TOUS MÉCÈNES - Médiaterranée

TOUS MÉCÈNES !DEVENEZ MAÎTRE D’ŒUVRE D’UNE ŒUVRE

Le musée Réattu lance sa première campagne de financement participatif pour la restauration d'une peinture majeure de François-Xavier Fabre :La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert.

DOSSIER DE PRESSESeptembre 2014

François-Xavier Fabre, La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert, 1790-1791, huile sur toile, 245,5 x 200 cm, Arles, musée Réattu © I. Foriel-Destezet

TOUS MÉCÈNES !DOSSIER DE PRESSESeptembre 2014

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SOMMAIRE

Le mot de Pascale Picard, directrice du musée Réattu p. 4

Christian Lacroix, un parrain sur mesure p. 5

Le musée Réattu, c'est... Une histoire riche, un patrimoine exceptionnel p. 6

Le musée Réattu, c'est... Des expositions prestigieuses p. 7

Présentation de l'opération "Tous mécènes !" p. 8

L'histoire du tableau, François-Xavier Fabre p. 9

L'histoire du tableau, La Prédication de Saint Jean-Baptiste p. 10

L'histoire du tableau, Une restauration vitale p. 11

"Tous mécènes !", objectif et durée de l'opération p. 12

Avantages et privilèges accordés aux mécènes p. 13

Visuels pour la presse et conditions d'utilisation p. 14

Informations pratiques p. 15

Bulletin de soutien p. 16


LE MOT DE LA DIRECTRICE

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ENTREZ DANS L’HISTOIRE DU MUSÉE RÉATTUDEVENEZ MAÎTRE D’ŒUVRE D’UNE ŒUVRE !

Aujourd'hui des dispositions fiscales avantageuses permettent aux musées de développer des partenariats économiques avecles individus, comme avec les entreprises, afin de nourrirune politique culturelle dynamique auprès d'un public grandissant, toujours plus attaché à son patrimoine muséal.

Dans ce contexte, le musée Réattu lance son premier appelau financement participatif autour de la restauration fondamentale d’une œuvre emblématique de ses collections.Tous mécènes ! Devenez maître d'œuvre d'une œuvre ! permetaux contributeurs de décupler l'engagement public, en investissant dans un ambitieux programme qui contribue à la sauvegarded'un trésor redécouvert : La Prédication de Saint Jean-Baptistedans le désert, une peinture d'histoire de grand format exécutéepar François-Xavier Fabre (1766-1837).

Le financement participatif est assorti de contreparties fiscalesqui laissent le choix à chacun d'affecter directement son impôtà un projet culturel, tout en bénéficiant d'un accès privilégiéaux collections du musée.Qu'il s'agisse de particuliers, représentants de fondations, de PME ou de grands groupes, nous proposons d'investir dans le musée de demain et d'associer chacun à son rayonnement. Ne soyez plus visiteur mais acteur du musée Réattu pour un partage durable et toujours plus large de nos trésors artistiques.

Nous comptons sur les professionnels de l'information pour être,plus que de simples relais, de véritables alliés dans cette campagne.

Pascale PicardDirectrice du musée Réattu


LE PARRAIN DE L’OPÉRATION

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CHRISTIAN LACROIX,UN PARRAIN SUR MESURE

« Je me souviens des vestiges des bombardements autour du navire minéral échoué que me semblait être le musée, dans l’alignement des quais d’Arles. De Trinquetaille où je suis né, il m’évoquait, avec les clochers désaffectés, un squelette de mâchoires. C’est là que mes parents, au milieu des années 1950, m’ont emmené voir ma première exposition Picasso. De ce jour, j’ai su que l’art appartenait à la vie […] Au fil du temps, le musée me devenait plus familier et m’invitait à pousser plus librement d’autres portes, jusqu’à pénétrer salles et chapelles vides, jusqu’aux créneaux derrière lesquels nous venions parler, lire, embarquer nos adolescences, comme si la nacelle de ces terrasses pouvait s’élever vers la réalité de mondes et de temps fantasmés. Ce qui eut lieu, je m’en rends compte aujourd’hui où je reviens presque en fils prodigue vers ce port d’attache, cette « fusée porteuse », cette rampe de lancement, ce palais où retrouver les trésors familiers, enrichis de nos découvertes ». (C.L., octobre 2007)

Écrites par Christian Lacroix pour le catalogue de l’expositionMusée Réattu / Christian Lacroix dont il fut le commissaireet scénographe en 2008, ces quelques phrases suffisent à traduire le profond attachement du créateur pour l’ancien Grand Prieuréet ses collections. Il revint d’ailleurs en 2012 (année placée sousle signe du théâtre) dans un face-à-face avec son idole Picasso, faisant dialoguer ses plus beaux costumes de théâtre et d’opéraavec les 57 dessins donnés par l’artiste en 1971.Présent dans les collections grâce aux sept toiles de robeshaute-couture qu’il a offertes au musée – exposées aujourd’hui face à une de ses œuvres favorites, L’atelier de couture à Arles d’Antoine Raspal –, Christian Lacroix s’engage une fois encore aux côtésdu musée en acceptant d’être le parrain de la grande opération "Tous mécènes!". Artiste aux multiples talents – couturier, designer, scénographe... –, c’est aujourd’hui celui qui se rêvait conservateur et qui étudia l’histoire de l’art, qui souhaite soutenir cette recherche de mécénat, indispensable à la sauvegarde de ce tableau d’exception.

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PRÉSENTATIONDU MUSÉE

LE MUSÉE RÉATTU, C'EST...UNE HISTOIRE RICHE, UN PATRIMOINE EXCEPTIONNEL

Construit à la fin du XVe siècle dans un tête-à-tête magique avec le Rhône, le Grand Prieuré de l’Ordre de Malte doit sa destinée à Jacques Réattu (1760-1833), peintre arlésien et Grand Prix de Rome, qui en fit sa maison, son atelier et le laboratoire de ses rêves. Porté par le désir que lui inspiraient les lieux, Jacques Réattu imagina même y accueillir en résidence des artistes, pour leur offrir la lumière et l’ampleur du paysage ; en somme 60 ans avant l’heure, l’idée même de “l’Atelier du Midi” qui hantera Van Gogh.

Devenu musée en 1868, l’édifice conserve toute l’œuvre et la collection personnelle de Jacques Réattu, dont un extraordinaire portrait de Simon Vouet.

Ouvert à la photographie dès les années 1960 (plus de 4000 œuvres aujourd’hui), le musée s'est enrichi au fil du temps grâce à des dons d’exception :

Pablo Picasso offre ainsi en 1971 cinquante-sept dessins, vite rejoints par deux peintures exceptionnelles : le portrait de la mère de l'artiste (Maria Picasso Lopez, 1923) et celui de Lee Miller en Arlésienne (1937) ; ou encore Pierre Alechinsky, avec Soleil tournant (1987) ou la série des Al Alimón (œuvres réalisées à quatre mains avec le mexicain Alberto Gironella en 1980-81).Très sensible à la sculpture - Germaine Richier, Ossip Zadkine, Toni Grand... -,le musée a également initié en 2008une collection d’art sonore.

Véritable lieu de confluences, pratiquantla commande aux artistes et le mélange des disciplines, le musée propose des expositions thématiques et des accrochages renouvelés pour découvrir l’art autrement.

La façade du musée, côté Rhône © F. Deladerrière

Jacques Réattu, Autoportrait, 1785 (détail)

Une gargouille du Grand Prieuré © C. Clier

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PRÉSENTATIONDU MUSÉE

LE MUSÉE RÉATTU, C'EST...DES EXPOSITIONS PRESTIGIEUSES

2008 – Musée Réattu / Christian LacroixCarte blanche à Christian Lacroix, qui, adolescent, avait fait du Réattu la raisonde ses écoles buissonnières. Une sortede grand atelier vivant, où les collectionsdu musée répondaient aux œuvres d’artistes invités et au foisonnement des créations de Lacroix (toiles, costumes et haute couture), qui signait également une scénographie originale (moquettes, murs, accrochage).

2012 – Acte V / Les Picasso d'Arles / Invitation à Christian LacroixAu cœur de ce parcours placé sous le signe du théâtre, apparaissent des œuvres majeures, empruntées à Pierre Alechinsky ou à Javier Pérez. Au printemps, un nouvel éclairage est porté sur la collection Picasso, et Christian Lacroix fait son retour au musée, cette fois dans son rôle de costumier.Il présente quelques-unes de ses plus belles créations pour la scène.

2013 – NuageL’exposition, reconnue d'Intérêt national et coproduite par la Ville d’Arles et Marseille-Provence 2013, Capitale Européennede la Culture, a réuni plus de 120 œuvres,de 57 artistes. Parmi eux : Arp, Warhol,Man Ray, Dora Maar, Weston, Abramovic, Jaume Plensa... mais aussi une météorite,une pierre de méditation et une racine...

2014 – Les Clergue d’ArlesL'exposition, intégrée au Rencontres d'Arles, présente les 360 photographies, héliogravures et documents que Lucien Clergue a choisi d’offrir au musée, au gré des temps forts de sa carrière. Un parcours qui célèbre tout à la fois l’homme, l’œuvre et l’histoire d’une discipline artistique, en rendant hommage au fondateur du département photo du Réattu, des Rencontres d'Arles et de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie.

Vue de l’exposition Musée Réattu/Christian Lacroix, 2008 © O. Amsellem

Affiche de Acte V, Scènes 2 & 3

© Succession Picasso 2014

Vue de l’exposition Nuage, 2013 © C. Clier

Lucien Clergue, Née de la vague n° 31, 1968 (détail) © L. Clergue

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PRÉSENTATIONDE L'OPÉRATION

TOUS MÉCÈNES !DEVENEZ MAÎTRE D'ŒUVRE D'UNE ŒUVREUN PROJET DE GRANDE ENVERGURE

Le musée Réattu lance une grande campagne de restauration, afin de sauvegarder ce tableau de grand formatde François-Xavier Fabre : La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert, réalisé entre 1790 et 1791. Ce chef-d’œuvre du patrimoine arlésien est en danger.

Des travaux de restauration sont nécessaires pour pouvoir à nouveau le présenter au public lors d’une exposition prévue en 2017, qui sera l'évènement phare de l’année et

TOUS MÉCÈNES !

fera l’objet d’une demande de labellisation "Exposition d’intérêt national" auprès du Ministère de la Culture et de la Communication.

Cette exposition de grande envergure sera consacrée à l’artiste arlésien Jacques Réattu.

Vous découvrirez ou redécouvrirez l’artiste peintre, ses œuvres mais aussi les artistesqui ont inspirés ses travaux, notamment Fabre qu’il rencontra à Rome.

SAUVEGARDEZ UNE PEINTURE D'HISTOIRE EXCEPTIONNELLE

François-Xavier Fabre,La Prédication de Saint Jean-Baptiste

dans le désert, 1790-1791huile sur toile

245,5 x 200cm

Ouverte à tous, cette grande campagne de mécénat s'achèvera fin décembre 2014. Dons en espèces, en chèque à l'ordre des Amis du musée Réattu, ou surwww.mymajorcompany.com/museereattu-tousmecenes

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L'HISTOIRE DU TABLEAUFRANÇOIS-XAVIER FABRE (1766-1837)D’origine modeste François-Xavier Fabre reçoit une éducation classique soignée et fréquente les "Ecoles de la Société" qui ouvrent leurs portes en avril 1779. Il bénéficie du soutien du peintre montpelliérain Jean Coustou et surtout de l’appui financier de Philippe Laurent de Joubert (1729-1792), trésorier des Etats du Languedoc.En 1783 Fabre entre dans l’atelier de David à Paris sur recommandation de Joseph-Marie Vien. Il remporte le Grand Prix en 1787 avec Nabuchodonosor fait tuer les enfants de Sédécias sous les yeux de leur père devant Girodet, et gagne l’Académie de France à Rome où Jacques Réattu le rejoint en juin 1791, suite à son propre succès au Grand Prix de 1790.

Les événements politiques révolutionnaires vont bouleverser une carrière qui s’augurait prometteuse avec des commandes prestigieuses comme celle de Joubert pour la chapelle des Pénitents bleus de Montpellier en 1790, et son triomphe au Salon de 1791 avec La mort d’Abel et Suzanne et les vieillards. Début 1793, Fabre, Réattu et les autres artistes fuient Rome pour Naples après


dans le désert, 1790-1791 (détail)Huile sur toile, 245,5 x 200 cm

© I. Foriel-Destezet

la mise à sac de l’Académie puis gagnent Florence. À la différence de Réattu qui, marqué par l'idéologie révolutionnaire, rentre en France la même année, Fabre, hostile à la Révolution et fidèle à l’Ancien Régime, s’installe à Florence. Son ascension y fut rapide grâce au soutien de deux éminents personnages, le poète Vittorio Alfieri et son égérie, la comtesse d’Albany.

Fabre devient rapidement le portraitiste attitré de la haute société présente en Toscane. Après 1798, enraciné à Florence, il renonce à une carrière parisienne et se consacra de plus en plus à sa passionde collectionneur. En 1824, il hérite des biens de la comtesse, et songe à concrétiser son projet de faire don de sa collection à sa ville natale. Le musée y fut officiellement inauguré le 3 décembre 1828.

Fabre œuvra sans relâche jusqu’à sa mort en 1837 pour parfaire l’institution qu’il avait fondée, et qui réunissait un musée, une école de dessin et une bibliothèque, riche notamment du fameux fonds d’ouvrages provenant du poète Alfieri.

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L'HISTOIRE DU TABLEAULA PRÉDICATION DE ST JEAN-BAPTISTE DU MUSÉE RÉATTUEn 1790, Fabre reçoit de la part de Joubert la commande d'un tableau de "15 pieds sur 8"(soit 457 x 243 cm) pour la chapelle des Pénitents bleus de Montpellier. Le sujet est laissé à son libre choix, et Fabre s’arrête finalement sur le thème de La Prédication de Saint Jean- Baptiste.Il se met à la tâche et réalise une série de dessins préparatoires et d'esquisses (conservés au musée Fabre de Montpellier). Il commence également à réaliser le grand format (l’œuvre conservée au musée Réattu), mais la dissolution des compagnies religieuses et la mort de son mécène stoppent définitivement le projet en 1792.

C’est à cette période que Jacques Réattu entre en possession de l’œuvre ; il la conservera toute sa vie durant. Il lui accorde une importance toute particulière, en s’en inspirant directement pour l’une des ses dernières réalisations, La Résurrection d’Eutique, tableau conçu pour le cycle de l’église Saint-Paul de Beaucaire en 1829 en une sorte d'hommage au peintre montpelliérain.

Le tableau du musée Réattu est en fait un "fragment" (245,5 x 200 cm) de la

partie inférieure gauche du tableau final. Il semblerait que celui-ci ait été découpé, comme le laissent à penser les tracesde compositions qui se poursuivent en partie supérieure. Fabre avait accordé un soin tout particulier à cette partie du tableau qui regroupait les personnages les plus expressifs de la scène mais aussi ceux devant capter le regard du spectateur. Le nombre de dessins préparatoires (études de nu, de draperies…) confirme ce fait, et donne d’autant plus d’importance au tableau du musée Réattu, qui loin d’être un simple "fragment", est de fait la quintessence même de l’œuvre imaginée par Fabre.

Le caractère inachevé, nous ramenant inconsciemment à l’œuvre de Réattu, La mort d’Alcibiade, loin de desservir sa qualité artistique ne fait que la renforcer, inscrivant ce tableau au cœur de l’énergie créatrice du peintre. La valeur de l’œuvre est par ailleurs attestée par le fait qu’elle fut exposée dansles salles du musée Réattu et qu’elle bénéficia anciennement de restaurations (pose de pièces de toiles au revers pour réparer des déchirures, reprises de lacunes sur la couche picturale…).

Montage du tableau conservé au musée Réattu, avec vue d'ensemble du projet initial

de Fabre (esquisse conservée au musée Fabre de Montpellier)




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L'HISTOIRE DU TABLEAUUNE RESTAURATION VITALE

En 2013, une première intervention de conservation d’urgence pour stopper les dégradations risquant d’amener à terme à la destruction du tableau a été menée.Le constat d’état établi alors (soulèvements et lacunes au niveau de la couche picturale, déchirures multiples, déformations de la toile avec arrachement du châssis lui-même cassé…) montre bien la nécessité d’une restauration fondamentale de cette œuvre majeure pour les collections du musée.

Celle-ci concernera les points suivants :

- Support : Dépose de l'œuvre du châssis avec mise à plat des bords de tension et pose de renforts ; retrait des pièces au revers et de tout élément gênant la remise dans le plan du support ; traitement des accidents du support et des déformations ; doublagede la toile au revers.

- Couche picturale : Refixage généraliséde la couche picturale, retrait des anciennes retouches et repeints anciens, réintégration des zones lacunaires.

- Châssis : Remplacement du châssis existant par un châssis de restauration ; traitement préventif fongicide et insecticide ; mise en tension définitive sur châssis ; pose d'une protection des bords de tension et pose d'une protection de revers.

Elle sera menée par un restaurateur spécialisé, agréé par la Direction des musées de France sous le contrôle scientifique et technique du CICRP (Centre Interrégional de Conservation et de Restauration du Patrimoine), à Marseille.

François-Xavier Fabre,La Prédication de Saint Jean-Baptistedans le désert, 1790-1791 (détails)

Huile sur toile, 245,5 x 200 cm© I. Foriel-Destezet

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QUEL EST L'OBJECTIF ?Nous souhaitons avant tout sensibiliser les publics à la protection et à la sauvegardede leur patrimoine. Mobiliser des particuliers en tant que mécènes est un projet inédit pour le musée Réattu. Notre objectif final est de réussir à impliquer les publics dans la vie de leur musée sur le long terme. Faire appel aux particuliers comme aux entreprises est un choix, et si cette première édition de "Tous mécènes !" est couronnée de succés, elle sera renouvelée !

QUELLE SOMME FAUT-IL RÉCOLTER ?30 000 € sont nécessaires pourla restauration de l’œuvre deFrançois-Xavier Fabre.

QUELLE EST LA DURÉE DU PROJET ? QUI RÉCOLTE LES DONS ?Cette opération de récolte de fonds est ponctuelle. Vous avez jusqu’à la fin de l’année 2014 pour faire vos dons auprès de l’Association des Amis et Partenaires du musée Réattu, "Avec le Rhône en vis-à-vis". Cette association soutient le musée depuis bientôt une dizaine d’années en participant notamment à l'enrichissement des collections ou à l'organisation d'événements. Elle s'est donc imposée comme un partenaire évident pour ce projet. La totalité de la somme récoltée sera utilisée pour la sauvegarde de l’œuvre dans un premier temps et pour son exposition au musée Réattu dans un second temps. Le musée s'est également associéà la plateforme de crowdfundingMy Major Company.




Ouverte à tous, cette grande campagne de mécénat s'achèvera fin décembre 2014. Dons en espèces, en chèque à l'ordre des Amis du musée Réattu, ou surwww.mymajorcompany.com/museereattu-tousmecenes

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VISUELS POURLA PRESSE

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VISUELS POUR LA PRESSE

1. François-Xavier Fabre,La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert, 1790-1791.Huile sur toile, 245,5 x 200 cm.Arles, musée Réattu© I. Foriel - Destezet

2. François-Xavier Fabre,La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert, 1790-1791 (détail).Huile sur toile, 245,5 x 200 cm.Arles, musée Réattu© I. Foriel - Destezet

3. François-Xavier Fabre,La Prédication de Saint Jean-Baptiste dans le désert, 1790-1791 (détail).Huile sur toile, 245,5 x 200 cm.Arles, musée Réattu© I. Foriel - Destezet

Les documents de l’espace presse sont réservés aux journalistes et iconographes des médias qui en font la demande.Les documents, textes et images sont protégés par des droits d’auteurs. Les images doivent impérativement être reproduites intégralement, ne pas être recadrées et aucun élément ne doit être superposé, ceci dans un respect de l’œuvre originale. Les sites web ne peuvent reproduire les images dans une résolution supérieure à 72 dpi. Chaque photographie doit être accompagnée de sa légende et du crédit photographique appropriés.Toute autre utilisation, notamment commerciale, est formellement exclue. Toute reproduction totale ou partielle de ces documents à usage collectif est strictement interdite sans autorisation expresse de leurs auteurs. Le musée Réattu ne peut être considéré comme responsable de l’inexactitude des informations ni de l’utilisation qui en sera faite par les internautes. Ces visuels sont protégés par des droits réservés. Ils sont téléchargeables sur le site internet du musée si les conditions requises sont remplies : www.museereattu.arles.fr/presseToutes les images numériques fournies, ou pour lesquelles une autorisation a été donnée, seront détruites après l’utilisation précise pour laquelle les droits ont été acquis. Ces images numériques ne seront en aucun cas conservées dans quelque archive que ce soit, ni sur quelque support matériel, électronique, numérique ou autre, que ce soit.

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INFORMATIONSPRATIQUES

Musée des beaux-artsAncien Grand Prieuré de l’Ordre de Malte10 rue du Grand Prieuré 13200 ArlesAccueil-billetterie : 04 90 49 31 14Communication : 04 90 49 38 54Administration et réservation (groupes) :04 90 49 37 [email protected]

Horaires Du 1er mars au 31 octobre : 10h-18hDu 2 novembre au 28 février : 10h-17hOuvert du mardi au dimanche. Fermé le lundiFermé : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembreTarifs Tarif plein : 7€ / Réduit : 5€ / Arlésiens : 3€Gratuités et réductions sur justificatifs

INFORMATIONS PRATIQUESMUSÉE RÉATTUMusée des beaux-arts de la Ville d'Arles – Ancien Grand Prieuré de l’Ordre de Malte

10 rue du Grand Prieuré - 13200 ArlesAdministration : 04 90 49 37 [email protected]

www.museereattu.arles.fr

CONTACT MÉCÉNATANNE-SOPHIE DOUCET & PATRICIA SERRESCommunication musée Ré[email protected] 90 49 47 77 – 07 89 89 21 18

CONTACT PRESSEPASCAL SCUOTTOAttaché de [email protected] 11 13 64 48

POUR ENVOYER VOS DONSPAR CHÈQUE À L'ORDRE DE L'ASSOCIATION DES AMIS DU MUSÉE :AVEC LE RHÔNE EN VIS-À-VISà l'adresse suivante :Campagne "Tous mécènes !"Musée Réattu10 rue du Grand Prieuré 13200 Arles

OU EN LIGNE SUR LA PLATEFORME PARTICIPATIVEMY MAJOR COMPANY à l'adresse suivante :www.mymajorcompany.com/museereattu-tousmecenes

Les Amisdu musée Réattu

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