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FICHE 1 : LE VOCABULAIRE ÉCONOMIQUE LIÉ AU MARCHÉ DE L’EMPLOI
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Sur le marché de l'emploi, les professions et catégories socioprofessionnelles sont classifiées au sein d'une nomenclature établie par l'INSEE qui permet leur regroupement en huit grandes catégories (I).
Le marché du travail est également caractérisé par une segmentation croissante opposant un marché primaire composé d'emplois stables à un marché secondaire composé d'emplois atypiques (II).
Cette segmentation de l'économie est très largement due à la recherche d'une flexibilité croissante des entreprises qui souhaitent répondre à une demande croissante des clients, et toujours à moindre coût (III).
I- LES DIFFÉRENTES PROFESSIONS ET CATÉGORIES SOCIOPROFESSIONNELLES
La nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles dite PCS a remplacé, en 1982, la CSP (catégorie socioprofessionnelle). Elle classe la population selon une synthèse de la profession (secteur public / privé, secteur d’activité, importance de l’entreprise), de la position hiérarchique et du statut (salarié ou non).
Les critères de classement dans les PCS sont les suivants :
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Les critères de
classement
Le statut
Le secteur d'activité
Le niveau hiérarchique
Le secteur public/privé
L'activité professionnelle
L'importance de l'entreprise
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La grille des PCS comporte trois niveaux d'agrégation emboîtés :
Exemple : Détail pour les professions intermédiaires
Les professions
(486 postes)
Les groupes socioprofessionnels
(8 postes)
Les catégories socioprofessionnelles
(24 et 42 postes)
Les groupes socioprofessionnels sont les suivants :
Agriculteurs exploitants
Artisans, commerçants et chefs d'entreprise
Cadres et professions intellectuelles supérieures
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Retraités
Autres personnes sans activité professionnelle
Technicien dessinateur en bâtiment, géomètre, assistant technique,
technicien d'installation et maintenance...
Officier marinier, chef de chantier, chef boulanger, gérant de charcuterie, maître
de chai, chef de cuisine, brigadier...
Interprète, technicien commercial, secrétaire de direction, chargé de
clientèle...
Professeur des écoles, contrôleur des impôts, secrétaire administrative,
pasteur, prêtre, sage-femme, infirmier, kinésithérapeute, préparateur en
pharmacie...
Professions intermédiaires
Techniciens
Contremaîtres, agents de maîtrise
Professions intermédiaires administratives et commerciales
d'entreprises
Professions intermédiaires de l'enseignement, de la santé, de la
fonction publique et assimilé
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Pour mieux connaître les PCS, voici le lien sur le site de l'INSEE :
http://www.insee.fr/fr/methodes/default.asp?page=nomenclatures/pcs2003/liste_n1.htm
Évolution des professions et catégories socioprofessionnelles en France (en moyenne annuelle par milliers) :
Source : INSEE Janvier 2013
Indication de lecture : Le groupe des employés a les effectifs les plus importants aujourd'hui car il propose près de 7,3 millions d'emplois.
II- LA SEGMENTATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL
On parle aussi de dualisme du marché du travail ou de la segmentation du marché du travail. Cette théorie de la segmentation du marché correspond au découpage du marché du travail en deux compartiments relativement étanches, ces deux univers différents ne correspondant pas aux mêmes emplois, aux mêmes agents économiques, aux mêmes mécanismes de fonctionnement.
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Ces deux catégories sont les suivantes :
Des emplois primaires : ces emplois regroupent les emplois typiques, c’est-à-dire stables, à durée indéterminée (CDI), bien rémunérés, bénéficiant d’une bonne protection sociale, peu exposés au chômage, avec des garanties de carrière et des perspectives de promotion. On y retrouve la plus grande partie des salariés qui ont un niveau de salaire et de qualification plutôt élevé et de bonnes conditions de travail.
Des emplois secondaires : ces emplois regroupent les emplois atypiques ou précaires (contrats à durée déterminée (CDD), intérim, stages, temps partiel imposé…). Ces individus, à travers leurs emplois peu fiables, sont vulnérables face au chômage (une part croissante des actifs voit sa vie professionnelle faite d’alternance de périodes de chômage et d’emplois précaires). Sur le segment secondaire, les femmes et les jeunes sont surreprésentés. Pour ces derniers, le passage par ce segment est souvent une étape de l’insertion professionnelle.
Les caractéristiques des marchés et des travailleurs sont les suivantes :
1 actif : la population active correspond à l’ensemble des personnes, en âge de travailler, qui exercent effectivement une activité professionnelle ou qui sont à la recherche d’un emploi.
Marché Travailleurs
Primaire Emplois typiques, stabilité, sécurité
Emplois à temps complet, CDI, réservés aux actifs 1 qualifiés
Nombreux avantages, ancienneté, avantages sociaux, participation
Ancienneté sur le marché du travail
Niveau moyen de formation : élevé
Taux de syndicalisation : important
Niveau moyen de salaire : élevé
Secondaire Emplois atypiques, instabilité, insécurité, emploi précaire
Temps partiel subi, intérim, CDD
Précarisation du statut de travailleur pauvre
Niveau de salaire peu élevé Niveau moyen de formation :
faible Peu de syndicalisation Mauvaises conditions de travail
et peu de perspectives d'évolution professionnelle
Mar
ché
du
tra
vail
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Illustration de la précarité : statut et type de contrat selon l'âge en 2012
Indication de lecture : en moyenne, en 2012, 16,4 % des personnes de 50 ans ou plus ayant un emploi sont non salariées.
Source : Insee, enquête Emploi 2012.
Les causes de la montée des emplois secondaires aujourd'hui sont multiples :
L’assouplissement des réglementations quant aux contrats de travail dans un contexte de plus grand libéralisme.
Les entreprises sont à la recherche d’une plus grande flexibilité pour s’adapter rapidement aux variations de la demande, sans la contrainte d’éventuels sureffectifs.
III – LA FLEXIBILITÉ DU TRAVAIL
La flexibilité désigne la capacité à s'adapter à un environnement fluctuant. Pour une entreprise, la flexibilité consiste donc à s'adapter au marché du travail. C'est un mode de gestion de la main d'œuvre mise en place dans les entreprises pour adapter rapidement la production et l'emploi correspondant aux fluctuations de la demande.
15-24 ans 25-49 ans 50 ans et + ensemble
Effectif (en
milliers)
2 096 16 505 7 154 25 754
Non salariés 2,4 % 10,5 % 16,4 % 11,5 %
Salariés 97,6 % 89,5 % 83,6 % 88,5 %
dont :
Intérimaires 6,3 % 1,9 % 0,7 % 2,0 %
Apprentis 17,4 % 0,2 % 0,0 % 1,5 %
Contrats à durée
déterminée
26,6 % 7,8 % 4,7 % 8,5 %
Contrats à durée
indéterminée
47,3 % 79,6 % 78,2 % 76,6 %
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A. LES CARACTÉRISTIQUES DE LA FLEXIBILITÉ
Il existe plusieurs formes de flexibilité :
La flexibilité salariale : elle consiste à faire fluctuer les salaires des employés en fonction de l'offre et de la demande de travail et en fonction des résultats obtenus. Cela se traduit par une individualisation des salaires (avec une partie fixe et une partie variable liée aux résultats).
La flexibilité interne : il s'agit d'adapter l'emploi, des facteurs de production aux besoins de l'entreprise. En fonction de l'activité et des commandes clients, l'entreprise peut adapter les horaires de ses salariés :
La flexibilité quantitative interne (cela passe souvent par une annualisation du temps de travail ; c'est-à-dire que, dans les périodes chargées de l'année, les salariés travaillent davantage que dans les périodes calmes).
La flexibilité qualitative interne : elle peut faire changer ses salariés de poste (qui doivent être polyvalents) en fonction de ses besoins.
La flexibilité externe : dans ce cas, l'entreprise fait varier son effectif en fonction des besoins et elle recourt le plus possible à des prestataires extérieurs qui fournissent la force de travail (CDD, intérim, stagiaires, externalisation ou sous-traitance).
Flexibilité du travail
Flexibilité interne
Flexibilité interne qualitative
Basée sur la polyvalence des salariés en fonction
des besoins de l'entreprise
Flexibilité interne quantitative
Basée sur l'ajustement du temps de travail en
fonction de l'activité de l'entreprise
Flexibilité externe
Basée sur l'ajustement des effectifs et le recours aux contrats précaires et
à la sous-traitance
Flexibilité salariale
Basée sur l’ajustement des rémunérations modulées selon les
résultats et la conjoncture
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B. LES CONSÉQUENCES DE LA FLEXIBILITÉ
Cet accroissement de la flexibilité a trois conséquences majeures :
La montée des comportements individualistes : l'adoption de procédures d'évaluation des résultats individuels est facilité par les technologies de l'information et de la communication, ce qui se traduit par une mise en concurrence des salariés les uns avec les autres.
L'accroissement du niveau de formation : pour instaurer un système de rotation entre les postes, les employés doivent être polyvalents et donc bien formés (dans le cadre de la formation continue) pour assurer plusieurs activités.
La précarisation de l'emploi : la recherche de la flexibilité externe des entreprises s'accompagne souvent d'une transformation des contrats de travail. Le contrat de travail standard (CDI temps plein) est de plus en plus détrôné par le contrat atypique (CDD, intérim, temps partiel...) créant de plus en plus d'instabilité.
C. L’IMPACT DE LA LÉGISLATION SUR LA FLEXIBILITÉ
La législation du travail peut faciliter la flexibilité par une législation plus souple (par exemple, dans certains pays le licenciement est simple, sans procédure administrative ni autorisation préalable de licenciement, cela facilite la flexibilité externe par l'ajustement des effectifs).
La réglementation du travail peut au contraire limiter la flexibilité des entreprises par une réglementation du travail rigide. C'est le cas, par exemple, dans certains pays où il existe une législation contraignante (exemple en France, avec le SMIC qui oblige l'employeur à verser un salaire minimum à ses salariés).
Le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) est le salaire horaire minimum légal en France. Il a été institué par une loi du 2 janvier 1970 et il a pris la succession du SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti), créé en 1950. Ainsi un salaire au moins égal au SMIC est versé à tout salarié du secteur privé, âgé d'au moins 18 ans.
Bénéficient également de ce minimum les salariés du secteur public employés dans des conditions de droit privé. Un taux réduit du SMIC peut être pratiqué pour les apprentis et les jeunes salariés en contrat de professionnalisation.
Le taux actuel est de 9.53 euros brut de l'heure, soit 1445.38 euros brut pour un mois de travail.
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FICHE 1 : LE VOCABULAIRE ÉCONOMIQUE LIÉ AU MARCHÉ DE L’EMPLOI
La fixation du salaire sur le marché du travail est déterminé par la rencontre entre l’offre et la demande de travail.
Sur le marché du travail, la marchandise vendue est la force de travail, la demande de travail est donc la quantité de produits que des individus désirent acheter à un certain prix. Elle émane des employeurs.
A l'inverse, l’offre de travail est la quantité de produits que des individus désirent vendre à un certain prix. L’offre de travail émane des travailleurs.
Le SMIC apparaît dans ce cadre comme une contrainte importante à la flexibilité car il fausse la fixation du salaire sur le marché de travail. Toutefois, il convient de rappeler qu'il a été institué afin d'éviter les dérives éventuelles du système économique. Dans l'approche classique de l'économie, le SMIC fausse cet équilibre et nuit à la flexibilité naturelle du marché du travail, car le législateur intervient alors qu'il faudrait laisser le marché se réguler tout seul.
En matière de salaire, il faut distinguer :
Le salaire de base, qui est le salaire inscrit dans le contrat de travail et qui résulte d’une négociation entre le salarié et son employeur.
Le salaire brut, qui comprend le salaire de base auquel s’ajoutent les heures supplémentaires et les primes (prime d’ancienneté, prime de rendement, prime sur objectif, …).
Le salaire net, qui est le salaire reçu par le salarié. Il correspond au salaire brut moins les cotisations sociales salariales.
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Salaire de base
Primes, heures supplémentaires
= Salaire brute
Cotisations sociales salariales
= Salaire net
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1 . COMPLÉTEZ LE TABLEAU CI-DESSOUS À L'AIDE DES BONNES ÉTIQUETTES :
2 . QUELLE TRANCHE D'ÂGE EST LA PLUS CONCERNÉE PAR LA PRÉCARITÉ :
a. 15-24 ans
b. 25-49 ans
c. + de 50 ans
Importante
Bonnes
A l'ancienneté
Femmes, jeunes
Faible
Élevé
Stable
Peu élevé
Pénibles
Pas de possibilité
Précaire
Homme
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EXER
CIC
ES
Marché primaire Marché secondaire
Conditions de travail
Type de contrat
Avancement
Qualification
Type de salarié
Salaire
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3 . INDIQUEZ À QUELLE CATÉGORIE CORRESPOND CHAQUE PROFESSION CI-DESSOUS : 1. Agriculteurs exploitants 4. Professions Intermédiaires 2. Artisans, commerçants et chefs d'entreprise 5. Employés 3. Cadres et professions intellectuelles supérieures 6. Ouvriers
EXER
CIC
ES
Professions 1 2 3 4 5 6
Chef d'orchestre
Dentiste
Céréalier
Gérant de superette
Sage-femme
Vendeur de livres
Soudeur
Chaudronnier
Interprète
Apiculteur
Garagiste
Caissier
Conducteur de taxi salarié
Inspecteur des impôts
Commissaire priseur
Garçon de café
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4 . UNE DES CONSÉQUENCES MAJEURES DE LA FLEXIBILITÉ EST : a. La baisse des qualifications des salariés
b. La rigidité de la réglementation
c. L'individualisation des comportements
5 . QUEL EST LE GROUPE SOCIOPROFESSIONNEL DONT LES EFFECTIFS SE SONT LE PLUS RÉDUITS DEPUIS 1982 :
a. Les ouvriers
b. Les agriculteurs
c. Les professions intermédiaires
EXER
CIC
ES
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1 . COMPLÉTEZ LE TABLEAU CI-DESSOUS À L'AIDE DES BONNES ÉTIQUETTES :
2 . QUELLE TRANCHE D'ÂGE EST LA PLUS CONCERNÉE PAR LA PRÉCARITÉ :
a. 15-24 ans
b. 25-49 ans
c. + de 50 ans
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Marché primaire Marché secondaire
Conditions de travail Bonnes Pénibles
Type de contrat Stable Précaire
Avancement A l'ancienneté Pas de possibilité
Qualification Importante Faible
Type de salarié Homme Femmes, jeunes
Salaire Élevé Peu élevé
RÉP
ON
SES
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3 . INDIQUEZ À QUELLE CATÉGORIE CORRESPOND CHAQUE PROFESSION CI-DESSOUS : 1. Agriculteurs exploitants 4. Professions Intermédiaires 2. Artisans, commerçants et chefs d'entreprise 5. Employés 3. Cadres et professions intellectuelles supérieures 6. Ouvriers
Professions 1 2 3 4 5 6
Chef d'orchestre
Dentiste
Céréalier
Gérant de superette
Sage-femme
Vendeur de livres
Soudeur
Chaudronnier
Interprète
Apiculteur
Garagiste
Caissier
Conducteur de taxi salarié
Inspecteur des impôts
Commissaire priseur
Garçon de café
RÉP
ON
SES
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4 . UNE DES CONSÉQUENCES MAJEURES DE LA FLEXIBILITÉ EST : a. La baisse des qualifications des salariés
b. La rigidité de la réglementation
c. L'individualisation des comportements
5 . QUEL EST LE GROUPE SOCIOPROFESSIONNEL DONT LES EFFECTIFS SE SONT LE PLUS RÉDUITS DEPUIS 1982 :
a. Les ouvriers
b. Les agriculteurs
c. Les professions intermédiaires
RÉP
ON
SES