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Il s’agit d’une infection bactérienne qui touche principale- ment les femmes et ses symptômes définissent exacte- ment l’inconfort : • miction douloureuse et brûlante; • besoin d’uriner fréquent et souvent urgent; • présence de sang dans l’urine; • douleurs ou crampes abdominales basses; • frissons; • urine odorante ou trouble; • douleurs pendant les rapports sexuels. Cette infection porte le nom d’infection urinaire. Les femmes sont habituellement plus de dix fois plus affectées que les hommes par les infections urinaires. La moitié des femmes fait l’expérience d’au moins une infection urinaire dans leur vie et 10 % d’entre elles connaissent au moins une infection du genre pendant une année donnée. Plus de 30 % des infections urinaires se répètent dans les six mois qui suivent une incidence et elles peuvent être difficiles à traiter 1 . Qu’est-ce qu’une infection urinaire et quelles en sont les causes? De nature bactérienne, les infections urinaires peuvent affecter divers éléments de l’appareil urinaire. Elles s’infiltrent habituellement par l’urètre (urétrite) et peuvent se déplacer jusqu’à la vessie (cystite) et même jusqu’aux reins (pyélonéphrite), où elles peuvent devenir un grave problème de santé. Escherichia coli (E. coli ) est la souche bactérienne qui participe à 85 % des infections urinaires 2 . En raison d’un urètre plus court et de la proximité immédiate de l’anus, les infections à l’E. coli dans les voies urinaires se manifestent facilement chez les femmes. Les E. coli sont des bactéries communes que l’on trouve normalement dans l’intestin, mais elles sont très indésirables dans les voies urinaires où ils peuvent se multiplier rapidement et causer une infection. Pire encore, les parois des cellules de l’E. coli possèdent des projections « collantes » qui permettent aux cellules d’adhérer aux muqueuses de la vessie et de se multiplier, ce qui rend leur élimi- nation très difficile. Les souches bactériennes telles que Staphylococcus sapro- phyticus causent la plupart des autres infections urinaires. La présence de levures telles que Candida albicans est rare dans les infections urinaires, mais elle s’accroît. Les facteurs de risque de l’incidence des infections urinaires s’accroissent avec la fréquence et l’intensité des rapports sexuels, le diabète, la grossesse, la ménopause, la faiblesse du système immunitaire, des blocages dans les voies urinaires et avec l’utilisation de nettoyants forts pour la peau, des pilules anticonceptionnelles, des con- traceptifs et des spermicides. Des informations récentes indiquent que les infections urinaires peuvent également être contractées en consommant du poulet contaminé 3 . Traitement médical des infections urinaires Les médecins ont habituellement recours à des anti - biotiques pour traiter les infections urinaires après un diagnostic par le biais d’essais en laboratoire. Les an- tibiotiques sont efficaces et, selon le traitement utilisé, peuvent éliminer le problème dans une période d’un à dix jours. Malheureusement, ils peuvent être moins efficaces si l’infection se répète, car les infections urinaires peuvent être causées par une variété de bactéries. De plus, la surutilisation des antibiotiques peut mener à une résis- tance bactérienne qui réduit leur efficacité future. Étant donné que le tiers des infections se répète, bon nombre de femmes sont frustrées de ne pas trouver une solution à leurs infections urinaires. Prévention des infections urinaires La prévention des infections urinaires est le meilleur plan d’action. Une personne peut adopter plusieurs mesures simples pour réduire le risque d’infection urinaire. • Boire suffisamment d’eau pour rincer les voies urinaires et diluer l’urine. • Ne pas se retenir d’uriner. • Prendre une douche au lieu d’un bain (exposition réduite aux bactéries). • S’essuyer de l’avant à l’arrière après une miction ou une selle. • Se laver avant et après des rapports sexuels et vider la vessie le plus tôt possible. • Éviter les produits féminins irritants tels que les injec- tions vaginales et les poudres qui peuvent irriter l’urètre. Remèdes naturels pour les infections urinaires Une autre façon de prévenir et de traiter les infections urinaires consiste à utiliser un ingrédient naturel ou une combinaison de plusieurs d’entre eux qui ont démontré leur sécurité et leur efficacité. Canneberge — La canneberge est non seulement un fruit et un jus populaires, elle est aussi l’ingrédient naturel le plus populaire pour composer avec les infections urinaires. La canneberge a deux effets essentiels : 1) elle acidifie l’urine pour réduire la croissance bactérienne; 2) elle prévient l’adhérence des bactéries aux muqueuses de la vessie. On considère que la canneberge est plus efficace pour prévenir les infections urinaires que pour les traiter. D-mannose — Le D-mannose est un sucre simple dont de nombreuses personnes reconnaissent l’utilité pour les infections urinaires. Il fonctionne en recouvrant la bactérie E. coli . Étant plus collant que E. coli , le D-mannose prévient l’adhérence des bactéries aux muqueuses de la vessie, ce qui permet de les éliminer. Le D-mannose est fortement recommandé par les naturopathes, mais il doit toujours être validé par des études cliniques. Extrait d’hibiscus — L’hibiscus (Hibiscus sabdariffa) de l’Afrique de l’Ouest est utilisé depuis des siècles dans les tisanes. Elle a été utilisée traditionnellement pour traiter les infections urinaires, les crampes menstruelles et l’hypertension, ainsi que pour apaiser les voies respi- ratoires et améliorer la santé de la peau et des cheveux (usage externe). L’hibiscus est riche en composés naturels, tels que les anthocyanines, les proanthocyanines, les polysaccha- rides et les acides organiques, et c’est pourquoi la plante a été étudiée davantage pour sa capacité de prévenir et de traiter les infections urinaires. En France, un extrait d’hibiscus breveté particulier, appelé UTIROSE MC , a fait l’objet d’essais cliniques à double insu chez les humains pour évaluer son potentiel. Dans l’étude sur l’extrait d’hibiscus UTIROSE MC , on a évalué 90 femmes âgées de 18 à 55 ans ayant des antécédents d’infections urinaires récurrentes (8 infec- tions et plus par année). Au cours d’une période de 24 semaines, les femmes qui ont pris quotidiennement 200 mg d’UTIROSE MC ont réduit l’incidence d’infections urinaires de 77 % (contre 20 % pour les femmes ayant ingéré un placebo) 4 . Il s’agissait de résultats très prom- etteurs et plus positifs que tout autre extrait de plante étudié antérieurement. Finalement . . . Prévention des infections urinaires prouvée en clinique « …les femmes ont réduit de 77 % l’incidence des infections urinaires en prenant 200 mg d’UTIROSE MC par jour… » suite à la page 2 un soulagement des infections urinaires! ALERTE HEALTH FIRST Volume 1 Nº 21

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Volume 1 Issue 20

Il s’agit d’une infection bactérienne qui touche principale-ment les femmes et ses symptômes définissent exacte-ment l’inconfort :•mictiondouloureuseetbrûlante;•besoind’urinerfréquentetsouventurgent;•présencedesangdansl’urine;•douleursoucrampesabdominalesbasses;•frissons;•urineodoranteoutrouble;•douleurspendantlesrapportssexuels.Cetteinfectionportelenomd’infectionurinaire.Les femmes sont habituellement plus de dix fois plus affectées que les hommes par les infectionsurinaires.Lamoitiédesfemmes fait l’expérience d’au moins uneinfectionurinairedansleurvieet 10 % d’entre elles connaissent au moins une infection du genre pendantuneannéedonnée.Plusde 30 % des infections urinaires se répètent dans les six mois qui suivent une incidenceet el lespeuventêtredifficilesàtraiter1.Qu’est-ce qu’une infection urinaire et quelles en sont les causes?Denaturebactérienne,lesinfectionsurinairespeuventaffecterdiversélémentsdel’appareilurinaire.Elless’infiltrenthabituellementparl’urètre(urétrite)etpeuventsedéplacerjusqu’àlavessie(cystite)etmêmejusqu’aux

reins(pyélonéphrite),oùellespeuventdevenirungraveproblèmedesanté.Escherichia coli (E. coli) est la souche bactérienne qui participeà85%desinfectionsurinaires2.Enraisond’un urètre plus court et de la proximité immédiate de l’anus,lesinfectionsàl’E. colidanslesvoiesurinairessemanifestentfacilementchezlesfemmes.LesE. coli sont desbactériescommunesquel’ontrouvenormalementdans l’intestin, mais elles sont très indésirables dans les voiesurinairesoùilspeuventsemultiplierrapidementetcauseruneinfection.Pireencore,lesparoisdescellulesde l’E. coli possèdent des projections « collantes » qui

permettent aux cellules d’adhérer auxmuqueusesdelavessieetdese multiplier, ce qui rend leur élimi-nationtrèsdifficile.Les souches bactériennes telles que S taphy lococcus sapro -phyticus causent la plupart des autres infectionsurinaires.Laprésencedelevurestellesque Candida albicans est rare dans les infections urinaires, mais elle s’accroît.Lesfacteursderisquede l ’incidence des infections

urinairess’accroissentaveclafréquenceetl’intensitédesrapports sexuels, le diabète, la grossesse, la ménopause, la faiblesse du système immunitaire, des blocages dans lesvoiesurinairesetavecl’utilisationdenettoyantsfortspour la peau, des pilules anticonceptionnelles, des con-

traceptifsetdesspermicides.Desinformationsrécentesindiquentquelesinfectionsurinairespeuventégalementêtrecontractéesenconsommantdupouletcontaminé3.Traitement médical des infections urinairesLesmédecinsonthabituellementrecoursàdesanti-biotiques pour traiter les infections urinaires après un diagnosticparlebiaisd’essaisenlaboratoire.Lesan-tibiotiques sont efficaces et, selon le traitement utilisé, peuventéliminerleproblèmedansunepérioded’unàdixjours.Malheureusement,ilspeuventêtremoinsefficacessil’infectionserépète,carlesinfectionsurinairespeuventêtrecauséesparunevariétédebactéries.Deplus,lasurutilisationdesantibiotiquespeutmeneràunerésis-tancebactériennequiréduitleurefficacitéfuture.Étantdonné que le tiers des infections se répète, bon nombre defemmessontfrustréesdenepastrouverunesolutionàleursinfectionsurinaires.Prévention des infections urinairesLapréventiondesinfectionsurinairesestlemeilleurpland’action.Unepersonnepeutadopterplusieursmesuressimplespourréduirelerisqued’infectionurinaire.•Boiresuffisammentd’eaupourrincerlesvoiesurinairesetdiluerl’urine.

•Nepasseretenird’uriner.•Prendreunedoucheaulieud’unbain(expositionréduiteauxbactéries).

•S’essuyerdel’avantàl’arrièreaprèsunemictionouuneselle.

•Selaveravantetaprèsdesrapportssexuelsetviderlavessieleplustôtpossible.

•Éviterlesproduitsfémininsirritantstelsquelesinjec-tionsvaginalesetlespoudresquipeuventirriterl’urètre.

Remèdes naturels pour les infections urinairesUneautrefaçondepréveniretdetraiterlesinfectionsurinairesconsisteàutiliseruningrédientnaturelouunecombinaison de plusieurs d’entre eux qui ont démontré leursécuritéetleurefficacité.Canneberge — La canneberge est non seulement un fruit et un jus populaires, elle est aussi l’ingrédient naturel lepluspopulairepourcomposeraveclesinfectionsurinaires.Lacannebergeadeuxeffetsessentiels:1)elleacidifiel’urinepourréduirelacroissancebactérienne;2)elleprévientl’adhérencedesbactériesauxmuqueusesdelavessie.Onconsidèrequelacannebergeestplusefficacepourprévenirlesinfectionsurinairesquepourlestraiter.D-mannose — Le D-mannose est un sucre simple dont de nombreuses personnes reconnaissent l’utilité pour les infectionsurinaires.IlfonctionneenrecouvrantlabactérieE. coli.ÉtantpluscollantqueE. coli, le D-mannose prévientl’adhérencedesbactériesauxmuqueusesdelavessie,cequipermetdeleséliminer.LeD-mannoseest fortement recommandé par les naturopathes, mais il doittoujoursêtrevalidépardesétudescliniques.Extrait d’hibiscus — L’hibiscus (Hibiscus sabdariffa) de l’Afriquedel’Ouestestutilisédepuisdessièclesdanslestisanes.Elleaétéutiliséetraditionnellementpourtraiter les infections urinaires, les crampes menstruelles etl’hypertension,ainsiquepourapaiserlesvoiesrespi-ratoiresetaméliorerlasantédelapeauetdescheveux(usageexterne).L’hibiscus est riche en composés naturels, tels que les anthocyanines, les proanthocyanines, les polysaccha-rides et les acides organiques, et c’est pourquoi la plante aétéétudiéedavantagepoursacapacitédepréveniretdetraiterlesinfectionsurinaires.EnFrance,unextraitd’hibiscusbrevetéparticulier,appeléUTIROSEMC, a fait l’objetd’essaiscliniquesàdoubleinsuchezleshumainspourévaluersonpotentiel.Dansl’étudesurl’extraitd’hibiscusUTIROSEMC, on aévalué90femmesâgéesde18à55ansayantdesantécédentsd’infectionsurinairesrécurrentes(8infec-tionsetplusparannée).Aucoursd’unepériodede24semaines, les femmes qui ont pris quotidiennement 200mgd’UTIROSEMC ont réduit l’incidence d’infections urinaires de 77 % (contre 20 % pour les femmes ayant ingéré un placebo)4.Ils’agissaitderésultatstrèsprom-etteurs et plus positifs que tout autre extrait de plante étudiéantérieurement.

Finalement . . .

Prévention des infections urinaires prouvée en clinique

« …les femmes ont réduit de 77 % l’incidence

des infections urinaires en prenant 200 mg

d’UTIROSEMC par jour… »

suite à la page 2

un soulagement des infections urinaires!

Alerte HeAltH FirstVolume 1 Nº 21

Page 2: Volume 1 Nº 21 - kinat.com Supreme - Fr.pdf · la croissance bactérienne. Soutient le système immunitaire pour réduire le risque d’infection urinaire. Elles aident l’organisme

Extraitd’hibiscusUTIROSEMC (Hibiscus sabdariffa, fleur) . . . . . . .100 mg (Extrait12,5:1équivalantà1250mgd’hibiscus)

Jus de canneberges déshydraté (Vaccinium macrocarpon, fruit) .200 mgCanneberges (Vaccinium macrocarpon, fruit). . . . . . . . . . . . . . . . .100 mg

Ingrédients médicinaux :Chaquecapsulevégétalecontient:

D-mannose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25mgFarinederiz,silicesublimée,stéaratedemagnésium,cellulose.

Ingrédients non médicinaux :

Produitutiliséenphytothérapiepourparticiperàlapréventiondesinfectionsurinairesrécurrentes.Fournitdesantioxydantspourlemaintiend’unebonnesanté.

Usage recommandé :

Résultats de l’étude clinique sur UTIROSEMC

Allaert, F. A., « Prevention of recurrent cystitis in women: double-blind, placebo-controlled study of Hibiscus sabdariffa L. extract », La Lettre de l’Infectiologue — Traduction du numéro original • Tome XXV - n° 2 - mars-avril 2010.

Adultes:Prendre2capsulesparjourouselonlesdirectivesd’unprofession-neldelasanté.

Posologie recommandée :

Prendrependantunminimumde4semainespourconstaterdeseffetsbénéfiques.Pourunusaged’uneduréesupérieureà3mois,consulterunprofessionneldelasanté.

Durée recommandée de l’usage :

Les personnes qui prennent des anticoagulants, ainsi que celles qui ont desantécédentsdecalculsrénaux,doiventconsulterunprofessionneldelasantéavantdeprendreleproduit.Silessymptômespersistentous’aggravent,consulterunprofessionneldelasanté.

Information sur les risques :

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(suite de la première page)

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L’analyseamontréqu’UTIROSEMC a obtenu ces résultats par le biais de plusieurs modes d’action :1.Inhibition de la flore bactérienne — Contrairement

auxcannebergesetauD-mannose,UTIROSEMC a démontré réellement sa capacité de décontaminer les E. coli et les Candida albicans qui participent aux infec-tionsurinaires.Desétudesontmontréqu’UTIROSEMC peut décontaminer E. coli d’un média en un seul jour enraisondesescomposésphénoliques.

2.Anti-adhérence des E. coli —Toutcommelescan-neberges,UTIROSEMCcomprenddesanthocyanines,desproanthocyaninesetdesflavonoïdesquiaidentàempêcherlesbactériesE. coli d’adhérer aux parois de lavessieetpermettentdeleséliminer.

3.Acidification de l’urine — L’hibiscus a agi comme les canneberges pour acidifier l’urine et accroître la difficultépourlesbactériesdeproliférer.L’apportd’UTIROSEMCaétéenmesurederéduirelepHnormaldel’urine(7,5à8,0)à5,6.

4.Évitement de la résistance des germes — Bienqu’UTIROSEMC soit capable de décontaminer des bactéries telles qu’E. coli, il n’affiche pas le risque associéàlasurutilisationdesantibiotiques.Lerecoursexcessifauxantibiotiquespeutsetraduire,avecletemps,parunerésistancebactérienne,quimèneàunrisqued’infectionaccruetàlaréussitelimitéedestraitements.

Les autres améliorations dont ont profité les patients dansl’étudesurUTIROSEMC ont été une réduction de la douleurpendantlamictionetdel’odeurdel’urine.

RÉFÉRENCES :1. University of Maryland Medical Center http://www.umm.edu/altmed/articles/urinary-tract-000169.htm.2. Balch, Phyllis A., Prescription for Nutritional

Healing, Avery, 2006, p. 245.3. www.huffingtonpost.com/2012/02/17/

uti-chicken-urinarytract-infection-contaminated-e-coli_n_1285519.html

4. Allaert, F. A., « Prevention of recurrent cystitis in women: double-blind, placebo-controlled study of Hibiscus sabdariffa L. extract », La Lettre de l’Infectiologue — Traduction du numéro original • Tome XXV - n° 2 - mars-avril 2010.

Vitamine C, 1 000 mg, àactionretard

Immuno-FirstMultivitaminesMulti-First

LavitamineCdel’acideascorbiqueaideàacidifier

davantagel’urinepourprévenirlacroissancebactérienne.

Soutient le système

immunitaire pour réduire le risqued’infectionurinaire.

Ellesaidentl’organismeàréagir au stress lorsqu’il

composeavecuneinfection.

UTISupremecontientunecombinaisond’ingrédientsnaturelsquiaidentàprévenirlesinfectionsurinairesdouloureusesetdésagréables.• Leprincipalingrédientd’UTISupremeestUTIROSEMC,unextraitd’hibiscusbrevetéélaboréenFrance.• Àunedosequotidiennede200mg,UTIROSEMCaétéprouvéencliniquepourréduirede77%larépétitiondesinfectionsurinaireschezlesfemmesquiontdesantécédentsd’infectionsfréquentes.

• L’hibiscusUTIROSEMC possède un « facteur de tuerie » antibactérien qui lui permet de décontaminer des bactéries telles qu’E. coli et Candida albicansenunseuljour.

• UTIROSEMCaideàdésodoriserl’urine.• UTISupremecontientàlafoisdescannebergesetdujusdecanneberges.Lacannebergeestreconnuepouraideràprévenirlesinfectionsurinairesenrendantdifficilel’adhérencedesbactériesauxvoiesurinaires,cequipermetleuréliminationpendantlamiction.

• UTISupremecontientégalementduD-mannoseàtitred’ingrédientdesoutien.Commelacanneberge,leD-mannoseagitcommeunantiadhérentpourlesbactériesdanslesvoiesurinaires.

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UTIROSEMC

Confort urinaire

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Efficacité antimicrobienne d’UTIROSEMC

L’étude de recherche clinique a montré que l’ingestion de200mgparjourd’UTIROSEMC par les femmes ayant des antécédents d’infections urinaires récurrentes aide àréduirelesinfectionsde77%après24semaines.

L’extraitd’hibiscusUTIROSEMC contient de puissants acidesphénoliquesquipeuventdécontaminerles bactéries E. colienunseuljour.

UTIROSEMC est une marque de commerce de Natures Inc.