The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1859-04-09 [p ] · 2017-12-14 · II eatjuste'de...

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.. .i~ ' : 's=..r`- .'"A i?;!.. n : i+ !'' ..... ~ ............ .. . . . , r . .. r ,R . 7 , .. .- ... . .. .. , " . . . ... .. . .. . . . . . .. . . . . . ,r-r . ' O .0 L S O : o b es 7AV l,85. N 1 V POL. 7. 1 OPELOIJSAS, PAROISMSfLLANDRY, [Louisiane,] 9 AVRIL, 1859. N Ro. 18. SAULDI `MATIN. 9 AVRTL, 1859: $WF ALlBT DEJiAN eat candidat Inddpen. rant pour la place de Grefier de la-Cour de Dstrict de ai Piroles St. andry. L'Electlon umra lie en Novembre prochala [f12 1lv 1859. fNo~ sumee4utoaedi I annoni r L .L. V 'C11 CBERE, .Bdtulafia letnel, ;pmme, todidta is place de ShBr•f.e l ioL Lae nd, i '6 o de novembre probain. 2[ adrl 1859 t liNous aommes eutrfed a annonuer I. VaILr-. ~sEUYv Jonunsa conmmo candidat k laplace d'Aasee- sear pour Ia Paroiese St Lsndry. L'dlectlon aru Iles en eovembre prohain. Er.or so o L.uiu.--A une dlection tenue en motr- viliq lundi dernier, pour sept mem- bres du (aon•eil de Ville et un Constable, les messieurs auivants out Etd l1us : P. L. H brard, Joel H. Sandozs, R. H. LittellB , A. J. Thompson W. R. Mogialey, Marti Peraul. '. A. King, Mit•b l Muisand a Est rdlu61 Constable de Ville. Opelousas. Dane notre _Paroieee,e vote a dtd extrdmement .•ible, n'dtantenu out que deo 825 voi, dent 4t: pour MI. King et s50 pour lege •i Vorbse tLndis g•pl anrait pu allebr a delA de 2000 oia. Trois precliotas n'ot diot feit de retoure. *Par' mdgArde our par negligence, dour preoincts, UQhataigeur et Artiiadville, out dad onmisdais 'rlavis'e 6']ectibn. Le pre- -nier &' pas ouver-a-n n b oer-atiwe, tae die quo le- dernerr Pa fait et en a euroyd le radsultat. . Nous publions, dane Ia partie anglaise de. ec jour, un tableau eommaire d4 vote 1 denotre Paroisse:, uquJel noUS rdfdroni sos' ,J' None epprenone vethlemoent que la ?aroise. St. Martin a donnd*247 voe de ajorit4 ao juge Yodrioes, et Lafa&ette 30. M.areu:*e. Marie, die la ruinm ur- an- -rait dgalement doned- ne fable majoritd- a juge Vooifies.- SNous donuosn oes nouvelles cooime llee old arriven' . $ :des amieet oonuasiudesd M Emile 3 Big*4 rennmeub~pt .,;en vile,, e&:wt u Ir tie I maaison . B. Ya kntine. "&CodeI Novelle-Q~AE, ppproaadzoiz a'veo phyi n'i ient d4ariver3 nri none, obi U eteurar unehqu jizw~d djo urqspu afirs. Nua ppreaons qu' aoeh&*4ea hs - au h ix du cours. Q&Y ar, e~ietiugu6 :'r- . 1. Msrtivrflo & nde ns ate ioi n 4 p rnd uo`a :igor eyartst 481 sl a oud mm~ioiens dea,aura su$.t pen i r non en r iede rnor K IW y r aitd .. t W ti i+ y L: S 4 . d .4---:..,:r 11 T F :" t i& a pp t "y. -a. a- j NICARAGUA. i NOVBELLES IMPORTANTES. Le steamship Northern Light eat arr;v• hier a New-York, avee des nouvelles in por- tantes du Nicaragua. Le p4sidentMartspes a deerdted 'ouverture de Ia route de tr'atis• a touter lea nations; le monopole n'en Part accord &I anoun gouvernement et a aucune compagnie; le passage de troupes a trades l'lsthme ne pourra avoir ,lieu que de la maniare stipulie dans le traitd avee la coan- pagnie Belly. On annone Ia ratification definitive d• traits nagocid par Sir William Gore Ousely, entre 'ngl terre et le Nicaragea. Les dis- positions . sesnt lesa mmes 'queo celes du traitd (Caess rissari, si ee n'est qu'aieune force arm6nne pourra debarquer sur le ter- ritoire qu'n&a demande exprease da gonver- noment du Wicaragea. Le navirn de guerre des Etats-Unis .e- catur, parti de Bealojo, leo 23 fivrier, avec ordre d'aleir semettre a l'anere A San Juan Del" Sur 5jsqu'au"15 mars, a ate pris a son entroe dane le port pour un navire de flibus- tiers oaemande par Walker. Une gra~de panique a ignof imuaidiatement .en vile et au loin dads iesenvirons. Le president Mar- tes, a la Ste do trois cents hommee, a mar- ohE contre lea prteendas envahisseurs; alors seulement!l'erreur s'est deconverte. Pendan~ que ce petit ev6nement se passiit & San Juln Del S.ur, 1'expedition fra9gaise _sos les os~res de M. Belly, oprait la saisie des :teamers de la Compagnie Am•ricaine de transit, le Cass-Yrissari, le Catherine et le Maria JIfnlzng. Le pavilIon ameri: cain a •te'abaisse et rempJlae a bord: de ahacun das trois steamers par le pavilion du Nicaragua. Les hommes composant les trois equipigeo out etC emprisonn.s dans le fort San Carjoe sur la rivi8i San Juan.". Le consul Americaii voulnt intervenir pour emliecher l'exieution de eeos meures sommaires, a ate brutalement insaltraite, et I'on naiire mnmemque tons lea amiricainsount etE chasses du pays: L'expedition fratiaise a ps ossession de Ia viue do Castillo et de tons le ioits impbr, tants de la route de transit; ell. a Etabli A Castillo son qnaftier-g•n. ral. : Le port de .Greytown, rempli, dosable•et- de depots est inaccessible •ax ateamers.-: US$ FXPEDITIO COO'TJ E CUBA&. N~ous rouv~t ns tdase d~pelio tENgiaphiques parvenues' de Neow-York, k" la date-de samedi, tn frit:.d'u ties haute et tri4s regrettable importance. C'eet lss wolo ufvei Iedune ezpEditioun l bostiawo ootire ' Cubs, et tlue isCoirr idera . EtWts ' ' ddsoo aomae pr.the A pn tfr. -ti .. ?Noes knaima =A peneor quo Is rdvdktiaon du fait seraipou= en 3WrdteOrrezntIO U ; et nonu 'nousb t4odst'd volrutne procamizradont duprsident i- chaua*Ef1tdumntla innriet nt n cebun lesdee Orba- nieateura de cetto eipEdtlda. Souesa- certain rap- port niione n0 tOrfttt0siIpea deoaic aoft o 1 entre- prise ee r,~odu ce setups une occasion pour M. Bu- chanan imanflest d'uns marneprdciteetifr. n- ebea potidqu 'dins Ia question d.Cuba. Sene preoews sods, 1'43, * a cltendoioa parlA'tout cool` qui wpartagentuosea Wes deiotnw s at our Cuba, oto pou- vsien t mpa tenddro au.gonirromenl e Wsingtou uu ltIsgepkt ads . Beats A eavolf sIN Bo- cbsaigw~as~do. Iole n tar-.in aupieddu murnuet' .: usis : ndcesilts4 :tiler lea sous-ontondus die as doctrine i e A' I'e'it itdo Cuba, ou do lee oxpli- quet do isn1tie tpluas ela rd deuto "str i droi- tpou do as ctrnduhu daapeottequestlon. Pour none, noun a vonlotts apsdoaterquoM ld`Buhanan te non- damue s;treyo meat 1'eIea pddon prjoete, et quilti I ris sa~rore ains. i Au direa n Coiiu$te (h ~Usas, 'expedU~on riLBbtc Ia juoe s du iptemesiL Le uantler gdnren Ai New-York; 'male an si- la~hie'd `i.4e~ ~tL ledaleum-ll Uiaa ueuu alur kde cc~~~ ~ ~ guin tos ~elo Nh Aeta -.- annr istit&aerir Uuose, 'ma'sie lgu peesn m i' ooe aAa oIpyi ~t-e Iworn'iut+1< SnBX { w + k r y ,tj #r nt n I'oie _ blNn 4b ' k u'ce enniisime ui s:" cre taufe ne'gni pCUrtat dnie ent- sdrp rq h* cett gr&ndc qq r vgu rte 4u eq Ali cdse 4 R. ', . pci&r :s . J Ri I' V est la seule garantle sdrieuse de l'ordre etprop4ent• Lea partisans de la paix o tout pp'ti out ptu se fhire on moment I'illusaon qi'ils teient le ies nombreux, et de 1k vient, sans doutt, Perre' nous parlions en commencant. Is sont ard t bruyants. D'abord, on n'aentendu que le bruit de leuts protestations et de leurs inquietudes. Quel- ques fluctuations sur le march6 de la Bourse, une lbaasse passagbre ii faut l'espdrert saur leas salut publiques, ont ionnd a ce parti de la pastiqueo quelque apparsnce sdrieuse. Fort heureusement, ces 6motions sont pet durables, et ceux qi- sont lea plus prompts a s'alarmer sont les plus facile~ s se rassurer., Cala monte et s'abaisse comn'it la tote de la lrourse. L'agiotage, que nous sommera loin de confondre avec le reddit, n'est que l'efler- vescence des intdrfts dana un sens ou danas n autre. I1 no'y a done 'l qu'une opiiion factice qui chaque jour tient sehnce sur le boulevard, qua parie tr&b hbaut, mais qui, grAce &aDieti-n'est peas celle du pays. II eatjuste'de reconilaitre cependant que cette ar- deur pour la pair se trouve aussi dans certaines re- gions plus pures, plus 6levdes; grands banquiers, quelques hommes politiques du dernier rbgne, sont dane Ia mime vote, assurment, par des raisons toute.dif entes et sous 'influence de mdo iles et de ~eitionsaue nous respectons. L~partispnsde la guerre se recrutenten general dana I ancien parti rdpublicain. Its sont les hEri- tiers de:cetta politiqie de propagande qui a entraind is premibre r epublique dans des entreprises oul Pexc8s d'audace n'a eu d'egal que lexe$s d'hd- rolme. Ils voudiaient rEvolutionner les peoples pdbr lea affranchir. Lea traitds tie snt A leurs yeux que des lois injIstes et caduques, imposaes parla force et rdprouvdes par le droit. Ils ne poursui- vent rien moins qu'un remaniementl complet de I' Europe, sans tenir compte de ses divisions de sea frontibres, de sea dynasties. La guerre en Italie ne serait pour eux qu'ane preface, et le drapeau libErateur de laFrance, apris avour flott sur leas Alpes,devrait aussi.p montrer sur le Rhin, en Po- logne, en Hongrie, partout oft une revolution est possible Danace systbme, la France n'aurait pas beaoin dalliance; elle aurait pour allids toas lea peuples qu'elle associa nagubre a ea•loire et sur lesquels psentplus lourdement les traitds. Enfn restent lea partisans de la paix condition- nelle, de la paix qui n'entend rien sacrifier ni rien abdiquer. Ceux-li n'ont ea "ai trop d'effroi, ni trop ,dede•ance." Ilsont: parfaitement compris que laFranceet PlEurope avatent on immense in- t6rttdans une solution eflicacee de la question ita- lienne. l l s se sontdit qu'il ne fallait ni brusquer, ni abondonner ceette grande et diflcile question. La pr6cipitation nous elt compromis. L'abandon nous $urait affailtlis. Elle veut employer tous lea tegdraments necessaires pour obtenir ce qui eat juste; mais elle est rdsolue a refuser ce qui serait une concession a la veritd, au bon droit et a la ad- curitd comme a l'independance de PEurope. Nous n'hbsitons pas b dire que lea partisans de cette paix sons condition sent ddja nombreux et deviendront?'lmmeuse majoritd du pays. Ils sont partot daas toutes les rdgionade ia seciEtE, en haut, en bas et an milieu. C'est ce peuple lIborieux et fieaqi q travaille h sonsi-iot, -wk sor- atetier, et qni ressent plus , vivement que personne toutes les atteintes portes I Phopneur national; c'est cett bourgeoisie si &Elairde, siipatriotique; qui squs lea diernierrbgne, a'eat isolde d'une dynastic qu'elle respectait, parce qu'elle, ne parlait pas asuez haut dans les positions elevdes, cette elite d'hqommesde race, d'hommes de talent etde go0t," qu'compren- nent qu'une nation comme la Fiaince ne saurait, sans ddchdance, p.erdre:saplace A la tete de la civi- lisation. Voilk la veritable opinion frangaise. Elle n'impose au gouvernement ni le paix, ni la geurre. Elle lui demande une paix glorieute, ou. si elle n'est eas possble, ell e~at pritae I accepter une guerre Cetteopinion, dont nous e sd l'interprte des Ia premiere heurn, deviendri'a eaqejou*plus nombreuse, nous se rEidtonsa ea toite assurance. II y a'e~n d fes fillances, des incertitudes, des hdsita- tions qutopt pu faire illusion au-elb de la froptihre. Mais que l'EuEuoe ne.ay. tronie pas: il east'plus dificile de retenir la France qua de l'exciter. La France sera tout entiere vec 1 E mperanprpotnur se ddvouer i ec q sees stile a notre influence dana le monde. La France entreaest aveehPEmpereur pour vou- loir a pair sts coisditio•; mais elit ne sauvra jamais ceux qui la veulentmsas condi•i . Lus REPUImtoiussn Noix asD NEW-Y0RK. - Ceoo exoellents philanthropes i marchent toujours on avant dane Ia 'oioe qu'ils se sont ouverte. lie ne savant i'quielle mesure avoir reoos spour' blesser lef sueseptibiiit~e 4u" '8ud, quit onmprodlra,. stne domte quie le temap tveinude deplloyer 'son 7 energie,` et do prover qu'ileet d60i41 d faire tespecter see droirt. Deo rinitiative vigoureusee.-4'est, tout c qui'fl nuousJat pour r4ueir. )IMM: du Nrd ont trop besoin dno nus po~ur qu,'iis ano ieulent pas qujnad usne so verront dcci- plus qute kioir, pour da~ie ~Icission Pour d!o 9revni~r aux kpublicainse Noirs du -Nord, c nxci vien ent encore. deb faireo -passor, au uei de lEgislaured dN~ew-York, uno rWE8OI qiseder lia Consti. t~tion 'do tot1 x e droit devote soit binufse_____ ultzpn n wf3sw l ~.: d4 ifledwgda - Ni -i lir sasaet ee ivrs omtesde iglalse "1uo m on erdmrf re'hu-;ntn n Cie snantlee mpehieaet~~e sntin dehen tOnt learu vendre, aux prix lea plus bas, les trou- peaux d'animaux qu'ils volekn aux habitants de la CMb4Geltie. On encore: LES tREREs H.... & CIP, Ont aussi I'honneur d'annoncer aux Courtiers de la Nouvelle-Orldans,. que leurs grandes relations com- merciales, avec les ndgres les plus roids des At- takapas, lee mettent A meme d'expddier, chaque se- maine, des balles de coton, voldes aux planteurs de leur voisipage. Si les gentlemen de la pegre attakapienne ont dd- daign6 la publicitd des colonnes de l'Echo, ne croyez pas que c'est par crainte des lois. Non, c'est tout simplement parce qu'ils n'appr6cient pas, a sa va- leur rdelle, le rdsultat produit.par une annonce com- merciale.. Devant un tel 6tAt de choses, l'inertie des hon- nites gens efllft6 une Ilchetd et, grace it Dieu, Ia 06te-Gel6e ne manque pas d'hommes de courage. Un comit6 s'est done formd et s'est mis l'meuvre, non pour violer lea lois, mais pour punir lea voleurs et les incendialres Jusqu'ici noas nepouvoes trop appronver les actes de ee comitt; la manitre dont ii eat dirigo par son chevaleresque capitaine, an homme de ecur et de tate, est digne des plus grands dloges. La peur ne se commando pas; tropsouvent h6las ! elle est dpiddmiqge. La plupart des jurda de La- fayette n'osaient condamner lea auteurs des vols et des incendies, dans la crainte d'etre lea victimes des autres sodldrats de cette bande si nombreuse. Le comitd de vigilance s'est dtabli en jauri permanent, voila tout. II ne condamne lea accuses, appelds it son tribu- nal, que sur des preuves certaines, et it execute lui- mtme sesjustes sentences. De sa propre volontd, il s'est charge d'accompiir an devoir sacr6 et il ne peat y faillir sans ddshonneur Daj, on voleur nomm6 Gutbeer, a dt6 fouettd, AI deux reprises diff6rentes et chass6 de la paroisse; I il est parti pour la Nouvelle-Orldaus oil il trouvera beaucoup de sea pareils. Deux frree H .... , onvainnus de vols d'animaux, qu'ils avaient l'audace de conduire par trouaequx I Is Nouvelle-Orldans, et de vendre, sans mAme alt6- rerlee marques des habitants, out ltA condamnds a 8tre auasi fouett6s et chasads. Ges mnmes frdres H... I sontaussi accus6s de trafiquer avec lea ntgres et de rdeolter ainsi plusieurs balles de coton. Le comitd eat ddcid6 h agir avec fermetd et ii e- cepte, devant le peuple, la responsabilit6 de tons ses aetes. Son Code penal se r6duit a trois punitions; ie fouet I et la proscription pour lee voleurs, la corde pour lea ' incendiaires ! ! Le comit6 eat done d'accord avec Ia loi. L'honorabilit6 de son ohef et de ses membres lui asdureT'approbation et le soutien moral, sinon actif, de la population. M. Eraste Mouton, r6dacteur de J'Echode Lafayette et frrre de l'ex-lieutenagou- vernenr C. H. Mouton, a 6crit on charmantitticle en sa faveur. Les adhesions des honnites citoyens lul sennentd tndtes parts 't oan ns assure qu'un citoyen, un riche planteur, qul a en l'hon- ur d'occuper avec 6clat la premiere' magistrature ded'Etat, a proelam6 seos sympathies pour le comit . de vigilance et protege de son influence, la forma- tion de nouveaux comit6s daus lea autres districts C'est avec plaisir que nous publions la proclama- tion si digne et si loyale, que lea membres do comitd de Ia C6te-Gelde, adreasent h leurs co-pariissiens. Que nos lecteurs la parcourent etit saequerron4( Ia certitude que le comit6 a pour luile bon droit, et l'opinion publique. Le comite de Vigilance des fine, Cte et'1mnistricts dela Paroinse Lafoaette d ses canuitoye.s: CowcrroEis,- ogaouid ien cosit de vigilance -- c'est-A-dire en tribunal extra-ldgal--noos vous de- vions compte des motifs qui none out poaseds a unee insurrection momentande contre Padmininstration rd- guliere de I justice: ceccompte noun vous le readona aa:jourd'hui. Nous le rendonse,;ien entendu, A nos concitoyens honnates; k ceux quisont nos pairs en honneur, en integrit6, en respect de toutes lea lois protectrices de la soctit6. - Noes rougirions de dire an mot, en seal mot a Pa- dresse des bandits qul infeatent notre Paroisse, et encore moins B l'adresse desamisou complices de ces bandits. A lears calomnies lointaines nous op- poeons le mdpris ; it lters calomnies •iace nous rd- pondrons par le fouet. En commengant, nous nous inclinons resplpcueu- sement devant Ia justice-la vraie, Is sainute jdistice; colle qui careese l'innocent de la nime main dont elle frappe le coupable.-Celle-l3, none sa respectone, sans las craindre- car ceux qui vous adressent ces lignee, soot, its osent le dire, des honimes qui n'ont jamais violo aucun des devoirs qu-elle impose au ci- _toyen. Mais ceci poed, soas jetons in voile sur sa statue que des misrablsa ont taut tois insultie, frappfe an visage ononou disons i tco'qui, junqu'h pr6sent, '.ont souffert sains se plaindro, lea mes maul que nonus Cito les malfhiteurs pillent, brlent, ravagent t ,oes ,joura notre Paroe.. ; Lea agressions a la 'proprite6sot doesfaits deo tos le•jours, de toptes leen reos, nous pourrions eajoiit doetoi lea instants. Lecrime a ic oune ara' qun caoplanee gdndraux, Comment tUnouvl par - le orls pu s'orga- niser a cette Paroissn, ofiagen ou'honneur sent :on i grand no~~•mbe noun a olune o dire brutalle- Seolevotas done les pice qui rogent notre Pa- roeo; au poitj oa noes en ono eames, o'eet faire acte cent.o.s.i sa lein.", - u l , ~ d ojemnes aqu'l ,$Ic,~1 pajurel 'car ein. aoq`t an ceux quo lea t l' d 4 cou~pab~les, lojury crtime ' it pins gap~trt-+crime b01 to ` a d xmemos qu'il - aentoret l'evi- nLeot sonnes au ba- Anaditst j trtee ouver Livol In jour, k *itont tt Lovol a-i- atf;dsiol-n, A mdn "armtt;e- . a . par. heat! Lbvol""pardees6at5vesp p n oad pr de las Ml5lt coeosahe efave1 e" j t o bndt . foikn i t oneyat Fu tote ,l~n ruvdt Aln p ~ Raes, blank:~ toti I i tegop d -i -ted di ilgd o brcn i. Les ~ un kit ue eeee; nadtu Aoevr eoeen.'ote MdeeuA tottcq fk d~ de oteI Vigilance. Notre programtue he contient qu;un seul mot: ChAtimenti Ch&timent sotthnalre et implacable a tous ceux qui cOtinhettront le crime de vol, on tout autre, dans notre ressort! Le fouet et la corde seront nos deux armes: teori- bles et fltrissantes toutes les deux! Voila notre programme. Vous voyez que notre association est celle de l'honneur contre le crime. Nous ne craignons pas plus le blame de Dieu que celui d'un jury. Maintenant, citoyens, ecoutez notre dernier mot: Si vous approuvez les principes et le but de notre association; Si vous tenez a conserver ce que vous avez acquis• par votre travail; Si vous desirez purger notre socidtd'des elements immondes qu'elle contient-et designer au pays ceux que la corde ou le bagne attendent depuis trop longtemps; Enfin si vous voulez comme nous, marquer du stygmate du fouet on punir de bannissement lea hommes tarrs, dont la presence est une insulte a notre tnoralitd et und•anger pour nous et nos families; Imitez l'exemple que vous ont donne lea citoyens des 5me,.6me et ?me districts. Levons de concert et opposons lea soldats de rhonneur a ceux de l'lacendie et du pillage. Gravons avec la lanni re de nos fouets le mot voler sur lees paules de ces miserables. Une explosion populaire les broirait en quelques jours-et la paroissse nous devraitsa regeneration. CoMITe ExcUrrTw Des 5me 6me et 7medistricts. Cote-Gelee, 15 mars 1859. CO MMERIAL. REVUlS DE LA SEMAINE. BUREAU DE L'ABEILLE I Nouvelle-Orldans, j Vendredi soir, ler Avril, 1859. . Nous n'avons k constater qu'an monvement mo- d4rd depuis notre dernibre revue. Leas prix de quelques-uns des principaux articles ont varid. La coton a hauss6 au .commencement de la semaine, mais les dernibres nouvelles d'Europe ont eu une fecheuse influence sur le narchd. La farine a trouvd peu d'acheteurs et nba gubre varid, tandis que les grains se sont cou4Ilsfacilement k un• baisse. Le march4 aux provisions a 4td calme; les principaux articles out debhi. Le sucre est reste ferme'mais la mdlasse a tendu la baisse. La demande de tabac a 4td fair. Le frete a 4td animd a une baisse et une nouvelle hausse s'est ddclare dans le change. -_11 COTON.-Arrive depuis le 25 du mois dernier -25,604 balles. Expldiddans le mime espace de temps. Ensemble 63,884 balles, faisant une r- duction au stock de 25,127 balles et laissant en main, y campris ce qui se trouve a bord des navires non exp6dies, un stock de 402,590 balles. CLASSIFICATION DE LIVERPOOL. LovUISAN ET'r MISSIssiPPI. Inferieur, 6 a 71 Ordinaire, 8 a 81 Bon ordinaire, 10 b5 10l LoK Middling, 11 a 11 Middling, llu a 12 Good Middling, 121 a 121 Middling Fair, 121 a 13 Fair, - a - SUCRE. - Demande fair, approvisionnement modlr6 et hausse dans quelques qualitds. Les ventes de la semaine comprennent 6000 boucauts. l'rix h la clOture: Infdrieur, 3 5 Commuon, a 5 Fair 8 Fully Fair, a 61 Prime et Choix, 6!a 71 Clarifid et raffind, 7 10 MELASSE.-Demande moddrde; les prix se sont 5 peine maintenus. II s'est vendi 8000 barils dont la plus grande partie a 271 a 291 cts la fer- mentde, et 30 a 31 cts le prime et le choix. La mlasse en demi baril vaut de 32 a 36 cts le gallon, suivant la qualitd. FARINE.-Marche tras calme durant la plus grande partie de la semaine. 7000k 8000 barils. Is plus grande partie k $5 75 a $5 871 la superfine, 5 235 a $5 30 la non marquee et $f 25 a $7, le baril d'extra et de choix. MAIS.-Marchd lourd. Environ 25,000 sacs A 85 a 90 ets le boisseau de milang6 ordinaire a blanc prime. Lesprincipales ventes ont eu lieu, par spe- culation, en mnagasin. AVOINE.-8000 a 9000 sacs avoine du Nord k. 756a 78 et80 cts ordinaire h prime St Louis, Nord, &c. PORC.-t-n peun d'animation, mais 8 urre baisse. 2500 a 3000 bards de mess a des conditions particu- litres. Prig nominaux h $17 a 17 50 le baril de mess. Le stock dans les entrepOts d'inspection eat, aujourd'hui, de 42,168 barils. BACQO.--Marchd tres calme. 200 8 300 bou- cauts dont la plus grande partie a des conditions particulibres.. Prix nominaux 8 71 a 7} cts les Bpanles, 91 a 91 cts lea plats c6tds ribbed et 11i a 11 ects la livre. VIANDE.-Environ 100 boucauts de plats cOtsa - 83a8 cts a livre.. BtEUF.-Les dernihres ventea ont eu lieu 8$16 le mess pour families; le prime leger et $14 Ie baril de mess. BEURRE & FROMAGE.-Le bon beuzre de l'Ouest s'est vendu 9 a 13 cts et le fromage 8 a 10 cts, suivant la qualit. - i-RAISSE.-Pen recherchde. Quelques cen- taines de barils et tierQons i 11} a 11 le prime et le choix et quelquea centaines de barilleta k 121 a 13 cta la livre. CORDE ET TOILE D'EMBALLAGE.-Toile du Kentucky - 12 a 15 cts; celle de PInde 12)1 12_cts Ia yarde-Quelques centaines de pikcea et de balles. 'La corde vaut 6* a 7t ct celle faite k is main, et ' a 81 cts celle faite a la machine. 300 1 400 ronleaux ont et6 vepd's h cesprix. CAFE.-Demaride faible-A peine 5,000 sacs k i01 a 31e le bon S prime. Le stock est rldoit 9,000 sacs et le marchd est trbs ferme, WHISKY.-Marche lourd. 1500 k 1800 barils, dontla plus grande partie k 25 a 251 cta le rectifid, et261 a 27 cts le gallon de commun. L'ECHO DE LAFAYETTE. -PobliE Di Vermillonville, en frangaise.j enfnglais, tonus les Samedi, par Mouton & Bailey, kt 3 per an, payables d'avance. - . LE DEMOCRATE DE ST. MARTI'N. ,.-Publid- #s iea Samedis, en frangais et enan- gaii, It& St. Martinville par Tbdlismar Bienvenu, SI•paIr n l payable '-davaUce, on $d g lafin de . .ta v~-ILL!AGR oIS. -PubliE k Marksvdle (Avoyelles), en frangais at en anglais, tous lesa anedis, par Alexaudre Barde, .. $ pa•r -an ayables davanee; on $4 bla fin de Pannee. COILRui P AE DISTRICT, jNo. 8679:. P~arowu "&.Landvy. Succession de Louis Stelly decede. V ALMON STELLY, de, cJ Poroioa. St.;Lauda ; Adminigrateurcdef Jo sue- seaeeDo do Louia ,sdly ems,6de rnremeni de Is'ar P eD St Lndry ayantp~E~thetun T nab1 de Csifia~tin dne lea dafaues do la dto Suee tr aese~om 'une petSitio demasdaut YhOuiologatibon itai -Et ats tendu qua'il' s fait dro di ia i adee de Is dite petition, par ordredola Gourseaitej Encensqtne00 su epar 1e preoent dona6 i: inteirii6a whinsette succession, d'wvoir ~ddsnire par 4oait, Ott;.Grefe de Ia a b dedsa. leea trente lour qui wi- yroe s~ate do present ate, , lea raisons, si Dun ,perlesqulsleditTableau no serai ,l'admiiistrateur autori- e. Ipayer lea dotes de is succession eonfor] ~P~;;:~~I la elaesifcation-at lb a~hE~ distnbutiouM dudit tableau~u-t~~; ~ k~ Loge HI.'. C.'. No. I9, M. A.. L.. .& A.. UNE assemblee r6guliere do cette R... Logo aura lieu Mercredi pro- chain, 13 courant, A 4 heures de l'a- pres-midi. Les freres ttrangers sont invites a assister A la seance. Par mandement du V.. M.. E. PILATE, Secrdtairc. Opelousas, 9 Avril, 1859. EXAMEN. M ARDI, 12 Avril, examen des 61eves de l'Institution Littdraire. Les ex- ercices commenceront, pour le frangais, le matin a 9 heures, pour l'anglais, le soir a 3 heures. Les families et les personnes qui s'intC- ressent A la jeunesse, sont prides de venir honorer cet examen de leur presepce. Opelousas9 Avril 1859. BOUCHERIE. L E soussigni agant prisIl bail duzMar- ch6 a la V1 nde de la ville des Ope- lousas, et 4tant maintenant pourvu de beaux beufs, en excellent etat, considerant la sai- son, annonce A ses amis et au public en gC- ndral, qu'a partir d'aiourd'hui, ii vendra sa viande A 6 cents la livre. RENE MOURET. Opelousas 9 Avril 1859. CAFE CHAUD ALA HALLE A LA VIANDE. C EUX qui desireraient prende une tasse de cafe ou de chocolat chaud du bon matin, sont A mime de le faire en faisant un tour de promenade A la Halle. Opelousas, 9 Avril 1859. DES dcuries de l'habitation de M. W. Harwell, a Bellevue, Di- anche soir, S courant, un grand Cheval amdricain noir, ayant des taches blanches, oammarques de selle sur la croupe, une touffe de crin blanc entre les oreilles, et la marque de la corde autour du nez, et est bon cheval de route. Une rdcifpense liberale sera accordde A quiconque ramunera ce cheval au soussigne, a 1'habitation sus-mentionnee. DAVID SMITH. Bellevue, St. Landry, 9 Avril 1859. PHARMACIE DE WASHINGTON. LES soussigs informent par le prd" sent leurs amis et le public en gendral' qu'ils viennent de recevoir un assorti- ment considerable et frais de drogues et mddecines,ainsi que peintures, vitres, parfumerie, de toutes sortes, &c. Ils sont agents-pour Is vente d'une grande quan- tit6 de mddecines patentees lea plus populaires. A. LOUAILLIER & CO., Av 9, 18591 Washington, Lne. UNE negresse agee d'environ 40 ans, bonne cuisiniere, blanchis- seuse et rea~seuse, avec ses deux enfants,- e filue de 9 ans et un garcon de 6,-pleinement garantis. S'adresser au soussignd, ou an bureiu du Courrier des Opelousas. JAMES H. LYONS, Av 9 '59] Washington, Lne. A VENDRE. Un Morceau de Terre, situe l Big Cane Ridge, dans la Paroisse des Avoyelles, mesurant deux milles de long sur un demi mille de profondeur. Pour plus amples informations, s'adreseet an bureau du Courrier. Opelousas, 9 Avril 1859. Ejtat IC a Lr Louttale. Counva DISTRICT, No 8652. Paroiss! St. Landry, Suwcession de Edmond Sellers. J OHN WRIG HPt, de la Paroisse ~t. Lan- S dry, Administrateur de la Sdceegpjon de feu Edmond Sellers, decede, dernierement de la Paroisse St. Landry, ayant presente un Tableau de Reglement Final de la Suc- cession an communaute entre les heritiers du dit Edmond Sellers et Marguerite Simon, sa veuve survivante, actueIlement la femme d'Auguste Langon, accomnpagnE d'une p4ti- tioii demandant l'homologation d'icelui ;-Et attendu qu'il a e6t fait droit a la demande de la ditre petition par ordre de la Cour suadite en date du 24 Mars, 1859; En consequence, avis eat par le present donnE anix intEresses dans cette succession, .d'avoir a dEduire, par ecrit, au Greffe de la (Cour susdite, dans les trente jour qui suni- vront la date du present avis, lea raisons, si ancune ils ont, pour lesquelles le dit Tableau eno serait pas homologue, l'administrateur de. charge de toute responsabilitE ultdrieure et son cautionnement cancell6. L.:LASTRAPES, Grefllier. Opelousas, 9 Avril 1859. ELASIE PITRE, de Ia Paroisse' St. f : Landry, avant. prdante a ne pet tion 1 I'effet d'etre uomm % Aduminietratrioe de la aucoession de feuAn ate3 J. Pitre, .eeed6," derni~rement do alPatoisse &. Landtri. En consequenc. arim estz par: Ie present donn6e ceux quilpourraient avoir des raisons Jegailue opposer ula dite nomination, d'avoir 4t_ leo enre iatrer par Ecrit,: an Bureau du :m et de laa Cour do District de la suedite ~roiise,. dens les di fjoursa qni "aivrent is daite. d present avis. L. LASTRAPES, Greficr. - Opelousas; 9 Avril 1859. SESSION 8PEIALE DB LA COIJE lE aDhISIC$ hua at pour la arolause 8t. L ryi E public eat par Je pret infor qu'uie session spEciale, y do Ia Cour de District, dana et pi arois St. Landry, aura lieu A la o our, dana, laville des Ope u Ia prsai- denoe d l'Hon. B. i,, jnigdu l5me District Judiciaire, M` di M iochain 1859. L STRAP1 S, Gr 41ad1e Cour, OpelousasA A .7. THOM .,N, Encaneteur Public,. O(hFFUR nes _` au public" da Xa Paroiasa _ $t. Land t }trovera ronstamment an 'B wa 1iiu . [19 mar s , 1859. Vente Publique. Succession <'Ozei6m Gautrot. SN vertu des pouvoirs dont je suis rev- tu par la loi, j'offrirai en vente publi- que, au plus offrant et dernier encherisseur, a la r4sidence du defunt, an Rodaire, A Pla quemine Brule, le Mercredi, 13 Avril courant, 1859, les propridtes ci-dessous decri)es, apparte- nant A la succession d'Ozemi Gautrot, dddc- de, en communaut6 avee Azunals Dugas, sa veuve survivante, A savoir: 40 acres de Terre de prairie, ai- tu6e dane la Paroisse St. Landry. Une Maison en charpente. Deux petites batisses accessoires. Deux paires de beaufs de tite, Lits etlinge de lits. Un petit garde manged Trois chevaux creoles: CONDITIONS :- Un an de credit, A partir dujour de la vente; les acquereurs fournis- sant leurs billets avec s4curite solidaire, A Ia satisfaction du Greffier de la Cour de District, et faits payables A son bureau, dans la ville des Opelousas, et de plus, la terre demeu- rant spdcialement hypothequee A la dite suc- cession jusqu'an plein et entier paiement du capital et des interets qui pourront s'accroi- tre, A raison de 8 pour cent par' an, de lenr Achiance an paiemelit. Opelousas, 2 Avril 1859. LORD BENTINCK. CET dtalon pure race, servira cette saison dans les dcuries du sous- signd, a Bellevue, Paroisse St. Lan- dry, Lne. GENEALQI..--Lr d Beninc/• a t engendr6 pai, Belshazzar, imports, et Sally Nailor; Sally. Nailor har le jeune Knowsby, et le jeune Kriowsby par Knowsby, importd; et suivant ainsi la lignEe jus- qu'i la c•lbre Sheperdess. Lord Bentinck a td ilevd par M. Polk du Tenr nessee. DescaxrTroN.-II a seize paumes et derm.de hqut et est proportionn 4 poui la force ej ra.eourse, eat d'un rouge-foned et a les jbr'bes, la crinibre et la queue noires. ConT'rloNs.---Dix piastres pour la saison deo cinq mois, commengant le Ier mars et echdant le ler d'aofit. Les juments des districts dloignds auront lajqu. issance d'un bon paturage a 50 cents par semaeae. La nourriture payable A part. Toutes les Juments soat aux risques des propri6- taires. F. BUTRR. St. Landry, 2 Avril, 1859. Btons .?Ia'rctahs. LE soussignd, disrrant se retirer des affaires, vendra dBs aujourd'hui son fonds de Groceie, .au-dess~us TEAS. du prix du cours, prour du comnpta4kt. y - II saisit cette occasion poor prier ceux qui lui doivet te.venri payer. II offre dgalement h vendre,•ou ' loier h bail. sa propridtd situde 3 Pencoignure des rues de la Cour et Bellevue, prBs de Is Maison de Cour. CORNELIUS DONATO- Opelousas, 19 Mars, 1859--10m 4TNE HABITATION, bien 4tablie, et en partie boisee; situ~ie sun le Bayou` Mallet, en cette Paroisse, mesurant cinq ar- pents de face sur vingt de profondeur. Une autre Habitation, gale- ment en partie boisee, et bien 4tablie, situ•e dans le mn~me quartier et adjoignant la pre- miere, inesurant deux arpents et demi de face sur quarante de profondeur. Ces deux habitations, dont le sol est excel- lent, seront vendues ensemble ou saparement; a la convenance des aequereurs; S'adresasr, sar les lIeu,; & F1 AN(OIS GUILLORY fila St. Landry, 26 Mars 1859. S. LEVYR Rue Main, a c6t4 du magasin de Ch. N. Ealer. L E sonssignE; c onvaincu qte lea ach•ts faits de bonne heure, an renouvellement des saisonse de printemps ou d'hiver, peuvent seuls permettre au marchand de choisir ce qu'il y a de plus fanis et de meilleur, eat k meme d'offrir lea mAmes atVn- tages A ceux qui l'honorent de leur confiance A son retour de la ville.. En venant visiter son dtablis- sement bien connu pour le choix de son'assorti- ment etla grande modicitd de ses prix, on se con- vaincra de la justesse de ce qui prdchde. On y trouvera constamment: Robes de barAge, fantaisie n Jaconats, Brillantine, pdiennes - Indiennes, dessins phoisis, Gank ; 0 Jupons, tollerettes, Crinolines, oet toute espdce d'articlei pour dames, A la derni re mode. Aussi, V6tements de printemps.poori•ommes et enfants, Chapeaux, Casquettes, Souliers, Bottes, Chemises, Chemises de dessous, Calerons, Neuds de Cravates Chaussettes, 8&c., &c.; glleas Hlarnais, Colliers, et beles Selles pour enfants, &c., &c. Venez, et vous trouverez tout ce que vous pour- rez ddsirer;A des prix qui vous dtonperont. 8. LEVY. Opelousas, 19 Mars 1859. L E soussigne ayant pris le contrat pour 3. le transport de la Malle do St. Mar- tinville, par le Pont Breau et Gros Chevreuil aux Opelousas, continuera A transporter lesa voyageurs au meme prix qne l'i aiienne malle. Les voyageurs qii voudront se ren- dre de St. Martin :ix d Soures de•eBll.Che-: ney, pourront I ,fare par o cmoyrn, (et en versant prendre l'exprbs du doansgnd aix Opelotsas4 moyeinant la modique somme `de huit piastres. NOELtLARCADE- Opelousas 5 Juin, 186$. A'euveuee.TtIedecIfles. T'fthhE1IS1TE IES MEDECINES DE; L FAMILLE c., ( Philadelphia. Etat de la Pennsylvania) organi.ae dana Jo burdiri tr r lea, maux provetant do l'ubage de mauvaises at fusses pr p atloibs mddicalee seeraCteSi td lue substi-, tuer~ds tremrdes do famiti sru,'i envoyd I John I'o ey un assortiment de sea prIcieuies prdpara- de is fi W ev t dtufri aod. Siiop d' racine do innce, doe Rowands, pour la gudrison de Ia~diarrbde, &c. Rembdes (de 1'Universitk) pour lea naJe4i des' poumous, &c.; Rem de pour la dysnojrnie on dye. saeterie &c.; Rembde pour Ia toidttpation (pi- tuese)"; kembde pour lea maifa d'yeux; Remtde pour <Ie mau d'oreillep ou ap'dit&; lemudo pour.le mal do dent; Remoe pour Ia vikvre it le frisaon,' en forme de pilulde'o Diflgra wt ,ds' divers vem~d'a aeets jodr,; ceux-Ci nt comptent qua ant torur efficacitd pour se rendre populaires. A vendre, engrt enuddtaiI OpluOHN 1 v08EY9 Ofpelousas, 19 Fdvrie is: 1859: ` JOSEPH IIAASi Taillenr, Rue Bellevuse, I c~ Edu S 4on du Coifeur, l~kWrSu~ s eervice$ afl h~ft ut6 dqs Opelousas F et de ette PaIroees, en gen6ral. Esptraut satiefaire tons lee goftta, il rkclaine u er p frt dI'en- crnagementdu pulic Coupesselontobilee d et is bon marcbh pour du comptant. (2G mars "fi

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O .0 L S O : o b es 7AV l,85. N 1

V POL. 7. 1 OPELOIJSAS, PAROISMSfLLANDRY, [Louisiane,] 9 AVRIL, 1859. N Ro. 18.

SAULDI `MATIN. 9 AVRTL, 1859:

$WF ALlBT DEJiAN eat candidat Inddpen.rant pour la place de Grefier de la-Cour de Dstrictde ai Piroles St. andry. L'Electlon umra lie enNovembre prochala [f12 1lv 1859.fNo~ sumee4utoaedi I annoni r L .L. V

'C11 CBERE, .Bdtulafia letnel, ;pmme, todidta isplace de ShBr•f.e l ioL Lae nd, i '6 ode novembre probain. 2[ adrl 1859

t liNous aommes eutrfed a annonuer I. VaILr-.~sEUYv Jonunsa conmmo candidat k laplace d'Aasee-sear pour Ia Paroiese St Lsndry. L'dlectlon aruIles en eovembre prohain.

Er.or so o L.uiu.--A une dlection tenueen motr- viliq lundi dernier, pour sept mem-bres du (aon•eil de Ville et un Constable,les messieurs auivants out Etd l1us :P. L. H brard, Joel H. Sandozs,R. H. LittellB , A. J. ThompsonW. R. Mogialey, Marti Peraul.'. A. King,

Mit•b l Muisand a Est rdlu61 Constable deVille.

Opelousas. Dane notre _Paroieee,e vote adtd extrdmement .•ible, n'dtantenu out quedeo 825 voi, dent 4t: pour MI. King et s50

pour lege •i Vorbse tLndis g•pl anrait puallebr a delA de 2000 oia.

Trois precliotas n'ot diot feit de retoure.*Par' mdgArde our par negligence, dour

preoincts, UQhataigeur et Artiiadville, outdad onmisdais 'rlavis'e 6']ectibn. Le pre--nier &' pas ouver-a-n n b oer-atiwe, tae

die quo le- dernerr Pa fait et en a euroyd leradsultat. .

Nous publions, dane Ia partie anglaise de.ec jour, un tableau eommaire d4 vote 1denotre Paroisse:, uquJel noUS rdfdroni sos'

,J' None epprenone vethlemoent que la?aroise. St. Martin a donnd*247 voe deajorit4 ao juge Yodrioes, et Lafa&ette 30.M.areu:*e. Marie, die la ruinm ur- an-

-rait dgalement doned- ne fable majoritd- ajuge Vooifies.-

SNous donuosn oes nouvelles cooime lleeold arriven' . $

:des amieet oonuasiudesd M Emile3 Big*4 rennmeub~pt .,;en vile,,e&:wt u Ir tie I maaison . B. Ya kntine.

"&CodeI Novelle-Q~AE, ppproaadzoiza'veo phyi n'i ient d4ariver3 nri none,obi U eteurar unehqu jizw~d djo urqspu

afirs. Nua ppreaons qu' aoeh&*4ea

hs -au h ix du cours.

Q&Y ar, e~ietiugu6 :'r-. 1.Msrtivrflo & nde ns ate ioi n 4p rnd uo`a :igor eyartst

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mm~ioiens dea,aura su$.t pen i rnon en r iede rnor

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NICARAGUA. iNOVBELLES IMPORTANTES.

Le steamship Northern Light eat arr;v•hier a New-York, avee des nouvelles in por-tantes du Nicaragua. Le p4sidentMartspesa deerdted 'ouverture de Ia route de tr'atis•a touter lea nations; le monopole n'en Partaccord &I anoun gouvernement et a aucunecompagnie; le passage de troupes a tradesl'lsthme ne pourra avoir ,lieu que de la

maniare stipulie dans le traitd avee la coan-pagnie Belly.

On annone Ia ratification definitive d•traits nagocid par Sir William Gore Ousely,entre 'ngl terre et le Nicaragea. Les dis-positions . sesnt lesa mmes 'queo celes dutraitd (Caess rissari, si ee n'est qu'aieuneforce arm6nne pourra debarquer sur le ter-ritoire qu'n&a demande exprease da gonver-noment du Wicaragea.

Le navirn de guerre des Etats-Unis .e-catur, parti de Bealojo, leo 23 fivrier, avecordre d'aleir semettre a l'anere A San JuanDel" Sur 5jsqu'au"15 mars, a ate pris a sonentroe dane le port pour un navire de flibus-tiers oaemande par Walker. Une gra~depanique a ignof imuaidiatement .en vile etau loin dads iesenvirons. Le president Mar-tes, a la Ste do trois cents • hommee, a mar-ohE contre lea prteendas envahisseurs; alorsseulement!l'erreur s'est deconverte.

Pendan~ que ce petit ev6nement se passiit& San Juln Del S.ur, 1'expedition fra9gaise

_sos les os~res de M. Belly, oprait la saisiedes :teamers de la Compagnie Am•ricainede transit, le Cass-Yrissari, le Catherineet le Maria JIfnlzng. Le pavilIon ameri:cain a •te'abaisse et rempJlae a bord: deahacun das trois steamers par le pavilion duNicaragua. Les hommes composant les troisequipigeo out etC emprisonn.s dans le fortSan Carjoe sur la rivi8i San Juan.".Le consul Americaii voulnt intervenir

pour emliecher l'exieution de eeos meuressommaires, a ate brutalement insaltraite, etI'on naiire mnmemque tons lea amiricainsountetE chasses du pays:

L'expedition fratiaise a ps ossession deIa viue do Castillo et de tons le ioits impbr,tants de la route de transit; ell. a Etabli ACastillo son qnaftier-g•n. ral. :Le port de .Greytown, rempli, dosable•et-

de depots est inaccessible •ax ateamers.-:

US$ FXPEDITIO COO'TJ E CUBA&.

N~ous rouv~t ns tdase d~pelio tENgiaphiquesparvenues' de Neow-York, k" la date-de samedi, tnfrit:.d'u ties haute et tri4s regrettable importance.C'eet lss wolo ufvei Iedune ezpEditioun l bostiawo ootire

' Cubs, et tlue isCoirr idera . EtWts ' ' ddsooaomae pr.the A pn tfr. -ti.. ?Noes knaima =A peneor quo Is rdvdktiaon du fait

seraipou= en 3WrdteOrrezntIO U ; et nonu 'nousbt4odst'd volrutne procamizradont duprsident i-chaua*Ef1tdumntla innriet nt n cebun lesdee Orba-nieateura de cetto eipEdtlda. Souesa- certain rap-port niione n0 tOrfttt0siIpea deoaic aoft o 1 entre-prise ee r,~odu ce setups une occasion pour M. Bu-chanan imanflest d'uns marneprdciteetifr. n-ebea potidqu 'dins Ia question d.Cuba. Senepreoews sods, 1'43, * a cltendoioa parlA'tout cool` quiwpartagentuosea Wes deiotnw s at our Cuba, oto pou-vsien t mpa tenddro au.gonirromenl e Wsingtouuu ltIsgepkt ads . Beats A eavolf sIN Bo-

cbsaigw~as~do. Iole n tar-.in aupieddumurnuet' .: usis : ndcesilts4 :tiler lea sous-ontondusdie as doctrine i e A' I'e'it itdo Cuba, ou do lee oxpli-quet do isn1tie tpluas ela rd deuto "str i droi-tpou do as ctrnduhu daapeottequestlon. Pour none,noun a vonlotts apsdoaterquoM ld`Buhanan te non-damue s;treyo meat 1'eIea pddon prjoete, et

quilti I ris sa~rore ains. iAu direa n Coiiu$te (h ~Usas, 'expedU~on

riLBbtc Ia juoe s duiptemesiL

Le uantler gdnren Ai New-York; 'male an si-

la~hie'd `i.4e~ ~tL ledaleum-ll

Uiaa ueuu alur kdecc~~~ ~ ~ guin tos ~elo

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est la seule garantle sdrieuse de l'ordre etprop4ent•Lea partisans de la paix o tout pp'ti out ptu se

fhire on moment I'illusaon qi'ils teient le iesnombreux, et de 1k vient, sans doutt, Perre'nous parlions en commencant. Is sont ard tbruyants. D'abord, on n'aentendu que le bruit deleuts protestations et de leurs inquietudes. Quel-ques fluctuations sur le march6 de la Bourse, unelbaasse passagbre ii faut l'espdrert saur leas salutpubliques, ont ionnd a ce parti de la pastiqueoquelque apparsnce sdrieuse. Fort heureusement,ces 6motions sont pet durables, et ceux qi- sontlea plus prompts a s'alarmer sont les plus facile~ sse rassurer., Cala monte et s'abaisse comn'it latote de la lrourse. L'agiotage, que nous sommeraloin de confondre avec le reddit, n'est que l'efler-vescence des intdrfts dana un sens ou danas n autre.I1 no'y a done 'l qu'une opiiion factice qui chaque

jour tient sehnce sur le boulevard, qua parie tr&bhbaut, mais qui, grAce &aDieti-n'est peas celle du pays.II eatjuste'de reconilaitre cependant que cette ar-deur pour la pair se trouve aussi dans certaines re-gions plus pures, plus 6levdes; grands banquiers,quelques hommes politiques du dernier rbgne, sontdane Ia mime vote, assurment, par des raisonstoute.dif entes et sous 'influence de mdo iles etde ~eitionsaue nous respectons.

L~partispnsde la guerre se recrutenten generaldana I ancien parti rdpublicain. Its sont les hEri-tiers de:cetta politiqie de propagande qui a entraindis premibre r epublique dans des entreprises oulPexc8s d'audace n'a eu d'egal que lexe$s d'hd-rolme. Ils voudiaient rEvolutionner les peoplespdbr lea affranchir. Lea traitds tie snt A leurs yeuxque des lois injIstes et caduques, imposaes parlaforce et rdprouvdes par le droit. Ils ne poursui-vent rien moins qu'un remaniementl complet deI' Europe, sans tenir compte de ses divisions de seafrontibres, de sea dynasties. La guerre en Italiene serait pour eux qu'ane preface, et le drapeaulibErateur de laFrance, apris avour flott sur leasAlpes,devrait aussi.p montrer sur le Rhin, en Po-logne, en Hongrie, partout oft une revolution estpossible Danace systbme, la France n'aurait pasbeaoin dalliance; elle aurait pour allids toas leapeuples qu'elle associa nagubre a ea•loire et surlesquels psentplus lourdement les traitds.

Enfn restent lea partisans de la paix condition-nelle, de la paix qui n'entend rien sacrifier ni rienabdiquer. Ceux-li n'ont ea "ai trop d'effroi, nitrop ,dede•ance." Ilsont: parfaitement comprisque laFranceet PlEurope avatent on immense in-t6rttdans une solution eflicacee de la question ita-lienne. l

ls se sontdit qu'il ne fallait ni brusquer,

ni abondonner ceette grande et diflcile question.La pr6cipitation nous elt compromis. L'abandonnous $urait affailtlis. Elle veut employer tous leategdraments necessaires pour obtenir ce qui eatjuste; mais elle est rdsolue a refuser ce qui serait

une concession a la veritd, au bon droit et a la ad-curitd comme a l'independance de PEurope.

Nous n'hbsitons pas b dire que lea partisans decette paix sons condition sent ddja nombreux etdeviendront?'lmmeuse majoritd du pays. Ils sontpartot daas toutes les rdgionade ia seciEtE, en haut,en bas et an milieu. C'est ce peuple lIborieux etfieaqi q travaille h sonsi-iot, -wk sor- atetier, etqni ressent plus , vivement que personne toutes lesatteintes portes I Phopneur national; c'est cettbourgeoisie si &Elairde, siipatriotique; qui squs leadiernierrbgne, a'eat isolde d'une dynastic qu'ellerespectait, parce qu'elle, ne parlait pas asuez hautdans les positions elevdes, cette elite d'hqommesderace, d'hommes de talent etde go0t," qu'compren-nent qu'une nation comme la Fiaince ne saurait,sans ddchdance, p.erdre:saplace A la tete de la civi-lisation. Voilk la veritable opinion frangaise. Ellen'impose au gouvernement ni le paix, ni la geurre.Elle lui demande une paix glorieute, ou. si elle n'esteas possble, ell e~at pritae I accepter une guerre

Cetteopinion, dont nous e sd l'interprtedes Ia premiere heurn, deviendri'a eaqejou*plusnombreuse, nous se rEidtonsa ea toite assurance. IIy a'e~n d fes fillances, des incertitudes, des hdsita-tions qutopt pu faire illusion au-elb de la froptihre.Mais que l'EuEuoe ne.ay. tronie pas: il east'plusdificile de retenir la France qua de l'exciter. LaFrance sera tout entiere vec 1 Emperanprpotnur seddvouer i ec q sees stile a notre influence danale monde.

La France entreaest aveehPEmpereur pour vou-loir a pair sts coisditio•; mais elit ne sauvra jamaisceux qui la veulentmsas condi•i .

Lus REPUImtoiussn Noix asD NEW-Y0RK.- Ceoo exoellents philanthropes i marchenttoujours on avant dane Ia 'oioe qu'ils se sontouverte. lie ne savant i'quielle mesure avoirreoos spour' blesser lef sueseptibiiit~e 4u"'8ud, quit onmprodlra,. stne domte quie letemap tveinude deplloyer 'son7energie,` etdo prover qu'ileet d60i41 d faire tespectersee droirt. Deo rinitiative vigoureusee.-4'est,tout c qui'fl nuousJat pour r4ueir. )IMM:du Nrd ont trop besoin dno nus po~ur qu,'iisano ieulent pas qujnad usne so verront dcci-

plus qute kioir, pour da~ie ~IcissionPour d!o 9revni~r aux kpublicainse Noirs

du -Nord, c nxci vien ent encore. deb faireo-passor, au uei de lEgislaured dN~ew-York,uno rWE8OI qiseder lia Consti.t~tion 'do tot1 x e droit devote soit

binufse_____ ultzpn

n wf3sw l

~.:d4 ifledwgda

-Ni -ilir sasaet ee ivrs omtesde iglalse"1uo m on erdmrf re'hu-;ntn

n Cie snantlee mpehieaet~~e sntin dehen

tOnt learu vendre, aux prix lea plus bas, les trou-peaux d'animaux qu'ils volekn aux habitants de laCMb4Geltie.

On encore:

LES tREREs H.... & CIP,Ont aussi I'honneur d'annoncer aux Courtiers de la

Nouvelle-Orldans,. que leurs grandes relations com-merciales, avec les ndgres les plus roids des At-takapas, lee mettent A meme d'expddier, chaque se-maine, des balles de coton, voldes aux planteurs deleur voisipage.

Si les gentlemen de la pegre attakapienne ont dd-daign6 la publicitd des colonnes de l'Echo, ne croyezpas que c'est par crainte des lois. Non, c'est toutsimplement parce qu'ils n'appr6cient pas, a sa va-leur rdelle, le rdsultat produit.par une annonce com-merciale..

Devant un tel 6tAt de choses, l'inertie des hon-nites gens efllft6 une Ilchetd et, grace it Dieu, Ia06te-Gel6e ne manque pas d'hommes de courage.

Un comit6 s'est done formd et s'est mis l'meuvre,non pour violer lea lois, mais pour punir lea voleurset les incendialres

Jusqu'ici noas nepouvoes trop appronver les actesde ee comitt; la manitre dont ii eat dirigo par sonchevaleresque capitaine, an homme de ecur et detate, est digne des plus grands dloges.

La peur ne se commando pas; tropsouvent h6las !elle est dpiddmiqge. La plupart des jurda de La-fayette n'osaient condamner lea auteurs des vols etdes incendies, dans la crainte d'etre lea victimes desautres sodldrats de cette bande si nombreuse. Lecomitd de vigilance s'est dtabli en jauri permanent,voila tout.

II ne condamne lea accuses, appelds it son tribu-nal, que sur des preuves certaines, et it execute lui-mtme sesjustes sentences.

De sa propre volontd, il s'est charge d'accompiir andevoir sacr6 et il ne peat y faillir sans ddshonneur

Daj, on voleur nomm6 Gutbeer, a dt6 fouettd, AIdeux reprises diff6rentes et chass6 de la paroisse; Iil est parti pour la Nouvelle-Orldaus oil il trouverabeaucoup de sea pareils.

Deux frree H .... , onvainnus de vols d'animaux,qu'ils avaient l'audace de conduire par trouaequx IIs Nouvelle-Orldans, et de vendre, sans mAme alt6-rer lee marques des habitants, out ltA condamnds a8tre auasi fouett6s et chasads. Ges mnmes frdres H... Isontaussi accus6s de trafiquer avec lea ntgres et derdeolter ainsi plusieurs balles de coton.

Le comitd eat ddcid6 h agir avec fermetd et ii e-cepte, devant le peuple, la responsabilit6 de tons ses

aetes.Son Code penal se r6duit a trois punitions; ie fouet I

et la proscription pour lee voleurs, la corde pour lea 'incendiaires ! !

Le comit6 eat done d'accord avec Ia loi.L'honorabilit6 de son ohef et de ses membres lui

asdureT'approbation et le soutien moral, sinon actif,de la population. M. Eraste Mouton, r6dacteur deJ'Echo de Lafayette et frrre de l'ex-lieutenagou-vernenr C. H. Mouton, a 6crit on charmantitticleen sa faveur. Les adhesions des honnites citoyenslul sennentd tndtes parts 't oan ns assure qu'un

citoyen, un riche planteur, qul a en l'hon-ur d'occuper avec 6clat la premiere' magistrature

ded'Etat, a proelam6 seos sympathies pour le comit.

de vigilance et protege de son influence, la forma-tion de nouveaux comit6s daus lea autres districts

C'est avec plaisir que nous publions la proclama-tion si digne et si loyale, que lea membres do comitdde Ia C6te-Gelde, adreasent h leurs co-pariissiens.

Que nos lecteurs la parcourent etit saequerron4(Ia certitude que le comit6 a pour lui le bon droit, etl'opinion publique.Le comite de Vigilance des fine, Cte et'1mnistricts

dela Paroinse Lafoaette d ses canuitoye.s:CowcrroEis,- ogaouid ien cosit de vigilance

-- c'est-A-dire en tribunal extra-ldgal--noos vous de-vions compte des motifs qui none out poaseds a uneeinsurrection momentande contre Padmininstration rd-guliere de I justice: ceccompte noun vous le readonaaa:jourd'hui.

Nous le rendonse,;ien entendu, A nos concitoyenshonnates; k ceux qui sont nos pairs en honneur, enintegrit6, en respect de toutes lea lois protectricesde la soctit6. -

Noes rougirions de dire an mot, en seal mot a Pa-dresse des bandits qul infeatent notre Paroisse, etencore moins B l'adresse desamisou complices deces bandits. A lears calomnies lointaines nous op-poeons le mdpris ; it lters calomnies •iace nous rd-pondrons par le fouet.

En commengant, nous nous inclinons resplpcueu-sement devant Ia justice-la vraie, Is sainute jdistice;colle qui careese l'innocent de la nime main dontelle frappe le coupable.-Celle-l3, none sa respectone,sans las craindre- car ceux qui vous adressent ceslignee, soot, its osent le dire, des honimes qui n'ontjamais violo aucun des devoirs qu-elle impose au ci-_toyen. Mais ceci poed, soas jetons in voile sur sastatue que des misrablsa ont taut tois insultie,frappfe an visage ononou disons i tco'qui, junqu'hpr6sent, '.ont souffert sains se plaindro, lea mesmaul que nonus

Cito les malfhiteurs pillent, brlent, ravagentt ,oes ,joura notre Paroe.. ; Lea agressions a la

'proprite6sot doesfaits deo tos le•jours, de toptesleen reos, nous pourrions eajoiit doetoi lea instants.

Lecrime a ic oune ara' qun caoplanee gdndraux,

Comment tUnouvl par - le orls pu s'orga-niser a cette Paroissn, ofiagen ou'honneur sent

:on i grand no~~•mbe noun a olune o dire brutalle-

Seolevotas done les pice qui rogent notre Pa-roeo; au poitj oa noes en ono eames, o'eet faire acte

cent.o.s.i sa lein.", - u l, ~ d ojemnes aqu'l,$Ic,~1 pajurel 'car ein. aoq`t an ceux quo lea

t l' d 4 cou~pab~les, lojurycrtime ' it pins gap~trt-+crime b01 to

` a d xmemos qu'il

- aentoret l'evi-

nLeot sonnes au ba-

Anaditst j trtee ouver

Livol In jour, k *itont tt Lovola-i- atf;dsiol-n, A mdn "armtt;e- .a . par.

heat! Lbvol""pardees6at5vesp p noad pr de las Ml5lt coeosahe efave1 e"

j t o bndt .foikn i t oneyatFu tote ,l~n ruvdt Aln p ~ Raes,

blank:~ toti I i tegop

d -i -ted di ilgd o brcn i.Les ~ un kit ue eeee;

nadtu Aoevr eoeen.'oteMdeeuA tottcq fk d~ de oteI

Vigilance.Notre programtue he contient qu;un seul mot:

ChAtimentiCh&timent sotthnalre et implacable a tous ceux qui

cOtinhettront le crime de vol, on tout autre, dansnotre ressort!

Le fouet et la corde seront nos deux armes: teori-bles et fltrissantes toutes les deux!

Voila notre programme.Vous voyez que notre association est celle de

l'honneur contre le crime.Nous ne craignons pas plus le blame de Dieu que

celui d'un jury.Maintenant, citoyens, ecoutez notre dernier mot:Si vous approuvez les principes et le but de notre

association;Si vous tenez a conserver ce que vous avez acquis•

par votre travail;Si vous desirez purger notre socidtd'des elements

immondes qu'elle contient-et designer au paysceux que la corde ou le bagne attendent depuis troplongtemps;

Enfin si vous voulez comme nous, marquer dustygmate du fouet on punir de bannissement leahommes tarrs, dont la presence est une insulte a notretnoralitd et und•anger pour nous et nos families;

Imitez l'exemple que vous ont donne lea citoyensdes 5me,.6me et ?me districts. Levons de concert etopposons lea soldats de rhonneur a ceux de l'lacendieet du pillage. Gravons avec la lanni re de nos fouetsle mot voler sur lees paules de ces miserables.

Une explosion populaire les broirait en quelquesjours-et la paroissse nous devraitsa regeneration.

CoMITe ExcUrrTwDes 5me 6me et 7medistricts.

Cote-Gelee, 15 mars 1859.

CO MMERIAL.REVUlS DE LA SEMAINE.

BUREAU DE L'ABEILLEI Nouvelle-Orldans, jVendredi soir, ler Avril, 1859. .

Nous n'avons k constater qu'an monvement mo-d4rd depuis notre dernibre revue. Leas prix dequelques-uns des principaux articles ont varid. Lacoton a hauss6 au .commencement de la semaine,mais les dernibres nouvelles d'Europe ont eu unefecheuse influence sur le narchd. La farine atrouvd peu d'acheteurs et nba gubre varid, tandisque les grains se sont cou4Ilsfacilement k un•baisse. Le march4 aux provisions a 4td calme;les principaux articles out debhi. Le sucre estreste ferme'mais la mdlasse a tendu la baisse. Lademande de tabac a 4td fair. Le frete a 4td animda une baisse et une nouvelle hausse s'est ddclaredans le change. -_11

COTON.-Arrive depuis le 25 du mois dernier-25,604 balles. Expldiddans le mime espace detemps. Ensemble 63,884 balles, faisant une r-duction au stock de 25,127 balles et laissant enmain, y campris ce qui se trouve a bord des naviresnon exp6dies, un stock de 402,590 balles.

CLASSIFICATION DE LIVERPOOL.LovUISAN ET'r MISSIssiPPI.

Inferieur, 6 a 71Ordinaire, 8 a 81Bon ordinaire, 10 b5 10lLoK Middling, 11 a 11Middling, llu a 12Good Middling, 121 a 121Middling Fair, 121 a 13Fair, - a -

SUCRE. - Demande fair, approvisionnementmodlr6 et hausse dans quelques qualitds. Lesventes de la semaine comprennent 6000 boucauts.l'rix h la clOture:

Infdrieur, 3 5Commuon, a 5Fair 8 Fully Fair, a 61Prime et Choix, 6!a 71Clarifid et raffind, 7 10

MELASSE.-Demande moddrde; les prix sesont 5 peine maintenus. II s'est vendi 8000 barilsdont la plus grande partie a 271 a 291 cts la fer-mentde, et 30 a 31 cts le prime et le choix. Lamlasse en demi baril vaut de 32 a 36 cts le gallon,suivant la qualitd.

FARINE.-Marche tras calme durant la plusgrande partie de la semaine. 7000k 8000 barils. Isplus grande partie k $5 75 a $5 871 la superfine,

5 235 a $5 30 la non marquee et $f 25 a $7, le barild'extra et de choix.

MAIS.-Marchd lourd. Environ 25,000 sacs A85 a 90 ets le boisseau de milang6 ordinaire a blancprime. Lesprincipales ventes ont eu lieu, par spe-culation, en mnagasin.

AVOINE.-8000 a 9000 sacs avoine du Nord k.756a 78 et80 cts ordinaire h prime St Louis, Nord,&c.

PORC.-t-n peun d'animation, mais 8 urre baisse.2500 a 3000 bards de mess a des conditions particu-litres. Prig nominaux h $17 a 17 50 le baril demess. Le stock dans les entrepOts d'inspection eat,aujourd'hui, de 42,168 barils.

BACQO.--Marchd tres calme. 200 8 300 bou-cauts dont la plus grande partie a des conditionsparticulibres.. Prix nominaux 8 71 a 7} cts lesBpanles, 91 a 91 cts lea plats c6tds ribbed et 11i a11 ects la livre.

VIANDE.-Environ 100 boucauts de plats cOtsa- 83a8 cts a livre..

BtEUF.-Les dernihres ventea ont eu lieu 8$16le mess pour families; le prime leger et $14 Ie barilde mess.

BEURRE & FROMAGE.-Le bon beuzre del'Ouest s'est vendu 9 a 13 cts et le fromage 8 a 10cts, suivant la qualit. -i-RAISSE.-Pen recherchde. Quelques cen-

taines de barils et tierQons i 11} a 11 le prime etle choix et quelquea centaines de barilleta k 121 a13 cta la livre.

CORDE ET TOILE D'EMBALLAGE.-Toiledu Kentucky - 12 a 15 cts; celle de PInde 12)112_cts Ia yarde-Quelques centaines de pikcea etde balles. 'La corde vaut 6* a 7t ct celle faite k ismain, et ' a 81 cts celle faite a la machine. 300 1400 ronleaux ont et6 vepd's h cesprix.

CAFE.-Demaride faible-A peine 5,000 sacs ki01 a 31e le bon S prime. Le stock est rldoit9,000 sacs et le marchd est trbs ferme,

WHISKY.-Marche lourd. 1500 k 1800 barils,dontla plus grande partie k 25 a 251 cta le rectifid,et261 a 27 cts le gallon de commun.

L'ECHO DE LAFAYETTE.-PobliE Di Vermillonville, en frangaise.j enfnglais,tonus les Samedi, par Mouton & Bailey, kt 3 peran, payables d'avance. -.

LE DEMOCRATE DE ST. MARTI'N.

,.-Publid- #s iea Samedis, en frangais et enan-gaii, It& St. Martinville par Tbdlismar Bienvenu,

SI•paIr n l payable '-davaUce, on $d g lafin de

..ta v~-ILL!AGR oIS.-PubliE k Marksvdle (Avoyelles), en frangais aten anglais, tous lesa anedis, par Alexaudre Barde,

..$ pa•r -an ayables davanee; on $4 bla fin dePannee.

COILRui P AE DISTRICT, jNo. 8679:.P~arowu "&.Landvy.

Succession de Louis Stelly decede.

V ALMON STELLY, de, cJ Poroioa.St.;Lauda ; Adminigrateurcdef Jo sue-

seaeeDo do Louia ,sdly ems,6de rnremenide Is'ar P eD St Lndry ayantp~E~thetunT nab1 de Csifia~tin dne lea dafaues dola dto Suee tr aese~om 'une petSitiodemasdaut YhOuiologatibon itai -Et atstendu qua'il' s fait dro di ia i adee deIs dite petition, par ordredola Gourseaitej

Encensqtne00 su epar 1e preoentdona6 i: inteirii6a whinsette succession,d'wvoir ~ddsnire par 4oait, Ott;.Grefe de Ia

a b dedsa. leea trente lour qui wi-yroe s~ate do present ate, , lea raisons, si

Dun ,perlesqulsleditTableauno serai ,l'admiiistrateur autori-

e. Ipayer lea dotes de is succession eonfor]~P~;;:~~I la elaesifcation-at lb a~hE~ distnbutiouM

dudit tableau~u-t~~; ~ k~

Loge HI.'. C.'. No. I9,M. A.. L.. .& A..

UNE assemblee r6guliere do cetteR... Logo aura lieu Mercredi pro-chain, 13 courant, A 4 heures de l'a-

pres-midi. Les freres ttrangers sont invitesa assister A la seance.

Par mandement du V.. M..E. PILATE, Secrdtairc.

Opelousas, 9 Avril, 1859.

EXAMEN.M ARDI, 12 Avril, examen des 61eves

de l'Institution Littdraire. Les ex-ercices commenceront, pour le frangais, lematin a 9 heures, pour l'anglais, le soir a 3heures.

Les families et les personnes qui s'intC-ressent A la jeunesse, sont prides de venirhonorer cet examen de leur presepce.

Opelousas9 Avril 1859.

BOUCHERIE.L E soussigni agant prisIl bail duzMar-ch6 a la V1 nde de la ville des Ope-

lousas, et 4tant maintenant pourvu de beauxbeufs, en excellent etat, considerant la sai-son, annonce A ses amis et au public en gC-ndral, qu'a partir d'aiourd'hui, ii vendra saviande A 6 cents la livre.

RENE MOURET.Opelousas 9 Avril 1859.

CAFE CHAUDALA HALLE A LA VIANDE.

C EUX qui desireraient prende une tassede cafe ou de chocolat chaud du bon

matin, sont A mime de le faire en faisant untour de promenade A la Halle.

Opelousas, 9 Avril 1859.

DES dcuries de l'habitation deM. W. Harwell, a Bellevue, Di-

anche soir, S courant, un grandCheval amdricain noir, ayant des tachesblanches, oammarques de selle sur la croupe,une touffe de crin blanc entre les oreilles, etla marque de la corde autour du nez, et estbon cheval de route.

Une rdcifpense liberale sera accordde Aquiconque ramunera ce cheval au soussigne,a 1'habitation sus-mentionnee.

DAVID SMITH.Bellevue, St. Landry, 9 Avril 1859.

PHARMACIE DE WASHINGTON.LES soussigs informent par le prd"

sent leurs amis et le public en gendral'qu'ils viennent de recevoir un assorti-ment considerable et frais de drogues et

mddecines,ainsi que peintures, vitres, parfumerie,de toutes sortes, &c.

Ils sont agents-pour Is vente d'une grande quan-tit6 de mddecines patentees lea plus populaires.

A. LOUAILLIER & CO.,Av 9, 18591 Washington, Lne.

UNE negresse agee d'environ40 ans, bonne cuisiniere, blanchis-seuse et rea~seuse, avec ses deuxenfants,- e filue de 9 ans et un

garcon de 6,-pleinement garantis.S'adresser au soussignd, ou an bureiu du

Courrier des Opelousas.JAMES H. LYONS,

Av 9 '59] Washington, Lne.

A VENDRE.Un Morceau de Terre,

situe l Big Cane Ridge, dans laParoisse des Avoyelles, mesurant deux millesde long sur un demi mille de profondeur.

Pour plus amples informations, s'adreseetan bureau du Courrier.

Opelousas, 9 Avril 1859.

Ejtat IC a Lr Louttale.Counva DISTRICT, No 8652.

Paroiss! St. Landry,

Suwcession de Edmond Sellers.J OHN WRIG HPt, de la Paroisse ~t. Lan-S dry, Administrateur de la Sdceegpjon

de feu Edmond Sellers, decede, dernierementde la Paroisse St. Landry, ayant presenteun Tableau de Reglement Final de la Suc-cession an communaute entre les heritiersdu dit Edmond Sellers et Marguerite Simon,sa veuve survivante, actueIlement la femmed'Auguste Langon, accomnpagnE d'une p4ti-tioii demandant l'homologation d'icelui ;-Etattendu qu'il a e6t fait droit a la demande dela ditre petition par ordre de la Cour suaditeen date du 24 Mars, 1859;

En consequence, avis eat par le presentdonnE anix intEresses dans cette succession,

.d'avoir a dEduire, par ecrit, au Greffe de la(Cour susdite, dans les trente jour qui suni-vront la date du present avis, lea raisons, siancune ils ont, pour lesquelles le dit Tableaueno serait pas homologue, l'administrateur de.

charge de toute responsabilitE ultdrieure etson cautionnement cancell6.

L.:LASTRAPES, Grefllier.Opelousas, 9 Avril 1859.

ELASIE PITRE, de Ia Paroisse' St.f : Landry, avant. prdante a ne pet tion

1 I'effet d'etre uomm % Aduminietratrioe dela aucoession de feuAn ate3 J. Pitre, .eeed6,"derni~rement do alPatoisse &. Landtri.

En consequenc. arim estz par: Ie presentdonn6e ceux quilpourraient avoir des raisonsJegailue opposer ula dite nomination, d'avoir4t_ leo enre iatrer par Ecrit,: an Bureau du:m et de laa Cour do District de la suedite~roiise,. dens les di fjoursa qni "aivrent is

daite. d present avis.L. LASTRAPES, Greficr.

-Opelousas; 9 Avril 1859.

SESSION 8PEIALE DB LA COIJE lE aDhISIC$hua at pour la arolause 8t. L ryiE public eat par Je pret inforqu'uie session spEciale, y do

Ia Cour de District, dana et pi aroisSt. Landry, aura lieu A la o our,dana, laville des Ope u Ia prsai-denoe d l'Hon. B. i,, jnigdu l5meDistrict Judiciaire, M` di M iochain1859. L STRAP1 S,

Gr 41ad1e Cour,OpelousasA

A .7. THOM .,N, Encaneteur Public,.

O(hFFUR nes _` au public" da Xa Paroiasa_ $t. Land t }trovera ronstamment an

'B wa 1iiu . [19 mars , 1859.

Vente Publique.Succession <'Ozei6m Gautrot.SN vertu des pouvoirs dont je suis rev-tu par la loi, j'offrirai en vente publi-

que, au plus offrant et dernier encherisseur,a la r4sidence du defunt, an Rodaire, A Plaquemine Brule, le

Mercredi, 13 Avril courant, 1859,les propridtes ci-dessous decri)es, apparte-nant A la succession d'Ozemi Gautrot, dddc-de, en communaut6 avee Azunals Dugas,sa veuve survivante, A savoir:

40 acres de Terre de prairie, ai-tu6e dane la Paroisse St. Landry.Une Maison en charpente.Deux petites batisses accessoires.Deux paires de beaufs de tite,Lits et linge de lits.Un petit garde mangedTrois chevaux creoles:CONDITIONS :- Un an de credit, A partir

dujour de la vente; les acquereurs fournis-sant leurs billets avec s4curite solidaire, A Iasatisfaction du Greffier de la Cour de District,et faits payables A son bureau, dans la villedes Opelousas, et de plus, la terre demeu-rant spdcialement hypothequee A la dite suc-cession jusqu'an plein et entier paiement ducapital et des interets qui pourront s'accroi-tre, A raison de 8 pour cent par' an, de lenrAchiance an paiemelit.

Opelousas, 2 Avril 1859.

LORD BENTINCK.CET dtalon pure race, servira

cette saison dans les dcuries du sous-signd, a Bellevue, Paroisse St. Lan-

dry, Lne.GENEALQI..--Lr d Beninc/• a t engendr6 pai,

Belshazzar, imports, et Sally Nailor; Sally. Nailorhar le jeune Knowsby, et le jeune Kriowsby parKnowsby, importd; et suivant ainsi la lignEe jus-qu'i la c•lbre Sheperdess.

Lord Bentinck a td ilevd par M. Polk du Tenrnessee.

DescaxrTroN.-II a seize paumes et derm.de hqutet est proportionn

4 poui la force ej ra.eourse, eat

d'un rouge-foned et a les jbr'bes, la crinibre et laqueue noires.

ConT'rloNs.---Dix piastres pour la saison deo cinqmois, commengant le Ier mars et echdant le lerd'aofit.

Les juments des districts dloignds auront lajqu.issance d'un bon paturage a 50 cents par semaeae.La nourriture payable A part.

Toutes les Juments soat aux risques des propri6-taires. F. BUTRR.

St. Landry, 2 Avril, 1859.

Btons .?Ia'rctahs.LE soussignd, disrrant se retirer

des affaires, vendra dBs aujourd'huison fonds de Groceie, .au-dess~us

TEAS. du prix du cours, prour du comnpta4kt.y - II saisit cette occasion poor prierceux qui lui doivet te.venri payer.

II offre dgalement h vendre,•ou ' loier h bail.sa propridtd situde 3 Pencoignure des rues de laCour et Bellevue, prBs de Is Maison de Cour.

CORNELIUS DONATO-Opelousas, 19 Mars, 1859--10m

4TNE HABITATION, bien 4tablie, eten partie boisee; situ~ie sun le Bayou`

Mallet, en cette Paroisse, mesurant cinq ar-pents de face sur vingt de profondeur.

Une autre Habitation, gale-ment en partie boisee, et bien 4tablie, situ•edans le mn~me quartier et adjoignant la pre-miere, inesurant deux arpents et demi deface sur quarante de profondeur.

Ces deux habitations, dont le sol est excel-lent, seront vendues ensemble ou saparement;a la convenance des aequereurs;

S'adresasr, sar les lIeu,; &F1 AN(OIS GUILLORY fila

St. Landry, 26 Mars 1859.

S. LEVYR Rue Main,a c6t4 du magasin de Ch. N. Ealer.

L E sonssignE; convaincu qte lea ach•ts faits de

bonne heure, an renouvellement des saisonsede printemps ou d'hiver, peuvent seuls permettreau marchand de choisir ce qu'il y a de plus fanis etde meilleur, eat k meme d'offrir lea mAmes atVn-tages A ceux qui l'honorent de leur confiance A sonretour de la ville.. En venant visiter son dtablis-sement bien connu pour le choix de son'assorti-ment etla grande modicitd de ses prix, on se con-vaincra de la justesse de ce qui prdchde.

On y trouvera constamment:Robes de barAge, fantaisie n

Jaconats, Brillantine, pdiennes -Indiennes, dessins phoisis, Gank ; 0

Jupons, tollerettes, Crinolines, oettoute espdce d'articlei pour dames, A la derni remode.

Aussi, V6tements de printemps.poori•ommes etenfants, Chapeaux, Casquettes, Souliers, Bottes,Chemises, Chemises de dessous, Calerons, Neudsde Cravates Chaussettes, 8&c., &c.;

glleas Hlarnais, Colliers, et beles Selles pourenfants, &c., &c.

Venez, et vous trouverez tout ce que vous pour-rez ddsirer;A des prix qui vous dtonperont.

8. LEVY.Opelousas, 19 Mars 1859.

L E soussigne ayant pris le contrat pour3. le transport de la Malle do St. Mar-

tinville, par le Pont Breau et Gros Chevreuilaux Opelousas, continuera A transporter lesavoyageurs au meme prix qne l'i aiiennemalle. Les voyageurs qii voudront se ren-dre de St. Martin :ix d Soures de•eBll.Che-:ney, pourront I ,fare par o cmoyrn, (et enversant prendre l'exprbs du doansgnd aixOpelotsas4 moyeinant la modique somme `dehuit piastres. NOELtLARCADE-

Opelousas 5 Juin, 186$.

A'euveuee.TtIedecIfles.T'fthhE1IS1TE IES MEDECINES DE;L FAMILLE c., ( Philadelphia. Etat de la

Pennsylvania) organi.ae dana Jo burdiri tr r lea,maux provetant do l'ubage de mauvaises at fussespr p atloibs mddicalee seeraCteSi td lue substi-,tuer~ds tremrdes do famiti sru,'i envoyd I JohnI'o ey un assortiment de sea prIcieuies prdpara-

de is fi W ev t dtufri aod.Siiop d' racine do innce, doe Rowands, pour la

gudrison de Ia~diarrbde, &c.Rembdes (de 1'Universitk) pour lea naJe4i des'

poumous, &c.; Rem de pour la dysnojrnie on dye.saeterie &c.; Rembde pour Ia toidttpation (pi-tuese)"; kembde pour lea maifa d'yeux; Remtdepour <Ie mau d'oreillep ou ap'dit&; lemudo pour.lemal do dent; Remoe pour Ia vikvre it le frisaon,'en forme de pilulde'o

Diflgra wt ,ds' divers vem~d'a aeets jodr,;ceux-Ci nt comptent qua ant torur efficacitd pour serendre populaires. A vendre, engrt enuddtaiI

OpluOHN 1 v08EY9Ofpelousas, 19 Fdvrie is: 1859: ̀

JOSEPH IIAASi Taillenr,Rue Bellevuse, I c~ Edu S 4on du Coifeur,l~kWrSu~ s eervice$ afl h~ft ut6 dqs OpelousasF et de ette PaIroees, en gen6ral. Esptraut

satiefaire tons lee goftta, il rkclaine u er p frt dI'en-crnagementdu pulic Coupesselontobilee det is bon marcbh pour du comptant. (2G mars "fi