s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C ,...

15
1 Notice sur quelques arguments relatifs au réchauffement climatique anthropique et sur les slides de R. Giraudon http://blog.arnaud-p.fr/le-rechauffement-climatique/ propose un commentaire raisonnable sur ces slides mais n'a pas corrigé quelques points ennuyeux. Le présent travail voudrait permettre de prévenir la répétition des mêmes arguments par les mêmes "sauveurs du climat". Les erreurs de R. Giraudon sur quelques points ont donné à F.M. Bréon et V. Masson-Delmotte (ci-dessous FMB, VMD) l'impression de pouvoir vaincre et convaincre facilement en prenant un ton supérieur. Mais l'analyse ligne à ligne montre que FMB & VMD n'ont que des arguments sans valeur. Je crois donc utile de les exposer pourque l'on évite de donner à leurs auteurs l'occasion de les répéter en boucle, comme déjà vu dans la critique des 22 vérités de J.P. Bardinet, là sous la plume de MM. Poitou et Bréon. http://www.climat-optimistes.com/wp-content/uploads/2015/06/22-v%C3%A9rit %C3%A9s.pdf. J'espère que ce travail sera utile. En vert gras les textes de FMB & VMD. **************** slide 4/90 FMB & VMD réchauffement particulièrement marqué sur les 30 dernières années non pas vraiment ! Un saut de 0,3°C lors du grand El Nino et deux éruptions volcaniques (graphique à actualiser en ajoutant fin 2015); rien de plus ! Série RSS-MSU des anomalies mensuelles (ou écart à leur valeur moyennée sur trente années) des températures de la basse troposphère de janvier 1979 à début 2015. http://data.remss.com/msu/monthly_time_series/ RSS_Monthly_MSU_AMSU_Channel_TLT_Anomalies_Land_and_Ocean_v03_3.txt Les maxima de la courbe bleue des anomalies des températures correspondent aux El Niño et à leurs "téléconnexions" ; les mois à El Niño, repérés par les traits rouge sombre, correspondent ici à un dépassement de 1°C de l'anomalie de température de la zone dite Niño 3-4 au milieu du Pacifique équatorial. L'indice des poussières volcaniques, qui, après des explosions très puissantes, restent longtemps dans la stratosphère des hautes latitudes est représenté en noir ici sous la forme (0,8 - 2 fois l'indice). Les teneurs de l'air en CO 2 , en orange, sont passées de 335 ppm, fin 1978, à 403 ppm en avril 2015. Approximation linéaire de l'anomalie des températures: 0,029 °C + 0,007 (t- 1997) avant janvier 1997 (à +0,7°C/siècle), et de janvier 1997 à septembre 2014 0,24 °C - 0,0006 (t-1997) Moyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C

Transcript of s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C ,...

Page 1: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

1

Notice sur quelques arguments relatifs au réchauffement climatique anthropique et sur les slides de R. Giraudon

http://blog.arnaud-p.fr/le-rechauffement-climatique/ propose un commentaire raisonnable sur ces slides mais n'a pas corrigé quelques points ennuyeux. Le présent travail voudrait permettre de prévenir la répétition des mêmes arguments par les mêmes "sauveurs du climat". Les erreurs de R. Giraudon sur quelques points ont donné à F.M. Bréon et V. Masson-Delmotte (ci-dessous FMB, VMD) l'impression de pouvoir vaincre et convaincre facilement en prenant un ton supérieur.Mais l'analyse ligne à ligne montre que FMB & VMD n'ont que des arguments sans valeur. Je crois donc utile de les exposer pourque l'on évite de donner à leurs auteurs l'occasion de les répéter en boucle, comme déjà vu dans la critique des 22 vérités de J.P. Bardinet, là sous la plume de MM. Poitou et Bréon.http://www.climat-optimistes.com/wp-content/uploads/2015/06/22-v%C3%A9rit%C3%A9s.pdf.J'espère que ce travail sera utile. En vert gras les textes de FMB & VMD.

****************slide 4/90 FMB & VMD réchauffement particulièrement marqué sur les 30 dernières annéesnon pas vraiment ! Un saut de 0,3°C lors du grand El Nino et deux éruptions volcaniques (graphique à actualiser en ajoutant fin 2015); rien de plus !Série RSS-MSU des anomalies mensuelles (ou écart à leur valeur moyennée sur trente années) des températures de la basse troposphère de janvier 1979 à début 2015. http://data.remss.com/msu/monthly_time_series/RSS_Monthly_MSU_AMSU_Channel_TLT_Anomalies_Land_and_Ocean_v03_3.txtLes maxima de la courbe bleue des anomalies des températures correspondent aux El Niño et à leurs "téléconnexions" ; les mois à El Niño, repérés par les traits rouge sombre, correspondent ici à un dépassement de 1°C de l'anomalie de température de la zone dite Niño 3-4 au milieu du Pacifique équatorial.L'indice des poussières volcaniques, qui, après des explosions très puissantes, restent longtemps dans la stratosphère des hautes latitudes est représenté en noir ici sous la forme (0,8 - 2 fois l'indice).Les teneurs de l'air en CO2, en orange, sont passées de 335 ppm, fin 1978, à 403 ppm en avril 2015.Approximation linéaire de l'anomalie des températures: 0,029 °C + 0,007 (t- 1997) avant janvier 1997 (à +0,7°C/siècle), et de janvier 1997 à septembre 2014 0,24 °C - 0,0006 (t-1997)Moyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C

slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus chaude et 4 fois plus de CO2 en fait une température plus forte amène un dégazage ! Le flux entre air et océans (indice w pour water) est

Le sens du flux F dépend des pressions partielles dans l'eau (indice w) et dans l'air (indice a); pCO2air est déterminée par la teneur de l'air en CO2 assez homogène à quelques pour cent près en fonction de l'altitude et des coordonnées géographiques; pCO2water est essentiellement fonction de la température de l'eau puisque les constantes des équilibres chimiques dits des carbonates entre les ions carbonate, bicarbonate et l'acide carbonique ou CO2 hydraté

Page 2: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

2

dépendent fortement des températures et aussi de la salinité, comme le montre le tableau suivant obtenu par la calculette de http://biocycle.atmos.colostate.edu/shiny/carbonate/

Température °C 30 19.4 16 5.1 0Salinité per mil 34.78 34.78 34.78 34.78 34.78Alcalinité µ eq/kg 2311 2311 2311 2311 2311DICµmol/kg 2002 2002 2002 2002 2002pH 7.987 8.147 8.2 8.374 8.452pCO2 water ppmv 465.7 303.7 263.5 163.8 130.5CO2 aq µmol/kg 11.7 9.987 9.556 8.483 8.181HCO3 µmol/kg 1769 1774 1776 1782 1784CO3 µmol/kg 221.6 217.7 216.2 211 209.9Sursaturation de la calcite 5.4 5.2 5.2 5 5Sursaturation Aragonite 3.6 3.4 3.3 3.2 3.2"facteur de Revelle 9.4 9.6 9.6 9.7 9.7

pCO2water varie entre 466 ppm (à 30°C) et 130 ppm (à 0°C) !

Le rapport (1/K0) entre fugacité du CO2 gazeux et [CO2] dans l'eau dépend de la température selon la loi de Henry [CO2] en mole/kg et va de 1/0,025 = 40 à 30°C à 1/0,062 = 16 à 0°C Vérifier que 40 x 11.7 et 16 x 8.2 donnent les bons ordres de grandeur !

slide 13/90 FMB & VMD Royer Nature 2007 échelle de plusieurs millions d'années confirme les estimations de la sensibilité du climat +3°C pour un doublement des ppm.. le CO2 a joué un rôle majeur pour le climat pendant le dernier milliard d'années ...hypothèses implicites: il existe un effet de serre avec son extraordinaire amplification par la vapeur d'eau ! C'est tout simplement faux car la vapeur d'eau régule, pilote et n'amplifie pas ! Les baisses de température signalées aux époques géologiques correspondent en réalité au passage du système solaire dans les bras de la galaxie (plus de rayons cosmiques, plus de nuages bas) et aux variations de la pression atmosphérique (enfouissement progressif d'une partie de l'azote et du carbone)

slide 16/90 FMB & VMD Le texte semble indiquer que ce sont les pluies abondantes qui ont conduit à la montée du niveau des eaux [mers] Je pense que le géologue Giraudon sait que l'eau doit être évaporée avant de retomber en pluie.Il n'y a que dans la Bible que Dieu provoque un déluge en créant de l'eau de pluie à partir de rien, sans évaporation !

Page 3: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

3

slide 17/90 FMB & VMD La remontée de pluies de mousson ... Sahara vert Figure A-11) Figure 7.5 du rapport IPCC GIEC de 1990 (FAR, first assessment report) Optimum climatique holocène a) écart des températures d'été par rapport aux valeurs "modernes"

b) écart des précipitations, en mm/an par rapport aux valeurs "modernes" sources: Borzenkova and Zubakov, 1984; Budyko and Izrael, 1987

Marcel Leroux ( § 11-3-2 du manuel la dynamique du temps et du climat) explique que l'Anticyclone des Açores étant bien moins fort on avait aussi plus de précipitations venant de l'Atlantique immédiatement au sud du Maghreb.

slide 19/90 FMB & VMD Le Groenland ... R. Giraudon a eu une rédaction malheureuse en laissant entendre que la "Terre Verte" pouvait concerner toute l'île. L'expression "accélération du réchauffement depuis 1980" est aussi fort malheureuse (voir ci-dessus sur 4/90)Les traces archéologiques au Groenland des Vikings suggèrent que l'élevage et l'agriculture étaient alors possibles au sud de l'île. Voir : Charly Massa L’implantation médiévale scandinave de la côte sud-ouest du Groenland comme la limite du modèle agro-pastoral importé d’Europe du nord : Implications paléoenvironnementales http://revuesshs.u-bourgogne.fr/lisit491/document.php?id=627 Sciences Humaines Combinées [en ligne], Numéro 5 - Limite/Limites, 5 mars 2010slides 20, 21, 22, 23/90 R. Giraudon a eu une rédaction très malheureuse et FMB & VMD ressortent les plats de spaghettis ! je propose la figure suivante Figure A-9) 1 Reconstruction des températures extratropicales de l'hémisphère nord en °C, en écart à la moyenne de la période 1880-1960. Les courbes minces sont les valeurs annuelles, et la courbe lissée (en rouge) une moyenne mobile sur 5 ans, avec en tiretés les quantiles à 2,5% de probabilité. La courbe verte montre la température extratropicale annuelle moyenne observée avec des thermomètres. La courbe jaune donne la moyenne des températures sur les seules cellules de 5° de longitude et de latitude qui ont au moins un marqueur

source: Christiansen & Ljundqvist; 2012, figure 5 de http://www.clim-past.net/8/765/212/cp-8-765-212.pdf

1 En réalité l'optimum médiéval vers l'an mil aurait été un peu plus chaud que l'optimum contemporain (voir http://www.clim-past.net/8/765/2012/cp-8-765-2012.pdf et http://www.climateaudit.info/pdf/multiproxy/shi_2013.pdf)

Page 4: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

4

slide 26/90 FMB & VMD enlever les El Nino sur 1980-2015 ... La courbe rouge est à +1,5°C/siècle (pas +2°C/siècle) soit, sur 35 ans, seulement le saut du El Nino (+0,3°C) et les creux des deux éruptions en début de période .. tout l'art (ou l'artifice) de la "démonstration proposée" est dans la soustraction des El Nino !

slide 27/90 et 29/90 R. Giraudon a comme d'autres géologues des difficultés avec l'effet de serre et écrit ... des choses très très contestables; son diagramme 29/90 est indéfendable et reproduit les pires âneries28/90 FMB & VMD écrivent des choses à peu près justes 33 et 33/90 idem l'emploi du PRG sans plus d'explication est fort malheureux mais part de l'idée d'exploiter directement les absurdités IPCC-esque pour faire une démonstration par l'absurde (idée à creuser)40 et 41/90 idem même si ce calcul de la page 40 illustre le mécanisme proposé par l'IPCC appliqué sans vergogne par l'IPCC et par les réglementations de nos pays à tous les gaz trace ... sauf la vapeur d'eauon peut dire que R. Giraudon propose une forme de démonstration par l'absurde

41/90 FMB & VMD la contribution du CO2 à l'effet de serre ...

slide 44/90 R. Giraudon a oublié de regarder les spectres en épaisseur optique qui ne sont jamais montrés !il a raison au fond mais son argument est mauvais; on peut dire que .. la vapeur d'eau rayonne sur un spectre "8 fois" plus large que celui du CO2 ou qu'elle représente 90% de l'absorption par l'air du rayonnement de la surface et 90% du rayonnement de l'air vers le cosmos (195 W/m² / 215 W/m² ) Figure 6-G) déjà vue comme figure 3-E) H2O en bleu et CO2 en rouge: épaisseur optique sur le spectre de l'infrarouge thermique; l'ozone O3 surtout stratosphérique n'est pas représentée; les émissions de corps noir à 288 K et 255 K sont représentées en jaune et en noir en mW/m²/cm-1

slide 45/90 FMB & VMD le transfert radiatif ... les calculs CO2 25% et H2O 60% FMB part là de calculs fondés sur la grandeur GH = "rayonnement de la surface mois rayonnement vers le cosmos" qui est aussi "flux de la surface absorbé par l'air moins flux de l'air rayonné vers le cosmos"cette quantité est dépourvue de tout sens physique en transfert de chaleur (voir comprendre vraiment l'effet de serre; GH est l'un des cinq contresens physiques !)

slide 53/90 : les 26 à 29 Gt-C correspondraient à des émissions venant de combustibles fossiles de 5 Gt- C à 6 Gt-C (2,3 ppm à 2,8 ppm) pour une durée de vie de 5 ans soit respectivement ce qui a été brûlé en 1983 et en 1989R. Giraudon semble oublier qu'on avait 343 et 353 ppm en moyenne Mauna Loa ces années là.

54/90 FMB & VMD les activités humaines ajoutent chaque année 1% au CO2 de l'atmosphère 1% de 350 = 3,5 ppm > 2,8 ppm ! L'augmentation annuelle depuis 2000 est en moyenne de 2 ppm/an. La fable de l'accumulation du CO2 anthropique dans l'air bute sur la durée de vie de 4 à 5 ans; il sort presqu'autant de CO2 anthropique qu'il en rentre ! Et si la partie anthropique dans l'air a augmenté de 5 ppm en 1958 à 25 ppm en 2015 c'est parce que les émissions anthropiques ont crû à 2% par an ou un peu plus !Ce n'est pas du CO2 anthropique qui explique le gros de l'augmentation de 315 ppm à 400 ppm (2015) mais la température qui chaque année a provoqué un dégazage naturel renouvelé et cumulatif la relation dy/dt + y/v = dégazage(t) ou dy/dt = a T(t) + b vaut pour y quantité de CO2 naturel dans l'air

Page 5: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

5

54/90 FMB & VMD ces calculs permettent d'affirmer que l'effet de serre augmente de façon significative avec la variation du CO2si on ignore la dynamique de la vapeur d'eau que ces calculs supposent constante ou à humidité relative constante. En réalité le 1% supérieur de la vapeur d'eau qui rayonne vers le cosmos assure la constance globale du rayonnement vers le cosmos comme observé sur 40 ans d'observations 1974-2013Figure 11-A) Recueil des observations satellitaires du rayonnement infrarouge thermique du globe de 1974 à 2014, mois par mois; quelques lacunes et points "aberrants" dans cette série de mesures venant de plusieurs satellites http://climexp.knmi.nl/data/inoaa_olr_ 0-360E_-90-90N_n.dat 333 ppm en 1974 et 398 ppm en 2013

57/90 FMB & VMD exposent leur credo Les activités humaines 7 Gt-C/an dans l'atmosphère augmentation de la concentration atmosphérique directement comparable à ces émissions en 2015 10 Gt-C contre 7 Gt-C en 2000; l'augmentation de la concentration atmosphérique stable comme les températures (+40 ppm de 1995 à 2015) à 2 ppm/an alors que les émissions sont passées de 6,4 Gt-C/an à 10 Gt-C/an (de 3 ppm à 4,7 ppm) soit +56 % ! Et FMB & VMD supposent que le CO2 anthropique reste perpétuellement dans l'air alors qu'il a une durée de vie de cinq ans; ils ignorent tout bonnement les 200 Gt-C dégazés naturellement et les 202 Gt-C ou un peu plus absorbés chaque année !slide 57/90 avec la rétroaction à la vapeur d'eau augmentation des températures comparable à ce qui est observé températures stables (en tendance linéaire ! ) depuis 1996la rétroaction amplificatrice à la vapeur d'eau est un mythe ; au contraire elle efface l'effet "plus haut plus froid " attribué au rayonnement du CO2 troposphérique vers le cosmos !slide 57/90 refroidissement de la stratosphère pour la basse stratosphère les refroidissements suivent les réchauffements par les poussières volcaniques bien visibles du El Chichon et du Pinatubo ce qui dément les fables souvent répétées sur les effets d'une augmentation du dioxyde de carbone qui devraient être continus et progressifs et démontreraient, nous dit-on, "l'existence de l'effet de serre" !Figure 11-P) Températures de la basse stratosphère source: http://www.nsstc.uah.edu/data/msu/t4/uahncdc_ls_ 5.6.txten orange (ppmMauna Loa -335) / 50) de 335 ppm à 400 ppm en noir indice des poussières stratosphériques

1980 1985 1990 1995 2000 2005 2010 2015

0.5

0.0

0.5

1.0

1.5

année

anom

alie

deste

mpé

ratur

es°C

températures basse stratosphère global 121978 à 82014

Page 6: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

6

slide 59/90 FMB & VMD on sait maintenant que seule la moitié de ce CO2 émis du fait des activités humaines reste dans l'atmosphère pendant plusieurs centaines d'années c'est une hénaurmité puisque chaque année 1/4 ou 1/5 du CO2 de l'air est absorbé !

slide 60/90 FMB & VMD Arrhenius pensait que la combustion du charbon favoriserait l'agriculture c'est bien ce qu'écrit James Hansen James Hansen, Pushker Kharecha and Makiko Sato Climate forcing growth rates: doubling down on our Faustian bargain 2012 Environ. Res. Lett. 7 044035 Full text PDF (631 KB) " Un mécanisme par lequel les émissions des combustibles fossiles augmentent l'absorption du carbone est la fertilisation de la biosphère à laquelle ils apportent les aliments essentiels pour la construction de la matière végétale surtout l'azote qui joue un rôle critique dans le pilotage de la productivité primaire nette et est un facteur limitant pour bien des écosystèmes (Gruber and Galloway 2008). La modélisation (e.g., Thornton et al 2009) et les études de terrain (Magnani et al 2007) confirment le rôle majeur des dépôts d'azote qui de concert avec la fertilisation par le CO2 causent une très considérable augmentation de la productivité primaire nette des forêts tempérées et boréales. Les aérosols sulfatés venant de la combustion du charbon peuvent aussi augmenter l'absorption du carbone par la végétation en augmentant la part relative de l'insolation diffuse [par rapport à l'insolation directe] etc." James Hansen entend ainsi expliquer que +56% sur les émissions anthropiques (1995-2015) soient sans effet sur la croissance du dioxyde de carbone de l'air sur 12 mois restée en moyenne constante vers 2 ppm/an sur cette période, voire légèrement décroissante selon Francey et al. !

slide 64/90 FMB & VMD mesures du CO2 non maîtrisée au 19ème siècleLes mesures par dosage par voie chimique sont très correctes; E. G. Beck signale quelques rares erreurs de manipulation mais elles sont assez rares (lessivage ou séchage préalable de l'air par H2SO4 (?)... je ne sais plus); par contre la très grande variabilité des lieux et des temps vient de ce que les intérêts des auteurs de ces mesures physiologistes, météorologistes, agronomes et forestiers .... étaient divers et ne demandaient pas des séries très longues en extérieur et par grand vent; il y en a cependant quelques-unes (en bord de mer) permises par une certaine automatisation des mesures dans les années 1940

slide 66/90 de RG l'alignement par le GIEC et ses auteurs de la crosse de hockey sur le CO2 est parfaitement illustré par RG ... qui a oublié de mentionner que la crosse de hockey est une fraude

slide 67/90 FMB & VMD c'est bien la compréhension des phénomènes physiques, transfert radiatif et effet de serre, qui a permis cette attribution du réchauffement observéNous voici au cœur de la religion climatique telle qu'explicitée par Poitou et Bréon dans leurs commentaires sur les 22 vérités de J.P. Bardinet; ça mérite donc une analyse mot par mot a) le transfert radiatif est une méthode de calcul; pas plus que pour la règle de trois, son emploi ne préjuge de ce que la physique sous-jacente est correctement appréhendée; le transfert radiatif permet de calculer des flux radiatifs lorsque les profils de température, d'humidité et de densité d'autres gaz-traces en fonction de l'altitude sont donnés; ça ne préjuge en rien que les paramètres pris pour faire le calcul sont corrects: exemple 1: le coefficient de noirceur ou émissivité de l'eau de mer en infrarouge lointain est bien moindre que ce qui a été admis (on a attendu 2013 pour s'en apercevoir ! en partie parce qu'on ne savait pas mesurer aux fréquences TeraHertz); cette grosse correction diminue de 10% ou plus le rayonnement moyen de la surface du globe, à 71% des surfaces océaniques, et donc tous les schémas de rayonnement des manuels surestiment de 40 W/m² les 390 W/m² qu'ils supposent rayonnés par la surface ! (surface prise très abusivement comme corps noir vers 15°C !)exemple 2: on fait des calculs avant et après un doublement" instantané" des ppm de CO2 en oubliant que ça prendrait 200 ans alors que la vapeur d'eau régule en quelques heures le rayonnement du globe vers le cosmos; la question (physique) de la réaction immédiate de la vapeur d'eau dans la couche (200 mbar à 400 mbar) où se trouve le CO2 qui depuis la troposphère rayonne vers le cosmos (sur deux très petits intervalles de fréquences optiques) n'est jamais abordée; on suppose la teneur en vapeur d'eau inchangée ou pire l'humidité relative inchangée .. pendant 200 ans !!! b) "l'effet-de-serre" est un mythe! Il y en a des dizaines de définitions différentes toutes absurdes par rapport à la physique et relevant d'un des cinq contre-sens physiques explicités par Michel Wohrer . La réalité est que le profil des températures de la troposphère est une conséquence élémentaire de la gravitation et de la vapeur d'eau, ou de façon parfaitement équivalente, d'une relation polytropique entre température et pression bien vérifiée et sur Terre et sur Vénus !On peut donc corriger l'assertion de FMB & VMD en C'est bien l'incompréhension des phénomènes physiques et la fabrication d'une pseudo-physique radiative qui a permis de relier réchauffement et CO2 ! Les observations montrent d'ailleurs que la teneur de l'air en CO2 notée [CO2](t) suit les températures dans le temps et ne peut en être la cause comme le montre la relation d[CO2](t)/dt = a T(t) + b

Page 7: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

7

slide 70/90 FMB & VMD la courbe du haut [ de feu E.G. Beck, www.realCO2.de] est basée sur des mesures en ville Elle inclut les mesures de forestiers et de météorologistes à la campagne et en bord de mer

slide 70/90 FMB & VMD l'ordre de grandeur des variations de CO2 est simplement absurde La calculette de http://biocycle.atmos.colostate.edu/shiny/carbonate/ montre que entre air et océans absorption et dégazage dépendent des températures:

Température °C 30 19.4 16 5.1 0Salinité per mil 34.78 34.78 34.78 34.78 34.78Alcalinité µ eq/kg 2311 2311 2311 2311 2311DICµmol/kg 2002 2002 2002 2002 2002pCO2 ppmv 465.7 303.7 263.5 163.8 130.5

si l'air est à 303 ppm le flux est "air vers surface" en dessous de 19,4°C et "océan vers air" au dessus; ce flux dépend aussi du cube de la vitesse du vent. On peut faire varier le DIC (carbone inorganique dissous) selon l'activité du phytoplancton et ce n'est là qu'un cas particulier, mais instructif.

La relation d[CO2](t)/dt = a T(t) + b reflète donc en grande partie la loi de Henry du dégazage du gaz dissous dans l'eau, qui ne représente que 1% des ions carbonate et bicarbonate dans l'eau de mer. La disparition de 80 ppm entre 1940 et 1950 du CO2 est certes bien difficile à croire; l'absorption par les plantes aurait pu se poursuivre quelques années "plein pot" alors que les températures baissaient et que l'océan absorbait de plus en plus. Ce point n'a pas été étudié en détail; seulement un ou deux paragraphes surhttp://hidethedecline.eu/pages/posts/co2-carbon-dioxide-concentration-history-of-71.phphttp://hidethedecline.eu/pages/posts/co2-carbon-dioxide-concentration-in-the-oceans-72.phpEG Beck a publié un graphique qui remplace celui pris par R. Giraudon qui vient d'une première publication

slide 70/90 FMB & VMD les flux de CO2 nécessaires pour produire de telles variations pendant les années 1940 dix fois la production industrielle de l'année 2008- 80 ppm en 10 ans ou -16 Gt-C/an suppose un déséquilibre entre fdégazé et f absorbé (160 Gt-C chacun) de l'ordre de 10% ; ça supposerait une panne du dégazage océanique alors que la végétation continuait sur sa lancée pendant quelques années jusqu'à ce qu'il n'y ait plus assez de CO2 dans l'air pour satisfaire son appétit ... Mais il est symptomatique que pour FMB et VMD ces 160 à 200 Gt-C par an n'existent pas ! Ils ne veulent connaître que et rien que les quelques Gt-C de la production industrielle, en oubliant les océans et la végétation !

slide 72/90 FMB & VMD à quelles mesures historiques l'auteur fait référenceFMB et VMD font semblant de n'avoir jamais entendu parler du hockey stick reproduit à la slide 70/90 de RG qui aurait dû écrire: "hockey stick grosse et kolossale fraude du rapport IPCC GIEC AR3 de 2001 !"

Page 8: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

8

slide 72/90 FMB & VMD ... il note une certain corrélation entre les deux courbes mais les deux courbes de la slide 69/90 sont toutes deux inutilisables: le hockey stick des températures pour cause de fraude et le CO2 tiré des glaces pour cause de lissage temporel sur 1000 ans et plus et de non prise en compte de la perte de CO2 lors de la fermeture finale des pores du névé très comprimé vers 5 à 10 bar.Par contre la relation d[CO2](t)/dt = a T(t) + b et la variation de la pression partielle de CO2 dans l'eau en fonction des températures (tableau ci-dessus) ne relèvent pas "d'une certaine corrélation". Les tests sur les séries temporelles n'autorisent de corrélation qu'entre la dérivée d[CO2](t)/dt et les températures

slide 75/90 FMB & VMD ... quelle est la cause naturelle de ce réchauffement ? Il ne l'a pas évoquée Effectivement RG a oublié de montrer les cycles naturels de 1000 ans, 215 ans et 60 ans et les El Nino

slide 75/90 FMB & VMD ... affirmer que le CO2 n'a pas d'effet significatif sur l'effet de serre montre une méconnaissance du transfert radiatif atmosphériqueComme déjà dit le transfert radiatif est une méthode de calcul qui ne préjuge en rien de la validité des hypothèses mises en entrée du calcul.. or les hypothèses utilisées par les réchauffistes ignorent totalement le rôle rapide de la vapeur d'eau qui égalise et régule le rayonnement du globe vers le cosmos et efface en quelques heures ou quelques jours tout effet des changements très minimes du rayonnement du CO2 troposphérique

slide 75/90 FMB & VMD ... on sort de la variabilité naturelle depuis environ 30 ans Pas de chance ! Pour justifier la pause ou le hiatus (1997-2015) l'IPCC-GIEC a ressorti la variabilité climatique évidente sur l'approximation "heuristique" suivanteFigure 11-O) Série HadCRU T3 des "anomalies" des températures mensuelles depuis 1850 et approximation par des cycles des 60 ans, 210 ans et 1000 ans. Nota Bene: cette approximation n'a qu'une valeur "heuristique" parce que 164 ans de données ne permettent évidemment pas de recaler de façon sûre les cycles "séculaires" de 1000 ans et de 210 ans

1850 1900 1950 2000 2050 2100 1.0

0.5

0.0

0.5

série mensuelle anomalie en °C HadCRUT3 2013

slide 75/90 FMB & VMD ... on démontre que c'est bien l'effet de serre qui en est le moteur [du réchauffement]Non c'est la variation de l'insolation et de la couverture nuageuse et de la densité d'aérosols

slide 75/90 FMB & VMD ... on démontre que les variations de CO2 actuelles sont anthropiques ... composition en 13C Les rapports isotopiques confirment qu'il n'y a que 5% ou 6% de carbone anthropique dans l'air

6% (-28 pm) +94% (-7,1 pm) = (-8,35 pm) ce qui est observéLe GIEC affirme page 10 § B.5 troisième paragraphe du résumé pour décideurs: "Parmi ces émissions anthropiques cumulées de CO2, 240 [230 à 250] Gt-C se sont accumulées dans l’atmosphère".Comme (240 / 840) = 28% et comme 28% (-28 pm) + 72% (-7 pm) = -13 pm, bien différent des (-8,35 pm) observés, l'affirmation de l'IPCC 2013 est grossièrement inexacte.Le gros de la croissance des ppm est naturel et ces ppm naturels sont passé de 310 ppm en 1958 à 375 ppm en 2015 en conséquence des cycles naturels des températures.

Page 9: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

9

slide 75/90 FMB & VMD ... le CO2 une des deux rétroactions clés à l'échelle des glaciations avec l'albédo... comme le démontrent les simulations de climats glaciairesLes calculs de O.G. Sorokhtin montrent que l'on n'a nul besoin du CO2 pour retracer les cycles glaciaires et interglaciaires (ci-dessous paragraphe recopié d'un autre texte)7-5-1) Résultat de O. G. SorokhtinCommençons par les résultats du calcul2. La figure suivante compare les observations des températures isotopiques (deutérium, supposé représenter la température au point d'évaporation) à Vostok (Antarctique) et des températures calculées avec(1) les effets de la variation de l'obliquité de l'axe de rotation sous l'effet de la Lune qui "tire" sur le bourrelet équatorial (phase longue de glaciation) puis sur les inlandsis de l'hémisphère nord (phase rapide de déglaciation), (2) et (3) les contributions aux températures des cycles de "22000" et de 41000 ans de Milankovitch et (4) la résultante de ces effets.La plage des variations de l'inclinaison est ici assez supérieure à celle admise par les astronomes qui ignorent l'effet de la Lune sur les inlandsis, avec parfois cette justification que l'ajustement isostatique du manteau terrestre assurerait une égalisation rapide des masses; or les inlandsis (hors Antarctique et Groenland) sont établis et détruits en quelques milliers d'années comme vu sur les courbes donnant les volumes de glace. [7-5-1] Observations du deltaD à Vostok et calcul de O. G. Sorokhtin avec une variation sensible de l'obliquité

La partie correspondante de la courbe L&R 2004 est donc "visuellement" bien approchée.[7-5-2] δ18Ocalcite SMOW des foraminifères (L & R, 2004) pour les derniers 450 000 ans

2 Sorokhtin O. G., G. V.Chilingar, L. F. Khilyuk Global Warming and Global Cooling Evolution of the Climate of the Earth, Elsevier 2007, 313 pages Sorokhtin O. G Jizn ziemli (la vie de la Terre) (en russe) (académie russe des sciences naturelles, institut kompiuternixh issledovanii) 2007, 450 pages

Page 10: s302ca8b5be4c8f20.jimcontent.com · Web viewoyenne sur (jan. 1979- fin 1996) de - 0,036°C , moyenne de toute la série 0,1°C. slide 12/90 FMB & VMD il y 50 M années Terre plus

10

Le delta18O des océans et le deltaD de Vostok présentent quelques différences. Une simulation informatique ne peut rien "démontrer" sans un audit approfondi des input et des paramétrages. Ce n'est qu'un indice.

slides78/90 et 79/90 Les preuves sont réunies sans ambiguïté», a affirmé le représentant de l'ONU lors de la présentation du rapportIl aurait mieux valu citer Pachauri (Himalaya-gate) et les mails du climategate

slides 80/90 l'idée d'employer les PRG serait à creuser ... mais je crains que RG n'ai commis quelques erreurs

slide 89/90 Je suggère de rappeler que grâce à sa créativité et à l'énergie bon marché des combustibles fossiles ou nucléaires, l'homme a, quand il en a eu les moyens, c'est à dire depuis la révolution industrielle améliorer en permanence son environnement: le charbon anglais a permis le reboisement de l'Angleterre qui a retrouvé une surface de forêts comparable à celle enregistrée dans le domesday book de 1086.Le progrès technique et la hausse du PIB par tête a permis à Singapour de réaliser (en principe) un cycle fermé de l'eau potable et domestique du robinet à la station d'épuration et retour au robinet https://en.wikipedia.org/wiki/Water_supply_and_sanitation_in_Singapore

********Les slogans écologistes repris par RG slide 89 sont très très contestables et il y a, pour les sujets mentionné, un correctif permis par les progrès de la technique industrielle ou agricoleépuisement des ressources halieutiques = développement de l'élevage des poissons et des crustacésdéforestations, croissantes dans certains pays du sud = rendre l'énergie et les engrais moins cher (le prix de l'ammoniaque est celui du méthane employé à sa fabrication) et surtout cesser de faire la promotion onéreuse et subventionnée des carburants écologiques "bio" la pollution des océans de nos rivières et de nos nappes phréatiques = RG doit faire allusion aux nitrates qui sont un bienfait pour tous et pour les hommes et pour la végétation; ces supposées "pollution" s'avèrent souvent inexistantes

La pollution à Londres le smog a disparu grâce à l'électricité et au gaz; les Chinois s'occupent (ils sont assez riches maintenant pour s'en occuper) de leur smog qui n'a rien à voir avec le CO2 mais vient de toutes sortes de poussières dont celles soulevées par le vent sur les surfaces nues de la campagne.

La meilleure façon de pouvoir consacrer plus d'argent aux paysages est de faire croître le PIB par tête !

Il faut conclure en rappelant que le réchauffement climatique n'est que la suite d'une longue série d'impostures "écologistes"1964 les effets supposés du DDT sur les coquille d'œuf ==> interdiction du DDT et des dizaines de millions de morts de la malaria 1974 (?) annonce du manque d'eau pour 1990 par Dumont candidat écolo == il pleut toujours autant

1980 les pluies acides et la disparition des forêts européennes avant 1990 == bobard fabriqué de toutes pièces l'acide nitrique débarrasse les arbres de leurs parasites; les émanations d'acide sulfuriques sont de mieux en mieux traités (dé-soufrage à Lacq, dé-soufrage des carburants et en sortie des centrales thermiques) 1983 le trou d'ozone attribué au CFC == en réalité, c'est la conséquence d'un phénomène météorologique repéré bien avant l'invention des CFC et qui perdure depuis leur interdiction il y a trente ans

1965-1975-1985-1988 les progrès de l'imposture du réchauffement climatique attribué au CO2 anthropique1965 le dioxyde de carbone cette pollution invisible annexe d'un document publié par la Maison Blanche 1975 mise au point des fables radiatives et des fables du cycle du carbone (St Schneider, R. Manabe)1985 promulgation de ces fables à la conférence de Villach sponsorisée par l'ONU ; les actes de cette conférence seront repris et amplifiés par les rapports de l'IPCC-GIEC fondé en 19881988 témoignage de James Hansen devant le sénat US à l'invitation de Al Gore et TimWirth

xx les impostures sur les nitrates et les algues vertesxx les impostures sur les particules fines