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REMERCIEMENTCe travail de mémoire est une œuvre scientifique
produite pour habiller tout un parcours d’étude universitaire en informatique de gestion tel que prévu par le programme d’enseignement universitaire protestante de Lubumbashi (UPL) en sigle des données collectés sur terrains, notre étude a été réaliser avec l’intervention des plusieurs acteurs du domaine informatique des collaborateurs intéressés par notre science.
Ainsi, nous avons l’honneur de présenter nos sentiments les plus distingués et surtout de gratitude à mon Dieu tout puissant pour sa grâce et son assistance tout au long de notre cursus académique.
Nos remerciements s’adressent aux autorités académique pour leur encadrement, et plus particulièrement a Monsieur mon Directeur et doyen de faculté des sciences informatiques ingénieur et master monsieur BLAISE MWEPU FIAMA, Qui en dépit de ses multiples occupations tant professionnel, à accepter la direction de ce travail, nos remerciements vont tout droit à Monsieur Philipe NKAYA.
Mes sincères remerciements s’adressent également à mes parents KAYOLE Pierre et Amisi MUCHAPA pour leur soutien tant matérielles et financiers ,Nous ne pouvons pas passer inaperçu sans pourtant remercier aussi mes frères et sœurs, MULAMBA Godet, BISHALE Bibiche, KAHIBA Faustine. Mes sincères remerciements vont tout droit à tous mes compagnons de luttes et ami(e)s, KIAPI KATUKU Gracia, Yves MULANGU.
Enfin, mes sincères à mon très chers bien aimer Héritier MUSTHIPAYI, qui a toujours cru en mois et qui a
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été d’un grand soutien morale pour la réussite de ce travail trouve dans trouve dans ce modeste travail expression de mon affection profonde.
Que tous ceux de loin ou de prêt ont contribué à la rédaction de notre travail ici l’expression de notre gratitude.
KANKOLONGO KANANA Benita
Liste des tableaux
1) Diagramme d’activité………………………………………………………………….23
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Listes d’abréviations
1. UML : modeling language unified2. UP : process unified (Processus unifier) 3. MERISE : Méthode de recherche informatique sous ensemble4. DCU : diagramme des cas d’utilisation5. SGBD système de gestion de base des données relationnel (en anglais DBMS pour Data
Base Management Système)6. WWW :Word wide web7. http :Hypert Text Transfert Protocol8. PHP :Hypertext Preprocessor9. CSS :Casading style Sheets10. RAM :Random Access Memory11. MysQl :Structured Query Language12. CU : Cas d’utilisation
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Liste des figuresFigure 2 .1: DIAGRAMME D’ACTIVITE 24
Figure 2.2 : DIAGRAMME DE CAS D’UTILISATION METIER 25
FIGURE 2.3 : DIAGRAMME DE SEQUENCE SYSTEME FOURNIR MATERIELLES 26
FIGURE 2.4 : DIAGRAMME DE SEQUNCE SYS ACCUSER RECEPTION 27
FIGURE 2.5 : DIAGRAMME DE SEQUENCE GERER MATERIELLES 28
FIGURE 2.7 : DIAGRAMME DE CLASSE DU DOMAINE 29
FIGURE3.1 : DIAGRAMME DE CONTEXTE SYSTEME …………………………………………… 32
FIGURE 3.2 : DIAGRAMME DE CAS D’UTILISATION………………………………………………..33
FIGURE 3.3 : DIAGRAMME DE SEQUENCE…………………………………………………………..35
FIGURE 3.4 : DIAGRAMME DE SEQUENCE…………………………………………………………..36
FIGURE 3.5 : DIAGRAMME ACUSSER RECEPTION MATERIELLES……………………………….36
Figure 3 .6DIAGRAMME VERIFIER MATERRIELLES: 38
Figure 3.7 : DIAGRAMME GERER MATERIELLES 40
FIGURE 3.8 : DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE SYSTEME 41
FIGURE 3.9 : DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE 42
FIGURE 3.10: DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE FOURNIR MATERIELLES 43
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FIGURE 3.11 : DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE RECEPTIONNER MATERIELLES 43
FIGURE3.12 : DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE VERIFIER MATERIELLES ………….32
FIGURE 3.13 : DIAGRAMME DE CLASSE PARTICIPANTE GERER MATERIELLES…………….33
FIGURE 3.14: DIAGRAMME DE MODELE DU DOMAINE…………………………………………...45
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INTRODUCTION
L’homme quitte de la vie manuelle à la vie automatique suite à la nouvelle
technologie qui pointe sur l’échelle mondiale d’où aucun domaine de la vie ne peut échapper
à cette nouvelle règle.
Et chaque utilisateur se serve d’elle dans plusieurs domaine tels que, la communication, le
multimédia, la gestion…, et sa nécessité réside sur ses aspects qui facilite à tout utilisateur de
gagner le temps dans l’enchainement des processus en temps réel et record.
Personne ne nierait que l’informatique soit la science indispensable et la plus innovante qui a
marqué son temps dans une ère moderne que celle-ci. Il est en effet indubitable que
l’informatique est quasi la seule science qui apporte maintenant des solutions à presque tous
les problèmes de nos quotidiens, aussi bien dans des domaines professionnels, que domiciles.
Avant l'avènement de l'ordinateur, les entreprises du secteur industriel utilisaient
des supports en papier afin d’enregistrer les informations liées à la gestion des stocks et faire
les calculs considérables qui ne pourraient dans certains cas aboutir aux résultats satisfaisants,
ce qui engendrait beaucoup de problèmes tels que la perte de temps considérable dans la
recherche de ces informations ou la dégradation de ces dernières.
Il fallait par ailleurs chercher des moyens plus sophistiqués pour la gestion et les
calculs dans le but d’améliorer soit la production ou la qualité des services au sein de
l’entreprise, c’est ainsi que l’homme intégrant l’informatique. Cette science marquée par la
volonté des hommes d’automatiser certains travaux longtemps réalisés à la main, en
particulier les calculs et la gestion a répondu de manière exhaustive à leurs attentes.
Nous avons porté notre choix sur la thématique qui s’intitule comme : Analyse et
conception d’une application client-serveur d’octroi d’acte de naissance (cas de la
commune Lubumbashi)
En restant concentré sur cette problématique et considérant que la commune de
LUBUMBASHI qui fait figure d’une de grandes institutions de la province se trouve jusqu’à
ce moment avec un système de livraison d’actes de naissance manuelle, par le fait elle a un
besoin incontournable d'informatiser son système de gestion et de livraison des actes de
naissance.
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Ce travail intitulé « analyse et conception d'une application client-serveur d'octroi
d'acte de naissance» ayant comme cadre d'étude la commune de LUBUMBASHI, entre dans
le cadre des applications de gestion des documents qui consiste à informatiser les différentes
tâches liées à cette activité et à la livraison des dits documents.
L'objectif dans notre présent travail est de présenter une conception et une
implémentation d’un système d’information permettant aux gestionnaires du département
concerné a la commune de LUBUMBASHI à délivrer à la population de LUBUMBASHI et
ses périphéries les documents d’actes de naissance dans la rapidité afin de gagner le temps et
sans erreur aucune dans l’enchainent des processus .
Ce travail nous permet d'approfondir nos connaissances sur les techniques et
méthodes appliquées dans le processus de conception et développement logiciels et une
maitrise des langages qui entrent en jeu pour arriver à mettre en place une application de
gestion et de livraison d’actes de naissance répondant aux attentes des utilisateurs. Et enfin
nous léguons ce document comme appui de recherches pour tout chercheur qui voudra
emboiter les pas dans le même domaine.
Nous ne sommes pas premier à aborder un sujet ayant une telle connotation dans
le même domaine, certes il vrai que tant d’auteur ont pu traiter ce sujet, Nous citons :
Pascaline MBOMBO de l’institut supérieur de statistique Lubumbashi 2015 à
parler sur la gestion et l’octroi des livrets de mariage dans une ville. A soulever la
problématique ci-après : par quel moyen le système d’octroi d’acte de naissance peut être
automatisé en vue de gagner le temps à chaque demande ? Et comme solution apporter en
termes d’hypothèse est celle de mettre en place une application informatique qui pourrait
répondre aux exigences des utilisateurs.
Les paragraphes précédents ont dans la globalité soulevé le problème qui
préjudicie le processus d’octroi d’actes de naissance a la commune de LUBUMBASHI, toute
solution envisagée pour pallier à ce problème, favoriserait en temps, nous pouvons par
conséquent aborder le problème avec quelque méthode susceptible de donner solution.
Apres avoir mené nos investigations, nous avons pu relever tant des failles qui
nous permettrons à reformuler notre problématique sur laquelle nous allons nous focaliser afin
de ressortir des hypothèses par rapport aux différentes questions qui serons soulever.
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Les informations sont stocker sur des papiers avec des risques de perdre
ces informations ;
La lenteur dans l’enchaînement des processus ;
Le manque des outils informatique qui pourrait handicaper la bonne
gestion
Avec le déploiement d’un système d’automatisation d’octroi d’actes de naissance,
le problème rencontré serait résolu et répondre aux attentes de plusieurs personnes en cas de
nécessité.
« Comment peut-on réorganiser system d’octroi d’acte de naissance afin de répondre aux
attente des demandeurs ? »
« Par quel moyen la mise en place d’octroi d’acte de naissance peut être installé pour
gagner le temps dans l’enchaînement des processus ? »
Lara FABIEN FORTIN dans le cours de méthode de recherche scientifique 2007 a définit l’hypothèse étant un énoncé formel qui prédit la ou les relations attendues entre deux ou plusieurs variables, elle est une réponse plausible au problème de recherche sous étude ou sous examen.
Du moins quand a ce qui nous concerne nous allons essayer de répondre provisoirement à la question de recherche d’où nous proposons doter à l’organisation ciblée une base de données capable et efficace qui pourrait garantir la gestion en termes de solutions adéquats.
Pour répondre provisoirement aux questions soulevées dans la problématique
nous proposons ce qui suit :
Mettre en place une base des données capable au profit des agents de la commune
Lubumbashi pour rendre la gestion beaucoup plus aisé et viable.
Avec le déploiement d’un système d’automatisation d’octroi d’actes de naissance,
le problème rencontré serait résolu et répondre aux attentes de plusieurs personnes en cas de
nécessité.
Une méthode UML qui est une méthode de modélisation portant sur la
démarche UP tout en respectant toutes les classes.
La technique est un ensemble des procéder ou des moyens que le chercheur
met en œuvre pour obtenir un résultat déterminer dans un domaine particulière. Elle est
également une manière de procéder dans la pratique d'une activité.
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La collecte des données est une phase plus importante pour la compréhension des problèmes, des activités et la conception des solutions fiables et concrètes. Pour la collecte de données, nous avons utilisé les techniques suivantes :
Technique de développement
Qui permet de faire un choix du langage de programmation.
Technique de conception
Cette technique consiste à avoir une idée sur l’objet à concevoir car elles s’appuient directement à la technique d’application
La réalité scientifique s’accompagne toujours par des difficultés de diverse nature dans le milieu où nous nous trouvons, il ne pas facile de commencer une étude et de la terminer sans difficulté et problème faute de bibliothèque publique car même les établissements d’enseignements supérieurs et universitaire sont munis des ouvrages professionnelles et spéciales.
La délimitation d’un travail scientifique est d’une importance très capitale dans les
méthodes de recherche scientifique afin de cerner le problème auquel elle s’intéresse. Et le
processus portera sur le règlement des factures des abonnées.
Dans notre recherche, les éléments qui y interviennent prouvent à suffisance
que les faits observés se produisent au cours d'un certain temps et dans un lieu précis.
C’est ainsi que nous avons délimité notre champ aux services généraux
chargés essentiellement de collecté les données sur l’octroi d’acte de naissance, sur le plan
matériel, le fonctionnement des autres services en leur remettant à temps record, en quantité
suffisante les imprimés tant d’acte de naissance afin de répondre aux besoins de la population.
Hormis l'introduction générale et la conclusion générale, notre travail sera
subdivisé en quatre chapitres :
chapitre premier : sera basé sur les généralités sur le WEB qui nous permettra à
définir les concepts clés.
Chapitre deuxième : sera consacré sur L’ANALYSE METIER D'ACTIVITES
D’OCTROI D’ACTES DES NAISSANCES
Chapitre troisième : Conception du système KAY-soft Dans ce chapitre il est question
d’effectue la conception d’un nouveau système à l’aide d’un langage de
programmation
Chapitre quatrième : va porter sur l’architecture logicielle et interface homme machine
de la nouvelle solution.
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Dans ce chapitre, il sera question pour nous de présenter l’architecture logicielle et
l’interface.
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CHAPITRE 1 : LES GENERALITES SUR LA CONCEPTION WEB
I.1. CONCEPTS DE BASE
1. Analyse :
C’est un procédé qui permet de formaliser les étapes préliminaires du développement d'un
système afin de rendre ce développement plus fidèle aux besoins du client.
Pour ce faire, on part d'un énoncé informel (le besoin tel qu'il est exprimé par le client,
complété par des recherches d'informations auprès des experts du domaine fonctionnel,
comme les futurs utilisateurs d'un logiciel) ; ainsi que de l'analyse de l'existant éventuel.
2. conception :
La conception dans le domaine de l’informatique, est une étape qui permet d’établir les
fonctionnalités, l’objectif ou la description d’une application ou système tout en utilisant le
plus souvent une méthodologie quelconque pour son déploiement.
Il s'agit essentiellement d'identifier les entités logiques et les dépendances logiques entre ces
entités. La modélisation des données est une
Représentation abstraite, dans le sens où les valeurs des données individuelles
Observées sont ignorées au profit de la structure, des relations, des noms et des formats des
données pertinentes, même si une liste de valeurs valides est souvent enregistrée.
Le modèle de données ne doit pas seulement définir la structure de données, mais aussi
ce que les données veulent vraiment signifier (sémantique).
3. application Web :
En informatique, une application web (aussi appelée web application, de l'anglais) est
une application manipulable directement en ligne grâce à un navigateur web et qui ne
nécessite donc pas l'installation sur les machines clientes, contrairement aux applications
mobiles.
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Une application web est également installée sur un serveur de la même manière qu’un
site web et se manipule en actionnant des bidets à l'aide d'un navigateur web, via un réseau
informatique (Internet, intranet, réseau local, etc.).
Voici quelques exemples qui démontrent la structure du web dans sa globalité : Des
messageries web, les systèmes de gestion de contenu, les wikis et les blogs sont des
applications web. Les moteurs de recherches, les logiciels de commerce électronique, les jeux
en ligne, les logiciels de forum, les agrégateurs peuvent être sous forme d'application web.
Des appareils réseau tels que les routeurs sont parfois équipés d'une application web dans leur
micro logiciel. Les applications web font partie de l'évolution des usages et de la technologie
du Web appelée Web 2.0
4. LES LANGAGES DE CONCEPTION
4.1. Le html
HyperText Markup Language, souvent utilise conjointement avec le langage de programmation JavaScript et des feuilles de style en cascade (CSS). HTML est inspire du standard Generalized.
Toute page web comprend une base de langage HTML ou XHTML. Il s’agit d’un langage de balisage qui définit essentiellement la structure. Le langage de balisage les plus utilises sur le web sont des applications dérivées de SGML. Article détaille : HTML. Le langage de balisage le plus correspondant. C-HTML (pour Compact HTML) est un langage dérive de HTML qui fonctionne sur DoCoMo’s (voir téléphonie mobile). C-HTML propose plusieurs catégories
4.2. Le Css
Au départ, le html n’était qu’un système hypertexte destinée à ce que les collaborateurs du CERN puissent avoir un accès simple aux informations. Il n’était alors nullement question des pages attrayantes, d’images, de vidéo, de son, mais tout cela s’est doucement développé avec la croissance exponentielle du nombre de site et l’apparition des navigateurs « populaires ».
Les possibilités « esthétique » de html, sont assez rudimentaires, mais en détournant de leur fonction principale certains éléments, il est possible de programmer d’assez jolies pages, en utilisant moult images et des tableaux dont la bordure est invisible pour gérer le positionnement des différentes parties de la page. C’est pour éviter ces programmations lourdes en cas d’utilisation de plusieurs pages et pour éviter de devoir tout reprogrammer à chaque changement sur la page qu’est née l’idée de séparer « la forme et le fond », ou, plus exactement, la structure du document et la partie
La norme CSS1, pour Cascading Style Sheets, ou, en français, feuilles de style en cascade, qui permet de gérer à part et donc de modifier simplement le style d’un élément d’une page web ou de toute une page voire de tout un site.
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L’utilisation du langage CSS permet de jouer sur le « style », c’est à dire des éléments, soit une fois pour toute sur la page, soit, si le site comporte plusieurs pages, dans un fichier sépare commun à toutes les pages.
De son côté, html, gère la structure du document, c’est-à-dire la nature de chaque élément (texte, paragraphe, lien, image, etc.)
Weizenbaum. Sass est un préprocesseur CSS. C’est un langage de description compile en CSS. SassScript est un langage de script pouvant être utilise à l’intérieur. Feuille de style en cascade, généralement appelées CSS de l’anglais, forment un langage informatique qui décrit la présentation des documents
5. LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Très vite, le besoin de pouvoir réagir aux interventions de l’utilisation s’est fait sentir, html, même complété avec du CSS, permet juste un affichage mais aucun retour programmé vers l’utilisateur. HTML et CSS ne permettent, seuls, que la programmation de sites statiques.
Pour passer au web dynamique, il y a nécessité d’un langage de programmation serveur, d’abord. En effet, les premières interactions dont ont eu besoin les concepteurs de sites étaient des interactions du type client-serveur.
5.1.. Php
Un programmeur canadien né au Groenland, Rasmus, a créé la première version du langage de programmation php, pour Personal Home Page (Page Personnelle en français), devenu depuis PHP : HyperText Preprocessor. Lerdorf souhaitait conserver une trace des visiteurs qui venaient consulter son CV sur sa page personnelle.
A. Un bloc de code PHP est délimité par une balise d'ouverture < php etune balise de
fermeture >.Un bloc de code PHP peut être le seul bloc de code dans le fichier, oubien être
mélangé à d'autres langages (par exemple HTML ou XML).
5.2. Javascript
Mais si un langage serveur est indispensable pour la sauvegarde d’informations, il n’est
pas possible de l’utiliser pour effectuer des actions sur le poste client. Il faut un autre
interpréteur de code, fonctionnant cote client, soit par l’intermédiaire d’appels, soit
directement interprète par le navigateur. C’est le cas de JavaScript. JavaScript, qui ne partage
avec Java que le début de son nom, est un langage interprète par les navigateurs, crée par
Brendan Eich. On raconte que le langage, crée pour Netscape Communications Corporation, a
été développe en 10 jours seulement.
Eich s’est inspire de nombreux langages pour développer JavaScript, notamment de Java mais
en simplifiant la syntaxe. Evidemment, le premier navigateur embarquant un moteur pour ce
langage fut un navigateur de Netscape, Navigator 2.0,.
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Un des soucis rencontre par JavaScript est que tous les navigateurs ne reconnaissent pas de la
même façon les instructions, certains étant spécifiques à certains navigateurs. John Resig
lance la bibliothèque JQuery pour faciliter l’écriture des scripts JavaScript et uniformiser les
différentes fonctions à utiliser suivant les navigateurs.
Il est possible de « mélanger » JavaScript et PHP, ou plus exactement d’appeler
Asynchrones JavaScript and XM.
II. LES PAGES WEB
Actuellement nous avons deux types de pages Web, dont les pages Web dynamiques
et les pages Web statiques
• LE SITE WEB STATIQUE: Les pages du site ne sont pas modifiables par des utilisateurs. Le site est donc rempli et mis à
jour par l'administrateur qui le fait depuis son poste de travail. Une fois le site mis à jour sur
l'ordinateur de l'administrateur, celui-ci devra être envoyé sur le site via FTP.
Le site est dit statique car les pages HTML qui le compose sont toujours identiques
entre deux visites sans mise à jour. Le serveur donc n'a pas besoin de éléments de Scripting.
Les pages du site qui le compose peuvent être modifiables par les visiteurs. De plus,
entre deux visites sur un même site, le contenu de la page peut être différent sans action de
l'administrateur du site Internet. Les grandes applications de ce type de site sont : les forums,
les Wiki (Wikipédia étant le plus grand représentant du genre) et tous les sites
communautaires (Facebook, Twister, hi5, etc.).
Le serveur qui fait fonctionner le site utilise une technologie de Scripting (comme
PHP, Ruby, Python ou Perl) ainsi qu'une base de données comme MySQL.
• Le principe d'un page dynamique est d'être construit à la demande (à la volée) par le
serveur (côté serveur), en fonction de critères spécifiques. La présentation et le contenu
affichés peuvent ainsi être personnalisés de manière interactive, en fonction des produits, des
internautes, des langues, etc. On reconnaît facilement un page dynamique grâce à l'URL qui
s'affiche dans le navigateur web de l'utilisateur
II.1. LE CLIENT SERVEUR
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Le mode client/serveur est un mode de fonctionnement dissymétrique dans lequel
deux logiciels différents sont nécessaire pour permettre les communications : un logiciel
serveur et un logiciel client, nécessaire sur toutes machines.
II.2. Le client serveur pour web
Dans le cas qui nous intéresse; c’est-à-dire le web, le client est un navigateur de tels
logiciels existent pour tous les systèmes d’exploitation : Les sites web sont héberges sur des
serveurs dédies qui sont nommés serveurs web. A l’heure actuelle ; le logiciel le plus répondu
est APACHE http server ; et bien sûr il existe d’autres serveurs web.
Le navigateur émet une requête http vers un serveur web afin d’obtenir la page web
désirée. Le serveur envoie les données demandées par le client ; si celui –ci est autorisé à
accéder au document .Le navigateur interprète les instructions de mise en page contenus dans
les données envoyées par le serveur.
II.3. L’architecteur system client/serveur
De nombreuses applications fonctionnent selon un environnement client/serveur. Cela
signifie que des machines clients (des machines faisant partie du réseau) contactent un
serveur, une machine généralement très puissante en terme de capacité d’entrée-sortie, qui
leur fournit desservies .Ces services sont des programmes fournissant des données-t-elle que
l’heure ; des fichiers, une connexion, etc.
Les services sont exploités par des programmes, appelés programmes client,
s’exécutant sur les machines clients .On parle ainsi de client (client FTP, client de messagerie,
etc.) lorsque l’on désigne un programme tournants sur une machine cliente, capable de traiter
désinformations qu’il récupère auprès du serveur (dans le cas du client FTP il s’agit de
fichier ; tandis que pour le client de messagerie il s’agit de courrier électronique).
II.4. Avantages de l'architecture client-serveur
• Des ressources centralisées : Toutes les données sont centralisées sur un
seul serveur, celui simplifie les contrôles de sécurité, l'administration, la mise à jour des
données et des logiciels. Les technologies supportant l'architecture client-serveur sont plus
matures que les autres. La complexité du traitement et la puissance de calculs sont à la charge
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d’ où des serveurs, les utilisateurs utilisant simplement un client léger sur un ordinateur
terminal qui peut être simplifié au maximum.
• Recherche d'information : les serveurs étant centralisés, cette architecture
est particulièrement adaptée et véloce pour retrouver et comparer de vaste quantité
d’informations (moteur de recherche sur le Web), ce qui semble être rédhibitoire pour le P2P
beaucoup plus, à l'image de Free net.
a. Le client-serveur deux tiersLa gestion des données est prise en charge par un SGBD centralisé, s'exécutant le plus
souvent sur un serveur dédié. Ce dernier est interrogé en utilisant un langage de requête qui, le
plus souvent, est SQL. Le dialogue entre client et serveur se résume donc à l'envoi de requêtes
et au retour des données correspondant aux requêtes. Ce dialogue nécessite l'instauration
d'une communication entre client et serveur. Nous allons étudier de quoi elle se compose.
b. Le client-serveur trois tiers
L'architecture trois tiers, encore appelée client-serveur de deuxième génération ou client-
serveur distribué, sépare l'application en trois niveaux de service distincts :
• premier niveau : l'affichage et les traitements locaux (contrôles de saisie, mise en forme de
données...) sont pris en charge par le poste client,
• deuxième niveau : les traitements applicatifs globaux sont pris encharge par le service
applicatif,
• troisième niveau : les services de base de données sont pris en charge par un SGBD.
Tous ces niveaux étant indépendants, ils peuvent être implantés sur des machines
différentes, de ce fait le modèle a pour objectif de répondre aux préoccupations suivantes :
- Allégement du poste de travail client
- Prise en compte de l’hétérogénéité des plates-formes (serveur, client, langages, etc.)
- Introduction des clients dit léger
- Amélioration de la sécurité des données, en supprimant les liens entre les clients et les
données. Le serveur a pour tâche, en plus de traitement purement métier, de vérifier l’intégrité
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et la validité des données avant de les envoyer dans la couche des données.
- Rupture du lien de propriété exclusive entre l’application et données.
- Meilleur répartition de la charge entre différents serveurs d’applications
c. Types de clients
Client léger : Le poste client accède à une application située sur un ordinateur dit
"serveur" via une interface et un navigateur Web. L'application fonctionne entièrement
sur le serveur.
Client lourd : Le poste client doit comporter un système d'exploitation capable
d'exécuter en local une partie des traitements. Car le traitement de la réponse à la
requête du client utilisateur va mettre en œuvre un travail combiné entre l'ordinateur
serveur et le poste client.
Client riche : Une interface graphique plus évoluée permet de mettre en œuvre des
fonctionnalités comparables à celles d'un client "lourd". Les traitements sont effectués
majoritairement sur le serveur, la réponse "semi-finie" étant envoyée au poste client,
où le client "riche" est capable de la finaliser et de la présenter
III. NOTION SUR LES BASES DE DONNEES
A. BASE DE DONNEES
Comme nous avons connaissance de la gestion de la structure d’une page (HTML), de
son apparence (CSS), d’un langage serveur (PHP) et d’un langage client (JavaScript), il nous
faut un moyen de sauvegarder facilement des données afin de les exploiter.
Il est bien sûr possible de déposer ses fichiers sur un serveur web, comme on le fait pour
les images ou les vidéos que l’on peut proposer sur son site, ou alors de créer via PHP des
fichiers de données qu’on viendra lire, mais cela n’est pas pratique et demande un
investissement important en programmation. La programmation de sites web est adaptée à
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l’utilisation de structure de gestion de données : les SGBDR (System de Gestion de Base de
données Relationnelles).
En l’occurrence, nous utilisons ici un des logiciels les plus utilises au monde,
notamment pour les applications web, distribue sous licence libre et dot la première version
date des débuts du web (995) : MySQL. Ce logiciel a été créé par un finlandais, Michael
Widenius.
La société crée pour l’exploitation et la création de ce logiciel libre, MySQL AD, a été
acheté par Sun Microsystems, elle-même rachetée par Oracle Corporation, ce qui laisse à cette
dernière société deux produits concurrents, Oracle et MySQL. Michael Widenius a créé un
autre SGBDR, Maria DB pour continuer le développement en tant que projet Open Source,
c’est-à-dire respectant les principes de libre redistribution, d’accès au code source et de
création de travaux dérivés.
L'accroissement de l'utilisation du numérique comme outil de manipulation. De
toutes données (bureautique, informatique applicative, etc.) et comme outil d'extension des
moyens de communication (réseaux) ainsi que les évolutions technologiques (puissance des
PC, Internet, etc.) ont rendu indispensable, mais aussi complexifié la problématique des BD.
Les conséquences de cette généralisation et de cette diversification des usages se
retrouvent dans l'émergence de solutions conceptuelles et technologiques nouvelles, les bases
de données du mouvement NoSQL particulièrement utilisées par les grands acteurs du web.
B. APPLICATION DE BASE DE DONNEES
Une base de données seule n'est pas directement utilisable par un utilisateur
humain ; elle n'est utilisable que par les informaticiens qui connaissent son langage de
programmation et par les applications qui ont été programmées pour s'en servir.
Application web Une application web est composée d'interfaces en HTML qui
permettent d'écrire et de lire des données dans une base de données, via un langage
applicatif, comme par exemple PHP.
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Application de bureau Access Avec un logiciel comme Access on peut réaliser à la
fois une base de données et une application permettant de manipuler cette base de
données pour des besoins bureautiques simples.
C. LANGAGE DE DONNEES
Un langage de données est un langage informatique permettant de décrire et de manipuler les
schémas et les données d'une BDD. Synonymes :
Langage orienté données : SQL est le langage consacré aux SGBD relationnels et
relationnels-objet. Il permet de :
créer des tables, en définissant le domaine de chaque colonne ;
insérer des lignes dans les tables
lire les données entrées dans la base de données
Autres langages de données
XQuery est un langage de données mobilisé dans les bases de données arborescentes
XML.
Les bases NoSQL proposent des langages de données spécifiques, souvent inspirés du
SQL. Par exemple le langage de MongoDB permet de manipuler une base de contenus
JSON.
On distingue quatre étapes dans la conception d'une base de données :
L'analyse Elle consiste à étudier le problème et à consigner dans un document, la
note de clarification, les besoins, les choix, les contraintes.
La modélisation conceptuelle Elle permet de décrire le problème posé, de façon
non-formelle (en générale graphique), en prenant des hypothèses de
simplification. Ce n'est pas une description du réel, mais une représentation
simplifiée d'une réalité.
La modélisation logique Elle permet de décrire une solution, en prenant une
orientation informatique générale (type de SGBD typiquement), formelle, mais
indépendamment de choix d'implémentation spécifiques.
L'implémentation Elle correspond aux choix techniques, en termes de SGBD
choisi et à leur mise en œuvre (programmation, optimisation...).
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CHAPITRE II : L’ANALYSE METIER D'ACTIVITES DES ACTES DES
NAISSANCES
II.0.Introduction
Dans ce chapitre nous allons devoir présenter l’organisation ciblée d’une manière détaillée en se basant sur l’analyse du système existant afin de faire une diagnostique tout en relevant les points forts et faible puis proposé une nouvelle solution.
II.1 analyse de l’existant
II.1.1 présentation de l’entreprise
La commune Lubumbashi est le chef-lieu de la ville qui porte le même nom, sa partie commerciale et sa résidentielle constituent ce qui est appelé ville, contrairement aux anciens centres extra-coutumiers (CEC) d’avant d’indépendance qui portent l’étiquette « CITE » : ainsi, aller en ville c’est se diriger de la cité vers l’une des deux parties de la commune.
Le fait spécifique de la commune de Lubumbashi qui est très remarquable et remarqué par tous set chaque, tout le monde se dirige de la cité vers la ville donc, vers la commune Lubumbashi, qui pour travailler, vendre, acheter ou tout simplement pour se débrouiller.
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Il Ya aussi un phénomène particulier pour cette juridiction, c’est que tous les meetings et défilés s’organisent à travers celle-ci et que toutes les marches ont comme point de chute la commune Lubumbashi. Tous les détraqués mentaux érigent résidence à travers les rues de la ville, tous les marchands pirates ne sont, du reste en laisse malgré la lutte de l’autorité contre ce système sans parler des enfants de la rue qui e trouvent des coins d’opérations et dortoirs à travers la commune de Lubumbashi.
En tant que profit de la ville de Lubumbashi, toutes les visites de hautes personnalités et des touristes se font dans cette juridiction. La commune de Lubumbashi était jadis résidentielle exclusivement pour le colonisateur et d’autres expatriés. Quelques rares congolais dits évoluées ont commencé à y être logés par le colonisateur à partir des années 1958-1959 vers l’accession à l’indépendance.
Comme dans toutes les grandes villes, la commune de Lubumbashi est la première née des communes de la ville, presque tous les points d’attraction s’y trouvent, c’ »est notamment le jardin zoologique, les hôtels de grand luxe, les sièges des entreprises, les institutions officielles etc.…
Et dernièrement se sont ajoutés la fontaine, le monument TSHOMBE , l’œuvre artistique du rondpoint de la paix au sorti du tunnel , sans parler des trois locomotives en expositions au rondpoint devant la gare SNCC , et très récemment , au croisement des avenues de la révolution et KILELA BALANDA une autre fontaine vient s’ajouter sur le décor.
L’exercice qui s’achève a vécu le placement des robots qui gèrent la circulation routière à la place de la poste, au croisement LILELA BALNDA du 30juin et au croisement BIAYI de la REVOLUTION.
Jadis elle était appelais commune ELISABETH ville, en mémoire de la reine Elisabeth de Belgique, la commune Lubumbashi est composée de sept quartiers, elle s’étend sur plus ou moins 38 km 2. Constituant le centre-ville, elle est limitée par la commune annexe, kamalondo, Kenya, kampemba et katuba.
II.1.2.Historique
La commune Lubumbashi a été créée par le décret du 26 mars 1957 exécuté par l’arrêté ministériel n° 11/160 du 1 er octobre 1957.
A sa création, la commune Lubumbashi appelée commune Elisabeth a ouvert ses portes en janvier 1958 avec à la tête comme bourgmestre, monsieur Emile DE
LARUELLE nommé par arrêté n° par l’arrêté ministérielle n° 11/01/1958 du 07 janvier 1958 jusqu’en 1962 ou il faut remplacer monsieur Grégoire SHAMBA agent de l’administration publique qui fut le premier autochtone a dirigé la commune jusqu’en 1965.
Vers les années 1970, la commune Lubumbashi s’est vue amputée de sa partie EST par les quartiers BEL-AIR et industriel qui étaient intégrantes de la commune de kampemba dont le point de démarcation avec celle-ci en grande partie, le boulevard M’siri.
~ 25 ~
Portant au décret du 23 mars par l’arrêté ministériel N°11/160 du 11 octobre 1957 qui constitue un régime pré- électoral et qui accorder aux villes et communes dans la ville de Lubumbashi, jadis appeler commune Elisabeth ville à vue jour en date du 01 janvier 1982.
Ce parcours sera confirmé par l’ordonnance loi N° 82/025 du 10 février 1982.
Les première sélections municipales organiser en 1957 Qui ont parlé a la une de la commune de Lubumbashi, monsieur EMILE DE LA RUELLE comme première bourgmestre de cette entité administrative et président du collège électorale qui était composée de quatre membres.
Par ailleurs, signalons que monsieur Grégoire SHAMBA fut le premier bourgmestre autonome à diriger cette commune ; il était par l’arrêter N° 11 /61/1957 du 07 janvier 1958
Monsieur Emile DE LA RUELLE fut remplacé successivement comme suit :
Tableau n° II .1 : Liste des bourgmestres
N ° BOURGOUMESTRE DATES
1 SHAMBA GREGOIRE 1962-1964
2 MUNGUNGI LOUIS 1965-1967
3 KALUNGA MPUNDU 1967-1968
4 KABWE SHYAMBUYI 1962-1964
5 BOLALBA GUY ROGER 1968-1970
6 MUNYUNGU LOUIS 1970-1974
7 META MUDIAYI MUTOMBO 1974-1977
8 MWIPATALOTA INTERIMAIRE
9 KABONGO MAKANDA 1977-1982
10 MUKEBA KALALA INTERIMAIRE
11 KAPETA KAZADI 1982-1987
12 NKUBA WA KASHIBA 1987-1988
~ 26 ~
13 MUTWALE NGELWE 1988-1989
14 MASUKU MUSUMA INTERIMAIRE
15 MUWALE MASUKA 1982-2002
16 KIBAMBVI LUSXAKA 2002-2005
17 SANGUZA MUTUNDA 2005-2009
II.2 .3.Situation géographique
La commune de Lubumbashi à une superficie de 38 km2 et compte selon la statistique fait en 2010 plus de 152.039 habitants.
Elle est située en ville sur l’avenue Sendwe au numéro 102 en face de la police spéciale de route. PCR en sigle derrière la mairie de Lubumbashi.
Cette commune est limitée :
Au nord par les ruisseaux KAMISEPE ET KABULAMESHI Au sud par le boulevard KATUBA jusqu’au point de la rivière Lubumbashi A l’est par l’avenue Lumumba, le boulevard jusqu’au tunnel de la route Likasi A l’ouest par la commune du pont de la rivière Lubumbashi à la passerelle de
Mumbunda, avenue du des poteaux SNEL à son quisme avec l’avenue Upemba jusqu’à la chausser Mzé KABILA,
Elle comprend principalement neuf quartiers que voici :
Quartier Mampala (routekipushi) ; Quartier Makutano Quartier Lumumba Quartier Lido golf Quartier Kiwele Quartier Kalubwe Quartier Salama Hewa Bora
II.4.coordonnes géographiques
Latitude : 11°65 .611 Longitude : 27°48.720
II.5.altitude
L’altitude est celle de la ville 1.267 mètres
II.6.superficie
La commune de Lubumbashi s’é end sur près 38 km 2
~ 27 ~
II.7.organigramme
Source : bureau du bourgmestre de commune Gustave KIAMWANGANA, 30 avril 2019
QuartierService techniquePoliceEtat civil
SecrétariatComptabilité
Chef de bureau
Bourgmestre adjoint
Bourgmestre
~ 28 ~
II.2. spécification des besoins
II.2.1. Besoins fonctionnels
1. Etude du métier
L’analyse du métier est cette discipline qui étudie et présente de manière abstraite le travail à effectuer. L’objectif de l’analyse est d’accéder à une compréhension des besoins et d’exigences des clients, il s’agit de livrer des spécifications pour permettre de choisir la conception de la solution.
Le processus portera sur l’octroi d’acte de naissance tout en commençant par
déposer l’attestation de naissance à l’état civil, le chargé s’en occupera et vérifie si le
document est valide ou pas , si le document est invalide le processus s’arrête immédiatement,
pour avoir l’accès à l’acte de naissance il faut passer à la commune avant nonante jours, une
fois passer après nonante jours l‘acte devient payable. après avoir éditer l’acte de naissance
sera envoyer au bureau de contrôle pour la validation, après validation le chef du bureau envoi
le document à l’état civil pour l’attribution au déclarant et gardé une copie pour faire rapport à
la fin de la journée qui sera envoyer au chef du bureau pour la validation.
2. Identification des acteurs
Dans cette partie nous allons énumérer les acteurs qui interagissent avec le système d’information. On appelle acteur toute personne morale ou physique, une abstraction d’un rôle joué par des entités externes (utilisateur, dispositif matériel ou autre système) qui interagissent directement avec le système étudié.
Les acteurs du système identifié dans un premier temps sont ceux qui sont représentés dans le diagramme d’activité précédent, nous avons notamment :
Déclarant : toute personne physique qui sollicite la déclaration d’acte de naissance Officier : personne qui s’occupe de l’élaboration de l’acte de naissance Chef du bureau : la personne qui s’occupe de la validation de l’acte de naissance
II.2.2. besoins non fonctionnels
Exigence de qualité pour l’octroi d’acte de naissance
Permettre et facilite la démarche aux demandeurs en cas de besoin à l’aide d’une représentation en ligne qui est claire ;
Assurer un bon suivi du processus partagé d’octroi d’actes de naissance
Exigence de performance
Très important pour les utilisateurs
~ 29 ~
Le processus de gestion d’actes de naissance en ligne rendra beaucoup plus aisé et viable ladite gestion afin de maximiser le temps.
3.2. Diagramme de cas d’utilisation
Le cas d’utilisation est l’expression de plus haut niveau des besoins des utilisateurs, c’est un service offert aux utilisateurs par le système d’information. En d’autres termes le cas d’utilisation permet à l’utilisateur d’interagir avec le système d’information. Il existe une façon spécifique de représenter les objets du système métier ; les objets métier sont représentés par une forme correspondante de l’objet barrée à sa droite que ça soit l’acteur, cas d’utilisation ou autres.
A partir de la connaissance des besoins des utilisateurs exprimés dans la description du processus métier, nous élaborons le diagramme de cas d’utilisation approprié suivant :
Figure II .1. Diagramme de cas d’utilisation
3.1. Diagramme d’activités
~ 30 ~
Avant d’identifier les acteurs du système d’information, il est nécessaire d’obtenir
le diagramme qui permet de déterminer les échanges des informations sous forme des
activités entre différents services aux bureaux concernés dans le processus d’assurance vie. Le
diagramme approprié pour l’ensemble d’activités du processus décrit, est le suivant :
~ 32 ~
II.3.critique de l’existant
Dans cette section nous allons beaucoup plus nous focaliser sur un critique des points forts et faible afin d’y ressortir des nouvelles solutions.
1. CRITIQUESa) Les Points Forts
Les points forts du système d’information existant sont les suivants :
Une bonne répartition des tâches entre les postes de travail ; Une bonne circulation des informations.
b) les Points Faibles
Les points faibles du système d’information existant sont à savoir :
Un mauvais système de gestion ce qui entraine une lenteur dans le traitement des données et des archivages d’acte de naissance ;
La perte de temps dans l’enchainement des processus qui cause tant des difficultés pour l’octroi d’actes de naissance face à un grand nombre de demandeurs
c) Solution proposée
En se référant aux points faibles cités ci-haut, nous allons proposer les solutions suivantes pour remédier aux lacunes présentées par le système existant ;
La mise au point Analyse et conception d’une application client-serveur d’octroi d’acte de naissance
La mise en place d’une base de données interrogeable par les utilisateurs, capable de stocker plusieurs données et informations ayant trait avec l’octroi d’actes de naissance.
Conclusion partielle
Dans cette partie il était nécessaire pour nous de présenter l’organisation ciblé afin d’expliquer les différents postes de travail ainsi que des failles et difficultés sur terrain lors de notre investigation question de faire un critique et proposer des nouvelles solutions.
~ 33 ~
CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
KAY -soft
III.1. Introduction
Après avoir mené une analyse sur le fonctionnement du métier, nous voici maintenant au troisième chapitre, qui consistera à présenter comment fonctionnera le système informatique.
C’est par ici que nous allons orienter notre analyse vers une nouvelle manière de faire les choses (taches) en y introduisent certains concepts nouveaux par rapport au chapitre précèdent.
III.2. Réalisation d’un nouveau système au moyen des huit diagrammes
Ici, nous allons chercher à élargir l’analyse des concepts du domaine en utilisant les principes
de développement en couche présentation, métier et données avant de passer à la conception
du système informatique.
Les trois catégories de classes d’analyse sont :
Celles qui permettent les interactions entre le site et ses utilisateurs sont qualifiées de
dialogues. Il s’agit typiquement des écrans proposés à l’utilisateur. Ces classes proviennent
directement de l’analyse de la maquette.
Celles qui contiennent la cinématique de l’application sont appelés contrôles. Elles font la
transition entre les dialogues et les concepts du domaine, en permettant aux écrans de
manipuler des informations détenues par des objets métier. Elles contiennent les règles
applicatives du métier et les insolents à la fois des objets d’interface et des données
persistantes.
Classes qui représentent les concepts métier sont qualifiés des entités. Elles sont très souvent
persistantes c’est-à-dire qu’elles vont survivre à l’exécution d’un cas d’utilisation particulier
et qu’elles permettront à des données et des relations d’être stockées dans des fichiers ou des
bases de données.
~ 34 ~
Nous avons fait recours au langage UML (unified modeling langage ou langage de modélisation unifie), est un langage de modélisation graphique à base de pictogrammes. Il est apparu dans le monde de génie logiciel, dans le cadre de la « conception orientée objet ». UML est couramment utilisé dans le projet logiciel pour spécifier, visualiser, modifier et construire les documents nécessaires au bon développement d’un logiciel orienté objet. Il offre un standard de modélisation pour représenter l’architecture logicielle.
Les différents éléments représentables sont à savoir :
Activité d’un objet/logiciel ; Acteurs ; Processus ; Schéma de données ; Composant logiciels ; Réutilisation de composants grâce aux outils de modélisation
Avec UML, il est également possible de générer automatiquement une partie de code, par exemple en langage java, à partir des divers modèles réalisés.
UML2.3 propose 13 diagrammes dont 9 en UML1.3. UML n’étant pas une méthode, l’utilisation des diagrammes proposés sont laissée à l’application de chacun, mais le diagramme de classe est généralement considéré comme élément central d’UML, les vues (observable du système. Elles décrivent le système d’un point de vue donné, qui peut être organisationnel, dynamique, temporel, architectural,…) ;
Pour bien élaborer notre travail, une méthode doit être choisie pour permettre sa bonne réalisation et l’atteinte des objectifs poursuivis. Nous avons recouru à la méthode systémique qui considère un système comme un tout décomposable en plusieurs éléments tout en suivant la démarche UP qui signifie « Process Unified » ou processus unifié. Cette démarche exploite le langage de modélisation unifié (UML) en sigle.
UP est un processus de développement des logiciels, itératif et incrémental piloté par les cas d’utilisation centré sur l’architecture et orienter vers la diminution de risque.
a) Diagramme de contexte du système
Le diagramme de contexte nous présente la position des acteurs ainsi que leurs cas d’utilisation en ne considérant que ceux qui toucheront le système informatique.
~ 35 ~
Figure III .1. Diagramme de contexte
b) Diagramme de cas d’utilisation
Le diagramme de cas d’utilisation vu précédemment montre les grandes
fonctionnalités métier, mais celui que nous allons présenter est semblable à ce dernier à la
seule différence que ce nouveau sera plus explicite, car mettant en exergue des cas
d’utilisations de haut niveau par l’usage de relation particulière.
A ce niveau nous allons délimiter le système à informatiser. Ainsi, nous donnons le
diagramme de cas d’utilisation suivant :
~ 36 ~
Ici, nous déterminons à chaque rôle de l’acteur, le cas d’utilisation, c’est-à-dire déterminer les
fonctionnalités du système.
Admin Officier de l’état Chef du bureau
Un diagramme de cas d’utilisation permet de structurer les besoins du système vis-à-vis des
utilisateurs.
Un acteur : un acteur est un type stéréotype représentant une abstraction qui réside
juste en dehors du système à modéliser. Il représente un rôle joué par une personne ou
une chose qui interagit avec le système.
La relation : elle exprime l’interaction existant entre un acteur et un cas d’utilisation.
Le cas d’utilisation : les cas d’utilisations décrivent sous la forme d’action et de
réactions, le comportement du point de vue d’un utilisateur. Ils servent à structurer les
besoins des utilisateurs et les objectifs correspondant au système.
Voici le diagramme de cas d’utilisation correspondant à notre cas d’étude :
~ 38 ~
3.3.diagramme de sequence système « elaborer acte de naissance »
A ce niveau nous présentons tous les scenarios ou les cas d’utilisation liés à l’octroi d’actes entre les acteurs ci-après :
2eme itération « elaborer acte de naissance »
Titre: élaborer acte
Objectif : Création coordonnées pour élaborer Acteur principal : officier de l’état Résumé : l’officier de l’état l’attestation
Pré condition :
l’officier de l’état active le formulaire pour l’élaboration l’attestation l’officier de l’état saisit les informations sur l’élaboration l’officier de l’état valide les informations
Scénario nominal :
S’authentifier ; Mettre à jour coordonnées sur l’élaboration de l’acte de l’attestation Enregistrer.
Post condition : Mis à jour actes
Post-condition
Informations sur l’acte enregistré
~ 40 ~
3.4.diagramme de sequence système « gerer utilisateur »
A ce niveau nous présentons tous les scenarios ou les cas d’utilisation liés à l’octroi d’actes entre les acteurs ci-après :
3eme itération « gerer utilisateur »
Titre: gérer utilisateur
Objectif : Création coordonnées pour élaborer Acteur principal : officier de l’état Résumé : l’officier de l’état l’attestation
Pré condition :
L’administrateur active le formulaire pour gérer l’utilisateur L’administrateur saisit les informations sur l’utilisateur L’administrateur valide les informations
Scénario nominal :
S’authentifier ; Mettre à jour coordonnées les coordonnées de l’utilisateur Enregistrer.
Post condition : Mis à jour utilisateur
Post-condition
Informations sur l’utilisateur enregistré
~ 42 ~
3.5. Diagramme de classe de conception
Titre: élaborer acte
Objectif : Création coordonnées pour valider l’acte de naissance Acteur principal : chef du bureau Résumé : le chef du bureau valide l’attestation
Pré condition :
le chef du bureau active le formulaire pour valider l’acte de naissance le chef du bureau saisit les informations sur la validation de l’acte le chef du bureau valide les informations sur la validation
Scénario nominal :
S’authentifier ; Mettre à jour coordonnées sur la validation de l’acte Enregistrer.
Post condition : Mis à jour actes
Post-condition
Informations sur la validation enregistrée
~ 43 ~
Figure III.5.diagramme de classe de conception
3 .5.Diagramme de classe participante système
Ce diagramme nous permet de représenter l’ensemble des classes utilisées (qui représente les modèles du métier) ainsi que les différentes méthodes qui permettent de le manipuler.
Figure III .5.diagramme de participant « valider acte »
III.2.1.diagramme de classes participantes
Ce diagramme nous permet de représenter l’ensemble des classes utilisées (qui représente les modèles du métier) ainsi que les différentes méthodes qui permettent de le manipuler
~ 44 ~
Ce diagramme est particulièrement importent parce qu’il effectue la jonction entre d’une part, les cas d’utilisation et le modèle du domaine, et d’autre part le diagramme de conception logicielle que sont les diagrammes d’interaction ainsi que le diagramme de classe de conception.
Il n’est pas souhaitable que les utilisateurs interagissent directement avec les instances de la classe du domaine par le biais de l’interface graphique. En effet, le modèle du domaine doit être indépendant des utilisateurs et de l’interface graphique. De même, l’interface graphique du logiciel doit pouvoir évoluer sans répercussion sur le cœur de l’application.
a. Diagramme de classe participante « établir acte »
~ 48 ~
d) Transformation du modèle du domaine
Permet l’interaction de l’application avec l’utilisateur, elle permet en outre des saisies
d’informations au clavier.
Cependant, il faut parfois doubler les interfaces car l’affichage et la saisie (création,
modification, suppression) utilisent des techniques différentes.
1. Conception de la couche persistante
Elle est l’ensemble d’informations structurées regroupées pour une utilisation
ultérieure lors d’un certain traitement.
D’après Pascal ROQUES, il existe plusieurs modes de stockage :
Le système des fichiers : il est le moyen le plus rudimentaire de stockage. Cependant,
il ne permet que de lire et d’écrire une instance par des moyens externes à
l’application et il n’a aucune capacité à administrer des requêtes complexes sur des
données.
La base de données relationnelle ou système de gestion de base de données
relationnelle : est un moyen déjà plus sophistiqué. Il existe aujourd’hui une large
gamme de SGBDR répondant à des besoins de volume, de distribution et
d’exploitation différents.
Le SGBDR permet d’administrer les besoins et y accéder par des requêtes complexes.
Pour notre cas d’étude, nous retenons le mode de stockage le plus rependu qui est celui de
SGBDR.
D’un Schéma UML vers un Schéma relationnel
Bien que tous les outils permettent de modéliser un schéma logique relationnel, aucun
ne peut offrir un processus de normalisation automatique. Il est donc nécessaire de maitriser à
la fois de données et les principes de normalisation afin de concevoir des bases de données
cohérentes.
Une base de données (son abréviation est BD en anglais DB, data base) est une entité
dans laquelle il est possible de stocker de données de façons structurée et avec les moins
redondances possible.
~ 49 ~
Pour passer du diagramme de classes de conception au schéma relationnel, nous
donnons les règles de transformations énoncées par Christian SOUTOU, dans son livre UML
2 pour les bases de données.
Transformation des classes
Chaque classe devient une relation. Il faut choisir un attribut de la classe pouvant jouer le rôle
d’identifiant.
Transformation des associations
Les règles de transformation dépendent des multiplicités maximales des associations. Nous
distinguons trois familles d’associations :
Un plusieurs,
Plusieurs à plusieurs
Un à un
Association un à plusieurs
Ici, on ajoute un attribut de type clé étrangère dans la relation fils de l’association,
l’attribut porte le nom de la clé primaire de la relation père de l’association et enfin la clé de la
relation sera dans la relation fils.
Association plusieurs à plusieurs
L’association devient une relation dont la clé primaire est composée par la
concaténation des identifiants de classes connectées à l’association.
2. Transformation de l’héritage
Il existe trois décompositions pour traduire une association d’héritage en fonction des
contraintes existantes :
Décomposition par distinction : on transforme chaque sous classes en relation
Décomposition descendante (push-down) : s’il existe une contrainte de totalité ou de
partition sur l’association d’héritage
Décomposition ascendante (push-up) : l’héritage multiple se traduit également au
niveau logique à l’aide de ces principes.
3. Transformation de l’héritage multiple
~ 50 ~
Les trois décompositions que nous avons étudiées peuvent s’appliquer à l’héritage
multiple. Chaque association présente dans la hiérarchie pourra être traduite par distinction de
manière descendante ou ascendante.
CHAPITRE IV : IMPLEMENTATION DU SYSTEME
IV.0. INTRODUCTION
Après l’analyse et la conception du système, ce présent chapitre est basé sur la matérialisation de la solution de conception en codage, en vue de réaliser le produit final, en intégrant ce dernier sur différents matériels adaptés. Ceci, à titre de réponse à l’objectif principal poursuivi.
IV.1. IMPLEMENTATION DU SYSTEME
L’implémentation est la phase finale d’élaboration d’un système informatique qui permet au matériel, aux logiciels et aux procédures d’entrer en fonction.
~ 51 ~
C’est le résultat de la conception pour implémenter le système sous formes de composant, c’est-à-dire, de code source, de scripts, de binaires, d’exécutables et d’autres éléments du même type. L’objectif de l’implémentation est de mettre en œuvre les modèles issus de l’analyse et de la conception.
Cependant, lors de l’implémentation de la solution, plusieurs critères de choix entrent en jeux, il s’agit des critères de choix ci-après :
Langage de programmation à utiliser ; Système de gestion de base de données(SGBD) à utiliser ; Système d’exploitation sur lequel l’application sera installée ; Etc.
IV.2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
IV.2.1. Langage de programmation
Le langage de programmation est une forme de communication servant à exprimer des idées, à informer ou à donner des instructions. En informatique, le mot « Programme » signifie une suite d’instructions (ou ordres), préalablement enregistrées sous une forme donné (codes), a la lecture desquelles une machine effectue automatiquement une suite d’opérations.
Comme l’ordinateur n’est qu’une machine, il faudrait pouvoir communiquer avec lui pour arriver à donner des instructions. D’où, la machine fait ce que l’homme lui demande.
L’ordinateur utilise un langage qui lui est propre, c’est-à-dire un langage compréhensible par l’ordinateur ou qu’il est capable d’interpréter, c’est ainsi que sont nés les langages de programmation, qui permettent de donner des ordres à l’ordinateur. Actuellement, les langages de programmation se sont multipliés parmi lesquels nous pouvons citer à titre illustratif :
Le langage Pascal Le langage Basic Le langage Delphi (dérivé de pascal) Le langage Visual Basic Le langage Java Le langage PHP Le langage C et C++ Etc.
La mise au point d’une application de gestion nécessite un langage de programmation ainsi, le programmeur a la latitude de porter son choix sur un langage dont il a la maitrise pour le développement de notre application, nous avons choisi le langage PHP. (HyperText Preprocessor).
A. les avantages de PHP
~ 52 ~
les avantages du langage PHP sont nombreux ; nous citerons quelques-uns entre autre : le client n’a pas accès au code source puisque celui-ci est interprété avant envoi (Java Script) ; le client ne reçoit que le résultat de l’exécution de script.
La création dynamique d’image La gestion de session La connexion sécurisée(SSL) L’accès à la plupart des SGBD L’accès aux bases LDAP.
B. Les inconvénients de PHP
Le langage PHP n’est pas aussi rapide que le Mode perl ou certaine CGI mais plus portable ; pas aussi simple que ASP-VB script mais plus respectueux des standards web et sans licence open source (plus facilement extensible) pas d’interactivité au niveau du client (on doit quand même utiliser du java script dans ce cas-là).
IV.3. SCHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
Un SGBD est un logiciel système destiné à stocker et à partager des informations dans une base de données, tout en garantissant la qualité, la pérennité et la confidentialité des informations tout en cachant la complexité des opérations.
IV.3.1. LE GESTINNAIRE MYSQL
MySQL est un gestionnaire de base de données libre.il est très utilisé dans les projets libres et dans le milieu industriel. mysql il est très souvent aussi utilisé avec PHP.
IV.3.2.Présentation de l’application
IV.3.3. Codes
~ 54 ~
Les règles académiques exigent a tout étudiant finaliste de rédiger un travail de fin cycle pour mettre en pratique toutes les connaissances acquise tout au long de son parcoure d’apprentissage afin de clore le parcours d’étude universitaire.
Notre vive attention s’était focaliser sur la thématique qui s’intitule comme : « : Analyse et conception d’une application client-serveur de gestion des matérielles dans un magasin » cas de la société nationale d’électricité
Pour arriver au bout de notre recherche nous savons fait recours UML ( modeling language unified) comme étant la méthode de modélisation basée sur la démarche up ( processus unifier ). Seules les méthodes ne suffisent pas pour élaborer un travail scientifique nous avons pu faire aussi recours aux différentes techniques tels que, la technique documentaire, d’interview ainsi que celle d’observation.
Hormis l’introduction générale le travail était subdiviser en quatre grandes chapitres qui se
présente comme suite, le chapitre premier Considération Théorique et Conceptuelles,
Chapitre deux Analyse du Métier, le chapitre trois Conception du Système Informatique
KAN-soft et le chapitre quatre l’architecture logicielle et l’interface.
En guise de conclusion, le travail scientifique vient sectionnée notre cycle d’étude en informatique.
~ 55 ~
BIBIOGRAPHIE
I.OUVRAGE LUS1) .Jacques. S, urbanisation des systèmes d’information, Hermès Coll. Management et
informatique, 1998.2) Quiviy.R, manuel de recherches en sciences sociale, paris, Dollaz, 1989.3) Roques. VALLE.F, UML en action, d’analyse des besoins à la conception ,4eme
édition.4) X. Blanc et I.Mounier, UML2 pour les développeurs, Ed. Eyrolles, Paris5) J. Gabay et D. Gabay, UML2 Analyse et Conception, Edition. Eyrolles, Paris, 2008
II. COURS
III. REFERENCE WEBBIOGRAPHIQUE
1) fr.wikipedia.Org/wiki/Demarche_UP2) fr.wikipedia.Org/wiki/système_de_gestion_de_base_de_données3) http/fr.wikipedia.Org/wiki.sociale19784) http://ww.internaut.com./dictionnaire/fr/definition/données
IV.MEMOIRES1) Narcisse MWEPU, « Mise en place d’un système de gestion des stocks dans un dépôt
pharmaceutique » 20152) NGOIE ILUNGA Marcel,« Analyse et déploiement d’une application partagé de
gestion des produits alimentaires dans un super marcher » 2016
TABLE DES MATIERESEPIGRAPHE.............................................................................................................................................I
DEDICACE...............................................................................................................................................I
~ 56 ~
REMERCIEMENT.................................................................................................................................IV
INTRODUCTION....................................................................................................................................1
CHAPITRE I : APPROCHE THEORIQUE SUR LES APPLICATIUON WEB....................................5
INTRODUCTION....................................................................................................................................5
I.1. DEFINITIONS CONCEPTS DE BASE............................................................................................5
I.2. DEFINITION DES CONCEPTS INFORMATIQUE........................................................................6
I.2.1. SYSTEME D’INFORMATION........................................................................................................6
I.2.1.2. SYSTEME D’INFORMATIQUE...................................................................................................6
I.2.1.3. UNE APPLICATION....................................................................................................................6
I.3. THEORIQUE SUR LA METHODE.................................................................................................7
A.PRINCIPE FONDAMENTAUX DU PROCESSUS UNIFIER(UP)...................................................7
B. LES PHASES D’UP (unified process)................................................................................................7
3. DEMARCHE UP..................................................................................................................................7
4. FONCTIONNEMENT...........................................................................................................................8
6. FORMALISME UML..........................................................................................................................9
7. LES DIAGRAMMES UML...............................................................................................................10
7.2. DIAGRAMMES COMPORTEMENTAUX...................................................................................10
7.3. DEFINITION DES CONCEPTS ORIENTEES OBJETS...............................................................11
8. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES(SGBD).........................................................12
1. Choix de la plateforme et du Framework..................................................................................14
2. les avantages de PHP..........................................................................................................................15
3. Les inconvénients de PHP..................................................................................................................15
4. Choix du SGBD..................................................................................................................................15
CHAPITRE II : L’ANALYSE METIER D'ACTIVITES SUR LA GESTION DES MATERIELS DANS UN MAGASIN...........................................................................................................................16
II.1 PRESENTATION DE L’EXISTANT.............................................................................................16
a) Aperçu historique.........................................................................................................................16
b) Situation géographique................................................................................................................17
c) ORGANIGRAMME.......................................................................................................................18
d) Description des postes de travail.................................................................................................19
II.2. spécification des besoins.................................................................................................................20
II.2.1. Besoins fonctionnels....................................................................................................................20
Etude du métier.......................................................................................................................................20
2. Identification des acteurs....................................................................................................................20
3. capture de besoins fonctionnels..........................................................................................................21
3.1. Diagramme d’activités.....................................................................................................................21
~ 57 ~
3.2. Diagramme de cas d’utilisation.......................................................................................................22
3.4. Diagramme de séquence « fournir matérielles ».............................................................................24
3.5.diagramme de sequence système « accuser reception »................................................................25
3.6. Diagramme de séquence système «gérer matérielles »...................................................................26
3.2. Diagramme de classe du domaine...................................................................................................27
II.2.2. besoins non fonctionnels..............................................................................................................27
II.3.critique de l’existant.........................................................................................................................28
1. CRITIQUES..................................................................................................................................28
a) Les Points Forts............................................................................................................................28
b) Points Faibles................................................................................................................................28
c) point à améliorer...........................................................................................................................28
CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME.............................................................29
KAN -soft...............................................................................................................................................29
III.1. Introduction...................................................................................................................................29
III.2. Réalisation d’un nouveau système au moyen des huit diagrammes..............................................29
Diagramme de contexte du système.......................................................................................................29
a) Diagramme de cas d’utilisation...................................................................................................30
DESCRIPTION TEXTUELLE..............................................................................................................32
CHAPITRE IV : IMPLEMENTATION DU SYSTEME.......................................................................45
IV.0. INTRODUCTION.........................................................................................................................45
IV.1. IMPLEMENTATION DU SYSTEME.........................................................................................45
IV.2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION....................................................................45
IV.2.1. Langage de programmation........................................................................................................45
A. les avantages de PHP....................................................................................................................46
B. Les inconvénients de PHP............................................................................................................46
IV.3. SCHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES..........................................46
IV.3.1. LE GESTINNAIRE MYSQL.....................................................................................................46
IV.3.2.Présentation de l’application......................................................................................................47
CONCLUSION GENERALE................................................................................................................49
BIBIOGRAPHIE....................................................................................................................................50
I.OUVRAGE LUS..................................................................................................................................50
II. COURS..............................................................................................................................................50
III. REFERENCE WEBBIOGRAPHIQUE...........................................................................................50
IV.MEMOIRES......................................................................................................................................50