Vendredi 22 Mars 1918. |j · nord de Moglena. Un avion ennemi a été abattu en combat aérien....

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Année N* 11119. EDITION UNIOUF - - Vendredi 22 Mars 1918. 3O' Ann*©« 11110. . - mi n__ iirags, ^___p |j 1111 ___B s ^BIP S^^P . s ^y^* 8 ^ 111 Te'^ e: 3^ 037 JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN Directeur : Recé MERCIER ABONNEMENTS T 8 -~' S I ^ I Direction et Administration Bureaux de Paris Lj A C La ***** - «ç« « b u , ea _ de r£* R^ifc-- Meuithe-ei-MmelU. Même, Voge» . .. 7 e 14 » j 28 » Faubourg Saiot-Jeaa et Boulevard Mazagran | Passage de* Prince* .. JP*!"p - " i/TT * » M A=u« *,___» S » 16 S 32 » |JJ . NANCY 97. R„ RlcheUeo. et 5 _. Bo U .ev„d de, !__. IV ^ J_ J f^ A ""'l_" , _i Ii ^ htranget . » ' * 1 . | ] LES COUPS DE SONDE ENNEMIS orennenî (Je I envergure et se rouiliplient ; Ils échouent rartnu notamment en Cl :Tt H *s. sur !s Weuse et enLorrîîni lux abords de Loueonville et ramené une points du fron,, uo L.nainpugne. uans cette plernière région, les Allemands ont pronon- UJS Harlus, dans la région de Souam et feers la route de Samt-Souplet. çénétré au premier^abord.^Des prisonniers jneny. Les détachements a attaque lances (vers 1 h. 30, après une vive préparation ^'artillerie ont été repoussés par nos feux et ont subi des pertes sérieuses, sans au- pam résultat. De. notre cote, nous avons * ; ' Paris, 22 mars, 0 h. 10. Communiqué officiel du 21 mats, 23 heu- I tiilerie allemande s'est maintenue très ] violente entre la Miette et l'Aisne, dans toute la région de Reims et sur le front de Champagne, particulièrement entre la région des Monts et Ville-sur-Tourbe. Nos batteries ont partout énergique- I Dans le seceur des Hurlus, l'ennemi a | exécuté trois attaques successives qui ont j été brisées par nos feux ou rejetées par ' A l'est de Suippe, des tentatives de coups de main ennemis ont subi un échec com- quelques points de la Woevre, bombarde- ments assez intenses de nos premières lignes. Fonck abat son 30' boche Le sous-lieutenant Fonck a abattu, dans Paris, 21 mars, 16 h. 10. i Communiqué britannique du 21 mars, après-midi : Ce matin, à la première heure, l'ennemi a déclenché un violent bombardement sur ■toute l'étendue du front, entre les abords 148 Vendeuil (sud de Saint-Quentin) et la ] Nous avons exécuté avec succès, la nuit dernière, vers Saint-Quentin, un coup de main qui nous a permis de ramener treize prisonniers et trois mitrailleuses. Des ren- contres de patrouilles, au sud-est de Mes- sines et un autre coup de main au sud de la forêt d'Houtlhust nous ont valu en- *core un certain nombre de prisonniers. Une tentative de raid allemand a échoué [ Ce matin, vers 8 heures, à la suite d'un I violent bombardement par obus explosifs j et toxiques de nos lignes d'avant et des j tones d'arrière, l'ennemi a lancé une puis- j } santé attaque sur un front de plus de ! Qllâtrp«viniTt5 ki]ftm?>trpQ rnirt» l'Oi<n (i't'< _v.roisiiies). il faisait en même temps plu- sieurs démonstrations d'artillerie sur un j née de nombreux renforts en marche à l'in" I Plusieurs divisions, comprenant des uni- i tés de la garde, spécialement entraînées en vue de cette grande attaque, ont déjà été De l'examen des cartes saisies indiquant les projets de l'ennemi, il résulte qu'en ! aucune partie de ce large front il n'est par- venu à atteindre ses objectifs. La pluie et les nuages ont presque com- plètement arrêté, hier, les opérations aé- ; _ I Le temps, qui s'est amélioré à la tombée de la nuit, a permis à nos aviateurs de jeter trois cents bombes sur un aérodrome servant de point de départ aux escadrilles de bombardement de nuit, au sud-ouest de J Tournai, et sur un important dépôt de ] munitions au nord-est de Saint-Quentin. Tous nos appareils sont rentrés indem- I | nés. Havas. »» m ^ ■■■ , Communiqué belge du 21 mars : Dans la journée du 20, vive activité de» artilleries. Les Allemands ont principale- Journée du 21 Pendant la nuit, au I cours d'un engagement naval au large de vers La Panne par des bâtiments ennemis: De violents tirs à. obus toxiques ont été dirigés sur tout notre front par l'artillerie ennemie contre nos batteries qui ont vigou- Cette grande activité des artilleries, avec l'usage d'obus toxiques, s'est prolongée pen- I dam toute la journée du 21. Nos communi- | cations ont été violemment canonnées. I Paris, 21 mars, 18 h. 32. ROME (officiel). Nos patrouilles, à la "général Alfieri demande un com- mandement au front pav^ Sèner&l Zuppelli, sénateur. - I POUR LA TERRE I paiera ceux qui cultiveront les terrei FRONT D ORIENT Paris, 21 mars, 23 h. 15- Communiqué français d'Orient, du 20 Activité de l'artillerie réciproque dans sur les établissements ennemis de la vallée de la Struma, de celle du Vardar et au nord de Moglena. Un avion ennemi a été abattu en combat aérien. Havas. LONDRES. : On mande de New-York « D'après une information, tous les chefs maximalistes sont payés par l'Alle- magne, pour leur propagande en France en Russie et en Italie, non pour aider le Ambitions turques vers la mer Uaspiennne [ Havas. Un Embusqué de marque Le Temps signale que le général Rodier, On dit que le général Rodier avait pris comme porte-fanion un banquier, M. Sin- ger, pour lui permettre d échapper au camp de concentration. Selon un journal algérien, Singer faisait de fréquents voyages entre Aïin-Sefra et Oran, il organisait des fêtes brillantes. Il venait aussi fréquemment à Paris. Havas. L'roMMNïTR M flfiMRITTÂNT ii liivi-iillliiiLi 1/U wiuyA11ni» t La Chambre la porté à 3 fr. La séance de jeudi à la Chambre est présidée par M. Deschanel, qui prononce l'élo£o funèbre de M Rouen, députe du I M. Rainguier, député de l'Aisne, pose une question sur les retards, dans le paie- ment rapatriées en Franco. M. Albert Favre dit qu'il va envoyer une circulaire aux préfets afin que ces familles touchent un rappel intégral des allocations et des majorations. t M. Deschanel demande au ministre des travaux publics quelle date lui convient pour i luw?rpeiidnon sut it^a umBm*n LILI transports par chemins de fer. Cette in- terpellation est renvoyée après la discus- sion sur la politique économique. M. Claveille expose les mesures prises pour remédier à la situation. i Ta P.hnmhro aHnnte Hiver* nrniets de jua (jiiamore duupic uiveis projets ut, loi, puis l'ordre du jour appelle la discus- nité au profit des soldats engagés dans les combats (loi du 31 mars 1917), ouverture au ministère de la guerre d'un crédit de 180 millions au chapitre 7 de la solde de M. Noël, rapporteur, explique que pour donner satisfaction à M. Landry, la com- mission a décidé une majoration de 20 % sur la somme totale inscrite au livret de pécule pour chaque enfant âgé de moins les dispositions du projet do loi est adopté. M. Voiliu s'élève contre l'économie du facultatif, au lieu d'un pécule obligatoire. M. Bourély parle des soldats orphelins. M. Faure demande le renvoi à la com- mission. Sur la demande de M. Jean Bon deman- dant le renvoi du projet à la commission de l'armée, M. Abrami répond que l'avis de la commission de l'armée a été donné et inséré au Journal officiel de ce matin. On repousse, par 346 voix contre 147, le renvoi du projet à la commission. M. Jobert soutient un contre-projet de- mandant que tous les militaires de l'ar- mée française, officiers, sous-officiers et soldats, reçoivent une indemnité spéciale uniforme journalière de deux francs. Elle sera de deux à cinq francs pour les troupes engagées dans la ligne de feu. M. Abrami dit qu'un tel projet serait mettre à la charge de l'Ktat une somme supérieure de plus de quatre milliards. Le contre-projet Jobert est repoussé par 315 voix contre 13».. La Chambre adopte l'article premier du projet ouvrant un crédit do 130 millions applicables au chapitre du budget du ini- îrancs l indemnité spéciale tuioueo aux militaires engagés directement dans le combat, à partir du 1* janvier 1018. On adopte le premier paragraphe de l'article 3, étendant cette indemnité de trois francs non seulement aux soldais et L'amendement Voilin tendant à rendre > le Décule facultatif au lieu d'être obliga. rieure. La séance est levée à 19 h. 10. Séance demain. Ilavas.. Paris' 21 mars, 22 h 10. j Nos troupes s'avançant e Port-Amélie, ont repoussé un détachement et sout en contact avec un fovt détachement ennemi, i t + LA CRISE ESPAGNOLE Paris, 21 mars, 21 h- 32. LES SCANDALES Uil JjJJîiîJ k%Lkm.L%Là J.fiJ.iiM Uli JUiiJ.ïViiU Deux torpiHeurs et deux destroyers ennemis qui venaient de bombarder Dunkerque, se LONDRES. L'Amirauté annonce que cinq j au^ large de^Duckerque, deux contre-tor- 1 aris, 21 mars, 20 h. 15. LONDRES (officiel). Le vice-amiral com- mandant Douvres signale qu'un engage- I ment de contre-torpilleurs a eu lieu, au [ large de Dunkerque, entre 4 et 5 heures du matin, le 21 mars. | Deux destroyers anglais et trois français j ont engagé le combat avec un groupe de ] destroyers allemands, qui avaient aupara- ! vant bombardé Dunkerque pendant dix Des survivants de deux torpilleurs en- Paris, 21 mars, 21 h. 25. Voici le communiqué officiel français I snr l'engagement naval au large de Dun- kerque : Une division légère franco-britannique, composée de trois contre-torpilleurs fran- çais et de trois bâtiments anglais, a livré un combat dans la mer du Nord, ce ma- tin, entre 4 et 5 heures, à un groupe de torpilleurs allemands, du type A, dont deux ont été coulés. Peu de temps après, la même division légère a livré un second combat à un groupe de cinq grands contre-torpilleurs, qui venaient de bombarder Dunkerque. Un destroyer allemand a été coulé et il est probable que deux autres destroyers en- ! nemis ont été détruits. Des prisonniers j sont restés entre nos mains. Des renseignements recueillis, il résulte que trois groupes avaient mission de bom- I barder Dunkerque, La Panne et Bray-Du- Un seul navire britannique a été légère- ment avarié et a pu rentrer au port Du côté français, ni tués ni blessés. I Havas. îll ^J'iid: P (tê L80D uFlllODI ignorent même.ce qu'il i'ut et ce qu'il fit ; mière ; toutefois, & ne s'en tenir qu'au sou- venir des heures do bonne compagnie et de liaison amicale, on doit dire sans am- hairnc mir. rtiu mip l'on ont mit en commu- nion d'esprit avec cet, homme, de jour en j jour l'estime et l'affection grandissaient... Plein de mansuétude, il y avait toujours en lui quelque chose de rayonnant qui rêvé- I ^^Bl^ni& if^^ la pi Mme Grillon, se réfugier à Issoncourt, petit village meusien résidence actuelle rissait, mais loin de oe qui avait été la passion de toute sa vie, loin de ce qu'il avait aimé, loin de ses espoirs, loin de ce aui avait été sa lumière... Et là, dans ce coin modeste, à deux pas du front, le père et te lils personnifiaient la bonté, le dévouement et le courage. Léon Grillon Jean Grillon... Nancy Léon Grillon ne sera pas oublié, aprèa les jours tragiques sonnera l'heure de la Bzmss téléphonistes Cour d'appel de Nancy Acquitte. Ln jeune employé de corn. I merce, réformé de guerre, se trouvant, le propos défaitistes dans le train qui la ra- I Nos brave» M. Joseph Ehkirch, ancien compositeur de l'Imprimerie Berger-Levrault, a été cité à l'ordre de la brigade, avec la mention pris en plein coinLat ie eonnouiiPeiuont da i^i aoûi et du i sepnembre Ud6- » Le général commandant le ..corps et dévoué. Le 10 août 1917, a fait preuve d'une courageuse initiative et d'un sang- froid remarquable en faisant reconstruire, en une seule nuit et sous un violent bom- bardement, un observatoire qui venait d'être détruit par l'artillerie ennemie. M. Pierre Beaujard est membre de la Société de tir de Champigneulles. Nos compliments. feuie a La yiJCUbK Graisse végétale - Dans les Épiceries. nent de se terminer, les élèves dont les noms suivent ont obtenu les brevets de I nier, riaudeville. Grenadiers classés. Pollot A. Haude- <-.ertilicat de préparation au service mi- r 1 ~ Pollot A., Farnier, Haudeville, LejaiUe. i naste. Départ à 13 h. 30, pour se ren- are au stand de la Carabine Nancéienne. îrieone sup-le tir pour la classe 19. Tir i 1 ( ^î' ablne ; ir les classes inférieures. A lb heures, réunion du Comité Le président, BÉRAEB- Analyses baciêriologiaues des eaux da $ mars 1918 il PIOÎJOS 06 13, ÏOOFl i ? iti . ro^se, uo is mort de not^ft affectations, il faut tenir évidemment compte de l'opnion qui, surtout en 1914, ne conceait pas le deoir patriotique sans Prenez Pierre-Maurice Masson restant k sort.

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Année — N* 11119. EDITION UNIOUF - - Vendredi 22 Mars 1918. 3O' Ann*©« 11110. . - — — mi n__

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LES COUPS DE SONDE ENNEMIS orennenî (Je I envergure et se rouiliplient ;

Ils échouent rartnu notamment en Cl :Tt H *s. sur !s Weuse et enLorrîîni

lux abords de Loueonville et ramené une

points du fron,, uo L.nainpugne. uans cette plernière région, les Allemands ont pronon-

UJS Harlus, dans la région de Souam et feers la route de Samt-Souplet.

çénétré au premier^abord.^Des prisonniers

jneny. Les détachements a attaque lances (vers 1 h. 30, après une vive préparation ^'artillerie ont été repoussés par nos feux et ont subi des pertes sérieuses, sans au-

pam résultat. De. notre cote, nous avons

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Paris, 22 mars, 0 h. 10. Communiqué officiel du 21 mats, 23 heu- I

tiilerie allemande s'est maintenue très ] violente entre la Miette et l'Aisne, dans toute la région de Reims et sur le front de Champagne, particulièrement entre la région des Monts et Ville-sur-Tourbe.

Nos batteries ont partout énergique- I

Dans le seceur des Hurlus, l'ennemi a | exécuté trois attaques successives qui ont j été brisées par nos feux ou rejetées par

' A l'est de Suippe, des tentatives de coups de main ennemis ont subi un échec com-

quelques points de la Woevre, bombarde-ments assez intenses de nos premières lignes.

Fonck abat son 30' boche Le sous-lieutenant Fonck a abattu, dans

Paris, 21 mars, 16 h. 10. i Communiqué britannique du 21 mars, après-midi :

Ce matin, à la première heure, l'ennemi a déclenché un violent bombardement sur

■toute l'étendue du front, entre les abords 148 Vendeuil (sud de Saint-Quentin) et la ]

Nous avons exécuté avec succès, la nuit dernière, vers Saint-Quentin, un coup de main qui nous a permis de ramener treize prisonniers et trois mitrailleuses. Des ren-contres de patrouilles, au sud-est de Mes-sines et un autre coup de main au sud de la forêt d'Houtlhust nous ont valu en-

*core un certain nombre de prisonniers. Une tentative de raid allemand a échoué

[ Ce matin, vers 8 heures, à la suite d'un I violent bombardement par obus explosifs j et toxiques de nos lignes d'avant et des j tones d'arrière, l'ennemi a lancé une puis- j

} santé attaque sur un front de plus de !

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née de nombreux renforts en marche à l'in"

I Plusieurs divisions, comprenant des uni-i tés de la garde, spécialement entraînées en vue de cette grande attaque, ont déjà été

De l'examen des cartes saisies indiquant les projets de l'ennemi, il résulte qu'en

! aucune partie de ce large front il n'est par-venu à atteindre ses objectifs.

La pluie et les nuages ont presque com-plètement arrêté, hier, les opérations aé-; _ I

Le temps, qui s'est amélioré à la tombée de la nuit, a permis à nos aviateurs de jeter trois cents bombes sur un aérodrome servant de point de départ aux escadrilles de bombardement de nuit, au sud-ouest de J Tournai, et sur un important dépôt de ] munitions au nord-est de Saint-Quentin.

Tous nos appareils sont rentrés indem- I | nés. — Havas.

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, Communiqué belge du 21 mars : Dans la journée du 20, vive activité de»

artilleries. Les Allemands ont principale-

Journée du 21 —— Pendant la nuit, au I cours d'un engagement naval au large de

vers La Panne par des bâtiments ennemis: De violents tirs à. obus toxiques ont été

dirigés sur tout notre front par l'artillerie ennemie contre nos batteries qui ont vigou-

Cette grande activité des artilleries, avec l'usage d'obus toxiques, s'est prolongée pen-

I dam toute la journée du 21. Nos communi- | cations ont été violemment canonnées. —

• I Paris, 21 mars, 18 h. 32.

■ ROME (officiel). — Nos patrouilles, à la

"général Alfieri demande un com-mandement au front

pav^ Sèner&l Zuppelli, sénateur. -

I POUR LA TERRE I

paiera ceux qui cultiveront les terrei

FRONT D ORIENT

Paris, 21 mars, 23 h. 15-Communiqué français d'Orient, du 20

Activité de l'artillerie réciproque dans

sur les établissements ennemis de la vallée de la Struma, de celle du Vardar et au nord de Moglena. Un avion ennemi a été abattu en combat aérien. Havas.

LONDRES. : On mande de New-York « D'après une information, tous les

chefs maximalistes sont payés par l'Alle-magne, pour leur propagande en France en Russie et en Italie, non pour aider le

Ambitions turques vers la mer Uaspiennne

[ Havas.

Un Embusqué de marque

Le Temps signale que le général Rodier,

On dit que le général Rodier avait pris comme porte-fanion un banquier, M. Sin-ger, pour lui permettre d échapper au camp de concentration.

Selon un journal algérien, Singer faisait de fréquents voyages entre Aïin-Sefra et Oran, où il organisait des fêtes brillantes. Il venait aussi fréquemment à Paris. Havas.

L'roMMNïTR M flfiMRITTÂNT ii liivi-iillliiiLi 1/U wiuyA11ni» t

La Chambre la porté à 3 fr. La séance de jeudi à la Chambre est

présidée par M. Deschanel, qui prononce l'élo£o funèbre de M Rouen, députe du

I M. Rainguier, député de l'Aisne, pose une question sur les retards, dans le paie-

ment rapatriées en Franco. M. Albert Favre dit qu'il va envoyer une

circulaire aux préfets afin que ces familles touchent un rappel intégral des allocations et des majorations.

t M. Deschanel demande au ministre des travaux publics quelle date lui convient pour i luw?rpeiidnon sut it^a umBm*n LILI

transports par chemins de fer. Cette in-terpellation est renvoyée après la discus-sion sur la politique économique.

M. Claveille expose les mesures prises pour remédier à la situation.

i Ta P.hnmhro aHnnte Hiver* nrniets de jua (jiiamore duupic uiveis projets ut, loi, puis l'ordre du jour appelle la discus-

nité au profit des soldats engagés dans les combats (loi du 31 mars 1917), ouverture au ministère de la guerre d'un crédit de 180 millions au chapitre 7 de la solde de

M. Noël, rapporteur, explique que pour donner satisfaction à M. Landry, la com-mission a décidé une majoration de 20 % sur la somme totale inscrite au livret de pécule pour chaque enfant âgé de moins

les dispositions du projet do loi est adopté. M. Voiliu s'élève contre l'économie du

facultatif, au lieu d'un pécule obligatoire. M. Bourély parle des soldats orphelins. M. Faure demande le renvoi à la com-

mission. Sur la demande de M. Jean Bon deman-

dant le renvoi du projet à la commission de l'armée, M. Abrami répond que l'avis de la commission de l'armée a été donné et inséré au Journal officiel de ce matin.

On repousse, par 346 voix contre 147, le renvoi du projet à la commission.

M. Jobert soutient un contre-projet de-mandant que tous les militaires de l'ar-mée française, officiers, sous-officiers et soldats, reçoivent une indemnité spéciale uniforme journalière de deux francs. Elle sera de deux à cinq francs pour les troupes engagées dans la ligne de feu.

M. Abrami dit qu'un tel projet serait mettre à la charge de l'Ktat une somme supérieure de plus de quatre milliards.

Le contre-projet Jobert est repoussé par 315 voix contre 13»..

La Chambre adopte l'article premier du projet ouvrant un crédit do 130 millions applicables au chapitre du budget du ini-

îrancs l indemnité spéciale tuioueo aux militaires engagés directement dans le combat, à partir du 1* janvier 1018.

On adopte le premier paragraphe de l'article 3, étendant cette indemnité de trois francs non seulement aux soldais et

L'amendement Voilin tendant à rendre > le Décule facultatif au lieu d'être obliga.

rieure. La séance est levée à 19 h. 10. Séance demain. — Ilavas..

Paris' 21 mars, 22 h 10.

j Nos troupes s'avançant e Port-Amélie, ont repoussé un détachement et sout en contact avec un fovt détachement ennemi,

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LA CRISE ESPAGNOLE Paris, 21 mars, 21 h- 32.

LES SCANDALES

Uil JjJJîiîJ k%Lkm.L%Là J.fiJ.iiM Uli JUiiJ.ïViiU

Deux torpiHeurs et deux destroyers ennemis qui venaient de bombarder Dunkerque, se

LONDRES. — L'Amirauté annonce que cinq

j au^ large de^Duckerque, deux contre-tor-

1 aris, 21 mars, 20 h. 15. LONDRES (officiel). — Le vice-amiral com-

mandant Douvres signale qu'un engage-I ment de contre-torpilleurs a eu lieu, au [ large de Dunkerque, entre 4 et 5 heures

du matin, le 21 mars. | Deux destroyers anglais et trois français j ont engagé le combat avec un groupe de ] destroyers allemands, qui avaient aupara-! vant bombardé Dunkerque pendant dix

Des survivants de deux torpilleurs en-

Paris, 21 mars, 21 h. 25. Voici le communiqué officiel français I

snr l'engagement naval au large de Dun-kerque :

Une division légère franco-britannique, composée de trois contre-torpilleurs fran-çais et de trois bâtiments anglais, a livré un combat dans la mer du Nord, ce ma-tin, entre 4 et 5 heures, à un groupe de torpilleurs allemands, du type A, dont deux ont été coulés.

Peu de temps après, la même division légère a livré un second combat à un groupe de cinq grands contre-torpilleurs, qui venaient de bombarder Dunkerque. Un destroyer allemand a été coulé et il est probable que deux autres destroyers en-

! nemis ont été détruits. Des prisonniers j sont restés entre nos mains.

Des renseignements recueillis, il résulte que trois groupes avaient mission de bom-

I barder Dunkerque, La Panne et Bray-Du-

Un seul navire britannique a été légère-ment avarié et a pu rentrer au port

Du côté français, ni tués ni blessés. — I Havas.

îll ^J'iid: P (tê L80D uFlllODI

ignorent même.ce qu'il i'ut et ce qu'il fit ;

mière ; toutefois, & ne s'en tenir qu'au sou-venir des heures do bonne compagnie et de liaison amicale, on doit dire sans am-hairnc mir. rtiu mip l'on ont mit en commu-nion d'esprit avec cet, homme, de jour en j jour l'estime et l'affection grandissaient... Plein de mansuétude, il y avait toujours en lui quelque chose de rayonnant qui rêvé-

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Mme Grillon, se réfugier à Issoncourt, petit village meusien résidence actuelle

rissait, mais loin de oe qui avait été la passion de toute sa vie, loin de ce qu'il avait aimé, loin de ses espoirs, loin de ce aui avait été sa lumière... Et là, dans ce coin modeste, à deux pas du front, le père et te lils personnifiaient la bonté, le dévouement et le courage.

Léon Grillon — Jean Grillon... Nancy

Léon Grillon ne sera pas oublié, aprèa les jours tragiques sonnera l'heure de la

Bzmss téléphonistes

Cour d'appel de Nancy Acquitte. — Ln jeune employé de corn. I

merce, réformé de guerre, se trouvant, le

propos défaitistes dans le train qui la ra- I

Nos brave» M. Joseph Ehkirch, ancien compositeur

de l'Imprimerie Berger-Levrault, a été cité à l'ordre de la brigade, avec la mention

pris en plein coinLat ie eonnouiiPeiuont da

i^i aoûi et du i sepnembre Ud6- »

Le général commandant le ..• corps

et dévoué. Le 10 août 1917, a fait preuve d'une courageuse initiative et d'un sang-froid remarquable en faisant reconstruire, en une seule nuit et sous un violent bom-bardement, un observatoire qui venait d'être détruit par l'artillerie ennemie. —

M. Pierre Beaujard est membre de la Société de tir de Champigneulles. — Nos compliments.

feuie a La yiJCUbK Graisse végétale - Dans les Épiceries.

nent de se terminer, les élèves dont les noms suivent ont obtenu les brevets de

I nier, riaudeville. Grenadiers classés. — Pollot A. Haude-

<-.ertilicat de préparation au service mi-r1 ~ Pollot A., Farnier, Haudeville, LejaiUe.

i naste. Départ à 13 h. 30, pour se ren-are au stand de la Carabine Nancéienne. îrieone sup-le tir pour la classe 19. Tir i 1

(^î'ablne P°;ir les classes inférieures. A lb heures, réunion du Comité

Le président, BÉRAEB-

Analyses baciêriologiaues des eaux da $ mars 1918

il PIOÎJOS 06 13, ÏOOFl

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affectations, il faut tenir évidemment compte de l'opnion qui, surtout en 1914, ne conceait pas le deoir patriotique sans

Prenez Pierre-Maurice Masson restant k

sort.

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L' « homme ne vit pas seulement de nain » la guêtre ne se fait pas seulement

lisation des compétences dans la lutte pro-téiforme que nous devons livrer aux em-

Ou'on se souvienne que mourir pour sa | patrie est facile et que nul n'a le droit de hasarder, sans une nécessité absolue, une PX'SÎÉPO^ p,,: rt'-ut lui être précieuse. I

11' ̂ ^^^ I une" tire-lire, et

I M aPPr's Par e"e

fë^te^^^r^ I ies vertus de W^^'^T^X 1 - Epargne. Mais F / fif\LLli\^^ tout Passe et

T^"*—"8»■ tout... casse. Auinurd'kui nous avons mieux.

Dans tous les bureaux de poste, les travailleurs les plus modestes peuvent souscrire des bons de la Défense Nationale par coupures de cinq ou de vingt francs, s'assurant ainsi un intérêt rémunérateur tout en conser-vant leur petit capital disponible à brève échéance.

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ETAT CIVIL Du £0 mars 191S

Marcel-Lucien Pelletier, rue de la Col-line, 179..— Irène-Lueie-Jospélilno Brand-meyer, rue du Montet, 197.

Charles Lassauge, 48 ans. manœuvre.

sieer et 'Madame THOUVENJN et' ieur? ! enfants : Monsieur Louis HOL'OT ; les fa- j milles HOUOT, THO( VENIN et FRAN-

Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en

Blonsieur Auguste BERNEZ Décoré de la Médaille militaire

et de la Croix de guerre Réformé de guerre

leur époux, fils, petit-fils, eendre et cousin, décédé à Nancy, le 21 mars 1918, dans ra 25* année, muni des sacrements de l'E-

Et vous prient d'assister aux convoi fu- I

??u?Cle1amedi VcwStî'np heures

du matin, en la Basilique Saint-Epvre, sa paroisse, et de là au cimetière de Préville,

Maison mortuaire : Rue Claudot, 9. Le présent avis tient lieu ds faite part.

m. IÉ —... |% —r— É_—É_ ■W—ftaTMi —1

AVIS MORTUAIRE

Monsieur Edmond PETIT, aux Usines Solvav et C*, à Dombasle ; Monsieur A. BALAND, Madame née LHU1LL1ER et leurs enfants ; Monsieur Charles THIERY, Madame née PETIT et leurs enfants ; les' familles LHII ILLIER, PETIT, JANIN, THOMAS et JADIN,

Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Madame Edmond PETIT Née Victorine LHUILLIER

leur- épouse, sœur, belle-sœur, tante et cousine, décédée à Nancy, le 20 mars 1918, dans sa 55" année, munie des sacrements de l'Eglise.

Et vous prient d'assister aux convoi fu-nèbre, service et enterrement, qui auront lieu le samedi 23 courant, à dix heures du matin, en l'église de Dombasle, et de là au cimetière de la commune, où se fera l'inhumation.

On se réunira à l'église de Dombasle, où le corps sera déposé.

Dombasle : Rue Solvay, 12. Le présent avi» tient lîeu de faire-part.

W—m — _wrn un "tmMit* **TTT*~ |

REffiEf- felWENTS

Madame veuve Henri DROUYTLLE ; Monsieur et Madame Albert EHLINOER ; Monsieur Maurice EHLINGER remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie à l'oc-casion du décès

Monsieur Henri DHOUVILLE Adjoint au Moire do YarangcviUe

REMERCIEMENTS

Les familles ADAM remercient bien sin-cèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie à l'occasion

Madame Veuve LUCAS J^Augttstine ADAM^

W[eur the-et-^os elle! DOMBASLE |

ouvert une enquête sur des violences dont l son fils Lucien, 10 ans, aurait été victime I de la part d'un voisin. Celui-ci reconnaît avoir frappé l'enfant, qui laurait insulté. |

CHAVIGNY Vol. — M. Victor Ginestet, employé, a j

constaté que, pendant son absence, on j avait pénétré dans son logement, où l'on i avait dérobé deux draps de lit, des chaus- 1

sures, dix kilogrammes de chocolat, et j quantité d'autres objets, le tout évalué à I 230 fr. Les soupçons se portent sur deux 1

femmes qui ont quitté la localité. FROUARD

Accident morlcl. — Un électricien, Jo- I seph Aucler, 30 ans, du service auxiliaire j à la suite d'une grave blessure reçue au front, a été électrocuté pendant son -tra-vail. Recueilli aussitôt par ses camarades, •

Aucler, originaire de la Creuse, laisse une jeune veuve avec un enfant.

Un grand nombre de camarades vint défiler, casquette à la main, devant la dé-pouille mortelle de leur ami, mort pour 1

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On y vend bon marché.

LE THILLOT Vol. — Mlle Grandgirard Eiéonore, 65

ans. cultivatrice à La Mouline, a reçu, pendant ses dix jours de permission, le soldat Albert Tisserand, de l'infanterie-, qu'elle a élevé depuis l'ftsre de 7 an*. Il y a 4 ans-, Tis.vrand frappa ça bienfaitrice et

fut nour ce fait interné dans une maison j . ro-'-ect'on iusqu'i son incorporation, j

I •> '-pille du" départ de Tisserand. Mlle rrând^irard lui remit dix francs et des viciuaîlles. Le lendemain, elle constatait li d^ntrition d'une boite renfermant une DMhmc dè 130 fr. boîte qui était cachée | Hin- lire nile de bois et dont Tisserand c»i.T c--'-naissait la cachette.

TC

I "st le résumé des révélations de Mifn rrànd^irard à la Gendarmerie ; elle 7r unconne tisserand do ce vol. Et ce n'est nas le nremier vol d'argent que l'inculpé 1

aurait commis au préjudice de la plai- | gnante. VAGNEY

En commencement d'incendie s'est dé- 1

claré l'après-midi du 16 mars, dans une nlantation de sapins, sise au Mettay. Fort heureusement, aux mesures prises par la < gendarmerie, secondée par un certain nombre d'habitants, le feu a pu être cir-conscrit en peu de temps. L'incendie a été j communiqué par du feu mis à des brous-sailles dans un pré contigu a cette planta-tion oré nui appartient à M. Nicolas Hoc-auaùx La' femme de M. Hoequaux a, du petto reconnu que le feu qu'elle avait mis ', à "des fouilles sèches s'était communiqué à la plantation communale. De ce fait, la commune de Vaimey éprouve un préju-dice évalué à 1.51)0 fr., et Mme Hocquaux estime \ 00 fr. les dégâts commis à sa

proprie e. RUPT-SUR-MOSELLE

Vol d'argent. Mlic Berthe N'urdin, 29 ans ouvrière d'usine, a été victime d'un vol'd'une somme de 25 francs, commis dans son armoire non fermée à clé. Les sotnons se sont portés sur un jeune gar-çon de 13 ans, mais celui-ci proteste éner^iauement de son inuoeence.

" 4 SAJNT-DLE

Conseil municipal. — Le conseil muni-cipal s'est réuni en séance extraordinaire le samedi 9 mars 1918, à 11 heures du matin, sous la présidence de M. Louis Bur-lin, premier adjoint faisant fonctions de maire, assisté de M. Jean-Baptiste Ferry, deuxième adjoint.

Etaient présents : MM. Colin, Pierson, Dulays, Antoine, Fischer, Andrez, Méline, Josz, Jung et Voignier.

M. Albert Andrez est désigné pour rem- j ' plir les fonctions de secrétaire.

Le conseil procède à l'élection du délé-' gué et du délégué -suppléant pour faire I partie de la commission instituée par ar-

rêté de M. le préfet des Vosges du 13 fé-vrier 1918, pour la constatation et l'éva-luation des dommages matériels résultant de faits de guerre, dans la commune de

A l'unanimité, M. Fève Gustave, con-seiller municipal, est désigné comme dé-légué titulaire, et M. Marcillat Albert, agent d'assurances, ancien notaire à St-Dié, est désigné comme délégué suppléant I à ladite commission.

J Le conseil décide que le traitement du garde communal forestier Ouirin, de la Bolle. sera porté de 900 à 1.100 fr. par an. avec effet du 1er novembre 1917.

II donne un avis favorable à la créa-tion d'un dispensaire d'hygiène sociale et de préservation antituberculeuse à Epi-nal.

1 11 donne un avis favorable a diverses I délibérations des commissions adminis-j tralives du Bureau de bienfasanee et de I l'hôpital pour admission en non valeur de I sommes irrécouvrables, location de ter-I rains et augmentation do polices d'assu-I rûrïf os contre , i mroniitê. I II autorise l'acquisition de 1.000 stères

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Il prononce l'admission de diverses per- | sonnes aux secours de l'assistance aux I vieillards, infirmes et incurables, aux fa- J nulles nombreuses et aux femmes en cou- j cites ^ ^ ̂ I

Fcisr la psSiSe o$Ma des pommes de terre

LA PLANTATION Quelle est l'époque la plus favorable

pour la plantation,? La grande culture se tait parfois jusqu'en mai ; mais, pour lu petite culture, celle dont nous avons à nout occuper ici, la dernière quinzaine de mat'; et le mois d'avril conviennent parfaite-ment. >

Nous avons observé que la maladie qu: I i attaque ies plants en juillet les empêcne { j de continuer leur production ; ils s'étiolent J I et, si la plantation n'eut lieu qu'en mai, otj J

ne récoltera que de très petits tubercules, i Meilleur sera le résultat pour les pommeb de terre plantées en mars-avril comme nous le recommandons.

Une objection ne manquera pas d'être faite '

— Et la gelée ? nous dira-t-on. Sur ce point, notre expérience personnelle per-met de répondre que les froids, au début

| du printemps, sont exceptionnellement as-I sez rigoureux pour nuire au développe-I ment, de la pomme de terre, qui repousse j très vite et semble à peine souffrir de la ] gelée. J Citons, entre autres, un exemple : en I 1882. de fortes gelées se produisirent dans

les Vosges. Or, le 15 juin, après le buftage, les cultivateurs constatèrent que la récolte proînoiian uenc u dmirable... et elle tint I ses promesses. I C'était le tomps où les féculeries I payaient les pommés de terre deux francs j le quinta! ; elles ouvraient la voie à l'avè-

I nement des féculeries coopératives grâce ] auxquelles le retour à la terve recevrait de

ffrécieux encouragements ; elles précé-I datent l'Utile cré.iiiou des coopératives I agricoles dans la même région, j "pour en revenir à notre sujet, insistons J sur les avantages d'une plantation hâtive

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de véritable « Magnésie Bis^Sf»! clans un peu deau, après le roi)7 >W tuera toujours un remède pli1Scr«« effectii que la plupart desdr^M comomaisons de drot-.ies comi activité est due aux remarcuablM m tés ant;-acides de la « Magnés-v & qui corrigs l'excès d^cidité* r-^SI ' l'ermeniations aîirrTn!airps."'a^tei:ï mac inflammé et permet ails ̂ •*ï i .•hroniques de manger leurs nv^fm 1

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