France et l’Espagne.
> pays population
Allemagne 84 500 000
Autriche 8 720 000
Espagne 41 250 000
France 63 500 000
Luxembourg 384 000
Pays-Bas 15 980 000
Pose et calcule les soustractions ci-dessous.• 4 247 – 125• 21 627 – 9 528• 890 – 682• 349 – 97
À partir de chaque couple de nombres, pose et calcule une soustraction.• 587 et 1 038• 11 000 et 7 347• 6 209 et 24 273
Pose et calcule ces additions. Indique d’abord l’ordre de grandeur de chaque résultat.Exemple : 345 209 + 65 847On arrondit les nombres au millier le plus proche.345 000 + 66 000 = 411 000
➀ ➀ ➀ ➀
3 4 5 2 0 9+ 6 5 8 4 7
4 1 1 0 5 6
• 487 + 1 527• 786 + 1 023 + 3 975• 327 751 + 4 130 + 37• 628 + 17 416 + 364 884
Complète ces additions à trous.
4 8 6 9 7+ . . . . .
7 2 9 2 4
. . . . . .
+ 7 9 6 8 23 1 5 4 3 8
7 1 6 . 8+ 3 . 7 2 .
1 . 6 . 8 3
Quel est l’ordre de grandeur des différences entre les nombres de chaque paire ?
2 538 625 ➟ …
37 000 9 592 ➟ …
23 678 7 901 ➟ …
6 987 1 879 ➟ …
Voici cinq nombres :426 854 – 696 052 – 41 297 – 389 765 – 703 852
Lequel est le plus proche de 401 523 ? Lequel est le plus proche de 700 002 ?
1
2
3
4
5
6
28
J’applique
Je m’eNtraîNe avec compagNoN maths
« Vérifie avec ta calculatrice… va bien lentement
pour ne pas te tromper ! »
Associe à chaque opération l’étiquette résultat qui convient.
515 724 158 427 518 247
• 74 632 + 83 795• 284 056 + 234 191• (158 x 1 000) + (4 x 100) + (2 x 10) + 7• 592 341 – 76 617• 500 000 + 18 247• 624 307 – 106 060• 500 000 + 15 724• 2 562 163 – 2 403 736
Voici la superficie de la Terre et des six continents.
surface superficie (en km2)
Terre 510 065 285
Asie 43 807 785
Europe 10 392 855
Amérique 39 923 488
Afrique 30 221 532
Océanie 8 523 655
Antarctique 14 107 637
Quelle est la différence de superficie entre le continent le plus vaste et le plus petit ? Quelle est la superficie des mers et océans ?
Mme Leconte-Hébont a dressé ce tableau pour calculer les entrées de la semaine au château de Chenonceau.Aide-la à le compléter.
jourentrées
plein tarif9 €
entrées tarif enfant
6 €total
lundi 5 769 1 524 …
mardi 11 025 … 13 533
mercredi 15 111 3 192 …
jeudi 9 864 1 314 …
vendredi 20 583 3 018 …
samedi 17 136 … 19 854
dimanche 9 855 954 …
totaux … … …
M. et Mme Yapluka veulent acheter une maison ancienne à 252 500 €. Il va falloir faire des travaux, et cela va leur coûter environ 33 000 €. En plus, ils aimeraient faire un jardin paysager, pour lequel ils prévoient de dépenser 12 000 €.Combien vont leur coûter en tout l’achat de la maison et les travaux ?
Monsieur a sur son compte en banque 35 623 € et sa femme a mis de côté 28 236 €.Quelle somme vont-ils devoir emprunter à la banque ?
7
8
9
10
Pour additionner des grands nombres, il faut poser l’addition en colonnes, en veillant à bien placer les unités sous les unités, les dizaines sous les dizaines, les centaines sous les centaines…
Exemple :
543 627 + 6 789 + 15 300 = 565 716➀ ➀ ➀ ➀
5 4 3 6 2 7+ 6 7 8 9+ 1 5 3 0 0
5 6 5 7 1 6
Pour soustraire des grands nombres, il faut en plus poser le plus grand en premier.
Exemple :
891 798 – 645 901 = 245 897
8 9 ➀ 1 ➀ 7 9 8– 6 4 5 9 0 1
➀ ➀
2 4 5 8 9 7
29
Je m’eNtraîNe saNs aide
ce que Je dois savoir
7
8
LA BDAu début de chaque grand chapitre, l’enfant lit une bande dessinée et retrouve son compagnon d’apprentissage dans une petite aventure qui donne du sens aux leçons qui vont suivre (géométrie, numération…).
Ce compagnon est représenté par une mascotte que nous avons créée. Gentille comme un ours pour le CE2, maligne comme un singe pour le CM1 et intelligente comme un rat pour le CM2. Cette mascotte est un compagnon d’apprentissage qui interviendra à tout moment, tout au long des pages pour aider, donner des astuces, encourager…
Compter...… les étoiles en se levant... ... les moutons en s’endormant !
Additionner... Soustraire... Multiplier... Diviser...
Chouette !25 pots
de miel en plus...100 en tout !
Qui a mangéces 4 pots de miel ?
2 cuillerées demiel pendant4 jours, matin
et soir !
Et tu partagesces 18 bonbons
avec tes 2 copains.
Mais le vrai bonheur : résoudre un petit problème !Une abeille butine117 fleurs par jour.
Sur chaque fleur, elleprélève 1 mg de pollen.
100 g de pollen donnent 1 g de miel.
Il y a 28 400 abeillesdans une ruche.
Et moi, je mange2 Kg de miel par jour !
Alors,combiend'abeillestravaillentpour moi
par jour ?
T’EN SOUVIENS-TU ?Les préalablesCette rubrique propose un petit QCM ayant un rôle diagnostique permettant d’identifier les acquis et éventuellement les lacunes des élèves. Le contenu de ce QCM est toujours en liaison avec l’apprentissage visé dans la séquence.Cette petite évaluation diagnostique permet à l’élève et à l’enseignant d’évaluer le niveau des acquisitions antérieures nécessaires et indispensables pour entreprendre, avec les meilleures chances de réussite, une nouvelle leçon. En cas d’échec important, l’élève devra revoir les connais-sances encore mal maîtrisées : c’est la remédiation.
CHERCHONS ENSEMBLECette rubrique propose un problème s’inscrivant dans la catégorie « construire de nouvelles connaissances ». Son rôle est fondamental dans la construction des connaissances, l’élève étant l’acteur principal avec ses acquis, ses insuffisances, ses stratégies. Les solutions personnelles sont construites individuellement, par équipe ou collectivement. Elles montrent à l’élève que la démarche experte est certes utile mais que d’autres démarches mathé-matiques sont aussi possibles et mettent en jeu des connaissances et compétences antérieures.
CALCUL MENTALChaque jour, comme demandé par les I.O., l’élève s’exerce au calcul mental. Il renforcera ses compétences grâce aux 10 pages en fin de manuel spécialement consacrées au calcul mental.
J’APPRENDS AVEC COMPAGNON MATHSLa solution experteL’élève assiste au déroulement de la solution experte (I.O.). Il possède là un modèle qu’il pourra transférer. Cette solution experte met en jeu des compétences relatives à la leçon du jour. C’est le cœur de la méthode « Compagnon maths ». Cette rubrique propose deux parties :• Une « situation problème » avec sa « solution expliquée » qui permet essentiellement aux élèves
de prendre conscience de la différence entre une procédure personnelle et une procédure experte dont l’objet principal est la connaissance visée.
• Des aides et des informations dans la colonne « Ce qu’il faut savoir » qui seront reprises un peu plus tard lors de l’institutionnalisation des savoirs nouveaux liés à la séquence.
Le compagnon d’apprentissage, innovant et efficace
Pour chaque séquence, une première double page…
… et une seconde double page !
Elle constitue l’essentiel de l’entraînement indispensable à la maîtrise des connaissances. Les exercices et problèmes proposés s’inscrivent pour la majorité dans la catégorie « s’exercer et s’entraîner » et, pour une moindre proportion, dans la catégorie « apprendre à chercher ».
ProlongementsÀ la fin du manuel : 18 pages consacrées au calcul mental (I.O.),18 pages consacrées aux résolutions de problèmes (I.O.). Chaque exercice et problème est en relation avec une leçon du manuel. Ce choix éditorial des auteurs permet de répondre au mieux aux nouvelles I.O.
Un compagnon d’apprentissageLe compagnon d’apprentissage est un élément central de la mise en pages du manuel. C’est à la fois son image et surtout ses commentaires qui vont « soutenir » l’élève tout au long de la séquence. La plupart du temps, le texte a pour objet :
• d’aider l’élève dans sa recherche ;
• de le mettre en garde sur certains pièges ;
• de lui rappeler certains savoirs déjà vus ;
• de lui expliquer des mots importants ;
• de le rassurer sur certaines difficultés ;
Compagnon Maths Cycle 3
Compagnon Maths Cycle 3
La première double page prend en compte la démarche scientifique reconnue par l’ensemble des péda-gogues. La séquence commence par une évaluation diagnostique et la recherche de solutions personna-lisées. La situation problème et sa correction (solution experte) permettront à l’élève de comprendre les mécanismes nécessaires lors de la résolution des exercices à venir.
TÉLÉCHARGEZ NOTRE CATALOGUE 2011 SUR LE SITE www.sedrap.fr
Les classeurs-ressourcesCompagnon maths
Collection Compagnon MathsUne collection rigoureusement
conforme aux programmes 2008qui place l’enfant au cœur
des apprentissages.Les classeurs-ressources peuvent
être utilisés seuls ou en complément du manuel de la classe. Ils comportent
des activités de prolongement pour chaque leçon des manuels
ainsi que 20 évaluations.
Ils proposent toutes les corrections des exercices et des problèmes du manuel mais aussi :
• des conseils, des recommandations, des prolongements ;
• les objectifs et les démarches pour préparer la classe ;
• les fiches méthodes pour vous aider à aborder les différentes rubriques en classe ;
• les évaluations pour mesurer les progrès.
Conception du classeur-ressourcesLe classeur-ressources propose des fiches d’exercices de prolongement pour chaque leçon du manuel. La pratique de ces fiches peut être diversifiée : – utilisation de la fiche correspondant aux besoins de l’élève ; – travail individuel ou à l’intérieur de groupes restreints ; – travail en autonomie complète ou avec accompagnement.Nous proposons 20 évaluations que l’enseignant(e) pourra utiliser régulièrement.Pour en faciliter l’utilisation, elles font référence au contenu mathématique spécifique auquel elles renvoient.Les corrigés des fiches d’exercices et des évaluations se trouvent en deuxième partie du classeur. Afin de permettre l’autocorrection, elles sont reprises telles quelles, en gris, de manière à ce que les corrections, en noir, apparaissent clairement.
Les guides
Faites de votre tableau L’espaCe de L’interaCtivité !
3
1 654 2
6 Recherche par mots-clés.
7 Sauvegarde des modifications réalisées à l’aide de la trousse (flèches, commentaires, caches...) permettant de préparer son cours à l’avance.
8 L’interface est conviviale, colorée et le côté graphique est très développé.
9 Pas de licence limitée dans le temps et des tarifs adaptés pour les écoles déjà équipées de nos manuels en version papier.
10 Pour la dépense de votre budget spécifique, tous nos produits numérisés sont référencés au KNé (Kiosque Numérique de l’éducation) > www.kiosque.edu.com
Les 10 avantages de nos manuels numérisés
1 Une panoplie d’outils à disposition de l’enseignant : des outils de graphisme (pour tracer, gommer, entourer...), des outils texte (pour écrire, souligner, surligner), des fonctions complémentaires telles que la fonction cache, la fonction spot, les liens.
2 Aide détaillée outil par outil et disponible en permanence à côté du manuel si besoin.
3 Pour la collection Compagnon Maths, l’enseignant dispose d’outils complémentaires à utiliser : la règle, le compas, l’équerre, le rapporteur, la calculatrice, le pointeur. Il peut poser des opérations directement à l’écran.
4 Sommaire interactif permettant de se rendre directement à la page repérée d’un simple clic.
5 Possibilité de rentrer des pages en « favoris » et de les enregistrer pour créer un sommaire personnalisé en fonction des cours.
3
Toute une année scolaire en 3 fichiers !
Idéal pour alléger le poids du cartable !
Cycle 2 Cycle 3CP
Le lot de 3 fichiers CPOPMØML
978–2–7581–0696–8
Le guide CPOPMØGU
978–2–7581–0697–5
CE 2
Le manuel CE 2OPM2ML
978–2–7581–0423–0
Le guide CE 2OPM2GU
978–2–7581–0434–6
Le classeur-ressources CE 2OPM2CR
978–2–7581–0783–5
CM 1
Le manuel CM 1OPM3ML
978–2–7581–0424–7
Le guide CM 1OPM3GU
978–2–7581–0435–3
Le classeur-ressources CM 1OPM3CR
978–2–7581–0784–2
CM 2
Le manuel CM 2OPM4ML
978–2–7581–0425–4
Le guide CM 2OPM4GU
978–2–7581–0436–0
Le classeur-ressources CM 2OPM4CR
978–2–7581–0785–9
CE 1
Le lot de 3 fichiers CE 1OPM1ML
978–2–7581–0698–2
Le guide CE 1OPM1GU
978–2–7581–0699–9
Modulo géométrie et mesuresPour une pédagogie différenciée et un travail en autonomie
La collection Modulo Géométrie et Mesures constitue une très riche banque d’outils pour l’apprentissage et l’évaluation, établie en référence précise aux programmes de juin 2008 et s’appuyant étroitement sur les « Progressions pour le cours élémentaire deuxième année et le cours moyen » jointes aux programmes du cycle 3. Chacun des classeurs est structuré selon une organisation constante, grâce à laquelle l’enseignant(e) pourra se repérer aisément.Le programme de chacun des deux domaines (Géométrie et Mesures) est réparti en 9 séquences + une séquence consacrée aux bilans de fin d’année.
Chaque séquence est composée de 15 fiches• 1 fiche (A4) : Construction, consolidation du savoir • 1 fiche (A4) : Évaluation diagnostique • 4 fiches (A5) : Remédiation • 4 fiches (A5) : Entraînement • 4 fiches (A5) : Approfondissement • 1 fiche (A4) : Évaluation sommative
Pour chaque niveau, un classeur « apprendre » et un classeur « corriger ».
Le classeur « apprendre » contient 290 fiches à photocopier, plus de 400 exercices et 5 bilans de fin d’année.Le classeur « corriger » contient l’ensemble des corrections.
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
Cette organisation rigoureuse est totalement compatible avec une grande souplesse d’utilisation, et favorise en particulier une réelle pédagogie différenciée prenant bien sûr en compte les difficultés d’apprentissage, mais aussi les réussites.Aucune indication de niveau n’apparaît sur les fiches. On élimine ainsi tout effet de comparaison, de jugement.De même, sur aucune fiche n’est mentionnée la classe. L’enseignant(e) pourra ainsi, pour les élèves les plus en difficulté, utiliser les fiches de l’année précédente, pour une remise à niveau.Le classeur indépendant de correction favorise lui aussi la mise en place d’une pédagogie différenciée.
TÉLÉCHARGEZ NOTRE CATALOGUE 2011 SUR LE SITE www.sedrap.fr
Les classeurs-ressourcesCompagnon maths
Collection Compagnon MathsUne collection rigoureusement
conforme aux programmes 2008qui place l’enfant au cœur
des apprentissages.Les classeurs-ressources peuvent
être utilisés seuls ou en complément du manuel de la classe. Ils comportent
des activités de prolongement pour chaque leçon des manuels
ainsi que 20 évaluations.
Ils proposent toutes les corrections des exercices et des problèmes du manuel mais aussi :
• des conseils, des recommandations, des prolongements ;
• les objectifs et les démarches pour préparer la classe ;
• les fiches méthodes pour vous aider à aborder les différentes rubriques en classe ;
• les évaluations pour mesurer les progrès.
Conception du classeur-ressourcesLe classeur-ressources propose des fiches d’exercices de prolongement pour chaque leçon du manuel. La pratique de ces fiches peut être diversifiée : – utilisation de la fiche correspondant aux besoins de l’élève ; – travail individuel ou à l’intérieur de groupes restreints ; – travail en autonomie complète ou avec accompagnement.Nous proposons 20 évaluations que l’enseignant(e) pourra utiliser régulièrement.Pour en faciliter l’utilisation, elles font référence au contenu mathématique spécifique auquel elles renvoient.Les corrigés des fiches d’exercices et des évaluations se trouvent en deuxième partie du classeur. Afin de permettre l’autocorrection, elles sont reprises telles quelles, en gris, de manière à ce que les corrections, en noir, apparaissent clairement.
Les guides
Faites de votre tableau L’espaCe de L’interaCtivité !
3
1 654 2
6 Recherche par mots-clés.
7 Sauvegarde des modifications réalisées à l’aide de la trousse (flèches, commentaires, caches...) permettant de préparer son cours à l’avance.
8 L’interface est conviviale, colorée et le côté graphique est très développé.
9 Pas de licence limitée dans le temps et des tarifs adaptés pour les écoles déjà équipées de nos manuels en version papier.
10 Pour la dépense de votre budget spécifique, tous nos produits numérisés sont référencés au KNé (Kiosque Numérique de l’éducation) > www.kiosque.edu.com
Les 10 avantages de nos manuels numérisés
1 Une panoplie d’outils à disposition de l’enseignant : des outils de graphisme (pour tracer, gommer, entourer...), des outils texte (pour écrire, souligner, surligner), des fonctions complémentaires telles que la fonction cache, la fonction spot, les liens.
2 Aide détaillée outil par outil et disponible en permanence à côté du manuel si besoin.
3 Pour la collection Compagnon Maths, l’enseignant dispose d’outils complémentaires à utiliser : la règle, le compas, l’équerre, le rapporteur, la calculatrice, le pointeur. Il peut poser des opérations directement à l’écran.
4 Sommaire interactif permettant de se rendre directement à la page repérée d’un simple clic.
5 Possibilité de rentrer des pages en « favoris » et de les enregistrer pour créer un sommaire personnalisé en fonction des cours.
3
Toute une année scolaire en 3 fichiers !
Idéal pour alléger le poids du cartable !
Cycle 2 Cycle 3CP
Le lot de 3 fichiers CPOPMØML
978–2–7581–0696–8
Le guide CPOPMØGU
978–2–7581–0697–5
CE 2
Le manuel CE 2OPM2ML
978–2–7581–0423–0
Le guide CE 2OPM2GU
978–2–7581–0434–6
Le classeur-ressources CE 2OPM2CR
978–2–7581–0783–5
CM 1
Le manuel CM 1OPM3ML
978–2–7581–0424–7
Le guide CM 1OPM3GU
978–2–7581–0435–3
Le classeur-ressources CM 1OPM3CR
978–2–7581–0784–2
CM 2
Le manuel CM 2OPM4ML
978–2–7581–0425–4
Le guide CM 2OPM4GU
978–2–7581–0436–0
Le classeur-ressources CM 2OPM4CR
978–2–7581–0785–9
CE 1
Le lot de 3 fichiers CE 1OPM1ML
978–2–7581–0698–2
Le guide CE 1OPM1GU
978–2–7581–0699–9
Modulo géométrie et mesuresPour une pédagogie différenciée et un travail en autonomie
La collection Modulo Géométrie et Mesures constitue une très riche banque d’outils pour l’apprentissage et l’évaluation, établie en référence précise aux programmes de juin 2008 et s’appuyant étroitement sur les « Progressions pour le cours élémentaire deuxième année et le cours moyen » jointes aux programmes du cycle 3. Chacun des classeurs est structuré selon une organisation constante, grâce à laquelle l’enseignant(e) pourra se repérer aisément.Le programme de chacun des deux domaines (Géométrie et Mesures) est réparti en 9 séquences + une séquence consacrée aux bilans de fin d’année.
Chaque séquence est composée de 15 fiches• 1 fiche (A4) : Construction, consolidation du savoir • 1 fiche (A4) : Évaluation diagnostique • 4 fiches (A5) : Remédiation • 4 fiches (A5) : Entraînement • 4 fiches (A5) : Approfondissement • 1 fiche (A4) : Évaluation sommative
Pour chaque niveau, un classeur « apprendre » et un classeur « corriger ».
Le classeur « apprendre » contient 290 fiches à photocopier, plus de 400 exercices et 5 bilans de fin d’année.Le classeur « corriger » contient l’ensemble des corrections.
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
Cette organisation rigoureuse est totalement compatible avec une grande souplesse d’utilisation, et favorise en particulier une réelle pédagogie différenciée prenant bien sûr en compte les difficultés d’apprentissage, mais aussi les réussites.Aucune indication de niveau n’apparaît sur les fiches. On élimine ainsi tout effet de comparaison, de jugement.De même, sur aucune fiche n’est mentionnée la classe. L’enseignant(e) pourra ainsi, pour les élèves les plus en difficulté, utiliser les fiches de l’année précédente, pour une remise à niveau.Le classeur indépendant de correction favorise lui aussi la mise en place d’une pédagogie différenciée.
TÉLÉCHARGEZ NOTRE CATALOGUE 2011 SUR LE SITE www.sedrap.fr
Les classeurs-ressourcesCompagnon maths
Collection Compagnon MathsUne collection rigoureusement
conforme aux programmes 2008qui place l’enfant au cœur
des apprentissages.Les classeurs-ressources peuvent
être utilisés seuls ou en complément du manuel de la classe. Ils comportent
des activités de prolongement pour chaque leçon des manuels
ainsi que 20 évaluations.
Ils proposent toutes les corrections des exercices et des problèmes du manuel mais aussi :
• des conseils, des recommandations, des prolongements ;
• les objectifs et les démarches pour préparer la classe ;
• les fiches méthodes pour vous aider à aborder les différentes rubriques en classe ;
• les évaluations pour mesurer les progrès.
Conception du classeur-ressourcesLe classeur-ressources propose des fiches d’exercices de prolongement pour chaque leçon du manuel. La pratique de ces fiches peut être diversifiée : – utilisation de la fiche correspondant aux besoins de l’élève ; – travail individuel ou à l’intérieur de groupes restreints ; – travail en autonomie complète ou avec accompagnement.Nous proposons 20 évaluations que l’enseignant(e) pourra utiliser régulièrement.Pour en faciliter l’utilisation, elles font référence au contenu mathématique spécifique auquel elles renvoient.Les corrigés des fiches d’exercices et des évaluations se trouvent en deuxième partie du classeur. Afin de permettre l’autocorrection, elles sont reprises telles quelles, en gris, de manière à ce que les corrections, en noir, apparaissent clairement.
Les guides
Faites de votre tableau L’espaCe de L’interaCtivité !
3
1 654 2
6 Recherche par mots-clés.
7 Sauvegarde des modifications réalisées à l’aide de la trousse (flèches, commentaires, caches...) permettant de préparer son cours à l’avance.
8 L’interface est conviviale, colorée et le côté graphique est très développé.
9 Pas de licence limitée dans le temps et des tarifs adaptés pour les écoles déjà équipées de nos manuels en version papier.
10 Pour la dépense de votre budget spécifique, tous nos produits numérisés sont référencés au KNé (Kiosque Numérique de l’éducation) > www.kiosque.edu.com
Les 10 avantages de nos manuels numérisés
1 Une panoplie d’outils à disposition de l’enseignant : des outils de graphisme (pour tracer, gommer, entourer...), des outils texte (pour écrire, souligner, surligner), des fonctions complémentaires telles que la fonction cache, la fonction spot, les liens.
2 Aide détaillée outil par outil et disponible en permanence à côté du manuel si besoin.
3 Pour la collection Compagnon Maths, l’enseignant dispose d’outils complémentaires à utiliser : la règle, le compas, l’équerre, le rapporteur, la calculatrice, le pointeur. Il peut poser des opérations directement à l’écran.
4 Sommaire interactif permettant de se rendre directement à la page repérée d’un simple clic.
5 Possibilité de rentrer des pages en « favoris » et de les enregistrer pour créer un sommaire personnalisé en fonction des cours.
3
Toute une année scolaire en 3 fichiers !
Idéal pour alléger le poids du cartable !
Cycle 2 Cycle 3CP
Le lot de 3 fichiers CPOPMØML
978–2–7581–0696–8
Le guide CPOPMØGU
978–2–7581–0697–5
CE 2
Le manuel CE 2OPM2ML
978–2–7581–0423–0
Le guide CE 2OPM2GU
978–2–7581–0434–6
Le classeur-ressources CE 2OPM2CR
978–2–7581–0783–5
CM 1
Le manuel CM 1OPM3ML
978–2–7581–0424–7
Le guide CM 1OPM3GU
978–2–7581–0435–3
Le classeur-ressources CM 1OPM3CR
978–2–7581–0784–2
CM 2
Le manuel CM 2OPM4ML
978–2–7581–0425–4
Le guide CM 2OPM4GU
978–2–7581–0436–0
Le classeur-ressources CM 2OPM4CR
978–2–7581–0785–9
CE 1
Le lot de 3 fichiers CE 1OPM1ML
978–2–7581–0698–2
Le guide CE 1OPM1GU
978–2–7581–0699–9
Modulo géométrie et mesuresPour une pédagogie différenciée et un travail en autonomie
La collection Modulo Géométrie et Mesures constitue une très riche banque d’outils pour l’apprentissage et l’évaluation, établie en référence précise aux programmes de juin 2008 et s’appuyant étroitement sur les « Progressions pour le cours élémentaire deuxième année et le cours moyen » jointes aux programmes du cycle 3. Chacun des classeurs est structuré selon une organisation constante, grâce à laquelle l’enseignant(e) pourra se repérer aisément.Le programme de chacun des deux domaines (Géométrie et Mesures) est réparti en 9 séquences + une séquence consacrée aux bilans de fin d’année.
Chaque séquence est composée de 15 fiches• 1 fiche (A4) : Construction, consolidation du savoir • 1 fiche (A4) : Évaluation diagnostique • 4 fiches (A5) : Remédiation • 4 fiches (A5) : Entraînement • 4 fiches (A5) : Approfondissement • 1 fiche (A4) : Évaluation sommative
Pour chaque niveau, un classeur « apprendre » et un classeur « corriger ».
Le classeur « apprendre » contient 290 fiches à photocopier, plus de 400 exercices et 5 bilans de fin d’année.Le classeur « corriger » contient l’ensemble des corrections.
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
Cette organisation rigoureuse est totalement compatible avec une grande souplesse d’utilisation, et favorise en particulier une réelle pédagogie différenciée prenant bien sûr en compte les difficultés d’apprentissage, mais aussi les réussites.Aucune indication de niveau n’apparaît sur les fiches. On élimine ainsi tout effet de comparaison, de jugement.De même, sur aucune fiche n’est mentionnée la classe. L’enseignant(e) pourra ainsi, pour les élèves les plus en difficulté, utiliser les fiches de l’année précédente, pour une remise à niveau.Le classeur indépendant de correction favorise lui aussi la mise en place d’une pédagogie différenciée.
TÉLÉCHARGEZ NOTRE CATALOGUE 2011 SUR LE SITE www.sedrap.fr
Les classeurs-ressourcesCompagnon maths
Collection Compagnon MathsUne collection rigoureusement
conforme aux programmes 2008qui place l’enfant au cœur
des apprentissages.Les classeurs-ressources peuvent
être utilisés seuls ou en complément du manuel de la classe. Ils comportent
des activités de prolongement pour chaque leçon des manuels
ainsi que 20 évaluations.
Ils proposent toutes les corrections des exercices et des problèmes du manuel mais aussi :
• des conseils, des recommandations, des prolongements ;
• les objectifs et les démarches pour préparer la classe ;
• les fiches méthodes pour vous aider à aborder les différentes rubriques en classe ;
• les évaluations pour mesurer les progrès.
Conception du classeur-ressourcesLe classeur-ressources propose des fiches d’exercices de prolongement pour chaque leçon du manuel. La pratique de ces fiches peut être diversifiée : – utilisation de la fiche correspondant aux besoins de l’élève ; – travail individuel ou à l’intérieur de groupes restreints ; – travail en autonomie complète ou avec accompagnement.Nous proposons 20 évaluations que l’enseignant(e) pourra utiliser régulièrement.Pour en faciliter l’utilisation, elles font référence au contenu mathématique spécifique auquel elles renvoient.Les corrigés des fiches d’exercices et des évaluations se trouvent en deuxième partie du classeur. Afin de permettre l’autocorrection, elles sont reprises telles quelles, en gris, de manière à ce que les corrections, en noir, apparaissent clairement.
Les guides
Faites de votre tableau L’espaCe de L’interaCtivité !
3
1 654 2
6 Recherche par mots-clés.
7 Sauvegarde des modifications réalisées à l’aide de la trousse (flèches, commentaires, caches...) permettant de préparer son cours à l’avance.
8 L’interface est conviviale, colorée et le côté graphique est très développé.
9 Pas de licence limitée dans le temps et des tarifs adaptés pour les écoles déjà équipées de nos manuels en version papier.
10 Pour la dépense de votre budget spécifique, tous nos produits numérisés sont référencés au KNé (Kiosque Numérique de l’éducation) > www.kiosque.edu.com
Les 10 avantages de nos manuels numérisés
1 Une panoplie d’outils à disposition de l’enseignant : des outils de graphisme (pour tracer, gommer, entourer...), des outils texte (pour écrire, souligner, surligner), des fonctions complémentaires telles que la fonction cache, la fonction spot, les liens.
2 Aide détaillée outil par outil et disponible en permanence à côté du manuel si besoin.
3 Pour la collection Compagnon Maths, l’enseignant dispose d’outils complémentaires à utiliser : la règle, le compas, l’équerre, le rapporteur, la calculatrice, le pointeur. Il peut poser des opérations directement à l’écran.
4 Sommaire interactif permettant de se rendre directement à la page repérée d’un simple clic.
5 Possibilité de rentrer des pages en « favoris » et de les enregistrer pour créer un sommaire personnalisé en fonction des cours.
3
Toute une année scolaire en 3 fichiers !
Idéal pour alléger le poids du cartable !
Cycle 2 Cycle 3CP
Le lot de 3 fichiers CPOPMØML
978–2–7581–0696–8
Le guide CPOPMØGU
978–2–7581–0697–5
CE 2
Le manuel CE 2OPM2ML
978–2–7581–0423–0
Le guide CE 2OPM2GU
978–2–7581–0434–6
Le classeur-ressources CE 2OPM2CR
978–2–7581–0783–5
CM 1
Le manuel CM 1OPM3ML
978–2–7581–0424–7
Le guide CM 1OPM3GU
978–2–7581–0435–3
Le classeur-ressources CM 1OPM3CR
978–2–7581–0784–2
CM 2
Le manuel CM 2OPM4ML
978–2–7581–0425–4
Le guide CM 2OPM4GU
978–2–7581–0436–0
Le classeur-ressources CM 2OPM4CR
978–2–7581–0785–9
CE 1
Le lot de 3 fichiers CE 1OPM1ML
978–2–7581–0698–2
Le guide CE 1OPM1GU
978–2–7581–0699–9
Modulo géométrie et mesuresPour une pédagogie différenciée et un travail en autonomie
La collection Modulo Géométrie et Mesures constitue une très riche banque d’outils pour l’apprentissage et l’évaluation, établie en référence précise aux programmes de juin 2008 et s’appuyant étroitement sur les « Progressions pour le cours élémentaire deuxième année et le cours moyen » jointes aux programmes du cycle 3. Chacun des classeurs est structuré selon une organisation constante, grâce à laquelle l’enseignant(e) pourra se repérer aisément.Le programme de chacun des deux domaines (Géométrie et Mesures) est réparti en 9 séquences + une séquence consacrée aux bilans de fin d’année.
Chaque séquence est composée de 15 fiches• 1 fiche (A4) : Construction, consolidation du savoir • 1 fiche (A4) : Évaluation diagnostique • 4 fiches (A5) : Remédiation • 4 fiches (A5) : Entraînement • 4 fiches (A5) : Approfondissement • 1 fiche (A4) : Évaluation sommative
Pour chaque niveau, un classeur « apprendre » et un classeur « corriger ».
Le classeur « apprendre » contient 290 fiches à photocopier, plus de 400 exercices et 5 bilans de fin d’année.Le classeur « corriger » contient l’ensemble des corrections.
Pour une pédagogie différenciée Pour une pédagogie différenciée
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
CP
CE1
CM1
CM2CE2
modulo
Observe bien le modèle de ce champignon.Construis trois fois cette fi gure sur le quadrillage ci-dessous et colorie-les.Le quadrillage en pointillé t’aidera à trouver les dimensions des arcs de cercle. Les 4 points noirs t’indiquent les endroits où tu dois piquer la pointe de ton compas : en A pour dessiner le chapeau du champignon,en B pour tracer son pied et en C pour terminer le pied.
A
BB
Tracé de fi gures
Séquence 1
Reproduis la fi gure dans le quadrillage.
Tracé de fi gures
modulo
modulo
FicheFicheFicheFicheFicheFicheFiche
Parallèles et perpendiculaires
Séquence 2
Écris, en utilisant le bon symbole, les droites qui sont parallèles.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
(d2)(d6)
(d4) (d8)
(d1)
(d7)
(d3)
(d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .) / / (d) / / (d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .) ; (d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .) / / (d) / / (d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .) ; (d) ; (d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .) / / (d) / / (d . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .)) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Trace un segment [AB] de 5 cm. Appelle O le milieu de ce segment.Trace la perpendiculaire à [AB] passant par O. Place les points C et D sur la perpendiculaire que tu viens de tracer tels que :CO = 5 cmDO = 5 cmRelie les points A, B, C et D.
Que remarques-tu ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Quelle fi gure obtiens-tu ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Les segments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Les segments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .[ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .CB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .CB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . et . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .[ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .AD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]ADsont parallèles et les segments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .[ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .AC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .ACAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . et . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .[ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .BD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .BDBD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
sont parallèles.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
un losange . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Parallèles et perpendiculaires
Séquence 2
C
D
B
AO
21212121
Cette organisation rigoureuse est totalement compatible avec une grande souplesse d’utilisation, et favorise en particulier une réelle pédagogie différenciée prenant bien sûr en compte les difficultés d’apprentissage, mais aussi les réussites.Aucune indication de niveau n’apparaît sur les fiches. On élimine ainsi tout effet de comparaison, de jugement.De même, sur aucune fiche n’est mentionnée la classe. L’enseignant(e) pourra ainsi, pour les élèves les plus en difficulté, utiliser les fiches de l’année précédente, pour une remise à niveau.Le classeur indépendant de correction favorise lui aussi la mise en place d’une pédagogie différenciée.
Top Related