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GRATUITMEN
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Vendôme
RomorantinLanthenay41
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Un fonds de dotation pour les Rendez-vous de l’Histoire
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Nouveaux locaux et équipements pour EasyShower et Crystalyne
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CCI : Prêt Fidec pour ATCS de Selles-sur-Cher
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LES ENTREPRISESAU TOP !
CFA-BTP : Inauguration des plateaux techniques « énergies renouvelables »
10e cérémonie des « Tops de l’entreprise », jeudi 12 décembre 2013 à Cap’Ciné. Cinq entreprises lauréates ont été distinguées dans les catégories : « Oser entreprendre », « Création », « Technologies de l’information et de la communication », « Innovation produit », « Innovation service ». Le public a élu en direct le Top de l’année parmi les lauréats. (Pages 16-17)
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2 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
PÔLE EMPLOI
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GRATUITMEN
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Vendôme
RomorantinLanthenay41
10311080
Deux évènements pour lancer cette saison
Des contrats de professionnalisa-tion serveurs avec
TransVaLoire, l’UMIH41 et le PAF (Plu-ri activités formations) ouvrent un contrat de professionnalisation au métier de serveur/se.
Les informations collectives se dé-rouleront :
avenue de Vendôme.
d’un Certificat de compétences en entreprise, diplôme de 1er niveau dans la convention collective UMIH
Inscrivez-vous dès maintenant auprès de votre agence pôle emploi !
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ciper au :
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lundi 17 février 2014Espace polyvalent, rue des Écoles
41250 Mont-près-Chambordde 9 h à 13 h
Attention : le nombre de stands est limité !
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Cette manifestation, ouverte au pu--
casion de :Communiquer sur vos compétences ;
avec les employeurs présents lors d’un premier entretien.
Pour plus d’informations, vous pou-vez contacter votre Pôle emploi :
Employeurs : 3995 Candidats : 3949
À très bientôt,Votre équipe Pôle emploi
Retrouvez plus d’informations suraucentredelemploi.fr
-ticulièrement les PME, devront être encouragées et soutenues. Ce sont elles qui créent et crée-ront les richesses et l’emploi, avec un devoir de résultat, sous peine de disparaître. Elles ont davantage besoin de liberté, de visibilité et de stabilité fiscale que de subventions, mais elles ont aussi besoin de reconnais-sance. Par nature, ses dirigeants s’expriment peu, étant des « fai-seurs » plus que des « diseurs ».
-velle année, inaugure avec ce
numéro, une « Tribune libre » -
treprise qui souhaitent s’expri-mer. Leur vision sociétale est au
-dérer que leur vision économi-
sur tous les fronts (l’entreprise « citoyenne »). On peut parler aussi de leur « ressenti », alors que l’image du chef d’entreprise renvoyée par les grands médias est souvent négative.
Dans cet esprit, est -
mations, qui émanent de toutes
les structures et acteurs éco-nomiques, entreprises et ins-titutions, qui œuvrent chaque
confrontent leurs idées.
C’est notre raison d’être.
et tous une heureuse année
É D I OT
3 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Il était inscrit dans son ADN que
démarche théorique portée par des experts éloignés des réalités du terrain. Les LABs l’ont ainsi bien démontré : le slogan de la démar-
de notre avenir » n’a pas été une promesse vaine ou un vœu pieux. Actions expérimentales et inno-vantes, portées par des acteurs engagés, issus de la société civile, d’organismes socio-économiques
privés ou publics et de collectivités territoriales, les LABs 41 permettent de couvrir un large champ de ré-flexion et d’action. De la méthanisa-tion aux produits touristiques, des pratiques numériques aux solutions de télésanté, les porteurs de LABs
-ter dans l’avenir, tout en marchant.
sont en cours d’expérimentation dans tout le département. Réunis au sein du CLAB 41 (comme « Club
des LABs »), les porteurs de LABs se rencontrent régulièrement pour échanger sur l’avancement des pro-
-bition des LABs est de permettre la
concrets en lien avec les différents chantiers et pistes d’action mis au
--
geront des territoires eux-mêmes.
Loir-et-Chériens de prendre l’avenir de notre département en main ! Les LABs sont ouverts à tous et leur liste n’est évidemment pas exhaustive. Celles et ceux qui sou-
LAB ou en créer un peuvent dès maintenant s’adresser au CLAB 41
4 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Cet article résume les états d’âme d’un simple citoyen, entrepreneur, employeur, contribuable et dona-teur.
cru parfois qu’il y avait plusieurs
d’observation de la vie publique,
pays et nos territoires sont dirigés par des élus tous plus vendeurs d’illusions les uns que les autres (en particulier pendant les campagnes électorales). Doit-on en déduire que l’indemnité et tous les avanta-
importants que l’intérêt général ? Est-ce qu’un ministre, un sénateur, un député... a vu son revenu dimi-nuer depuis le début de la crise ? Idem pour nos grands dirigeants syndicaux (qui ne représentent pé-
et des entreprises), censés défen-dre les salariés et les entreprises ?Sans tomber dans le « Tous pour-
force de nous promettre du rêve, nous nous dirigeons dans le mur.
Quelques exemples :
moins en étant payés autant », avec
clé « Du fait que vous aurez plus de temps libre, cela va générer des besoins nouveaux et créer de la croissance. »
-
pour relancer le marché du matelas et du sommier !
vous percevrez le même salaire et pendant longtemps. On s’occupe de tout. »
-ce : une partie de la population est passée dans la catégorie des mollusques, alors qu’elle était ver-
Nos élus nous parlent souvent de la République, dont ils sont, en principe, les garants, comme s’ils en étaient les propriétaires. Quelle
-lité, de la Fraternité ?Vous dites « Liberté » ? On interdit
un étudiant qui a besoin de payer ses études de travailler le diman-che.Vous dites ? Un député
d’un citoyen ordinaire. Un salarié -
rence en cas d’arrêt maladie, alors qu’un salarié du secteur public n’en aura aucun.Vous dites « Fraternité » ? Un élu fait l’apologie du bénévolat dans les réunions d’associations, un ci-toyen ordinaire est bénévole.Messieurs les élus, ce n’est pas en vous appropriant la République, ce n’est pas en remplaçant le mi-nistère de l’Industrie par celui du « Redressement productif », ni en
remplaçant le contrat d’apprentis-sage par le contrat de génération, ni en rabâchant outils ! » (surtout quand on n’est pas mécanicien), que vous allez redynamiser l’économie et créer de l’emploi. Malheureusement, si vous n’avez pas le courage de faire les vraies réformes, le peuple fera sa vraie ré-
les vraies réformes seraient plus ef-ficaces et moins douloureuses que la révolution.
Alors, avant qu’il ne soit trop tard, soyez courageux : dissuadez les voyous de piller nos entreprises et nos maisons. Laissez les entrepre-neurs et les salariés vivre correc-tement de leur travail en arrêtant
qui veulent entrer dans notre pays qu’ils sont les bienvenus. Arrêtez
sais bien que vous n’avez pas inté-
assurer la distribution de frites, il ne faut pas décourager tous les plan-teurs de patates ! »
En attendant, passez une belle an-
va aller mieux, bien évidemment... surtout si on ne change rien.
Avec l’argent des autres, vous pou-vez être très généreux.
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-Méd
ias
François Jacob, dirigeant de la S.A.S. à Chailles.
! libretribune
Chefs d’entreprises, cette « Tribu-
ne libre » vous est réservée pour
servir de cet espace de liberté.
Contactez la rédaction de
5 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉJOURNÉE DU PRÉFET
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ias
Dubois S.A.
Max Dubois, l’activité de l’entreprise est essentiellement tournée vers la location de matériels de travaux pu-
de transport, notamment les trans-ports exceptionnels. La S.A. Dubois
des activités de terrassement, installa-tion de canalisations, maçonnerie... et
Les trois entreprises visitées ce
-rienne de granulats » et « Dubois S.A. » ont depuis longtemps noué des liens d’affaires en raison de la complémentarité de leurs offres.
granulat, qui verra la fermeture de son site de Chouzy-sur-Cisse, instal-
lera une plate-forme de négoce de matériaux, tout près de l’entreprise
créé pour assurer la fourniture de
a été favorisée par la S.A. Dubois qui a modifié l’emprise de son ter-
S.A.S. François Jacob
location des matériels de travaux pu-blics, dont elle peut assurer la main-tenance, ainsi que tous types de dé-pannages d’engins de TP sur chantier ou en atelier.
mécanicien itinérant sur les chan-tiers de travaux publics, salarié de la
constructeur mondial de pelleteu-
-venir sur les matériels Poclain, com-mercialise du matériel d’occasion.
concessionnaire Dewoo (qui devient
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-Méd
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officiel des marques Doosan et Bobcat
clients de l’Indre et du Cher.
salariés. Son développement est sur-
l’entreprise au service de ses clients.
François Jacob : « Sur un chantier, une
un camion tombe en panne, le chan-tier continue, si c’est la pelleteuse qui est en cause, le chantier s’arrête. »
Thierry Dubois : augmenté notre chiffre d’affaires de
une bonne image. Le recrutement se
Il y a quelques années, nous avons eu
qui ont dégradé le tissu social. Il aurait fallu montrer moins de rigidité et don-ner du temps aux entreprises pour s’organiser. »
Dubois S.A.
La Ligérienne de granulats exploite la carrière de Chouzy-sur-Cisse, si-
Elle y extrait surtout des gisements alluvionnaires dits « nobles », qui entrent dans la composition des
sables, graviers, galets). Ses clients -
gociants, les artisans et les particu-liers. Le siège social de l’entreprise
Éric Liglet, président de la société Ligérienne de granulats : « La profes-sion est très encadrée par le sché-ma départemental des carrières. L’autorisation d’exploitation d’un
d’années, se réduit maintenant de moitié. Le site de Chouzy-sur-Cisse, sur lequel nous nous trouvons, ces-
Pour qu’une carrière soit compé-titive, le transport des matériaux ne doit pas s’effectuer sur une dis-
nécessité d’exploiter un réseau de proximité. La géologie est telle que différentes catégories de granulats sont extraites suivant les sites. Une
Saint-Laurent-Nouan et La Ligérien-ne de granulats étudie l’éventualité
y extraire des graviers de substitu-tion (calcaire tendre).
L’empreinte écologique
L’exploitation d’une carrière est en-cadrée par le code de l’environne-
cessation d’exploitation, on prévoit un réaménagement du site et un suivi.
L’évolution de la réglementation
La nouvelle réglementation, qui se met en place, sera plus exigeante en matière d’équipements pour le trai-tement, le triage, le concassage des granulats et d’épuration des eaux de pompage, qui servent au lavage des granulats. Les produits extraits
-ses encadrées par des normes euro-péennes. La demande des clients est
nouvelles contraintes, une augmen--
La Scierie©
In-M
édia
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Ligérienne de Granulats
6 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
La formation est une des clés de la réussite professionnelle pour l’entreprise et l’individu. La Cham-bre de métiers et de l’artisanat propose des formations courtes et longues en informatique, com-munication, comptabilité, gestion, développement personnel, anglais, Internet… Les inscriptions sont également ouvertes pour l’Assistant de dirigeant d’entreprise artisanale (ADEA, niveau Bac), le Brevet de maîtrise d’artisan (BMDA, niveau Bac+2), le diplôme d’encadrant d’entreprise artisanale (2EA, niveau
d’entreprise.
Les formations du 1er semestre 2014 :
!"Construire et manager une équipe
intégrer de nouveaux embauchés. Entretenir la motivation de l’équipe.
!"Développer sa confiance en soi. Gagner en assurance : gage de réussite individuelle et collectiveDécouvrir son identité essentielle. S’estimer pour se développer et avoir confiance. Créer un climat de confiance dans ses relations pro-fessionnelles.
vendredis 14 et 21 février
!"Réaliser la comptabilité de vo-tre entreprise en régime micro (ou auto-entrepreneur). Comprendre les mécanismes de la comptabilité dans l’entreprise et les appliquerVous acquitter des obligations dé-claratives. Actualiser vos connais-sances, fiscales et sociales. Per-fectionner la tenue de votre comptabilité en régime micro. Le plus : application sur Excel paramé-trée pour votre entreprise (sur clé USB).
!"Réaliser votre comptabilité gé-nérale. Comprendre les mécanis-mes de la comptabilité dans l’en-treprise et les appliquerComprendre les notions de débit / crédit. Mettre en place son plan comptable. Enregistrer les écritures d’achats, de ventes et de trésore-
!"Calculer un prix de revient. Maî-triser ses coûts pour calculer ses margesComment calculer votre marge.
suivi d’activité
!"Connaître l’essentiel de la paye. Avec logiciel ebp ou ciel paye - Possibilité logiciel SAGE : nous consulter
-treprise. Effectuer les déclarations URSSAF, assurance-chômage et re-traite.
Créer son espace entreprise sur Facebook ou twitter. Booster son activité grâce aux réseaux sociaux
la confidentialité des informations.
son entreprise ou son site web. Créer des liens entre les réseaux sociaux et son site Internet.
Étude de marché. Un facteur de développement de votre entre-priseAdapter l’entreprise aux mutations
-dier la demande, l’offre et l’environ-
-tre en place des outils de veille.
Nouveau!"Créer votre support publicitaire avec l’aide des médias locaux. Rencontrer des professionnelsSe démarquer des autres concur-rents. Créer un message presse, ra-dio, affichage. Comprendre le prin-cipe de la charte graphique (logo).
!"La téléprospection, ça fonction-ne aussi dans l’artisanat. Utiliser une méthode permettant de se lancer dans la prospection télé-phonique
-dre de l’assurance au téléphone. Connaître les obligations législati-ves.
!"Savoir accueillir un client et se démarquer de la concurrence. Uti-liser des phrases qui font mouche et bousculer les habitudesUtiliser les différentes formes de communication. Identifier les be-soins de vos clients. Assurer un ac-cueil maitrisé et professionnel.
mercredi 12 mars !" Réussir sa vitrine de Pâques. Séduire à l’extérieur pour attirer à l’intérieurApprendre les techniques pour réussir son animation. User d’astu-ces pour créer des supports et ac-cessoires peu onéreux. Concevoir sa vitrine avant l’heure pour optimi-ser sa mise en œuvre.
Valoriser et optimiser votre point de vente. Développer votre clien-tèle et mettre en œuvre de nou-velles actions commerciales
Apprendre les techniques de mer-chandising (mise en valeur de vos produits) pour développer l’acte d’achat. Vous conseiller individuel-lement sur votre espace de vente, votre agencement.
Nouveau!" Animation de votre showroom (espace de vente)Séduire, informer pour dévelop-per vos ventes. Concevoir votre showroom, en faire un espace de présentation performant. Réaliser une étude personnalisée de votre espace.
mardis 1er
!"Bien prendre en main son ordi-nateurDécouvrir le monde de la micro-in-formatique sous Windows. Acquérir les connaissances de base, maîtriser les principales fonctionnalités.
!"Word - les basesMaîtriser les fonctions usuelles. Créer et mettre en page vos do-cuments administratifs et commer-ciaux (devis, factures, courriers...).
!"Excel - les basesMaîtriser les fonctions usuelles pour réaliser des documents de suivi de votre activité. Calculer vos devis et vos factures. Créer et mettre en for-me des tableaux et des graphiques.
Nouveau!"Utiliser les services de Google. Gestion d’agenda, partage de do-cuments en ligne
les exploiter pour son entreprise. Agenda, partage de documents, recherches avancées… Le plus : votre compte est créé, vous pou-vez utiliser tous les services chez vous.
!"Réaliser et mettre en ligne votre site Google. Apparaître sur le Web pour élargir votre champ d’activité et votre clientèleMaîtriser tous les éléments et les étapes nécessaires pour réaliser un site Internet. Insérer du texte, des
-
Nouveau!"Quitter le régime de l’auto-en-trepreneur. Connaître les limites du régime de l’auto-entrepreneur
-
Ces formations ont lieu au
Pour toute inscription et demande
Consulter l’ensemble de nos forma-tions sur Internet : www.cma-41.fr
7 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
de formation des apprentis du bâti-ment et des travaux publics du Loir-
dans les locaux du centre de Blois, les plateaux « techniques énergies renouvelables ».
initié par la Région Centre sur un ca-hier des charges rédigé par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (l’ADEME), correspond
centre de formation : « CFA vitrine de l’innovation technique et des nouvelles professionnalités du BTP ».
-
présenté la philosophie de cette opération. Elle correspond, pour le Conseil régional Centre et les cinq
nécessité de répondre aux préoc-cupations environnementales, qui
dans le cadre de « nouvelles ingénie-ries de formation ».
-ment de la démarche haute qualité environnementale (HQE) en inté-grant les critères du développement durable dans l’activité du bâtiment
et dans son cycle de vie, de sa
La démarche des centres de forma-tion s’inscrit donc dans un système de management environnemental, qui garantit un suivi « performanciel » par des plates-formes techniques de formation, ouvertes aux nouvelles compétences des métiers.
compétences techniques ont été
Saint-Pierre-des-Corps et la plate-forme de Blois est la quatrième.
Pour le CFA du Loir-et-Cher, le choix a été fait d’implanter des plateaux « techniques énergies renouvela-bles », dont l’originalité sera d’être
-sions concernées, dans le cadre de la formation professionnelle continue.Les six secteurs professionnels choi-sis concernent les énergies renouve-lables :
la société Neolux - formation aux techniques de l’éclairage LED) ;
Pour cette dernière spécialité, un bâtiment de démonstration est en cours de réalisation.
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Au cours de cette visite, Romain, l’un des apprentis, penché sur un banc didactique (banc d’essai de pompe à chaleur) - au premier plan sur la photo - justifie par son cursus et ses pro-jets, l’installation du plateau technique « pompes à chaleur » : Titulaire d’un bac S, de deux CAP électricité + plomberie, et d’un CAP connexe d’installateur thermique, il prépare un BTS génie climatique. Nul doute sur la réussite de ses projets professionnels avec un tel bagage.
Innovation : ces plateaux techni-ques, ainsi que le bâtiment de dé-monstration, ne seront pas réservés aux seuls apprentis mais ils seront
dans le cadre des organisations professionnelles (accueil de stages
(formation des salariés des entrepri-ses), ainsi que des industriels (sou-tien matériel et technique et veille technologique).
Le but : développer notamment, dans le cadre de la formation conti-
-ment), condition de l’obtention de différentes aides publiques (crédit d’impôt et Eco-PTZ).La présentation s’est achevée par la visite d’un atelier « nouvelle généra-tion ». F.P.
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s’est déroulée la soirée de remise des diplômes aux apprentis du bâtiment.En introduction, Franck Prêtre, direc-teur du CFA en rappelle les valeurs : « Diplômés du CAP et du BP, vous êtes la réussite d’un système de formation partagé entre la réalité de la vie pro-
fessionnelle et la réalité technique d’un Centre de formation.../... Don-nons aux apprentis la reconnaissance avant la connaissance. Cette devise se situe dans un acte fondateur qui
l’accompagnement d’un tuteur qui -
tion.../... Nos enfants ont plus besoin d’exemples que de critiques.../... Dans un contexte sociétal et social complexe, la réussite individuelle
-cours professionnel par un engage-ment personnel de remplir toutes les conditions d’un citoyen de de-main ».
Lors de la soirée ont été distingués
BP répartis en cinq plateaux métiers : plateaux bois, couverture-zinguerie, plâtrerie-peinture, construction-ma-çonnerie-carrelage, fluides-énergies.
Franck Prêtre : « Pour beaucoup, cette étape n’est que le commen-
acquise sera le passeport de com-pétence. Les nouveaux besoins de professionnalisation sont d’autant plus exigeants au regard des régle-
ce qui est performance énergétique et maîtrise de l’énergie dans le Bâti-ment ».
Gilles Lagarde, préfet de Loir-et-Cher : « L’apprentissage, l’alternan-ce, l’artisanat, dans une société en
-leur travail est trop souvent oubliée, apportent une force, une direction. Le sens du devoir est aussi essentiel
ouvrage et de la transmission entre le maître et l’élève font que le geste inspiré par l’intelligence est fonda-mental. L’apprentissage est une belle voie d’accomplissement personnel au service d’une entreprise et de la société ».
2013, une année exceptionnelle pour le CFA bâtiment
Cette année, cinq meilleurs appren-tis de France ont été distingués dans cinq métiers différents :
de Diray - 41) ;-
--
pelle-Saint-Martin - 41) ;Antoine Lanzeray, couverture (en-
--
8 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
S’informer sur les métierspour s’orienter sans stress ...
l’orientationLa nuit de
Collégiens, lycéens, étudiants, parents,venez trouver des réponses à vos questions...
Retrouve-nous sur Facebook :Nuit de l’orientation Blois
Espace multimédiaCerne tes goûts et tes envies , avec INFORIZON et l’Explorateur des Métiers
Espace MétiersViens découvrir et comprendre les métiers grâce aux échanges avec de nombreux professionnels
Espace information-OrientationRencontre des conseillers et des professionnels de l’orientation
1
Entrée librewww.loir-et-cher.cci.fr
stress, en découvrant les métiers de façon conviviale, en soirée, accom-pagnés ou non de leurs parents, tel
--
vier dans les locaux de la Maison des entreprises, rue de la Vallée-Maillard
Chambre de commerce et d’indus-
trie de Loir-et-Cher pour organiser l’événement, en partenariat avec les acteurs locaux de l’orientation et de nombreux responsables d’entrepri-ses.
-biance festive, les collégiens, lycéens et étudiants pourront rencontrer des
et s’informer sur leur métier, l’éventail des carrières, les compétences requi-ses, les parcours recommandés, etc.
-ront rencontrer des industriels qui leur parleront des multiples opportu-nités de leurs filières. Et bien d’autres secteurs du privé ou du public seront représentés : commerce, artisanat,
-sonne, monde médical… Nombreux sont les professionnels qui ont ac-cepté l’invitation des organisateurs pour répondre aux questions des
-diants, venez nombreux ! L’esprit sera convivial pour faire de cette soirée un événement unique et original !
La Nuit de l’orientation, on y va pour :
-pe du libre échange avec les profes-
sionnels du secteur privé ou public ;
des informations de manière interac-tive ;
-pace Orient’Express ;
-teur des métiers ;
définir ses centres d’intérêt avec In-forizon.
Entrée libre et gratuite
Pour en savoir plus : www.loir-et-cher.cci.fr
2014, Année de l’innovation
cette année sera, avec les CCI de
À suivre avec la CCI de Loir-et-Cher !www.loir-et-cher.cci.fr
Collégiens, lycéens, étudiants, parents,
venez trouver des réponses à vos questions...
l’orientationLa nuit de
S’informer sur les métiers
pour s’orienter sans stress ...
CCI LOIR-ET-CHERun événement
Retrouvez nous sur Facebook:
Nuit de l’orientation Blois
Maison des Entreprises - 16, rue de la Vallée Mailla
rd -
4100
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lois
En introduction, Francis Chevrier, di-recteur des Rendez-vous de l’histoire a donné le ton de la soirée. En subs-tance : l’Histoire et l’économie ont
de l’intérêt grandissant de nos conci-toyens pour l’économie, avec en
pour une utilité sociale de l’Histoire, les organisateurs ont donc souhaité
-nifestation. Dans cet esprit, ils ont
et d’industrie de Loir-et-Cher, que
les questions économiques y soient régulièrement abordées. En octobre
Rendez-vous de l’histoire ». La gratuité du savoirPour rester attaché au principe de gratuité de l’événement et relayer les fonds publics, un fonds de dotation
-rigeant de Mac&Co, a été constitué.
-
bre, avec le soutien de la ville de Blois et du CIC Ouest.
Franck Bataille : « Les Rendez-vous de l’Histoire sont fréquentés par plus
et génèrent des retombées économi-ques pour l’agglomération. Le fonds de dotation est un outil innovant, per-
-buer au financement du mécénat. Les fonds collectés, d’origine privée, sont
particuliers. »
Yvan Saumet, président de la CCI : « Ceux qui sont intéressés par l’histoire de l’économie et l’actualité, trouve-
-nomie aux Rendez-vous de l’histoire’’ ».
l’événement actuel ? La CCI a abondé !
! pour la première année. Nous aurons besoin du fonds de dotation pour nous épauler. Les entreprises sont intéressées pour que la culture économique soit mieux diffusée. »
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François Lenglet, journaliste économique.
De g. à dr. Michel Pillefer, Franck Bataille et Yvan Saumet.
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Conférence-débat de François Lenglet
En seconde partie de soirée, François -
cialiste des questions économiques,
du lancement du fonds de dotation. François Lenglet a développé le thè-me - et la thèse - de son nouveau livre : « La fin de la mondialisation » (éditions Fayard).
9 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Le 12 décembre, dans le showroom --
le thème principal de la dématéria-lisation et la gestion documentaire. C’est une première pour l’entreprise depuis l’inauguration retentissante de ses nouveaux locaux le14 octo-bre dernier. L’installation du showroom, avec son architecture ouverte, permet d’ac-
de présenter aisément les nouvelles technologies ou opportunités qui ré-pondent aux besoins de chacun en termes de solutions informatiques.
Les avantages de la gestion docu-mentaire dématérialisée
-lération de la communication cour-rier, (évite les latences dans la trans-mission des informations...). À court terme, ces procédures vont se géné-raliser et modifier en conséquence les organisations de travail.Le principe de la gestion documen-taire via l’informatique n’est pas nou-veau, mais la technologie n’était pas abordable pour les petites structu-res. Du petit scanner de bureau au copieur/scanner/imprimante multi-fonction, ce type de matériel n’est plus réservé aux gros volumes et aux « gros moyens ».
Principes de fonctionnement
1- La gestion du courrierPlacer la pile de courrier dans le scanner. Celui-ci gère des formats différents et reconnaît les docu-
ments recto-verso. La numérisation s’effectue en format PDF/A, norme qui garantit la sécurité de l’archivage, certifie que le document n’est pas modifiable et sera lisible pendant
l’ensemble des fonctionnalités, sui-vant les cas. La première fois, les éléments d’un courrier reçu (logo, texte, images) sont mémorisés. Si un document est nouveau, on le rentre dans un groupe. Il sera ainsi détecté facilement par la suite.Si on le demande, un document PDF pourra être envoyé automatique-ment aux intéressés sur plusieurs supports (tablette, I Phone, ordina-teur personnel...).Exemple : un maire ne vient que deux fois par semaine au bureau de sa mairie ou s’absente pour des va-
dématérialisée, il peut valider des
signature électronique dans un espa-ce sécurisé dédié, véritable prolon-gement du poste de travail virtuel.
2- L’archivage de documents anté-rieursRetrouver une archive de plusieurs années devient facile et très rapide, même parmi des volumes importants. On doit au préalable numériser les documents en série et le logiciel les indexera. On pourra faire une re-cherche selon un ensemble de critè-res (le logo, le nom de l’entreprise
3, Bd de l’Industrie - 41000 BloisTél. 02 54 56 02 [email protected]
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-Méd
ias
Opération «Porte ouverte» dans le Show-room de Mac & Co
La société Mac&Co est classée première du palmarès Ouest de Deloitte In Extenso Technology
-
croissance.L’entreprise de services informa-tiques Mac&Co a enregistré une croissance de son chiffre d’affai-
-nières années. Elle a fait preuve d’une dynamique de dévelop-pement soutenue, tout en res-
-nes de proximité.
Franck Bataille, directeur géné-ral de Mac&Co : « Être un acteur régional de premier plan dans les nouvelles technologies nous of-
fre bien des opportunités, tout -
vestissements pour l’avenir. »
Figurer au palmarès des Techno-
faire partie des leaders français -
tre des qualités exceptionnelles dans le secteur d’activité si for-tement concurrentiel qu’est la
Le classement complet est : 1re e place Fran-
e place EMEA (Europe-Moyen-Orient-Afrique).
10 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Mercredi 22 janvier à 19 h au lycée agricole d’Areines, venez :
-dômois (qui produit quoi ?)
consommations énergétiques et adapter vos
activités au changement climatique.
Inscrivez-vous à l’un des 3 groupes de travail suivants :1- Organiser un territoire économe en ressour-ces (foncier, eau, énergie, forêt et environne-
la santé)
2- Vivre et habiter un territoire économe en énergie (isolation, bâtiments performants, éclairage, réseaux de chaleur, énergies renou-velables)
courts, économie circulaire et déchets, nou-veaux débouchés et opportunités)
Merci de confirmer votre choix par mail au Pays Vendômois : [email protected]
Venez
nombreux
le 22 janvier
11 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
1, rue Paul-Renouard 41000 Blois Tél. 02 54 56 06 06http://www.cgpme-centre.fr
LES OBJECTIFS ANNONCÉS
-nelle ;
-rière ;
-titivité et aller vers les publics qui en ont le plus besoin.
LES VRAIS ENJEUX DE LA RÉFORME
La formation professionnelle plus simple ? Pas pour l’employeur.
L’accord prévoit, selon la taille des entreprises :
4 régimes différents.
L’accord permettra, dans certains cas, au salarié de mobiliser son compte personnel de formation (CPF) pour se former, sans auto-risation de l’employeur, pendant son temps de travail. L’accord oblige l’employeur, quel-le que soit la taille de son entre-
état récapitulatif écrit du parcours professionnel du salarié dans l’en-treprise.
Dans la réalité, à l’inverse du choc de simplification, ce texte instaure de nouveaux seuils so-ciaux, pourtant identifiés comme facteurs de complexité et freins à l’emploi.
Une baisse de charges pour les en-treprises
On ne fait que remplacer l’obli-gation actuelle de payer par une obligation de faire, ce que l’on pré-
comme « la transformation d’une obligation en versements volontai-res ». Une nouvelle déclinaison du « volontaire désigné » !
Les entreprises ne seront plus te-
-
-mation des salariés de l’entreprise étant drastiquement réduit, au bé-néfice de la formation des deman-deurs d’emploi. Dans le même temps, et de ma-nière paradoxale, l’accord instaure un mécanisme de contrôle pour vérifier si la formation des salariés a bien été effectuée. L’employeur,
-mique, qui sera contraint demain de ne plus former ses salariés pour faire baisser ses charges sera en faute.La baisse des charges est donc une baisse en trompe-l’œil qui place les
Une mutualisation entre entrepri-ses préservée ?
Les ressources mutualisées baisse--
-
double de sa contribution financiè-re pour payer la formation de ses salariés. Demain, avec le système du chacun pour soi prévu dans l’ac-cord, elle paiera facialement 2 fois
moins de financement pour former ses salariés. Les gagnants de cet accord se-
grands donneurs d’ordre n’auront aucune obligation d’accompagner financièrement la formation des
salariés de leurs sous-traitants, re-léguant l’idée même de filières au rang de principes virtuels. La solida-rité interentreprises indispensable pour améliorer la compétence des salariés et renforcer la compétitivité de notre tissu économique est mise
Les perdants seront les PME assu-
sans avoir les moyens financiers de les mettre en œuvre et dans l’inca-
L’accord prévoit par exemple un
de la masse salariale du compte personnel de formation sauf accord de branches ou d’entreprises. En pratique, les PME sans représentant du personnel seront contraintes de payer... pour les autres.
Une forme de mutualisation à l’en-vers où les petits payent pour les grands !
LES PARADOXES
C’est un gouvernement de gauche qui supprime la mutualisation !Ce sont les grandes entreprises qui
leurs entreprises sous-traitantes !Les grandes entreprises cotisent peu aux organismes collecteurs !C’est donc la mort annoncée de la mutualisation.
© In
-Méd
ias
LES CHIFFRES
-
Financeurs :
!
!
!
Pôle emploi/Agefiph, autres admi-!
Ménages : 1,2 Md !
Fonctions publiques pour la for-mation de leurs propres agents :
!
12 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Tourneur fraiseur sur commande numérique
Art-Tech
Les anticipations des dirigeants recueillies
malheureusement vérifiées. L’activité ne redécolle pas ; elle aurait même ten-
s’effriter peu à peu-
tent bien, qui exportent, qui ont des car-nets de commande bien remplis, mais ce
les chiffres d’affaires se contractent. Depuis plusieurs trimestres, le commerce de gros est le secteur qui semble le plus souffrir de ce marasme, du fait de sa très grande
des autres branches (au même titre que le transport).
Chez nos répondants, la situation finan-cière s’est dégradée au cours de l’été. Les entreprises de services, souvent de petite taille, sont les plus fragilisées. Les
pris par leurs clients pour régler les fac-tures.
L’investissement pâtit inévitablement de
des établissements opérant des reports
elle atteint 7 sur 10. Les efforts d’innova-tion sont également mis à mal. Dans la me-sure du possible, les entreprises tentent cependant de les maintenir, voire de les intensifier quand elles en ont la possibi-
alors un rôle nettement plus important que le secteur. Le positionnement sur un marché plus vaste que le territoire local ou national probablement aussi. On re-marque en effet que les entreprises ex-
portatrices (peu nombreuses il est vrai) ont connu davantage de succès au cours des derniers mois que précédemment.
Depuis le printemps, les retombées né-gatives sur les effectifs permanents se font sentir plus pesamment ; la tendance s’est confirmée, voire amplifiée, durant l’automne. La construction est particuliè-
postes, y compris non permanents. Le re-cours au chômage partielun niveau marginal.Les prévisions pour les prochains mois
ne laissent entrevoir aucune amélioration. Les carnets de commandes ne se regon-flent pas, en particulier dans le commerce
une activité de nouveau en baisse, ce qui aura pour conséquence de nouvelles coupes dans les effectifs temporaires. Plusieurs d’entre eux pensent même que la survie de leur entreprise est en cause. Le moral s’effrite de nouveau ; le sentiment général est au pessimisme dans de larges proportions et ce pour la cinquième enquête consécuti-ve. Il ne faut cependant pas méconnaître l’aspect psychologique d’une telle réac-tion. Les responsables, comme le grand public, sont largement influencés par le climat général, lequel est fréquemment ressenti plus sombre que la situation de chacun pris isolément.
Alain Quillout
Retrouvez toutes les données Source Urssaf L & C.).
Période Désignation ValeurÉvolution
par rapportau mois
précédent
Évolutionpar rapportau même
mois 2012Source
31 oct 2013
Demanded’emploi
catégorie A14568 non
signi!catif + 6,6Pôle
emploi Centre
Emploi au 31 octobre 2013
Période Désignation NombreÉvolution
par rapportau même
trim. 2012(Nb)
Évolution données cumulées 12 mois
(Nb)Source
3e trim. 2013
Création entrepindustrielles etcommerciales
131 - 35 - 94 CCIT
4e trim. 2012
Radiationsentreprisesindustrielles etcommerciales
173 + 42 + 30 CCIT
3e trim. 2013
Immatricu-lations
entreprises artisanales
136 - 37 - 126 CMA
3e trim. 2013
Radiationsentreprises artisanales
76 - 34 - 47 CMA
Entreprises 2013 : créations/radiations
Période Désignation ValeurM!
Évolutionpar rapportau même
trim. 2012
Évolution données cumulées 12 mois
Source
3e trim. 2013
Chi"re d’a"aires 2299,1 - 0,3 % + 0,3 % DGFIP
3e trim. 2013
Investisse-ments 100,3 + 8,2 % + 5,7 % DGFIP
3e trim. 2013
Importation produits
industriels486,2 + 6,8 % + 0,5 % DRDDI
3e trim. 2013
Exportation produits
industriels463,0 - 4,4 % - 5,9 % DRDDI
Entreprises 2013 : activité
78 170 emplois salariés du secteur concurrentiel au 30 juin 2013 (- 2,1 % par rapport au même trimestre 2012. Source Urssaf L & C.).
Panorama économique du LoiretCher
Période Désignation ValeurÉvolution
par rapportau mois
précédent
Évolutionpar rapportau même
mois 2012Source
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emploi Centre
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Création entrepindustrielles etcommerciales
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entreprises artisanales
136 - 37 - 126 CMA
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Radiationsentreprises artisanales
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Panorama économique du LoiretCher
13 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Ignorés par la loi, les concubins sont fiscalement traités comme des étrangers. La position des concu-bins lors de l’achat en direct de leur résidence principale est réglée par
l’un deux, le survivant se retrouve dans la position délicate d’indivi-saire avec les héritiers du concubin prédécédé. De plus, si le concubin a légué au survivant ses droits dans l’indivision, les droits de succession sur la part transmise seront dus au
!). La société civile se révèle un outil ingénieux pour l’acquisi-tion par des concubins d’un bien immobilier.
permettre d’assurer le maintien dans les lieux du concubin survi-
ce, avec une fiscalité allégée. Deux techniques doivent être propo-sées : le démembrement croisé des parts de SCI ou l’insertion d’une clause de tontine dans les statuts.
Le démembrement croisé des parts de la SCI
Monsieur Dupont et Mademoiselle Martin, âgés respectivement de trente-cinq et quarante ans, vivent en concubinage depuis dix ans et
-!.
-
rellement tourné vers la protection du concubin survivant en cas de décès. En conséquence, ils désirent que le survivant puisse occuper paisiblement le logement sans in-gérence des héritiers. D’autre part, ils désirent minimiser le montant de la fiscalité inhérente aux droits de succession.
Ils constituent une SCI en pleine propriété. La SCI achète le bien. Les concubins réalisent ensuite des cessions ou donations des parts en démembrement croisé. Le capi-tal de la société est alors divisé en
Monsieur Dupont détient la nue-
-demoiselle Martin détient l’usufruit
En conséquence, si Monsieur Du-pont décède le premier, Mademoi-
premières parts et surtout la pleine
Si Mademoiselle Martin décède la première, monsieur Dupont aura la
parts et l’usufruit sur les parts sui-vantes.
Dans les deux hypothèses, à condition d’avoir rédigé avec la plus grande précaution la clause des statuts relative aux droits
respectifs des usufruitiers et des nus-propriétaires, le concubin sur-vivant conservera le contrôle de la société et pourra continuer à occuper le logement sans aucune difficulté.
l’extinction de l’usufruit, la pleine
parts sociales (la moitié du bien), sans aucune fiscalité. Seule la nue-propriété des cinquante autres parts tombera dans la succession du concubin prédécédé. En présence
! (succession en ligne directe) viendra neutraliser la fisca-
-té. Au décès du second concubin, les héritiers de chaque concubin détiendront la pleine propriété de la moitié des parts sociales.
L’insertion d’une clause de tontine dans la SCI
Lorsque des concubins achètent un bien en tontine, le décès du premier fera du survivant le seul propriétaire de la totalité du bien depuis son acquisition. D’un point de vue successoral, cette clause évince totalement les héritiers du concubin prédécédé, elle ne ré-
SCI en démembrement croisé.
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Cependant, d’un point de vue fiscal, lorsque la tontine est insérée dans
clause rend exigibles les droits de
exception est prévue pour l’acqui-sition de l’habitation principale des concubins, mais elle est de portée limitée, puisqu’elle ne s’applique
!
environ).
Cet inconvénient fiscal est tota-lement éludé par la constitution d’une SCI achetant tout type de bien et l’insertion d’une clause de tontine dans les statuts de la socié-té. En effet, au décès du premier concubin, le survivant sera réputé propriétaire depuis l’origine de toutes les parts de la société, ce qui exclut l’exigibilité de tout droit de succession (droit de vente de
-mises).
Ainsi, pour l’achat en direct d’un ! avec une clause
de tontine, le décès de l’un des concubins rendra exigibles des
bien, soit 120 000 ! (sans compter !).
Si les concubins constituent une SCI et insèrent une clause de ton-tine dans les statuts, le survivant deviendra propriétaire de la tota-lité des parts sociales moyennant le paiement d’un droit de 5 % (10 000 !), soit une économie de près de 110 000 !. N. DUVIVIER
14 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉHUISSIERS
Vous avez un problème de livraison, une panne mécani-que, une avarie, etc. ?
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sure, par ses constats, le rap-port de la preuve nécessaire avant ou au cours de toute
-
armez-vous d’une preuve in-destructible).
Vous avez une facture ou un chèque impayé ?
recouvrement de vos im-payés.
-vient quel que soit le docu-
facture, chèque, lettre de change, reconnaissance de dettes...
-tre écoute et vous propose des actions adaptées : du
et rapide.En cas d’urgence, il pro-
procédures conservatoires,
provisoires.
Exemples :- En matière de chèques im-
produit un titre exécutoire en un délai très bref, sans solliciter l’intervention des tribunaux.- Dans le cadre d’actes et factures impayés, il peut obtenir un titre exécutoire rendu par le tribunal, sur la base d’une procédure
-teuse.
NOTAIRES
Chambre des notaires de Loir&Cher : 12, place Jean-Jaurès 41043 BLOIS Tél. 02 54 78 13 16 Fax : 02 54 78 96 02 Email : [email protected]
Afin de lutter contre le morcelle-ment de la forêt, il a été créé un droit de préférence au profit des propriétaires voisins de parcelles boisées. Ce droit s’applique lors de la vente d’une propriété boi-sée d’une superficie inférieure à 4 hectares. Il faut alors avertir les propriétaires voisins de parcelles boisées de la vente de la proprié-té boisée, afin de leur permettre d’exercer leur droit de préférence.
Comment ?
avec demande d’avis de récep-tion ;
--
nal d’annonces légales.
Décision du voisin
Le voisin intéressé dispose d’un délai de deux mois pour exercer
son droit de préférence, sans pos-sibilité de discuter le prix et les conditions. En cas de pluralité de voisins, « le vendeur choisit libre-ment celui auquel il souhaite cé-der son bien ». Le voisin exerçant son droit de préférence doit réali-ser l’acquisition dans les deux mois
vendeur, de la déclaration d’exer-cice de ce droit. À défaut, le droit de préférence n’est plus opposa-ble au vendeur.
Sanction
À défaut de notification, la vente est nulle et l’action en nullité peut être exercée par les propriétaires voisins.
Exceptions
Il n’y a pas de droit de préféren-ce, en cas de vente au profit d’un propriétaire d’une parcelle boisée
partenaire de Pacs, du concubin ou de parents ou alliés du vendeur
e degré inclus.Le droit de préférence n’existe pas si le bien vendu est « mixte »,
-ment en nature de bois.
famille, le notaire est votre écoute -
conseilregional-orleans.notaires.fr pour trouver les coordonnées de celui qui est le plus proche de chez vous.
Article rédigé par Me David Le--
bre du comité de rédaction de la Chambre des notaires de Loir-et-Cher, sous la direction de Me Cé-dric Asselin.
SCP LANOUE - PETIT
FAVRE Jean-Michel
MAUPERIN-BILLON Marie-Pierre
marie-pierre.mauper in-billon@ wanadoo.fr
REY Nicolas14, rue Pierre-Henri-Mauger
SCP DELORME SALLES - FOLTZER
SCP SENTUCQ TORQUATO2, rue Porte-aux-Dames - BP 14
MONNIER-FOLTZER Morgane
SCP VOISIN - SANSON
FRERY Maryline
Maître Alain Petit.
Les huissiers de Justice du Loir-et-Cher à votre service
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las
Der
ré
15 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉArtisans, PME, PMI
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Blois
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Parc d’activités de L’ArtouillatCandé-sur-Beuvron
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Parc d’activités des MûriersHerbault
Contact02 54 90 35 52
Parc d’activités de MalakoffAverdon
À partir de
1 500 m"
ERDF
Cette démarche, initiée par la Caisse des dépôts et consignations (CDC) est relayée sur notre territoire par la Ville de Blois et Aggloplys depuis
-sion locale et la Maison de l’emploi du Blaisois. Un accompagnement gratuit et indi-vidualiséPour Laurent Péronne, coordon-nateur au sein de CitésLab, il s’agit
-
de pouvoir contacter les organismes susceptibles de les conseiller ou de les accompagner. « Chacun possède des compétences, un savoir-faire, un potentiel de créativité qui ne deman-
pour déterminer si une idée peut se
un petit coup de pouce est souvent
nécessaire. Le dispositif CitésLab a
méthode individualisée et gratuite
-sées de la CCI ou de la Chambre de métiers et de l’artisanat constituent des lieux de référence appréciés par nos interlocuteurs. La CDC permet un
plus aboutis. » C’est dans le cadre de -
ral, directeur territorial d’ERDF, signait récemment une convention de par-
Blois.
Des projets d’entreprises diversifiés
-sique et en anglais, elle souhaite pro-poser aux particuliers ou aux associa-tions des prestations en rapport avec ses compétences. Les collectivités ou les maisons de quartier pourront
aussi utilement bénéficier de ses ser-vices. Rachida dispose d’une forma-
nécessaires et doit maintenant trou-
son futur travail. « Dans cette période de crise et de questionnement, il est essentiel, selon nous, de soutenir les créateurs d’entreprises et les inno-vateurs de toutes origines sociales,
avenir »
CitésLabEspace du projet et de la citoyenneté5, place René-Coty41000 Blois
Tél. 02 54 51 31 03www.citeslab.fr
16 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
général du groupe Cap Cinéma, était le grand témoin de la soirée. Les ini-tiateurs de cette cérémonie, Maurice Leroy, ancien ministre, président du Conseil général de Loir-et-Cher, Bruno Bécard, rédacteur en chef de la Nou-velle République ainsi qu’Emmanuelle Pavillon, directrice départementale, et Yvan Saumet, président de la Chambre de commerce et d’industrie
tour, présidée et présentée. Six Tops ont été remis pour récompenser les entreprises les plus performantes de l’année.
était possible de postuler dans plu-sieurs catégories) dans les catégories suivantes :
et de la communication » ;
Le Top de l’année a été désigné en direct par le public au cours de la soirée, parmi les lauréats des tops thématiques.
Les lauréatsLe Top Oser entreprendre a été remis
-ciété B+HomeB+Home a débuté son activité dans
-cialise un système de purification de l’eau qui diminue la teneur en cal-caire (adoucisseurs en exclusivité na-tionale) et des osmoseurs qui limitent les éventuels polluants de l’eau, pour
© N
ico
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ré
une utilisation alimentaire. Florence Princé : « Claude Beaufils,
nous a beaucoup aidé en faisant
-ment besoin. Il nous a aussi accom-pagné quand, après deux ans d’acti-vité, nous avons intégré un nouveau bâtiment, construit sur une parcelle
une vingtaine de salariés. B+Home -
sents sur 14 départements et conti--
possédons nos propres installateurs.
nouveaux produits : des ballons thermodynamiques qui utilisent une énergie naturelle et inépuisable pour l’eau chaude sanitaire. La réussite de
d’équipe et d’entraide qui y règne.
n’est pas simple. »-
raine de l’association « Initiative Loir-et-Cher » (pour le financement et l’accompagnement des entrepre-
-merce.Ce qui a fait la différence pour le jury : l’originalité du parcours d’une commerciale qui ne se voyait pas chef d’entreprise et qui a été pous-sée à le devenir pour sauver sa so-ciété quand celle-ci s’est trouvée en danger.
Le Top Création Pack 3.0
Il s’agit d’un bureau d’ingénierie per-mettant, par la simulation numérique,
-ché des emballages répondant aux
d’allègement, d’empreinte CO2, de performance technique et, pour le client, de fonctionnalité et de valeur d’usage.Motivation : Promouvoir et rendre accessibles aux PME-TPE les techno-logies numériques développées pour
grands groupes.
Serge Batkam, gérant : « Pour créer son entreprise, il faut une bonne idée, de la confiance, de l’enthou-siasme et être bien préparé. Nous développons des technologies nu-
au point d’un produit, le fait d’utiliser la simulation numérique réduit les
physiques sont effectués a posteriori pour valider nos calculs. Ces techno-logies sont issues des recherches aé-ronautiques et nous les appliquons dans le domaine de l’emballage, qui porte de nombreuses exigences environnementales, techniques et fonctionnelles, donc économiques,
la meilleure attention. »Ce qui a fait la différence pour le jury : création d’un bureau d’étude de pointe dans une thématique d’avenir - le packaging, notamment agroalimentaire - en pleine Solo-gne.
Le Top Technologies de l’information et de la communicationMac&Co-Hype Store de Blois.
Bataille et Patrice Rimbert, respective-
e
Philippe Dejust, président-directeur général du groupe Cap Cinéma.
© N
ico
las
Der
ré
Florence Princé, gérante de la société B+Home.
© N
ico
las
Der
ré
Serge Batkam, gérant de la société Pack 3.0.
17 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
ment directeurs généraux de Mac&Co et Hype Store (4 magasins) ont créé
Informatique, télécoms, réseaux…-
ment bien engagé : aider les établis--
nationale de « Faire entrer l’école dans l’ère du numérique avec un nu-mérique au service de l’école ».Forte de son expérience acquise en collaborant sur le programme dé-
rurales » en Loir-et-Cher, la société innove en proposant un accompa-gnement spécifique des enseignants et des référents dans les établisse-ments scolaires et en assurant un suivi constant de la flotte du matériel éducatif numérique (avec intégration d’un bureau virtuel sur un serveur central partagé par les établissements concernés).
Franck Bataille : avons mis en place un ensemble de solutions pour l’éducation, en ly-cées et collèges, qui attendent un environnement de travail numérique (tableaux blancs interactifs, tablet-
développements. Nous avons scindé nos activités en deux parties : les professionnels et les grands comptes d’une part, le grand public d’autre part, avec plusieurs implantations
Vineuil, Le Mans et l’ouverture d’un vaste showroom dans nos nouveaux
Blois. Le showroom est un très bel outil de travail pour organiser des dé-monstrations, des événements, avec nos équipes techniques et commer-ciales. »Ce qui a fait la différence pour le jury : le développement impression-nant de l’offre numérique, bien maî-trisée par l’entreprise, dont la valeur ajoutée réside dans un service per-sonnalisé.
Le Top Innovation serviceChavigny SAS de Vendôme.
Responsable : Pascal Chavigny, prési-dent.Activité : Négoce de matériaux/trans-port/recyclage.
-chets de matériaux de construction
-munautaires sont saturées et l’inter-diction progressive de ces déchet-
supplémentaires pour ces derniers.
des artisans clients du groupe Chavi-gny. Ce dispositif, qui n’existait chez aucun négoce de matériaux, propose un service intégré de collecte et de tri des déchets au sein du négoce. Easi-tri propose ainsi une collecte en big bags puis se charge de l’enlèvement. Chavigny a aussi mis en place une ins-tallation d’apport volontaire en vrac, accessible en libre-service avec une
Vendôme, Blois et Saint-Pierre-des-Corps en Indre-et-Loire).
Les projets :-
lecte spécialisés par métier ;
avec un nouveau concept en direc-tion des communautés de communes
Pascal Chavigny : « Chavigny est un univers de solutions. Le groupe re-présente beaucoup de métiers. Les
-les’’, sont devenus un pôle de crois-sance. Nous en redirigeons certains vers les chaudières bois installées au sein des différents négoces du grou-pe Chavigny. Les matériaux inertes, broyés, criblés, sont utilisés par Cha-vigny Travaux publics sur les chantiers. Les autres produits sont acheminés vers des filières spécialisées. »
Ce qui a fait la différence pour le jury : cette entreprise innove en proposant à ses clients artisans un
nouveau service qui répond à la fois à leurs besoins et à des préoccupa-tions environnementales. Ce service consiste à proposer une solution très simple de récupération de leurs déchets de chantier en même temps qu’on leur livre des produits Chavi-gny.
Le Top Innovation produit a été re-Caillau SAS -
thenay. Responsable : Pierre-André Fernan-dez, directeur général.Responsable études produits : Nico-las Rigollet.Activité : Conception, industrialisa-tion et production de colliers de ser-rages techniques, fixations.Produit primé : Le groupe PSA a de-
collier d’échappement automobile prépositionné, optimisé norme anti-
produit est de pouvoir le préposition-
en attente de son serrage. Sur une chaîne d’assemblage automobile, le tuyau d’échappement arrive équipé du collier « embarqué » en position
le visser.Retombées : le marché allemand a
société Caillau sur d’autres produits dans la fonction échappement et dé-pollution.
a fortement régénéré son « porte-feuille produits » ces dernières an-nées. Si de nouveaux produits ont
c’est le résultat d’importants moyens investis en recherche/développe-
!/an)
-
et probablement davantage l’année prochaine avec des produits de
Ce qui a fait la différence pour le jury : une innovation de rupture qui s’accompagne d’une innovation de process ouvrant de nouvelles pers-pectives à l’entreprise.
Le Top de l’année
La désignation du Top de l’année a été effectuée par le public présent
vote par SMS) et il n’a fallu qu’un seul tour pour désigner le lauréat en la personne de Serge Batkam res-ponsable et créateur de la société « Pack3.0 ».
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Franck Bataille et Patrice Rimbert, directeurs généraux de de Mac&Co et Hype Store.
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Au centre, Pascal Chavigny, président de Chavigny SAS.
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Nicolas Rigollet (à g.) responsable études produits et Laurent Chapdelaine (à dr.), directeur commercial de Caillau SAS.
18 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
-pace « Santé Active » de la CPAM, qui avait ouvert ses portes le 12 no-
santé publique avec une nouvelle ap-proche des problématiques.La CPAM est devenue un acteur du système de santé et de soins. Elle tra-
des connaissances qui influeront sur
santé. Notamment sur la prévention des développements des patholo-gies chroniques : lombalgies, mala-dies cardio-vasculaires, surpoids...
chroniques. En investissant sur la pré-vention, on investit sur l’avenir. Par ailleurs, on mobilise par le réseau les personnes les plus éloignées des ser-vices de santé.
Carole Blanc, directrice de la CPAM de Loir-et-Cher, et Philippe Damie, directeur général de l’agen-ce Régionale de Santé Centre.
Santé Active, une démarche natio-nale qui s’inscrit dans une dynami-que vertueuse
Une dizaine d’espaces ont été dé-ployés en France et le nombre dou-blera l’année prochaine. Le réseau de la CPAM met son expertise au service de la population sur le long terme. Les tendances de consom-mations viennent d’une démarche volontaire et ne s’infléchiront que progressivement. Notons que la dé-marche entre aussi dans les filières de
coaching. Cette approche de santé active est bien accueillie par le public puisqu’on constate que la moitié des visiteurs du centre d’accueil de Blois deviennent des adhérents.
Santé Active
et du mercredi au samedi
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19 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Face au développement expo-nentiel de ses sociétés et en par-ticulier d’EasyShower, le groupe
Cher, s’agrandit et inaugure de nouveaux équipements :
les marchés, foires et salons.
À cette occasion, en présence de ses collaborateurs, de ses partenaires et des représentants des entreprises ayant réalisé les travaux, Régis Rocton, dirigeant du groupe, a accueilli le 14 dé-cembre, dans les locaux de ses sociétés, de nombreuses person-nalités. Sophie Auconie, députée européenne de la Région Centre, trois vice-présidents du Conseil
-sident de la toute nouvelle com-munauté de communes Val de Cher-Controis), ainsi que le maire
Patrice Venault, président du Me--
vitation.
N° 1 du marché
Devenu leader du marché de la
marque Crystalyne dans les années -
l’évolution du marché. Il est rapi-dement devenu le n°1 du marché français des espaces douche pour
réduite, avec la marque EasyS-
la société EasyShower est pas-sée d’un CA de 2 M! !
années (une centaine d’emplois indirects) avec une préférence pour le partenariat avec des en-treprises de la région.
Fabriqué sur mesureEasyShower est une société inno-vante, qui propose des produits
ENTREPRISE
sur mesure, ce qui permet d’évi-ter les gros travaux dans la salle de bain et de transformer, en moins de 24 heures, l’ancien équipe-ment (douche ou baignoire). Les produits sont fabriqués en France
et aux couleurs choisies par les clients. Les douches sont en fi-bre de verre avec une finition gel coat, semblable au matériau qui constitue les coques de bateau. L’utilisation d’un tel matériau per-
Acteur de la Silver économie
Le groupe s’est investi dans la prévention des chutes chez les seniors en devenant partenaire de l’Union nationale des retrai-tés et personnes âgées (UNRPA). Il est aussi l’un des acteurs de la Silver économie, un programme
cœur des préoccupations natio-nales le bien vieillir d’une popu-lation de plus en plus âgée. Le dynamisme économique de Régis Rocton, qui entend poursuivre l’expansion de son groupe en dé-veloppant les ventes en Europe, a été unanimement salué par les élus présents lors de leurs inter-ventions. F.P.
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Régis Rocton a inauguré ses nouveaux locaux le 14 décembre 2013.
Le nouveau camion de présentation de la gamme Easyshower se déplace sur les salons.La douche Easyshower est réalisée sur mesure.
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20 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
L’Ordre des experts-comptables de la région d’Orléans a organisé, ven-
Blois, une soirée caritative en faveur de l’association Petits Princes. Depuis
-ne vie aux rêves des enfants grave-
-
dons des experts-comptables de la région, des partenaires, des entrepri-ses clientes, du Conseil supérieur de l’Ordre des experts-comptables et de certains ordres régionaux (Aquitaine, Auvergne, Bretagne, Champagne, Limoges, Lorraine, Montpellier, Pays de Loire, Poitou Charentes Vendée, Rouen Normandie, La Réunion),
-
masque de Philippe Omnès, fleuret-
sculpture réalisée par Serge Aubailly, past-président), la somme de 16 400 ! a été collectée. Ces dons vont permettre à cinq enfants de partir en Laponie à la rencontre du
Père Noël. Cette soirée s’est clôtu-rée par un concert de Thomas Boissy. Une situation étonnante, insolite... le nom d’un chanteur, d’une chanteuse ou d’un groupe... quelques secon-des de réflexion... C’est tout ce qu’il lui faut pour vous embarquer dans les improvisations musicales les plus
pour votre soutien !
Changement de taux de TVA au 1er janvier 2014 Précisions concernant les avoirs
La note d’avoir indique la référence de la facture initiale, le montant hors taxe et le montant de la TVA. Il s’agit
Cette position a été confirmée par l’administration lors du passage du
er -
« Tant pour les livraisons de biens que pour les prestations de services, en cas d’annulation d’une opération ou de modification de son prix (notam-
ment en cas de rabais donnant -
rectification doit être opérée au -
ration d’origine, même si celle-ci est effectuée après le 1er
néanmoins la possibilité d’opérer des rabais nets de taxe dans les conditions habituelles. » Il est également possible de faire des avoirs nets de taxe. En effet, si elle renonce à la récupération de la taxe, la personne qui a réa-lisé l’opération taxable peut faire
est « net de taxe ». Le client est
la rectification de la déduction opérée au vu de cette facture, sous la double réserve qu’une mention dans ce sens soit appo-sée sur la note d’avoir et que le montant de la TVA porté sur la facture initiale ne soit pas modi-fié.
Taux réduit de TVA
Pour rappel, la troisième loi de
avait modulé les trois principaux taux de TVA. Il était prévu :
-
Un chèque de 16 400 ! a été remis à l’association Petits Princes par l’Ordre des experts-comptables.
FORMATION
Six sites accueillent les apprentis en
le site « hors les murs » de Blois. L’ap-
prentissage s’effectue en alternance directement dans les structures concernées et les formations sont
L’inauguration du CFA « hors les murs » s’est déroulée à l’hôtel de ville de Blois, vendredi 13 décembre.
parmi lesquels :
-liale ;
-se, de l’éducation populaire et de support en animation « loisirs tous publics »...
de validation par l’interrégionale de l’apprentissage, l’accès aux diplômes
formation actuelle :
et familiale ;
familiale ;
Le CFA couvrira donc potentiellement
L’accueil de cet éventuel éventail de qualifications sera rendu possible grâce au travail des unités de forma-tions d’apprentis des établissements de formation. Certaines équipes sont
-cessus.
Centre de formation d’apprentis
Un amendement voté par l’Assemblée na-tionale, dans le cadre du débat concer-
er
-
http://www.assemblee-nationale.fr/14/
21 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Les neuf finalistes « Talents gour-mands » Crédit agricole Val de
régionale qui se déroulera le lundi 27 Janvier 2014
le site www.talents-gourmands.fr pour découvrir le portrait de ces hommes et femmes, profession-nels passionnés, dignes repré-sentants du patrimoine culinaire de la région.
La soirée du parrainage, organisée
-gent bénévolement pour accompa-gner les créateurs d’entreprise du réseau ILC, en les faisant bénéficier de leur expérience.Philippe Duisit, président de ILC, a animé la soirée en présence de
Cher. Une convention de partena-riat a été signée avec ERDF, repré-
territorial de Loir-et-Cher.Le concept ILC
un chef d’entreprise ;
toutes les informations concernant l’entreprise ;
-prise et le parrain, déterminent en-semble les indicateurs du tableau de bord, que le chef d’entreprise devra transmettre.Le rôle du parrain
agir en chef d’entreprise ;
l’échange de bonnes pratiques et une dynamique de réseau.Un contrat formalisé par une convention de parrainage posera les engagements de chacun.Un parrain doit :
et aux risques ;
solutions. Surtout, ne pas penser -
treprise.
De la qualité relationnelle dépend la réussite de la mission du parrain auprès de l’entreprise naissante. Le parrainage a été lancé par ILC en
formés lors de réunions d’informa-tion et échangent leurs expérien-ces dans leur rôle de soutien aux
entreprise et dirigeant de « Equas Consulting », apporte au quotidien dans l’exercice de sa profession, les bons leviers pour réussir et re-
-
la mise en place de tableaux de
l’activité de l’entreprise.
Éric Jacquemetton : « Le tableau de
mais adapté. Il est le reflet de la santé économique de l’entreprise et permet de vérifier si le prévision-nel est tenu. »
Quand un parrain est-il opérationnel ?
Après le cursus de formation, on re-cherche un dossier qui correspond au mieux aux profils et aux besoins
ne peut intervenir que quand le
l’entreprise.
L’importance du parrainage
-compagnées sont encore en acti-vité après deux ans d’exercice.
De g. à dr. Philippe Duisit, Gilles Lagarde et Gilles Pucheral.
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-Méd
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22 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
pour les entreprises de perdre des marchés locaux est donc réel et doit
-riés déclarent que des formations moins éloignées leur permettraient plus facilement d’ y participer. Les mêmes souhaitent une meilleure vi-sibilité des dispositifs de formation.
Au niveau des salariés, il y a lieu de vérifier ou de développer de nou-velles compétences. S’agissant des demandeurs d’emploi, on consi-
Des situations qu’il y a lieu de pren-dre en compte alors que de fortes progressions de marchés d’isola-
tion, de pose d’équipements solai-res et de ventilation sont attendues
MdEB envisage, entre autres cho-
-tion énergétique » et de produire un guide des initiatives en matière de développement durable et d’énergies renouvelables.
MDE
L’évolution de la réglementation liée au
de disposer d’habilitations nouvelles liées au développement durable. Dans le cadre de ces exigences légales, la MdEB accom-pagne désormais les artisans et les salariés en accord avec les branches profession-nelles.
Pour cela, la MdEB s’adosse aux accords nationaux entre l’Ademe et Alliance-Ville-Emploi afin de développer les propres compétences de sa structure. Elle devient ainsi le premier établissement en région
directrice Sylvia Sanchez, il s’agit d’une ac-tion menée en coordination avec la Cellu-
le économique régionale du BTP et l’Ademe Centre. Elle
sur le bâtiment et les éner-gies renouvelables permet-tant d’anticiper les besoins
-tion et l’insertion sur le ter-ritoire, définis par les acteurs
un grand nombre d’indica-teurs et d’éléments d’aide
en œuvre les accompagne-ments nécessaires en direc-tion des entrepreneurs et des salariés. Sur le Blésois, 1
-
du bâtiment, l’entretien, la rénovation et l’isolation des
du chiffre d’affaires. »
Un besoin de re-qualification
La qualité thermique est généralement le domaine qui nécessite le plus grand
nouvelles normes et des mo-dalités d’intervention encore insuffisamment connues. Pourtant, les demandes de labellisation de la part des entreprises restent encore peu nombreuses. Le risque
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« Esprit d’Affaires », une nouvelle organisation qui prend naissance
-prises se réuniront tous les mardis
clairement défini : que chacun d’entre-deux devienne un appor-teur d’affaires pour les autres mem-
Quelques principes d’actions :
-merciales (en une minute), éven-tuellement avec l’aide de docu-ments, afin que chacun puisse en connaissance de cause recomman-
-prise dans celle d’un autre adhérent,etc...
Qui peut adhérer à « Esprit d’Affaires » ?
Un chef d’entreprise peut postuler -
sentée au sein du groupe, afin de ne pas créer une concurrence. Si deux entreprises du même secteur postulent, le Bureau retiendra celle qui pourra potentiellement appor-ter le plus aux autres membres.
Contact : Thierry Morchoine
23 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
Dynamiser la collaboration au sein des équipesVous menez des équipes ou des pro-
-fois, la transversalité et la complexité
collaboration entre toutes les parties prenantes de plus en plus délicate.Les méthodes collaboratives, faisant
l’engagement des acteurs concernés et développent ainsi le potentiel et
l’efficacité des équipes.
Chaque manager, chaque chef de projet est un facilitateur potentiel
--
tager son expérience de la facilita-tion en tant que témoin industriel, et
dirigeant de la société Formapart, a exposé les principes de cette métho-de, les conditions de réussite, ainsi que le socle de moyens employés
pour cela. À l’issue, un programme a été proposé pour mettre en œuvre de tels processus de travail, de ma-nière pratique, dans les entreprises.
Le travail collaboratif :pourquoi ?
Il améliore l’efficacité des équipes. La révolution technologique a trans-
-sance (et au pouvoir). La complexité de l’environnement économique requiert des innovations constantes dans des schémas interdépendants.
la nécessité de transformer les prati-ques managériales. L’autorité légitime du manager est nécessaire, mais si on n’emploie pas une méthode parti-cipative, on risque d’engendrer des frustrations et des résistances très fortes aux changements.
quand ?
Pour :
chacun ;
comment ?Rien de révolutionnaire, mais il faut savoir créer les conditions dans les-quelles chacun se sent écouté, donc reconnu. Le champ créatif est obtenu par des étapes préalables et un pilo-tage dynamique, voire intrusif.Le choix du lieu a son importance (pas de salle trop vaste), on rap-
forces. Chacun réfléchit individuelle-ment avant une mise en commun des
dialogue et les échanges. Il faut qu’il prenne progressivement du sens
mettre en œuvre.
Lycée des métiers de l’hôtellerie et du tourisme174, rue Albert-1er 41000 Blois
Le Fonds d’intervention des entrepri-ses en croissance (FIDEC), créé par la Chambre de Commerce et d’Indus-
roulement des entreprises qui, dans le cadre de leur croissance désirent, notamment, investir. Cette aide, sous forme de prêt d’honneur au(x)
valeur économique, non seulement au profit de l’entreprise qui en bé-
néficie, mais aussi au profit du tissu d’activité dans lequel elle évolue.
emprunts bancaires.Le fonds d’intervention (FIDEC) de la CCI a accordé pour la seconde fois depuis sa création, un prêt d’hon-
!
dirigeants, Didier Perriau et Michel Sauget de l’entreprise ATCS située
la sous-traitance et la fabrication de
pièces métalliques de tôlerie. Les chèques ont été remis aux bénéficiai-
Baptiste Anginot, président du FIDEC et premier vice-président industrie
Bichon président du comité d’agré-ment.Savoir saisir les opportunités
!, re-versé en compte courant d’associés, permettra de contribuer au finance-ment du besoin en fonds de roule-
!
crise a incité les dirigeants de l’entre--
chés. C’est dans le secteur médical, avec un fabriquant de lit médicalisé qu’une collaboration s’est mise en place. Ce nouveau marché nécessitait cependant des investissements assez lourds pour répondre aux critères de qualité rigoureux du secteur médical.
! incluant le financement de nouveaux équipements par cré-dit-bail.
La qualité et la rigueur des dirigeants ont séduit les membres du comité
-rigeants actuels, Didier Perriau et Mi-
chel Sauget, la société ATCS est née de la reprise d’activité d’un atelier
-sonnes.
2
s’oriente vers la sous-traitance pour
ATCS noue un partenariat avec une société commercialisant des appa-reils d’éclairage pour le secteur ter-
-
-
la morosité du marché du mobilier de -
sonnel intérimaire et les COD ne sont pas renouvelés.
-prentis et 1 intérimaire et réalise un
!. Cette nouvelle activité
l’entreprise de pérenniser ses emplois sur le bassin Sellois et lui offrir une opportunité de développement.
De g. à dr. Didier Perriau, Jean-Baptiste Anginot et Michel Sauget.
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24 du LOIR-ET-CHER ÉCONOMIE & SOCIÉTÉ
que s’est tenue l’assemblée générale de la Chambre de métiers et de l’ar-tisanat de Loir-et-Cher. Le président Pierre Maino a dressé un portrait alarmant de la situation financière, qui, comme celle de l’année précé-dente, n’est pas au « beau fixe ». Si le montant du déficit a été réduit
!
malgré des mesures d’économies drastiques. Cette situation, qui tend
-
durée indéterminée et la non-re--
rée déterminée. Ces mesures seront
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Pierre Maino.
prises dans le cadre de la mutualisa-tion des moyens au niveau régional, décidée lors de l’assemblée générale
1er
se fera au niveau du transfert de per-sonnels d’autres départements avec une partie du temps de travail dédié
mise en commun des moyens dans d’autres secteurs comme l’informati-que, les achats, etc. À l’augmentation des charges (malgré
baisse des ressources : le contexte économique n’est pas sans incidence sur la formation et l’apprentissage, avec un net recul du recrutement dans certains métiers. Le rapport de la commission « Formation profes-sionnelle » fait apparaître une baisse
-
baisse des financements publics et de l’apprentissage, malgré quelques pro-gressions d’effectifs en CAP bouche-rie, en BP cuisine et restaurant et en BTS. Le nombre total d’apprentis est
précédente) avec trois secteurs en difficulté (- 42 au niveau V - CAP) : la mécanique automobile, l’esthétique et la coiffure.
Pour tempérer ce constat peu opti-miste, il existe un nombre intéressant ©
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de contrats de professionnalisation -
sitif d’insertion aux métiers par l’alter-nance (DIMA).
Les soucis financiers n’ont cepen-dant pas entamé le dynamisme dont
et formateurs. Ils se tournent ré-solument vers l’avenir, notamment avec la construction du nouveau centre de formation professionnelle
nouvelles ambitions pédagogiques se concrétisent avec la création de plates-formes d’innovation ouvertes aux nouveaux savoir-faire : une ré-
-tion dans les sept filières vertes du
l’inauguration des plateaux techni-
du présent numéro).
En conclusion, l’enquête réalisée
-ce de l’assemblée. Elle fait apparaître une possible éclaircie dans l’artisanat, sans euphorie pour autant. Quel-ques chiffres l’annoncent : il y aurait un léger mieux en matière d’activité
chiffre d’affaires pourrait se main-
donc moins pessimistes qu’au prin-temps, sauf dans l’alimentaire. F.P.
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Tous les acteurs de cette nouvelle implantation, sur l’Agroparc du Controis, étaient réunis le vendredi
-guration, effectuée en présence de
-sident du Conseil général, et Denys Robiliard député.
Yvan Saumet, président de la Cham-
Vasseur, président de la Chambre -
sident de la Communauté de commu-nes Val de Cher - Controis, (les trois
coupé symboliquement le ruban de 2 (première phase)
qui a pour vocation d’accompagner
la création d’activités novatrices dans le domaine très particulier de l’agroalimentaire.
L’incubateur se composera de mo-dules industriels et d’une partie ter-
-
dans la phase de mise au point des activités industrielles et commer-ciales (en principe temporairement avant l’implantation sur zone de l’ac-tivité mature).
Yvan Saumet a indiqué que des pro-
Il a insisté sur la complémentarité
des deux chambres (Commerce et Agriculture) de la Communauté de communes du Controis et du Conseil général, qui a permis cette réalisa-tion au sein du pool agroalimentaire
Food Val-de-Loire. Celui-ci regroupe, outre l’incubateur, un cluster de coo-
-mentaire), une cellule d’intelligence économique et une dynamique de développement articulée avec le tourisme, et l’Agroparc du Controis qui se déploie sur une cinquantaine d’hectares (occupés aux !).
a mis l’accent sur l’existence d’une « démarche nouvelle » de la Cham-bre d’agriculture associant les agri-
-tation du pool agroalimentaire. « Il était important d’expliquer les en-
-trie agroalimentaire (transformation
l’échelon de la région) et de trouver des solutions pour trouver des terres de remplacement. » F.P.
25 du LOIR-ET-CHER
connu et suivi les grands noms du
Médrano… en France et en Euro-pe. C’est sur la piste qu’elle a fait la connaissance de son mari alors dompteur, un ancien d’Ermenon-
« Cette aventure est d’abord une affaire de famille, puisque nos en-fants font partie de l’équipe d’ani-mation et de gestion avec laquelle nous développons plusieurs acti-vités sur ce site depuis septembre
de faire découvrir aux enfants les
équilibre, trampoline, boule, assiet-tes chinoises, diabolos, rouleaux
pratique, en prenant en compte la personnalité, le potentiel, les aspi-rations de chacun et en les aidant dans leur cheminement. »
Stages et ateliers
propose des ateliers pour les très
et demi). L’inscription s’y effectue -
motricité, la maîtrise de son corps, -
glage… lors de séances qui durent
environ une heure. Après sept ans et sans limite d’âge, les approches et les exercices sont multiples : tra-pèze, tissu, diabolo, rouleau amé-ricain, acrobatie… lors de séances
Pendant les vacances scolaires,
-tes sur réservation au cours desquel-les sont présentés un historique du monde du cirque, des ateliers, une visite de la petite ferme et un spec-tacle. Le pique-nique qui a lieu sur place constitue un temps privilégié d’échanges avec les artistes et les responsables.
Vos anniversaires et soirées privées
Le chapiteau constitue une « bul-le » idéale, parfaitement chauffée et aménagée pour organiser fêtes de famille, dîners d’affaire ou an-niversaires d’enfants (heure d’ate-
concerts et cérémonies. Si vous le souhaitez, vous pourrez aussi pro-fiter d’un spectacle « rien que pour vous » et d’un traiteur. Les comités d’entreprise trouveront également
-tations.
Les horaires 2014
Renseignements et inscriptions :28, rue des Métairies 41000 Blois (en Vienne)Tél. 02 54 56 07 27 09 64 11 90 24 06 87 36 71 07
www.ecoleblaisoiseducirque.com
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26 du LOIR-ET-CHER
LIVRES
Ce livre mêle récit littéraire et citations
aériennes contemporaines des sites ma-
original et émouvant. De « La fidélité du monde Frères humains », l’auteur nous accompagne dans une autre fa-çon de lire la guerre. Poignant.
Même les petites figurines et autres -
que des commentaires perspicaces - historiques, économiques, esthé-tiques - viennent étayer. Une belle mise en page, des photos très préci-ses se mettent au service d’une vision décalée et inattendue de la guerre.
En d’étonnants raccourcis, aussi drôles que saisissants, ce livre nous raconte l’épopée de cette guerre du point de vue de la ré-
côtoie soudain dans le florilège d’illustra-tions proposé ici. Pour suivre le déroule-
-vant redoubler d’imagination pour trouver les slogans les plus efficaces pour bien vendre la guerre. Un régal de lecture !
magnifique, vous déplierez délicate-ment - et vous lirez émus - plus de cent lettres, documents, archives,
pour l’Histoire, un ouvrage captivant et interactif. Surtout quand on sait que plus de dix milliards de lettres et cartes furent échangées pendant la durée de la guerre…
C’est tout une religion du rire, cette obsession de la phrase qui tue, du bon mot assassin, du dessin atténué ou grossi, de l’humour noir et mor-dant, qui s’étalent dans ce petit livre
tout : les poux, l’ennemi, les rats, les canons. Mais c’est aussi la vie des
le contrôle de l’information qu’il faut saisir en filigrane. Richement illustré
Et les femmes dans tout ça, me direz-vous ? Le magazine Elle dit de cet ouvrage qu’il « troue d’émotion la matière froide de l’histoire. Un ouvrage intelligentaurez une vision complète et originale
-
toutes les façons et n’obtinrent pour-tant pas le droit de vote au lendemain de l’armistice… Essentiel.
Le monde de l’édition et les auteurs sont prolixes en ces temps d’anniversaire et
de mille façons. Tous les aspects sont revi-sités (les femmes, l’éducation, les loisirs, les correspondances, les paysages, la consom-
mation…) au travers de témoignages véridi-ques ou de fictions criantes de vérité. En ce début d’année du centenaire, nous avons fait pour vous une courte sélection de ces livres qu’on dit « beaux ». Les approches sont vraiment étonnantes. Plus tard dans
des romans, écrits tout au long du siècle qui
temps…décidément inépuisable. À vous de voir, de lire et de vous laisser surprendre !
27 du LOIR-ET-CHER
Tout au long de l’année, L’Hectare – Scène conventionnée de Vendôme propose des ateliers pour s’initier ou approfondir la découverte de différentes disciplines artistiques, en compagnie d’artistes profes-sionnels : de la danse, du théâtre, du chant, de la musique, du cirque, mais aussi, des marionnettes… Des ateliers, d’une ou plusieurs séan-ces, pour toutes les sensibilités,
! et !
Des ateliers le plus souvent en lien avec des spectacles
Convaincu que la pratique artistique
spectateur, L’Hectare favorise l’or-ganisation d’ateliers en lien direct avec les spectacles accueillis par la structure, offrant ainsi un écho ap-profondi aux enseignements acquis durant les ateliers. Une dynamique impulsée par l’attribution de tarifs
! aux participants pour assister aux spectacles liés aux ate-liers.Exemple : « Futur danseur étoile ? »
L’intervention d’artistes profes-sionnels
Pour animer ces ateliers, L’Hectare -
tes professionnels : interprètes des compagnies accueillies, créateurs de spectacles (chorégraphes, met-
-couvrir de véritables univers artisti-ques. Cette exigence dans le choix des artistes intervenants reflète la volonté de L’Hectare de proposer des ateliers de qualité, mais aussi de soutenir et valoriser les acteurs culturels implantés sur le territoire.
Exemple : « Les acrobaties et le tra-
par deux circassiens du Cheptel
(41).
Des ateliers consacrés aux arts de la marionnette et au théâtre d’objet
Singularité notable, en adéqua-tion avec ses missions de Scène conventionnée par le ministère de la Culture et de pôle régional pour les arts de la marionnette et le
différents ateliers autour des tech-niques de fabrication et de mani-pulation de la marionnette.Prochain atelier : « Manipulez une
Une série d’ateliers à partager en famille !
Parce que la pratique artistique est un moment de découverte et d’échange important, L’Hectare développe une offre destinée aux
saison, cinq ateliers « Parents/En-
pour permettre aux petits comme -
tes disciplines dans un moment de complicité familiale. Afin de favo-riser cette démarche, la structure propose des tarifs attractifs sur ces
! ! par cou-ple.Prochains ateliers : « La barre classi-
acrobaties et le trapèze en famille »
Des ateliers pouvant donner lieu à des représentations publiques
Pour que le plaisir de la pratique
représentation, L’Hectare propose
parfois aux participants de réaliser des restitutions publiques de leurstravaux dans des conditions profes-sionnelles.
-
Forum ».Renseignements et inscriptions aux ateliers artistiquesL’Hectare - Scène conventionnée de Vendôme
Un week-end d’initiation à la danse classique avec le Ballet de Lorraine !
La barre classique en famille
! !
Futur danseur étoile ?
! !
Découvrez les cinq positions de base de la danse classique sous l’œil ex-pert d’un danseur du Ballet de Lorraine.
Dansez au fil du hasard! !
Orchestre de jazz éphémère
! !
Avec les musiciens du West Lines Trio (batterie / guitare / clavier).
Manipulez une marionnette à plusieurs! !
La Magouille.
Le trapèze et les acrobaties en famille
! ! par atelierAvec deux artistes de la compagnie de cirque percheronne, Le Cheptel
CALENDRIER DES ATELIERS À VENIR
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TEMPS DIVERS
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Conte chorégraphique
Concept et mise en scène : Marion Lévy
représentation supplémentaire :
Pour se protéger du loup, les petits cochons construisent des maisons, chacun la sienne et
-souciant se contentera de paille au risque de finir dans le ventre de la bête. C’est le plus âgé et le plus prévoyant qui prendra le temps de construire sa demeure en briques, rempart ef-ficace contre l’appétit du fauve mais peut-être aussi prison. Et ce loup, son existence est-elle après tout si mauvaise ? Une parabole dansée et
Marion Lévy a dansé pour Claude Brumachon, Michèle-Anne de Mey, Philippe Découflé et
-de la compagnie Didascalie. Ses deux derniers spectacles, En somme ! Dans le ven-tre du loupnational de Chaillot.
-silienne exclusivement masculine a été créée
les traits de l’homme contemporain. Fondée par Vera Lafer et composée de huit danseurs, la compagnie, dirigée par Anselmo Zolla, a pour
en dépassant les clichés. Les danseurs partici-
-tion, de virtuosité athlétique et de force.
Entre o corpo et o azul de Henrique Rodovalho place les danseurs dans un labyrinthe urbain fait de transparences colorées. Pour être peint de
moins sur les protagonistes, leurs déplacements, leurs rapprochements. Une évocation du “seul tous” des grandes villes. Dans un décor de club after hours et sur des musiques de Cole Porter, Chopin et Rachmaninoff, Tão (“tellement”) de
-mes pour évoquer toutes les inflexions de la passion, des moments les plus désespérés aux
flirte avec le sublime d’Ella Fitzerald chantant So in love.
Programme américain.
-
Merce Cunningham est l’un des précurseurs de la
il introduit deux changements radicaux : d’une part la déconnection de la danse et du rythme imposé par la musique, d’autre part l’introduc-tion du hasard dans la construction du ballet,
Fabrica-tionsenchaînements, dont la succession est détermi-née aléatoirement.
Quoique élève de Merce Cunningham, Twyla Tharp est moins radicale et appartient encore au mouvement de la danse moderne. Chorégra-phe du film Hairtechniques de danse classique et techniques de danse moderne. In the upper room, créé en
de ses œuvres maîtresses.Le CCN-Ballet de Lorraine est le descendant du Ballet Théâtre Contemporain, première compa-gnie de danse permanente décentralisée. C’est un lieu de création et de recherche. Il est dirigé
-ment travaillé avec Merce Cunningham et avec Twyla Tharp.
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MÉMOIRE
Les bibliothèques de Blois-Agglo-
vos prêts, une exposition participa-
Nous recherchons pour cela des do-cuments (livres, brochures, carnets, lettres, tracts, calendriers, petits im-
-
décorations...) en votre possession qui témoignent du quotidien, de l’en-gagement des anonymes, notamment de Blois et de ses environs, combat-tants et civils, durant les trois derniè-
Dans un premier temps, vous pourrez déposer vos souvenirs (ou une photo-
-rons aussi nous déplacer pour des volumes importants. Nous les conser-verons un mois environ pour les étu-
dier dresser un inventaire et envisager leur place dans l’exposition, puis nous vous les rendrons.
Nous vous recontacterons début sep-tembre pour confirmer le cas échéant votre participation.
-
ainsi visibles pendant les Rendez-vous de l’histoire.
-ments prêtés seront assurés après es-
provenances sera garanti.
La Médiathèque,
www.biblio.blois.fr
30 du LOIR-ET-CHER
!, www.cinefil-blois.fr
e semaine du cinéma hispanique sera résolument tournée vers l’Amérique latine, autour de deux thè-mes qui traversent actuelle-ment ce cinéma : les odys-sées terribles des migrants
-moire des années de dic-tature en Argentine au tra-vers des regards d’enfants, et au Chili dans l’engage-
-taire audacieux. Deux films évoqueront par ailleurs les inquiétantes figures du nazi Mengele traqué en Argenti-ne, et des mythiques Casa-nova et Dracula, dans une Europe fantastique.
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Cré
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Plus de renseignements au 02 54 32 35 15 ou au 02 54 71 66 64
LES CAVES MONMOUSSEAU
71 route de Vierzon41400 Montrichard
Tél. 02 54 32 35 15
[email protected] www.monmousseau.com
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EXPOSITION
Blois, Espace Culturel >portecôté
Certaines rencontres sont des retrouvailles. Elles portent le poids du passé et la légèreté
ressurgissent intacts sans que le temps ait eu la moindre prise sur l’émotion première.
Perche immuable et changeant pourtant, un homme qui peignait des wagons et des pier-
res. Sans oublier la mer. Il cro-quait aussi, parfois, le regard doux et sérieux d’une certaine petite fille…
-
mer. Les coques de bateau, en
lumière vibrante, se profilent
contrastée et, même dans une étonnante douceur, les cou-leurs s’entrechoquent et cap-tent irrésistiblement l’attention, quand ce ne sont pas des rou-ges tonitruants qui explosent sur la toile. Un océan de sensa-tions. Les mastodontes arrêtés cachent tout un peuple âpre et essentiel d’hommes au tra-vail. Les carcasses malmenées, les gestes précis, les surfaces érodées, les silhouettes lour-des s’emmêlent dans le patient ouvrage. Et le pinceau du pein-tre réinvente soudain, dans une observation amoureuse et attentive, ce que les ports ont d’humain et de profondément vivant dans leur apparente im-mobilité.
-te d’une infinie gentillesse, dont le sourire bleu et gris n’est pas sans rappeler irrésistiblement
par aNNIE hUET
Chambord, 2e étage du châteauLe Domaine national de Chambord expose le travail de Frédérique Loutz et Ernesto Castillo, artistes en résidence.
été.
Frédérique Loutz et Ernesto Castillo ont terminé cette période de création par une exposition baptisée Coup(o)les autour des thèmes de la chasse et des séries de couples fous et/ou rois.L’exposition est accompagnée de la publication d’un livre dans lequel les textes de l’écrivain ré-pondent aux œuvres de la plasticienne.
Le Domaine national de Chambord expose les œu-vres de François Weil aux abords, dans la cour et au 2e étage du château.
François Weil sculpte le marbre noir ou bleu de Belgique, le granit de Brusvily, ainsi que des pierres plus communes comme la pierre de Volvic ou l’ar-doise de Trélazé. Il organise ou assemble les blocs
-mes métalliques animés.
À travers la gravure, il change d’échelle et retrans-
crit la densité et le grain de la pierre, son poids et sa présence massive sur une chute de bois.
imaginaire, exploitation des richesses minérales, emploi du socle) et contemporain (récupérations, procédés mécaniques, défi des lois de la physi-que). La sculpture exposée démontre que le gra-nit, pierre dure et dense, peut lui aussi s’animer d’un subtil mouvement dans l’espace.
EN ATTENTE
SALON du
MARIAGE
et du PACS
1 et 2 février
de 10h00 à 18h00Entrée 2,50€
samedi dimanche
Concession Citroën
BLOIS SUD
(pont Mitterrand)
AFFICHE ABRI BUS.indd 1 04/12/2013 14:33:43
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ALL THAT JAZZ
Tout a commencé en
sont cinq chanteurs : Manon, Mayon, Melow, Mathis et Sam. Leur ami Léo, ingénieur du son,
plupart sont issus du conservatoire et ont
Sam, dit « waxybox », est un Human-beatboxer autodidacte. C’est lui qui fait les rythmes et certains instruments. Mathis côtoie le chant
-duire plusieurs voix en même temps, de faire du chant polyphonique au moyen d’une seule voix. Ils définissent leur musique par un terme : « Vocal Trip Box ». Ils s’inspirent de plusieurs styles musicaux et le résultat est surprenant, frais, des plus original.
cinq ils envahissent un lieu et transmettent leur
Ommm ALL THAT JAZZ / LES LOBIS 2013/2014
12 AV. MAUNOURY - BLOIS / 02 54 44 41 80BILLETTERIE : LES LOBIS - OFFICE DU TOURISME - RÉSEAU FNAC - TICKETNET
www.allthatjazz.fr
VENDREDI
EN CONCERT
24 JANVIER21H00
LICENCE 3-1051589
crédit : droit réservé
100% VOCAL
Manoir de Clénord
énergie aussi par la danse. C’est un vrai spectacle qui se déroule sous nos yeux. Pour le plaisir des oreilles, ce groupe n’utilise que