TYPOÉTICATRAC, · caractère typographique « Mots Flot-tés Brouillés », l’auteur construit...

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le Bel Ordinaire espace d’art contemporain 05 59 72 25 85 belordinaire.agglo-pau.fr les abattoirs allée Montesquieu 64140 Billère L’exposition Typoéticatrac, les mots pour le faire invite à entrer dans l’atelier de Pierre di Sciullo pour se saisir de ses dernières recherches typographiques et sonores qui s’inscrivent dans la continuité des expositions Écrire à voix haute (2005, ferme du Buisson) et Dedanlémo (2011, Fontenay-sous-Bois). Rassem- blant un ensemble de projets inédits produits au cours de l’année 2016, Typoéticatrac, les mots pour le faire est conçue comme une invitation à faire faire, c’est-à-dire à enga- ger le spectateur dans des actions qui demandent la manipulation de l’écriture et une relation physique à l’écrit. L’exposition, à forte dimension expérimentale et interactive, repose sur la mise en place de situations de perception inédites pour le visiteur grâce à des dispositifs performatifs de lecture et d’écriture. En jouant avec les mots, le visiteur est ainsi sollicité pour compléter une phrase, deviner une écriture secrète, com- poser des adresses imaginaires ou encore activer des singulières ma- chines sonores. L’ensemble propose de véritables bricolages artistiques et techniques conçus in situ. L’exposition s’articule autour de quatre îlots reliés par des éléments communs : l’écriture déployée dans l’espace, la dimension sonore et la dimension performative. Le premier îlot, J’y suis presque, est une installation où les éléments à lire doivent être activés manuellement par le visiteur. L’or de la fougue présente une série de textes polyphoniques à lire comme une affiche à plusieurs voix, dont certaines sont à écouter. Le composteur d’adresses pré- dictives, est un afficheur manipu- lable qui permet de composer une adresse imaginaire à partir des don- nées proposées et offre des millions de possibilités. Le dernier îlot, le Syllabo, rassemble des expérimentations « phonético- typo-plastiques » qui soulignent le lien entre signe graphique et son. Un lutrin documentaire transversal sous forme de table des références présente les réalisations précédentes de l’artiste en relation avec ses nou- velles créations. une exposition de Pierre di Sciullo commissariat : Francesca Cozzolino design graphique - du 26 avril au 01 juillet 2017 du mer. au sam. de 15h à 19h - entrée libre TYPOÉTICATRAC, LES MOTS POUR LE FAIRE

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L’exposition Typoéticatrac, les mots pour le faire invite à entrer dans l’atelier de Pierre di Sciullo pour se saisir de ses dernières recherches typographiques et sonores qui s’inscrivent dans la continuité des expositions Écrire à voix haute (2005, ferme du Buisson) et Dedanlémo (2011, Fontenay-sous-Bois). Rassem-blant un ensemble de projets inédits produits au cours de l’année 2016, Typoéticatrac, les mots pour le faire est conçue comme une invitation à faire faire, c’est-à-dire à enga-ger le spectateur dans des actions qui demandent la manipulation de l’écriture et une relation physique à l’écrit.L’exposition, à forte dimension expérimentale et interactive, repose sur la mise en place de situations de perception inédites pour le visiteur grâce à des dispositifs performatifs de lecture et d’écriture. En jouant avec les mots, le visiteur est ainsi sollicité pour compléter une phrase, deviner une écriture secrète, com-poser des adresses imaginaires ou encore activer des singulières ma-chines sonores. L’ensemble propose de véritables bricolages artistiques et techniques conçus in situ.

L’exposition s’articule autour de quatre îlots reliés par des éléments communs : l’écriture déployée dans l’espace, la dimension sonore et la dimension performative.

Le premier îlot, J’y suis presque, est une installation où les éléments à lire doivent être activés manuellement par le visiteur. L’or de la fougue présente une série de textes polyphoniques à lire comme une affiche à plusieurs voix, dont certaines sont à écouter. Le composteur d’adresses pré-dictives, est un afficheur manipu-lable qui permet de composer une adresse imaginaire à partir des don-nées proposées et offre des millions de possibilités.Le dernier îlot, le Syllabo, rassemble des expérimentations « phonético-typo-plastiques » qui soulignent le lien entre signe graphique et son.

Un lutrin documentaire transversal sous forme de table des références présente les réalisations précédentes de l’artiste en relation avec ses nou-velles créations.

une exposition de Pierre di Sciullo

commissariat : Francesca Cozzolino

design graphique - du 26 avril au 01 juillet 2017

du mer. au sam. de 15h à 19h - entrée libre

TYPOÉTICATRAC,LES MOTS POUR LE FAIRE

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Pierre di Sciullo

Pierre di Sciullo est né à Paris en

1961. Il édite à partir de 1983

Qui ? Résiste, publication expérimen-

tale où il écrit, dessine et s’initie à

la typographie. En 1995 il dessine

l’Amanar, police de caractères qui

permet aux Touaregs d’accéder à

l’imprimé et à l’écran dans leur sys-

tème traditionnel d’écriture.

Dès 1987 il enseigne dans les écoles

d’art en France et à l’étranger.

I l pose des mots dans la vil le : le

Centre national de la danse à Pantin,

le T du tramway de Nice, la façade

du musée Champollion à Figeac, le

Forum des images à Paris, les façades

en mosaïque du Serpentin à Pantin, le

générateur d’anagrammes de Brest,

etc. Ces réalisations à long terme ré-

sultent d’un dialogue fructueux avec

des architectes et scénographes.

I l investit également la rue par voie

d’affichage à l’occasion d’événe-

ments comme la Nuit Blanche ou

le Festival d’Aurillac, à Chaumont,

Quimper, Villeneuve-sur-Lot.

À la fois peintre en lettres, écrivain

public et graphiste, i l joue avec le

langage du quotidien et entretient

la flamme du débat poétique dans

l’espace public.

quiresiste.com

Francesca Cozzolino

Francesca Cozzolino est enseignante

de sciences humaines et sociales à

l’École nationale supérieure des Arts

Décoratifs (EnsAD), PSL Research

University, Paris, où elle intervient

au sein de la spécialisation Design

Graphique. Elle est chercheure

associée à EnsadLab, laboratoire de

recherche en art et design de l’EnsAD

et membre affil iée au Laboratoire

d’Ethnologie et Sociologie Compa-

rative (LESC-CNRS) de l’Université de

Paris Ouest Nanterre la Défense. Spé-

cialisée dans l’ethnographie des

pratiques artistiques, ses travaux de

recherche se situent à la croisée des

visual studies, de l’anthropologie de

l’art et de l’écriture, avec une atten-

tion particulière pour les écritures

exposées dans l’espace public.

Elle a publié plusieurs chapitres

d’ouvrages et articles scientifiques

et elle contribue régulièrement à

des revues d’art et de design ou à

des catalogues d’exposition. Elle

est membre du comité de rédaction

des revues Ateliers d’Anthropologie,

Polygraphe(s). Approches métissées

des actes graphiques et Quadernos

de Arte y Antrhopologia.

Elle vient de publier un ouvrage

collectif sur les écritures exposées de

la vil le de Maputo avec Cumbe Cumbe

et Béatrice Fraenkel : Les écritures

urbaines de Maputo : l ire, écrire, agir

dans la rue, Maputo (éd. Alcance,

2016) et une monographie sur le

muralisme en Sardaigne : Peindre

pour agir. Muralisme et politique en

Sardaigne (Paris, éd. Karthala, 2017.)

ensadlab.fr/fr/francesca-cozzolino/

ensad-fr.academia.edu/FrancescaCozzolino

Cette exposition s’ins-crit dans le programme du Centre Pompidou qui fête en 2017 ses 40 ans partout en France.

Pour partager cette célébration avec

les plus larges publics, le Centre

Pompidou propose un programme

inédit d’expositions, de prêts excep-

tionnels, de manifestations dans

quarante villes françaises,

en partenariat avec des musées, des

centres d’art contemporain, des fes-

tivals ou des scènes de spectacle.

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Salle 1J’y suis presque

J’y suis presque est un projet qui se

décline en deux propositions plas-

tiques. Dans cette installation les

éléments à lire doivent être activés

par un visiteur faisant des efforts

avec son corps pour une lecture qui

demande des dépenses. I l s’agit d’un

ensemble de dispositifs simples,

à base de pivots, poulies, câbles,

miroirs qui peuvent être vus comme

une «salle de sport typographique».

J’y suis presque - Ici et maintenant

L’ensemble offre 16 volumes en

saill ie. Sur la face avant figure une

phrase dans une langue inconnue.

Il s’agit d’expressions équivalentes

à «ici et maintenant». Employant le

caractère typographique « Mots Flot-

tés Brouillés », l’auteur construit des

phrases indéchiffrables si on ne fait

pas apparaître le prolongement des

lettres à l’aide du miroir. Cette lec-

ture demande tâtonnements, essais,

repentirs.

J’y suis presque - Méditation en

pleine panade

J’y suis presque – méditation en

pleine panade invite le visiteur à

recomposer le sens d’une phrase

incomplète qui ne prendra pleine-

ment sens qu’au contact du miroir.

Ce dispositif comprend quatre parties

exposant des phrases à compléter.

Chaque partie est composée de deux

panneaux muraux coulissants avec

un système élémentaire de guides,

poulies et contrepoids.

Chaque phrase est scindée en deux.

Quand on assemble une phrase d’un

côté on en défait une autre ail leurs

et réciproquement.

Il s’agit d’expressions qui suggèrent

l’environnement de la «méditation en

pleine conscience».

exposition Typoéticatrac, dossier n°3 • décembre 2016 •le Bel Ordinaire, Pau 9

les phrases complétées

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Salle 2L’or de la fougue

Cette installation repose sur la créa-

tion de textes où différents niveaux

d’écriture et de lecture se croisent,

et donnent ainsi corps à plusieurs

voix.

L’or de la fougue est basé sur 26

pages de carnet écrites-dessinées

entre octobre 2015 et janvier 2016.

Ces textes suivent une règle com-

mune de dessin et d’écriture.

L’auteur écrit rapidement la colonne

centrale sous la forme d’une petite

annonce ou d’une liste de mots sur

un thème donné comme les troubles

optiques, la politique, l’amour. Puis,

i l comble les espaces à gauche et à

droite de cette première colonne en

écrivant un texte qui vient augmen-

ter et détourner le précédent. Ce

qui crée des compositions où les

registres de langage se croisent, où

la forme des lettres et les couleurs

employées «riment» avec les voix

d’énonciation qui se côtoient, se

superposent, se répondent parfois,

donnant forme à une «polyphonie

visuelle».

Dans ces textes, les expressions

familières dérapent et se déforment;

les néologismes, les inversions et les

locutions altérées laissent surgir des

associations de mots inattendues.

Pierre di Sciullo a peint 6 textes poly-

phoniques aux murs.

24 textes polyphoniques sont à écou-

ter dans des douches sonores sous

forme de saynètes enregistrées en

studio en février 2017.

Les enregistrements ont été réalisés

dans le cadre d’un partenariat avec

l’association Ampli et la collaboration

de Frédéric Jouanlong et Romain

Jarry.

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Salle 3Le composteur d’adresses prédictives

Le composteur d’adresses prédictives

est un afficheur manipulable com-

posé de cylindres à facettes tournant

sur un axe commun. Il permet de se

créer une adresse imaginaire à partir

des données proposées et offre des

centaines de milliers de possibilités.

Le manipulateur attentif (et patient !)

pourra constater que :  

6 actions x 99 numéros x 6 voies

=  3 564 phrases introductives.

Quand aux substantifs, on peut en

composer 8 x 8 x 8 x 8 x 8 = 32 768.

Le nombre total d’adresses que

le CAP peut créer est donc de

116 785 152.

Une fois votre adresse prédictive

créée, vous pouvez l’inscrire sur la

carte de Pau et ses environs, qui est

située à gauche du CAP.

Ce dispositif permet de dessiner une

ville imaginaire ; i l évoque les créa-

tions littéraires de l’Oulipo.

exposition Typoéticatrac, dossier n°2 • juin 2016 •le Bel Ordinaire, Pau 17

3. Les composteurs

Deux composteurs se situent sur la longueur de la pièce, ils sont composés de cylindres à facettes tournent sur un axe commun comme sur un gigantesque tampon dateur.

Le premier, le composteur d’adresses prédictives, est un afficheur manipulable qui permet de composer une adresse imaginaire à partir de données proposées et offre cent seize millions de possibilités. C’est un dispositif qui permet indirectement de dessiner une ville imaginaire et qui évoque les créations littéraires de Raymond Queneau avec ses amis de l’Oulipo.

110 cm 100 cm

80 cm

51 cm

51 cm

16 cm

48 cm 27 cm

axe à 131 cm

21

action voiechiffresnoms

noms

dizainesunités

actionvoie

9

9 9 933 3 3 3 33

9

Le second composteur est un générateur en kit. Un nombre x de volumes avec un nombre y>x de facettes repositionnables permettront de composer son composteur avnt de jouer avec. A Activer par un groupe accompagné par un médiateur.

A réaliser et produire par le B.O.Matériaux : contreplaqué de coffrage plastifié, métal, roulement à billes. Emplacement : salle 3

Le texte est gravé en fraisage numérique. Les cylindres tournent facilement. Les faces avant restent alignées grâce à un système d’indexage par boutons poussoirs sur des joues fixes.

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Salle 4 Le syllabo

Le syllabo rassemble des expéri-

mentations sur le lien entre signe

graphique et son.

Inspirées de la poésie sonore de Kurt

Schwitters (Ursonate), des recherches

musicales de Pierre Schaeffer ou

encore des créations interactives de

Golan Levin, ces recherches «phoné-

tico-typo-plastiques» menées depuis

1988 par Pierre di Sciullo l’ont amené

récemment à de nouveaux déve-

loppements : syllabes familières et

syllabes improbables, mots énigma-

tiques et machines sonores singu-

lières. L’ensemble cherche à consti-

tuer une « machine conceptuelle »

pour penser les origines du langage

dans un univers synesthésique.

Cette salle est composée de cin-

quante aquarelles peintes entre

2013 et 2015 : des voyelles (A), des

syllabes (GO), des mots énigmatiques

en français (Attention) ou en italien

(Sogno), accompagnent des séries

de mots dans lesquelles les voyelles

disparaissent (Stupeur), l’ordre des

lettres est déconstruit (ACTE, Distri-

butivité), on y trouve également des

énoncés simples, privés de voyelles

qui deviennent des énigmes (La tech-

nique est indiscrète).

Les machines sonores (2017), assem-

blages d’objets récupérés dans des

ressourceries à Paris, s’activent par

des opérations mécaniques simples :

friction, frottement, percussion,

ruissellement, vibration. Ces bri-

colages artistiques et techniques

proposent au visiteur de venir jouer

avec des sons inédits : le roulement

des grains dans un bâton de pluie

évoque un « rrrrrr » prolongé, un

ventilateur équipé de rurbans émet le

son « jj i i i i i », un stepper vous invite à

produire le son « pschiiwvouisch ».

Ces machines produisent des pho-

nèmes inaboutis à expérimenter en

lisant à voix haute des extraits du

tableau syllabique, un inventaire

de toutes les syllabes existantes et

potentielles en français.

Le guidon de pluie

La feuille à tonnerre

Le racleur blanc

Le stepper couineur

La semelle à ressort

La roue à piques

Le racleur rouge

Tuyau sauteur

Le pédalier frotteur

Le dérailleur à languette

Le ventilateur froisseur

Le vélo paillasson

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A

Fo

Ou

La technique est indiscrète

Ventre

Sogno

Stupeur

iiii

Mo

Aristoloche

Orbe

Corpo

Blindage

iiiiiii

Âme

Bi

Distributivité

Esprit

Cascade

Sauvage

N

So

Si

Acte

Moraliser les préli-minaires

Je vais faire sauter la banque

Bonne question

Mauvaise idée

Go

Epa

Hop

Péripétie

Opprobre

Ox

Improbable

texte des recherches graphiques affichées dans le Syllabo

Palpable

Arbre

Ça

Mop Je

Attention Trembler(en Tamacheq)

Iroquoise

Livre

Azul

Titres des recherches graphiques affichées dans le Syllabo

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L’AGENDA DES

RENDEZ-VOUS

VERNISSAGE mar. 25/04, 19h

Bel Ordinaire

LECTURES-PERFORMANCESAvec Pierre di Sciullo, Frédéric

Joualong et Romain Jarry

mar. 25/04, de 17h à 18h

médiathèque A. Labarrère, Pau

CONVERSATIONentre Pierre di Sciullo et Frédéric Paul

mer. 17/05, 18h

Bel Ordinaire

SIESTE MUSICALEVen. 30/06, 18h

Bel Ordinaire

VISITES GUIDÉESPOUR TOUS

sam. 06/05 et 01/07, 16h

Bel Ordinaire

POUR LES GROUPES

du lundi au vendredi, sur rendez-vous

ATELIERS CRÉATIFSPOUR TOUS

sam. 06/05, 17h

Bel Ordinaire

POUR LES GROUPES

du lundi au vendredi, sur rendez-vous

INFOS/RÉSERVATIONSContactez Guillaume Batista Pina au

06.84.77.46.53

Typoéticatrac, les mots pour le faire

une exposition de Pierre di Sciullo,

un commissariat de Francesca Cozzolino,

une production du Bel Ordinaire, espace

d’art contemporain de la Communauté

d’agglomération Pau Béarn Pyrénées.

réalisée avec le soutien :

— de l’association Ampli, centre de Musiques

actuelles, pour le volet sonore de L’or de

la fougue,

— du lycée professionnel de Gelos pour le

Composteur d’adresses prédictives et

J’y suis presque,

— des services techniques de la Ville de Pau

et de la Communauté d’agglomération

Pau Béarn Pyrénées,

— de l’École supérieure d’art des Pyrénées

et l’Université de Pau et des Pays de

l’Adour, avec la participation active

de Vincent Ducamin, Léo Gaullier, Marine

Jouguet, Solène Neveux, Léa Poitte et Maxime

Pouey.

Pierre di Sciullo et Francesca Cozzolino

remercient chaleureusement :

toute l’équipe du Bel Ordinaire et l’équipe de

la Maison des éditions ; Léa, Marine, Maxime,

Léo, Vincent, étudiants de l’ESA des Pyrénées ;

Solène, étudiante à l’Université de Pau ;

ainsi que tous ceux qui ont accompagné

le projet :

Marga Berra Zubieta, Julien Bidoret, Marie

Bruneau et Bertrand Genier, Thomas Carrasco,

Christophe Courtin, Pierre Crochetet, Loïc

Durand, Romain Jarry, Fréderic Jouanlong,

Soheil Godsy, Patrick Guerreiro et son équipe,

Amandine Guillard, Benjamin Lahitte, Monique

Larrouture-Poueyto, François Loustau,

Guillaume Monsaingeon, Frédéric Paul, Pascal

Payeur, Serge Poublan et son équipe,

Jean-Marc Saint-Paul, Mathilde Salaün, Beñat

Sallato et ses élèves du lycée professionnel de

Gelos, Hortense Soichet, Véronique Viloing.

Cette exposition est présen-tée dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou et s’inscrit dans les manifestations dédiées au design graphique relayées par Graphisme en France.