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Publié le 29/03/2010 14:39 | LaDepeche.fr L'Union. Débat sur la répartition des richesses Une séance de théâtre-débat était présentée à la salle des fêtes de L'Union. En effet, cette année, le groupe CCFD-Terre solidaire de L'Union, après les week-ends commerce équitable, le ciné débat, la marche solidaire, a choisi d'utiliser ce moyen pour communiquer et mobiliser sur les thèmes d'action de l'ONG (http://www.ccfd.asso.fr/) : partage des richesses, souveraineté alimentaire, aide au développement. Les thèmes de la soirée étaient l'accès gratuit à l'eau potable, les paradis fiscaux et le micro crédit. Trois scènes ont été présentées avec humour, par le groupe CCFD des Crêtes, et ont permis d'ouvrir le débat avec le public. http://www.stopparadisfiscaux.org/ Pour le micro crédit, chacun même avec de faibles moyens peut effectuer des placements solidaires. Deux organismes ont présenté leur mode de fonctionnement : la SIDI (émanation du CCFD) www.sidi.fr et Oïkocrédit www.oikocredit.org/site/fr/ Publié le 26/03/2010 16:15 | LaDepeche.fr L'Union. Conso : une deuxième association bio Suite au succès de l'Amap des Lilas, la deuxième Amap de l'Union « Les Chayottes » va reprendre ses activités. Une rencontre à la ferme est prévue le 28 mars pour signer les contrats. Les personnes intéressées seront bienvenues ! Engagement producteur- consommateur Une AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) est un engagement réciproque entre un agriculteur et des consommateurs. Le producteur s'engage à respecter la charte : cultiver de façon écologique, sans recours aux pesticides de synthèse. L'Amap des Chayottes est certifiée bio (label AB). Les consommateurs achètent à l'avance une partie

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Publié le 29/03/2010 14:39 | LaDepeche.fr

L'Union. Débat sur la répartition des richesses

Une séance de théâtre-débat était présentée à la salle des fêtes de L'Union.

En effet, cette année, le groupe CCFD-Terre solidaire de L'Union, après les week-ends commerce équitable, le ciné débat, la marche solidaire, a choisi d'utiliser ce moyen pour communiquer et mobiliser sur les thèmes d'action de l'ONG (http://www.ccfd.asso.fr/) : partage des richesses, souveraineté alimentaire, aide au développement.

Les thèmes de la soirée étaient l'accès gratuit à l'eau potable, les paradis fiscaux et le micro crédit. Trois scènes ont été présentées avec humour, par le groupe CCFD des Crêtes, et ont permis d'ouvrir le débat avec le public.

http://www.stopparadisfiscaux.org/

Pour le micro crédit, chacun même avec de faibles moyens peut effectuer des placements solidaires.

Deux organismes ont présenté leur mode de fonctionnement : la SIDI (émanation du CCFD) www.sidi.fr et Oïkocrédit www.oikocredit.org/site/fr/

Publié le 26/03/2010 16:15 | LaDepeche.fr

L'Union. Conso : une deuxième association bio

Suite au succès de l'Amap des Lilas, la deuxième Amap de l'Union « Les Chayottes » va reprendre ses activités. Une rencontre à la ferme est prévue le 28 mars pour signer les contrats. Les personnes intéressées seront bienvenues !

Engagement producteur- consommateur

Une AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) est un engagement réciproque entre un agriculteur et des consommateurs. Le producteur s'engage à respecter la charte : cultiver de façon écologique, sans recours aux pesticides de synthèse. L'Amap des Chayottes est certifiée bio (label AB). Les consommateurs achètent à l'avance une partie de la production de la ferme, partageant les risques et les bénéfices de l'exploitation.La 1ère Amap a vu le jour en France en 2001, elles sont ce jour plus de 1 000.À la ferme de Labarthe, dans le Tarn et Garonne, une trentaine de légumes ont été plantées cette année, plus les fruits du verger. L'Amap des Chayottes prévoit de livrer 20 paniers/semaine à 30 familles.

Les distributions : les mercredis de 18 h 30 à 19 h 30, parking de la « Belle Hôtesse », Rue de l'Autan Blanc. La saison commencera le 5 mai jusque fin décembre.Prix du panier 25 € pour 10 kg de légumes et fruits. 1/2 panier 12,50€. L'Amap fonctionne grâce à un comité de pilotage constitué de bénévoles.

amapdeschayottes.over-blog.com

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Publié le 30/03/2010 15:50 | LaDepeche.fr

Blagnac. La ville va développer l'agriculture

Cela faisait l'objet du point 15 de l'ordre du jour du dernier conseil municipal : « acquisition de quatre parcelles aux Quinze Sols, pour une surface totale de 12 073 m2, qui s'inscrit dans le cadre de la politique communale en faveur de l'agriculture périurbaine ».

En cohérence avec les achats antérieurs. « Cinq hectares appartiennent désormais à la commune, confirme Pascal Boureau, l'adjoint délégué à l'environnement et au cadre de vie, sur un total de 135 ha cultivés, dans la zone naturelle qui va des Saoulous aux Quinze Sols, d'une superficie totale de 250 ha ». Et dans un esprit de partenariat avec la SAFER (Société d'aménagement foncier et d'établissement rural), titulaire du droit de préemption, la municipalité se donne les moyens d'intervenir pour engager toutes actions tendant à favoriser l'installation de nouveaux maraîchers. Dans la continuité des 80 parcelles sur 3,5 ha des jardins familiaux, et des 1,5 ha dont le CAT de l'Arche en Pays toulousain est demandeur dès son arrivée à Maniban.

« C'est un engagement de campagne que nous réalisons, poursuit l'élu, mais surtout, nous sommes en cohérence avec la volonté de la communauté urbaine de maintenir des trames vertes dans le tissu urbain, comme le préconise désormais le SCOT (schéma de cohérence territoriale) ». Et de poursuivre sa logique : « Dans l'esprit du développement durable, nous rapprochons ainsi les lieux de production des consommateurs, ajoute-t-il, et nous envisageons même d'alimenter la future cuisine centrale de la ville, en choux et carottes, à partir des zones de production locales ». Une ambition associée à la qualité. « Et tendre aussi vers une agriculture raisonnée, et à terme pourquoi pas bio, les terres d'ici composées d'alluvions de Garonne étant particulièrement riches ».

Blagnac. Une première tentative avortéeCes dernières années, une tentative d'installation d'un jeune agriculteur avait malheureusement tourné court pour raisons de santé. Installé sur des terres en location aux Quinze Sols, celui-ci était le fournisseur d'une Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) nouvellement constituée. Celle-ci est alimentée actuellement par deux fournisseurs situés hors du département (La Dépêche y reviendra prochainement).

Publié le 26/03/2010 03:47 | LaDepeche.fr

Castelmaurou. A la rencontre de quatre

L'AMAPde l'intercommunalité des Coteaux Bellevue est d'actualité, les statuts de l'association ont été déposés en préfecture et sa présidente est Jenny Brebbia.A ce jour, quatre producteurs éleveurs (maraîcher, éleveur de volaille, de porc et de boeuf)sont prêts à fournir les produits garantis locaux et naturels.Hier soir , s'est tenue une réunion publique en salle des fêtes de Castelmaurou pour sensibiliser les habitants sur la démarche de l'AMAP et recruter des volontaires pour adhérer à l'association.Le bon fonctionnement de cette association a des répercutions bénéfiques sur la pérennité de l'agriculture locale et respectueuse de l'environnement en lui permettant une garantie de revenu, certes modeste, mais indispensable dans cette période très difficile.Pour tous renseignements: http:// www.amapreseau-mp.org

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Publié le 27/03/2010 03:48 | LaDepeche.fr

Fenouillet. Aval-Garonne:site-pilote d'espaces nature

La commune de Fenouillet a accueilli récemment ,les participants au 2éme séminaire transnational «Naturba» qui réunissait 80 membres del'association de Professionnels de l'Urbanisme Midi-Pyrénées,du Syndicat Mixte d'Etudes de l'Agglomération Toulousaine(Grand Toulouse,SICOVAL et Muretain),des élus de l'Agglomération de Murcia et de la «conurbation» basque San Sébastian-Irun(Espagne),ainsi que des élus de l'Agglomération de Lisbonne(Portugal).

Ce projet,lancé dans le cadre du programme de coopération territorial de l'Union Européénne INTERREG IV,au au sein de l'espace Sud-Ouest européen,est initié par l'Association des professionneles de l'urbanisme de Midi Pyrénées.

Il vise à developper des outils permettant de mieux appréhender,préserver et gérer l'interface entre les territoires urbains en extension et les territoires de nature ou agricoles contigus.

Le site Aval de la Garonne a été retenu comme site pilote.

Il regroupe une partie toulousaine et 5 communes.Fenouillet a été sélectionnée car elle regroupe sur son territoire la variété des espaces naturels:espaces à vocation agricole,espaces des zones humides,espaces d'anciennes graviéres à requalifier et à transformer en espaces de loisirs. Marie Grousset,adjointe à l'environnement,a évoqué la mise à disposition de parcelles potagères pour les habitants de Fenouillet,avec la création de 14 nouveaux jardins en 2009.

Publié le 25/03/2010 09:29 | Sylvie Roux

Résidence Le Quercy à Bagatelle : l'habitat écolo joue collectif

Ni immeuble, ni maison, mais un peu des deux, c'est l'« habitat intermédiaire », un concept de densification urbaine, revisité par les architectes d'aujourd'hui. Des habitations dotées de doubles ou triples expositions afin de profiter du meilleur ensoleillement en hiver, d'entrées et d'espaces verts privatifs, dans un style de construction moderne, agréable à vivre. Illustration de cette nouvelle génération de collectifs, la résidence « Le Quercy » va bientôt sortir de terre à Bagatelle, à l'emplacement d'une barre de plusieurs étages qui a été démolie rue du Lot, la grande artère centrale de Bagatelle en pleine transformation, dans le cadre du GPV (Grand Projet de Ville). Les travaux de terrassement, face à la place du Morvan récemment aménagée viennent à peine de commencer pour une livraison prévue courant avril/mai 2011. Cabrita, promoteur-constructeur toulousain réalise ici un des premiers programmes de logements sociaux labellisés BBC (bâtiment à baisse consommation) pour la Foncière Logement. Du studio au triplex les 25 logements de la résidence du Quercy vont bénéficier de matériaux haut de gamme (planchers massifs, menuiserie alu, bardages bois, stores à lames orientables…), garantir des performances énergétiques (chaudière à condensation, toitures végétalisées, panneaux solaires pour l'eau chaude, éclairage LED, double vitrage, ventilation mécanique). La résidence du Quercy a répondu à la charte du label Effinergie de Gaz de France, qui met la barre très haut en matière de performances énergétiques. « Le prix du mètre carré est de 1 600 €, soit plus de 300 € de plus que la moyenne nationale » précise Jean-Michel Cabrita, qui réalise son premier programme BBC. Le promoteur promet par ailleurs de s'impliquer personnellement dans ce projet à dimension sociale et d'y associer des jeunes du quartier de Bagatelle, par le biais des associations et de la Maison de l'emploi.

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Rupture avec le passé

Ce programme de logements sociaux de la Foncière Logement est destiné en priorité à des familles du quartier. Les futurs locataires pourront se porter acquéreurs de leur appartement au bout de neuf ans.

L'architecture, signée par Studio K à Toulouse rompt avec le passé. Il s'agit de modules imbriqués les uns dans les autres, sur quatre niveaux. Le traitement des façades a été réalisé avec des matériaux contrastés aux teintes naturelles, qui allient bois, béton, aluminium et verre. Les végétaux qui pousseront sur les jardins suspendus et les toitures accentueront le côté patio de l'ensemble. Déjà dotée de plusieurs réalisations aux façades modernes et colorées de Bourdarios, Bouygues, Patrimoine, Nexity… la rue du Lot commence à prendre forme.

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«La biodiversité dansles Pyrénées est mise à mal»

Créé le 25.03.10 à 05h32

Le congrès de FNE se tient à Toulouse jusqu'à demain.

Quels sont les dossiers régionaux sensibles?Il y a le dossier de l'autoroute Toulouse-Castres, dont le débat public vient de s'achever. C'est un point sur lequel nous sommes très vigilants car on ne peut pas vouloir diviser par quatre les gaz à effet de serre d'ici 2040 et construire des autoroutes, véritables appels d'air pour les voitures. Il y a aussi le dossier de la ligne à grande vitesse qu'on pousse pour que le train, moins polluant, empiète sur l'avion.L'économie est le thème du congrès, qu'en est-il localement?Il faut faire décoller l'économie verte qui est encore en phase de gestation. Il y a des personnes qui font des choses intéressantes, mais maintenant il faut changer de braquet. Cette impulsion doit être donnée par les collectivités locales et les syndicats patronaux.Allez-vous interpeller

Chantal Jouanno sur l'ours?On lui parlera de la biodiversité mise à mal dans les Pyrénées. On ne peut pas réintroduite des ours et autoriser l'extension des domaines skiables, c'est en contradiction totale.

Publié le 30/03/2010 09:32 | Anaïs Arnal

Des visites pour apprendre à construire et vivre économeÀ l'occasion de la 8e édition de la Semaine du développement durable, du 1er au 7 avril, des Journées européennes du solaire, des Journées nature et des portes ouvertes du Comité de liaison énergies renouvelables (Cler), l'Espace Info Énergie de L'Aveyron va proposer des visites gratuites de sites et réalisations utilisant des procédés « verts » qui respectent l'environnement.

« Il y a un engouement certain pour les énergies nouvelles. Je suis moi-même en train de prévoir l'installation de panneaux photovoltaïques sur mon toit », indiquait hier Yves Boyer, président de l'Adil (Association départementale d'information sur le logement), sur le salon des énergies renouvelables au Monastère. « De plus en plus de gens nous contactent pour avoir des informations ou obtenir l'aide de nos juristes ». L'Adil (l'Espace Info Énergie, logés dans le même bâtiment à Rodez) et ses 6 permanences locales (Decazeville, Espalion, Millau, Saint-Affrique, Salles-Curan et Villefranche-de-Rouergue) délivre un conseil gratuit et objectif sur toutes les questions d'ordre juridique, financier et fiscal liées au logement et à l'habitat.

Qu'est-ce qu'une énergie renouvelable ? Comment ça marche ? Combien ça coûte ? Autant de question auxquelles l'Adil va répondre concrètement par le biais de visites sur le terrain les 2 et 7 avril, les 8 et 29 mai, le 5 juin et le 25 septembre.

Renseignements et inscriptions au 05 65 73 18 00 ou 05 65 68 06 41.

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Publié le 01/04/2010 08:06 | LaDepeche.fr

Montreal-du-Gers. La préfecture dit non au projet photovoltaïqueLa préfecture du Gers vient de donner un avis défavorable au projet de centrale photovoltaïque situé en zone ZNL and ZC2 de la carte communale de Montréal-du-Gers, considérant qu'en « application de l'article R.111-14 du code de l'urbanisme, le projet peut être refusé s'il est de nature, par sa localisation ou sa destination, à compromettre les activités agricoles ou forestières ; que le présent projet entre dans les prévisions de ce texte dès lors qu'il aurait pour effet de soustraire à l'activité agricole des terres récemment cultivées dont l'inaptitude à l'exploitation agricole n'est pas établie, et que le projet concerne la réalisation d'un champ de panneaux solaires avec ses infrastructures sur un terrain d'une superficie de 28,02 ha dont plus des trois quarts sont actuellement situés en zone ZNL de la carte communale et dévolus à l'activité agricole, notamment la culture de blé et tournesol. »

Ce en quoi les riverains de trois communes alentours se sont mobilisés pour le droit de savoir. Ils disent aujourd'hui que « le manque de concertation avec la population locale a fait défaut concernant le projet d'implantation d'une centrale photovoltaïque colossale », et se réjouissent de ce que les services de l'Etat aient pris des positions fermes concernant la préservation du cadre de vie, des paysages et surtout des terres agricoles.

Satisfaction des riverainsS'ils sont soulagés de la décision prise par la préfecture, les riverains des terres agricoles concernées par le projet précisent : « Dans cette affaire, il faut bien comprendre que nous sommes pour les énergies renouvelables, mais dans un cadre raisonné et qui n'entraîne pas la perte de terres agricoles. Dans le cas qui nous concerne, la superficie perdue s'élevait à 55 ha ».

Ces terres agricoles se situent sur une propriété à Arquizan, un hameau de Montréal-du-Gers.

Publié le 30/03/2010 03:48 | LaDepeche.fr

Vacquiers. Conférence sur l'énergie solaire

«Pour tout comprendre sur le solaire», l'Espace Info Energie Solagro en partenariat avec la mairie de Vacquiers vous proposent une conférence sur cette nouvelle énergie.

Seront abordés à cette occasion : la différence entre solaire thermique et photovoltaïque, le coût, les aides de l'état ainsi que l'impact environnemental…

Cette conférence sur l'énergie solaire aura lieu le jeudi 1er avril à 19h30 dans la salle du Parc et l'entrée sera libre.

 

Publié le 01/04/2010 08:36 | Hugo Clément

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Midi-Pyrénées profite du boom des emplois verts

Contrastant avec la situation globale du marché du travail, l'emploi vert explose. De nouveaux métiers voient le jour, et les secteurs traditionnels s'adaptent.

La semaine du développement durable débute aujourd'hui. Sur un marché du travail à la peine, où les branches d'activités sont nombreuses à souffrir, cet événement est l'occasion de se pencher sur un secteur qui fait figure d'exception. Lentement mais sûrement, l'emploi vert se structure, consolide ses bases, et voit grand. En septembre 2008, le Grenelle de l'environnement a fixé un objectif ambitieux : 600 000 Français devront travailler dans ce domaine d'ici 2020. Un souhait qui se concrétise petit à petit. A titre d'exemple, l'année dernière, Pôle emploi a recensé en Midi-Pyrénées 1 417 offres d'emploi dans la « construction verte », et 409 dans l'entretien des espaces naturels.

Des formations adaptées

Des installateurs de panneaux solaires, qui constituent le gros des troupes, aux éco-conseillers et autres éco-énergéticiens, les métiers fraîchement créés se multiplient et offrent de nouvelles perspectives. « Mais les activités entièrement vertes sont en réalité peu nombreuses. La plupart des emplois de ce secteur sont en fait des postes qui existaient déjà, et qui s'adaptent désormais au développement durable », explique-t-on du côté de Pôle emploi. Ainsi, des branches d'activités traditionnelles (le BTP en tête) mettent progressivement leurs activités en conformité avec les nouveaux impératifs environnementaux. Maçons, couvreurs, ingénieurs, ou encore électriciens, sont aujourd'hui des acteurs à part entière de la « croissance verte », notamment en construisant des habitats plus économes en énergie. Mais l'évolution de ces métiers vers le « durable » implique de nouvelles compétences qui ne tombent pas du ciel. Des offres de formations doivent être proposées en conséquence. En Midi-Pyrénées, le conseil régional met donc en place 267 cursus d'apprentissage dans le domaine du développement durable. Les étudiants peuvent entre autres apprendre à maîtriser les équipements utilisant les énergies propres, ou appréhender les difficultés d'un diagnostic énergétique. Et les professionnels ne sont pas non plus laissés de côté. En 2008, 426 artisans se sont ainsi formés aux énergies renouvelables dans la région.

Tenesol recruteLeader français du marché de la production des panneaux solaires, le groupe Tenesol a annoncé lundi l'agrandissement de son usine toulousaine. Vingt emplois vont être créés pour renforcer les effectifs, qui s'élèvent déjà à 150 salariés. Renseignements et candidatures sur www.tenesol.com.

Le chiffre : 40 %des créations d'emplois verts. Se font dans le secteur de l'énergie solaire. Concepteurs des panneaux et couvreurs photovoltaïques constituent donc le gros des bataillons de la croissance verte.

Publié le 31/03/2010 09:15 | L. V.

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Gramat. Projet photovoltaïque pour les tribunes du Tumulus

Choisie généralement comme secrétaire de séance Mme Maria Fatima Ruaud-Martins n'apprécie pas que les « corrections » qu'elle avait proposées lors des derniers comptes rendus n'aient pas été correctement retransmises.

Une remarque qu'appuie Raymond Estibals qui rappelle qu'il ne participe jamais au vote des subventions. C'était l'ouverture de ce conseil municipal du 23 mars consacré aux budgets (lire en encadré).

Après le vote des différents budgets, il est présenté au conseil un projet de couverture des tribunes du champ de courses par une charpente équipée de panneaux photovoltaïques sur 700 m2.

Sur invitation du maire, Pierre Delrieu, président de la société des courses, donne des précisions sur ce projet, qui nécessite une promesse de bail de la commune auprès de la société qui procédera à l'installation. Elle s'engage en outre à enlever la charpente actuelle qui ne satisfait plus aux contraintes de sécurité. Mme Céline Bonal demande si cela ne perturbera pas l'accès du public sur les tribunes. Elle s'abstiendra lors du vote de ce projet qui nécessitera en outre des travaux sur les tribunes elles-mêmes par la mairie. Il est précisé que ces travaux ne perturberont pas les récoltes et le pacage faits par les agriculteurs.

Le financement des cantines toujours en débatEn fin de réunion le maire fait état de l'avancement du dossier relatif au financement des cantines scolaires et des participations demandées aux communes. Il est proposé un système de « mensualisation » applicable à tous les parents des enfants quelle que soit leur commune d'appartenance. On attend maintenant la réponse des conseils des communes concernées. Enfin, s'agissant des propositions récentes relatives aux associations sportives le maire espère que « l'on soit amené à de meilleurs sentiments ». Il annonce qu'il fera un point sur la situation dans l'éditorial du prochain bulletin municipal à paraître vers le 15 avril. A ce propos Michèle Poirrier souhaiterait que le maire de Gramat et ceux des communes concernées par une éventuelle grande communauté de communes viennent débattre devant des élus de l'opposition.

Ce qui déplaît souverainement à plusieurs conseillers de la majorité qui souhaiteraient « qu'on écoute et qu'on fasse confiance plutôt aux conseillers gramatois qu'à ceux des autres communes. »

Le conseil municipal a examiné le projet de couverture des tribunes du champ de course par une charpente équipée de panneaux photovoltaïques sur 700 m2.

Publié le 01/04/2010 08:51 | Sébastien Marti

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Le trottoir qui produit de l'électricité

Vous vous souvenez du clip de Michael Jackson, lorsque le chanteur pose le pied sur des dalles qui s'illuminent ? C'est un peu le même principe, sauf que ce ne sont pas les dalles qui s'allument mais les réverbères. À l'occasion de la semaine du développement durable qui commence aujourd'hui sur le thème de « la ville durable », la mairie de Toulouse va tester au centre ville, le premier bout de trottoir producteur d'énergie. Mises au point par les services municipaux et fabriqué par une société hollandaise basée à Rotterdam, ces dalles, baptisées « Dancefloor Sustainable », produisent de l'énergie cinétique, puis électrique, à partir du va-et-vient des passants.

« Selon le passage, le niveau de luminosité augmente »

L'énergie emmagasinée peut être restituée immédiatement ou stockée, pour éclairer les lampadaires sur la voie publique par exemple. « Selon le passage, le niveau de luminosité augmente » explique Alexandre Marciel, adjoint à l'éclairage public. Jusqu'à présent, les dalles productrices d'énergie n'ont été expérimentées que pour des événements ponctuels, comme les Jeux Olympiques d'hiver de Vancouver, mais jamais sur la voie publique. Aussi, la semaine prochaine, lorsque les Toulousains fouleront les 5 mètres carrés de dalles, posées dans la cour Duranti, ce sera une première.

« Grâce aux piétons, on va produire de l'énergie propre, affirme Alexandre Marciel. Comme dit le proverbe : Rien ne se perd, tout se transforme. Mais pour l'instant, ça reste un test. On verra bien ce que ça donne… » Si l'essai est concluant, ce type de dallage pourrait être installé dans les rues les plus passantes. L'enjeu est de taille : 5 mètres de dalle pourraient alimenter à hauteur de 100 watts un lampadaire de rue. « C'est peut-être un équipement de la ville du futur en termes de domotique urbaine » poursuit l'élu toulousain, qui considère « qu'il existe encore des pans entiers dans la recherche de sources d'énergie nouvelles. Toulouse doit se positionner sur le sujet et prendre le risque de l'innovation ». L'élu estime que l'on peut réduire de moitié la consommation de l'éclairage public d'ici 2020.

On rallume… jusqu'à cet hiverDepuis l'arrivée du printemps et l'heure d'été, l'éclairage des façades des édifices publics a été remis en service. Controversée, cette décision à la portée symbolique devrait être renouvelée. « Pour autant, nous n'avons pas été insensibles aux critiques sur l'éclairage de certaines places, dit Alexandre Marciel. ça n'a rien à voir avec les façades mais la place Saint-Etienne par exemple est relativement sombre. » Aussi la mairie va-t-elle tester à Saint-Etienne un éclairage solaire par le sol : un petit appareil emmagasinera de l'énergie la journée pour la restituer le soir. « Une réelle ambiance lumineuse, pas celle d'une piste d'atterrissage » précise Alexandre Marciel.

Un « serpent lumineux » à jolimontIl n'y a pas que les façades des monuments historiques et des édifices publics qui sont éclairées. La mairie de Toulouse vient de mettre en valeur, à la faveur de l'arrivée du printemps, le vidaduc de Jolimont, sur lequel circulent les rames de métro sur près d'un kilomètre. Le principe : un jeu de lumières interagit avec le passage du métro. « Nous avons souligné le viaduc de Jolimont par un serpent lumineux dynamique qui accompagne les rames. Ainsi on met en valeur une infrastructure majeure de transports en commun ; on éclaire des monuments situés hors du centre ville ; enfin, cet ouvrage d'art contemporain, avec

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son tablier en béton blanc, se prêtait à une certaine liberté artistique » explique à la mairie Alexandre Marciel.

Le type d'éclairage, des lampes à LED multichromatiques, consomme très peu. « Nous avons calculé : ce type d'éclairage va nous coûter au maximum 75 € par an de consommation électrique. »

La mairie de Toulouse défend une « stratégie globale » de réduction de sa facture énergétique. Déjà, chaque année, 800 000 kW/h sont économisés sur une consommation globale de 40 millions de kw/h.

Publié le 29/03/2010 14:36 | Simone Beugin

Cornebarrieu. Agenda 21 : « une ville pilote »

La ville de Cornebarrieu va présenter son engagement et sa démarche éco-responsable, à l'occasion des troisièmes rencontres des administrations et collectivités éco-responsables, qui ont lieu à Paris les 30 et 31 mars.

Ce sera Myriam Duchams, chargée de mission agenda 21 depuis presque deux ans, qui représentera la ville de Cornebarrieu. « La commune s'est engagée dans cette démarche depuis novembre 2007, elle a été reconnue ville pilote sur ce projet en Midi-Pyrénées avec l'agence régionale pour l'environnement, l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie et l'agence de l'eau Adour-Garonne. Cette démarche constitue le premier volet de l'Agenda 21 communal, l'objectif étant de travailler d'abord sur les services et sur les bâtiments communaux avant d'étendre la démarche au territoire avec l'Agenda 21 local dont la concertation est actuellement en cours ».

Myriam a déjà travaillé sur un programme d'actions de cette démarche éco-responsable. Elle compte 13 objectifs et 29 actions, la quasi-totalité des actions a été mise en place. « À titre d'exemple, toutes les cartouches d'encre ont été collectées en 2009, 3 véhicules GNV (gaz naturel véhicules) ont été achetés (630 kg de CO2 évités en 2009 pour un véhicule), les combles ont été isolés, ainsi que les menuiseries de l'hôtel de ville changées. Des tickets pour les transports en commun sont mis à disposition des agents pour leurs déplacements professionnels ». L'engagement éco-responsable de la ville de Cornebarrieu est bien une réalité !

www.cornebarrieu.com

Publié le 29/03/2010 14:35 | Paul MollaDu 01/04/2010 au 07/04/2010

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Tournefeuille. Semaine du durable

Du 1er au 7 avril la ville de Tournefeuille propose expositions, animations et conférence sur le thème « Passez au durable ça marche ». Cette première participation est le prélude au grand rendez-vous que l'équipe municipale s'est engagée à organiser chaque année à propos de la mise en place de son « Agenda 21 »

Au Foyer des Aînés seront organisées deux expositions.

La première : « Le développement durable au quotidien ou vivons ensemble autrement » sur les enjeux du réchauffement climatique, économiser les ressources, encourager la vie citoyenne, en changeant ses habitudes par des comportements simples, chez soi en vacances, dans ses déplacements, ou dans son alimentation.

La seconde : « La gestion différenciée des espaces verts de la ville » diminuer les pesticides et maintenir le plus possible de biodiversité dans la ville.

Toujours au foyer des Aînés le jeudi 1er avril à 20 h 30 Mme Thil donnera une conférence sur « Les principes pour jardiner durablement (gérer l'eau, les engrais verts, le compost), et le mercredi 7 avril de 9h à 12 h et de 14h à 17h M. Roubert apiculteur fera une animation « Nos amies les abeilles » sur la vie des abeilles, avec une ruche transparente, et un exposé sur leur production, leur rôle fondamental dans la pollinisation.

Le mardi 6 avril à 20 h 30 au foyer Panouse la conférence « la maîtrise de l'énergie dans l'habitat » animée par Isabelle Meiffrein et Romain Granier proposera des solutions concrètes pour réduire ses consommations d'énergie.

Si vous avez des idées, des suggestions : [email protected].

Publié le 27/03/2010 03:50 | Laurent Conreur

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Gamba: «6nergie» avec l'environnement

Avec Gamba acoustique, l'environnement n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. A l'écoute de toutes les possibilités d'évolution architecturale pour favoriser autant le développement durable que le confort de ses salariés, 36 au total, l'entreprise, spécialiste en ingénierie et en recherche de logiciels dans le secteur des phénomènes sonores, a déménagé dans un nouveau bâtiment sur la zone baptisé 6nergie, en synergie avec la verte attitude. « Dans notre politique d'entreprise, il nous a semblé très logique que ce nouveau local tienne compte autant de l'humain que de l'environnement » insistait René Gamba, président de l'entreprise qui a poussé son premier cri en 1992 dans le ventre scientifique d'Innopole.

À l'écoute des salariésSoucieux d'entendre tous les sons de cloche avant d'entreprendre la métamorphose de ses locaux, René Gamba a ouvert la concertation avec ses salariés pour enregistrer tous leurs souhaits : « Nous avons aussi fait appel à des consultants en santé et en développement durable pour peaufiner au mieux ce projet. »

Ces propositions et ces études ont conduit Gamba acoustique à mener une réduction de la consommation à deux fourches : la chute des dépenses énergétiques en privilégiant l'usage d'appareils en régime énergétique, ordinateurs portables plutôt que les gourmandes unités centrales, photocopieurs économes et le choix des solutions écologiques avec 355 m2 de capteurs solaires, enveloppe en béton stockant et rediffusant les apports de chaleur, pompe à chaleur, éclairage basse consommation avec capteurs de présence et d'ensoleillement, et un compteur qui mentionne la production et la consommation électrique du bâtiment en temps réel… qui montre que Gamba acoustique en produit plus qu'elle n'en dépense. « Ce compteur permet de bien gérer l'énergie. Imaginez vous contrôler la vitesse de votre auto avec le compteur dans le coffre » sourit Réné Ganda, qui espère que d'autres entreprises se mettent aussi au diapason de cette verte attitude.

Publié le 01/04/2010 03:53 | LaDepeche.fr

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«Tous au boulot à vélo»

À l'occasion de la semaine du développement durable Les bus cyclistes de Blagnac, Colomiers, La Salvetat, Toulouse et de Tournefeuille ont souhaité promouvoir davantage encore la bicyclette en organisant, demain, l'initiative « je viens à vélo ! ».

En 3 ans, ils ont enregistré une augmentation de 70 % de cyclistes. Afin d'encourager plus encore cette pratique, ils proposent d'aller « ensemble à travers la Ramée, Saint-Simon, vers le site de Candie. Découverte de parcours adaptés, lever de soleil, paysages fleuris, odeurs printanières, plaisir du vélo pour aller au travail, accompagnés de quelques conseils liés notamment à la sécurité, en toute convivialité », annonce le programme.

Leur objectif : « retrouver le plaisir de faire de la bicyclette et totaliser zéro rejet carbone. »

Cette opération s'adresse à toutes les personnes ayant à se déplacer pour aller au travail, et souhaitant expérimenter l'utilisation de leur vélo et retrouver le plaisir de faire de la bicyclette.

Conditions générales : être en bonne santé et ne pas avoir de contre-indication à la pratique de la bicyclette.

À Tournefeuille, le rendez-vous est fixé demain à 8 heures devant la mairie. Tout au long de l'année, les bus cyclistes proposent des bus réguliers, tous les premiers vendredis du mois, des bus d'accompagnement sur rendez-vous et des conseils d'itinéraires par e-mail, des conseils pratiques et de sécurité.

Tarifs : gratuit. Les inscriptions et réinscriptions ne sont pas nécessaires sauf pour les rendez-vous.

Renseignements : http://www.buscyclistes.org/

Publié le 01/04/2010 10:47 | Laurent Conreur

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Saint-Orens. Luttez bio avec " Allô Jardin au naturel "

La bio attitude, surtout quand elle est à destination de la protection de la nature, se défend. Il y a quelques années déjà que Christian Sempé, le maire de Saint-Orens, creuse le sillon de la lutte biologique sans engrais néfaste au crédit des mains vertes pour que ne poussent pas dans leurs jardins des mauvaises herbes.

En service le 6 avril

Dans le souci d'atténuer au maximum l'usage de phytosanitaires nocifs pour la terre, mais aussi pour d'autres conseils utiles pour protéger Dame Nature, le service Environnement de la mairie branche la population, à partir du 6 avril, sur une ligne téléphonique encyclopédie des pratiques du jardinage, « Allô Jardin au Naturel » (*). Un vrai code de la route du jardinage piloté par la mairie de Saint-Orens, mais aussi par des pros comme les Jardiniers de Tournefeuille, qui en connaissent un rayon sur les us et coutumes du jardinage que ce soit dans la gestion ou la création des jardins familiaux, mais aussi dans les opérations de sensibilisation pour la protection de l'environnement. Sur cette bouture est venu se greffer la FREDEC, Fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles de cultures, un gendarme pacifique pour la surveillance et la défense de l'environnement par l'entremise d'actions avec tous les gestionnaires d'un patrimoine végétal.

Que va apporter « Allô Jardin au Naturel » aux fans des plantes et autres arbustes ? Un espace d'échanges, l'acquisition de techniques naturelles de jardinage, le savoir diagnostiquer pour les maladies et faire participer les jardiniers à l'identification, à la détection et à la localisation de nuisibles sur leurs territoires.

(*) Les messages sont réceptionnés, soit sur le répondeur : 05 61 14 88 77, soit par courriel : [email protected]

Une conférence le 7 avrilDans la lignée de la mise en service de cette ligne téléphonique « Allô Jardin eu Naturel » à destination de tous les habitants de Saint-Orens, la mairie, dans le cadre des Journées du Développement Durable, organise une conférence, le 7 avril à 20 h 30 à l'Espace-Jeunes, une conférence intitulée « Risques de l'utilisation des produits phytosanitaires pour l'homme et l'environnement et les alternatives pour un jardin naturel. »

Publié le 27/03/2010 08:44 | LaDepeche.fr

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Lacapelle-Marival. Un éclairage public économe en énergie

Pour la commune de Lacapelle,il était nécessaire de rénover son parc d'éclairage public.Elle a choisi de travailler avec SDEL Quercy et l'entreprise Descargues, autour d'un contrat de gestion globale du patrimoine de la ville,qui associe sécurité des installations, service aux usagers et économies d'énergie.Un contrat de dix ans pour la rénovation et la maintenance des 237 points lumineux.

Lors de la mise en concurrence au travers d'un appel d'offres,la commune a été particulièrement attentive aux propositions des candidats en matière de sécurité, d'économies d'énergie, de développement durable ainsi que la connaissance de l'environnement local par les entreprises postulantes.

Elle a retenu la proposition de Sdel Quercy,qui s'engage à ses côtés à plusieurs niveaux.

Sécurité

Renouvellement de toutes les sources lumineuses dans les trois premières années du contrat, visites nocturnes, rénovation de 70 % des luminaires sur la durée du contrat, continuité de service 6 jours sur 7, garantie de taux de panne égal à 7% en fin de marché.

Économies d'énergieAudit des installations et préconisation de matériels éligibles aux certificats d'économie d'énergie (CEE), optimisation des temps d'allumage par la pose d'horloges astronomiques, installation de systèmes de variation bi-puissance.

Économie localeTravail en sous-traitance avec l'entreprise Descargues.

Publié le 31/03/2010 15:36 - Modifié le 31/03/2010 à 15:41 | LaDepeche.fr

Le Plan. Du " bio " contre les frelons asiatique

Le frelon asiatique est en train de coloniser la France et plus particulièrement la région du sud ouest.

Deux jeunes gens dont un pompier du Plan Loïc Leguen, se proposent (sur devis) de vous en débarrasser avec des produits « bio ». Mais ils peuvent aussi intervenir sur le frelon européen et les guêpes qui nuisent à notre sieste l'été. Créée en auto entreprise leur activité les amène à se déplacer dans le Volvestre Ariégeois, le Comminges, le sud du Gers et même dans l'agglomération toulousaine.

On peut les joindre au numéro suivant 05.61.87.37.06

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Publié le 27/03/2010 09:03 | LaDepeche.fr Du 03/04/2010 au 12/04/2010

Toulouse. Pour une Foire éco-citoyenne

Le printemps revient et avec lui, la Foire internationale de Toulouse reprend ses quartiers dans une semaine, au Parc des Sports. Samedi 3 avril, les portes du Parc des expos vont s'ouvrir sous une flottille de drapeaux qui invite à déambuler dans de nouveaux univers tournés sur «la Vie maison, l'Envie de temps libre, la Cité et le Monde, les Plaisirs gourmands». Cette année sur 90.000 m2 de halls et d'esplanades, la Foire internationale se décline sur ces thèmes porteurs, au gré d'une signalétique colorée pour aider les visiteurs à se repérer.

Plus de 700 exposants venus de toute la France et pays voisins vont animer cette 58e édition, avec les dernières tendances en matière d'habitat (construction, rénovation, aménagement, ameublement, déco, mobilier de jardin, piscines, végétaux et ambiance paysagée…), le loisir (forme et bien être, beauté, ateliers créatifs…), les cultures d'ici et d'ailleurs (objets d'artisanat, évasion…) et des envies gourmandes (vins, gourmandises, produits du terroir, espace restauration…)

Parmi les grands thèmes abordés, la Foire internationale s'inscrit dans une approche éco citoyenne, au cœur de la semaine du Développement durable (du 1er au 7 avril). Réunis sur le pôle Eco maison (Hall 3) une soixantaine d'exposants spécialisés présentent une vitrine de produits, de solutions et conseils pour réaliser des projets qui respectent l'environnement : isolation, peinture, chauffage, électricité…

Ce grand rendez-vous populaire attire tous les ans près de 120 000 visiteurs aussi, pour sa dimension festive. L'ambiance sera dans les allées, avec des formations musicales et banda qui vont y déambuler en fanfare. Face au succès rencontré en 2009 (18 000 participants), le festival de la danse revient avec une vingtaine de clubs et assos qui vont rythmer ces journées, dans tous les styles (country, rock, salsa, tango, jazz, classique…) Grosse nouveauté aussi, les danses entreront en scène et deux après-midi thés dansants sont organisés pour les amateurs de danses rétro et de salon.

À la Foire on pourra aussi s'y restaurer sur le pouce (spécialités régionales et produits du terroir) ou s'attabler dans des restos gastronomiques, voire exotiques, qui y ont toujours leurs chapiteaux (Esplanade gourmande). Notez que le dimanche 4 et le samedi 10 avril, les Soirées Festi'Gourmandes mêleront la musique aux agapes, pour une entrée à 1 € à partir de 18 heures (accès uniquement au festival de danse et à l'esplanade gourmande), jusqu'à 22 heures.

Bons plansJournée gratuité pour les femmes, le mercredi 7 avril.

Journée gratuité pour les seniors, le jeudi 8 avril.

Pass famille : tarif de 18 € pour 2 adultes et 4 enfants de moins de 18 ans.

La Foire écolo en bateau : des navettes fluviales sont prévues sur Garonne (départ toutes les heures quai de la Daurade-arrivée Esplanade 8).

Nocturnes : mardi 6 et vendredi 9 avril, jusqu'à 22 heures.

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Publié le 29/03/2010 08:48 | Dossier : Hugo Clément

Un trésor vert aux portes de la Ville rose

Elle est là, juste sous le nez des Toulousains. Depuis les portes de la Ville rose, la zone de confluence entre l'Ariège et la Garonne s'étend jusqu'à Venerque, sur une quinzaine de kilomètres. Malgré un manque de notoriété, cet espace humide pourrait bientôt voir sa richesse environnementale reconnue. Le classement de ce site de 800 hectares en réserve naturelle régionale (RNR) est en effet en cours d'étude. Un projet ardemment défendu par l'association ConfluenceS Garonne-Ariège, qui regroupe depuis 2007 des collectivités locales et des associations écologistes soucieuses de préserver les lieux.

Une zone à protéger

Il faut dire que le jeu en vaut la chandelle, la diversité des habitats naturels étant exceptionnelle. Boisements de peupliers, mares et étangs d'eau stagnante, pelouses sèches, berges vaseuses, ou encore forêts de chênes, de frênes, et d'ormes permettent à une faune et une flore particulièrement riche de se développer. « Avoir un tel lieu aux portes d'une grosse agglomération, c'est une vraie chance ! », s'enthousiasme Christophe Laverty, maire de Lacroix-Falgarde et président de ConfluenceS. Une chance pour les promeneurs et autres amoureux de la nature, mais surtout un organe vital. Car ce « joyau vert » joue un rôle de filtre naturel pour l'eau potable de la métropole toulousaine. En plus de retenir les sédiments et les éléments toxiques, la zone de confluence absorbe les nitrates et les phosphates. Et pendant les périodes de crue, le site fait aussi office d'éponge géante. En stockant les eaux de pluie, avant de les restituer progressivement dans la Garonne, il empêche le fleuve de sortir de son lit. Autant dire qu'une protection de ce trésor naturel s'impose, et qu'un classement en RNR fournirait les moyens juridiques nécessaires. « Ces zones sont déjà inconstructibles, mais elles servent parfois de dépotoirs. Il n'est pas rare non plus de voir passer des véhicules tout-terrain à travers champs. Il faut donc canaliser la présence humaine pour qu'elle ne nuise pas à l'écosystème », explique Christophe Laverty. Un cabinet d'étude rencontre actuellement tous ceux qui seraient concernés par la RNR, pour présenter les implications d'un éventuel classement et dissiper les inquiétudes.

Les membres de ConfluenceSConfluenceS Garonne-Ariège regroupe de nombreuses collectivités territoriales et associations. Parmi les membres, on trouve notamment le Sicoval, communauté d'agglomération du sud-est toulousain, le Grand-Toulouse, Nature Midi-Pyrénées, la chambre d'agriculture de la Haute-Garonne, ou encore les fédérations départementales de chasse et de pêche. Le conseil régional de Midi-Pyrénées et l'agence régionale pour l'environnement sont eux partenaires du projet depuis 2007 sans faire partie de l'association.

Une faune et une flore très diversifiéesComposée d'habitats naturels incroyablement diversifiés, la zone de confluence entre la Garonne et l'Ariège est un espace propice à la profusion d'espèces animales. Parmi elles, figurent notamment de nombreux Hérons, qui peuplent les espaces humides. « Ces oiseaux sont menacés à l'échelle européenne mais sont très bien conservés chez nous », souligne Raphaël Glemet, chargé de la gestion des espèces naturelles à l'association Nature Midi-Pyrénées. Star des lieux, un des deux couples d'Aigles Bottés restant autour de la Garonne a également élu domicile dans la confluence. « Nous avons aussi beaucoup de poissons. Les

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brochets, qui sont de moins en moins nombreux dans la Garonne, arrivent encore à se reproduire dans les bras morts du site », ajoute Raphaël Glemet. Du côté des mammifères, la Genette, petit animal aux allures de chat, parcourt la zone une fois la nuit tombée. Et si la faune est donc particulièrement riche, la flore n'est pas en reste. L'Utriculaire, plante aquatique carnivore relativement rare, se nourrit du plancton qu'elle capture. Les Ornithogales, petites fleurs blanches, et les nombreuses espèces d'Orchidées, trouvent elles dans les zones humides un milieu particulièrement favorable à leur développement. « Si la confluence avait été protégée plus tôt, les bords de Garonne seraient aujourd'hui aussi riches que la Camargue en termes d'environnement. Mais avant, on ne voyait que les mauvais côtés des zones humides : moustiques et sols instables », conclut Christophe Laverty, le président de l'association ConfluenceS.

zoom

Une RNR, quèsaco ?Depuis 2002, la compétence de création des réserves naturelles régionales (RNR) revient aux conseils régionaux. Ceux-ci doivent auparavant consulter le conseil scientifique du patrimoine naturel et les collectivités territoriales - mairies, départements, ou communautés de communes - dont le territoire est affecté par le projet de classement. Une fois créée, une RNR met la loi au service de l'environnement, en protégeant des lieux ou des espèces vulnérables. Dans certaines zones, la présence humaine est ainsi limitée, voire interdite. La gestion des sites est souvent confiée à une association regroupant les collectivités, qui définit les objectifs et les moyens à mettre en œuvre sur le terrain. Actuellement, la réserve du lac de la Thésauque, à cheval entre Nailloux et Montgeard, est la seule RNR de Haute-Garonne.

Interview

Christophe LavertyMaire de Lacroix-Falgarde, il est aussi président de l'association ConfluenceS Garonne-Ariège.

Le classement de la confluence en RNR, c'est pour quand ?

Créer une réserve naturelle, ça prend beaucoup de temps. En général, il faut compter entre 5 et 10 ans de procédure à partir du moment où l'on prend les choses en main. Sachant que nous travaillons sur ce projet depuis 2007, il faudra encore attendre un peu.

Un classement en RNR obligera-t-il les habitants et les agriculteurs à changer leurs habitudes ?

Oui, les promeneurs devront respecter des chemins balisés pour ne pas perturber les lieux fragiles. Quant aux agriculteurs, ils devront notamment réduire l'usage des pesticides. Mais ils sont partie prenante du projet, et nous pouvons envisager des solutions pour les aider à s'adapter. Nous sommes par exemple entrain de réfléchir à réduire les impôts fonciers pour qu'ils puissent respecter le cahier des charges de la RNR, qui doit, lui aussi, être discuté.

 

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