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Cahier des Charges Partie : STABILITE Revision: - VAN RANSBEECK bvba Bouwkundig Studie- en Adviesbureau A. Cleynhenslaan 148 Tel: 015/63.35.47 3140 Keerbergen Fax:015/63.35.48 Commune Bruxelles Province BRUX Situation: Rue de Fort de Boncelles 8 1040 Bruxelles Projet: Ellips Institut Sainte Anne Réaménagement d’un complexe scolaire Maître de l’Ouvrage : Institut Sainte Anne sprl Rue de Fort de Boncelles 1040 Bruxelles ADJUDICATION STABILITE CAHIER DES CHARGES Architecture: Ellips Architecture Adres: Av. Dolez 376 1180 Uccle SPECIFICATIONS GENERALES, DESCRIPTIF ET METRE Approuvé : Ir. S. Van Ransbeeck VRN Rev. Date Init. Par. Init. Par. Init. Par. Revision Dressé Vérifié Approuvé Modifications Ce document ne peut être multiplié ou mis à disposition de tiers sans approbation écrite de Van Ransbeeck bvba

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Cahier des Charges Partie :

STABILITE

Revision:

- VAN RANSBEECK bvba Bouwkundig Studie- en Adviesbureau

A. Cleynhenslaan 148 Tel: 015/63.35.47 3140 Keerbergen Fax:015/63.35.48

Commune Bruxelles

Province BRUX

Situation: Rue de Fort de Boncelles 8 1040 Bruxelles

Projet:

Ellips Institut Sainte Anne Réaménagement d’un

complexe scolaire Maître de l’Ouvrage : Institut Sainte Anne sprl Rue de Fort de Boncelles 1040 Bruxelles

ADJUDICATION

STABILITE

CAHIER DES CHARGES

Architecture: Ellips Architecture Adres: Av. Dolez 376 1180 Uccle

SPECIFICATIONS GENERALES, DESCRIPTIF ET METRE

Approuvé : Ir. S. Van Ransbeeck

VRN

Rev. Date Init. Par. Init. Par. Init. Par.

Revision Dressé Vérifié Approuvé Modifications

Ce document ne peut être multiplié ou mis à disposition de tiers sans approbation écrite de Van Ransbeeck bvba

REMARQUES IMPORTANTES La partie Genie Civil, décrite dans ce cahier des charges fait partie intégrante du marché global et sera exécuté sous la responsabilité de l’entrepreneur général. La répartition en ‘parties’ du cahier des charges à pour but de structurer les ensembles de postes qui traitent d’une technique et dont les spécifications techniques et descriptions figurent dans le cahier des charges de cette partie.

L’entrepreneur général a la possibilité de sous-traiter des parties du marché mais assume dans tous les cas la responsabilité de coordination et de l’exécution suivant les règles de l’art.

Si dans les spécifications suivantes, une marque est spécifiée, des marques alternatives peuvent être spécifiées à condition d’être équivalent et conforme aux spécifications techniques de ce cahier des charges et du produit spécifié.

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SPECIFICATIONS GENERALES

C.1. TERRASSEMENTS

Remarque générale

Ces clauses s'appliquent à tous les travaux de terrassements, et ce y compris les travaux de terrassement

nécessaires aux réseaux enterrés, tels qu'égouttage, pose de conduits divers, etc ... Les méthodes de pose des

éléments constitutifs de ces divers réseaux sont définies dans les spécifications et/ou descriptifs correspondants.

Les terrassements sont réalisés par des engins mécaniques compatibles avec la situation des lieux, et compte tenu

de la présence éventuelle de canalisations ou de conduites enterrées, dont, notamment, d'anciennes conduites

d'eau ou de gaz pouvant être sous pression.

L'entrepreneur est censé avoir pris connaissance de l'état du terrain.

Les terres en excès sont la propriété de l'entrepreneur.

Les prix unitaires des différents postes de terrassements prévus au bordereau, et calculés sur base des documents

de référence, comprennent tous les moyens d'exécution et ouvrages nécessaires à la bonne fin de ces travaux,

sans restriction aucune, et entre autres l'application des points ci-après.

Implantation des emprises et niveaux de terrassements

Des repères de bornage sont remis à l'ENTREPRENEUR. Les coordonnées de ces repères figurent sur les plans d'implantation des ouvrages. Le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE précise, par rapport à ces repères, sur les plans d'implantation, les axes définitifs de chacun des ouvrages. La matérialisation approuvée par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE et la conservation des repères d'axes et de niveaux nécessaires à l'exécution des terrassements sont à charge de l'ENTREPRENEUR. En cas de déplacement des repères en cours de travaux, ceux-ci sont redéfinis en niveaux et en coordonnées à partir de références incontestables non soumises à l'influence des travaux et est à charge de l'ENTREPRENEUR.

Documents de référence

Les documents de référence sont constitués des cahiers des charges de l'Etat types 150 et 104 et leurs compléments.

Essais

Tous les essais mentionnés dans le présent cahier des charges ou se rapportant à des essais de contrôles repris dans les documents de référence sont une charge d'Entreprise et sont ventilés dans l'ensemble des prix unitaires.

Le rabattement des eaux et les équipements nécessaires

L'ENTREPRENEUR exécute les travaux et ouvrages provisoires nécessaires pour assurer l'écoulement des eaux

de tout le site inscrit dans les limites d'entreprise, ainsi que l'assèchement des terres provenant des déblais

(drainage, captage, collecte, pompage, évacuation de l'eau, etc.).

Les systèmes de rabattement éventuels de la nappe aquifère doivent fonctionner en permanence et être prévus de

façon que le niveau d'eau puisse être maintenu plus bas que le plus bas niveau de fondation. Des piézomètres de

contrôle sont à prévoir.

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Le dispositif de pompage est pourvu d'équipements partiellement dédoublés, pour assurer la continuité de

l'opération, en cas de défectuosités locales.

L'installation couvre toute fourniture, tout entretien, transport, amortissement, risques quelconques, etc...

L'ENTREPRENEUR est seul responsable de l'efficacité du fonctionnement de ses propres installations et

matériels, quelle que soit la hauteur de la nappe ou le débit constaté. Le matériel, utilisé de façon provisoire, reste propriété de l'ENTREPRENEUR.

La mise en dépôt

La mise en dépôt comprend les fournitures, le matériel et les prestations nécessaires aux chargements, transports, déchargements et nivellements des déblais propres au réemploi et ce, dans les lieux de dépôt proposés par l'Entreprise et agréés par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE sur site ou hors site.

L'évacuation hors du site

L'évacuation comprend les fournitures, le matériel et les prestations nécessaires aux chargements, transports, déchargements et nivellements éventuels des matériaux et déblais impropres au réemploi, ou jugés par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE comme devant être évacués, en dehors du site dans un endroit autorisé, trouvé par l'ENTREPRENEUR, sous son entière responsabilité et à ses frais.

Conservation des terrassements terminés

L'ENTREPRENEUR prend les dispositions voulues pour ne pas abîmer les plates-formes et les fonds de coffre avec ses engins d'exécution. Il exécute à ses frais les travaux nécessaires à la conservation des profils prescrits ou à la bonne marche de ses travaux, sans altération, ni dégradation. Si du fait de l'entreprise, ou par suite de ravinements, de tassements ou d'éboulements, des profils sont déformés, ils sont rétablis par et aux frais de l'ENTREPRENEUR.

Déblais particuliers

Les terrassements s'exécutent à partir d'une plate-forme, nivelée et débarrassée des végétations et couche de terre

arable.

Les terres provenant de fouilles et destinées aux remblais de l'entreprise peuvent être entreposées à un endroit

choisi par l'ENTREPRENEUR dans les limites du Marché après accord du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE

(voir 1.5 et 1.6).

Les terres excédentaires sont entreposées à un endroit choisi par l'ENTREPRENEUR et à ses frais et ce hors site.

En règle générale : Toute terre impropre au remblai est évacuée du site aux frais de l'ENTREPRENEUR.

Les fouilles sont ouvertes aux dimensions et profondeur nécessaires à la bonne exécution des travaux. Le fond de

fouille est compacté et nivelé.

L'ENTREPRENEUR ne fait couler aucun béton de propreté sans examen préalable du fond de fouille et accord

du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE.

Au cas où le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE estime que le fond des fouilles doit être situé à un niveau plus

bas que prévu, l'ENTREPRENEUR exécute les terrassements supplémentaires qui en découlent. Le sol excavé

est remplacé par du sable stabilisé suivant le poste du bordereau.

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Si les fouilles étaient descendues erronément à un niveau inférieur au niveau imposé, la surprofondeur doit être

remblayée au sable stabilisé, aux frais de l'Entreprise.

L'ENTREPRENEUR prend toutes dispositions utiles (talus, blindages, étançons) pour que des éboulements ne se

produisent pas en cours de travaux.

Remblais particuliers

Les remblais ne peuvent être entamés qu'après autorisation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE.

Remblais en terre

Les remblais sont effectués avec les bonnes terres provenant des déblais, entreposées dans les limites du chantier ou dans un dépôt sur un site choisi par l'ENTREPRENEUR (voir 1.5 et 1.6) ou avec du sable de remblai d'apport. Ces terres répondent aux critères d'acceptabilité. Les terres sont déversées contre les murs et sur les ouvrages à remblayer par couches de 20 cm. En cas d'impossibilité de suivre les prescriptions relatives au compactage des remblais au moyen de rouleau suite à une largeur trop réduite de remblayage, l'ENTREPRENEUR effectue le compactage au moyen d'une dame mécanique de 100 kg minimum ou de tout autre dispositif garantissant le compactage correct des terres. En cas de mouvement ultérieur du sol remblayé, l'ENTREPRENEUR remettra les terres à niveau à ses frais. Lorsque ces remblais étroits supportent une structure, la technique de mise en oeuvre doit être soumise au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE pour approbation avant exécution. Dans ce cas le compactage doit obtenir les résultats suivants : Poids Volumétrique Sec supérieur à 95 % de l'optimum Proctor Modifié et les résultats des essais à la plaque de 750 cm2 conformes au CCT 150. L'épaisseur maximum des couches est de 20 cm. Le contrôle des résultats du compactage, à savoir un PVS et un essai à la plaque, est effectué dans chaque couche mise en oeuvre tous les 30 m, ou fractions restante de 30 m, de longueur linéaire le long des bâtiments ou des structures concernés. Tout élément superflu est enlevé avant remblayage. Les remblais au contact de béton ou maçonnerie se font après décoffrage, badigeonnage et autre protection contre l'humidité.

Remblais au moyen de sable stabilisé

Le sable stabilisé sera préparé par mélange de sable de carrière avec 100 kg de ciment par m3. La mise en oeuvre se fera par couches de 30 cm maximum avec compactage soigné de chacune des couches.

Terrassements en fouilles blindées

Les terrassements en fouilles blindées s'exécutent à l'abri d'un blindage continu. Les blindages sont réalisés soit en éléments récupérables soit en plaques de béton à abandonner parfaitement jointifs. La largeur des fouilles est elle-même fonction de la largeur des ouvrages à exécuter. En cas de fouilles blindées réalisées au moyen de plaques de béton à abandonner, l'épaisseur de celles-ci vient en excès par rapport à l'épaisseur imposée d’ouvrage. Dans le but d'éviter une décompression excessive du terrain, les tranchées blindées sont ouvertes par puits alternés indépendants, les puits intermédiaires n'étant creusés qu'après prise du bétonnage des puits voisins jusqu'au moins 3 m sous le niveau du terrain avoisinant. Tout évidement rencontré à l'extérieur des parois blindées est soigneusement bourré au sable stabilisé avant la mise en place du blindage et ce, aux frais de l'ENTREPRENEUR. La présence éventuelle de cavités souterraines importantes (notamment d'anciennes carrières exploitées en galeries) ne modifie pas le prix unitaire des déblais blindés. Seuls les travaux nécessaires pour le remplissage de la totalité ou d'une partie de ces vides sont évalués en attachements ou au poste correspondant du métré. Préalablement à l'exécution des fouilles blindées, l'ENTREPRENEUR soumet à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE une note de calcul ainsi que des plans définissant les procédés de blindages et donnant une coupe transversale des fouilles blindées, les phases d'approfondissement, le détail des étançons, leur entre-distance, le croquis des éléments du blindage notamment en béton préfabriqué, ainsi que leur ferraillage. Le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE se réserve le droit de faire procéder à tout moment, aux frais de l'ENTREPRENEUR, à des essais in situ ou en laboratoire des blindages, étançons ou autres qu'il jugerait utiles.

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Au demeurant, l'étançonnement des blindages doit être réalisé en conformité avec les conditions de calcul. Les blindages, les étançons et les cadres d'étançonnement, filières ou chaînages, pour travaux en fouilles blindées, en "galerie souterraine" ou "à ciel ouvert" déterminés par l'ENTREPRENEUR sont compris dans les prix unitaires des terrassements sauf indications contraires au métré descriptif. La concordance des conditions de calcul et de leur réalisation fait l'objet d'observations constantes. L'enlèvement d'un étançon ne peut être ordonné qu'après la réalisation d'ouvrages pouvant remplir le même rôle. Dans les fouilles, puits, tranchées ou galeries blindées, les étançons sont fixés aux pièces de soutènement de manière à ce qu'ils maintiennent en place le blindage en cas d'éboulement local éventuel derrière ce dernier. Les étançons sont prémunis de tout glissement éventuel au moyen de clames, chaînages et clouages appropriés. Dans la mesure du possible, l'approfondissement des fouilles se fait par zones sur une hauteur minimale, le blindage étant mis en place dans chaque zone excavée avant tout nouvel approfondissement. En cas d'étançons constitués d'une tige filetée coulissant dans un tube, l'extrémité de la tige filetée en saillie à l'intérieur du tube après serrage ne peut être inférieure à 4 cm. En terrain humide, des dispositions sont prises pour éviter tout cheminement d'eau dans la zone de l'étançon. Dans tous les cas, les étançons doivent être à même de supporter en flexion le poids des ouvriers dans le cas de fouilles blindées pour murs. Les parois visibles, côté intérieur des ouvrages sont lisses de décoffrage. En cas d'utilisation de plaques de béton à abandonner, les alignements des joints sont rendus rectilignes aussi bien dans le sens horizontal que vertical. Le tout sera approprié de façon à présenter à l'intérieur des ouvrages une paroi propre et régulière.

Remarques :

1) Les blindages abandonnés dans le sol doivent, après achèvement des travaux, être recépés jusqu'au niveau

supérieur des ouvrages exécutés;

2) Si des matériaux de blindage putrescibles sont utilisés, ils ne peuvent être abandonnés dans le sol et

doivent obligatoirement être récupérés au fur et à mesure du bétonnage, selon un processus à soumettre à

l'agréation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE.

3) Dans le cas de fouilles blindées en éléments récupérables destinés à la construction de murs, les parois

blindées situées du côté intérieur des ouvrages sont maintenues dans les fouilles blindées lors du

bétonnage des murs et récupérées par l'ENTREPRENEUR lors du terrassement du stross.

4) Les surfaces de blindages qui doivent servir de coffrage perdu sont débarrassées de toutes souillures avant

bétonnage.

5) L'ENTREPRENEUR n'est pas dédommagé pour les éboulements, glissements, ébranlements et en général

pour tous terrassements supplémentaires dont la cause, même fortuite, est considérée comme lui étant

imputable. Il est tenu de réparer les dégâts à ses frais.

6) Si la base des fouilles blindées atteint un niveau inférieur au niveau prescrit aux plans, il est interdit de

compenser ces déblais excédentaires par un apport de remblai fut-il compacté. La surprofondeur réalisée

ne pourra être comblée que par du béton de même nature que le béton des murs ou des massifs de

fondation.

7) Si la nature ou les caractéristiques mécaniques du terrain ne sont pas satisfaisantes au niveau d’assise

prévu sur les plans, le déblai sera poursuivi à plus grande profondeur sans modification du prix unitaire.

C.4. ouvrages en béton

Types de béton et résistances caractéristiques

Le critère de la qualité du béton est défini par la résistance caractéristique à la compression sur cylindres fckcyl au sens de l'article 7.3 de la norme NBN B 15-001 (1992) Les différents types de béton utilisés sont :

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a) Béton non armé pour béton de propreté ou béton de masse: classe C16/20 : fckcyl = 16 N/mm2

b) Béton pour béton armé des éléments de structure coulés sur place : classe C30/37 : fckcyl = 30

N/mm2

c) Béton pour béton armé des éléments de structure préfabriqués:

- poutres en béton armé et prédalles :

classe C30/37 : fckcyl = 30 N/mm2

- hourdis en béton précontraint :

classe C40/50 : fckcyl = 40 N/mm2

- poutres en béton précontraint :

classe C40/50 : fckcyl = 50 N/mm2

La consistance du béton coulé en place sera, au moment de sa mise en oeuvre, de la classe d'affaissement S3

suivant l'article 7.2 de la norme NBN B 15-001.

Contrôle des caractéristiques du béton armé

Contrôle de la résistance du béton

a) Essais sur chantier

Les différents bétons fournis au chantier doivent provenir d’une centrale où ils sont fabriqués sous

certification BENOR.

Le contrôle de la qualité du béton mis en oeuvre se fait conformément aux prescriptions de la NBN B.15-

001 (1992).

Au cas où le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE aurait des doutes sur la qualité du béton mis en place, il

peut faire procéder par l’ENTREPRENEUR à des prélèvements d’éprouvettes cylindriques dans les

parties de béton litigieuses.

Ces prises d'échantillons sont exécutées aux endroits préconisés par le MAITRE D’OUVRAGE

DELEGUE et à présenter sur plan par l'ENTREPRENEUR.

Les résultats des essais sont communiqués au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE dans les meilleurs

délais. Tous les résultats des essais, comprenant le calcul de la résistance caractéristique qui en résulte,

sont consignés dans un journal spécial annexé au Journal des Travaux. Ces documents sont établis de

façon telle qu'ils permettent d'identifier sans ambiguïté l'ouvrage ou la partie d'ouvrage auxquels les essais

se rapportent.

Tous les frais résultant des prélèvements, des essais sur éprouvettes et de tous les essais complémentaires

sont à charge de l'Entrepreneur.

b) Résultats exigés

Le béton pourra être accepté si les résultats des essais de compression sur les éprouvettes donnent des

valeurs satisfaisant aux critères ci-dessous :

R'wm ≥ R'wk + k1 (en N/mm2)

et

R'wmin ≥ R'wk - k2 (en N/mm2)

Dans ces formules,

R'wm est la moyenne arithmétique des résultats d'essais

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R'wmin est la résistance minimale trouvée dans les résultats considérés

R'wk est la résistance caractéristique requise

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k1 et k2 sont les valeurs données dans le tableau ci-après en fonction du nombre d'essais n.

n k1 k2

-------------------------------

3 3.3 3.6

6 4.1 3.6

9 4.5 3.6

12 4.6 3.6

Le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE se réserve le droit d'accepter ou de refuser, en fonction des

sollicitations réelles de la structure concernée, l'ouvrage ou les parties d'ouvrage pour lesquels la

résistance caractéristique prescrite n'est pas atteinte.

En cas d'acceptation, une diminution de prix sera appliquée sur le béton concerné.

La diminution de prix est appliquée suivant la formule:

( R'wk - X)

P = P -------------

R'wk

P = diminution de prix en BEF/m3

P = le prix unitaire du béton prévu dans le contrat, en BEF/m3

R'wk = la résistance caractéristique exigée, en N/mm2

X = la résistance caractéristique calculée à partir des résultats des essais, en N/mm2

Le volume auquel la diminution de prix est appliquée est la partie de construction incriminée pour lequel

les éprouvettes de contrôle sont représentatives.

Si les résultats des essais ne sont pas satisfaisants, l'ouvrage ou la partie d'ouvrage est définitivement

refusé et doit être démoli et reconstruit par et aux frais de l'Entrepreneur.

Contrôle de la fluidité du béton

La fluidité, mesurée au cône d'Abrams sur le béton ne contenant pas de fluidifiant, doit être au maximum de

6 cm.

Composition du béton pour béton armé

a) L'ENTREPRENEUR doit, conformément à la Norme B 15-205, pour chaque type de béton utilisé,

communiquer sa composition au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE, et ce 15 jours calendrier avant le

début du bétonnage.

b) Ciment :

Tous les ciments utilisés pour la réalisation de béton doivent être de la qualité LA (low alkali).

c) Emploi d’adjuvants :

Les adjuvants utilisés dans le béton doivent être proposés, avec toutes les références utiles, à l'approbation

du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. En aucun cas, leur utilisation ne peut conduire à une diminution

de la résistance ou de la qualité du béton. Le prix des adjuvants incorporés au béton est compris dans le

prix du béton.

d) Béton fin :

Certaines parties d'ouvrage doivent, en raison de leur dimension (remplissage entre hourdis précontraints,

enrobage de poutrelles métalliques, par exemple) ou de la densité du ferraillage, être bétonnées en

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utilisant un béton présentant une granulométrie plus fine. L'ENTREPRENEUR fournit la composition de

ce béton comme en a) ci-dessus. Les performances de qualité de ce béton doivent être celles prévues en

1.

En plus des endroits où l'imposition en est faite par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE, il appartient à

l'ENTREPRENEUR de déterminer, en fonction des circonstances, les endroits où ce type de béton doit

être mis en oeuvre. Sauf indication explicite dans le présent Cahier Spécial des Charges, aucune

rémunération supplémentaire ne sera due pour l'utilisation de ce type de béton.

Transport du béton

Le transport et la mise en oeuvre du béton doivent être conformes à la Norme NBN B 15-001. En aucun cas, il

ne sera toléré d'adjonction d'eau sur le chantier.

Chaque livraison de béton est accompagnée d'un bordereau de livraison mentionnant l'agrément BENOR et

conforme à l'article 10.3.2. de la norme NBN B 15-001 pour un mélange à la performance.

Les bordereaux de livraison sont présentés sur simple demande au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE et lui

sont transmis dans les 7 jours calendrier après livraison sur chantier.

Le béton doit être mis en oeuvre dès son arrivée sur chantier. Le béton frais doit être complètement livré et mis

en oeuvre au plus tard 100 min. après l'introduction de l'eau de gâchage dans le mélange (béton transporté par

camions malaxeurs).

Le béton qui ne répond pas à cette règle ne peut pas être utilisé et est immédiatement évacué du chantier aux frais

de l'ENTREPRENEUR.

Mise en oeuvre du béton

Le béton armé est mis en oeuvre suivant l'index 26 du Cahier des Charges-Type 104 avec addenda, et

conformément aux plans de béton , en tenant compte des prescriptions complémentaires reprises dans le présent

Cahier Spécial des Charges.

Avant le commencement du bétonnage, l'ENTREPRENEUR soumet au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE un

programme détaillé des bétonnages pour chaque partie de la construction.

Il est interdit de procéder au bétonnage d'une partie d’ouvrage sans que le ferraillage ait fait l'objet d'une

approbation écrite par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE qui sera averti au plus tard 24 h avant la phase de

bétonnage.

Le bétonnage en période de gel est régi par les directives de la NBN B 15-104, paragraphe 3.6. Il ne sera accordé

aucun supplément concernant les mesures que l'ENTREPRENEUR doit prendre lors du bétonnage en période

d'hiver (incorporation d'un adjuvant, réchauffage des matières inertes et de l'eau de gâchage, protection des

bétons coulés, etc...) ainsi que lors du bétonnage par temps chaud ou par vent sec (emploi d'un curing-compound,

protection du béton et arrosage, etc...). Le coût de toutes ces mesures éventuelles est compris dans le prix du

béton.

Arrêts et reprises de bétonnage

Si les joints de reprise ne sont pas indiqués sur les plans, ils doivent être prévus par l'ENTREPRENEUR aux

endroits les moins sollicités.

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L'arrêt du bétonnage ne peut, en aucun cas, se faire en laissant le béton s'écouler suivant sa pente naturelle, mais

doit être réalisé au moyen d'un coffrage assurant une surface de reprise nette et permettant la vibration

convenable du béton de première phase le long de la ligne d'arrêt de bétonnage. La surface de reprise devant

présenter une rugosité maxima, l'utilisation de métal déployé est recommandée. Les panneaux de métal déployé

seront solidement fixés et soutenus pour éviter toute déformation excessive en cours de bétonnage.

La méthode que l'ENTREPRENEUR compte utiliser au droit des joints de reprise doit être soumise à

l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE.

Avant de passer à toute phase de bétonnage, les joints de reprise sont nettoyés en profondeur et débarrassés de

toute particule libre. En particulier, on veillera à éliminer, au besoin par repiquage au marteau pneumatique,

toutes les parties du béton coulé en première phase qui n'auraient pas une compacité suffisante. Dans la mesure

où il ne présente pas de risque de provoquer des traces de rouille sur le béton, le métal déployé peut être

maintenu en place.

Toutefois, dans le cas où des vides subsisteraient derrière le métal déployé, celui-ci sera obligatoirement enlevé

avant le bétonnage de seconde phase et le béton sera soigneusement décapé en enlevant tout béton dont l'aspect

ne serait pas satisfaisant ou qui empêcherait la mise en place correcte du béton de la phase suivante.

Toutes les fournitures et sujétions provoquées par les arrêts et reprises de bétonnage sont une charge de

l'ENTREPRENEUR qui est censé en avoir tenu compte dans ses prix.

Bétons spéciaux

Béton hydrofugé

En cas d'utilisation de béton hydrofugé, (béton avec addition d'adjuvant hydrofuge) la composition de celui-ci est laissée au choix de l'ENTREPRENEUR. Le produit employé comme additif ne peut en aucun cas nuire au béton et aux armatures et doit être exempt de matières organiques, graisses, huiles. Le produit hydrofuge ne peut provoquer de retrait du béton et la résistance caractéristique demandée doit être obtenue. L'adjuvant hydrofuge doit être soumis pour approbation au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Les fissures éventuelles dues au retrait seront réparées par et aux frais de l'ENTREPRENEUR sur proposition à faire approuver par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Les vides laissés dans le béton par les écarteurs ou autres dispositifs de coffrage seront soigneusement obturés suivant une méthode à soumettre par l'ENTREPRENEUR à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE pour assurer l'étanchéité d’ouvrage.

Mortier de scellement

Suivant indications figurant aux plans ou au métré descriptif, certains scellements s'effectuent avec un produit

prêt à l'emploi qui ne nécessite qu'un simple malaxage avec l'eau, avant mise en oeuvre. Ce travail est exécuté en

se conformant scrupuleusement aux indications du fabricant. Ce produit est soumis à l'agréation du MAITRE

D’OUVRAGE DELEGUE et répond aux critères suivants :

- Le poids volumique sec ne peut être inférieur à 2.050 kg/m3.

- Le produit doit être exempt de chlorures.

- Il ne peut s'oxyder, gonfler ou se rétracter, subir une réaction gazeuse ni être à base d'un ciment

expansif.

- Le produit doit être mis en oeuvre à une consistance très fluide.

- L'ENTREPRENEUR doit fournir des références d'ouvrages similaires exécutés avec le ou les

produit(s) proposé(s).

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Béton cellulaire

Les ouvrages en béton cellulaire seront réalisés conformément aux spécifications suivantes : La structure cellulaire est obtenue en ajoutant une mousse stable, sur chantier, au mortier de base composé de ciment, de sable et d'eau. L'installation doit permettre de répartir en continu et d'une façon homogène une infinité de petites bulles d'air dans le mortier. Le rapport des quantités de mousse et de mortier doit être mécaniquement et continuellement réglable pendant le processus de production. Le pompage du béton cellulaire est réalisé à l'aide d'une pompe spécialement conçue pour cet usage. Le pompage ne peut en aucun cas altérer les propriétés du béton cellulaire prescrites au cahier des charges. L'ajout de la mousse dans la masse doit se faire après la pompe afin de ne pas écraser les bulles d'air. A l'état durci, la dispersion des bulles d'air dans la masse doit être telle qu'elles constituent des cellules à structure fermée.

Coffrage

Sauf pour les coffrages spéciaux faisant l'objet de postes séparés dans le métré descriptif du génie civil ou dans la partie Architecture, le coffrage, fourniture, mise en oeuvre, l'étayage, l'étançonnage, le réglage, etc... ainsi que le décoffrage, sont compris dans le prix du béton. Les prescriptions de l'index 26.0.2.1. du Cahier des Charges-Type 104 sont complétées par les prescriptions ci-après. Les coffrages, leurs assemblages et leurs supports ont une résistance et une rigidité conformes aux prescriptions du Règlement Général de la Protection du Travail. L'ENTREPRENEUR en est entièrement responsable et il établit les notes de calcul correspondantes. Les coffrages et leurs supports ne peuvent empêcher le retrait du béton. Au droit d'angles droits ou aigus, le coffrage est muni d'un chanfrein de 2 x 2 cm qui est compris dans le prix du coffrage. Cette mesure est applicable également aux pièces préfabriquées qui présentent des arêtes vives après incorporation à l'ensemble d’ouvrage. La conception du coffrage ainsi que les mesures prévues pour garantir l'étanchéité des joints sont proposées au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE pour approbation. Une attention particulière sera portée à la réalisation de l'étanchéité du coffrage au pied des colonnes et des voiles ainsi qu'aux noeuds de liaison des éléments préfabriqués. Afin d'éviter toute trace de rouille sur la face extérieure des éléments en béton, le serrage au moyen de ligatures torsadées ou non traversant le coffrage et coupées au moment du décoffrage est interdit. L'emploi d'écarteurs en bois ou inflammables est également interdit. Le produit de décoffrage qui est employé par l'ENTREPRENEUR doit être neutre ou légèrement basique et ne peut en aucun cas tacher le béton ni provoquer une variation de la couleur du béton, ou l'apparition de bulles d'air en surface. Il ne peut avoir d'effets nuisibles sur le comportement ultérieur du revêtement de finition de surface. Ce produit est présenté au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE pour approbation. Pour les parties d'ouvrage où le présent Cahier Spécial des Charges impose des coffrages lisses, il sera fait usage de panneaux rigides en contreplaqué ou métalliques. Ces panneaux sont conçus de façon à éviter les joints visibles entre panneaux, soit par assemblage spécial, soit par bandes couvre-joints adéquates. Là où le cahier des charges ou les plans l'imposent, seront réalisées des dalles formant plafonds apparents. Ces dalles seront constituées :

- soit de béton coulé sur place sur coffrage lisse,

- soit de béton coulé sur place sur prédalles à face plafond lisse.

En cas d'emploi de prédalles, leurs largeurs seront adaptées aux dimensions des locaux pour permettre une

répartition judicieuse des joints.

Qu'elles restent apparentes ou non, les prédalles doivent être réalisées conformément aux spécifications ci-après :

- Leur face supérieure est exécutée avec une rugosité suffisante pour assurer une adhérence parfaite avec le

béton d'apport ultérieur.

- Les prédalles sont collaborantes :

. Elles sont munies de raidisseurs métalliques permettant leur manipulation sans

déformations excessives et sans dégradation ou fissuration du béton et servant de liaison

entre les bétons de phases différentes.

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. Elles comprennent les armatures du plancher fini. Ces armatures ont des longueurs

dépassant en attente pour assurer la liaison aux éléments portants sur lesquels elles

reposent. La largeur de l'appui sur les poutres ou murs supports ne sera pas inférieure à 20

mm. Toutes les dispositions sont prises lors de la pose pour assurer l'étanchéité des joints

entre les prédalles et aux appuis de façon à éviter toute perte de laitance lors du coulage du

béton de deuxième phase. L'ENTREPRENEUR soumettra à l'approbation du MAITRE

D’OUVRAGE DELEGUE les dispositions qu'il compte prendre pour assurer cette

étanchéité. Tolérances dimensionnelles Les tolérances suivantes, par rapport aux dimensions et niveaux indiqués sur les plans, devront être respectées :

- Niveau supérieur des poutres et dalles : ± 5 mm sur une distance de 2.00 m.

- Niveau général d'un plancher : ± 10 mm par rapport au niveau théorique.

- Epaisseur des dalles : 10 mm en plus, rien en moins.

- Largeur des poutres et épaisseur des voiles : 10 mm en moins et 20 mm en plus.

- Pour les colonnes : ± 5 mm sur les dimensions tout en respectant une tolérance de ± 10 mm sur la position

théorique des faces

- Pour les aplombs : ± 10 mm par rapport à la verticale pour les hauteurs ne dépassant par 4 mètres et ± 20

mm sur toute hauteur.

- Pour les percements et incorporations au béton, la tolérance d'implantation est de ± 10 mm dans chaque

direction principale d'implantation. Contre-flèches des poutres et des dalles

a) Les coffrages et échafaudages présentent une rigidité suffisante pour résister sans tassements ni

déformations nuisibles aux charges, surcharges et efforts de toute nature qu'ils sont exposés à subir

pendant l'exécution des travaux et notamment aux efforts engendrés par le poids et le serrage du béton.

b) Sauf indications spéciales sur les plans d'exécution, les flèches du coffrage sous l'effet des charges qu'il

supporte, doivent s'ajouter aux contre-flèches indiquées ci-après.

Poutres Les coffrages des poutres doivent présenter les contre-flèches suivantes pour la face inférieure et supérieure des poutres au milieu des travées : Cf = L/1000 (1 + L/10 h) dans cette formule : L = la distance entre nus des appuis définitifs h = hauteur totale de la poutre, dalle comprise. Dalles Les coffrages des dalles doivent être exécutés avec les contreflèches suivantes :

- si le rapport des deux dimensions de la dalle entre nus des appuis, Lx et Ly, est :

Lx

--- ≥ 1,5

Ly Lx étant la grande dimension et Ly la petite dimension, la contre-flèche à mi-portée de la dalle sera :

(Ly)2

Cf = --------

10.000 d

avec d = l'épaisseur de la dalle

Lx

- si le rapport des deux dimensions ---- < 1,5

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Ly

(Ly)2

la contre-flèche à mi-portée de la dalle sera Cf = --------

20.000 d - Si les contre-flèches calculées conformément aux conditions ci-dessus sont plus petites que 5 mm, leur

exécution n'est pas obligatoire.

Décoffrage

Les prescriptions de l'index 26.0.4. du Cahier des Charges - Type 104 sont complétées par les prescriptions ci-après. Lorsque le béton brut présente des défauts comme nids de graviers, armatures apparentes, cavités, effritements, etc..., le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE décide si la partie en cause peut être réparée ou si elle doit être démolie et refaite. Le mode de réparation des ouvrages ainsi que les produits utilisés seront soumis à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Les parties d'ouvrage refusées par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE sont démolies et reconstruites aux frais de l'ENTREPRENEUR. Toutes les conséquences directes et indirectes aussi bien sur les ouvrages que sur les délais restent à charge de l'ENTREPRENEUR.

Acier d'armatures pour béton armé

Généralités

Les aciers fournis sur chantier doivent être accompagnés d’un certificat d’usine garantissant la marque BENOR. Les prescriptions de l'index 26.0.2.2. du Cahier des Charges-Type 104 sont complétées par les prescriptions ci-après. L'acier employé est neuf, exempt d'anomalies et conforme à la circulaire 546.4 du Ministère des Travaux Publics. Le mesurage de l'acier d'armature se fait sur base des bordereaux d'armatures établis à partir des plans de ferraillage approuvés par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. La masse linéique par diamètre à considérer dans le métré récapitulatif est indiquée au tableau II de la norme NBN A 24-302. Ne sont pas considérés dans le calcul et ne donnent donc pas lieu à paiement : les chutes, ligatures, barres de construction telles que chaises, supports, calages, etc ... ni les barres ne servant qu'à la manutention, ainsi que les recouvrements de barres ne figurant pas aux plans.

Raidisseurs pour prédalles

Les raidisseurs pour prédalles sont des poutres métalliques en treillis dont l'armature est enrobée dans le béton de la prédalle. Ils servent à la manutention, à l'étançonnement et à l'accrochage des prédalles aux planchers. L'écartement maximal entre raidisseurs est de 60 cm. L'ENTREPRENEUR fournit, pour approbation par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE, les caractéristiques techniques du type de raidisseur qu'il compte utiliser. Les barres inférieures sont reliées à la supérieure par des fils diagonaux. Ceux-ci sont soudés aux barres longitudinales tous les 20 cm environ par une double soudure.

Eléments préfabriqués en béton.

Généralités

Certaines parties d'ouvrages sont prévues comme étant réalisées en tout ou en partie au moyen d'éléments préfabriqués en usine. L'ENTREPRENEUR a la faculté de proposer que d'autres parties d'ouvrages soient réalisées au moyen d'éléments préfabriqués en usine, pour autant que les éléments préfabriqués soient disposés de la même façon que les éléments coulés sur place qu’ils remplacent et que leurs dimensions respectent les gabarits et ne soient en aucun cas supérieures à celles indiquées aux plans. Les éléments type prédalles doivent bénéficier de la marque BENOR. Ceux en béton précontraint doivent bénéficier de la marque PROBETON ou satisfaire aux tests et contrôles exigés dans le cadre de ce label.

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Plans d'exécution

Sur base des plans de coffrage mentionnant leurs dimensions et leur emplacement dans l'ouvrage ainsi que des sollicitations à considérer pour le calcul, l'ENTREPRENEUR établit les plans d'exécution de tous les éléments préfabriqués et les soumet à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Il fournit également une note de calcul dressée conformément aux normes et règlements en vigueur justifiant la stabilité et le calcul organique du béton armé ou précontraint compte tenu de toutes les sollicitations. L'ENTREPRENEUR assure également la coordination entre les différents fournisseurs d'éléments préfabriqués et à cet effet fournit les plans complets et détaillés des noeuds de liaison entre les éléments préfabriqués et les parties coulées sur place ainsi que les dispositifs de liaison des éléments entre eux qu'ils soient provisoires (montage) ou nécessaires à la stabilité définitive d’ouvrage terminé. La rémunération de ces études est comprise dans les prix unitaires du bordereau. Si les dimensions des éléments préfabriqués approvisionnés au chantier ne sont pas correctes, ceux-ci ne pourront être mis en oeuvre que moyennant des adaptations approuvées par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Si ces adaptations ne sont pas satisfaisantes, ce dont le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE est seul juge, les éléments seront rebutés et remplacés à la charge de l'ENTREPRENEUR.

Pièces à incorporer au béton

Rails de fixation

Ceux-ci sont à sceller dans les ouvrages en béton armé, colonnes, poutres, etc., suivant les indications des plans. Les types de profils et leurs ancrages sont définis en fonction des efforts qu'ils doivent supporter. Les rails de fixation sont en acier et sont protégés suivant les prescriptions de l'index 07.1.8.22.1. du Cahier des charges-type n°104. Ils ont une section trapézoïdale avec rebords vers l'intérieur, de façon à présenter par dessous une ouverture sur toute la longueur. Cette ouverture permet l'introduction en tous points de tous moyens de suspension appropriés. Pendant le bétonnage, l'ouverture est obturée par de la mousse plastique. Les profils sont posés contre le coffrage et solidement maintenus en place pour éviter tout déplacement en cours de bétonnage.

Pièces diverses en métal ou autres matériaux

Diverses pièces métalliques ou autres (tubes, douilles, plats avec ancrages, etc ...) peuvent être incorporées au béton. Ces pièces sont placées dans le coffrage et fixées solidement pour être maintenues exactement dans la position requise pendant toute la durée du bétonnage.

Incorporations électriques

Généralités L'ENTREPRENEUR est chargé d'incorporer des canalisations électriques dans la masse de certains éléments en béton tant préfabriqués que coulés sur place. La fourniture des canalisations fait partie de la présente entreprise ainsi que la pose dans les coffrages, l'assemblage des tubes, boîtes, leur protection, les essais, etc ...

Matériel mis en oeuvre Les tubes destinés à être enrobés dans le béton sont en matière thermoplastique souple sans raccord, type à dérouler, agréée par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. La distance entre tubes, tant dans le plan horizontal que dans le plan vertical, est établie en fonction de la granulométrie du béton mis en oeuvre afin d'assurer l'enrobage complet des canalisations. Dans les colonnes ou voiles, les tubes sont posés à mi-distance des lits d'armatures. Ils sont fixés par un dispositif rigide s'appuyant sur le ferraillage. Dans les dalles, les tubes sont toujours posés au-dessus de la nappe inférieure de ferraillage. Les rayons de courbure sont portés au maximum. Toutes les précautions sont prises pour éviter tous dégâts aux tubes, déplacements de boîtes et infiltration de mortier pendant la coulée et le serrage du béton. Les tubes enrobés sont toujours d'une seule longueur. Aucun manchon ou raccord n'est autorisé dans ces tubages. Les entrées des tubages dans les boîtes de tirage, de dérivation, d'interrupteurs et de prises de courant sont étanches.

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Dans les boîtes, le tube traverse de part en part la boîte sans sectionnement. Le tube n'est coupé dans la boîte qu'après le décoffrage du béton, ceci afin d'éviter toute introduction de lait de ciment dans les canalisations lors de la mise en oeuvre.

Boîtes de dérivation et boîtes pour interrupteurs, prises de courant Des boîtes pour interrupteurs, prises de courant et des boîtes de dérivation en matière thermoplastique sont à encastrer dans certains bétons. Elles sont insérées dans les coffrages auxquels elles sont fixées.

La position des boîtes et tubes est matérialisée sur les coffrages avant exécution des ouvrages.

Tirage des conducteurs

Des fils de tirage sont placés par l'ENTREPRENEUR dans chaque tubage embétonné.

Plans Les plans indiquant le tracé des canalisations électriques, etc., à enrober dans les bétons et la position des boîtes sont fournis par l'ENTREPRENEUR et soumis à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Après exécution, l'ENTREPRENEUR dresse un plan détaillé indiquant clairement et avec précision les endroits où passent les diverses canalisations et l'emplacement des boîtes de dérivation, interrupteurs, etc.

C.7. CHARPENTES METALLIQUES

Remarque préliminaire L'attention de l'ENTREPRENEUR est attirée sur la précision du travail à réaliser. Pour les travaux de charpente devant s'incorporer dans des ouvrages existants, l'ENTREPRENEUR est tenu de relever sur place toutes les mesures nécessaires à l'établissement des plans d'atelier des fournitures métalliques.

Généralités

La construction, l'exécution et le montage des charpentes métalliques sont conformes aux meilleures règles de l'art, notamment à l'ensemble des recommandations de l'Institut Belge de Normalisation (NBN n° B51-001 et -002) au "Code de bonne pratique relatif aux constructions métalliques soudées en acier" publié par l'Institut Belge de la Soudure, et satisfont aux prescriptions de sécurité du "Règlement Général pour la Protection du Travail". La fabrication est uniquement réalisée avec les nuances d'acier indiquées aux plans. Des matières neuves et de première qualité sont utilisées dans la construction et sont fournies par l'ENTREPRENEUR.

Qualité des aciers

Les aciers sont généralement, suivant NBN A 21-101, de la nuance AE 235. Ils doivent être d'une qualité supérieure si les contraintes de calcul le justifient. La catégorie B, C ou D sera déterminée conformément aux données du tableau 2, (catégorie 2), pour une température de -15°, du fascicule 1 du "Code de Bonne Pratique Relatif aux Constructions Métalliques Soudées en Acier" de l'Institut Belge de la Soudure.

Plans d'atelier

L'ENTREPRENEUR a à sa charge l'établissement des plans généraux et des plans d'atelier de tous les éléments de la charpente qu'il soumettra à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Il fournira également une note de calcul dressée conformément aux normes et règlements en vigueur justifiant le dimensionnement des assemblages et des soudures. La rémunération de ces études est comprise dans les prix unitaires du bordereau.

Travail à l'atelier

Planage et dressage des pièces

Le planage et le dressage des tôles et des profilés sont faits à chaud à la sortie du laminoir. Ils ne peuvent être faits à froid que dans le cas de petites déformations et à condition que les pièces soient à une température de 20°C au moins. Si les déformations sont notables, les pièces doivent être réchauffées au rouge sombre sur toute la partie à rectifier. Le planage et le dressage sont exécutés sans choc, à la presse ou à la machine à rouleaux.

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Le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE est seul juge des cas où des petites déformations locales peuvent être remaniées au marteau et se réserve le droit de faire rebuter toute pièce qui aurait subi un traitement inadéquat.

Forgeage et pliage à chaud

Les pièces à forger et à plier sont chauffées uniformément sur toute la longueur de la partie à travailler, à la température du rouge cerise, sans surchauffe. Pour le chauffage, on a soin de se servir de fours et non de feux de forge. On a soin d'interrompre le forgeage et de réchauffer les pièces quand la température passe au rouge sombre.

Découpage

Les tôles sont découpées de manière telle que les plus grands efforts s'exercent dans le sens du laminage. Tous les bords et toutes les extrémités indistinctement sciées ou découpées au chalumeau automatique sont proprement parachevées et dressées de manière que les tranches soient franches sur toute l'épaisseur, sans déchirure ni manque de matière. En outre, les pièces découpées au chalumeau ordinaire sont rafraîchies sur 2 mm au moins. Toutes ces opérations sont faites au moyen des machines à raboter ou à fraiser, à la meule ou à la lime. L'emploi d'ébarboirs est interdit.

Ajustage des pièces à boulonner

Les pièces à mettre en oeuvre ne peuvent être découpées à la cisaille. Leur mise à longueur exacte se fait au moyen de la scie, de la raboteuse, du chalumeau automatique ou toute autre machine-outil disposée de manière à ne pas déformer, ni fissurer, ni écrouir le métal. Les extrémités et les bords des pièces sont proprement parachevés de façon à faire disparaître les traces laissées par le sciage, le burinage ou le découpage. Les abouts de toutes les pièces à assembler sont bien ajustés de manière qu'ils se touchent en tous points, tout spécialement dans les zones comprimées. On veille à ce que les surfaces d'about en contact soient parfaitement dressées. Le contact des tranches doit être parfait. Les cornières, fourrures, couvre-joints, etc. doivent être convenablement appliqués dans l'intervalle des boulons sur les pièces qu'ils recouvrent. Même dans les parties où se présentent des changements d'épaisseur, il faut également que les bords des tôles, faisant âme, affleurent exactement la surface des branches des cornières correspondantes, etc. Afin que les pièces puissent porter à bloc, les unes contre les autres, elles sont, avant assemblage, bien dressées, planées et débarrassées de toute bavure de forage. Les parties d’ouvrage, qui doivent être d'une seule pièce, ne peuvent pas être composées de plusieurs pièces réunies par soudure ou par couvre-joints. Il faut éviter, de façon absolue, le dressage des pièces déjà assemblées. L'ENTREPRENEUR prend, à l'usine et à pied d'oeuvre, toutes les précautions nécessaires pour empêcher les déformations de pièces en cours de manutention. Les arêtes vives et les parties saillantes sont protégées au moyen de fourrures de bois, de sacs, etc ...

Préparation des trous

Tous les trous sont forés et le poinçonnage est interdit sauf autorisation spéciale du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE, dans le cas exceptionnel dont il est seul juge. Si le poinçonnage est autorisé, il s'effectue suivant un diamètre inférieur de 4 mm au diamètre indiqué sur le plan, ce dernier étant alors obtenu par alésage. Pour autant que la construction le permette, le forage s'effectue à l'aide de foreuses fixes et il ne peut se faire à une température inférieure à 5°C. Après que les trous ont été ainsi forés dans les pièces, on débarrasse complètement celles-ci des bavures dues au forage et des traces de lubrifiant.

Soudures

Les cordons de soudure

Les cordons de soudure ont les dimensions reprises aux plans et sont exécutés conformément aux stipulations de la norme NBN N° 212.

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Procédé de soudage

L'ENTREPRENEUR présente au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE le procédé de soudage avant le début des travaux de soudage. Après accord de celui-ci sur le document de base, des échantillons de soudure sont exécutés et subissent les traitements prévus, puis les essais d'agrément requis.

Qualification des soudeurs

Les soudeurs chargés du soudage des pièces importantes pour la sécurité ont subi avec succès les épreuves des qualifications correspondant à la nature des assemblages à réaliser et aux conditions réelles de travail. Les essais de qualification sont faits en utilisant du matériel de soudure semblable à celui prévu pour la fabrication. La préparation et l'épaisseur des pièces à assembler sont semblables à celles rencontrées dans la construction. La qualification des soudeurs est conforme aux codes de bonne pratique relatifs aux constructions soudées en acier (NBN 61). Si la qualification des soudeurs a été obtenue antérieurement dans les conditions voisines des conditions rencontrées dans la construction présente, cette qualification peut être acceptée par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE pour autant qu'elle ait été accordée par un organisme agréé par elle dans les six mois précédant l'exécution de travail. Les frais de qualification ne sont en aucun cas à charge de l'Administration.

Préparation des pièces avant soudage

Avant soudage, les pièces sont correctement nettoyées. L'ENTREPRENEUR élimine toutes traces d'oxydes,

d'huiles, de graisses et de peintures sur une largeur d'au moins 15 mm du bord du chanfrein.

Les pièces découpées par cisaillage et chalumeau sont rafraîchies sur 2 mm au moins, au moyen de machines à

meuler, raboter ou fraiser.

Soudure en bout

Les pièces à souder en bout sont chanfreinées.

Pour les épaisseurs comprises entre 3 et 12 mm, un joint en V est réalisé sans méplat et avec un écartement de 2

mm après pointage entre les lèvres de chanfreins.

Pour les épaisseurs comprises entre 12 et 30 mm, un joint en X est réalisé sans méplat et avec un écartement de 2

mm après pointage entre les lèvres de chanfreins.

Le chanfrein est légèrement dissymétrique de manière à obtenir après la première passe une quantité équivalente

de métal déposé dans les deux demi-joints et à diminuer le risque de déformation angulaire. Si la reprise à

l'envers n'est pas possible, l'ENTREPRENEUR utilise un joint en V pour les épaisseurs comprises entre 3 et 40

mm avec écartement de 2 mm entre les pièces à souder et méplat de 2 à 3 mm.

Les dimensions données ci-dessus ne sont pas absolues et des corrections peuvent être apportées dans le cas des

joints importants.

Soudure d'angle

La soudure d'angle se présente chaque fois que le calcul de la résistance le permet sous forme de cordon isocèle.

Degré de convexité maximal : 0,8

Degré de concavité maximal : 0,6

Degré de convexité et concavité : rapport de la cote nominale au cordon de soudure, la cote nominale étant la

cote du triangle isocèle donnée sur le plan d'ensemble.

Accostage des pièces

L'écartement des becs de chanfreins peut varier de 1 à 2 mm localement; toutefois, un écartement de 0 à 3 mm

est admissible à condition que des précautions soient prises lors du soudage.

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Ces endroits sont systématiquement repérés en vue de leur contrôle après soudage.

La tolérance de dénivellation des becs de chanfrein est de ± 1 mm.

La tolérance de dénivellation en surface est de :

e <= 20 mm : 0,1 e

20 < e <= 50 mm : 0,075 e

e > 50 mm : 0,05 e

Alignement en plan : le hors alignement n'excède pas 1 mm/m de longueur des éléments à assembler. Lorsque le

décalage au droit du joint est inférieur à 2 mm, on exécute un raccordement progressif à l'aide de la soudure

(5.4.). Les soudures sont meulées suivant les profils figurés aux plans de détails. Les faces obtenues sont lisses et les arêtes nettes. Aucun relief n'est toléré.

Assemblage par boulons à haute résistance (H.R.)

Exécution des joints - Généralités

Les boulons, les écrous et les rondelles sont conservés à l'abri de l'humidité et de la poussière, notamment de

façon à éviter de modifier les caractéristiques de frottement de l'écrou sur le filet du boulon. Les assemblages sont exécutés par temps sec, toutefois, les assemblages par temps de pluie peuvent être autorisés par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE sous les conditions suivantes :

- qu'une protection efficace soit réalisée,

- que l'installation de protection ait été réceptionnée et acceptée par le MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE.

Autant que possible, tout assemblage entamé doit être entièrement terminé endéans la journée, y compris le masticage et la première couche de peinture. Si l'exécution d'un assemblage est différée ou interrompue, l'ENTREPRENEUR prend toutes les mesures nécessaires pour éviter la pénétration d'eau ou d'impuretés dans le joint. Le serrage des boulons est effectué en commençant par le centre de l'assemblage et en finissant par les boulons qui pincent les extrémités libres des pièces à assembler. Cette séquence est également valable pour le préserrage. Immédiatement après le serrage des boulons, le joint est protégé contre la pénétration d'humidité en apposant un cordon de mastic sur le bords des pièces assemblées et en enduisant les têtes de boulons, les écrous et leur contour, les rondelles et les filets visibles d'une peinture épaisse, éventuellement thixotrope, compatible avec le système de protection prévu pour l'ouvrage. Les vides difficiles à protéger sont remplis de plomb maté, sans modification de prix.

Serrage des boulons

La méthode de serrage consiste à effectuer, en premier lieu, un préserrage de tous les boulons du joint par un couple égal au quart du couple maximal prévu. Le serrage est parachevé : - soit en imprimant à l'écrou une rotation d'un angle tel que le boulon se trouve finalement soumis à l'effort

de serrage prévu, - soit en poursuivant le serrage jusqu'à atteindre le couple imposé. Les clés dynamométriques sont tarées avant l'emploi ; le tarage se fait et est recommencé au moins tous les six mois ou à la demande du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Si les filets des boulons et des écrous ne se trouvent plus dans l'état où ils se présentaient lors de la réception (présence de rouille ou d'impuretés, graissage exagéré, etc.) un contrôle de la constante C est réalisé avant la mise en oeuvre.

Préparation des surfaces de contact

Toutes les dispositions sont prises pour que les surfaces de contact restent exemptes de rouille, poussières, graisses, huiles, peintures ou autres impuretés jusqu'au moment de l'assemblage et du serrage.

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Effort de précontrainte

Le contrôle est opéré une première fois pour chaque assemblage après l'opération de préserrage. Ce contrôle porte sur au moins 5 % des boulons de chaque joint avec un minimum de 6 boulons par joint. Si le contrôle décèle qu'un boulon est serré insuffisamment ou exagérément, l'ENTREPRENEUR contrôle tous les boulons du joint en présence du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE. Un second contrôle est effectué après le serrage définitif. Ce contrôle porte au moins sur 3 % des boulons de chaque joint avec un minimum de 6 boulons par joint. La décision de l'acceptation est la même que pour le contrôle de préserrage.

Peintures

Toutes les parties des charpentes qui ne sont pas en contact avec le béton ou la maçonnerie doivent être peintes conformément aux spécifications ci-après :

- Sablage pour l'obtention d'un degré de propreté SA 2,5 suivant la norme SIS 055900-1967.

1°) Application d'un welding primer époxy, d'une épaisseur comprise entre 15 et 20 microns, richement pigmenté au phosphate de zinc.

2°) Application d'une couche de primer époxy, richement pigmenté au phosphate de zinc, d'une épaisseur de 40 microns.

3°) Application d'une couche de renforcement époxy pigmenté à l'oxyde de fer micacé, d'une épaisseur de 80 microns.

4°) Application d'une couche de finition polyuréthane d'une épaisseur de 40 microns.

Ces peintures sont mises en oeuvre en atelier. Toutes les précautions sont prises pour éviter la dégradation de la peinture pendant le transport et le montage.

Toutes les parties de charpente dont la peinture aurait été endommagée sont remises en état sur site par et aux

frais de l'ENTREPRENEUR. L'ENTREPRENEUR soumet à l'approbation du MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE les produits qu'il compte mettre en oeuvre pour répondre aux spécifications ci-dessus.

Le coût des travaux de peinture, ainsi que du contrôle de ceux-ci, est compris dans les prix unitaires des différents postes relatifs à la charpente métallique.

Montage

Généralités

Les engins de manutention utilisés doivent avoir été vérifiés et testés conformément aux prescriptions réglementaires belges. Les certificats de tests en cours de validité sont transmis au MAITRE D’OUVRAGE DELEGUE si celui-ci en fait la demande. Les prestations de l'ENTREPRENEUR comprennent la mise à disposition de ses propres équipes de montage, des engins de manutention et l'assemblage des éléments de la charpente. Au cas où l'ENTREPRENEUR sous-traite les opérations de montage, il est tenu de déléguer en permanence un agent responsable sur le chantier. Avant le montage, l'ENTREPRENEUR vérifie l'implantation et le nivellement des assises par rapport aux axes et aux niveaux de référence.

Assemblage

Le montage se fait par opérations conformes aux prescriptions réglementaires belges et aux recommandations de la NBN N°1. Le principe directeur est d'effectuer le maximum d'assemblages au sol. Dès la mise en place des premiers éléments, la stabilité de la charpente est assurée par des étais, haubans ou contreventements provisoires. Le montage s'effectue au moyen de boulons. Le brochage des trous pour la mise en place des premiers éléments se fait au moyen de broches cylindriques avec entrée conique de même diamètre que le boulon. L'exécution des soudures et des assemblages par boulons H.R., s'il en fait usage, est conforme aux prescriptions reprises ci-avant dans le présent Cahier Spécial des Charges. Dans le cas d'assemblages par soudage, les prescriptions de la norme NBN 207 sont d'application.

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Ancrages et scellements

Avant de procéder aux scellements, la construction est complètement et définitivement réglée. Des cales en nombre suffisant sont placées pour éviter les déformations des plaques d'assises. Tous les boulons d'ancrage entrant dans les trous de scellement sont fournis avec la charpente, montés et contrôlés par l'entreprise de charpente métallique.

Réglage

Le réglage est effectué en plusieurs phases si nécessaire et ce sans aucun supplément de prix.

Code de mesurage

Contrairement à l'article 12 de la NBN 1-01 de 1968, seuls les poids théoriques des profilés (correspondant au

volume géométrique net mis en place) sont pris en considération, un supplément de 10% par rapport à cette

quantité est accordé pour soudures, boulons, tiges filetées, écrous, rondelles, peinture, plaques d’about, de

connection, percements.

Les ancrages chimiques sont comptés dans les postes respectives d’ancrages chimiques.

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DESCRIPTIF REMARQUES IMPORTANTES 1. Les prix unitaires forfaitaires ou présumées et/ou les prix forfaitaires indiqués par le Soumissionnaire au

métré récapitulatif annexé à son offre et correspondant aux postes du descriptif qui suit, comprennent tous les travaux et fournitures nécessaires à l’exécution complète des ouvrages conformément aux plans et au Cahier Spécial des Charges et métré, même si ces travaux et fournitures ne sont pas définis explicitement dans le texte du métré.

Ces prix unitaires seront d’application, en cours des travaux, pour les modifications éventuelles demandées par le Maître d’ouvrage au Soumissionnaire devenu plus tard l’Entrepreneur.

2. Pendant toute la durée des travaux, l’Entrepreneur doit assurer à sa charge et en tout temps, le libre

écoulement et l’évacuation des eaux de pluie, d’infiltration et des eaux s’écoulant dans les égouts ou collecteurs.

Il prend toutes les dispositions utiles à cet effet et met en œuvre le matériel indispensable (pompe, tuyauteries provisoires, etc.).

Tous les travaux et prestations nécessaires et toutes les sujétions pour le maintien du libre écoulement et l’évacuation des eaux constituent une charge pour l’Entrepreneur de même que la fourniture de la force motrice nécessaire.

3. Pour tous les postes et sous-postes du présent descriptif, les prix unitaires comprendront “TOUTES

SUJETIONS - RIEN RESERVE NI EXCEPTE”; que cette mention soit ou non reprise à chacun de ces postes ou sous-postes.

4. Il est précisé que l’expression “mise en œuvre” reprise dans le présent descriptif comprend, toute la mise

en service des fournitures, la mise en place, pose, montage, etc. desdites fournitures et ce sans restriction d’aucune sorte.

5. Les travaux s’exécutent dans la proximité de bâtiments en service. Les traveaux s’exécuteront en

différentes phases (voir plans de phasage architecture). Toutes les mesures pour garantir que les bâtiments peuvent rester en service pendant toutes les phases des travaux (mesures de protection, mesures anti-poussière, sécurité, libre-accès, …) et pour le phasage constituent une charge pour l’Entrepreneur.

6. L’attention de l’Entrepreneur est attiré sur le fait que les nouvelles constructions sont pour une certaine

partie à réaliser entre et dans de structures existantes. Tous les mesurages nécessaires pour l’exécution des travaux et repris ou non sur les plans seront faits par l’Entrepreneur bien avant l’exécution des travaux ou toute commande de matériau. Il s’agit notamment de mesurages nécessaires pour : éléments préfabriqués, toutes coffrages, poutrelles, barres d’armatures,... L’ensemble de ces mesures constitue une charge pour l’Entrepreneur. En cas de non-conformité des plans du dossier d’exécution avec la situation sur site, il avertit immédiatement le maître d’ouvrage délégué.

7. La protection de tous les câbles, égouttages et autres installations invisibles et enterrées qui sont dans

l’emprise de l’ensemble des travaux sont une charge de l’Entrepreneur. Il requeuillera toutes les informations nécessaires auprès du maître de l’ouvrage et architecte ou fera les fouilles/détections nécessairement péalablement aux travaux structurels. En cas d’incompatibilité d’installations existantes avec les nouvelles ouvrages, il avertit immédiatement l’architecte et l’ingénieur.

8. L’Entrepreneur aura à disposition les plans de stabilité sous forme papier et forme informatique (dwg

version récente). Les mesures non reprises sur les plans seront déduits par l’entrepreneur des plans informatisés en tenant compte et en comparant avec les plans architecture. Chaque incohérence détectée par l’entrepreneur sera communiquée bien avant toute commande à l’architecte et ingénieur. L’entrepreneur contrôlera tout document qu’il utilise et fera les vérifications nécessaires bien avant toute commande (plans, bordereaux, inplantations, investigation structure existante ect). Aucun supplément à ce sujet sera accepté.

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(1 ) Travaux de démolit ions d’é tançonnement e t de t ra itement (1) 0. Généralités, Remarques Importantes

L’ensemble des démolitions est répartie en deux rubriques : (1) 1. travaux forfaitaires et (1) 2. travaux en quantité présumée. Chaque poste dans la partie (1) 1. traite une zone de bâtiment ou des constructions doivent être démolies. Certaines zones font également l’objet de nouvelles constructions, décrites dans les chapitres suivants.

Tous les opérations (notamment : forages, sciages, ancrages, percements, ...), main-d’oeuvre, matériel, matériaux et autre s’avérant à l’étançonnement des structures existantes et à l’exécution des nouvelles ouvrages pendant tous les phases des travaux, ainsi que toutes les opérations décrites dans ce chapitre sont une charge de l’Entrepreneur et seront réparties sur l’ensemble des postes du chapitre (1) 1.

Pour tous les postes du chapitre (1) 1., l’Entrepreneur remet au moins 15 jours avant le début des travaux dans la zone concernée, un plan de phasage des travaux détaillé de la zone à l’approbation du maître de l’oeuvrage délégué. Ce plan comprend notamment : Le phasage des travaux de démolition, des travaux d’étançonnage (avec charges à reprendre, matériel mise en oeuvre et points d’appui des étançons et des machines) et des travaux de construction.

Les zones décrites dans les postes sont également reprises sur les plans avec leurs limites. L’Entrepreneur fera l’interprétation de ces indications mais prévoit dans son poste tous les travaux complémentaires qu’il juge nécaissaire pour obtenir un travail complèt.

Sauf les cas décrits dans les postes du chapitre (1) 2. l’ensemble de toutes les démolitions, étançonnements, ragréages, traitements, liaisons avec nouvelles structures rien excepté pour le présent marché partie stabilité, qu’il soient ou non reprises sur les plans, sont comprises dans l’ensemble des postes (1) 1. Aucun supplément à se sujet sera accepté. Les modifications de projet éventuelles en cours d’exécution seront traitées par les postes du (1) 2.

Les postes de démolition et les postes de nouvelles constructions dans une même zone sont intimement liées et doivent être traitées de cette façon. Le résultat des travaux dans une zone est que chaque face de béton, existante ou nouvelle, ait un aspect fini. Tout opération, main-d’oeuvre et matériau pour ceci est comprise dans l’ensemble des postes (1) 1 sans omissions et oublis. L’aspect fini est de manière générale obtenue comme suit :

- surfaces sciées et forées : traitement avec un produit de protection des aciers, à soumettre à l’approbation.

- surfaces avec armatures dépassantes : en général, ces surfaces sont noyées dans un nouvel élément béton. Les armatures dépassantes sont intactes sur une longueur de 30 x le diamètre des barres dans le nouvel élément béton. Toutes les barres endommagées ou cassées seront remplacées à charge de l’Entrepreneur par de nouvelles barres du même diamètre mais au minimum 8 mm, forés et ancrés avec produit chimique dans l’élément béton existant

- surfaces démolies au marteau-pique ou autre sans armatures dépassantes : ces surfaces sont nettoyées de tout élément non attaché et égalisées et traitées avec un mortier de ragréage, à soumettre à l’approbation.

- les cas spéciaux font l’objet d’une proposition de l’entrepreneur et sont à sa charge

(1) 1. Travaux forfaitaires

(1) 1.1 Démolitions de structures béton/acier/maçonnerie existantes

Notamment : bac à sable, couverture cour de récréation. Cette liste n’est pas limitative et comprend toutes les démolitions de structures béton/acier/maçonnerie, nécessaire pour modifier la structure existante (voir plans architecture) en la situation définitive (voir plans stabilité et architecture).

Pour mémoire : prévu dans le CDC Architecture

(1) 1.2 Réservations et percements pour égouttage et techniques

Ce poste concerne tous les percements et réservations, ragréages, rebouchages etc dans les éléments structurels existantes et nouvelles nécessaires pour la réalisation de l’ensemble des égouttages et techniques spéciales (sanitaire, électricité, HVAC, ascenceurs, équipements spécifiques pour le maître de l’ouvrage). L’entrepreneur remet un plan avec indication précise des travaux structurels en fonction des plans d’exécution de la partie Sanitaire, à l’approbation du maître de l’ouvrage délégué. Les ouvertures dans de nouveaux éléments structurels doivent être prévues impérativement sous forme de réservations mises en place lors du coffrage des éléments. Toutes les incidences éventuelles des réservations sur la disposition ou renfort des armatures ou de la section béton sont

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une charge de l’entrepreneur. Il propose des adaptations de coffrage ou armatures si nécessaire et les remet sous forme de croquis à l’approbation du maître de l’ouvrage délégué. Tous les percements dans les structures existantes sont réalisés avec la couronne diamantée, aucun percement n’est effectué sans l’approbation du maître de l’ouvrage délégué.

Pour mémoire : prévu dans le CDC Architecture et Techniques Spéciales

(2) Travaux de débla is e t rembla is (2) 1. Déblais (2) 1.1 Déblais pour fondations nouvelles

Le poste concerne les travaux de déblais, nécessaires pour l'exécution des ouvrages de fondations et de massifs drainants, à effectuer en fouilles ouvertes en terrain de toute nature. Le poste comprend notamment : - le déblai à partir du niveau du terrain existant, après enlevage de végétation, revètements (sans sous-fondations) et terre arable (voir architecture); - la démolition éventuelle des massifs inférieurs à 0,5 m3; - le chargement, le transport et la mise en dépôt à un endroit approprié du site des matériaux

meubles provenant des déblais et pouvant être réutilisés en remblai, ce dont le Maître d’Ouvrage est seul juge;

- le chargement, le transport et l’évacuation sur un site à trouver par l’Entrepreneur des terres excédentaires ou impropres au réemploi y compris toutes taxes et redevances de versage, tests de qualité et polluages, ect.

- les terrassements supplémentaires pour les talus de travail, pistes, voies d'accès, rampes, etc... - l'étançonnement provisoire des fouilles, les protections éventuelles de talus provisoires, et en

général toutes les mesures nécessaires pour assurer l'exécution dans les meilleures conditions de sécurité.

La reprise de glissements éventuels, les dégâts qui en résulteraient pour les ouvrages en cours ainsi que toutes les conséquences dommageables au déroulement des travaux sont une charge de l'Entrepreneur.

Pour mémoire : prévu dans le CDC Architecture

(2) 2. Remblais

(2) 2.0 Massifs drainants sous nouvelles zones enterrées

POUR MEMOIRE : VOIR CAHIER DES CHARGES ARCHITECTURE.

(2) 2.1 Remblais autour des nouvelles et anciens constructions

Fourniture et mise en oeuvre de sable compacté pour la réalisation du remblai autour des nouvelles et anciennes constructions, afin de réaliser les niveau renseignées sur les plans d’implantation architecture moins terre arable, revètements avec fondation.

Les dégats éventuels dans les revètements sur remblais, dus aux tassements de ces remblais seront réparées à charge de l’Entrepreneur.

La mise en œuvre se fera par couches de 30 cm maximum avec compactage soigné de chacune des couches.

Pour mémoire : prévu dans le CDC Architecture

(3) Travaux en bé ton REMARQUE IMPORTANTE

Tous les éléments béton visibles auront une surface lisse irréprochable.

(3) 1. Fondations

(3) 1.1 Pieux capacité portante utile 50 t

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 2. Béton de fondation

(3) 2.1 Béton de propreté

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

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(3) 2.2 Massifs, semelles et poutres de fondation

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 2.3 Dalles de sol

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 2.4 Voiles contre terre

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3. Béton au dessus des fondations

(3) 3.1 Voiles béton

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.2 Dalles béton

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.3 Hourdis en béton Précontraint + 5cm couche de compression (8 aux appuis)

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.4 Escaliers

(3) 3.4.1 Escaliers avec marches + nez de marche restant apparents

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.4.2 Escaliers avec parties inférieures et laterales restant apparents

Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.5 Poutres et asselets béton

Fourniture et mise en oeuvre de béton pour la réalisation des poutres et asselets en béton armé. Les percements, réservations, fourreaux indiqués ou non aux plans sont compris dans le prix unitaire du béton. Mode de mesurage : Le volume est calculé sur base des plans en considérant la hauteur de la poutre sous dalles/planchers préfab.

Mode de mesurage : m3 Quantité forfaitaire

(3) 3.6 Colonnes rectangulaires béton Ce poste n’est pas d’application pour ce projet

(3) 3.7 Barres d’armatures

Le poste concerne la livraison, le façonnage et la mise en place dans tous les diamètres de barres d’acier de la qualité BE 500 pour tous les ouvrages en béton armé. Le métré est effectué conformément aux indications des Prescriptions Techniques Générales.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

(3) 3.8 Treillis d’armatures

Le poste concerne la livraison et la mise en place de treillis d’armatures de la qualité DE 500 BS pour les ouvrages en béton armé. Le prix unitaire est d’application pour tous les types de treillis utilisés pour l’exécution des travaux. Le métré est effectué conformément aux indications des Prescriptions Techniques Générales sur base des plans d’armatures.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

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(2 ) Travaux en ac ier (4) 1.1 Poutrelles traitées anti-rouille

Concerne : L’ensemble des éléments structurels en acier destinés à être coulées ensemble avec la dalle hourdis. Fourniture et pose de profilés métalliques traitées anti-rouille avec un procédé compatible avec la protection Rf. La quantité d’acier est déterminée suivant les prescriptions générales.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

(4) 2 Tubes et poutrelles traités anti-rouille et laquées

Concerne : L’ensemble des éléments structurels en acier destinés à rester apparents dans tous les locaux sans exception, ossature primaire, secondaire, y compris pièces d’assemblage, contreventements etc… Fourniture et pose de tubes métalliques traitées anti-rouille et laquées suivant un procédé et couleur décrit ci-après. Traitement de surface : Les profilés subissent un traitement préalable en atelier comprenant le grenaillage, le dépoussiérage, la métallisation (classe Zn40 et l’application d’une première couche de peinture antirouille à base de chromate de zinc. La peinture de finition est appliquée en atelier ou sur chantier, mais le prix inclut de toute manière les retouches à appliquer sur chantier après montage de la structure. Teinte au choix de l’architecte. La quantité d’acier est déterminée suivant les prescriptions générales.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

(4) 2.2 Tubes et tôles galvanisés

Fourniture et pose de tubes galvanisées à chaud ou tôles galvanisées pliées à froid (gouttières structurelles toiture cour de récréation) pour structure de la couverture de la cour de récréation. La quantité d’acier est déterminée suivant les prescriptions générales.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

(4) 3 Poutrelle cintrée traitée anti-rouille et laquée

Concerne : La poutrelle structurelle cintrée en acier destinée à rester apparente au dernier étage, y compris pièces d’assemblage, contreventements etc… Fourniture et pose de poutrelle métallique traitée anti-rouille et laquée suivant un procédé et couleur décrit ci-après. Traitement de surface : Les profilés subissent un traitement préalable en atelier comprenant le grenaillage, le dépoussiérage, la métallisation (classe Zn40 et l’application d’une première couche de peinture antirouille à base de chromate de zinc. La peinture de finition est appliquée en atelier ou sur chantier, mais le prix inclut de toute manière les retouches à appliquer sur chantier après montage de la structure. Teinte au choix de l’architecte. La quantité d’acier est déterminée suivant les prescriptions générales.

Mode de mesurage : kg Quantité présumée

(4) 4 Peinture Rf 1h de structure métallique

Fourniture et mise en oeuvre de peinture Rf 1h appliquée sur la structure métallique et toutes suggestions pour un ouvrage complet. La protection sera à accepter par les pompiers. Mesurage : par zone

Prix Forfaitaire

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ANNEXES

1. Plans de stabilité, sous forme papier et informatique dwg + bordereaux 2. Métré Récapitulatif