Download - 8 Loire-Atlantique Mercredi10décembre2 008 Braquagesd ...ddata.over-blog.com/xxxyyy/2/51/04/70/presse-2008/fp-elu-pdt-ump44... · STEP comme Stage d’Efficacité Per- ... Parvenus

Transcript

8 Loire-AtlantiqueOuest-France

Mercredi�10�décembre�2008

STEP comme Stage d’Efficacité Per-sonnelle. « Quand ma mère m’a envoyéfaire un STEP, j’y croyais pas trop... »admet Antoine, notre élève de première.« Mais bon, c’était 6 heures de stage surdeux samedis, alors j’ai accepté. » C’estdonc un Antoine peu motivé qui s’estprésenté à l’agence Acadomia pour suivresa première séance de STEP. Et là,première bonne surprise : « On était unpetit groupe de 7 élèves de même niveauavec un animateur passionnant. »

Pas de blabla, du concret. Dans cestage, on va droit au but. On y apprendcomment mieux s’organiser et travailleravec rigueur. Tout est abordé dans unordre logique : d’abord avoir une écouteactive en classe et savoir prendre des notes.Puis, une fois chez soi, faire des fiches desynthèse efficaces, apprendre à assimiler etmémoriser ses cours... Enfin, le jour del’examen, bien gérer son temps, utiliserintelligemment son brouillon, organiser sesidées, présenter sa copie... Tout le contenu dustage est donc applicable dès le lendemain.

Un animateur... très efficace. Bruno anime

régulièrement des Stages d’Efficacité Personnelle :

« Au début du stage, je demande aux élèves

de prendre des notes, sans leur donner de

consignes particulières. Puis, on regarde

ensemble la façon dont ils ont procédé.

Je leur montre ainsi les choses à faire et à

ne pas faire. Même méthode pour la rédaction

de fiches de synthèse : je leur dis d’apporter

leurs propres cours comme base de travail

car c’est beaucoup plus parlant. En fait, on

reprend beaucoup de choses à zéro.

Parvenus en 1ère

ou en terminale, la plupart

des élèves ont acquis de très mauvaises

habitudes. Mon meilleur argument : je leur

prouve que travailler efficacement, c’est aussi

beaucoup moins fatigant et moins stressant ! »

8/20 en français et pourtant, Antoine connaissait son cours. Mais, incapable de gérer son temps et d’organiser ses idées, il a rendu unecopie bâclée. Comme Antoine, la plupart des lycéens manquent de méthode. C’est pour eux qu’a été créé le « STEP ».

Stage d’Efficacité PersonnelleChez Acadomia, la méthodologie ça s’apprend…

L'équipe de l'agence Acadomia de Nantes.

Pu

bli-re

po

rtag

e

Le commentaire de Jérôme Le Blanc, responsable de l’agence Acadomia de Nantes.

« L’objectif du STEP : donner aux lycéens des principes qui leur serviront toute l’année, pour le bac

et même au-delà. Ce sont des principes simples que tous les élèves devraient connaître... Mais on

aborde très peu la méthodologie au lycée. Le second enjeu, c’est la motivation. Souvent, les

adolescents sont en rébellion contre les parents, le système scolaire... On leur montre qu’ils

travaillent d’abord pour eux et on les aide à se motiver, en voyant plus loin que le bac. »

VOS 2 AGENCES EN LOIRE ATLANTIQUE

3, place Graslin - 44000 Nantes - 02 51 84 00 66

123, route de Vannes - 44800 Saint-Herblain - 02 40 40 47 47

www.acadomia.fr

Portes ouvertes dans les écoles

Publicité

Les écoles de commerce RISE innovent avec un programme préparatoire

aux études en alternance : le PASS RISELes deux Instituts RISE de Nantesproposent des formations bac +2 /bac + 3 dans les filières commercia-les et de gestion. Les étudiants ontle choix de réaliser leurs études enformation initiale ou en alternance.La préparation au diplôme paralternance se réalise par le biaisd’un contrat de professionnalisa-tion, rythmé entre cours à l’école etpériode salariée en entreprise.

C’est pour l’alternance que lesInstituts RISE souhaitent préparerles futurs étudiants en les intégrantsur un programme préparatoire : lePASS RISE.

Ce cycle de 5 mois permet aux étu-diants de se mettre à niveau afind’aborder sereinement le cursusRISE à la rentrée suivante et se don-ner toutes les chances d’obteniravec succès le diplôme. On sait eneffet à quel point le suivi scolairependant l’alternance est difficile.Les étudiants pourront aussi choisirla section la mieux adaptée (marke-ting, management, gestion, export)grâce à la découverte des matièresenseignées et les périodes de stageprévues pendant le PASS RISE.L’institut s’engage par ailleurs à lesplacer en entreprise en priorité dès

le mois de juillet 2009 afin de sécu-riser au maximum leur parcoursscolaire.

Le PASS RISE débutera le 9 mars2009, et durera 5 mois, soit 300 heu-res de formation et d’orientationprofessionnelle.

Pour tout renseignementet inscriptions :

RISE NANTES : 02 40 08 05 5412, rue BeausoleilNANTES

RISE ATLANTIS : 02 40 92 13 13204, av. du St-LaurentST-HERBLAIN

Ils� ne� sont� plus� tout� jeunes.� Trim-balent� une� longue� histoire� qui� a�commencé� de� l’autre� côté� de� la�Méditerranée�avant�de�s’inscrire�en�France,�dans� la�région�parisienne.�Ali,�40 ans,�Mustapha,�45 ans,�Ra-bah,�58 ans.�Tous�les�trois�sont�dans�le�box�des�accusés�depuis�hier�ma-tin.�Qui�sont-ils ?�Des�braqueurs�de�haut�vol�venus�faire�des�coups�en�province,�des�apprentis�voleurs�at-trapés�comme�des�enfants�ou�des�innocents ?

La�justice�les�soupçonne�en�tout�cas� d’avoir� participé� à� une� série�de� vols� à� main� armée.� La� cible ?�Des�petites�agences�de� la�Caisse�

d’épargne�de�Nantes.�En�mai,�juillet�2005�et�mars�2006,�deux�agences�sont�braquées.�Même�scénario.�À�chaque�fois,�deux�hommes�surgis-sent� dans� la� banque,� brandissent�une� ou� deux� armes,� s’emparent�vite�du�contenu�de� la�caisse�sans�attendre�l’ouverture�des�coffres.�Et�repartent�avec�un�butin�qui�navigue�entre�les�5 000 et�10 000 €.

Les�trois�hommes�présents�dans�le�box�se�connaissent�depuis�plu-sieurs�années.�Ils�vivent�dans�la�ré-gion� parisienne,� tous� des� « bons�pères »� de� famille,� affirment� leurs�proches.�Ils�ont�multiplié�les�boulots�sans�jamais�connaître�une�véritable�

stabilité�professionnelle�et� leur�ca-sier�est�noirci�par�des�condamna-tions.� Mais� la� ressemblance� s’ar-rête�là.

«�Injustice�»

Ali,�le�sourire�figé,�trente�plombs�dans�la�tête�pour�avoir�volé,�un�jour,�les�fruits�d’un�cerisier,�déficient� in-tellectuel,�a�de�la�peine�à�répondre�à�toutes�les�questions.�Il�dit�qu’il�est�venu� le� 10 mars,� (jour� du� dernier�braquage)� à� Nantes� pour� donner�de� l’argent�à�son� frère.� Il�est�venu�avec�Rabah,�soupçonné,�lui,�d’être�mêlé� aux� trois� braquages� mais�

qui� ne� cesse� de� crier� son� inno-cence.�Élégant,� le�visage�barré�de�fines�lunettes,�diplômé,�a�touché à�tout,� même� aux� armes.� C’est� la�seule� chose� qu’il� reconnaisse.� Sa�condamnation�en�1993�pour�vol�à�main�armée,�il�ne�l’accepte�toujours�pas.�« J’ai�essuyé�des�coups,�des�maltraitances�et�des�injustices. »�Il�parle,�beaucoup,�dénonce.�Tandis�que�le�dernier,�Mustapha�reste�mu-tique.�N’a�guère�envie�de�s’étendre�sur�sa�vie,�lui,�toxicomane�à�l’héroïne�depuis�plusieurs�années,�est�le�seul�à�avouer�un�vol�à�main�armée.

Marylise�COURAUD.

Braquages�de�banque�:�3�hommes�aux�assisesDes�petites�agences�de�la�Caisse�d’Épargne�avaient�été�braquées�en�2005�et 2006�à�Nantes.�Trois�Parisiens�sont�jugés�jusqu’à�vendredi,�devant�les�assises.

« On�ne�peut�pas�se�satisfaire�de�la�manière�dont�fonctionne�l’établis-sement�pour�mineurs�d’Orvault »,réagissent� les� représentants� de�l’Ufap,� syndicat� majoritaire� dans�l’administration�pénitentiaire,�venus�rendre�visite�hier�à�leurs�collègues�de� l’établissement� pour� mineurs.�Contrairement� aux� propos� tenus�par� leur� collègue� de� FO� (Lire� OF�du�8 décembre),�« la�situation�n’est�pas�si�rose », selon�eux.�Actuelle-ment,�25�jeunes�de�14�à�17 ans�y�sont� incarcérés.� « Jusqu’à� 25,� ça�va.�À�30,�on�sent�que� la�gestion�commence�à�être�limite », explique�Philippe�Devique,�secrétaire�régio-nal.�Or,�l’EPM�peut�accueillir�jusqu’à�60�mineurs.�Ils�pointent�du�doigt�le�problème�du�sous-effectif.�« Il�arrive�qu’un� surveillant� soit� affecté� au�standard.�Et�vice-versa.�Les�gens�font� le� maximum� pour� que� tout�se�passe�bien.�Mais�c’est�très�fra-gile »,�ajoute-t-il.�Les�conditions�de�sécurité�ne�sont�pas�« optimales »,avec� un� téléphone� interne� qui� ne�capte�pas�partout.

Alors� que� le� climat� était� apaisé�

ces� derniers� jours,� la� tension� est�à� nouveau� montée� d’un� cran� hier�matin.� Un� détenu� a� agressé� un�surveillant.� Il� venait� d’être� placé�en�quartier�disciplinaire.�Il�avait�re-fusé� de� nettoyer� les� abords� de� la�

cellule,� souillés� par� des� détritus�projetés� la� veille� au� soir� à� travers�les�barreaux.� Il� a�commencé�à� se�débattre.� Des� surveillants� sont� ar-rivés� en� renfort.� Le� détenu� a� mis�un� coup� de� poing� dans� le� visage�

du�chef�de�la�détention. « C’est�la�cinquième� agression� en� moins�d’un� an, constate� Loïc� Lecohier,�secrétaire�local�de�l’EPM.�Ce�déte-nu�avait�déjà�agressé�un�membre�du�personnel�lors�d’un�précédent�séjour�ici. »�L’Ufap�considère�que�certains�détenus�ne�devraient�pas�être�envoyés�à�Orvault,�notamment�ceux�en�état�de�récidive�important.

Il� suffit� de� quelques� perturba-teurs�pour�créer�du�désordre�dans�l’établissement.�« Ceux�qui�ne�veu-lent�pas�aller�en�cours�dissuadent�les�autres�d’aller�travailler ! »�Selon�les�surveillants�de�prison,�on�est�loin�des�20 h�de�sport�hebdomadaires�et�des�20 h�d’activités�socio-éduca-tives�annoncées�dans�les�objectifs�de�l’EPM.�Philippe�Devique :�« Lesjeunes�n’ont�pas�plus�de�6 heures�de� cours� de� sport� par� semaine.�Pourtant,� il� faut�éviter�qu’ils�tour-nent�en�rond.�Mieux�vaut�qu’ils�ta-pent�dans�un�ballon�ou�qu’ils�bri-colent.�Ça�leur�évite�de�penser�au�suicide. »

Vanessa�RIPOCHE.

Prison�pour�mineurs :�« Tout�n’est�pas�si�rose »La�situation�à�l’établissement�pour�mineurs�d’Orvault�reste�fragile,�selon�l’Ufap.�Hier�matin,�un�détenu�a�agressé�un�surveillant.

Les�représentants�de�l’Union�fédérale�autonome�pénitentiaire�(Ufap),�à�Orvault.�« Nous�sommes�dans�une�situation�fragile,�qui�peut�basculer�à�tout�moment. »

Pas� de� livraison� d’alcool� pour� un�bon�nombre�de�bars�nantais�hier.�Elidis� Boissons� Service� était� en�grève.�Les� salariés�du�distributeur�de�boissons�alcoolisées�protestent�contre�le�projet�de�rachat�des�sites�de�Carquefou�et�Saint-Nazaire�par�deux�entreprises�différentes.�Mardi�matin,� aucun� camion� de� livraison�n’est�sorti�du�site�nantais.

« Cela� fait� 13� mois� que� nous�sommes�dans�la�tourmente », ex-pliquent�des�salariés,�qui�souhaitent�

garder�l’anonymat.�Ancienne�filiale�de� Kronenbourg,� Elidis� a� été� ra-cheté� par� C10,� une� centrale� d’a-chat� en� début� d’année.� C10� sou-haite� à� présent� céder� l’entreprise�qui� emploie� 65� salariés� en� Loire-Atlantique.

Sur� les� rangs,� deux� acheteurs.�Jules�Olivier�Distribution,�à�Haute-Goulaine,�pour�le�site�de�Carquefou�et� Boissons� 200,� situé� à� Rennes,�pour�le�site�de�Saint-Nazaire.�« On�nous�a�dit�que�nous,�les�salariés,�

n’avons� pas� notre� mot� à� dire »,�continue�un�salarié.

Seulement� voilà,� eux,� préfére-raient� un� autre� acheteur,� un� gros�groupe�parisien : « Le�secteur�est�très� concurrentiel� et� en� déclin.�Nous�voulons�un�groupe�qui�a�les�épaules�solides ! »

Hier�soir,�les�salariés�ont�décidé�de�poursuivre�le�mouvement.�La�di-rection,�elle,�n’était�pas�joignable.

Isabelle�JAFFRÉ.

Un�distributeur�d’alcool�en�grèveDes�salariés�d’Elidis�Boissons�Service,�entreprise�de�livraisons�de�boissons�alcoolisées,�se�sont�mis�en�grève�hier.�Ils�protestent�contre�un�projet�de�rachat.

L’armement�maritime�Marfret,�dont�le�siège�est�à�Marseille,�se�diversifie�dans�le�transport�fluvial.�Présent�sur�la�Seine,� il� a�décidé�d’ouvrir�deux�nouvelles�voies,�une�dans�le�Nord,�entre�Dunkerque,�Lille�et�Anvers,�et�une�autre�sur� la�Loire,�entre�Mon-toir�et�Nantes-Cheviré.�Celle-ci�sera�gérée�par� la�société�Fluvial� feeder�Loire,�filiale�de�Marfret.

Les� premières� rotations� de-vraient� commencer� début� 2009�avec�le�Marfret�Gabarre,�une�barge�de� 80 m,� dotée� d’une� puissante�motorisation� lui� permettant� de� re-lier�les�deux�terminaux�en�une�seule�journée�avec�chargement�le�matin�et� déchargement� l’après-midi.� Au�début,�cette�liaison�fluviale�sera�bi-hebdomadaire,�avec�à�son�bord�en-viron� 80� conteneurs� EVP� (équiva-lent�vingt�pieds).�Mais,�le�trafic�est�appelé�à�se�développer,�l’ambition�de� l’armateur� étant� d’atteindre� les�10 000�conteneurs�par�an.�

A� l’avenir,� comme� le� souhaite�le� président� du� port� autonome,�Michel�Quimbert,�cette�voie�fluviale�pourrait� remonter� jusqu’à�Ancenis�

et�Angers.Les�études�conduites�par�Marfret�

ont� montré� l’intérêt� porté� par� les�industriels� pour� ce� projet� qui� ap-portera� une� solution� à� la� réduc-tion�des�coûts�de� l’énergie�et�des�

émanations�de�CO2.� Il� apporterait�également�de�nouveaux� flux�pour�le�terminal�conteneurs�de�Montoir,�aussi�bien�à� l’import�qu’à� l’export,�en�ouvrant�une�brèche�à�l’intérieur�des�terres.

L’armateur�Marfret�ouvre�une�voie�fluvialeDébut�2009,�une�barge�embarquera�des�conteneurs�à�Montoir�pour�les�transporter�jusqu’à�Nantes.�Objectif :�10 000�boîtes�par�an.

Le�transport�de�conteneurs�par�barge,�de�Montoir�jusqu’à�Nantes,�permettra�de�limiter�le�nombre�de�camions�sur�les�routes.�Une�liaison�bihebdomadaire�sera�lancée�début�2009.

‡L’élection. Il� a� fallu�deux� tours,�lundi�soir,�à�Vertou,�pour�départa-ger� les� trois� candidats� à� la� prési-dence�de�la�fédération�UMP.�Seuls�les� grands� électeurs� (maires,� par-lementaires,� conseillers� généraux,�délégués�et�membres�des�comités�de�circonscription)�votaient.�Au�pre-mier�tour,�il�y�a�eu�202�votants�et�194�exprimés.�Xavier�Coupry :�15�voix,�François�Pinte :�95,�André�Trillard :�84.�Deuxième�tour.�François�Pinte :�103�voix,�André�Trillard :�90.�C’est�dans� les� circonscriptions� de� l’ag-glomération�nantaise�que�François�Pinte�a�fait�la�différence.�Les�autres�circonscriptions� ont� placé� André�Trillard�en�tête.

‡Le� nouveau� président. Agé� de�42 ans,�François�Pinte�est�conseiller�régional,� et� cadre� dirigeant� d’une�grande� entreprise� d’intérim� et� de�

ressources� humaines.� Il� a� été,� à�deux� reprises,� candidat� malheu-reux�aux�législatives.

‡Ce� qu’il� veut� faire.� François�Pinte�met�en�avant�sa�relation�avec�François�Fillon�dont�il�a�été�le�direc-teur�de�cabinet�à�la�Région.�Il�s’est�engagé� à� utiliser� cette� proximité�pour�faire�venir�« au�moins�six�per-sonnalités »�par�an�dans�le�dépar-tement,�en�particulier�dans�les�cir-conscriptions�qui�n’ont�pas�de�par-lementaire�UMP.�Il�veut�aussi�trou-ver�une�nouvelle�permanence�pour�l’UMP�à�Nantes�et� lancer�une�fête�annuelle�de�la�fédération,�en�juin.�Il�va�commencer�par�un�audit�des�cir-conscriptions.�Pour�les�élections�à�venir,�il�annonce�son�intention�d’au-ditionner�les�candidats�déclarés,�et�donner�une�pré-investiture�« très�en�amont ».�Connu�pour�ses�qualités�d’organisateur,� il� souhaite� que� la�fédération�« professionnalise »�ses�fonctionnements.

Marc�LE�DUC.

François�Pinte�élu�président�de�l’UMPLe�conseiller�régional�nantais�l’a�emporté�sur�le�sénateur-maire�de�Saint-Gildas-des-Bois�qui�était�candidat�à�un�second�mandat.

François�Pinte�veut�faire�venir�six�personnalités�politiques�chaque�année.

Eco-infos

Un�débrayage�sur�le�site�de�DCNS�à�Indret�a�eu�lieu�aujourd’hui�entre�7 h 30�et�9 h 30.�150�participants�environ�demandent�le�retrait�d’une�

loi�qui�« ouvre�la�voie�au�démantè-lement�de�l’entreprise,�sans�projet�industriel� le� justifiant�et�sans�ga-rantie�sociale�pour�les�salariés ».

520� salariés� d’Indret� ont� signé� la�pétition�nationale.

Débrayage�sur�le�site�de�DCNS�à�Indret