% COMMISSARIAT A L'ENERGIE ATOMIQUE
R E A C T E U R O S I R I S
RAPPORT DESCRIPTIF
DIRECTION DES PILES ATOMIQUES
Centre d'Etudes Nucléaires de Saclay
Rapport CEA-R-3984
1970 SERVICE CENTRAL DE DOCUMENTATION DU C.E.A Na* i C.E.N-SACLAV B.P. n-2, 91-GIF-sur-YVFJTE.France ,
A partir de 196a, les rapports CEA sont classés selon les catégories qui llgurent dans la plan da classification ci-dessous et peuvent être obtenus soit en collections complètes, soil en collections partielles d'après ces catégories.
Ceux de nos correspondant qui reçoivent systémaliquement nos rapports à titre d'échange, el qui sont Intéressés par celle diffusion sélective, sont priés da sa reporter a la let 1rs circulaire CENS/DOC/67/4690 du 20 décembre 1967 que nous leur avons adressée, et qui précise les conditions de diffusion.
A cette occasion nous rappelons que les rapports CEA sont également vendus au numéro par la DIractIon de la Documentation Français'-. 31, quai Vollalre, Paris T.
PLAN DE CLASSIFICATION
BIOLOGIE ET MEDECINE
Biologie générale Indicateurs nucléaires en blologl Médecine du travail Rod lob toi ogle, radloagronomlo Médecine nucléaire
CHIME
Chimie générale et organique, Chimli physique Chimie analytique Procèdes de séparation Radlochimle
ETUDES DU DOMAINE DE L'ESPACE
Fabrication, propriétés c t structure 12.2
Effets des myannemonte sur les matériaux 12.3 Corrosion 12.4
PHYSKÎUE
Accélérateurs Electricité, électronique, détection des rayonne m enta Physique dee plasmas Physique des états condensés de la matière Physique corpusculaire a haute énergie Physique nucléaire Optique, électronique quantique Physique atomique et moléculaire
PROTECTION ET CONTROLE DES RAYONNEMENTS, TRAITEMENT DES EFFLUENTS Protection sanitaire ContrSle dos rayonnements Traitement des effluents
SEPARATION DES ISOTOPES
TECHNIQUES
Mécanique des fluides, techniques du vide et des hautes pressions Transferts thermiques, techniques du froid el de la chaleur Mécanique, outillage Centrale des matériaux
Centres d'études nucléaires, laboratoires
classiques des réacteurs ETUDES ECONOMIQUES ET PROGRAMATES
Laa rapporta du COMMISSARIAT A L'ENERGIE ATOMIQUE sont, i partir du rf 2S00 an vont* à la S J ™ ^ ^ s«rf*"<* W l * Goavomamem, fiUid. la tocl™nt.V%' %ft
Q4n4ra1ld^^l,Z^La',a1i^L«"hSC,12S9 B ' 9 "'«"•«<» « « a Docoma/Harton Français; Sacrétarlat Qénarai du Gouvernement, Olfaction tie, la Documentation, 31, quai Voltslra, PARIS Vif.
CEA-B-âMU - Departeiornl dee Win* SaptUmenlatea
REACTEUR 0S1H1S (RAPPORT BESCRttTIPI
Baniaiatrp.- C61R33 B « no rfectetKP plieine a'ww ptfl««anee OittFRilipiB de 70 MW, ET n poor bol principal a>(W»iitet' loui Mut nox de nauii-oni ie»-rn»» ' tcxlaux cmuuiutu* an» tnturei nuirai» nucléaire*.
L>* cnnEtArlilitiue* |4n»rajei d» l'inilallallon «ont lea rciullnli de eheïx uctilipiei deetinOt | tkln tfOSIRH ae, rtacteur pcrme«*=t e>B frnxJla-lloai KnlirwMi m dm impartial*
Le Stacciptx é'amfiB t # » iU»W ea dww partis*, L* pwniier* «<»r» latte* ie» tnsulltifaei en principe tMtinUtvesKDt fis*** {lieux, cemnoelte* d'Irradiation d à-MpériœtnUtl'W, clrculla d'eau, contrôle). L* aeceEde traite phi pardcuIiereaMitt du coenr Nlèmente cetobcutlbln, nentranlqu» et «wr-•nlque), Poor n M rtKInr Je recherche, dont la dartr da vie A » elw mperlnira « 10 wm*™, Il eal poanlbui da a'adftptar ft dea prearammea <l'oi-aala MttMra.
Enfla qnetqjsa prfcfeteaa aast eteatteee eu* la motta Se ftottteaifnBRt et l'exploitation do nïacUar «prie dam anseee de mante icmitalve, t n o . » > p. Ceeamfctawrlat ft VCamrfle AlemJuu» - Fraeeo
CEA-R-3BI4 - Doparlflment <k* Plll* E»p«rlm»BtiU«
THE REACTOR OSMIft {DESCRIPTIVE REPORT)
Butina ary. - OSIRta I« * awlminlr* peol m ne tor al m MW tbtrmtl power, "" mata purgxue la Irr*dlfttL«n et nuclear pawee itatlou «tructiiral material* i s fiîjn asutron Has, '
- Tin gémirai caerttMrieUe* of the Imtatlatlon roeolt of * technical cbolce (or bavtof In OSIRIS a. reactor «am there e u He many IrredUttUioe In high
Thte «port I» dnùed in (M part», The «rat or* dccrttwi (lut tautellf tlaea «Ucb onut not M «bufed tfîkça, IrredUllin (eeiuttaa, water clrceU*, enaircB. The « a n d deal* epèél*% « ^ U>* enreHoeî BΫWBW, Matrect "phyelee «ad tbenaal «tad». Fer met> a reieter, wblch m a t have « M* et more «W» 10 jeara, » la peealUe 1» adapt u iwv prop™».
At «m end deUJle era given en the node M faoeUooalm: and MJB reae» tor operation alter tire yeare of Inteiwl** nmottu.
ÎBB «Mp,
Cemmltaarlit ft l'Energie Alwnlaue - France
- Rapport CEA-R-3984 -
Centre d 'Etudes Nucléaires de Saclay Direction des Pi les Atomiques
Département des Pi les Expérimentales
REACTEUR OSIRIS RAPPORT DESCRIPTIF
TABLE DES MATIÈRES.
INTRODUCTION.
Y PARTIE. LES INSTALLATIONS DE BASE. e
I - L E S LIEUX IT
I, ï * Introduction 11
1,2 - Description do* batlmonta 12
H - LA PISCINE ET I X BUX WLB Vf
n. i - PP«*MUWIOO n
U.S • DeseripUos iS* le plmlt» IB 11,3 • Description du bloc plia 10
lï, i . 0tt*ertp!tDn des itjulpoœctïis lmmocgflt de la piêtim 22
11. S - équipements do lit plielne au-donaim de t a «urfaco 35
t l .S * RtfcapItulBtfen 21
III . LES COMMODITES D'EX PK III MENTATION PENDANT ET APRES IRRADIATION 20 il l , I • PcwfiuH IHr**4l*H<w 2D
W,, 3 - Apres imuUétloe H
iv - LES CIRCUITS lyt-Ati «
IV. I . G<Jn*ralH*i „
IV. ï . CircaiU cj» refr eidÏMemeni «
IV. S - Circuit» annexai SS
V - ALIMENTATION ELECTRKRMÎ » V. 1 - Principe dé l'alttncnUMvn électrique des Mutllloirea du t r ac t eu r fil
V, î - DiBtritnttnn <ta t'4ft*r*ia «foefcttqw S i
V. 3 - Source* de comrtaorffl, de contrôle et de •IgnKllutlwi (H
V.4 - Formol!on â e l ' towrçl* «lectrîipsede «otoara Bï
V.S - Principe de foBDtlotsneinbPt 8"
VI . VENTILATION 7 1
VI. I - Fonction» d e l ' i n a n i a t t o n «
VI. Z - QOnerallKs But" I'MMMIftllPn et lea locaux venules 12
VI. 3 - CsrKtéi-isUt&ies et daisrlptCmi de l'ilUiuilMioiî M
V 1 . 4 . I W g a I * a « i "
V|. 3 - gurweSiliuic* c l n e u r i t * d*« tmitalleuons 77
vu . LE CONTROU: 7 0
VII. I - CSncftpttt» gtafMtî* Ai coMrCte ?&
V R 2 - O b j e t du c o n t r a * »
VI!. 3 - Le» mesures naclésirea
VII. i - Mesures thermodynamiques, mesures diverses
VII. S - La Radie-protection
Vil, S - Contrûle des expériences
Vit. 7 - Contrôles divers
VII, B - Commande des b a r r e s , circuits de sécurité
VU. S - Salle de centrale
VII. 10 - Traitement centralisé des mesures et des signal]salions (T .C .M.S . )
2* PARTIE. ÉLÉMENTS SUSCEPTIBLES DE MODIFICATIONS.
VIII - ELEMENTS COMBUSTIBLES ET DE CONTROLE
Vîîl, i - L'eléraer.! combustible
VIJI. 2 - Element de contrôle
VIII. 3 - Charge en Uranium ci en Bore des différents générations d'éléments
VIII. 4 - Accessoires
VIII. S - Description du cocar et de* emplacements experiraonisux
IX - NEUTflONIQUE
IX • Introduction
IX. 2 - Calcul
IX. 3 - Expérience
X - THERMIQUE
X. I - Product!cm de la puissance
X. S - Evacuation de 1A puissance
3* P A R T I E .
XI - LE FONCTIONNEMENT
XI. 1 - Cycles de foacîionoEnient
XI. ! - Les a r rê t s
XI. 3 - Organ! s et! on de l'exploitai Ion
R E A C T E U R O S I R I S
RAPPOJVT DESCRIPTIF
INTRODUCTION.
6
OSMIS cat un réacteur piscina d'une puissance thermique de 70 MW. Il a poar bul
principal d ' i r radier BOUS haut flux do neutrons lea matériaux constitutifs des futuraa contrôle a
nucléaires. Implanté au Centre d'Etudes Nucléaires do Saeiay, il ea t situé p rès des a te l iers de
fabrication, des laboratoires d'examen et des équipée de recherche Et bénéficie ainsi d'une
infrastructure technologique considérable, Aprea sa première divergence en Septembre laGC,
le réacteur a frictionné d'une rocoa régulière à Sa puissance de 50 SIW. En Décembre ÎSB8,
pratiquement aana investissements nouveau*, aa puissance nominale a été portée à 70 MW.
Les caractériBliques générales de l'installation sont l e s résul ta ts de choix tech
niques destinés n, talro d'OSIRIS un réacteur permettant des irradiat ions nombrouees an îlux
rapide et thermique importants et d'une manière économique, c ' e s t -a -d i re faible prix du neutron
et grands aouplessa pour adapter loa dispositifs d'irradiation.
i - Fiitx neiitroni^Bea importants
Pour réal iser dea irradiations, des teats de matériaux (graphite, ucicra, tubes
de force , gainoa, o lo - . , ) Jusqu'à des flax Intégrés annautrona rapides supérieure tt 1 MeV de
1Q n/cm avec des dorées d'Irradiation "Oieonnnblos, il fallait obtenir das flux instantanés
nettement supérieurs a 10 n/cm / s e c ,
OSiniS est un réacteur a eau légère dont le coeur est conatituô d'éléments combus
tibles Ù plaquas planes, contenant de IHiranium enrichi û B3 ' / „ . Cos éléments sont àfitn type
courammant répandu an Franco <tt dons le Monde. Leurs caractér is t iques sont cetnblablos ù
celles de SILOE et PEGASE. Le nombre do GHB éléments, disposée dans des alvéoles c a r r é s
Jalntifs, d'un réseau d o S » 7 casca de 64 mi« tie eûté est adaptable, mala compris généralement
entre 3G et 35, compte tena des Blx éléments de contrôle.
Les dispositifs experiment nui peuvent prendre la place d'un élément de la pile.
Six emplacements peuvent ainal être chacun complètement entoure par dea éléments f issi les,
ils subissent alors un important flux de neutron a rapides, générateurs des dommages que l 'on
désire étudier. Loo dlapoaitifs placés û la périphérie du coeur reçoivent un flux de neutrons
rapides plus faible mais bénéficient d'un flux de neutrons thermiques Important. Celui-ci permet
la fabrication de radioéléments artificiels de haute activité etiîptranBUraniens, ainsi ojje des études
sur échantillons d'uranium ou d'autres matériaux. En particulier, des irradiations de courte
durée réalisées dans des tubca liydrauilques spéciaux, permettent daa analyses par activation
fines intérîsparrt l 'Industrie, la biochimie et l a médecine.
L'intensité du flux en neutrons rapides dans les dispositifs intér ieurs est de l 'o rdre
do 3 x 10 n/cm /Bec : a L'extérieur, Il var ie de 1 0 l 3 « 1 0 1 4 n / c m B / s e c . Le flux thermique se
situa dtttia tes empîacemenln de premiere périphérie autour du coeur entre 2 et 4 x l a 1 4 n / c m 2 / s e o .
L'êchotifferaant 3f t r è s important dans le coeur C15 W/g) est atténué S l 'extérieur du réseau par
un caisson en zirconium de 4 cm d'épaisseur.
2 - Facil i tés d'expérimentation
Un deuxième objcctir rechercha, des la conception, a été la facilite d ' irradiation.
Il semblait hautement souhaitable de pouvoir envisager des dispositifs, de conception simple,
de réalisation rapide et peu onéreuse. L'expérience encourageante de 1<expérimentation, dans lea
réac teurs piscine au C .E .A. , nous a Incite a adopter le mGme type de réacteur . C t s véallsallons
s 'étalent montrera économiques au point de vue construction et exploitation.
Cependant la puissance spécifique de 401) KW/lItrc à évacuer dans OSiRÏS est
t rop Importante pour une conception lradItionnelle de pile piscine, Le flux de chaleur à évacuer
avec un coeur composé de 31 éléments standards h 24 plaques planes (10,3 g d ' l K , de 6 éléments
de contrôle à BD plaques, es t en moyenne de 100 W/cra et peut atteindre 230 W/cm . Avec un
sens de circulation descendant, la pression en un point du canal, est égale a la hauteur de la
charge statique diminuée do la perte de charge jusqu'au point considéré. H n'est donc pas possi
ble d 'accroî t re exagérément la vitesse, sans diminuer, do façon dangereuse, îa pression étatique,
donc le niveau de la température de saturation pour lequel apparaissent des phénomènes dangerdux
(ebullition locale ot redistribution de débit). Dans OSIRIS, l'eau n'est pas aspirée a t ravers le
coeur, mois puisée de bas en haut. Ainsi la pressurisation au-delà de la pression statique aug
mente avec la vi tesse de l 'eau.
Cette disposition qui permet d 'avoir un coeur ouvert sur la piscine, pose doux
problèmes :
- la remontéo en surface des produits activés dans le coeur
- l'envol dos s t ructures
Pour éviter les remontées en surface des produits radioactifs induits (en particu
l i e r les produits a vie courte comme N IB) les 4 100 m /h d'eau de refroidissement du coeur
sont évacués obliquement par un c a r t e r de sort ie d'eau et par des tuyauteries ve r s un bac de
désactivât ion. Ce ca r t e r est surmonté d'une cheminée prolongeant caisson et ca r t e r de 2 m
au-dessus du coude de sor t ie . Une circulation descendante de 150 m /h s 'avère suffisante pour
annuler toutes les remontées d'eau. Il faut évidemment compenser cet apport d'eau par un re tour
de mUrae débit du circuit pr imaire vers la piscine. Complétées par un circuit de couche chaude
épurée (diminuant la concentration dans la couche des produits radioactifs ù vie intermédiaire
comme le Na) ces dispositions conduisent a une activité en surface normalement d'environ
2 mrem/h . Par a i l leurs , le sens ascendant et la force d'envol produite par la poussée de l 'eau,
ont rendu nécessa i re de fixer par le bas l e s éléments combustibles et les expériences Intérieures
au caisson. De même. Il fallait charger l e s b a r r e s de contrôle.
La solution de ces problèmes a permis de r éa l i se r un réacteur de puissance im
portante et dans lequel l 'expérimentation est simple et aussi peu onéreuse que dans les réacteurs
piscine traditionnels.
8
3 - Facilite» d'exploitation
Ce «Duci d'économie a été également prédominant dons la conception de l 'expiai*
tutj ou du reacteur . II était décidé t rès tflt que l'équipe de «enduite du réacteur et d e s expérience»
serai t réduite à 5 personnesj /enaeuible do la Section d'Exploitation du reac teur e t de* ceiluIcB
chaudes eat de 50 perjonr.ea. Pour pennel t re un tel foncllofuiement, l a disposition dea locaux
a été particulièrement étudiée et l 'ensemble dea clrcal ta a é t é conçu avec une rechercha de
solution* aim plea.
Tout en prévoyant de grandes s l rea d'experiment at Ion (TDD m s u r * étages), les
bâtiments d'exploitation ne sont pua extreme ruent spacieux, lia a ont groupés dans une surface de
3 00D m , A l'exception des réfrigérants atmosphériques, limitant ainsi les déplacements du
personnel, les contrôles, e t c . , . La manutention dea matériaux acttra esl rendue aisée par un
grand canal reliant la placinc d'OSIRIS a celle d'ISIS, maquette neutroolquc d'OSIEUS, on passant
par dea Ateliers Chauds où sont Implantées deux cellules de démantèlement des expériences.
Enfin, lea locaux «ont de couleur agréable, bleu éclairés et faciles a entretenir .
La contrôle du réacteur et des expériences est central isé , les mesures sont
Irléea et hiérarchisées, pour ê t re présentées su conducteur de plie, compta tenu de leur Impor
tance. La gestion des mesures est effectuée par un calculateur.
Le descriptif d'OSIRIS a été itivlaé en deux part ies. La premiere Intitulée "instal
lation* de base" décrit en s'attachant aux aspects fonctionnels el aux caractér is t iques d'ensemble
toutes les Installation* en principe définitivement figées. S'il est certain que l 'usure , l 'obaoles-
ccoce, des possibilités d'améliorations de rooctlûrmemeel conduiront A cer ta ines modifications,
i l est peu probable qu'il aolt Justifié ou possible que des Installations soient entièrement refonduea,
La seconde partie intitulée "éléments susceptibles de modification" t ra i te plus
partieuliÈrement du coeur. Il est effectivement Important, pour un réac teur de recherche dont
la durée de vie doit ê t re supérieure a 10 années, de pouvoir s 'adapter à des programmes d 'essa is
nouveaux. Lea caractérist iques de flux et de volume d'Irradiation, par exemple, ont dejft var ié
(changement du nombre d'éléments, charge en Uranium 235, e t c . . . } ; elles peuvent e w comple
te meet modifiées.
Enfin BOUS avons donné quelques précisions sur la mode de fonction ne ment et
l'exploitation du réacteur après deux années de marche intensive avec un taux d'utilisation (tous
a r rê t s compris) A.la puissance nominale de 80 * / . et un taux de disponibilité (a r rê t s programmés
déduits) de »7 *lv
1 e PARTIE.
LES INSTALLATIONS DE BASE.
I-LES LIEUX.
1.1. INTRODUCTION.
Le complexe OSIRIS a» compose essentiellement de :
- l'enceinte A fultei contrôlées au mlUou de laquelle eat située la piscine du réacteur.
- IOB bâtiments annexes ou da servitudes de cette plie.
L'Implantation generals doe bassins, canaux et locaux a été choisie pour satisfaire
aux conditions suivantes :
- Impossibilité d<abal*a«ii>cnt du ni vu au d'eau do la piscine au-dessous de 152,30 es qui laisse
une épaisseur d'eau d* 3 ,90 m on-dessus du cnaiir,
• transfert direct aisé sous eau des éléments combustibles neufs ou irradiés et des beuclos Cïpe-
rlmentales entre OSIRIS et les Ateliers Chauds ou ISIS,
- mise A disposition, * des niveaux différents, de plonchsrs de travail utilises pour les expéri
mentateurs et le matériel annexe d'expérimentation,
- communication directe avec l'extérieur d'une port, par porte camions et s a s rouerie! poui-
l 1 entrée ou sortie des matériels, d'autre part, par sas pour le personnel a travers le bailment
Bureaux,
- communication directe avec l e s Ateliers Chauds par un sas spécial au-dessus du canal de l iai-
Bon, un sas h personnel et un sas à matér ie l ,
- autre communication avec l'extérieur au niveau • 4 , 0 par un sas A personnel pour une liaison
la plus courte possible avec les casemates d'éehsngeurs et les batteries des pompes.
Alors que les bâtiments annexes sont du type classique, les conditions de sécurité,
étanehétuï, stabilité et explosion ont conduit A adopter pour ivceelnte de la pu» les dispositifs
• la totalité de la hauteur do 1A ptsolns es t situés au-dessous du niveau O, niveau du terrain
adjacent,
- l'ensemble piscine, bac de des activation, bassin de stockage, casemates d'échangeurs, salle
•les mécanismes, appelé bloc EAUX est un ensemble monolithe en béton armé repacont eur un
radier général (
• l'enceinte p?op?en]«at dite est constituée oar one Jape circulaire en béton armé surmontée d'une
coupole, «gaiement tu béton armé, et qui reposa A sa base sur one semelle circulaire entourant
le radier du bloc EAUX, 11
ta
- un joint souple circulaire permet un léger tassement différentiel dee deux s t ructures tout en
assurant l'étanchélté.
•1.'ensemble es t ass i s sur 14» sables de PonialnaSaaa â des preaBiosE largement
inférieures su* possibilités de ce matériau 0. cette profondeur,
- une étanchélté supplémentaire a été réal isée p a r un multlcouche bitumineux sous le r ad ie r avec
un relevé de 2 m sur l a paroi extérieure de la Jupe.
Cette fondation générale a été réal isée a l 'Intérieur d'un précuvellge c i rcula i re
en béton arase • Cette disposition partieaUera pers is t :
1) do contrôler das fuites éventuelles de l'enceinte par dea draina placés à cet effet sous le r evê
tement multi couche.
2> de contrôler le niveau de ta nappe phréatique par l ' Intermédiaire de t ro is puit» dans le sobîe.
L'ensemble piscine et bâtiment a été étudié pour r é s i s t e r a une éventuelle explosion
du coeur.
La toiture cat calculée pour recevoir a l'aplomb de la piscine la surcharge de
has en haut que pourrait provoquer la gerbe d'eau da l 'explosion.
(l 'autre part, les planchers solidaires du monolithe Bloc EAUX et l'enveloppe de
la piscine eont séparés de la jupe de l 'enceinte, sur une distance de S cm soit par un vide, soit
par des matériaux da densité négligeable s t foeileteesf =OH5pre**ftles peur Éviter la t ransmission
des pre s ni (ma aux parois extérieures de l 'enceinte.
Pour assurer le confinement des éventuels dégagements a B I 6 u x s. l ' intérieur du
baîi, l 'enceinte eat a fuite» contrôlées dans las conditions définies au chapitre VantilflHon.
Le béton armé n été, dans ce but, point intérieurement et toutes les ouvertures
ont été traitées pour maintenir les fuites ou lea échangea dans les limite» Imposées et pour r é s i s
ter a la dépression do 20 mm d'eau ou la sur pressions accidentelle de 200 mm d'oau.
1.2-DESCRIPTION DES BÂTIMENTS,
1-2.1 - BATIMENT nPlLE
Le Bâtiment M e qui constitue l'enceinte A fuites contrôlées est un volume cylin
drique compressât ;
~ une chambre des mécanismes des bar res au niveau - 15,00 ,
13
- quatre planchers sur la surface totale de cette enceinte aux niveaux : - 11.00 : - a, no ; . 4,00 ;
- un plancher couvrant la moitié nord de cette enceinte au niveau + 4,00 ,
- une toiture en forme de coupole n'élevant jusqu'au niveau + 21,00.
A peu p rès au centre , et entre les niveaux 0,00 et - 11,00 , se trouve la piscine
proprement dite du réac teur . Celle-ci eat un parallélépipède aux dimensions Intérieures de
G, 50 m x 7,50 m constitué d'un blindage en tOles d 'acier inoxydable, enrobé d'un cuvclngc en
béton a rmé assurant la rés is tance et la protection biologique.
Sous la dalle en béton armé de forte épaisseur soutenant le fond de cette piscine
et le bloc tubulaire du bloc réacteur , eut située la salle des mécanismes des ba r re s de contrôle
dont le plancher es t au niveau - 15, D0.
Cette piscine dont la description détaillée est Tolto dons le chapitre II communique
par l ' intermédiaire d'un bâtarde au métallique avec le canal Est-Ouoet de section Intérieure
2, 50 x 7 m qui a s su re le transfert avec les Ateliers Chauds et la Pile maquette ISIS.
fous ce canal, et entre les niveaux - 11,00 et - 7,00 , sont situai, lea bacs de
désactlvatlon du circuit coeur et du circuit piscine.
A l 'angle Nord-Eat jouxtant la piscine et le canal entre les nlveuux - 11,00 et
- 4 ,00 , oet située la bûche do vidange.
Au Sud du canal, entre les niveaux - 11,00 et 0,00 , se trouvent les six cnsomnlcs
d e s quatre échangeurs coeur et des deux échangeurs piscine ainsi que l e s sa l les de transfert et de
vidange nu niveau - 11,00 et la salle D. R.G. au niveau - B, 00,
De plus, la salle dos aiguillages deq convoyeurs hydrauliques et pneumatiques cet
Implantée entre les niveaux - 8,00 eî - 4 ,00 dons l'ongle Nord-Est, ontre la bac he do vidange
et le canal .
L'ensemble monolithique décr i t c l -dessus a reçu le nom de BLOC BAUX, n est
étanche entre les niveaux - 15,00 et - 4 ,60 m.
Les planchera - 11,00 ; • 0 , 0 0 ; -4 ,00 ; 0,00 et + 4,00 destinés aux a i res expé
r imentales sont desservis s u r la face Ouest par un escal ier et un monte-charge susceptible do
recevoir les Fenwtcks.
Au Nord et au Sud, deux sé r i e s de grandes t rémies permettent l 'alimentation des
gros matér ie ls aux différents niveaux.
Par a i l leurs , ces planchers communiquent entre eux par des sé r i e s de petites
t r émies pour le passage des cables et tuyauteries des différentes expériences.
Un couloir de circulation permettent la circulation de* Fenwleks est prévu à chaque
niveau, le long de la jupr., dans la zone Nord,
De nombreux esca l i e r s en colimaçon assurent les communications part icul ières
ou des moyens d'évacuation rapide de certaines xonea.
Les planchers des niveaux - B, 00 ; - 4,00 et 0,00 ont une épaisseur de 50 cm
pour a s su re r la protection biologique entre zones expérimentales.
Au niveau 0,00 dons la zone Sud, IE t rémies permettent l 'accès au gros matér ie l
Échangeurs et pompes.
Le personnel accède dans ie bâtiment par un «as au Sud-Ouest niveau 0,00 et par
un aaa au Sud-Est niveau • 4,00.
L B matériel accede dans ce hail par un sa» HU niveau 0,00 au Sud-Ouest et pout
«ira transféré aux Ateliers Chaudn par un sas au Sud-Eat ft ce meraa niveau.
Ce» «aa eont eattatituéa do porte» à boudins de cBouWàonc et le verrouillage de
l'une des portes par rapport a l 'autre se fait par des dispositifs électromécaniques,
De plus, dans la zona Sud-Ouest se altue la porte et anche du 3, SO x 4,30 m per
mettent l 'entrée des camions. Cette porte 4 boudina de caoutchouc, ae r rée par via et volanta
n 'est ouverte que s u r Instruction du Chef de Pile >
Pour permettra le passage doa expériences et du personnel da ce hall OSIRIS dans
le» Atelier» Chaude, un sus , dit expérimentateur, couvre ia canal ft l 'Est de la. Jupe au niveau a, 00,
Ce c a s est constitue d'un tunnel métallique, dont deux por tes pi votant a s A bavettes
plongeantes de 45 cm dana l'eau sont situées e a r le canal qui a s su re le transfert des experiences
entre OSIRIS et Isa Ateliers .
Dans ce même tunnel, deux portes situées sur la her go Sud du canal permanent le
passage du personnel.
Ces quatre portes sont ft boudin de caoutchouc verrouillées avec des dispositifs
électromécaniques Interconnectés,
Ce hall est desservi par un pont roulant tournant de 160 KN.
1.8.2 - HATEMEWTS CONNEXES
1.2.2.1 - Galerie couronna
Accolée ft la Jupe de l'enceinte OSIRIS sur la demi-circonférence allant du Sud-
Ouest au Nord-Est osi située une galerie de t m de large entre îaa niveaux - 4 , 0 0 et -t-ï.QB,
Cette galerie comporte un plancher au niveau 0,00 et es t desservie par un pont
roulant de 50 kN,
Cette galerie est destinée aux équipements lourds des expériences.
L'accÈB du matériel se fait au Nord et â l 'Est par deux portes métalliques permet
tant l 'entrée des camions.
Dana l e mur Intérieur commun avec l 'enceinte etanche, un cer ta in nombre de
plaques métalliques boulonnées étancbes permettent la passage des cSbles eu îuyâsierlea dans
la hall DSIRIS.
Au niveau - 4,00 de cette galerie une cloison t ransversale iaole l a ion» Nord
réservée au matériel de conditionnement de 1» ventilation nucléaire pulsion.
IS
I. L. 2. 3 - Bloc électrotechnique
Accole au secteur Sud de l 'enceinte OSIRIS se trouve un bâtiment ù t ro is niveaux
en béton a rmé :
- un sous-sol au niveau - 4,00 destiné aux équipements electrotechniques et aux batteries d 'accu
mulateur s ,
- la rez -de-chaussée eu niveau 0, DO ou ae trouvent implantée le hall d'entrée générale, les bureaux
de service de la Pile et les sal les opérationnelles et fonctionnelles. De ces dernières sa l les , 11
est possible de voir par des hublots le plancher de service (niveau 0,00) du réacteur .
- le plancher + 4,00 reçoit lea bureaux, laboratoires et atel iers de service de la Pile ainsi que
la sal le do réunions et galerie v i s i t eu rs .
- la toiture t e r r a s se règne au niveau + 7,00.
1.2. 2. 3 • Bureaux
A l'Ouest du bloc diectrotechnlque, le bailment bureaux en béton a rmé comprend
doux niveaux, La lolture t e r r a s se règne au niveau + 7, oo.
1.2,2,4 - Ateliers Chauds i
Co bâtiment accole au secteur Est de l 'enceinte OSIK15 est un volume parallèle pi
ped! que réal isé en béton a r m é comprenant un sous-sol au niveau - 4, D0 et un plancher au
niveau 0,00.
Au oent te , d 'Est en Ouest il eat t r ave r sé par un canal de section 2, SO x 7 m
de profondeur qui a s su re le transfert sous eau des dispositifs expérimentaux, soit entre OSIRIS
et ISIS soit dans les cellules situées dans oe bâtiment.
Cette section de canal peut ê t r e Isolée par deux batardeaux situés prfcs des parois
Est et Ouest.
Il comprend principalement dons s a zone Nord, deux cellules de déchargement et
de démantèlement, La fondation permet , en outre, l'adjonction d'une éventuelle t roisième cellule.
Au Nord des cel lu les , le £ 'U8-BO1, entre 0,00 et - 4,00 , est occupé par lea c a s e
mates de fi l tres de la ventilation nucléaire.
Dans la zone Sud, en sous-sol se trouvent les locaux des stations de remplissage
et de dépression.
Le niveau 0,00 est destiné à l'implantation d'un atelier .
Des t rappes s u r l 'eniembla du plancher au niveau 0,00 permettent d'une part , au
Nord, l ' accès à chacune des c s i emates de fi l tres pour l 'extraction de ces f i l t res, au Sud, a la
manutention du gros matér ie l du local épuration.
Ce bitlment, dont l a toi ture t e r r a s se est au niveau + 16,00 , est desservi par un
pont roulant de 290 kN,
Les accès de ce bâtiment, en plus de ceux décri ts dans l 'enceinte ISIS et l 'enceinte
OSIRIS, sont au Nord et au Sud deux portes pour l 'entrée dos camions de 3 , 5 0 x 4 , 5 0 m.
Far a i l leurs , le bloc électrotechnique communique avec la zone C id de ce bâtiment
au niveau 0,00 et su niveau + 1 , 0 0 .
18
I. 2. a, 5 - Machine» tournantes
Au Sud des Ateliers Chauds et a l 'Est du bloc éleetrotechnlque, est situe un hall
de 12 m de large, 23 m de long et 7 m de haut destiné à contenir l e s deux dlese] de secours du
complexe 03IIUS. Ce haïl est desservi par un pont roulant de 100 kN et est en communieation
avec l 'extérieur sur la lace Sud par une porte métallique permettant l 'entrée dos camions et
une porle a personnel.
1.2.2.6 - Isin
lata, maquette neutronlqua d 'Os i r l s , est une véritable pile piscine de faible
puissance, dont le coeur, géométriquement semblable à celui d 'Oslr is , est refroidi en con
vection naturelle. Elle est Installée dans une enceinte à fuite contrôlée de 23,1 m de long,
11,B m de large et 16,5 m de haut, dont le niveau principal correspond au niveau du sol, La
ventilation (6100 m 3 / h de pulsion, 7 100 m 3 / h d'extraction) est a s surée par l 'ensamble de
conditionnement d'air d 'Oslrls , La piscine affleure le niveau du sol .
Le hall , équipé d'un pont do 50 kN, communique avec l 'extérieur par un sas
a personnel, une porte-camion et un dispositif de transfert de matériaux actifs, re l ié a l 'en
semble Oslr ls . 11 contient, en outre, le tableau de contrôle do la plie, le magasin de stockage
du combustible et les bureaux du personnel de la pile et du S , P , R . Le sous-sol au niveau -
4 m, accessible par deux escaliers ct deux t rappes, abrite les auxil iaires de la pile et une
alro de Blockage. Une petite cellule de récupération do détecteurs sur les expériences est
installée A côté de la piscine,
1.2.3. 7 - Réfrigérants
A l 'Est de l'ensemble OSIRIS - ISIS et séparé de cet ensemble car une route , est
situe un groupe de quatre réfrigérants atmosphériques dont les bassine et l 'ossature sont en béton
A ce groupe de réfrigérants est accolée tout le long de sa face Ea t , la station de
pompage et de filtration du circuit pr imaire .
H - L A PISCINE ET LE B L O C P I L E .
11.1 -PRÉSENTATION,
Lea Qptiont] fonctionnelleB qui déterminent la configuration générale du bloc~pllo
sont, d'une part la réfrigération du coeur par un courant d'aau ascendant, d 'autre pari , pour las
expériences, 1s libre aceèo vert ical mi eoeur, e s se élaîtchâiie e t eons slruciaro do commande
encombrante.
Quant a. la piscina dans laquelle 11 est Implanté, elle est assez profonde pour bien
protège? contre les radiations di rectes la personnel évoluant on surface, et de dimensions hor i
zontale a suffisantes pour permettre l 'implantation commode dea experiences al des apparei ls rie
mesu re , et leur manutention aisée.
Enfin, dans l 'ensemble de la piscine, les courants d'eau doivent être organises de
façon a empocher l e s remontées d'eau active ve r s la surface.
Des l o r s , la configuration gin Si* aie de l 'ensemble eat bien comprehensible,
La piscine a pour dimensions 6,5 m i 7 , 5 m et 11 m de profondeur. A 1,37 m
au-dessus du fend., un plancher couvre ton tua les s t ructures placées au fond (essentiellement
dea tuyauter ies) . Approximativement en a on milieu s e trouve le bloc-pile, d'une hauteur totale
au-dessus du fend, de S m.
E n c a r t a n t du niveau du Tond de la piscine et en allant ve r s le haut, on trouve ouc-
cassiveniBBi le c a r i e r d 'entrée d'eau (sous le plancher), le caisson du coeur, îe c a r t e r da sor t ie
d'eau avec sa bouche de r ep r i s e la té ra le , l a cheminée, ouverte à en part ie supérieure et parcou
rue par un petit courant descendant qui combat les remontées de l'a au sortant du coeur.
En repar tant du niveau du fond, mais en allant vers le bas, on trouve, seua le
c a r t e r d 'entrée d'enu, l e bloc tabulaire, abondamment percé , qui permet le passage, ve r s le
•elle des mécanismes située sous la piscine, des tiges He verrouillage dee divers élément a du
coeur et des tiges de commande dos b a r r a i de contrôle, tout en assurant une protection efficace
du personnel évoluant dans cet te sal le relativement proche du c œ u r .
Notons pour t e rminer que dea gri l les de support dea expériences entourent le bloc
pile au-dessus du ca r t e r d ' e n M a d'eau, au niveau du plancher. Ainsi, les expérience a peuvent,
eolt ê t re plongées dans le coeur par lu cheminée, soit s 'approcher de sa périphérie à l 'extérieur
du ca isson. Dans la p remier c a s , e l les scat refroidie* p«r îe courant général de réfrigération
18
du coeur. Dans le de uni taie cas , un circuit special, décrit plus loin, aspire de haut en bas l'eau
de la jr.ei.lno â t ravers l 'expérience.
ï l . f i - DESCRIPTION DE IA PISCINE (partie Immergée)
Le_s_parpl8 : La piscine es t constituée par un cuvelage clenche en iBIo d 'ec ier
inoxydable et des massifs de bâton arma qui le soutiennent et assurent la protection des locaux
des sous-sols contre les radiations ionisantes.
Aee^s i i smergés i Sur SOB coté Sud, l a piscine eomiaunSque avec le canal E a i -
Ouest par une ouverture de 1 m do hauteur, qui peut ê t re formée par un bntardeau métallique.
Sur chacune de s e s parola Est , Nord et Ouest, deux t raversées au niveau - 3,7 m
et t rois t r a v e r s e s au niveau - 1 ro établissent la communication entre la piscine et les sous-
BQÎb.Ces t raversées i scat oMurfes aeit p a r a s a tape pleine e i un bouches de protection
biologique, soit par un dispositif spécifique assurant l ' é lanchél té , la protection biologique
et le passage de liaisons des expériences,
Une mise en communication avec la bScha do vidange, au niveau - 4 , 5 » , permet ,
par manoeuvre d'une vanne, une vidange rapide de la piscine ou niveau - 4 , 5 tn .
Un puisard QU fond de le piscine permet une vidange complete avec clapet amovible
a dislance nu fond de la piscine, doublé d'une vanne dans 1.! local de vidange.
Le plancher : Le plancher est constitua par des caillebotls en taie d'AG 3
perforée, situés au nlveaa des gri l les extérieures du coeur ( -9 ,43 m ) . 11 supporte les méca
nismes de caambres de mesure et équipements d ivers , éventuellement prévus autour du
coeur. Il est supporté par quatre tabourets v issés au Tond de la piscine, et quinze cadres
support amovibles, placés sur les tabourets, ou ù cheval entre eu* et le cuvelage, Certains
cadres comportent des plots avec troua taraudés pour fixation éventuelle do matér ie l supple-
menlaire (supports é 'expérie aces par exemple), TQUB l e s cadres et tabourets sont en pr in
cipe démontables b distance sous eau, Chaque cadre peut supporter une charge répar t ie de
20D dsN/m. 3 et une charge de 100 d&N concentrée en un point quelconque. Des ouvertures
permettant le stockage provisoire de paniers 6 éléments combustibles (capacité : un coeur) sont
réservés au Hard du bloc-pîîe.
19
II.3-0ESCRIPTI0N OU BLOC PILE.
II, 3. 1 - BLOC TUBULAIRE
DBj£rlgUon_ : C'est un bouchon cylindrique en ucier Inoxydable (de hauteur 1,5 m i't
de diamètre 1,10 m), composé de deux platines reunies par une virole, n est t raversé par
56 tubes, qui permettent le passage des tiges d'attelage d'éléments combustibles ou d'expériences
et des t iges de commande des ba r re s de contrôle. II es t monté dans un orifleî c i rculaire de la
paroi de béton formant le fond de la piscine. Il est suspendu a s a platine supérieure, e l le-même
calée et boulonnée sur une bride soudée au cuvelage de la piscine,
La protection es t assurée par un remplissage de sable lourd (sable de Zircon,
densité : 4).
A la platine Inférieure es t fixé une plaque dotée do 56 mécanismes de verrouillage
e t d'étanchélté des tiges d'attelage e t de commande.
Les Joints d'étanchélté sont en Ferbunan, Ils sont situés à un endroit re lat ive
ment protégé et access ible . Le Jeu entre tubes et t iges est rempli d'eau, Auaal, pour éviter
que cette eau stagne, la plaque Inférieure comporte auss i des a r r ivées d'eau de balayage
fournie par un circui t spécial dit "de contre-press ion" ,
II, 3. 2 - SOCLE OU "CARTER D'ENTREE D'EAU"
Desç£lpJlon_ : Le socle es t un caisson cylindrique & axe vertical en AC 3, composé
de deux part ie :
a) Une partie infér ieure . d'un diamètre de 1, B0 m et d'une hauteur d'un m i 1rs,
comparf at un piquage horizontal de 700 mm de diamètre pour l 'entrée d'eau et une grille circu
l a i r e . Cett gri l le percée de trous répar t i t correctement l 'eau de refroidissement et supporte
une grande part ie de l'effet de fond dû ù la pression de l 'eau.
Une deuxième gri l le e s t placée Juste en face du piquage d 'arr ivée d 'eau pour b r i s e r
le Jet. Elle est concentrique & l a p remière , mais n ' in téresse qu'une portion de la circonférence
seulement.
b) Une partie supérieure, étonche par rapport à la précédente, constitue une boite
à eau pour la repr ise de l 'eau de la piscine servant au refroidissement des expériences extérieu
r e s . Cette partie, qui comporte deux piquages de départ do l 'eau de l a piscine, supporte l e s
quatre gri l les extér ieures et le caisson de coeur.
H. 3. 3 - CAISSON DE COEUiï
Deaç.rlp_tion_ : C'est un tube de section rectangulaire (0, G2 x 0,70 m intérieur)
d'une hauteur de 1,20 m en Zircalloy 2.
20
Lea paroled'ime épaisseur de 40 mm sont percéo» longieidtnBlomnnt de 9S troua
diamètre 25 mm, poor la circulation d'eau da re(roldl««otnent el pour la fixation mtr la aoele.
Dea liges de remplissage sent placées dans ce» troc* pour limiter la eaotion de passage de l'eau,
derlefc d» circuit du coeur par dea troua de cDD>munlcBifoa avec l'intérieur do caisson, en amont
et en aval des «Uaeota combustibles.
L» caisson reçoit. «.l'Intérieur, un caafer amovtbte en AG 3 à Sfi abrtole» carrta
de M, 4 mm de cote. Ce casier, dont lea parole ont 3 mm d'épaisseur, eat enUerament ualné. H
a w n » I» centrage dea élément» eombnallblea ou réflecteurs, dea t iges d'attelage, dea fourreaux
de barrée de contrôle et dea experleucee. n permet également l e verrouillage de la sécurité anll-
vol aupCrleure dea éléments combuaMWes.
H. 3.4 - ÇABTBR DE SORTIE P'EAP
Ce carter prolonge TÊTS l e haut le caisson de coeur et comporte sur m a lace
uns trémie de sortie d'eau. Celte trémie a la larme d'un converge» ciii met l'eau eu viteaae,
f»eUite ainsi l'aaplratloa de l'eau du caeui- et évite lea re mante*» d'eau vara la piscine.
11.3.5- CHEMPrEE
La ebenlnle est ui tuba rectangulaire en AG 3 de 8 rcm d'épalaseur, qui prolonge
lt carter de «ortie d'eau. Elle eat parcourue île haut en bas par un courant d'eau nsplrl par la
bouche de reprisa générale, qui combat lea remontée d'eau active. Elle support» une grille à
EG alvéoles carres, séparés par des parois de 2 mm en acier inoxydable, qui aert de guidage
supérieur sua fourreaui des barrée da centrale et aux experiences Intérieures, et de support
pour des boudions. Cas bouchees peuvent elre »oU des bercchons de verrouillage des fourreaux
de barre, qui l e s empêchent do remonter aoua la poussée de l'eau, soit des bouchons d'obturation
tjul aident eu confinement de l'eau active.
Au sommet de le cheminée, un rail permet de Oxer latéralement l a s expériences
disposées a l'Intérieur ou l'extérieur du bloc-pile.
21
H.3.G - TICE5 D'ATTELAOE
DesertpUOB_ : LOB t iges d'attelage maintiennent en position co r rec te , ô l ' Intérieur
da cas i e r alvéolé, lea éléments combustibles. I t s éléments réf lecteurs ou l e s « tpér iencea . Eïïea
peuvent ê t re remplacées par de» t iges do commande de ba r r e de contrôle. Elles a eut c o m p o s e s
de deux p a n i c s : un tube supérieur creux el troué qui permet l'Introduction de l 'eau dans
les éléments et une tige inférieure qui t raverae le bloc tabulaire. En fonctionnement, au
débit no rma l , e l les suppor ted In résultante dirigée ve r s le bout du poids de l 'élément et de
l'effort d'envol c réé par la perte de charge (maximum 70 daN). Elles comportent S leur
extrémité supér ieure , un centrage dans le cas ie r alvéolé et un dispositif " raccord pompier"
servant à la retenue dea éléments et fer.eUojuiant par rotation de 45*. L'extrémité Inférieure,
sous le bloc tabulaire* eat engagés dans un mécanisme permettant le dé verrouillage ou le ve r
rouillage dea éléments & l 'aide d'une clé spéciale qui ne pout otro enlevée que ai la tige eat en
poaltion "verrouil lé" , et ne peut fllre utilisée que s i les pompai aont a r r ê t ées .
Apres dé verrouillage, lea tiges peuvent fllre r e t i r ées par le htui , à t rovers le
bloc plie. L'étanehélté est a s surée par dea joint» Parbunan, monté» dans le mécanlame de ver
rouillage. Ce mécaniama peut ê t re démonté, aolt pour changement dea joints, soit pour rempla
cement par un mécanisme de contrôle. L'étanehélté est ni or a assurée par portage d'un épaule mont
de l a t ige formant clapet mar un siege si tué s u r la face supérieure du bloc tabulaire. Ces siégea,
qui sont également utilisés, pour l e s barroa de contrôle, sont démontables S distance.
Résistance : Les t iges d'attelage sont largement di menai années pour r é s i s t e r à
la force d'envol.
D'autre par t , des e s sa i s hors (die ont démuneré que lea vibrations induites
pax l e je t d ' a r r ivée d'eau a 1 étalent pas dangereuses .
n.3.7 - GRILLES EXTÉRIEURES
L e s quatre gr i l les extér ieures en AG 3, de 140 mm d'épaisseur, sont munies d'un
grand nombre de t rous servant de logement aux expériences extér ieures , aux bottes a eau, aur
réflecteurs en béryllium et aux tubes hydrauliques. Ces t rous peuvent ê t r e fermés par des bou
chons amovibles. Des diaphragmes, placés dans lea boites A eau, permettent de régler le débit
d'eau asp i rée . Des trous borgnes sen : également prévus ve r s l 'extérieur de la zone percée . La
gri l le Sud, qui reçoit les tubes hydrauliques, est équipée d'un support en AG 3 , pour les éléments
réflecteurs Béryllium et les tubes de t ranspor t . Une tola a r r i è r e canalise l 'eau de refroidissement
dea tube». Tous ces équipements sont amovibles à distance
2 2
11 .4 -DESCRIPT ION DES ÉQUIPEMENTS IMMERGÉS D E L A PISCINE.
Les équipements do la. piscine cam prenne ut ;
. dei tuyauteries
• J*B mécaniques de chambres de mesure,
H.4.1 - TUYAUTERIES
DUïérentee myauteriea, faisant partie dea clrcaitB coeur, pteclne at eousbo chaude,
se trouvant dans la piscine.
2 SÏÎ.?S£ÎS?.diL5iîS ,^ t-PSeJJE. : *•*• tuyauterie» antres et «ortie, d'nn diamètre
da 700 a m , traversent 1» cuvelage aous la batardeau. Chacune d'elles est réalisée en deux tron-
CQDS, dont l'on, voté curetage, eat an acier Inoxydable, tandis que l'autre, coté pU«. «at an
AG 3 , l e s Jonctlocui étant faites par bride* avec isolement pav Joints Perbunan situés A un» d i s
tance suffisante du aueur pour éviter nne détérioration de cas Jolnta, sous l'affet des rayonnements.
Chaque tuyauterie ©emporte «ma jonction démontable » distance :
• pour U tuyauterie d'entre*, cette Jonction correspond à ï* transition | n « - A O 3, Ot l'Blanche ils
eat assurée par lea Jolnta Pertuaan porte* par un coin place entra lea deux tronçons,
- pour la tuyauttria de sortie, U Jonction démontable ee lait sur le tronçon AO 3, peur réduire
la longueur de t-jyauterle en porte-a-faux. L'ctanchélté «at faite par portage métal sur métal.
La tuyauterie de iortie comporte un aoufflet et un dispositif de suapenalon qui
limitent laa efforts, sur le bloa-pHe, due au paids, a la pression et la vl te ise de l ' « u et aux
dilatations. Des tirants commandés a dlatance par des bieHettei- permettent de comprimer ce
soumet lors des opérations de démontage et ce anppwrter le tuyau plein d'eau loréaue U piscine
eat vidangée.
La tuyauterie d'entrée repose, pour sa partie horleontale. au fond ' s la piscine.
Elle cat calée au Sud par un "trlpode" qui encaïase l'effet de fond du a la preset on. Eue comporte,
a w d m piquage* f 45D, des clapets "de convection naturelle", onl s'ouvrent par «ravit» lorsque
la pression dans le tuyauterie tombe *n dessina d'un certain aeuil, assurant alnel In aoratnunles-
tien entre la pbwlw et le coeur. Des dash - pria placés au-dessus de ces clapets évitent h "coup
de bélier" A la (fermeture lors du démarrage des pompes.
D'autre part, les don* tuyauterie* d'entrée et de a ortie comportent des orifices
permettant d'j Introduire A distance ( « « • dispositifs porteurs de sondes de température.
T W Ï M t e * J £ ^ j * : £ « £ t J i « ç i « L : La tuyauterie d'arrivés d'eau dsM b» piscine,
an forme de tT , est percée de trous pour former diffuseur. EUs eat en acier inoxydable.
Le tuyauterie de sortie comporte deux départs, dlametralemort opposés, sur la
faofle ft eau supérieure du eocle.qul aspirent l'eau de l i piscine a travers les fri l les des expé-
rlinces. Chacun des départs comprend una partie en AC 3 avec bridas démontables A d le tuce
et «lapeII de convection naturelle analogues à ceux, du circuit du coeur, et un» pari'* on acier
inoxydable, Le tronçon commun est ea acier inoxydable. Des prises de température «t de pression
23
ahii i que des orifices d'entrée d'eau sont également prévus sur chaque départ. Les orifices
peuvent être bouches partielle ment DU totalement suivant le débit de refroidissement dus expé
r iences extér ieures que l 'on dési re .
Tujau^ej7l^s_du^iTUUjl£^j:M^he_çhaudp : Une rampe en Hcler Inoxydable située
au niveau - Ci, 2 m sur la paroi Ouest Injecte de l 'eau propre et réchauffée, pour maintenir en
surface une certaine épaisseur d'eau non active. Une rampe de repr ise es t planée sur la paroi
Es t , au niveau - l,5ro{volr une description du circuit et des caractérist iques au Chapitre "Circuit
d'eau").
Tube_a_hydraullaues,et j>nj:£ma_tigues_ : 10 tubes hydr null'-mes et un tube pneumatique
permettent d'introduire à tout moment en Irradiation des navettes contenant des échantillons et de
l e s r e t i r e r au moment dés i ré . Ces tubes 40 x 44 en AG 3, comportant chacun un al ler et un retour
pour le fluide moteur, pénètrent dans la piscine en dessoua du batordenu, franchissent en nappe
l 'espace qui sépare la paroi Sud du bloc pile, et vont s 'accoler verticalement contre des éléments
de Béryllium de 40 mm d'épaisseur , eux-roemea plaqués a Intervalles réguliers contre la face Sud
du caisson du coeur. A leur partie Inférieure, l«i tubes et les éléments de Béryllium reposent
sur la gri l le Sud, Lu tout est maintenu en position par un support spécial , porte par la grilla, qui
guide par s e s flasques la térales et son fend a r r i é r a amovible l 'écoulement do l 'eau de rcf ro iJ ie-
Des navettes Irradiées a d 'autres emplacements peuvent également être envoyées
par tube hydraulique hors de l 'enceinte étoncho a part i r d'un sas d'entrée fixé contre la paroi Sud
de l a piscine, su niveau - 2 , 3 m,
Autres tuy_autorJos_ : Un certain nombre de petites tuyauteries va de la piscine
ve r s la sal le des mécanismes située sous le bloc tubulnlrc ;
- Mesure de la press ion entrée coeur {deux tuyauteries A t ravers le bloc tubulalrc) prenant la
pression dans le socle u la partie Inférieure,
- Mesure du ù P dans les bor.es a eau : deux tuyauteries ù t ravers le fond piscine, l 'une pour
la pression piscine, l 'autre pour la pression dans les boites a eau,
- Mesure du A P coeur : a par t i r de la pression d 'entrée coeur et de l a pression piscine pré le
vée au fond de cel le-c i .
- Circuit de contre-pjresslon dans les passages du bloc tabulaire (à par t i r d'une tuyauterie pré le
vant l 'eau dans la piscine). Ce circuit es t r e l i é a la pis que Inférieure du bloc tabulaire.
- Centrale de fuites de la piscine v e r s le bloc tabulaire : tuyauterie noyée dans le sable et débou
chant sous la tôle d'étanchélté au fond de la piscine. Un réservoir en salle des mécanismes per -
met de récupérer la fuite éventuelle,
II. 4. 2 - MECANISMES ET SUPPORTS DES CHAMBRES DE MESURE
Les chambres de mesures sont de trois types :
- l e s chambres a, fission
- les chambres d'Ionisation
- la chambre gamma
24
Toutes I t • chambres d'un même tjpe «mt installé** tup das «trustor*» particu
l ières, pBrmettent leur peiiltoaneiBent par rapport an coeur, aolt eentbiQment e t par mouvement
motorisé (mécenlamea daa enambrea a fission) soil par déplacement manual discontinu d'un sup
port, Lea mécanismes dea crambroe ft fission at d1 ionisation aont montés aur un même tabouret
Mi ttt* soudée, fixé fur le plancher, «t comportant deux plateformes A dec niveaux différents,
Méj :^ ia j« i ly^h?ïpb™Ë.*.îi^sion : La plateforme supérieure reçoit trois
mécanlameo de translation composés chacun comme mil .-
> un support hortsontnl comportant des rails de guidage du chariot mobile
- le chariot mobile horizontalement, actionné par un eyatenie vis-ecrou
- le conteneur de chambre à fission, solidaire du chariot par un verrou.
Lee conteneurs «ont blindés par une protection 4e plomb
La course totale dea chambres est de 1 flOO mat environ!
la vitesse de «éplaeaiaent est de T, S mm/s . Les via eont actionnées par un mécanisme fixe sur
la margelle, par l'Intermédiaire do trois arbres de transmission, avec paliers et cardans. Le
meeanlsn» comprend le servomoteur d'asservissement de position, la pjgnceerle, loa contacta,
un selsyn de repérage de position et une commande manuelle de secours.
Les conteneurs peuvent «tre démontés individuellement s. distance. le deverroull-
larD se fait automatiquement en position arrière. Le dispositif de translation peut auati être
démente a dlstasco, après dépose du conteneur.
Sojeorti_dejjKam^i^d'iool|jrtloTi ; Lan chambrai d'Ionisation, au nombre do
trois, aont placées dans un conteneur unique, qui eat posé sur la plateforme Inférieure du tabou
ret commun, Le poiltlonneinent, par rapport au coeur, est assure par enflahagede deux
doigta portés par le conteneur, dans des troua perçus dans la plateforme. Ces trous sont en
nombre suffisant pour permettre de faire varier la distance au coeur entni 300 at I 10Q mm.
Le déplacement se fait en soulevant I» conteneur à distance, A l'aide d'uea perche. Lea
chambres peuvent être retirées, A distance, de leur blindage.
apport de ^achambrç.çwnma : t e support d e l à chambre gamma est conçu pour
pouvoir être placé en dessous de la tuyauterie de sortie du coeur. Ceci offre le double avantage
de Uberer de l'espace utile, et de mettre la chamb» à l'abri des lofbisnaae des dispositifs
«xpérimentsux mebtlea.
H s e compose rie :
- une base lourde maintenant le support en position, l'en.eroble étant stmptenrnt posé sur le
Pletelage,
- na trlpoda prenant appui m* cette basa et supportant le bras tournant,
- un bras tournant, doté a ion extrémité du tube réceptacle de conteneur de chambre, et permet
tant d'amener et conteneur, sans déplacer le support, de la position de travail sous la tuyauterie
a la position de déchargement. H y a une position de déchargement et plusieurs positions de tra
vail possibles, dans lesquelles le brae eat immobilisé par une goupille manoeuvrable à distance.
La chambre elle même est dans un conteneur éUoche.
26
Tous les conteneurs des chambres sont alimentés un a i r sec sous press ion,
pour éviter l e s en t rées d'eau. Lea câblas électroniques sont re l i é s a la surface par des gaines
étanches en acier inoxydable.
I I .4 . 3 - PASSERELLE
Une passerel le , située au niveau - 4 m, fait le tour de la piscine {sauf la face Sud).
Elle permet des Interventions sur les dispositifs expérimentaux.
II. 4. 4 - DÉMONTAGE A DISTANCE
L'ensemble du bloc plie Binai que la plupart des équipements do la piscine sa dé
montent A distance, g race a un outillage approprié.
Parmi le* constituante démontables, 11 y a lieu de distinguer :
- les éléments remplacés systématiquement do par leur nature mémo : éléments combustibles
et de contrôle, réf lec teurs , expériences (en moyenne 7 fois par an pour les éléments combus
tibles) .
' les équipement» amovibles sons difficulté & dee Intervalles de temps Irrégul iers , non définis :
ca s i e r alvéolé, t iges de verrouil lage, fourreaux de ba r re s de contrôle, grille Supérieure.
- les s t ruc tures exceptionnellement démontables, en cas d 'avarie ou de modification : ca r t e r
d 'entrée d'eau, caisson de coeur, gr i l les extér ieures , tabourets do planchers, tuyauteries,
clapets do convection naturelle, mécanismes de chambres, e t c . . .
11.5- ÉQUIPEMENTS DE LA PISCINE AU DESSUS DE SA SURFACE.
II. 5.1 - DEVERSOIR,..
Un déversoi r e s t disposé s u r la face Est . I l e s t équipé d'un bac facilitant l ' ê t r e -
mage.
II. 5. 2 - BOUCHES D'AERATIO»
Au-dessus de la surface de l 'eau, de l 'a ir es t soufflé par des bouches aur la face
Ouest, et r ep r i s par des bouches sur la face E i t , Le but de ce "rideau d ' a i r " eat dévlter la d i s
persion d'éventuels produite radioactifs.
26
L e . " ç J ' : Des profilés d 'amarrage horiiontaux, «un niveaux + 0,1 m et
1,015 r scat suspendus au plancher du niveau+ 4, Ils nor vent a fixer latéralement des expé
riences, des boitïer» de connexion, ou des iienoa de contrôle des expériences..
n . S. 3 - POTENCE y 3BILBET POHTRE5 DE CHflKGE
L'accès aux p r o f i t s d 'amarrage so fait par taie nacelle suspendue rigidement
soua une potence mobile le long des t ro is berges Ouest, Nord et Est de la piscine. Le chemin de
roulement comporte un roll inférieur au nivoou + 0,80 m et an r a i l supérieur anus le plancher du
niveau + 4 m. Un moteur électrlquo assure une vlteaso de déplacement de 10 c m / s ,
La nacelle, do dimensions 0,Bo z 0,85 m, peul supporter deux hommes et leur
outillage {charge île calcul £65 daN), Son plancher es t au niveau + 0,10 m et accessible à par t i r
de la passerelle entourant la piscine.
La potence supporte, en outre, una poutre pivotante, équipée d 'an palan électrique
de SOO dnN, utile pour des manutentions dan» la piscine et les franchissements du batardeau,
Dana le même but, una deuxième poutre équipée d'un palan da 6DQ daN est disposée our le mflme
chemin de roulement.
H.5.4 - PL.QKGEQIK
Una passerelle en porte-a'-fau* au-dessus de l 'eau, dénommée "plongeoir" est
fixés sur l a barga Saà, Csîie-passerelle da 8,86 ra de l a rgeur at de 350 kg/*a de charge utile,
peut être relevée. Elle comporte une partie tôlescoplque qui permet d 'aceeder a l'aplomb de
toute position a l 'Intérieur du bloc plie. La translation de cette partie télescopiqua oat a ssurée
par un moteur électrique commandé localement.
Ce plongeoir permet la guidage des éléments ou dispositifs, soit lors de leur char
gement ou âéchargerasMt âoît 1ers de leur t ransfert d'un point à un autre de l a piscine.
H.5.S-SÀCELLESUSPEKDUE
îîne n§ce2e accrochée a un portique ÎÔgor, se déplaçant s u r des r a i l s au niveau
+ 4 m, permet d'accéder à tout niveau de la piscine, autour du bloc pile, du coté Sud,
u - 5 - B " PO»? ROtILAMT
Le pont roulant de 150 kH qui desser t l 'ensemble de l'enceinte «tanche « aussi un
crochet de 50 kN, hauteur souscrochst 12, S m et un monorail de 10 kK ejil sont euffisanâa pour
la plupart des manipulations en piscine.
2 7
11. 6 » RÉCAPITULATION DU POSITIONNEMENT DES EXPÉRIENCES ET DU CHEMINEMENT
DE LEURS MAISONS ,
M.6.1 - POSmONHEMEHT DES PARTIES RIGIDES
n résulte de ce qui précède que l e s expériences sont maintenues en position de
la maniera suivants ;
a> ^SÎlldfiSSSâàBS-îS-SëSPiP!» : L'expérience eat attelée par en-dessous par une
tige Identique a celle des éléments combustible a. Elle est centrée latéralement par l 'ai viole du
c a s i e r alvéolé et par l a gri l le supérieure do la cheminée. Elle peut atra accrochée en haut de la
cheminée. SI elle remonta Jusqu'il la surface, elle es t maintenue latéralement sur le " C ",
Une iJeuslonje sécuri té anti-envol peut Olre réal isée par un verrou du même lypc
que celui des éléments combustibles, ou par un bouchon de verrouillage sur la grille supérieure,
DU par le poids de l 'expérience.
b) J!«|^rie_nçejl 'hj)rs_cjljapn'^ : L'expérience est enfichée dans un trou dos
gr i l les . Aucun attelage Inférieure n 'est nécessaire c a r le courent d'eau es t descendant. Cette
fixation es t lUffliante pour l e s expériences de faible hauteur, auxquelles on donne une géométrie
extérieure standard f ! îbofte à eau") de manière qu'elles se centrent par rapport à leurs voisines.
Lea expériences plus hautes sont maintenues latéralement en haut de la cheminée,
ou sur le "C".
H.6. 1 - GABARIT DES EXPERIENCES ET CHEMINEMENTS AUTOBI5ES DE LEURS LIAISONS
S ^ è l S y . 1 ! " - ! L o a dispositifs expérimentaux dotvent.par fonction ê t re insérée
dans le coeur ou dans son «avirunnenrrit . D'autre part . Ils doivent cohabiter avec do nombreux
autres dispositifs. 'Pour ces deux ra isons , leur géométrie et leur implantation doivent suivre en
principe des règles s t r i c t e s .
Seules sont exposées c i -dessous l e s règles relative a au séjour en piscine. Rappe
lons cependant que, pour l e s dispositifs qui doivent ut i l iser l e s autres services du complexe
OSIRIS, des réglas correspondantes existent qu'on t rouvera dans d 'autres chapitres (convoyage,
démantèlement, e t c . . , ).
De manière générale, les sones suivantes doivent être la i ssées l ibres , pour l a i s -
eer la l ibre circulation autour du bloc-plie ;
• zona eituée a l ' Intérieur du " C " au-dessus du niveau - 4 , 5 m , à l'exception d'une banda de
0,30 m, le long du " c " réservée aux remontées des l i a i sons ,
uone située à l 'extérieur du " C " au-dessus du niveau - 6,3 m,
- zonos situées à la verticale de a emplacements de stockage, des oondea de tempéra tures , des
clapets , e t c .
20
Les expérience» de configuration normale «ont disposée» de U façon suivante :
• une partie "activa" contient le volume a i r radier , Elle a la forme générale d'un tube vortical .
Si l 'eupérience ne comporte aucune liaison, plie se limite à cette part ie active,
• ù ana certaine hauteur le tuba tourne fi angle droit pour éviter lea faisceaux direct» de radiation
vers M surfa;o, ot chemine ftori ion talc ment Bur une certaine distance, dénommée "empattement",
- enfin, le tube, après un nouvel angle droit , remonte verticalement jusqu'à la surface.
Certaines experienced, toutefois, ne comportent que la partie active, el les sont
alors «ans liaison, Pour d 'autres, seule» les liaisons remontent Jusqu'à la surface. Elles com
portent alors généralement un décrochement pour met t re les connexions hors de la portée des
radiations.
Partie active ; La partie active doit avoir une section horizontale contenue dans
u n c s r r o d e B 2 , 8 x B 2 , a m m {pas des gri l les ot du oas i e rh Trae exceptionnellement, elle pourrait
occuper plusieurs de ces emplacements •
5ôç£oçhemont :
Hauteur : La hauteur a laquelle petit se faire le décrochement est do :
- -4,5 a. - 4 , 0 pour lea experiences dans le caisson,
- - * ,6 a - H, 7 5 m pour les experiences hors caisson, cotte hauteur totale étant telle que le
pied de l'exporlenco puisse être dégage de la botta a. eau sens qua le décrochement heurta celui
d'une experiences surplombante.
Dimensions : Le décrochement doit avoir une épeis ieur horizontale maximale
de 02,8 mm , car on ne peut accéder aux troua de grille masquas qu'avec un décalage maximal
do i pas.
D'autre par t , l e s conditions de transport et do t ravai l ea cellule Imposent une
épaisseur verticale maximale de 400 mm.
Empattement : L'empattement doit Être tel quo l 'extrémité du décrochement
opposé a la partie active soit dans "la xono du C" (bande de 300 mm vera l ' to t é r i eur du " C " } ,
L'empattement peut donc être :
- de 800 a 1 200 mm pour las expériences dans le caisson (suivant l'eiapiEeemsstS
- do SGu ù 800 mm pour lea faces Est et Ouest, hors caisson (suivant l 'emplacement)
- de 510 a 180 mm pour la face Kord hors caisson (suivant 1'emplacement).
Hejnontée_ : La partie montante de l 'expérience, oo'elie soit rigide ou constituée
de liaisons souples, doit res te r dans la zone du " C ",
£l?5î!^yi:hemtaemejïl.djB_Ma^Bj?n_8_: Les liaisons souples ne sont pas obliga
toirement arr imées sur le " C " , Elles peuvent l 'e t ra a i l ee r poids Pimposo, ou sf an bottier da
connexions ou de réglage doit fltre placé au voisinage de la surface de la piscine.
De touia façon, Isa liaisons qui remontent a l a surface doivent r e s t e r dans la
"ione du C" jusqu'au niveau + 4 m. Elles cheminant alors horizontalement, soit Jusqu'à, des
appareils située à c o niveau, soit jusqu'à un des troua de descente, qui leur permettent de r e
joindre leurs appareils do meaure aux niveaux 0 , - 4 ou - a m.
Les liaisons ne remontent pas obligatoirement a la surface. Elles peuvent aueai
sor t i r de la piscina par 1 E B IS bouchons spéciaux disposûu o - 1 m et - 3,7 m , sur lea faces
Est, Nord et Ouest. Pour respecter le chemin de manutention autour du bloc pile, ce* Maisons
doivent descendre a 6, S m. puis remonter vers un bouchon le long <1e la p a r o i de la p l e i n e .
Ill-LES COMMODITÉS D'EXPÉRIMENTATION PENDANT ET APRÈS IRRADIATION.
11.1- LES COMMODITÉS D'EXPÉRIMENTATION PENDANT L'IRRADIATION.
111,1.1 - ZONES EXPERIMENTALES
Lea i cna s ejtpérirr.oniaies s i tuées î rtiftércnia niveaii* dans î'cr.eclnlc «Hanclse et
dans la galerie couronne», sont r 0 près uni Û"OB dnna le» plane Jointe. Hou "posUs l^ptSrlmoninicure"
permettent lea raccordements aux divers circuit* de fluid un et QUI circuits de contrôle.
III, 1.1.1 - Enceinte 6tanche
Lea zones sont situées nu Nord du canal 1, autour de la piscine. Ces P m pince ni em u
oonviennent pour usa expériences présentent en cne d'Incident des risques de fuites de fluides
actif e.
Iî y a 4 niveaux :
a) niveau * A m emplacements convenant bien aux experiences de courte ou moyenne durée,
b) niveau " se ro" n'ayant pas besoin ni do protection ni d'auxiliaire a pesants ou bruyants,
e) niveau ' 4 m emplacements recommandé» pour les expériences do longue durée, doit
d) niveau - S m lea r i sques d?£rra>iiBtlon amènent l ' installât ton de protections.
IH. 1.1.2 - Salar ia npuronne
Ces emplacements conduisent a. de* llalaona do grandes longueurs.
Nij/esu Bâro, : Ces emplacement! conviennent a l'I ne (a lia tien d'expériences no
présentant pas de r lequei radioactifs (ou dee r isques minimes), ainsi qu'a dee auxiliaires bruyants
au encombrants d'expériences implantée* en enceinte étanshe.
Niveau _-J_ra_ ; 1 seul emplacement d 'accès malalsit.
29
\ _ . CaraoUrlnttquen dee poetee «ipérlnienlateur*
« • d n p M l M M l | 142 | MS | U 4 | 1 | 2 | 3 | 4 | 411 « | 431 « «J 821 831 S | S J 49
. LocBlisnticn
BNCB1MTE E T A N C H E
Niveau + 4 Niveau n ! Niveau - 4
w [ NWJ N B | E w | N W 1 NE 1 E | w | NW| KE| E
Niveau - S
Wj NWJ NE
CAL. COUR
Niveau 0 - 4
NW j NE
Chargei pocaiblftt 250 kgfm2 l T / m 2
Charge roulante S T 3 T/m* reparties ou 10 T/2 m 2
S T/ra répartie» ou 10T/2»S
l T / m Z
ACCÈS du matériel P a n lSg/SO KK monte charge SO KW
CharrloU eventaeUenient pont
Monte •charge +• charrlota. event.
pent
Monte-charge + chorrlot* event, pont
Foot 30 KN
Sont WKN rappn
. . . —.- 38 <> 'kennel" Alimentations n n » _ _ _ „ • E _« •eleclrlquB. ftD „ e w p u P B ' .
r.T a M " 0 n d u l 8 U r » "
CI
n ' l ri»Z n' 1 n* 2
n* 12 at 13 C3
n - 3 n*4 a' 3 n' 4
C3
n - 5 „-8
C4
n* 7 a» 8 n* 7 n' 8
n'B
n*3 : ! ; : CsUr*tdea*eurlM
Contrôle CoHret T.C.M.S. Coffret C.D.M.
SQihtaojb 203b 1Mb 201a|203* îOii I04a
X
2QSb boflb 20Tb 20Bo 305a jgOBa 2D7n 20S* Z09a|210a 2I la |2I2a
X
Î ISbt ïUb 213a|2I4a
î l î b a i î a
216b 21Ga
atab 118a
Air comprima H.O do rtlto
Distribution* H-O iudaatrtelle d u * petit débit
fhddaa moyen débit grot dibit
H 2 0 deiain*raUe6c
* x X
X
X
X X
X
X
X - : X
i X
* X x x x
X X
X X X
x x
' » ;
X
EAUX activai ElfljBDt» Effluent! chimique*
Effluent» gâteux x
* X
X
* * -
* * » *
* X
X X
x * «
X
3 1
111. 1 . 2 - CARACTERISTIQUES DES RACCORDEMENTS
Rewarque_ : Pour 1B définition des vannas uti l isées, la description et les ca rac
tér is t iques des matér ie ls électriques se repor ter aux chapitres contrôle ou clrcuitu d'eau.
m . 1.2.1 - Alimentation électrique
Le tableau I donne la réparti t ion des coffrets et dee armoires élecU-otechniques
qui assurent uno distribution électrique :
a) 330/220 V t r iphasé 50 Hz qui es t soit :
- normale , c ' e s t -a -d i re non secourue'en cas de panne du secteur EdF. Puissance totale 400 kVA.
- secourue avec une coupure de 5, G sec pour l e s a rmo i re s D, 10, IE situées en galerie couronne;
Puissance totale 400 kVA.
- secourue sans coupure, mais avec une perturbation possible do 160 m s pour les a rmoi res s i
tuées dans l 'enceinte et anche. Puissance totale 400 KVA.
b) 230 VollB monophasé 50 Hz régulé a. 1 */ . du réseau "onduleur ' . Puissance totale 15 hVA.
Les armoires n* 1 & 11 sont équipées de :
- I départ 160 A protégé par fusible (3B0/220 V triphasé + noutre + ter re)
- 3 dépar ts S4 A protégée par fusibles (3BQ/220 V triphasé + neutre + t e r r e ) . Cos déporta ont été
remplacés par 3 départs tOO A protégés par des compacts W 160 dans lea a rmoi res 1, 2, B. Q, 10.
- G dépar ts 32 A protégés par fusibles (330/220 V triphasé + neutre + te r re ) .
- G départs 8 A protégea par fusibles (220 Volts onduleurs monophasés + tori 'c).
Nota ; l ' a rmo i r e 5 - 6 dépar ts 50 4 protégés par des cow pacta P 70 romp'jicant l e s S départs
32 A.
Chacune de c e s a rmoi res peut fournir la totalité de la puissance disponible s u r la
colonne montante correspondante soit 200 kVA pour le réseau tr iphasé 380/220 V, lea autres
a rmo i re s alimentées par la même colonne étant inutilisées.
Chacune de ces a rmoi res peut fournir la totalité de la puissance disponible sur le
réseau 220 Volts onduleurs, las au t res a rmoi res étant Inutilisées.
Armoi res 13 et 13, coffrets C l , C2, C3, C4.
Ces a rmoi res et coffrets ne délivrent que le courant secteur normal 50 Hz
(330/220 tr iphasé).
C l , C2, C3, C4 sont équipés de :
- S départe 50 A protégés par dos "compacts" F 50 (triphasé + neutre + t e r r e ) . La puissance
totale disponible sur l 'ensemble des coffrets es t de 200 kVA.
Les deux demi-armoires 12 et 13 situées au réseau 0 possèdent chacune S départs
1B0 A protégés par des "compacts" W 160 R (triphasé + neutre + t n r r e ) . Chaque demi a rmoi re
peut délivrer une puissance de 200 kVA.
3 2
IH. 1,2.2 - CtMratm do control»
a) CptfttUjt ieourif*. L M 18 ceffreta BOB! équipes de Ugnee ralléee iu central» général du réacteur :
• 1 ligne "anomalie"
• 1 ligne " b a l m de puliaanoe contrôlés"
- 1 ligne "ebuta i B.S"
- 1 ligne "chute 6 B.S"
• 1 ligna •uppltaontelre d'affectation indéterminée, pouvant mrvlr a traaanottre des Inforna-
Ucoa auppldmentairaa ;
. «oit de l'expérience vara la contrôle général de la pile,
. sett da contrôla général du réacteur vers l'expérience (eaewnlo : preaence du F coeur
ou du I* platine),
M£uffi«Sa.T.Ç_M.S.
• coffret* 201» »21Ba *n anealuta dtanche, raccordement possible de f
10 voici loglquei
21 vole» ennlogiojuea haut niveau 0 - ta V
42 voie» analogique» bai niveau D - la mV
va 0 SO raV
• coffrete 318a et 2tTa galerie couronne niveau 0
10 volée logiquei
IS volea analaglquaa 0-10 V
SO raiea analogiquaa 0 - 10 « V
ou 0 - 80 raV
• coffret 218 a galerie couronne niveau . 4 m
S volée loglojoei
30 vole* analogiques
a)Çeg*«ta_£.p.J! • niveau + 4 m 1 «otfret comportant 150 vote* analogique» 0 -10 mV
• nlfMu d 1 éditent comportant ISO voles analogique* * - W mV
• niveau - 4 m 1 coffret comportent 100 valsa analogtuutja 0 50 mV
m,1.2.3-Platr4butlondailtt ldea
al AlrçofopMinÊ
L'air comprimé eat fourni par laa S e r v i e » Généraux du Centra. Il art daaaoabé
• t déatwlH. Un» station *» gâterie couronne permet de remplacer l'alimentai)oo du Centra loraqua
ceUe-ci est défaillante. La pression «at de S bare «t la débit de T.S m S / m n t u s conditions
normale* d'aspiration.
L'arrivée eat équipée d'un raccord rapide.
WEeujJe v lUt
L'eau de villa est fournie oar lea Services Généraux du Centre,
33
L'arr ivé a est équipée d'un robinet ft bec fileta situe au-dessus de l 'entrée de
récupération des eaux actives, débit possible : 200 1/h.
c.) Eaujndjia^rlelle.
L e circui t de distribution es t alimenta par le ballon B 51 instal lé nu niveau + S
de l 'enceinte étanche. Le re tour s'effectue obligatoirement à la bouche du réfrigérant OSIRIS
le M * utilisable es t de l ' o rd re de 7 m.
Le ballon B 51 es t rempli par le reseau de distribution d'eau industrielle du Centre.
En cas de défaillance de celui-ci , le ballon B SI est rempli ft par t i r du circuit de refroidissement
secondaire du réacteur par des pompes de releva go a démarrage automatique.
Les raccord omenta sont effectués par raccords rapides pour les petits et moyens
débits .
Les débite possibles sont :
- petits débita : 0,6 m 3 / h à 2,4 ra3/h selon les postes
- moyens débits : 6,5 à 12 ra / h
- gros débita ; 100 m 3 / h
De toute façon le débit total de touo les postes réunis ne peut excéder 100 m /h .
Les caractér is t iques de l 'eau Industrielle sont on général dans Us limites su l -
- TH 25,2 a 37, S degré t i t r e hydrotimétrique totnl
- TA 0 degré t i t re aieallmétriqué
- TAC 14 ft 19 degré t i t r e alcalimélrlqua complet
- THp 11,3 ft 12, B degré t i t r e hydrotlro étriqué permanent
- C a + + 21 a 2B degré
- Mg 3,8 & 0,8 degré
- Cl" 30 ft 42 rag/1 chlorures
- PH (potentiel hydrogène) 7,3 a 7,8 degré
- Matières organiques en solution 1,2G ft 2 ,3 mg/1
d] Eau_déminé_rall5ée_
Le circuit de distribution eat alimenté par le ballon Br 7 situé au niveau + 8 m de
l 'enceinte étanche. Ce ballon est lui-même rempli par la station de production d'OSIRIS..
L 'a r r ivée es t équipée d'un robinet & bec fileté situé au dessus du bac de récupéra
tion des eaux actives.
ID. 1. 2. 4 - Effluents
La récupération des eaux actives se fait par l ' Intermédiaire des éviers en matière
plastique dont l e s écoulements sont raccordés ft Bf 3 â - H m.
L'utilisation de c e s éviers doit ê tre restreinte et limitée au rejet d'eaux actives
ft l 'exclusion d'eau de refroidissement.
34
- Eçnuent»^Hg(3u*«
Lss éviers du type "bénitier" ainsi quo I M canalisations sont «n sc ier Inoxydable,
Les écoulements sont raccordés a. la biche BY 13 d'OSIRIS ; ti l loot destinés « w t i i a chimique*.
- Effluent» j a s e u x
Les effluents gstens sont rejetta dans 4 M saines en pew *t sont achemina hisau'au
niveau - 4 tu «Je la ft ierie couronne. De la, il y a deus possibilités :
- l e r s nonaibUlté t raccordement direst dans la gain» de ventilation générale, en amont des
filtres généraux d'OSIRlS. Le 4 P utilisable es t de l'ordre de 30 mm d'eau. Ces raccordements
peuvent être «tai iés pour l e i rejets d'efTlutnta gazeux ne présentant pas de risque notable de
cantaaUtiMkM, ni d'activité ctdmlçue susceptible de nalre aim canalisation! en pcv ou aux filtre•
a charbons actifs.
- 2emo possibilité : (la plus fréquente), raccordement, au moyen d'un ventilateur a un réseau
o S tubes Independanti en pov dont les rejets sont effectués A différentes hauteur» dons U cheminée
d>GSIRIS.
H est alors obligatoire de prévoir un système de filtration et un contrôla de depres
sion en amont dee raccordements du poète tipérlmantateur. Le type d* filtre A prévoir eat de fini
lors de l'asameo du projet de l'expérience, Les ventilateurs actuellement en place ont laa carac
téristiques sulvantos :
Ventilateurs type PB 160
Débit : lBDt» 9 /h
Hauteur manométrlque : HO n m c E
fttiesancs du moteur ; 1, S CV
Vitesse : i 880 tours/minute
La perte de charte des lignes étant voisine de 60 min. ta ù. p disponible su point
de raccordement est do l'ordre de 80 ans cE.
I I I . 2 - LES COMMODITÉS D'EXPÉRIMENTATION APRÈS IRRADIATION.
m. 2.1 - .TRANSFERT ET STOCKAGE - LES CANAUX
Les expériences irradiées sont stockées ou transférées sous protection d'eau.
Poor ceci, trois canaux communiquant v a l x a 9 U X rtuaj,»,^ u . piscine OSIHJS, U
piaclna ISIS et le bâtiment "ateliers chauds". Ces trota canaux psuvent l ire isoles par dea brtar-
deaux. Wacteur on nulaaanea la couche chaude s'établit dans l e s canaux I et II assurant une
protection auffusnls.
La profondeur des canaux est de T a s t r e s .
Le «tneisge soi réalisé en acier noir peint. Ceci «bliss ds stocker l e s éléments
très actifs à une certaine distance des parois de l'ordre de 0,T A i m .
35
Des chemins de roulements ire merges , installés BUT le coté Sud du canal servent
au cheminement du convoyeur principal [voir III. 3, 2). Ces chemins de roulement sent Interrompue
ou droit des batardeaux,
tH. 2 .1 .1 - Canal n* 1
Le canal n ' 1, situé au Sud de la pli cine permet le t ransfert d'éléments, i r radies
depuis la piscine vers le bâtiment atel ier chaud.
H peut ê t re isolé de la piscine par le batardeau r.* 1. Coté atel ier chaud. 11 peut
ê t re isola dit canal n* 2 par la batardeau n ' 2.
La la rgeur du canal est de 2, S m.
A l ' intér ieur du hall pila 061 RIS le canal n* 1 es t muni d'éléments de platelage
•ituéa au niveau - 5,7 m. Le rfile de ce platelaga es t de permettre le stockage et la pose d'objeta
divers tela que des paniers ou des râ te l i e r s , malgré la présence au fana du canal de nombreuses
tuyauterie* : collecteurs d 'entrée coeur, entrée piscine tubes hydrauliques et pneumatiques.
Le platelage admet une charge maximale de 1 T/ra sauf un élément spécial r en
forcé par une plaque pouvant recevoir un chateau de plomb de 4 ,1 T.
m . 2 . 1 . 3 - Canal n* 2
Le canal n ' 2 fait suite au canal n* 1. Sur Bon cote Nord 11 posabde un appendice de
2,4 m de large et de 3 ,5 m de longueur, pénétrant dons le "bloc cellules chaudes" et dont le rOle
es t de permet t re l e s t ransfer ts an cellule.
Cinq chass is de stockage, boulonnés au fond du canal, peuvent recevoir chacun
10 paniers de 6 éléments combustibles ou éléments de contrôle,
La capacité totale de stockage en canal est de 300 éléments.
L 'extrémité supérieure des chassis de stockage, située a 1,9 m du fond, la isse
donc pour lea t ransfer ts une protection d'à feu de 5,1 mè t r e s .
A l 'extrémité Nord Eat du canal une plateforme peut supporter des chateaux
pesant Jusqu'à 25 tonnes, ut i l isés en part iculier pour le t ransfert d'éléments combustibles i r r a
diés.
Le canal n* 2 peut ê t re Isolé du canal n* 3 par le batardeau n" 3.
m . 2 . 1 . 3 - Cana ln T 3
Faisant suite au canal n* 2, i l permet l 'acheminement des matériaux I r radiés ,
éléments combustible» ou dispositifs expérimentaux, ve r s ISIS ou inversement.
n i . 2. 2 - CQMVQVEUH PRINCIPAL
Le convoyeur principal permet le transfert de dispositifs expérimentaux et des
é léments combustibles dans l e s a te l ie rs chauds e t ve r s ISIS.
3»
Moots en porta a faux am* l e s cantos H j e déplace a, U vitesse da 0,1 m/ssc sur
les chemin* de roulement décrit» en IU. 2 . 1 , an moyen d'un moteur slectrhjue alimenté par
4 prises situées :
1 dans lo ball OSÎH1S
1 dana le hall «teller* cbaitg'a
1 dena le tell ISIS
Lea galets aent doublée pour permettre le franchisa em a nt dea discontinuité* dos
rails au droit des batardeaux.
Une command* manuelle àt dépannage existe.
Ce convoyeur possède deux supports distinct» :
a) un support de boude constitué pur un berceau horizontal de longueur 1 m et de largeur utile
0,21 Ei situé 4 0,3D m de la surface do l'eau. 11 «#t conçu pour supporter le décrochement bio
logique des dispositif* expérlmcnteus. Ce support, dont ! ' • » est éloigné de 0 ,1 m do la paroi
Sud du canal peat admettra une charge maximale de 1 DM daN.
Une fourchette do guida go, Immergée empacho un balancement latéral trop impor
tant de» dispositif» transport*».
b) deux "supports de perches" situés respectivement A 0,10 at 0, BO m de l'eut et distants do 1 n
de la parol Sud du canal. Ces supports peuvent recevoir des dispositifs pèsent Jusqu'à 730 dsH.
IU. 2 .3 - LES CELLULES CHAUDES
UI. 2.3.1 - Ponction.
Les deux cellule» chaudes d'OSlRIS. d'une capacité ds 100 OD0 ourlas de Y de
1 MaV, sont destlnéee au démantèlement des dispositifs expérUosntsua. en vue ds séparer Iss
échantillon! Irradias des atrucluree ayant servi 4 faire l'irradiation, Ces structure», suivant
lea cas, pouvant être réutlllaées en étant rechargées par d'autres échantillons, ou bien être
déctmpéce et conditionnées pour évacuation aux déchets aetlTa. Las échantillon» récupérée aont
expédiés s a s laboratoire» specialises poor las examens poet irradiation». En effet c e s examen»
ne Boni pas normalement prévus dans los cellule* d'OSIRIS.
Pour certaines expériences conçues A cal «fret, 11 est possible d'effectuer des
déchargements et rechargements de dispositifs en échantillons vierges on irradiés.
IU.3.3.2 - Situation
Les cellules, situées dans le bâtiment "Ateliers chaude" d'OSÎRB, au Nord du
canal a* 3 eotacenatUués d'en bloc de béton décrit « l u l l . 3 .3 .
Au Word de e s bloc "cellules" un espeo» libre de S, S » œ entre 1s face arrière
des cellule» et le mur du oa&ncnt joue le râle de "sans arrière" pour les mouvements de cha
teau* de transfert : i l permet également l'installation d'une enceinte, amovible légère «t trans-
parente mis» an dépression par l'Intermédiaire de l a porte arrière .d'une cellule, lorauue ce l le-c i
eat ouverte. Cette disposition • pour but de diminuer les risques de contamination a l'Intérieur du
37
bâtiment "Ateliers chauds". Le Suit de cette zone comporte de plus les trappes de passage des
caissons de filtre de u-. ventilation nucléaire générale.
Au Sud du bloc "cellules" une passerel le de 2,40 m de largeur, en surplomb sur
le canal n* 3, ser t de plateforme de travail pour les opérateurs des cellules. Cette passerelle
admet une charge maximale de 200 kg/m . Elle est trÈs except tonnelle m ont démontable en cas
de gros travaux dans 1? canal .
L'ensembl? du bailment "Ateliers chauds" est desBervj par un pont roulant de
force 250 kK et deux Coin *0 kN dont la hauteur BOUS crochet es t de 17, 5 m.
III. 2 . 3 . 3 - Description générale
Dans loups part ies basses les cellules sont constituées de doux russes disposées
de chaque cOlé de l'appendice du canal 2 décrit dans le paragraphe III. 2. 1.
Au fond de c e s fosses, un cuvelage on acier inoxydable récupère les eaux actives
des cellules.
Une troialâme fosse existe à l 'Est de la cellule n* 3 , mais celle-ci est limitée
entre les niveaux - I r a et - 4 m. Prévue initialement pour recevoir éventuellement une t ro is iè
me cellule chaude elle se r t actuellement aux opérations de nettoyage et do séchage du chateau
d'axp4dltion dos éléments combustibles.
C'est dans cette fosse que débouchent les tuyauteries de vidange des deux fosses
normales .
Dans leur partie supérieure les cellules sont constituées d'un bloc parallèle pi pu
dique de dimensions :
hauteur 8,3 m
longueur 11,1 m (Est-Ouent)
largeur 4,9 m [Nord-Sud)
L a séparation des deux cel lules es t effectuée par un mur commun suspendu dont
la part ie inférieure s 'arrBte il 0,5 m en dessous du niveau de l'eau . de même que la portion du
mur Sud située au dessus de l 'appentie du canal .
L(j toit des cellules es t réal isé entièrement avec des dalles amovibles présentant
des décrochements pour éviter les fuites.
pijp^nsipns_Inté_rie_urB£
- Fosses [de - 7 m a - 0 ,2 mj : 2,25 m x 2,10 m
- Part ie basse (de - 0 ,2 ft + 0,80 m)
. zone de travail : 3,00 m x 2, S m au dessus de la fosse
. zone du canal Intérieur : 0,60 m x 2,30 m départe de la zone précédante
par un muret de 0,15 m d'épaisseur
- Pa r t i e haute (de + 0, B à + 7 , 3 m ) section : 3,75 m x 2,50 m Jusqu'au niveau + G m au-
dessus , un élargissement de 0,20 a, 0, 30 m
permet d'augmenter le champ du pont roulant.
38
m . S. S. 4 - Accea at covertures.
a) Çengeyaçr. IlfiSiHis!!
L'accès A l'intérieur des cellules pour l e e expériences a i t fait per l'intermédiaire
d'un convoyeor immergé suspendu A deux rails fixés «eus le mue commun dea cellules et ae pro
longeant «era le Sud sous ta plateforme de travail.
Le eorpa de ce convoyeur est en acier ctotr peint. De chaque coté de ce oonvc?eur
peut étro accroché, eur deux tetona, un aupport amovible.
Ce aupport amovible eat aoostttué d'une plaque intermédiaire en acier Inoxydable,
eur lequel peuvent être boulonné* divers berceaux eelon le dispositif A transporter :
- "aupport do bouclée"
. "support de perehes"
> "support de chateau"
- tout autre berceau, adapté a une expérience particulière
L'ensemble du convoyeur aat mfl grace a on treuil manoeuvré par une manivelle.
Lee poulie» - • renvoi eont fixées sur on chariot aupperté par lea m i n a s rai ls que le convoyeur.
Ce chariot eat Moqué au Tond ds l'appandlee <lu e»nnl n* 3 par un eysteme de barres.
Cet ensemble permet le démontage i dut «ne» dea c able a de manoeuvre peur effec
tuer le remplacement.
La f a n e du convoyeur "cellules" ost de 820 daH en position "aupport de perche"
et de SSÛ daH en position "aupport ds boucle".
ùl gaj d/^r^Kti^etjanalJnjejJiejr, Une ouverture Bit ménagé* dan* la partie du mur Sud altude au-desaus du cnnnl
n* 2, de chaque cMd du mur de •eparattoo.
Cells ouverture de largeur 0,30 m e t de hauteur Q,?0m au-doseun da niveau de
l'eau eet obturée a chaque extrémité par dea portes an plomb, manoeuvré*» au moyen d'un aye-
tame de ciblée avec poulies de renvoi par un treuil situé sur la face flud des cellules.
L'espace coin pria entre cea deux portes, correspondant A l'épaisseur du mur soit
1,20 m, tonne us s e s et permet d'iatrodtU» «n eellsle dsa expériences dont In tête m peut «tre
immergée, tout en conservant uns protection v is -a-v is du rayonnement provenant da l'Intérieur
des eelluîoe et en y maintenant m dépression.
Un dispositif de verrouillage électrique interdit U montée d'une dee portée lorsque
1'antra n'est pas en position b u s e .
Ces portas sont manies d'un système "parachute" en cas da rupture du ««tue de levage.
Le positionnement du convoyeur & l'intérieur fia sas eat effectué "à vue".
Le convoyeur ««ensuit» acheminé dans le canal intérieur, de largeur utile 0,420 »
D e l à , su moyen ou mteropontVL 1000 et dea manipulateurs (voir l e paragraph»
m . 2 . S. S.d) l e dispositif tranaport es t repris e t amené a. l'Intérieur ds U Bone de travail.
Le canal Intérieur pent être obturé ,-nr une trappe lorsque les manutentions sont
terminées, *e façon A éviter la chute Intempestive i objets au fond du canal.
3 9
Pour pouvoir ê t re introduites en cellules, les experiences doivent donc pouvoir
s ' insc r i re dans un parallélépipède de 5,800 m x 1,100 m x 0,420 m et être entièrement immor-
goables. Dans le caa contra i re la partie non Immergable doit avoir une largeur au plus égale
il 0,290 m (au lieu de 0,420 m) el une hauteur Inférieure o 0, BDD m.
c) PSTÎp j i r r i* ro .Ç t i a rmsL
La paroi Mord comporte pour chaque cellule une ouverture de 1,30 m x 2 m, fer
mée par une porte roulant aur des ra i l s . L'entraînement cot effectué par manivelle. Ces portes
constituent l ' accès normal dos cellules lorsque celles-ci ne sont pas on fonctionnement.
Chaque porte, formée d'un cuisson métallique d 'épaisseur 1,20 m rempli de be ion
lourd, possède une ouverture cylindrique de diamètre utile 0,300 m. Cette ouverture ser t au
t ransfer t des échantillon* dans les chateaux horixontaux de transport.
En dehors de ces opérations, ce ponçage est obturé par un barillet. Celui-ci est
constitué d'un cylindre a axe vert ical rempli de plomb présentant un orifice de diamètre 0,300 m.
Cet orifice peut fltre placé dans l 'axe ou au contraire perpendiculairement A l'axe do passago dans
la porte par une rotation de 00' du baril let manoeuvré au moyen d'un levier extérieur.
d) DalleH_dejoit_
La *olt est entièrement formé de dalles amovibles. Des décrochement et des clés
en fonte ompOtlient lea fuites de rayonnement ; l ' o rum do re t ra i t dea dalles n'est donc pus indlf-
Ces dalles présentent dos ouvertures , formées normalement par des bouchons.
n y a ainsi par cellule :
- 1 ouverture cylindrique (I 0,400 m
- 1 ouverture cylindrique 0 0,700 m
- 1 ouverture c a r r é e 0,800 m x 0,600 m
L'ouverture cylindrique 0 0,400 rr, s e r t en particulier ù l'évacuation des déchets
actifs par l ' Intermédiaire d'un "chateau poubelle".
e) Four.reauj
Il y a au total une cental tir- d orifices cylindriques t raversant les murs et en par t i
culier les murs Sud.^Ces fourreaux servent aux diverses liaisons nécessaires intérieur et exté
r i e u r des cellules. On peut c i te r en part iculier :
- les passages pour manipulateurs légers
- l e s passages pour t ransmission d e s commandes (mécaniques e t électriques) des ponts UL 1 0D0
et des manipulateurs lourd a TE 812
- l e s passages pour l e s périscopes "CLAVE"
- les passages pour les c&bles de levage des :
. portes in tér ieures des s a s d'introduction
. t rappes du canal Intérieur
. t r appes du caisson ftltre
- les passages pour lea cables électriques des fins de courses et des signalisations
- les passages d e s commandes é lectr iques , pneumatiques e t hydrauliques des machines outils
installées
40
- e t a . . . C»a fourreau* «ont obviréa per dee boochona adapta* aux liaisons existantes.
Une ouverture spéciale permet l'introduction dam abaque cellole de petit* objets
oui arrivent sur le plan de travail par l'Intermédiaire d'un toboggan.
Cette ouverture eat fermée de l'extérieur par un bouchon monté sur des bras
articulés.
Une ouverture a cte aménagée dans U face Eal 'le la cellule n* 2 en prévision
d'Implantation d'une troisième cellule.
Des passages de 0,6 tn x 0. B m, ménages dans le mur Non) au niveau - 2, a m
permettent un accès éventuel dans les fosses lorsque l e s équipement» restent en place.
Cas passages «ont obturés par des briques de plomb.
U) Jranafej't
Une ouverture de section circulaire, percée dans le c u r commun BUS deux cellule»
ot munie d'un système de gllailéros g i g o l o s , porta cl 10 tranafert entre lo« deux colluloa d'objets
pouvant a'icaciirc des» un parallèle plaide do dlmemiona * B ? > B 7 x l l D D , correspondant par
s sein pie a. une boite ft eau d'OSmiS,
Ponr garder la protection et l'indépendance entre les cellulos, cette ouverture peut
être obturée de chaque cOté, par des bouchons en forme de galette*, guidas par des rai ls verti
caux. La manoeuvre de c e s bouftnone eat effectuée «u moyen de l' UL. 1000.
111.3. S. 5 - Equipement! généraux de» caHulea
H ) Plancher^tltérijuri pujtl Bt patte m
Ue plnoehar est constitué de doux caJasona métalliques nervures »'appuyant sur
les feuillures de décrochement des murs au niveau - 0,20 m.
D peut supporter des charges de 500 kg/m , Un emplacement peut recevoir un
chateau de 25 KN.
Ce plancher supporta deux puits en soler Inoxydable de longueur 4 ,5 m , :
* l'un de «es puits appelé "puits de tronçonneuse" a une section circulaire da «3D ton» de
dlauctra.
- Vautra puits, appelé "pulta de défilement dea boucles", a une section rectangulaire de
300 mm • TOO mm. H permet le défilement d'un die positif de tagon A amener la te te de aeluf-cl
au droit du hublot et dans la sens de travail des manipulateurs.
Une gatte en acier inoxydable recouvre le plancher interleur et , en jonction ave"
les pulta. permet la récupération des eaux actives et leur envoi au fond de la fosse grabs aux
pointa bas don puits (paragraphe m . 2 . 3 . 3 ) .
H se compose de deux eadree métalliques en acier donc reposant sur des consoles,
il est r sa ouvert de dtdlea amovibles constituées de tolas d'acier inoxydable rivées
sur des cadres en acier doux.
Des trous, obturés par de petits bouchons, permettent la, préhension de c«s dallée
au moyen de poignées amovibles. Certaines dalles sent adaptées aux équipements et possèdent
les moyens de fixations de ceux-ci.
La surface de travail est a 0,80 m ou dessua du niveoj zéro,
< ! JWoy^rLBjl^obBeryntlpn
H B'agit tîe l ' eUai rnge , du hublot d'observation et du périscope. Véquipemeut est
Identique pour chaque cellule.
L ' éclair age : ïl es t réal isé au moyen de bouchons porte-lampes traversant le
mur Sud, pouvant Être extraits de l 'extérieur des cellules.
1.0 hublot d'obgnrvation ; Ce hublot de fabrication St-Gobnln. s* pour dimensions
utiles : 0 ,1 m i 1,040 M.
Il est constitué do quatre dalles en ve r r e nu plomb
cl' une épaisseur totale de 1 ni,équivalent du point .\o vue protection a un mur de béton de 1,2 ni,
Los dalle» extér ieures sont protégées dos chocs par des glaces en ve r r e trompé
d 'épaisseur 12 mm, amovibles, Les Intervalles entre dalles sont rempli s d'huile cBté oi tér le i i r
et , ve r s l ' in tér ieur , d ' a i r s ee , qui peuvent fitre rejouveléa faetleiMcnS,
Entre les dal les et lour loge m on. l 'étonchéiti aux rayonnements est réallnéo par
de la laine de ptomb tataêo,
L» perlioope "CLAVE" : Il permet des observations do détail :
- l ' imago obtenue peut fltre photographiée
- la mise au point est possible <'.- 0, Su a G m
- le champ total do l 'apparei l est de 180' {par "balayage")
- il y a quatre grossis aetn enta de G = 1, S (champ de 3D*) a
G "12 (champ de 3,76")
Son emplacement normal est dans !a face Sud des cellules. Cependant 11 peut ê t re
monta dans «n fourreau du mur Nord, alise en face du canal intér ieur .
Le b r a s , vert ical lorsque le périscope est en service, peut être CRcamotû en posi
tion horizontale pour dégager Je hublot.
Il s 'agit, pour chaque cellule :
- du micropont UL 1000
- au manipulateur lourd T S 612
- des manipulateurs l ége r s CHL
Mteresarit BRTK type UL 3 08B ; Sa force eut de 30 KN,
H «si constitué d'un chariot de translation (sens Es'.-Ouest) se déplorant sur deux
r a i l s , ras pur s a meUur électrique situé à l 'extér ieur et transmettant son mouvement par l ' in te r
médiaire de cadrans , pignons coniques et d'un s rb re c a r r é , a un galet et â un pignon d 'entraîné-
ment prenant appui sur une c rémai l l è re , n o i ls te une commande manuelle de dépannage.
Sur ce chariot de translation rouis un chariot de direction mû également par un
moteur électrique mois celui-ci est place s u r le chariot.
42
Ce chariot de direction «apporte ID "groupe de levage" qui peut facilement être
enlevé par le haut.
La commande eat effectuée au moyen d'une bone à bouton mobile située ft l'extérieur.
Un synoptique Indique a tout Inalant la position du micropont.
La hauteur M U S crochet au-de*aua du pion de travail eat de 6 O mata la courac
totale eat de 9 m.
Tel t muni pointeur lourd E R T M type TE BIB : Sa force eat de I 000 dBK a
04 DO m de l'axe du fllt (lorsque le brus cet horizontal).
Lorsque le brne cat dans l'axe du fllt sa force eat de 4 000 dsN.
Il eat constitué d'un chariot do irnnalatlon «c déplaçant sur deux rai ls , analogue
ou chariot do translation do l'UL I 000, mala sans crémaillère. Sue ce chariot de translation
roule un chariot de direction.
Co dernier supporte un fût vortical téloicoplque muni d'un "bras articulé" termina
pur une pinça.
Les ctorlots do Iran»lotion et île direction sont mus pur de* moteurs extérieurs
aux cellules. Cas moteurs Iran s mettent leur mouvement par un système d'arbro de transmission
A b»rro carrée et renvoi par cardan et pignons coniques. Il existe une commanda mnn.iello do
dépannage.
Les autres mouvements sont effectués au moyen do moteurs électriques Situés
(Innn lo tolcmonlpulatcur lui-même. Lo icrrago de la pince est pneumatique. La pression est
fournie par le réseau d'air comprimé avec un ballon do réserve en tampon. En cas do défaillance
du réseau, des bouteilles d'azote sont prévues â. poslo rixe pour assurer la continuité de l 1 Pli men
tation. Une alarme sonore prévient alors l'opérateur. La situation du TE G12 est Indiqué sur la
morne synoptique quo colle do 1' UL 1 000.
La commando do loua los mouvements est effectuée mir une boite il bouton mobile,
En eau do panne, l'ensemble ; fat télcacopiquc, avant-bras, poignet, pont être
extrait par lo haut. 11 faut pour cela que l'nvant-brns ffoit ramené dans l'alignement du fût,
La pince cet démontable et ro ni ont able û distance. Le contrôle de son serrage est
effectué grace A un manomètre situé cur la face avant de chaque cellule.
Le serrage peut Indifféremment être effectué :
• soit par pression continue sur un bouton
- soit nor imputaient : I Impulsion donnant la serrage, l'irapulalon avivante l e relâchant,
Télimanlpulaleur» légers C R L : Les quatre télémanJpulBteurs légers (2 par
cellule! sont du type Maître-Esclave C R L typa E.
lia eut une force en bout do pince de 100 daN.
lia possédant l e s trois mouvements en X, y , Z , commandé* électriquement.
• Mouvement Z attonfement du bras esclave par rapport au br^a martre
- Mouvement Y Inclinaison différent du bras esclave de cel le du bras maître
• Mouvenunt X rotation de + 10* du brsa esclave par rapport à 1» position du taras maître
Ces mouvement» combinés pertnellenî d'accéder a loua l e s points du plan de
travail s moins, bien entendu, qu'il n'y ait un obstacle.
43
c! Yentllatior.çt_filtration.
Le circuit de ventilation ilea cellules assure \ l ' intérieur de celles-ci une détirra-
slon de 10 mm cE empêchant toute fuite de peusa l i res ou gai actifs A l 'eut*rieur
Porté a r r i è r e fermée, un débit d 'air d'environ I 300 m 3 / h dnni elinquo collulc
entraBie un taux de renouvellement horaire de 48 sauf dani certaines (ones mariea, en particulier
dans le haul, au-dessus des fil 'rea d 'ent rée . où ce taux tombe A S.
Lore de l 'ouverture du bari l let , la sltcsao de l 'air dans celui-cl eat I, 5 m/a . l'or
contre , lo r s de l 'ouverture d'un trou de dalle de toit la vitesse de l 'a ir dana celle-ci eat de
1,2 m / a , a cnnditlon que la perte a r r i è r e sait f o r m i c
Porte a r r i è r e ouverte, dea regis t res automatiques font pnaacr toulo la ventilation
des atel ier* chauda par le circuit dea cellulea et le debit atteint alors 7 300 m /h . La vite M au do
l ' a i r dana l ' embrasure de la porte a r r i è r e est supérieure a 0, 5 m / i .
L ' a i r entre dans chaque collulo par des orifice» de fi 2DD mm munie do flltroa
Schneider . Poelmann en papier amiante AZ d'efficacité 07 • / . .
Il cat r e p r i s par un caisson situa a l 'extrémité du canal Iniéricur, Miré HUT tli'u
p re ' i l t r e s Schneider-Pool m ann en papier amiante PD d 1 efficacité 00. QS ' / , , put* l ' a i r eut achemine
ve r s lea (l i trea généraux en papier amiante d'efficacité 00,OB • / . .
Il eat enauite refoulé dans la cheminée au moyen dcn ventilateurs d'oxlrucllon
d'OSIRIS.
En aval dea fi l tres généraux en papier amiante, i l est possible d' installer, si loa
ralques dos travaux effectués en cellule l 'exigent, dea filtrea A iode constituée de 32 cartouches
a charbon CECA NC 8.16.
H a 'a j l t uniquement d'une chamhre d 1 Ionisation do type MX 32. Cette chnmliro,
mobile, permet de connaître le rayonnement ambiant dana la cellule d'une part et d 'autre part
de connaître l ' o rdre de grandeur de l 'activité dea matériaux à évacuer.
L'Indicateur eat constitué par un gslvanomÊtro eltué au-deasus du hublot. Lea
valeurs aont également enregis t rées eut- un MECI dana le bureau des opérateurs dos cellules.
Ill , 2. 3,7 - Equipements part icul iers de la. cellule n* 1 (cellule OueatJ
Cette tronçonneuse vertlciile eat cooatituée d'un bâti de 1,83 m de hauteur, suppor
tant deux mandrin a, et d'un bloc porte-fraiBe monté s u r un char iot permettant divers mouvements
Le mouvement de translation t ransversa le peut être couplée à la rotation de la
fraise sc i e .
Tous cea mouvements sont effectués au moyen de moteurs électriques démontables
à dl a tance,
L a hauteur sous crochet du pont UL 1000 au-deaaua du mandrin supérieur es t de
3 BBS mm.
Le porte-frai ae peut ê t re pivoté de 00" et même 180" au moyen, d'une commande
manuelle [élémaolpulable. H eat donc possible de tronçonner longitudinale ment, voire d'effectuer
dea "fenêtres" dans une paroi .
44
Lu (roue peut facilement être changée a distance. La cote d'approche minimale
de la fraise pur rapport au mandrin Inférieur est de 175 mm. en poil H On de coupe dont un plan
horlionto] et de ÏM mm on position de coupe dans un pion vertical.
Le serrage des mandrins cat ofJrctuo par l'Intermédiaire d'un petit m pleur élec
trique Indépendant, Seul le mandrin Inférieur peut e t w bloque directement au moyen d'un tele-
manipulateur léger.
Lorsque le tronçonnage cat effectue en utilisant lea mouvements de translation et
de rotatif», lea mandrin» peuvent cira Immobilises grace a un Indexage, tous lea 15'.
L'ouverture dea mandrins es t centre sur l'axe dea puits de tronçonneuse. Ce puita
eat équipe d'un systems élévateur permettant de monter grace ft 2 via sans fin. une crapoudine
destines a recevoir la pied d'un dl«positif a découper et un petit bac a copeaux.
L'uanchôlto entre ctt bnc ci l'ouverture du puits «si réalisé pai un aoufflet en
matière plastique,
bl £tau rnieono-h^drauUqu^
n permet de maintenir doa digpoalttfe posent jusqu'à S?0 daN.
• Force do Barrage doa mâchoires : 80 KH
cl Ssi'î.'lf'ffi'JPil Cent une sole Agathe A. archet de guidage montée sur un berceau basculant par un
vérin. Elis peut foire des coupes sett horizontales soit verticale* d'objets maintenus, dons mi
M dessus du puits de dlpllemcnt del boucloa.
d)BneJl_eDpjoûJiX£tJiaçono_dj r<JpujrfrfllJDn_
Le puits do defilement est muni nu fond d'un dispositif formant entonnoir at abou-
tlaeant auncnneelje de récupération dos objets, cette nacelle peut être remonlfs au moyen de
ftflbles et d'un pal«niil>r.
Les copeaux provenant do la sc ie Felw peuvent dire réouperés dans un bas a
copeaux, obturant te pulti da défilement.
•ISfSJfeJlSJ. Une cisaille nyorovlloua, de force 100 KH permet le découpage rapide dea tnbea
de diamètre : La commando est effectuée au moyen d'une pompe o pied a simple effet,
1U. 2 .3 .3 - Equipement» partie alitera de la cellule n* 2
Cet équipement a pour role :
- d'ouvrir aoua huile lea conteneurs étanches rempila de NaK
- d'effectuor la vidange du JtaK
- de nettoyer l e s «chUnUlen*
- de neutraliser 1» HOK
- de sortir ]«• échantillon*.
LE eontecaur est place dans l'étau.d'une tronc onncuso verticale a disque abrasif,
au-deesus d'un wi t s traversant lo plan de travail et ccatenant de l'huile de vaseline. Une petite
pompe électrique reprend cette huile Et la projette sur la coupe effectues, de toeon a éviter l'oxy-
45 dation pnr l ' a i r du N'nK et Bon inflammation.
L'étnu, mobile par rapport a I'EXC àv disque, t-st avancé grace S im cott* repaid*
don: In position cat réglable pour faire var ier In pression.
I-oraque le conteneur cai découpé, l 'extrémité ouverte est obturée |«ir ira botK'lwii
spécial ser rant la surface extér ieure du cyllni!.-o. Ce bouchon est équipé d'une petite vnnnr.
Le conteneur peut olora ê t re retourné pour effectuer In dé coupe de l 'extrémité
opposée.
Cette extrémité cai olora Également obturée avec un bouchon nnnlocue au premlr r
mnis équipé d'un raccord rapide nu lieu d'une vanne.
Un jeu de 8 bouchons permet le traitement de conteneurs de dtmuMruo vnrmbk-H
entre 23 et 3G, 5 mm.
L'ensemble est a lors t ransporte dnna le pat de neutralisation de NnK,
Celui-ci. constitue d'un cylindre en nef o r inoxydable de dïumetre ink roe 3)0 mm
est place dans une chaussette de dinmttro 221 mm c. de longueur l.lVn m Iravcrsnru le plan de
t ravai l . 11 l 'eraplacomeni du puiia de tronçonneuse.
Ce cylindre possède dans sa partie supérieure ;
- un raccord rapids , branche s u r l ' a r r ivée d'argon pour le baïitvBjje
- une Hortlo, rel iée a l 'entrée des prcflltrce pour Vevacuation de l'hydrogène formé pnr In réaction
. on raceord rapide pour le remplissage on alcool mûfhyliqae du bac
- un raccord rapide relié eOté bac b, un tub" plongeur cl c6té eirtéricur A I'nuplrntlon d'ime pompe
de circulation d'alcool.
Le bac ont formé par un couvercle muni de :
- un diBpoalliï d 'accrochage peur recevoir un panier do neutralisation de potlIEB pieces
- un raccord rapide auquel peut être connecté d'un eûté le bouchon supérieur du conteneur étnniliu
et de l 'outre cité :
. aolt l 'ûrgon, dont In pression permet de "chooser" le NnK dnia le bnc
, Doit le refoule mont de la pompe de circulation d'alcool pour nettoyer les échantillons et
effectuer la neutralisation
- une tige de commande d'ouverture de la vanne de l'embout inférieur du conlencur, de façon A
vidanger le NoK dans le bac,
A l 'extrémité inférto'tre du bac une vanne protégée par un tamis , permet d'effec
tue r l a vidange de l 'alcool et dea oîcoolates formés lorsque î a s é r i e de mnIra»Bâtions eat termlnC-i-.
La capacité du bac est de 35 l i t r e s . Ce volume permet fle neutraliser une quantité
maximale de S8G g de NnK.
Hors cellule, l 'Installation comprend :
. un bfcc fa rampîiBsage de 30 l i t r e s avec une pente pompe de refoulement
- un jeu de deux bouteilles d'argon pour a s su re r ;
. d'une pa r i ï a "ehasae" du SoK
. d 'autre part une couverture de gaz Inerte au-dessus de l 'alcool au moyen d'un "balayage"
continu,
b) AutrjiB é.quljpe.raen_ts
En pais de cet équipement la cellul*: n" S posaMe :
46
- una claoilln hydraulique de 100 daN • un ttnu tafconu-hydraulique, identique ft celui de la cellule n* 1
En démentant le matériel de ncntrallutlan, il eai ptwalble d'équiper la cellule n' 2 comme la cellule n* 1 ea Installant - une IrencMtncuse w n i o a l e ot son élévateur - une ecie Kelm.
IV- LES C IRCUITS D ' E A U .
IV. 1-GÉNÉRALITÉS .
IV. 1, 1 - CRITERES DE CONCEPTION
Los circuits d'oau dans leur ensemble, donc y compris Ion capacités, piscines
et canaux, avec lesquelles i ls sont en communication, ont été conçus et dessinés pour notiofalro
las deux crltfcres de sécuri té suivants, considérés comme fondamentaux :
1*- Astniror un re froid la Bornent toujours suffisant du coeur pour on éviter la fusion marne partielle.
Ce premier c r i t è re A deux conséquences :
a) la puissance calorifique dégagée par le coeur ne pouvant e t r s annulée instantanément, le
débit de réfrigération du coeur ne doit pas décroître trop rapidement Jusqu'au passage au
régime de refroidissement par convection naturelle,
b) le ilveou d'eau dons la piscine ne doit pas pouvoir descendra au-dossoua de la cote - 4 ,5 me
t r e s (la cote zé ro étant colle du trop-plein de la piscine), de manière à ce que la cheminée qui
surmente le coeur ne soit pas découverte et que le refroidissement par convection naturelle ne
soit pas contrar ia .
2*- Ne paa t ranspor te r d' importants vol .mas d'eau active hors de l'enceinte et une he, do façon a
l imi ter les r isques de'contamination extér ieure .
IV. 1.2 - CONCEPTION PRATIQUE
Lea c r i t è res c i -dessus ont été traduite dans la pratique par l e s dispositions fonda
mentales suivantes :
1*- Le système de réfrigération adopté est du type classique & deux étages de refroi
dissement par eau : la chaleur est extraite par un premier courant d'eau, dit pr imaire , puis
t r ansmise dans des éehongeurs à un second courant d'oau, dit secondaire, refroidi à son tour
dan a un réfrigérant atmosphérique,
47
48
Les circuits d'eau primaires ont ainsi pu ctro rddults en volume et , donc, plue
aisément disposés 4 l'intérieur de l'enceinte (tanche du réacteur.
ï*- Los portions de circuits extérieures A la piaolno et Aux canaux, at véhiculant ou
pouvant véhiculer leur eau au-duaaoua do la cote - 4 , 5 metres, tient dispos Sa» dans des oonspor-
tlmeats conilgas, «tanche* entre eux et vis-a-vis do l'extérieur jMqu'Ala cote - 4 ,5 mètre*, et
de volume au plug égal a celui de l'eau cortenoeden» le, piscine entre le» cote» 0 et - 4 ,5 retirée.
Cea compartiments forment ainsi avec la piscine et l e s canaux, un ensemble compact de rétention
d'eau (baptisé "bloc-«aux"), qui permet d'alléger l e s Glrculta d'eau primaire par suppression do
Sipheoe et casso-slphona d'un fenellonnemeiit parfois douteux, tout on évitant qu'en cas de rup
ture d'une tuyauterie quelconque, la niveau de l'eau dans la ptsetne puisse s'établir au-dessous
do la cote - ' S métros.
La salle dea mécanismes dos barres do contrôle, plaado aoua la piscine et suseop-
tlblo d'Etre noyén par aeelda.it n'échappe pas a cotte règle : alla ait Manche et son accAa se felt
par une chemines cgolamoot «tanche jusqu'à la cote • 4 ,S metres, qui débouche dams la premier
souB-ool do l'enceinte du réacteur.
La plselns, dont le* parois en baton pourraient dire fissurées, donc perdre leur
étanshéllé. en cas de forte excursion do puissance, eat intérieurement revêtue d'un c w e U g e on
acier Inoxjdobin calculé pour •« déformer sans s e deshtrer.
3*- Los pompai de circulation d'eau de refroidissement du c œ u r sont munies de vo
lante leur donnant une Inertia suffisent* ,-OMT qu'en cat d'arrêt, qui s'accompagne évidemment
d'un arret du réacteur, la déerolsnaace du débit soit compatible avec colle de la pulsianoa Jus
qu'au passage ou réflmo de refroidissement par convection naturelle.
IV. 1.3 - LES DIVERS CIRCUITS D'EAU
IV. 1.3.1 - Lee circuit» de refroldlsse-cent
OSIRIS possède trois circuits, primaires de refroidi Moment adaptes aux trois
catégories distinctes en leaeusllea on peut claiaer, d'ajn-es leur nature, leur emplacement et
lo i contingences d'Évacuation de la chaleur qu'elles produisent, las différentes sources existantes ï
- le coeur, a l'Intérieur de ion "caisson", d'une puissance de 70 MW, dont l'eau de refroidisse -
ment peut atteindre 1* temperature de 45'C a l'entrée et dolt circular entre lea plaquai des c l é
mente combustibles h la vitesse de 1 m/a au minimum, o laquelle correspond una part* de charge
de 1,3 bar.
- l e s clément* placés dan» b piscine, don la temperature maaimaU est fixée a 3S*C :
. éléments placés A !a périphérie du coeur dont lu puissance peut atteindre quelque 2 MW,
compta tenu de celle que peuvent apporter certains dispositifs expérimentaux, et pour lesquels
on dispose d'un débit de SE>B m3fh sous une différence de pression tfe 250 mbar.
. éléments cembuatitlaa déchargea du coeur dcpuli moins de trente Jours, d'une puissance
maximale de l'ordre de 1/2 MW et refroidis par convection naturelle.
49
- les éléments actifs, en particulier elements combustibles usés déchargés depuis plus •!<-' trente
jours , dépesés au fond des canaux dont la température est simplement maintenue d une valeur
jugée acceptable, d'une puissance totale de l 'ordre d'une centaine de kW au maximum.
Les c i rcui ts secondaires associés A c e s trois circuits pr imaires sont des dériva
tions d'un circuit unique.
IV. 1. 3. 2 - Circuits annexée
HB comprennent :
- le circui t d 'équilibre, destiné 4 réduire l ea sor t ies d'eau active do l a cheminée du coeur, or. y
assurant une circulation préférentielle descendante ; étant t rès lié aux circuits du refroidis so m ont
du coeur et de la piscine avec lesquels II interfère, 11 soru décrit en mémo temps qu'eux,
- le circuit do la couche chaude servant û c r é e r et maintenir dans la piscine uno coucha superfi
cielle d'eau ù une température légèrement supérieure l colle des couches Inférieures, pour u'op
poser aux r e m u é e s d'eau active on surface,
- lo circuit de contre-pression assurant une circulation ascendante d'eau propre dans les passages
du bloc tubulalro du façon b combattre l 'accumulation de salotéa au ban de ces passages, Hulutés
qui pourraient nuire au bon fonctionnement dos tlgos d'attelage dos éléments combustibles ot ren
dre dangereux, par leur activité, l 'accès ft la salle dos mécanismes,
- les c i rcui ts de dégazage dus peints hauts,
- lo c i rcui t de mesure de l 'activité en azote 16 de l 'eau sortant du coeur,
- le circui t de détection de rupture de gaine,
- les c i rcui ts d'épuration servant ft entretenir In pureté de l 'eau,
- le circui t de remplissage servant ft l'alimenta*!on en eau déminéralisée à partir de l'eau de
ville,
- lea c i rcui ts de vidange permettant d'évacuer partiellement ou totalement l 'eau du système,
- lea c i rcui ts d'offluents servant ft la collecte ei l 'évacuation des effluents liquides radioactifs
produits dans l ' installation.
IV.2-CIHCUITS DE REFROIDISSEMENT.
IV. 2 .1 - CIRCUITS DE REFROIDISSEMENT PU COEUfl ET DE LA PISCINE
IV. 2 . 1 . 1 - Description générale
IV. 2 , 1 . 1 . 1 - Circuit pr imaire du coeur
La figure IV. 1 en donne le schéma et la disposition.
L 'eau a r r i v e à l a base du "bloc-pUe" et t raverse l e coeur en circulation ascendante.
Elle est ensuite conduite par un collecteur vers le bac do dé s activation placé sous le canal. Des
so
pompa* l'y aspirent Hors, at la refoulant chacune dan* m dehangaur. A 11 sortis do c«a éeban-
«eurs, l'eau aal reprise ai ramenés a i e h a » do "bloe-pfla" par un «ollaotaor qui «betntae en
rond de canal pula dans la piscine, où il eut nnraf da deux eUptt* indépendants «'ouvrant aute-
uattojueniant lorsova la deWt décroît «u-dessous d'une «erlels* ««leur de **e*n ft favorlasr « lor .
> re&eldlaaeniaat du « M U T par convention naturelle â l'IelérUer de la piscine.
Laa jtroupes pompe + «changeur sont au nocaore de quatre, doit trola sajlemcnt
sont en service simultanément en rtgliae normal, disposée dans doe ceUulea Individuelles. Cha-
ç « grevai «ft «^uipd de tre i i vanne» -• dan* vanne* d'isolement s l'entrés « î à î t sortie de la
cellule et une vanne da réglage placée entre le refoulement de u pompa et l'éeh&ngeur. Ce* vanne*
«ont commandée* députa U galerie da« mot our» da pompa*. La vanne de «Ortie e«t précédé* d'un
clapet anti-retour de manière à ce quo lea cellules en service m débitent pas dans cel los miaea
fiera servies. De eetta façon lea cellules peuvent toute* (Kre dispenses proies & l'emploi et tour
taies en rente ou l e w arrêt peut an Taire instantanément depuis la, salle de centrale par «impie
mise en route ou arret de la pompe correspondante.
Le collecteur de retour d'eau an soeur comporte, A l'amont Immédiat de la tra
versée de le. s îoi ion entre aanal et pivoine, ans ïioSe pernatHst de r e w r o i r nu diaphragme
eanirmt un double rôle s
- absorber. * 1 * place «tea vannes de régimes gai « r a i e s * eHian soumis** A rode dpremn, us
eicC* éventuel important de hauteur tnanometrlipe dlapenlbls %u refoulera eat dee pompa*, pour
la dibit nécessaire selon U configuration du coeur,
- «searer ç i t îa pression dynamic» dans le carter d^entrla d'eau dani le ooear ne puisée, même
toulea vannes da réglage grandi * ouverte*, « p a s s e r U valeur de l> S bar au-delà, de laquelle le*
équipa^** de contrôle pourraient l ire entrante par le courent d'eau en eas de rupture de leura
tige* d'entrafiienent,
Lee debit» d'eau primaire eont m e e v é s individuellement dans ofesoue cellule par
l'intermédiaire de l e mesure de 1s perte de charge dans î'echûnjeor.
Ce» débits aont Indiques & proximité immediate dee commandes dee vannas des
ceUulea, en memo temps que l e s preaetono d'aspiration et de reieulamcnt des pompes et U con
sommation Électrique fie leurs moteurs, pour permettre l e refisse, des cel lules . > débit total
A l'entrée du coeur n'est p u mesuré ; seule es t mesurée lu pression dans 1« carter d'entrée
d'eau & !» beie dit ooear, meilleure garantie du débit effeotut jarcoawst tes éléments dn coeur
individuellement et par suite seule grandeur Uéo aux écoulements qui Intervienne dans l e s cir~
cuits de contrôle ot eéourtté du réacteur. Des sondas de température sont dlapeaées A l'entrée
et a la sortie da eetur at de essaime des esUuiea,
IV. 8 , 1 . 1 . 1 • S^&prfJ»aJre j t e tajJlecta;
La figure IV, ï en donna le achsma et la diapoaitton, tout 1 fait analogues à eau»
du circuit primaire du coeur, sauf c,u'u na possède que deux eeUults, dont tUM Mule en service
nomelement.
IV. 2 . 1 . 1 . 3 - Circuit_d_'éculllbre_
Ce circuit met en communication le collecteur de retour d'eau du circuit do refroi
dissement du coeur, & l 'aval des échangeurs, avec l 'entrée de l'un ou l 'autre des échangeurs du
circui t de l a placine (voir rig. IV. 1 et IV. 2) . Grace a l a différence de pression disponible, un
écoulement permanent, réglable de 0 à 160 m /h, s'établit du circuit du coeur vers le circuit
de la piscine.
A ce t ransfer t d'eau d'un c i rcui t ve r s l 'autre correspond nécessairement un t r a n s
fert Inverse qui ne peut se faire que par d 'autres communications entre las deux circui ts . La
seule autre communication existant, en dehors du circuit do centre-press ion, est la cheminée
dans laquelle s 'établi t donc une circulation en moyenne descendante, s'opposant oui remontdoe
d'eau chaude active dans la piscine, et contribuant ainsi à réduire dons une large proportion le
débit de dose en surface dû aux produits actifs à vie courte , principalement l'azote 10.
L'efficacité de ce contre-oourant peut ê t re améliorée en cas de besoin en réduisant
l 'ouverture do Ja cheminée ft l 'aide de bouchons placés dans les alvéoles do la grille do guidage.
Le circui t d'équilibre est «gaiement associé aux circuits d'épuration. Une fraction
du débit d'équilibre peut en effet ê tre envoyée vers ceux-ci , disposés en parallèle sur los échan
geurs du circuit de la piscine. Cette fraction retourne alors dtrocleroont dans la plsalne on abou
t issant dans le collecteur à l 'aval de ces échangeurs. L'eau du circuit du coeur peut ainsi ê tre
épurée pré férentl e l l e» ent, ce qui es t le moyen le plus efficace de réduire l 'activité totale de
l 'eau du sys tème.
L s s t ransfer ts d'eau par le circuit d'équilibre et les circuits d'épuration ont pour
conséquence que les débits dans l e s échangeurs des circuits du coeur et de la piscine no sont pas
égaux ft ceux qui passent dans l e s éléments quo ces circuits servent ft refroidir. En appelant :
- Q le débit dans le coeur,
- O le débit dans l s s éléments placés dans la piscine autour du coeur,
- a le débit prélevé dans le circuit du coeur par le circuit d'équilibre,
- a le débit prélevé sur le circuit d'équilibre pour épuration,
- débit dans l e s pompss.et l e s éebangeura du circuit du coeur : Q f i + c
- débit dans l a pompe du circuit de la piscine : Q .
- débit dans l 'échangeur du circuit de la piscine : Q + o. - q
- débit revenant dans l a piscine ; O + q
IV. 2 . 1 . i . 4 - Circuit secondaire
A) Circuit secondaire principal
La figure IV. 3 en donne le schéma et la disposition.
L 'eau de ce circuit est refroidie dans un réfrigérant atmosphérique constitué de
quatre cellules indépendantes à t i rage forcé, al imentées en parallèle. L'eau froide recueill ie
dans l eu r s bâches alimente par débordement un canal-déversoir dans lequel elle est r ep r i s e par
quatre pompai qui l a font passer dans une ba t te r ie de 12 hydrocyclones décanteurs, puis dans l e s
échangeurs pr imaire - secondaire, dont l e s secondaires sont en parallèle, et la ramènent nu haut
52
des cellules 'lu réfrigérant almosphérlquc. Chaque derivation est munie de deux vapnea, l'une ft
l 'entrée, l 'autre ft la sortie de l'tfchungcur pour Isolement el réglage dee débits.
Lu circuit secondaire d'OSIiUS utllicc l'eau dite industrielle du Centre d'Eludos
Nucléaires de Sncluy ; C'UHI 1'wiu de ville recueillie après première utilisation et mise ft nouveau
un circulation après décantation ut traitement de décarbonntatlon. CF III, 1 .2 .3 .
Le facteur de concentration dans le circuit secondaire, du ft la per lu d'eau par
evaporation dana les refrigerants atmosphériques, eat limite ft 3 environ grace a une purge con
tinue su faisant pur débordement ft l'égout du car.al - déversoir.
13) Circuit (I'a|>ppint_d'_euu_
L'appoint d'eau est fait dans ce cani>l - déversoir à part i r d'un ballon en charge ù
niveau can étant, alimente par le rfseau d'eau Industrielle, Grace A ce ballon qui constitue un
chateau d'eau, l'eau d'appoint peut Etre utilisée pour alimenter pnr gravité divers c i rcui ts annexes
du refroidissement (refroidissement do dispositifs ex perl mentaux en particulier) avant d 'etre
livrée dtuiif le canal. Pour que ce ballon joue en permanence son role de cliittoau d'oau, le niveau
y (.Ht maintenu en cas du besoin en y renvoyant de l'eau a part i r du canal, a l'uido de pompes de
rclcvage, L'appoinl d'eau secondaire peut, en secours , ê tre fait un eau de ville directement dans
CI Filtres
Lu circuit secondaire d'OSIRIS comporte doux filtres A aablo (figure IV. -I) qui
permettent de filtrer séparément ou simultanément l'eau industrielle d'appoint et une partie dé r i
vée du débit secondaire.
D) Dispositif de "ramonage" des echangeurs
Le circuit secondaire d'OSIRIS est également équipe du dispositif TAPHOGCË
[nom commercial du procède) destiné à éviter l 'entartrage progressif des échp.ngcure. Ce dispo
sitif opère par Gcouvillonnage continu des tubes des échnngours par des boules de caoutchouc
mousse éventuellement imprégné de corindon, de diamètre légèrement supérieur à celui des
tubes, eî en t ram des par le courant d'eau secondaire. Ces boules sont récupérées dans un man
chon spécial placé sur le collecteur ù la sortie des échnngeure (voir figure IV, 3) et renvoyées
par une pompe h l 'entrée de chaque ôchengeur en service, gri.ee ft un jeu de tuyauterloB et de
réparti teurs de boules. Une "écluse à ' ou ï e s" placée sur le oircult , permet le contrôle des
boules en service, l'extraction des boi les usées et leur remplacement par des bouleB neuves.
E) Circuits do vidange
La figure IV, 5 en dom e le schéma i . 'a disposition,
Ils permettent d'évaci e r ft l'égout : i
- directement l'eau contenue dans une bâche ou dans le ctnal -déverso i r du réfrigérant atmosphé- '
- par l 'intermédiaire d'une bllelie et d'une pompe de rolevage :
. les sous-versoB des hydrocyclones
. les eaux de lavage des filtres ù sable
5 4
P a r t o u t » froid. T . pant être refanaaaé an redinaant l'aftlcacttd duréfrigérant
atmcxpbirlqu* «oit par arrtt d'un ou pniatacra «anUtatanra. aoit par b j - p u a a p partial en tola)
da cellule*, «oit pas- arrdt total d'uoa caUala.
San! par temp* anaptlonnallainent chaud, la circuit Mcoodalra paut M fonctionner
qn'avac trola pompa* i la rébauaaenjenl i taéral daa température* daa circuit* pr imai»* n'est
nier* qua d* I à 3*C, C* fonctlcaawiaaat a. trola pampae diminua cependant l'erdaetité du procéda"
TAPROGOE.
HT.3.1.2.3 - DéerolB*nncea dadébit avivantîyg&JîiJgggSSLSlSSSSSSL JH.SSSS
En C M da coupure da l'alimentation électrique d'una lanla pompa anr I M trot* an
aervlca, an lamp* t • 0 , la dtcndaaanca dn dtblt dana la coeur *ult favae ma Irai bonna appro-
xUnatteo) la M anrtanta :
Joaau'att tampa 1 • îaaaccodaa au dalA duquel la débit M atablllc» Ala valeur 0 , ? 4 Q ' ( o ) .
En cat d'arrêt almultane daa trota pompa* p w coupon da leur alimentation
élactrlqua au tempe t * 0 , la dtcrclaeuce du débit dana la eoeur mit alcra (arte una tr t*
bonaa approxlaiatlea) u i o l
% { t l ' B.flVt Qo M * m * t c o n d "
Juagu'au tanpa t • 68 aaeondaa auqual a'ouvrent lea clnpete da convection natural!*.
IV.2.1,2. 4 - Emeacll* du_^M(d<_dj^ddtWra^cootlnu TARPOOOE
Grlce I lui, mala au prix d'una eonaom nation Journalier* d'una eantalna da boutia
peur 1 000 an aarriea, dont la moitié au corindon, la coefficient d'échange calcrJJlqua daa éohw- '
part M deerofl procréai ira meat, en un en, v * dt a 000 kca l /b , in a , «c , valeur Initial* retrouvée
aprèa détartrage eMniqua, A 1 B0D kcal/h. m 2 . "C,
i y . a . l , a , 3 - ^ t e a a l t < d u r i r w ^ d ' a j , u l U h r a
GrseeAtet , la débit da doaa Alaeurlmcedetaplacls* , dû vuiprcdutt* acU/« A
via court* formée dat» l'eau nul paaaa dana la coanr. prlnclpalamant ï 'eiote M, aat rddnit da
pm* de S0 • / . .
nr. a, a - emeurr DE HEraonMssEKEHT DES CJUTAUX
1 * Illttra IV. 6 an donna 1* acbén» at la dlapoettton.
CaolrcoU connut dsrafnadlralMrnatbraiDenl. at aalonl* bcaolB. 1**M d* chacun
daeeaaasx. en la faleaat circuler, A ratant da a o m ' / h A l*afala d'una pompa, dana «a ecbaapuv,
D. «at «tronraaat eaaocia non d r o i t s d'épuration.
SE
IV.3-C1RCUITS ANNEXES.
IV. 3.1 - CIRCUIT DE LA COUCHE CHAUDS
La couche d'eau chauds qu'il ser t A c r é e r et maintenir & la surface de la piscine
est destinée à réduire le debit de dose au-deesua de la piscine.
L'eau est aspirée dans une rampe placée le long de la paroi Est de la piscine, au
niveau - 3 m, par une pompe qui la refoule ensuite dans Un réchauffeur et la ramené dans la pis
cine par une rampe placée le long de la parai Ouest nu niveau - 0,20 m, aoit directement, soit
après paasage dana la station d'épuration.
Le débit eat réglable Jusqu'ô 30 m /h, et le réchauffage est assuré par des thermo-
plongeurs électrique», dont l'alimentation est coupée par thermostat nu cas ou In température de
l'eau dépasse une certaine valeur, en l 'occurrence 40*C.
L efficacité de la couche etnude croît avec la différence entre oa
température et celle des couches d'eau sous-Jacentes. Lorsque cette différence eat supérieure A
a*C, le débit d« doaa au-desaua de la piscine, a hauteur d'homme, est Inférieur A 2,5 mrem/h ,
sans beauooup var ier . Loraque cette différence décroît au-dessous de 8*C, le débit de dose aug
mente do façon significative pour atteindre rapidement quelque» 50 mrem/h.
L'efficacité de la couche chaude est surtout liée à aa puret j , car la fraction du
débit de doae A la surface de la piscine, due au* produits actifs & vlea moyenne et longue qu'elle
contient, est Importante. Aussi la clrculatlcn est -e l le maintenue on permanence A raison de
30 m / h avea puisage dans l a station d'épuration.
IV. 3. 2 - CIRCUIT DE CONTRE-PRESSION
Il es t constitué par une dérivation entre la piscine et le circuit du coeur ; l 'eau
aspirée en fond de piecine par une pompe placée dans la salle des mécanismes dee ba r re s de
contrôle, eaî refoulée dans lea 56 t raversée» du bloc tubulalre, après passage dans un filtre
(protégé de plomb) arrêtant lea particules de dimension* supérieures a. 50 u . . Le débit est
réglable Jusqu'à 12 m 3 / h .
IV. 3. 3 - CIRCUITS DE DEGAZAGE DES POINTS HAUTS
Ces circuits servent 4 éviter la création de pochée de gaz à l a partie supérieure
dea bac* de désactlvatton et des «changeurs, Ils consistent en des tuyauteries ascendantes par
tant de cea pointa hauta e t aboutiasant dans dea caissons de dégasage re l iés a. la cheminée d'éva
cuation des e muent s gaaeux (voir figure IV. 7), Les eaux recueill ies dana lea caissons, du fait
dea pressions différentielles dynamiques existant, sont renvoyées à l 'aspiration de la pompe du
06
cire Lit de la couche chaude par une tuyauterie munie d'un siphon, pour éviter la mise en commu
nication doe caissons avec l 'atmosphère du hall lo r s des vidanges de la piscine.
IV, ?. 4 - CIRCUIT DE MESURE DE L'ACTIVITE EN AZOTE lfi DE U EAU SORTANT DU COEUIl
Ce circuit (voir figure VU. 2.1) ser t a prélever sur la tuyauterie de sortie du coeur,
près de l'outrée dans le bac de désactivât ion, un débit de 0 m /h pour le faire passer en regard
d'une chambre d'ionisation a p r i s un temps de t ransi t de 11 secondes. L'eau est ensuite renvoyée
dans le bac de désactivât Ion du circuit du coeur.
Ce circuit est muni de debit mût roe a hélice de précision pour tenir compte des
variations do débit, donc do temps de t ransi t , dans la relation entre l 'activité en azote 16 do
l'eau dérivée et la puissance du coeur.
CB circuit est disposé dans la septième cellule de béton placée dans le prolonge
ment des six cellules des échangoure des circuits du coeur et de la piscine.
IV. 3. 5 - CIRCUIT DE DETECTION DE RUPTURE DE GAINE
Suivant un schéma similaire a. celui du circuit de mesure de l 'activité en acote 16,
il est branché entre l e s mêmes points du circuit du coeur et disposé dans la septième tal lule . H
permet de faire passer un débit de 8,7 m / h e n regard d'une batterie de compteurs à neutrons,
après un temps de transit réglable grâce s. des volumbi de re ta rd , et ajusté & 33 secondes.
En parallèle sur la tuyauterie de prélèvement normal es t raccordée une seconde
tuyauterie de prélèvement provenant de la margelle de la piscine, et sur laquelle on peut brancher
une pipe d'aspiration mobile pour prendre l 'eau Immédiatement a la sortie d'un élément combus
tible et établir, en régime de convection naturelle à faible puissance, des car tes des activités
des prélèvements, dont la comparaison serv i ra a local iser le ou l e s éléments éventuellement
défectueux.
IV.3.6 - CIRCUITS D'EPURATIOM
La figure IV. 6 en donne le schéma général et la disposition.
Un ensemblo de tuyauteries et de vannes permet de prélever de l 'eau en différents
points du système pour la faire passer dans une station d'épuration, puis de la ramener dans le
IV.3 .6 .1 - Entrées dan» !a station d'épuration
La e u t ton d'épuration comporte deux entrées qui peuvent recevoir :
- la première :
. l 'eau du circuit du coeur, par l ' intermédiaire du circuit d 'équilibre,
67
. lea effluent a du "bloc-eaux",
. l 'eau du circuit do la piscina, par l ' intermédiaire du circuit de la couche chaude,
. l 'eau du circuit dee canaux,
. lea effluente du "bloc-eaux".
IV. 3,6.2 - Sorties da la gtûtlon J'épuration
La station d'épuration comporte deux aortlea qui permettent de renvoyer l'eau ;
- la premiere uniquement vera la piscine, par 1'tntermÉdlalra du collecteur de retour a l 'aval
des échaageura du circuit da la piscine,
- la seconde,vers :
. la piscine, par l ' intermédiaire du circuit de la couche chaude,
. le circuit des canaux,
. I'd gout, par l ' intermédiaire d'un raccordement amovible, mie en placo a la demande pour
dvlter le rejet accidentel d'eau insuffisamment épurée,
. l u ent rées dans la station d'épuration.
[V. 3 .8 .3 - Station J 'épurUlon
L i station d'épuration comporte deux chaînée d'épuration par dahar.geurs d'Ions,
qui peuvent fonctionner indépendamment l 'une de l 'autre ou simultanément en parallèle selon la
disposition des circui ts . Bile est complétée par un equlpoment de régénération des rés ines .
IV. 3. 7 - CIRCUIT DE REMPLISSAGE
La figure IV. 9 en donne la schéma et la disposition. Il comporte une station de
production d'eau déminéralisée â part i r de l 'eau de ville et un ensemble de tuyauteries et vannes
permettant de conduire cette eau dans d iverses capacités.
La station est capable d'un débit instantané de 20 m /h .
L'équipement de régénratlon dea rés ines de la station de production est celui des
stations d'épuration. Lew effluents chimiques résultant des régénérations aont recueilli a dans
uns fosse située s. l ' ex tér ieur des bâtiments et d'oCt Us peuvent ê t re envoyée dans le reaeau
d'égout» chimiques du Centre.
IV. 3. 8 - CIRCUITS DE VIDANGE
La figure IV. 7 en donne le schéma et la disposition,
Ce sont des circuits d'usage exceptionnel, sauf un, permettant soit de t ransvaser
l 'eau d'une dea principale» capacités du système dans une autre , soit de l 'en évacuer définitivement.
BS
Pour e* Mira. e«e cepscltée comportent chacune <m drain onf aboutit deaa i m roam •line* au tond da la septième cellule. «A a M Urinlao normalement par una vanne fermée doublés d'une (apt pîtlna. O f drntoe pes**»* «re reeecrdia, eeton la mammest d'eau A W w , 4 l'aida dt tuytntartea amples, t IteplreaoB *t au raf<^m*at da dan petepee moBtfcc en peraBH* at ttiurut «basant un dibit de S3 m3/h.
Le refoulement ptut ((element «ire aiguillé van 1'dgout avec pamfe préalable ear la attUoc depuration.
L'ean da la plante* pant «tre eatex rapldini&t vldufie Jusqu'au afvttu - 4,5 raSiwi dtse use haeha td'noe d'CC *12» pant etri releife grâce ft ua circuit permanent. La vidang» se It» « 3 Mumsenviron par simple écoulement da Is pisclse dana la bdcBt par una tcyiutei-le lea wel-tam an «emmunleauott at éeulpee d'une vanne d'arrêt. Cette tuyauterie débouche dent 1* pHacIne aastveeit - 4 , S as, at par precanHsg supplément*!™, I* vâun» da la btcne «at catettU pour nee Iairi*aaad'4«AllBn«itEnMd0lavUaafla n-etabUssa Ala «ate - 4 , 1 a , La « l a w i a aa ftOt en 5 neurit environ à Itlde d'une pompa da ISO m J /h dart l'aspiration et le refoulement soot reeoordé» en permanence (par net tuyanterlea rtgldee) am drain» do ] • Men* at da la piscine reapeeUHKment.
IV. 3.9 - CmCtim D'EPFLUEKjya
La figura IV. 10 ta donne la achent at la disposition.
IV, 3.8,1 - Circuit Intérieur tu "bloa-ctu*"
Let cellules i n ectasgeurs et I» talis get mtensiamce ate b u r n do conli-Ble cent eepipeoa de pnltardt co aa ressemelait tau cans provenant da fuites «u d'tfcuttares,
Dca pnlsards oea cellaH* partaM do* tuyanterfflt «jul •beittetent «"*na la ios»« de la aeptlfeme ceUcfe «A til»» ne terminant par dot vannas normalement fera«6eo, at qui pnrmat-tei» l'*cool»n»effldea eaux per frnrffr. tea «ant cOSectte* dan* 3» puisard de la eelle dae mêcn. ataoai acid rameadea dft&e la torn* da la septième cettnls fc l'aida «Pent pomp* da releva** automaHon*. Bane cette taw* ahoaHMtent également to drain» parlant das points baa den circuits primaires (pompas, dehaugcura) et •«™udres dana lea cellules de» écuangeura, ainsi que du puisard da In nail* dae Mdraullquea. Cette fosse recueille enttn lea eatu dven-tueUes da la septième cellule,
l«a B*3zrtcoemiestaHirepHuspn-taw pompe d» n i a n t * q«i lea refoula daite It* Mates * emuente ettueea & l'aittrlevr del btttnienti et d'oo ellea font fneoétt parenMncfclternt,
IV.S.B.Ï • Ctwultn «Htrtenr. «i "Moc-atm"
Vn vlaervolr pltc* iu u-Msleme aous-aol da l'encelnta du veacttur (niveau • 11 metres) reeutUle : "l««trop-[Heiascslapiju!ioeetdMe»a*Bi ' - le» rejeta d u pactes near «vemsta^ntenra • leu nawc raaeanaUaa dant le puisard du Irdaleme aoufsol at relevées par «ne pompe
59
Da ce réservoi r , las eaux sont conduites par dee pompe B do relovage do 15 to / h
ve r s lea baches 6 effluenta.
Un circuit autonome permet de relaver , à l'aida de pompes mobiles, l e s eaux
recueill ies dans les rosesH dea cellules chaudes, et de les stocker dons un réservoir ou do IOB
évacuer directement dans un camion-citerne. Ce réservoir reçoit également les effluents chi
miques daa expérimentateurs collectés dana un ballon placé au troisième sous-sol de l'enceinte
du réacteur , et dont Us sont ramenés a l 'aide d'une pompe de relevage.
V-AL IMENTATION ÉLECTRIQUE.
V,1- PRINCIPE DE L'ALIMENTATION ÉLECTRIQUE DES AUXILIAIRES DU RÉACTEUR OSIRIS.
L'ail m en tot Ion on tue r glu électrique 'les auxiliaire a du réacteur esi assurée A pn
t i r d'un tableau 15 KV, qui distribue l 'énergie roçuo du poste de SACLAY, par l'intormedlnlro d
transform atours 800 KVA IB 000 / • J J Q " v - (vo i r figure V , l . )
La puissance totale nécessaire au ré ne tour OSIRIS es t do 4,8 MVA,
En cas do manque de toneion E .d . F , , deux groupas éloclrogénos fournissent une
énergie suffisante peur assuror lo fonctionne ni Ont des auxiliaires 1 nd lapons able B a l'exploitai Ion
nortnalo du rûneleur, l'alimentation dos sources de commando at do contrôle, l'alimentation dos
expériences en cours ,
A partir de la tension 380/220 V dos transformateurs principaux de puissance,
sont c réés les différents resoaux suivants :
- Puissance
, 3B0 V alternatif entre phases, tr iphasé, neutre
isola et distribue
. 3BD V alternatif entre phases, tr iphasé, neutre
à la t e r r e , distribué
. 127 V alternatif monophasé
. 4B V alternatif monophasé
- Contrôla
. 24 V continu
. 48 V continu
, 220 V alternatif monophasé, stabilisé
Eclairage
Manipulateurs légers
Réseau de sécurité pour entretien.
Commandes et signalisations dos s
ensembles décentralisés.
Contrôle plie
Commandes et signalisations des it
lallations éloetrotechnlques ot conti
Contrôle plie et expérimentateurs.
6 2
2 - DISTRIBUTION DE L'ENERGIE ÉLECTRIQUE.
Des locaux spécialisés abritant les inataHatlona électriques principales :
- Bfitlment électrotechnique
. niveau - 4,00 Salle des équipements
Salle de relay age
Salle des batteries
. niveau D, 00 Salle de commande
. Hnll den machines tournantes
Groupes éleetvogèneo
V.2 .1 - BESEAU 15 KV
V. 2 .1 .1 - Configuration du réseau 15 KV
La distribution de l 'énergie électrique est assurée depuis le Centre de SACLAY
par un poste moyenne ten al on comportant deux Jeux de b a r r e s 15 KV couplés en permanence.
Ce couplage peut néanmoins étr« ouvert en cas de besoin.
Le neutre 15 KV est mis a la t e r r e par l 'Intermédiaire d'une résistance non Induc
tive de 9 ohms, limitant la courant du neutre a l 000 A pour un court circuit franc entre phase
La puissance de court-circuit calculée, en fonctionnement normal, sur les jeux
do bar res 16 KV, est du 185 M VA. Néanmoins, pendant de courts inatants, elle peut légèrement
dépasser 300 MVA en court-circuit t r iphasé.
L'alimentation du réacteur OSIHIS, depuis le poste moyenne tension, est B U urée
par deux feeders, ne fonctionnant Jamais en parallèle. Un seul feeder es t capable de ce fait, de
transi ter l'éniirgle totale nécessaire au fonctionnement du réacteur .
Les deux feeders sont protégés en tête par dea re la is & maximum de courant a
temps inver*o.
L'énergie électrique BOUS la tension de 15 KV est reçue et distribuée au niveau
du réacteur OsmiS par un tableau constitué de cellules blindées préfabriquées 15 KV.
V. 2 .1 , 2 - CaractérlsttoueB du tableau 13 KV
- Type intérieur : cellules préfabriquées, débrochables, protégées a jeu de ba r re s
- Tension de service : 15 KV
- Tension nominale : 23 KV
- Tension d'isolement : 45 KV
- Intensité nominale du jeu de bar res : 600 A '
• Puissance de coupure sous 15 KV : 350 MVA
6 3
- Di»joncteur» 4 faible volume d'huile
• Tension de commande et de signalisation 4 S V c c a fourniture et découpage centralisa en dehors
du tableau 15 KV.
Le tableau est divisa en deux tronçons, couplés entre eux par un SEC Honneur
débrochable.
V. 2 .1 .3 - Exploitation - Protections • Verrouillages
Un seul des deux feeders d'alimentation est normalement en service et alimente
le tableau 15 KV.
Les deux tronçons n* 1 et 2 du tableau 15 KV sont normalement couplés entre eux.
Le sectionneur de couplage peut servir exceptionnellement a isoler un tronçon, mais
n 'oi t pas prfivu pour ê t re manoeuvra en charge. Il ne peut e t ro manœuvré que lorsque tous les
disjoncteurs sur l'un des tronçons ou les disjoncteurs d 'arr ivée sont ouverts.
Les protections sont prévues en tête de ligne par relais il maximum d'intensité ù.
temps Inverse et agissent seulement sur les disjoncteurs au départ du Cen t r e Ce sont des relais
Les disjoncteurs "ar r ivée" sont verrouilles électriquement entre eux, un soul
pouvant ê t r e en service simultanément.
V. 2. 2 - TRANSFORMATEURS ABAI55EURS 15 OOP / ^TJL V
Les transformateurs, au nombre do 7, ont pour rûle d'abaisser la tension, en vue
d'alimenter le* auxi l ia i re! de réac teur OSIRIS, qui sont tous sllmcntés en basse tension.
L e s transformateurs sont Installés dans des cellules préfabriquées, intégrées aux
tableaux de distribution basse tension.
V. 2. 3 - TABLEAUX ET SOUS-TABLEAUX DE DISTRIBUTION
V . 2 . 3 . 1 - Répartition des tableaux et sous-tableaux
Les auxiliaires du réac teur OS!RIS peuvent être classés en plusieurs categories
ayant des fonctions bien déterminées.
Parmi les auxiliaires, on peut distinguer ceux qui jouent un role primordial dons
le fonctionnement du réac teur et sans lesquels le fonctionnement en pulnaance est Impossible,
ceux par contre qui jouent un rûle. secondaire et qui ne sont pas absolument nécessaires â ce
fonctionnement.
On distingue de ce fait :
- le tableau des auxiliaires secourus alimentant les auxiliaires et les sous-tablcsux principaux
- le tableau des auxiliaires non secourus, alimentant les auxiliaires et les sous-tableaux secon-
£ 4
V .2 .3 .2 . ' Contrôle d'Isolement
En vue da rendre le réaaau de distribution confortée au décret du 14 Woveosbro 1C6Î
11 a été réâlué un dispositif de contrôla dladlsnienl baa* ear le principe avivant i
• détection et recherche du premier défaut
- detection du deuxième défaut ai le potentiel de la barre de terre générale est ft IS V, déclen
chement sélectif a i l e potentiel de la barre eat ft 24 V.
Chaque tronçon dea tableaux "auxiliaires accourus" et "auxiliaires non secourus"
comporte un appareil de contrôle d'Isolement.
V.3 -SOURCES DE COMMANDE, DE CONTRÔLE ET DE SIGNALISATION.
V. S. J - RESEAU DE DISTRIBUTION DE LA TENSION DE CONTROLE ALTEIWATIVE
BBC V MONOPHASE (voir figure V,%.)
Una fraction du contrôle du réacteur et du contrôle des «xpêrteneoi exige une
grande stabilité ni une continuité de tension. Ces performances ne peuvent put Otrs oisurées par
lo réseau de dlB'rlbutlcn EdF, qui prêtante des variations brutales de tenilon et de fréquence
risquant de perturber le fonctionnement de certaine a chaînes da mesure et d'automatisme. D'au
tre part, dans le COB d'une panne secteur, la fraction du réseau de distribution 3B0 V reprit
Instantanément en secours par le* groupes, présenta des perturba tien s de tension pouvant attein
dre UM durée de 200 me. Ceci est Incompatible avec las performances exigées par lea appareils
de contrôle.
Pour ces raisons. L'alimentation de cette fraction du contrôla set assurée par un
ensemble redresseurs batterie ondoie ara qui est Insensible :
• d'une part anx perturbations du secteur EdF absorbées par les redresseurs
- d'autre part aux pannea lecteur, la batterie ayant une réserve d'énergie suffisante pour assurer
la continuité de fonctionnement dea onduleurs, en attendant que le* groupes die Mis assurent 19
relal.
L'alimentation fournie peae l'ensemble redresseurs - batterie - onduleurs est d is
tribuée par l'armoire des sources située dans la salle de rdayage. Cet ensemble comprend :
- deux redresseur*
-une batterie
- quatre onduleurs formant deux réseaux Indépendants, la premier destiné 41'alimentation da
contrôle pQe. le deuxième A l'allmentutloa du contrôle expérimentateurs
- une armoire d'intercannexion des anduleurs.
Les ensembles alimentés par ce réseau, sont les suivants : - Expérimentateur»
- Traitement Centralisé des Mesures et Signalisations (T. C. M. S. )
6 5
- Mesures thermodynamiques
- Commande do» moteurs des barra*
• Radloprotection
- Embrayage des b a r r e s
- Interphone • Recherche de personne a
- Contrôle dee sources 46 V et 24 V.
Lea red resseurs , lee onduleurs et d 'armoire d'appareillage sont situés dans la
anile des équipements au niveau - 4,00 du bâtiment êleclrotechnique.
La batterie eat Installée DU même niveau dans une salle spécialisée appelée "salle
des bat ter ies" ,
V . 3 . 1 . 1 - Redresseura
H a été prévu deux redresseurs . Un en (one lionne ment, l 'autre en attente de
secoure du premier . Le «scours d'un redresseur par l 'autre es t aaauré automatiquement des
Vapparition d'un défaut.
V .3 .1 .3 - Batteries
La batterie eat du type & éléments au plomb.
La batterie est constituée de 120 éléments. Sa capacité nominale est de 600 Ah
au régiras de charge continue de 10 heures et pour une température de IS'C.
La batterie eat exploitée en floating.
V . 3 . 1 . 3 - Onduleurs
Afin de dlsaocier les alimentations "contrôle pl ie" et "contrôle expérimentateurs",
pour supprimer toute interférence d'une utilisation BUT l 'autre, il a été nécessaire de c rée r deux
réseaux d'alimentation stabilisée.
Pour des raisons de sécuri té , (panne possible d'un onduleur), chaque réseau a été
constitué de deux onduleurs, fonctionnant en parallèle, chaque onduleur pouvant fonctionner seul
et supporter la totalité de la charge.
Les onduleurs sont synchronisés avec le secteur. La déoynchronisotlon est
automatique lorsque la fréquence du secteur sort des limites de fonctionnement comparées aux
onduleurs.
V . 3 . 1 . 4 -• Fonctionnement
En marche normale, un aeul redresseur est en service, l 'autre est en état de
veille. Le redresseur en service alimente les onduleurs et fournit également le courant d 'entre
tien de la bat ter ie .
En cas de défaut s u r un redresseur , l 'autre reprend en secours automatiquement,
le défaut est signalé localement sur le r ed resseur ea panne et en salle de commande en signali
sation regroupée et au T. C, M.S,
Les deux groupes redresseurs-bat ter ie sent prévus pour fonctionner en floattlng
es •oui tension constante.
E» exjdoltatien normale, 1» botterls est maintenue en permanence en dlftt de charge.
Elle secure l'appoint sur les pointée de courent.
Lee cttfuleura fonctionnent en parallèle et débitent sur Jeure reeeein nepecUfe.
En eaa de défaut eur un onduleur, l'onduleur associé reprendre auteueUejpMQtent
la totalité de la charge du réseau correspondant. Le défaut eel eigne!* ladlvldiiellenienl aur l'on
duleur arrêté, retransmis en salle de commande en signalisation regroupée et inscription «a
I . C . M . S .
En cas de défaut simultané de deux onduleurs d'un mflnje réseau, 11 est possible
après declaM bernent dn disjoncteur général du réseau considéré, de coupler ce réaean sur l'au
tre, les opérations s'effectuent entièrement depuis in salle de egratnaude.
Lacs de la disparition eecleur, lee alimentations 3B0 V des redresseurs sont dé-
leatecs, en attendant la montée en puiaeance dea groupe» electrogenea. Ils sent relestée au beat
de M seeeadee.
Pendant l'Interruption de tension d'alimentation dee redresseurs, la batterie
fournit seule la totalité de la putsaence absorbée per les onduleurs. I* capacité d» la batterie ft
été prévue poor fournir éventuelle m sol la charge pendant 30 ratante».
Apre* décharge par manque secteur. In recharge de la batterie est M «urée nuto-
n: étiquete eut par le redrew sur. celui-ci aaeurant elroullanément le débit aur l'utilisation. La
batterie e i t rechargée en huit heurei a partir de l'état de décharge obtenu épr is une décharge de
SO minutée,
V.3.2 - SOURCE DE COMMANDE ET DE SIGNALISATION ELECTROTECHNIQUE 48 V CONTINU (voir ftgura V. 3 . )
Cette source a art ft l'alimentation :
- del circuit* de sécurité des expériences
- des bobinée d'enclenchement el de déclenchement dea disjoncteurs
- dea bobine* de tcaintlea dea contacteurs
- ou relayaga d'asservissement et «."automatisme dea auxiliaires
- de la algnallsattan générale elcctroteehnlque et centrale
• des dispositif» d'alarmo
Le choix de la teuton de 48 V continu pour l'alimentation 4e tous ces éléments ft
été fait en fonction dea eonaldératlone suivantes :
1) limiter la source de commande et de signalisation en tension aflu de réduire au maximum lea
risques tf electrocution, cette aou-ce étant dlatrlbuee eur les puuueav*. «9 commande et de con
trôle de la salle de commande, SUE postée locaux de commands des swUlsIres
3) rester dans dea section» de conducteurs conveoablea pour tonte la fUerle
3) cholatr une tenaloa eufasamineat importante pour pallier les chutes de tension éventuelle» due*
a des résistance* de contact
4) avoir une source Indépendante dea fluctuations du secteur
5) avoir un» source aura et autonome, conservent «es principales caractéristiques pendant un
temps donne, même en l'absence du secteur.
67
En prfiaence du secteur, l 'énergie provient de ce secteur sans que loa perturba
tions de celui-ci ne soient ressenties sur l'utilisation.
En cas de panne secteur, pendant un court Instant et en attendant la montée en puis
sance des groupes diesel , l 'énergie provient de la batterie de capacité sufliaante pour alimenter
la totalité de la charge.
Cette source est réalisée au moyen d'un ensemble de deux redresseurs et d'une
batterie et distribuée par l 'a rmoire des sources située dana la salle de relayage.
V.3 . 3 - SOURCE D'ALIMEHTATION DU CONTROLE 24 V CONTINU (voir f igureV.4 . )
Cette source se r t à l'alimentation des appareils assurant le contrôle et la sécurité
du réacteur . Elle pré H on te une autonomie de 30 minutes, grace a une batterie d'accumulateurs
dans le cas d'un manque tension secteur et d'un mauvais fonctionnement des groupes diesel .
Les ensembles desservis par cotte source sont :
- la radloprotectlon
- la commande des ba r re s
- les actions de sécurité
- les mesures nautronlques
- les mesures thermodynamique!.
Cette source est formée su moyen de doux redresseurs et d'une batterie. Elle est
distribuée depuis l 'a rmoire des sources aux différent a ensembles.
En présenco du secteur, l 'énergie provient de ce secteur comme dans ta cas des
redresseurs 4B V, en cas de panne secteur, l 'énergie eat prélevée pendant un court instant,
30 secondes, sur la batterie donc la capacité es t suffi santé pour assurer la totalité de la charge.
Les redresseurs sont Installés dans la salle des équipements, la batterie dana la
même salle que celle qui abrite la batterie 260 V et celle de 48 V.
V. 4 - FORMATION DE L'ÉNERGIE ÉLECTRIQUE DE SECOURS.
Dans le c a s d'une absence totale prolongée dt secteur EdF, i l faut Impératlwment
reprendre , dans les délais les plus courts, les auxiliaires super-priori taires et auxiliaires prio
r i t a i res , dont l ' a r rê t intempestif provoquerait indirectement :
- l ' a r r ê t du réacteur
- et des répercussions graves, soit au niveau du réacteur, soit au niveau des expériences.
Pour l imiter les a r r ê t s du réacteur et éviter des Incidents, deux groupes diesel
associés ft deux al ternateurs reprennent en secours Instantanément le» auxiliaires super-pr lor l -
t a l res et avec coupure lés auxlllair.'es pr ior i ta i res . Ces ensembles assurent ainsi la sécurité et
la continuité de fonctionnement ilu réacteur et des expériences.
Ces deux groupes diesel sont Installes dans use saHo spécialiste appelée "Hall
dea Machines Tournantes", située au niveau 0,00 devant le "Hall dnj Ateliers Chauds", compre
nant chacun : un moteur - un embrayage - un volant d'Inertie - un alternateur.
En présence du secteur, l'Alternateur et le volant d'Inertie sont maintenus en rota
tion à le vitesse nominale, par l'alternateur fonctionnant en moteur synchrone.
En cas de panne secteur, le moteur dleael est démarra le plus rapidement possible
et embrayé sur la ligne d'arbre.
Le déficit momentané en énergie, pendant 1* temps de détection du défaut secteur
et de mise i n regime du moteur, est fourni par le. variation d'énergie cinétique du volant.
V.4 .1 - DESCRIPTION DES CROUPES
V.4 .1 ,1 - Moteurs
Le moteur es t du type suralimenté, de oarBotérlsUnies suivantes :
- régime d'utilisation
- puissance nominale
• surcharge unlhoraire
: 1 500 lr/mn
00 eh
: 1980 en
Le moteur est capable de fournir les puissances transitoires des reprises en
aeeoura et en régime permanent, telles qu'elles ont été définies pour assuror 1' exploitation du
react our a pleins puissance,
A ces conditions, i l y a lieu d'ajouter le possibilité de redémarrer un auxiliaire
de grosse pulsisnce.
Le démarrage du moteur s'effectue automatiquement par sir comprime, provenant
d'une centrale outonons, située dans le Hull des Machines Tournantes,
Le moteur est surveillé en permanence par des dispositifs de sdourlté qui, en C M
de défaut, déclenchent on salle de commande une alarme et l'Inscription du défaut au T. C M. S.
V . 4 . 1 , 3 - Embrayage
Chaque groupe «M équipé d'un embrayage électromagnétique, de caractéristiques
principales suivantes :
- couple nominal glissement 1 Bon a 2 000 m. kg
4B Vcc
700 W
L'embrayage est conçu pour pouvoir ;
a) supporter au moment de la manoeuvre d'embrayage la différence notable de vitesse antre la
partie menante et la partis menée
b) démarrer le moteur, celui-ci étant complètement a l'arrêt. Ja ligne d'arbre é l u t A sa vitesse
de rotation nominale de 1 S DO tr/nm
e) supporter les manoeuvre Initiales de lancement de la ligne d'arbre, le moteur et la ligne d'arbre étant complètement arrêtée.
69
V . 4 , 1 . 3 - Volant d'Inertie
Le volant a été calculé pour fournir l 'énergie suffisante :
- 5 l 'ail mentation transitoire du défaut secteur pendant les temps de détection el d'ouverture dos
disjoncteurs. Cette énergie a été évaluée A doux (ois la puissance nominale de l 'alternateur pen
dant 200 millisecondes.
- ù entraîner le moteur diesel de 300 a I S0O t r /mn (début d'embrayage a 300 Ir/mn)
- à a s su re r l'allmenlation instantanée des auxiliaires prioritaires sans coupure, tout en mainte
nant la vitesse de rotation de la ligne d 'arbre au-dessua de 1 350 t r /mn. soit 45 Hz pour l 'a l tcr-
V .4 ,1 .4 - Alternateur
L ' aller ne teur a été conçu et réal isé de façon A a at la faire ;
• la dynamique de la repr ise en secours
- l'alimentation des auxiliaires essentiels en régime permanent
- loa possibilités de redémarrage d'un auxiliaire do grosse puissance après arrê t sur Incident
de celui-ci
- las conditions Imposées de chute de tension, lors du passage brusque do la charge Initiale b la
charge (Inale, ohute de tension inférieure dans tous las cas a 20 ' / . .
V . 5 - PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT.
Le tableau 15 KV est alimenté par un seul feeder, depuis le poste moyenne tension
de Sac lay.
Le couplage du tableau IS KV est fermé, les disjoncteurs H. T. et B. T. dépari
transformateur le sont également et alimentent respectivement !
• les 4 tronçons A B C E du tableau des auxiliaires secourus
- lea 3 tronçons E F et G du tableau des auxiliaires non secourus.
Chaque transformateur alimente son tronçon et ne peut être couplé en aucun cas
avec un autre transformateur voisin.
Par ai l leurs , chaque tronçon du tableau des auxiliaires secourus, ne peut Etre
alimenté qu'à part i r du transforrasteur correspondant et ne peut être en aucun cas, couplé sur
im tronçon voisin, même en cas d'avarie et d'Isolement du transformateur.
De ce fait, en fonctionnement normal, tous les couplages entre tronçons du tableau
des auxiliaires secourus sont ouvert.
H n'en est pas de même pour le tableau des auxiliaires non secourus, pour lequel
les tronçons E et F peuvent ê t re couplés, mais de toute façon, alimentés toujours par un seul
transformateur. Le tronçon G lui eat absolument indépendant et ne peu* être couplé aux autres
tronçons.
70
En ces d'Incident survenant sur un des Irani formateur» alimentant un dea Jeux de
bar res du tableau des auxiliaires secourus, le tronçon correspondant eat isolé, le fonctionnement
du réacteur est a r rê té dans la mesure ou les t ro is autres tronçons ne peuvent osBurnr l 'al imen
tation des auxiliaires nécessaires A l'exploitation du réacteur à pleine puissance.
Dans ce cas , II est prévu néanmoins de remplacer le transformateur défectueux
par un des deux transformateurs alimentant l e s tronçon* E e t F du tableau des auxiliaires non
secourus. L'intervention peut être effectuée dans un minimum de temps.
L'exploitation du tableau des auxiliaires non secourus n 'es t pas pour autant com
promise. Elle peut être partiellement assurée par couplage du tronçon sur lequel a é té prélevé
le transformateur sur l 'autre tronçon et délestage volontaire d'une partie dea auxil iaires.
En fonctionnement normal, les deux tronçons diesel sont en état de veille, lea
alternateurs couplés sur le réseau fonctionnent en moteur synchrone et entraînent la ligne d ' a r
bre a sa vitesse nominale de 1 SOD t r / m n .
L'exploitation du réseau de dUlribution s'effectue normalement depuis la salle
opérationnelle .
Les opérations que le personnel exploitant effectue, en présence du secte i r , se
réduisent à la mise en service des auxiliaires nécessaires a l'exploitation du réacteur , en fonc
tion de leur disponibilité et des puissances également disponibles sur les différents tronçons des
tableaux des auxiliaires secourus ot non secourue.
VI - VENTILATION .
Kl. 1 - FONCTION DE L ' INSTALLAT ION.
L'Installation de "Ontilation & une fonction de sécurité et une fonction do cllma-
VI. 1.1 - LA FOHCTIOH DE SECURITE
" £2PLMl?m2.'li des JS?Jtd_e5£o^Bsl6roi_radloanHfB_ : Le confinement n'est pas
assure" par lMtttnchéité de l 'enceinte. Cortes, la construction eat "étnnehe" (étunchélté des parois,
accos par sag et portos «tanches, t r avers ( e s étanchos pour tuyauteries, crtblos électrlquoa, e t c . . ).
Mais une fulto maximale de 2 ODD m /h awai t été acceptée (les essais ont donné 650 m /h) a la
dépression nominale 5 mm. En fait, c 'es t cette dépression an laquelle eat en permanence mainte
nu a l 'enceinte, qui assure que les corps radioactifs n'en sortiront que par la vole qui leur est
imposée.
* £SP^I?_ t!Si.dé»7 1iïSm- e2, t H. 1KSS£E d é j à piscine : Un balayage do la surface de la
piscine évite les fuites ve r s le Hall,
- FUtratlgn^permanente : Peur chaque sous-réseau, des groupes de filtres traitent
l ' a i r a. ** rejet a l 'atmosphore aussi bien en régime normal qu'en régime accidentel. Ces pro
duits radioactifs sont ainsi f i l trés sans qu'il soit nécessaire de mettre en route un réseau spécial
de secours .
Cotte fonction de sécurité doit ôtre assurée en permanence. C'est pourquoi, a la
pulsion comme a l 'extraction, i l y a t ro is ventilateurs, dont deux seulement sont en service, le
t ro is ième démarrant automatiquement en c a s de défaillance d'un des deux au t res . D'autre par t ,
les ventilateurs sont alimentés par le réseau secours sans coupure.
7 2
VI. 1 . 2 - LA POWCTIOM DE CTJMATISATIOM
La fonction de cllniatlaatUn eat d'assurer des condition! de travail normale» pour
le personnel, une bonne conservation du matériel et eau fonetlonneniBnt dans des conditions suf
fisamment constante».
Ces condition» aont tes rnlvantsa :
Température Hygrométrie
Œver 2 0 ' c » r c Bu " / • • " • * / •
E t l l c u . ) ZO*C SS'/«
V I . 2-GÉNÉRALITÉS SUR L'INSTALLATION ET LES LOCAUX VENTILÉS.
YI.2.1 - 013POSITIOS GENERALE
L'eowroW» OS1RIS-1SIS a»; ventUfi et climatise par un seul r e m u , divise en
olueleura branchai pour qua lea conditions fixées dam chaque xone pulnent différer ontro elles,
Les branchai se forment après l'ensemble commun de pulsion et le rejoignant
après laa ftltria, en un mime circuit d'eitraction et do rejet A l'atmosphère.
VI. 2.3 - LOCAUX VENTILES :
Les locaux ventilée aont situes dans trois aonflt :
• l'enceinte «anche i' OSIRIS
- te hall des ateliers chauds
- l'eneelnle •tanche d'ISlS.
VI.2.2,1 - L-'cnosurta «anche d'OSIRÏS
Les debit» de pulsion ont été calcules pour assurer m» bonne climatisation, compte
tenu des dégagements calorifiques Internes, et des déperdition» vert l'extérieur.
- Mlveaa - I l ;
. pas de source de chaleur
. renouveUeoMut horaire : 1.2
-Niveau . B :
, 20 kW (en es» d'espérlence} au maximum
. renouvellement norslre : S. 3
73
- niveau - 4 : , 30 kW (en cae d'expérience) au maximum . renouvellement horaire : S,7
- Mlveau 0 et + 4 : , 30 kW en cas d'expérience au niveau 0 , 20 kW en cas d'expérience au niveau + 4 , Dégage m eat d'humidité par les bassine, dont le température eat normalement voisine
de 35'C avec un maximum de 40"C pour la piscine, , renouvelle m'tut horaire global: 1,4
- Surface piscine ! L a surface de la piscine OSIRIS e s t balayée en permanence (toutes saisons) par
un courant d'air- chaud, puisé par des bouches disposées tout le long du coté Ouest de la piscine et r ep r i s par des bouches disposées tout le long du coté Est. Les vitesses à In pulsion et h l 'extraction sont de l 'ordre de 7 m / s .
- Autres locau» ; Des extractions d 'a ir sont faites aussi dans certaine locaux Isolés de l'Installation,
tels que : . salle des mécanismes au niveau - IS, DD . salle de D. H , a , et de transfert . bâche de vidange . salle des hydrauliques . casemates des échange u r s coeur et plsalne.
VI .2 .2 ,2 - Le Hall des Atelier» Chauds
L'organisation des débit d 'a i r du Hall des Ateliers Chauds a élG imposée pur les
cellules chaudes, mais est compatible avec une bonne climatisation du Hall.
a) Débit _d'.extraction dan§_les_çelMe8 L 'a i r balayant les cellules est de l ' a i r pr is dana le Hall, filtré avant son entrée
dans chacune des cellules. Le débit dl:>cnd du cas de fonctionnement. - Cas normal, portes deB cellules fermées : le taux de renouvellement horaire
est de 20,
- Cas d'ouverture d'une porte : Le courant d'air de balayage do l 'extérieur vers l ' intérieur a donc une vitesne d'environ 0 ,5 m / s .
On n'ouvre qu'une porte à la fois. b) Débit dBjj8_]B_Hall.
Le débit correspond a l 'extraction dans 1 cellule ouverte et 1 cellule fermée est suffisant pour la climatisation du hall. Le débit total de balayage du hall est donc limité à cette valeur, les points d'extraction dépendent évidemment du cas ds fonctionnement.
7 4
V I . 3 CARACTÉRISTIQUES ET DESCRIPTION DE L' INSTALLATION.
VI, 3.1 - LOCAUX TECHNIQUES
Tous lea appareils nécessaires au conditionnement de l ' a i r et les ventilateurs de
pulsion sont groupés dans un loca\ occupant la partie Nord -Est de l a Galerie Couronne au niveau
- 4,00 ; lee filtres et les ventilateurs d'extraction occupent la partie Nord du sous-sol des Ate
l iers chauds. Cea deux locaux sont VDIBICIB, sans cloisonnement entrn eux.
VI. 3. 2 - CIRCUIT DE PULSIOM
L'a i r puisé est de l ' a i r conditionné.
Le débit total est do 59 300 m 3 / h ,
VI. 3.2.1 - Pr ises d'air frais
L 'a i r frais eat aspiré & l'extérleui- des bâtiments, sur la façade Nord de la
galerie couronne, au niveau 0,00.
La prise d 'a ir e i t gqulpâc d'une batlerie de filtres Industriels, Ininflammables,
VI. 3 .3 . a - Ventilateurs de pulsion
Trois ventilateurs sont en parallèle.
Deux sont en fonctionnement normal, le t roisième est en secours ,
VI. 3.2. 3 - Rideau anti-gel
Afin d'éviter le gel des batteries pr imaires dans certains cas de fonctionnement,
une épingle chauffante préchauffe l ' a i r lorsque la température extérieure est Inférieure a 5'C.
VI. 3.S.4 - Caissons ds conditionnement
En en point sont formés les cinq réseaux correspondant aux diverses zenes.
- Le réaeau du balayage de la piscine
Ce réseau ne comporte qu'une batterie de chauffage
- Le réseau du Hall-mie OSIRIS
Ce réseau est équipé d'un caliaon de traitement comprenant :
. une batterie primaire
. un ensemble d'humidification
. une batterie froide
. une batterie chaude secondaire
75 - Lea réseaux BOUB-HOI pile Q5IR13. hall atel iers chauds, pile ISIS
Ces trois réseau» août Équipés chacun d'un caisson de traitement complet
analogue au précédent mais de capacité moindre.
VI. 3 .2 ,5 - Dispositif de chauffage de secoure
En c a s de panne du circuit d'eau surchauffée, un générateur d'air chaud alimenté
en fuel domestique maintient al besoin es t l a température intérieure à un niveau raisonnable
Pour faciliter ce chauffage de secours, le débit de balayage de l'ensemble des
locaux es t a lors réduit par a r r ê t de ventilateurs.
V. 3. 3 - CIRCUITS D'EXTRACTION
On a adopté le principe du balayage horizontal. A chaque aircutt de pulsion cor
respond donc un circuit d'extraction si tué au mémo niveau.
Par sécuri té , les circuits d'extraction de chaque bâtiment ne se rejoignent qu'aproa
les f i l t res .
VI. 3 .3 .1 - Les réseaux
On distingue l e s réseaux suivante :
a) Le réaaau de l 'enceinte d'OSIRIS
On y trouve les extractions suivantes ;
- une extraction on partie supérieure du hall (au niveau de la passerelle)
- une extraction au niveau + 4
- une extract ion»" niveau 0
- une extraction de balayage de la piscine
- une extraction au flous-sol
Cette extraction en sous-sol e s t faite a plusieurs niveaux
L'ensemble est envoyé, dans le local dea moteurs des pompes des circuits pr imaires ,
danu lequel une quantité de chaleur d'environ 500 fcW eat dissipée.
Tout l ' e l r extrait du bâtiment Pile se dirige ve r s les filtre*.
b) Le réseau du hall des a te l iers oliauds
cl Le réseau dès cellules
d) Le réseau ISIS
7»
A chacun des attain rasoaux d'extraction cofrsspond una batterie de filtrée Indé
pendante. Aprts filantion l'air a t reprla par lea ventQaMora d'extraction, at rejeta a.
l'atnjospMre par la cheminée.
VI, 3 .9 .2 - La» ventilateur» ffeatracHon
Troie ventilateur* sont en parallèle, Deux sent en fonctionnement et le troisième
est en secourt. Las troli ventilateur* refoulent dana un uOiaa collecteur, vera la cheminée.
Vi. 3.3.3 - La cheminée de rejet
La cheminée de rejet «et eUnée A dix metres au Nord dea bAUmente,
S* hanUar est de 45 » .
VI .3 .3 ,4 - Lea fUtres J'eitractjon
Avant le rejet A l'atmosphère, l'air subit une double filtration :
- une filtration par des filtres A haute efficacité. ininflammable*, capable» d'arrêter l a s Doua
nière» et les produits de f i n ton solide.
- une nitration par des filtres A char bai actif, capables da l i n r las produits de fiieion gizwx,
notamment las iodes.
a) implantation
Les filtrée d'extraction sont implanlts dîna l e s casemates en béton, occupant la
zone Nord dea ateliers chaude, su niveau - 4.00.
bl Lee filtre» «haalu»
L'élément filtrant eat «m dièdre en papier d'amiante.
L'efficacité es t de 99, as */, poor des pousslerts d'un* grannlwnetrte moyenne
de 0,3 u .
c) Lee mtree A iode
A ehaape filtre absolu, eat associé un filtre A loda (sauf pour le réseau d'extrac
tion dt la too a arrière des ateliers chaude).
L'éltmint filtrant est une cartouche A charbon actif NC S. 18 ré!. C .E .C.A. ) ,
d'efficacité minimale 10 ,
dl Manutention des filtrée
L'évacuation des filtre» ae fait par l e s trappes situées au-dessus don alveolea,
en none arrière des cellule».
Aucune precaution spéciale n'eat prise dana le «as d'une evacuation normale pour
colmatage. Dana le oaa d'un accident, oo les filtres sent tree actifs. Ils peuvent l i r e évacues,
après avoir 4M enveloppée de vynll, dana un chateau n>«nvtentlonna su pont.
77
V I . 4 - R É G U L A T I O N .
Le système est le même pour OSIItlS et pour ISIS. Le roglnge grossier de la
dépression est manuel, par des regis t res placée a l'amont de chaque ventllnleur d'extraction.
Le réglage fin es t assuré automatique nient par l'ajustement du debit de l ' a i r qui eat to pria a
l 'aval des ventilateurs de soufflage et renvoyé a l'amont, et qui a pour effet de diminuer le souf
flage dans l 'enceinte,
D 'aut res dispositifs sont prévus pour éviter que la dépression n'atteigne des valeurs
dangereuses pour l'enceinte (voir paragraphe 5.4 cl-après) .
La prise de pression de référence eat située dans le vide sanitaire de l'enceinte
étanche d 1031 RIS.
La prise de pression du hall d'OSlFUS est située au niveau + 4 au centre du hall.
La prise de pression du haQ d'ISIS est située au niveau + 10 au milieu do In paroi
Est du hall.
Les ensembles motorisés servant à la régulation de la deprasslcn sont alimonies
par le réseau secouru sans coupure.
VI, 4 . 2 • REGULATION DE LA DEPRESSION DANS LES CELLULES
Dans chaque cellule, la dépression est réglée par ajuste ment manuel du registre
placé a l 'orifice d'admission.
VI . 5 - S U R V E I L L A N C E ET SÉCURITÉ DES I N S T A L L A T I O N S .
VI. 5.1 - DEPRESSION DAWS LES LOCAUX
L a dépression dans le bâtiment OSIRIS est reportée au tableau en salle de contrôle.
De plus, t r a i s chaînes équipées de manostats 4 seuils (système on 2/3) déclenchent
une chute de bar rea en cas de franchissement du seuil. Cette chute de ba r re s est temporises
(tempe réglable de 2 à 30 mm).
La dépression des cellules est lue sur place pour chaque cellule.
78
VI. 5.2 - FOWCnOWWEMBNT PES VENTILATEURS
Un contrôleur do debit eat monte aur la refoulement da chaque vaalllataur.
En aaila da contrMe, tea ventiuteurs an fonctionnement sont aiguilla par un
voyant lumineux.
VI. S. 3 - CLAPETS ANT1-HETOPR
Lea gaines de pulsion alimentant la baU d'OSIRtS et le toll d ' i a s sont «oulpéea
abacase d'un clapet anti-retour, pour éviter qu'en cas de surpraaaian «ccldrnteCe, des gas
aettfaae répandent dans lea antraa locaux, par l e s (aines de pulsion. Cea dapete «ont
eltuf a dana lea saines. Juste i p r s i lour entrée d u s la hall qu'elle» alimentent, avant la pre
mière borche.
VI.S.4 - CLAPETS LIMITBUHS DE DEPRESSION
L« hall d'OSnilS est muni de dam clnpsta. C«a «lapeta «tanches aous la, déprea-
alon de S mm C.B. s'ouvrent quand la depraaalQn atteint 10 C.B. La depression qua peat sup
porter l'eaceurte «tsnofaa eat supérieure a 40 rani C. E.
VI, S. 5 - SURVEILLANCE DU COLMATAGE DES FILTRES
Un rasnoinstrt différentiel & lecture directe (un par réseau), permet. A partir
du couloir dea alveoles, la surveillance des flltrea a hante efficacité on réseau.
Poor lea flltrea ft lode, un filtre témoin par réseau, permet la contrôla daa
filtras principaux.
VII - LE CONTRÔLE
VU. 1 • CONCEPTION GÉNÉRALE DU CONTRÔLE.
Le centrale d'OSIRIS est conçu et organisé pour assurer une grande continuité
de fonctionnement et une bonne précision de pilotage dans dos meilleures conditions de sécurité.
P^ - ai l leurs le contrôle es t chargé de recueill ir un grand nombre d'Informations concernant la
plie et les expériences tout on allégeant au maximum la tache du personnel de conduite.
La sécuri té do fonctionnement conduit A introduire dons le contrôle un certain
nombre d'automatismes :
- les automatismes do verrouillage qui Interdisent des con figurai ion s do fonctionna ment incom
patible s,
- les automatismes d' ictlons (sécurités) qui limitent les plages de fonctionnement,
- les régulations de conduite (pilotage automatique). Ces automatismes doivent empêcher une
marche anormale du réacteur et réagir éventuellement plus vile que le conducteur de pllp en
CBE de défauts. Ils n'ont cependant pas pour but d 'assurer un fonctionnement entièrement auto
matique : c 'es t à. l'équipe de quart de prendre les décisions conformément au programme de
marche et aux consignes de fonctionnement.
La conception des circuits tient compte également du taux de continuité de fonc
tionnement. Les sécuri tés ne doivent agir que pour des raisons absolument valables. C'eat
d'ahoru par un choix judicieux et logique des paramètres que le nombre faible d 'a r rê ts intem
pestifs est obtenu. Pour s'affranchir dans une certaine mesure des pannes, tout en choisissant
un matér ie l simple, robuste et fiable, les ordres d'action de sécurité sont élaborés par des
chaînes électroniques montées systématiquement en deux sur t rois .
Cette conception générale du contrôle conduit tout naturellement a regrouper
au maximum les moyens do contrôle (appareillage, organes de commande, informations) et &
hiérarchiser les informations présentées nu personnel de quart pour permettre une intervention
rapide et efficace.
BO
VII. 2. OBJET DU CONTRÔLE.
VU, ï , 1 • MESUHE ET CONTROLE DE LA PUISSANCE DU REACTEUR,
VII. 3 .1 .1 - Msaure da la naissance
La réacteur teoeSœne a son rtgia* nominal a uns pulaaanea constante de 70 MW.
ce qui correspond & une certaine intensité du n n de neutrons dana lai expériences
Pour maintenir au mieux dana l'ensenible do» expêriencea cet Iniesaités de flux
O un niveau constant et «table, la réacteur eat pilote a puissance coca tente. Lee barres de con
trol* aoet levées 1B• unes après laa entras dons un ordre détermine. Usée 4 l'avança.
Un aoUx particulier a été apport* dana la mesure de la pulsssnee :
- Pufeaaca thtrracdYnainleue permeltant de (aira un bilan précis (+ S */•>• Celte puissance i e
mesure aux bornes des cohingeurs do circuit coeur en tenant compte de deux termes :
. an tirme principal JCja t a u bornes des échangeurs
. an terme correctif tenant compte des échangée avec la piscine par 1'internédtalre du
circuit d'équilibre
Urn telle mesore néceaalte d'être dans un état d'équilibre thermique dam
l'ensemble des circuits.
- Fuinence aiote le relativement stable et fidèle déni le tempi. Elle e i t rési l iée en mesurant
l'activité spécifique en Atete 10 de Peau de réfrigération du coeur. Cette Indication permet au
démarrage et a la suite de variation! de puissance au cours du cycle de fonetioanomont de se
recaler au niveau da pal n a n c e ITUUBI.
La chaîne de mesure Axote 16 pennat donc de faire un reealaea rapide que oon-
flrasrn un bilan thermique qu'on ne peut établir qu'a la nulla da la période de stabilisation
(environ 2 heures).
- Pulnance nucléaire fournie par :
. la chaîne de pilotage
. les trois chaînes de sécurité
. l e i trois chaîne» a fleelon mobile en tenant compta de leur position relative par rapport
an coeur.
Ces dlfférentea chaînée rat peuvent pas, sans être reeeMaa, servir de chaînée
d« ne iure de la puissance, car e l le i •. .rivent dam le tempe par suite dei perturbation* de flux
dîna 1* coeur (déplacement des birres de contrôle). Les valaure de l'écart avec les mesures
thermodynamiques et HIS sont vérifiées périodiquement.
Pour limiter l'inflnenee des variations de (lus dues aux dispositifs expérimentaux,
lea chaînas de contrais sont dlspeaéaa dans rate zone réservée .
8 1
VII, 2 .1 .2 - Contrôle de la puissance
Vil. 2,1,2.1 - Contrôle neutrunique de la puissance
La puissance du réacteur est contrôlée depuis le régime sous critique jusqu'à
la puissance nominale PQ par les mesures nucléaires des troic chalhes de démarrage mobiles
équipées de chambres à fission.
La position de chaque chambre eut ajustée de façon 4 maintenir son taux de
comptage dans une plage délimitée par les bornes N- - No.
L'éloigné ment du coeur a une vitesse constante V de la chambre, correspond
h une évolution exponentielle de la puissance du réacteur avec une période T inversement pro-
portionelle & la vitesse V ,
La période de montée en puissance peut être limitée en maintenant la vitesse
au-dessous d'une valeur nominale prédéterminée,
La connaissance de la loi d'atténuation du (lux en fonction de la distance permet
de cor ré le r , taux de comptage, position de la chambre et puissance du réacteur de 10" Pn à Pn.
L'atténuation pour une chambre en fonction de la distance est pratiquement Indépendante do la
position des deux aut res chambres.
VU. 2 .1 .2 .2 - ÇmlrOle d e l à puiBsance_de 2 .10" 3 P n ù 2 Pn
Dans le domaine do puissance allant de 2.10" Pn 4 2 Pn, 11 importo d'avoir une
Indication précise de la puissance pour la conduite manuelle ou automatique du réacteur.
Le signal de la puissance est celui d'une chaîne de mesure sensible r-u rayonne
ment S située & 2,6 mét rés de la lace Sud du caisson.
C'est en se référant 4 cette Indication que manuellement ou automatiquement on
agit sur la barre de contrôle choisie en barra de pilotage. La barre est commandée par un asse r
vissement tout ou r ien, 6. partir du signal S • — = - — (P est la puissance lue sur la chaîne
de mesure et Po la pulsssnce de consigne). Le déplacement de la barre se fait a vitesse cons-
VH.2.2 - LIMITATION DE LA PUISSANCE DE FONCTIONNEMENT DU REACTEUR
La puissance maximale admissible de foncti tenement du réacteur est liée :
- 6 la température des plaques dea éléments combustibles
• 6 la tenue du caisson en i l rcal loy
• aux expériences placées dans le coeur et II l 'extérieur du coeur
Les paramètres assurant la protection des éléments énumérés ci-deasus et
limitant de par le fait la puissance du réacteur , ont été fixés en tenant compte du régime de
fonctionnement du réacteur :
• régime de fonctionnement normal
- régime transi toire consécutif a un Incident.
02
VII. 2 .2 ,1 - Régime de fonctionna ment normal
Lea débita du circuit de réfrigération du circuit coeur et du circuit piscine sont
normaux. Il faut se protéger contre les fluctuation* lentes et rapides de la montée en puissance
(éventuelles excurslonu de puiaaance) d'origine nucléaire. Les actions de sécuri té limitant dans
ce cas la puissance maximale sont les suivantes :
- baisse de puissance à 0,4 Pn s i la température sortie coeur dépasse une première valeur
fixée,
- arrê t du réacteur par chute des deux b a r r e s de sécurité el la température sortie coeur dépasse
une deuxième valeur fixée,
- a r rê t du réacteur par chute des deux bKrres de aécurlte si le taux de comptage dos chaînée de
démarrage dépasse un taux de comptage maximal (N4),
- arrê t du réacteur par chute dea six ba r re s de contrôla par franchi a sèment des seuils maxima
sur lea chafhee de sécurité haut niveau.
Vil. 2 . 2 . 2 - Régime Iranaltolre consécutif A un Incident sur lea circuits de réfrigération
Il faut ne protéger contre les Incidents d'origine thermique venant d'un fonction
nement anormal des circuits de réfrigération du coeur et de la placine (arrêta de pompes, fuites
Importantes . . . ) ,
Les actions de sécurité l iées au régime de fonctionnement considéré ci-dessus
ne résument aux suivantes :
•• pour le circuit coeur :
arrê t du réacteur par chule des ba r re s de sécuri té s i le débit tombe au-dessous d'une valeur inférieure s 0,0 Qn ou ai la. température d'entrée dépasse un seuil fixé (seuil réglé actuellement en fonction du débit 0 ,9 Qn). - pour le circuit piscine :
R) ba isse de l a puissance à 0,4 Pn s i le débit tombe au-dessous d'une valeur égale A 0, B Qn.
b) arrê t du réacteur par chute des ba r re s de sécuri té s i le débit tombe au-dis sous d'une valeur
égale a une fraction, de Qn (seuil réglé actuellement ft 0,7 Qn),
Cependant dans le cas d'un a r rê t t rop rapide de circulation d'eau, les actions
dérinles ci-dessus ne suffisent pas a éviter l 'endommageaient des éléments combustibles. C 'es t
pour s'en prémunir que les circuits de réfrigération du coeur et de la piscine ont été conçus de
la façon suivante :
a) pour le circuit coeur
* trois pompes disposées en parallèle assurent le maintien des débita aux valeurs nominales
diminuant le risque d'un a r r ê t brutal et total de U circulation d'eau,
. les t rois pompes sont munies d'un volant d' inartie permettant une décroissance du débit com
patible avec la puissance lors du passage en convection naturelle.
83
b) pour le circuit placing
- une seule pompe eat en service, mais elle eat munie d'un vêlant d'Inertie pour éviter les t ran
s i toires dangereux e t l a i s se r l a possibilité de lancer la pompe on réserve .
VU. 2. 3. 3 - Cas particulier du fonctionne ment en régime baeao puissance
Lea circuits de réfrigération du circuit coeur et du circuit piscine sont & l ' a r râ t
et l 'action des paramètres débits associés est Inhibée.
La limit a lion de la puissance maximale admissible fixée dans ce cas A 1,7 MW
est assurée par les chaînes mobiles de démarrage [franchissement des seuils maxima N4)
entraînant L1 a r r e t du réac teur par la chute des deux ba r re s de sécurité.
La sécurité puissance maximum des chafhca de sécurité reste cependant toujours
en serv ice .
VII. 2. 3 - REGIMES DE FONCTIONNEMENT D'OSIRIS
Le régime du r6acteur est ajusté a l'aide de G barres do contrôle identiques qui
peuvent a s s u r e r chacune indifféremment mais non simultanément les fonctions do sécurité de
compensation et de pilotage.
Avant d 'embrayer les ba r re s de contrôle, 11 faut choisir, a l'aide d'un com-
inutateur, entre deux régimes da fonctionnement sur une boucle dite "autorisation do démar
rage" .
- régime basse puissance permettant lo char Bernent, le déchargement du coeur du réacteur en
toute sécuri té . Le choix de ce régime provoque en effet l 'arrêt des pompes du circuit coeur pou
vant provoquer l'envol des éléments combustibles au cours des opérations rappel lie s c l .dessus .
Ce régime de fone lionne m ont Interdit le redémarrage des pompes.
Ce régime de fonctionnement permet encore de fonctionner Jusqu'à une puissance
maximale limitée a P ™ " 1> 1 MW compatible avec les possibilités de refroidissement per con
vection naturelle. Pour que l a puissance ne puisse excéder l a valeur P „ p • 1,7 MW le commu
tateur de choix met en service lea .-erroulllsgea suivants :
. recul des chaînes de démarrage interdit au-delà des positions prédéterminées dites Y
. montée des ba r re s de sécurité possible que si les chaftiee do démarrage se trouvent entre le
coeur et 1» cote Y.
- régime haute puissance autorisant le fonctionnement à pleine puissance. Tous les circuits de
sécuri tés sont en service .
a* VII, Z.4 - DEMARRAGE
VII. 3.4.1 . Opération! da chargement el de BféwJttHan au démarrage
L'opération de chargement du coeur du facteur Impose les conditions suivantes :
- contrôlée nucléaire» et de radloprotectlon en service
• régime de fonctionnement choisi ''régime basse palasanee"
- enceinte «leech* en dépression
- retrait de la clé de manœuvre (verrouillage et déverronUlsge) dea élément• combustibles
arrêtant loe pompes du circuit coeur «t Interdisant leur mise en service.
Coi conditions préalables étant rés i l iées , l'équipe de conduite doll effectuer
IEB séquences suivantes ;
- positionner lee troll ehafhea de démarrage pour obtenir un taux de compta go supérieur ou toux
de camptogu minimum fix* Nj qui interdit loul mouvement sur lea six bnrree de contrôle, Lt
déplacement dos troli cbafhc* doit se foire dans l'une des eonflgurntianB de barrée de contrôle
•ulvante : soit lea •!« b n r t i do contrôle en position basas, eott l e s deux barres de sécurité
en position haute.
- armer too bouclée (beuUa d'autorisation de démarrage, de chute dee deux barrée de sécurité,
de chute des six barras do contrôle) autorleaul le mouvement so i berres,
- essayer lea barrée do contrôle : tempe ce moetée, de descente t de chute.
- sélectionner et mooter tea barres de sécurité en position haute,
• charger Ici élément! cetubustl bise un par un.
• a partir du I6me élément prédéterminé sur la maquette critique ISIS, monter une barre de
compensai Ion entra fi bique chargement d'un élément combustible et not or l'évolution du taux de
comptage des trois chaînes de démarrage. Palm A partir d'un chargement minimal, effectuer une
•pproche sons critiqua entre chaque élément.
- la chargement terminé, procéder a la mise en plaae des dispositifs expérimentaux et refaire
une approche sous critique.
VU.2.4 .8 • Montée en puissance ver» Pn . 70 MW
On réalise d'abord lea séquences nécessaires a l'opération de chargement et de
fonctionnement en régime basse pule H on ce pule lea séquences suivantes :
- mettre en place la clé de manoeuvre dea éléments combustibles supprimant un des verrouillages
sur le» pompes du circuit coeur,
- choisir le régime "haute puissance" supprimant le deuxiène et dernier verrouillage de i s i se en
service deapurapea du circuit coeur. Ce choix autorisa 1* déplacement des trois chaînée de démar
rage eur toute 1'eteodue de la plage permettant d'atteindre la puissance nominale Pn,
- établir dans l e s circuits coeur et piscine l e s debits nominaux.,
• monter eu puissance la réacteur vers sa puissance nominale en maintenant la vitesse de montés
InTérleure a 100 KW par seconde. Cette montée en puissance peut s e h i r e salt en pilotage auto
matique, «oïl en pilotage manuel. Cependant la montée de 40 MW à 70 MW s e fait en pilotage
automatique.
es
- Bl nécessaire BU cours d'un palier â, 40 MW [cire un bilan thermique et reprendre ie réglage
des seuils de sécurité.
Vlï. 2 ,4 .3 • Séquence a respecter pour réal iser un démarrage rap'de apréa un ar ré l
Intempestif
Au cours d'un cycle de fonctionnement, pour éviter un urrél prolonge dfl nu sur-
empolsonncmcnt par le Xénon après une chute des barres dc sécurité, il fnul laisser les t rais
chaînes de démarra go avancer en déçu de la position dite X 1, position qui Inhibe In sécurité
"mini courant" sur les chaînes de sécurité haut niveau et remet en service la sécurité période
élaborée par les t rois chûmes dc démarrage.
Cependant l'avance des chuthes de démarrage doit être limitée a une position
tellu que le taux dc comptage atteigne un niveau raisonnable autorisant la montée des deux barre»
de sécurité sans franchir le seuil do comptage N- . seuil qui Interdit la montée des bar res
Au cours de cette séquence de montée des barrea, le déplacement des chamec de démar
rage est verrouil lé.
VII. 2, 5 - PRINCIPE DE LA SECURITE
La sécurité englobe l 'ensemble des moyons mis en oeuvre pour protéger :
- le réacteur contre les dommages qu'il peut subir au cours d'incidents liés a son fond Ion ne nie ni
(sécurité du réacteur)
- le personnel travaillant Buteur du réacteur {sécurité rod lo protect Ion),
VII. 2 .5.1 - Sécurité du réac teur
Pour lui donner toute sen efficacité et pour éviter des redondances Inutileu cl
le plus souvent nuisibles, le nombre do paramétres entraftiont des actions de sécurité (baisse
de la puissance, a r rê t du réacteur) a été limité par un choix judicieux. Cette limitation simplifie
la chame de sécuri té et accroît le taux de marche du réacteur.
Pour accroître encore ce taux de marche, tous les paramétres cnlrafnant une
action de sécurité sont t r a lu ' i par dos chafhcs montées en "deux aur t ro is" . Cela signifie qu'un
paramètre est contrôlé par t ro . i chafties de mesure distinctes suivies de circuits logiques indé
pendants jusqu'su circuit de r&grojpemcnt final qui émet l 'ordre d'action de sécurité. Pour r e s
pecter cd principe d'indépendance, chaque chafno esl alimen'ée a partir de sous tronches d i s -
tinctes et protégées l e s unes par rapport aux autres.
Les chofnes des circuits logiques sont réalisées en statique.
Pour détecter les pannes qui ne sont pas visualisées et qui peuvent bloquée l 'ordre
émis par une chafne de sécuri té , un dispositif de tes! automatique contrôle en permanence
l 'ensemble des éléments logiques des circuits de sécurité.
80
VU. 9 .5 .1 .1 - Activai d_«_i*eurltj5
Les divers moyens d'action (manuel! eu automatiques) rai» en oeuvre dam lea
circuits de sécurité du réecleur sont lea suivants i
- l'autorisation, de démarrage
- l'arrêt do mentes des barre»
- l'alerte,
a] L'autorisation de démarrera sat un anioioetlsmB qut permet ta démarrage du rrsoteur en vue
d'ja régime choisi a l'avance. ' « • psrsnièlres U<« à e e t autoanatlBma sont rénunés dan» la
tableau 1.
b] l.'arrtt de montée de* barres eat Un actomntlsme signale & l'opérateur.
c] L'alerfa «et un signai signifiant qu'il y a danger & plus ou moins brbve échange peur le person
nel, l'installation ou l'expérimentation.
Solvant r imminence du danger, en distinguo deux catégories d'ninrts i
- l'alerte suivie d'une action automatique de sécurité el la danger est Immédiat. Elle «'appelle
aulvant le eue s
. alerte luivie d'une b » i j I B de pule son ce contrôlée
. alerte luivie d'une chute doi deux barrée de eéourlt»
. alerte suivie d'une chute dee six barrée de contrôle
- l'alerte non suivie d'une action automatique de sécurité, al le danger n'eet pu» immédiat
Cepomient al le paramètre éveil» dangereueement. l'opérateur pent arrêter le réacteur par
chute dto deux barres de eéuurlté,
Ce elpinl alerte diffère de l'anomalie qui est considérée comme étant un avertie-
aetnant sane qu'il y ait danger. Sa présence impose M'opératsur, • oit une Intervention sur le
matériel défaillant, eelt Je surveillance constante du paramètre incriminé.
L'enaenwie des paramètres provoquant l e s alertée e u » groupée dene l e tableau I .
VU, a, S. S - Sécurité rsdioarotectlon
L'installation radloprolectioo assure la afcurité du personnel travaillent autour
du réacteur, en le prévenant de toute augmentation anormale des niveaux d'activité en rajonne-
ment gemma en gaz et pousdtre radioactive,
L 1 organisation de In redloprotectton est conçue ce manière à prévenir l e person
nel dans l i t plus brefs délaie. Des coffrets répartis d u e l'enceinte 6tanche signaient, en local,
toute activité anormale. Cette itgnaUsatlon eet reportée en salle de centrale oo ee trouve l'équipe
de conduite.
Les caractéristiques do signal émis (sonore et lumineux) dictent en personnel
la conduite a. enivra :
- limitation de ctatlaKaemeBt dans 1s « n e critique
- évacuation Immédiate de le senc critique
- évacuation l a médiate de l'enceinte «tanche (hall pile).
Cea signaus sont automatiques.
8 7
TABLEAU t
Conditions liées a l'autorisation de démarrage
Boucle basse puissance P m a i - i , 7 M W
Boucle haute puissance P ma» = 77 MW
Ventilation enceinte étanche correcte
Ventilation enceinte et one ho correcte
Chaîne de sécurité haute niveau en état de marche
Chaîne do sécurité haut niveau en état de marche
Circuits do sécurité en service
Circuits ds sécurité en service
Circuit de réfrigération du coeur ù l ' a r rê t
Circuit de réfrigération du coeur et de la piscine en service
Chaînes de démarrage positionnées dans la zone comprise entre le coeur et la cote Y
«0
TABLEAU 2
A L E R T E
Alerte simple Balaie de puissance centrale* Chute de dcui barres de sécurité Chute de aix barres
de contrôle
Détection de rupture de gaine
Preaeloa différentielle coeur
Pression dlff«. rende De coeur
Période chaîne mobile
Chatte t!e sécurité haut niveau
Expérimentation Preaalen différentielle plielne
PraaKtn dlXM-reDilella piscine
Comptage chaîne de démarrage Chute dirféréa
Température •ortie soeur
Température sortie coeur
Baisse de puissance contrôlée Expérimentât! <»
Température entrée coeur
Température entrée coeur
Depression hall Plie
Expérimentation EapérimenUtlea Ordre manuel du plongent r
TABLEAU 3
A N O M A L I E
Pression différentielle coeur
Température sortie eoeur AxotelS Espérlmentstlm
Pression différentielle piscine
Temperature entrée coeur
Débit circuit équilibre ChsAte de sécurité
D.B.O. Mauvais fobc-ttoniiemett
Temperature Sortis piscina OrouUlsBt
as Dana cer t ai n i can particulier», V-ordre d'évacuation peu l être donné a partir de
ta galle de contrôle par le personnel habilité.
VII. 2. B - INFORMATIONS PILE ET EXPERIMENTATIONS
Lea information! fournies a l'équipe de conduite sont hiérarchisées et peuvent
6tre c l a i i é e s en trois catégorisa :
- informations nécessitant une Intervention rapide el immédiate. Ces Informations sont groupées
sur le pupitre et concernent :
. les bar res de contrôle
. l a boucle d'autorisation de démarrage (voir tableau l)
. les anomalies (voir tableau 3)
, les alertes {voir tableau 2).
Ces deux dernières catégories sont Issues des chaînes do meaure et des circuits
de sécurité associés .
L'ensemble de ces informations e i t fourni en plun par le traitement centralisé
des mesures et des signalisations.
En ca* d'Incident, le traitement centralisé des mesures el des signalisations
restitue l 'historique du paramètre , cause de l'Incident, sous forme de bande perforée que l'on
exploite pour déterminer la cause de l'incident.
V I I . 3 - L E S MESURES N U C L É A I R E S .
VH.3.1 - GENERALITES
L'ensemble des mesures regroupées sous le vocable "Mesures nucléaires" se
compose de ;
- t ro is chaînes de démarrage mobiles
- t ro i s chaîne* de sécurité haut niveau
- une chaîne de pilotage
- une cha&ie Azote 16
- une chaîne de détection de rupture de gaine.
90
VII, ï , 2 - LE5 CHAINES LE DEMARRAGE
Ces ehaTnee. su nombre de trois, permettent de contrôler le démarrage ai l e
a ailée en pufaaance du réacteur depuis le régime sous critiqua jusqu'à la puissance nominale.
Les chambres icnt denc mobiles et se déplacent en maintenant la Qui neutre*
oJquedane use plage fix.ee par lea borne» N o ~ S Î . No - NS raprdaenlaat dea taux de comptage.
lia calculateur analogic» permet, compte tenu de la peattian de la chambre «
du comptage, de calculer la « t o u r réell» de la puissance. Laa gammée de fonctionnement sont
reprdaeeMee aur la figure 1.1.
Chaque chatbe comporte (roia parties principal** ;
a) l'ensemble de comptage qui comprend :
- la détecteur
- la chaîne de me cure
ta) l'ensemble de commande- du mouvement do la chambre
e) le calculateur de pulaeanca M do la période réelle
La diagramme general d'une chaîne est vieiblv aur la figura 7.2 ,
Vit. 3.2.1 • Ensemble de comptas»
V1I.3,2,1.1 - Le.dltecteur,
1 - Le détecteur est une chambre a fission CFU 3,
3 - Lai condition! d'utilisation sont l e s suivante ï j
a) flux neutranlque moyen : 1,2,10 n/cra / s ec . La chambre A flenton ia déplace par rapport au
coeur de m mitre telle que le flu» soit maintenu dans une plage limitée par No • ï . 10 c/aec
e tHS * ID* o/aee.
b) rayonnement gamma da l'ordre de B. 10 H/h. La limite inférieure d> leniitOité aux rayonne-
m esta gara ma «tant de M B/h, l'intensité gamma fi laquelle eat sataHas U ebambro & flee Ion
entrera* «m taut de comptage parasite du BOX impulsion* de faible amplitude par rapport aux
Impulsions "neutron.". Ces Impulsions, compte tena du temps do resolution de l'électronique
eacoalé* (Te • 2j*mtc) aoni "ampufieea" par etfat d'empilement et ••appareaieirt ainsi aux Im
pulsions "neutron". Leur élimination nécessite on réglage da BBDH de discrimination à un Bteeeu
tel qua les pertes du taut de comptage so chiffrent & 40 "/• environ pour usa lotonsU* de rayonne
ment gamma, de S. 10 R/h (voir figura 7.3) , ce qui, pour l'Intensit* du rayonnâmes* gamma de
8.10 R/h a 70 MW représente la parte du taux de comptage de 39 * / . environ.
Lea performarces da l'électronique, l'intensllt importante du rayonnement
gamma montrent qua ee aoM la des limit*» d'util! artlcn peur l'obtention d'an comptage repré
sentatif.
D'autre part, cette intensité gamma entraîne one dur*» de vie de la chambre h
fiaaloB de l'ordre de 1 000 Joar*.
Peur atténuer l'effet du flu« gamma, lea contain e n des chambrée possèdent une
chemise de plomb dont l<épai--« u r *-t de 2 cm pour les faces l ittralee et de A cm pour lee facee
vanl. suplrlaure et inférieure.
c) Température dans to container de l 'ordre de 35*C
3 - Montage et position du détecteur : vi
La chambre est montée dans ui n AG 3 dans lequel c. de l ' a i r sec pour éviter la condensation.
Co container est placé dans l'angle Sud-Ouest de la Pincine dans un plnn hori
zontal situé a 208 mm au-dessus du plan médian du coeur. La direction de la chambre Nord
Nord-Est .
Pour éviter la détérioration du eûble de liaison, pur les rayonnements gamma
ce dernier a été remplace par un prolongateur a a i r danB la zone où le flux est partlculleromci
Important.
VII. 3. 2 .1 .2 -ÇhaJhBjJeçpmptDço : voir diagramme général figure 7.5
1 - Constitution de la chnme :
C'est une chu the MILOG [MERLIN CE It INI qui c e m p o r i u m s notamment :
- un préamplificateur.
- un circuit d'entrée suivi d'un dlHcrltninatcur.
Eneuito lo signal est aiguillé dans Irais directions, soit vers :
a) un ictoroctre linéaire
b) un ictoraclrc logarithmique
Son signal de sortie es t exploité par :
. un pérlodemelre de sécuri té suivi des déclencheurs {temps de réponse environ 20 s)
. un calculateur do puissance log F et do période réelle dont en parle plus loin.
c) un ietometre l inéaire,
2 - Enregistrement et signalisation :
Sur la face avant du l i rolr électronique dos galvanomètres donnent :
- le logarithme du taux de comptage : Log N
- la période apparente.
Sur le pupitre en salle opérationnelle on trouve r
• un Indicateur donnant log N
- un enregistreur donnant :
. soit log P qui est le log N corr igé suivant la position de la chambre a fission
. soit la taux de comptage N élaboré par l'ictoraèlre linéaire
- des voyant B Indiquant la plage à l 'Intérieur de laquelle se trouve la valeur du taux de comptage
VII. 3. 2.2 - Ensemble de commanda des mouvements de la chambre
VII. 3. 2 .2 .1 -Généra l i t é s
L'axe de déplacement de l'ensemble container-chambre a (lesion est sensible
ment perpendiculaire au c œ u r (race Sud) dans un pion horizontal situé a 20B mm au-dessus du
plan médian du coeur. L'ensemble container-chambre a fission se déplace depuis la cote 200 mi
par rapport à la face Sud du coeur Jusqu'à la cote 2 D0O mm.
Les caractérist iques du mécanisme sont :
- vitease du déplacement 7,5 mm/sec ± 10 */. » '1 est prévu de pouvoir changer cette vitesse
02
par un simple changement de pignon dims le réducteur,
• moteur d ' en t ramènent commer-dé par lait ai: rien,
• mesure de position par synchro Iransiccltcur avec taie precision d'affichage do la petition dea
chambres de + S uni , ce qu! correspond A one variotloo de S */« environ sur le taux de comptage.
Vi l ,3 .2 .2 .2 • Fins de course
Le mécanisme comporte quatre contacta dp fin de courte :
- 2 «cutsets de flft de courue «vent et arrière
- 1 contact de fin de course eignale In mu-courue éloignée ( î 100 mm pur rapport au coeur)
• I contact de (In de course signal© le passage * 1" position " Y " servant au verrouillage du
déplacement dos chaînes rooblloH lors du Ton ctl anno m G ni sans refroidi t i c ment [régi ni s baaao
puissance),
VII. 3 .2 .2 .1 • Commande du mouvement d'une chambre
a) Commande automatique
Le mécanisme de déplacement dee chambres roçoll dci ordres dépendant du loux
de comptage (voir lo diagramme de foaciloaaemem des chafiies neulronlquea ligure 7. II. Cos
deux seuils NO et VI maintiennent IOB chambres A Hieiondons une aonc de flux nculronlque
moyeede 1,2.10 n/cra / s e c .
Ils sont réglables indépendamment l'un de l'autre, u a t i un système de *erroull-
lege Interdit un réglage NO < N2.
b) Télécommande
Cette commande permet ft l'opérateur de transmettre dea ordre* d'avance ou de
recul & la chambre députa le pupitre & l'aide d'un clavier.
Pour que la tflécomnmade aoît efficace, i l faut d'abord mettre hors BOrvioe la
commande automatique par an commutateur a c l é individuel par chambre. Cette scllen devexreoU-
la la télécommande.
Le mouvement de l a chambre peut alors être commandé par l e commutateur a
trois touchas a e.eluslon :
- aoe touche avouée
- une touche de rappel (arret)
• une touche recul.
Cette commande autorise le déplacement de la chambre sur toute la oourse, quel
que sott le tous do comptage dans lo cas du régime "haute puissance". Dana le c e s du régime
"basse puinionco" lo retrait «ai limite a la cote Y .
93
c) Commande manuelle
Le déplacement de la chambre peut également être commando depuis In margelle
par une manivelle. Dnns ce cas , un dtbrayage mécanique déconnecte le moteur et verrouille les
ordres de commande issus do l'électronique.
VII. 3. 2. 2.4 - y.errou]UaBeB_liés_a_U_commandodes chambres
Lo ro'.r.iit dco chambres tant en commande automatique qu'en télécommande eut
interdit tant que les deur b i r r ea de sécurité" ne sont pas en position haute ; il est par contre
autorisé en télécommandf. si toutes les ba r re s sont en position basse.
Enfin, le retrai t des chambros au-delà de la position " Y " n'est pas autorisé
lorsque le régime de fono lionne ment choisi ct.t le régime basse pu La nonce (sans refroidissement
rorcô).
VII, 3. 2. 3 - Calculateur de puissance et de période calculée
Ce calculateur, du type analogique, utilise comme signaux d'entrée, d'une port
le logarithme du taux do comptage fourni par l'Ictomètro logarithmique et d'autre part, la posi
tion dn la chambre (xj. SI l'on appelle f (x) In fonction d'atténuation du flux on fonction de lu
distance entre lce deux positions oxtrémes do déplacement dos chambros ot P la puissance de
là plie, on calcule P d 'après la relation
N • Kf (x) N - K P i ' tot
Boit r Log P • Log N + tac • A
- log N es t donné directement par l ' ictomtlro logarithmique
- x es t donné par un potentiomètre
Toutefois ceci implique que lu loi d'atténuation du flux f [x) est une exponentielle.
Pour lo vérifier, on a trace expérimentalement pour les t rois chafnea mobiles les courbes don
nant les taux de comptage en fonction de la distance A deux niveaux de puissances différents
{P : 2B ItW nt P ; 300 kW) pour coiwrir toute la plage de déplacement des chambres [voir figure
7. G el figure 7.1). De ces deux réseaux de courbes, on a déduit la courbe (figure 7.3) qui donne
la variation relative du flux en fonction do la dlstor-ce du coeur. A partir de cette courbe on a
corrigé lo signal donnant la position de la chamb.-*. x pour lui donner une allure exponentielle.
La sommation des deux te rmes log N et Kx est réalisée par un amplificateur
opérationnel. La valeur du logarithme de la puissance log P est enregistrée en salle opération
nelle sur le pupitre et étalonné en fonction de la puissance.
La période calculée est obtenue par differentiation analogique du signal fourni
par l'amplifie aie ur opérationnel.
U4
Vil ,3 .2 .4 • Delermlnation de» senile H2 KO M3 M« de la cole Y et de to cote XI
Le réseau de» courbes (voir figure 7.0) donnant l'évolnllen de la puissance en
fonction de la position de» chambres par rapport ou coeur et ceci pMr différents Mvetiux de
tous de comptage a permis «!c determiner les valeurs des seuits Kî MO N3 NI • KO Ni fixant
les limites de mouvement des chambres en automatique, N3 seuU arret de montée des barres,
H4 seuil de coûte des barres de sécurité.
C'est également & partir de ce réseau de courbes que l'on a déterminé la coté Y
mil correspond s la cote maximum du retrait des chambres mobiles dai>c la cas du fonctionnement
en régime batte puissance. Cette cote Y a été déterminée en tenant compta des deux paramètres
salvants : puissance maximale admissible en régime basse puissance, soit 1,7 HVV + 10 ' / «
valeur du taux de comptage maximum N4 = 7.5.10 c / s . Ce réseau de courbes a permis égale
ment de fixer la valeur de la cate XI enlralbant l'Inhibition de la sécurité période élaborée par
les chaînes de démarrage et le déverrou lllage de la sécurité "mini courant" dee chaftiae do sécu
rité haut niveau.
Vil. J . • LES CHAINES DE SECUB1TE HAUT NIVEAU
Les chantes do sécurité, au nombre do trois, ont pour fonction essentielle de
fournir un ordre da chute des six barrée en cas de dépassement d'uno valaur prédéterminée du
(lux nouironique, done du niveau de puissance du réacteur.
Ces ehaa-BB donnant une Indication a partir d'un niveau de puissance de l'ordre
de O.IO*3 Pn.
Ce eont dos chaînes linéaires a courant ; elles sonl totalement in dé pond ante»
entre elles.
Ce sont des chambrée d'Ionisation compensées du type CC S.
VII,3.3.1.1 - Les conditions d'utilisation dans OSIRIS sont :
- flux nmitrcolque de l'ordre de 2.10 n/cm / s e c
- flux gamma do l'ordr* de S. 10 R/h
Afin do diminuer !e courant produit par les gommas qui est un courant parasite,
deux solutions sont retenues :
a) Le* chambres sont entourées de 4 ,5 cm de plomb sur las faces avant M latérales, ce qui
réduit la flux gamma au droit des chambres d'un facteur 10 environ.
b) Le signal du au Dux gamma est compensé électriquement. Facteur da compensation « 5 %.
Oa constate sur ces courbes que la compensation des flux gamma élevés est délicate. On
arrive, cependant, ft un facteur de compensation de l'ordre de a '/• avac une haute tenilaa
négative de l'ordre de 10Q V.
9 5
Dana ces conditions, le flux gamma donnant lieu n un signa] parasite s T O de •
Lo courant resultant sat alors de : 2 , 5 . 1 0 " 7 A.
Le courant dû aux neutrons peut être évalue a : 1,7. t o " 1 4
K 2.10° soit 3,4. lt>"S A.
SI on compare le courant dû aux neutrons (40 A) nu courant dû aux garnmna
(0,25 A), on peut conclure que le courant tneHure sera bien représentatif du flux neutronique
Issu du réacteur.
La haute tension positive adoptée est de 300 V.
VIT, 3. 3.1.3 - Montage ot position du détecteur
Los trois chambres sont montées dans trois containers en AG 3 Indépendant
pour les trois chambres. De l 'a ir sec circule dans le container pour éviter la condensation.
Pour éviter la détérioration des cables do liaison dos chambres, ceux-ci sont
remplacés sur une longueur de 1 moire par des prolongateurs a air .
La position du container dos chambres ost ajustable par bonds de 50 mm, leu
doux positions extremes do la face avant du contai nor sont A 1G70 mm et 871) mm de l'axe du coeur.
VII. 3. 3. 2 - Chafno do moHuro
C'osl una chafne ACSII 20.
n) Chaque chafno corn platement Indépendante comprend :
- lo cable de liaison : la liaison entre- le chassis do mesure et le prolongateur ù air de ta chambre
est a s surée par un cable classique placé dans un boa en Inox, La longueur du cable est de US m
- un amplificateur llnûalre
- une alimentation haute tension positive do ODD V
- uns alimentation haute tension énngtlvc de 3aa V
- une alimentation basse tension
- un circuit de test qui permet la vérification des seuils par Injection d'un courant variable. Ce
tes t est commandé par un bouton poussoir situé sur le bandeau
- t u test doa tensions d'alimentation BT ot HT sur les galvanomètres de mesure par l ' intermé
diaire d'un clavier ô touches situé sur le bandeau.
b) Etalonnage
Pour connaître la valour de la puissance en fonction du signal fourni pur lea
t rois chaînes, cellas-cl ont été étalonnées (figure 7.11). Cependant cet étalonnage no donne
qu'une valeur approximative de la puissance, le flux neutronique au niveau des chambres étant
fonction de la configuration du coeur (nombre d'expériences, position des bar res . . . ).
cl Utilisation des signaux de sort ie :
Lo courant masure est indiqué sur un galvanomètre en fact avant du t iroir .
Le signal uialoglque de sortie es t aiguillé à l 'extérieur du t i ro i r vers :
- le T . C . M . S .
9 6
- !P# lirmra de ataurîté
Dan» lea Urolra dc aecurlte cc signal aneleflqi» oit compart a :
- urt BBUii minimum de courant I,
• un 10011 maximum de courant l_
Le lignai boa roncllaanemeni (Interne au tiroir et aomposé da la présence haute
ivnilon et da ta continuité plaquette), entre dîna la boucle d'autorisation de dttnorra^e.
VII. 3. * • CHAINE DE PILOTAGE
Cette chaîne a pour fonction :
- de fournir les Information! destinées au pilotage automatique
- de fournir également uns Indication de la puissance ncutrttilo/ie, ullliflde pour l'ttfflehogo
nuraexlojue pour une puissance coroprlaa entre 10" Ri et Pn.
Ph pulaoence nominale.
La chathe do pilotage comprend :
• le détecteur
- la charte de moeurs
• le chasala d'élaboration dee ordres de pilotage automatique
- le* ensemble» d'enregistrement et da slgnaMaatiot'
Vil. 3.4.1 • La détecteur
C'est une chambre d'Ionisation sensible aui rayons gamma du typo C H F B ,
Les aondltloru d'utilisation sont ;
- intensité du rayonnement gamme ; de l'ordre de S, 10 n/h
• température de l'eau deae la piscine : inférieure a 35'C
VU. 3 .4 .2-Montage et position du détecteur
La chambre d'ionlaatlon es t montée dans un container étonohe en aluminium
d'épaisseur * mm prolongé par on boa en in™ qui permet le renvoi vers la margelle de la pis
cina du câble da liaison. Ce container est balayé par de l'air sec en permanence de façon a
réduire la condensation.
Le container «et placé ft l'extrémité d'unbrea A angle droit dont l'axe vertical
tourna dans un logement d'un support ayant la forme d'un tinted. La rotation du bras permet de
positionner le détecteur par rapport ft la face Sud du coeur t S 400 mm pour la position Is plus
proche, 2 800 mm pour la position la plus éloignée.
Le container est implanta dans le plan médian du coeur et dans l'axe
Nord-Sud ft 3,60 m de la face Sud du caisson (position déterminée expérimentalement).
La position moyenne dc la chambre (voir figure 7.4) ee situe a 3 6Û0 mm du centre
actif du coeur.
Les positions «xtremea définie• d . d e s s u s correspondent ft un niveau de flux
allant de 1. « t 4 fi/h ft 10 a R/b.
9 7
VII. 3.4. 3 • Chafne de mesure :
C'est une chalhe de fabrication MERLIN G ERIN, Unitaire A commutation ont amn- '
tique de sensibilité qui comporte notamment :
- un préamplificateur PAL 125
- un amplificateur linéaire PLA 125 (gamme de mesure normale 10~B a I 0 ' 7 A).
L'étalonnage de la chaîne de mesure en fonction de lu puissance permet de con-
nallro la niveau de puissance au cours de la montée en puissance (voir ligure 1. 14).
VII. 3.4.4 - Chassis d'élaboration des ordre de pilotage automatlcuc : voir figure 7. 13
A part i r du signal de puissance P issu do In chaîne linéaire et du point du con
signe Po fixé manuellement au pupitre par l 'Intermédiaire d'un potentiomètre (gamme 5 -
100 MW), une électronique constituée d'un amplificateur oommntour élabore le signal d 'e r reur
£ . P - Po Po
VII. 3 ,4 .4 .1 - Ordres do mouvements A la barre choisie en pllotago automatique
Le signal d 'e r reur attaque une sdrio de déclencheurs statiques qi I donnent 1ns
ordres "tout ou r ien" A la barre Je pilotage. Ces ordres sont résumés sur la diagramme de la
figure T. 15.
- Etude analog!quo du pilotage automatique
Des études analogiques ont permis de rechercher l'influence des divers paramè
t r e s et de déterminer la valeur de ceux qui sont ajustables pour assurer une bonne stabilité de
la chafne de pilotage.
VII. 3 .4 .4 . 2 - Conditions de passage en pilotage automatique
a) SI 0,0 Po P 1,1 Po, le passage de pilotage manuel en pilotage automatique
est possible, en dehors de ces limitas 11 est interdit,
b) Au cours du fonctionnement en pilotage automatique si :
- P devient supérieur à 1,1 Po : i l y a signalisation au pupitre
- P devient Inférieur à 0,0 Po : 11 y a retour automatique en pilotage manuel et signalisation
au pupitre.
c) Réglage des seuils £ j et i.
La conception du système de réglage des seuils i-j et i g est telle qu :il est
impossible de faire un mauvais réglage c 'ost-a-dire l£ij < e" 2 -
Ce réglage ne doit cependant pas Etre fait en pilotage automatique.
d) Gamme de pilotage
La gamme de pilotage automatique s'étend normalement de 2.10 Pn A 1.5 Pn.
9a
Kill' 0ut dcicrnilnce par un tommulolcur dors le tiroir du la ehafnn de mesure. SI l'Indication
ilu lu chofhj du nieaure tor respond an t A une gamme donnée n'est pas vn coincidence avoe celle
indiquée par la commuiateur du choix do gamme en pilotage automatique, le paaiage en pilotage
nulomallijue cet InUrdtt.
La gamme du pilotage définie ci-dcssus n'eat paa restrictive et il s'avère qu'il
est possible de piloter automatiquement > reacteur A des niveaux de pal s nonce tr t s bas (de
l'ardre de 2 ,10 ' Pn) avec une bonne stabilité. Précisons, cependant, qu'un tel regime de merci»
cnlr&ftie une Indication («usee de la pufaaancc pour lea dispositif» d'affichage.
VII. 3 .4 .4 .3 • U u i j ^ de pujMnneç_coolr01*e
L'erdre de baisse de pulaaanee contrôlée, qal vient des clreuite de securlle,
agit aur le notent lemetre ftn référence Pu ei ramené cette valeur do consigne a -r?— filée A
l'avance [Pn, puissance nominate).
K c i l réglable de 1. S A S. Ln valeur prévue est 3.
51 l'i> est Inférieur A -77— cet ordre est sans effet, la baisse de Po so fnit
sjlvsnl une loi linéaire. La vitesse cat réglable de telle manière qao le temps da passage de
Pn A -5— soit compris entre 3 et 20 secondes.
Vil. 3.4.5 - Knrealaireraenta et signalisation
On trouve ;
a) au pupitre :
• un Indicateur donnant la valeur du signal d'erreur en */• ^ " " P o
• deus voyant Indiquent respectivement ai -y^— > 10 */t a* p j " S 10 */<
M aur te tiroir de la ehothe de pilotage, un galvanomètre dorme la valour de l'intonsUo" d"
courant I .
En plus, un dispositif de codage et d'affichage nnmerique permet d'officher la
valeur de la puissance de fonctionnement du réoctîiur dans l e s locaux suivants ' salle de contrôle.
hall plie, hall d'entrée, niveau - 4 m et niveau 0.
VII. 3.9 - ALIMENTATION DES CHAINES
Tontes l e s électroniques sont alimentées A partir du 24 V continu obtenu par un
ensemble redresseur batterie réservé au contrôle du réacteur. C'est una source d'alimentation
présentant une autonomie de l'ordre ds 3D minutes en e u de panne du secteur.
VII. 3 . 6 - CIRCUIT DE MEStiHE AZOTE ÎE
Vil. 3.6.1 - But • Principes généraux
l 'activité en Azote 16, de l'eau du circuit primaire. Kl le per Met de mire le recalait? mnnuel
En effet, la masure N 1G eat plus stable dans le trnips que Inn mesure* neulru
niques cl elle no nécessite par rapport A la nulsaanre thermique prise comme reference <|uc dei
recalagce peu fréquents.
Le principe de la mesure est lu suivant :
la formation de l 'Ai oie 1G est duc a lu roue t Ion rapide (seuil 11 McV)
I'oxygens est reformée avec une période do T, 35 soc
Donc l'activité de l'Azote 1G (DO ' / . do l'activité totale an gamma de l'unu
sortant du coeur) est proportionne lie au flux do fission sur l'ensemble du coeur donc It la pula-
sancn due El la fission dana le réacteur. La chaîne peut donc être étalonnée en fonction do la
puissance (voir figure VII. 20).
L'Ajote 16 émet dea gammas de G, 3 MeV (02 V.) et de T, I MeV ISO •/ , ) faciles
a discr iminer . Cette discrimination est réalisée à l'aida d'une chambre a Ionisation d'un type
special qui délivre un courant proportionnel aux gammas émis . La période courte de l'Azote 16
(7,35 sec) nécessite un temps de parcours de l'eau prélevée dans lo circuit de réfrigération du
coeur, court pour éviter une atténuation Importante du signal. Le débit du prélèvement doit ê tre
en rapport constant avec le débit d'uau circulant dans le coeur.
VII. 3 . 6 . 2 - Circuit hydraulique
L'eau est prélevée dans le circuit primaire, sur la tuyauterie de sortie du coeur
a son entrée dana le bac de deact ivat ion.
Le débit de prélèvement est de 9 m /h . Le temps de transit es t de l 'ordre de
14 secondes.
Le circuit est muni de débitmêtrea <i, précision pour permettre un réajustement
correct du débit qui Influe sur le signal délivré par la chambre de mesure, le nombre de 3 émis
dépendant du temps de transit . Le schéma Vit. 21 montre les différents éléments c'a cette instal
lation.
100
VII. 3. G. 3 - Chan» de masure
La chaîne de mesure comprend :
- le détecteur et la chambre de mesure
- le préamplificateur
- un amplificateur linéaire
- un Intégrateur
VII. 3. 7 - DETECTION DE HUPTOBE DE GAINE
VII. 3.1.1 - But et principes généraux
L'installation de détection de rupture de gaine doit a s su re r les fonctions suivantes :
- détecter une rupture de gaine sur los éléments du coeur avec le maximum du sensibilité
- surveiller l'évolution d'une rupture
- permettre la localisation de l'ô.'émcnt défectueux lorsque le déchargement est décidé
- prévenir l'équipe do conduite do l 'Importance du défaut par (les a la rmes
La détection so fait par mesure des neutron a "différés" émis par dos produit»
do fission "précurseurs" on particulier Br I.
L'intérflt de ces précurseurs est lour vie courte qui permet do s'affranchir du
recyclage des produits émetteurs. Le comptage est donc représentatif do In surface d'uranium
mise A nu. Cependant la mesure est légèrement perturbée par un bruit de fond provenant de
l'uranium contaminanl la surface des éléments combustibles neufs ot également par les neutrons
émis par l'azote 10 c réés dans le coeur et lea phot on outrons provenant des réactions ( ° , a).
1 A bruit de fond fixe la sensibilité de l'Installation.
La difficulté de la mesure réside dans le fait que le flux neutronlqua est faible
au milieu d'un bruit de fond gamma Important.
VU. 3.7.2 - Installation hydraulique
Un piquage assure le prélèvement a la sortie du coeur, il l 'entrée du bac de
deactivat ion. Ce prélèvement d'eau du coeur représente 1,5 millième du débit principal, soit
ssnsihlement 6 m /h. Le piquage ea t agencé de façon A fournir un mélange homogène rep résen
tatif du circuit principal. Le temps de t ranai t entre l a sort ie dos éléments du COettr et te dé tec
teur es t d'environ 12,5 s e e . Ce temps psut « r e ajusté par adjonction» de volumes tampons afin
de cïterehar l e meilleur compromis entre le signal utile et le bruit de fend.
Pour localiser un element défectueux un circuit parallèle vient de la margelle
piscine, ah l ' en branche une pipe de prélèvement permettant de prendre l 'eau immédiatement
au-dessus de chèque élément combnatlble ot de d r e s s e r ainsi une car te d'activité neutrons de
loua lea éléments. Cette mesure ae fait à ptHaasnce faible en convection naturelle, soit
P > 300 kW.
I 01
VII ••»- MESURES THERMODYNAMIC! UES. MESURES D IVERSES.
VII. 4,1 - MESURES THERMODYNAMIQUES
Ce paragraphe se borrw a décrire lus mi'sures ctftictuéos sur les circuit» pri -
maires de réfrigération du coeur et do In piscine, aur leu circuits secondaire» et pi un particu-
librement celles qui participent a la sécurité du réacteur ut A l'établissement du bilan thermique.
VII. 4 .1 .1 - Mesure» de température
CBB mesures concernent le circuit primai™ do réfrigération H donne ni nvee
precision la température de l'eau A l 'entrée et A la sortie :
- du coeur du réacteur
- de la plBcino
- des échangours du circuit coeur et du circuit piscine.
Ces masures sont complétées par colles do l'ouu du circuit secondaire évite mini
la puissance ve r s loi réfrigérants.
Vil. i. 1.1.1 - Caractérist iques générales
Les blocs sondes et les cables de liaison liant immergés dans In piscine, L'étan-
chélté est assurée par un boa souple en aoler Inoxydable. Les blocs sondas sont démontables A
distance sans opération de dé verrouillage : Ils sont placés dans des entonnoirs vissés sur les
tuyauteries du circuit coeur et du circuit piscine. L« poids dos blocs contrebalancent la pression
dans les tuyauteries.
Les capteurs sont des t her m o résistances 100 A. d û ' centigrade.
V i l . 4 .1 .1 .2 - Températures rt l 'entrée et a la sortie du circuit coeur
a) Blocs-sondes
Six blocs sondes (3 a l 'entrée et 3 à la sortie) surveillent la température circu
lant dans le coeur du réacteur . Chaque bloc est équipé de 3 sondes en platine. Ces mesures
Interviennent dans l e s circuits de sécurité [anomalies, baisse de puissance contrôlée, chute
des 2 b a r r e s de sécurité). Ceci explique qu'elles stent été triplées peur respecter le principe
d'Indépendance des trois chaînes agiB«ont suivant le principe du deux sur trois.
b) Chathua do mesure
Le premier type de chaîne de mesure se compose uniquement d'un pont de
Wheat at one. Ces chaînes délivrent un signal anslnglqtio 0 - 5 0 mV aiguillé vers le traitement
centralisé des mesures et des signait est Ion s (T. C M . S . ) et v e r s un logomètre en salle opéra
tionnelle.
Le deuxième type de chaîne de mesure associée aux circuits do sécurité comprend
un pont Wheatatone raccordé A un amplificateur magnétique.
103
VII.4.1.1.3 - Températures A l'entrée JM A 1» sortie de_la placlno
a) Bloc•-•endos
Trois blocs sendee (1 bloc & l'entrée. ! A la eorlle) surveillent la température
de l'eau circulant dans 1» piscine. Chaque bloc eat équipé de 3 eoodes au platine.
b) Chalnea de mesure
L'actlcn da sécurité daa cbafhea eel réduite û l'anomalie en 1 car 1.
Elles tont du même type que cel les équipent le circuit de refroidissement du
vu. 4.1.1,1 • Z?W&?}^?AJl?$^.2ï£ii£'JH?J&fS^*em?jQ2Ji}TS?ïl??.
refroidissement da ce*"'. Ç' deJB j*TCUte-_Blrçe-sondes
Les bloas-sondei équipée de S tondes au platine plongent dans un doigt de gar.t
contenant de l'huila pour M surer tin ban contact l her inique.
Un «oin particulier a et* apporté d;.ns l'installation de M S sondes (montage
4 flla) car el les servent a Rétablissement du bilan thermique.
Vu. 4 .1 .2 . Mesures de débit
v n . 4 . 1 , 2 , 1 - DttUa duçlrei^t p^malre
L'organe déprimogene est constitué par l'Ccbaoreur lui-même, les pointa de
prélèvement mesura ni la parte de charge étant placés en amont e.' en av«l de l'éehangeur,
La ebalhe de mesure eat una chaîne TEC 4 QH comprenant :
Les chaînas de meaure mt été étalonnées ft l'aide d'un débitoetre a hélice
SOGREAII
Cette méthode donne une précision globale de la masure du débit de l'ordre
de 1 7 . .
VH.4 .1 ,2 .3 - DdbHs_du circuit '^^f^%l^içJTKynmmvxïUmtnw_
Lea erganei déprlniogcnes sont dee diaphragmes A chambre annulaire auso/iela
aont raccordé» d u capte u n da presalon différentielle Ma not ran
11 y a doues ahathes da meaures mesurant le débit du circuit secondaire dea
«changeurs du circuit de refroidissement du coeur et de Je piscine, des deux chatties d'épuration,
du circuit d'équilibre, du clreid* de U c o e c h e chauds et du circuit de détection de rupture de
gaine.
V n . 4 . 1 . 3 - Mesures de pression différentielle du elrcnlt de refroidi ••ornent du coeur
et de la piscine
Le paramètre représentatif de la réfrigération de* élément! combustibles et
ejul tient compte de toui l e s accidenta pouvant survenir iur les canalisation» est la pression
différentielle aux bernes du coeur-,
103
Ce raisonnement s'applique nu circull piscine charge d'Évacuer lu puissance rayonnée pur le coeur el de réfrigérer les expériences.
La surveillance do la pression différentielle nui bornes de ces deux circuit» est assurée par six ni onoc on toc tours EQUIPIEL (3 par circuit)
VII.4. 2 - MESURES DIVERSES
VII. 4. 2.1 - Depression du hall pile
Lo contrôle de la depression du hall pile so fall par une chafno de momir A , B . C . et par 3 dépression! Et r e s BE RI A tore pendulaire.
VII .4 .2 .2 - Niveaux
Lee niveaux foui l'objet : - eo l tde mnsuro
. par 0 ha tue électrique avec Indication A distance (chnftio Manolran)
. pur Juugs pneumatique avec indication locale • soit ds contrôle
. par des détecteurs 11 colonne
. par des interrupteurs & vie , par des sélect ours ft v is
LBB principaux volumes ainsi control (H sont : la piscine, les canaux, les bnce ds vidange, les ballons de remplissage, e t c . . .
VH. 4. 2. 3 - Rfislstlvites
Tre l i e chaînes de mesure de réslstivite sont chargées de contrôler la pureté de l 'eau (en particulier le degré de déminéralisation) en divers point» *» circuit primaire, coeur et piscine, et des deux chaînes d'épuration.
104
VII. S- LA RADIO PROTECTION
VII. S. 1 - BUT PE LA RADIOPROTECTION
L'Installation de radloprotecUon comprend :
- la aurvelllaaoe continue de la radioactivité dana l'ensemble de l'enceinte étanoha et des atellora
- la elgnallattlon daa nlveftoi dangereux an local ai en sel le de contrôle, ainsi que la mesure at
l'enregistrement da ces activité*d'une part, par le T.C.M.S. etd'eulra part, par des enre
gistreurs,
- la détection da la contamination des vêtements et chauaaurea du personnel entreri ou sortant
d e l a p U t .
VU. G. 2 - PRINCIPES OENBBAUX
La détection comprend :
• la déteotlon du rsytfineraenl guom*
- 1» détection des gag et pousalérea radioactives
- U détection de la contamination des vêtements do personnel.
I.* détection tatereiae :
• la hall plia proprement dit : toctaa lea électroniques carra a pond an to a aont regroupées en aalle
fonctionna Us. laa commandes, signalisations aur le tebloau contrôle radloprotecUon (T. C. R. ).
- lea cellules chaudes : 1'61e c ironique correspondante et la lignaltsiticn lont rsjTOupéoi sur
un tableau local dans le bureau du responsable da* cellules. Les Uaiaoni avos la aalle de con
trôle ne font par le T. C, M.S. et par une signalisation regroupée.
- 1* détection do contamination du paramuiel : cette installation oat totalement décentralisée «ans
Ualaon aveo l e T . C . R , et assura le aurveniance do personnel entrent at sortant da l'enceinte
etsae.be.
La signalisation comporte :
• la signalisation locale intéressant la zone oh aa! •Ooctuée la masure ; elle est conforme a la
signalisation normalisée de la radloprotecUon (séquences et cadences de clignotement).
- ta signalisation centrale : celle-ci eat simplifiée du lait de la présence du T . C M . B . qui traita
toutes les Infor» allons venant de la radloprotectlon. Cependant, afin qua l e personnel ne sait
pat aveugle en cas d'arrêt d a T . C . M . S . , des signalisations regroupées au T. C. B. indiquent le
degré du déJaut (mauvais foncuontiement. 1er, 2ème, Sème seuil) et également ta localisation
de l'incident.
La personne] diapoae donc do nombrvux moyens pour localiser très rapidement
la défaut.
Deux enregistreur• A 2 voies permettent de suivra simultanément quatre mesurée
au choix.
1 0 5
VII. S. 3 - MESURES SUR LES RAYONNEMENTS GAMMA
VII, 5. 3.1 - Mesures destinée» fl la protection du personnel
La plupart des masures se font avec des chambres A Ionisation do trois l i t res
(type BK 32). Seules les mesures effectuées a l ' intérieur des cellules sont effectuées nvec ilvs
chambres de 0,1 1 (type MX 32). Certaines chambres sont Installées à poste fini.-, d'nuiroa sont
mobiles (cas des aires expérimentales).
Certaines chambres peuvent do plus Otre connectées sur deux coffre ta différents,
afin de couvrir suivant l e s besoins, une zone importante.
L'électronique associée est du type ACK 41 a 4 voles de mesure.
En général , les chaînes de mesure actionnent deux seuils d'alarme :
- 1er seuil correspondant a un niveau d'activité gamma A 2,5 mrom/h
- 26m e seuil correspondant A un niveau d'activité gamma n 250 mrom/h
Trois chaîne a du mesure de l'activité gamma du hall plln niveau 0 , possèdent
un troisième seuil d 'alarme (niveau d'activité gamma £ 1(1 rom/h) donnant l 'ordre d'évacuation
générale de l'enceinte ét?ncho par la mise en route des sirènes (2 seuils on dépassement sur 31.
Le personnel doit dans ce cas suivre un chemin balisé qui le conduit a una lone de regroupement
général,
- Masures de rayonnement gamma particulier
H s'agit :
, do la mesure de rayonnement gamma de l'eau do la piscine par une chambre Immergés qui per
met de contrôler l 'activité de l 'eau do la couche chaude
.de la mesura de l'activité gamma des rejets a la cheminée de l'ensemble CGI RIS/ISIS
.de la mesure du niveau gamma à l ' intérieur den deux cellules chaudes.
Lee deux premières mesures ci-dessus n'ont pas de signalisation locale.
Les mosures d&nB les cellules n'ont pas de signalisation sonore.
Vil. S. 4 - MESURE SUR LE5 GAZ ET POUSSIERES RADIOACTIVES
Vil. 5 .4 .1 - Les détecteurs
Chaque ensemble de détection comprend les canalisations d'entrée et de sortie
des gaz, une moto-pompe, un dérouleur de papier filtre a deux vitesses, un photo multiplie a leur
associé a un sclntlllateur pour la mesure de l'activité des pou a a l i r e a déposées sur le filtre et
son préamplificateur, ime chambre différentielle mesurent l 'activité do gaz prélevé et son
préa mpllfl c at eur.
Les détecteurs sont alimentés par plusieurs prélèvements en parallèle, permet
tant la surveillance globale d'une grande zone du réacteur. En cas d'évolution de l'activité clans
une zone, un Jeu A' électro vanne s permet de sélectionner un prélèvement et ainsi de localiser et
de surveil ler en permanence la zone soupçonnée.
106
VII. 5 .4 .2 - Electronique associée
Les chambrai différentielle! lent reliée* « des amplificateurs du typa Ac 4 K 1,
Lea paotmnulllplieateura eont associée a, dea intégrateur» logarithm le,u*a du
type ILOK.
A chaque détecteur eat aaacctda une eignallseUen locale et une signalisation cen
trale regroupée» en enllc opérationnelle
VII. S. 5 - MESURE DE COHTAMPfATlOK
Cet ensemble est pleei ft la aortla du aaa personnel 05IRIS. H comporta deux
ram pea verticale» de compteurs S D H entre lesquelles posée obligatoire aient lo port on Bel et
un inpla de compteurs (*D au m ) prûlngéa oontre la contamination «1 places dans une lease.
Lea électronique» aasoclées ont doa performances raedaates, mala suffisantes
pour détecter an tdveau d'activité anormale. Une alarme sonore et lumineuse prévient le per
sonnel en osa d'anomalie (vêtements on chaussures contaminés, transport de sources radioac
tives in suffi mm m ont protégées). La personnel, ainsi prévenu, pout i s contrôler avec soin avec
un appareil du type JPAB ac équipe de sondes n et 0 , L'alarme eat répétée nu poite du gar
dien de la plia dans le hall d'entrée qui. lui, s'assura al la personnel a respecte les consignes
el prévient éventuellement la Chef da la pUe. Cet ensemble do contrôla do contamination ne d is
pensa pas le personnel de se contrôler a l'aide dea appareils dn type 1PAH places a chaque point
d'ace ta du hatl pile.
VII. 5.6 • IMPLAMTATIOH DES APPAREILS DE BUHVlai.TAwrR
Les locaux sulvaals sont soumis à une surveillasse permanent» :
• Enceinte étaneba
. Niveau - la : gamma fixa
. Niveau - 11 : gamme mobile (3 coffrets de raccordement) pouaclores radioactives (DPGH n"2)
. Niveau - S : gamma mobile (2 coffrets ce Wccordemcnt>pauast6rearadloaetIvea(DPGH n*3)
. Niveau - 4 t gamma mobile (2 coffrets de raccordement) poussières radioactives (DPGB n*2)
. Niveau 4-0,00 : 2 prélèvement» peusaieres et gas radioactif» DPGR n* l Eat st Ouest
- * gammas : 2 fixée : 1 sur passerelle piiolne
t Immergée dans la piscine a - 3 m (coucha chatde)
a mobiles •. 1 e n d Orna*
1 coté Est
. Niveau +4.0D : 2 prélèvements peuaciéres et gai radioactifs DPGR : l Eat et Ouest
l gamma mobile.
107
- Ateliers Chauds
. S mesures gammas : t dans chaque cellule (2 cellules installées!
I en zone a r r i è r e
llbles
. 1 prélèvement poussières et gaz radioactifs (zone u r r l t r e cellules) DPGR n* 3
. une mesure gamma â l'épuration OSIRIS
, cheminée : - une mesure gamma â + 25 m (c 'est-a-dire après le rejcl des effluents gaieui
des expérimentateurs)
- Un prélèvement poussières et gaz radioactifs à + 25 m PDGR n* 3
. un prélèvement dans le hall pile ISIS.
VII. 5.7 - LIAISONS AVEC LE T. C M . S . -TRAITEMENT
Toutes les mesures sont reliées au T. C M . S. sauf les doux mesures gomnins
effectuées a l ' Intérieur des cellules chnudos.
De même les seuils l iés a ces grandeurs analogiques, c 'est-è-diro dans tous los
cas le seuil bon fonctionna ment, le 1er seuil, le 2Ûmo seuil et le 3ème seuil pour los trois
mesures hall pllo sont survoillôs par lo T. C M.S.
Une machine a. écr i re située sur lo pupitre dans la salle opérationnelle est r é s e r
vée aux éditions de toutes l e s mesures radloprotectlon toutes los heures. En plus do la valeur
instantanée, le T. C M . S . effectue le calcul de la dose Intégrée de toutes les mesures qui p ré
sentent un intérêt avec une remise a zéro deux rois par Jour.
VII. 5. B - RESEAU PS SIGNALISATION EN CAS D'EVACUATION GENERALE DE L'ENCEINTE
ETANCHE
Le but de ce réseau de signalisation est de baliser lea trajets d'évacuation qui
doivent être obligatoire m s nt suivis par lo personnel. Ces trajets aboutissent a un point de regrou
pement situé en galerie couronne. A ce point de regroupement, les ordre H nécessaires seront
donnés au personnel.
Vil. B.8.1 - Composition et conditions ds fonctionnement
Ce réseau comprend différents types de panneaux normalisés, ainsi libellés :
"sortie évacuation" - "entrée Interdite" - "sortie Interdite" - "regroupement".
La mise en service de ce réseau sa fait dans les deux condition* suivantes :
108
. automatiquement lors du franchiisemcm du Seme scull sur deux des Iroia chaînes radloprotec-
tlon contrôlant l'activité gamma dans l'enceinte étancho. Ce 3croe seuil (activité >, 10 rnm/h)
déclenche In alrÊne donnant Tordre d'Évacuation générale.
- manuellement lorsque le Chef do pile ou aon représentant décide une evacuation générale.
V I I . 6 - C O N T R Ô L E DES EXPÉRIENCES.
Dix huit poster expérimentateurs sont Installés aux différents niveaux de la plie.
Choque poste comprend :
- un coffret de raccordement aux circuits de sécuri té
- un coffret do raccordement nu T .C .M.S .
VII. 8.1 - RACCORDEMENT AUX CIRCUITS DE SECURITE
Chaque coffret peut ê t re raccordé aux actions de sécurité suivantes agissant sur
le réacteur :
- anomalie
- baisse de puissance contrôlée
- chute do deux bar res
- chute de six bar res .
L'en semble de ces actions sont regroupées dans une armoire qui t ransmet, ve r s
lea circuits de sécurité du réacteur , un ordre par catégorie d'action.
D'autre part , l 'ensemble de cea actions sont signalées Individuellement sur un
synoptique situe en aallo opérationnelle permettant de localiser rapidement l'expérlencn en
défaut,
L'expérimentateur doit fournir pour les actions qui lui sont Imposées un contact
normalement ferre6 ; ce contact eat alimenté en 48 V continu, ceci afin de ne pas distribuer le
24 V continu réservé au conti file du réacteur. L'ensemble de ces contacts aboutit dans une baie
de rolaynge dons la salle fonctionnelle. Cette baie permet de decoupler la signalisation, les
circuits do sécurité et les I nd i ca t i f s au T. C M . S,
Elle permet également d'inhiber par un Interrupteur les actions de sécurité non
utilisées sur les différents corfrets.
VII. 6. 2 - RACCORDEMENT AU T . C . M . S .
Chaque posta expérimentateur posaede un coffret de raccordement de mesures
haut « b a s niveau au T. C. M . S . , ainsi que de signaux logiquoe | signalisât Ion s de défaut).
109
Chaque a of t re t dispose du maximum de :
- dix signaux haut niveau (0 - 10 V)
- vingt signaux bui niveau |0 - 50 mV!
• cinq signaux logiques
Le nombre d'entrées au T. C. M.S. pour l e s signaux analogiques étant ou raaxl-
mum de USB, un foisonnement a lieu au niveau de chaque étage de la plie, ca qui correspond
selon l e i «tages à 3 ou 4 coffrets.
Chaque posts locsl dispose en plus d'une prise 0e race ortie ment a un dea quatre
enregis t reurs is tableau de contrôle, ee qui permet Je suivre aisément une mesure particulière
d'un expérimentateur.
VII. S, 3 - RACCORDEMENT A» Ç. D. M.
400 mesures (famine 0 - 5 0 mVï peuvent ê t re raccordées au central isateur de
mesuras par l ' intermédiaire de irofa coffrets [copiantes BU* nfv.mui - 4 , 0 0 , 0 ,00 of + 4 , 0 0
du hsU pUe.
Viï.T* CONTRÔLES DIVERS.
VB, 7 .1 - CANAUX D'IRRADIATION PNEUMATIQUE ET mfPRAULIQUE
La piacftie du tese îeur est dotée de canaux d'irradiation £>ar circuits pneuma
tique OU hydrauliques.
n y a dix canaux hydrauliques, un canal pneumatique. Le contrôle pile Intervient
dan* cette Installation pour lMaboratlon des deux fonctions suivantes : d'ime part la signalisation s
sur le synoptique expérimentateur un voyant signale le canal occupé ; d'outre part la verrouillage ;
en effet, ua échantillon t e peut ê t re i r radié que s i . au préalable, une autorisation a e « donnée
par le conducteur de pile, II en est de même pour 3e re t ra i t de t 'êchaniaicn.
Four réa l i se r la fonction de verrouillage, le conducteur de pile dispose de
t rol l poussoirs :
- un concerne les circuit» hydrauliques
- un concsroe le circuit pneumatique -
- un concerne l e circui t de t ransport .
VH.7.2 - PIEL-EL •
L A température des quatre pal iers de chacun des deux groupes Diesel es t con
t r a l t o p » « o n d B «tfesrmorfsSatsneB, Un«ealï réglable «s ia t tache àchsquo meaure, Totadépfts-
semeirt est signalé a t synoptique de la salle opérationnelle.
110
VII . 8 - C O M M A N D E DES B A R R E S . CIRCUITS DE SÉCURITÉ.
Ce chapitre p réc i té e t détaille l e t principe» généraux exposai dans le chapitre II
(Objet du contrôle),
VU, 8.1 - COMMANDE DES BARRES
La control* du rénctour «'effectue ft l 'aida de six ba r re s de contrôle, toutes
identique» qui peuvent Indifféremment Jouer le rôle de :
- bar res de sécuri té ; a r rê t rapide d» réac teur
- barre de compensation
- b>rre de piiciags
Toutes l e t ba r r e* t e déplacent ft une vitesse con»tante et unique quelle que «oit
la tonctlon remplie. Cette v l t e t t e de déplacement est de 2, S mm/seconda avec une tolérance
admise de + 1 0 */,, compte tenu de la position de la bar re et de la vitesse (nulle ou maximum}
de 1* circulation de l 'eau dans le coeur. Cette vlteaee de déplacement traduite en para/seconde
se cWSre ft 20 pern/seconds e s moyenne.
En regime de fonctionnement la configuration adoptée pour l e t ba r re s est la
suivante :
- deux ba r re s de sécurité (efficacité maximum)
- une barre de pli et «je
- t ro is b a r r e s en compensation
Cependant certains incidents d'origine neubromique en expérimental nécessitent
la cfeit" de* six ba r re s <pii remplissent dsna e s c a s toutes la (onction de sécuri té ,
V H ! . l , l - Organisation de la commande
Vn. 8 ,1 .1 .1 - Généralités.
La commande des b a r r e s de centrale «'effectue per tout ou rien quelque sait
1« fonction d» la ba r r e (vol- rbjure VU. 10),
La vitesse du moteur peut ê t r e réajustée en agissant s u r le niveau de l a tension
d'alimentation de la phase de contrôle.
A - Conditions générales de verrouillage
Le principe de la commande des ca r res est représenté sur la figure 7,33.
Les conditions de verrouillage sent l e s suivante» :
a} «ne Barre de contrôle ne peut Stre levée que s i :
- la barre est sélectionnée en ba r r e de sécuri té
- deux ba r re s de sécurité acnt en butée haute.
111
' •) On ne peut monter qu'une barre a 10 M a . On peut descendre toutes les ba r re s 4 la fois,
c) Les ordres de descente ont priorité sur les ordres de montée
d) On ne peut redescendre les M i r e s de efeurité que par chute, tant que les quatre autres ba r re s
ne sont pas revenues en position basse.
a) L 'ordre de montée (en pilotage manuel ou en pilot ige automatique) cat annule au bout d'un temps
T fixe à 20 secondes. Cette interdiction es t levée aussitôt que l 'ordre de montée cesse .
S - Qrdrea de eammesiàe des b a r r e s
Les ordres de commande des ba r re s proviennent :
• de la chaîne de pilotage
. des commandes manuelles au pupitre
~ dea c i rcui ts de sécuri té
C - Organes de commande de» bar re a
Cea organes de commande manuelle uont tous regroupes Htir le pupitre de com
mande dans la salis opérationnelle. Ce sont :
1) le clavier de sélection ries b a r r e s en sécurité
2! le c lamer d'effacement des bar re* choisies en sécurité.
Ij'BffacemeBt d'une ba r r e sélectionnÊe en barre de sécurité ne peut se taira que ai
a! t r o i s b a r r e s «ont sélectionnée* en ba r re s de sécurité et sont en position haute
b) les deux ba r re s de sécuri té aont en position basse, lea autres b a r r e s «Ion! dans une pom tien
quelconque
c) toutes les bar res sont en poiltion baise
3) un clavier de sélection de la bar re en pilotage automatique qui n'autariBO le choix que dana des
configurations précises :
• une seule bar re peut ê t re choisie en pilotage automatique Cette condition est réalisée par
un clavier a exclusion mutuelle
• une b a r r e de séeurlté ne peut être sélectionnée en barre de pilotage. Ce verrouillage est
électrique.
4} us c lav ie r de commande en montée des Barres. C'est un clavier & iropuîaicti àexcIuBiai
mutuelle,
S) un d a v i e r de commande en daacunte dea barre* . C'est un clavier a impulsion sans exclusion.
9) une clef d 'armement des embrayages. Son action eat effective lorsque lea conditions de
démarrage sont toutes réalisée*.
7) un clavier permettant l e choix du mode de pilotage : manuel ou aula manqua.
8) des boutons-pou* soirs :
- in: pour l a baisse de puissance contrôlée
• un pour la chute de* deux bar res de sécurité
~ un pour l a chute de* six ba r r e s .
D - fetormatioBB venant d e s taéemiSeroes des barrea
On dispose an. pupitre de î a sal le otsérationneUe ;
- d'une recopie de l a position: de ehaspie ba r re . Précision d'affichage + 2 » » .
- de voyants matérialisant le seas de déplacement de la bar re et la position de la ba r r e , c ' es t -
à-dire :
112
. la position haute
. la position b»s*a
. l«a deux positions extremes -de la, tone de pilotage.
E - Te&iiPQlOBle
Toute la logique associée eux ci rcui ts de commanda d e s b a r r e s e s t réalisât) e n
relay age italique.
Vn . 8 . 1 . 2 - Vei-roulUaij-ea
VU.8 .1 .2 ,1 - Limitat ionde, ta vi tesse d e l à bar re
La limitation de la vitesse de la ba r r e eet obtenue par le moteur entraînant le
mécanisme. Four a s s u r e r u vi tesse «emmêle de l a ba r ra fi, 3,5 mm/sec lu moteur tourne a i e
vitesse Je 2 493 tours à la minute, La vi tesse maximum du moteur est de 2 B00 tours a la minute
queltjne soit le niveau de l a tension d'sIimeataUoB de :'B p!«tae de contrôle et en supposant que le
couple résistant «oit uniquement le couple propre au moteur. Dan* des circonstances inconce
vable! (couple rés is tant nuit, le moteur ne pourra dépasser la vite s te da 2,9 mra/eaconde qui
reste encore dans des l imites acceptables.
VU,8 .1 ,2 .a - Veîro«t3^je;_p^djtet_lB_B opérations ûe £ S £ P j * * B J 5 * 2 i d o " f a r c e s
Une seule clef autorise l 'alimentation simultanée des e m b r a y a i s des six ba r re s
de c o n t r é e . Cependant, 1er* des opérations de remplacement des ba r re s de contrôle 11 es t
nécessaire de pouvoir manipuler une seul* ba r r e & la fols.
Ce verrouillage est réallaé de la manière suivante :
a) Chaque ba r r e paeaâde une commande individuelle qui permet l 'alimentation de «on oiabreyage
seul par la clef unique d'embrayage dea six ba r rea .
SI Lorsque l e ba r r e e s cours de œssutentiort es t amenée en surcmirae haute un verrouillage é lec
trique Interdit la montée de toute autre b a r r e .
c) Lorsque la. ba r r e e s t da verrouil lée, le débrayage de la bttrre ce t Interdit électriquement.
Seul le bouton poussoir "chute des six b a r r e s " r e s t e opérant, F^«qu' i l agit
directement BUT le circuit d'alimentation dea embrayages. Une cou ligne interdit s a manipulation
pendant c e * o p é r a t i o n .
VU, B. 1,3 - Alimentation»
VII.B. 1.3.1 -Alimentation des embrayages
La commande du circuit d'alimentation des embrayages devient o c r a n t e lorsque
le» condition!! de la boucle de démarrage sent remplies
La commande des embr&y*gt>a s'effectue ft l 'a ide d'un d e t â t role positions :
- la position 1 eet la poaitlon repos qui correspond ù l'introduction ou un re t ra i t de l a clef
- la position 2 eat la position de travail , la clef est prisonnière
- la position 3 es t l a position de commande deB embrayage», l a clef e s t pristxml&re e t rappelée
automatique en position 2.
113
VU. B. 1.3.2 - Atoen«Uon_dea_circuits de common do des bar res
La logique de l a commande des ba r re s es t alimentée a part i r du 24 V par une
tranche spécialement affectée. Cotte tranche eat divisée en 7 sous-tranches :
- 6 sous-tranches pour U logique propre & chaque bar re
- 1 sous-tranche pour la logique de coordination
Lea circuits de puissance des moteurs sont alimentes d'une part à par t i r du
220 V onduleurs et d 'autre part par le réseau classique secouru 220 V.
VI1.8.2 - CIRCUITS DE SECURITE
Les divers moyens d'information ou d'action (manuels ou automatiques) mis
en oeuvre pour a s su re r la nicurtté du réacteur sont les suivants :
- l 'anamulle
- l 'autorisation de démarrage
- 1'arret do montée dea barrea
- l 'a ler te qui o i t suivant les eus simple ou suivie d'une action automatique de sécurité (rdductiwi
de puissance, chufo dea deux b i è r e s de sécurité, chute des si* barres) .
La définition de ces moyens est donnée dans le paragraphe 2.4 du chapitre II
(Objet du contrôle).
VU, 8 .2 ,1 - Autorisations de démarrage
D y a deux boucles d'autorisation de démarrage i
- Boude haute puissance
- Boucle basse puissance
L'état de cea boucles est matérialisé au pupllre de commande par un synoptique.
Le passage d'une boucle sur l 'autre ae fait par un commutateur qui possède
entre les deux positions "boucle haute puissance" et "boucle baaae puissance" une position neu
t r e qui entraîne l ' a r r ê t du réacteur en dé «excitant les embrayages dea bar res de contrôle.
VU. S. 2 .1 .1 - Boucle b*Bie_puissance
L'armement de cette boucle autorisant la marche en basse puissance (P • 1.7 MW|
ne peut ae faire que si les conditions suivantes sont réa l i s tes :
a) La ventilation nucléaire doll ê tre opérationnelle, c 'eai-a-dlre que : la porte-camion est fermée
et que le dépression de l'enceinte «tanche est suffisante ( P - 1,5 mm CE).
b) Les chaînes de sécurité haut niveau doivent être en état de marche c 'es t -a-dl re que deux des
trois chaînas doivent avoir l a continuité du circuit haute tension et dea plaquettes correcte .
e) Les c i rcui ts de sécuri té doivent être parés pour effectuer une divergence, c ' es t -a -d l re que
les boucles chute dea deux bar res de sécurité et chute dea six ba r re s de sécurité doivent être
a rmées .
d) Les circuits de réfrigération du coeur sont à l ' a r rê t . Cette configuration permet les opéra
tions de chargement et de déchargement des éléments combustibles.
Î14
La sécurité dan* ce cas eat t r iple . En effet la position du commutateur sur
"Régime basse puissance" verrouille le* pompe» du circui t coeur à l ' a r r ê t e l inhibe l e s actions
de sécurité ; preialan différentielle coeur et pression différentielle piscine. Do plu», au coure
des operations de chargement et de déchargement du coeur du réacteur , la cler do manoeuvre
dea tiges d'attelage pour déverrouiller lea élément! combustibles est absente du pupitre de
commande, ce qui stoppe et interdit 1a marche fles pompes du circuit coeur .
e) Les chaînes mobiles de démarrage doivent se trouver dans la sona prévue pour un fonction
nement en baase puissance, c 'es t -à-di re en deçà de la cote Y.
Ce verrouillage e s t réciproque : en fonctionnement t a use puissance on ne peut
reculer les, chambres au-delà de la positon Y .
VII .8 ,2 .1 .2 -Jî™cle_haute puissance
Lea conditions a, h et c sont eommunea avec l a boucle basse puissance . .
Les conditions supplémentaires concernent le circuit de réfrigération du coeur
et de la piscine. Il faut que :
- les clapets coeur et piscine soient fermés
- les c h a f e s de masure de température sciant en service,
VU.B.2,2 - Arrflt de montée dos ba r re s
Les grandeurs entraihant l ' a r r ê t de montée des b a r r e s son! ;
- le seuil l : N " des chaînes de démarrage. Montée en 1 sur 3. Cette action pallia une divergence
trop rapide
- la limitation de la durée d'un ordre de montée & un temps ^ à 20 secondes quelque soit le mode
do pli otage : automatique ou manuel.
Cette action pallie des défaillant!es de matériel ou humaines en limitant le
temps de montée de 1a ba r r e et par conséquent la quantité île «ac t iv i t é introduite.
VH. 8.2. 3 - Lea Blattes
VU. 8 ,3 .3 .1 - Alortesjnoii suivies d^une^acUon automatique dn sécurité
Ces a le r tas concernent :
a) La detection de rupture de gaine qui comporte :
- un mauvais fonctionnement
- us dépassement de seuil masimma
Le dépassement de seuil ne justifia pas l'arrflt Immédiat du réacteur. SI la rup
ture est a «volution lente une surveillance permanente est suffisante. L'opérateur a r r ê t le r é a c
teur lorsque le taux d'augmentation du s lg t a l *«t supérieure a 20 • / • • m a heures. SI la rupture
es t 5 évo&itico i r e s brutale l'incident es t signalé à î ' opérMear par l a t t iambre gamma immergée
ou par les détecteurs de gas et de poussieresjradioactlves. Dans ca cas i l a r r ê t e immédiatement
le réacteur.
bi Vue paane des circuits de sécuri té .
110
Cette panne eat détectée par le circuit de teat A Impulsions fines. L'action
résultante eat A déterminer en fonction de l'Importance de l a panne.
VU. 8 .3 .3 . S - A l e r t e s aulvlet djunc action automatique de sécurité
a) Alertes cul vie» d'une réduction de puissance [voir figure 7. 25)
Cette réduction de puissance, encore appelée bal s au de puissance contrôlée .
est le premier stade des actions de sécurité agissant directement sur le fonctionnement du reac
teur. Elle cet provoquée en règle générale par le second seuil d'une chaîne, le premier seuil
commuant l 'e nom alla.
Cette action est prévue pour ar rê ter une évolution thermique avant d'atteindre
un niveau dangereux. Elle évite d'atteindre le niveau de chute dea ba r r e l de sécurité. Ceci peut
être important en fin de cycle do fonctionnement où on no dispose que de t rès peu de tompa pour
r edémar re r le réacteur A cause de l'empoisonnement Xénon,
La configuration du réacteur pour que cette action se concrétise doit Cire la
•ulvante :
n faut être en pilotage automatique et A un niveau de puissance supérieur A la
puissance atteinte après la réduction de puisKance aolt —rr— (Pn puissance nominale, K facteur
de réduction de puissance ajustable),
Dana cette configuration, mala en pilotage manuel, l'action se transforme en
chute dea deux b a r r e • de sécurité,
Si la pulasanco de fonctionnement ont inférieure A —^— quel que aolt le modo
de fonctionnement, l 'ordre eat Inopérant.
Les cauiea de réduction de puissance sont lea suivantes :
- Origin t. expérimentale
- Action manuelle A part i r du pupitre de commande
- température aortle coeur
- température entrée coeur
- pression différentielle aux ba r re s du coeur
- preaalon différentielle aux bar res de la piscine.
h) Alertes suivies d'une chute des deux barrée de sécurité
Cette action consiste A chuter lea barres do sécurité et A a r r ê t e r immédiatement
le réacteur . Le temps de chute d'une barre de eécurlté est inférieure ou égale A S/10 de seconde
pour 60 */* de la course ; ce qui correspond A une efficacité maximum.
Ces actions sont :
1 - d'origine thermodynamique
On retrouve les troisièmes seuils dea quatre mesa res thermodynamiques agissant
sur le circuit de réduction de puissance, c 'es t -a-dl re :
- loi températures entrée et «ortie au circuit coeur.
2 - d'origine neutronlque
L'action de chute dea deux bar res de sécurité n' intéresse que les chaînes de
démarrage. Ella contrôle lea divergences et les montée! en puissance depuis le niveau 0 jusqu'à
la puissance nominale Fn • 70 MW.
1 1 8
Ce contrôle eat real ise par :
- la période apparenta en 2 aur 3
- le niveau maximum "H." ou minium " N j " en 2 sur 3 de comptage.
Ces seuils «ont étroitement associés. La chute dee deux ba r re s pouvant ê t re
provoquée par exemple par un leutl " N . " et un aeull bon fonctionnement " N , " .
3 - d'origines dlveraea
- Deux actions manuelles : l 'une a par t i r du pupitre, l 'autre a par t i r du plongeoir.
- Le signal venant des circuits de aécurlté des expérimentateurs.
- Le Eeuil minimum de la dépression hall pile en deux sur t ro i s . L'action es t tetn-
/ porisée pendant un temps t ° 5 M I , Elle interdit donc de fonctionner en puissance et pendant les
opérations de déchargement et de chargement du coeur sans réal iser le confinement Indispensable
en cas d'IncHent.
- L 'ordre de réduction de puissance dans les condltlonH particulières suivantes :
pilotage manuel et puissance da fonctionnement supérieure â — j j — ,
VU,8 .2 ,3 .3 - A l e r t e s i ^ y t a de_la c ta te j le toutoi l e s barres, (voir figure T.27)
Cette action permet d ' év i te r des excursions de puissance.
Ce rois est assuré :
- par les u haines de sécurité haut niveau. Le franchissement d'un seuil maximum et d'un seuil
minimum de deux charnea distinctes ou deux seuils maximum ou deux seuils minimum, entraîna
l a chute des B ba r r e s .
- par un signal venant dea c i rcui ts de sécurité expérimentateur,
- par l'action manuelle a part i r du pupitre. Cet ordre agit directement au niveau de l 'alimenta
tion dea embrayages sans cesser par les circuits statiques.
- par un signal élaboré par le circuit chute des deux ba r re s de sécurité après une temporisation
de 4 heures dans lea conduites suivantes :
, Réacteur & l ' a r rê t : les 2 ba r re s de sécurité étant en position bbsse
. Les 4 autres ba r re s étant dans des positions quelconques.
Cette action Interdit une redivergence accidentelle pouvant ê t re due aux effets
de réactivité a long te rme (Décroissance du Xénon).
v n . B . 2.3.4 - Inhibition automatique
La position des chaînes mobiles de démarrage Inhibe dans une plage donnée c e r
taines actions de sécurité. Ainsi entre la cote 0 (position rapprochée du coeur) et la cote X , , lea
seuils minimum des chaînes de sécurité haut niveau sont inhibés. La cote X, ainsi finie correspond
& un niveau de puissance de l 'ordre de 2 & 3 MW. Dans cette plage les sécuri tés "période" des
chaînes mobiles de démarrage sont en service . Far contre elles sont Inhibées entre cette cote X ^ t
la position la plus éloignée du coeur, soit X • 1 BD0 mm.
117
VII, B. 3.4 - Réalisation de L'Installation de sécurité
V n . 8 . 2 . 4 . 1 - ?';posltionB_particullèros
Les déclencheurs qui surveillent les signaux analogiques ISBUB des chaînes c'a
mesure et dispensent des ordres logiques nun circuits de sécurité sont regroupés dans des
t i ro i r s distincts des chain es de mesure. Ceci a permis l'adjonction d'un système i- «est (• im
pulsions fines de l 'ensemble des circuits do sécurité.
Le bon fonctionneraent d'une chaîne de mesure neutronlquo coi iprend habituelle
ment les conditions suivantes :
- comptage minimum
- présence haute tension
- continuité des plaquettes
Du fait du principe de la séparât)tm des fonctions mesure et surveillance le bon
fonctionnement a é té scindé en deux parties :
- l'une concerne le comptage minimum
- l 'autre ooneerne la présente houle tension et la conformité des plaquettes.
Cette partie est Interne aux t i ro i r s " charnus de mesure " et entre dans les
c i rcui t ! d'autorisation de démarrage.
V i l , 8 .2 .4 .2 - Technologie
La réalisation est entièrement a baie d'éléments statiques, excepté quelques
circuits de découplage.
VI1.8.2 .4 .3 - Alimentation^
L'alimentation est une source 24 V continu sons coupure, fournie par un ensemble
redresseurs batterie.
La distribution es t découpée on tranches et sous-tranches avec une protection
selective
VII .8 .2 .5 • Test automatique a Impulsions flnea
Los constituants statiques des circuits de sécurité sont contrôlés par un dispositif
de test automatique a Impulsions fines. Le principe de ce teat consiste a injecter ft chaque poste
d'entrée des circuits de sécurité uno Impulsion calibrée en durée et en nivonu pouvant faire bas
culer ou s imuler le basculement de l 'organe d'entrée des circuits de sécurité. Quand tous les
constituants statiques intermédiaires sont en état .l'impulsion se retrouvo BU niveau des e.nbra-
yages des b a r r e s de contrôle. Elle est prélevée A. ce niveau et comparée dans un circuit de
coïncidences avec l'Impulsion origine. La coïncidence des deux impulsions conditionne l 'état
des circuits et autorise la suite de la prospection de l'ensemble de toutes les entrées .
SI un constituant du circuit prospecté 6st en panne, le dispositif de test se bloque
sur ce circuit. Il y a déclenchement d'une anomalie en sella opérationnelle et visualisation sur
un synoptique local du circuit en défaut.
118
VII. 9- SALLE DE CONTROLE .
VU. B. 1 - GENERALITES
La salle de contrôle regroupe tous les moyens de commande et d'Informations nécessaires a la surveillance et à la conduite du complexe OSIHIS. Saula quelques pupitres qui contrôlent des auxiliaires aecondairea sont implanté» en local. Dans c e c a s les signalisations indispensables A l'équipe de conduite sont t ransmises en sal le de contrôle.
Toutes les électroniques associées aux différents capteurs ainsi que lo calculateur et sea unités périphériques sont regroupées danB la sal le de contrôle.
Cette salle eat située au rez-de-chaussée du bloc électrotechnique-contrôle à l 'extérieur du hall pile avec une vue directe du hall pile par l ' intermédiaire de hublota résistant a une pression de 20 g/cm . La asile de contrôle est climatisée pour assuror le confort de l'équipe de conduite. On y maintient les conditions suivantes : -Hiver Température T • S0* + l»C
Hygrométrie H - 50 */ . + 10 • / .
- Eté Température T - 24 ' + l 'C
Hygrométrie H • 5 0 ' / , + 1 0 * / . Ces conditions sont reconduites au niveau des électroniques avec une tolérance
plus grand* ( lB 'C i jT*2B 'C . 30 • / . H - 70 • / . ) .
VII. 9 . 3 - DISPOSITIONS ET AMENAGEMENT DE LA SALLE DE CONTROLE fvolr figure 7.28)
La salle de contrôle est divisée en quatre par t ies : la salle opérationnelle, la salle fonctionnelle, la salle du traitement centralisa das mesures et des signalisations, la salle annexe des Informations propres aux expérimentateurs.
VII. B. 3 .1 - La salle opérationnelle
C'est la salle de décision. Elle comprend ;
VU. 9 .2 .1 .1 - L e p u n l t r e
Le pupitre eut le support des commandes et des Informations strictement nécessaires à la conduite du réacteur . H groupe en particulier : - les organes de commande des b a r r e s de contrôle, des chafnes mobiles de démarrage des pompes du circuit de refroidi us ement du coeur et de la piscine. - des enregistreurs (nombre : 3) permettant de suivre l'évolution de l a période, du taux de comptage des ehalhes mobile», du atgnal des chaînes de sécurité et de la chaîne Azote i s . - des synoptiques donnant l 'état des circuits de sécuri té , de la boucle d'autorisation de démarrage, et la position des ba r re s de contrôle.
119
- lea Indicateurs de position dea b a r r e l de contrôle e t des chaîne a mobiles de démarrage,
- le pupitre d'exploitation dH traitement centralise des mesures et des signalisations.
- t rois té lescr iptr lces fournissant a l'équipe de conduite une série d'Informations traduisant
' l 'état du réacteur . *
VH.8 .2 .1 .2 - Le teWeausjnoptlojie général
Ce tableau es t un complément direct du pupitre décrit dans le paragraphe
VU. 3 .2 .1 .2 . H précise à l'équipa de conduite la configuration de l'ensemble des circuits du
réacteur, n comporte une sér ie de synoptiques concernant en particulier :
a) La radloprotection
Une verr lne locaUae rapidement la zone ot) 11 y a une activité anormale. Deux
enregis t reurs a 2 voles permettent de suivre en permanence l'évolution de l 'activité dans dos
tones cr i t iquas. On peut a partir de ce tableau déclencher l'évacuation générale du hall plie.
b) L'expérimentation
Un tableau précise l 'état des circuits de sécurité de toutes les expériences
Implantées dans le réacteur .
Quatre enregistreurs "monovoie" sont a la disposition de l'6qulpe de conduite.
c) Les circuits des eaux
Ce synoptlqw donnu la configuration do a principaux circuits : circuits de refroi
dissement du coeur et de la piscine, circuits secondaires y compris les aSroréfrigérants, circuit
de détection de rupture de gaine, circuit de mesure de l'activité Asotc IB. Des indicateurs don
nent la valeur des paramètres l e s plus importants : pressions différentielles et températures du
circui t coeur e t piscine, débit dans l e s échangeurs.
n comporta l e s organes de commande des principaux auxiliaires (pompes secon
dai res , ventilateurs des aéToréfrlgéranta . . . ).
d) L a ventilation et lea effluents radioactifs
Un synoptique précise le circuit de la ventilation nucléaire. Un Indicateur donne
la valeur de la dépression du hall pPc, A part i r de ce synoptique on choisit le couple de ventila
t eu r s en serv ice .
el Les Diesel
Ce synoptique schématise les circuits des deux groupes Diesel chargés d 'assurer
la continuité da l 'alimentation électrique générale en cas de panne secteur. Ce synoptique com
porte les Indicateurs India pensable s [aynehronoacopea, fréquencemètres, tac hy m ê t r e , Wattmètrcs)
les signaUsHtions et les organes de commande permettent l'exploitation de cette installation.
d) La distribution électrique
Ce synoptique donne une vue d'ensemble de la distribution électrique en partant
de la tension origine 15 kV . H précica le nombre de transformateurs en service (15 000 V/
380 V) et l a disparition dea Jeux de b a r r e s correspondant.
e) Les sources de tension dites "priori té! --d" 220V—48 V = 24 V
Cette partie du tableau an,, 2nd trois synoptlqcea distincts :
120
- le synoptique Onduleurs fournissant du 320 Volts et le schema de distribution
- le synoptique 48 Volts
- le synoptique 24 VcHts
VII, 9 . 2 . 1 . 3 - La salle opérationnelle comporte également le bureau du Chef de Quart
et un meuble contenant une télé script r i ce qui donne à Intervalles régul iers un relevé do toutes
l e s mesures intéressant le réacteur.
VU. B.2.2 - La salle fonctionnelle
Cette salle contient l'enaeroble des moyens mis en oeuvre pour t ra i ter les signaux
émis par les capteurs et Isa changement! d'état traduisant un défaut, l ' a r r ê t ou la mise en service
d'un auxiliaire.
Ces moyens sont regroupés par fonction et comprennent essentiellement :
- lea électroniques nécessaires au contrôle et a la commande du réacteur
- le relayage statique des circuits de sécurité et de commande des ba r re s
- lea â ectronlques de la radloprotectton et le re laya is associé
• les électroniques des raeiures classiques
- le relayago propre aux sécurités de* postes d'expérimentation.
VD.9 .2 .3 - La sal le du traitement central isé des mesures et des signalisation si T. C. M.S. )
Elle renferme le calculateur numérique Pallas «on pupitre d'exploitation et les
sept armoires associées (pour la description détaillée voir le chapitre 10),
Vil. B.2.4 - La sal le annexe deu Information» réservée aux expérimentateurs
Elle renferme l e s quatre té lescr iptr lces associées aux calculateurs et fournis
sant les informations propres aux expérimentateurs. On y trouve également lo pupitre d'exploi
tation permettant d ' interroger le T .C . M.S. pour les mesures concernant lex expérimentateurs.
Dans cette salle se trouve le centralisateur de mesure
121
VII.10 - TRAITEMENT CENTRALISÉ DES MESURES ET DES SIGNALISATIONS.
(T.C.M.S.)
VII. 10.1 - ROLE
L e T . C . M . S . constitue un outil précieux car il présente, sou» forme claire ,
lea données utiles au moment opportun. En particulier, en cas d'Incident, 11 fournit une quantité
Importante de renseignements qui permettent d'en déterminer l 'origine • 1 la rapidité de son
évolution (fonction historique}.
11 effectue également la fonction "cahier de quart" en imprimant, a des Inter
valles de temps régul iers , l'ensemble des mesures .
Enfin U prend en charge l 'enregistre ment et le dépouillement dee mesures d'un
certain nombre d'expériences.
l e T. C, M, 5, est uniquement un organe d'information. Il es t entièrement passif
vis-Û-vle du contrôle du réacteur et de ses auxiliaires. Son Indisponibilité temporaire n'entrave
pns l e fonctionne m ont du réacteur, l'équipe de conduite disposant de toua l e s éléments s t r i c te
ment Indispensables pour remplir sa tache.
VII, 10. 2 - FONCTIONS REMPLIES PARLE T .C .M.S .
L'enumeration exacte de toutes l e s fonctions remplies par le T .C .M.S . revien
drait à analyser le traitement propre 6 chaque groupe de mesures . Nous nous cohtenterons donc
de décrire les principales fractions.
VU. 10,2 .1 - Fonctions générales
VU,10 .2 .1 .1 - Foncerai su rrcUUnco_
A toute mesure est attachée la notion de seuil. En permanence la mesure est
comparée a. un seuil qui es t :
- «oit externe, c ' es t -à -d i re élaboré par les moyens classiques (déclencheurs)
- soit Interne au calculateur. H est dans ce cas mémorisé dans la mémoire centrale.
Le dépassement du seuil provoque la miss en surveillance do la mesure et d'un
certain nombre d 'autres mesures qui sont physiquement liées & cette mesure .
Cette mise en surveillance se traduit pas l ' impression sur une machine à écr i re
de l 'ensemble des mesures appelées par le processus décrit ci-dessus. Elle se poursuit jusqu'à
la fin du dépassement du seuil.
La roiae en surveillance peut ê t re également déclenchée par l 'opérateur qui, ft
par t i r d'un pupitre, appelle la mesure q u ' a désire contrôler.
L e T . C . M . S . remplit dans ces deux cas , le rûle d 'enregistreur pour les gran
deur* utiles dans un cas de fonctionnement donné.
1 2 2
VU. 1 0 . 2 . 1 . 2 - Fonction mémoire
Pour remplir parfaitement le rSle d 'enregis t reur , 11 est intéressant que Lt
T. C. M. S. ressor te des valeurs antér ieures au dépassement, afin de connaître l'évolution <lu
phénomène. Pour cela le calculateur conserva dans sa mémoire auxiliaire (tambour magnétique)
un certain nombre de valeurs de la mesure sans cesse renouvelées. Ces mesures mémorisées
sortent automatiquement en cas d'incident, soit s u r une machine a éc r i r a , soit s u r un perforateur.
VH. 10 .2 .1 .3 - Fonction statistique
Peur suivre dans le temps l'évolution de l 'ensemble des mesures concernant le
réacteur celles-ci sont relevées systématiquement toutes les deux heures, cela constitua le
"cahier de quart". Pour éviter à l'équipe de conduite cette tâche astreignante, ce travail es t
confié au calculateur qui Imprime toutes les deux heures l 'ensemble des grandeurs utiles à
l'exploitation.
VII.1D.2.1.4 - Fonction rtgnUliatlan
Pour localiser rapidement le défaut et éviter de surcharger de voyants la salle
opérationnelle, les signalisations concernant l 'ensemble des circuits du réac teur et de ses
auxiliaires (contrôle et commande circuit des eaux, électrotechnique . . . ) ont été confiées au
T. C M . S. Ce dernier Indique A l'équipe de conduite tout changement d'état (apparition d'un
défaut, re tour à la configuration normale, lancement d'une pompe . . . ).
VII. 10. 2.2 - Fonction da mise en forme des mesuras
Les rassures s e présentant A l 'entrée du T . C M . S . anus forme de tension é lec
trique, le calculateur effectue les traitements de mise a l 'échelle et de linéarisation de façon
à les présenter sous une forme directement exploitable,
VII. 10. 2, 3 - Fonctions l iées A l'utilisation
Certaines fonctions permettent A l'équipe de conduite de dialoguer avec le
T. C. M. S. pour modifier ou Interrompre un traitement en cours . On peut c i te r , par exemple,
parmi les principales :
- la modification ou la visualisation d'un seuil interne au T . C M . S . liée A une mesure
- 1'Inhibit!ai de traitement eu d'Impression d'une grandeur physique
- l'appel d'une mesure ou d'un groupe de mesures .
VII. 10.2.4 - Le T. C. M. S. et ICB expérimentateurs
Les expériences implantées dans le réacteur étant complexes et comportant un
nombre important da points de mesure , le T. C. M. S. enregis t re une grande partie de ces mesures .
Le processus de surveillance et de traitement de ces mesures est du même type que celui appli
qué aux mesures "pile" (mémorisation mise A l 'échelle, linéarisation . . . ) .
1 2 3
VU. IQ-3 - PRESENTATION DES RESULTATS
Le dépassement d'une des voleurs de consigne offlchéea par l 'Intermédiaire
de l'un des deux pupitres d'exploitation, ou données BU calculateur par l 'Intermédiaire du • élec
teur de voies numériques, provoque l'Impression automatique de la meoure en dépassement e t
des meaurea associées . Cette Impression se fait sur dea machines à écr i re de surveillance sous
la forme d'une mesure par colonie. L'heure, le repère et l'unité de la mesure sont indiqués en
tête.
Le dépasteraeut en t r axe également l 'Impression de l'historique de cette mesure
sur la machine & écr i re de statistique ou sur le perforateur. L'Impression se (ait sur une seule
ligna avec Indication de l 'heure du repère et de l'unité. La présentation est similaire sur le
perforateur de bande.
En ce qui concerne lea statistiques, celles-ci sont imprimées on 5 lignes avec
l 'heure et en tête de chaque groupe de mesure le libellé du groupe.
Lea changements d'état constatés par le sélecteur de voles numériques sont
t r ansc r i t ! en clair sur lea machine s a écr i re de signalisation. Le libellé qui peut a..eir.drc,
dans certains ca s , 35 carac tères alphanumériques, s ' imprime, accompagné de l 'heure, au
1/10 de seconde prés. L'huure Imprimée est l 'heure de sortie sur la machine et non l 'heure de
l 'événement.
VII.10. 4 - L E CENTRALISATEUR DE MESURE ( C D . M.)
VQ. 10.4 .1 - B o l e
Four faire tace aux demandes croissantes du nombre de voles ft surveiller, il a
été adjoint au T . C . M . S . un centralisateur de mesure aux performances nettement plu» modestes,
ma i l adapté aux besoins dea expér'raentateurs. Sa capacité -totale d'enregistrement est de 400
voies analogiques, essentiellement dea thermocouples. Cet équipement est extensible a 1 000 voies.
Toutes les voies de mesures sont prospectées automatiquement et cycliquement :
chaque vole peut être prospectée individuellement sur apprtl de l'équipe de conduite.
VU, 10.4 . 2 - Fonctions remplies p a r l e C D . M .
VU.10.4 ,2 .1 - FoncUç^desurye lUanco
Cette fonction est trèa limitée, ca r c 'es t uniquement sur une demande manuelle de
l'équipe de quart que la ou les mesures sont surveillées et enregistrées sur une machine a
éc r i r e .
La prospection individuelle d'une ou plusieurs voies permet donc d'effectuer
des verifications de bon fonctionnement du système et de ccntrOler l'évolution d'un ou plusieurs
paramètres . Dans ce cas la cadence de scrutation eat de l 'ordre d'une seconde.
124
Vil. 10.4. 2. 3 - Fonction. mUst t a . !^
C'est lb s a fonction essentielle. Four suivra l'évolution des paramétrée d'une
expérience en cours d'irradiation 1' ensemble de ces paramètres est enregis t ré sous forme
numérique sur une bande perforée. L'Intervalle de temps entre deux enregistrements successifs
est réglable entra 8 minutes et 4 heures.
VU. 10,4, 2 .3 - Fonctions générales - Présentation des résul ta ts
Les mesures enregis t rées sur la bande perforée (statistique) se présentent sous
forme brute.
Seules l e s mesures imprimées s u r l a machine & é c r i r e sont l inéar isées et eu
présentent socs une forme directement exploitable,
- Sortie des résul ta ts
Sur l a bande perforée s ' inscri t :
- un repère journalier au début de chaque période de 24 heures
- un repère de début de chaque cycle de mesures
- l 'heure de début de cycle
- l'Identification des voles
- l ' un i té de mesure
- un repère de fin de cycle
La machine a éc r i re inscrit :
- l 'heure (heure et minute ronde) de début d'exploration des voles de mesure
- l'identi.1 cation des voles surveillées
- l'unité de mesure en mV ou en degré C
- Dépouillement des résul ta is
Sur la bande perforée sortent l e s Informations venant des experiences. Pour donner
a chacun sea Informations, un t r i e s t effectué du Centre de Calcul, ce qui permet de .fournir A
chaque expérimentateur ses propres résultats sous forme de bandes magnétiques, de l iste en
claire , de courbes ou de réseaux de courbes. U pourra effectuer ft par t i r de ces bandes, les
traitements qui l ' intéressent (linéarisation, même ft l 'échel le , moyenne, t r acé de courbes , . . } .
2 e PARTIE .
ÉLÉMENTS SUSCEPTIBLES DE MODIFICATIONS.
V I I I - ÉLÉMENTS COMBUSTIBLES ET DE CONTRÔLE .
«Ht.1 • L'ÉLÉMENT COMBUSTIBLE.
vnr . i . i - C O N S T I T U T I O N
L'élément combustible standard est constitue principalement par 24 pîaqunH com
bustibles parallèles (les deux externes sont particulières) maintenu on solidaire H par 2 plaques
do r ive. L'assemblage est fait par sert issage, les forces de dosscrlissago sont do l 'ordro do
80 kg par cm do plaque. Chaque plaque combustible eat prolongée de 15 mm (+ 0.1) vers te
haut par une plaquette- de nickel do môme épaisseur et morne largeur que la plaque combustible.
Cette plaquette do nickel abaisse la valeur du flux ncutronlquo en bout do plaque, et Supprime le
point chaud qui pourrait s 'y trouver.
La partie inférieure est constitutéc par un embout qui canalise l'eau do rcfroidlu-
Boment ve r s les canaux de l 'élément, et assure l'accrochage des clémente sur les tiges d'attelage
par un système a baïonnette.
Enfin, l 'élément comporte à sa partie supérieure un axe horizontal de manutention
muni d'un verrou anti-envol qui s'enclenche dans les parois du casier alvéolé. Ce verrou est tel
que l'on ne peut pas décrocher la perche de manutention tant qu'il n'est pas enclenché.
Vin. 1. 2 - Description des diverses parties
v n l . 1.2.1 - Caractéristiques des plaques _e_ombustlble_s_
Chaque élément standard comprend 22 plaques intérieures ot 2 plaques extrêmes
qui ne se distinguent des premieres que par l 'épaisseur plus grande du gainage de leur face
externe (1,24 ram a w una largeur de 81,6 mm).
Les caractérist iques géométriques dos plaques sont les suivantes :
- Dimensions extérieures longueur 630 + 0.4 mm
épaisseur 1.27+ 0,08 mm
largeur 73 mm environ
1 2 7
i3a
- Dimensions moyennes du noyau combustible : longueur SOD mm
épaisseur 0,61 mm
largeur 68,4 mm
- Epaisseur du gainsga : 0, 3B ram
Le noyau combustible est constitué d'un alliage ou d'un frittagc uranium-aluminium.
Le galnege es t réa l i sé en A 5 NE.
L'épaisseur du canal d'esu entre plaques est de 2,10 + 0,15 mm.
- Alignement des plaques : le bas des plaques es t aligné h 0 ,2 mm pr&s pour deux plaques con
sécutives et â 0,3 mm pour deux plaques non consécutives.
VIII. 1.2.2 - Caractéristiques des plaques de rive
- Dimensions : hauteur 911 mm
épaisseur 4,75 mm
largeur 82,38 + 0,2 mm
- Profondeur des encoches : non Imposée
- Nature : AG 3 NE allié a du bore enrichi & 01 + 1 ' / . en B 10
VIII. 1.2.3 - Pied
Le pied est en AO 3 NE. Les plaquas de rive y sont encastrées aur une longueur
de US mm.
VII I . 2 - L'ÉLÉMENT DE CONTRÔLE.
Vm. 2 . 1 - CONSTITUTION
L'élément de contrôle comporte une partie combustible a 20 plaques, dérivée de
l'élément standard, et surmontée d'une partie absorbante. Les plaques de rive sont prolongées
jusqu'à l'embout supérieur. Deux plaques "entretoiaes" se r t i e s perpendiculairement aux plsques
de rive définissent avec ce l les-c i , dans la partie supérieure, un logement de section ca r rée des
tiné à recevoir deux paniers de cobalt. Le cobalt ser t Ici d'absorbsnt, il es t récupéré après
irradiation. Le système de verrouillage de l'embout supérieur qui bloque les panniers eat
manoeuvrable sous eau.
Les plaquettes de nickel sont supprimées et remplacées pour les 14 plaques cen
trales par dos plaquettes d 'acier bore plus absorbant.
Les embouts supérieur et Inférieur servent & accrocher, par un système à
baïonnette, les chariots permettant le déplacement de l 'ensemble.
1
1 2 9
VIII. 2. i. - DESCRIPTION DES CONSTITUANTS
VIII, 2, 2.1 - Plaque» combustibles Intérieure a
La nécessité do réduire lu section de l'en s amble, pour pouvoir le foira coulisser
dans une chaussette, Impose de réduire a. 18 le nombre do plaques Intérieures et a modifier
certaines de leurs caractérist iques :
- largeur do la plaque i S4 ram environ
- largeur ot hauteur de l 'âme : {voir figure),
VIII, 2, Z. 2 • Plaquée combustibles extremes
Par suite de le diminution de largeur des plaques, la surcpalaseur do gaine externe
(1,54 mm) es t sur 47,9 mm au lieu de El,G mm.
VII l .3 .2 .3 - Plaquette» d'acier bord
- Dim ans Ions largeur : 04 mm environ (%B0,2 mm)
hauteur : IB + 0 , 1 m m
épaisseur : 1,27 + 0,0B mm
Elles «ont constituées i 'uno flmo en acier inox bore à 80 + 10 mg de boro 10 par
plaquette, et d'une gaine en acier inoxydable d'épaisseur :
. . l i t }"-»
VIH. 2,2, i - Plaques de rive
• e même épaisseur et mémo nature que pour l'élément standard, leur longueur
est portée à 1 453 mm et la largeur réduite A
60,4 j _ M mm
Vin. 2. Z. 5 - Plaques entretoleei
El les sont en A5 NE non bore, leurs dimensions sont S°5 x 34 x 2, 89 mm.
VIII. 2 .2 .6 - Paniers de Cobalt
Le Cobalt est utilisé soua forme da plaquettes, gainées d'acier Inoxydable, dont
les dimensions sont les suivantes :
- Epaisseur totale : 2,2 + 0,1 n u i
- Epaisseur de la gaine ; D,5 mm
- Hauteur : 19,4 J ^ ; | mm
- L a r g e u r : 54,5 i , g 3 m m
130
Ces plaquettes sont maintenues entre lea parois du logement par le ptmler qui
peut être dérlni comme un galnage ajoure en ac ie r inoxydable de 0,4 mm d'épaisseur. Le panier
e i t percé de t rous if 14 ram) qui sont répart i* de telle façon qu'il y ait t rois t rous au droit de
chaque plaquette sur chacune des faces du galnage.
Le panier ainsi constitué contient 1"empilement de 15 plaquettes pour chacune de
ses races, soit un total de GO plaquettes par panier.
Ces paniers sont retenus â la partie Inférieure par une butée appelée "Cadra",
et bloquée à la partie supérieure par le système de verrouillage. Ce verrouillage es t tel qu'il
ne peut s 'ouvrir lorsque l 'élément eat dans s a chaussette guide.
Dcnnées Géométriques
OS 24 Elément otandard Elément de contrôle
catés 6,205 ï 8,238 cm B,B35xO,S40
Pas de réaeau 8,74 s 8,74 "76.3B7B c m 2 8 , 7 4 x 8 , 7 4 " 7 e , 3 B 7 B c m 2
ImorvaUe entre plaques 0,210 cm 0,212 cm
Intervalle entre plaques extérieures et casier
0,172 cm 0,240 cm
Epaisseur du casier 0 ,3 om 0 , 3 . »
Epaisseur chaussette 0 ,5 cm
Largeur du canal d'eau 7,2SScm 5.BB5 cm
Volume correspondant Hauteur 60 cm Pas B,74xB,74
4,583 1 4,533 3
Rapport V m étal /V eau 0, BuO.6 1,335
Surface dMchange limitée & l 'âme des plaques
..„,...« o„2
1 ,34* 10* c m 2
131
VI I I .3 - CHARGES EN URANIUM ET EN BORE DES DIFFÉRENTES
GÉNÉRATIONS D ' ÉLÉMENTS
La recherche de l 'amélioration des performance g et d'une meilleure économie du
combustible entraîne une évolution des charges en uranium e t en bore des éléments combustibles.
Cette évolution suit l e s progrès de la technologie des alliages ou des Mi lages uranium-aluminium
realised chez le constructeur, la CE RCA (Compagnie pour l'Etude et la Réalisation do Combus
tible a Atomiques).
La teneur pondérale en uranium de l'alliage combustible des premiers jeux était
de 22 */. , elle est maintenant de 26 "/•< L e ' t B U X de combustion des éléments usés atteignent
déjà 45 " / . . L'éventualité d'une charge en uranium encore plus Importante est a l 'étude, un tel
choix dépend de L'intérêt économique possible.
La charge en uranium par cm de plaque est actuellement définie à + 5 ' / , .
Les nouveaux jeux à 26 ' / , sont malmenant constitués a part i r de frit toge uranium -
aluminium ou d'alliage.
La tolérance sur les canaux d'eou passe de 0,25 mm A 0,15 ram.
Parallèlement a. l'évolution des charges en matière rissile on note une augmentation
des charges de bore 10. La teneur en bore 10 de l'aluminium des plaques de rive paesj ainsi de
300 ppm à 500 ppm, el le suit normalement l'augmentation de charge en uranium.
V I I I . * - A C C E S S O I R E S .
v m , 4 , l - REFLECTEUR DE BERYLLIUM (figure S)
Ce béryllium est utilisé sans galnage. Sa teneur en cobalt es t Infér ieure A 5 ppm,
V m . 4 . 1 . 1 - Blocs de béryllium Intérieurs au cuisson
Dimensions : 8 0 , 4 x 8 0 , 4 mm
Us comportent une cavité centrale t 32 mm qui peut être occupée soit par une
expérience, soit par un noyau de béryllium f 38 mm.
1 3 2
VIII. 4 .1 .2 - Blocs de béryllium destinés I M f e e s extérieures du calaaan
Lei dimensions sont Identiques au précédent, seuls different la partie supérieure
et le pied.
V M . 4 . 1 . 3 - Blocs de béryllium faces hydrauliques
Dimensions : 40 s 58 mm.
VIH.4.2 - BOITES A EAU (voir figure SJ
ÏXP£SgtfEÏSNS '• l a section extérieure eot de 82,38 x 83,05 mm, l 'épaisseur de
la paroi 2 mm.
T^j» extér ieur : les nouveaux profilés ont une section extérieure de 82,4 x 81,4 mm
pour une épaisseur de 2 mra.
VIII.9-DESCRIPTION DU CŒUR ET DES EMPLACEMENTS EXPÉRIMENTAUX.
(F lgur t 6)
Les éléments constitutifs du coeur sont placés dans les emplacements (84,4 x
84,4 mm) d'un cas ie r alvéolé (T x 8 emplacements). Ceci permet une grande souplesse de char -
go IB ont «t la réalisation de diverses configurations géométriques.
L'emplacement des ba r re s de contrôle, au nombre de 6, peut Etre choisi l ibrement.
Cependant du puis le démarrage le choix de leur Implantation s 'es t révélé suffisamment judicieux
pour qu'il ne soit pas nécessaire de les déplacer.
La c o n f i e r a i Ion j e t u e lie comporte :
- 31 éléments combustibles standards
- 6 éléments de contrôle
- S expériences a. coeur (flux rapide élevé)
On trouve en outre en rangée 10 quatre blocs de béryllium (dont les noyaux sont
souvent remplacés par des expériences) et t rois emplacements expérimentaux.
La rangée 80 est aussi occupée par du béryllium et des expériences.
Cet ensemble occupe l ' Intérieur du caisson en sircaloy qui permet d'atténuer l e s
flux gamma a l 'extérieur du coeur.
Trois grilles extérieures placées contre le calas on sur les faces Nord, Est et
• Cuest reçoivent de nombreuses irradiations expérimentales.
La face Sud comporte un réflecteur de béryllium de 4 cm d 'épaisseur et une bat te
r i e de 10 tubes hydrauliques et un tube pneumatique.
IX - NEUTRONIQUË.
IX.1- INTRODUCTION.
Le* objectifs poursuivis étalent les suivants :
- Obtenir un flux rapide aussi Aleve que possible aur les experiences dons le coeur.
• Réduire nu Mieux la facteur de point chaud,
• Atteindre un taux de combustion t r è s Aleve ( # 45 "/,) pour les éléments envoyés au re t ra i te
ment et compenser l'excédent de réactlvlte nécessaire, do telle façon que lea flux sur les
expériences soient perturbés au minimum durant le fonctionnement par les mouvements de ba r r e s .
Dca calculs noutranlques ont permis d'étudier l'Influence dea paramètres princi
paux du combustible (nombre de plaques, charge par plaquo, localisation et teneur en Bore, e t c . . ),
ceci nous a conduit b avoir un nombre élevé de plaques (24), ce qui es t favorable u'un point de vue
thermique, ainsi qu'une charge d'uranium importante, limitée par des considérations économiques
de coût de fabrication.
Dons le but de l imiter les remontées de flux thermique sur las plaques combusti
bles on évite de la isser dans le coeur des espaces d'eau Inutiles. C'est ce qui explique In sur épais
seur de gainage des plaques extremes des éléments combustibles standards.
La remontée du flun dermique côté sortie réfrigérant eat supprimée par la mise
en place d'un absorbeur sous forme d'une plaquette do nickel en partie haute de chacune des
plaques combustibles.
Dans les éléments de contrôle la partie absorbante est rapprochée le plua posalble
de la partie combustible.
Le principal moyen utilisé pour limiter la distorsion de flux due & des mouvements,
de ba r re s de contrôle trop Impartants eat cependant l'Introduction de poison consommable dons
les plaques de r ives des éléments combustibles standards et de contrôle.
Le poison consommable est le bore enrichi en bore 10 ; 11 est allié a l'aluminium
des plaques de r ives . Ce produit disparaît progressivement en cours de cycle et compense en
partie la combustion de l 'uranium. Lee mouvements de ba r re s sont extrêmement réduits au cours
de la plus grande part ie du cycle.
133
L a localisation du bore permet de réduire l a remontée du llux thermique, dans le
sens parallèle aux plaques combustibles entre deux éléments. Elle permet également un contrôle
aisé de teneur, ce qui ne serait pas aussi commode al le bore était placé dans l e s plaques fissiles.
IX . 2 - CALCUL .
K . 2.1 - EFFETS DE VIDE ET DE TEMPERATURE
Pour déterminer les effets du vida, un calcul de crl t lel té eet effectué en modifiant
la densité de l 'eau. Compte tenu des expériences neutron! que s, la valeur moyenne trouvée pour
tout le coeur est de :
190 pcm "/• de vide , soit - 0,17 pcm/cm d'eau enlevée.
Pour le coefficient de température, des calculs de crl t lel té ont été effectués entre
2Q*C et BO'C.
Effet j£obnl__ • dû ft une élévation de température uniforme dama tout le coeur avec
dilatation du réseau.
Pour une variation de 40*C entre 20* et 60°, on mesure a ISIS : - 15 pcm/ 'C .
1X.2.2 - VALEURS DE FLUX CALCULEES
L e s valeurs de flux neutrotdquea A 70 MW calculées toutes b a r r e s hautes, pour du
combustible neuf sont les suivantes :
P • 70 MW
Flux moyen thermique 2 200 m / s e c 1,06 x 10 n/otu / sec
Flux maximum thermique 2 200 m / sec 2 ,5 x l O n/cm / sec
Flux moyen rapide E > 1 MeV 2,4 x 1 0 1 4 n / c m 2 / s e c
Flux maximum rapide E >1 MeV 5,2 x 10 a / cm / s e c
IX . 3 - EXPÉRIENCE
DC. 3.1 - MODE DE CHARGEMENT ACTUEL (figure 6)
La recherche du taux de combustion élevé (45 */.) conduit & uti l iser un mode de
1 3 5
chargement en deux tones .
Au début du cycle la rone centrale (A| es t chargée en éléments combustibles
standards neufs (15 ou 16) sur la zone périphérique (B) sont placés des éléments déjà partielle
ment brûlés au cours d'un cycle précédent.
- BILAN DE REACTIV1TE
Un bilan de ré activité correspondant A un coeur composé de combustible entière
ment neuf, en début de cycle, ne présente guère d'Intérêt étant donné le mode de chargement
utilisé actuellement.
constituée d'éléments neufs, la zone périphérique
d'un cycle précédent et donc présentant un ompoi-
barrau sont neuves.
La zone centrale A du coe
d'éléments déjà partiellement brûlés, BL
it résiduel en Samarium, seulei
Le bilan est le suivant :
Réactivité initiale disponible
Valeur apparente de l'empoisonne ment
Effet de température
Evolution ft long terme
•{«activité résiduelle
D ZOO
3 100
K . 3, 3 - BARRES DE CONTROLE
Le but des ba r re s de contrôle est d 'assurer la compensation de la réactivité néces
saire pour la durée du cycle et fournir une marge de sécurité suffisante lorsque la plie est II
l ' a r r i t .
Réactivité nécessaire en début de vie :
Xénc
ie efficacité de bar res
300 Effet de température
S 300 évolution
8 700
évolution
SI l'on adopte une marge de sécurité d e 6 000 pcm il faut
de 15 000 pcm.
Les mesures ISIS o nt donné les valeurs suivantes :
N*de
1
2
3
Efficacité
1 800
1 SOD
3 200
4 3 200
5 2 900
6 2 TOO
130
Lea barres 2 el 3 scot chelates comme ba r res de aécurlté ; ellea représentent
a ellea deux 5 000 pen). Lea barrea «ont montées en sequence dans l 'nrdra 4 , 5 , 1 et 6. L'efficacité globale des b a r r e s est largement suffisante pour la aécurl té. Lea paniers de Cobalt avec leur trou d'eau central constituant un plege pour les
neutrons rapides ce qui augmente l'efficacité. Le Cobalt 60 ainsi fabriqué est utilisé comme radioélément.
Flu» dan» les e m placemen tu expert™ en tau»
Emplacement Flux thermique 1 0 " n / = „ ' . .
Flux rapide 1 MeV n / c m J s
26 2 ,9 2,2 1 0 M
31 3,6 3 ,8 42 3 2,6 76 2 , 7 0,6 D5 1,3 0 ,8 1 0 1 3
E l 1,5 E2 0,4 ES 1,9 F I 3,4 2 F2 0,6 PS 2 , 7 2 ,2
Gl 2 , 9 2 ,4 G2 0,7
G5 3 2 ,5 Kl 2 ,0 2 ,4 H3 0,7 H5 3 2 ,6 J5 2 , 7 2 ,3
X-THERMIQUE.
i X. 1- PHODUCTION DE LA PUISSANCE.
X. 1. 1 - REPARTITION DE LA PUISSANCE
La pu luance nominale du coeur eat de 70 MW. On peut en donner une répartition aulvant lea origine• et par milieu dana le réacteur,
Fragmenta de tlaaion.
Halentlsse-
0 S Total V. P M W
*.„,,,. 174 MeV 0, IBS MeV 0,11 3,30 177,595 89,05 44,5
Structure 0,1 SD 0,09 2,70 2,94 1,40 0,74
Eau coeur 1.B0S 2,43 5,255 2,64 1,32
Extérieur (roanlp., réflecteur)
1,760 11,ES 13,41 6,83 3,42
Total 174 MeV 4 .9 0,2 20,1 109,2 100 50
Remarqua En réal i té , la puissance évacuée par lea «changeurs du circuit piscine, peut t i r e
plua Importante. Elle dépend dea expériences présentes aur la. grille extérieure (apport de calorlea du four da régulation), dea remcntéea éventuelles d'eau chaude en haut de la cheminée, de la pulaaance réalduelle dea élément» combuatiblea en stockage . . .
1 3 7
coeur Elément
aérle OABG
S!'. 42 46 n 22 28 71 72 14 77 ORi 83 85 86 ORI
A
Juiqu'Hti 9.13.88
31 6 Pu 2 faux
MQRi 2 roll)) 2 coli
bri 2 feux
ORl ORl Pu ORl
84 73 75 OEU OBI OBi
# 4 0
81 83 67
Débit m3/h 2 838 434 16 24 19 25 35 19 Ï9 110 19 76 B.2 8.2 100 24,6
B
9 au 12.12 d* à* d' d" ÎSORi
ThC
d* d» a* Idéal* d" d" d* d* d* OBi n*5 d»
Débit m 3 / h 2 988 434 16 24 ta 35 35 IS 18 130 19 78 8,2 B , , B»2 2*»6
C
du l a . 13 «J* d ' d"
2 Colibri +
4 Mini OC +
d* i Colibri +
i Z r *
m
<T d*
III
d* OBI
troc*
OBi n i -
d* d*
Débit m3/h 2 8BB 434 ie 31 20 35 39 14 le no 16 76 22 23 34,6
A = 3 92S + 325 = 4 250 m 3 / h
Débita eatttté» B " 3 830 4 325 • 4 155 m 3 / h p a i r flp ' 12 ra d'eau et 2S'C
C * 3BS9.8* 3SS - 4 184,3 m 3 / i t
+ : DlipoettUe expérimentaux
ORl : Elément Beryllium réflecteur
OBI : Boita A eau TAB!LEAU X.2
1 3 0
x . i . a - E C H A O F F E M E M T G A M M A
Lei échauffe m en ta ont été soit mesurés, soit calculés, dans les différents*
o m place mente dlapontbles pour 1' experimentation, Dana le caisaon, lia ont été "uloraent
calculés.
Les valeurs sont donnée a sur la figure X. 1.
X.2-ÉVACUATION DE LA PUISSANCE.
X.2 .1 - HYDRAULIQUE
La a caractéristiques hydrauliques de l'ensemble du cœur ont fait l'objet d'études
et calcula lora de la phase Avant-Projet, Des séries de mesura» ont été réalisées lore du démar
rage, fin 1BBS, sur le coeur at le chargement Initial. Cos mesures ont été reprises en Novembre
Décembre 1BBS, aur la coeur actuel, lora du passage a la puissance de 70 MW, eprbs modification
du rouet <tti pompes.
Noua donnons lea résultats de cette dernière aérle de masures qui concernent, la
perte da charge du coaur, la répartition du débit, la vitesse dans les éléments, l'influence de la
température.
' A partir du bilan cl-dessus ont peut étsbltr un bilan par région : coeur, réflecteur
Intérieur, caisaon, ptsolne :
Coeur Réflecteur Intérieur
Caisson Piscine
SS MW 1,94 MW 1,32 MW 0,74 MW
La puissance dégagée dans le caisson est évacuée en partie par le circuit coeur,
en partie par le circuit piscine. La répartition est approximativement la aulvante :
90 * / . °u 1.2 MW dans le premier
10 * / . ou 0,12 MW dans le deuxième.
On aboutit ainsi à la répartition suivante entre les deux circuits :
Circuit coeur : 69,12 MW
Circuit piscina 0,118 MW
1 4 0
. Perte de charge du coeur en fonction da la puissance et de la température
La mesure qui dépend du chargement at de la température a été laite dans diffé-
La courbe X-2 t racée dans la configuration B de 6'C P - 0 a 50°C P " 50 MW
donne l'ensemble des influences de la température et de la puissance sur la perte de charge.
L'augmentation de la puissance entrafne une diminution du A P coeur (pour un même coeur).
De plus, la figure X-3 donne la variation du débit coeur en fonction de la tem
pérature, le débit étant mesuré a l 'aide des courbes d'étalonnage des écltangeura.
La figure X-4 donne l'effet de la température sur la perte de charge d'un élément
standard. Les courbes X-6 fournissent un aperçu de la dispersion ds la perte de charge des
éléments standards.
Kéj>artitlon_du_ 1éblt : la répartition du débit entre les différents constituants
est donnée tableau X. 2, tableau -tonnant également la définition des chargements.
En tenant compte des débita " t i rants" et "caisson"- cas ie r" (200 m /houre et
125 m /heure), nous en tirons le pourcentage du débit total utilisé par élément no ion les char
gements :
-chargement A : 2 , 2 7 ' / ,
- chargement B : 2, 31 • / .
- chargement C : 2.30 • / .
Noua notons que les débits sont de 92,7 ft 94,7 tn /heure selon les chargements
et la température. Nous relevons par cette méthode une dispersion de 2 */. entre les débits
es t imés. L'effet do la température augmente le débit unitaire de 0,300 m /heure entre 28*C
et 43,8'C,
Cette augmentation a i t à rapprocher de celle déterminée par les & P , soit
2,74 m 3 / h e u r e par élément dans la même fourchette de température.
En conclusion noua remarquons que les effets de la température et de la puissance
sont mieux mis en évidence par le û P coeur que par la maaure du débit global. D'une manière
générale cette première , Jugée plus précise, a été retenue pour définir le débit moyen de l ' é lé
ment standard. Pour la température d'entrée la plus chaude 42*C, ce débit est supérieur h
100 m /h, ce qui correspond A une vitesse entre plaques de 7,0B m / s e c .
- Influence du circuit d'équilibre
Nous avons, par des essa is complémentaires, déterminé l'Influence du débit
d'équilibre sur l e s paramètres principaux de fonctionnement que nous portons sur le tableau
cl-dessous :
141
Q total Q coeur
m 3 / h
Q équilibre
m 3 / h
Pcoeur
4 259 4 tog 150 I 124
4 240 4 140 ian 1 1GD
4 34B 4 190 so 1 180
4 228 4 22B 0 1 201
Nous notons donc une augmentation de 119 m / h d u débit COBU. .lOur une dlml-
nutloti do 150 m /heure du debit d'Équilibre.
X. 3. H " THERMIfiUE DV COEUR
Das asaaSg olfeclués sur boucle al s a r piîo en* dcrniûrca mném ont montré
que la redistribution do débit constituait le phénomène dangereux q u [ apparaissait on premier
dans le cas des piles plsolnas (SILOE, TRITON, OSIRIS, PEGASE). La puissance limite que
sous allons calculer poar CSIÎIIS devra donc rendis ! • réaetimr aOr pur rapport ft i s redistr ibu
tion, dans -tous los cas et compte tenu de toutes les Incertitudes,
Une campagne d 'essais a été réalisée aur la plie CABRI pour situer directement
la redistribution dans lea conditions d'OSIRIS.
La puissance limite pour OSIRIS doit donc Otro déterminée :
- soit par le calcul
- soli en se basant sur lea eaaais réal isés o CABRI.
AprÈs nous otre places dans le cas nominal, nous donnerons les margoB prices
pour tenir compte des diverses incertitudes.
Les caractéristique s réel les obtenues a OS1R1S jusqu'à la puissance de 70 MW
seront également données.
X . a . 2 . 1 - Résultats - Cas nominal
Sur la flg-ure X-S on trouve les courbes donnant la puissance de redistribution
en fonction de la vitesse pour différentes temperaturea de l'eau à l 'entrée du coeur (Te) pour
un essa i de 2,12 tnm. Sut ces Bûyrbae sont Également portés l e s pointa eipérimoiiiafix obtenus
h CABRI.
X , 3 . a . 3 - Puissance évaeiiabla par un canal, compte tenu àea incertitadea
Nous calculons cette puissance de telle sorte que la plie reni* sûre en supposant
que tous les facteurs défavorable» Jouent dans lo marne sens , en distinguant, d'un* part la margo
à prendre par rapport aux calcula ou aux essa is CABRI, d'autre part tas incertitudes liées au
réacteur OSIRIS : tolérances géométriques du canal. Incertitudes sur la vitesse et 1» puissance
du canal chaud.
1 4 2
L* tableau cl-dm a ou» réanime l'ensemble des marges prises et leur influence
sor la puissance du réacteur.
Type de l'Incertitude Grandeur Facteur divisant la puissance du réacteur
Marge sur le calcul : Mergoulis - 1 5 * / . 1,06
Incertitude sur la dimension du canal - 0,25 mm (D.)
m - 0 , 1 5 mm (D*) 1,11
0 0 1,07
Incertitude sur la vite aie
- repartition sur la grille
- répartition entre canaux d'un mime élément
- août alimentation d'un élément de contrôle
av. • • / .
*V.
1,03
1,05
1,04
Incertitude sur le flux du canal chaud
- mesure de la puissance
- charge par plaque
- surface d'échange
3 7. a'/. 3 7.
1,06
1,02
1,03
Soit un facteur de réduction de : 1,45 pour le cas ( • , )
1,40 pour le cas (D ).
Hem arque : La détermination du canal chaud cet fait sur ISIS,
Sur les figures X-7 et X-B on trouvera pour las températures d'entrée de 40
et 45'C et les courbée donnant la redistribution ;
- Courbe 1 ! C M nominal
- Courbe 2 : avec incertitudes cenal de 1,65 mm
-Courbes : avec Incertitudes canal de l ,B7mni
X. a, 2.3 - Fonctionnement à la limite de a •écuritéa
Nous voulons que la plie soit sûre dans tous l e s cas de fonctionnement. U est
donc nécessaire d'envisager le cas ob la puiasance et le débit évoluent Jusqu'à la limite des sécu
rités. Cecaa e i t en fait tri» probable au cours do fonctionnement pour le débit [arrêt de pompe)
ou pour la puleiance. Seul le fait de considérer la concordance des deux est pessimiste.
Actuellement l e s sécurités de chute des barres sont régies A P + 10 */• et
Q - 1 0 * / . .
La limite de puissance pour le canal eat alors donnée par lea courbes 4 (canal
de 1,05 mm) et S (canal de 1,87 mm) des figures X-7 et X-fl.
La pnlsaance A ne pas dépasser pour le réacteur est déterminée par rapport a
ces courbes.
Remarque - La jxiiaaance limite pour OSIRIS s'obtient A partir :
- d e la aurtace d'échange du coeur : 6,5.10 c m 2 , qui conduit a une densité de puissance moyenne
143
de 1,4 W/cm 8 /MW
- du facteur de canal chaud. Ce facteur dépend du chargement. Actuellement, la valeur maximale
considérée es t 1,81, valeur mesurée A1S1S.
Dans cea condition», on peut évacuer TO HW A condition que la température de
l'eau A l 'entrée du coeur reste inférieure A 4S*C.
X. 2 .2 .4 - Résultats des mesures obtenues sur le réacteur
Un certain nombre de contrôles thermiques ont été réal isés lors du passage &
70 M'.V. Nous donnons les résultats puisqu'ils caractér isent l e s performances actuelles du r ( s e
ul Mesure de la température de l'eau a la «ortie d'un canal
Le but de la mesure est la connaissance de la température de l'eau A la sortie
d'un canal d 'éléments combustibles standards pour en déduire réchauffement dans le canal et
pour le comparer a la température de «ortie a laquelle se produit la redistribution.
Les courbes sont t racées figure X-10. Le désaccord calcul-musure ne dépasse
pas 6 ' / * pour Wo/W • 1,5 et 3 */. pour We/W • 1,57, valeurs Inférieures eus margea d 'e r reurs
possibles :
• défaut, m i m e léger, d'isolement par rapport A la plaque ou décentrement dea thermocouples
dans le canal.
• Précision de la merure de l 'ordre de 1*C, soit 3 • / • B u r " " 30*
. Repartition de la puissance dans le canal.
Concluait»!
Cette mesure de la puissance globale dégagée dans le canal est, en fait, plus
significative que la température de plaque pour une limitât loi par rapport A la redistribution
de débit. Nous avons t r acé , figure X-10 [co'irbe 4), le A S calculé du filet chaud (W/W • 1,62),
H est à comparer au AO r é a r m a i conduisant A la redistribution mesuré A CABRI (Ts * 104'C),
pour Te • 43*C par exemple, soit 4B •> 62*C. On constate que :
- A 70 MW et Q ° Qn on dispose d'un facteur l.TT par rapport Ala redistribution
- ATOMW et <) • 0,9 Qn on dispose d'un facteur 1,61 par rapport à la redistribution
- A 77 MWet Q " 0,5 Qn on dispose d'un facteur 1,47 par rapport A la redistribution
b) Mesure de la température d'une plaque
Description
Nous disposions de deux éléments standards dont l 'avant-demiere plaque était
munie de 5 thermocouples, noyés dans l a gaine (procédé désormais classique, mis au point A la
SNECMA).
L'élément OABG ISO T, neuf lors des essa is , était mis en 35, son avant-demi ere
plaque constituant la plaque chaude du réacteur.
L'élément OABG 17B T, brûlé A 35 ,5* / . avan t les essa is , nous a servi Accnnaf-
tre avec une meilleure précision le profil de la puissance et de la température dans un élément
brûlé. I l était mis en 14.
144
Chacun des élément» avait fait l'objet de* contrôles de dimensions habituel».
LB thermocouple le plu» chaud était passé sur suiveur pour contrôle des transitoire» et du pas
sage en convection naturelle.
La position des thermocouples sur les plaques est donnée figure X - l l ,
Résultat dos mesures : élément OABO 180 T
Cn trouvera figure X-12 : la température au point chaud en fonction de la puis
sance [élément OABG 180 T) et figure X-13 : la température pour l 'élément OABG 1T9 T.
X. 2. 2. S - Paaiage en convection naturelle
a) Eesala hora plia
Un certain nombre d 'essais ont été réal isés au Service des. Transferts Thermi
ques, n» laissent apparaître que, pour l e s canaux rectangulaires d 'épaisseur 2 mm, le (lux
d'apparition de l'expulsion eat voisin de 13 - 14 W/ero , tandis que la destruction du canal
(burn-out) n'intervient que pour un flux largement supérieur a la valeur donnée cl-desaus [2 ft
4 fols).
Ces valeurs sont A comparer aux flux à évacuer A OS1R1S lo rs du passage en
convection naturelle (60 s après l ' a r rê t ) ft par t i r d'une puissance de TO MW.
- Eléments combustibles : canal de 2 tara 3,6 W/cra au maximum
2 ,2W/cm en moyenne
- Canal d'un bloc d'aluminium (2 mm) 12 W/cm sana rainure
S W/cm 2 avec ra inures
- Caisson : canal annulaire 3,4 W/cm
Pour le caisson, il s 'agit d'un canal de 2, S mm. Donc, en principe plus favora
ble. Mais on doit tenir compte des pertes de charge plus importantes ft l 'entrée et ft la sort ie ,
b) Eaaala BUT le réacteur
Le passage en convection naturelle a été suivi s u r l 'élément combustible Instru
menté et sur le bloc d'Al figurant une expérience.
- Elément^ combustible :
Les courbes sont données figures X-I4 et X-13.
La remontée de température, après l 'ouverture dea clapets, res te toujour» t r è s
Inférieure ft la température atteinte en fonctionnement. Le maximum ae situe TE secondes après
l ' a r rê t des pompes. Il atteint 67 ' pour 52 MW et 73* pour 70 MW.
H n 'y a donc aucun problème en ce qui concerne les éléments combustibles.
- l^u£Mjxj^rJe£çej.é^m^nt LdJaJumirium_ :
L'élément d'aluminium simulant une expérience avait été placé en 34. La géomé
trie de l'élément était la suivants :
. Section 80,4 x 80,4 : canal de 2 mm entre élément et cas ie r . Le refroidissement était amélioré
par deux rainures (profondeur : 16 mm, largeur : 4 mm| sur chaque face de S0,4 mm.
. Trou central : f 32 mm, tirant ft 28 mm : canal de 2 mm.
I Quatre thermocouples avaient été montée aur l 'élément : deux sur une face exté
r ieure, deux sur le tirant central (dans les deux cas : un a. mi-hauteur, l 'autre en partie haute_
de l 'élément). Le thermocouple situé en partie supérieure de la race extérieure était hors d'usage.
Lors du passage en convection naturelle, nous avons enregistré lea Indications
du thermocouple situé en partie supérieure du tirant central.
Les courbes sont données figure X-1B.
Le maximum de température se produit envi ro i 3 minutes après l'arrfll dea
pompea et ce maximum est t r è s plat (inertie calorifique importante dea blocs). De plu a, lea
températures obtenues sont basses : 7l*C a 52 MW et 75*C A 70 Mw.
| Sur tous les enregistrements des passages en convection naturelle, l 'ouverture
dea clapets ressor t ft 67-88 secondes après l ' a r rê t des pompea, délai pratiquement Identique a
| celui obtenu lors des essa is précédents.
J
3 e PARTIE.
XI - FONCTIONNEMENT DU RÉACTEUR.
XI. 1 • C Y C L E S 0 E F O N C T I O N N E M E N T .
Le réacteur OSISiS es t un réacteur de recherche destine a tes te r des roalériaux
do structure, des combustibles nouveau! dans dos conditions thermodynamique a et noutronlquos
données ; 11 permet aussi Is fabrication de radioélément a, de Ironeuranlons. Pour la plupart des
experiences effectuées dans Osifllâ, il (mit atteindre ries flux intégrée EOH»iderabiBB simulant
des Irradiations de plusieurs aimons dans un réacteur do puissance. Par a i conception, le réac
teur pout îcnetioener o une puissance «lovée ot avec un ttrex do marche important.
Les emplacements d'Irradiation dnna le coeur et autour du coeur ont des caracté
ristiques de flux qui sont connues d'aprbs des calculs et des mesures effectuées sur îa maquette
critique "ISIS", Pour pouvoir prévoir d'une manière précise les flux, las temperatures et îa
durée de toutes les experiences qui se font simultanément, il a été jugé préférable de fixer le
paramètre "puissance" du réacteur , d'autant plus que tes plages de réglage des conditions thermo
dynamique des expériences peuvent être étroites. OSIRIS fonctionne donc a une pulaaonce constante
de 70 MW tbermiquo depuis la fin do l'année 1068 (eprès avoir fonctionné pendant 2 ans A 50 MW).
C'est une valeur norainole t r è s proche de la puissance maximale qui peut Ctra évacuée dans îee
conditions climatiques les plus défavorables. L'Investissement 4 la construction et les frais
fixes étant t r è s importants, un fonctionnement intensif rï'mimie le prix du neutron. L'empoison
nement de 48 heures a l ' a r rê t du réacteur conduit à una marche continue. La fréquence des
ar re ts nécessa i res aux opérations de chargement, A l'expérimentation et a l 'entretien, est réduite
au nlua s t r ic t des besoins, Le fonctionnement est donc décomposa en cycles. Cheque cycle dont la
durée es t d'environ 7 H e m aines, comprend un arret de cycle de B Jours pour modification du char
gement de combustible, d'expériences e t peur entretien, une marche continue à 70 MW éventuel
lement interrompue par un a r r ê t da roi-cycle de 4B heures p iur changer le chargement expéri
mental, Dan» une année calendoire. Il y a en général 7 ou 8 cvcles ; pour l'expérimentation le
temps d'attente d'un a r r ê t pour enfQunjemant ou défournemest d'une expérience ne dépasse pas
trois semaines. Ainsi le taux de marche en puissance du réacteur peut atteindre ao • / . en temps,
avec une grande s o u d a s s e d'utilisation.
Au cours du cycle lea fluctuations de put nuance sont Inférieure a a s- • / „ i e flux
dans l e s expériences es t cependant légèrement perturbé par suite de la diminution du nombre de
1 4 9
i ao
noyaux de matière fissile par combustion et du mouvement des b a r r e s de contrôle. La charge
en polaon c on a om niable des plaque* de rive des éléments combustible* réduit l 'amplitude des
évolution!. Dana la. première partie du cycle, le Xénon étant a l 'équilibre lea ba r rée de contrôle
restent pratiquement dan* leur position (figure 1), l a combustion de l'IT 235 es t compensée par
l a disparition de Bore 10 ; le flux au niveau dee chambres f l ies , par exemple, varie peu
(figure 2). Dans la seconde partie du cycle. Il es t nécessaire pour maintenir le niveau de puie-
J ince du réacteur de lever progressivement les ba r re s de contrôle : le flux varia localement de
manitre plus Importante (figure 2). Une séquence de montée des b a r r e s et des mesure* sur ISIS,
en fonction de la position des ba r res , permet de prévoir l e s Oui dans l e s expériences e t le com
bustible.
La figure 3 montre l'évolution de l a réactlvité disponible au coure du cycle pour
<"^a combustibles A charge initiale de lfi g U5 par plaque et dont lee plaques de r ive sont borées
ii 3B0 ppm de Bore 10.
X I . 2 • LES A R R Ê T S .
Lors de l ' a r rê t du cycle, sont entrepr is les travaux de chargement, déchargement
dee expériences et du combustible, les travaux d'entretien.
- Chargement, déchargement
Lee opérations de remplacement du combustible portent eur le moitié dea éléments
etandarde, 15 ou 16 éléments neufs remplacent, en eone centrale , dea éléments qui aont déplacés
en zone périphérique. Lea éléments re t i rée du réacteur ont atteint un taux de combustion d'envi
ron 45 */. . A chique cycle 4, S ou 6 ba r re s de contrôle sont remplacées (2 bar res sont t r è s peu
"brûlées" après un cycle). La durée de ces opérations est de deux ou t ro is Jours.
Pour le remplacement dea expériences, i l faut distinguer les emplacements Inté
r i eu rs et ceux extérieurs au caisson, Le mode de fixation, l 'état dee circuits hydrauliques, les
risques de cri t ici té, ne présentent pas l e s mêmes astreintes .
Le chargement ou le déchargement du coeur proprement dit, se fait avec beaucoup
de précautions ; l e s reactivité* mises en Jeu peuvent, en effet, ê tre t r e e Importantes. Le circuit
primaire es t a r rê té (le retrai t de l a c lé de déverrouillage dea tiges coupe l 'alimentation élec
trique dea pompes). Un ordre de chargement ou déchargement est toujours donné par écrit et
lee opérations ae font scua l a surveillance de l'Ingénieur de Fonctionnement. Le contrôle du
réacleur es t toujours en service, un taux de comptage minimal est obtenu grace eux sources
que représentent éléments brûlés, matériaux activée et éléments en béryllium. Les consignee
de chargement Imposent de l a i s se r deux b a r r e s , dite» de sécuri té , en position haute. Cette p ro
cédure nu prétend pas pailler toute évolimon Intempestive, maie elle impose que toute* les con
ditions de chargement soient effectivement réa l i sée . Une e r r eu r de conduite (mise hors service
d'ime partie du contrôle) ou d'opération [introduction t rop rapide de combustible) es t eanctlonnée
p a r u » chute de ba r re s automatique.
151
Lea opérâtieni en périphérie du caisson sont plus simples. Certaines peuvent
mémo «Ire envisagées réacteur en marche.
n (sut cependant signaler que le grand nombre d'expériences (40 a 50) conduit A
un e ne hevatrement des c ib les e t liaisons de contrôle des expériences. Suivant le nombre e t le
type des expériences, la modification du chargement des expériences, les raccordements, les
essais nécessitent t ro is a cinq Jours de travail .
Apres ehBi-fcement des combustibles, 11 est dressé une courbe d'activité au-dessus
des éléments au cours d'un fonctionnement a 300 ou 400 KW. Cette carte doit permettre de déceler
rapidement une rupture de gaine d'un élément en cas d'Incident.
- L'entretien
L'en*retlen préventif et la réparation du matériel icnt effectués dans la mesure
du possible pendant les a r rê ta de cycle et de demi-cycle. En général, uea travaux, sur la plupart
des c i rcui ts , ont peu d'Interférences oveo lea opérations sur le réacteur. Ils peuvent être menés
Indépendamment ou phaaéa avec un programme détaillé des opérations de l ' a r r ê t . Pour certaines
parties de l 'installation, comme la contrôle, le matériel ne peut être mis hors service que trbs
peu de temps . Il est donc indispensable d'avoir du matériel de haute fiabilité et de le maintenir
dans ces conditions par un entretien préventif soigné. D'autre part , l'Interchangeabilité, réac
teur en marche, a été rendu possible des la conception du contrôle (sécurités sur daa systèmes
fonctionnant en "deux s u r t rois") ,
X I . 3 - ORGANISATION DE L'EXPLOITATION.
Le bon fonctionnement du réacteur et du chargement expérimental est assuré
par la Section d'Exploitation OSIRIS. C'est avec un effectif de 40 personnes, encadrées par
5 Ingénieurs et 4 Chefs de Groupe, que sont asauréea les taches d'exploitation.
.L'organigramme ci-joint précise les t tehes :
- de conduits
- d'opération et d'expérimentation
- de maintenance.
a ) La conduite du ré acteur {pilotage et surveillance) eat assurée par un Ingénieur
nommément désigné comme Ingénieur de Fonctionnement et par une équipe de service continu
dirigée par un Chef de Quart. L'effectif de service continu de 5 x S personnes eat prélevé BUT
lea effectifs de chaq'ie Croupe, soit respectivement 2 pour le Groupe Commande et Contrôle,
1 pour le Groupe Bleclrotechnlque, 1 pour le Groupe Mécanique, 1 pour le Groupe Hall. Lo
système de quart es t assuré en t ro is postes (3 x B). Chaque équipe de quart effectue 7 pootoa
de matin, d 'après-midi et de nuit, alnal que 5 Joumeea en service normal. Le collatlonnement,
le dépouillement et l'axploitation des paramètres de fonctionnement sont centralisés au Bureau
de Fonctionnement qui prépare les programmes de marche et le compte rendu de fonctionnement.
1 5 2
Ce compte rendu résume tous les événements dm* la période du cycle intéressant le réacteur ,
les espérlences et le combustible. La Section d'Exploitation OSIRIS bénéficie pour la conduite
du réacteur et des expérimentat ion, de l 'assistance technique de la Section de Physique et Expéri-
mentationencequl concerne la physique de pile [paramètres neutronlques, dosimetric nlSISetOSIRIS, etc,
b) Expé ri mentation
La Section d'Exploitation OSIRIS es t chargée de l'implantation, du contrôle et de
l'évacuation des expérimentations. Un Ingénieur est particulièrement charge de coordonner les
travaux et d 'assurer l e s liaisons avec le Groupe Expérimentation de l a Section Physique et Expé
rimentation. Les taches sont normalement dévolues au Groupe Hall Expérimentation qui est
également l 'unité de gestion des combustibles. La surveillance des expériences es t du r e s s o r t
de l'équipe de quart. En dehors du personnel en service continu, le Groupe Hall Experimentation
comporte 1 Chef do Groupe et 7 agents,
e) Maintenance
Le maintien en parfaite condition de fonctionnement de l'Installation (dépannage,
entretien préventif, e t c . . , ) est confié aux t ro i s groupes techniques supervisés par 2 Ingénieurs,
En dehors du service continu, le Groupe Commande et Contrôle comprend 1 Chef
de Groupe et 4 Agents, le Groupe Electrotechnique, 1 Chef de Oroupe et S Agents, le Groupe
Mécanique, 1 Chef de Groupe e t 4 Agents.
Par suite du nombre restreint d'agents dans ces groupes de maintenance, la Sec
tion d'Exploitation OSIRIS bénéficie pour les opérations d'entretien at d'aménagement de di
vers appoints extér ieurs , n s 'agit, en particulier, des contrats d'entretien avec des entreprises
spéclnllsCes, d'études ou do travaux demandés à la Section Technique, d'agents en régie pour
des travaux banalisés.
Jhjin.crtl «s» I» 6 Ftultr 1370
LISTE DES ENTREPRISES AVANT PARTICIPE A LA CONSTRUCTION
GERI
SUD AVIATION
C F E
MERUÎt GUERÎN
C D C
AMAH
BREGtfBT
KEMOK
aUINARP
SOCALTRA
TUNZ1HÏ
SEROEON
NOEL et PELLEGRINI
L . A . M .
AUBOOX SICTTRO
C O E E
DEGREMONT
LAPAUTE
A . C . N .
SOCOTEC
AMRI
C . E . K
L . E . F . l .
SOGREAH
Architecte Industriel
Bloc-pile
Génie civil - cuvelagc
CamrSie
Calculateur
Diesel
Borroa
Pompas primaire a
SâfrîgéroiU
Pompes secondai m s
Tuyaux
Ventilation
Chauffa go
PlHtelege
Pont a roulants
Ro vêtement -peintures
Hydraulique
Traitement des eaux
Onduleur
E« hang our
Contrôle
Va ones
Table de distribution
Petites pompée
Hydrocyc&we
LISTE DES INGENIEURS CEA AVANT PARTICIPE AU PROJET ET A LA REDACTION DE CE RAPPORT
Département dea Piles Expérimentales
BERNOT Jacques LEROUGE Bernard GRAF Jean-Jacques BONNET Michel DE SARRAU Jean -P ie r r e
SAUTIEZ Bernard NECTOUX Pie r re GALAND Gabriel COULON Jean-Claude CORRE Jean BEYLOT Jean-PI e r r a CERLE5 Jean-Marte
Département dea Etudes de Plie a
BREGEON Louis SCHWARTZ Jean -P ie r r e
PC parlement de Métallurgie THOME Paul
S . E . P . I . C . LAFAURIE Francole
Département de Construction des Pi les
CHATOUX Jean-FrançolB GtlENNEC Noel SAVELLI Philippe MATHIEU Francois LAGRANGE Albert MARTIN Jean-Paul COLZY Daniel
ilLLJXLi air
o" Ô". a
fDo Do Do D= •
o o
EMaçE
38 15 12 32 48 9
1 Vtdani? ptrsîiile et U pîtcina H Chutât» g)
B Prias da tampfarolure tS Chambre t
B Tuy»u d'tnlT*J CMUT 17 Clapet d» cMtvacUco n»
ID Tuyau de sorti* coaur M Tuyau d'etttrile plicine
11 Clapal da convection nalurall» coeur 2S GriUsi «werlaurei
IB Chambra » Hilton 28 Flatelago
COUPE PISCINE OStaiS SOUS - 4m
31 UHpoïltlf à'
3 G Eehalla k crlnollni
le piaslae SS Tuyau d» coucM chaud*
4T Caller alftoU
48 Batardaau
«9 Cadra lupport du ptitellft
Il tmàm il «Mb* In imn fi liât l u i furriwo) tl Tii* fc pria ÉHHUÎM M i l «« U ttm ft imm (àw « rrin «'M ft f*sÉ i» Mnfmtin a Tito* mh * 1» frm
COUPE PISCINE OSIRIS SOUS - 8 m
(
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fun» Atmt) mrtniBUHes AU caun
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