Trois présidents de territoire s’engagent contre les ...Lire la présentation en page 3 et...

J O U R N A L É D I T É P A R L A V I L L E D E B O I S - C O L O M B E S

NUMÉRO 131 — AVRIL/MAI 2019 bois-colombes.com

DOSSIER pages 11 à 17Trois présidents de territoires’engagent contre les dangers de la densificationLire la présentation en page 3 et l’intégra-lité du texte paru sur le site des Échos le26 mars 2019 en page 11, ainsi qu’undossier complet pages 11 à 17.

1-JBC131-COUV5.qxp_COUV 54 02/04/2019 14:53 Page1

02 NUMÉRO 131 — AVRIL/MAI 2019

HÔTEL DE VILLE 15, rue Charles-Duflos - 01 41 19 83 00Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30,samedi de 8h30 à 12hAdresse postale de la mairie :15, rue Charles-Duflos 92277 Bois-Colombes Cedex

MAIRIES DE QUARTIERMAIRIE DE QUARTIER MERMOZ

102, rue Adolphe-Guyot - 01 47 81 91 [email protected]

MAIRIE DE QUARTIER LES BRUYÈRES2, allée Marc-Birkigt - 01 56 83 75 [email protected] identiques à ceux de l’Hôtel de ville

COMMISSARIAT DE BOIS-COLOMBES75, rue Adolphe-Guyot (24h/24) - 01 56 83 75 30

POLICE MUNICIPALE 8, villa des Aubépines - 01 56 83 87 [email protected] du public du lundi au vendredi de 6h à 20h, samedi de 8h à 18h.Accueil téléphonique du lundi au samedi de 6h à 2h, dimanche et jours fériés de 9h à 19h.

ESPACE DUFLOS 79, rue Charles-Duflos - 01 41 19 83 00 Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30

ESPACE SCHIFFERS 79, rue Charles-Chefson - 01 55 66 02 [email protected] lundi au vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 21h30

SALLE JEAN-RENOIR7, villa des Aubépines - 01 47 81 37 [email protected] lundi au vendredi de 13h30 à 17h30, samedi de 14h à 21h30, dimanche de 15h à 19h

SCÈNE MERMOZ75, rue de l’Abbé-Glatz - 01 47 81 37 97Ouvert aux horaires de spectacles.

MÉDIATHÈQUE JEAN-MONNET7, rue Félix-Braquet - 01 41 19 83 72Mardi 14h à 18h, mercredi 14h à 19h, jeudi 15h à 18h, vendredi 15h à 18h, samedi 10h à 13h et 14h à 17hmediatheque.bois-colombes.com

www.bois-colombes.com

Le journal de Bois-Colombes est édité par la mairie

15, rue Charles-Duflos 92277 Bois-Colombes cedex

Tél. : 01 41 19 83 00

[email protected]

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Yves Révillon

DIRECTEUR ARTISTIQUE : Patrick Jaunet

RÉDACTRICE EN CHEF : Valérie Baréa

RÉDACTEURS : Clémentine Leyer, Julien Chauvel

ILLUSTRATION : Yann Nouvier

PHOTOS : Studio des Bourguignons - Richard Loret

IMPRESSION : Imprimerie RAS - Villiers-le-Bel

RÉGIE PUBLICITAIRE : C.M.P Conseil Marketing Publicité

7, quai Gabriel-Péri 94340 Joinville-le-Pont

Tél. : 01 45 14 14 40 - Fax : 01 41 81 08 87

[email protected]

TIRAGE : 16 000 ex. - DÉPÔT LÉGAL : 2e trimestre 2019

CONTACTS UTILES

SOMMAIRE N° 131 - AVRIL/MAI 2019

Parmi les expos du printemps : «Seconde vie» à l’atelier éphémère de la rue Abbé-Glatz en mai. /08

Dimanche 19 mai, le centre-ville prendra des airs champêtres pour la fête de la ville./19

Fin de saison haute en couleurs à la salle Jean-Renoir, avec le spectacle glamour et culotté des Coquettes vendredi 17 mai. Réservez vos places ! /09

En septembre, les écoles de la ville de Bois-Colombes repassent à 4 jours de classe par semaine. Une mesure prise en concertation avec l’ensemble des acteurs du monde scolaire de la commune. /04

LE GUIDE DU TEMPS LIBRE 2019-2020Le service des relations publiques a envoyé aux associations un formu-laire pour mettre à jour les informations pour 2019-2020. Réponses avantle 28 mai : [email protected]. Rens. : 01 41 19 83 27.

© H

élèn

e Pa

mbrun

2-JBC131-SOMMAIRE.qxp_COUV 54 02/04/2019 14:45 Page2

ACTEURS LOCAUX

SERVICES PUBLICSPEdT, retour aux 4 jours d’école, sectorisation, le point sur les changements de la rentrée 2019. . . . . . . . 04La Ville vend un appartement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04ÉCONOMIE Emploi : un salon pour les services à la personne . . . . . . . 05Début juin, la quinzaine commerciale revient avec tombola et pique-nique des commerçants . . . . . . . . . . 05SOLIDARITÉLe service de la navette pour les personnes âgées ou en situation de handicap . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06MDPH, Logement et carte Améthyste : le centre d’action sociale vous aide à remplir vos dossiers. . . . . . . . 06

JEUNESSE Le BIJ soutient les projets solidaires des jeunes . . . . . . . . . . 07Jobs d’été, c’est maintenant qu’il faut chercher . . . . . . . . . . 07Les activités et stages pour les vacances d’avril . . . . . . . . . 07LOISIRS/CULTURELes expos à découvrir au printemps. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 08Audition de jeunes virtuoses, concert pour bébés . . . . . . . 08Les rendez-vous de la salle Jean-Renoir :Les Coquettes, la ciné-conférence «Abyssinie, l’Arabieheureuse», les spectacles du conservatoire, des centresculturels et des associations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09Les rdv du Centre 72, de Captain Fox et du TAC. . . . . . . . 09SPORTSDes créneaux pour les terrains extérieurs de Smirlian. . 10Paul Montero, sur les traces de l’Aéropostale . . . . . . . . . . . . 10

L’ÎLE-DE-FRANCE FACE AUX DANGERS DE LA DENSIFICATIONL’Île-de-France concentre déjà un quart de la populationet du PIB sur 2% du territoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .12/13La réponse au besoin de logements ne peut sacrifier les derniers îlots de respiration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .14/15

Préserver un cadre de vie qui profite à tous . . . . . . . . . .16/17

ENVIRONNEMENTDu changement dans les collectes des déchets . . . . . . . . . 18

VIE DE QUARTIERCENTRE-VILLE : un dimanche à la ferme le 19 mai . . . . . . . . . . 19NORD : un tremplin jeunes chanteurs le 14 juin . . . . . . . . . . . 19SUD : des travaux au parking de la gare des Vallées. . . . . 19

7e ÉD. DU FESTIVAL “DES BULLES À BOIS-COLOMBES”Le programme des 13 et 14 avril. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20/21

Les listes élues représentées au conseil municipal . . . . . 22

Questionnaire sur la zone à faibles émissions. . . . . . . . . . . . 23

AUTOUR DE CHEZ NOUSPetites annonces et pharmacies de garde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

ÉTAT CIVILNaissances, mariages, décès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

ACTEURS LOCAUX 03

TEMPS LIBRE 07

CADRE DE VIE 18

ZOOM ÉVÉNEMENT 20

DOSSIER 11

Pour la première fois, trois présidents de grandes intercommunalités franciliennes unissentleurs voix pour demander une préservation des espaces pavillonnaires de la petite couron-ne. En ouverture de notre dossier consacré à cette question, nous reproduisons la tribunepubliée sur le site internet du journal Les Échos le 26 mars dernier. Face à l’objectif de 70 000 logements neufs par an sur 25 ans en Île-de-France, les signa-taires de la tribune, tous élus locaux, souhaitent attirer l’attention de l’État sur la nécessitéde ne pas compromettre la qualité de vie dans la proche banlieue parisienne en exigeant uneffort de construction déraisonnable et contreproductif dans la durée. Cette prise de position ouvre un dossier consacré à la construction en Île-de-France. Vous ydécouvrirez que Paris est l’une des villes les plus habitées du monde au km2 et qu’après lacapitale, les Hauts-de-Seine sont le département le plus dense de France, les raisons quiexpliquent la demande croissante de logements ou encore les contraintes imposées auxcommunes. Autres sujets abordés dans ce dossier : les enjeux environnementaux et patri-moniaux de la préservation des secteurs pavillonnaires ainsi que les politiques menées parles villes pour conserver ces zones de respiration.A lire en page 11.

3 présidents de territoire s’engagentcontre les dangers de la densification

Yves Révillon, maire de Bois-Colombes et président de BoucleNord de Seine

Jacques J.P. Martin,maire de Nogent-sur-Marne et président deParis Est Marne & Bois

Jacques Kossowski,maire de Courbevoie et président de ParisOuest La Défense

NUMÉRO 131 — AVRIL/MAI 2019 03

TRIBUNE 22

FOCUS QUALITÉ DE L’AIR 23

2-JBC131-SOMMAIRE.qxp_COUV 54 02/04/2019 14:45 Page3


ACTEURS LOCAUX

SERVICES PUBLICS

BRÈVES

Du nouveau pour la rentrée 2019

Le retour à la semaine de 4 jours, ce sont des nouveauxhoraires de sorties le soir, des jours d’activités etd’études modifiés et la suppression de la demi-journée d’école le mercredi. Ces modifications seront mises en place à partir de larentrée prochaine, lundi 2 septembre 2019. La nouvelle organisation de la journée d’écoleConcrètement, les enfants seront en classe les lundi,mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 11h30 et de 13h30à 16h30. La sortie d’école s’effectuera donc désor-mais à 16h30, au lieu de 15h45.Pas d’école le mercrediLe mercredi, les enfants n’auront donc plus classe.L’accueil de loisirs sera ouvert de 7h30 à 18h30.Ce jour-là, les parents pourront venir chercher leursenfants à partir de 17h. La possibilité d’une fréquenta-tion en demi-journée est actuellement à l’étude et voussera communiquée en juin.En semaine, le temps périscolaire du soir sera diffé-rent entre les maternelles et élementairesEn dehors du temps scolaire, l’école sera ouverte dès

7h30 et jusqu’à 18h30 avec les temps périscolaireshabituels :- l’accueil du matin de 7h30 à 8h30,- le repas et la pause méridienne de 11h30 à 13h30,- l’accueil du soir de 16h30 à 18h30.Si les horaires et l’accueil ne changent pas le matin etle midi, l’accueil du soir a été repensé. Il sera différententre les maternelles et les élémentaires. EN MATERNELLE, les enfants seront accueillis de 16h30à 17h30 pour un temps de “goûter et activités”. La sor-tie pourra être échelonnée de 17h30 à 18h30.EN ÉLÉMENTAIRE, les enfants de CP et CE1 seront accueillisde 16h30 à 18h avec les lundi et jeudi “goûter et étude”;les mardi et vendredi “goûter et activités”. Les enfantsde CE2, CM1 et CM2 seront eux accueillis de 16h30à 18h avec les mardi et vendredi “goûter+études”et les lundi et jeudi “goûter+activités”. Les départs s’échelonneront de 18h à 18h30. Les objectifs éducatifs du PEdTAvec ce nouveau PEdT, la ville de Bois-Colombes a misésur la réussite de l’enfant depuis la petite enfance jus-

qu’à leurs premiers pas dans la vie active. Il fixe pourles trois ans à venir, des objectifs éducatifs clairs etdes actions variées. De plus, la communication avecles familles sera renforcée afin de renforcer la placedes parents dans l’éducation. Sectorisation scolaire : du changement dans le quartier nordLa Ville vient d’achever une nouvelle étape: la refontede la sectorisation avec des modifications dans le quar-tier nord. Celle-ci prend en compte les rues nouvelle-ment créées et les nouvelles constructions dans laZAC Pompidou-Le Mignon. Plus simple, il n’y a désor-mais plus qu’une seule sectorisation pour les mater-nelles et les élémentaires. Toutes les infos sur la rentrée et le PEdT complet surwww.bois-colombes.com, rubrique Parents

A VOS AGENDAS : VENDREDI 31 MAI, POUR LE PONT DE L’ASCENSION, IL N’Y AURA NI ÉCOLE NI ACCUEIL DE LOISIRS.

EN DIRECT DES CRÈCHESUne réunion pour les tout-petitsJeudi 13 juin à 18h30 à l’Hôtel de ville, les futurs etjeunes parents pourront se renseigner sur les struc-tures d’accueil pour les tout-petits, leur fonctionne-ment, la procédure d’inscription. Entrée libre. Hôtelde ville. Rens. Petite enfance : 01 71 11 45 10.

Attention aux fermetures des crèches l’étéCet été, les crèches municipales seront fermées du

lundi 5 au vendredi 30 aoûtinclus. Durant cette pério-de, un service d’accueilrestreint est assuré sousconditions. Ce servicesera fermé le vendredi 16août toute la journée.Rens. Petite enfance : 01 71 11 45 10.

Deux nouvelles micro-crèches sur la ville…… ouvriront pour la rentrée 2019 à Bois-Colombes :Païdou (136, rue Paul-Déroulède - 06 43 23 88 91 -www.paidou.fr) et Les Petites Cabanes (2 bis, rue Jean-Jaurès - [email protected]).

LES COMMÉMORATIONS PATRIOTIQUESDans le cadre de la Journée nationale de la Déporta-tion, samedi 27 avril, rdv à la mairie à 9h30 pour undépart en car pour la cérémonie départementale. Unecommémoration se tiendra également à Bois-Colombesdimanche 28 avril à 11h au square Mal de Lattre-de-Tassigny. Mercredi 8 mai aura lieu le 74e anniversairede la Victoire de 1945. Rdv à 10h30 à la mairie. Samedi 8 juin, l’hommage aux morts pour la France enIndochine se tiendra au square Mal de Lattre-de-Tassi-gny à 11h. Mardi 18 juin, ce sera le 79e anniversaire del’appel du Général de Gaulle square É.-Tricon à 19h.

LES HORAIRES D’ÉTÉ DU CIMETIÈREJusqu’au mardi 5 novembre, le cimetière passe en horai-re d’été : il sera ouvert de 8h30 à 18h. Si vous avez dumal à vous déplacer et que vous souhaitez vous rendreau cimetière, appelez le CAS (01 41 19 83 05) et réser-vez un rdv individuel avec la navette municipale gratuite.

UNE PERMANENCE D’AVOCAT FISCALISTEBesoin d’un conseil pour remplir votre déclaration derevenus ? Profitez de la permanence d’un avocat en mai-rie lundi 13 mai de 14h à 19h à l’Hôtel de ville. Rens. :01 41 19 83 00.

ÉLECTIONS EUROPÉENNES LE 26 MAI Dimanche 26 mai, les électeurs sont appelés à voterpour choisir leurs 79 eurodéputés pour les 5 prochainesannées. Les membres du Parlement européen sont élussur des listes nationales au scrutin proportionnel. Il n’yaura qu’un seul tour. Pour vérifier votre inscription sur les listes électorales etconnaître votre bureau de vote, consultez le site www.ser-vice-public.fr (particuliers/élections/quelle est votre situa-tion). Le soir des élections, retrouvez les résultats bureau parbureau sur bois-colombes.com ou à l’Hôtel de ville.

Nous vous en parlions dans les derniers JBC, la ville de Bois-Colombes a pris le temps de la concertation pour consulter l’ensemble des acteurs éducatifs de la communeafin d’établir un diagnostic complet et de faire émerger le nouveau Projet Éducatif de Territoire (PEdT). Applicable pour les années 2019 à 2021, ce projet se veut réso-lument ambitieux pour la réussite de tous : des bébés accueillis en crèche aux jeunes adultes accompagnés par le service jeunesse. Parmi toutes les mesures du PEdTmises en place à la rentrée, la Ville a notamment acté le retour à la semaine de 4 jours pour les élèves de primaire.

Rappel : jusqu’au 26 avril, inscrivez votre enfant àl’école si vous venez d’emménager à Bois-Colombes.Dossier d’inscription et liste des pièces justifica-tives téléchargeables sur bois-colombes.com

En septembre, retour à la semaine de 4 jours

!

LA VILLE MET EN VENTE…… Un appartement T2 de 37 m2 au 2e étagesur cour dans un immeuble du 19e siècle (5, ruedu Gal.-Leclerc). Travaux à prévoir. Le descriptif complet est disponible sur le site de laville: bois-colombes.com. Rens. par mail : [email protected] oupar courrier : mairie de Bois-Colombes, Direction del’Aménagement Urbain, service patrimoine 15, rueCharles-Duflos 92270 Bois-Colombes.

3-JBC131-ACTEURSLOCAUX.qxp_COUV 54 02/04/2019 15:38 Page2


ACTEURS LOCAUX

ECONOMIE

BRÈVES

LE CLUB COMMERCES VOUS DONNE RENDEZ-VOUSL’association Club Commerces participera à la fête de laville dimanche 19 mai place de la République. Vous pour-rez retrouver vos commerçants adhérents qui proposeront,à cette occasion, un buffet campagnard.

LA FÊTE DES MÈRES SUR LES MARCHÉSPour célébrer la fête des mères, l’association des commer-çants des marchés de Bois-Colombes propose une tom-bola pour gagner des repas au Chefson ainsi qu’un quizpour gagner des bons d’achat chez vos commerçants.Venez participer les mercredi 22 mai (marché du centre lematin et marché des Bruyères à partir de 16h), vendredi24 mai (marché des Chambards le matin) et samedi 25mai (marché du centre). Tirage au sort le 25 mai sur lemarché du centre ! Par ailleirs, le 26 mai, jour de la fêtedes mères, les commerces pourront ouvrir le dimanche.

DES BOUTEILLES PLASTIQUE EN CONSIGNE CHEZ CARREFOUR CITYLes deux magasins Carrefour City rue des Bourguignonsfont partie du réseau de consigne des bouteilles plastiqueYoyo. En apportant vos bouteilles à recycler, vous gagnezdes points à échanger contre des places de ciné, de matchsde foot… Inscriptions sur yoyo.eco

CRÉATION D’ENTREPRISE AVEC LE CBCESamedi 20 avril se tiendra la 1re permanence pour la créa-tion d’entreprise de 8h30 à 12h à l’Hôtel de ville. Avant,pendant et après la création de votre entreprise, venezéchanger avec les professionnels du CBCE (Club Bois-Colombes Entreprises). Cette permanence se tiendra le3e samedi de chaque mois sans rendez-vous.

UN MANÈGE AUX BRUYÈRES Depuis le 1er mars, un manège s’est installé sur la placede la Renaissance. Retrouvez-le du lundi au vendredi de15h à 19h, le samedi et dimanche de 11h à 12h30 et de15h30 à 19h. Des places sont offertes chez les commer-çants de l’espace commercial des Bruyères.

Emploi et insertion

Jeudi 6 juin : trouvez un poste dans les services à la personne Le salon des services à la personne se tiendra jeudi 6 juin à l’Hôtel de ville. Plusieurs entreprises dusecteur seront présentes. L’an dernier, 60 personnes ont été recrutées à l’issue du salon. A vosmarques, prêts… à vos CV !

Cette année encore, une vingtaine d’en-treprises du secteur des services à la per-sonne sont attendues pour tenir un standlors du salon organisé à l’Hôtel de villejeudi 6 juin de 9h à 13h.Gardes d’enfants, sorties d’école, soinset promenades d’animaux, auxiliaire devie, employé de maison... de nombreuxpostes seront proposés. Venez avec unCV et préparez-vous comme pour un entre-tien d’embauche. L’an dernier, sur 150participants à ce salon, 60 personnes ontété recrutées par ces sociétés de servi-ce pour des CDD ou CDI à temps pleinou à temps partiel.Hôtel de ville 15, rue Charles-Duflos.Rens. service emploi : 01 41 19 83 40

BIENVENUELouve et Léopold : 8, place de la République, magasin depuériculture, de décoration, des accessoires et jouets de0 à 10 ans. Ouvert du mardi au vendredi. Tél. : 01 84 20 86 60. [email protected] Cabane des créateurs : concept store de cadeaux denaissance, d’objets de déco et de puériculture en ligne surlacabanedescreateurs.comBar La Terrasse (changement d’adresse) : 32, rue Mer-tens. Ouvert du lundi au dimanche de 6h à 22h (planchesde salaisons et fromages, salades ou sandwichs...).Amplifon : audioprothésiste au 55, rue des Bourguignons.Fermé les mercredi et vendredi après-midi. Centre Services : cette société de services à domiciledéménage au 11, pl. de la République. 01 56 83 48 13.https://centreservices.fr.Claire Roig est coach professionnel et personnel pour lesadultes atypiques (troubles dys...). Tél. : 06 65 26 19 73.https://enmodeecriture.wixsite.com/[email protected] Thiaw-Kine a ouvert 6, allée Blériot un cabinet de psy-chothérapie pour adulte en thérapie individuelle.Tél. : 07 82 35 56 18.

Du 1er au 16 juin : la quinzaine des commerçants

15 jours pour faire des affairesLes Journées commerciales se dérouleront du samedi 1er au dimanche 16 juin dans toute la ville.Pendant ces quinze jours, vous pourrez profiter d’offres spéciales chez vos commerçants partici-pants qui pourront «déballer» les samedis devant les boutiques. Les commerçants vous propose-ront de participer à la tombola avec de nombreux lots à gagner. Le tirage au sort de la tombola s’ef-fectuera dimanche 16 juin lors de la 5e édition du pique-nique des commerçants sur la place dumarché du centre de 11h à 15h. Au programme de cette nouvelle édition : vente au déballage,musique, jeux et dégustations (payantes). Ambiance conviviale garantie. Venez nombreux !

Le pique-nique des commerçants : le rendez-vous des gourmands place du marché du centre.



ACTEURS LOCAUX

SOLIDARITÉBRÈVES

AU PÔLE SOCIAL DÉPARTEMENTAL ET COMMUNAL DE L’ESPACE DUFLOS

DES NOUVELLES PERMANENCES À L’EDASLes travailleurs sociaux de l’Espace Départemental d’Actions Sociales(EDAS) sont désormais installés à l’espace Duflos. Ils reçoivent lepublic sans rendez-vous les mardi après-midi et vendredi matin etdepuis début avril, également les mercredi et jeudi après-midi.

HANDICAP, LOGEMENT, CARTE AMÉTHYSTE : UN SEUL LIEU POUR CONSTITUER VOS DOSSIERS

Désormais, les dossiers «logement» et les dossiers pour la MaisonDépartementale des Personnes Handicapées (MDPH) sont uniquementdélivrés au Centre d’Action Sociale (CAS) où vous pourrez être accom-pagné dans la constitution du dossier : c’est sans rendez-vous pour lesdossiers « logement » et sur rendez-vous pour les dossiers MDPH. Pourle pass navigo Améthyste, il est possible de retirer le dossier à l’Hôtelde ville, dans les mairies de quartier et désormais au CAS, où là aussivous pourrez être aidé.

MINIMUM DE RESSOURCES COMMUNAL : ÊTES-VOUS ÉLIGIBLE ? Vous êtes une personne âgée de plus de 65 ans et vous avez moinsde 935 € par mois de ressources ; un couple âgé et vous avez des res-sources inférieures à 1395,82 € par mois ; une personne en situationde handicap et vous avez moins de 935 € par mois de ressources ?Le CAS peut vous verser un complément de ressources appelé «Mini-mum de Ressources Communal».CAS espace Duflos 79, rue Charles-Duflos. Tél. : 01 41 19 83 05.

COLLECTES DE SANG LES 12 AVRIL ET 15 JUINVendredi 12 avril, de 14h30 à 19h30, et samedi 15 juin, de 12h à17h, venez donner de votre sang avec l’Établissement Français duSang (EFS) au centre Charlemagne (7, rue Félix-Braquet). Le 9 mars, 111 volontaires se sont présentés à la dernière collecte,dont 14 nouveaux donneurs. Grâce à la générosité des Bois-Colom-biens, la ville a conservé le label «2 cœurs» décerné par l’EFS. Avant un don, renseignez-vous sur dondesang.efs.sante.fr

KIDS & LIFE AIDE LES ENFANTS MALADES Née de l’initiative de parents ayant partagé la souffrance de famillesdont l’enfant a été atteint par le cancer, l’association Kids & Life veutoffrir aux enfants malades des animations et du réconfort. Si voussouhaitez rejoindre l’équipe de bénévoles, devenir adhérent ou appor-ter un soutien financier, contactez : [email protected] ou parcourrier : Kids & Life 81, rue Adolphe-Guyot 92270 Bois-Colombes.

Seniors et personnes handicapées

Le service de la navette évolue

Une course à faire ou besoin d’aller chez le médecin ? Pour les personnes âgées ou han-dicapées qui ont des difficultés à se déplacer, le Centre d’Action Sociale (CAS) de la villepropose un service gratuit de transport à la carte depuis plusieurs années. A partir de mi-avril, ce service est réorganisé avec d’une part, du transport collectif pourse rendre au centre Charlemagne, au marché du centre ou au marché Mermoz et d’autrepart, du transport individuel « à la carte » pour aller à un rendez-vous personnel, notam-ment pour une visite au cimetière.Des navettes toute la semaineVous avez le choix : la navette collective pour aller au centre Charlemagne les mardi etjeudi après-midi, au marché du centre les mercredi et samedi matin, au marché Mermozle vendredi matin (les horaires en détail auprès du CAS, en mairie ou sur bois-colombes.com) ;ou la navette individuelle pour vous déplacer dans Bois-Colombes ou dans une commu-ne voisine, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 16h30.Être autonome La navette collective, un véhicule de 8 places, est adaptée aux personnes à mobilité rédui-te (on peut y rentrer un fauteuil). En revanche, la navette individuelle, plus petite, nécessi-te que les personnes soient autonomes car le fauteuil devra être replié.CONDITIONS D’ACCÈS : Ce service est destiné aux Bois-Colombiens, vivant à domicile, âgésde 65 ans et plus (60 ans pour les bénéficiaires de l’Allocation Personnalisée d’Autono-mie) et aux personnes en situation de handicap (reconnaissance handicap).COMMENT S’INSCRIRE ? Il est nécessaire de s’inscrire auprès du CAS pour bénéficier de ceservice. Liste des documents nécessaires sur le site bois-colombes.com.COMMENT RÉSERVER ? Les réservations peuvent se prendre d’un mois à 48h à l’avance partéléphone (01 41 19 83 05) ou directement à l’accueil du CAS (79, rue Charles-Duflos)de 9h à 11h30.

Avec la police municipaleDes gestes simples pour vivre en toute sécuritéApprenez à vous défendre en cas d’agression La police municipale propose une fois par mois des ateliers pour apprendre les gestes quipeuvent protéger d'une agression et comment se défendre à mains nues ou à l'aide demoyens intermédiaires (parapluie, sac, canne, journal…). Prochains rendez-vous sur inscrip-tion : mardi 7 mai et jeudi 6 juin de 12h à 13h au gymnase Jean-Jaurès (av. du Vaudreuil). Faites vous accompagner pour retirer de l’argentSi vous préférez être accompagné pour retirer de l’argent aux distributeurs automatiquesde billets, un agent de la police municipale peut vous accompagner. Signalez-vous direc-tement auprès de la police municipale (8, villa des Aubépines – Tél. 01 56 83 87 50)ou auprès du CAS.Faites un état des lieux de la sécurité chez vousToujours avec la police municipale, prenez rendez-vous pour un diagnostic gratuit de sécu-risation de votre domicile et bénéficiez de conseils pour apporter des améliorations sibesoin. Renseignements et inscriptions au CAS (79, rue Charles-Duflos) au 01 41 19 83 05.

A partir du 15 avril, la Ville réorganise son système de transport communal proposé auxpersonnes âgées ou en situation de handicap. Deux solutions leur sont offertes pour sedéplacer : une navette collective et une individuelle, avec plus de créneaux et plus delieux desservis. Un service gratuit sur réservation.

ZOOM SUR DEUX PROJETS INTERGÉNÉRATIONNELS

Le 23 mars dernier, à la résidence Le Cap, a eu lieu une audition deviolons des élèves du conservatoire de Bois-Colombes. Un momentde partage autour de la musique très apprécié des résidents. Le 26 mars (photo), c’est à la scène Mermoz qu’il fallait être. C’étaitla restitution du projet “Inter-G”, initié par l’association LPE, qui a per-mis à plusieurs résidents de la RPA André-Chénier de réaliser unefresque en réalité virtuelle avec des élèves du collège Mermoz. Unvéritable échange intergénérationnel innovant et surprenant.

Le véhicule, qui sert à la navette collective, a été co-financé par la Ville et le Lions Club. D’une capacitéde 8 places, il peut accueillir une personne en fauteuil roulant. Ici, avec l’un des 3 chauffeurs.



TEMPS LIBRE

JEUNESSEBRÈVES

L’ACTION JEUNESSEPour les activités en avril, renseignez-vous, il reste peut-être desplaces ! Infos : 06 16 90 23 47.LES STAGES DE L’ESPACE SCHIFFERSDu mardi 23 au vendredi 26 avril, il reste des places pour certainsstages (baby poterie et baby théâtre pour les 4/6 ans et théâtre et des-sin pour les 7/12 ans). 79, rue C.-Chefson. Infos : 01 55 66 02 02.L’ATELIER GRIBOUILLISDes stages créatifs et d’architecture pour les 4/17 ans sont prévusdu mardi 23 avril au vendredi 3 mai à l’atelier au 2 bis, rue Mertens. Infos : 06 64 88 27 95 ou atelier-gribouillis.blogspot.com UN STAGE DE THÉÂTREStages pour les 7/10 ans et les 11/15 ans avec Lise Choquier dumardi 23 au samedi 27 avril. Infos : 06 81 33 17 68.UN STAGE D’ANGLAISDes stages ludiques d’anglais sont proposés aux enfants et adoles-cents pendant les vacances. Infos : www.english-4-fun.comPASS SPORTS VACANCESLes enfants du CP au CM2 peuvent participer à des activités ludiqueset sportives de 9h à 17h au complexe sportif Smirlian. Bulletins d’inscription à l’accueil des mairies ou sur le site de la villebois-colombes.com. Infos : 01 84 11 74 51.

Avec le Bureau Information Jeunesse

La Ville soutient les jeunes dans leurs projets solidaires

À qui s'adresse ce dispositif ?Aux jeunes de 18/25 ans, résidant à Bois-Colombes et souhaitant s'engager dansun projet solidaire à vocation culturelle,sociale ou environnementale. Le projetpeut être porté par un jeune ou un grou-pe en lien ou non avec une association.Comment candidater ?Dès à présent, en remplissant le formu-laire de demande d'aide au projet (surbois-colombes.com, rubrique « pour lesjeunes ») et en le déposant au BIJ, ou enl'envoyant à [email protected]. Desinformateurs jeunesse peuvent vousaider dans la conception et la planifica-tion de votre projet. N’hésitez pas àprendre rendez-vous au 01 84 11 74 49. Les rdv de la médiathèque

Prochaine commission du Bureau Information Jeunesse (BIJ) pour sélectionner lesprojets : lundi 20 mai 2019. Ne ratez pas la date !

Jobs d’été, c’est maintenant qu’il faut chercher !Lundi 13 mai, le lycée Daniel-Balavoine organise des ateliers CV pour ses élèves.Mercredi 15 mai, 14h-17h au Théâtre de La Garenne-Colombes (22, av. de Verdun) :venez recontrer des recruteurs du groupe Inditex (Berskha, Zara, Pull&Bear), d’ELIS,Carrefour, Franprix, Monoprix, H&M, Fives Guy, Prêt à manger. C’est ouvert à tous.Mercredi 22 mai, 14h-18h : le Bureau Information Jeunesse de Bois-Colombesconclura l’opération en organisant plusieurs ateliers (rédaction de CV et de lettre demotivation, simulation d’entretien, posture en entreprise) et en proposant desannonces d’emploi à l’espace Duflos (79, rue Charles-Duflos). C’est ouvert à tous.

Préparez déjà les vacances de l’étéDes séjours de vacances pour les enfants de 6 à 13 ans Quatre séjours sont prévus cet été. Le retraitdes dossiers est possible depuis le 1er avril(à la mairie ou sur bois-colombes.com) et ledépôt des dossiers à partir du 15 avril.Pour les 6/8 ans : un séjour à la montagne«Les petits trappeurs» à Gérardmer, dans lesVosges, du 22 juillet au 2 août.Pour les 6/10 ans : un séjour à la mer «100%fun» sur la presqu’île de Crozon, en Bretagne,du 6 au 19 juillet.Pour les 9/10 ans : un séjour à la montagne«Nature et sports» à Mont-Roc, dans le Tarn,du 19 au 30 juillet.Pour les 11/13 ans : un séjour à la montagne«Dynamique altitude» à Vars-Sainte-Marie,dans les Hautes-Alpes, du 6 au 17 juillet.Rens. au 01 41 19 83 00, poste 8513.

La structure jeunesse cet étéL’Action jeunesse, qui accueille les Bois-Colombiens de 11 à 17 ans, sera ouverte du24 juin au 5 juillet tous les après-midi de 14hà 18h. 79, rue Charles-Duflos.

La structure restera ensuite ouverte du 8 juilletau 2 août avec des activités et des sortiespour lesquelles il faut être inscrit (retrait desfiches d’inscription début juin et inscriptiondu 12 au 14 juin).Par ailleurs, un séjour itinérant en Italie est orga-nisé pour les 14/17 ans avec l’Action jeu-nesse. Retrait des fiches d’inscription depuisle 1er avril et inscription du 15 au 17 avril.Renseignements à partir de début juin au 06 16 90 23 47.

Séjours et action jeunesse

Parmi les projets sélectionnés en 2018, celui

de trois jeunes partis en Équateur pour réa-

liser un reportage sur la biodiversité du pays.

DES BIBERONS ET DES LIVRES : 20 avril, 15 mai, 18 mai et 12 juin, 10h.L’HEURE DU CONTE : 13 avril (Les animaux rigolos pour les 3/6 ans), 11 mai (Mythologies pour les 6/9 ans), 8 juin (Contes et comptines musiquepour les 3/6 ans).LE CLUB MANGA : 18 mai et 22 juin de 17h à 19h.JEUX VIDÉO : 15 mai et 12 juin de 16h à 18h.Grand tournoi FIFA pour la Coupe du monde féminine, sam. 8 juin à 14hMédiathèque 7, rue Félix-Braquet. 01 41 19 83 72

Et aussi : la médiathèque lance sa grainothèque ! Inauguration samedi 18 mai (lire en page 18).

Samedi 11 mai, de 9h à 18h, l’association des parents d’élèvesde Bois-Colombes Nord (AIBCN) organise un vide-grenier au seinde l'école élémentaire Jules-Ferry. Pour réserver un stand : [email protected]

6E ÉDITION DU VIDE-GRENIER DE L’AIBCN

DU SPORT DANS LES ÉCOLES Mercredi 27 mars, plusieurs classesde CM1 étaient réunis au parc desBruyères pour un rallye par équipes.Quant aux CM2, ils auront leur crossen avril. Ces rencontres sportives font partiedes nombreuses actions organiséesdans les écoles par la ville tout au longde l’année.

VOS ENFANTS ET LES RÉSEAUX SOCIAUXMercredi 17 avril à 18h, se tiendra un atelier Digital Addict pour les parentssur le thème «Que se passe-t-il sur les réseaux sociaux ?». Espace Duflos79, rue Ch.-Duflos. Rens. et inscriptions au BIJ au 01 84 11 74 49.

Arts créatifs, théâtre, anglais, sports...Au programme des vacances de printemps

4-JBC131-TEMPSLIBRE.qxp_COUV 54 02/04/2019 15:11 Page1

ET AUSSI

A L’HÔTEL DE VILLE15, RUE CHARLES-DUFLOSEn juin, exposition des travauxdes enfants des écoles et desaccueils de loisirs.

A LA SALLE JEAN-RENOIR7, VILLA DES AUBÉPINESJusqu’au 2 mai :«TER», de Chris-tophe Dubois et Rodolphe, dansle cadre du festival de bandedessinée (lire page 20).Du 13 mai au 6 juillet : «Tracks»de Catherine Berthelot. Vernis-sage mercredi 15 mai à 19h.

A L’ESPACE SCHIFFERS79, RUE CHARLES-CHEFSONJusqu’au 28 avril : Marie-AmélieGaro, aquarelles, et Marine dela Tullaye, sculptures. Vernissa-ge jeudi 11 avril à 18h30.Du 3 juin au 6 juillet : exposi-tion des travaux des élèves del’atelier d’encadrement deYolaine de La Genardière.

TEMPS LIBRE

LOISIRS CULTURE

BRÈVES

École SiFaCiL’La Musique

Musique et concerts à tout âge

Dimanche 12 mai à 15h, découvrez sur la scène de Jean-Renoir(7, villa des Aubépines) des jeunes pianistes virtuoses de 6 à16 ans qui tous participent à des concours internationaux. Ilsétudient à l’école bois-colombienne SiFaCiL’ et à l’école russede Londres, qui forme des musiciens de haut niveau.Samedi 18 mai à 16h au Centre 72 (72, rue V.-Hugo), c’est unepremière ! Un concert pour les bébés jusqu’à 5 ans où, instal-lés sur des tapis au sol au milieu des musiciens, ils pourrontbouger et réagir au son du piano et du violon. «La musique estun langage. Les enfants qui en écoutent tout petit auront instinc-tivement le goût de la musique», explique Masha Sharova quisera au piano, accompagnée de Masha Lankovsky au violon.Entrée libre sur réservation au 06 66 96 49 01 ou par mail : [email protected].


AVIS AUX ARTISTES : PARTICIPEZ AUX PODADA EN OCTOBRELes inscriptions pour les prochaines «Portes ouvertes desateliers d’artistes», en octobre, ont lieu jusqu’au 20 mai.Plus d’infos à l’espace Schiffers : 01 55 66 02 02.

LE TRAIN À BOIS-COLOMBES : AVEZ-VOUS DES ARCHIVES ?Les prochaines Journées du Patrimoine, en septembre, évo-queront le lien entre Bois-Colombes et le train. Des exposi-tions sur ce thème sont en préparation. Si vous possédez des documents ou objets sur le ferroviai-re, si vous souhaitez partager une de vos créations (photo-graphies, vidéos, peintures, etc.) ou si vous avez des sou-venirs et des anecdotes à évoquer, contactez le servicearchives par mail : [email protected] oupar tél. au 01 41 19 83 48.

LE MARATHON DES JEUX, 8E ÉDITIONVendredi 12 au samedi 13 avril, rendez-vous à la Maison des jeunes pour 24hnon-stop de jeux de société. Début ven-dredi à 19h30 jusqu’au samedi mêmeheure. Toute la nuit, une centaine dejeux seront disponibles : Times up, Dixit,Terra Mystica, Carcassonne, Le loup garou de Tiercelieux,Through the Ages, Colt Express… Restauration possiblesur place (ne ratez pas la soupe à l’oignon à 4h du matin !),petit déjeuner offert et possibilité de déjeuner sur place. Maison des jeunes 50, rue Raspail. Entrée libre.

MUSIQUE SACRÉE AVEC ANTHÉMISDimanche 19 mai ,à 16h en l’église Saint-Marc des Bruyères,l’ensemble vocal et instrumental Anthémis vous proposentun programme de musique sacrée avec Bach, Telemann,Haendel et Graupner.16, rue du Bourdonnais à Asnières (parking sur place) -Libre participation

CONCERT DE LA VILLANELLE EN JUINJeudi 20 juin, à 20h45, aura lieu un concert de la Villanelle«Moments lyriques» en l’église Notre-Dame de Bon-Secours.Pensez à réserver vos places sur acjbs.fr.

L’ATELIER PATCHWORK VOUS ATTEND

En mars, à l’espace Schiffers, vous avez peut-être pu appré-cier les jolies réalisations en patchwork de l’associationBois-Colombes Accueil (BCA) : du cousu main, des plaids, descouvertures, des dessus de lit… L’atelier patchwork de BCAréunit de manière conviviale des personnes aimant la cou-ture et la broderie pour échanger conseils techniques etsavoir-faire sur les tissus, les formes et les couleurs.Si vous souhaitez les rejoindre, l'atelier se réunit le mardide 9h30 à 16h30 au centre Abbé-Glatz (136, rue de l'Abbé-Glatz). Tarifs et renseignements sur place, surwww.becea.fr ou par mail : [email protected]

L’école bois-colombienne SiFaCiL’La Musique vous donne rendez-vous le 12 mai pour l’audition desjeunes virtuoses à la salle Jean-Renoir, puis le 18 mai pour un concert spécial bébés au Centre 72 !

Créée en 2008 par deux musiciens formés au conservatoire de Moscou, Masha Sharova et JonathanJacobs, cette école de musique compte aujourd’hui 200 élèves, dont une trentaine d’adultes. Piano,guitare, batterie et chant, le cours sont donnés à l’école ou à domicile. Des séances d’éveil musicalsont aussi proposées pour les 3/5 ans. Ici, pas d’examens mais plusieurs concerts pour s’habituer à joueur en public. «On s’adapte aux élèves,ceux qui préparent des concours de piano ou ceux qui veulent juste jouer "Adèle" pour le plaisir !» Pourtester son niveau ou un nouvel instrument, un stage a lieu chaque année fin juin-début juillet.École 7, rue Victor-Hugo. Tél. : 06 66 96 49 01. Mail : [email protected]

Avec SiFaCiL’, la musique autrement

Les expositions à voir au printempsLe mai du petit formatTableaux, dessins, sculptures, photos, c’est le retour du petit for-mat avec, cette année, une vingtaine d’artistes qui se lancent dansle défi du 32 x 32 cm, cadre compris !L’exposition se tient du mardi 7 au mardi 28 mai à l’Hôtel de ville(15, rue Ch.-Duflos) et à l’espace Schiffers (79, rue Ch.-Chefson).Le vernissage est prévu vendredi 10 mai à 18h30 à l’hôtel de ville,puis à 19h30 à l’espace Schiffers. Entrée libre.

L’exposition «Seconde vie» surl’obsolescence des objets et larésilience des hommes est àdécouvrir à l’atelier éphémère(136, rue de l'Abbé-Glatz) dusamedi 11 au dimanche 26 mai.Ce nouveau projet, qui interrogesur le rapport aux objets dansnotre société de consommation,réunit les artistes de la fricheartistique qui seront présentspour échanger avec le public,notamment vendredi 17 mai, à18h30 pour le vernissage.Entrée libre. Tous les jours de15h à 19h (sauf lundi et mardi).

Une seconde vie pour les objets… et pour les hommes ?

Zouhir Ibn El Farouk, l’un desartistes à l’origine du projet.

«Le mai du petit format», «Seconde vie»...

Suivez les artistes du collectif sur www.facebook.com/collectif.abc136/ ou sur instagram : _abc136_



Salle Jean-Renoir, une fin de saison en beauté avec les Coquettes !Vendredi 17 mai à 20h30 – Spectacle musical Vous en avez forcément entendu parler au boulot ou par une copine… nonvraiment ? Les Coquettes font le buzz partout où elles passent. Elles sonttrois, Juliette, Lola et Marie, trois nanas pêchues qui font sauter les conven-tions sur des airs de swing, se moquent d’elles-mêmes pour mieux envoyervalser les clichés. A découvrir sur scène absolument !Durée : 1h20Tarifs : 26,50€/ 22,50€/ 20,50€(avec la carte J.-Renoir)Salle Jean-Renoir 7, villa des Aubépines

Réservation et billetterie sur www.bois-colombes.com ou au 01 47 81 37 97

Ne ratez aucun spectacle de la saison culturelle !Téléchargez gratuitement l’appli Bois-Co Mobile

Et aussi...

L’ABYSSINIE, L’EMPIRE MYTHIQUE Vendredi 19 avril, à 14h30, la ciné-conférence«Document Terre» vous emmène en Éthiopie,dans l’ancien empire d’Abyssinie. Le film deLlian Vezin, qui sera présent, offre des imagesépoustouflantes des hauts plateaux de ce payset des vallées profondes du Nil. Tarifs : 7,50€, 6,50€ et 4,50€ (avec la carteJ.-Renoir). Réservations au 01 47 81 37 97.

DANSE, MUSIQUE, THÉÂTRE : LES BOIS-COLOMBIENS MONTENT SUR SCÈNE À LA SALLE JEAN-RENOIR !L’ÉCOLE «COMME ON DANSE»Vendredi 12 avril 20h : spectacle de danse classique. Payant, rés. sur www.commeondanse.frLE CONSERVATOIRESamedi 11 mai 20h30 : concert de fin d’année «Musiques amplifiées». Entrée libre sur rés. au 01 41 19 83 59.LE STUDIO RASPAILVendredi 31 mai, samedi 1er juin, dimanche 2 juin et lundi 3 juin : spectacles de danse modern jazz enfants et ados/adultes. Payant, rés. sur www.studioraspail.fr ou 06 60 82 06 05.Les horaires seront précisés dans le Sortir de juin.LES CENTRES CULTURELSSam. 8 juin et dim. 9 juin : spectacles des élèves de Cathie Léveillé Porché, Sandra Dellevi et l’atelier chorégraphique de Taos Mesbahi ;Sam. 15 juin et dim. 16 juin : spectacles des élèves de Taos Mesbahi, Tatiana May et Pauline Lemaitre. Les horaires seront précisés dans le Sortir de juin.Payant, rens. : espace Schiffers au 01 55 66 02 02 et espace Duflos au 01 84 11 74 61.LA COMPAGNIE DE THÉÂTRE FAHRENHEIT 451 (ATTENTION, LE SPECTACLE EST À LA SCÈNE MERMOZ)Merc. 22 mai, jeudi 23 mai et vendredi 24 mai 20h45 : Le Suicidé, comédie de Nicolaï Erdman. Entrée libre.

Au Centre 72 Au TACDU JAZZ ARGENTIN AVEC GERARDO DI GUSTOSamedi 18 mai à 20h30, place au pianis-te et compositeur Gerado di Gusto pour unconcert mêlant jazz et folklore argentin.

SAXOPHONE ET PIANO : LES ÉLÈVES DU CONSERVATOIREEN CONCERTDimanche 26 mai, de 14h à 18h30, lesélèves des classes de saxophone et depiano du conservatoire donnent une audi-tion. Sur réservation auprès du conserva-toire au 01 41 19 83 59.

Centre 72 (72, rue Victor-Hugo).www.centre72.fr

UNE FÊTE LA MUSIQUE ANCIENNE LES 13 ET 14 AVRILLe festival baroque touche à sa fin. Dernier rendez-vous et non desmoindres : la Fête de la musique ancienne samedi 13 et dimanche14 avril, de 11h à 18h. Au programme : plusieurs concerts d’en-sembles baroques, des conférences sur les instruments anciens, uneinitiation au luth et à la viole de gambe, une exposition-rencontre avecdes luthiers et des harpistes. Tarif : 10€ les 2 jours, entrée libre pour les adhérents du Chant desHommes. Inscriptions : 01 74 63 53 11. Infos sur antigua92.com

TANGO ET MUSIQUE DE CHAMBREDimanche 26 mai, à 17h, découvrez un concert de musique de chambreautour du tango et du répertoire traditionnel argentin. Avec SandraRumolino au chant, Léonardo Teruggi à la contrebasse, Cyril Garac auviolon et Lionel Allemand au violoncelle. Tarifs : 20€/15€/10€.TAC (4, rue Marie-Laure). www.tac92.com

© Hélène Pambrun

Au Captain FoxAU PROGRAMMEVendredi 12 avril : karaokéSamedi 13 avril : concert électro avecThéo BuntuVendredi 19 avril : stand-up humourSamedi 20 avril : carte blanche au conser-vatoire de Bois-ColombesSamedi 27 avril : concert urban soul avecChloé BreitVendredi 3 mai : blind testVendredi 10 mai : karaokéVendredi 17 mai : stand-up humourVendredi 7 juin : blind testLes soirées démarrent à 20h30.

Captain Fox (16, place Jean-Mermoz).Page Facebook @PubCaptainFox



TEMPS LIBRE

SPORTS

Mercredi et samedi, des créneauxpour faire du sport librement Un terrain de handball, trois terrainsde basket, une piste d’athlétisme de170 mètres de long et une fosse deréception pour le saut en longueur,les espaces sportifs extérieurs maiscouverts du complexe sportif Smir-lian sont désormais accessibles aupublic sur trois créneaux : mercredide 14h à 17h, samedi de 9h à 12het de 16h30 à 19h. Les mineurs sont sous la responsa-bilité des parents et les enfants demoins de 7 ans doivent toujours êtreaccompagnés.Complexe sportif Smirlian 11, av. Renée. Tél. : 01 84 11 74 53.

Espaces extérieurs du complexe sportif Smirlian

BRÈVES

LES RENDEZ-VOUS SPORTIFSSam. 13 avril, 13h30-20h, terrain rue du R.P.-Cloarec :tournoi de doublettes formées avec l’amicale de pétanque ;Dim. 12 mai et 2 juin, 14h-18h, Smirlian : passage deflèches avec BCS tir à l’arc ;Dim. 12 mai, 8h-14h, Smirlian : championnat des jeunesavec BCS tennis de table ;Dim. 12 mai, 13h30-20h, terrain rue du R.P.-Cloarec :tournoi de doublettes mêlées avec l’amicale de pétanque.

GOLF : L’AGCB 2E AU TROPHÉE INTERCOMMUNAL DES HAUTS-DE-SEINELe 17 mars, l’équipe de l’AGBC (Pascal, Olivier, Matthieu,Florence, Mathieu, Pascual, William) était pour la 1re foisen finale du trophée intercommunal de golf du 92. Ils sesont inclinés face au club du Plessis-Robinson 4 à 1 surle parcours de l’Aigle du golf national à St-Quentin. Unebelle performance pour cette 1re participation au trophée.agbc.sportsregions.fr

LES VOLLEYEURS DE BOIS-COLOMBESSE MOBILISENT CONTRE LE CANCERLe 17 mars dernier, au complexe sportif Smirlian, lesjoueurs du club de volley bois-colombien BCVB ont parti-cipé au tournoi Lisa Forever (www.lisaforever.org) et ontcollecté 1 500 € pour cette association qui lutte contrele cancer chez l’enfant. www.bcvb.fr

ÉCHECS : 11 BOIS-COLOMBIENSIRONT AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE24 Bois-Colombiens du cercle d’échecs ont participé enfévrier au championnat d'Île-de-France jeunes d'échecsqui réunissait plus de 800 joueurs. La jeune poussineMaia Arzur est devenue championne d'Île-de-France ; 3autres se sont hissés sur la 3e place du podium (MathisYapi en pupille, Evan Cavailles en benjamin et VictoriaTokplo en benjamine). 11 Bois-Colombiens se sont ainsiqualifiés pour les championnats de France jeunes quiauront lieu mi-avril. wordpress.bois-colombes-echecs.com

JUDO : WENNIE ET ABDOULLAHVISENT L’ÉQUIPE DE FRANCELors des championnats de France juniors de 1re divisionqui se sont déroulés début mars, la cadette Wennie Oue-draogo (en photo dans le dernier JBC), de BCS judo-jujit-su, a remporté la médaille de bronze en - de 57 kg. Choserare à ce niveau de compétition, elle n’est que cadetteet donc plus jeune de trois ans que ses adversaires dujour. Après sa médaille d'argent lors du tournoi de Francecadettes à Cannes en janvier dernier et sa médaille d’oraux championnats juniors du 92, les portes de l'équipede France vont peut-être s'ouvrir pour la jeune Wennie.Concernant Abdoullah Khadzhimuradov, après son titreobtenu au tournoi de France cadets à Cannes en + de90 kg, il se rendra à Tula (Russie) pour l'European JudoCup fin mars pour tenter d’obtenir une sélection en équi-pe de France. www.bcs-judo.com

Sur les traces de l’Aéropostale et de Jean Mermoz

Du collège Jean-Mermoz aux lignes aériennes del’Aéropostale, la carrière d’aviateur du Bois-Colombien Paul Montero semblait prédestinée.Le jeune homme de 24 ans, qui a participé auraid Latécoère-Aéropostale en février, rêve de deve-nir pilote depuis tout petit.Sa licence d’aviation en poche depuis qu’il a 18ans, il compte aujourd’hui 150 heures de vol. Enattendant de devenir pilote professionnel, PaulMontero travaille dans l’aéronautique commeingénieur mécanicien. Pour la première fois, il a participé à ce raidincroyable organisé depuis 2007 pour faire revivrel’épopée des pionniers de l’aviation civile : lesJean Mermoz, Antoine de Saint-Exupéry, HenriGuillaumet... A bord d’un Piper PA-28, Paul et sonéquipage ont parcouru 3 000 km au-dessus dela Terre de Feu, de la Patagonie et de la Cor-

dillères des Andes. A chaque étape, des actionsculturelles et solidaires étaient organisées : expo-sitions, baptêmes de l’air, projets de construc-tion d’écoles et de dons de matériel.«L'Aéropostale est une épopée immortalisée pardes pilotes comme Jean Mermoz ou Saint-Exupéry.C’est l’origine de l'aviation civile telle qu'on laconnaît aujourd'hui. Il y a un siècle, il faut biencomprendre que, sans moyen de communicationdéveloppé, seul le courrier permettait de garderun lien avec des proches au-delà des distances.Les pilotes de la "Postale" risquaient littéralementleur vie en vol pour assurer ces liens entre lesgens, jusqu'au bout du monde », témoigne le jeunepilote après cette aventure incroyable.Pour soutenir le raid Latécoère, vous pouvezfaire un don via la fondation Latécoère sur lesite fondationdefrance.org

Raid aérien Latécoère

Paul Montero, un Bois-Colombien de 24 ans, a survolé l’ancienne ligne de l’Aéropostale « Ushuaïa-Buenos Aires » pendant dix jours en février dernier. Retour sur un défi sportif pas commes les autres.

Bois-Colombes et l’aviation...La soufflerie de l’ancienneusine de moteurs d’avions Hispano-Suiza (intégrée au parc des Bruyères), les écolesLa Cigogne et Saint-Exupéry, le collège Jean-Mermoz, lesrues Marc-Birkigt, Georges-Guynemer et Croix-du-Sud, laplace Costes-et-Bellonte dansle quartier des Bruyères, laplace Jean-Mermoz dans lequartier nord... Dans chaquequartier, partez sur les tracesdu passé aéronautique de Bois-Colombes ! Plus d’infos sur lesite www.bois-colombes.com

Retrouvez le carnet de bord et les photosde Paul Montero, étape par étape, sur le sitede la Ville : www.bois-colombes.com



Pages 12 et 13 L’ÎLE-DE-FRANCE CONCENTRE DÉJÀ UN QUART DE LA POPULATION ET DU PIB SUR 2% DU TERRITOIRE— Paris est l’une des villes les plus denses du monde— Un minimum de 70 000 logements neufs par an— Deux options pour construire de l’habitat collectif

Pages 14 et 15 LA RÉPONSE AU BESOIN DE LOGEMENTS NE PEUT SACRIFIER LES DERNIERS ÎLOTS DE RESPIRATION— Des zones menacées— Des espaces verts indispensables— Une attente forte

Pages 16 et 17 PRÉSERVER UN CADRE DE VIE QUI PROFITE À TOUS

DOSSIER

QUALITÉ

DE VIE

Pour la première fois, plusieurs présidents de territoire ont décidé d’unir leurs voix pour demander une préservation des espaces faiblementdensifiés de la petite couronne. En ouverture du dossier consacré à cette question, nous reproduisons la tribune publiée par le site des Échosle mardi 26 mars dernier et signée par les présidents des territoires Boucle Nord de Seine, Paris Ouest La Défense et Paris Est Marne & Bois.

Au nom de la compétition mondiale et de la centralisation, Paris et l'Île-de-France sont lancées dans une course au gigantisme et à la surconcentrationdes activités. Le rythme de construction, lui, doit suivre coûte que coûte, aurisque de reproduire les erreurs de l’aménagement urbain des Trente Glorieuses.

“70 000 logements par an pendant 25 ans. L'équivalent de la création d'uneville moyenne chaque année. Voilà le rythme de construction que l'État imposeaujourd'hui à l'Île-de-France depuis la loi « Grand Paris » de 2010. Un objectiftellement irréaliste que ceux qui le découvrent se montrent incrédules. N'y aurait-il pas un zéro en trop ? Dix ans ou 15 ans de trop ? Non,vous avez bien lu : nous devons construire 70 000 loge-ments supplémentaires par an soit environ 1,2 million deplus d'ici 2035. Cet objectif soulève une question crucia-le pour les maires : mais où allons-nous pouvoir lesconstruire ?Le Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF),intégrant notamment les orientations fixées par loi duGrand Paris 2010 et ses 70 000 logements par an s'ap-plique à toutes les communes de la région francilienneet impose des objectifs laissant très peu de marges auxélus pour les adapter à l'environnement local. Or les spé-cificités et les besoins diffèrent fortement selon que l'onest plus ou moins proche de la Capitale.L'effort demandé menace l'équilibre urbainLes surfaces agricoles représentent encore 60 % du ter-ritoire de la grande couronne. C'est dire si dans ce cas-là il est important pour préserver le foncier agricole delutter contre une organisation urbaine en « tache d'huile » ou d'optimiser lesinfrastructures déjà présentes (réseaux routiers, de transport ou encore d'assainissement par exemple).Mais pour la petite couronne, le problème est tout autre. Dans nos villes, où lefoncier disponible se fait de plus en plus rare, le rythme de construction assi-gné ne peut être atteint qu'en sacrifiant les zones pavillonnaires ou à faibledensité, au profit de grands ensembles collectifs. C'est en petite couronneque l'effort demandé menace le plus l'équilibre urbain fondé également sur lapréservation de zones calmes et de zones vertes.Zones de décompressionA Paris et EN proche banlieue, l'effort de construction se concentre depuislongtemps et selon le principe de « reconstruire la ville sur la ville » sur la recon-version de friches, l'éradication du logement insalubre, le comblement de «dents creuses », le regroupement de parcelles dans des secteurs déjà trèsurbanisés. Et il faut naturellement continuer. L'idée que nous défendons n'estpas d'arrêter de construire, mais de construire avec discernement, en prenantavant tout en compte la qualité de vie des habitants.La préservation des secteurs pavillonnaires et plus généralement des zonesde « décompression » dans les communes de la première couronne doit deve-

nir une priorité. Une fois encore, il s'agit avant tout de lutter contre le logementinsalubre ou encore de moderniser l'habitat existant. Notre projet est bien dedévelopper une ville harmonieuse et non de construire à l'aveugle des loge-ments. Alors que les nuisances sonores et la pollution sont devenues de véri-tables fléaux, les zones pavillonnaires représentent des poumons verts, desîlots de fraîcheur et des zones de tranquillité qui bénéficient à tous les habi-tants, dans l'optique d'une biodiversité partagée, y compris ceux qui résidenten immeubles. De plus, pour les villes qui possèdent encore un secteur pavillon-naire, celui-ci revêt souvent une dimension patrimoniale, un lien culturel etmémoriel avec le passé qui contribue fortement à l'identité et à l'âme de nos

villes. Les élus devraient donc pouvoir, s'ils le souhai-tent, protéger leurs secteurs pavillonnaires ou des sec-teurs encore peu denses de la prédation immobilière etde la menace d'une densification massive.Erreurs des Trente GlorieusesAlors que plus de 6 Franciliens sur 10 déclarent souhai-ter « habiter ailleurs », dans un sondage réalisé fin 2017,la préservation d'un équilibre entre l'habitat collectif etindividuel est un gage de qualité de vie. La course augigantisme dans laquelle s'est lancée l'Île-de-Francen'est pas seulement irréaliste : elle est aussi contre-productive. La densité démographique n'est pas le seulfacteur-clé de la compétitivité des métropoles dans lemonde d'aujourd'hui. Ce sont l'identification écono-mique, l'interaction avec le reste du territoire et, maisc'est tout aussi important, la qualité de vie.Il est temps d'engager une réflexion à plus long termeet d'avoir une politique d'aménagement du territoire plus

ambitieuse à l'échelle de toutes les régions françaises. Cette ambition passepar une meilleure répartition de l'activité économique et de la population dansnotre pays. Et ce n'est pas en contraignant les villes de la petite couronne àsacrifier leurs zones pavillonnaires que nous contribuerons à résoudre ce pro-blème d'aménagement. C'est d'autant plus vrai que nos villes doivent aussirépondre aux enjeux de la transition écologique.En construisant sans discernement, nous ne ferons que reproduire les erreursdu passé sans apporter de solutions durables pour l'avenir. Ne réitérons pas les errements de l'urbanisation des Trente Glorieuses dontnous payons aujourd'hui encore chèrement le prix. Qu'avons-nous fait à cette époque sinon bâtir vite et souvent mal. Faute deprendre en compte les spécificités locales, de grands ensembles ont étéconstruits dans de nombreuses villes bien souvent sans lien avec la « vraie »ville, ses commerces, ses équipements, ses moyens de transport... sans res-pect de l'identité locale et donc sans âme. Plaçons l'humain au cœur de notreréflexion. C'est la meilleure façon de ne pas renouveler certaines erreurs.”Par Yves Révillon, maire de Bois-Colombes et président de Boucle nord de Seine,Jacques Kossowski, maire de Courbevoie et président de Paris Ouest La DéfenseJacques J.P. Martin, maire de Nogent/Marne et président de Paris Est Marne & Bois

DOSSIER

L’Île-de-France face aux dangers de la densification

5-JBC131-DOSSIERFGV7.qxp_COUV 54 02/04/2019 18:12 Page1

Des programmes neufs pris d’assaut, des conditions souvent dra-coniennes pour louer et un parcours du combattant pour accéderà l’habitat social… Le logement est le problème n°1 de la régionÎle-de-France. Inutile d’aller cher-cher une explication bien loin.Cette situation s’explique parun déséquilibre important dumarché : les villes franciliennesont de moins en moins de sur-faces foncières disponiblespour bâtir mais de plus en plusd’habitants. Dès lors, la deman-de en logement est nettementsupérieure à l’offre disponible.

Paris : 21 000 habitants par km2

Et pourtant ce n’est pas fauted’avoir construit et de continuerde le faire... L’Île-de-France secaractérise par une densité par-ticulièrement élevée. Les 5 pre-mières villes françaises comp-tant le plus grand nombre d’ha-bitants au mètre carré sontLevallois-Perret, Vincennes, LePré-Saint-Gervais, Saint-Mandéet Montrouge. Point communde ces cinq communes : ellessont toutes situées dans la pre-mière couronne, juste devantParis où l’on compte 21 000habitants par km2. Un record.La capitale est l’une des villesles plus denses du monde, loindevant sa grande rivale,Londres, mais aussi très loindevant Berlin ou même Rome.Et que dire de la France. La villede Lyon, qui se situe en deuxiè-me position, affiche une densi-té deux fois moins élevée queParis. Quant aux autres, ellesse classent loin derrière.

Une longue tradition de centralisationLa région francilienne regroupe 23% de la population sur 2% duterritoire. Cette concentration exceptionnelle de la population dansla capitale et sa première couronne est le fruit de l’histoire et d’uneculture très centralisatrice. Comme en Angleterre, mais à la diffé-rence de la plupart des autres pays européens, la capitale admi-

nistrative se confond en France avec la capitale économique. C’estdans un périmètre somme toute très restreint que se concentrentles lieux de pouvoir politiques et économiques. C’est donc là, en

toute logique, que la popula-tion active cherche prioritaire-ment à se loger.

Les Parisiens migrent vers la banlieueLa pression démographiques’accroît chaque année, néces-sitant de construire toujoursplus. L’Île-de-France gagne 53 000 habitants supplémen-taires chaque année. Ce sontavant tout les villes périphé-riques qui sont concernées parcet accroissement. Depuis2011, Paris perd des habi-tants. Ce n’est pas une hémor-ragie (-0,5% par an) maiscomme il faut bien loger ceuxqui partent, la banlieue, elle,accueille ceux qui n’ont plus lesmoyens d’habiter dans la capi-tale. Et cette tendance n’estpas prête de s’inverser. Selonl’Insee, l’Île-de-France pourraitcompter près de 13 millionsd’habitants en 2035, soit un million de plus qu’en 2015.

Moins d’occupants par logementEn plus de l’accroissement dela population, les évolutionssocio-démographiques ten-dent aussi, à rendre l’accèsau logement toujours plus dif-ficile. Le vieillissement de lapopulation entraîne une plusfaible rotation des logementstandis que les phénomènesde décohabitation, comme ledivorce, se traduisent par unebaisse du nombre d’occupantspar appartement et donc un

besoin supplémentaire en logements. Il est toutefois importantde noter que, sous l’effet de la crise économique, le phénomènede décohabitation se réduit en raison de l’évolution du mode devie (départ plus tardif du domicile des parents en raison d’étudesplus longues, recomposition familiale, accueil d’un parent âgé…).

QUALITÉ DE VIE

L’Île-de-France concentre déjà un quart de la La densité urbaine est la rançon de la concentration des emplois en Île-de-France. Pour satisfaire la demande croissante de Quitte à sacrifier les secteurs faiblement urbanisés ou pavillonnaires qui, en première couronne, constituent autant de zones de Difficile dans de telles conditions de parler d’un développement durable. Paris est déjà l’une des villes les plus denses du monde. le plus dense de France. La densification a en revanche un sens dans la grande couronne où chaque année, l’étalement urbain

Grande couron disparaissent

Paris est l’une des villes les plus denses du monde La région doit c

Au niveau régional, depuis la loi2010 du Grand Paris, l’objectifde 70 000 logements supplé-mentaires par an, sur 25 ans,a été fixé. Le pari fait par les pouvoirspublics est de créer un choc del’offre pour réduire les prix etfaciliter l’accès au logement. Pour atteindre cet effort deconstruction, les communes,qui ont, par ailleurs, perdu lagrande majorité de leurs com-pétences et leurs marges demanœuvre en termes d’urba-nisme et de politique du loge-ment, doivent répondre à desobligations et des contraintes

Jamais la pression immobilière n’a été aussi forte dans des départements qui sont déjà exceptionnellementdenses.

Tandis que la préservation desla densification de l'habitat

d c

Pour répondre aux besoins enlogement, l’État et la Régionont, ces dernières années, revu à la hausse les objectifsde construction.

Petite couronne : des espaces de verdure de plus en plus rares Une urbanisation à


Dans la grande couronne, les sur-faces agricoles sont le grenierde l’Île-de-France en contribuantà nourrir les 12 millions de Franciliens qui y habitent. Cettesurface disponible n’a pourtantcessé de diminuer depuis lesannées 70. Leur superficie a diminuée de près de 75 000 hectares (- 11,5 %), puis de2,5% entre 2000 et 2010. Aujourd’hui la dynamique restela même : 2 000 hectares deterre sont grignotés chaqueannée. Cette diminution s’ex-plique en partie par la pressionurbaine. L’artificialisation dessols fait disparaître à peu à peules surfaces cultivables. En cinquante ans, 100 000 hectares de terres fertiles, dont

Les 8 départements de l’Île-de-France

Les collectivités territoriales les plus densément peuplées en France :en tête Paris et les départements de la petite couronne. Seconde et 3e

villes de France, Lyon et Marseille arrivent très loin derrière l’Île-de-France.

Insee 2015


population et du PIB sur 2% du territoire

DOSSIER

QUALITÉ

DE VIE

logements, l’État fixe aux communes de objectifs de construction extrêmement ambitieux. respiration…

Avec la petite couronne, elles forment l’ensemble géographique grignote un peu plus les terres agricoles.

n ne : 2 000 hectares de terres agricoles t chaque année

t construire 70 000 logements par an

s t

derniers espaces de respiration s'impose comme un impératif dans la petite couronne, constitue la meilleure façon de préserver les espaces agricoles de la grande couronnne.

En deuxième couronne, la densification est logiquepour s’attaquer à l’étalement urbain et à l’éparpille-ment des constructions ou encore pour préserver lefoncier agricole. Mais dans la première couronne, lasituation est différente. Après plus d’un siècle d’urba-nisation, les communes commencent à être quasi-ment urbanisées. A Bois-Colombes, la densité démographique atteintles 15 000 habitant/km2, soit près du double de ladensité moyenne métropolitaine. Heureusement, laville n’est pas construite que d’immeubles mais aussid’une proportion importante de maisons. Ce secteur pavillonnaire offre des espaces de respira-tion dans la ville, contribue à son charme et complèteles 8,64 hectares de parcs et jardins accessibles aupublic que Bois-Colombes a développés.

“Le secteur pavillonnaire

est le plus grand poumon vert

de Bois-Colombes.”Ici comme ailleurs, en petite couronne, trouver desfriches délaissées capables d’accueillir des grandsensembles est devenu quasi impossible. Pour construi-re des logements collectifs de grande taille, il ne reste,sauf cas particuliers, que deux possibilités. Première solution : rénover, remodeler et optimiserl’espace urbain en améliorant les dessertes et enconstruisant des immeubles neufs. C’est la solutionadoptée dans le quartier Nord et le long de l’avenued’Argenteuil. Avantage : ces opérations renouvellentle tissu urbain dans un secteur qui reste par ailleursfortement dominé par le pavillonnaire. Seconde possibilité : accepter de voir disparaître pro-gressivement les zones les plus faiblement urbani-sées. Le « grignotage » emprunte toujours plus oumoins la même voie : le rachat de deux ou trois pavillonsqui se voient remplacés par un immeuble, les maisonsvoisines étant tentées de suivre l’exemple. Or, c’est bien ce que la ville souhaite éviter. Dans lePlan Local d’Urbanisme, la règle consiste à construiredes immeubles sur les artères déjà majoritairementconstituées de collectifs pour reconstituer un front bâtiharmonieux et dont la hauteur est décroissante àmesure que les constructions s’approchent de la zonepavillonnaire.

Il n’existe que deux optionspour construire de l’habitat collectif

marche forcée

Nombre de logements construits chaque année en Île-de-France Insee 2018

Après une diminution

des constructions

en 2013 et 2014,

l’augmentation

des mises en chantier

a repris en 2015

pour atteindre puis

dépasser les 70 000

logements annuels.


Construire ? Oui, bien sûr. Mais mieux vaut s’attaquerà l’habitat dégradé et aux dents creuses qu’aux sec-teurs faiblement densifiés.

2/3 des surfaces cultivées, ontdisparu au profit du développe-ment de l’agglomération pari-sienne. La pression est telleque l’agriculture ne couvre plusque 7% du territoire de la peti-te couronne. Désormais, c’estdans la grande couronne quese trouve la majorité des zonesagricoles puisque leur superfi-cie représente 60% de ce terri-toire. Dans ces villes les pluséloignées de la capitale, l’urba-nisation doit tenir compte de lanécessaire préservation du fon-cier agricole. Cela nécessitedonc de densifier les villes exis-tantes pour limiter l’éparpille-ment urbain et lutter contre le phénomène de mitage. Cette construction de la

légales (Loi SRU en 2000, Loidu Grand Paris en 2010, LoiALUR en 2014, Schéma Direc-teur de la Région Île-de-Fran-ce…). La construction des logements est répartie dans larégion à travers la territorialisa-tion des objectifs de logementqui fixe pour chaque territoireun objectif précis que les villes

s’engagent à remplir au traversd’une contractualisation avecl’État. En termes d’aménagementurbain, il s’agit de poursuivre ladensification en construisant « la ville sur la ville » afin de lutter contre l’urbanisme entâche d’huile, d’éviter la dispa-rition du foncier agricole ou

encore de résorber des îlotsd’insalubrité. Pour les villes depetite couronne, l’effort consen-ti est réel. A Bois-Colombes par exemple,depuis 2010, près de 200 loge-ments sont construits enmoyenne chaque année, contre100 dans les années 2000 et50 dans les années 90.

C’est aussi pour les habitantsle gage d’avoir des servicespublics à leur disposition : ilserait par exemple inenvisa-geable de créer un réseau detransport public pour desservirquelques maisons isolées.

« ville sur la ville » paraît d’au-tant plus indispensable qu’elledoit permettre d’optimiser lescoûts liés au développementen profitant des infrastructuresexistantes comme les voiries oules réseaux d’assainissement.


QUALITÉ DE VIE

La réponse au besoin de logements ne peut les derniers îlots de respiration


Les zones à faible densité, comme le secteur pavillonnaire dans certaines villes de la petite couronne, sont essentielles parce qu’elles béné y compris à ceux qui habitent dans des logements collectifs.

Des zones menacées Des espaces verts indispensablesLa proximité de Paris est à la fois une chance et un facteur dedéséquilibre dans la mesure où cette proximité entraîne une aug-mentation mécanique du prix du foncier. Résultat, une tentation permanente de construire toujours plussur moins d’espace pour rentabiliser l’acquisition des terrains.

Face aux enjeux de la transi-tion écologique et pour luttercontre le phénomène duréchauffement climatique, lesvilles se doivent d’être plusécologiques et plus durables.Dans les communes de la peti-te couronne marquées par uneforte concentration urbaine,les secteurs peu densémentpeuplés sont indispensablespour que la ville reste la plus“verte” possible.Dans les zones urbanisées, oùl’espace manque, les zones àfaible densité ou pavillonnairesdans lesquelles se trouventdes jardins, représentent lamajorité de la verdure d’uneville. A Bois-Colombes par exemple,l’habitat individuel, qui consti-tue 20,3% des logements,représente près de 80 % desespaces verts de la ville.Autant dire que ces zonesvertes sont indispensablespour favoriser la biodiversitéet préserver la présence desespèces végétales et ani-males dans les aires urbaines. Elles font également office de« zones de décompression »qui permettent à la ville et à ses habitants de respirermais aussi de lutter contre lachaleur urbaine en offrant des « îlots de fraîcheur ».Ces espaces peu denses sontaussi indispensables pour faciliter la perméabilité dessols et notamment l’évacua-tion des eaux pluviales rendueplus difficile lorsque la ville esttoujours plus « goudronnée ». Rendre la ville perméable,c’est limiter les risques d’inondation mais aussi se rapprocher du cycle naturel de l’eau en permettant d’ali-menter les nappes phréa-tiques et là aussi préserver labiodiversité.

Les objectifs de densification et laconstruction de logements mena-cent les villes et plus particulière-ment les villes de la petite couron-ne qui ont vu leur population aug-menter à un rythme important cesdernières années. Il en résulte une augmentationimportante de la densité de popu-lation dans dessurfaces qui nesont pas exten-sibles du fait dela concentrationurbaine déjàforte. Dans lestrois départe-ments de la peti-te couronne, lesvilles sont ainsimarquées parune densité quine cesse d’augmenter ces der-nières années. En moyenne, les 4 villes les plus denses des Hauts-de-Seine (Levallois-Perret, Montrouge, Courbevoie, Clichy) ontgagné près de 4 000 habitants parkm2 depuis 1999.Les 4 villes les plus denses deSeine-Saint-Denis (Le Pré-Saint-Gervais, les Lilas, Aubervilliers,

Bagnolet) et du Val-de-Marne (Vin-cennes, Saint-Mandé, Kremlin-Bicêtre, Charenton) ont, ellesaussi, connu une augmentationimportante, respectivement près de 2 200 et 2 400 habitantspar km2.Pour développer l’offre de loge-ments, l’espace foncier se faisant

de plus en plusrare, la seulesolution pourles villes est deconstruire desi m m e u b l e scollectifs. Alors que lescommunes dela petite cou-ronne sont déjàsous pression,le scénario

d’augmentation de la populationet donc de logements laisse pré-sager la disparition des rares zonesde respiration encore présentes.Selon l’Atelier Parisien d’Urbanis-me, la moitié des ménages sup-plémentaires de la région seraientlogés en petite couronne, contre37 % seulement entre 2006 et2015.

Les zones à faible densité de la petite couronne

“Des villes

de la petite couronne

ont gagné

jusqu’à 4 000 habitants

par km2

depuis 20 ans.”


La qualité de vie est une préoccupation majeure pour les Fran-ciliens qui ont le sentiment que celle-ci n’est pas à la hauteurde leurs attentes. Selon un dernier sondage effectué par Cadreemploi, 84 % des cadres interrogés veulent changer de lieu devie, dont 88 % des 26-35 ans. Il est vrai que les désagrémentssont nombreux et en partie liés à la très forte densification enÎle-de-France : nuisances sonores, pollution, absence d’espacescalmes et de plein air, congestion des transports en commun…Aujourd’hui, en construisant toujours plus, le risque pour lesvilles est aussi de ne plus pouvoir garantir la qualité des ser-vices publics. Les nouveaux logements et leurs nouveaux habi-tants génèrent mécaniquement des besoins plus importantset donc des équipements supplémentaires comme des crèches,des écoles, des infrastructures sportives, culturelles et des

espaces verts. Cet objectif devient impossible à réaliser alorsque l’espace manque aussi pour bâtir des bâtiments publicset que les capacités financières des villes ont été réduites parl’État.


DOSSIER

QUALITÉ

DE VIE

ut pas sacrifier

s bénéficient à tous, en termes de biodiversité,

Une attente forte

Yves Révillon

« Notre identité pavillonnaire n’est pas négociable »

Zone dense mixte (habitat, service et activité)

Zone semi-dense mixte (habitat et activité)

Zone semi-dense mixte d’habitat collectif

Zone peu dense mixte (habitat, bureaux,activité, commerce)

Zone dense mixte (habitat, bureaux, activité, commerce)

Zone d’équipements

Emprise ferroviaire

La position du maire n’est pas nouvelle. Déjàen janvier 2013 dans son éditorial du JBC 99,il marquait son opposition au schéma régio-nal d’aménagement au nom de la préserva-tion de la qualité de vie. Si on excepte desvilles comme Bois-Colombes, qui sont à lafois pavillonnaires et proches de Paris, lamajeure partie des communes de la premiè-re couronne laisse de moins en moins deplace à l’habitat individuel. La région abrite18% de la population française, c’est déjàbeaucoup. Vouloir attirer 1,5 million d’habi-tants supplémentaires d’ici 2030, c’est dela folie ! La France ne se résume pas et nedoit pas se résumer à Paris. Pourquoi n’ex-ploite-t-on pas plus les perspectives qu’offre

le numérique ? Tout montre que l’hypercon-centration démographique finit par devenircontre-productive. Preuve en est, ces 200 000Franciliens qui quittent chaque année notrerégion. Beaucoup plus encore rêveraient depouvoir s’installer en province. Poussée àl’extrême, l’urbanisation devient source demal-être. Et que dire des transports en com-mun aux infrastructures vieillissantes qui arri-vent à un niveau de saturation insupportabledu fait d’un nombre d’usagers alors que lestravaux du grand Paris, censés enrichir l’offrede transport collectif, ne cessent d’être retar-dés. Cette situation explique la multiplica-tion des retards et l’allongement du tempsdans les transports.

Niveau de densité sur le territoire de Bois-Colombes

Le graphique ci-contre montre clairement que les secteurs les plus denses se concentrent

autour de la gare et de l’avenue d’Argenteuil. La majorité du territoire s’inscrit en zone peu dense.

RÉACTION

Cette prise de positioncontre la stratégie de surdensification de l’Île-de-France est partagée par la Présidente de la commission des Affaires Économiquesdu Sénat, Sophie Primas, qui a réagi à la tribunepubliée dans Les Échos :"Très bonne tribune ! Alors que des villesmoyennes ont du mal àrésister à la métropolisationde notre société, alors quele numérique offre des perspectives inédites…alors que l’État n’est pas au rendez-vous des grandesinfrastructures de transport :faut-il continuer à répondreaux injonctions de constitution du SchémaRégional d’Île-de-France ?"


À ASNIÈRES-SUR-SEINE L’habitat collectif,ancien ou contem-porain, côtoie unhabitat individuelpavillonnaire tradi-tionnel, qui partici-pe fortement à laqualité de vie desAsniérois. Très atta-chée à la sauvegar-de de ses quartierspavillonnaires et àla protection de la

qualité de vie de leurs résidents, la ville d’Asnièresa engagé une modification de son Plan Local d’Ur-banisme. L’objectif est de préserver la structurepavillonnaire de ces quartiers à travers des règlesdéfavorables à la densification et à la constructiond’immeubles collectifs dans ces secteurs. Par exemple, la hauteur des bâtiments a été rédui-te, les emprises au sol dérogatoires supprimées,les règles concernant les limites entre zones revues,et une liste de maisons remarquables protégéesannexée.

QUALITÉ DE VIE

Préserver le secteur pavillonnaire, c’est aussi


À ARGENTEUIL Argenteuil, ancienbourg rural, agricoleet champêtre, est his-toriquement une villeverte et pavillonnaireet ce malgré les profondes modifica-tions urbaines qu’el-le a connues depuisles années 1950jusque dans lesannées 1980. La Ville

a renforcé, dans le PLU, les règles en matière derespect des gabarits en zones pavillonnaires. De plus, la ville a créé l’obligation d’obtenir un per-mis de démolir pour éviter que certaines maisonsdisparaissent au profit de petits ou moyensimmeubles collectifs. Enfin, Argenteuil a relancé les réflexions quant à lacréation d’une zone de protection du patrimoine,notamment en direction des pavillons remarquables,issus de son histoire architecturale dont elle estfière et qu’elle souhaite préserver.

Les quartiers pavillonnaires, historiquement très présents, sont aujourd’hui menacés tant par la pression des promoteurs immobiliers q à outrance. Mais les communes de la Boucle Nord de Seine sont bien déterminées à préserver ce patrimoine unique.

C’est une alchimie mystérieuse qui fait le charme de certaines rues pavillon-naires : la convivialité opère immédiatement. La preuve par l’exemple : l’asso-ciation Chagal…Comment s’est créée l’association ?« Nous souhaitions organiser notre propre vide-grenier, dans la rue Charcot. C’étaiten 2013 et pour cela, nous avons créé une association. Nous l’avons élargie à larue Gallieni toute proche et prévu d’organiser d’autres types d’événements. Il exis-te dans ces deux rues une tradition d’accueil des nouveaux habitants qui permetà tout le monde de se connaître. Certains habitent ici depuis plus de 30 ans. Cesont ces valeurs de convivialité et de partage que nous avons voulu perpétuer aveccette association. »Que faites-vous dans ce cadre ?« Nous organisons une activité par mois : une dégustation de vins, une fête de labière, des visites culturelles et des balades le week-end, et toujours notre vide-grenier fin mai. Il y a aussi la Fête des voisins qui réunit tout le monde en mai.Aujourd’hui, l’association compte près de 70 adhérents et va au-delà des deuxrues. Nous essayons de proposer des activités, le soir en semaine ou le week-endpour que chacun puisse venir au moins une fois. »En quoi le lien entre voisins est différent entre une rue pavillonnaire et un immeuble ?« Quand nous sommes arrivés, il y a 6 ans, nous avons trouvé un mot dans notreboîte aux lettres nous invitant à une soirée entre voisins. Quand on a besoin dequelque chose, on peut sonner chez le voisin, on se dépanne entre nous. Le contactme semble plus simple qu’en immeuble. On sait quand des gens emménagent,

quand ils sont en vacances. S’il y a un problème, on peut aller voir. En immeuble,je ne connaissais pas autant de monde, juste mes voisins de palier. Là, c’est trèsdifférent et même sans association, j’ai toujours connu mes voisins quand j’habi-tais en pavillon. »

Le Nord du 92 bien décidé à protéger les secteurs faible

Entretien avec Caroline Savaté, présidente de l’association Chagal (pour les rues Charcot et Gallieni)

“Quand on a besoin de quelque chose, on sonne chez le voisin”

À CLICHY-LA-GARENNEPavillons ou mai-sons de villeponctuent lesfronts de rue en autant decoupure et aéra-tion, du faitnotamment deleur faible hau-teur et de la rup-

ture de l’alignement avec les bâtis mitoyens. Des éléments bien conservés disséminés dans larue Villeneuve, la rue d’Alsace, dans le quartier duBac d’Asnières… ainsi que des ensembles pavillon-naires d’une certaine étendue s’organisent en vis-à-vis le long de voies étroites. Un zonage fin – la zone UP – préserve les zonespavillonnaires d’une certaine étendue. En plus du règlement écrit du PLU, les villas Jouf-froy-Renault ainsi que certains pavillons individuelsisolés font l’objet d’une protection particulière entant qu’éléments de patrimoine à protéger en appli-cation du code de l’urbanisme

A Bois-Colombes, les façades pavillonnaires de la ville retracent les évolutions historiques de la ville : des villas bourgeoises du XIXe ou alors de style art déco, la diversité des pavillons sont les témoins d’une époque et d’un savoir-faire qui ont forgé les racines de qui peut parfois se développer dans les villes. Cela profite à tous les habitants, y compris ceux qui habitent dans les logements


protéger l’environnement et le cadre de vie


DOSSIER

QUALITÉ

DE VIE

rs que par les directives d’un État qui prône une densification

e ment densifiés

À COLOMBES Avec plus de 9 000 m a i s o n s ,Colombes estla ville desH a u t s - d e -Seine quicompte leplus grandnombre depavillons. Les

quartiers pavillonnaires sont des espacespaisibles et familiaux, accompagnés de nom-breuses surfaces de verdures qui font respi-rer la Ville, à l’image des maisons du quar-tier des Vallées que les Bois-Colombiensconnaissent bien. La municipalité a d’ailleurs décidé de modi-fier une seconde fois le PLU qui avait ten-dance à trop densifier ces quartiers. Les pavillons représentent en effet un patri-moine que la municipalité tient à préserverà tout prix, car ils contribuent à l'identité deColombes : une ville où il fait bon vivre.

Construire est une chose. Mais cet objectif ne peut plus être atteint au mépris de l’en-vironnement et de la qualité de vie. Ce que confirme une experte. De façon générale, le secteur pavillonnaire est-il plus ou moins protégé aujourd’huiqu’hier ?« Beaucoup d'élus veulent travailler sur la refonte du PLU de leur ville – ou du PLUIdans le cas des intercommunalités – pour éviter la densification liée à la loi SRU.Il s’agit d’inscrire des outils de protection dans le document qui stipulent parexemple l’emprise au sol de la future construction, les distances entre les bâti-ments, entre le bâtiment et l’espace public, le taux de pleine terre, la végétalisa-tion. Ceci afin d’éviter ce qui est arrivé souvent par le passé, quand un promoteurimmobilier rachetait trois terrains pour construire un immeuble." Comment concilier urbanisme et écologie dans des zones denses comme la pre-mière couronne d’Île-de-France ?« En tant qu’écologue, nous préconisons de densifier l’habitat à proximité desgares, des transports, des centres-villes, pour éviter l’étalement urbain et les dépla-cements trop nombreux vers ces zones d’activité. Pour le reste du tissu urbain d’une commune, il faut en revanche préserver lesgrandes surfaces d’espaces verts (les parcs publics, les parcs des grandes copro-priétés, les cimetières…) qui permettent aux animaux et aux insectes de se nour-rir, de vivre et de se reproduire ; avec des espaces relais (les jardins, l’arrière desimmeubles, les friches, les squares) où ils peuvent passer. Plus ces espaces relais sont continus, mieux c’est pour la faune. C’est un travailtrès fin qui doit être fait parcelle par parcelle pour étudier les spécificités de chaquerue.”

A quoi servent toutes ces mesures environnementales dans un plan d’urbanisme ? “À protéger la faune et la flore, à rafraîchir les villes, à mieux gérer les eaux pluviales,mais aussi au cadre de vie car les PLU sont faits pour les habitants avant tout."En termes de construction de logement social, quelle est la politique la plus adaptée à ces nouvelles questions d'écologie et de densification ?"Il y a beaucoup de réflexions autour du logement social, sur les types de loge-ments notamment : les petits collectifs, les maisons individuelles regroupées dansune rue, les logements intermédiaires avec des hauteurs différentes. Et si onconstruit des tours, elles sont très différentes aujourd’hui avec, par exemple, desjardins partagés en terrasse.”

C’est devenu un numéro collector.En l’espace de quelques jours, lenuméro 124 du journal de Bois-Colombes a disparu des présentoirs.Preuve s’il en est de la passion desBois-Colombiens pour leur patrimoi-ne architectural. Le contenu de ce numéro : un his-torique de l’architecture domestiquebois-colombienne, avec sesvariantes stylistiques allant du régio-nalime au style provençal en pas-

sant par les influences flamandes ou germaniques, de très bellesphotogaphies des magnifiques villas bourgeoises du XIXe siècleainsi que des pavillons dits de banlieue depuis la fin du XIXe sièclejusqu’à aujourd’hui. La découverte de ce patrimoine fait l’objet de circuits touristiqueset pédestres et suscite l’intérêt des nouveaux aventuriers du patri-moine, les géocacheurs.Si vous n’avez plus ce numéro papier, le journal est consultablesur le site de la ville tout comme les circuits pédestres qui, eux,sont aussi disponibles en version papier à l’Hôtel de ville.

LE PATRIMOINE PAVILLONNAIRE : UNE PASSION BOIS-COLOMBIENNE

Entretien avec Marine Linglart, écologue, directrice de l’agence Urban-éco (Ingénierie en ecologie urbaine, paysage et amenagement durable)

“La lutte contre la densification est une question centrale”

À VILLENEUVE-LA-GARENNE

Immortalisée par Alfred Sisley dans 3 de sesœuvres, Villeneuve-la-Garenne est particulière-ment attentive au maintien d’une offre résiden-tielle diversifiée. Avec environ 640 maisons indi-viduelles parmi 9500 logements, son histoire selit dans certaines d’entre elles. En bord de Seine,les pavillons cossus côtoient les petites maisonsde bateliers dans les impasses ; en centre-villeles « lois loucheurs » rappellent les années 30tandis que les différentes décennies ont laisséleur empreinte. La ville entend maintenir cesmarques de son histoire dans son paysage urbainet, lorsque la reconstruction de la ville sur elle-même est inéluctable, elle propose la reconstitu-tion de cette offre selon les contraintes actuelles,dans les maisons de ville d’un éco-quartier.

siècle en pierre de taille au pavillon ouvrier plus moderne en pierre meulière et brique la commune. La qualité et l’entretien du bâti contribuent aussi à préserver le paysage, loin de la pollution visuelle collectifs, pour qui c’est un atout en termes de cadre de vie.


CADRE DE VIE

ENVIRONNEMENT


Ce qui va changer à partir du 1er juilletAujourd’hui, vos ordures ménagères sont collectées à partir de 18h trois fois par semaine.Dès le 1er juillet, ce sera à partir de 19h deux fois par semaine.

BRÈVES

LIGNE J : TRAVAUX LUNDI 29 AVRILAttention, aucun train ne s’arrêtera gare de Bois-Colombeslundi 29 avril à partir de 22h. Des travaux de modernisa-tion du réseau sont prévus entre Asnières et Ermont-Eau-bonne. Des bus de substitution sont prévus. Prévoir 40minutes de plus sur votre trajet.

ATELIER BRICO RÉCUP’En lien avec l’exposition «Seconde vie» à l’atelier éphémè-re (lire page 8), un atelier brico récup’ est prévu mercredi15 mai de 15h30 à 19h avec l’association Pik Pik. 136, av. de l’Abbé-Glatz. Entrée libre.

DES AIDES DE LA SNCF POUR LUTTER CONTRE LE BRUIT DES TRAINSSur demande des propriétaires, la SNCF réalise des dia-gnostics isolation dans les logement riverains des voiesferrées. Si des travaux sont à faire, une subvention pourraêtre versée. [email protected]

Collectes des déchets

Valorisation et tri des déchets : Bois-Colombes, le bon élève du territoire Boucle Nord de Seine !Avec 41 kg de déchets triés par habitant en 2018, les Bois-Colombiens se classent commeles «meilleurs trieurs» du territoire Boucle Nord de Seine et également bien au-dessus de lamoyenne départementale (33 kg/habitant). Des bons résultats qui s’expliquent par le travail de sensibilisation au tri sur le terrain et grâceaux nombreux dispositifs mis en place depuis quelques années, parfois précurseurs : lesdéchèteries mobiles, les collectes solidaires et, depuis janvier 2018, la collecte des déchetsalimentaires sur les marchés et dans les écoles. La ville de Bois-Colombes travaille étroite-ment avec les équipes du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, pour réflé-chir à de nouvelles pistes pour mieux valoriser les déchets.

Faire encore baisser le tonnage des déchetsPour faire baisser le volume d’ordures ménagères de 40 à 50%, une solution toute simple :le composteur ! Dans un jardin (ou en appartement en version lombricomposteur), on y metles épluchures de fruits et légumes, les fleurs coupées et les restes des tontes de la pelou-se. Le tout se décompose et permet d’avoir de l’engrais au bout de quelques mois.La Ville fournit des composteurs ou des lombricomposteurs. Plus d’infos sur bois-colombes.comou au service Propreté-Collecte : 01 41 19 83 78

Une grainothèque à la médiathèque !Environnement

La médiathèque, c’est un lieu où l’on vient apprendre,découvrir des auteurs et des artistes, des langues et descultures. C’est aussi un lieu où l’on partage et échangebien plus que des livres... des graines par exemple ! A partir de mi-mai, une grainothèque ouvre à la média-thèque Jean-Monnet. Sur le mode du troc, venez déposerou prendre des graines de fleurs, de fruits ou de légumesrécoltées dans votre jardin ou dans la nature. Elle s'adres-se aux jardiniers, adhérents ou non à la médiathèque. Samedi 18 mai, pour l’ouverture de la grainothèque, unepremière sélection de graines sera fournie par le serviceespaces verts de la Ville. Dès 10h, venez troquer vosgraines ! Un rallye nature sera proposé dans les parcsautour de la médiathèque. L’après-midi, de 14h à 17h, unjardinier professionnel vous orientera et répondra à toutesvos questions.Médiathèque J.-Monnet (7, rue F.-Braquet). Entrée libre.

DES ACCROCHES POUR LES VÉLOS PRÈS DE LA GAREElles sont toutes neuves etn’attendent plus que vosvélos impasse Doussineau !Ces accroches vélos sont àquelques mètres seulementde l’entrée de la «petite gare»de Bois-Colombes, du côté dumarché.

A partir du 1er juillet, pour mieux s’adapter auxhoraires des habitants et éviter l’abandon debacs sur le trottoir toute la journée, les col-lectes du soir débuteront à 19h, au lieu de18h. Ce qui laisse une heure supplémentaireà chacun pour sortir ses bacs. Après une enquête de terrain et le constatd’une baisse des tonnages des ordures ména-gères le mercredi, la collecte des bacs bleuspasse de 3 à 2 jours par semaine. Cela feramoins de camions qui circulent dans la villeaux heures de pointe le soir.

Les autres collectes restent inchangées.Concrètement, les collectes auront lieu :POUR LES BACS BLEUS (ORDURES MÉNAGÈRES) : pas-sage lundi et vendredi de 19h à 23h30.POUR LES BACS JAUNES (DÉCHETS TRIÉS) ET LES BACS

VERTS (VERRE) : passage un jour par semainede 19h à 23h30. Les jours ne changent paspour chaque quartier.Plus d’infos sur bois-colombes.com ou au service Propreté-Collecte : 01 41 19 83 78.

SAMEDI 25 MAI, AU MARCHÉ DU CENTREAnimations sur le thème de lacollecte des déchets alimen-taires mise en place depuis jan-vier 2018. Venez nombreux de 9h à 14hplace de la Résistance (anglerue Mertens).

COLLECTES SOLIDAIRESEco-Systèmes et le Relais récu-pèrent vos appareils électriques,vos vêtements et chaussuresusagées : samedi 11 mai de10h à 14h pl. de la Résistan-ce et J.-Mermoz ; samedi 8 juinde 10h à 14h pl. de la Renais-sance et J.-Mermoz.

DÉCHÈTERIE MOBILERetrouvez la déchèterie mobilejeudis 2 mai et 6 juin de 14hà 18h30 sur le parking de lapiscine rue du R.P. Corentin-Cloarec. Consultez le calendrier à Bois-Colombes et dans les villes voi-sines sur www.syctom-paris.fr

6-JBC131-CADREDEVIE.qxp_COUV 54 02/04/2019 15:01 Page2

CADRE DE VIE

VIE DE QUARTIER

De 10h à 19h le dimanche 19 mai, la campagne s’invite en ville !Venez profiter des nombreuses animations ludiques, festives etpédagogiques sur le thème de la ferme : un maréchal-ferrant etson cheval de trait, un tracteur et sa batteuse, un petit train ani-malier, des balades à poney ou en attelage, une transhumanced’oies, des jeux anciens en bois... de quoi ravir les enfants !Au programme également, des ateliers pour fabriquer de la farineà l’aide de petits moulins, du jus de pomme avec un pressoir, dela compote de pommes, ou encore des hôtels à insectes. Lesapprentis fermiers pourront aussi s’amuser à donner le biberonaux bébés chevreaux et porcelets. En tout, près de 150 animaux seront là toute la journée : cochons,chèvres, lapins, poules, vaches, ânes, moutons... Un mini salonde l’agriculture à Bois-Colombes !Restauration sur place.

Communiquez avec Anne-Gabrielle Cantet maire adjoint du quartier Mermoz, V.-Hugo, Argenteuil :[email protected]. : 01 41 19 83 00 Mairie de quartier - 102, rue Adolphe-Guyot

Communiquez avec Jean-Pierre Le Lausquemaire adjoint du quartier centre :[email protected]. : 01 41 19 83 00Hôtel de ville - 15, rue Charles-Duflos

NORD

SUD

CENTRE-VILLE

Communiquez avec Henri Vincent,maire adjoint du quartier des Bruyères et des Vallées :[email protected]. : 01 41 19 83 00 Mairie de quartier des Bruyères - 2, allée Marc-Birkigt


Un dimanche à la fermeDimanche 19 mai

Pour la soirée foodtrucks et concerts du vendredi 14 juin place Jean-Mermoz, un «tremplinmusical» pour les jeunes talents est organisé par le pub Captain Fox, en collaboration avecla Ville et le conseil de quartier. Commencez à répéter vos morceaux et envoyez votre candi-dature avant vendredi 3 mai !

La scène est à vous !Vendredi 14 juin

Après le réaménagement de la gare des Vallées, des tra-vaux au niveau du parking attenant sont prévus par Effia(filiale dédiée aux parkings de la SNCF). Souvent saturépar des véhicules «ventouses», ce nouvel aménagementfavorisera la rotation des véhicules, le rabattement sur lagare et le stationnement dans le quartier. Le projet vise en effet à transformer le vaste parking exis-tant en un parc de stationnement réglementé de 119places (dont 3 places pour les personnes à mobilité rédui-te), accessible 24h/24 et 7j/7, avec une barrière de contrô-

le d’accès à l’entrée et un panneau indiquant, dès la rueFélix-Faure à Colombes, s’il reste des places libres ou non. Les travaux débuteront au printemps et devraient durerquelques semaines. Durant le chantier, le parking resteraaccessible sauf quelques jours qui seront annoncés enamont.A terme, le parking sera payant mais un «dépose-minute»de 15 minutes gratuites est prévu. Des tarifs adaptésseront aussi proposés (tarifs courte durée, abonnementmensuel pour le stationnement résidentiel...).

Le parking de la gare des Vallées sera bientôt réglementéDébut du chantier au printemps

Dimanche 16 juin : brocante des Bruyères du Club 41Pour y participer, inscrivez-vous au 07 81 49 58 60 ou par mail à l’adresse :[email protected] (tarif pour 2 mètres : 23 €).

Dimanche 26 mai : vide-grenier rue CharcotPour réserver un stand, inscrivez-vous par mail : [email protected] (tarifs pour2 mètres : 12 € pour les adhérents, 18 € pour les non-adhérents).

Vendredi 14 juin 2019de 18h à 23h place Jean-Mermoz

Le Conseil de quartierMermoz, V.-Hugo, Argenteuil15, rue Charles-Duflos92270 Bois-ColombesTél. : 01 41 19 83 00

bois-colombes.com

Le 14 juin, le quartier nord fêtera la musiqueavec un peu d’avance. En 1re partie de soirée, de 18h à 21h, dixartistes et groupes bois-colombiens amateursmonteront sur scène pour un concours où lepublic pourra les départager. Préalablement sélectionnés par un jury, cesjeunes artistes auront l’occasion exception-nelle de se produire sur scène devant unpublic nombreux, dans des conditions «pro-fessionnelles».Après le concours, à partir de 21h, un grou-pe de musiciens animera la soirée. Ce soir-là, les six foodtrucks des mercrediset vendredis proposeront de la restaurationsur place, ainsi que le pub Captain Fox.Place Jean-Mermoz de 18h à 23h

Cette année, pour la fête de la ville, la place de la République setransforme en ferme géante !

Comment participer ?Envoyez votre candidature avant vendredi 3mai sous forme de vidéo maquette par mail : [email protected]èglement du concours sur l’appli Bois-CoMobile et sur bois-colombes.com

Le parking de la gare des Vallées en arrivant de la promenade verte.

6-JBC131-CADREDEVIE.qxp_COUV 54 02/04/2019 15:01 Page3

Cette année, les invités d’honneur du festival BD sontRodolphe (Namibia, Robert Sax) et Christophe Dubois (Lecycle d’Ostruce, La ballade de Madgalena). Associés sur l’al-bum TER dont ils présentent les planches dans une exposi-tion salle Jean-Renoir et qui a inspiré l’affiche du festival,les deux artistes auront la lourde tâche de choisir les vain-queurs du concours BD. Retrouvez-les en dédicace tout aulong du week-end du festival.


ZOOM

ÉVÉNEMENT

7e édition du festival de BD : un virus qui s’étend àC’est déjà la 7e édition du festival de bande dessinée «Des bulles à Bois-Colombes». Organisé tous les deux ans, il se tiendra cette année samedi 13 e présents les deux jours. Expositions, dédicaces, vente d’albums, animations pour les enfants, ateliers dessins pour les plus grands, documentaires et fi temps d’un week-end convivial. Alors préparez-vous et réservez ces deux jours pour une immersion totale dans le 9e art !

Un strip est une série de 3 cases à compléter de bulles et dedécor pour lui donner vie et raconter une histoire, un gag, unpetit enchaînement…Choisissez votre strip....

…donnez-lui vie avec quelques coups de crayons et/ou dutexte et confiez-le à l’animateur devant le mur des strips.Chaque jour à 17h, 25 strips seront sélectionnés par l’équipedu fanzine Le Cochon dingue et récompensés d'un album BD. Deux strips vierges sont à votre disposition en ligne ou au rez-de-chaussée de l’Hôtel de ville. A vous de jouer de 10h à 16h !

PORTRAITS

Le JBC est allé à la rencontre de cinq anciens gagnants ou participants au concours BD. Retrouvez leurs témoignages sur le site www.bois-colombes.com/festivalBD.

Chloé Ménager«Je n’ai pas trop confiance enmoi à la base, et ce concoursm’a beaucoup aidée. J’étaisobligée d’aller au bout de monidée et d’être rigoureuse. C’esttrès formateur !»Un projet de livre jeunesse

Gilles Philipps «Quand j’ai participé auconcours en 2012, il y avait dansle jury Hermann que j’aime bien. J’ai eu le 2e prix et je me suis dit que je pourraisaller plus loin...»Le RevenantIl sera présent au festival

Jérémie Bouet «J’écrivais déjà plein d’histoireset j’ai tenté d’en transcrire uneen BD. Après ce concours, j’ai eu envie d’en faire d’autres etj’ai relancé mon idée de bandedessinée. C’est beaucoup de temps !»Un projet de bande dessinée

Raphaël Ollé-Cervera«Dès que je suis arrivé à Bois-Colombes, on m’a parlé de cefestival... C’est un événementbien connu des habitants et jesuis ravi d’y participer pour lapremière fois»Yurlh, tome 1Il sera présent au festival

Jean-Marc Zakine “J’ai participé deux fois auconcours. J’y ai présenté desplanches sur lesquelles je tra-vaillais seul. J’ai pu rencontrerdes auteurs qui m’ont bienconseillé. Aujourd’hui, j’ai publiéma 1re BD ! ”L’Emprise, tome 1Il sera présent au festival

t

Fort de ces sept années d’expérience, le festival de BD«Des bulles à Bois-Colombes»reprend ses quartiers à l’Hôtelde ville, à la salle Jean-Renoir et à la médiathèqueJean-Monnet. Curieux et passionnés,le public est attendu nombreuxle week-end des 13 et 14 avrilsur les stands du festival.Il y a deux ans, près de 2 000personnes sont venuesà la rencontre des auteurs,des éditeurs, du caricaturisteet des libraires. Avec les années, la qualitédes auteurs présents,l’encouragement des jeunestalents et les nombreusesanimations proposéesau grand public ont permisà ce festival de s’imposerau niveau régional dans le petit monde de la BD.Au programmede cette nouvelle édition :des dédicaces et des rencontres avec une trentaine d’auteurs,des expositions, un concoursde strips ouvert à touset la remise des prix pourle concours BD. Pour les plusjeunes, des films adaptésde bandes dessinéesvous attendent toutela semaine au cinéma Jean-Renoir, des ateliers dessinset BD, un troc pour échangervos anciennes BD ou mangas…

LES INVITÉS D’HONNEUR… … ET LE GAGNANT DU POLAR D’ANGOULÊME

Des dessinateurs et anciens gagnants du concours nous parlent du festival

Au milieu des 33 auteurs dufestival, Julien Lambert, jeuneSuisse de 33 ans, fait partie deces dessinateurs talentueuxdéjà plusieurs fois récompen-sé (notamment du prix Ray-mond-Leblanc pour Edwin en2013). Au Festival d’Angoulê-me 2019, Julien Lambert a rem-porté le prestigieux prix du FauvePolar SNCF pour VilleVermine.

L'épilogue de ce formidable récit en plusieurs tomes devraitsortir début avril 2019, juste avant le festival de Bois-Colombes, où il nous fait l’honneur de sa visite dimanchematin. L’occasion pour petits et grands de découvrir le der-nier tome de la série. Trop de chance !

LE CONCOURS DE STRIPS… Tout le monde peut participer !

Rodolphe Christophe dubois

7-JBC131-ZOOM_COUV 54 02/04/2019 15:21 Page2

35 éléves du lycée Jeanne-d’Arc àColombes ont travaillé avec l’associa-tion Monphi, pour retracer la vie de LéonOuturquin en bande dessinée. Décou-vrez l’histoire de ce Français né pendantla Première Guerre mondiale et mort enAllemagne pendant la Seconde Guerre.Les jeunes auteurs serontau rez-de-

chaussée de l’Hôtel de ville tout le week-end pour présen-ter leur travail.La BD est aussi vendue chez Nouvelle & cie et Book’in.


Festival BDDes bulles

à Bois-Colombes

13 et 14 avril 201910h-18h

à l’Hôtel de ville

à 3 et dimanche 14 avril, à l’Hôtel de ville, avec une trentaine d’auteurs-dessinateurs

et films autour de la bande dessinée, tous les publics pourront se retrouver le

Films et spectacleà la salle Jean-Renoir du 10 au 15 avrilSNOOPY ET LES PEANUTS – Dès 3 ansMerc. 10 à 14h30 et dimanche 14 à 15h30.

NICKY LARSON ET LE PARFUM DE CUPIDON – Tout publicMerc. 10, jeudi 11 et samedi 13 à 20h45, lundi 15 à 14h.

LARGO – Tout publicPour les plus grands, un documentaire BD sera aussi pro-posé : "Largo" de Kanari films… Entrée libre dans la limi-te des places disponibles. Dimanche 14 à 18h.

LES CONTES ILLUSTRÉS – Dès 4 ansUn comédien raconte, un illustrateur dessine…Par le conteur Richard Petitsigne et le dessinateur OlivierSupiot, ce spectacle a fait carton plein lors de la dernièreédition du festival. Entrée libre dans la limite des placesdisponibles. Samedi 13 à 15h.

Salle Jean-Renoir -7, villa des AubépinesRéservations 01 47 81 37 97

3 expositions à ne pas raterTER Exposition de planches et d'illustrations originales de latrilogie TER des invités d'honneur, Christophe Duboiset Rodolphe. Jusqu’au 2 mai à la salle Jean-Renoir.

PHIL LACTER MÈNE L'ENQUÊTEExpo interactive pour découvrir le monde du polaret apprendre les techniques de la BD pour les 7/8 ans.Jusqu’au 14 avril dans le hall de l'Hôtel de ville.

ESPIONS DE FAMILLE Exposition ludique de planches et d'illustrations originalesde Thierry Gaudin et de l'Asniérois Romain Ronzeau pourtout savoir sur la création de leur série Espions de famille.Expo pour tous jusqu’au 14 avril à la médiathèque Jean-Monnet.

Adresses et horaires des bâtiments en page 2 du journal et sur bois-colombes.com

Et aussi…UN SILHOUETTISTE,UN ESPACE LECTURE, DES ATELIERS, DES ESPACES POUR LES MATERNELSET LES ÉLÉMENTAIRES, DES LIBRAIRES POUR ACHETER DES ALBUMSET PLEIN DE SURPRISES À DÉCOUVRIR !

Quand la BD s’invite dans les écoles

Les élèves d’une classe deCM1 de l’école Saint-Exu-péryparticipent depuis jan-vier à un projet autour dela BD : visites à la média-thèque, ateliers dessinavec Kyoung-mi Kim, unedessinatrice qui donne descours dans les centres cul-turels. Chacun a créé sapetite bande dessinée. Lesplanches seront exposéespendant le festival.

Du Crotoy à Jammertal, le destin d’un anonyme :la BD des élèves du lycée Jeanne-d’Arc

Un troc BD avec le Conseil municipaldes jeunes et Bibliothèques Sans frontières

Le CMJ renouvelle son «troc BD» avec cette année la parti-cipation de l’association Bibliothèques Sans Frontières(BSF). Vous pourrez échanger vos anciennes BD ou man-gas contre des nouvelles, acheter une citronnade (recettesreversées à BSF), découvrir l’association ou faire un don.Retrouvez le stand au 2e étage de l’Hôtel de ville.

toute la ville !

AUTOUR DE LA BD… Une programmationexceptionnelle

A l’école Jules-Ferry, lesélèves de CM2A ont tra-vaillé 6 semaines à adap-ter le roman Thésée et leminotaure de la roman-cière Hélène Montardre.Cette BD collaborativetrès bien documentéevous raconte l’histoire decette fresque mytholo-gique bien connue detous. Une BD à feuilleterlors du festival.

Programme complet dans vos boîtes auxlettres et sur le site spécial du festival BD : bois-colombes.com/festival BD

Agence de Bois-Colombes

7-JBC131-ZOOM_COUV 54 02/04/2019 15:21 Page3

Les groupes politiques représentés au Conseil municipal ont la parole…

LISTE Bois-Colombes ensemble / 30 élus

LISTE A gauche pour Bois-Colombes / 1 élu

Ce 3 mars, le Parisien titrait : « La construction de la gare du Grand ParisExpress vire au casse-tête » : 17 ans de retard supplémentaires pour la ligne15 Ouest ! De qui se moque-t-on ? Cette ligne qui aurait dû ouvrir prochainement est retardée sine die. Il estbien évident qu’étant donné l'ampleur du chantier, des retards étaient prévi-sibles. Mais il ne s'agit plus de retards d'exécution mais de retards de concep-tion et de réflexion. En effet, quand on lit que l'emplacement de la gare de la Défense n'est pasdéfini et que les appels d'offre vont être modifiés avant d’être lancés, on peuts'interroger sur la compétence de la Société du Grand Paris à mener à bience pour quoi elle a été créée. De plus, le supermétro a été pensé et évaluéau vu des besoins de l’époque… qui augmentent avec le temps sans quel’on sache si cela est pris en considération. Pendant ce temps, les Franciliens, privés d'un moyen de transport devant per-mettre de réduire les flux de circulation automobile et de désengorger les

transports existants, continuent de subir les trains parfois obsolètes et sou-vent bondés et les effets de la pollution automobile.A Bois-Colombes, notre cœur de ville a été vidé dans la précipitation en prévi-sion des travaux à venir : la place de la Résistance désertée, les boutiquesfermées et les immeubles évacués. Pendant encore 20 ans ? Cela est inenvisageable. La SGP a, sous la pres-sion des municipalités, décidé de louer, au moyen de baux précaires (auxconditions drastiques dont l’obligation de devoir déménager sous un mois encas de reprise des travaux), une partie des logements et des commercesvides. Hélas, pas pour les Bois-Colombiens : les logements ont été louésavant que les habitants de notre ville puissent candidater. Quant aux commerces, visiblement, ils doivent aussi répondre à des condi-tions assez opaques. Afin d'éclaircir tous ces dysfonctionnements, Chan-geons d'èRe demande un audit complet, impartial et public du fonctionne-ment de la SGP.

Une centaine de personnes a participé au « Grand débat », organisé par la ville deBois-Colombes le 20 février dernier. Monsieur le Maire a introduit la réunion enindiquant sa volonté d’offrir ainsi un espace de liberté de paroles, de propositions,de débat d’idées et en a confié ensuite l’animation à M. Jean-François FABA,membre du Centre 72 de Bois-Colombes. Dans un esprit républicain et une ambiance respectueuse de la parole de chacun,les participants ont pu s’exprimer sur le thème de leur choix. Sur l’organisation de l’État, de nombreuses propositions ont été faites, notam-ment le renforcement de l’exécutif local, la réduction du mille-feuilles territorial, lerétablissement de la confiance dans les élus par une meilleure connaissance deleur rôle et également par leur exemplarité, la création d’un « congé-élection » pourpermettre aux citoyens de s’engager dans une campagne… Les services publics,plébiscités lorsqu’ils sont proches des citoyens et mutualisés, se voient repro-cher la dématérialisation systématique.Les dépenses publiques ont fait l’objet de nombreuses propositions de réduction,notamment en suivant les préconisations de la Cour des Comptes ou des rap-ports d’experts. En matière de fiscalité, tous souhaitent renforcer les moyens delutte contre la fraude fiscale, la suppression des niches fiscales ; plusieurs per-sonnes ont proposé l’imposition sur le revenu pour tous, même les plus modestes. La démocratie et la citoyenneté ont été ensuite abordées, plus particulièrementsous l’angle du lien social, familial et intergénérationnel, du renforcement de lasolidarité et de la fraternité. La demande de prise en compte du vote blanc etl’instauration du vote obligatoire ont également été soulevées.Les propositions sur le thème de la transition écologique ont été nombreuses,bon nombre de participants souhaitant que la France soit moteur en la matière et

rappelant parallèlement que la mobilisation de chacun au quotidien, en commen-çant par les plus petits gestes, est essentielle. Les campagnes de sensibilisationdoivent être renforcées notamment en direction des adultes, « génération du toutjetable », les jeunes étant souvent plus sensibilisés et un exemple à suivre. Deuxlycéens d’Albert-Camus ont présenté les décisions prises lors du Grand débatqu’ils ont organisé et qui sont en cours d’application : suppression du plastique àla cantine, lutte contre le gaspillage alimentaire, installation de nouvelles pou-belles, engagement à se rendre au lycée à pied ou en vélo… D’autres questions ont été librement abordées, bien que ne faisant pas partiedes thèmes officiels du Grand débat, particulièrement l’emploi, la formation et lesretraites. Certains intervenants ont déploré l’inadéquation « formation profession-nelle / études » et « marché du travail », soulignant qu’elle est une raison au chô-mage des jeunes. A ce sujet, l’expérience « Territoire Zéro chômeur » a été pré-sentée et a suscité l’intérêt du public. La question des retraites a fait l’objet deplusieurs interventions, tant sur le plan du « coût » et du financement possibledes différents régimes que sur celui du rôle social et financier des retraités (sou-vent soutiens financiers de leurs enfants et petits-enfants).Enfin, deux jeunes femmes ont également souhaité rappeler qu’il faut une poli-tique familiale forte pour soutenir les jeunes ménages et que les actions de sou-tien à la parentalité doivent être développées dans un monde où il est de plus enplus difficile d’être parents.Toutes les propositions et constats peuvent être retrouvés plus en détails sur lapage du site internet du Grand débat, en souhaitant maintenant que cette mobili-sation des Français soit suivie d’effets et que les propositions débattues ne som-brent pas dans l’oubli.

LISTE Bois-Colombes 2008 changeons d’èRe / 4 élus

TRIBUNE LIBRE

A l’heure où nous imprimons, le texte de la liste À gauche pour Bois-Colombesne nous est pas parvenu.


!

8-JBC131-TRIBUNE.qxp_COUV 54 02/04/2019 18:19 Page2


Questionnaire sur la zone à faibles émissions

Votre avis nous intéresseLa Métropole du Grand Paris envisage d’interdire la circulation des véhi-cules disposant d’un macaron Crit’Air 5 en juillet 2019 pour aller jusqu’àune interdicion des macarons Crit’Air 2 en 2024 dans les communescomprises dans le périmètre de l’A86. Qu’en pensez-vous ?

q favorableq défavorableq ne se prononce pas

Êtes-vous propriétaire d’un véhicule ?q ouiq non

Si oui, merci de préciser le type de votre vignette Crit’Air : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Êtes-vous favorable :q à une interdiction générale des véhicules de plus de 10 ans ?q à une interdiction générale des véhicules de plus de 20 ans ?q à une limitation de cette interdiction aux périodes

de pic de pollution ?q autre (préciser) : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Si cette mesure est appliquée, pensez-vous qu’elle :q devrait être limitée au périmètre intérieur de l’A86q inclure également l’A86

Ce questionnaire peut être déposé à l’accueil de l’Hôtel de ville 15, rue Charles-Duflos, avant le 10 mai. Vous pouvez répondre également en ligne surwww.bois-colombes.com ou renvoyez le questionnaire par voie postale : Mairie de Bois-Colombes 15, rue Charles-Duflos 92277 Bois-Colombes Cedex

En Île-de-France, les recom-mandations de l’Organisa-tion Mondiale de la Santéen matière de qualité de l’airsont régulièrement dépas-sées. Fin 2018, les élus dela Métropole du Grand Parisont voté la création d’uneZone à faibles émissions(ZFE) à l’intérieur du péri-mètre de l’A86. Il est évi-dent qu’il faut lutter contrela pollution atmosphériquemais la première mesureenvisagée − la restrictionde circulaton des véhiculesCrit’Air 5 et non classés àpartir du 1er juillet 2019 −ne cible que les voituresalors qu’il faudrait s’atta-quer à d’autres sources depollution aux impacts avé-rés : le chauffage urbain, lesactivités industrielles, letransport aérien...

Il conviendrait égalementd’augmenter les aides pourchanger de véhicule. A Bois-Colombes, 1 264* véhi-cules seraient concernés(crit’air 5 ou non classés).Enfin, il s’avère essentieldans la lutte contre la pol-lution atmosphérique dedévelopper les transportsen commun plus propresnotamment en tenant lesdélais pour le Grand ParisExpress. C’est pourquoi, dans l’im-médiat, la ville de Bois-Colombes ne prendra pasd’arrêté pour les restric-tions de circulation et invi-te les habitants à donnerleur avis sur la ZFE à l’ai-de du questionnaire ci-dessous ou sur le site bois-colombes.com.* Chiffres du parc roulant immatriculéen janvier 2019 (source : ministère dela Transition écologique).

La zone à faibles émissions,pourquoi cibler seulement les voitures ?

Interdiction des voitures Crit’Air 5 au 1er juillet 2019

Les élus de la Métropole du Grand Paris ont institué une zone à faibles émissions à l’intérieur du périmètre de l’A86 dont fait partie Bois-Colombes. A charge mainte-nant pour les maires d’interdire ou pas les véhicules Crit’Air 5 à partir du 1er juillet 2019. Pour le maire de Bois-Colombes, Yves Révillon, la lutte pour la préservation del’environnement est une évidence mais devrait d’abord passer par la limitation d’autres sources de plus grande pollution. Le maire se montre très réservé sur cettemesure compte tenu des délais et des impacts sur la population. Surtout, cette mesure ne s’attaque pas au fond du problème de la pollution en Île-de-France. Et vous qu’en pensez-vous ?

FOCUS

QUALITÉ DE L’AIR

!

8-JBC131-TRIBUNE.qxp_COUV 54 02/04/2019 18:19 Page3


AUTOUR

DE CHEZ NOUSL’INFO DU DÉPARTEMENT PETITES ANNONCES

Dame retraitée s’occupe chezvous de vos chats (nourriture,bac, caresses) quelques joursWE/vacances. Tél. : 01 47 8246 17. ● Vends une tapisseriede Bayeux (original avec certi-ficat d'authenticité). Tél. : 0605 64 59 99/06 11 38 86 34. ● Dame avec voiture proposeses services d’accompagne-ment de personnes âgées,courses, hôpital, gare, méde-cin, cimetière, etc. Propose éga-lement de la compagnie (sor-tie, lecture, etc.). Tél. : 06 2554 70 90. ● Vends congélateur,téléviseur, vêtements et chaus-sures homme, une SEGA MegaDrive avec cassettes (adulteset enfants). Prix à débattre.Tél. : 09 82 41 72 68/06 48 17 54 87.

Vous pouvez aussi déposer vos annonces

sur la plateforme“Entre Bois-Colombiens”: bois-colombes.etyssa.com(accessible depuis le sitewww.bois-colombes.com)

LA MAÎTRISE DES HAUTS-DE-SEINE RECRUTE

La Maîtrise des Hauts-de-Seine, en résidence à la SeineMusicale (Boulogne-Billancourt) accueille 650 chanteurs de5 à 25 ans. C’est notamment le chœur d’enfants officiel del’Opéra national de Paris.Comment entrer à la maîtrise des Hauts-de-Seine ?L’entrée se fait sur simple audition, sans formation ni aucu-ne préparation préalable. Il vous suffit pour cela de remplirune demande d’audition en ligne.A quelle période ont lieu les auditions ?Elles se terminent fin juin et se déroulent le mercredi après-midi ou le soir après 18h à la Seine Musicale.A partir de quel âge puis-je inscrire mon enfant ?Pour le chœur d’enfants, vous pouvez inscrire vos enfants àpartir de 5 ans. Les garçons sont acceptés en audition jus-qu’à l’âge de 11 ans et les filles jusqu’à l’âge de 13 ans.Pour l’ensemble vocal féminin, les jeunes filles peuvent s’ins-crire entre 15 ans et 20 ans. Pour le chœur Unikanti, gar-çons et filles peuvent s’inscrire à partir de 16 ans, mais ilsdoivent avoir déjà bénéficié d’une solide expérience de chœur.lamaitrise.com

Publicité

UNE COURSE POUR LUTTER CONTRE LE CANCER

Vendredi 24 mai aura lieu la 2e édition de la course solidaire"Enfants sans cancer City" sur le parvis de La Défense organiséepar l'association Imagine For Margo. Renseignements et inscrip-tions sur www.enfantsanscancer-city.com

LE TIMBRE FISCALÉLECTRONIQUE Il est désormais obligatoirepour toutes vos démarches :passeport, renouvellementpour perte ou vol de cartenationale d'identité ou depermis de conduire, permisbateau, délivrance d'un titre deséjour, attestation d'accueil,visa long séjour valant titre deséjour et naturalisation.Depuis un smartphone, unetablette ou un ordinateur, vouspouvez l’acheter sur le sitetimbres.impots.gouv.fr

INSER’TOIT CHERCHE DES BÉNÉVOLES POUR DES COURS D’ALPHABÉTISATIONL’association Inser’toit accompagne les personnes en grandedifficulté familiale, sociale et professionnelle dans les Hauts-de-Seine. Certains freins d’accès à l’emploi sont notamment liés aufaible niveau de français. L’association recherche des bénévoles pour dispenser des coursde français (différents niveaux) tout au long de l’année (coursindividuels et/ou collectifs) dans ses locaux à Colombes.4, boulevard Edgar-Quinet à Colombes - https://insertoit.org

DÉPLOIEMENT DE LA 4G :INTERFÉRENCE POSSIBLEAVEC LA TNT

La 4G (la 4e génération deréseau mobile) est en cours dedéploiement en France. Lesbandes de fréquencesutilisées par ce nouveauréseau étant proches de cellesde la TNT, des perturbationspourraient se produire chezceux qui reçoivent la télévisionpar l’antenne râteau. Si c’estle cas, vous pouvez appeler le0970 818 818 (appel nonsurtaxé) ou vous connecter surassistance.recevoirlatnt.fr.LE DÉPARTEMENT CRÉÉ SON "CURIOUS LAB’"

Covoiturage, troc, échange de véhicules… l’économie colla-borative, basée sur le partage et favorisée par le numérique,fait partie de notre quotidien. Afin d’encourager les initia-tives sur son territoire, le Département a organisé mardi 19mars, les premières Journées de l’innovation collaborativeà l’Alternatif, espace culturel de Paris La Défense. C’est làqu’a été lancé le premier «Curious Lab'» par lequel le Dépar-tement souhaite mettre en relation des communes avec desétudiants alto-séquanais. Objectif : les faire cogiter sur lespratiques de demain en matière d’urbanisme, d’aménage-ment, d’action sociale ou encore de mobilité. http://www.hauts-de-seine.fr/curiouslab

IMPÔTS : UN ACCUEILPERSONNALISÉ Depuis janvier, pour êtreplus effiace dans lesréponses apportées auxusagers, un nouvel accueilpersonnalisé est mis enplace sur rendez-vous auCentre des financespubliques de Colombes :5, rue du Bournard.Pour prendre rendez-vous,connectez-vous sur le siteimpots.gouv.fr, à larubrique «contact», ou partél. au 01 46 13 65 99, oudirectement au guichet ducentre des financespubliques de Colombes.

9-JBC131-AUTOURDENOUS.qxp_COUV 54 02/04/2019 13:45 Page2


PHARMACIES DE GARDE

AVRIL07 —PHARMACIE DU CENTRE8, avenue d’ArgenteuilAsnières14 - PHARMACIE DE LA STATION2, rue Maurice-BokanowskiAsnières21 — PHARMACIE SANTÉ ET RÉUSSITE52, rue P.-Brossolette Asnières22 — PHARMACIECENTRALE3, avenue GambettaBois-Colombes28 — PHARMACIECOLLANGE51, rue de la Comète - Asnières

MAI01 — PHARMACIE BOUSSIRON3, pl. des Victoires - Asnières05 — PHARMACIEDJAFFARDJEE62, bd Voltaire - Asnières08 — PHARMACIE ZIBI178, bd Voltaire - Asnières

Dates sous réserve de changement. Consultez aussi le sitemonpharmacien-idf.fr ou appelez le commissariat de Bois-Colombes (01 56 83 75 30). Pour les urgences, faites le 15.

12 — PHARMACIE DRIGHES126, avenue d’ArgenteuilAsnières19 — PHARMACIEDU MARCHÉ2, rue d’Estienne-d’OrvesBois-Colombes26 — PHARMACIEFLAMBEAUX2, rue Denis-Papin - Asnières30 — PHARMACIEDES BOURGUIGNONS145, rue des BourguignonsBois-Colombes

JUIN02 — PHARMACIE JEHL5, rue Henri-Martin - Asnières09 — PHARMACIEDU PONT D’ASNIÈRES23, grande-rue Charles-de-Gaulle - Asnières

LA GENDARMERIE AIDE LES JEUNES BOURSIERS À PASSER LES GRANDS CONCOURS DE L’ÉTATLa classe préparatoire intégrée de la Gendarmerie nationale(CPIGN) est un dispositif créé dans le cadre de l'égalité deschances. Il offre la possibilité à 10 hommes et 10 femmes (âgésde moins de 26 ans, étant ou ayant été boursiers ou demandeursd'emploi, ou résidant dans un quartier sensible) de se préparerau concours d'officier de gendarmerie et à d'autres concours decatégorie A (ENM, Police nationale, IRA, douanes, etc.) tout enétant rémunérés et hébergés gratuitement par la Gendarmerie.Dépôt des dossiers jusqu’au 15 mai.Rens. au CIR de Paris : 12, pl. de la République à Paris.01 85 56 25 53 / [email protected]

«LE BAIL MOBILITÉ», UN DISPOSITIF PLUS SOUPLE POUR LES LOGEMENTS MEUBLÉSInscrit dans la loi Elan, le bail mobilité est un bail de 1 à 10 moispour les logements meublés. Plus court, plus souple et plusflexible, il s’adresse à tous ceux qui sont en stage, étude oumission temporaire et qui ont besoin d’un logement sur une duréecourte et limitée. bail-mobilité.gouv.fr

CAMPAGNE D’INFORMATIONDE MÉDECINS DU MONDEL’association Médecins du Monde iraà la rencontre des Bois-Colombiens du 29 avrilau 11 mai. medecinsdumonde.org

A COLOMBES, DÉCOUVREZ L’ATELIER «M COMME MARIE»

L’Atelier «M comme Marie», àColombes, réalise pour sesclients des modèles de vête-ments sur mesure, dans le tissude leur choix pour une pièceunique. Des accessoires sontaussi en vente à l’atelier.15, place Henri-Neveu à ColombesTél. : 01 47 80 74 53.

RENDEZ-VOUS AUX JARDINSLa 17e édition de la manifestation «Rendez-vous aux jardins» auralieu vendredi 7, samedi 8 et dimanche 9 juin, sur le thème desanimaux au jardin, afin de réfléchir aux rapportsque l'homme entretient avec son environnementet avec la biodiversité. Le programmesur rendezvousauxjardins.culture.gouv.fr

LA NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES

Samedi 18 mai, direction lesmusées de Paris et d’Île-de-France à l'occasion de la Nuitdes Musées 2019. L’objectifest de faciliter l'accessibilitéde la culture à tous les publics.L’an dernier, en 2018, cettemanifestation a attiré plus de2 millions de visiteurs enFrance dans les 1 800musées participants.nuitdesmusees.culture.gouv.fr

INSEE : UNE ENQUÊTE PRÉVUE ENTRE AVRIL ET JUIND’ici fin juin, l’INSEE (Institut national de la statistique et desétudes économiques) mène une enquête sur les ressourceset les conditions de vie des ménages. Si vous faites partie despersonnes sélectionnées à Bois-Colombes, vous serez prévenuspar courrier et les enquêteurs seront munis d’une carte officielle.insee.fr

4L TROPHY : FANNY ET RAPHAËL REMERCIENTTOUS CEUX QUI LES ONT SOUTENUSNous vous en parlions dans le JBC de l’été 2018 : Fannyet Raphaël ont participé au 4L Trophy. Un grand merci àtous leurs soutiens !

Plus de photos sur www.bois-colombes.com

9-JBC131-AUTOURDENOUS.qxp_COUV 54 02/04/2019 13:45 Page3

NAISSANCES

Yves Révillon et toute l’équipe municipale partagent la peine de la famille de :

Éléonore BOULDOIRESGabin COUTAULT YVONRafaël VINCENT MARTINSSandro FORTE ROBIN Juliette LESCUREMarin BAZELLELéonie ALEXIsaac BOUGHERFAHugo CECILIE BRASAmbre XERRIIsaure BOURGEOIS

Jawad ARAARLilya MAKHLOUFI BOUCHAMIVictoria LEMARRESixtine DAVAUDETRoméo PITOUNaël SEERUTTUNJashwin THANARAJMarceau BIOCHEAriane GAILLARDÉva et Klara MILOJKOVICZélie LÉPÉE

Yves Révillon et toute l’équipe municipaleadressent leurs sincères félicitations à :

Yves Révillon et toute l’équipe municipale souhaitent la bienvenue à :

Bouthaina ARFAOUI et Sofiane ADDA

MARIAGES

Victoria née le 16 février 2019

Monique COISPELDiv. POTIER

Paul ZIMMERMANN

Éléonore HUFSCHMITTVve LATZARUS

Axelle HAMREDiv. MADOUR

Colette TEINTURIERÉp. LÉTANG

Grégoire ANANIKIAN

Marguerite LECOURTVve MITULLA

Paulette CHAMBROTVve CABROL

Catalina GONZALEZGARCIAVve SUAREZ GUTIERREZ

Renée DUBOISVve CHEVAUDONNAT

Monique MAGNATÉp. JOIE

Jacques MAILLET

Claude AUCLAIR

Jocelyne LE CLAINCHEVve MAGRINI

Agnès CLERET

Abdallah ALIAT

Rolland TUAILLON

Yves-Luc BOTHOREL

Rose BIZZARIVve DAHAN

Claudine CAZAUXÉp. FAUREL

Madeleine DAVIDÉp. GAUME

Paulette ROUILLERDiv. DUGAL

Fabienne CHAMBAULT

Jeanne FIARDVve DACHOT

Wissal KOUTBIVve EL RIFAI

Marinette CAU TROCHOU

Nelly CHAMEAUXVve ZELMANSE

Marcel VOYER

Sandrine LE NYÉp. GUILLERM

MABANZA LUBAKI

Jean POGGI

Jeanne LAURENTDiv. LÉGER

Nassim ADIL

Fernande COUTON

Liliane MILLIENSVve VILLARD

KarthikaSHANMUGANATHAN

Anne BRUVve ROUCHÉ

Claude BIDAUD

Yvonne BLUMENZWEIGDiv. MULLER

Patrick CAMEL

Jeannine FENONJOIS

Chantal SAILLARDVve FOURNIER

Lucienne DAUDINVve AUBERTIN

Muller José PITRE

DÉCÈS

TRISTESSE

Vous voulez voir la photo de votre nouveau-né ou celle de votre mariage dans le journal ?

Envoyez-nous vos meilleurs clichés sur [email protected]

Claude BIDAUDDécédé à l’âge de88 ans le 24février, ClaudeBidaud a marquéune génération de

jeunes Bois-Colombiens. Il fut direc-teur de l’école Paul-Bert A de 1970 à1993. Originaire de Normandie, il avaitdécidé de rester à Bois-Colombes poursa retraite. Toutes nos condoléancesà son épouse Marie-Édith, à sesenfants et à tous ses proches.

Micheline ECHEC’est avec tristes-se que nous avonsappris le décès deMicheline Eche. Tré-sorière de l’Institut

pour la Promotion des Arts (IPA), elleparticipait activement à la vie de l’as-sociation, notamment pour l’organisa-tion des expositions, avec son mari Ber-nard Eche qui en est le secrétaire. Elleétait malade depuis plusieurs années.Que sa famille et ses proches reçoi-vent nos plus sincères condoléances.

Publicité

ÉTAT CIVIL

Roméo né le 25 février 2019


© Ch. Perruco

n mairie

Asn

ieres

10-JBC131-ETATCIVIL.qxp_COUV 54 02/04/2019 13:42 Page2

Dimanche 19 mai 2019de 10h à 19h place de la RépubliqueAnimations, jeux, ateliers, spectacles…

BOIS-COLOMBESVILLE

DE

bois-colombes.com

Hôtel de ville15, rue Charles-Duflos92270 Bois-ColombesTél. : 01 41 19 83 00

11-JBC131-342COUV.qxp_COUV 54 01/04/2019 16:38 Page1

13 et 14 avril 20197e Festival BD Dans les salons

de l’Hôtel de villeet à la salle Jean-Renoir

Renseignements :01 41 19 83 72

BOIS-COLOMBESVILLE D

E

de 10h à 18hbois-colombes.com/festivalBD Flashez-moi pour accéderdirectem

ent au site

Avec nos partenaires

Agence de Bois-Colombes

11-JBC131-342COUV.qxp_COUV 54 01/04/2019 16:38 Page2

Trois présidents de territoire s’engagent contre les ...Lire la présentation en page 3 et...

Documents

Transcript of Trois présidents de territoire s’engagent contre les ...Lire la présentation en page 3 et...