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EN QUOI LALIMENTATION MODERNE PEUT AVOIR UN IMPACT NÉGATIF SUR LE CERVEAU ? PARILLA Hugo Bachelor Diététique et Nutrition Sportive 1 ère année (2019-2020) Travail de recherche présenté à : - Jérôme MANETTA – Pathologies - Laurine GOMARIN – Nutrition Thérapeutique Le 30 Avril 2020

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EN QUOI L’ALIMENTATION MODERNE PEUT AVOIR UN IMPACT

NÉGATIF SUR LE CERVEAU ?

PARILLA Hugo

Bachelor Diététique et Nutrition Sportive 1ère année (2019-2020)

Travail de recherche présenté à :

- Jérôme MANETTA – Pathologies- Laurine GOMARIN – Nutrition Thérapeutique

Le 30 Avril 2020

TABLE DES MATIERES

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Introduction 1.

I- Du néolithique à nos supermarchés 2-3. 1) Quel a été l’élément déclencheur ?

2.2) La filière agroalimentaire pointé du doigt.

3.

II- L’impact qu’a le régime occidental sur notre cerveau 4-5.

III- Les facteurs protecteurs et préventifs 6-8.

Conclusion 8.

Annexe

Bibliographie

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INTRODUCTION

« Que ton alimentation soit ta première médecine ». Depuis déjà fort longtemps, il existe un lien étroit entre notre alimentation et notre santé et c’est ce qu’Hippocrate, père fondateur de la médecine occidentale, a voulu défendre. L'histoire de l'évolution de l'Homme nous aide à comprendre l'adaptation de son alimentation et des implications nutritionnelles.

Durant l'ère Néolithique, des changements anatomiques et comportementaux associés à des changements de régime alimentaire sont survenus. Les Hommes étaient omnivores, toujours à la recherche de nouveaux aliments pour varier leur alimentation, mais craintifs des éléments toxiques qui pouvaient causer un empoisonnement et donc leur mort. Et dans notre société actuelle, il y a de plus en plus de produits toxiques qui nous sont proposés et qui risquent d’impacter négativement notre santé.

Nous allons alors chercher à savoir en quoi cette nouvelle alimentation est aussi délétère pour l’homme et pour son fonctionnement cérébral et quelles peuvent être les solutions pour remédier à cela.

Nous allons dans un premier temps décortiquer la grande phase de changement qui s’est produite depuis l’époque de nos ancêtres à maintenant en analysant les moments clés qui ont permis de faire avancer la science, ensuite nous verrons en quoi ce changement d’alimentation fut si brutal pour l’homme et quels sont les facteurs à risque pour notre cerveau. Enfin, nous analyserons différents régimes qui permettent de lutter contre certaines pathologies chroniques comme les maladies neurodégénératives par exemple.

I- Du néolithique à nos supermarchés

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Avant de rentrer dans le vif du sujet, commençons par définir ce qu’est la période du néolithique. Le néolithique, qui signifie « âge de la pierre nouvelle », correspond à la dernière période de la préhistoire, qui est marquée par de nombreux changements sociaux et environnementaux du mode de vie de l’homme. Ce nouveau mode de vie fait son apparition en -8000 avant Jésus Christ au Moyen-Orient et se développe en Europe aux alentours de -6000 avant JC. Cette période se prolongera jusqu’en -2000 où apparaitra une nouvelle ère, celle de l’âge des métaux. (1)

Mais alors quel a été le facteur déclenchant de ce si fort changement ?

Avant cette période du néolithique, les apports alimentaires des hommes ne pouvaient être apportés que par la chasse et la cueillette. Mais un nouveau concept va faire son apparition et va changer le cours de l’histoire. Ce concept est celui de l’agriculture et de l’élevage.

Jusqu’alors nomades, beaucoup se sédentarisent pour cultiver la terre et élever le bétail. L’Homme sort de la période de l’abondance issue de la chasse et de la cueillette pour entrer dans l’ère de la fabrication de sa nourriture. On parle alors de « Révolution Néolithique ». Sans le vouloir directement, en semant des graines de l’ancêtre sauvage du blé, l’homme est entré dans l’ère de la sélection variétale et de l’agriculture organisée. (2)

C’est le début de la répartition du travail. Les hommes se spécialisent et développent leurs compétences. Certains se spécialisent dans l’agriculture, d’autres dans l’élevage du bétail. Cela va créer de la main d’œuvre pour construire de nouveaux bâtiments par exemple.

Au fil des siècles, les premières colonies deviennent des villages, puis des villes.

A la suite de cette nouvelle époque, l’évolution de la vie de l’Homme ne cesse d’évoluer.

L’homme a de plus en plus soif de connaissance et ne peut s’empêcher de créer encore et encore.

Nous entrons alors dans l’époque de l’invention et des nouvelles technologies. De nombreux changements apparaissent, que ce soit dans le monde de l’industrie comme dans celui de l’alimentaire.

Aujourd’hui, les ressources que nous utilisons proviennent en très grande partie de la filière agroalimentaire où se retrouve le plus souvent les mêmes types d’aliments. Ce sont les aliments transformés et ultra-transformés qui nous sont le plus souvent disponibles. Ces aliments sont caloriques mais possèdent une densité

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nutritionnelle très faible, ce qui pose un gros problème de fonctionnement à notre organisme.

Nos racines biologiques plongent désormais dans une chaine alimentaire qu’elles ne reconnaissent plus et nos gènes n’y rencontrent plus les nutriments qui les ont exprimés pendant des centaines de milliers d’années.

Au début des années 1960, l’industrie agroalimentaire en France connait une crise, qui est expliquée par une diminution du budget alimentaire moyen des familles françaises, avec un seuil qui est en dessous des 15%. (3) Pour répondre à cela, la filière agro a dû baisser les couts de production de ses aliments en modifiant ses modes de production.

Aujourd’hui, les conséquences de ces changements sont irréversibles pour notre santé. Les multiples aliments qui ont été transformés au cours de ces nouveaux modes de productions se retrouvent dans les rayons de nos supermarchés et ne nous donne que de maigres espoirs sur leur aspect nutritionnel. En effet, la plupart de ces aliments ont une qualité nutritionnelle qui a été considérablement appauvri. Certes, le rendement énergétique en calorie n’est pas modifié, cependant, les micronutriments se voient eux disparaitre.

Pour la majorité d’entre eux, ce sont des sources de sucres rapides. C’est-à-dire qu’ils augmentent le taux de glucose dans le sang de manière considérable et, à prise régulière, développe une résistance à l’insuline et cela peut développer un diabète de type II.

Mais l’aspect nutritionnel n’est pas le seul point inquiétant. Aujourd’hui, diverses techniques sont mises en place pour attirer l’œil du consommateur, que ce soit par la couleur, les dessins sur les emballages ou encore les formes des produits en question.

II- L’impact qu’a l’alimentation occidentale sur notre cerveau

Comme nous l’avons vu précédemment, la révolution néolithique a introduit les bases de l’alimentation occidentale. Nous constatons aujourd’hui que les maladies neurodégénératives et autres démences sont en constante augmentation et cela est notamment dû à cette même alimentation « occidentale ». Nous allons maintenant chercher à savoir en quoi cette alimentation peut-elle être aussi néfaste pour notre cerveau.

Nous savons à l’heure actuelle que la malbouffe fait grossir, mais avec la science, on sait désormais qu’elle pourrait faire rétrécir le cerveau.

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Ce qui se passe dans notre tête dépend avant tout de ce que nous mettons dans notre assiette.

Le cerveau se construit depuis le fœtus, pendant la grossesse. Il dépend donc de ce qu’aura mangé la mère durant les 9 premiers mois. Une étude australienne a été faite sur 23000 femmes enceintes. Le sujet étant la mauvaise alimentation de la mère pendant la gestation. Les scientifiques ont mesuré la quantité de junkfood (malbouffe) et de nourriture plus saine durant la période de gestation et ont fait un bilan du comportement émotionnel des enfants durant les 5 premières années de leur vie. Bien sur l’aspect éducatif, financier ainsi que la santé mentale des parents a été pris en compte. Le constat fut bref. Les enfants dont les mères avaient mangé de la nourriture transformée avaient plus de chance de devenir agressifs ou capricieux, mais pouvaient également développer un sentiment de tristesse, d’anxiété et d’inquiétude. Cette corrélation révèle que l’alimentation de la mère impacte la santé psychique de l’enfant. (4)

D’un autre côté, l’abondance de produits très riches en sucres ajoutés nous expose à un risque réel d’addiction. En effet, de nombreuses études ont démontré que le sucre avait un potentiel addictif important, aussi important que certaines drogues les plus addictives chez l’homme telles que l’alcool, la cocaïne ou encore l’héroïne. Je me suis intéressé à une étude en particulier, celle faite par le docteur Serge Ahmed, directeur de recherche (CNRS) à l’Institut des maladies neurodégénératives de Bordeaux.

Cette étude traite du potentiel addictif du sucre chez le rat. Lors de cette étude, on propose à l’animal un choix entre une dose de cocaïne et de l’eau sucrée contenant du saccharose. Le bilan est qu’à la suite de plusieurs semaines de ce double régime, le rat choisit de se tourner 4 fois plus souvent vers le sucre que vers la drogue. (5)

Le sucre va activer le système de récompense et va donner envie de renouveler cet effet de plaisir. Si l’on continue l’expérience, le rat continuera à se tourner vers la boisson sucrée. Nous constatons donc que le potentiel addictif du sucre est beaucoup plus important que ne l’imaginions. Je vais maintenant vous donner plus de détails sur cet effet addictif du sucre chez l’homme cette fois-ci.

Je me suis intéressé cette fois-ci à une étude faite en Oregon aux Etats-Unis. L’étude consistait à voir les conséquences neuronales de la consommation d’aliments très caloriques en donnant un milkshake à des personnes installé dans un IRM. (4) Pour les personnes qui n’ont pas l’habitude de manger de crèmes glacées, le circuit de la récompense s’active facilement. Ceux qui en mange souvent quant à eux ne ressentent pratiquement aucune activation de cette sensation de plaisir ou du moins, est fortement diminuée par rapport aux personnes non habituées.

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Cela montre qu’une consommation régulière d’aliments très caloriques réduit le plaisir que l’on ressent. Manger trop de sucre finit par atténuer la réactivité du circuit de la récompense et donc le plaisir ressentit est réduit.

On constate par ailleurs que cette tendance est très similaire avec les consommateurs de cocaïne. Le cerveau, après un régime trop riche en sucre devient hypersensible aux images de nourriture. Le circuit de la récompense s’allume beaucoup plus fort quand on perçoit une image qui annonce qu’on va peut-être manger. Ce circuit s’active bien plus souvent chez ceux qui ont l’habitude de manger des crèmes glacées.

C’est ce mécanisme qui incite à manger sans avoir faim et qui est à l’origine de l’obésité et de tous les problèmes de santé qui vont avec.

III- Les facteurs protecteurs et préventifsComme tous les autres organes, le cerveau fonctionne grâce aux substances apportées par l’alimentation. Il a pourtant été pendant longtemps nié que l’alimentation pouvait avoir une influence sur la structure et la fonction cérébrale. Récemment, plusieurs micronutriments ont été évalués et reconnus pour avoir une implication directe dans le fonctionnement cérébral.

Je me suis appuyé dans cette partie sur plusieurs études qui concernent différents régimes comportant des aliments qui peuvent être bénéfiques pour ce fonctionnement cérébral.

Aujourd’hui, les épidémiologistes s’intéressent davantage à l’étude des régimes entiers plutôt qu’à des éléments nutritionnels individuellement. Cette approche permet de prendre en compte la globalité des interactions entre les différents aliments.

A ce jour, l’un des régimes qui est le plus mis en avant pour lutter contre certaines pathologies chroniques comme les maladies neurodégénératives par

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exemple est le régime méditerranéen. Nous allons voir en quoi ce régime est si bénéfique pour nos fonctions cognitives.

Ce régime est caractérisé par une consommation importante de fruits et légumes, céréales, légumineuses, graines, noix, une consommation modérée de viandes blanches, poissons et produits laitiers, une consommation faible de viandes rouges, produits sucrés et produits transformés, et enfin une utilisation quasi exclusive d’huile d’olive. A savoir également que la consommation d’alcool est autorisée, avec modération bien sûr, et qui est composée exclusivement de vin rouge (1 verre à chaque repas est permis). (Annexe 1) (7)

Par rapport au régime occidental, le régime méditerranéen se base sur des apports en graisses élevés, notamment caractérisés par une forte consommation d’acides gras monoinsaturés (oméga9) avec l’huile d’olive et de polyinsaturés (oméga3) avec les poissons gras, les graines oléagineuses ou encore certaines huiles végétales comme l’huile de noix ou de colza.

Il a également comme particularités d’apporter un nombre important de vitamines et minéraux, mais aussi de polyphénols et d’antioxydants contenus dans les fruits frais et légumes ou dans les aromates également. Concernant les polyphénols, on en retrouve beaucoup dans les fruits rouges comme les myrtilles par exemple. Ils sont réputés pour améliorer l’oxygénation du cerveau et ont la capacité de revigorer les neurones qui sont sur le déclin. Concernant les polyphénols que contiennent les myrtilles, une étude a été faite chez des rats sur un régime riches en ces dernières.

On a constaté une augmentation de la mémoire spatiale de ces animaux mais aussi une amélioration des capacités d’apprentissage chez les rats souffrants d’Alzheimer. Les fruits rouges possèdent les mêmes vertus chez les humains.

Il en est de même pour les graisses, et notamment les oméga 3 qui sont importants dans le régime méditerranéen. En effet, il est reconnu que les oméga 3 ont de nombreuses vertus pour notre corps et surtout pour notre cerveau. Cela est notamment dû à un acide gras de la famille des oméga 3, le DHA (acide docosahexaénoïque). Le DHA est important dans le fonctionnement du cerveau car c’est un élément structurel et fonctionnel de ce dernier, ainsi que de toutes les membranes cellulaires et les neurones. Il représente plus de 50% des oméga 3 du cerveau. De nombreuses études mettent en l’évidence les effets bénéfiques du DHA sur les cellules du cerveau dans la prévention de certaines maladies neurodégénératives. Le DHA peut traverser la barrière hématoencéphalique et parvenir au cerveau. Cependant, chez des patients atteints de la maladie d’Alzheimer, le niveau de DHA se voit réduire dans le cerveau et le plasma. (8)

Cela montre le rôle crucial du DHA dans la mémoire, l’apprentissage et les fonctions cognitives, ainsi qu’une valorisation d’une alimentation riche en oméga 3, ce qui permettrai entre autres de prévenir l’apparition ou la progression de maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

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Le fait que ce régime ai un impact positif sur nos fonctions cognitives permettrait d’affirmer qu’il est essentiel pour la population, et donc pour les personnes qui souffrent de maladies neurodégénératives. Le régime méditerranéen est aujourd’hui un des seuls régimes recommandés pour la prévention des maladies chroniques fréquentes.

Mais la science ne s’arrête pas là.

En effet, une équipe de chercheurs américains de l’université de Chicago a mis au point un régime se rapprochant fortement de celui du régime méditerranéen, MIND (Mediterranean-Dash Intervention of Neurodegenerative Delay), destiné à prévenir la maladie d’Alzheimer. Le régime MIND est l’interaction entre le régime méditerranéen et le régime DASH. (9)

Pour mettre au point MIND, l’équipe de chercheurs américains ont distingués neuf groupes d’aliments sains, contribuant au bon fonctionnement cérébral : les légumes verts à feuilles, les autres légumes, les céréales complètes, les légumes secs, les fruits oléagineux, les baies, les poissons, les volailles et l’huile d’olive. La spécificité de ce régime tient surtout à la consommation de légumes verts à feuilles (choux, épinards, cresson, blettes…) et de baies, en particulier les myrtilles qui contiennent beaucoup de polyphénols.

De ce fait, plusieurs études ont démontré l’efficacité de ces derniers en lien avec une baisse significative du déclin cognitif. Selon plusieurs études, les antioxydants naturels présents dans les légumes comme la vitamine A, C ou E ont un effet protecteur sur les membranes lipidiques des neurones, diminuent l’inflammation des vaisseaux ou encore peuvent lutter contre la leucopathie (altération des artérioles et des capillaires du cerveau). Le régime MIND implique de privilégier des produits frais, bio et de préférence cuits à la vapeur.

CONCLUSION

L’histoire de l’Homme a été marqué par une grande transition nutritionnelle, on est passé d’une alimentation traditionnelle à transformée puis ultra transformée, liée à l’hyper industrialisation de notre société. Le véritable problème c’est qu’il y a une grande différence entre la vie d’avant et celle de maintenant. Avant, cette situation était épisodique, à un moment très précis de l’année, avec entre autres l’apparition des fruits mûrs. Et maintenant, c’est devenu habituel, 24 heures sur 24 dans la plupart des produits alimentaires proposés.

Les statistiques ne cessent de nous montrer l’accroissement du pic des pathologies chroniques comme Alzheimer pour les maladies neurodégénératives.

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D’un côté, les chercheurs confectionnent de nouveaux remèdes en élaborant différents régimes ou autres, et de l’autre nous avons la filière agroalimentaire qui ne cesse de créer toujours plus sans se soucier des conséquences que cela apporte.

C’est pour cela qu’il est important d’adopter un régime alimentaire équilibré dès le plus jeune âge afin de protéger au mieux ses capacités cognitives.

ANNEXE

Annexe 1 :

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BIBLIOGRAPHIE

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(1) https://www.youtube.com/watch?v=p1UKVXA25EM , C'est pas sorcier -NEOLITHIQUE, UN TOURNANT POUR L'HUMANITE. Consulté le 02/03/20.

(2) « Tous gros demain ? 40 ans de mensonges, 10 kilos de surpoids », livre de Pierre Weill, mai 2007. Consulté le 04/03/20.

(3) https://www.atlantico.fr/decryptage/996871/comment-l-industrie- agroalimentaire-appauvrit-la-qualite-nutritionnelle-de-notre-alimentation-mangez-on-s-occupe-du-reste-plon-pierre-weill, consulté le 05/03/20.

(4) https://www.youtube.com/watch?v=EAgdoUJ5PWg, « MALBOUFFE - LES EFFETS SUR NOTRE CERVEAU | DOCUMENTAIRE ARTE SCIENCE ». Consulté le 13/03/20.

(5) https://lejournal.cnrs.fr/videos/addiction-lautre-poudre-blanche , entretien avec Serge Ahmed, directeur de recherche au CNRS de Bordeaux. Consulté le 17/03/20.

(6) https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02157713/document , « Impact de l’alimentation sur les troubles dépressifs de l’adulte et leur prise en charge » de Marion Bugaud, consulté le 11/04/20.

(7) https://www.lanutrition.fr/les-news/le-regime-mediterraneen-bon-pour-la- memoire-et-alzheimer, « Le régime méditerranéen bon pour la mémoire et pour Alzheimer », article sur le site LaNutrition. Consulté le 12/04/20

(8) https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-complements-alimentaires/ les-principaux-complements-alimentaires/les-complements-correcteurs-de-l-alimentation/les-omega-3/le-dha-lallie-sante-de-votre-cerveau, « Le DHA, l’allié santé de votre cerveau », Explications et conseils du Dr Mounir Belkouch, chercheur en neurosciences sur le site LaNutrition. Consulté le 12/04/20.

(9) https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/alzheimer-un-regime- pour-prevenir-la-maladie_30663, article sur le régime MIND sur le site Sciences et Avenir. Consulté le 13/04/20.

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