Chers collègues éleveurs,

Ce numéro d’Evalp Info, rédigé juste à la clôture du Salon de l’Agriculture de Paris, nous permet d’ouvrir ce journal sur une belle note avec beaucoup d’animaux et d’élevages de notre région qui se sont distingués et de nombreux produits de notre région qui ont été primés… Bravo aux lauréats !!

Cette publication nous permet d’aborder aussi un certain nombre de sujets de saison et/ou de circonstances, avec cette dynamique que nous voulons imprimer pour l’élevage de façon générale ; il nous faut savoir parler de façon positive de notre métier aux citoyens qui se laisseraient infl uencer par les « faiseurs d’opinions » trop souvent extrémistes.

L’agribashing, qui consiste à dénigrer et bafouer pour arriver au lynchage médiatique de nos métiers et de nos produits, n’est pas acceptable ! L’accueil et l’intérêt d’un salon comme celui de Paris par les citadins et les politiques bien sûr, n’est plus à démontrer ; c’est sur cela qu’il faut capitaliser.

Il nous faut aussi prendre pied dans les médias moins traditionnels que sont les réseaux sociaux, investir dans l’image, puisque c’est un puissant outil de séduction dans notre monde actuel et réserver le texte pour les sujets de fonds.

Ce numéro d’Evalp Info et les suivants trouveront donc ce compromis entre images et textes, entre diffusion papier, par mail et accès sur notre site, etc.

Un certain nombre d’évolutions vont en ce senschez Jura Mont-Blancet nous allons les accentuer.

Bonne découverte de notre journal et bonne saison de printemps avec l’équipe Jura Mont-Blanc à vos côtés.

Alban MAGNIN, AdministrateurGAEC LA ROUTE BLANCHE (Valleiry 74)Membre du Bureau du Conseil d’Administration et responsable de la Commission productions animales.

ÉditoEdito ...................................................1

Contractualiser son aliment .........2

Fourrages et politique d’approvisionnement ......................2

Les fourragères ...............................3

L’Agriculture Biologique ................4

Promo mise à l’herbe .....................4

Lactoplan ..........................................5

Un partenariat gagnantpour le SIA 2019 .........................6-7

Brèves ................................................8

Dans ce numéro

COMITÉ DE RÉDACTIONAlban MAGNIN - Administrateur

Xavier JOLLY – Directeur

Equipe terrain : 9 André BONNARD9 François-Pierre GERARD9 Richard SAINTENOY9 Clément VILLEMAGNE

Mise en page et impression : Uberti-Jourdan - Bonneville

Numéro 16ÉVALP INFOMars 2019 Évalp Info

Coopérative Agricole JURA MONT-BLANC

Coopérative JURA MONT-BLANC69 route des Agriculteurs - 74580 VIRYTél. 04 50 04 76 87 - Fax : 04 50 04 86 09

Courriel : jmb@jmontblanc.frwww.jmontblanc.fr

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Les défi cits fourragers, les variations des prix des matières premières et des aliments du bétail, le besoin de sécuriser son coût de ration, … et bien d’autres raisons peut-être, amènent les éleveurs ou les membres de l’équipe Terrain JMB à solliciter le « service aliments » pour proposer et mettre en place des contrats sur des périodes plus ou moins longues. Nous nous y sommes prêtés et avons même avancé un certain nombre de propositions en ce sens, en tenant compte du contexte diffi cile que nous connaissions dès l’été 2018. Cette politique perdurera, mais sera mise en place dans un contexte différent, dans un cadre redéfi ni. Dans les semaines qui viennent, les conseillers technico-commerciaux JMB et les conseillers élevages/nutritionnistes JMB seront en mesure de vous faire des propositions.

Enfi n, je rappelle les possibilités de contrats dans la gamme ACCOR construite avec Soréal. De vrais intérêts peuvent se dessiner ; les sollicitations pour des explications ou pour conclure un contrat peuvent venir de votre part (n’hésitez pas) ou des membres de l’équipe terrain qui auront plaisir à avancer des affaires en ce sens avec vous. Nous vous remercions de votre confi ance.

Xavier JOLLY nDirecteur Jura Mont-Blanc

En ce domaine, il est bien clair que Jura Mont-Blanc accompagne et priorise toutes les démarches concourant à l’autonomie des élevages. Cette autonomie est souvent gage de performance économique et surtout gage de crédibilité pour nos produits sous signe de qualité.

Au-delà de ce premier point, il est connu et reconnu que Jura Mont-Blanc se positionne aussi sur le marché des pailles et fourrages depuis de longues années avec un certain nombre de produits, avec des origines diverses selon les années et les besoins des éleveurs. Les défi cits fourragers dès l’été 2018 et jusqu’en cette fi n d’hiver 2019, nous ont amenés à être très actifs en ce domaine et à quadrupler notre tonnage. Nos limites ont été la disponibilité des produits, parfois le prix que nous trouvions injustifi é et souvent le manque d’anticipation et de prévision.

2019/2020 ne sera pas, nous l’espérons, dans la même ligne que la saison précédente mais pour autant, il nous faut anticiper, prévoir, réserver… pour mieux proposer. De même, il faudra aux éleveurs de l’organisation et de l’anticipation ; il sera nécessaire peut-être même de parier et de prendre des risques. Courant mai/juin, nous viendrons vers vous avec des offres intégrant provenance, qualité, logistique, stockage et prix bien sûr. Par avance, nous vous remercions de l’écoute que vous accorderez à l’équipe Terrain et des affaires que nous saurons marquer ensemble.

Xavier JOLLY nDirecteur Jura Mont-Blanc

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Contractualiser son aliment pour mieux

prévenir les sursauts des cours du marché

Fourrages et politique d'approvisionnement

Pour s'adapter au climat,

une solution agronomique : les fourragèresAvec l’arrivée prochaine du printemps, il nous parait important de repenser aux prairies qui constituent la principale source de fourrages pour les vaches laitières dans nos départements. Il nous semble donc important de porter une attention toute particulière à cette culture pour plusieurs raisons :

• Les aléas climatiques de ces derniers temps (sécheresse et chaleur excessive) mettent à mal la productivité et modifient la flore des prairies permanentes (apparition d’espèces indésirables : chicorée, verveine, etc.) et en diminuent fortement le rendement et la qualité ;

• Besoins d’autonomie fourragère : avec des épisodes de plus en plus récurrents de manque d’eau qui touchent une grande partie du territoire ;

• Les périodes de pousses deviennent limitées et plus aléatoires au fil des saisons, avec le besoin d’utiliser les stocks en période estivale.

Pour affronter ces nouvelles problématiques plusieurs solutions peuvent être envisagées1- A court terme : reconstituer des stocks rapidement dès les premières coupes.

Sur les prairies permanentes fortement dégradées, le re-semis ou sur-semis peuvent être envisagés dès les premiers beaux jours avec des espèces ayant une implantation et une production rapides (ray-grass anglais, hybride ou italien et trèfle blanc ou des mélanges prêts à l’emploi). Un apport azoté de quelques unités minérales ou organiques (20 à 30) permet de stimuler et accompagner la pousse de l’herbe

2- A moyen terme : adapter le système fourrager pour le rendre moins sensible aux aléas climatiques.

Le semis de nouvelles prairies, quand il est possible, semble la méthode la plus radicale et rapide pour améliorer les rendements et la qualité en choisissant dans les mélanges ou associations des espèces adaptées.

• sur sols légers des plantes plus tolérantes à la sécheresse : luzerne, dactyle, fétuque élevée ;

• ex. : luzerne 18 à 20 kg + dactyle 5 à 6 kg + fétuque élevée 5 à 6 kg ;

• ayant un démarrage précoce ray-grass hybride, ray-grass anglais, trèfle violet, trèfle incarnat, trèfle annuel (perse) pour reconstituer des stocks sur des périodes plus favorables à la pousse ;

• après les moissons, il est intéressant de profiter de cette inter-culture pour produire du fourrage additionnel- pour une récolte en foin : moha + trèfle d’Alexandrie ;- pour un pâturage ou affourragement en vert avant une culture de printemps : RGI alternatif + trèfle incarnat, trèfle violet,

sorgho multi-coupes qui peut-être semé derrière les orges.

Dans tous les cas, une intensification de la prairie s’avère de plus en plus rentable et permet de gagner rapidement en quantité et qualité. Bonne campagne !!

André BONNARD nConseiller Technico-Commercial

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Votre coopérative se tourne versl'Agriculture Biologique

Atteindre 15 % de surfaces en agriculture biologique en 2022 : voici un des grands objectifs du programme Ambition Bio donné par le gouvernement. Boostée par une consommation en forte hausse de 18 % entre 2016 et 2017 en France, l’agriculture biologique n’est pas seulement une mode mais une réponse aux attentes sociétales. Le programme Ambition Bio 2022 vise clairement : • des modes de production respectueux de l’environnement ;• à garantir des normes élevées en termes de bien-être animal ;• à préserver la biodiversité.

Un enjeu fort de ce programme sera d’équilibrer l’offre et la demande. Pour cela, il est nécessaire de développer production et distribution pour structurer la filière. Plus localement, l’agriculture biologique connait une croissance régulière depuis 2011. Les surfaces en élevages et grandes cultures ont doublé sur le secteur de la coopérative. Plus précisément, + 82 % pour les ateliers

animaux avec une croissance de 38 % des cheptels de vaches laitières bio et un doublement pour les ateliers caprins et ovins. Le marché porteur incite les conversions : + 15,6 % entre 2016 et 2017 sur la région Auvergne Rhône-Alpes. Afin de répondre aux adhérents en conversion ou déjà bio, la coopérative met en place des solutions à la fois pour l’alimentation, le soin des animaux, les semences de céréales, les fourragères, les amendements et engrais ainsi que les produits de protection des cultures certifiés agriculture biologique. Ces solutions passent également par de l’accompagnement technique, économique et réglementaire, autant sur la production animale que sur la production végétale. En effet, la conversion est le moment le plus difficile car c’est une remise en question totale de son système que ce soit au niveau de la construction de la ration, de l’itinéraire technique des cultures et de l’exploitation des prairies. Dans son rôle de soutien de ses adhérents, la Coopérative Jura Mont-Blanc souhaite développer des services concrets tels que la collecte, le tri et le stockage de céréales. Afin de proposer des produits innovants, adaptés et de qualité, des essais et des journées techniques, d’échanges seront proposées. Une gamme de produits ainsi qu’une gamme de services pour accompagner au mieux les agriculteurs inscrits mais aussi ceux qui veulent s’inscrire dans ce mouvement. Cette démarche volontariste se traduira par l’augmentation des produits locaux issus de l’agriculture biologique dans les magasins Gamm Vert pour répondre à la demande des consommateurs. Pour tous renseignements, vous pouvez contacter votre technico-commercial ou votre nutritionniste.

Richard SAINTENOY nConseiller Technico-Commercial

Promosur les bacs a eau

Pour tous renseignements, conseils et suivis, n’hésitez-pas à contacter vos techniciens spécialisés !

Rendez-vous annuelpour le groupe Lactoplan

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Les éleveurs inscrits dans la démarche Lactoplan, divisés en 2 groupes chez Jura Mont-Blanc, le groupe AOP et le groupe IGP, ont clôturé le 13 mars dernier leur 3ème année de saisie et d’analyse. La coopérative et les éleveurs ont maintenant plus de recul pour construire de vraies stratégies d’exploitation afin d’améliorer les performances techniques, mais surtout économiques des élevages laitiers des groupes.A travers cet outil d’aide à la décision, les conseillers en nutrition animale de Jura Mont Blanc et SOREAL ont accès à des données techniques et économiques et les croisent pour : • analyser les performances techniques mensuellement à travers des indicateurs comme la quantité d’aliment par litre

de lait, le lait permis par les fourrages et le suivi de la ration ;• identifier les leviers d’amélioration pour chaque exploitation par un bilan annuel comparé aux groupes de travail AOP

ou IGP. Pour cela nous mettons en évidence le coût des génisses, la moyenne laitière économique par vache, la quantité de lait par jour de vie et la marge brute au 1000 l de lait ;

• échanger plusieurs fois par an. Ces rassemblements permettent à chacun de partager sa stratégie et ses solutions d’amélioration, mais aussi de s’informer sur des problématiques d’actualité (qualité de l’eau, qualité des fourrages, préparation vêlage, …).

C’est donc lors de cette réunion qu’a été organisée une session de restitution et d’analyse des résultats pour les éleveurs. Les nouveaux entrants dans les groupes en 2019 ont pu participer à ces échanges et comparer leurs premiers résultats avec les éleveurs les plus aguerris. Leur arrivée plus tardive leur permet de bénéficier des résultats de groupes des années précédentes pour anticiper les difficultés quotidiennes rencontrées.La réunion a été animée par Pierre Henri RUFY, expert ruminant au sein de la firme INZO qui, par son expérience et sa vision globale, a pu comparer les résultats du groupe Lactoplan de la Coopérative Terre Comtoise (une vingtaine d’éleveurs en AOP Comté) et ceux des groupes Jura Mont-Blanc.

Pierre Henri a relevé 3 axes d’amélioration pour 2019 : • la valorisation des fourrages est un axe que nous pouvons

analyser par le calcul du lait permis par les fourrages ;• le pourcentage de vaches improductives résultat

d’un temps de tarissement trop élevé qui peut avoir des conséquences sur le début de la lactation ;

• l’âge au premier vêlage est un indicateur de performance économique car, après 24 mois, chaque mois supplémentaire coûte en moyenne 60 € (charges variables + charges fixes).

La réunion s’est terminée par une intervention sur la résilience des exploitations laitières, c’est-à-dire la capacité d’un système à absorber une perturbation, à se réorganiser et à continuer de fonctionner de la même manière qu’avant la survenance de cette perturbation. Depuis une quinzaine d’années, le secteur laitier français fait face à de nombreuses

crises économiques ou encore climatiques ; les agriculteurs n’ont plus les moyens d’anticiper leur avenir à long terme. Ils doivent pouvoir compter sur l’étalement de leurs investissements dans le matériel et les bâtiments pour savoir faire le dos rond face à ces crises. « Aujourd’hui, un prix du lait très élevé ne garantit pas une meilleure capacité de résilience. Il faut aussi veiller à contenir les charges et les investissements » (Source : Chambre d’Agriculture du Doubs).

Clément Villemagne nConseiller en Productions Animales

Un partenariat gagnant pour le Salon

International de l'Agriculture de Paris 2019

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Abondance fermier AOP :

GAEC BARBOSSINE à Châtel (74390)Médaille de Bronze

Reblochon fermier AOPGAEC LE TAVAILLON au Grand Bornand (74450)

Médaille d’Argent

Tome des Bauges fermier AOPGAEC FERME DE LA CORRERIE

à Aillon le jeune (74340)Médaille d’Argent

Tome des Bauges fermier AOP

GAEC LA MARMOTTE EN BAUGESà La Motte en Bauges (73340)

Médaille d’Argent

La Coopérative Jura Mont-Blanc a le plaisir de communiquer et de mettre à l’honneur un certain nombre d’élevages travaillant avec elle en matière de conseils, de produits d’alimentation animale, de nutritionnels, de conduites des prairies et des cultures… et qui ont été primés dernièrement au Concours Général Agricole porte de Versailles à Paris.

Bravo à tous ces lauréats !

Pour des questions de place et donc de choix qu’il nous fallait faire, seuls les élevages bovins lait sont cités ; merci aux éleveurs des autres productions de leur compréhension.

Les fromages fermiers

Un partenariat gagnant pour le Salon

International de l'Agriculture de Paris 2019

Un partenariat gagnant pour le Salon

International de l'Agriculture de Paris 2019

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Les vaches laitières

La race Abondance

EARL FERME CHALLAMEL à Domancy (74700)2ème de section « Vaches concourant avec 100 jours de lactation »

GAEC DES PAYS DE SAVOIE au Grand Bornand (74450)3ème de section « Vaches concourant avec 2 ou 3 lactations terminées

nées après le 01/01/2012 »

GAEC FERME JACQUET à Le Fayet (74190) 3ème de section « Vaches concourant avec 3 lactations et +

nées avant le 01/01/2012 »

GAEC LES GRENISSES à La Tour en Faucigny (74250) 2ème de section « Vaches concourant avec 1ère lactation terminée »

GAEC LE SABOT DE VENUS à Savigny (74520)1ère de section « Vaches concourant avec 100 jours de lactation »

GAEC FERME JACQUET à Le Fayet (74190)

GAEC LE SABOT DE VENUS à Savigny (74520)

GAEC DES PLANS à Feissons sur Salins (73350)

La race Montbéliarde

GAEC LA ROUTE BLANCHE à Valleiry (74520)3ème de section « Femelles en 2ème lactation »

La race Simmental française

GAEC LA LECHERE à Chatillon en Michaille (01200) 4ème de section « Vaches en cours de 1ère lactation »

La race Tarentaise

GAEC DES PLANS à Feissons sur Salins (73350)3ème de section « Vaches en cours de 1ère lactation »

GAEC LE CONSORTAGE à Aime la Plagne (73210) 1ère de section « Vaches en cours de 3ème ou 4ème lactation »

GAEC LE CONSORTAGE à Aime la Plagne (73210)

Jura Mont-Blanc vous accompagne tout au long de l’année

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moi je recycle !

• Pensez à demander vos

sacs pour vos déchets

• Pensez à marquer vos sacs

2019

Ficelles et filets FAU ensilage et enrubannage

Big bags Bidons

Sacs papier PPNU Sacs, boîtes, bouchons

Retour en arrière … Journée veaux

GAEC LA LECHERE (01) : un atelier veaux optimisé

Le jeudi 24 janvier dernier, les associés du GAEC LA LECHERE à Chatillon en Michaille (01), ont ouvert leurs portes à une trentaine d’éleveurs laitiers, à qui ils ont présenté leur élevage de génisses de race Simmental et Montbéliarde. Accompagnés par les conseillers de la Coopérative Jura Mont-Blanc, les éleveurs ont partagé leur expérience et leurs pratiques d’élevage autour de la mise en place de leur nouvelle nurserie à veaux, construite au printemps dernier. Grâce à ce dernier investissement, ils souhaitent assurer la bonne performance technique mais aussi économique de cet atelier trop souvent négligé.

Pour Arnaud BAQUET, technicien au sein de l’entreprise SERVAL (fournisseur d’aliment d’allaitement), et Anthony REVOL, technicien en nutrition animale pour le compte de l’entreprise SOREAL (fabricant d’aliments du bétail), l’élevage des génisses est un point stratégique pour la rentabilité future du troupeau laitier : les éleveurs doivent capitaliser sur ces jeunes animaux pour garantir l’avenir de leur entreprise.

La matinée se termina autour d’un repas convivial qui permit à chacun d’échanger sur ses pratiques d’élevage et de partager ses idées.

Collecte Adivalor

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