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SYNDICAT MIXTE POUR LA GÉOTHERMIE A MEAUX MAIRIE DE MEAUX 77100 MEAUX AVANT-PROJET DÉTAILLÉ OPÉRATION MEAUX COLLINET tBîISoîHISSJ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Département géothermie B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01 Rapport du B.R.G.M. 81 SGN 758 GTH Octobre 1981 Réattsation: Département des Ant Graphique» SYNDICAT MIXTE POUR LA GÉOTHERMIE A MEAUX MAIRIE DE MEAUX 77100 MEAUX AVANT-PROJET DÉTAILLÉ OPÉRATION MEAUX COLLINET tBîISoîHISSJ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Département géothermie B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01 Rapport du B.R.G.M. 81 SGN 758 GTH Octobre 1981 Réattsation: Département des Ant Graphique»

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SYNDICAT MIXTE POUR LA GÉOTHERMIE A MEAUXMAIRIE DE MEAUX

77100 MEAUX

AVANT-PROJET DÉTAILLÉ

OPÉRATION MEAUX COLLINET

tBîISoîHISSJ

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

Département géothermie

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01

Rapport du B.R.G.M.

81 SGN 758 GTH Octobre 1981

Réattsation: Département des Ant Graphique»

SYNDICAT MIXTE POUR LA GÉOTHERMIE A MEAUXMAIRIE DE MEAUX

77100 MEAUX

AVANT-PROJET DÉTAILLÉ

OPÉRATION MEAUX COLLINET

tBîISoîHISSJ

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

Département géothermie

B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01

Rapport du B.R.G.M.

81 SGN 758 GTH Octobre 1981

Réattsation: Département des Ant Graphique»

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RESUME

Ce dossier constitue l'avant projet détaillé (APD) de l'opérationgéo-thermique de Meaux ZUP Collinet Partie sous-sol. Il reprend en les précisant denombreux éléments de l'avant projet sommaire.

Les programmes de forage et les programmes de mise en productionsont détaillés. Certaines rubriques du devis ont été modifiés par rapport à l'APS.Le montant total cependant reste le même .

RESUME

Ce dossier constitue l'avant projet détaillé (APD) de l'opérationgéo-thermique de Meaux ZUP Collinet Partie sous-sol. Il reprend en les précisant denombreux éléments de l'avant projet sommaire.

Les programmes de forage et les programmes de mise en productionsont détaillés. Certaines rubriques du devis ont été modifiés par rapport à l'APS.Le montant total cependant reste le même .

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SOMMAIRE

I - PLAN DE SITUATION 1

PLAN DE L'OPERATION 3

II - GEOLOGIE - RAPPELS ET CiM'LEMENIS 5

II.I - Introduction 6

II . 2 - Contexte géologique du site 8

11. 2.1 - Géologie d'enseirible et structures majeures 8

11 . 2 . 2 - Réservoirs potentiels au droit de la villede Meaux 10

II . 3 - Coupe géologique prévisionnelle 11

II. 3.1 - Géologie de surface 11

II . 3 . 2 - Géologie profonde 11

II . 3 . 3 - Présentation des résultats 13

11. 3.4 - Particularités au regard du forage 15

II . 3 . 5 - Remarque 15

II . 4 - Etude de 1 ' aquifère du Dogger 16

II . 4 . 1 - Etat des connaissances 16

11. 4. 2 - Description physique de l'aquifère 16

II . 4 . 3 - Caractéristiques hydrogéologiques 20

1 1 . 5 - Température 24

II. 5.1 - Rappel 24

II . 5 . 2 - Données disponibles 25

11. 5. 3 - Application des données régionales à Meaux 28

II. 5.4 - Comparaison des gradients NGF calculés d'aprèstempératures en débit 32

11. 5. 5 - Evaluation de la température à Meaux 33,

II . 5 . 5 - Conclusions 34

11. 6 - Bilan 36

II . 7 - Annexes 37

11 .8 - Caractéristiques d'exploitation 41

11. 9 - Choix du site 47

./

SOMMAIRE

I - PLAN DE SITUATION 1

PLAN DE L'OPERATION 3

II - GEOLOGIE - RAPPELS ET CiM'LEMENIS 5

II.I - Introduction 6

II . 2 - Contexte géologique du site 8

11. 2.1 - Géologie d'enseirible et structures majeures 8

11 . 2 . 2 - Réservoirs potentiels au droit de la villede Meaux 10

II . 3 - Coupe géologique prévisionnelle 11

II. 3.1 - Géologie de surface 11

II . 3 . 2 - Géologie profonde 11

II . 3 . 3 - Présentation des résultats 13

11. 3.4 - Particularités au regard du forage 15

II . 3 . 5 - Remarque 15

II . 4 - Etude de 1 ' aquifère du Dogger 16

II . 4 . 1 - Etat des connaissances 16

11. 4. 2 - Description physique de l'aquifère 16

II . 4 . 3 - Caractéristiques hydrogéologiques 20

1 1 . 5 - Température 24

II. 5.1 - Rappel 24

II . 5 . 2 - Données disponibles 25

11. 5. 3 - Application des données régionales à Meaux 28

II. 5.4 - Comparaison des gradients NGF calculés d'aprèstempératures en débit 32

11. 5. 5 - Evaluation de la température à Meaux 33,

II . 5 . 5 - Conclusions 34

11. 6 - Bilan 36

II . 7 - Annexes 37

11 .8 - Caractéristiques d'exploitation 41

11. 9 - Choix du site 47

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Ill - PROGRAMS DE FORAGE DETAILLE - PUITS DE PRODUCTION 48

III . 1 - Localisation . 49

III . 2 - Séquence des opérations 49

III. 3 -Programne de Taille 49

III. 3.1 - Phase 17"l/3 - 100 - 300 m 49

111.3.2 - Phase 17"l/4 - 300 - 550 m 49

111. 3. 3 - Phase 8"l/2 - 550 - 1750 m. .'. 50

111. 3. 4 - Phase 6" - 1750 - 1950 m ...50

II 1.3. 5 - T\ibages et cimentations 51

III .4 - Programne de boue 53

111. 4.1 - Phases 17"l/2 - 12"l/4 - 8"l/2 53

111. 4. 2 - Phase 6".... 53

III .4.3 - Traitement de la boue avant cimentation 54

III. 4. 4 - Fluid spacers....... 54

III . 5 - Programne de diagraphies 54

II 1 . 6 - Surveillance géologique 55

IV - PROGRAMS DE FORAGE DETAILLE - PUITS D' INJECTION. 56

IV.l - Localisation. 57

rv. 2 - Séquences des opérations 57

IV. 3 - Programme de forage 59

IV. 3. 1 - Phase 17" 1/2 (180 - 650) 59

IV. 3. 2 - Phase 12"l/4 59

IV. 3. 3 - Phase 8"l/2 60

IV. 3.4 - Phase 6" 61

IV. 4 - Tubages et cimentations 61

IV.4.1 - Tubage 13"3/8 .' 61

IV.4.2 - Tubage 9"5/8 ........ 61

; IV. 4. 3 - Tubage 7" , 62

IV. 5 - Programme de boue. 63

IV. 5.1 -Phase 17"l/2 '..63IV. 5. 2 - Phases 12"l/4,- 8"l/2 63

'IV. 5. 3 - Phase 6"...' 64

IV . 5 . 4 - Traitement de la boue avant cimentation 64

IV. 5.5- Fluid spacers ' ;..... 64

IV. 6 - Programme de diagraphies .'........ 65

/ i

Ill - PROGRAMS DE FORAGE DETAILLE - PUITS DE PRODUCTION 48

III . 1 - Localisation . 49

III . 2 - Séquence des opérations 49

III. 3 -Programne de Taille 49

III. 3.1 - Phase 17"l/3 - 100 - 300 m 49

111.3.2 - Phase 17"l/4 - 300 - 550 m 49

111. 3. 3 - Phase 8"l/2 - 550 - 1750 m. .'. 50

111. 3. 4 - Phase 6" - 1750 - 1950 m ...50

II 1.3. 5 - T\ibages et cimentations 51

III .4 - Programne de boue 53

111. 4.1 - Phases 17"l/2 - 12"l/4 - 8"l/2 53

111. 4. 2 - Phase 6".... 53

III .4.3 - Traitement de la boue avant cimentation 54

III. 4. 4 - Fluid spacers....... 54

III . 5 - Programne de diagraphies 54

II 1 . 6 - Surveillance géologique 55

IV - PROGRAMS DE FORAGE DETAILLE - PUITS D' INJECTION. 56

IV.l - Localisation. 57

rv. 2 - Séquences des opérations 57

IV. 3 - Programme de forage 59

IV. 3. 1 - Phase 17" 1/2 (180 - 650) 59

IV. 3. 2 - Phase 12"l/4 59

IV. 3. 3 - Phase 8"l/2 60

IV. 3.4 - Phase 6" 61

IV. 4 - Tubages et cimentations 61

IV.4.1 - Tubage 13"3/8 .' 61

IV.4.2 - Tubage 9"5/8 ........ 61

; IV. 4. 3 - Tubage 7" , 62

IV. 5 - Programme de boue. 63

IV. 5.1 -Phase 17"l/2 '..63IV. 5. 2 - Phases 12"l/4,- 8"l/2 63

'IV. 5. 3 - Phase 6"...' 64

IV . 5 . 4 - Traitement de la boue avant cimentation 64

IV. 5.5- Fluid spacers ' ;..... 64

IV. 6 - Programme de diagraphies .'........ 65

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V - TETE DE PUITS 66

V.l - Phase 17"1/2 -67

V.2 - Phase 12"1/4 67

V.3 - Phase 8"1/2 67

V.4 - Phase 6" 67

VI - PROGRAÎ'ME DE MISE EN PRODUCTION 74

VI. 1 - Puits de production 75

VI. 1.1 - Période de réalisation 75

VI. 1.2 - Caractéristiques du réservoir et du forage '75

VI. 1.3 - Contraintes d'environnement 75

VI. 1.4 - Installation d'essai 76

VI . 1 . 5 - Développement du réservoir 77

VI. 1.6 - Essai d'évaluation de couche .78

VI . 1 . 7 - Stimulation complémentaire 79

VI .1.8 - Abandon du puits 79

VI. 1.9 - Matériel approvisionné 79

VL2 - Puits d'injection 81

VI. 2.1 - Période de réalisation 81

VI. 2. 2 - Caractéristiques du réservoir et du forage 81

VI . 2 . 3 - Contraintes d ' environnement -81

VI . 2 .4 - Installation d' essai 82

VI . 2 . 5 - Développement du réservoir 84

VI. 2. 6 - Essais d'évaluation de couche .85

VI . 2 . 7 - Stimulation complémentaire 87

VI. 2. 8 - Abandon puits ...87VI. 2. 9 - Matériel a approvisionner et opérations

préalables 88

VI . 2 . 10 - Décompte prévisionnel des temps 89

VII - TRAVAUX COMPLEMENTAIRES 91

VII. 1 - Définition des travaux de génie civil 92

VII. 1.1- Plate-forme de forage 92

VII. 1. 2 - Travaux d ' aménagement 92

VII. 1.3 - Travaux de béton armé et maçonnerie 92

./.

V - TETE DE PUITS 66

V.l - Phase 17"1/2 -67

V.2 - Phase 12"1/4 67

V.3 - Phase 8"1/2 67

V.4 - Phase 6" 67

VI - PROGRAÎ'ME DE MISE EN PRODUCTION 74

VI. 1 - Puits de production 75

VI. 1.1 - Période de réalisation 75

VI. 1.2 - Caractéristiques du réservoir et du forage '75

VI. 1.3 - Contraintes d'environnement 75

VI. 1.4 - Installation d'essai 76

VI . 1 . 5 - Développement du réservoir 77

VI. 1.6 - Essai d'évaluation de couche .78

VI . 1 . 7 - Stimulation complémentaire 79

VI .1.8 - Abandon du puits 79

VI. 1.9 - Matériel approvisionné 79

VL2 - Puits d'injection 81

VI. 2.1 - Période de réalisation 81

VI. 2. 2 - Caractéristiques du réservoir et du forage 81

VI . 2 . 3 - Contraintes d ' environnement -81

VI . 2 .4 - Installation d' essai 82

VI . 2 . 5 - Développement du réservoir 84

VI. 2. 6 - Essais d'évaluation de couche .85

VI . 2 . 7 - Stimulation complémentaire 87

VI. 2. 8 - Abandon puits ...87VI. 2. 9 - Matériel a approvisionner et opérations

préalables 88

VI . 2 . 10 - Décompte prévisionnel des temps 89

VII - TRAVAUX COMPLEMENTAIRES 91

VII. 1 - Définition des travaux de génie civil 92

VII. 1.1- Plate-forme de forage 92

VII. 1. 2 - Travaux d ' aménagement 92

VII. 1.3 - Travaux de béton armé et maçonnerie 92

./.

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VII. 1.4 -Aménagement de l'accès 92

VII. 1.5 - Alimentation en eau 92

VII. 1.6 - Rejets des boues 93

VII. 1.7 - Rejets des eaux deforamtion pendant essaisles essais ^^

VIII - DEVIS PREVIS PREVISIONNEL (REVISION) 94

VII. 1.4 -Aménagement de l'accès 92

VII. 1.5 - Alimentation en eau 92

VII. 1.6 - Rejets des boues 93

VII. 1.7 - Rejets des eaux deforamtion pendant essaisles essais ^^

VIII - DEVIS PREVIS PREVISIONNEL (REVISION) 94

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- 1 -

I - PLAN DE SITUATION

- 1 -

I - PLAN DE SITUATION

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- 2 -

ZUP LA PIERRE COLLINET

Implantation des forages géothermiques

FOff/lGf D'INJECTION

Echelle : 1 / 25 000

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- 3 -

PLAN DE L'OPERATION

- 3 -

PLAN DE L'OPERATION

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- 4 -

ZUP LA PIERRE COLLINET

Schema d'implantation des forages

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- 5 -

II - GEOLOGIE - RAPPELS ET COMPLEMENTS

- 5 -

II - GEOLOGIE - RAPPELS ET COMPLEMENTS

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2.1 - INTRODUCTION

A l'échelle du Bassin Parisien, l'agglomération de Meaux se situesur la remontée NW de la "fosse de Coulommiers" (partie centrale du BassinParisien). Les aquifères potentiels y sont donc relativement profonds et lestempératures élevées. Parmi ces aquifères, le Dogger présente les meilleurescaractéristiques hydrodynamiques (transmissivité > 20 D.m ; cf. synthèsegéothermique du Bassin Parisien, B. Housse et Ph. Maget, 1976).

Par ailleurs, à 9 km au SE de Meaux (structure anticlinale deCoulommes), le Dogger a fait l'objet d'études détaillées de la part despétroliers (géophysique, "core-dr ill", forages). Sur 2 des puits, des essaisde pompage de longue durée ont été réalisés (rapport BRGM 78 SGN 361 GTH).Les résultats ont souligné la bonne qualité de ce champ au regard d'undéveloppement géothermique.

Pour l'agglomération de Meaux, deux tj^ies d'opérations géothermiquesdevenaient alors possibles :

- adaptation à des fins géothermiques de certains foragesexistant à Coulommes et mise en place d'un réseau decanalisations reliant ces puits à Meaux;

- réalisation de nouveaiox forages implantés à proximité descentres de consommation.

L'étude technico-économique comparative entreprise ensuite(rapport BRGM 79 SGN 584 GTH) a permis d'opter pour la réalisation de nouveauxforages à Meaux. Plusieurs doublets sont envisagés dans les quartiers de"Collinet", "Beauval" et "l'hôpital".

Cette étude porte sur le site "Collinet" de coordonnées(cf. planche 1) :

X = 641,320 ; y = 138,120 ; z = + 50 m

Elle a pour but d'établir la coupe géologique prévisionnelle,de fournir les paramètres hydrodynamiques et thermiques et d'évaluer lerisque géologique de cette opération.

2.1 - INTRODUCTION

A l'échelle du Bassin Parisien, l'agglomération de Meaux se situesur la remontée NW de la "fosse de Coulommiers" (partie centrale du BassinParisien). Les aquifères potentiels y sont donc relativement profonds et lestempératures élevées. Parmi ces aquifères, le Dogger présente les meilleurescaractéristiques hydrodynamiques (transmissivité > 20 D.m ; cf. synthèsegéothermique du Bassin Parisien, B. Housse et Ph. Maget, 1976).

Par ailleurs, à 9 km au SE de Meaux (structure anticlinale deCoulommes), le Dogger a fait l'objet d'études détaillées de la part despétroliers (géophysique, "core-dr ill", forages). Sur 2 des puits, des essaisde pompage de longue durée ont été réalisés (rapport BRGM 78 SGN 361 GTH).Les résultats ont souligné la bonne qualité de ce champ au regard d'undéveloppement géothermique.

Pour l'agglomération de Meaux, deux tj^ies d'opérations géothermiquesdevenaient alors possibles :

- adaptation à des fins géothermiques de certains foragesexistant à Coulommes et mise en place d'un réseau decanalisations reliant ces puits à Meaux;

- réalisation de nouveaiox forages implantés à proximité descentres de consommation.

L'étude technico-économique comparative entreprise ensuite(rapport BRGM 79 SGN 584 GTH) a permis d'opter pour la réalisation de nouveauxforages à Meaux. Plusieurs doublets sont envisagés dans les quartiers de"Collinet", "Beauval" et "l'hôpital".

Cette étude porte sur le site "Collinet" de coordonnées(cf. planche 1) :

X = 641,320 ; y = 138,120 ; z = + 50 m

Elle a pour but d'établir la coupe géologique prévisionnelle,de fournir les paramètres hydrodynamiques et thermiques et d'évaluer lerisque géologique de cette opération.

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- 8 -

2.2 - CONTEXTE GEOLOGIQUE DU SITE

2.2.7. - GEOLOGIE P' ENSEMBLE ET STRUCTURES MAJEURES

Le socle paléozoïque sur lequel reposent les séries secondairespuis tertiaires du Bassin de Paris a la forme d'une cuvette dont le centrese situerait à 30 km au SE de Meaux, à une profondeur supérieure à 3 000 m.Ce soubassement est affecté par un accident majeur (N 140, "Faille du paysde Bray", cf. planche 2a) à activité sjmsédimentaire séparant un domaineardennais au NE et bourguignon au SW.

A la latitude de Meaux, les déplacements relatifs d'un bloc parrapport à l'autre au cours des temps sont marqués principalement par (cf.synthèse géologique du Bassin de Paris) :

. l'existence de Permien (ou Permo-Trias) sur le bloc ardennaisseul

. 1' épaississement considérable des séries du Lias particulièrementsur le bloc ardennais

. des variations d'épaisseur et de faciès à d'autres époques.

D'autres accidents, de moindre envergure, ont vraisemblablementconditionné l'organisation des dépôts. Ce pourrait être le cas de la faillede direction N 30, reconnue au socle au NE de Meaux (sa prolongation vers leSW se situe à quelques kilomètres au N de Meaux) .

L'ensemble des séries mésozoïques a subi des déformations. Dansles environs de Meaux, les traits structuraux inajeurs sont :

- la faille du Pays de Bray : bien matérialisée au NW, et au SE

dans la fosse de Coulommiers, elle n'est pas reconnue à lalatitude de Meaux (cf. planche 2b)

- la structure de Coulommes : dôme de direction N30 (composéd'une succession de 3 anticlinaux limités vraisemblablementau N par une faille (cf. planche 2b et 8a) et à l'W par uneflexure. ^

Pour le reste, les structures sont en réalité des ondulationsde faible amplitude, à plongement d'axe vers le SE (plongement conforme àcelui des séries). La direction des axes est :

- N 130 au N et à l'E de Meaux ,

- N 80 à N 90 à l'W et au S.

Cette transition rapide, à la latitude de Meaux, dans le styleet l'amplitude des déformations peut résulter d'un -même phénomène : interruptionméridionale de la faille du Pays de Bray et relai de mouvement par un systèmede plis transverses.

- 8 -

2.2 - CONTEXTE GEOLOGIQUE DU SITE

2.2.7. - GEOLOGIE P' ENSEMBLE ET STRUCTURES MAJEURES

Le socle paléozoïque sur lequel reposent les séries secondairespuis tertiaires du Bassin de Paris a la forme d'une cuvette dont le centrese situerait à 30 km au SE de Meaux, à une profondeur supérieure à 3 000 m.Ce soubassement est affecté par un accident majeur (N 140, "Faille du paysde Bray", cf. planche 2a) à activité sjmsédimentaire séparant un domaineardennais au NE et bourguignon au SW.

A la latitude de Meaux, les déplacements relatifs d'un bloc parrapport à l'autre au cours des temps sont marqués principalement par (cf.synthèse géologique du Bassin de Paris) :

. l'existence de Permien (ou Permo-Trias) sur le bloc ardennaisseul

. 1' épaississement considérable des séries du Lias particulièrementsur le bloc ardennais

. des variations d'épaisseur et de faciès à d'autres époques.

D'autres accidents, de moindre envergure, ont vraisemblablementconditionné l'organisation des dépôts. Ce pourrait être le cas de la faillede direction N 30, reconnue au socle au NE de Meaux (sa prolongation vers leSW se situe à quelques kilomètres au N de Meaux) .

L'ensemble des séries mésozoïques a subi des déformations. Dansles environs de Meaux, les traits structuraux inajeurs sont :

- la faille du Pays de Bray : bien matérialisée au NW, et au SE

dans la fosse de Coulommiers, elle n'est pas reconnue à lalatitude de Meaux (cf. planche 2b)

- la structure de Coulommes : dôme de direction N30 (composéd'une succession de 3 anticlinaux limités vraisemblablementau N par une faille (cf. planche 2b et 8a) et à l'W par uneflexure. ^

Pour le reste, les structures sont en réalité des ondulationsde faible amplitude, à plongement d'axe vers le SE (plongement conforme àcelui des séries). La direction des axes est :

- N 130 au N et à l'E de Meaux ,

- N 80 à N 90 à l'W et au S.

Cette transition rapide, à la latitude de Meaux, dans le styleet l'amplitude des déformations peut résulter d'un -même phénomène : interruptionméridionale de la faille du Pays de Bray et relai de mouvement par un systèmede plis transverses.

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Plonche 2

CONTEXTE STRUCTURAL DE LA REGION DE MEAUX

%y^k^h

^\N^

\X.

Extroit 1/2000 000

2A: Synthèse géologique du Bassin de Poris Failles- profondes

-f.-t.>+ Anticlinaux

Synclinaux _ . . . . .Ondulotions ovec plongement

- d^oxe.Ai > ^ onticlinoles

-r *" ^ synclinales trfts peu morquees

Failles ou socle

dons lo couverture

2B Synthèse d'après sismique CGG 1964 + isobof hes du Dogger

0 I 2 3 4 s 10 1.5 20 km

Plonche 2

CONTEXTE STRUCTURAL DE LA REGION DE MEAUX

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Extroit 1/2000 000

2A: Synthèse géologique du Bassin de Poris Failles- profondes

-f.-t.>+ Anticlinaux

Synclinaux _ . . . . .Ondulotions ovec plongement

- d^oxe.Ai > ^ onticlinoles

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Failles ou socle

dons lo couverture

2B Synthèse d'après sismique CGG 1964 + isobof hes du Dogger

0 I 2 3 4 s 10 1.5 20 km

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- 10 -

2.2.2. - RESERt/OIRS POTEMTIELS AU VRÛTT VE LA VILLE VE MEAUX

La synthèse géothermique du Bassin Parisien permet de distinguerplusieurs aquifères (Housse et Maget, 1976) :

- Eocène : il s'agit d'un aquifère superficiel fortement sollicitépour l'alimentation industrielle ou agricole ;

- Crétacé _sugérieur : la craie ne constitue un aquifère quelorsqu'elle affleure. Au droit de Meaux, elle n'offre pasd'intérêt ;

- Albien : cet aquifère, de bonne qualité, est soumis a uneréglementation rigoureuse ;

- Crétacé _inf érieur : les grès pyriteux et sables ligniteux duNéocomien sont Îiitérogènes. A Meaux ils sont situés vers 1 000 m

de profondeur, leur épaisseur est de 80 m, leur températureproche de 40° C ;

- Lusitanien : il constitue un horizon carbonaté situé à environ1 300 m de profondeur, dont la températiu?e serait de 58° C.Signalons que c'est au droit de Meaux qu'il présenterait lesmeilleures caractéristiques hydrogéologiques (transmissivité ^ 5 d.m) ;

- Dogger : dans l'environnement de Meaux, le Dogger présente detres bonnes caractéristiques (température quelque peu inférieure à75° C pour une profondeur de 1 700 m, transmissivité > 20 d.m) ;

- Trias : il comporte plusieurs nivea;;ix aquifères, sa températureserait de l'oràre de 90° C. En fait, il semblerait, d'après lesdonnées du champ de Coulommes, que la productivité de ce réservoirsoit ici très faible.

De cet inventaire, il ressort que c'eat le Dogger qui constituela meilleure cible géothermique au droit de Meaux.

- 10 -

2.2.2. - RESERt/OIRS POTEMTIELS AU VRÛTT VE LA VILLE VE MEAUX

La synthèse géothermique du Bassin Parisien permet de distinguerplusieurs aquifères (Housse et Maget, 1976) :

- Eocène : il s'agit d'un aquifère superficiel fortement sollicitépour l'alimentation industrielle ou agricole ;

- Crétacé _sugérieur : la craie ne constitue un aquifère quelorsqu'elle affleure. Au droit de Meaux, elle n'offre pasd'intérêt ;

- Albien : cet aquifère, de bonne qualité, est soumis a uneréglementation rigoureuse ;

- Crétacé _inf érieur : les grès pyriteux et sables ligniteux duNéocomien sont Îiitérogènes. A Meaux ils sont situés vers 1 000 m

de profondeur, leur épaisseur est de 80 m, leur températureproche de 40° C ;

- Lusitanien : il constitue un horizon carbonaté situé à environ1 300 m de profondeur, dont la températiu?e serait de 58° C.Signalons que c'est au droit de Meaux qu'il présenterait lesmeilleures caractéristiques hydrogéologiques (transmissivité ^ 5 d.m) ;

- Dogger : dans l'environnement de Meaux, le Dogger présente detres bonnes caractéristiques (température quelque peu inférieure à75° C pour une profondeur de 1 700 m, transmissivité > 20 d.m) ;

- Trias : il comporte plusieurs nivea;;ix aquifères, sa températureserait de l'oràre de 90° C. En fait, il semblerait, d'après lesdonnées du champ de Coulommes, que la productivité de ce réservoirsoit ici très faible.

De cet inventaire, il ressort que c'eat le Dogger qui constituela meilleure cible géothermique au droit de Meaux.

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11 -

2.3 - COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE

2.3.1. - GEOLOGIE VE SURFACE

2.3.1.1. - Conn|e^_at¿¿^éeA

- Forages n° (Banque des Données du Sous-Sol) :

185-1 ; 185-2 ; 185-5 ; 185-78 ; 185-79 ; 185-84 ; 185-85.

- Feuilles Lagny et Coulommiers à 1/50 000.

2.3. J. 2. - Cou^í_Q^tv¿&¿qnn.eJÍ¿e.

La coupe prévisionnelle du Tertiaire a été réalisée par leSGR/IDF (cf. annexe 1). Pour une cote sol de + 52 NGF, elle situe le murdu Tertiaire à 90 m (+ 10 m), soit â la cote NGF de - 40 m à - 50 m.

2.3.2. - GEOLOGIE PRQFOWE

2.3.2. J. - ponnée4_at¿¿¿á|aó |(i¿. planche. 3)

- Forages pétroliers de (tous situés au NE de la faille de Bray) :

. Villeroy VY 1

. Quincy Voisins 7 QV 7

. Coulommes CS 1

. Montretout MT 1

. Haute Maison HM 1

- Cores drills

. MB 1

. MX 2 .

. BE 2 . .

- Carte isobathe du toit du Dogger de Héritier et Villemin (1971)

- Sjmthèse géologique de Lauvergeat (1957).

2.3.2.2. - A{aa£y¿e._de4_co^|£aí^n¿

- Faciès et épaisseur :

La planche de corrélations (n° 4) -met en évidence un épaississementprogressif de la série mésozoîque étudiée àepuis le.NW vers le SE. Les princi¬pales variations ont eu lieu durant le Jurassique supérieur et le Crétacéinférieur .

11 -

2.3 - COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE

2.3.1. - GEOLOGIE VE SURFACE

2.3.1.1. - Conn|e^_at¿¿^éeA

- Forages n° (Banque des Données du Sous-Sol) :

185-1 ; 185-2 ; 185-5 ; 185-78 ; 185-79 ; 185-84 ; 185-85.

- Feuilles Lagny et Coulommiers à 1/50 000.

2.3. J. 2. - Cou^í_Q^tv¿&¿qnn.eJÍ¿e.

La coupe prévisionnelle du Tertiaire a été réalisée par leSGR/IDF (cf. annexe 1). Pour une cote sol de + 52 NGF, elle situe le murdu Tertiaire à 90 m (+ 10 m), soit â la cote NGF de - 40 m à - 50 m.

2.3.2. - GEOLOGIE PRQFOWE

2.3.2. J. - ponnée4_at¿¿¿á|aó |(i¿. planche. 3)

- Forages pétroliers de (tous situés au NE de la faille de Bray) :

. Villeroy VY 1

. Quincy Voisins 7 QV 7

. Coulommes CS 1

. Montretout MT 1

. Haute Maison HM 1

- Cores drills

. MB 1

. MX 2 .

. BE 2 . .

- Carte isobathe du toit du Dogger de Héritier et Villemin (1971)

- Sjmthèse géologique de Lauvergeat (1957).

2.3.2.2. - A{aa£y¿e._de4_co^|£aí^n¿

- Faciès et épaisseur :

La planche de corrélations (n° 4) -met en évidence un épaississementprogressif de la série mésozoîque étudiée àepuis le.NW vers le SE. Les princi¬pales variations ont eu lieu durant le Jurassique supérieur et le Crétacéinférieur .

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\

"3». -¿¿%Jû

'-JÍ3A: 1 / 5 0 0 0 0 0 0 Fond Isobathe du Dogger

Forages pétroliers utilises pourla coupe géologique

I 1 Autres forages utilises

I I

/ / ^ (7. 3 B : 1 / 8 0 0 0 0 Fond géologique , feuille M e a u x

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- 13 -

Les variations latérales d'épaisseur les plus rapides se situententre les forages VY 1 et QV 7, c'est-à-dire à la latitude de Meaux.

Meaux se situe donc dans une zone de transition non seulementstructurale (cf. § 2.2.) mais aussi lithologique. Signalons dès maintenantque les calcaires du Dogger présentent le même type de variations (cf. § 4)

. série réduite au NW de Meaux

. série plus épaisse au SE . ^^

L'estimation de l'épaisiseur pour chaque unité lithostratigraphique,au droit de Meaux, a été réalisée par interpolation entre les sondages sélec¬tionnés.

2.3.2.3. - Ç:Ot(L_d2AjQfu.nçl2'^^

La cote des principaux marqueurs (toit de l'Albien, soit duPortlandien, toit du Dogger) a été précisée par comparaison avec :

. les cartes isobathes, isopaques et de faciès àe l'Albienàe Lauvergeat (1967)

.la carte isobathe au toit du Dogger de Héritier etVillemin (1971) '

. les àocuments sismiques au secteur de Dammarton en Goële(rapport CGG 1957). ' ,

Il n'a pas été tenu compte de la carte de la Craie au Bassinàe Paris, du fait de sa contradiction pour la zone consiàérée, avec laàonnée au core-drîll MB 1.

2.3.3. - VRESEmATlOH VES RESULTATS

Les coupes géologiques prévisionnelles du Tertiaire d'une partet du Mésozoîque d'autre part sont présentées en annexe 1 et 2.

L'épaisseur de la série mésozoîque à traverser pour atteindre leDogger est évaluée à 1 651 m, ce qui, compte tenu des 90 m de Tertiaire,correspond à une hauteur â forer de 1 741 to. Pour une cote sol de + 50 NGF,le toit du Dogger est donc situé à - 1 691 NGF.

Les incertitudes quant au toit du Tertiaire (+ 10 m) et au toitau Dogger (+ 5 m) nous . coriàuîsent à envisager "un approfonàissement possibleàe 19 m. Le toit du Dogger se situe donc entre les cotes - 1 690 NGF et ,

- 1 710 NGF (profonàeur totale à forer : 1 740 à 1 760 to).

- 13 -

Les variations latérales d'épaisseur les plus rapides se situententre les forages VY 1 et QV 7, c'est-à-dire à la latitude de Meaux.

Meaux se situe donc dans une zone de transition non seulementstructurale (cf. § 2.2.) mais aussi lithologique. Signalons dès maintenantque les calcaires du Dogger présentent le même type de variations (cf. § 4)

. série réduite au NW de Meaux

. série plus épaisse au SE . ^^

L'estimation de l'épaisiseur pour chaque unité lithostratigraphique,au droit de Meaux, a été réalisée par interpolation entre les sondages sélec¬tionnés.

2.3.2.3. - Ç:Ot(L_d2AjQfu.nçl2'^^

La cote des principaux marqueurs (toit de l'Albien, soit duPortlandien, toit du Dogger) a été précisée par comparaison avec :

. les cartes isobathes, isopaques et de faciès àe l'Albienàe Lauvergeat (1967)

.la carte isobathe au toit du Dogger de Héritier etVillemin (1971) '

. les àocuments sismiques au secteur de Dammarton en Goële(rapport CGG 1957). ' ,

Il n'a pas été tenu compte de la carte de la Craie au Bassinàe Paris, du fait de sa contradiction pour la zone consiàérée, avec laàonnée au core-drîll MB 1.

2.3.3. - VRESEmATlOH VES RESULTATS

Les coupes géologiques prévisionnelles du Tertiaire d'une partet du Mésozoîque d'autre part sont présentées en annexe 1 et 2.

L'épaisseur de la série mésozoîque à traverser pour atteindre leDogger est évaluée à 1 651 m, ce qui, compte tenu des 90 m de Tertiaire,correspond à une hauteur â forer de 1 741 to. Pour une cote sol de + 50 NGF,le toit du Dogger est donc situé à - 1 691 NGF.

Les incertitudes quant au toit du Tertiaire (+ 10 m) et au toitau Dogger (+ 5 m) nous . coriàuîsent à envisager "un approfonàissement possibleàe 19 m. Le toit du Dogger se situe donc entre les cotes - 1 690 NGF et ,

- 1 710 NGF (profonàeur totale à forer : 1 740 à 1 760 to).

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w I QV 7 HM ; (MT I) CGO 1

sénonien

Turonien

Cénomanien

Albien supérieur

Albien inférieur+ Aptien

Barrémien

Néocomien

Purbeckien

Portlandien

Kimméridgien

Séquanien

Rauracien

Argovien

Oxfordien

Callovien

Dogger

> 406

110

77

65

. 88

\ 174 VD

1 tN

.H

42

113

127

54

86

104

116

50

B -1

.H

O

otnVD

> 400

116

83

59

86

205 S

35

125

134

66

69

113

107

41

OO

ininVD

52

93

427

111

81

an51 ^

aiet

144

145

42

130

148

72

89

116

117

45

eno

a

*

Pi^nchz_4

VaJvLdtioYii, iaWuxtu d' ípaliÁZUA da JuAa4¿^que-C/iéíacé

dz vy 1 m m à CGO 1 aa SE

> 415

110

82

36

1

84 a

VDtN

169

46

132

144

71

89

118

133

50

CN I

O I

I

-\

r~

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jJj

48

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Purbeckien

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Kimméridgien

Séquanien

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Dogger

> 406

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- 15 -

2.3. A. - PARTICULARITES AU REGARV VU FORAGE

- L'agglomération àe Meaux est bâtie pour l'essentiel sur lesalluvions moàemes àe la Marne. La rive àroite àe la Marne afait l'objet àe plusieiirs excavations pour extraction àe matériaux,certaines à 'entre elles ayant été comblées. Le site àe Collinetse trouve â proximité àe l'un àe ces remblais. Selon l'emplacement

, retenu pour la plateforme, l'étuàe géotechnique àevra y porter.une attention particulière. . .

- Parmi les formations tertiaires, signalons le caractère plastiqueàes argiles au Sparnacien. En contrepartie, les meulières àeBeauce sont ici absentes.

- Les sables de. l'Albien sont un aquifère à protéger.

- Le toit du Dogger présente, pour certains puits de la concessionde Coulommes, des venues d'huiles et de gaz importantes, liéesà la structure du site. Les structures au droit de Meaux sontpeu propices au piégeage de gaz ou d'huile. Une attentionparticulière devra quand même y être portée.

2.3.5. - REMARQUE

Une coupe géologique prévisionnelle a été réalisée pour le mêmesite par le SGR/IDF. Elle abaisse de 33 to la cote du Dogger par rapport à lacoupe prévisionnelle établie ici, et modifie certaines cotes relatives auxépaisseurs de formations.

La cote attribuée au toit de l'Albien (- 697) satisfait à lacarte de la craie du Bassin Parisien (- 703). En fait, nous avons souligné(cf. § 3.2.3.) que ce document n'était pas en accorà avec les àonnées fourniespar le core àrîll MB 1. Il nous paraît donc préférable de faire abstractionde cette carte (malgré le àoute qu'elle provoque) et de ne se baser que surles autres àonnées. La coupe présentée par le SGR est fournie en annexe 3.

- 15 -

2.3. A. - PARTICULARITES AU REGARV VU FORAGE

- L'agglomération àe Meaux est bâtie pour l'essentiel sur lesalluvions moàemes àe la Marne. La rive àroite àe la Marne afait l'objet àe plusieiirs excavations pour extraction àe matériaux,certaines à 'entre elles ayant été comblées. Le site àe Collinetse trouve â proximité àe l'un àe ces remblais. Selon l'emplacement

, retenu pour la plateforme, l'étuàe géotechnique àevra y porter.une attention particulière. . .

- Parmi les formations tertiaires, signalons le caractère plastiqueàes argiles au Sparnacien. En contrepartie, les meulières àeBeauce sont ici absentes.

- Les sables de. l'Albien sont un aquifère à protéger.

- Le toit du Dogger présente, pour certains puits de la concessionde Coulommes, des venues d'huiles et de gaz importantes, liéesà la structure du site. Les structures au droit de Meaux sontpeu propices au piégeage de gaz ou d'huile. Une attentionparticulière devra quand même y être portée.

2.3.5. - REMARQUE

Une coupe géologique prévisionnelle a été réalisée pour le mêmesite par le SGR/IDF. Elle abaisse de 33 to la cote du Dogger par rapport à lacoupe prévisionnelle établie ici, et modifie certaines cotes relatives auxépaisseurs de formations.

La cote attribuée au toit de l'Albien (- 697) satisfait à lacarte de la craie du Bassin Parisien (- 703). En fait, nous avons souligné(cf. § 3.2.3.) que ce document n'était pas en accorà avec les àonnées fourniespar le core àrîll MB 1. Il nous paraît donc préférable de faire abstractionde cette carte (malgré le àoute qu'elle provoque) et de ne se baser que surles autres àonnées. La coupe présentée par le SGR est fournie en annexe 3.

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- 16

2.^ - ETUDE DE l'aquifère DU DOGGER

2.4.1. - ETAT VES CONNAISSANCES

Dans le caàre àe la synthèse géothermique au Bassin Parisien,tous les sonàages ayant traversé le Dogger ont été étuàiés. La transmissivitéàans la région àe Meaux serait supérieure à 20 D.m et la température quelque peuinférieijre à 75° C.

L'étuàe àe àétail réalisée pour Meaux a utilisé (cf. planche 3) :

- pour l'étuàe physique au réservoir : les forages ayant traverséla totalité au Dogger :

. Nantouillet NT 1

. Coulommes CS 1 ' '

. Montretout MT 1

. Coxilommiers GCO 1

- pour l'étuàe hyàrogéologique les résultats àes forages :

. E 29 et CS 4 (champ àe Coulommes, rapport 78 SGN 361 GTH)

. Coulommiers GCO 1 (rapport 80 SGN 720 GTH).

2.4.2. - PESCRIPTIOM PHVSl SUE PE L'AQUIFERE

2.4.2.1 . - L¿í^o£o3^e_comgaA|e.

Epaisseur totale

Bathonien

Bajocien +Aalênien calcaire

"Dogger calcaire"total

NTl

145 m

: 85 m ,

230 m

CSl

197 m

145 m

343 m

MTI

192 m

155 m

347 m

CGO 1

190 m

L'épaisseur au Dogger en NTl se trouve notablement "réàùite" parrapport aux autres forages, confirmant la distinction entre les domaines NW

(VYl, NTl) et SE (CSl, QV7, CS4, MTI, CGO 1) (cf. § 3.2.2.).

Meaux se situe dans la zone de passage d'un domaine à l'autre.

- 16

2.^ - ETUDE DE l'aquifère DU DOGGER

2.4.1. - ETAT VES CONNAISSANCES

Dans le caàre àe la synthèse géothermique au Bassin Parisien,tous les sonàages ayant traversé le Dogger ont été étuàiés. La transmissivitéàans la région àe Meaux serait supérieure à 20 D.m et la température quelque peuinférieijre à 75° C.

L'étuàe àe àétail réalisée pour Meaux a utilisé (cf. planche 3) :

- pour l'étuàe physique au réservoir : les forages ayant traverséla totalité au Dogger :

. Nantouillet NT 1

. Coulommes CS 1 ' '

. Montretout MT 1

. Coxilommiers GCO 1

- pour l'étuàe hyàrogéologique les résultats àes forages :

. E 29 et CS 4 (champ àe Coulommes, rapport 78 SGN 361 GTH)

. Coulommiers GCO 1 (rapport 80 SGN 720 GTH).

2.4.2. - PESCRIPTIOM PHVSl SUE PE L'AQUIFERE

2.4.2.1 . - L¿í^o£o3^e_comgaA|e.

Epaisseur totale

Bathonien

Bajocien +Aalênien calcaire

"Dogger calcaire"total

NTl

145 m

: 85 m ,

230 m

CSl

197 m

145 m

343 m

MTI

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347 m

CGO 1

190 m

L'épaisseur au Dogger en NTl se trouve notablement "réàùite" parrapport aux autres forages, confirmant la distinction entre les domaines NW

(VYl, NTl) et SE (CSl, QV7, CS4, MTI, CGO 1) (cf. § 3.2.2.).

Meaux se situe dans la zone de passage d'un domaine à l'autre.

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17 -

Lithologie du Bathonien (cf. planche 5) :

3 unités principales peuvent être distinguées :

. imité supérieure de 20 m (NTl) à 25 m (MTI) de calcairesoolithiques graveleux et sublithographiques compacts correspondantà la dalle nacrée

. unité médiane de 115 m (NTl) à 125 m (MTI) de calcaires zoogènes,: oolithiques et pseudoolithiques

. unité inférieure de 10 m (NTl) à. 50 m (MTI) de calcairescompacts, oolithiques crayeux, possédant parfois des nodulesmarneux. .

La réduction de série de NTl intéresse donc essentiellementl'unité inférieure.

Les faciès de l'unité supérieure sont très comparables d'un puitsà l'autre.

, Au sein de l'unité médiane considérée généralement comme réservoir,on distingue 2 parties :

. partie supérieure : calcaires graveleux, parfois à nodulesmarneux, zoogènes et pseudoolithiques

. partie inférieure : calcaires essentiellement oolithiques.

La comparaison des descriptions lithologiques souligne :

. pour la partie supérieure : à CSl une alternance de faciès« zoogènes avec des calcaires crayeux comportant des nodules

et oolithes marneuses alors qu'en NTl il s'agit de calcairesgrossiers à ciment pseudoolithiques, sans mention de particulesmarneuses . ,

. pour la partie inférieure : à CSl et MTI le caractère souventzoogène et parfois crayeux, alors que NTl est essentiellementune alternance de calcaires grossiers oolithiques, pisolithiquesadmettant des niveaux compacts.

Ces comparaisons d'épaisseur et àe lithologie portent à consiàéreria série àe NTl comme ixa domaine àe séàîmentation àe plus haute énergie queCSl et MTI. Bien que la série totale du Bathonien soit plus réàuite à NTl,ses qualités lithologiques initiales seraient àonc meilleures qu'en CSl etMTI (et qu'en GCO 1 par extrapolation).

17 -

Lithologie du Bathonien (cf. planche 5) :

3 unités principales peuvent être distinguées :

. imité supérieure de 20 m (NTl) à 25 m (MTI) de calcairesoolithiques graveleux et sublithographiques compacts correspondantà la dalle nacrée

. unité médiane de 115 m (NTl) à 125 m (MTI) de calcaires zoogènes,: oolithiques et pseudoolithiques

. unité inférieure de 10 m (NTl) à. 50 m (MTI) de calcairescompacts, oolithiques crayeux, possédant parfois des nodulesmarneux. .

La réduction de série de NTl intéresse donc essentiellementl'unité inférieure.

Les faciès de l'unité supérieure sont très comparables d'un puitsà l'autre.

, Au sein de l'unité médiane considérée généralement comme réservoir,on distingue 2 parties :

. partie supérieure : calcaires graveleux, parfois à nodulesmarneux, zoogènes et pseudoolithiques

. partie inférieure : calcaires essentiellement oolithiques.

La comparaison des descriptions lithologiques souligne :

. pour la partie supérieure : à CSl une alternance de faciès« zoogènes avec des calcaires crayeux comportant des nodules

et oolithes marneuses alors qu'en NTl il s'agit de calcairesgrossiers à ciment pseudoolithiques, sans mention de particulesmarneuses . ,

. pour la partie inférieure : à CSl et MTI le caractère souventzoogène et parfois crayeux, alors que NTl est essentiellementune alternance de calcaires grossiers oolithiques, pisolithiquesadmettant des niveaux compacts.

Ces comparaisons d'épaisseur et àe lithologie portent à consiàéreria série àe NTl comme ixa domaine àe séàîmentation àe plus haute énergie queCSl et MTI. Bien que la série totale du Bathonien soit plus réàuite à NTl,ses qualités lithologiques initiales seraient àonc meilleures qu'en CSl etMTI (et qu'en GCO 1 par extrapolation).

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I ce compacLï

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calcairegrossieroolithiquepisolithiqueet vacuolairealternantavec zones

compactes

Í oolithesou plsollthesdispersées

141.

146

ce oolithiquespeu cimentés

P¿aiic¡;a_5

LithoIic¿¿í él BiÜitiiiicJi [di KT 1 à CCO 1)

ILI.- Oi.i) «.IjJij'J- .

I ce í>uol 1 Llr.'-JJ .

CC coiiij/üCL:.i nodulu!.C-parï

21

2Cn

29

4&I

50.

54

58.

CC zoogènusvacuolaires1 nodulesmarneux

ce zoogënesi algues trèsvacuolaires

ce ¿ nodulest oolithesmarneuses

ce zoogènesct noduleux

66-,

ce crayeux peuconsolidési nodules ctool. marneuses

77

94,96.

104.

IIUJ

114

12a

131'

137.

15^

16>

172.

180.

19a

ce zoogènes& gros nodulesmarneux

ce oolithiques& algues

ce vacuolaires~~~~ ¿oogènes

ce oolithiquesparfois A

nodules

L :.- ooliti.j'],eo;:,j'UCL!.

1.^ _

Ice cuni]jaetî;¡uuLilltliogr.1^ iioduluux

25 -,

30

t' I

. u... . ...: '(-JL.;

j OL'iiJ» : J.l' iiiijri.f u/.

22

32-,

alternancede ce± graveleuxet vacuolaireset ce + compactsnoduleux i graveleux

ce Dieritiquc

66'

79

ce compactsi plsollthesf abondants

ce oolithiquescrayeux inodulesmarneux épars

ce compacts Anodules marneux

ce finementoolithiquek plsollthes

142

150'

190

B4.

ce o-lithiquect pseudo-oolithiquezoogène parfoislégèrement crayeuxi nodules éparsct * vacuolaires

alternance dece microcristallinet de ce graveleux

ce pisolithiqueè matrice moinsabondante

ce beigemicrocristallin* argileux

114.

ce compacts1 plsollthes

ce oolithiquescrayeux,

pisolithiquespar place,et ce A nodulesmarneux

147'

163

188.

19:

ce pisolithiqueset oolithiques

ce silero-cristallins

ce oolithiquesct pisolithiquesA matricemicritique

ce compacts

mi critiques

ce argileuxce gris

).' / f".'.

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CC zoogènusvacuolaires1 nodulesmarneux

ce zoogënesi algues trèsvacuolaires

ce ¿ nodulest oolithesmarneuses

ce zoogènesct noduleux

66-,

ce crayeux peuconsolidési nodules ctool. marneuses

77

94,96.

104.

IIUJ

114

12a

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180.

19a

ce zoogènes& gros nodulesmarneux

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66'

79

ce compactsi plsollthesf abondants

ce oolithiquescrayeux inodulesmarneux épars

ce compacts Anodules marneux

ce finementoolithiquek plsollthes

142

150'

190

B4.

ce o-lithiquect pseudo-oolithiquezoogène parfoislégèrement crayeuxi nodules éparsct * vacuolaires

alternance dece microcristallinet de ce graveleux

ce pisolithiqueè matrice moinsabondante

ce beigemicrocristallin* argileux

114.

ce compacts1 plsollthes

ce oolithiquescrayeux,

pisolithiquespar place,et ce A nodulesmarneux

147'

163

188.

19:

ce pisolithiqueset oolithiques

ce silero-cristallins

ce oolithiquesct pisolithiquesA matricemicritique

ce compacts

mi critiques

ce argileuxce gris

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- 19 -

2.4.2.2. - t^odl^¿CJirU^n¿_de^_]¿aMjm^t/iu n.í¿z/Lvo¿'Lí,

Durant leur àiagénèse et lors àes àéformations tectoniquespostérieures, les séàiments carbonates subissent àes transformations physiqueset minéralogiques : tassement, àissolution, recristallisation, voire micro¬fracturation. Ces phénomènes peuvent aboutir à la réorganisation complèteau réseau àe pores et àe fissures sans que soit moàifiée la lithologieinitiale (granulométrie, séquences).

L'évaluation àes niveaux proàucteurs puis àes paramètres hyàro-àynamiques pour un site repose àonc en granàe partie sur ces informationstexturales. Elles peuvent être acquises par l'analyse àe carottes provenantàe puits environnants.

, A àéfaut àe pouvoir entreprenàre cette analyse àans le cas àeMeaux, nous nous bornerons à évaluer l'incidence possibles de ces phénomènes.

- Déformations tectoniques :

Les transformations minéralogiques provoquées par le plissementde couches carbonatées épaisses et profondes ont un effet essentiellementcolmatant ; elles sont d'autant plus importantes que le rayon de courburedu pll est petit. Ceci implique pour un même pli que les qualités d'unréservoir seront plus altérées :

. dans les parties ployées que dans les parties monoclinales

. dans les parties supérieures et inférieures de la formationque dans la partie médiane.

Dans les environs de Meaux, les ondulations du Dogger sont defaible amplitude (cf. § 2.2. et planche 2). L'étuàe àiagénétique réaliséesur l'anticlinal beaucoup plus prononcé àe Coulommes (50 mètres supérieursau Dogger, Purser 1975) conclut que les tassements et recristallisationsobservés ne sont pas imputables à la formation du pll.

On peut donc considérer que les plissements qui ont affectéle Dogger au droit de Meaux n'ont pas modifié les qualités initiales auréservoir .

' - Dlagénèses :

Purser (1975) àans son étuàe au sommet au Dogger à Coulommes("Dalle nacrée", 'Comblanchien") a pu attribuer la préservation àe la porositéet les qualités au réservoirs à des phénomènes àlagénétlques synséàimentalres .Son analyse souligne l'importance jouée par la fin des séquences sédimentaires.

De telles séquences sédimentaires ont été constatées, par diagraphiesdans l'oolithe sous-jacente (NTl, CSl, MTI).

- 19 -

2.4.2.2. - t^odl^¿CJirU^n¿_de^_]¿aMjm^t/iu n.í¿z/Lvo¿'Lí,

Durant leur àiagénèse et lors àes àéformations tectoniquespostérieures, les séàiments carbonates subissent àes transformations physiqueset minéralogiques : tassement, àissolution, recristallisation, voire micro¬fracturation. Ces phénomènes peuvent aboutir à la réorganisation complèteau réseau àe pores et àe fissures sans que soit moàifiée la lithologieinitiale (granulométrie, séquences).

L'évaluation àes niveaux proàucteurs puis àes paramètres hyàro-àynamiques pour un site repose àonc en granàe partie sur ces informationstexturales. Elles peuvent être acquises par l'analyse àe carottes provenantàe puits environnants.

, A àéfaut àe pouvoir entreprenàre cette analyse àans le cas àeMeaux, nous nous bornerons à évaluer l'incidence possibles de ces phénomènes.

- Déformations tectoniques :

Les transformations minéralogiques provoquées par le plissementde couches carbonatées épaisses et profondes ont un effet essentiellementcolmatant ; elles sont d'autant plus importantes que le rayon de courburedu pll est petit. Ceci implique pour un même pli que les qualités d'unréservoir seront plus altérées :

. dans les parties ployées que dans les parties monoclinales

. dans les parties supérieures et inférieures de la formationque dans la partie médiane.

Dans les environs de Meaux, les ondulations du Dogger sont defaible amplitude (cf. § 2.2. et planche 2). L'étuàe àiagénétique réaliséesur l'anticlinal beaucoup plus prononcé àe Coulommes (50 mètres supérieursau Dogger, Purser 1975) conclut que les tassements et recristallisationsobservés ne sont pas imputables à la formation du pll.

On peut donc considérer que les plissements qui ont affectéle Dogger au droit de Meaux n'ont pas modifié les qualités initiales auréservoir .

' - Dlagénèses :

Purser (1975) àans son étuàe au sommet au Dogger à Coulommes("Dalle nacrée", 'Comblanchien") a pu attribuer la préservation àe la porositéet les qualités au réservoirs à des phénomènes àlagénétlques synséàimentalres .Son analyse souligne l'importance jouée par la fin des séquences sédimentaires.

De telles séquences sédimentaires ont été constatées, par diagraphiesdans l'oolithe sous-jacente (NTl, CSl, MTI).

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- 20 -

En l'absence de toute étude àe carotte, 11 ne nous est pas possibleà 'analyser les transformations subies et àonc à 'évaluer leur inclàence sur laqualité et la répartition àes niveaux proàucteurs potentiels à Meaux.

2.4.3. - CARACTERISTiqUES HyVROGEOLOGJQUES

2.4.3.1. -

L'évaluation àe la qualité à'un réservoir repose sur l'étuàe àesàiagraphies et rapports àe fin àe sonàages pétroliers àe puits environnants.Elle résulte notamment àe l'analyse àes porosités, teneur en argile, teneuren eau àes niveaux composant la formation.

Sl cette méthoàe a fourni jusqu'ici àes évaluations relativementsatisfaisantes, 11 convient àe rappeler qu'elle ne met pas à l'abri àeàéconvenues et ceci pour 3 raisons :

. elle est soumise à l'utilisation àe àiagraphies généralementanciennes, àe qualités très variables

. elle propose un lien entre porosité et niveaux proàucteurspotentiels que les sonàages géothermiques récents n'ont pastouj ours àémontré

. elle néglige nécessairement le facteur textural, paramètreessentiel àans cette évaluation (cf. § 4.2.2. àiagénèse).

Dans le cas de Meaux, nous avons fait appel à des àonnées plusprécises (mais soit incomplètes : CSl, E29, soit éloignées : GCO 1). Aussi,les résultats ne àoivent être regardés que comme des ordres de grandeur.

2.4.3.2. - E^alàizufL

Le toit des calcaires du Dogger se situe entre la cote vraisemblablede - 1 690 NGF et la cote - 1 710 NGF.

L'analyse des àiagraphies (NTl, CSl, MTI) montre que seul leBathonien oolithique constitue un réservoir. Son épaisseur totale varie àe150 m (NTl) à 200 m (CSl, cf. § 4.2.1.). Si l'on tient compte àe la àiminutionà 'épaisseur progressive àes séries au NW vers le SE, l'épaisseur au àrolt àeMeaux serait àe 180 m. En fait, le caractère récifal des dépôts rend l'inter¬polation peu réaliste.

Nous retiendrons que l'épaisseur maximale- du réservoir est de 200 m

dont 30 m inférieurs peu ou pas productifs. L'épaisseur à forer dans le Doggerest donc de 170 m.

Le mur du réservoir du Dogger se situe entre la cote NGF vraisemblablede - 1 860 m et la cote - 1 880 m (hauteur totale à forer 5 1 910 m).

- 20 -

En l'absence de toute étude àe carotte, 11 ne nous est pas possibleà 'analyser les transformations subies et àonc à 'évaluer leur inclàence sur laqualité et la répartition àes niveaux proàucteurs potentiels à Meaux.

2.4.3. - CARACTERISTiqUES HyVROGEOLOGJQUES

2.4.3.1. -

L'évaluation àe la qualité à'un réservoir repose sur l'étuàe àesàiagraphies et rapports àe fin àe sonàages pétroliers àe puits environnants.Elle résulte notamment àe l'analyse àes porosités, teneur en argile, teneuren eau àes niveaux composant la formation.

Sl cette méthoàe a fourni jusqu'ici àes évaluations relativementsatisfaisantes, 11 convient àe rappeler qu'elle ne met pas à l'abri àeàéconvenues et ceci pour 3 raisons :

. elle est soumise à l'utilisation àe àiagraphies généralementanciennes, àe qualités très variables

. elle propose un lien entre porosité et niveaux proàucteurspotentiels que les sonàages géothermiques récents n'ont pastouj ours àémontré

. elle néglige nécessairement le facteur textural, paramètreessentiel àans cette évaluation (cf. § 4.2.2. àiagénèse).

Dans le cas de Meaux, nous avons fait appel à des àonnées plusprécises (mais soit incomplètes : CSl, E29, soit éloignées : GCO 1). Aussi,les résultats ne àoivent être regardés que comme des ordres de grandeur.

2.4.3.2. - E^alàizufL

Le toit des calcaires du Dogger se situe entre la cote vraisemblablede - 1 690 NGF et la cote - 1 710 NGF.

L'analyse des àiagraphies (NTl, CSl, MTI) montre que seul leBathonien oolithique constitue un réservoir. Son épaisseur totale varie àe150 m (NTl) à 200 m (CSl, cf. § 4.2.1.). Si l'on tient compte àe la àiminutionà 'épaisseur progressive àes séries au NW vers le SE, l'épaisseur au àrolt àeMeaux serait àe 180 m. En fait, le caractère récifal des dépôts rend l'inter¬polation peu réaliste.

Nous retiendrons que l'épaisseur maximale- du réservoir est de 200 m

dont 30 m inférieurs peu ou pas productifs. L'épaisseur à forer dans le Doggerest donc de 170 m.

Le mur du réservoir du Dogger se situe entre la cote NGF vraisemblablede - 1 860 m et la cote - 1 880 m (hauteur totale à forer 5 1 910 m).

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- 21 -

2.4.3.3. - W^tfíe-líí-_ífíl^&_£'í_íi^íi'í§tf^_g'í^oducí^ce

La hauteur utile potentielle (niveaux propres, bonne porositéet P.S.) est de l'ordre de 100 m. La planche n° 6 matérialise les séquencesdéduites des àiagraphies et propose une corrélation àe puits à puits.

La hauteur proàuctrice potentielle, évaluée en ne prenant queles porosités supérieures à 15 %, est àe :

. 36m à NTl

. 40 m à CSl' . 33 m à GCO 1.

Par ailleurs, la comparaison àes gamma-ray àans les niveaux proàuc¬teurs potentiels montre une argilosité molnàre â NTl qu'à GCO 1. Ceci permetà 'espérer une amélioration àe la proàuctlvité au SE vers le NW.

Le forage àe GCO 1 a mis en éviàence que les pics àe porositésupérieurs à 15 % ne sont pas nécessairement proàucteurs (16 m proàucteurspour 33 m supérieurs à 15 % àe porosité). Pour tenir compte àe ces enseignements,nous retienàrons comme base pour les calculs àe perméabilité à Meaux unehauteur proàuctrice cumulée àe 25 t 5 m.

2.4.3.4. - PeAmiabltctz

Nous n'avons pas analysé les perméabilités mesurées sur carotteàans les puits pétroliers. Ces valeurs sont représentatives au niveau corres-ponàant à la carotte mais ne peuvent être élargies à l'ensemble au réservoir.

Une autre approche consiste à "évaluer la perméabilité à 'après lestransmissivités connues et les hauteurs proàuctrlces potentielles :

- A Meaux, Coulommes et Coulommiers, la transmissivité serait> 20 D.m (cf. synthèse géothermique au Bassin Parisien)

- A CSl et E29, la transmissivité calculée est àe 72 D-m et 40 D.m.La transraissivité moyenne àe 50 d.m correspond à une perméabilitéde :

.0,5D sur toute la hauteur testée

. 0,9 D pour la zone proàuctrice potentielle

. 1,7 D pour les niveaux les plus favorables.

- A GCO 1, la transmissivité àe 53 D.m équivaut à une perméabilité. fictive àe 1,6 D pour 33 m de porosité > 15 %

. réelle de 3 D pour les 16 m producteurs.

' On constate donc des transmissivités (et àes perméabilités)élevées pour àeux sites appartenant à ces contextes géographiques et structurauxàifférents.

- 21 -

2.4.3.3. - W^tfíe-líí-_ífíl^&_£'í_íi^íi'í§tf^_g'í^oducí^ce

La hauteur utile potentielle (niveaux propres, bonne porositéet P.S.) est de l'ordre de 100 m. La planche n° 6 matérialise les séquencesdéduites des àiagraphies et propose une corrélation àe puits à puits.

La hauteur proàuctrice potentielle, évaluée en ne prenant queles porosités supérieures à 15 %, est àe :

. 36m à NTl

. 40 m à CSl' . 33 m à GCO 1.

Par ailleurs, la comparaison àes gamma-ray àans les niveaux proàuc¬teurs potentiels montre une argilosité molnàre â NTl qu'à GCO 1. Ceci permetà 'espérer une amélioration àe la proàuctlvité au SE vers le NW.

Le forage àe GCO 1 a mis en éviàence que les pics àe porositésupérieurs à 15 % ne sont pas nécessairement proàucteurs (16 m proàucteurspour 33 m supérieurs à 15 % àe porosité). Pour tenir compte àe ces enseignements,nous retienàrons comme base pour les calculs àe perméabilité à Meaux unehauteur proàuctrice cumulée àe 25 t 5 m.

2.4.3.4. - PeAmiabltctz

Nous n'avons pas analysé les perméabilités mesurées sur carotteàans les puits pétroliers. Ces valeurs sont représentatives au niveau corres-ponàant à la carotte mais ne peuvent être élargies à l'ensemble au réservoir.

Une autre approche consiste à "évaluer la perméabilité à 'après lestransmissivités connues et les hauteurs proàuctrlces potentielles :

- A Meaux, Coulommes et Coulommiers, la transmissivité serait> 20 D.m (cf. synthèse géothermique au Bassin Parisien)

- A CSl et E29, la transmissivité calculée est àe 72 D-m et 40 D.m.La transraissivité moyenne àe 50 d.m correspond à une perméabilitéde :

.0,5D sur toute la hauteur testée

. 0,9 D pour la zone proàuctrice potentielle

. 1,7 D pour les niveaux les plus favorables.

- A GCO 1, la transmissivité àe 53 D.m équivaut à une perméabilité. fictive àe 1,6 D pour 33 m de porosité > 15 %

. réelle de 3 D pour les 16 m producteurs.

' On constate donc des transmissivités (et àes perméabilités)élevées pour àeux sites appartenant à ces contextes géographiques et structurauxàifférents.

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INTI MEAUX

( proiete)

CSI MTI CGOI

DALLE NACREE CORRELATIONS

LITHOLOGIQUES ET

X .DIAGRAPHIQUES DU

BATHONIEN

LITHOLOGIE toKJ

£0^-Focies fovorobles, ^ Alternances focies^^1* fovorobles et. peu

fovoroblesNiveoux compocts

NIVEAUX PRODUCTEURS

mmm-. Potentiels(dlogrophies)

X - Reels (CGOI)J I Reservoir

prlncipol*^-- Umlte Bojoclen-

^^ Botti onien

Icm = IOm

INTI MEAUX

( proiete)

CSI MTI CGOI

DALLE NACREE CORRELATIONS

LITHOLOGIQUES ET

X .DIAGRAPHIQUES DU

BATHONIEN

LITHOLOGIE toKJ

£0^-Focies fovorobles, ^ Alternances focies^^1* fovorobles et. peu

fovoroblesNiveoux compocts

NIVEAUX PRODUCTEURS

mmm-. Potentiels(dlogrophies)

X - Reels (CGOI)J I Reservoir

prlncipol*^-- Umlte Bojoclen-

^^ Botti onien

Icm = IOm

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- 23

Par ailleurs, nous avons vu que : ' . .

-, les àéformations structurales ne semblent pas avoir moàif ié. les qualités initiales au réservoir (cf. § 4.2.2.)

- 11 n'existe pas àe hiatus lithologique majeur àans les 150 m

supérieurs au Dogger à NTl, CSl, MTI et GCO 1 (cf. planche 4)

- l'argilosité à'ensemble àlmlnue au SE vers le NW.

Ceci nous conàuit à preñare comme base àe calcul une transmissivitéàe 45 à 50 D.m au àrolt de Meaux, ce qui corresponà à àes perméabilités àel'oràre àe . : ,

- 0,5 D pour toute la hauteur utile potentielle

- 1,5 à 2,5 D selon la hauteur proàuctrice envisagée(25 +5 m, cf. § 4.3.2.).

2.4.3.5. - P^a¿¿^on_¿^a.t¿2ue

Les pressions statiques mesurées en E29 et CS4 sont respectivementàe 181,6 kg/cm2 (à 1 708 m) et àe 184,8 kg/cm2 (à - 1 700 m). En fonction àeces àonnées et au niveau hyàrostatlque àe la nappe (+ 110 m), le puits àeMeaux àoit être artésien avec une pression en tête àe l'ordre de 6 à 7 bars.

2.4.3.Ó. - SrUnlti

La salinité totale du fluide à Coulommes doit être proche decelle de CS4, soit de 34 à 38 g/l ; salinité essentiellement constituée par NaCl.(l'analyse chimique de CS4 est fournie en annexe 4).

, Par ailleurs, l'eau peut renfermer des gaz dissous, dont H2S ;les teneurs en gaz ainsi que le "point de bulle" àoivent être àéflnis pourle choix àes équipements et la pression à maintenir àans le circuit.

Enfin, àes traces à' hyàrocarbures sont possibles.

- 23

Par ailleurs, nous avons vu que : ' . .

-, les àéformations structurales ne semblent pas avoir moàif ié. les qualités initiales au réservoir (cf. § 4.2.2.)

- 11 n'existe pas àe hiatus lithologique majeur àans les 150 m

supérieurs au Dogger à NTl, CSl, MTI et GCO 1 (cf. planche 4)

- l'argilosité à'ensemble àlmlnue au SE vers le NW.

Ceci nous conàuit à preñare comme base àe calcul une transmissivitéàe 45 à 50 D.m au àrolt de Meaux, ce qui corresponà à àes perméabilités àel'oràre àe . : ,

- 0,5 D pour toute la hauteur utile potentielle

- 1,5 à 2,5 D selon la hauteur proàuctrice envisagée(25 +5 m, cf. § 4.3.2.).

2.4.3.5. - P^a¿¿^on_¿^a.t¿2ue

Les pressions statiques mesurées en E29 et CS4 sont respectivementàe 181,6 kg/cm2 (à 1 708 m) et àe 184,8 kg/cm2 (à - 1 700 m). En fonction àeces àonnées et au niveau hyàrostatlque àe la nappe (+ 110 m), le puits àeMeaux àoit être artésien avec une pression en tête àe l'ordre de 6 à 7 bars.

2.4.3.Ó. - SrUnlti

La salinité totale du fluide à Coulommes doit être proche decelle de CS4, soit de 34 à 38 g/l ; salinité essentiellement constituée par NaCl.(l'analyse chimique de CS4 est fournie en annexe 4).

, Par ailleurs, l'eau peut renfermer des gaz dissous, dont H2S ;les teneurs en gaz ainsi que le "point de bulle" àoivent être àéflnis pourle choix àes équipements et la pression à maintenir àans le circuit.

Enfin, àes traces à' hyàrocarbures sont possibles.

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- 24 -

2.5 - TEMPÉRATURE

2.5.1. - RAPPEL

L'estimation àe la température pour un réservoir résulte en généralàe l'application à'un graàlent géothermique moyen entre la surface et le réservoir.

T réservoir = (Gm x épaisseur des terrains) + T surface.

Le choix du (ou des) Gm que l'on doit appliquer au site résulte del'analyse puis de la comparaison des gradients calculés sur les puits environnants.

- Analyse àes graàients

Les graàients àont on àispose, calculés à partir àe àonnées àeforage, ont utilisé pour paramètres, selon les cas :

- T àe surface : 10, 11 ou 12° C

- T profonàe mesurée à une cote z à 'après :

. àes mesures BHT ou DST (ces valeurs, qui àoivent être corrigées,fournissent àes orares àe granàeur souvent àlscutables)

. àes mesures en àébit (ces valeurs sont beaucoup plus représen¬tatives àe la température réelle au point àe mesure).

La qualité àe la mesure thermique conàltlonne la représentativitéau graàlent calculé.

- Epaisseur àes terrains traversés :

. soit totale (cote Z - cote sol)

. soit par rapport à un niveau àe référence (qui peut être lezéro NGF, la cote sol moyenne au secteur...)

J- .u o T profonàe - T surface) 100 ' ' . . . ' iinnLe graàlent G = ^ : :, -. est exprime en àegres/100 m.^ Epaisseur àes terrains -^ ^

Pour un même puits et une même valeur thermique profonàe, la valeurabsolue au graàîent calculé variera xie plusieurs àizièmes voire à'une unité selonla température àe surface et l'épaisseur àes terrains pris en compte.

- Comparaison des gradients

Il convient au préalable de :

- s'assurer de la représentativité de chaque gradient utilisé

- de s '.affranchir des variations Imputables à la méthode de calcul(température de surface, épaisseur des terrains).

- 24 -

2.5 - TEMPÉRATURE

2.5.1. - RAPPEL

L'estimation àe la température pour un réservoir résulte en généralàe l'application à'un graàlent géothermique moyen entre la surface et le réservoir.

T réservoir = (Gm x épaisseur des terrains) + T surface.

Le choix du (ou des) Gm que l'on doit appliquer au site résulte del'analyse puis de la comparaison des gradients calculés sur les puits environnants.

- Analyse àes graàients

Les graàients àont on àispose, calculés à partir àe àonnées àeforage, ont utilisé pour paramètres, selon les cas :

- T àe surface : 10, 11 ou 12° C

- T profonàe mesurée à une cote z à 'après :

. àes mesures BHT ou DST (ces valeurs, qui àoivent être corrigées,fournissent àes orares àe granàeur souvent àlscutables)

. àes mesures en àébit (ces valeurs sont beaucoup plus représen¬tatives àe la température réelle au point àe mesure).

La qualité àe la mesure thermique conàltlonne la représentativitéau graàlent calculé.

- Epaisseur àes terrains traversés :

. soit totale (cote Z - cote sol)

. soit par rapport à un niveau àe référence (qui peut être lezéro NGF, la cote sol moyenne au secteur...)

J- .u o T profonàe - T surface) 100 ' ' . . . ' iinnLe graàlent G = ^ : :, -. est exprime en àegres/100 m.^ Epaisseur àes terrains -^ ^

Pour un même puits et une même valeur thermique profonàe, la valeurabsolue au graàîent calculé variera xie plusieurs àizièmes voire à'une unité selonla température àe surface et l'épaisseur àes terrains pris en compte.

- Comparaison des gradients

Il convient au préalable de :

- s'assurer de la représentativité de chaque gradient utilisé

- de s '.affranchir des variations Imputables à la méthode de calcul(température de surface, épaisseur des terrains).

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- 25 -

Afin d'éviter toute confusion dans l'utilisation des àonnéesàisponibles et les calculs àe gradients, nous avon:: distingué parmi lesdonnées de base :

- Température profonde mesurée :

.au sommet de la zone productrice (Tsp). . au centre de la zone productrice (Tep)

- Epaisseur des terrains traversés :. totale (t). au dessous du zéro NGF (NGF)

- T de surface : 12° C.

Ceci entraîne selon les cas des graàients Gt ou G NGF établisà 'après àes Tsp ou àes Tep.

Ces àistinctlons se sont révélées nécessaires àans le cas àeMeaux au fait que :

. les àonnées àisponibles sont très nombreuses mais à 'origineet àe qualité très àiverses ;

.la notion àe niveau àe référence est prlmoràlale. En effet,l'application brute àes Gt àisponibles (cote sol àes puitspétroliers entre 110 et 130 m) au site àe Meaux (cote sol + 50 m)conàuit à calquer les Isothermes sur la morphologie àe surfaceet àonc à sous-estlmer la température à Meaux àe plusieurs àegrés,

2.5.2. - VONNEES VJSVONIBLES

2.5.2.1. - G{Lq.diznrt&_dla2Jtl6_BHT_eX_'VST [prianahz 7)

Ils ont été calculés à partir àe :

. terapérature de surface : 12° C

. température mesurée en profonàeur : par BHT ou DST

. épaisseur : hauteur totale àes terrains traversés.

Ces graàients Gt fournissent àes orares àe granàeur, par àéfaut(àe 2,60 à 3,85).

2. 5.2.2. - G^dlzn¡U_dlai2n.2Á [pùmzhz i)

2.5.2.2.1. - Forage géothermigue de Coulommiers (pl. 8b)

Bien qu'éloigné au site àé Meaux, il constitue une référence àe.qualité pour l'analyse àes graàients àe cette région.

- 25 -

Afin d'éviter toute confusion dans l'utilisation des àonnéesàisponibles et les calculs àe gradients, nous avon:: distingué parmi lesdonnées de base :

- Température profonde mesurée :

.au sommet de la zone productrice (Tsp). . au centre de la zone productrice (Tep)

- Epaisseur des terrains traversés :. totale (t). au dessous du zéro NGF (NGF)

- T de surface : 12° C.

Ceci entraîne selon les cas des graàients Gt ou G NGF établisà 'après àes Tsp ou àes Tep.

Ces àistinctlons se sont révélées nécessaires àans le cas àeMeaux au fait que :

. les àonnées àisponibles sont très nombreuses mais à 'origineet àe qualité très àiverses ;

.la notion àe niveau àe référence est prlmoràlale. En effet,l'application brute àes Gt àisponibles (cote sol àes puitspétroliers entre 110 et 130 m) au site àe Meaux (cote sol + 50 m)conàuit à calquer les Isothermes sur la morphologie àe surfaceet àonc à sous-estlmer la température à Meaux àe plusieurs àegrés,

2.5.2. - VONNEES VJSVONIBLES

2.5.2.1. - G{Lq.diznrt&_dla2Jtl6_BHT_eX_'VST [prianahz 7)

Ils ont été calculés à partir àe :

. terapérature de surface : 12° C

. température mesurée en profonàeur : par BHT ou DST

. épaisseur : hauteur totale àes terrains traversés.

Ces graàients Gt fournissent àes orares àe granàeur, par àéfaut(àe 2,60 à 3,85).

2. 5.2.2. - G^dlzn¡U_dlai2n.2Á [pùmzhz i)

2.5.2.2.1. - Forage géothermigue de Coulommiers (pl. 8b)

Bien qu'éloigné au site àé Meaux, il constitue une référence àe.qualité pour l'analyse àes graàients àe cette région.

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- 26

Jtff« /

COULDMMES

.M»;/.V>¿' 3.4Hirol/fi.i . . _ ,

'' - ^mifíj. te Cmn102"^

t rtndrWrt^tVjâ'^J^TÂ'^' "" ^"^"h".W/««Ki/x By<ÍÍÍWIJ

/ 'VJence enBntJO'. yzn..r.'.ji c , L_ ._ .fit .^^ fJL-

»Koz^n

,Tc}

*Chtil!/Saifl foniiinetoui 101^

'Bro><srtlOImf

intSfCjp/gKS- tsCrsndn Ch^fitlfal-

Ccstrril/e /!

Obsenrille I ^ «^

a Nolij IOI~^ " SerçiDCT I

foiiilei ~_ ... ^^ m\ '^ «Jo,rUta

AuRef.mel/ Ch,>tre*yf''-^"''^',^, ÁBnujf«,H yl*'""-^

k ViBtnurtsrrimnt,

^ mBoiscom/iuttf

"^.Irrlp^uts 1 I ¿efCuifíaftnes/^^J.\ CKitenrtnfrd.

1/500.000PZanchz 7

GiULdLznts Gt, au VoggzA, caicuZti d'apfitstz do¥iyiíz¿, pít/LO¿ZtKzs bJwXjZS

- 26

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- 27 -GRADIENTS NGF CALCULES D APRES TEMPERATURES EN DEBIT

Il (-f.l l.c h

e[ 3

8A : Gl pdienls NGfj sp du chom p deCouIomiTies (ii-obotties du loildu colroiie oolilhique, inl/.Soudon1 1965 )

3,79 : Gradients NGF sp

13); nb d'essois realises

8 B . G r odie ni s _f'1 G F deJçLr ejipn_ j3 e /'*. eoux

(sp , cp)1/600.000

- 27 -GRADIENTS NGF CALCULES D APRES TEMPERATURES EN DEBIT

Il (-f.l l.c h

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8A : Gl pdienls NGfj sp du chom p deCouIomiTies (ii-obotties du loildu colroiie oolilhique, inl/.Soudon1 1965 )

3,79 : Gradients NGF sp

13); nb d'essois realises

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(sp , cp)1/600.000

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28 -

La température a été mesurée en débit, au toit de la formation.Elle résulte du mélange de plusieurs niveaux producteurs au sein du Dogger(cf. enregistrements flowmètre, rapport 80 SGN 720 GTH).

Les paramètres a retenir sont :

. cote sp, NGF : - 1 887 m

. cote cp, NGF : - 1 950 m Tep : 85,4

Le gradient cp NGF =3,76.

2.5.2.2.2. - Champ de Coulommes (cf. planche 8a)

Les sonàages BE3, E38, E19, CS5, F39, BG31, BG21, BFl, BF21,BF41 fournissent àes résultats concernant les 30 mètres supérieurs auDogger.

Les températures ont été enregistrées en àébit. Lorsque lesessais ont été nombreux (BE3), on constate au àébut une température relativementbasse, évoluant rapidement vers une température maximale, représentative. dela Tsp du réservoir.

Lorsqu'un seul essai a été effectué, on doit considérer qu'ils'agit d'une Tsp par défaut, et que le gradient résultant est minimisé.

Le calcul des gradient pour chaque puits de Coulommes a utilisé :

. Tsp : valeur maximale enregistrée

. cote sp : fond de puits (et non cote amerada : toit de laformation).

Les gradients G sp, NGF, varient selon les puits de 3,61 à 3,79.

2.5.2.2.3. - Sondage CS4 (planche 8a)

Ce sonàage a été approfondi jusqu'à la base du réservoir pourles besoins de l'étuàe précitée (rapport 78 SGN 361 GTH).

La température a été mesurée, au toit àe la formation maissans enregistrements flovnnètre.

Les paramètres à utiliser sont : .

. cote sp NGF : - 1 735 m

. cote cp NGF : - 1 805 m Tep : 76,8

Le graàlent G cp NGF àeCS4 = 3,59.

2.5.3. - APPLICATION VES VONNEES REGIONALES A MEAUX.

L'utilisation brute àes' graàients Gt calculés sur les puits pétroliersfournit àes températures au Dogger à Meaux pouvant varier de 59° C à 79° C. Cesvaleurs n'ont guère de signification (mauvaise représentativité et méthoàes àecalcul non applicables à Meaux, cf. § 5.1.).

28 -

La température a été mesurée en débit, au toit de la formation.Elle résulte du mélange de plusieurs niveaux producteurs au sein du Dogger(cf. enregistrements flowmètre, rapport 80 SGN 720 GTH).

Les paramètres a retenir sont :

. cote sp, NGF : - 1 887 m

. cote cp, NGF : - 1 950 m Tep : 85,4

Le gradient cp NGF =3,76.

2.5.2.2.2. - Champ de Coulommes (cf. planche 8a)

Les sonàages BE3, E38, E19, CS5, F39, BG31, BG21, BFl, BF21,BF41 fournissent àes résultats concernant les 30 mètres supérieurs auDogger.

Les températures ont été enregistrées en àébit. Lorsque lesessais ont été nombreux (BE3), on constate au àébut une température relativementbasse, évoluant rapidement vers une température maximale, représentative. dela Tsp du réservoir.

Lorsqu'un seul essai a été effectué, on doit considérer qu'ils'agit d'une Tsp par défaut, et que le gradient résultant est minimisé.

Le calcul des gradient pour chaque puits de Coulommes a utilisé :

. Tsp : valeur maximale enregistrée

. cote sp : fond de puits (et non cote amerada : toit de laformation).

Les gradients G sp, NGF, varient selon les puits de 3,61 à 3,79.

2.5.2.2.3. - Sondage CS4 (planche 8a)

Ce sonàage a été approfondi jusqu'à la base du réservoir pourles besoins de l'étuàe précitée (rapport 78 SGN 361 GTH).

La température a été mesurée, au toit àe la formation maissans enregistrements flovnnètre.

Les paramètres à utiliser sont : .

. cote sp NGF : - 1 735 m

. cote cp NGF : - 1 805 m Tep : 76,8

Le graàlent G cp NGF àeCS4 = 3,59.

2.5.3. - APPLICATION VES VONNEES REGIONALES A MEAUX.

L'utilisation brute àes' graàients Gt calculés sur les puits pétroliersfournit àes températures au Dogger à Meaux pouvant varier de 59° C à 79° C. Cesvaleurs n'ont guère de signification (mauvaise représentativité et méthoàes àecalcul non applicables à Meaux, cf. § 5.1.).

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- 29

Ces valeurs brutes ont été corrigées pour permettre l'établis¬sement àe cartes Isothermes.

2,5.3.?. - C<^?r.4?^^'Íri2'^^%^?^A'¿ ^°33?rí-4'í'.§?r^-í-í^.á?:..Y?^^

La planche DO 6 àe la synthèse géothermique au Bassin àe Parisévalue la température au Dogger à Meaux à 74° C.

2.5.3.2. - ÇaA^z^_du_'L&orthznmz6_]^n.o£ond&

- Isothermes à - 2 500 m, - 2 Ü00 m et - 1 500 m (NGF)

A-2 000 m, l'isotherme 80° C passe par Meaux et Coulommes, cequi revient â aire que, régionalement, les graàients à Meaux et Coulommes sontlàentlques.

Deux interpolations peuvent être effectuées :

- par rapport à l'isotherme - 2 500 m (100° C)

Le graàlent interméàlaire entre - 2 500 m (100° C) et - 2 000 m

(80° C) est àe 4° C/100 m. Son application à Meaux (cote cp - 1 780)fournit : '

. Tep = 80° C - (4 X 2,20) = 71,2 ° C

- par rapport â l'isotherme - 1 500 m (57° C)

Le graàlent Interméàlaire est de 4,6° C/100 m. Son applicationà Meaux fournit :

Tep = 57° C + (4,6 X 2,80) =69,9° C

L'application de ces mêmes gradients au puits CS4 (cote cp = - 1 80ÍTep = 76,8° C) fournit :

. par rapport à l'isotherme - 2 500 m : Tep CS4 = 72,2° C

. par rapport à l'isotherme - 1 500 m : Tep CS4 = 71° C.

En conséquence :

. soit le tracé des isothermes, dans ce secteur, est Inexact ;ll est donc Illusoire de chercher â les appliquer ;

. soit le tracé est, régionalement, exact mais leur températureest sous-estimée. Dans ce cas, une correction, d'après les àonnéesàe CS4, peut être effectuée. La température à Neaux serait àel'oràre àe 75,2 à 76,3° C.

- Isothermes par rapport au géoîàe

Pour une température àe 21° C au zéro NGF, la température est àe80° C à - 1 950 m ; le graàlent moyen est àonc àe 3,02.

* Nous verrons que CS4 ne constitue pas une valeur anormalement élevée ausein du champs de Coulommes (of. § 5.4.)

- 29

Ces valeurs brutes ont été corrigées pour permettre l'établis¬sement àe cartes Isothermes.

2,5.3.?. - C<^?r.4?^^'Íri2'^^%^?^A'¿ ^°33?rí-4'í'.§?r^-í-í^.á?:..Y?^^

La planche DO 6 àe la synthèse géothermique au Bassin àe Parisévalue la température au Dogger à Meaux à 74° C.

2.5.3.2. - ÇaA^z^_du_'L&orthznmz6_]^n.o£ond&

- Isothermes à - 2 500 m, - 2 Ü00 m et - 1 500 m (NGF)

A-2 000 m, l'isotherme 80° C passe par Meaux et Coulommes, cequi revient â aire que, régionalement, les graàients à Meaux et Coulommes sontlàentlques.

Deux interpolations peuvent être effectuées :

- par rapport à l'isotherme - 2 500 m (100° C)

Le graàlent interméàlaire entre - 2 500 m (100° C) et - 2 000 m

(80° C) est àe 4° C/100 m. Son application à Meaux (cote cp - 1 780)fournit : '

. Tep = 80° C - (4 X 2,20) = 71,2 ° C

- par rapport â l'isotherme - 1 500 m (57° C)

Le graàlent Interméàlaire est de 4,6° C/100 m. Son applicationà Meaux fournit :

Tep = 57° C + (4,6 X 2,80) =69,9° C

L'application de ces mêmes gradients au puits CS4 (cote cp = - 1 80ÍTep = 76,8° C) fournit :

. par rapport à l'isotherme - 2 500 m : Tep CS4 = 72,2° C

. par rapport à l'isotherme - 1 500 m : Tep CS4 = 71° C.

En conséquence :

. soit le tracé des isothermes, dans ce secteur, est Inexact ;ll est donc Illusoire de chercher â les appliquer ;

. soit le tracé est, régionalement, exact mais leur températureest sous-estimée. Dans ce cas, une correction, d'après les àonnéesàe CS4, peut être effectuée. La température à Neaux serait àel'oràre àe 75,2 à 76,3° C.

- Isothermes par rapport au géoîàe

Pour une température àe 21° C au zéro NGF, la température est àe80° C à - 1 950 m ; le graàlent moyen est àonc àe 3,02.

* Nous verrons que CS4 ne constitue pas une valeur anormalement élevée ausein du champs de Coulommes (of. § 5.4.)

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30

Appliquées à Meaux ces àonnées fournissent :

. au sommet au Dogger : 72° C

. au centre du réservoir : 74,8° .C

Les mêmes calculs appliqués à CS4 fournissent :

. au sommet du Dogger : 72,3° C

. au centre du réservoir : 75,5° C.

Cette dernière valeur est beaucoup plus proche de la réalité (76,8° C).

2.5.3.3. - CaAXz_de^_Qhjad¿znt&_moyzna ^Isí-onoux {p¿a.ndiz 9)

Une carte des graàients moyens (cote sol moyenne). au Dogger a étéréalisée à'après les àonnées (essais en àébit, DST et BHT corrigés) sur unevingtaine àe puits environnants.

Le tracé àes isograàlents fait apparaitre :

. un axe à graàients élevés ($ 3,4) àe directions NW-SE, passantau Sud de Meaux

. une décroissance des gradients en direction du NE .

. une valeur absolue indicative de 3,4 à 3,3 à la latitude deMeaux.

L'application de ces graàients à Meaux, pour une cote sol moyennede + 120 m, fournit :

. gradient de 3,3 : Tsp =72,6Tep = 74,7

. gradient de 3,4 : Tsp =74,5Tep = 75,4

2.5.3.4. - Co¡}c£a6.¿on_aax_don»a|e4_.^é3-¿0|}a£e¿

L'analyse régionale des cartes isothermes et des cartes d' isogradients(établies â partir de toutes les àonnées thermiques àisponibles) situe Meaux àla jonction entre une "anomalie positive" au SW et une "anomalie négative" au NE.

L'application au àrolt àe Meaux àes fourchettes àe "graàients moyens"proposées par ces àonnées régionales estime la température au centre au réservoiraux environs àe 74 à 75° C. .

En fait, une température plus basse reste possible dans la mesure où"l'anomalie froide" du NE peut étendre son panache àans le région àe Meaux (pontstructural et thermique à la latituàe àe Meaux entre les àomaines frolàs au NE

et au SW, cf. cartes 2b et 9).

Afin àe àéceler ces éventuels effets locaux, une analyse comparativeàétaillée, à partir àes seules àonnées thermiques en àébit, a été réalisées (cf.infra) .

30

Appliquées à Meaux ces àonnées fournissent :

. au sommet au Dogger : 72° C

. au centre du réservoir : 74,8° .C

Les mêmes calculs appliqués à CS4 fournissent :

. au sommet du Dogger : 72,3° C

. au centre du réservoir : 75,5° C.

Cette dernière valeur est beaucoup plus proche de la réalité (76,8° C).

2.5.3.3. - CaAXz_de^_Qhjad¿znt&_moyzna ^Isí-onoux {p¿a.ndiz 9)

Une carte des graàients moyens (cote sol moyenne). au Dogger a étéréalisée à'après les àonnées (essais en àébit, DST et BHT corrigés) sur unevingtaine àe puits environnants.

Le tracé àes isograàlents fait apparaitre :

. un axe à graàients élevés ($ 3,4) àe directions NW-SE, passantau Sud de Meaux

. une décroissance des gradients en direction du NE .

. une valeur absolue indicative de 3,4 à 3,3 à la latitude deMeaux.

L'application de ces graàients à Meaux, pour une cote sol moyennede + 120 m, fournit :

. gradient de 3,3 : Tsp =72,6Tep = 74,7

. gradient de 3,4 : Tsp =74,5Tep = 75,4

2.5.3.4. - Co¡}c£a6.¿on_aax_don»a|e4_.^é3-¿0|}a£e¿

L'analyse régionale des cartes isothermes et des cartes d' isogradients(établies â partir de toutes les àonnées thermiques àisponibles) situe Meaux àla jonction entre une "anomalie positive" au SW et une "anomalie négative" au NE.

L'application au àrolt àe Meaux àes fourchettes àe "graàients moyens"proposées par ces àonnées régionales estime la température au centre au réservoiraux environs àe 74 à 75° C. .

En fait, une température plus basse reste possible dans la mesure où"l'anomalie froide" du NE peut étendre son panache àans le région àe Meaux (pontstructural et thermique à la latituàe àe Meaux entre les àomaines frolàs au NE

et au SW, cf. cartes 2b et 9).

Afin àe àéceler ces éventuels effets locaux, une analyse comparativeàétaillée, à partir àes seules àonnées thermiques en àébit, a été réalisées (cf.infra) .

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- 31 -

GRADIENT GEOTHERMIQUE

DANS LA REGION EST DE PARIS

l'.l-<:,-:!i.

Vr'tc 'm

^ Site étudie

J^ K/esure de tempéroture de fond, en production (puits ge'othertnique)

Mesure de tempe'roture de lest de type pe'trolter

Mesure de tempe'roture de boue ( 6.H.T.) corrigée

D- oprès trovoux de J ROJAS ct PH. MAGET- 1976Mise C jour et interpré totion I9BI

- 31 -

GRADIENT GEOTHERMIQUE

DANS LA REGION EST DE PARIS

l'.l-<:,-:!i.

Vr'tc 'm

^ Site étudie

J^ K/esure de tempéroture de fond, en production (puits ge'othertnique)

Mesure de tempe'roture de lest de type pe'trolter

Mesure de tempe'roture de boue ( 6.H.T.) corrigée

D- oprès trovoux de J ROJAS ct PH. MAGET- 1976Mise C jour et interpré totion I9BI

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- 32 -

2.5.4. - COMPARAISON PES GRAPIEMTS NGF CALCULES V APRES TEMPERATURES EN

- VEBIT {ci. pùinchz S) . .

Ces gradients sont les seuls permettant d'effectuer des comparaisonsde puits à puits pour l'aquifère du Dogger ; les fourchettes de valeur qui enrésultent peuvent être appliquées, sans correction, au site de Meaux.

2.5.4. J. - G'uidÂ.zy!^_Gi£_dz_CquZqimz& [dz 3,61 à 3,79].

Le graàlent Gsp àe BE3 est le plus fort graàlent calculé (3,79),c'est aussi celui établi à'après le plus granà nombre de mesures.

BE3 se situe à l'écart du champ de Coulommes, au NW de la faillesupposée limiter le flanc NW de l'anticlinal (cf. § 2.2. et planche 8a).

On peut donc considérer que BE3 appartient au "monoclinal" deMeaux dans sa partie la plus profonde. Son graàlent Gsp àe 3,79 seraretenu comme une àes hypothèses pour l'évaluation àe la température à Meaux.

Les graàients calculés à'après la température enregistrée aucours à'un seul essai àoivent être consiàérés comme àes Gsp par àéfaut.Cette imprécision ne permet pas à 'analyser l'effet à 'anticlinal sur lesvariations de graàlent.

Nous retienàrons pour le champ àe Coulommes (en faisant abstractionàe BE3) : . un Gsp moyen àe 3,69

. un Gsp estimé de 3,74 (gradient minimum calculé sur les puits" où ont été effectués plus de 2 essais).

2.5.4.2. - Giv^d¿ejit¿_(£6^_dz_Coalqime^_eX^

La comparaison réaliste de ces 2 types de gradients nécessiteraitla connaissance du graàlent au sein au Dogger, àonnée que nous ne pouvonsapprocher que àe manière' inàirecte.

Nous nous bornerons àonc à constater que le Gcp àe CS4 estinférieur àe quelques centièmes aux Gsp environnants, ce qui est logique.

Pour les évaluations qui. vont suivre, nous utiliserons lesGsp àe Coulommes et le Gcp àe CS4 àe manière inàépendante .

2.5.4.3. ~-Cqm2aAaÁ^qn^A^Q¿qnaZz_de^_QJ^d^

Le gradient Gcp de Coulommiers (3,76) est :

- 32 -

2.5.4. - COMPARAISON PES GRAPIEMTS NGF CALCULES V APRES TEMPERATURES EN

- VEBIT {ci. pùinchz S) . .

Ces gradients sont les seuls permettant d'effectuer des comparaisonsde puits à puits pour l'aquifère du Dogger ; les fourchettes de valeur qui enrésultent peuvent être appliquées, sans correction, au site de Meaux.

2.5.4. J. - G'uidÂ.zy!^_Gi£_dz_CquZqimz& [dz 3,61 à 3,79].

Le graàlent Gsp àe BE3 est le plus fort graàlent calculé (3,79),c'est aussi celui établi à'après le plus granà nombre de mesures.

BE3 se situe à l'écart du champ de Coulommes, au NW de la faillesupposée limiter le flanc NW de l'anticlinal (cf. § 2.2. et planche 8a).

On peut donc considérer que BE3 appartient au "monoclinal" deMeaux dans sa partie la plus profonde. Son graàlent Gsp àe 3,79 seraretenu comme une àes hypothèses pour l'évaluation àe la température à Meaux.

Les graàients calculés à'après la température enregistrée aucours à'un seul essai àoivent être consiàérés comme àes Gsp par àéfaut.Cette imprécision ne permet pas à 'analyser l'effet à 'anticlinal sur lesvariations de graàlent.

Nous retienàrons pour le champ àe Coulommes (en faisant abstractionàe BE3) : . un Gsp moyen àe 3,69

. un Gsp estimé de 3,74 (gradient minimum calculé sur les puits" où ont été effectués plus de 2 essais).

2.5.4.2. - Giv^d¿ejit¿_(£6^_dz_Coalqime^_eX^

La comparaison réaliste de ces 2 types de gradients nécessiteraitla connaissance du graàlent au sein au Dogger, àonnée que nous ne pouvonsapprocher que àe manière' inàirecte.

Nous nous bornerons àonc à constater que le Gcp àe CS4 estinférieur àe quelques centièmes aux Gsp environnants, ce qui est logique.

Pour les évaluations qui. vont suivre, nous utiliserons lesGsp àe Coulommes et le Gcp àe CS4 àe manière inàépendante .

2.5.4.3. ~-Cqm2aAaÁ^qn^A^Q¿qnaZz_de^_QJ^d^

Le gradient Gcp de Coulommiers (3,76) est :

Page 39: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 33 -

- très supérieur au Gcp de CS4' (3,59)

- vraisemblablement supérieur au Gcp moyen de Coulommes(car proche du Gsp estimé : 3,74)

- vraisemblablement proche ou supérieur au Gcp de BE3.

Il en résulte régionalement que :

- l'anticlinal de Coulommes ne constitue pas une "anomaliethermique" positive par rapport à la fosse àe Coulommiers

- la valeur élevée au graàlent àe BE3 ne peut être reliée à laparticularité structurale àe Coulommes ; elle serait représen¬tative au graàlent àans le "monoclinal" àe Meaux. Cette valeurtenàrait à réfuter l'hypothèse d'un panache froid à la latitudede Meaux (cf. § 5.3.4.)

- l'ensemble de la zone parait posséder des Gcp élevés ($ 3,74).

Cette analyse permet de définir plusieurs gradients NGF applicablesà Meaux, selon l'interprétation que l'on en fait :

- interprétations optimistes :

.'..'. les gradients élevés de ce secteur (Gcp 5 3,74) Intéressentégalement la zone de Meaux

. le gradient de BE3 est applicable à Meaux, les gradientsobtenus au NW (Villeroy) étant des valeurs par défaut

- Interprétations pessimistes :

.11 existe une décroissance progressive du gradient du SE

vers le NW, depuis un "pôle chaud" (Coulommiers) vers un"pôle froid" (Meavix) en passant par CS4 (valeur faible ausein du champ de Coulommes). L'extrapolation de cettebaisse progressive fournit pour Meaux : Gcp = 3,54 (cette

! conception serait en réalité démentie par BE3)

. seul le graàlent relativement bas àe VYl permet àe fixerun seuil minimum àe température raisonnable.

2. 5.5. - EVALUATION VE LA TEMPERATURE A UEAUX

2. 5.5.1. - títiQqrthtiz&^buiZó

al - Le graàlent Gt àe VYl (3,36, cf. planche 7) a été recalculéen G NGF : 3,57.

(le Gt àe QV7 (3,22), calculé en graàlent NGF (3,44) ne semble pasreprésentatif. En effet, ce puits est situé à quelques centaines àe mètres deBE3. Or, BE3 fournit, après essais en débit, un gradient sp NGF de 3,79).

a2 - Gradient Gsp le plus bas au champ àe CoulommesE19 : Gsp : 3,61 (valeur par àéfaut).

a3 - Baisse progressive au graàlent au SE vers le NW

Meaux Gcp : 3,54.

- 33 -

- très supérieur au Gcp de CS4' (3,59)

- vraisemblablement supérieur au Gcp moyen de Coulommes(car proche du Gsp estimé : 3,74)

- vraisemblablement proche ou supérieur au Gcp de BE3.

Il en résulte régionalement que :

- l'anticlinal de Coulommes ne constitue pas une "anomaliethermique" positive par rapport à la fosse àe Coulommiers

- la valeur élevée au graàlent àe BE3 ne peut être reliée à laparticularité structurale àe Coulommes ; elle serait représen¬tative au graàlent àans le "monoclinal" àe Meaux. Cette valeurtenàrait à réfuter l'hypothèse d'un panache froid à la latitudede Meaux (cf. § 5.3.4.)

- l'ensemble de la zone parait posséder des Gcp élevés ($ 3,74).

Cette analyse permet de définir plusieurs gradients NGF applicablesà Meaux, selon l'interprétation que l'on en fait :

- interprétations optimistes :

.'..'. les gradients élevés de ce secteur (Gcp 5 3,74) Intéressentégalement la zone de Meaux

. le gradient de BE3 est applicable à Meaux, les gradientsobtenus au NW (Villeroy) étant des valeurs par défaut

- Interprétations pessimistes :

.11 existe une décroissance progressive du gradient du SE

vers le NW, depuis un "pôle chaud" (Coulommiers) vers un"pôle froid" (Meavix) en passant par CS4 (valeur faible ausein du champ de Coulommes). L'extrapolation de cettebaisse progressive fournit pour Meaux : Gcp = 3,54 (cette

! conception serait en réalité démentie par BE3)

. seul le graàlent relativement bas àe VYl permet àe fixerun seuil minimum àe température raisonnable.

2. 5.5. - EVALUATION VE LA TEMPERATURE A UEAUX

2. 5.5.1. - títiQqrthtiz&^buiZó

al - Le graàlent Gt àe VYl (3,36, cf. planche 7) a été recalculéen G NGF : 3,57.

(le Gt àe QV7 (3,22), calculé en graàlent NGF (3,44) ne semble pasreprésentatif. En effet, ce puits est situé à quelques centaines àe mètres deBE3. Or, BE3 fournit, après essais en débit, un gradient sp NGF de 3,79).

a2 - Gradient Gsp le plus bas au champ àe CoulommesE19 : Gsp : 3,61 (valeur par àéfaut).

a3 - Baisse progressive au graàlent au SE vers le NW

Meaux Gcp : 3,54.

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- 34

2.5.5.2. - t!y£2íí>l'¿^_51í!í/§-!í{}^

bl - Gcp de CS4 : 3,59

b2 - Gsp moyen de Coulommes : 3,69

b3 - Gsp estimé àe Coulommes : 3,74.

2.5.5.3. - Hi/goífieóe¿_(iauíe^

cl - Gsp maximum àe Coulommes : 3,78

c2 - Gsp de BE3 : 3,79

c3 - Gcp élevés de Coulommiers et Coulommes, applicables à Meaux : 3,74,

Les températures calculées à Meaux, pour ces diverses hypothèses(et en respectant la méthode utilisée pour le calcul de chaque gradient sp ou cp)sont présentés dans le tableau ci-àessous.

^"^^"^^^Graàientsn< w ^""^--^ NGFT Meaux ^^^*>^

Tsp (- 1 718 m)

Tep (- 1 781 m)

Hjrp. basses

al a2 a3

73,3 74,0

75,0

Hyp. moyennes

bl b2 b3

75,4 76,2

75,9

Hyp. hautes

cl c2 c3

76,9 77,1

78,5

La température au réservoir se situe entre 73° C et 79° C.

2.5.6. - CONCLUSIOKfS

Malgré l'abondance relative des àonnées àisponibles, l'estimationàe la température pour le Dogger de Meaux reste délicate du fait de la parti¬cularité structurale du site et de son environnement.

Devix approches ont été mises en oeuvre pour réduire les incertitudes :

- Analyse régionale reposant sur l'ensemble des données thermiquesdisponibles (cartes d'isothermes, cartes d' isogradients) . Elleconduit globalement à situer Meaux dans un domaine à gradientsélevés, sans toutefois exclure la possibilité d'un "panache"plus froid à la latituàe àe la ville.La température proposée (àe l'ordre de 74°C à 75° C) pourraiten réalité être plus faible.

- Analyse comparative détaillée des gradients obtenus à partir desseules températures en débit, au N de la faille du Pays de Bray.Elle rend peut probable l'existence d'un panache froid, et confirmeles valeurs élevées des gradients moyens de cette région.L'application de ces gradients en fonction d'hypothèses hautes etbasses estime la température au centre du réservoir à Meaux entre78° C et 73° C.

- 34

2.5.5.2. - t!y£2íí>l'¿^_51í!í/§-!í{}^

bl - Gcp de CS4 : 3,59

b2 - Gsp moyen de Coulommes : 3,69

b3 - Gsp estimé àe Coulommes : 3,74.

2.5.5.3. - Hi/goífieóe¿_(iauíe^

cl - Gsp maximum àe Coulommes : 3,78

c2 - Gsp de BE3 : 3,79

c3 - Gcp élevés de Coulommiers et Coulommes, applicables à Meaux : 3,74,

Les températures calculées à Meaux, pour ces diverses hypothèses(et en respectant la méthode utilisée pour le calcul de chaque gradient sp ou cp)sont présentés dans le tableau ci-àessous.

^"^^"^^^Graàientsn< w ^""^--^ NGFT Meaux ^^^*>^

Tsp (- 1 718 m)

Tep (- 1 781 m)

Hjrp. basses

al a2 a3

73,3 74,0

75,0

Hyp. moyennes

bl b2 b3

75,4 76,2

75,9

Hyp. hautes

cl c2 c3

76,9 77,1

78,5

La température au réservoir se situe entre 73° C et 79° C.

2.5.6. - CONCLUSIOKfS

Malgré l'abondance relative des àonnées àisponibles, l'estimationàe la température pour le Dogger de Meaux reste délicate du fait de la parti¬cularité structurale du site et de son environnement.

Devix approches ont été mises en oeuvre pour réduire les incertitudes :

- Analyse régionale reposant sur l'ensemble des données thermiquesdisponibles (cartes d'isothermes, cartes d' isogradients) . Elleconduit globalement à situer Meaux dans un domaine à gradientsélevés, sans toutefois exclure la possibilité d'un "panache"plus froid à la latituàe àe la ville.La température proposée (àe l'ordre de 74°C à 75° C) pourraiten réalité être plus faible.

- Analyse comparative détaillée des gradients obtenus à partir desseules températures en débit, au N de la faille du Pays de Bray.Elle rend peut probable l'existence d'un panache froid, et confirmeles valeurs élevées des gradients moyens de cette région.L'application de ces gradients en fonction d'hypothèses hautes etbasses estime la température au centre du réservoir à Meaux entre78° C et 73° C.

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- 35 -

En conséquence, la fourchette de température la plus vraisemblableparait être 75 + 2 et la fourchette large 75 + 3° C.

En dessous du seuil minimum de 72° C au réservoir, à l'équilibre,le Dogger de Meaux présenterait une anomalie thermique négative que lesàonnées actuelles ne permettent pas àe supposer.

Nous retienàrons àonc pour les calculs thermiques comme températureau réservoir à l'équilibre 75 + 3° C, ce qui corresponà, avec 2° C àe perteàans les tubages, â une température en tête àe 73 + 3° C.

- 35 -

En conséquence, la fourchette de température la plus vraisemblableparait être 75 + 2 et la fourchette large 75 + 3° C.

En dessous du seuil minimum de 72° C au réservoir, à l'équilibre,le Dogger de Meaux présenterait une anomalie thermique négative que lesàonnées actuelles ne permettent pas àe supposer.

Nous retienàrons àonc pour les calculs thermiques comme températureau réservoir à l'équilibre 75 + 3° C, ce qui corresponà, avec 2° C àe perteàans les tubages, â une température en tête àe 73 + 3° C.

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- 36 -

2.5 - BILAN

La planche ci-àessous résume les paramètres hyàrogéologlqueset thermiques au Dogger au doit de Meaux.

Le risque géologique porte principalement sur la perméabilitéet la transmissivité du réservoir, Meaux se trouvant dans une zone detransition lithologique.

CÂRACTERÏSTiaUES WVROGEOLOGKiUES.

lmpuiniat¿on

CoofidornízzÁ

Cotz ¿ol

MEAUX collinet

X = 641,20 ;

+ 50 m

y = 138,00

FofmatÀJOn conÁldViíz : DOGGER (Bathonien)

StnactuJLZ dix. n.zi,zn.vo¿iL :

. cote du toit

. profondeur du toit

. hauteur - utile potentielle

- productrice potentielle

. hauteur totale

. profonàeur totale du forage

. observations

- 1 691 (à - 1 710)

1 741 (à 1 760 m)

80 m

25 + 5 m

170 m

1 861 m (à 1 930 m)

précautions à prendre pour le recueil des cuttingsdu réservoir

CaÂjCLctziLi&rtiqazà da Kz&qJvooâA.

. porosité :

. perméabilité :

. pression de gisement

. niveau piézomètrique

. observations

CanacJtzfvi&tÂxiazi, du. {,ZuLdz

25 m de porosité > 15 %

30 m de porosité > 12 %

0,5 D pour 80 m de h.u. p.

1,5 D pour 25 m de h. p. p.

5 à 7 bars au sol

= + 110 ra NGF

température

salinité

observations

75 + 3 A

34 à 38 g/l C

- 36 -

2.5 - BILAN

La planche ci-àessous résume les paramètres hyàrogéologlqueset thermiques au Dogger au doit de Meaux.

Le risque géologique porte principalement sur la perméabilitéet la transmissivité du réservoir, Meaux se trouvant dans une zone detransition lithologique.

CÂRACTERÏSTiaUES WVROGEOLOGKiUES.

lmpuiniat¿on

CoofidornízzÁ

Cotz ¿ol

MEAUX collinet

X = 641,20 ;

+ 50 m

y = 138,00

FofmatÀJOn conÁldViíz : DOGGER (Bathonien)

StnactuJLZ dix. n.zi,zn.vo¿iL :

. cote du toit

. profondeur du toit

. hauteur - utile potentielle

- productrice potentielle

. hauteur totale

. profonàeur totale du forage

. observations

- 1 691 (à - 1 710)

1 741 (à 1 760 m)

80 m

25 + 5 m

170 m

1 861 m (à 1 930 m)

précautions à prendre pour le recueil des cuttingsdu réservoir

CaÂjCLctziLi&rtiqazà da Kz&qJvooâA.

. porosité :

. perméabilité :

. pression de gisement

. niveau piézomètrique

. observations

CanacJtzfvi&tÂxiazi, du. {,ZuLdz

25 m de porosité > 15 %

30 m de porosité > 12 %

0,5 D pour 80 m de h.u. p.

1,5 D pour 25 m de h. p. p.

5 à 7 bars au sol

= + 110 ra NGF

température

salinité

observations

75 + 3 A

34 à 38 g/l C

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37 -

2.7. -ANNEXES

37 -

2.7. -ANNEXES

Page 44: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 38 -

COUPE PREVISIONNELLE VU TERTIAIRE

z sol approximatif = + 52 NGF

Annzxz 1

O

8

10

8 m

10

15

15 - 25

25 -

35 -

40 -

35

40

70

70 - 90

90

Remblai éventuel, sable jaune et rouge

Marne blanche

Calcaire marneux avec alternance decalcaire dur siliceux

Calcaire dur et tendre, fissuré avecalternance de bancs marneux

Calcaire dur, sableux et glauconieux

Sable grossier gris, glauconieux

Alternance d'argile sableuse, brvme,verte, noire, à lignite et pyrite, etde sable fin gris + argileux

Marne gris-noir, sableuse, devenantclair et crayeux à la base

Craie du Sénonien

AlíuvlonÁ

Eocznz

moyzn :

Lutztizn

Cuyü,¿zn

Spa/Lnac¿zn

Le toit de la craie est à prévoir à la profondeurde 90 m + lO m (cote - 40 à - 50 NGF)

- 38 -

COUPE PREVISIONNELLE VU TERTIAIRE

z sol approximatif = + 52 NGF

Annzxz 1

O

8

10

8 m

10

15

15 - 25

25 -

35 -

40 -

35

40

70

70 - 90

90

Remblai éventuel, sable jaune et rouge

Marne blanche

Calcaire marneux avec alternance decalcaire dur siliceux

Calcaire dur et tendre, fissuré avecalternance de bancs marneux

Calcaire dur, sableux et glauconieux

Sable grossier gris, glauconieux

Alternance d'argile sableuse, brvme,verte, noire, à lignite et pyrite, etde sable fin gris + argileux

Marne gris-noir, sableuse, devenantclair et crayeux à la base

Craie du Sénonien

AlíuvlonÁ

Eocznz

moyzn :

Lutztizn

Cuyü,¿zn

Spa/Lnac¿zn

Le toit de la craie est à prévoir à la profondeurde 90 m + lO m (cote - 40 à - 50 NGF)

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MEAUX (Collinet)COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE

TProfondeur

/sol ím )

90-

CoteNGF

510-

620

700-

760

e<ic-

1030-

\n-lii.

119ÜL

1322-

- rJ84-

- 1471-

- ir.Gí

IC'M)-

.1 /; 1-

1 no6-lüio"

I- 5u

40

Epaiss-

(m)

'K.i;

570

650

710

- 796

980

1020

1140

1272

1334

1421

1531

1649

1691

18461860

1886

90

420

lio

eo

60

86

184

40

120

132

62

87

lio

118

42

Lithologie

Cf. coupe du Tertiaire (annexe 1)

m

^

«< l.'roll.n. « r.«.nl.n.M. t.lt

Cial* klanik* ill**

Cr.l. *»r» trIlSir.

Crai* narnajit grltôtraCroit mornauta dltrltlqaa

T¿-:¿-¿-\ AH. da ea.gríiau. flauoonau.1 à% m* %tÍ

\y/-~'! .1 .1 I [

.^ '.5=5-L JL .t.' J. _-

ESiÏÏÏÏÏÏ-IT

^ELj. I IJ i 1

niiimiiiii

wmm1 f. I - J rÍ yr,'--l^.-L^li'Û^'Ji^i'T^T

^ I g' ? 1*1

i^-Z-t-I

.1. 1,1.1

'<*'»'-i_-x_-rL.r_TJ-i-i-i.[.i>i:t

Cf . coupe

Argllaa griaa* OAULT

S. Jouna vari glouoanlau»

£ poaaa'at da a. arailaui

(ÏOMrgllai aoblautat brunat

(90) orellaa toktauaaa roag.

blonckat

'PP^tl

Ll

(30) orgllat griaat aablautaa

[~~_ grat argilauK pyritau»

(4) leblaa llgnllau»

ilfi^l ce.Riarnau» 'Witrl t IquaaTzs) oo.dolomjtlgua «aoualalra

at «0. Jalritiqua

lit) aa- aublllba.arla ololr atca. narnaua

-U»» -«" 1 «o-braaIIO ea.m. tublltha adabrlta

"{«O) ait. arglla..«,-*''^""""aiaraa oa- aombraaca-mar*aua aublltk*

(70) «II. aa. aiamaui at mará*' aa. riaa at ai.-argt^la»

.^~(I3) ec tublitho-it norno calcoir(59) ai. at orglla aohiatauta

nai

, ., co.aublltlio. 0 dákrita Lui d'Eaogyratacf Int .t-^ou datrltiquaa at mic.fina a patitaa aolithaa al ce m

lupiachajijquatoc-baigat a fauaaat oollthai

. çy- P-tt tt'gtIHpaeta fina

ac. pt^tude olitlilqutt tt grovtlaui

alt-ae oollihiquai aîce.flna eonpooltvac tandonoa mornauga

ae- pitallthiqua kalga ou ee.marnaut

ot. Uni grltotttj norno ec. pyriteux

m. pyrittMttgrIa noir

po ttt't^carbonattt

m.pyiltautat al morno co.iBrochiopodm.eco oolithtt tarruginautat rougaaav^morno ce.porfoia griaauii looglnaimorno ce. grdttux lumoehalllqua

du ri'-'i.'rvoir (planc-lie 5)

ce: calcairestn =mamesI iiabl«slitho > lithographiqueoil = alternances

MEAUX (Collinet)COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE

TProfondeur

/sol ím )

90-

CoteNGF

510-

620

700-

760

e<ic-

1030-

\n-lii.

119ÜL

1322-

- rJ84-

- 1471-

- ir.Gí

IC'M)-

.1 /; 1-

1 no6-lüio"

I- 5u

40

Epaiss-

(m)

'K.i;

570

650

710

- 796

980

1020

1140

1272

1334

1421

1531

1649

1691

18461860

1886

90

420

lio

eo

60

86

184

40

120

132

62

87

lio

118

42

Lithologie

Cf. coupe du Tertiaire (annexe 1)

m

^

«< l.'roll.n. « r.«.nl.n.M. t.lt

Cial* klanik* ill**

Cr.l. *»r» trIlSir.

Crai* narnajit grltôtraCroit mornauta dltrltlqaa

T¿-:¿-¿-\ AH. da ea.gríiau. flauoonau.1 à% m* %tÍ

\y/-~'! .1 .1 I [

.^ '.5=5-L JL .t.' J. _-

ESiÏÏÏÏÏÏ-IT

^ELj. I IJ i 1

niiimiiiii

wmm1 f. I - J rÍ yr,'--l^.-L^li'Û^'Ji^i'T^T

^ I g' ? 1*1

i^-Z-t-I

.1. 1,1.1

'<*'»'-i_-x_-rL.r_TJ-i-i-i.[.i>i:t

Cf . coupe

Argllaa griaa* OAULT

S. Jouna vari glouoanlau»

£ poaaa'at da a. arailaui

(ÏOMrgllai aoblautat brunat

(90) orellaa toktauaaa roag.

blonckat

'PP^tl

Ll

(30) orgllat griaat aablautaa

[~~_ grat argilauK pyritau»

(4) leblaa llgnllau»

ilfi^l ce.Riarnau» 'Witrl t IquaaTzs) oo.dolomjtlgua «aoualalra

at «0. Jalritiqua

lit) aa- aublllba.arla ololr atca. narnaua

-U»» -«" 1 «o-braaIIO ea.m. tublltha adabrlta

"{«O) ait. arglla..«,-*''^""""aiaraa oa- aombraaca-mar*aua aublltk*

(70) «II. aa. aiamaui at mará*' aa. riaa at ai.-argt^la»

.^~(I3) ec tublitho-it norno calcoir(59) ai. at orglla aohiatauta

nai

, ., co.aublltlio. 0 dákrita Lui d'Eaogyratacf Int .t-^ou datrltiquaa at mic.fina a patitaa aolithaa al ce m

lupiachajijquatoc-baigat a fauaaat oollthai

. çy- P-tt tt'gtIHpaeta fina

ac. pt^tude olitlilqutt tt grovtlaui

alt-ae oollihiquai aîce.flna eonpooltvac tandonoa mornauga

ae- pitallthiqua kalga ou ee.marnaut

ot. Uni grltotttj norno ec. pyriteux

m. pyrittMttgrIa noir

po ttt't^carbonattt

m.pyiltautat al morno co.iBrochiopodm.eco oolithtt tarruginautat rougaaav^morno ce.porfoia griaauii looglnaimorno ce. grdttux lumoehalllqua

du ri'-'i.'rvoir (planc-lie 5)

ce: calcairestn =mamesI iiabl«slitho > lithographiqueoil = alternances

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- 40 -Anne. X. c 3

P^i./¿ol

0 _

- 90

- 510

- 658

- 747

- 807

- 875

- 1080- 1119

- 1244

- 1384

- 1439

- 1509

- 1619

- 1729- 1774

- 1944

CoteNGF

+ 50

- 40

- 460

- 608

- 697

- 757

- 826

- 1029- 1068

- 1194

- 1334

- 1389

- 1459

-J569

- 1679- 1724

- 1894

L)x¡i¿.(m)

90

420

148

89

60

69

203

jy

125

140

55

70

110

110

4=;

170

LITUOLÙGIE

Alluvions, calcaires, sables, argileset marnes

CRAIE BLANCHE

â

SILEX

Craie dure grisâtre

Craie marneuse devenant gréseuse àlahaçpArgiles grises

Sables glauconieux

Argiles sableuses

Grès argileux pyriteux

Cal cai res -marneux, dolomitiquesCalcaires subi ithor.raphiques etmarno-calcaires et marnes

Alternance de calcaires marneux, marneset argiles et calcaires su-blithographi-qiipi;

Calcaires fins oolithiquesCal oai res avec passées plus marneusesfi^lifi;' nil mnintî'Tinlomitiqups;. VflCÙol ai rp«;Calcaires, calcaires marneux, marnessabl euses et schi steuses

Calcaires, marno-calcaires," marnespyriteusesMarno-càlc. mannes et cale, créseux.oolithes

Calcaires du Bathonien

St'iatÀ.gfiapiûjZ

(Quaternaire)TERTIAIRE

CAMPANIEN

SANTONIEN

CONIACIEN

TURONIEN

CENOMANIEN

ALBIEN SUP.ALBILN INh.APTTFN

BARREMIEN

NEOCOMIEN

PURBECKIEN

PORTLANDIEN

KIMMERIDGIEN

SEQ. .

RAUR. ^ zUl

- C3

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- o

OXF. z

CALLOVIEN

BATHONIEN

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Références : MB. 1 - 185.1.50 - x =642,368y =138,058z = + 51,15

BE. 2 (Boutigny). 185. 1.14 - x = 643.575y = 135,1752 = + 146,9

- 40 -Anne. X. c 3

P^i./¿ol

0 _

- 90

- 510

- 658

- 747

- 807

- 875

- 1080- 1119

- 1244

- 1384

- 1439

- 1509

- 1619

- 1729- 1774

- 1944

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- 40

- 460

- 608

- 697

- 757

- 826

- 1029- 1068

- 1194

- 1334

- 1389

- 1459

-J569

- 1679- 1724

- 1894

L)x¡i¿.(m)

90

420

148

89

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69

203

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125

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55

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110

110

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170

LITUOLÙGIE

Alluvions, calcaires, sables, argileset marnes

CRAIE BLANCHE

â

SILEX

Craie dure grisâtre

Craie marneuse devenant gréseuse àlahaçpArgiles grises

Sables glauconieux

Argiles sableuses

Grès argileux pyriteux

Cal cai res -marneux, dolomitiquesCalcaires subi ithor.raphiques etmarno-calcaires et marnes

Alternance de calcaires marneux, marneset argiles et calcaires su-blithographi-qiipi;

Calcaires fins oolithiquesCal oai res avec passées plus marneusesfi^lifi;' nil mnintî'Tinlomitiqups;. VflCÙol ai rp«;Calcaires, calcaires marneux, marnessabl euses et schi steuses

Calcaires, marno-calcaires," marnespyriteusesMarno-càlc. mannes et cale, créseux.oolithes

Calcaires du Bathonien

St'iatÀ.gfiapiûjZ

(Quaternaire)TERTIAIRE

CAMPANIEN

SANTONIEN

CONIACIEN

TURONIEN

CENOMANIEN

ALBIEN SUP.ALBILN INh.APTTFN

BARREMIEN

NEOCOMIEN

PURBECKIEN

PORTLANDIEN

KIMMERIDGIEN

SEQ. .

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Références : MB. 1 - 185.1.50 - x =642,368y =138,058z = + 51,15

BE. 2 (Boutigny). 185. 1.14 - x = 643.575y = 135,1752 = + 146,9

Page 47: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

41 -

2.8. - CARACTERISTIQUES D'EXPLOITATION

41 -

2.8. - CARACTERISTIQUES D'EXPLOITATION

Page 48: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 42 -

MEAUX

(doublet 7")

PUITS DE REINJECTION

Hypothèses

Trans. 55 â 40 D.m.Temp. prod. 76''CViscosité : 0,4Temp. inj. 35Visco, inj. 78Porosité : 0.15

Caractéristiques d'exploitation

Pression entête de puiti

r3/h

- 42 -

MEAUX

(doublet 7")

PUITS DE REINJECTION

Hypothèses

Trans. 55 â 40 D.m.Temp. prod. 76''CViscosité : 0,4Temp. inj. 35Visco, inj. 78Porosité : 0.15

Caractéristiques d'exploitation

Pression entête de puiti

r3/h

Page 49: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 43 -

MEAUX

(doublet 7")

Hpothèses

Trans. 55 è 40 D.

Temp. prod. 76^0Viscosité : 0,4

m.

PUITS DE PRODUCTION

CARACTERISTIQUES D'EXPLOITATION

Pression entête de puit^^

- 43 -

MEAUX

(doublet 7")

Hpothèses

Trans. 55 è 40 D.

Temp. prod. 76^0Viscosité : 0,4

m.

PUITS DE PRODUCTION

CARACTERISTIQUES D'EXPLOITATION

Pression entête de puit^^

Page 50: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 44 -

MEAUX

(doublet 7")

PUISSANCE DE POMPAGE

PUÎTS DE PRODUCTION

ATlf '

400 '

300 '

200 '

^ Pvissonee

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- 44 -

MEAUX

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Page 51: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

t.AUIETUDE. D inPLANTATION

U ITESSE REELLE D ' ECOULE'IEMT ^I.^^URELPOROS ITEH TEUR UTILE DE L'AQUIFE^iECAPACITE CALORIFIQUE DU FLUIDECA ACITE CAL.ORIFIQUE DE LA ROCHECAPACITE CALORIFIQUE DES E^OMTESCONDUCTIUITE PHERIIQUE DES E^OMTES

DEBITS EM ri3./H :

On15n0025laOOOn^O0n50

ri'AM%

HETRESCAL/Cn3/TCAL/Cri3/°CCAL/CnS.'T

= OdCOE-2 C.^L/Cn S/T

PlPSP4

PRODUCTION

135o00IBOo^O160 p 00

IMJECTION

II1314

135o00leOoOO160 D 00

ECHELLE : H = 200 HETRES

t.AUIETUDE. D inPLANTATION

U ITESSE REELLE D ' ECOULE'IEMT ^I.^^URELPOROS ITEH TEUR UTILE DE L'AQUIFE^iECAPACITE CALORIFIQUE DU FLUIDECA ACITE CAL.ORIFIQUE DE LA ROCHECAPACITE CALORIFIQUE DES E^OMTESCONDUCTIUITE PHERIIQUE DES E^OMTES

DEBITS EM ri3./H :

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= OdCOE-2 C.^L/Cn S/T

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IMJECTION

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135o00leOoOO160 D 00

ECHELLE : H = 200 HETRES

Page 52: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

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10 13 n ts 30 TS ta ta sn ss co cs io is wn so ss loo

riEAUX

TEHPS EiM ANNEES

EV/OLUTION DE LA TEIPERATURE AUX PUITS DE PRODUCTION

ETUDE D iriPLAlMTATION

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TEHPS EiM ANNEES

EV/OLUTION DE LA TEIPERATURE AUX PUITS DE PRODUCTION

ETUDE D iriPLAlMTATION

Page 53: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 47 -

2,9. - CHOIX DU SITE

. Dans cette étude, il n.'a pas été pris en compte le doublet concernantprincipalement l'hôpital (doublet n" 2), qui peut être considéré comme tout à faitindépendant . des trois autres.

.. Pour P. COLLINET, la présente étude a été effectuée sur le cas d'undoublet foré à partir d'une même plateforme comprenant un premier forage droit,pour une bonne reconnaissance du réservoir. La profondeur relativement faible desforages ne permet que d'obtenir un écartement de 700 m environ au niveau du réser¬voir d'où une durée de vie de 15 ans à température constante.

En' conséquence de ce calcul, une seconde plateforme a été recherchéeà 250 m au sud de la première afin d'y réaliser le forage dévié. L'écart au niveaudu réservoir sera donc de 950 m ce qui garantit une durée de vie analogue à celledes forages de BEAUVAL, supérieure à 25 ans.

fonction : .

Le choix définitif du site des plateformes de forage a été fait en

- de l'étude d'impact

- des impératifs de surface (proximité des chaufferies de la ZUP

Collinet

- des parcelles de terrains disponibles.

Le choix s'est porté après accord des Services Techniques de laVille de Meaux, du maître d'Ouvrage et du maître d'Ouvrage délégué sur deuxparcelles situées au sud, des immetibles de la Pierre Collinet (cf. plan desituation) . : ' ;

- 47 -

2,9. - CHOIX DU SITE

. Dans cette étude, il n.'a pas été pris en compte le doublet concernantprincipalement l'hôpital (doublet n" 2), qui peut être considéré comme tout à faitindépendant . des trois autres.

.. Pour P. COLLINET, la présente étude a été effectuée sur le cas d'undoublet foré à partir d'une même plateforme comprenant un premier forage droit,pour une bonne reconnaissance du réservoir. La profondeur relativement faible desforages ne permet que d'obtenir un écartement de 700 m environ au niveau du réser¬voir d'où une durée de vie de 15 ans à température constante.

En' conséquence de ce calcul, une seconde plateforme a été recherchéeà 250 m au sud de la première afin d'y réaliser le forage dévié. L'écart au niveaudu réservoir sera donc de 950 m ce qui garantit une durée de vie analogue à celledes forages de BEAUVAL, supérieure à 25 ans.

fonction : .

Le choix définitif du site des plateformes de forage a été fait en

- de l'étude d'impact

- des impératifs de surface (proximité des chaufferies de la ZUP

Collinet

- des parcelles de terrains disponibles.

Le choix s'est porté après accord des Services Techniques de laVille de Meaux, du maître d'Ouvrage et du maître d'Ouvrage délégué sur deuxparcelles situées au sud, des immetibles de la Pierre Collinet (cf. plan desituation) . : ' ;

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- 48 -

III - PROGRAMME DE FORAGE DETAILLE PUITS DE PRODUCTION

- 48 -

III - PROGRAMME DE FORAGE DETAILLE PUITS DE PRODUCTION

Page 55: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 49

3.1. LOCALISATION

X = 641 320

Y = 138 120

Z = + 50 m

3.2. SEQUENCE DES OPERATIONS

Un avant puits est foré et tube en 26" jusqu'à 110 m.

1 - Forage en 17" 1/2 jusqu'à 300 m environ

2 - Forage en 12 "1/4 de 300 à 650 m environtubage mixte 13" 3/5 x 9" 5/8 et cimentation

3 - Forage en 8" 1/2 jusqu'à 1750 m environtubage 7" et cimentation étagère.

4 - Forage en 6" jusqu'à 1950 m

5 - Essais

3.3. PROGRAMME DE TAILLE

3.3.1. Phase_17^_l/2_-_100_-_300_m -

Forage en 17" 1/2 jusqu'à une profondeur de 300 m environtoteo en fin de- phase.

a) outils

17" 1/2 HUGHES - R^ CVL

b) garniture ...

15 DC 7'" 3/4 ^ ^°^^^ disponible 21 t. (d : 1.10)

DP 5" 19,5 E traction maxi : 135 t

c) paramètres

WOB

PPM

Q

15. 20 t

90.110

2500 l/mn (1500 l/mn si pertes)

3.3.3. Phase_l2;;_l/4_-_300_-_650_m -

Forage en 12" 1/4 jusqu'à 650 m environ,

toteo en fin d'outil

a) outils

12" 1/2 HUGHES - R jets (2)

- 49

3.1. LOCALISATION

X = 641 320

Y = 138 120

Z = + 50 m

3.2. SEQUENCE DES OPERATIONS

Un avant puits est foré et tube en 26" jusqu'à 110 m.

1 - Forage en 17" 1/2 jusqu'à 300 m environ

2 - Forage en 12 "1/4 de 300 à 650 m environtubage mixte 13" 3/5 x 9" 5/8 et cimentation

3 - Forage en 8" 1/2 jusqu'à 1750 m environtubage 7" et cimentation étagère.

4 - Forage en 6" jusqu'à 1950 m

5 - Essais

3.3. PROGRAMME DE TAILLE

3.3.1. Phase_17^_l/2_-_100_-_300_m -

Forage en 17" 1/2 jusqu'à une profondeur de 300 m environtoteo en fin de- phase.

a) outils

17" 1/2 HUGHES - R^ CVL

b) garniture ...

15 DC 7'" 3/4 ^ ^°^^^ disponible 21 t. (d : 1.10)

DP 5" 19,5 E traction maxi : 135 t

c) paramètres

WOB

PPM

Q

15. 20 t

90.110

2500 l/mn (1500 l/mn si pertes)

3.3.3. Phase_l2;;_l/4_-_300_-_650_m -

Forage en 12" 1/4 jusqu'à 650 m environ,

toteo en fin d'outil

a) outils

12" 1/2 HUGHES - R jets (2)

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- 50 -

b) garniture

6 DC 9" 1/215 DC 7" 3/4 ^ poids disponible 27 T. (d : lilO)

tiges DP5" idem.

c) paramètres

WOB

KPM

Q

18-20 t

90-100

2000 1

3.3.3. Phase_8;;_l/2_-_650_-_1750_m -

Forage en 8" 1/2 jusqu'à pénétration de 10 m environ dans leréservoir 1750 m . .

a) outils ''''

R HUGHES 3 X 15/32 Albo aptien - Purbekien Portlandien

XR3 HUGHES 3 x 15/32 Kimméridgien

J33 HUGHES 3 x 14/32 Lusitanien - Oxf ordo Calvovien

b) garniture

33 DC 6" ) poids disponible 19 T (d : l'.lO)

, DP 5" id.

c) paramètres

WOB : 15-18 t selon outil

RPM : 60-80

Q : 1500 1

3.3.4. Phase_6;;_-_1750_-_1950_m -

Forage en 6" jusqu'à 1950 m environ

a) outils

6" HUGHES J. 33 3 X 14/32

b) garnitures

33 DC 41/8 ) poids disponible 10 t (d : 1.10)

c) paramètres

WOB " : 10 , .

RPM ': 60-70

Q : IOOO l/mn

./.

- 50 -

b) garniture

6 DC 9" 1/215 DC 7" 3/4 ^ poids disponible 27 T. (d : lilO)

tiges DP5" idem.

c) paramètres

WOB

KPM

Q

18-20 t

90-100

2000 1

3.3.3. Phase_8;;_l/2_-_650_-_1750_m -

Forage en 8" 1/2 jusqu'à pénétration de 10 m environ dans leréservoir 1750 m . .

a) outils ''''

R HUGHES 3 X 15/32 Albo aptien - Purbekien Portlandien

XR3 HUGHES 3 x 15/32 Kimméridgien

J33 HUGHES 3 x 14/32 Lusitanien - Oxf ordo Calvovien

b) garniture

33 DC 6" ) poids disponible 19 T (d : l'.lO)

, DP 5" id.

c) paramètres

WOB : 15-18 t selon outil

RPM : 60-80

Q : 1500 1

3.3.4. Phase_6;;_-_1750_-_1950_m -

Forage en 6" jusqu'à 1950 m environ

a) outils

6" HUGHES J. 33 3 X 14/32

b) garnitures

33 DC 41/8 ) poids disponible 10 t (d : 1.10)

c) paramètres

WOB " : 10 , .

RPM ': 60-70

Q : IOOO l/mn

./.

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- 51 -

3.3.5. Tubages et cimentations

, Tubage mixte 13" 3/8 x 9" 5/8

Tubes OD : 13" 3/8

Grade : K 55

Poids : 54,5 Ibs/ft

Filetage : VAM

Longueur : 300 m

Réduction : 13" 3/8 VAM x 9" 5/8 API

Tubes : OD 9" 5/8

Grade : K 55

Poids : 36 Ibs/ft

Filetage : API

Longueur : 350 m

Equipement : 1 flat shoe

1 float collar 2 joints au-dessus du sabot

16 centreurs standards 9" 5/8 x 12" 1/4

IO centreurs standards 13" 3/8 x 17" 1/2

2 centreurs positifs 13" 3/8 x 18" 5/8

9 gratteurs

48 stop rings

Cimentation

Ciment CPA 45 allégé

Voltmie estimé 54 m3 dont laitier de tête 50 m3 ad : 1,70

laitier de queue 4 m3 a d : 1,80

Cimentation effectuée par les tiges ; l'injection dulaitier se fera à débit réduit 500 l/mn maxi.

I

Tubage 7" .

OD : 7"

Grade : K55

Poids : 26 Ibs/ft '

Filetage : VAM

- 51 -

3.3.5. Tubages et cimentations

, Tubage mixte 13" 3/8 x 9" 5/8

Tubes OD : 13" 3/8

Grade : K 55

Poids : 54,5 Ibs/ft

Filetage : VAM

Longueur : 300 m

Réduction : 13" 3/8 VAM x 9" 5/8 API

Tubes : OD 9" 5/8

Grade : K 55

Poids : 36 Ibs/ft

Filetage : API

Longueur : 350 m

Equipement : 1 flat shoe

1 float collar 2 joints au-dessus du sabot

16 centreurs standards 9" 5/8 x 12" 1/4

IO centreurs standards 13" 3/8 x 17" 1/2

2 centreurs positifs 13" 3/8 x 18" 5/8

9 gratteurs

48 stop rings

Cimentation

Ciment CPA 45 allégé

Voltmie estimé 54 m3 dont laitier de tête 50 m3 ad : 1,70

laitier de queue 4 m3 a d : 1,80

Cimentation effectuée par les tiges ; l'injection dulaitier se fera à débit réduit 500 l/mn maxi.

I

Tubage 7" .

OD : 7"

Grade : K55

Poids : 26 Ibs/ft '

Filetage : VAM

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- 52 -

Equipement : 1 guide shoe

1 fill up collar à 2 joints du sabot

1 DV inférieure vers 1280 m .

1 DV supérieure vers 550 m

,26 centreurs standards 7" x 8 "1/2

9 gratteurs

5 centreurs positifs 7" x 9" 5/8

54 Stop rings

Remarque : Dans le découvert, les t\ibes seront descendus au rythme de13 T/h maxi avec circulation géologique de 1 H au toit et à labase du Lusitanien.

Cimentation :

Ciment : amiante ciment Gargenville d : 1,80Cimentation en deux étages avec bouchons et tête decimentation double

^er étage : Injection du laitier en slow flow 300 à 500 1/mmaximum. Reciprocating de la colonne sur 5 m

pendant l'injection du fluid spacer (3 m3)du laitier et pendant toute la chasse si possi¬ble (en surveillant attentivement le M.D. sipoids .^ rapidement, "v la colonne à la coteprévue.En fin de cimentation, ouverture de la DVinférieure circulation pendant 1 H puis toutesles heures durant 1/4 heure pendant 7 heures.

2ème étage : Ciment i amiante ciment Gargenville d : 1,80Cimentation en slow flow 300 à 350 l/mn de1280 à + 550 m.En fin de cimentation, ouverttire de la DVsupérieure et circulation pour éliminer lesurplus de ciment dans l'annulaire 9" 5/8 x 7".

Les diagrammes d'enregistrement de cimentation de société ,

de service devront permettre de lire avec suffisamment de précisionl'augmentation des pressions, au passage des bouchons de chasse au droitde la DV et la fermeture de la DV (1200 à 1500 PSI).

La colonne sera alors posée sur slips en tension à + 10 T.

18 Heures après la cimentation du second étage, le reforagedes DV et du ciment jusqu'à 2 m du sabot sera réalisé.

Enregistrement du CBL VD après 48 heures d'attente de prisede ciment du 1er étage.

- 52 -

Equipement : 1 guide shoe

1 fill up collar à 2 joints du sabot

1 DV inférieure vers 1280 m .

1 DV supérieure vers 550 m

,26 centreurs standards 7" x 8 "1/2

9 gratteurs

5 centreurs positifs 7" x 9" 5/8

54 Stop rings

Remarque : Dans le découvert, les t\ibes seront descendus au rythme de13 T/h maxi avec circulation géologique de 1 H au toit et à labase du Lusitanien.

Cimentation :

Ciment : amiante ciment Gargenville d : 1,80Cimentation en deux étages avec bouchons et tête decimentation double

^er étage : Injection du laitier en slow flow 300 à 500 1/mmaximum. Reciprocating de la colonne sur 5 m

pendant l'injection du fluid spacer (3 m3)du laitier et pendant toute la chasse si possi¬ble (en surveillant attentivement le M.D. sipoids .^ rapidement, "v la colonne à la coteprévue.En fin de cimentation, ouverture de la DVinférieure circulation pendant 1 H puis toutesles heures durant 1/4 heure pendant 7 heures.

2ème étage : Ciment i amiante ciment Gargenville d : 1,80Cimentation en slow flow 300 à 350 l/mn de1280 à + 550 m.En fin de cimentation, ouverttire de la DVsupérieure et circulation pour éliminer lesurplus de ciment dans l'annulaire 9" 5/8 x 7".

Les diagrammes d'enregistrement de cimentation de société ,

de service devront permettre de lire avec suffisamment de précisionl'augmentation des pressions, au passage des bouchons de chasse au droitde la DV et la fermeture de la DV (1200 à 1500 PSI).

La colonne sera alors posée sur slips en tension à + 10 T.

18 Heures après la cimentation du second étage, le reforagedes DV et du ciment jusqu'à 2 m du sabot sera réalisé.

Enregistrement du CBL VD après 48 heures d'attente de prisede ciment du 1er étage.

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- 53 -

3. ¿i. PROGRAMME DE BOUE

3.4.1, Phases_17;;_l/2_-_12;;_l/4_-_8;;_l/2 -

Boue aux polymèresComposition moyenne de la boue par m3

Phase 17" 1/2 - 12" 1/2

Imco gel

Imcopack HV

Imcopack LV

10 à 15 kg

O , 5 à 1 kg

2 à 3 kg.

Phase 8" 1/2 addition éventuelle de :

MD : 1 à 1,5 1Lvibrikleen : 1,5 à 3 1

RD 200O : QS pour viscosité (1 kg si nécessaire)

CMC : QS pour filtrat (1 kg si nécessaire)

Phase 17" 1/2

d : 1 , 10 maxi

V : 45-50f : 10-12

Phase 12" 1/4

Pendant le forage du cénomanien, traitement de laboue pour obtenir les caractéristiques suivantes lors du forage de1 ' albo aptien .

d .

V

fGels.SolidesSables

Phase 8" 1/

1 , 10 maxi40 - 458-102/1010 % maxi0,5 maxi

'2

Mêmes caractéristiques que précédemment. Pour latraversée du lusitanien, le filtrat sera ramené à 7 maxi.

3.4.2. Phase_6^

Boue au polymère HECComposition par m3 :

- polymère : 3 à 5 kg- sel : QS pour maintenir l'artéslanisme

- 53 -

3. ¿i. PROGRAMME DE BOUE

3.4.1, Phases_17;;_l/2_-_12;;_l/4_-_8;;_l/2 -

Boue aux polymèresComposition moyenne de la boue par m3

Phase 17" 1/2 - 12" 1/2

Imco gel

Imcopack HV

Imcopack LV

10 à 15 kg

O , 5 à 1 kg

2 à 3 kg.

Phase 8" 1/2 addition éventuelle de :

MD : 1 à 1,5 1Lvibrikleen : 1,5 à 3 1

RD 200O : QS pour viscosité (1 kg si nécessaire)

CMC : QS pour filtrat (1 kg si nécessaire)

Phase 17" 1/2

d : 1 , 10 maxi

V : 45-50f : 10-12

Phase 12" 1/4

Pendant le forage du cénomanien, traitement de laboue pour obtenir les caractéristiques suivantes lors du forage de1 ' albo aptien .

d .

V

fGels.SolidesSables

Phase 8" 1/

1 , 10 maxi40 - 458-102/1010 % maxi0,5 maxi

'2

Mêmes caractéristiques que précédemment. Pour latraversée du lusitanien, le filtrat sera ramené à 7 maxi.

3.4.2. Phase_6^

Boue au polymère HECComposition par m3 :

- polymère : 3 à 5 kg- sel : QS pour maintenir l'artéslanisme

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- 54

3.4.3. Traitement de_la ^2ue_avant_cimentation .

Avant les cimentations des colonnes 13" 3/8 - 9" 5/8 et 7",la boue sera traitée de façon à obtenir les caractéristiques suivantes :

d : l,lo

v : 40 ' ,

YV : 6 mini

Le traitement comprendra aussi l'ajout de 2 à 3 kg/m3 debicarbonate de soude pour éviter, dans la mesure du possible lacontamination de la boue par le ciment.

3.4.4. Fluid spacers : ^

Avant les cimentations des colonnes 9" 5/8 et 7", lesfluid spacers de 6 m3 seront injectés en tête du laitier. Ils aurontla composition suivante :

- Flogel : 5 à 7 kg

- Baryte : QS pour d : moyenne entre la densité de la boiEet du ciment.

Caractéristiques à obtenir

d : 1,40 à 1,45

' V : 60 (20 pts au-dessus du V de la boue)

gel : 8 maxi .

o

gel . : 15 maxilO

3.5. PROGRAMME-DE DIAGRAPHIES

3.5.1. - Avant tubage 9" 5/8BGT/GR

3.5.2. - Après cimentation 9" 5/8Thermométrie (unité logging GTH) éventuellement

3.5.3. - Avant tubage 7"BGT/GR/BHC

3.5.4. - Après cimentation 7"CBL/VDL .

3.5.5. - Logs sur le découvert 6"FDC/GRDLL/MSFL

3.5.6. - Pendant les essais de production :

FlowmètreDiamétreurTPTEchantillon de fond + analyse PVT.

- 54

3.4.3. Traitement de_la ^2ue_avant_cimentation .

Avant les cimentations des colonnes 13" 3/8 - 9" 5/8 et 7",la boue sera traitée de façon à obtenir les caractéristiques suivantes :

d : l,lo

v : 40 ' ,

YV : 6 mini

Le traitement comprendra aussi l'ajout de 2 à 3 kg/m3 debicarbonate de soude pour éviter, dans la mesure du possible lacontamination de la boue par le ciment.

3.4.4. Fluid spacers : ^

Avant les cimentations des colonnes 9" 5/8 et 7", lesfluid spacers de 6 m3 seront injectés en tête du laitier. Ils aurontla composition suivante :

- Flogel : 5 à 7 kg

- Baryte : QS pour d : moyenne entre la densité de la boiEet du ciment.

Caractéristiques à obtenir

d : 1,40 à 1,45

' V : 60 (20 pts au-dessus du V de la boue)

gel : 8 maxi .

o

gel . : 15 maxilO

3.5. PROGRAMME-DE DIAGRAPHIES

3.5.1. - Avant tubage 9" 5/8BGT/GR

3.5.2. - Après cimentation 9" 5/8Thermométrie (unité logging GTH) éventuellement

3.5.3. - Avant tubage 7"BGT/GR/BHC

3.5.4. - Après cimentation 7"CBL/VDL .

3.5.5. - Logs sur le découvert 6"FDC/GRDLL/MSFL

3.5.6. - Pendant les essais de production :

FlowmètreDiamétreurTPTEchantillon de fond + analyse PVT.

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- 55 -

3.6. SURVEILLANCE GEOLOGIQUE

Pour la surveillance géologique, il est prévu d'avoirvme cabine géologique avec le matériel et un enregistreur instantanéd'avancement. Un technicien sera chargé de l'étude des déblais et del'établissement du log final. Un géologue supervisera ce travail.

- 55 -

3.6. SURVEILLANCE GEOLOGIQUE

Pour la surveillance géologique, il est prévu d'avoirvme cabine géologique avec le matériel et un enregistreur instantanéd'avancement. Un technicien sera chargé de l'étude des déblais et del'établissement du log final. Un géologue supervisera ce travail.

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- 56

IV - PROGRAMME DE FORAGE DETAILLE PUITS D'INJECTION

- 56

IV - PROGRAMME DE FORAGE DETAILLE PUITS D'INJECTION

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- 57 -

^.1. LOCALISATION

Surface

X . 641 450

Y 137 825

Z Sol 50

Cible

X 641 450

Y 137 825

Z toit du réservoir - 1775 m

¿1.2. SEQUENCES DES OPERATIONS

1

2

3

4

5

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

Un tubage 20" est posé et cimenté à 115 m

Forage en 17 1/2 de 115 m jusqu'à 650 m à l'eau claire

Tubage 13 3/8 à 650 m ; vissage par Weatherford

Cimentation slow flow 480 1/m avec ciment allégé

Pose du 13 3/8 en fond de cave sur collier BE

Woc 8 H puits thermo éventuelle - reforage du ciment à l'eau et forage

à la boue au colpol

Forage en 12 1/4 jusqu'à 1200 m environ

Amorce du build up à 675 m à la turbine jusqu'à 16 - 20° avikc^bent sub

de 2° 30" (gradient l,5''/10m), puis forage stabilisé jusqu'à obtention

d'un angle de 36°

SPE (BGT/GR)

Contrôle de trou

Tubage 9 5/8. vissage par Weatherford

Circulation traitement deboue fabrication fluid spacer

Cimentation premier étage en slow flow ciment allégé

Ouverture DV et circulation 1 H puis 1/4 H toutes les heures penâant

7 h cimentation 2è étage

WOC 8 H puis thermo éventuelle

WOC 8 H traitement de la boue au bicarbonate - montage tête de puits

Forage en 8 1/2 (déviation dirigée) jusque vers 2050 m environ

Contrôle de trou (short trip jusqu'au sabot puis descente au fond)

SPE (BGT - GR - BHC)

Dégerbage tiges 5" et contrôle de trou en gerbant tiges 3 1/2 et DC 4 1/8

Tubage 7" vissage pcir Weatherford

Circulation traitement de boue fabircation fluid spacer

Cimentation le étage

Ouverture DV inf. circulation 1 H puis tous les 1/4 H pendant 7 H - fa¬

brication fluid spacer

Cimentation 2è étage

- 57 -

^.1. LOCALISATION

Surface

X . 641 450

Y 137 825

Z Sol 50

Cible

X 641 450

Y 137 825

Z toit du réservoir - 1775 m

¿1.2. SEQUENCES DES OPERATIONS

1

2

3

4

5

10

11

12

13

14

15

16

17

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Un tubage 20" est posé et cimenté à 115 m

Forage en 17 1/2 de 115 m jusqu'à 650 m à l'eau claire

Tubage 13 3/8 à 650 m ; vissage par Weatherford

Cimentation slow flow 480 1/m avec ciment allégé

Pose du 13 3/8 en fond de cave sur collier BE

Woc 8 H puits thermo éventuelle - reforage du ciment à l'eau et forage

à la boue au colpol

Forage en 12 1/4 jusqu'à 1200 m environ

Amorce du build up à 675 m à la turbine jusqu'à 16 - 20° avikc^bent sub

de 2° 30" (gradient l,5''/10m), puis forage stabilisé jusqu'à obtention

d'un angle de 36°

SPE (BGT/GR)

Contrôle de trou

Tubage 9 5/8. vissage par Weatherford

Circulation traitement deboue fabrication fluid spacer

Cimentation premier étage en slow flow ciment allégé

Ouverture DV et circulation 1 H puis 1/4 H toutes les heures penâant

7 h cimentation 2è étage

WOC 8 H puis thermo éventuelle

WOC 8 H traitement de la boue au bicarbonate - montage tête de puits

Forage en 8 1/2 (déviation dirigée) jusque vers 2050 m environ

Contrôle de trou (short trip jusqu'au sabot puis descente au fond)

SPE (BGT - GR - BHC)

Dégerbage tiges 5" et contrôle de trou en gerbant tiges 3 1/2 et DC 4 1/8

Tubage 7" vissage pcir Weatherford

Circulation traitement de boue fabircation fluid spacer

Cimentation le étage

Ouverture DV inf. circulation 1 H puis tous les 1/4 H pendant 7 H - fa¬

brication fluid spacer

Cimentation 2è étage

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58

30 . Ouverture DV sup circulation 8 H -mise du 7" sur sli^ps à. + 10 T t-.

cimentation 3ème étage - fabrication de la boue au flogel

31 . Forage DV et fill up avec boue précédente traitée au bicarbonate jusqu'à

2 m au dessus du sabot - vérification étanchéité 7"

32 . Forage du réservoir en 6" (boue flogel) jusqu'à 2300 td environ

33 . SPE (voir programme)

34 . Mise en production (voir programme)

35 . Montage tête de puits

58

30 . Ouverture DV sup circulation 8 H -mise du 7" sur sli^ps à. + 10 T t-.

cimentation 3ème étage - fabrication de la boue au flogel

31 . Forage DV et fill up avec boue précédente traitée au bicarbonate jusqu'à

2 m au dessus du sabot - vérification étanchéité 7"

32 . Forage du réservoir en 6" (boue flogel) jusqu'à 2300 td environ

33 . SPE (voir programme)

34 . Mise en production (voir programme)

35 . Montage tête de puits

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- 59 -

4.3. PROGRAMME DE FORAGE

4.3.1. - Phase_17_l/2__(180 -_650)

Forage en 17 1/2 à" l'eau claire jusqu'à pénétration de 20 m dansle Cénomanien (+ 700 m) toteo à chaque fin d'outil. En cas de pertes totalesréduction du débit à 1500 L/mm pas de toteo. Injection de bouchon de bouevisqueuse à chaque ajout de tige.

Outils garniture paramètres :

17 1/2 Hughes R2 CVL : utiliser en priorité N° 454 MR de GMX 1

,' 6 DC 9 1/2

12 DC 7 3/4

Poids 34 t ; disponible pour d=1.10=+19,5t

WOB 15 - 18 T '

RPM 80 - 100

Q 2500 - 280O réduit à 1500 1/mm si pertes

Boue eau claire

4.3.2. - Phase_12_l/4

Amorce du KOP vers 700 m à la turbine et sub de 2,5° jusqu'àobtention d'un angle compris entre 15 et 20° (gradient de build up 1,25°/10 m)

lorsque l'angle sera atteint poursuite du build up au rotary avec une garnituremontante qui sera à définir sur le chantier par servco après concertationavec le Maître d'Oeuvre,

Forage stabilisé en 12 1/4 jusqu'à pénétration de 20 m dans lepurbeckien (+ 1200 m) .

Outil garniture paramètres :

ex GMX 1

12 1/4 Hughes R2 J (3 x 15/32) utiliser en priorité le n° 263 AR

K monel near bit mid body HWDP

DC 9 1/2

DC 7 3/4 , .

WOB )

)

)

Déterminé par serpeo aprèsRPM concertation avec le Maître d'OuvrageQ

Les mesures de déviation seront effectuées par servco

boue : cf programme

- 59 -

4.3. PROGRAMME DE FORAGE

4.3.1. - Phase_17_l/2__(180 -_650)

Forage en 17 1/2 à" l'eau claire jusqu'à pénétration de 20 m dansle Cénomanien (+ 700 m) toteo à chaque fin d'outil. En cas de pertes totalesréduction du débit à 1500 L/mm pas de toteo. Injection de bouchon de bouevisqueuse à chaque ajout de tige.

Outils garniture paramètres :

17 1/2 Hughes R2 CVL : utiliser en priorité N° 454 MR de GMX 1

,' 6 DC 9 1/2

12 DC 7 3/4

Poids 34 t ; disponible pour d=1.10=+19,5t

WOB 15 - 18 T '

RPM 80 - 100

Q 2500 - 280O réduit à 1500 1/mm si pertes

Boue eau claire

4.3.2. - Phase_12_l/4

Amorce du KOP vers 700 m à la turbine et sub de 2,5° jusqu'àobtention d'un angle compris entre 15 et 20° (gradient de build up 1,25°/10 m)

lorsque l'angle sera atteint poursuite du build up au rotary avec une garnituremontante qui sera à définir sur le chantier par servco après concertationavec le Maître d'Oeuvre,

Forage stabilisé en 12 1/4 jusqu'à pénétration de 20 m dans lepurbeckien (+ 1200 m) .

Outil garniture paramètres :

ex GMX 1

12 1/4 Hughes R2 J (3 x 15/32) utiliser en priorité le n° 263 AR

K monel near bit mid body HWDP

DC 9 1/2

DC 7 3/4 , .

WOB )

)

)

Déterminé par serpeo aprèsRPM concertation avec le Maître d'OuvrageQ

Les mesures de déviation seront effectuées par servco

boue : cf programme

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- 60

4.3,3. - Phase 8 1/2

Forage stabilisé en 8 1/2 jusqu'à pénétration d'une dizaine de mètresdans le Dogger (+ 2050 m) mesures de déviation par servco.

Outils garniture paramètres

Outil 81/2R3J 3x 14/32 dans le portlandien et kimér idgien

8 1/2 R 3 J 3 X 14/32 3 x 15/32 dans le lusitanien

8 1/2 J 22J 3 X 14/32 dans 1 ' oxf ordo-callovien

Near bit mid body K monel, stabilisation anticollage, DC 6 1/4, HWDP,

- paramètres déterminés par s-ervco

A titre indicatif les paramètres suivants ont été adopté sur GMX 1

(vertical)

Portlandien WOB : 15 ^ 18 T

R P M r 100

Q : 1600

Kimméridgien WOB r 15 - 18 T '

Lusitanien

R P

Q.

. Pn

WBO :

RPM :

Q ^

Pn :

M :

15

75

80 -

1500

75 -

T

- 80

100

^.1600

80 b

1500 - 1700

85

Oxfordien Callovi-en WOB r 15 ^ 18 T

RPM r 70 ^ 80

Q : 1400 - 1500

P n : 95

* En cas de bourrage dans le callovien réduction du poidsBoue cf programme

- 60

4.3,3. - Phase 8 1/2

Forage stabilisé en 8 1/2 jusqu'à pénétration d'une dizaine de mètresdans le Dogger (+ 2050 m) mesures de déviation par servco.

Outils garniture paramètres

Outil 81/2R3J 3x 14/32 dans le portlandien et kimér idgien

8 1/2 R 3 J 3 X 14/32 3 x 15/32 dans le lusitanien

8 1/2 J 22J 3 X 14/32 dans 1 ' oxf ordo-callovien

Near bit mid body K monel, stabilisation anticollage, DC 6 1/4, HWDP,

- paramètres déterminés par s-ervco

A titre indicatif les paramètres suivants ont été adopté sur GMX 1

(vertical)

Portlandien WOB : 15 ^ 18 T

R P M r 100

Q : 1600

Kimméridgien WOB r 15 - 18 T '

Lusitanien

R P

Q.

. Pn

WBO :

RPM :

Q ^

Pn :

M :

15

75

80 -

1500

75 -

T

- 80

100

^.1600

80 b

1500 - 1700

85

Oxfordien Callovi-en WOB r 15 ^ 18 T

RPM r 70 ^ 80

Q : 1400 - 1500

P n : 95

* En cas de bourrage dans le callovien réduction du poidsBoue cf programme

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- -61 -

4,3,4. - Phase_6;;

Forage stabilisé en 6" j-usqu'aii niveau des marnes à Ostres (.+ 2300 m)

Outil garniture paramètres

6" Hughes J 33 3 x 14/32

Near bit ini"û body K -monel

DC 4 1/8 .

WOB : 6 à 10 T

RPM : 80

Q : 1000 1/mm

Boue cf programme .

4.4. TUBAGES ET CIMENTATIONS

4,4.1, - TUBAGE 13 3/8

GD : 13 3/8

Grade : K 55 .

Poids : 54,5 Ibs/ft

Filetage : STC 8 rd

Equipements : 1 sabot à bille

1 float collar 1 joint au dessus du sabot

10 centreurs stêindards 17 1/2 x 13 3/8

2 centreurs positifs dans le 20"

14 stop rings

Clef Weatherford

Cimentation : ciment CPJ 45 allégé (d = 1,75)

cimentation conventionnelle (un seul étage en slow900 à 1000 1/mm maxi. Injection d'un fluid spacer de 6 cm3en tête du laitier

Cimentation complémentaire par 1 ' annulaire en cas de perte .

On prévoira un collier BE 13 3/8 *.en fond de cave ainsiqu'un tube de mëmoeuvre.

après 18 H de séchage thermo éventuelle en cas de pertes

4.4.2, - Tî^age_9_5/8

O D : 9 5/8

Grade : K 55

Poids : 36 Ibs/ft

Filetage : STC 8 nd

* Mise en place du collier BE de suite après la cimentation

- -61 -

4,3,4. - Phase_6;;

Forage stabilisé en 6" j-usqu'aii niveau des marnes à Ostres (.+ 2300 m)

Outil garniture paramètres

6" Hughes J 33 3 x 14/32

Near bit ini"û body K -monel

DC 4 1/8 .

WOB : 6 à 10 T

RPM : 80

Q : 1000 1/mm

Boue cf programme .

4.4. TUBAGES ET CIMENTATIONS

4,4.1, - TUBAGE 13 3/8

GD : 13 3/8

Grade : K 55 .

Poids : 54,5 Ibs/ft

Filetage : STC 8 rd

Equipements : 1 sabot à bille

1 float collar 1 joint au dessus du sabot

10 centreurs stêindards 17 1/2 x 13 3/8

2 centreurs positifs dans le 20"

14 stop rings

Clef Weatherford

Cimentation : ciment CPJ 45 allégé (d = 1,75)

cimentation conventionnelle (un seul étage en slow900 à 1000 1/mm maxi. Injection d'un fluid spacer de 6 cm3en tête du laitier

Cimentation complémentaire par 1 ' annulaire en cas de perte .

On prévoira un collier BE 13 3/8 *.en fond de cave ainsiqu'un tube de mëmoeuvre.

après 18 H de séchage thermo éventuelle en cas de pertes

4.4.2, - Tî^age_9_5/8

O D : 9 5/8

Grade : K 55

Poids : 36 Ibs/ft

Filetage : STC 8 nd

* Mise en place du collier BE de suite après la cimentation

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- 62 -

équipement : 1 float shoe

1 float collar 1 joint au dessus du sabot

1 DV vers 50O m

50 centreurs standards 9 5/8 x 12 1/4 ST3

2 centreurs positifs 9 5/8 x 13 3/8

9 gratteurs CTI A

- 108 Stop collar JHS

Clef table Weatherford

cimentation :

Cimentation sur le principe du double étage avec tête double

et bouchons ciment CPJ 45 allégé (d : 1,75). Injection d'un fluid spacer de6 m3 en tête du laitier passé en slow flow 800 1 -f mn maxi. Reciprocatingsur 5 m pendant l'injection du laitier en fin de chasse ouverture de laDV circulation pendant 1 H pour éliminer le surplus de ciment de l'annulaire9 5/8 X 13 3/8. Pose de la colonne sur slips à + 15 T. Woc 7 H cimentation .

2è étage.Cimentation CPA 45 allégéVolume estimé 54 m3 dont laitier de tête 50 m3 a d = 1,70

laitier de queue 4 m3 a d = 1,80

4.4.3. - îybage_7'

OD

Gradepoidsfiletage

7"K 5526 Ibs/ftVAM

Equipement : 1 guide shoe

1 fill up collar à 2 joints du sabot

1 DV inférieure vers 1280 m

1 DV supérieur vers 680

110 centreurs spirals 7" x 8 1/2 SP 1

9 gratteurs CTIA

35 centreurs positifs 7" x 9 5/8 PO 2

302 stop collars J5H ;

Remarque : Dans le découvert les tubes seront descendus au rythme de

13 T/mm maxi avec circulation géologique de 1 H au toit et à la

base du lusitanien.

- 62 -

équipement : 1 float shoe

1 float collar 1 joint au dessus du sabot

1 DV vers 50O m

50 centreurs standards 9 5/8 x 12 1/4 ST3

2 centreurs positifs 9 5/8 x 13 3/8

9 gratteurs CTI A

- 108 Stop collar JHS

Clef table Weatherford

cimentation :

Cimentation sur le principe du double étage avec tête double

et bouchons ciment CPJ 45 allégé (d : 1,75). Injection d'un fluid spacer de6 m3 en tête du laitier passé en slow flow 800 1 -f mn maxi. Reciprocatingsur 5 m pendant l'injection du laitier en fin de chasse ouverture de laDV circulation pendant 1 H pour éliminer le surplus de ciment de l'annulaire9 5/8 X 13 3/8. Pose de la colonne sur slips à + 15 T. Woc 7 H cimentation .

2è étage.Cimentation CPA 45 allégéVolume estimé 54 m3 dont laitier de tête 50 m3 a d = 1,70

laitier de queue 4 m3 a d = 1,80

4.4.3. - îybage_7'

OD

Gradepoidsfiletage

7"K 5526 Ibs/ftVAM

Equipement : 1 guide shoe

1 fill up collar à 2 joints du sabot

1 DV inférieure vers 1280 m

1 DV supérieur vers 680

110 centreurs spirals 7" x 8 1/2 SP 1

9 gratteurs CTIA

35 centreurs positifs 7" x 9 5/8 PO 2

302 stop collars J5H ;

Remarque : Dans le découvert les tubes seront descendus au rythme de

13 T/mm maxi avec circulation géologique de 1 H au toit et à la

base du lusitanien.

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- 63

Cimentation

Ciment : amiante ciment gargenville d = 1,80Cimentation en trois ' étages avec bouchons et tête de cimentation double1er étage : injection du laitier en slow flow 300 à 350 1/m maximumReciprocating de la colonne sur 5 m 'pendant l'injection du fluid spacer(3 m3) du laitier et pendant toute la chasse si possible (en surveillantattentivement le M.D. si poids descendre rapidment la colonne à la coteprévue) en fin de cimentation ouverture de la DV inférieure circulationpendant 1 H puis toutes les heures durant 1/4 d'heure pendant 7 heures.

2è étage et 3è étage

Ciment : ami ante ciment gargenville d = 1,80 cimentation en slow flow300 à 350 l/mn de 1280 à + 550 m en fin de cimentation ouverture de la DVsupérieure et circulation pendant 1 h pour éliminer le surplus de cimentdans l'annulaire 9 5/8 x 7". Woc 7 h cimentation 3è étage.

Les diagrammes d'enregistrement de cimentation de DOWELL devront permettrede lire avec suffisamment de précision l'augmentation des pressions, au passage desbouchons de chasse au droit de la DV et la fermeture de la DV (1200 à 1500 PSI).

La colonne sera alors posée sur slips en tension à + 10 T.

18 H 00 après cimentation du second étage le reforage des DV et du cimentjusqu'à 2 m du sabot sera réalisé.

Enregistrement du CBL VD après 48 H d'attente de prise de ciment du1er étage.

4.5. PROGRAMME DE BOUE

4.5.1. Phase 17 1/2

Eau claire - injection de bouchons visqueux aux ajouts de tige.

4.5.2. Phas£f_12_l/4_-_8_l/2

Boue aux polymères

Composition moyenne de la boue par m3

Phase 17 1/2 - 12 1/2

Imco gel

Celpol R

Celpol SL

MD

Lubrikleen

IO à 15 kg

0,5 à 1 kg

2 à 3 kg

1 à 1,5 1

1,5 à 3 1

- 63

Cimentation

Ciment : amiante ciment gargenville d = 1,80Cimentation en trois ' étages avec bouchons et tête de cimentation double1er étage : injection du laitier en slow flow 300 à 350 1/m maximumReciprocating de la colonne sur 5 m 'pendant l'injection du fluid spacer(3 m3) du laitier et pendant toute la chasse si possible (en surveillantattentivement le M.D. si poids descendre rapidment la colonne à la coteprévue) en fin de cimentation ouverture de la DV inférieure circulationpendant 1 H puis toutes les heures durant 1/4 d'heure pendant 7 heures.

2è étage et 3è étage

Ciment : ami ante ciment gargenville d = 1,80 cimentation en slow flow300 à 350 l/mn de 1280 à + 550 m en fin de cimentation ouverture de la DVsupérieure et circulation pendant 1 h pour éliminer le surplus de cimentdans l'annulaire 9 5/8 x 7". Woc 7 h cimentation 3è étage.

Les diagrammes d'enregistrement de cimentation de DOWELL devront permettrede lire avec suffisamment de précision l'augmentation des pressions, au passage desbouchons de chasse au droit de la DV et la fermeture de la DV (1200 à 1500 PSI).

La colonne sera alors posée sur slips en tension à + 10 T.

18 H 00 après cimentation du second étage le reforage des DV et du cimentjusqu'à 2 m du sabot sera réalisé.

Enregistrement du CBL VD après 48 H d'attente de prise de ciment du1er étage.

4.5. PROGRAMME DE BOUE

4.5.1. Phase 17 1/2

Eau claire - injection de bouchons visqueux aux ajouts de tige.

4.5.2. Phas£f_12_l/4_-_8_l/2

Boue aux polymères

Composition moyenne de la boue par m3

Phase 17 1/2 - 12 1/2

Imco gel

Celpol R

Celpol SL

MD

Lubrikleen

IO à 15 kg

0,5 à 1 kg

2 à 3 kg

1 à 1,5 1

1,5 à 3 1

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- 64

RD 2000

CMC

Defoamer

QS pour viscosité (1 kg si nécessaire)

QS pour filtrat (1 kg si nécessaire)

QS pour débourrage

Phase 12 1/4

Pendant le forage du cénomanien 1:raitement de la boue pour obtenir les

caractéristiques suivantes lors du forage de l'albo aptien.

d

V

F

Gels

Solides

Sables

Phase 8 1/2

1 , 10 maxi

40 - 45

5 à 8 maxi

1/10

10 % maxi

0,8 maxi

Mêmes caractéristiques que précédemment pour la traversée du Lusitanien,le filtrat sera ramené à 5 maxi et la lubrification sera augmentée.

4.5.3. - Phase_6;;

Boue au Flogel

Composition par m3

Flogel : 3 à 5 kg

Sel : QS pour maintenir l'artéslanisme

4.5.4. - Iriiîê!P§DÎ_d§_lÊ_^2y§_Êy§DÎ_£i!rêDΧÎl2D

Avant les cimentations des colonnes 13 3/8 et 9 5/8 et 7" la boue seratraitée de façon à obtenir les caractéristiques suivantes :

d

V

YV

: 1,10

: 40

: 6 mini

Le traitement comprendra aussi l'ajout de 2 à 3 kg/m3 de bicarbonate desoude pour éviter dans la mesure du possible la contamination de la boue par leciment.

4.5.5. - F]uid_sgaçers

Avant les cimentations des colonnes 9 5/8 et 7" des fluid spacers de 6 m3seront injectés en tête du laitier. Ils auront la composition suivante :

Flogel : 5 à 7 kg

Baryte : QS pour d = moyenne entre la densité de la boue et du ciment.

- 64

RD 2000

CMC

Defoamer

QS pour viscosité (1 kg si nécessaire)

QS pour filtrat (1 kg si nécessaire)

QS pour débourrage

Phase 12 1/4

Pendant le forage du cénomanien 1:raitement de la boue pour obtenir les

caractéristiques suivantes lors du forage de l'albo aptien.

d

V

F

Gels

Solides

Sables

Phase 8 1/2

1 , 10 maxi

40 - 45

5 à 8 maxi

1/10

10 % maxi

0,8 maxi

Mêmes caractéristiques que précédemment pour la traversée du Lusitanien,le filtrat sera ramené à 5 maxi et la lubrification sera augmentée.

4.5.3. - Phase_6;;

Boue au Flogel

Composition par m3

Flogel : 3 à 5 kg

Sel : QS pour maintenir l'artéslanisme

4.5.4. - Iriiîê!P§DÎ_d§_lÊ_^2y§_Êy§DÎ_£i!rêDΧÎl2D

Avant les cimentations des colonnes 13 3/8 et 9 5/8 et 7" la boue seratraitée de façon à obtenir les caractéristiques suivantes :

d

V

YV

: 1,10

: 40

: 6 mini

Le traitement comprendra aussi l'ajout de 2 à 3 kg/m3 de bicarbonate desoude pour éviter dans la mesure du possible la contamination de la boue par leciment.

4.5.5. - F]uid_sgaçers

Avant les cimentations des colonnes 9 5/8 et 7" des fluid spacers de 6 m3seront injectés en tête du laitier. Ils auront la composition suivante :

Flogel : 5 à 7 kg

Baryte : QS pour d = moyenne entre la densité de la boue et du ciment.

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- 65 -

Caractéristiques à obtenir

d : 1,40 à 1,45 : moyenne entre d boue et d ciment

V : 60 (20 + pts au-dessus du V de la boue : moyenne entre V boueet V ciment

gel : 8 maxi' o

gel. : 15 maxilo

Une rhéologie sera faite par le technicien - boue sur le laitier avantchaque cimentation.

4.6, PROGRAMME DE DIAGRAPHIES

4.6.1. - Après cimentation 13 3/8Thermométrie en cas de non retour du ciment en surface (unitélogging GTH)

4.6.2. - Avant tubage 9 5/8BCT/GR

4.6.3. - Après cimentation 9 5/8Thermométrie (unité logging GTH)

4.6.4. - Avant tubage 7"GR/BHC - CDR/CAL

fl c. c ~ Après cimentation 7"^°'^' CBL/VDL

4.6.6. - Logs sur le découvert 6 "FDC/GRDLL/MSFL

4.6.7. - Pendant les essais de productionflowmètreDiamétreurTPT

Echantillon de fond + analyse PVT

- 65 -

Caractéristiques à obtenir

d : 1,40 à 1,45 : moyenne entre d boue et d ciment

V : 60 (20 + pts au-dessus du V de la boue : moyenne entre V boueet V ciment

gel : 8 maxi' o

gel. : 15 maxilo

Une rhéologie sera faite par le technicien - boue sur le laitier avantchaque cimentation.

4.6, PROGRAMME DE DIAGRAPHIES

4.6.1. - Après cimentation 13 3/8Thermométrie en cas de non retour du ciment en surface (unitélogging GTH)

4.6.2. - Avant tubage 9 5/8BCT/GR

4.6.3. - Après cimentation 9 5/8Thermométrie (unité logging GTH)

4.6.4. - Avant tubage 7"GR/BHC - CDR/CAL

fl c. c ~ Après cimentation 7"^°'^' CBL/VDL

4.6.6. - Logs sur le découvert 6 "FDC/GRDLL/MSFL

4.6.7. - Pendant les essais de productionflowmètreDiamétreurTPT

Echantillon de fond + analyse PVT

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- 66 -

V - TETE DE PUITS

- 66 -

V - TETE DE PUITS

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- 67 -

5.1, PHASE 17 1/2

Le tubage 20 est remonté jusqu'à la surface et servira de tube-fontaine.Prévoir un piquage 2" pour remplissage.

5. 2,...PHASE 12 1/4

Le tubage 13 3/8 sera remonté jusqu'à la surface et servira de tube- fontaine.Prévoir un piquage 2" pour remplissage.

5. 3. .PHASE 8 1/2-

La base du manchon du dernier tube 9 5/8 sera positionné en 1 , 60 m sous leniveau du sol (comme sur GMX 1) soit à 0,40 m du fond de cave.

0.40casing head 11" x 3000

T 9 5/8

EMPILAGE

Casing head + adapter 11" x 30OO x 13 5/8 x 2000 + mud cross + spoold'air lift + Hydril + tube fontaine. Test des B.O.P. à 80 kg/cm2 et de la colonneà 25 kg/cm2

5.4. PHASE 6

Remplacer rams 5" par rams 3 1/2

- 67 -

5.1, PHASE 17 1/2

Le tubage 20 est remonté jusqu'à la surface et servira de tube-fontaine.Prévoir un piquage 2" pour remplissage.

5. 2,...PHASE 12 1/4

Le tubage 13 3/8 sera remonté jusqu'à la surface et servira de tube- fontaine.Prévoir un piquage 2" pour remplissage.

5. 3. .PHASE 8 1/2-

La base du manchon du dernier tube 9 5/8 sera positionné en 1 , 60 m sous leniveau du sol (comme sur GMX 1) soit à 0,40 m du fond de cave.

0.40casing head 11" x 3000

T 9 5/8

EMPILAGE

Casing head + adapter 11" x 30OO x 13 5/8 x 2000 + mud cross + spoold'air lift + Hydril + tube fontaine. Test des B.O.P. à 80 kg/cm2 et de la colonneà 25 kg/cm2

5.4. PHASE 6

Remplacer rams 5" par rams 3 1/2

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- 69 -

TETE DE PUITS DE PRODUCTION

410

122

TUBE DE PRODUCTION (7")

CHAMBRE DE POMPAGE ,.

(13"3/8)

SCHEMA I

- 69 -

TETE DE PUITS DE PRODUCTION

410

122

TUBE DE PRODUCTION (7")

CHAMBRE DE POMPAGE ,.

(13"3/8)

SCHEMA I

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- 70 -

TETE DE PUITS D INJECTION

400

?00

.510

TUBAGE 7

TUBAGE s" 5/8

SCHEMA 2

- 70 -

TETE DE PUITS D INJECTION

400

?00

.510

TUBAGE 7

TUBAGE s" 5/8

SCHEMA 2

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- 71 -

Repire

100

101

102

103

104

105

106

107

IOB

110

111

120

121

500

. 501

502

510

520

521

522

600

604

Quancitë

1

1

1

1

2

1

2

2

2

1

1

1

1

1

2

1

1

. 1

1

1

3

I

I

DESICNATION

Tête de puits 13"3/e VAH X bride 3"5/6 - 3 000 munie de 2

sorties laterales 4" LPF, devair periDCttre de continuer leforage en 12" 1/4

Réduction i" LPM par bride i" 300 RTJ ounie d'un filetage1/2" CAZ cylindrique femelle

Réduction 4" LPH par bride 4" 300 RTJ

Bride pleine 13"5/8 - 3 000

Bride pleine i" 300 RTJ

Jeu de tiges filetées avec ëcrous pour- bride 13"5/B - 3 000

Joint annulaire R 57

Jeu de tiges filetees avec ¿crous pour bride 4" 300 RTJi

Bouchons 4" LPM - 3 000-6 000 i tête hexagonale

Casing hanger avec jeu de coins et systime d'ëtanch£it£ poursuspendre 2 000 oitres de casing 7" API 26 Ibs/Ft

Casing hanger avec jeu de coins et système d'£tanch£it£ poursuspendre 1 000 mètres de casing 9"5/8 PAI 36 Ibs/Fc

Robinet Bourdon RBL 154 1 boisseau, filetage 1/2" gaz

Manomètre Bourdon MIX 0 100 type 0 0-10 bars, 1/2" cylindrique

Casing head 9 5/8 API x bride II" -.3 000 munie d'une aorticlatérale 2" LPF, permettant la continuation du forage cn B"l/:et de deux piquages 1/2" s*^ cylindriques femelles

Joint annulaire R 53

Jeu de tiges filecCes avec écrous pour bride H" - 3 000

Casing hanger avec jeu de coins et système d'£tanch£it£ poursuspendre 2 200 m de casing 7" VAM 26 Ibs/Ft

. Réduction 2" LPM x 1/2" gaz cylindrique femelle

Bouchon 2" LPH i tête hexagonale

Robinet BOURDON RPL 576 i pointeau en acier muni d'un filetage1/2" gtz

Adaptateur bride 11" 3 000 par bride 6" ANSI 600 RTJ, muni dejoints toriques FMC faisant écanchficf sur un tubage 7 et de2 piquages 1/2" gaz cylindrique femelle

Manomètre BOURBON MIX 0 100, type D. 0-100 bars 1/2" gazcylindrique

- 71 -

Repire

100

101

102

103

104

105

106

107

IOB

110

111

120

121

500

. 501

502

510

520

521

522

600

604

Quancitë

1

1

1

1

2

1

2

2

2

1

1

1

1

1

2

1

1

. 1

1

1

3

I

I

DESICNATION

Tête de puits 13"3/e VAH X bride 3"5/6 - 3 000 munie de 2

sorties laterales 4" LPF, devair periDCttre de continuer leforage en 12" 1/4

Réduction i" LPM par bride i" 300 RTJ ounie d'un filetage1/2" CAZ cylindrique femelle

Réduction 4" LPH par bride 4" 300 RTJ

Bride pleine 13"5/8 - 3 000

Bride pleine i" 300 RTJ

Jeu de tiges filetées avec ëcrous pour- bride 13"5/B - 3 000

Joint annulaire R 57

Jeu de tiges filetees avec ¿crous pour bride 4" 300 RTJi

Bouchons 4" LPM - 3 000-6 000 i tête hexagonale

Casing hanger avec jeu de coins et systime d'ëtanch£it£ poursuspendre 2 000 oitres de casing 7" API 26 Ibs/Ft

Casing hanger avec jeu de coins et système d'£tanch£it£ poursuspendre 1 000 mètres de casing 9"5/8 PAI 36 Ibs/Fc

Robinet Bourdon RBL 154 1 boisseau, filetage 1/2" gaz

Manomètre Bourdon MIX 0 100 type 0 0-10 bars, 1/2" cylindrique

Casing head 9 5/8 API x bride II" -.3 000 munie d'une aorticlatérale 2" LPF, permettant la continuation du forage cn B"l/:et de deux piquages 1/2" s*^ cylindriques femelles

Joint annulaire R 53

Jeu de tiges filecCes avec écrous pour bride H" - 3 000

Casing hanger avec jeu de coins et système d'£tanch£it£ poursuspendre 2 200 m de casing 7" VAM 26 Ibs/Ft

. Réduction 2" LPM x 1/2" gaz cylindrique femelle

Bouchon 2" LPH i tête hexagonale

Robinet BOURDON RPL 576 i pointeau en acier muni d'un filetage1/2" gtz

Adaptateur bride 11" 3 000 par bride 6" ANSI 600 RTJ, muni dejoints toriques FMC faisant écanchficf sur un tubage 7 et de2 piquages 1/2" gaz cylindrique femelle

Manomètre BOURBON MIX 0 100, type D. 0-100 bars 1/2" gazcylindrique

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- 72 -

Vannes maîtresses

Repère

AOO

AOl

A02

Quantité

2

3

2

DESIGNATION

Vanne 6" ANSI 600 RTJ à passageintégral munie de 2 brides 6"RTJ et de 2 robinets 1/2" NPTen acier inoxydable de pompe etde circulation

Joint annulaire R A5

Jeu de tiges filetées avec 2

écrans pour bride 6" 600 RTJ

YËBEÊ_lËÎÊIËl£_^y_Eyiîi_^£_production

Repère

122

Quantité

2

' /

DESIGNATION , .

Vanne A" ANSI 300 RTJ â passageintégral

Joint torique R 37

- 72 -

Vannes maîtresses

Repère

AOO

AOl

A02

Quantité

2

3

2

DESIGNATION

Vanne 6" ANSI 600 RTJ à passageintégral munie de 2 brides 6"RTJ et de 2 robinets 1/2" NPTen acier inoxydable de pompe etde circulation

Joint annulaire R A5

Jeu de tiges filetées avec 2

écrans pour bride 6" 600 RTJ

YËBEÊ_lËÎÊIËl£_^y_Eyiîi_^£_production

Repère

122

Quantité

2

' /

DESIGNATION , .

Vanne A" ANSI 300 RTJ â passageintégral

Joint torique R 37

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- 73 -

Vannes maîtresses

Repère

AOO

AO]

A02

Quantité

2

3

2

DESIGNATION

Vanne 6" ANSI 600 RTJ à passageintégral munie de 2 brides 6"RTJ et de 2 robinets 1/2" NPTen acier inoxydable de pompe etde circulation

Joint annulaire R A5

Jeu de tiges filetées 'avec 2écrans pour bride 6" 600 RTJ

Y§5B£_ii££E§i£_du^uits_de_groduction

Repère

122

Quantité

2

A

DESIGNATION

Vanne A" ANSI 300 RTJ à passageintégral

Joint torique R 37

- 73 -

Vannes maîtresses

Repère

AOO

AO]

A02

Quantité

2

3

2

DESIGNATION

Vanne 6" ANSI 600 RTJ à passageintégral munie de 2 brides 6"RTJ et de 2 robinets 1/2" NPTen acier inoxydable de pompe etde circulation

Joint annulaire R A5

Jeu de tiges filetées 'avec 2écrans pour bride 6" 600 RTJ

Y§5B£_ii££E§i£_du^uits_de_groduction

Repère

122

Quantité

2

A

DESIGNATION

Vanne A" ANSI 300 RTJ à passageintégral

Joint torique R 37

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- 74 -

VI - PROGRAMME DE MISE EN PRODUCTION

- 74 -

VI - PROGRAMME DE MISE EN PRODUCTION

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- 75 -

GMX 1

6.1. PUITS DE PRODUCTION

6.1.1. PERIOVE VE REALISATION

6.1.2. CARACTERISTIQUES VU RESERt/QIR ET VU FORAGE

6.1 .2.1. Ré^e^uoi^

Calcaire oolithique du Dogger.

6.1.2.2. FqAaQZ

Tubage mixte : 13 3/8 jusqu'à 340 m, 9 5/8 jusqu'à 647,7 m

Tubage 7" sabot prévu à 1750 m, effectif :

Découvert 6" fond prévu à 1950 m, effectif :

Boue de completion : HEC et bactéricide (plus sel pour densité).

Diagraphies de réservoir : GR/cal - FDC - avec CNL éventuelcal - DLL/MSFL

Completion : trou ouvert.

6.1.3. CONTRAINTES V ENVIRONNEMENT

6.1.3.1. CaAacíéA¿ó^2aeA_g^éu£xeó_ de_£ ' zau QzqthzfvmJLz

Temp . fond

Salinité

Débit artésien

Artésianisme

76° C

35 g/l

100 m3/h

6 ± 2 bars,

6.1.3.2. Evacuation dz6 zaux d'z¿¿ai

Volume total produit estimé à 4 000 m3.

Evacuation des eaux dans \m étang, distant de 200 m, par une conduitetype Manesman, pompage avec pompe immergée dans le petit bourbier, capacité140 m3/h (fournitures contracteur citernage) .

- 75 -

GMX 1

6.1. PUITS DE PRODUCTION

6.1.1. PERIOVE VE REALISATION

6.1.2. CARACTERISTIQUES VU RESERt/QIR ET VU FORAGE

6.1 .2.1. Ré^e^uoi^

Calcaire oolithique du Dogger.

6.1.2.2. FqAaQZ

Tubage mixte : 13 3/8 jusqu'à 340 m, 9 5/8 jusqu'à 647,7 m

Tubage 7" sabot prévu à 1750 m, effectif :

Découvert 6" fond prévu à 1950 m, effectif :

Boue de completion : HEC et bactéricide (plus sel pour densité).

Diagraphies de réservoir : GR/cal - FDC - avec CNL éventuelcal - DLL/MSFL

Completion : trou ouvert.

6.1.3. CONTRAINTES V ENVIRONNEMENT

6.1.3.1. CaAacíéA¿ó^2aeA_g^éu£xeó_ de_£ ' zau QzqthzfvmJLz

Temp . fond

Salinité

Débit artésien

Artésianisme

76° C

35 g/l

100 m3/h

6 ± 2 bars,

6.1.3.2. Evacuation dz6 zaux d'z¿¿ai

Volume total produit estimé à 4 000 m3.

Evacuation des eaux dans \m étang, distant de 200 m, par une conduitetype Manesman, pompage avec pompe immergée dans le petit bourbier, capacité140 m3/h (fournitures contracteur citernage) .

Page 82: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 76

6.1.4. INSTALLATION V ESSAI

6.1.4.1. Pfyiducrtiqn

Air lift.

^l'4.2. In¿rta£IaXlqn,__de^cJiÁ

Dispositif du GB 800, voir schéma de principe.

Tête d'air lift, elle permet l'injection d'air et la descente dessondes de fond.

Tiges 3 1/2, elles servent de ligne d'injection d'air.

Le flow line collecte l'émulsion en sortie de puits après la sortiedu séparateur, l 'eau passe dans le bac de mesure où le débit est mesuré avec un dé¬versoir.

De là, l'eau va dans le bac de reprise (un des bacs à boue de l'appa¬reil de forage) d'où elle est évacuée à l'étang par l'intennédiaire du bourbier.

Détail voir annexe 1 .

Moyens de mesure :

- 1 manomètre 0 - 40 b

- 2 manomètres 0 - 10 b

- 2 manomètres 0 - 25 b sur tête d'injection d'air

- 2 manomètres 0 - 6 b sur sortie tête de puits

- 2 thermomètres 0 - 100° C sur la flow line

- 4 vannes boisseau, 100 joints cuivre

- 2 vannes haute pression

- 1 déversoir pour les mesures de débit (bac normalisé)

- 1 limmigraphe pour mesures des niveaux au déversoir (éventuel) : SGR

- 1 sonde de niveau : SGR

- 2 flacons d'échantillonnage (vol 2 1)

- 76

6.1.4. INSTALLATION V ESSAI

6.1.4.1. Pfyiducrtiqn

Air lift.

^l'4.2. In¿rta£IaXlqn,__de^cJiÁ

Dispositif du GB 800, voir schéma de principe.

Tête d'air lift, elle permet l'injection d'air et la descente dessondes de fond.

Tiges 3 1/2, elles servent de ligne d'injection d'air.

Le flow line collecte l'émulsion en sortie de puits après la sortiedu séparateur, l 'eau passe dans le bac de mesure où le débit est mesuré avec un dé¬versoir.

De là, l'eau va dans le bac de reprise (un des bacs à boue de l'appa¬reil de forage) d'où elle est évacuée à l'étang par l'intennédiaire du bourbier.

Détail voir annexe 1 .

Moyens de mesure :

- 1 manomètre 0 - 40 b

- 2 manomètres 0 - 10 b

- 2 manomètres 0 - 25 b sur tête d'injection d'air

- 2 manomètres 0 - 6 b sur sortie tête de puits

- 2 thermomètres 0 - 100° C sur la flow line

- 4 vannes boisseau, 100 joints cuivre

- 2 vannes haute pression

- 1 déversoir pour les mesures de débit (bac normalisé)

- 1 limmigraphe pour mesures des niveaux au déversoir (éventuel) : SGR

- 1 sonde de niveau : SGR

- 2 flacons d'échantillonnage (vol 2 1)

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- 77

6.1.5. VEVELOPPEMENT VU RESERVOIR

6.1.5.1. Vûlumzi, dz ¿znvlcz

Volume du 13 3/8 (80 1/m)

Volume du 7" (20 1/m)

Volume de découvert (18,2 1/m)

Tiges à 15 m du fond : vol. intérieur (3>85 1/m)

Tiges à 15 m du fond vol métal dans découvert(2,35 1/m)

Volume annulaire découvert pour mise en placeHCL (sécurité 50 m, soit 135 m à 12 1/m)

Prévus m3

29,6*/ **27 /

3,6

5,5

négligé

1,6

Effectifs

NB : ± Coupe à 400 m

** Coupe à m

6.1.5.2. Nzrttoi^aQZ du_fLZ¿zn.\}o¿fi [puirt!, antz¿¿zn]

suivre .

Vanne haute pression 8" en tête de puits, disponible procédure à

6.1.5.2.1. : Montage flow- line avec vanne haute pression, montagede la ligne d'évacuation des eaux d'essai, (plus vannebasse pression en aval) .

6.1.5.2.2. : Descente garniture air-lift 3 1/2 â 100 m et dégorgement4 h, avec mesure : P. injection air- température flow 1.Débits déversoir, repérage des côtes émulseur.

6.1.5.2.3. : Contrôle du débit artésien au déversoir : 3 h.

6.1.5.2.4. : Descente garniture acidification à 15 m du fond, composition de bas en haut : tiges d'air lift 3 1/2, soupape,tiges 3 1/2.'

6.1.5.2.5. : Acidification détail voir annexe 3 : après l'opérationpompage de 10 m3 d'eau douce pour nettoyage de la pompe+ flexible, eau à envoyer au bourbier.

6.1.5.2.6. : Dégorgement artésien 4 h (ou air lift par réduction perforée) .

6.1.5.2.7. : Remontée de la garniture d'acidification jusqu'à la garniture d'air-lift 3 1/2, positionnement 50 m sous le ni¬veau de la saiomure (par sonde E) et montage sur la têted'air- lift d'ime vanne boisseau et d'un mano 0-25 b.

6.1.5.2.8. : Dégorgement du puits par air-lift : 4 h.

5.1.5.2.9. : mesure du débit artésien : 3 h.

- 77

6.1.5. VEVELOPPEMENT VU RESERVOIR

6.1.5.1. Vûlumzi, dz ¿znvlcz

Volume du 13 3/8 (80 1/m)

Volume du 7" (20 1/m)

Volume de découvert (18,2 1/m)

Tiges à 15 m du fond : vol. intérieur (3>85 1/m)

Tiges à 15 m du fond vol métal dans découvert(2,35 1/m)

Volume annulaire découvert pour mise en placeHCL (sécurité 50 m, soit 135 m à 12 1/m)

Prévus m3

29,6*/ **27 /

3,6

5,5

négligé

1,6

Effectifs

NB : ± Coupe à 400 m

** Coupe à m

6.1.5.2. Nzrttoi^aQZ du_fLZ¿zn.\}o¿fi [puirt!, antz¿¿zn]

suivre .

Vanne haute pression 8" en tête de puits, disponible procédure à

6.1.5.2.1. : Montage flow- line avec vanne haute pression, montagede la ligne d'évacuation des eaux d'essai, (plus vannebasse pression en aval) .

6.1.5.2.2. : Descente garniture air-lift 3 1/2 â 100 m et dégorgement4 h, avec mesure : P. injection air- température flow 1.Débits déversoir, repérage des côtes émulseur.

6.1.5.2.3. : Contrôle du débit artésien au déversoir : 3 h.

6.1.5.2.4. : Descente garniture acidification à 15 m du fond, composition de bas en haut : tiges d'air lift 3 1/2, soupape,tiges 3 1/2.'

6.1.5.2.5. : Acidification détail voir annexe 3 : après l'opérationpompage de 10 m3 d'eau douce pour nettoyage de la pompe+ flexible, eau à envoyer au bourbier.

6.1.5.2.6. : Dégorgement artésien 4 h (ou air lift par réduction perforée) .

6.1.5.2.7. : Remontée de la garniture d'acidification jusqu'à la garniture d'air-lift 3 1/2, positionnement 50 m sous le ni¬veau de la saiomure (par sonde E) et montage sur la têted'air- lift d'ime vanne boisseau et d'un mano 0-25 b.

6.1.5.2.8. : Dégorgement du puits par air-lift : 4 h.

5.1.5.2.9. : mesure du débit artésien : 3 h.

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- 78 -

6.1.5.2.10. : Positionnement de l'émulseur pour débit de 100 m3/henviron et contrôle du débit sur 2 h avec mise enplace :

- sur le spacer : 1 vanne boisseau et un mano 0 - 10 b- sur la flow-line : 1 thermomètre

6.1.5.2.11. : Prélèvement d'un échantillon d'eau.

6.1.5.2.12. : Fermeture du puits.

6.1.6. ESSAI y EVALUATION VE COUCHE

6.1.6.1. Ti£QZ

Puits unique.

Palier de production à débit constant avec enregistrement de la remon¬tée de pression.

6.1.6.2. 2'Í^B^E!íír?^.éSr-ü^^^&í2ü-.^'}íS:Q-í^-^í?^

. Flowmètre

. Thermométrie du découvert (en production)

. Echantillons de fond * : 2

- . Pression avec sonde HP

Remarque : * en fonction des nécessités de l'essai, l ' échantillonage sera fait soitavant soit après l 'enregistrement àe pression.

6.1.6.3. C\}/}lonqJhQ¿zjlz_llz¿¿a¿

6.1.6.3.1. : Fermeture initiale pour stabilisation de la pression.

En fin de développement, fermer le puits avec la ligned'air lift en place pour un débit de 100 m3/h.

Durée de ferme tiire :" 12 h.

Compte tenu de 1 ' artésianisme , la fermeture doit êtreparfaite ce qui implique vme vanne de flow line et unefermeture de BOP totalement étanches.

6.1.6.3.2. : Mise en débit.

Palier à débit constant : 100 (ordre de grandeur) m3/h.

Durée de 10 â 15 h, continuité rigoureuse du palier né¬cessaire.

Pendant ce débit, enregistrement des diagraphies de pro¬duction puis descente de la sonde de pression.

- 78 -

6.1.5.2.10. : Positionnement de l'émulseur pour débit de 100 m3/henviron et contrôle du débit sur 2 h avec mise enplace :

- sur le spacer : 1 vanne boisseau et un mano 0 - 10 b- sur la flow-line : 1 thermomètre

6.1.5.2.11. : Prélèvement d'un échantillon d'eau.

6.1.5.2.12. : Fermeture du puits.

6.1.6. ESSAI y EVALUATION VE COUCHE

6.1.6.1. Ti£QZ

Puits unique.

Palier de production à débit constant avec enregistrement de la remon¬tée de pression.

6.1.6.2. 2'Í^B^E!íír?^.éSr-ü^^^&í2ü-.^'}íS:Q-í^-^í?^

. Flowmètre

. Thermométrie du découvert (en production)

. Echantillons de fond * : 2

- . Pression avec sonde HP

Remarque : * en fonction des nécessités de l'essai, l ' échantillonage sera fait soitavant soit après l 'enregistrement àe pression.

6.1.6.3. C\}/}lonqJhQ¿zjlz_llz¿¿a¿

6.1.6.3.1. : Fermeture initiale pour stabilisation de la pression.

En fin de développement, fermer le puits avec la ligned'air lift en place pour un débit de 100 m3/h.

Durée de ferme tiire :" 12 h.

Compte tenu de 1 ' artésianisme , la fermeture doit êtreparfaite ce qui implique vme vanne de flow line et unefermeture de BOP totalement étanches.

6.1.6.3.2. : Mise en débit.

Palier à débit constant : 100 (ordre de grandeur) m3/h.

Durée de 10 â 15 h, continuité rigoureuse du palier né¬cessaire.

Pendant ce débit, enregistrement des diagraphies de pro¬duction puis descente de la sonde de pression.

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- 79

6.1.6.3.3. : Flomètre : calibration dynamique à 10, 20, 35,50 m/min dans le 7". Enregistrement en descendant 10 et20 m/mn ; en montant : 10 m/mn points fixes : 1 dansle 7", 1 au top des zones productrices, 1 sous les zonesproductrices, points fixes complémentaires entre lesniveaux producteiurs , au vu du film.

6.1.6.3.4. :. Thermométrie : enregistrement à 10 ra/mn, sur le découvert en production.

6.1.6.3.5. : H. P. T. : log de température en descendant, soit 1 pointpar 300 m.

Enregistrement de pression de fond, sonde 10 m au-dessusdu sabot du 7" (sonde à 1740 m) .

Enregistrement de pression de fond en débit pendant 1 het fermeture du puits.

6.1 .6.4. Rzmontzz dz pn.z&¿ion

Après la fermeture, le HPT reste à la cote. La durée minimale d'enre¬gistrement est de 10 h, elle pourra être prolongée en fonction des résultats del'interprétation de chantier.

6.1.7. STIMULATION COMPLEMENTAIRE

En fonction des résultats de chantier, traitement HCl.

6. l.S. ABANVON VU PUITS

En fin d'essai :

. descente de la garniture

. contrôle du puits par injection de saiomure

. dégerbage

. ajout de saïunure dans le puits (éventuel)

. démontage des BOP

. montage tête de puits avec vannes latérales 4" RTJ.

6.1.9. MATERIEL APPROVISIONNE

6.1.9.1. ÇqyvùïactzuJi_bquz

Nacl, dotation chantier 23 T.

6.7.9.2. ÇqntfLCLctzuM. £qJW£Z

Flow- line, tête d'injection d'air, BOP production, tiges d'air lift.

- 79

6.1.6.3.3. : Flomètre : calibration dynamique à 10, 20, 35,50 m/min dans le 7". Enregistrement en descendant 10 et20 m/mn ; en montant : 10 m/mn points fixes : 1 dansle 7", 1 au top des zones productrices, 1 sous les zonesproductrices, points fixes complémentaires entre lesniveaux producteiurs , au vu du film.

6.1.6.3.4. :. Thermométrie : enregistrement à 10 ra/mn, sur le découvert en production.

6.1.6.3.5. : H. P. T. : log de température en descendant, soit 1 pointpar 300 m.

Enregistrement de pression de fond, sonde 10 m au-dessusdu sabot du 7" (sonde à 1740 m) .

Enregistrement de pression de fond en débit pendant 1 het fermeture du puits.

6.1 .6.4. Rzmontzz dz pn.z&¿ion

Après la fermeture, le HPT reste à la cote. La durée minimale d'enre¬gistrement est de 10 h, elle pourra être prolongée en fonction des résultats del'interprétation de chantier.

6.1.7. STIMULATION COMPLEMENTAIRE

En fonction des résultats de chantier, traitement HCl.

6. l.S. ABANVON VU PUITS

En fin d'essai :

. descente de la garniture

. contrôle du puits par injection de saiomure

. dégerbage

. ajout de saïunure dans le puits (éventuel)

. démontage des BOP

. montage tête de puits avec vannes latérales 4" RTJ.

6.1.9. MATERIEL APPROVISIONNE

6.1.9.1. ÇqyvùïactzuJi_bquz

Nacl, dotation chantier 23 T.

6.7.9.2. ÇqntfLCLctzuM. £qJW£Z

Flow- line, tête d'injection d'air, BOP production, tiges d'air lift.

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- 80 -

6.7.9.3. ÇqntnacteuA_dlcUM._rti£t

Compresseur, vanne 1/4 tour 2", flexible.

6.1.9.4. MalULZ_d'_qzuv^z

Petit matériel, cf IV - 4.

6. 7.9.5. Hi[dnjqcuJiz

. 3 containers de stockage,

. acide HCL à 33 % passive, 10 m3

. flexible dépotage.

- 80 -

6.7.9.3. ÇqntnacteuA_dlcUM._rti£t

Compresseur, vanne 1/4 tour 2", flexible.

6.1.9.4. MalULZ_d'_qzuv^z

Petit matériel, cf IV - 4.

6. 7.9.5. Hi[dnjqcuJiz

. 3 containers de stockage,

. acide HCL à 33 % passive, 10 m3

. flexible dépotage.

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- 81 -

GMX 2

5.2. - PUITS d'injection

6.2.7. PERIOVE VE REALISATION

Novembre 1981, 2ème quinzaine.

6.2.2. CARACTERISTIQUES VU RESERVOIR ET VU FORAGE

6.2.2.1. Rz&zfLvqiA

Calcaire oolithique du Dogger.

6.2.2.2. Fqn^QZ

Dévié = q moy. = 36°

Tubage 7" sabot prévu à 2050 m, effectif :

Découvert 6" fond prévu à 2300 m, effectif :

Boue de completion : Flogel et bactéricide (plus sel pour densité)

Diagraphies de réservoir : GR/cal - FDC

Completion : trou ouvert.

6.2.3. CONTRAINTES V ENVIRONNEMENT

6.2.3.1 . CaJULC^z^!yUrtiquz¿_p^z\¿uz^

Temp, fond

Salinité

Débit artésien

Artésianisme

79° C

35 g/l

200 m3/h

7 ± 2 bars.

6.2.3.2. EvacuaZiqn_du_zaux_dle^¿aL

Volume total produit estimé à 4 000 m3 .

Evacuation des eaux dans un étang, distant d'environ 50m, par uneconduite type Manesman, pompage avec pompe immergée dans le petit bourbier,capacité 140 m3/h (fournitures contracteur citernage) .

- 81 -

GMX 2

5.2. - PUITS d'injection

6.2.7. PERIOVE VE REALISATION

Novembre 1981, 2ème quinzaine.

6.2.2. CARACTERISTIQUES VU RESERVOIR ET VU FORAGE

6.2.2.1. Rz&zfLvqiA

Calcaire oolithique du Dogger.

6.2.2.2. Fqn^QZ

Dévié = q moy. = 36°

Tubage 7" sabot prévu à 2050 m, effectif :

Découvert 6" fond prévu à 2300 m, effectif :

Boue de completion : Flogel et bactéricide (plus sel pour densité)

Diagraphies de réservoir : GR/cal - FDC

Completion : trou ouvert.

6.2.3. CONTRAINTES V ENVIRONNEMENT

6.2.3.1 . CaJULC^z^!yUrtiquz¿_p^z\¿uz^

Temp, fond

Salinité

Débit artésien

Artésianisme

79° C

35 g/l

200 m3/h

7 ± 2 bars.

6.2.3.2. EvacuaZiqn_du_zaux_dle^¿aL

Volume total produit estimé à 4 000 m3 .

Evacuation des eaux dans un étang, distant d'environ 50m, par uneconduite type Manesman, pompage avec pompe immergée dans le petit bourbier,capacité 140 m3/h (fournitures contracteur citernage) .

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- 82 -

6.2.4. INSTALLATION V ESSAI

6.2.4.1. P^ductiqn

Air lift ou artésien.

6.2.4.2. l>í¿tatíaX¿qn¡^_dz^cfU£r^

. Dispositif du GB 800, voir schéma de principe (annexe 1)

. Voir schéma de principe des 3 types d'essais en page 2 bis.

6.2.4.2.1. Tête d'air lift et tiges 3" 1/2 pour air lift

Ces matériels ont 2 fonctions.

6.2.4.2.1.1. Ecoulement des fluides

. E production i,, . ^ _, , Injection d'airE d'interférence '

. E .injection Injection d'eau

6.2.4.2.1.2. Mesures

Descente dans le puits des appareillages de fond.

5.2.4.2.2. Flow line, utilisation

Essais de production et d'interférence : Collecte l'émul¬sion en sortie de puits pour envoi après dégazage au bacde mesure équipé d'un déversoir, de là l'eau est évacuéeà l'étang par l'intermédiaire du bourbier.

6^2.4.2.3. Prise d'eau en riviëre ou alimentation réseau

Cette prise d'eau permet d'alimenter la pompe de foragepour injection dans le puits GMX 2. Il faut prévoir undébit de l'ordre de 80 m3/h. La prise d'eau peut êtreréalisée soit :

. directement à partir du réseau

. par un pompage en rivière en utilisant la conduite et lapompe de reprise des eaux d'essai, prévues au marchéciternage.

6.2.4.3. Mqi¿zn&_dz_mz&uAz

- 1 manomètres 0 - 40 b

- 2 manomètres 0 - 10 b

- 2 manomètres 0 - 25 b sur tête d'injection d'air

- 2 manomètres 0 - 6 b sur sortie tête de puits

- 2 thermomètres 0 - 100° C sur la flow line.

- 82 -

6.2.4. INSTALLATION V ESSAI

6.2.4.1. P^ductiqn

Air lift ou artésien.

6.2.4.2. l>í¿tatíaX¿qn¡^_dz^cfU£r^

. Dispositif du GB 800, voir schéma de principe (annexe 1)

. Voir schéma de principe des 3 types d'essais en page 2 bis.

6.2.4.2.1. Tête d'air lift et tiges 3" 1/2 pour air lift

Ces matériels ont 2 fonctions.

6.2.4.2.1.1. Ecoulement des fluides

. E production i,, . ^ _, , Injection d'airE d'interférence '

. E .injection Injection d'eau

6.2.4.2.1.2. Mesures

Descente dans le puits des appareillages de fond.

5.2.4.2.2. Flow line, utilisation

Essais de production et d'interférence : Collecte l'émul¬sion en sortie de puits pour envoi après dégazage au bacde mesure équipé d'un déversoir, de là l'eau est évacuéeà l'étang par l'intermédiaire du bourbier.

6^2.4.2.3. Prise d'eau en riviëre ou alimentation réseau

Cette prise d'eau permet d'alimenter la pompe de foragepour injection dans le puits GMX 2. Il faut prévoir undébit de l'ordre de 80 m3/h. La prise d'eau peut êtreréalisée soit :

. directement à partir du réseau

. par un pompage en rivière en utilisant la conduite et lapompe de reprise des eaux d'essai, prévues au marchéciternage.

6.2.4.3. Mqi¿zn&_dz_mz&uAz

- 1 manomètres 0 - 40 b

- 2 manomètres 0 - 10 b

- 2 manomètres 0 - 25 b sur tête d'injection d'air

- 2 manomètres 0 - 6 b sur sortie tête de puits

- 2 thermomètres 0 - 100° C sur la flow line.

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- 83

sas

têted'air lift

«

puitsN° 2

BOP

flow line

V- jk. vers bourbier

bac demesure

B têted'air lif

sas

r-t4 <-

BOP

puits17° 2

^pcmpe de

forage

^ r

Ír

bassin

eau au réseau

1pompage

en rivière

xm'

adaptateur

grue

têted'air lift

puitsN° 2

BOP

flow line

bac demesure

Yik. vers

bourbier

SCHEMAS DE PRINCIPE DES ESSAIS

A - ESSAI DE PRODUCTION

B - ESSAI D'INJECTION

C - ESSAI D' INTERFERENCE

- 83

sas

têted'air lift

«

puitsN° 2

BOP

flow line

V- jk. vers bourbier

bac demesure

B têted'air lif

sas

r-t4 <-

BOP

puits17° 2

^pcmpe de

forage

^ r

Ír

bassin

eau au réseau

1pompage

en rivière

xm'

adaptateur

grue

têted'air lift

puitsN° 2

BOP

flow line

bac demesure

Yik. vers

bourbier

SCHEMAS DE PRINCIPE DES ESSAIS

A - ESSAI DE PRODUCTION

B - ESSAI D'INJECTION

C - ESSAI D' INTERFERENCE

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84 -

4 vannes haute pression, 100 joints cuivre

1 déversoir pour les mesures de débit

1 limmigraphe pour mesures des niveaux au déversoir (éventuel) : SGR

1 sonde de niveau : SGR

2 flacons d'échantillonnage (vol 21) .

6.2.5. VEVELOPPEMENT VU RESERVOIR

6.2.5.7. Vqrím¿¿_dz_¿zAvicz¿

Volume du 7" (20 1/m)

Volume de découvert (18,2 1/m)

Tiges 3" 1/2 à 15 m du fond : vol. int'.(3,85 1/m)

Tiges 3 "1/2 m du fond : vol. métal dansdécouvert (2,35 1/m)

Volume,, annulaire découvert, pour miseen place HCL (sécurité 50 m, soit 185 m

à 12 1/m)

Prévision (m3)

41

4,5

9

0,5

2

Effectif

suivre .

6.2.5.2. We*Éo^a2e_du_^e¿e^uo^ ipuit& cuvtz¿¿zn]

Vanne haute pression 8" en tête de puits disponible, procédure à

5.2.5.2.1. : Montage flow line avec vanne haute pression, montagede la ligne d'évacuation des eaux d'essai, (plus vannebasse pression en aval) .

6.2.5.2.2. : Descente garniture acidification (cf. 2.5.) à 1500 m,circulation avec 30 m3 d'eau douce, après mise en débitartésien remontée garniture.

6.2.5.2.3. : Contrôle du débit artésien au déversoir : 5 h.

6.2.5.2.4. : Descente garniture acidification à 15 m du fond, composition de bas en haut : tiges d'air lift 3 "1/2, sou-

. pape, tiges 3" 1/2 de garniture, tête d'injection d'acide.

5.2.5.2.5. : Acidification, détail voir annexe 3 : après l'opérationpompage de 10 m3 d'eau douce pour nettoyage de la pompe+ flexible, eau à envoyer au bourbier.

6.2.5.2.6. : Remontée de la garniture d'acidification.

6.2.5.2.7. : Mesure du débit artésien : 5 h.

84 -

4 vannes haute pression, 100 joints cuivre

1 déversoir pour les mesures de débit

1 limmigraphe pour mesures des niveaux au déversoir (éventuel) : SGR

1 sonde de niveau : SGR

2 flacons d'échantillonnage (vol 21) .

6.2.5. VEVELOPPEMENT VU RESERVOIR

6.2.5.7. Vqrím¿¿_dz_¿zAvicz¿

Volume du 7" (20 1/m)

Volume de découvert (18,2 1/m)

Tiges 3" 1/2 à 15 m du fond : vol. int'.(3,85 1/m)

Tiges 3 "1/2 m du fond : vol. métal dansdécouvert (2,35 1/m)

Volume,, annulaire découvert, pour miseen place HCL (sécurité 50 m, soit 185 m

à 12 1/m)

Prévision (m3)

41

4,5

9

0,5

2

Effectif

suivre .

6.2.5.2. We*Éo^a2e_du_^e¿e^uo^ ipuit& cuvtz¿¿zn]

Vanne haute pression 8" en tête de puits disponible, procédure à

5.2.5.2.1. : Montage flow line avec vanne haute pression, montagede la ligne d'évacuation des eaux d'essai, (plus vannebasse pression en aval) .

6.2.5.2.2. : Descente garniture acidification (cf. 2.5.) à 1500 m,circulation avec 30 m3 d'eau douce, après mise en débitartésien remontée garniture.

6.2.5.2.3. : Contrôle du débit artésien au déversoir : 5 h.

6.2.5.2.4. : Descente garniture acidification à 15 m du fond, composition de bas en haut : tiges d'air lift 3 "1/2, sou-

. pape, tiges 3" 1/2 de garniture, tête d'injection d'acide.

5.2.5.2.5. : Acidification, détail voir annexe 3 : après l'opérationpompage de 10 m3 d'eau douce pour nettoyage de la pompe+ flexible, eau à envoyer au bourbier.

6.2.5.2.6. : Remontée de la garniture d'acidification.

6.2.5.2.7. : Mesure du débit artésien : 5 h.

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- 35 -

5.2.5.2.8. : Positionnement de l'émulseur pour débit de 100 m3/henviron ou réglage du débit artésien à la même valeuravec mise en place de la tête d'air lift et deux lon¬gueurs de tiges d ' air lift pour descente des sondes defond.

. matériel de mesure à mettre en place :

- sur le spacer 1 vanne pointeau et un mano 0-10 bars- sxir la flow line : 1 thermomètre.

5.2.5.2.9. : Prélèvement d'un échantillon d'eau.

5.2.5.2.10. : Fermeture du puits, l'étanchéité parfaite est nécessaire.

6.2.6. ESSAIS V EVALUATION VE COUCHE

Le puits est fermé, en fin de stimulation, pour que le réservoir serecomprime et que sa pression se stabilise.

- durée de fermeture : 12 h.

Remarques : a) Compte tenu de l 'artésianisme, la fermeture doit être parfaite oequi nécessite une vanne de flow line et un BOP totalement étanches.

b) Pour des raisons d'interprétation, l'ordre des essais doit être. lesuivant :

. essai àe production

. essai d'infection. . essai d'interférence

Ces essais doivent se succéder de façon aussi continue que possible,car l'imité de logging production qui vient se mettre en place au début du premieressai, reste jusqu'à la fin des opérations :

essai de productionessai d'injection

Logging dans le puits GMX 2

essai d'interférence Logging dans le puits GMX 1

6.2.6.7. E¿¿(jJi dz pfioducrtion

But : évaluation du réservoir.

Après la stabilisation de pression, ouverture du puits.

6.2.6.1.1. Palier à débit constant de l'ordre de 100 m3/h

Durée 9 h.

Pendant ce débit enregistrement des diagraphies deproduction :

- flowmètre- thermomètre- HPT, enregistrement en station à la cote pendant 1 h

avant fermeture du puits .

- 35 -

5.2.5.2.8. : Positionnement de l'émulseur pour débit de 100 m3/henviron ou réglage du débit artésien à la même valeuravec mise en place de la tête d'air lift et deux lon¬gueurs de tiges d ' air lift pour descente des sondes defond.

. matériel de mesure à mettre en place :

- sur le spacer 1 vanne pointeau et un mano 0-10 bars- sxir la flow line : 1 thermomètre.

5.2.5.2.9. : Prélèvement d'un échantillon d'eau.

5.2.5.2.10. : Fermeture du puits, l'étanchéité parfaite est nécessaire.

6.2.6. ESSAIS V EVALUATION VE COUCHE

Le puits est fermé, en fin de stimulation, pour que le réservoir serecomprime et que sa pression se stabilise.

- durée de fermeture : 12 h.

Remarques : a) Compte tenu de l 'artésianisme, la fermeture doit être parfaite oequi nécessite une vanne de flow line et un BOP totalement étanches.

b) Pour des raisons d'interprétation, l'ordre des essais doit être. lesuivant :

. essai àe production

. essai d'infection. . essai d'interférence

Ces essais doivent se succéder de façon aussi continue que possible,car l'imité de logging production qui vient se mettre en place au début du premieressai, reste jusqu'à la fin des opérations :

essai de productionessai d'injection

Logging dans le puits GMX 2

essai d'interférence Logging dans le puits GMX 1

6.2.6.7. E¿¿(jJi dz pfioducrtion

But : évaluation du réservoir.

Après la stabilisation de pression, ouverture du puits.

6.2.6.1.1. Palier à débit constant de l'ordre de 100 m3/h

Durée 9 h.

Pendant ce débit enregistrement des diagraphies deproduction :

- flowmètre- thermomètre- HPT, enregistrement en station à la cote pendant 1 h

avant fermeture du puits .

Page 92: tBîISoîHISSJ - Accueil | InfoTerre

- 85 -

6.2.6.1.2. Remontée de pression en fin de débit, fermeture du puitsà la flowline et enregistrement avec le HPT. ,

, , T J.X -, . en puits droit : 9 h. durée de la remontée de pression : . ^ -, - . - . . .

en puits devié : 14 h.

6.2.6.1.3. Spécifications des diagraphies de production

.Flowmètre : calibration dynamique à 10, 20, 35,50 m/min dans le 7". Enregistrement en descendant 10et 20 m/mn ; en montant 10 m/mn points fixes : 1 dansle 7" , 1 au top des zones productrices 1 sous les zonesproductrices, points fixes complémentaires entre lesniveaux producteurs, au vu du film.

. Thermométrie : enregistrement à 5 m/mm, sur le décou¬vert en production.

. H. P. T. : enregistrement de pression de fond, sonde 10 m

au-dessus du sabot du 7" (sonde à 2 040 m) .

6.2.6.2. E¿-ifl^_^^'^i§u^on

. But contrôle de la symétrie des caractéristiques du réservoir.

. Principe : de l'eau douce fournie par le réseau ou prélevée en ri¬vière est injectée dans le puits GMX 2 par la vannelatérale de la tête d'air lift qui est reliée par une con¬duite haute pression à la pompe P 29 .

. Débit de l'ordre de 80 m3/h.

. Durée du débit : 10 h, à contrôler par l'évolution de la température .

de fond (disposer de 5 h à température pseudo stabilisée) et de lapression de fond.En fin d'essai fermeture du puits GMX 2.

N. B. : Pendant l'essai le HPT est en station à la cote de mesure.Après l'essai le HPT est remonté au jour et l'unité de logging productionquitte le puits GMX 2 et va se mettre en place sur le puits GMX 1.

6.2.6.3. ^¿¿oU._d'_inteA£zA^cz

. But : contrôle de la communication entre les puits de production etd'injection. Cette communication a une incidence sur la boucle géo¬thermale .

. Principe : le puits GMX 2 est mis en production et pendant le même

temps, la variation de pression ressentie dans le puits GMX 1 estenregistrée .

. Modalités : le puits GMX 2 est fermé. L'unité de logging va se mettreen place sur le puits GMX 1 qui est lui aussi fermé, après montagedu sas le HPT est descendu à la côte d'enregistrement soit 10 m au-dessus du sabot du 7" (1770 m) . Les 2 puits GMX 2 et GMX 1 restantfermés la pression de fond est enregistrée dans GMX 1 pendant 3 h.Après ce temps le puits GMX 2 est mis en production.

- 85 -

6.2.6.1.2. Remontée de pression en fin de débit, fermeture du puitsà la flowline et enregistrement avec le HPT. ,

, , T J.X -, . en puits droit : 9 h. durée de la remontée de pression : . ^ -, - . - . . .

en puits devié : 14 h.

6.2.6.1.3. Spécifications des diagraphies de production

.Flowmètre : calibration dynamique à 10, 20, 35,50 m/min dans le 7". Enregistrement en descendant 10et 20 m/mn ; en montant 10 m/mn points fixes : 1 dansle 7" , 1 au top des zones productrices 1 sous les zonesproductrices, points fixes complémentaires entre lesniveaux producteurs, au vu du film.

. Thermométrie : enregistrement à 5 m/mm, sur le décou¬vert en production.

. H. P. T. : enregistrement de pression de fond, sonde 10 m

au-dessus du sabot du 7" (sonde à 2 040 m) .

6.2.6.2. E¿-ifl^_^^'^i§u^on

. But contrôle de la symétrie des caractéristiques du réservoir.

. Principe : de l'eau douce fournie par le réseau ou prélevée en ri¬vière est injectée dans le puits GMX 2 par la vannelatérale de la tête d'air lift qui est reliée par une con¬duite haute pression à la pompe P 29 .

. Débit de l'ordre de 80 m3/h.

. Durée du débit : 10 h, à contrôler par l'évolution de la température .

de fond (disposer de 5 h à température pseudo stabilisée) et de lapression de fond.En fin d'essai fermeture du puits GMX 2.

N. B. : Pendant l'essai le HPT est en station à la cote de mesure.Après l'essai le HPT est remonté au jour et l'unité de logging productionquitte le puits GMX 2 et va se mettre en place sur le puits GMX 1.

6.2.6.3. ^¿¿oU._d'_inteA£zA^cz

. But : contrôle de la communication entre les puits de production etd'injection. Cette communication a une incidence sur la boucle géo¬thermale .

. Principe : le puits GMX 2 est mis en production et pendant le même

temps, la variation de pression ressentie dans le puits GMX 1 estenregistrée .

. Modalités : le puits GMX 2 est fermé. L'unité de logging va se mettreen place sur le puits GMX 1 qui est lui aussi fermé, après montagedu sas le HPT est descendu à la côte d'enregistrement soit 10 m au-dessus du sabot du 7" (1770 m) . Les 2 puits GMX 2 et GMX 1 restantfermés la pression de fond est enregistrée dans GMX 1 pendant 3 h.Après ce temps le puits GMX 2 est mis en production.

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- 87

- Débit de l'ordre de 100 m3/h.

- Durée du débit : 10 h.

- En fin d'essai, fermeture des 2 puits.

N.B. : Après l 'essai, le HPT est remonté au jour et l 'unité de logging productionest libérée.

6.2.6.4. Mz¿üÁ.(¿Ái_dz_¿u>i^a.cz

5.2.6.4.1. E. de production et E. d'interférence

Puits_GMX_2 :

. puits en production, systématiquement tous les1/4 d'heures :

. pression : annulaire, tête d'air lift

. température : flow-line

. débit : déversoir ;

. puits fermé, systématiquement toutes les 1/2 heures :

. pression : annulaire, tête d'air lift

. contrôle de l'étanchéité.

Puits GMX 1 (seulement pour l'essai d'interférence)

. puits fermé, systématiquement toutes les 2 heures :

. pression en tête.

5.2.5.4.2. E. d'injection

. Avant et après l'essai :- contrôle du débit de la pompe PZ 9 par tarage au

bassin ;- contrôle du débit d'eau douce par tarage au déversoir.

. Pendant l'essai : pression, annulaire et tête d'air liftdébits, coups de pompe.

6.2.7. STIMULATION COMPLEMENTAIRE

En fonction des résultats de chantier, traitement HCL.

6. 2. S. ABANVON PUITS

Puits GMX 2 - En fin d'essai :

. descente de la garniture

. contrôle du puits par injection de saumure

. dégerbage

. ajout de saumure dans le puits (éventuel)

. démontage des BOP

. montage tête de puits.

- 87

- Débit de l'ordre de 100 m3/h.

- Durée du débit : 10 h.

- En fin d'essai, fermeture des 2 puits.

N.B. : Après l 'essai, le HPT est remonté au jour et l 'unité de logging productionest libérée.

6.2.6.4. Mz¿üÁ.(¿Ái_dz_¿u>i^a.cz

5.2.6.4.1. E. de production et E. d'interférence

Puits_GMX_2 :

. puits en production, systématiquement tous les1/4 d'heures :

. pression : annulaire, tête d'air lift

. température : flow-line

. débit : déversoir ;

. puits fermé, systématiquement toutes les 1/2 heures :

. pression : annulaire, tête d'air lift

. contrôle de l'étanchéité.

Puits GMX 1 (seulement pour l'essai d'interférence)

. puits fermé, systématiquement toutes les 2 heures :

. pression en tête.

5.2.5.4.2. E. d'injection

. Avant et après l'essai :- contrôle du débit de la pompe PZ 9 par tarage au

bassin ;- contrôle du débit d'eau douce par tarage au déversoir.

. Pendant l'essai : pression, annulaire et tête d'air liftdébits, coups de pompe.

6.2.7. STIMULATION COMPLEMENTAIRE

En fonction des résultats de chantier, traitement HCL.

6. 2. S. ABANVON PUITS

Puits GMX 2 - En fin d'essai :

. descente de la garniture

. contrôle du puits par injection de saumure

. dégerbage

. ajout de saumure dans le puits (éventuel)

. démontage des BOP

. montage tête de puits.

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- 88 -

Puits GMX 1

repli des platelages, du matériel d'accès à la caveet de la grue.

6.2.9. MATERIEL A APPROVISIONNER ET OPERATIONS PREALABLES

6.2.9.1. MatÎJtizl

5.2.9.1.1. Contracteur boue

Nacl, dotation chantier 23 T.

5.2.9.1.2. Contracteur forage

Flow line, tête d'injection d'air avec sorties 2" LPM et3" LPM, BOP production, tiges d'air lift, soupape 3"l/2.Conduite haute pression (chicksan) pour branchement à lasortie latérale de la tête d'air lift, tête d'injectiond'acide.

5.2.9.1.3. Contracteur . d ' air lift

Compresseur, vanne 1/4 tour 2", flexible 2".

6.2.9.1.4. Maître d'Oeuvre

Petit matériel de mesure, équipement pour dépotage de1 ' acide .

6.2.9.1.5. Hydrocure

. 4 containers de stockage

. acide HCL à 33 % passive, 10 m3.

6.2.9.1.6. Contracteur citernage

.pompe et conduites pour évacuation de l'eau produite

' . éventuellement : pompe et conduites pour prise d'eau enrivière.

6.2.9.2. ^p|''ííf^on¿_íec/in¿2ae¿_p^éa£ab£e.ó [¿Yitzndamt] .

Outre l'approvisionnement des matériels, il faut prévoir avant lesessais et si possible pendant des phases d'arrêts techniques les opérations sui¬vantes :

Puits GMX 2

- préparation et montage de la flow line- préparation et montage des conduites : exhaure, injection- rechemisage de la pompe PZ 9 pour un débit de l'ordre de 80 m3/h

(notamment après forage de la phase 6")- préparation d'un bac de saumure comme réserve de sécurité.

- 88 -

Puits GMX 1

repli des platelages, du matériel d'accès à la caveet de la grue.

6.2.9. MATERIEL A APPROVISIONNER ET OPERATIONS PREALABLES

6.2.9.1. MatÎJtizl

5.2.9.1.1. Contracteur boue

Nacl, dotation chantier 23 T.

5.2.9.1.2. Contracteur forage

Flow line, tête d'injection d'air avec sorties 2" LPM et3" LPM, BOP production, tiges d'air lift, soupape 3"l/2.Conduite haute pression (chicksan) pour branchement à lasortie latérale de la tête d'air lift, tête d'injectiond'acide.

5.2.9.1.3. Contracteur . d ' air lift

Compresseur, vanne 1/4 tour 2", flexible 2".

6.2.9.1.4. Maître d'Oeuvre

Petit matériel de mesure, équipement pour dépotage de1 ' acide .

6.2.9.1.5. Hydrocure

. 4 containers de stockage

. acide HCL à 33 % passive, 10 m3.

6.2.9.1.6. Contracteur citernage

.pompe et conduites pour évacuation de l'eau produite

' . éventuellement : pompe et conduites pour prise d'eau enrivière.

6.2.9.2. ^p|''ííf^on¿_íec/in¿2ae¿_p^éa£ab£e.ó [¿Yitzndamt] .

Outre l'approvisionnement des matériels, il faut prévoir avant lesessais et si possible pendant des phases d'arrêts techniques les opérations sui¬vantes :

Puits GMX 2

- préparation et montage de la flow line- préparation et montage des conduites : exhaure, injection- rechemisage de la pompe PZ 9 pour un débit de l'ordre de 80 m3/h

(notamment après forage de la phase 6")- préparation d'un bac de saumure comme réserve de sécurité.

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89 -

Puits GMX 1

- couverture de la cave avec 2 platelages et mise en place d'uneéchelle d'accès

- approvisionnement d'xine grue pour montage du SAS SODESEP- mise à disposition d'une équipe pour assurer la manutention.

6.2.70. DECOMPTE PREVISIONNEL VES TEMPS

- Stimulation et fermeture

- Essai de production

- Essai en boucle

- Essai d'injection

- Arrêts techniques

2,5 j

1 j0,5 j

0,5 j

1 j

5,5 j

Soit \m temps total de l'ordre de 5 à 5 jours

Annexes :

Al et A2 : cf programme de mise en production de GMX 1

As : voir ci-après.

89 -

Puits GMX 1

- couverture de la cave avec 2 platelages et mise en place d'uneéchelle d'accès

- approvisionnement d'xine grue pour montage du SAS SODESEP- mise à disposition d'une équipe pour assurer la manutention.

6.2.70. DECOMPTE PREVISIONNEL VES TEMPS

- Stimulation et fermeture

- Essai de production

- Essai en boucle

- Essai d'injection

- Arrêts techniques

2,5 j

1 j0,5 j

0,5 j

1 j

5,5 j

Soit \m temps total de l'ordre de 5 à 5 jours

Annexes :

Al et A2 : cf programme de mise en production de GMX 1

As : voir ci-après.

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- 90 -

GMX 2 - ACIDIFICATION

ANNEXE 3

1 - CONSIG^ES DE SECURITE POUR LE STOCKAGE ET L'UTILISATION DE L'ACIDE

. Mettre les cuves d'acide au voisinage (moins de 15 m) du bac de préparation.Poser la cuve sur une aire en béton ou un platelage bien horizontal.

. Ménager une aire de sécurité de 3 m de rayon autour des cuves.

. Mettre sur les cuves \m panneau portant la mention : ATTENTION ACIDE HcL.

. La manutention des produits doit être faite par 2 opérateurs équipés delimettes spéciales, gants, casques, cirés.

. Une lance à eau doit être disponible en permanence près des cuves.

. Pendant l'utilisation de l'acide, il faut avoir près des cuves : une lance àeau, un bac de quelques m3 plein d'eau.

2 - PRODUITS DISPONIBLES SUR LE CHANTIER

. Hcl à 33 % passivité, quantité 10 m3.

. Coefficient de dilution à 15 % = 2,416.

. Dépotage - pression maximale 1,5 bar - ne pas dépasser cette limite.

3 - TRAITEMENT

N.B. : volumes donnés en m3.

Vanne haute pression disponible.

Trsî tement bouchon n

Sol-utionHcl 3Í 5

f

Ecu

3,5 3,5

Chasse J Eau 1 8

Eau (2~2) tiges

Chasce 2

Injec. puitsfermé àSDD l/Tr.-ir,

Aciàe 15 A 8,5

Eau (1*2-1) Ah

SaurrrureAttente effet 1/2 h

8,5

^^k

l/2h

A^

1/2 h

ce<iCLLUe;

D-uvertur-c vanne HP ÜJ

Déporperient ariâsien ou air liftcvùc élôn.entFi perforó 2 h

Ferine turc vanne HP

Eemontif dr la garni-turcà 'ur iài'f icai ion

2 h 2 h

y

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GMX 2 - ACIDIFICATION

ANNEXE 3

1 - CONSIG^ES DE SECURITE POUR LE STOCKAGE ET L'UTILISATION DE L'ACIDE

. Mettre les cuves d'acide au voisinage (moins de 15 m) du bac de préparation.Poser la cuve sur une aire en béton ou un platelage bien horizontal.

. Ménager une aire de sécurité de 3 m de rayon autour des cuves.

. Mettre sur les cuves \m panneau portant la mention : ATTENTION ACIDE HcL.

. La manutention des produits doit être faite par 2 opérateurs équipés delimettes spéciales, gants, casques, cirés.

. Une lance à eau doit être disponible en permanence près des cuves.

. Pendant l'utilisation de l'acide, il faut avoir près des cuves : une lance àeau, un bac de quelques m3 plein d'eau.

2 - PRODUITS DISPONIBLES SUR LE CHANTIER

. Hcl à 33 % passivité, quantité 10 m3.

. Coefficient de dilution à 15 % = 2,416.

. Dépotage - pression maximale 1,5 bar - ne pas dépasser cette limite.

3 - TRAITEMENT

N.B. : volumes donnés en m3.

Vanne haute pression disponible.

Trsî tement bouchon n

Sol-utionHcl 3Í 5

f

Ecu

3,5 3,5

Chasse J Eau 1 8

Eau (2~2) tiges

Chasce 2

Injec. puitsfermé àSDD l/Tr.-ir,

Aciàe 15 A 8,5

Eau (1*2-1) Ah

SaurrrureAttente effet 1/2 h

8,5

^^k

l/2h

A^

1/2 h

ce<iCLLUe;

D-uvertur-c vanne HP ÜJ

Déporperient ariâsien ou air liftcvùc élôn.entFi perforó 2 h

Ferine turc vanne HP

Eemontif dr la garni-turcà 'ur iài'f icai ion

2 h 2 h

y

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- 91 -

VII - TRAVAUX COMPLEMENTAIRES

- 91 -

VII - TRAVAUX COMPLEMENTAIRES

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- 92 -

7.1. DEFINITION DES TRAVAUX DE GENIE CIVIL .

7.7.7. PLATEFORME VE FORAGE

L'implantation précise des ouvrages et de la zone d'interventionnotamment en vue de l'exécution des ancrages, des dalles, des caves et desbourbiers sera définie. Le point de référence pour chaque plateforme sera l'axe del'avant-puits.

Les travaux de terrassement, de nivellement et de compactage permettrontd'aménager la plateforme dans les meilleures conditions.

7.7.2. TRAl/AUX V AMENAGEMENT

Une couche de roulement sera constituée d'une épaisseur de graveépandue sur l'ensemble de la plateforme à l'exception des bourbiers. Cette couchesera soigneusement compactée.

Les bourbiers, l'im de 400 m3, l'autre de 1 000 m3 seront étanchéifiésau moyen d'ime membrane plastique et posséderont chacun une échelle de sécurité.

Quatre ancrages par plateforme servant au haubanage de la machine deforage seront réalisés.

7.7.3. TRAl/AUX VE BETON ARME ET MAÇONNERIE

Pour chaque plateforme sera réalisée une dalle en béton armé d'uneplanéité et d'une horizontalité parfaites. Il "sera aussi réalisé une cave, unbac déshuileur, un bac de rétention pour cuve à fuel.

7.7.4. AMENAGEMENT VE L'ACCES

Seul se pose le problème de 1 ' aménagement de 1 ' accès entre les deuxplateformes. La première plateforme étant directement accessible. La couche de rou¬lement aura une largeur de 6 m et sera constituée d'un concassé silico-calcairesoigneusement compacté.

7.7.5. ALIMENTATION, EN EAU

Il sera procédé à l'installation d'une alimentation en eau potable(quelques m3h~l, 0 40) . '

L''éau "utilitaire" servant au forage se fera à partir de l'étang situéà l'est des forages. Le débit en période de pointe se situant à 90 m3h~ . La conduiteétant du type "conduite souple".

- 92 -

7.1. DEFINITION DES TRAVAUX DE GENIE CIVIL .

7.7.7. PLATEFORME VE FORAGE

L'implantation précise des ouvrages et de la zone d'interventionnotamment en vue de l'exécution des ancrages, des dalles, des caves et desbourbiers sera définie. Le point de référence pour chaque plateforme sera l'axe del'avant-puits.

Les travaux de terrassement, de nivellement et de compactage permettrontd'aménager la plateforme dans les meilleures conditions.

7.7.2. TRAl/AUX V AMENAGEMENT

Une couche de roulement sera constituée d'une épaisseur de graveépandue sur l'ensemble de la plateforme à l'exception des bourbiers. Cette couchesera soigneusement compactée.

Les bourbiers, l'im de 400 m3, l'autre de 1 000 m3 seront étanchéifiésau moyen d'ime membrane plastique et posséderont chacun une échelle de sécurité.

Quatre ancrages par plateforme servant au haubanage de la machine deforage seront réalisés.

7.7.3. TRAl/AUX VE BETON ARME ET MAÇONNERIE

Pour chaque plateforme sera réalisée une dalle en béton armé d'uneplanéité et d'une horizontalité parfaites. Il "sera aussi réalisé une cave, unbac déshuileur, un bac de rétention pour cuve à fuel.

7.7.4. AMENAGEMENT VE L'ACCES

Seul se pose le problème de 1 ' aménagement de 1 ' accès entre les deuxplateformes. La première plateforme étant directement accessible. La couche de rou¬lement aura une largeur de 6 m et sera constituée d'un concassé silico-calcairesoigneusement compacté.

7.7.5. ALIMENTATION, EN EAU

Il sera procédé à l'installation d'une alimentation en eau potable(quelques m3h~l, 0 40) . '

L''éau "utilitaire" servant au forage se fera à partir de l'étang situéà l'est des forages. Le débit en période de pointe se situant à 90 m3h~ . La conduiteétant du type "conduite souple".

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7.7.6. REJETS VES BOUES

Les boues de forage seront traitées par floculation et dessicationgrâce à un matériel adhoc ; en cas de défaillance elles seront citemées jusqu'àla décharge autorisée la plus proche.

7.7.7. REJETS VES EAUX VE FORMATION PENVANT ESSAIS

Les eaux des essais de pompage seront tout d'abord déversées dansles bourbiers pour ramener leur température de 70° C à environ 3Û°C. Ensuiteelles seront pompées et déversées dans l'étang situé à l'est des forages par1 ' intermédiaire de conduites souples .

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7.7.6. REJETS VES BOUES

Les boues de forage seront traitées par floculation et dessicationgrâce à un matériel adhoc ; en cas de défaillance elles seront citemées jusqu'àla décharge autorisée la plus proche.

7.7.7. REJETS VES EAUX VE FORMATION PENVANT ESSAIS

Les eaux des essais de pompage seront tout d'abord déversées dansles bourbiers pour ramener leur température de 70° C à environ 3Û°C. Ensuiteelles seront pompées et déversées dans l'étang situé à l'est des forages par1 ' intermédiaire de conduites souples .

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VIH - DEVIS PREVISIONNEL (REVISION)

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VIH - DEVIS PREVISIONNEL (REVISION)

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MEAUX DOUBLET

Valeur au 1/1/1981

1 droit - 1 dévié 7"

COUTS DE FORAGE : LISTE TYPE

1 Plateforme yc. voies d'accès, branchements

2 Amenée - Repli : Opérations coordonnées -Ripage

3 Forage production

4 Forage réinjection

5 Fuel

5 Têtes de puits

7 Tubages et équipements

8 Clé tubage 13" 3/8 - 9" 5/8 et cent.

9 Coupe tubage

10 Outils

11 Boue + technicien

12 Cimentation + ciment

13 Diagraphies (y compris product.)

14' Opérations de déviation

15 Stimulation

15 Essais - Air-lift

19 Citernage - Vidange - Mise en déch.

20 Trait, bourbiers ^ ^^^""^ ,,, , ,140 F/m3

21 Pompe d'exhaure

22 ^Transports divers

24 '-Diver-S imprévus 5 %

SOUS TOTAL;

Intendance de forage

Maîtrise d'oeuvre Cy compris dpss.. adm. ,Surveillance géol.; et ..interp. - essais)"

TOTAL HT en KF Valeur Janvier 1981Arrondi à :

PRODUCTION

900

1 000

1 400

0

250

100

1 100

55

30

180

180

230

220

0

30

150

200

140

400

50

. 330

6 945

130

1 000

8 0758 100

. . .- . 1

INJECTION

900

430

0

2 300

, 370

100

1 200

85

0

180

180

240

200

300

30

150

200

140

0

50

352

7 407

130

550

8 0978 100

DOUBLET

1 800

1 430

1 400

2 300

620

200

2 300

140

30

360

360

470

420

300

60

300

400

280

400

100

682"

14-352

260

1 560

15 172 -

15 200

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MEAUX DOUBLET

Valeur au 1/1/1981

1 droit - 1 dévié 7"

COUTS DE FORAGE : LISTE TYPE

1 Plateforme yc. voies d'accès, branchements

2 Amenée - Repli : Opérations coordonnées -Ripage

3 Forage production

4 Forage réinjection

5 Fuel

5 Têtes de puits

7 Tubages et équipements

8 Clé tubage 13" 3/8 - 9" 5/8 et cent.

9 Coupe tubage

10 Outils

11 Boue + technicien

12 Cimentation + ciment

13 Diagraphies (y compris product.)

14' Opérations de déviation

15 Stimulation

15 Essais - Air-lift

19 Citernage - Vidange - Mise en déch.

20 Trait, bourbiers ^ ^^^""^ ,,, , ,140 F/m3

21 Pompe d'exhaure

22 ^Transports divers

24 '-Diver-S imprévus 5 %

SOUS TOTAL;

Intendance de forage

Maîtrise d'oeuvre Cy compris dpss.. adm. ,Surveillance géol.; et ..interp. - essais)"

TOTAL HT en KF Valeur Janvier 1981Arrondi à :

PRODUCTION

900

1 000

1 400

0

250

100

1 100

55

30

180

180

230

220

0

30

150

200

140

400

50

. 330

6 945

130

1 000

8 0758 100

. . .- . 1

INJECTION

900

430

0

2 300

, 370

100

1 200

85

0

180

180

240

200

300

30

150

200

140

0

50

352

7 407

130

550

8 0978 100

DOUBLET

1 800

1 430

1 400

2 300

620

200

2 300

140

30

360

360

470

420

300

60

300

400

280

400

100

682"

14-352

260

1 560

15 172 -

15 200