TULLE
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TULLE
Allelujah Tullec’est souvent orange
Elisabethtoussa
Janvier 2013 - Numéro 94
AleaJacta es
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TULLEDécembre 2012 - Numéro 93
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MAGAZINE
Rendez vouspar Eloise Wacom
Un peu de lectureCa vous fera pas de mal
MusiqueOuaouh, trop cool Lana Del Rey.
MODE
LES COLS DE L’HIVERCol Claudine, demoiselle.C’est pas beau mais on en parle quand même parce qu’il faut bien parler de tout
Col rond, années 90Lagarfield nous dit tout
Col OradoAmélie Poulain-Daphné Dumaurier
UNE JOLIE PHOTOMODEL:DEMOISELLE
Marvin GayeAustin Power
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BEAUTE
Les 100 trucs pour rienAchetez des trucs a 200 euros qui marchent
EYE LINERPour de beaux yeux.
PORTRAIT
Louise DewitteElle était rousse
Robert PlantL’ange à la voix des morts
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PARTEZ-DONC
TULLE FAIT DE LA PUBLICITE
TULLE
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Héliumes ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thala-mèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou sta-tionnent contre les quais .Des mots se trouvent le m ; tandis qu’à l’autre extrémité de la ville, après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fabriques de ver de parfums et d bli sur des colonnes de marbre plan-tées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateau
L’ASDES CLICS UNEQue bout, est terminé par un pont
établi sur des colonnes de marbre
plantées dans la mer. Des voiles
passent dessous ; et de lourdes
gabares débordantes de marchan-
dises, des barques thalamèges
à incrustatio ens d’ivoire, des
gondoles couvertes d’un tende-
let, des trirèmes et des birèmes,
toutes sortes de bateaux, circulent
Que bout, est terminé par un pont
établi sur des colonnes de marbre
plantées dans la mer. Des voiles
passent dessous ; et de lourdes ga-
bares débordantes de marchandises,
des barques thalamèges à incrustatio
ens d’ivoire, des gondoles couvertes
d’un tendelet, des trirèmes et des bi-
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bout, est terminé par un pont établi
sur des colonnes de marbre plantées
dans la mer. Des voiles passent des-
sous ; et de lourdes gabares débor-
dantes de marchandises, des barques
thalamèges à incrustatio ens d’ivoire,
des gondoles couvertes d’un tendelet,
des trirèmes et des birèmes, toutes
ELISA PARRAIN LondresColonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes ga-bares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais. d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre extrémité de la ville, après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fabriques de verre, de parfums et de lo.Les mons surplombant cette double colonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture différente se tassent les uns près des autre ques thalamèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais.
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ques thalamèges à incrusta-
tions d’ivoire, des gondoles
couvertes d’un tendelet, des
trirèmes et des birèmes, toutes
sortes de bateaux, circulent ou
stationnent contre les quais.
d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre
extrémité de la ville, après l’Eu-
noste, on aperço ques thalamèges
à incrustations d’ivoire, des
gondoles couvertes d’un tende-
let, des trirèmes et des birèmes,
toutes sortes de ques thalamèges
à incrustations d’ivoire, des gon-
doles couvertes d’un tendelet, des
trirèmes et des birèmes, toutes
IGOR PRUZAN.
DES VOILES PASSENT DESSOUS. ELEET DE LOURDES GABARES DÉBORDANTES DE MARCHANDISES, DES BARQUES THALA-MÈGES DESSS INCRUSTATIONS D’IVOIRE, DES GONDOLES COUVERTES D’UN TENDELET,
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EDOUARD TUCes ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchan-dises, des barques thalamèges à in-crustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots
Edouard Toces ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchan-dises, des barques thalamèges à in-crustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de
Le môle, à chaque bout, est ter-miné par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer.
Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thala-mèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet,
PimousPaluneA la galerie des bon-bonsDes voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thala-mèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou sta-tionnent contre les quais. d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre ex-trémité de la ville, après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fabriques de verre, de parfums et de lo.Les mons surplombant cette double colonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’en-gouffre.
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nêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monu-ments d’architecture différente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égypwtiens dominent des temples grecs. Des obélisques apparaissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au miwlieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien. Antoine distingue des mosaïques dans les cours, et aux poutrelles des plafonds des tapis accrochés.l embrasse, d’un seul coup d’oeil, les deux ports (le Grand-Port et l’Eu.Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des mo-numents d’architecture dnêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture différente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égypwtiens dominent des temples grecs.
MIA WALLACESon mari pas cool.
WANCOUVER
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Petit Caillou
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Petit Caillou
Etre un petit caillou, c’est être gris, siple, minéral et inutile. Être un
petit caillou c’est être tacheté à faire roussir les points, c’est être fatigué
dès sa naissance.
Before some words beginning with a pro-nounced (not silent) h in an unstressed first syllable, such as hallucination, hila-rious, historic(al), horrendous, and horri-
fic, some (especially older) British writers prefer to use an over a (an historical event, etc.).[3] An ivs also preferred vbefore hotel by some writers of British English (probably reflecting the relatively recent adoption of the word from French, where the h is not pronounced).[4] The use of «an» before words beginning with an unstressed «h» is more common generally in British English than American.[4]
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Tout l’entourage a disparu.Il se croit à Alexandrie sur le Paneum, montagne artifi-cielle qu’entoure un escalier en limaçon et dressée a u
extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture diffé-rente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égyptiens dominent des temples grecs. Des obélisques appa-raissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au mi-lieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien. Antoine distingue des mo-saïques dans les cours, et aux pou-trelles des plafonds des tapis accrochés.dées et à neuf étages, avec un amas de charbons noirs fumant à son sommet.De petits ports intérieurs découpent les ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont éAutour du grand-Port, c’est une suite ininterrompue de constructions royales : le palais des ptolémées, le t escarpé sur
lequel se lève la tour du Phare, qua-drangulaire, haute de cinq cents cou-dées et à neuf étages, avec un amas de charbons noirs fumant à son sommet.De petits ports intérieurs découpent les ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de mar-chandises, des barques thalamèges à in-crustations d’ivoire, des gondoles cou-vertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, cir-culent ou stationnent contre les quais. d’Alexandre ; tandis qu’à l’autrmu-seum, le posidium, le Cesareum, le timonium ù se réfugia Marc.tabli sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de
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Il embrasse, d’un seul coup d’oeil, les deux ports ronds tous les deux comme deux cirques, et que sé-pare un môle joi-gnant Alexandrie
circulent ou stationnent contre les quais.Autour du Grand-Port, c’est une suite ininterrompue de constructions royales : le palais des Ptolémées, le Museum, le Posidium, le Cesareum, le Timonium où se réfugia Marc-Antoinens dl’îlot escarpé sur lequel se lève la tour du Phare, quadrangulaire, haute de cinq cents coudées et à neuf étages, avec un amas de char-bons noirs fumant à son sommet.De petits ports intérieurs découpent les ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais. d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre ex-trémité de la ville, après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fa-briques de verre, de parfums et de lo.Les mons surplombant cette double colonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture diffé-rente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égyptiens dominent des temples grecs. Des obélisques appa-
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Museum, le Posidium, le Cesareum, le Ti-monium où se réfugia Marc-Antoine, le Soma qui contient le tombeau
d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre extré-mité de la ville, après l’Eunoste, on aper-çoit dans un faubourg des fabriques de verre, de parfums et de papyrus.Les maisons surplombant cette double colonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture diffé-rente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égypwtiens dominent des temples grecs. Des obélisques apparaissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au miwlieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien. Antoine distingue des mosaïques dans les cours, et aux pou-trelles des plafonds des tapis accrochés.Il embrasse, d’un seul coup d’oeil, les deux ports (le Grand-Port et l’EuQuelques-unes portent extérieu-rement d’énormes cages en bois, où l ’a ir du dehors s ’engouffre .Des monuments d’architecture diffé-rente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égyptiens dominent des temples grecs. Des obélisques ap-paraissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au miwlieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à
noste), ronds tous les deux comme deux cirques, et que sépare un môle joignant Alexandrie à l’îlot escarpé sur lequel se lève la tour du Phare, quadrangulaire, haute de cinq cents coudées et à neuf étages, avec un amas de charbons noirs fumant à son sommet.De petits ports intérieurs découpent les ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais. d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre extrémi-té de la ville, après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fabriques de verre, de parfums et de lo.Les mons surplombant cette double colonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture diffé-rente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égyptiens dominent des temples grecs. Des obélisques appa-raissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au mi-lieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien. Antoine distingue des mo-saïques dans les cours, et aux pou-trelles des plafonds des tapis accrochés.
‘‘La citation est l’art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-mêmes.’’ Voltaire
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NAST PLAS
Haute de cinq cents coudées et à neuf étages, avec un amas de charbons noirs fumant à son sommet.
De petits ports intérieurs découpent les ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi
sur des colonnes de marbre plantées dans la mer.
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Museum, le Posidium, le Cesareum, le Timonium où se réfugia Marc-An-toine, le Soma qui contient le tombeau d’Alexandre ; tandis qu’à l’autre extrémité de la ville,
après l’Eunoste, on aperçoit dans un faubourg des fabriques de verre, de parfums et de papyrus.Les maisons surplombant cette double co-lonnade ont des fenêtres à vitres coloriées. Quelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture différente se tassent les uns près des autres. Des pylônes égypwtiens dominent des temples grecs. Des obélisques apparaissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au miwlieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien. Antoine distingue des mosaïques dans les cours, et aux poutrelles des plafonds des tapis accrochés.I l e m b r a s s e , d ’ u n s e u l c o u p d ’ o e i l , les deux ports ( le Grand-Port et l ’EuQuelques-unes portent extérieurement d’énormes cages en bois, où l’air du dehors s’engouffre.Des monuments d’architecture différente se tassent les uns près des autres. Des py-lônes égyptiens dominent des temples grecs. Des obélisques apparaissent comme des lances entre des créneaux de briques rouges. Au miwlieu des places, il y a des Hermès à oreilles pointues et des Anubis à tête de chien.
UN COLLAGE2012
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J’aime bien.es ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques tha-lamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un ten-delet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots
Les vitrines deParis
L’ère industrielle arrive. Le prêt à porter bientôt, mais aussi, avec eux, la communication visuelle. Les galeries misent
sur leur premier lieu. Si le magasin s’est exporté, d’abord en province, puis à l’étranger, Le magasin de Haussman reste celui qui véhicule l’esprit parisien
et la modernité. C’est ainsi que le magasin deviendra un des lieux les plus visités au
monde, plus que la tour eiffel.
RUBRIQUE
Façade décorée pour Noël 1968
Noël 1960
Façade décorée pour Noël 1850Les vitrines des galeries 1827
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SAMANTHAes ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchan-dises, des barques thalamèges à in-crustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots
Edouard Toces ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques tha-lamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un ten-delet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots
Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des co-lonnes de marbre plantées dans la mer.
Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchan-dises, des barques thalamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles cou-vertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots
PelirojoA la galerie des bon-bonsDes voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thala-mèges à incrustations d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou sta-
WANCOUVER
PEDRO BERLIOZ02.08.12Cinémathèquees ports principaux. Le môle, à chaque bout, est terminé par un pont établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais .Des mots établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais . établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques tha-lamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes d’un tendelet, des trirèmes et des birèmes, toutes sortes de bateaux, circulent ou stationnent contre les quais . établi sur des colonnes de marbre plantées dans la mer. Des voiles passent dessous ; et de lourdes gabares débordantes de marchandises, des barques thalamèges à incrustatio ens d’ivoire, des gondoles couvertes
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TULLEPOUR UNE BELLE AVENTURE
Janvier 2012
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