Terres de foy - septembre 2013

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Une rentrée en rythme DOSSIER p.4-5 FOY de - Pourriez-vous nous conter une expérience vécue ? - Cet été, nous avons hébergé, pendant trois semaines, deux lycéennes italiennes de 17 ans, dans notre campagne de Bonneville. Nous avions rencontré les parents, ravis de faire dé- couvrir à leur progéniture la France, sa culture, sa gastronomie, sa langue. De plus, ces jeunes nous font l’honneur d’apprendre le français. - Comment avez-vous préparé leur venue ? - Cela commence par la fièvre des préparatifs : mon épouse aménage les chambres, varie les menus pour tenir la distance, procède aux achats, je programme les visites, j’établis un calendrier de séances de français oral et nous nous rendons disponibles pour toute la durée du séjour. Pourtant l’enthousiasme initial s’est vite essoufflé ! - Votre enthousiasme ou le leur ? - Certainement les deux ! Tout cela était sans compter avec l’existence d’un plan B inflexible : occuper la même chambre, faire la moue à ces étranges mixtures de la cuisine locale - leur pré- férer pâtes et hamburgers -, dégainer le télé- phone portable toutes les trois secondes à table et durant les visites, invoquer la fatigue pour se replier dans la chambre avant de passer la nuit à s’éclater sur internet ! Il nous restait à nous consoler d’avoir échappé à pire : la drogue, les fugues, l’incendie ! Bonne leçon aux étranges adultes que nous sommes : souvenons-nous de nos 17 ans, de cet air désabusé, de cette indif- férence affichée, du spleen de l’adolescence ! Difficile transition entre l’enfance insouciante et les responsabilités de l’adulte. Avouons qu’à notre âge, trois semaines de devoir de vacances, c’est peut-être trop ! Il y a un temps pour tout. Propos recueillis par M. Gavard TROIS QUESTIONS à ARMAND BERTONI Armand Bertoni était professeur d’anglais. Il a côtoyé de nombreux jeunes gens de toutes nationalités. Cet été, il a fait découvrir la France à deux jeunes filles venant d’Italie. Devoir de vacances ou le dialogue introuvable Inventaire d’automne Une pierre, deux maisons, trois ruines, quatre fossoyeurs, un jardin, des fleurs, un raton laveur… à la Prévert, pourquoi pas ? La rentrée est encore proche : on pense forcément aux jeunes générations qui ont réinvesti les lieux pour faire leurs humanités, disait-on il n’y a pas si longtemps. Ce journal vous en partage un regard large. Elles ont du boulot en perspective ! Drôle d’inventaire de l’état du monde. En désordre : la gestion des populations, la spéculation des systèmes financiers, la mondialisation qui se développe dépourvue de règles et la sauvagerie des marchés, les écarts insupportables des niveaux de vie entre pays riches et pauvres, les atteintes gravissimes aux équilibres écologiques, la culture de guerre qui domine l’humanité avec ses horreurs et abominations, les terrorismes et persécutions, l’éthique des sciences et techniques au service de l’homme, et puis ces nouvelles maladies et épidémies endémiques, les nouvelles façons de produire, de travailler, de chômer, de communiquer, de se reposer, les cultures, les religions, etc. Il y a de quoi faire ! Pourtant, il faut en convenir avec les jeunes générations, comme chacun à son époque d’ailleurs : quelle chance d’émerger à la vie à un moment où l’humanité continue tant de bonds en avant dans la réalisation d’elle-même et pourquoi pas, si elle y croit, vers un bonheur ! Il importe donc qu’elle se forme en perspective, mais aussi dans des valeurs morales et spirituelles indispensables et nécessaires ; il est urgent et solidaire de s’y engager ensemble en confiance et foi. Hugues Walser, prêtre du Pays foyen en Gironde éDITO SEPTEMBRE 2013 - N°20 Journal de la communauté catholique du Pays Foyen t e r r e r Avec ce numéro, recevez un numéro de l’Église réformée devenue l’Église protestante unie de France. Armand et ses lycéennes.

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Revue trimestrielle chrétienne des deux rives du Pays Foyen - Aquitaine

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Une rentrée en rythme Dossier p.4-5

foyde

- Pourriez-vous nous conter une expérience vécue ? - Cet été, nous avons hébergé, pendant trois semaines, deux lycéennes italiennes de 17 ans, dans notre campagne de Bonneville. Nous avions rencontré les parents, ravis de faire dé-couvrir à leur progéniture la France, sa culture, sa gastronomie, sa langue. De plus, ces jeunes nous font l’honneur d’apprendre le français.

- Comment avez-vous préparé leur venue ?- Cela commence par la fièvre des préparatifs : mon épouse aménage les chambres, varie les menus pour tenir la distance, procède aux

achats, je programme les visites, j’établis un calendrier de séances de français oral et nous nous rendons disponibles pour toute la durée du séjour. Pourtant l’enthousiasme initial s’est vite essoufflé !

- Votre enthousiasme ou le leur ? - Certainement les deux ! Tout cela était sans compter avec l’existence d’un plan B inflexible : occuper la même chambre, faire la moue à ces étranges mixtures de la cuisine locale - leur pré-férer pâtes et hamburgers -, dégainer le télé-phone portable toutes les trois secondes à table et durant les visites, invoquer la fatigue pour se

replier dans la chambre avant de passer la nuit à s’éclater sur internet ! Il nous restait à nous consoler d’avoir échappé à pire : la drogue, les fugues, l’incendie ! Bonne leçon aux étranges adultes que nous sommes : souvenons-nous de nos 17 ans, de cet air désabusé, de cette indif-férence affichée, du spleen de l’adolescence ! Difficile transition entre l’enfance insouciante et les responsabilités de l’adulte. Avouons qu’à notre âge, trois semaines de devoir de vacances, c’est peut-être trop ! Il y a un temps pour tout.

Propos recueillis par M. Gavard

Trois quesTions à ArmAnD BerToni ■ Armand Bertoni était professeur d’anglais. Il a côtoyé de nombreux jeunes gens de toutes nationalités. Cet été, il a fait découvrir la France à deux jeunes filles venant d’Italie.

Devoir de vacances ou le dialogue introuvable

Inventaire d’automneUne pierre, deux maisons, trois ruines, quatre fossoyeurs, un jardin, des fleurs, un raton laveur… à la Prévert, pourquoi pas ? La rentrée est encore proche : on pense forcément aux jeunes générations qui ont réinvesti les lieux pour faire leurs humanités, disait-on il n’y a pas si longtemps. Ce journal vous en partage un regard large. Elles ont du boulot en perspective ! Drôle d’inventaire de l’état du monde. En désordre : la gestion des populations, la spéculation des systèmes financiers, la mondialisation qui se développe dépourvue de règles et la sauvagerie des marchés, les écarts insupportables des niveaux de vie entre pays riches et pauvres, les atteintes gravissimes aux équilibres écologiques, la culture de guerre qui domine l’humanité avec ses horreurs et abominations, les terrorismes et persécutions, l’éthique des sciences et techniques au service de l’homme, et puis ces nouvelles maladies et épidémies endémiques, les nouvelles façons de produire, de travailler, de chômer, de communiquer, de se reposer, les cultures, les religions, etc. Il y a de quoi faire ! Pourtant, il faut en convenir avec les jeunes générations, comme chacun à son époque d’ailleurs : quelle chance d’émerger à la vie à un moment où l’humanité continue tant de bonds en avant dans la réalisation d’elle-même et pourquoi pas, si elle y croit, vers un bonheur ! Il importe donc qu’elle se forme en perspective, mais aussi dans des valeurs morales et spirituelles indispensables et nécessaires ; il est urgent et solidaire de s’y engager ensemble en confiance et foi.

Hugues Walser, prêtredu Pays foyen en Gironde

éDiTo

septembre 2013 - N°20Journal de la communauté catholique du Pays foyenterr er

Avec ce numéro, recevezun numéro de l’Église réformée devenue l’Église protestante unie de France.

Armand et ses lycéennes.

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2 Terres de Foy | septembre 2013 | société

éDucATion eT législATion ■ Légiférer ou pas contre la fessée ? En 2008, le conseil de l’Europe avait appelé ses États membres à interdire la fessée. Vingt États l’ont déjà fait. C’est le cas de l’Allemagne, la Suède (depuis 1979), l’Italie, l’Espagne, Chypre, la Roumanie.

Pour ou contre les punitions corporelles

Le dicton « Qui aime bien châtie bien », vieillot, est dépassé pour des parents voulant faire preuve d’autorité. En effet, ceux qui distribuent fessées et/ou claques à leurs enfants seront hors la loi

si la proposition de la députée UMP Edwige Antier, pédiatre, qui veut introduire l’interdiction de la fessée dans le code civil, est adop-tée. Parfois, les enfants passent les limites, et on se dit « qu’il y en a qui se perdent » ! Nombreux sommes-nous à avoir reçu des claques - qui « n’étaient pas volées ! » - sans devenir ensuite, pour autant, des bourreaux d’enfants. Il n’est pas facile aujourd’hui d’être parent ! Un parent doit incarner l’autorité protectrice et pour le docteur Gilles Lazimi, (coordinateur de la campagne destinée à faire réfléchir les parents qui infligent ces châtiments à leurs enfants), « il n’y a pas de petite claque, ni de petit coup, toute violence envers nos enfants peut avoir des conséquences sur leur santé physique et psychologique ». Pour justifier l’interdiction des châtiments corporels, leurs opposants s’appuient sur un corpus d’études scientifiques. En avril 2004, une étude américaine rapportait que l’emploi de la fessée peut rendre les enfants agressifs lorsqu’ils grandissent. Des professionnels de l’en-fance appellent le gouvernement à légiférer sur la question et à inter-dire bel et bien la fessée et autres châtiments corporels.

M.-F. Rossignol

Pourra-t-on raisonnablement laisser à la charge d’une gé-nération d’actifs moins nom-

breuse, des retraités de plus en plus nombreux et de plus en plus âgés ? se demandent ces évêques. La société a le devoir de préparer l’avenir non seulement en fonction des pers-pectives démographiques préoccu-pantes mais en fonction de la nou-velle distribution des âges de la vie. Les jeunes de 18 à 25 ans connais-sent pour beaucoup une période de précarité. Les 25-55 ans vivent la

première période de leur vie active : c’est l’époque où se jouent les car-rières, où se fonde la famille. Entre 55 et 70 ans (et même au-delà par-fois), les « seniors » sont souvent en bonne santé, désireux de ne pas s’ennuyer, disposés à agir et à se rendre utiles. Enfin, la période de la vieillesse ou 4e âge, période où la santé se dégrade, où l’autonomie se perd, où apparaissent les han-dicaps. Il semblerait judicieux de repenser l’emploi et les systèmes de protection sociale en fonction d’un

cycle de vie plus long, plus dif-férencié, appelant des scénarios plus diversifiés et plus flexibles. La solidarité entre les générations doit être l’objectif premier. De fait les retraités jouent un rôle important dans la société, non seulement en tant que consom-mateurs, mais plus encore en aidant et en échangeant avec les générations plus jeunes : des échanges en argent, certes, mais pas uniquement. Les grands-pa-rents sont devenus des appuis non négligeables à la réalisation

des projets de leurs enfants et pe-tits-enfants. Pour l’Église, il s’agit donc de sauvegarder la solidarité entre les générations et, pour cela, viser la justice et l’équité dans le système de répartition, développer avec les partenaires sociaux des sys-tèmes complémentaires d’épargne-retraite, débattre de la durée de versement des cotisations entre salariés du privé et ceux du public et, pour les fins de carrière, repen-ser les formes d’activité ouvertes aux retraités… Nombreux sont les seniors qui désirent remplir un rôle utile à la société. Faut-il se priver d’une telle richesse d’expérience et de compétence ? Est-il possible pour cela de réinventer le travail, de créer des postes plus souples et moins stressants, d’alléger les ho-raires, de proposer un temps partiel choisi et progressif et de modu-ler en conséquence les cotisations sociales ?Telles sont les réformes souhaitées par l’épiscopat français.

M.-F. Rossignol

les reTrAiTes ! PArlons-en ! ■ C’est un des sujets importants qui concerne tous les Français, retraités ou pas. L’Église, par la voix des évêques membres de la commission sociale, a publié un document sur ce sujet.

Sauvegarder la solidarité entre les générations

Age légal de départ à la retraite• 66 ans : Irlande• 65 ans : Allemagne, Belgique, Espagne, Finlande, Pays-Bas, Portugal, Danemark • 60 ans : femmes, 65 ans : hommes : Autriche, Italie, Pologne, Royaume-Uni

Des chiffres

« Il n’y a pas de petite claque, ni de petit coup, toute violence envers nos enfants peut avoir des conséquences sur leur santé physique et psychologique. »

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Les retraités jouent un rôle important dans la société, en tant que consommateurs, mais plus encore en aidant et en échangeant avec les générations plus jeunes.

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| Terres de Foy | septembre 2013 3associations

À l’origine d’Agalliao une as-sociation : l’« Union chré-tienne de jeunes gens »

(UCJG) née elle-même d’un mouvement international de jeu-nesse d’inspiration protestante, les « Young Men’s Christian Association (YMCA) » qui compte encore aujourd’hui cin-quante millions d’adhérents dans le monde et qui s’est progressi-vement ouvert à l’œcuménisme puis à la société civile. Son fonc-tionnement est laïque.Son logo représente un triangle : équilibre entre le corps, l’intellect et l’esprit. Les buts délibérément affichés visent l’édification de la personne, la rencontre fraternelle au service d’autrui, de la justice et de la paix. Trois prix Nobel de

la Paix en ont fait partie : Henri Dunan (1 901), John Mott (1 946) et Albert Luthuli (1 960).S’adressant initialement à des ado-lescents, elle étend ses activités peu à peu à toutes les tranches d’âge. En 1967, création de la compagnie des « Compagnons du Théâtre », d’ateliers d’activités manuelles et sportives encadrées par de nom-breux bénévoles. En 1980, nais-sance du centre de loisirs Agalliao ayant pour but « d’encadrer des activités de jeunes et d’adultes et de mettre en œuvre une pé-dagogie visant à l’autonomie des personnes, à l’apprentissage de la liberté et de la citoyenneté ». Mais ce développement tentaculaire devient incompatible avec du bé-névolat. En 2009, la communauté

des communes du Pays foyen in-tègre en régie les activités de jeu-nesse d’Agalliao. Demeurent de très bons souvenirs pour beau-coup de jeunes, mais également l’atelier de danses traditionnelles, les talentueux « Compagnons du Théâtre » ainsi qu’une participa-tion active au collectif culturel de la ville de Sainte-Foy et aux forums d’associations.Pour des raisons d’accessibilité et de sécurité, Agalliao a déménagé du 6 au 8 rue Chanzy. Cette an-cienne ébénisterie a été aménagée en agréable salle de spectacle d’une cinquantaine de sièges. À l’étage, des salles de réunion et de range-ment sont en cours d’installation. Un premier spectacle de Mathilde Maumont y a eu lieu : « Tous mes

chats noirs ». Mais l’inaugura-tion officielle de l’ébénisterie aura lieu le 4 novembre et sans doute connaîtrons-nous alors la pro-grammation de l’année.

N. Ancelin

AgAlliAo ■ Savez-vous ce que signifie « Agalliao » en grec ? : « Réjouissez-vous tous ensemble » ! Quel beau nom pour une association qui accompagne l’histoire de Sainte-Foy-la-Grande depuis près d’un siècle !

Sur les pas de la liberté et de la citoyenneté

œcuménisme

une nouvelle église ProTesTAnTe DAns le PAys foyen ■ Samedi 6 juillet, la communauté protestante présentait au public foyen, en présence de Mme Escarmant, représentant le conseil municipal de Sainte-Foy-la-Grande et du prêtre Hugues Walser de l’Église catholique du Pays foyen, la nouvelle église protestante « l’Église protestante unie de France-confession luthérienne et réformée ». (Une plaque à ce nom et aux nouvelles couleurs de l’Église a été fixée sur la façade du temple rue Pasteur.)

Témoigner et servir l’Évangile

• vendredi 27et dimanche 29 septembreProtestants en fête. Thème : « Paris d’espérance ».

• Jeudi 3 octobre et jeudi 5 décembreà 20 h 30 : partage biblique œcuménique à la salle Albert-Lallier de Saint-Avit-Saint-Nazaire

• Jeudi 17 octobre20 h 30 : conférence-débat « Le judaïsme aujourd’hui » par le rabbin libéral Yonathan Lévi à l’espace protestant Gratiolet à Sainte-Foy

• vendredi 15 novembre20 h 30 : conférence-débat « Les réformateurs et le mariage » par Marianne Carbonier-Burkard, à l’espace Gratiolet.

• samedi 30 novembrede 8 h 30 à 17 h 30 marché de Noël à l’espace Gratiolet à Sainte-Foy- Exposition « Martin Luther King » durant l’automne à l’espace protestant Gratiolet à Sainte-Foy (Tél. 0557460364)

AgenDA

L’Église protestante unie de France-communion luthé-rienne et réformée (EPU de

France), est née de l’union de l’Église évangélique luthérienne de France et de l’Église réfor-mée de France après un vaste chantier de cinq ans, rempli de nombreux aller-retour entre les

comités directeurs des Églises évangéliques luthériennes et des Églises réformées de France, les conseils presbytéraux et les sy-nodes régionaux. Ce processus d’union commence lors des sy-nodes nationaux de Sochaux en 2007 et s’achève lors des synodes nationaux de Belfort le 18 mai 2012.Cette nouvelle Église « l’Église protestante unie de France-communion luthérienne et re-formée » s’inscrit dans une dy-namique commune, en vue d’un meilleur témoignage et service de l’évangile au sein de la société fran-çaise. L’union se base sur une com-munion de foi effective en Jésus-Christ, le Seigneur. Elle s’appuie

sur une déclaration commune d’union, une seule Église natio-nale, un seul synode national, un seul corps de pasteurs.Elle prend en compte le plus large-ment possible la diversité (théolo-gique, ecclésiale, liturgique) exis-tant dans les deux églises avec la volonté de s’en enrichir.L’ensemble des Églises locales et paroisses des deux églises ont adhé-ré à l’union. L’église locale a choisi le nom de « Église protestante unie du Pays foyen ». La nouvelle Église a tenu son premier synode national annuel en mai à Lyon, ville choisie en raison de sa tradition œcumé-nique. Elle y a célébré ses premiers pas samedi 11 mai par une fête ou-verte au plus grand nombre, avec

de nombreux invités nationaux et internationaux.À travers l’union entre luthériens et reformés, l’eau témoigne qu’il est possible de vivre l’unité dans la diversité et la pluralité. C’est un appel en la confiance en l’autre et en demain, un élan pour une église de témoins. Pour marquer le lancement de l’EPU, l’exposition « Église de témoins » a été réalisée et installée dans le temple pour l’été. Des croyants expriment avec conviction, humour et décalage, leur foi, leur engagement. Douze tableaux grand format évoquent la joie du message que porte la nou-velle église « choisir la confiance ».

A.-M. Sorlin

« lA lumièreeT les TénèBres »

Tel était le thème de « la nuit des veilleurs »* qui s’est déroulée le 21 juin dernier dans l’église ortho-doxe de Sainte-Croix à Monestier. Dans l’intimité de ses murs riche-ment décorés, des petites lumières ont brillé dans la main de chaque participant. Dans un même désir de compassion pour les victimes et leurs bourreaux, une prière est montée des orthodoxes, des protestants, des ca-tholiques présents, en union avec des groupes du monde entier. « La lumière n’existe pas sans les ténèbres, elle jaillit des ténèbres pour éclairer le monde… Ce monde des ténèbres où règnent l’inconscience, la violence des bourreaux, la souffrance des vic-times » a rappelé le père orthodoxe Ph. Dautais en présence du pasteur P. Hulshof et du père H. Walser. Le groupe ACAT* avait préparé la célé-bration sobre et fervente.

N. Ancelin

* Nuit des veilleurs : à l’occasion de la journée nationale des Nations unies de soutien aux

victimes de la torture les chrétiens du monde entier s’engagent à soutenir par leurs prières

ceux qui souffrent aux mains des bourreaux. *Action des chrétiens pour l’abolition

de la torture

Pour des raisons d’accessibilité et de sécurité, Agalliao a déménagé du 6 au 8 rue Chanzy.

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4 Terres de Foy | septembre 2013 |

éDucATion ■ Une rentrée en rythme pour une école devenue priorité nationale. Nous sommes allés rencontrer ses intervenants.

dossier

Qui ne se souvient de son école ?

Dès septembre 2013, 48 % des élèves en Dordogne et 24 % en Gironde ont adopté les nouveaux rythmes éducatifs, le temps scolaire journalier étant réduit au profit d’activités périscolaires. L’objectif central est de prendre en compte l’enfant dans sa globalité et de réduire les inégalités d’accès aux activités de loisirs. Nos élèves passent 24 heures par semaine en classe contre 15 à 21 heures dans d’autres pays européens et travaillent 180 jours contre 190 à 208 ailleurs. Cette concentration des savoirs sur un temps limité induit stress et fatigue. La réforme vise à articuler les différentes activités de l’enfant autour d’un projet : le Projet éducatif de territoire (PEDT). Le cadre de la réforme fixe la semaine d’école à 4,5 jours travaillés soit 24 heures maximum de cours par

semaine. La pause méridienne sera au minimum de 1 h 30. Les élèves auront 45 minutes de cours en moins par jour et une demi-journée en plus dans la semaine. Chaque commune doit s’organiser en fonction de son budget, de ses contraintes géographiques et des usagers des cycles concernés. Leurs collectivités ont le choix des horaires et des modulations, l’organisation en est déterminée dans le PEDT. Sur Bonneville, Saint-Vivien et Montazeau, des professionnels de l’animation, des éducateurs sportifs et des bénévoles gèreront les temps d’activités périscolaires.

M. Baggio

réforme Des ryThmes: un enJeu éDucATif

sur les BAncs De l’école

S’ouvrir au savoir et au monde

Personne n’a oublié « son » école primaire. Pour les élèves des années 1950-1960

les souvenirs restent forts : la maî-tresse, la craie, le tableau noir, le ta-blier, le pupitre, l’encrier, la dictée quotidienne, les folles cavalcades des récréations et la discipline que personne ne contestait. Le temps a passé, la plume « Sergent Major » et ses taches sur les doigts a été remplacée par le stylo, lui-même faisant place à l’ordinateur. Du haut de nos 6 ans, nous entrions à l’école, là où j’ai appris à apprendre le peu que j’ai appris et surtout à aimer apprendre. Nos maîtres dévoués, fiers de la noblesse de leur métier, s’efforçaient de nous « ouvrir au savoir et au monde ».

C’était peut-être, comme on dit maintenant, un projet d’établis-sement. Une simple émission de radio était prétexte à découvrir la musique classique ou une belle page de littérature. C’était aussi le temps de l’apprentissage des res-ponsabilités collectives et des tra-vaux de groupe dont nous étions si fiers. Après le travail venait la récompense tant attendue. Dans un silence parfait la classe captivée entrait dans l’aventure épique que nous racontait notre maître : nous étions tous Ulysse ou Pénélope.L’école suscite bien des interroga-tions et des polémiques. Avec les nouvelles technologies cependant, l’école de demain porte l’espé-rance d’une large universalisation

de l’accès au savoir. L’éducation en ligne est déjà une réalité : avec une simple connexion à internet la consultation de banques de don-nées ne connaît ni frontières ni limites. L’école, dans sa mission de transmission du savoir, doit répondre avec tous les acteurs - parents, éducateurs, responsables politiques - aux défis du monde qui change, avec pour ambition de ne laisser aucun enfant au bord du chemin de la connaissance, don-nant à chacun le viatique mini-mum, quelles que soient ses dispo-sitions intellectuelles, ses difficultés personnelles et sa condition sociale.

S. Bauvet

Avec 18 millions d’élèves et étudiants (soit un quart de la population), et un corps professoral que le monde nous envie, l’école est une valeur tellement essentielle de la so-ciété qu’à chaque époque - de Charlemagne à aujourd’hui - des lois sont votées qui encadrent sa progression et ré-pondent à ses besoins. Charlemagne (742-814) passionné des disciplines intellectuelles, soucieux de l’éducation du plus grand nombre veut que « … les enfants de condition servile et les fils d’hommes libres… revenus chez eux, participent à l’instruction de leurs proches » ! *Jusqu’à la Révolution, l’État se désintéresse de l’ensei-gnement du peuple, le trouvant inutile voire dangereux. Mais (depuis 1790, avec Talleyrand, jusqu’à Peillon, en

2013), l’école n’a cessé d’évoluer grâce à la législation. Les lois Falloux - Duruy - Ferry - Goblet - J. Zay - Debré - Berthod - Faure - Haby - Savary - Jospin - Fillon - Pécresse - Peillon - imposent peu à peu une école dans chaque commune, puis liberté, gratuité, laïcité de l’en-seignement, son obligation jusqu’à 16 ans, (en 1948, la Déclaration universelle des droits de l’homme consacre le droit de toute personne à l’éducation), la réorganisation des rythmes scolaires et d’apprentissage de la maternelle à l’université… Les lois ont fait de l’école une priorité nationale.

M. Gavard

« c’était plus rigolo ensemble »

Après plus de 40 ans, un souvenir m’est encore présent : la cour de récré devait-elle devenir mixte ou gardions-nous un côté garçons et un côté filles? Le directeur a demandé l’avis des élèves. Il nous avait bien expliqué ce qu’était une discussion devant déboucher sur une décision : donner son avis, écouter les avis des autres, réfléchir, voter et accep-ter la décision collective... Je me souviens aussi que pour «nous faire une idée» sur la question, eh bien, nous avions expérimenté quelques semaines la mixité. La décision finale a été la mixité, avec un argument bien enfantin : pour jouer aux gendarmes et aux voleurs c’était bien plus rigolo ensemble...

M.-F. Waquier

Les lois sur l’écoleLes écoliers des années 1950.

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| Terres de Foy | septembre 2013 5dossier

céline BoueT, Psychologue De l’éDucATion ■ Céline Bouet est psychologue de l’éducation, elle intervient dans les établissements de l’enseignement catholique du diocèse de Périgueux. Elle a une formation universitaire et est titulaire d’un master 2 de psychologie. Rencontre.

« Des gestes d’attention peuvent aider à aller mieux »

l’école AuTremenT

« Je préférais la liberté d’organisation »

Je m’appelle Côme Camus. À 18 ans cette année, je quitte le lycée (bac S mention

bien). Mon établissement était le CNED, Centre national d’ensei-gnement à distance. En général, ce type d’études concerne jeunes ou adultes aux profils variés : maladie, phobie scolaire, renvoi d’établissement, jeunes vivant à l’étranger, etc. En début d’année, chaque élève reçoit des livres divi-sés en chapitres, à la fin desquels il fait un devoir, l’expédie au centre où un professeur le corrige et le renvoie. Jusqu’à seize ans, on dis-tingue les inscrits en classe régle-mentée (qui ont l’accord du rec-teur d’académie) ce qui était mon cas, et les inscrits en classe libre (qui n’ont pas cet accord et sont soumis à un contrôle régulier). J’ai découvert le CNED à sept ans.

Mon père, militaire, étant muté en Italie, j’ai dû faire une double scolarité pendant trois ans (école italienne la journée et cursus fran-çais par correspondance le soir). Lorsqu’en quatrième nous nous sommes installés ici, j’ai continué le CNED par commodité car je préférais la liberté d’organisation, et donc, le temps libre que j’ai pu dégager. Le CNED m’a aussi per-mis de me connaître mieux d’un point de vue scolaire et personnel, parce qu’il met à l’épreuve et la ca-dence de travail étant assez dure, bon nombre d’élèves décrochent, souvent découragés. Le plus dif-ficile à supporter a été pour moi, non la solitude, mais le regard des autres. Mais d’abord, qu’est-ce que la solitude ? À méditer, car à mon avis on peut être seul en so-ciété. Je vous rassure, j’ai adoré ces

cinq dernières années et vais écrire une nouvelle page de ma scolarité en première année de Médecine.

Côme Camus

- Céline, sur quels critères rencontrez-vous les enfants ?- Dans le cadre d’orientation et d’intégration des enfants en situa-tion de handicap ou rencontrant des difficultés d’apprentissage, de comportement, je suis sollicitée pour comprendre ce qui peut faire résonance ou blocage chez l’en-fant, concernant son psychisme, ses sentiments, ses connaissances. En maternelle et primaire, ce sont les parents, conseillés et accom-pagnés par l’école, qui prennent contact. Par des entretiens famille/enfant, des éclairages sur la situa-tion peuvent être apportés. Un tra-vail d’écoute et d’aide auprès des parents et des enseignants se met en place pour accompagner l’enfant. S’il y a lieu, des propositions de prise en charge par d’autres profes-sionnels, sont faites à la famille. En collège et en lycée, l’élève peut ve-nir me consulter mais ce peut être aussi à la demande des enseignants ou des parents. Un accompagne-ment peut se réaliser au sein de l’établissement. En revanche, si un travail thérapeutique plus appro-fondi doit s’envisager, une prise en charge sur l’extérieur est proposée.

- Quels sont les problèmes rencontrés ?- Ce sont les difficultés d’appren-tissage ou comportementales. Il n’y a pas qu’une seule cause à l’échec des acquisitions scolaires : retard mental, événement traumatique, conflit psychique, organisation pathologique de la personnalité. L’échec scolaire est vécu comme une blessure narcissique qui déprime l’enfant, l’isole ou au contraire le pousse à des défenses comportementales. En maternelle/primaire, ce sont des problèmes de langage (immaturité, inhibition, dyslexie…), de comportement (agitation, relation exclusive à l’adulte, troubles attentionnels), de troubles psychiques, affectifs, déficit sensoriel, de phobies sco-laires. Des bilans se réalisent dans le cadre d’orientation vers l’ensei-gnement adapté (EGPA) ou spécia-lisé (CLIS, ULIS, IME). Dans le second degré, des problèmes liés au manque de motivation pour les exi-gences scolaires ou des parents, les situations familiales, les limites cor-porelles, les identités se retrouvent. On voit, par contre, certains jeunes de plus en plus insécurisés, angois-sés quant à leur devenir adulte et en

difficultés notamment concernant leur orientation.

- Qu’auriez-vous envie de dire aux parents ?- Quel que soit le problème ren-contré, je suis persuadée que l’école peut aider à la résilience, solution positive de ces problèmes. Au-delà des difficultés ressenties par les en-fants, mon expérience a montré que toute parole positive, geste d’attention de la part des adultes, aide l’enfant à se sentir accueilli, à trouver une place et donc à aller mieux.

M.-F. Rossignol

L’école attentive à tous

À la rentrée dans le cadre du changement d’horaires les « activités péda-gogiques complémentaires » (APC) (36 heures sur l’année) pourront être utilisées par les professeurs qui le désirent pour reprendre des notions mal assimilées. Elles remplacent les « aides personnalisées » établies en 2008. Mais certains enfants présentent des problèmes trop importants pour être résolus par une pédagogie différenciée. Des professeurs spé-cialisés peuvent prendre en charge ponctuellement l’élève pendant les heures scolaires. Ils constituent les « Réseaux d’aide spécialisés pour les enfants en difficulté » (RASED), leur mission est d’apporter un soutien spécialisé à la demande de l’enseignant. Mais depuis leur parution en 1990, ils ont rarement bénéficié d’effectifs complets. Avec la politique de suppression de postes leur situation s’est aggravée jusqu’à remettre en cause leur efficacité. Néanmoins, dans le nouveau projet électoral il est promis de « donner aux RASED les moyens de leur mission ». Les projets éducatifs des établissements font de la réduction du décrochage scolaire un objectif principal. À l’école Saint-Joseph au Fleix, Mme Mallard, son équipe pédagogique et Mme Gueritte-Hess* ont organisé « la kermesse des mathématiques ». Les enfants, par des manipulations, des expéri-mentations ont pris conscience avec leur corps de notions abstraites pour comprendre le temps qui passe, la masse des objets, le périmètre d’un espace. Pour finir, ils ont accueilli leurs parents à l’école, et expliqué leurs découvertes mathématiques à travers des ateliers. Motivation garantie !

*Orthophoniste des mathématiques, formatrice pour l’enseignement et la rééducation des mathématiques, dans la lignée pédagogique

de Mme Montessori.

Depuis 2005 des enfants souffrant de déficiences reconnues par la Maison départementale des personnes handicapées sont scolarisés et bénéficient de l’aide des « AVS » : auxiliaires de vie scolaire. Nicole est chargée du soutien et de l’accompagnement de deux enfants. Recrutée par l’éducation nationale, elle consacre à chacun, une dizaine d’heures environ par semaine. « Je les aide en stimulant leur concentration, en expliquant des consignes, en allégeant certains exercices, mais aussi pour accomplir certains gestes techniques. Je suis à l’écoute des moments de fatigue, de saturation. Un travail de concertation avec l’enseignant de la classe permet d’harmoniser les modifications nécessaires. Ma présence leur permet de participer aux sorties et d’éviter toute exclusion de la vie scolaire. À leur côté, les enfants font naturellement l’apprentissage de l’acceptation de la différence ». L’effort de tous est nécessaire pour l’intégration réussie de ces enfants. L’enfant en difficulté scolaire amène un surcroît de travail à l’enseignant mais l’incite à des recherches pédagogiques dont bénéficient ensuite, tous les élèves. Malgré ses difficultés, l’enfant ne doit pas se sentir rejeté du groupe scolaire et grâce aux aides mises en place, trouver sa place dans le microcosme scolaire et progresser par rapport à lui-même.

N. Ancelin

scolAriTé DifférenTe

Céline Bouet, psychologue de l’éducation.

Un professeur spécialisé prend en charge un élève en difficulté.

Page 6: Terres de foy - septembre 2013

6 Terres de Foy | septembre 2013 |

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En gIronDE> Saint-Avit Saint-Nazaire, salle paroissiale, mercredi de 10h à 11h30> Gensac, salle paroissiale, mercredi de 10h à 11h30> Sainte-Foy, presbytère, mercredi de 10h à 11h30> Pellegrue, maison paroissiale, mardi de 15h à 16h30Presbytère de Sainte-Foy : 05 57 46 03 38 [email protected] ou M.-F. Waquier 06 32 36 99 60 [email protected]

ÉvEIL à La foI Contact en Gironde : Brigitte 06 52 29 21 79

Résidente en Pays foyen, Camille Roulet est émue en 2011 (JMJ de Madrid)

par les témoignages des jeunes de notre communauté et pré-pare le prochain rassemblement. Accompagnée d’une délégation de quatre-vingt-douze chrétiens de Gironde, elle rejoint les deux millions de jeunes représentant 175 nations. « À l’arrivée, j’ai été fascinée par cette foule immense composée de communautés dis-parates. » La quinzaine se déroule dans l’état de Sao Paulo entre les paroisses de Sao Mateus et Santissima Trinidade. Les temps forts de ce séjour sont deux soi-rées culturelles et deux soirées prières et chants de Taizé dans les favelas (bidonvilles). Puis chacun, très ému par l’accueil des familles, s’apprête pour Rio via une visite de la basilique de Notre-Dame-d’Aparecida (deuxième édifice cultuel catholique au monde, après la basilique Saint-Pierre). À l’île Niteroi à 45 minutes du centre de Rio, nous arrivons dans un collège doté de dortoirs im-menses… fini le cocooning des premiers jours chez l’habitant.

Mardi et mercredi journées d’ac-cueil et visite de la ville. Le jeudi, c’est l’arrivée du pape, simple et proche du public. Il n’hésite pas à descendre de la papamobile pour saluer la foule. Vendredi chemin de croix et samedi journée de prière. Dimanche, la messe de clôture est célébrée par le pape sur la plage de Copacabana. « Il a demandé aux jeunes catholiques d’annoncer sans peur leur foi aux frontières du monde sans faire de différences, en leur assurant

que l’Évangile est pour tous et pas seulement pour les plus ac-cueillants. » Ce pèlerinage fut un temps exceptionnel de partage, de découverte et d’enrichisse-ment auprès d’autres commu-nautés catholiques et je remercie tous ceux qui m’ont permis de le réaliser. Camille prépare sa confirmation et son objectif dans trois ans… les JMJ à Cracovie en Pologne.

J. Vion

Journées monDiAles De lA Jeunesse ■ Si tu vas à Rio n’oublie pas de monter là-haut, chanson des années 50 de Dario Moreno. Mais ce n’est pas la chanson qui nous concerne, ce sont les JMJ de juillet 2013 au Brésil!

Si tu vas à rio…

lA curie

La curie est l’organisme gouvernemental, administratif et judiciaire du Saint-Siège, c’est le gouvernement pontifical. Dans les premiers temps de Rome, la curie était composée d’un certain nombre de familles qui avaient pour chef un officier, le curion, dont la fonction était de veiller aux choses du culte. Aujourd’hui, c’est une administration de près de 3000 personnes et l’organigramme n’est pas simple. « La curie romaine est une organisation administrative complexe, produit d’un empilement historique de siècles de traditions et qu’il n’est pas facile de gérer aujourd’hui », écrivait La Croix en 2008. Les membres de la curie sont nommés par le pape et n’en partent qu’à l’âge de la retraite, fixé à 75 ans. Sous l’impulsion du pape François se dessine en ce moment, par touches, un nouveau mode de gouvernement de l’Église. Plus synodal et moins monarchique, plus collégial et moins pyramidal.

M. Gavard

Camille sur la plage de Copacabana.

Page 7: Terres de foy - septembre 2013

| Terres de Foy | septembre 2013 7

nos Joies, nos Peines

En Dordogne En GirondeBAPTêMES fougueyrolles

Aimée Ramoussele fleix

Mathys Delinger BoulemsamerMaxans DufraixMathys GagnerotMaxime Gemmerlégageac et rouillac

Noémie Deloumeauxgardonne

Lucie AversengEmy DelteilEthan Moulleclamothe montravel

Thomas BredaMaxime Meïjerinemontcaret

Justine BinvenuNathan BourdenRyan DeleplaqueMathys GarciaPort-sainte-foy

Eden DelbancutLéa Verliatsaint Aulaye

Enzo BertonècheBastien BrethonFaustine GallotLola MontarrasCandice QuillaudKillian Zieglersaint-michel-de-montaigne

Maxime GarnierOscar GarnierSimon Graviersaint-Pierre-d’eyraud

Merwan GassLana GonnezIzia RamosJarrelle Ramsaint-vivien

Corentin Laveaud Nenquetsaussignac

Axelle GuillemetLucas Rey Hernandezvélines

Alix MartinLaula SautetTenessi Tollet

MARIAGESfraisse

Julien Toulon et Hélène Villerlamothe-montravel

Kévin Daniel et Marion Passotle fleix

Glenn Lions et Sarah Garniermonfaucon

Théo Weber et Annabelle Biaumontazeau

Alexandre Hass et Audrey BernagoultJ. François Lombardo et Sérenna HannantPort-sainte-foy

Gaëtan Antoine et Julie Pinelsaint-Aulaye

Joaquim Gohez-Batoca et Lisa BeziesPatrick Sabary et Corinne Spedersaint-Pierre-d’eyraud

Loïc Capaldi et Sophie BlanpainAlexandre Jardel et Patricia Sarrazin

OBSèQUES gardonne

Marie-Geneviève Fery, 89 ansJean-Maurice Rey, 90 anslamothe montravel

Marthe Beaudryle fleix

Gino Aroldi, 86 ansJordan Dutreil, 6 ansLéo Hivernault, 8 ansmontazeau

Simone Bernard, 89 ansAndré Sallet, 71 ansPort-sainte-foy

Pierrette Maury, 88 anssaint-Aulaye

Viviane Roysaint-méard-de-gurçon

Jacqueline Desroches, 91 anssaint-michel-de-montaigne

Simon Soumagnac, 89 anssaint-Pierre-d’eyraud

Bernard Audebert, 65 anssaint-seurin-de-Prats

Micheline Estrade, 81 ansChristian Tave, 61 ansvélines

Henriette Platon, 90 ans

BAPTêMESeynesse

Kélyan Couturierflaujagues

Nahel MartinMelina Martingensac

Collyne Dalla VerdeMaya TurletJuillac

Jade Marcelinles lèves

Maëva BonnafouxLuna Dos SantosAyana Gaconligueux

Auguste Ferrazmassugas

Quentin VerhaeguePellegrue

Lylou GérardLoïc DelmonDylan DelmonElsa DelmonManon NormandLéonie NormandTabatha ChabotPineuilh

Tom LegrandLoris ChadourneRomane ClemotEsmée CheypeArwen GomesJules RaynaudIona HasselmannAïnoha RousseauJulien RelionAnysse Sakoumisaint-Antoine-du-queyret

Bérénice Robertsaint-Avit-saint-nazaire

Matéo Gavasaint-quentin-de-caplong

Gabin Plaisir-ImpérialeAïnhora Soulardsainte-foy-la-grande

Manon EbotoCarl LespinasseLuana Dias-LopesBéatrice Dias-LopesLucie GazeauKyliana ZieglerLorenza ZieglerAnna ThibaultAlexis ThibaultLucas Bezies

Pierre-Louis RagotRobin GiraudeauTristan CatteauxCorentin LetellierInès LalandeNina FontanaFaith Martin-PicotMéryl Martin-PicotLauryne AngelotGatien GarreauClarisse Mourgues

MARIAGESsaint-André-et-Appelles

Arnaud Chandeze et Gemith Gemparoflaujagues

Olivier Thouille et Marie BlancJuillac

Cédric Marcelin et Emmanuelle ValadePierrick Guennec et Stéphanie Rouxellanderrouat

Nicolas Portier et Alicia Peyrefichemassugas

Daniel Lecrinier et Anne-Christine RoyalPellegrue

Christophe Silva et Angèle VernhesMathieu Normand et Sophie Lopez de Jesussoussac

Raphaël Rolland et Amélie Leichtnamsaint-Avit saint-nazaire

Julien Pinot et Céline Laboyesaint-Philippe-du-seignal

Sébastien Ribera et Alexandra Batocasainte-foy-la-grande

Sébastien Delbos et Sophie BazetouxChristophe Martin et Nathalie PicotJean-Christophe Devouge et Blanche Savary de BeauregardSébastien Angelot et Cécile Fraizy

OBSèQUESAuriolles

Jacky Barbe, 67 ansflaujagues

Solange Arnaudeau, 85 ans

gensacMax Godeneche, 89 ansJuillac

Auguste Benony, 85 anslanderrouat

Nadine Baudin, 81 ansGervais Grossias, 79 ansles lèves

Germaine Presotto, 85 ansmassugas

Serge Langel, 66 ansMarie-Anne Begout, 91 ansPellegrue

Jean-Marie Menesplet, 60 ansAngela Moncut, 83 ansRené Crabanat, 90 ansClaude Terrible, 84 ansPessac sur Dordogne

Monique Carlier, 82 ansJacques Voinot, 71 ansYvon Benetti, 85 ansMonique Roux, 75 ansPineuilh

Escolastica de Jesus, 90 ansRené Prouillac, 98 ansJean-Etienne Cassignard, 83 ansJean-Marc Lecharme, 58 ansMaryse Lubik, 77 ansFrédéric Bardeau, 31 ansSuzanne Leroy, 87 ansriocaud

Alain Barre, 87 anssaint-André et Appelles

Gérard Chadourne, 60 anssaint-Avit-de-soulège

Régis Lafage, 87 anssaint-Avit-saint-nazaire

Jean-Daniel Borie, 63 anssaint-quentin-de-caplong

Elisa Maria Monboucher, 93 anssainte-foy-la-grande

Marie Loucheron, 87 ansJeannine Escarmant, 91 ansPierre Caubarrus, 80 ansOdette Leyx, 90 ansSimonne Albucher, 90 ansMaurice Dudidour, 92 ansSimonne Marzelle, 94 ansEdmond Pochet, 84 ansJacques Dejean, 93 ansJean Bossuet, 89 ansHermine Poinsant, 93 ansFrançoise Faure, 76 ansNorbert Galinat, 92 ansJanine Chavaroche, 85 ans

Église en Pays foyen

Dimanche 6 octobre > 10 h 30, fête de Sainte-Foy, messe des familles suivie du verre de l’amitié

ToussaintJeudi 31 octobre > 18 heures à PellegrueVendredi 1er novembre> 9 h 15 à Gensac, > 10 h 30 au Fleix et Lamothe Montravel, > 11 heures à Sainte-Foy> 15 heures : prière au cime-tière pour communes côté 24Samedi 2 novembre > 18 heures, messe des défunts : Saint-Aulaye, Razac de Saussignac, Saint-Antoine-du-Queyret

horAires Des messes

Le 50e anniversaire du MCR (Mouvement chrétien des retraités) Dordogne a été fêté à Bergerac le 13 juin 2013. S’étaient joints à nous les membres du Lot-et-Garonne. Après les mots d’accueil des responsables diocésains, des retraités ont témoigné de leur engagement dans la société d’aujourd’hui : Monique, déléguée syndicale, Jean-Claude, président d’une maison familiale rurale, Annie, visiteuse de prison et Jean-Pierre, respon-sable départemental d’un service d’aide à la personne. Un repas tiré du sac a ensuite permis de faire plus ample connaissance. Mgr Mouïsse, évêque de Périgueux et Mgr Herbreteau, évêque d’Agen ont insisté, chacun à leur manière, sur le lien qui doit exister entre notre foi de chrétien et notre présence au sein de la société. L’eucharistie a clôturé cette journée d’écoute, de réflexion et de partage, animée par le groupe Amazing Grace qui nous a enchantés par ses chants et ses cantiques. Bref, une magnifique journée source de joie et d’espérance.

C. Bessette

le mcr fêTe ses

50 Ans Le MCR fête ses 50 ans à Bergerac.

Page 8: Terres de foy - septembre 2013

8 Terres de Foy | septembre 2013 | vos paroisses

La nuit des églises, le premier week-end de juillet a été un réel succès, notamment en Gironde où toutes les communes se sont impliquées. Désormais, on peut trouver dans chacune des églises son historique. Ici, à Coubeyrac, où l’on a pu voir aussi les photos de toutes les églises du secteur.

Terres de Foy - TrimesTrielRédaction : 42, rue denfert-Rochereau - 33220 Sainte-Foy-la-Grande - directeur de la rédaction : P. Hugues Walser - Rédactrice en chef : Marie-France Rossignol - 

éditeur : Bayard Service Edition Grand Sud-Ouest - directeur de la publication : Georges Sanerot - conception graphique Laetitia Landois - Journaliste-Secrétaire de rédaction : Magali Siroit4, rue Jean-amiel - 31700 Blagnac - tél. 05 62 74 78 20 - [email protected] - www.bayard-service.com - imprimeur : RotoGaronne - 47310 Estillac - dépôt légal à parution

à écouTer

Tous les CD de Dominique Dimey, fille du poète Bernard Dimey. C’est une chanteuse (auteur - compositeur - interprète) dont l’inspiration est pour une large part tournée vers le droit à une enfance pour tous les enfants du monde. Ses textes intelligents parlent aux enfants et sa musique est rythmée. Tout pour plaire aux enfants même les plus jeunes. Un cadeau qui a du sens. Voici quelques titres de ses CD : C’est le droit des enfants, Des voix pour la planète, Bonjour les mamans, Ouvrez vos mains. Retrouvez Dominique Dimey sur son site : www.dominiquedimey.com et sur facebook.

Saint-Michel-de-Montaigne

Bonneville etSt-Avit-de-F.

LamotheMontravel

Flaujagues

Doulezon

Coubeyrac

SainteRadegonde

Montazeau

Montcaret

St-Seurinde Prats

Juillac Pessac Eynesse

SaintQuentin

SaintAndré etAppelles

SaintAvit

Saint-Antoinedu-Queyret Listrac

Soussac

Cazaugitat

Auriolles

Pellegrue

LanderrouatRiocaud

MassugasCaplong

Les LèvesLa Roquille

Margueron

Ligueux

Razac deSaussignac

Saussignac

GageacRouillac

Gardonne

SainteFoy

Saint-AvitSaint-Nazaire

PineuilhSaint

Philippedu

Seignal

Gensac

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Nastringues

Fougueyrolles

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Le Fleix

Port Sainte-Foyet Ponchapt

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Saint-Vivien

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> Abbé Hugues WalserPresbytère 42, rue Denfert-Rochereau

33220 Sainte-Foy-la-GrandeTél. : 05 57 46 03 38 / Fax : 05 57 46 24 61

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en DordogneLes coordonnées de votre prêtre> Abbé Jean Torcel765, rue Henri de Navarre24130 Le FleixTél. : 05 53 57 99 [email protected]

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