Un Livre Oublié, Une Erreur Pardonnée

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Cela faisait déjà plusieurs jours que je n e l'avais pas vue, pourtant j'était toujours allongé dans mon lit de la même manière que lorsqu'elle était partie me laissant à moi-même. J'avais les genoux en dessous de mon menton les bras au alentour, 'était en plein milieu de la journée, je n'avais été en ours pour la troisième journée onséutive, je devrais penser à avertir de mon retard mais je n'avais pas vraiment plus envie que !a. Ce qui me mettais dans et état était le fait que j'avais g"#er une relation ave une personne que je tenais. $n fait, j'était partagé, j'avais d'un oté Cal%pso qui m'avait o&ert une journée formidable dans se lit, je tou#ais douement le tissu du matelas du bout des doigts, un léger as# du moment ou elle était entre mes uisses apparu, rapidement surplanté par elui de (amant#a qui était allongée sur le lit, ave mon par -dessus elle, 'était le moment ou je l'avais goutée, que j'avais mordu son ou, elle et Cal%pso était les deux seules rare personne autre qu')a%a à avoir été mordue dans le ou, pourtant je me supris à #ésiter enore, Cal%pso pouvait me donner la joie d'être une femme pleine de m%stère et de ne pas être si sensible alors que (amant#a elle était e qu'il % avait de plus sensible en étant une femme forte, je n'avais enore eu auune relation ave elle-i pourtant elle semblait être elle qui m'a&etais le plus.  Je relevais la tête vers le livre sur mon bur eau, 'était le livr e qui était tombé du sa de (amant#a voilà près d'une semaine, elle n'avait visiter ma vie que deux fois, je ne la onn aissait que depuis pres de trois semaines alors que  j'était déjà ar o à elle, je pensais qu'à elle lorsque je me o u#ait le soir, lorsque je n'arrivais pas à dormir je vaguais dans le par à la re#er#e du ban ou je l'avais vue la première fois alors que j'avais trébuomme un gamin sur le sol, il n'% avait que moi pour pouvoir trébu#er dans le vide ainsi.. Je me relevais, 'était déidé, j'allais retrouvé la demoiselle et lui remettre son livre. Je m'appro#ais de la table et l'agrippait , le ramena près de ma vue. *e livre était plut+t petit, normal qu'elle n'ai pas remarquée et qu'il lui avait é#appée des mains. J'empoignais la porte et sortit, onvainu que j'allais pouvoir la retrouver et m'exuser et pouvoir espérer un jour, goter ses lèvres de nouveau. *orsque je refermais la porte derrière moi je n'avais pas réaliser sur le moment que je ne onnaissait pas son adresse. Je savais uniquement qu'elle était au même étage que moi, dans une des multiples #ambres de elui-i.  Je souais un oup, aller 'éta it partit, je ommen!a is par m'éloigner de quelques portes de la miennes, je savais qu'elle n'était pas aussi pro#e mais  je ne voulais prendr e auune #ane, je sonnais porte ap rès porte la plupa rt des étudiants ne dégnairent même pas me répondre, je ommen!ait à me f"#er ontre moi même lorsque je passa vers un ouloir que je reonnaissait,  je savais que j'appro #ais, je ontinuais ma r oute, je sonnais au porte mais personne ne semblait onnatre (amant#a ni o/ elle vivait, pourtant je

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Cela faisait déjà plusieurs jours que je ne l'avais pas vue, pourtant j'étaittoujours allongé dans mon lit de la même manière que lorsqu'elle était partieme laissant à moi-même. J'avais les genoux en dessous de mon menton lesbras au alentour, 'était en plein milieu de la journée, je n'avais été en ourspour la troisième journée onsé utive, je devrais penser à avertir de mon

retard mais je n'avais pas vraiment plus envie que !a. Ce qui me mettaisdans et état était le fait que j'avais g" #er une relation ave une personneque je tenais. $n fait, j'était partagé, j'avais d'un oté Cal%pso qui m'avaito&ert une journée formidable dans se lit, je tou #ais dou ement le tissu dumatelas du bout des doigts, un léger as# du moment ou elle était entre mes

uisses apparu, rapidement surplanté par elui de (amant#a qui étaitallongée sur le lit, ave mon par-dessus elle, 'était le moment ou je l'avaisgoutée, que j'avais mordu son ou, elle et Cal%pso était les deux seules rarepersonne autre qu')a%a à avoir été mordue dans le ou, pourtant je mesupris à #ésiter en ore, Cal%pso pouvait me donner la joie d'être une femmepleine de m%stère et de ne pas être si sensible alors que (amant#a elle était

e qu'il % avait de plus sensible en étant une femme forte, je n'avais en oreeu au une relation ave elle- i pourtant elle semblait être elle quim'a&e tais le plus.

Je relevais la tête vers le livre sur mon bureau, 'était le livre qui était tombédu sa de (amant#a voilà près d'une semaine, elle n'avait visiter ma vie quedeux fois, je ne la onnaissait que depuis pres de trois semaines alors que

j'était déjà a ro à elle, je pensais qu'à elle lorsque je me ou #ait le soir,lorsque je n'arrivais pas à dormir je vaguais dans le par à la re #er #e duban ou je l'avais vue la première fois alors que j'avais trébu #é omme ungamin sur le sol, il n'% avait que moi pour pouvoir trébu #er dans le videainsi.. Je me relevais, 'était dé idé, j'allais retrouvé la demoiselle et luiremettre son livre. Je m'appro #ais de la table et l'agrippait , le ramena prèsde ma vue. *e livre était plut+t petit, normal qu'elle n'ai pas remarquée etqu'il lui avait é #appée des mains. J'empoignais la porte et sortit, onvain uque j'allais pouvoir la retrouver et m'ex user et pouvoir espérer un jour,go ter ses lèvres de nouveau. *orsque je refermais la porte derrière moi jen'avais pas réaliser sur le moment que je ne onnaissait pas son adresse. Jesavais uniquement qu'elle était au même étage que moi, dans une desmultiples #ambres de elui- i.

Je sou ais un oup, aller 'était partit, je ommen!ais par m'éloigner dequelques portes de la miennes, je savais qu'elle n'était pas aussi pro #e mais

je ne voulais prendre au une #an e, je sonnais porte après porte la plupartdes étudiants ne dégnairent même pas me répondre, je ommen!ait à mef" #er ontre moi même lorsque je passa vers un ouloir que je re onnaissait,

je savais que j'appro #ais, je ontinuais ma route, je sonnais au porte maispersonne ne semblait onna tre (amant#a ni o/ elle vivait, pourtant je

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re onnaissait l'endroit, j'était si près du but. Je ontinuais ma 0i0anie entre lesportes lorsque je re onnue elle que je re #er #ais, j'en ro%ais pas mes %eux

je m'appro #ais et ognais à la porte, après un instant personne ne semblaitvouloir répondre. )ésitant je posais le livre au sol, peut-être ne voulais-elleplus me voir. Je soupirais et me retournais mar #ant en sens inverse

repartant d'o/ j'était venu.