Supplément commercial. Construction

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Construction & rénovation Préparez votre maison à l’hiver SUPPLÉMENT COMMERCIAL. N’ENGAGE PAS LA RESPONSABILITÉ DE LA RÉDACTION 22 novembre 2013 SUPPLÉMENT GRATUIT DU JOURNAL L’AVENIR © VAILLANT Les dernières tendances pour votre maison p. 3 & 15 Votre installation de chauffa- ge à des conditions optimales p. 13 Ma maison ? Du bois sinon rien ! p. 4 - 7 Isoler un toit en pente existant ? Mode d’emploi p. 10 - 11

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Construction& rénovation

Préparez votre maison à l’hiver

Supplément commercial. n’engage paS la reSponSabilité de la rédaction

22 novembre 2013

SUPPLÉMENT GRATUIT DU JOURNAL L’AVENIR

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Les dernières tendances pour votre maison p. 3 & 15

Votre installation de chauffa-ge à des conditions optimales p. 13

Ma maison ? Du bois sinon rien ! p. 4 - 7

Isoler un toit en pente existant ? Mode d’emploi p. 10 - 11

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2 conStruction & RENOVATION PUBLIREPORTAGE

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Un patio dans la forêt

Le couple avait décrit ses attentes, et elles étaient nom-breuses. Pour retrouver quiétude et sérénité après une journée de travail bien chargée, ils aspiraient à une habitation à fort caractère architectonique, habilement intégrée dans son cadre naturel et totalement protégée des regards indiscrets. Mais la parcelle se situant à fl anc de coteau, le bureau d’architecte allait au-devant d’un grand défi .

Maison à l’enversDepuis toujours, le cabinet DMOA architecten élabore ses projets à partir d’une étude de la parcelle, pour que l’habitation en épouse au mieux les qualités. Ce fut aus-si le cas pour la maison de Els et Jurgen. Les architectes ont d’abord sollicité les services communaux afi n d’ob-tenir une dérogation aux prescriptions d’urbanisme. Elle leur permit de soumettre un concept ingénieux, d’où l’on appréhende le cadre extérieur depuis la mai-son même, sans perdre en intimité. Le résultat est une habitation avec patio orienté vers le midi, sous la forme d’un T inversé, creusé à fl anc de colline.Cette habitation un peu à l’envers présente un axe ver-tical, tourné vers la rue, incluant le hall d’entrée et les chambres à coucher, tandis que la partie horizontale, plus basse, regroupe les espaces de vie et le garage. La

voirie délimitant la parcelle tant vers l’avant que vers l’arrière, le garage y est accessible des deux côtés. Les véhicules peuvent donc y pénétrer et en ressortir très facilement.Le concept totalement serti dans son cadre naturel vise la plus-value architecturale, le confort d’habitat et le respect total de la vie privée. La partie résidentielle ver-ticale empêche en effet tout regard indiscret des voisins. Le mur du jardin, situé sur l’avant, masque également le patio, la salle de séjour et la cuisine placés un peu en contrebas. Par les hautes frondaisons entourant la maison, les architectes ont en quelque sorte créé un lieu ouvert sur le bois. Grâce au soleil du midi, l’habi-tation et son patio baignent dans la lumière. Intérieur et extérieur se conjuguent et fusionnent grâce aux nom-breuses baies vitrées couvrant pratiquement 30 % de la demeure.

Le rôle principal revient aux fenêtres aluLes très hautes baies vitrées, toutes construites au moyen de châssis Reynaers Aluminium, sont le gage d’une grande clarté naturelle. Les profi lés étant profon-dément ancrés dans le mur, au sein d’un cadre alumi-

nium large, les fenêtres apportent un accent spécifi que à l’habitation qui en renforce la valeur architecturale. La grande capacité portante de l’aluminium permet en outre de longues travées, typiques de l’architecture contemporaine.Outre le côté esthétique et la luminosité, les grandes baies orientées vers le sud puisent aussi un maximum de chaleur solaire. Toutefois, la canicule est évitée grâce à l’ombre des arbres attenants et à l’emploi de verre athermique. Les profi lés super isolants CS 77 des portes-fenêtres et les profi lés CP 155 des fenêtres cou-lissantes, sertis de verre à haut rendement, garantissent une grande effi cience énergétique, encore renforcée par la ventilation avec récupération thermique, le chauffage par le sol et les panneaux photovoltaïques.

Profi ter pleinement de la lumière et de la vueIntégrer l’habitation dans son environnement en l’in-crustant dans la colline et en y inversant le concept donne comme résultat une construction ouverte em-preinte de charisme. Le patio et les pièces de vie, très lu-mineuses, forment le cœur de la demeure. Ses résidents hument pleinement la nature environnante, qui leur offre intimité et quiétude auxquelles ils aspirent après une longue journée de travail.

Els et Jurgen étaient à la recherche d’un havre de paix, petit lieu tranquille, mais pétri de caractère. Ils se sont tournés vers le cabinet DMOA architecten, qui a imaginé une habitation avec patio sur la forêt, réunissant parfaitement intimité, ouverture et luminosité. Bien orienté vers le sud, c’est un astucieux concept qui exploite les avan-tages du vitrage hyper isolant, de la ventilation avec récupération thermique, du chauffage par le sol et des panneaux photovoltaïques. Au bilan, une haute effi cience énergétique.

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Vendredi 22 novembre 2013 supplémENT à L’AVENIR 3

Ces dernières années, la peinture à la chaux a connu un regain d’intérêt, notamment grâce à l’attrait croissant pour l’authenticité, le savoir-faire et les matériaux naturels. De plus en plus de peintures à la chaux prêtes à l’emploi sont disponibles sur le marché, celles-ci comprenant des pigments ajoutés. Ces peintures prêtes à l’emploi sont faciles à utiliser, mais comportent un désavantage de taille : la latitude au niveau des couleurs est faible.La firme Nucci, située à Wetteren, est allée plus loin. Une quantité bien dosée de pigments et d’eau a été ajoutée à une poudre de laque pure que l’entreprise de peinture est la seule à importer dans notre pays. Cela a transformé la peinture à la chaux ou pâte à la chaux – en fonction de la quantité d’eau utilisée – en une opération de peinture imaginée par Peter De Laruelle, gérant de l’entreprise, celles-ci se décomposant en trois ou quatre couches différentes nuancées à chaque fois à la spatule, à la brosse et/ou à la truelle. Vous êtes ainsi en

mesure de déterminer vous-même la couleur et son intensité pour chacune de vos pièces. La surface est fixée et dans le même temps protégée par un vernis invisible, une cire, une huile de lin pure ou un produit d’imprégnation, en fonction des couches de base et de l’espace dans lequel les techniques de peinture à la chaux sont appliquées. L’exemple ici illustré est constitué de trois couches de peinture à la chaux diluée, chacune étant poncée et polie à la cire. Cela produit de superbes nuances claires obscures. Tout aussi exclusive, une opération d’application en deux couches de peinture à la chaux au moyen d’une brosse afin de créer des stries, suivie de l’ap-plication d’une couche de chaux horizontale, fortement diluée et parachevée par une couche diluée verticale. Prix indicatif, en fonction de la technique, entre 45 et 65 euros le m², hors TVA.

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Karoo est un système modulaire belge pour l’intérieur et l’extérieur développé conjointement avec un jeune développeur de produit . L’élé-ment de base mesure 40x40 cm et peut contenir 9 plantes enserrées dans un textile. Karoo se place sans problème aussi bien à l’horizontale qu’à la verti-cale. Un terreau spécial a été développé pour permettre une installation verticale. Les modules se composent de matériaux recyclés et sont disponibles en gris foncé et blanc. Prix indicatif : 65 euros, TVA incluse.

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Nouveautés

Feuilles et brindilles peuvent s’accumuler dans les gouttières. Ce qui finit par boucher la gouttière ou l’évacuation. La firme Tip Top Clearing d’Alost propose une solution pratique : des brosses à gouttière fabriquées en polypropylène enroulé autour d’un noyau en fil d’acier inoxydable. Elles sont livrées en bandes de 10 cm de diamètre et 1 mètre de longueur qui au moyen de petits crochets, se fixent l’une à l’autre. Il vous suffit de les dépo-ser dans la gouttière. Elles ne s’envolent pas. Les brosses à gouttière évitent les obstruc-

tions, mais veillent également à ce que l’eau de pluie s’évacue, exempte de feuilles et brindilles, l’eau étant dès lors très pure en vue d’un réemploi. Autre avantage, les oiseaux ne viennent pas se percher sur le bord des gout-tières et n’y laissent donc pas leurs déjections. Prix indicatif : 7,5 euros le mètre, TVA non incluse.

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R é a l i s a t i o n Editeur responsable: Frans De Boeck – Product management: Manou Van der Brempt – Mise en page et rédaction: Violette Goethals, Christophe Vanden Broeck – Production: Content Connections – Coordination: Delphine Buyle – Conception: Danny Thienpondt

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De nombreuses idées fausses circulent sur le bois. Afin de rendre au bois la place qu’il mérite, le salon Bois & Habitat se déroulera du 21 au 24 novembre à Antwerp Expo. Optez dès maintenant pour l’ossa-ture bois. Et pas seulement parce qu’une ossature bois est relativement facile à réaliser tout en bénéficiant de prestations thermiques surpre-nantes. Une construction en bois possède de nombreux autres avan-tages. Et les préjugés sur l’acoustique, le confort en été, la sécurité en cas d’incendie et l’étanchéité à l’air n’ont réellement plus lieu d’être.

AcoustiqueLes maisons à ossature bois sont constituées de poutres ver-ticales (les ‘montants’) qui sont placées à 40-60cm les uns des autres puis reliés par des poutres horizontales renforcées (les ‘traverses’), de sorte qu’un cadre est créé. Le volume ain-si créé permet de poser l’isolation thermique et les tuyaux pour assurer chauffage, électricité, etc. L’ensemble est ren-forcé par des panneaux cloués à même la structure en bois.

La légèreté d’une maison à ossature bois ne lui permet pas de bénéficier de la règle des masses. Selon cette loi, l’isola-tion acoustique est améliorée de par le fait qu’un matériau ou une construction est lourd. Il n’est pourtant pas impos-sible de bénéficier d’une bonne isolation acoustique avec une construction en bois, car il est toujours possible de créer de la masse.

Pour les murs, cela peut se faire à l’aide de doubles parois constituées de plaques de plâtre, séparées les uns des autres par un creux d’air. Ce dernier pourra alors être rempli de laine minérale possédant une capacité d’absorption des sons. Ce principe est celui du masse-ressort-masse. Il est de plus en plus souvent appliqué aux chapes des planchers supérieurs. Certaines entreprises de construction vont même plus loin en reliant les couches par des liens en acier. De la sorte, il est possible de créer des planchers en béton-bois. Une chape flottante pourra ensuite être posée (ou pas).

ApparenceDe l’extérieur, il est impossible d’établir qu’il s’agit d’une os-sature bois. Tous les matériaux habituels pour les finitions

extérieures entrent en ligne de compte : brique, zinc, plâtre, bois… Pour autant qu’ils soient acceptés par l’urbanisme de la commune.

AnhydrePour la construction et les finitions d’une maison tradition-nelles, 6.000 litres d’eau sont utilisés en moyenne. À l’in-verse, dans une ossature bois, hormis le sol de couverture, aucune humidité n’apparaît dans la maison. Les nouvelles constructions à ossature bois ne doivent donc pas être assé-chées avant de pouvoir commencer les travaux de finition. Cela permet d’économiser sur les frais de chauffage.

Confort estivalOn entend encore souvent qu’une ossature bois, légère de nature, est par définition moins confortable en été qu’une construction en maçonnerie. En raison de la masse relative-ment faible des murs et des sols, une ossature bois présente une inertie thermique plus basse que les constructions mas-sives, ce qui ouvre la porte aux risques de surchauffe en été. Selon une étude du CSTC, ce n’est pas vrai : une ossature bois permet de bénéficier d’un parfait confort estival. Les mesures et les simulations ont montré que l’inertie thermique n’avait qu’un impact limité sur la température moyenne d’une maison en été. Beaucoup plus déterminante que la masse thermique, la surface en verre des fenêtres et la présence ou l’absence de soleil aura plus d’influence, estime le CSTC. Plus grandes seront les surfaces vitrées, plus il y aura de rayonnement du soleil et donc plus la chaleur entre-ra dans l’habitation sans pouvoir s’en échapper par la suite. C’est ce que l’on appelle l’effet de serre. La première et plus

Ma maison ? Du bois sinon rien !

© DEAWAELE

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importante mesure à prendre pour bénéficier d’un confort estival idéal est de bloquer la chaleur à l’extérieur en limi-tant les surfaces vitrées ou en équipant celles-ci de stores. La deuxième mesure par ordre d’importance est la ventilation : la chaleur accumulée à l’intérieur devra être évacuée autant que possible à l’aide d’une ventilation nocturne efficace.

ConifèresLe bois des ossatures bois est le plus souvent issu de coni-fères. Il peut s’agir de pins ou de sapins durables, mais aussi d’aubiers ou de mélèzes. Le bois de conifères est largement disponible et possède l’avantage d’être léger à transporter tout en offrant une bonne résistance mécanique.

Conservation du boisUn bâtiment en bois aura une durée de vie égale aux bâti-ments dans d’autres matériaux de construction. Grâce à quelques mesures structurelles simples – telle que la limi-tation de la construction grâce à une conception des murs appropriée – le bois ne présente pratiquement aucun risque d’attaques fongiques. Les attaques d’insectes seront jugulées par le choix de bois naturellement durable ou par un traitement préventif avec un produit insecticide.

DurabilitéLe bois est une matière première renouvelable à l’infini et qui ne demande que peu d’énergie à produire. Ainsi, pour la pro-duction d’une poutre en bois, il faut cinq fois moins d’éner-gie que pour la production d’une poutre en béton présentant des caractéristiques techniques similaires. En outre, il crée une quantité de déchets limitée sur le lieu d’utilisation. Parmi tous les matériaux disponibles, le bois est également celui qui nécessitera le moins d’énergie pour son transport. La construction d’une maison en bois ne nécessitera qu’un camion de 26 tonnes alors que la construction d’une maison dans un matériau traditionnel pourra en exiger jusqu’à six fois plus. À la fin de leur durée de vie, les bois utilisés pourront égale-ment être facilement recyclés, par exemple pour constituer des plaques en OSB ou en MDF, mais pourront aussi être uti-lisés comme combustibles pour le chauffage. Le bois possède une longue durée de vie. Avec une protection préventive appropriée et une conception réfléchie, une mai-son à ossature bois aura une durée de vie équivalente à une maison de brique ou de béton. Dans la région de Malmedy et de Stavelot, des maisons à colombages datant de 1750 sont toujours habitées. À Bruges et Gand, de très beaux exemples de maisons en bois datant du 17ème siècle sont toujours vi-sibles.

ÉcologiqueSelon, entre autres, une étude de la CSTC, un mur à ossature bois consomme moins de combustibles fossiles que l’érec-tion d’un mur creux traditionnel. La différence est minime et n’est pas seulement liée au ma-tériau de la structure du bâtiment, mais aussi au choix du matériau isolant. Ainsi, si un mur traditionnel et un mur à ossature bois sont isolés avec une laine minérale possédant la même valeur U, la différence entre eux sera de moins de 10%. Avec une valeur U équivalente, un mur traditionnel équipé de laine minérale sera toujours plus épais qu’un mur à ossature bois et nécessitera donc des fondations spé-cifiques. La valeur U exprime la quantité de chaleur perdue par heure, par mètre carré et par différence de degré de tem-pérature d’un côté et de l’autre du mur. Plus basse est la va-leur U, plus limitée sera la perte de chaleur.

Économie annuelleIl n’existe pratiquement pas de différence entre la tempé-rature d’une maison à ossature bois et celle de l’environne-ment. Il n’est donc pas nécessaire de surchauffer l’air afin d’obtenir un climat intérieur confortable. Les spécialistes de l’ossature bois estiment que leurs mai-sons ne doivent être chauffées qu’à 18°C pour obtenir le même confort de vie qu’une maison traditionnelle montrant une température intérieure de 20°C à 22°C. Sur base an-nuelle, cela peut représenter une réelle différence en termes de factures de chauffage.

Étanchéité à l’eau et à l’airLe travail sur chantier sera considérablement réduit de par la préfabrication des éléments en atelier. Après le transport des éléments sur le lieu de construction, une ossature bois est étanchéifiée tant à l’air qu’à l’eau en quelques jours et peut faire l’objet de finitions.

FlexibilitéUne ossature bois est une méthode de construction flexible qui permet tous les styles architecturaux qui s’appliquera

tant aux constructions neuves qu’aux rénovations de loge-ments, bureaux, centres sportifs, bâtiments publics, écoles, etc. Il n’existe pas de restrictions spécifiques aux ossatures bois par rapport aux autres méthodes de construction.

InnovationAu cours des dernières années, l’offre de panneaux dans des matériaux innovants, de dispositifs d’attache et d’autres éléments de base a fortement crû. Les poutres en L en bois ne sont plus seulement utilisées pour les planchers ou les couvertures de toit, mais aussi pour les montants. De cette manière, les pertes de chaleur à travers les parois peuvent être considérablement réduites et les risques de ponts ther-miques sur les montants sont, eux aussi, fortement limités. Afin de rigidifier le squelette, les spécialistes des ossatures bois utilisent aujourd’hui des plaques en OSB ou en fibres de bois plutôt que les traditionnelles plaques multiplex. Pour les montants, les poutres et les colonnes éventuelles, c’est le plus souvent le LVL (bois lamifié) qui est utilisé. Le LVL possède une grande résistance mécanique.Pour une bonne perméabilité des murs extérieurs à l’air, il existe de nombreux nouveaux films, bandes occultantes, œillets… sur le marché.

LégèretéPour une maison traditionnelle, le sous-sol doit offrir une ca-pacité de résistance d’environ 2,5kg/cm². Pour une maison à

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ossature bois, cette résistance est d’environ 1,5 kg/cm². Cela fait donc de l’ossature bois la méthode idéale dans le cadre de sous-sol présentant une portabilité moindre. Les fonda-tions peuvent être moins lourdes et donc meilleur marché. Grâce à cette légèreté, les ossatures bois sont également pri-vilégiées pour les constructions de logements sur l’eau ou pour la surélévation de bâtiments existants (voir ‘S’).

Niveau KLe niveau K permet d’estimer l’isolation générale d’un bâti-ment. Plus cette valeur est basse, moins la chaleur s’échappe par l’enveloppe du bâtiment. Une ossature bois permet de construire assez facilement un bâtiment offrant un niveau K de 30. Cela vient des spécificités de la construction : en effet, le matériau isolant est directement placé entre les montants et les traverses. Pour des valeurs d’isolation encore plus per-formantes, l’isolation des creux peut être complétée par une isolation du squelette, tant par l’intérieur que l’extérieur. Une maison construite à l’aide d’une maçonnerie tradition-nelle permet d’obtenir un niveau K similaire à celui d’une maison à ossature bois, mais pour obtenir ces mêmes perfor-mances thermiques, la maison traditionnelle devra présen-ter des murs extérieurs beaucoup plus épais.

PopularitéLes structures de soutien en bois sont utilisées depuis long-temps, mais elles ont été moins populaires durant un certain temps, notamment par l’émergence de bâtiments en maçon-nerie plus lourde. Depuis la crise pétrolière des années ’70, la popularité des constructions en bois a augmenté dans presque tous les pays européens. Les maisons écoénergé-tiques sont, à l’heure actuelle, le plus souvent construites en bois.

RapiditéUne maison à ossature bois est, en grande partie, préfabri-quée en atelier. Le chantier se limite donc au montage des murs préfabriqués et à l’ancrage de l’ossature bois au sol. Une moyenne de quatre mois entre l’excavation des fonda-tions et le moment où vous pouvez déménager est donc une durée réaliste.

Réglementation urbanistiqueEn Belgique, aucune restriction urbanistique ne vient frap-per les constructions à ossature bois. Des maisons à ossature bois peuvent donc être construites partout. Mais comme pour toute construction, l’enveloppe extérieure doit répondre aux réglementations urbanistiques en vigueur. La fonction le plus importante de l’urbanisme est d’assurer l’intégration harmonieuse des constructions dans le paysage urbain ou en campagne. Raison pour laquelle, par exemple, certaines maisons ne peuvent avoir de toit ou doivent être construites dans des matériaux propres à la région. Informez-vous donc au préalable des prescriptions urbanistiques avant de com-mencer la conception de votre maison.

Résistance au feuContrairement aux croyances populaires, le bois est un ma-tériau présentant une bonne résistance au feu. Lorsque le bois commence à carboniser, il forme lui-même une couche protectrice de charbon qui ralentit considérablement la com-bustion tout en s’assurant des capacités mécaniques du bois et de ses fonctions portantes. Les éléments de construction en bois pour les bâtiments de

hauteur moyenne doivent, en Belgique, présenter une résis-tance au feu de 60 minutes (R60 ou REI 60). Afin de ralentir la carbonisation des montants et des poutres, des plaques de protection anti-feu supplémentaires sont généralement ins-tallées sur l’ossature. Le feu doit donc d’abord s’attaquer à ces plaques avant de pouvoir atteindre l’ossature bois.

Résistance thermiqueÉtant donné que la conductivité thermique du bois est bien moindre que celle, par exemple, de la pierre ou du métal, les murs en bois présentent une résistance thermique su-périeure et moins de ponts thermiques que les murs creux traditionnels. À titre d’exemple, une ossature bois avec des montants de 38 x 140mm dont les cavités sont remplies d’une couche de 140mm de laine minérale et d’une surface extérieure maçonnée (épaisseur totale du mur +/- 30cm) aura un coefficient de transfert de chaleur de l’ordre de 0,25 W/m²K. Un mur creux traditionnel en maçonnerie avec une isolation du mur creux a, pour une même épaisseur de mur, une valeur U du double de l’ossature bois et est donc moins efficace.

SainLe bois servant de tampon à l’humidité relative de l’air, il œuvre à obtenir un climat intérieur plus sain. Selon une étude de l’Institut de recherche sur la construction finlan-dais (VTT) effectuée en collaboration avec l’Institut für Bau-physik Fraunhofer (Allemagne) et l’Université technique d’Helsinki, l’humidité de l’air dans les pièces en bois est vi-siblement plus stable et plus basse (entre 45% et 65%) que dans les pièces ne comportant pas de bois. Cela réduit les risques d’apparitions de champignons, acariens, virus et autres bactéries et, en conséquence, l’émergence de rhinites allergiques, d’asthme ou d’infections des voies respiratoires.

SoliditéDepuis le terrible tremblement de Terre de 2011, la Nouvelle-Zélande recherche activement des solutions de construction qui permettent de résister à ces catastrophes. Compte tenu des dizaines de milliers de bâtiments scolaires dans le pays, le gouvernement a récemment effectué un test d’envergure : deux camions ont été reliés par des câbles à une école en bois de Carterton puis se sont dirigés à toute puissance dans des sens opposés. Il est apparu que l’ossature en bois a résisté à trois fois la puissance du tremblement de Terre de Christchurch en 2011. On s’attendait à ce que la structure résiste à une pression de 40 à 50 kilos newton (la puissance du tremblement de Terre évoqué), mais pas à ce qu’il reste intact à 242 kilos newton, et ce, même s’il fut lourdement endommagé. Cela représentait une excellente nouvelle aux

pour plus d’information sur les constructions à ossature bois, vous pouvez, durant le salon Bois & Habitat (du 21 au 24/03/14 à Namur), vous rendre chez les exposants travaillant le bois, mais aussi sur le stand du Belgian Woodforum, le centre belge de l’information sur le bois. Après le salon, vous pouvez toujours contacter le Belgian Woodforum via la ligne info bois au 02 219 28 32 (tous les jours ouvrables, entre 10h et 12h).

© PRIMABOUW

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yeux du Ministère de l’Éducation, car, en Nouvelle-Zélande, environ 90% de toutes les écoles sont construites sur base d’une ossature bois. Une maison à ossature bois est donc au moins aussi résis-tante et stable qu’une maison construire dans des matériaux traditionnels.

Stockage du CO2Les matériaux de construction représentent une part impor-tante des émissions totales de gaz à effet de serre. À l’échelle mondiale, la production d’acier et de ciment, par exemple, est responsable de 10% des émissions annuelles de CO2. Le bois est le seul matériau de construction qui possède la propriété d’absorber le CO2 de l’air et de le conserver tout au long de sa vie. En un an, un arbre peut absorber autant

d’émissions de CO2 qu’en produirait une voiture ayant cou-vert 18.300 kilomètres.

SurélévationPar surélévation, nous entendons la construction d’un étage supplémentaire sur une construction existante. Grâce à sa lé-gèreté, une ossature bois est ici adaptée. Le poids total d’une construction supplémentaire à ossature bois ne pèse que 60 à 65% du poids de la même construction en maçonnerie. La plupart des ouvrages de surélévation consistent à offrir un nouveau volume accompagné d’une ou plusieurs terrasses. La charge du nouveau volume se trouve donc au milieu du toit. Une charge qui sera très importante dans le cadre de constructions traditionnelles en béton ou en brique et qui nécessitera des travaux de stabilité. En cas de construction en bois, la structure existante ne nécessitera pas (dans la

plupart des cas) de travaux de stabilisation supplémentaires. C’est bien évidemment un avantage. Une surélévation offre de nombreuses possibilités en termes d’agrandissement de l’espace urbain et est la solution idéale pour ajouter du volume à de vieilles constructions de ville de façon inventive. À Stockholm, par exemple, les suréléva-tions sont utilisées pour ajouter de l’habitat au-dessus des bâtiments de bureaux.

Ces dernières années, le bois est à nouveau considéré comme un matériau de construction de qualité à part entière, en particulier lorsqu’on parle de maisons à os-sature bois. Une étude menée par le Centre Scientifique et Technique de la Construc-tion (CSTC) sur commande du VEA, l’agence flamande de l’énergie, indique que, d’ici 2020, pas moins de 15% des nouvelles maisons unifamiliales seraient réalisées sur base d’une ossature bois. Cela peut paraître peu en comparaison des 2 millions d’ha-bitations en bois aux États-Unis construites chaque année ou par rapport au parc immobilier scandinave dont 90% sont composés de constructions en bois. Mais cela représente beaucoup plus qu’au début des années 2000, lorsque les maisons en bois ne représentaient que 8 à 10% des nouveaux permis de bâtir.

Ce renouveau et le succès croissant des constructions en bois sont le résultat de mesures prises par le gouvernement pour réduire l’empreinte énergétique des bâti-ments et promouvoir l’utilisation durable des ressources naturelles, mais aussi pour encourager la mise en œuvre de techniques de production améliorées. Le bois est une matière première renouvelable localement, n’entraînant que peu de déchets de construction et nécessitant peu d’énergie pour être produite. Comparée à d’autres méthodes de construction, l’ossature bois présente un certain nombre d’avantages pratiques : elle présente un poids limité, elle ne demande pas d’apport d’eau, elle se prête aux constructions modulaires, elle possède une vitesse d’assemblage élevée, elle répond aux nouvelles tendances architecturales et elle permet d’augmenter la qualité d’isolation sans devoir augmenter de façon sensible l’épaisseur des murs ex-

térieurs. Pour un même niveau d’isolation, une structure en maçonnerie ou en béton présentera toujours une épaisseur supérieure à une ossature bois.

Aujourd’hui, les ossatures bois peuvent très bien pallier la lourdeur des constructions en maçonnerie. Les préjugés n’ont donc plus de raison d’être. L’isolation acoustique et le confort en été – deux faiblesses reconnues – ont été considérablement amé-liorés. En outre, de nouveaux matériaux ont été développés afin que les construc-tions bois répondent parfaitement aux normes de sécurité incendie, mais aussi aux exigences croissantes en termes d’étanchéité à l’air. En outre, les connaissances ac-tuelles permettent d’augmenter la hauteur des constructions à ossature bois, passant de 3 à 6 étages.

Les exigences de plus en plus strictes en matière d’économie d’énergie et de dévelop-pement durable vont redynamiser plus encore le succès des ossatures bois. S’ajoute à cela le taux inchangé de terrains à bâtir. Et puisque la portance des sous-sols joue un rôle en la matière, le bois pourra être utilisé dans des zones qui, sinon, nécessi-teraient l’établissement de coûteuses fondations. Dans les zones à forte densité de population, les constructions en bois vont, là aussi, gagner en attractivité : grâce à sa structure légère, une construction en bois pourra ainsi être ajoutée à un bâtiment existant, en augmentant ainsi le nombre d’étages sans devoir pour autant renforcer la structure sous-jacente.

© BELGIAN WOODFORUM & JONCKHEERE WOOD

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Le bois ? Naturellement !

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Informazout

Votre installation de chauffage est-elle prête pour l’hiver ?

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Avec le concours d’InformazoutTEL. 078 152 150www.informazout.be - [email protected]

Durant la saison de chauffe, l’installation de chauffage fonctionne en moyenne 1.000 à 1.500 heures. Il est donc important de la faire entretenir et régler régulièrement. Une installation bien entretenue est plus effi cace et per-met d’épargner jusqu’à 10% sur la facture énergétique. Un entretien annuel permet un fonctionnement le plus écono-mique possible du brûleur et une durée de vie prolongée.

D’éventuels restes de nids d’oiseaux et des dépôts de suie empêchent la bonne évacuation des gaz de combustion. Faites également vérifi er l’étanchéité du canal de fumée et des raccords.

N’attendez pas qu’il fasse vraiment froid pour passer commande. L’arrivée du froid et de l’hiver provoque une hausse de la demande de l’énergie de chauffage et il en va de même pour les prix qui, eux aussi, ont tendance à grimper. Un stock suffi sant pour passer l’hiver permet de se prémunir contre les hausses de prix et d’éviter un éven-tuel délai d’attente pour la livraison.

Le mazout est protégé toute l’année jusqu’à -10°C. Vous possédez un réservoir aérien à l’air libre ? Commandez alors du mazout qualité hiver. Il s’agit de mazout auquel sont ajoutés des additifs, rendant le mazout résistant à des températures allant jusqu’à -20°C, par exemple, ou plus basses encore.

En cas de stockage aérien, il est également vivement re-commandé d’isoler le réservoir à mazout ainsi que les ca-nalisations. Car sans isolation et en cas de grand froid, le risque est bien présent pour le mazout de se fi ger ou pour l’eau (de condensation) présente dans le réservoir et les canalisations de geler. Il n’y a alors qu’un réchauffement des températures ou un nettoyage mécanique complet qui puisse y remédier.

Le mazout que vous avez commandé est en passe d’être livré ? Pensez à couper l’installation de chauffage juste avant la livraison. La chaudière n’aspire ainsi aucun rési-dut charrié dans le réservoir et pouvant compromettre son

fonctionnement économique. Une fois le mazout livré ne remettez pas votre chaudière en route tout de suite. Lais-sez le temps au mazout de reposer.

N’oubliez pas en début de saison de chauffe de purger vos radiateurs. La diffusion de chaleur reste ainsi opti-male et vous évitez toute surconsommation. Pour cela, ouvrez d’abord tous les radiateurs et coupez la chaudière et la pompe à chaleur. Purgez alors chaque radiateur en tournant la valve de purge. Une fois la purge terminée, refermez soigneusement la valve et assurez-vous que la pression soit encore suffi sante. Pour cela, référez-vous au manomètre à côté de la chaudière, la pression idéale y est généralement indiquée au moyen d’une fl èche ou d’une zone verte. La pression se situe normalement entre 1,5 et 2 bar. Si celle-ci est inférieure à 1,5 bar pensez à ajouter de l’eau.

Cet hiver sera le plus froid depuis 100 ans. C’est ce que prédisent les météorologues allemands et américains sur base de modèles informatiques du National Weather Service américain. La raison en est le réchauffement de la planète. La glace au pôle nord fond très rapidement et les courants atmosphériques froids se dirigent vers le sud. Prévision exacte ou non, grâce au mazout, vous êtes prêt à affronter une saison de chauffe économique et sans faille. A condition bien sûr d’avoir commandé un stock suffi sant et d’avoir veillé à l’entretien de l’installation.

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Vendredi 22 novembre 2013 supplémENT à L’AVENIR 9

Nouvelles en bref

Selon les derniers chiffres de la Confédération Construction, le nombre de permis a baissé de 1,6% au cours du deuxième tri-mestre 2013 (avril-juin). Durant cette période, 11.989 permis ont été délivrés pour des constructions neuves. Au cours du premier trimestre (janvier à mars), on comptait 12.108 habitations neuves autorisées. A l’inverse, le nombre de permis a augmenté de 4,4% en ce qui concerne les appartements. Pour la rénovation de maisons, d’avril à juin 2013, 7.885 permis ont été octroyés. Il s’agit d’une légère baisse de 0,6%. Au tri-mestre précédent (janvier à mars), ce chiffre s’élevait à 7.930 permis.

Acheteurs et locataires désormais informés sur le risque d’inondation

Baisse du nombre de permis de construire et/ou de rénover

Vous souhaitez acheter une maison ou un terrain à bâtir ? Ou vous souhaitez louer une maison pour plus de 9 ans ? En Flandre, depuis le 11 octobre, il est légalement obligatoire d’être informé en temps utiles de la localisation du terrain ou du bâtiment dans une zone sensible aux inondations. L’obliga-tion d’information s’applique dès toute publicité relative à un bien immobilier et est également re-prise dans l’acte immobilier au sein d’un paragraphe spécifiquement établi à ce sujet. Toute personne informée au préalable y regardera probablement à deux fois avant d’aller habiter ou de construire une maison dans une zone sensible aux inondations. Certains lotissements peuvent d’ailleurs montrer des obligations et des limitations de construction spécifiques. Il peut ainsi s’avérer interdit de construire un garage sous-terrain ou il peut être obligatoire surélever les sols à une hauteur exempte de risque d’inondation. Dans certains cas, il sera totalement interdit de construire dans des zones inondables. L’obligation d’information vaut non seulement pour les professionnels tels que les agents immobiliers et les notaires, mais également pour les particuliers qui veulent vendre ou mettre leur bien en location. Elle s’applique non seulement aux maisons et ter-rains à bâtir, mais également aux prairies et bois. Et donc pour tout ce qui a trait à un bien immobilier.

Plus d’info sur www. integraalwaterbeleid.be/fr.

40.000 maisonsEn Flandre, plus de 40.000 maisons sont situées en zone inondable. Parmi celles-ci, 5.000 à 10.000 sont régulièrement victimes d’inonda-tions. Pour les autres habitations, le risque d’inondation est moindre. Raison pour laquelle une distinction est faite entre : • Zones effectivement inondables : ces zones se sont récemment retrou-vées sous eau ou des modélisations indiquent que ces zones sont inon-dées tous les 100 ans, voire plus souvent. • Zones potentiellement inondables : dans ces zones, aucune inonda-tion n’est à déplorer dans un passé récent et on ne s’attend pas plus à des inondations fréquentes. Elles sont inondées uniquement en cas de conditions atmosphériques extrêmes ou en cas de défaillance du système de compensation, telle qu’une rupture de digue.Les zones inondables ne correspondent pas aux ‘zones à risque d’inon-dations’. Ces zones ont été délimitées par le gouvernement fédéral dans le cadre de l’assurance intervenante en cas de catastrophes naturelles. Si vous achetez une maison dans ce genre de zones à risque, vous payerez une prime d’assurance plus élevée. Ceux qui ont construit dans ce type de zones après le 23 septembre 2008 peuvent se voir refuser une police pour dégâts des eaux par leur assureur. Voulez-vous savoir si une parcelle se trouve dans une zone inondable ou une zone à risque d’inondations ? Rendez-vous sur www.watertoets.be afin de consulter la carte. Les zones à risque d’inondations sont indiquées en bleu foncé, les zones effectivement inondables, en bleu moyen et les zones potentiellement inondables, en bleu clair. Vous pouvez obtenir un complément d’information par le biais du gestionnaire d’eau compétent.

Vous trouverez également ses coordonnées sur www.watertoets.be

Le nombre de faillites dans le secteur de la construc-tion a augmenté de 16,9% entre juin et août. Au cours de cette période, 549 entreprises de construc-tion se sont vues contraintes de déposer le bilan. De mars à mai, ce sont 470 entreprises qui ont fait faillite.

Spécifiquement pour la Flandre, le nombre de faillites dans le secteur de la construction a aug-menté de 13% durant les trois premiers trimestres de 2013 par rapport à la même période en 2012. Cette augmentation s’ajoute à la hausse du nombre de faillites de 17% en 2012 par rapport à 2011.

Le nombre de faillites augmente

© SIBOMAT

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10 conStruction & RENOVATION

Mode d’emploi

la préparation 1. Retirez d’éventuelles finitions intérieures et autre pare-va-

peur. 2. Nombre de vieux toits en pente sont déjà isolés avec

des panneaux rigides de polystyrène expansé de 4 cm d’épaisseur ou avec des matelas à languettes d’environ 6 cm d’épaisseur. Mieux vaut retirer les panneaux même s’ils sont encore en bon état. Généralement, ils ne s’ajus-tent pas parfaitement à la structure portante et à la sous-toiture. Les matelas à languettes encore intacts peuvent être conservés. Toutefois, au moyen d’un couteau à pain, opérez de grandes entailles dans le pare-vapeur afin qu’il ne fasse plus fonction de pare-vapeur. Vous pouvez en-suite parfaire l’isolation et placer à nouveau un pare-va-peur.

3. Il est préférable de détruire les cheminées non utilisées. Moins la construction a de trous, moins il y aura de ponts thermiques et moins le risque de fuites d’air et de conden-sation interne sera grand.

4. Entre la toiture et l’isolation, une sous-toiture doit être installée. Une sous-toiture protégera la construction de la pluie et du vent. En cas de vent violent par exemple, de la neige tournoyante peut se glisser entre les tuiles et ainsi humidifier l’isolation. Une sous-toiture empêchera ce phénomène et évacuera les éventuelles gouttes de pluie vers la gouttière.

Si votre toit est déjà pourvu d’une sous-toiture, contrôlez si celle-ci est effectivement perméable à la vapeur. C’est le cas si des panneaux de fibrociment ou du film micro-perforé ont été utilisés. Vérifiez si la sous-toiture est tout autant étanche au

vent : tout chevauchement et tout raccord (les surfaces du toit avec le panneau mural, près des fenêtres de toit et buses de ventilation…) doivent être soigneusement colmatés. S’il n’y a pas encore de sous-toiture, il vous faudra en placer une. Cela signifie que la toiture entière doit être démontée. Il existe beaucoup de matériaux pour la sous-toiture, mais ils ne sont pas tous aussi perméables à la vapeur. C’est pour-tant très important : l’humidité se trouvant éventuellement dans la construction doit pouvoir s’échapper vers l’extérieur par le toit, et ce, sans obstacle. Les sous-toitures existent en matériaux souples et rigides. Les sous-toitures souples ap-propriées sont, par exemple, les films de fibres polyéthylène non tissées ou le polypropylène (non) tissé. Important : une sous-toiture souple ne peut jamais se fixer contre les tuiles, car cela empêche la circulation de l’air et une bonne évacua-tion de l’humidité sous les tuiles. Les sous-toitures rigides ont un raccord chanfreiné. Cela présente l’avantage qu’elles sont d’elles-mêmes bien étanches à l’air au point de raccord entre deux panneaux. Vous devrez uniquement colmater aux en-droits où les raccords chanfreinés ne sont pas possibles, par exemple près d’une lucarne. L’épaisseur standard des sous-toitures rigides est de 18 à 22 mm, mais il en existe égale-ment jusqu’à 8 cm d’épaisseur à utiliser par exemple comme couche d’isolation primaire.

le matériau d’isolation adéquat Les isolants de toit sont disponibles en divers matériaux et sous forme de panneaux rigides, semi-rigides et matelas à languettes. Toutefois, pour les toits sarking, les panneaux rigides pour

l’isolation d’un toit en pente sont moins adaptés, car il est difficile de les ajuster parfaitement entre les menuiseries. Ils peuvent éventuellement être utilisés pour une deuxième couche d’isolation sous la structure portante. Les panneaux d’isolation semi-rigides s’enfoncent quelque peu et s’ajustent donc bien entre les chevrons. C’est certai-nement un avantage majeur en cas de distances irrégulières entre les chevrons. Les matelas à languettes sont livrés en rouleaux et sont déjà pourvus d’un pare-vapeur sur un des côtés.Lorsque vous souhaitez isoler avec deux sortes de matériaux différents – par exemple avec de la laine minérale et avec des panneaux synthétiques rigides -, le matériau d’isolation le plus étanche à la vapeur - les panneaux rigides – doit se trou-ver du côté intérieur. Les panneaux rigides sont plus étanches à la vapeur. Il convient donc de placer d’abord contre la sous-toiture la laine minérale et ensuite les panneaux rigides en deuxième couche.

Isoler un toit à chevrons La façon d’isoler un toit en pente dépend du type de toit. Il en existe 2 types : les toitures ‘traditionnelles’ avec moises et chevrons, et les toitures à ferme. La plupart des maisons plus anciennes ont une toiture ‘tra-ditionnelle’. Les chevrons en bois (les plus petites lattes) vont du faîte du toit vers le bas tandis que les moises (les lourdes poutres horizontales) vont de mur à mur. Parfois, les chevrons sont abandonnés au profit de panneaux sandwich (éléments de toiture préfabriqués, autoportants déjà pourvus d’une isolation).

Il n’est pas difficile d’isoler un toit en pente. Cela sup-pose néanmoins davantage de travail que de placer simplement un peu de matériau d’isolation entre les chevrons. Avant de commencer, il est important de déterminer la meilleure isolation, de souligner les prio-rités et d’opter pour les matériaux les mieux adaptés.

Isoler soi-même un toit en pente existant.

Page 11: Supplément commercial. Construction

Vendredi 22 novembre 2013 supplémENT à L’AVENIR 11

Isoler les murs extérieurs de l’intérieur. À quoi faut-il faire attention ?

Votre maison montre-t-elle des murs pleins ou des murs creux dont l’espace vide est plus étroit que 5 cm ? L’iso-lation par l’extérieur s’avère être la meilleure solution d’un point de vue purement architectural. Pour mettre cette méthode en œuvre, un treillis est placé sur le mur extérieur. L’isolant y sera accroché avant de recevoir une couche de crépis de façade ou de tout autre habillage de façade. Vous pouvez également isoler le mur creux. Dans ce cas, le matériau d’isolation est diffusé dans le vide via un certain nombre de trous percés dans le mur. Vu son coût limité, cette technique a connu un succès grandissant au cours des dernières années. Lorsque votre maison ne possède pas de mur creux, lorsqu’isoler de l’extérieur n’est pas admis au vu des les règles de construction ou lorsque la façade est classée au patrimoine immobilier, la seule possibilité restante est d’isoler les murs extérieurs de l’intérieur. Même si c’est une solution généralement assez bon marché, c’est également celle qui comporte le plus de risques. Outre l’abondant travail de prises de mesure, d’importantes connaissances techniques architecturales sont requises pour éviter les problèmes de condensation. La condensa-tion provoquera notamment des désagréments tels que l’apparition de moisissure. L’isolation par l’intérieur est donc principalement utilisée lors de rénovations radi-cales induisant d’autres travaux de réaménagement.

Est-ce possible ? Parfois, les murs extérieurs ne conviennent pas à une iso-lation par l’intérieur. C’est le cas, par exemple, lorsque la façade est attaquée par une humidité ascendante. On reconnaît l’humidité ascendante au plafonnage qui se détache, à des zones humides sur le papier peint ou à la formation de moisissure sur les murs. L’application d’une isolation ne fait qu’aggraver le problème d’humidité as-cendante du fait que le mur ne peut plus sécher de l’in-térieur. Il convient donc de résoudre d’abord le problème d’humidité ascendante, par exemple en disposant une couche hydrofuge sur le bas des murs. De même lorsque de petits fragments ou des éclats de brique se sont déta-chés suite au gel, il convient de faire attention. Sans une réflexion approfondie, toute façade humide sera encore plus sensible au gel après application d’une isolation par l’intérieur. Il s’avèrera alors nécessaire de prévoir, après l’isolation intérieure, une imprégnation hydrofuge ou une autre finition de façade résistant à la pluie.

Avec quel matériau ? Afin d’isoler de l’intérieur les murs extérieurs d’une maison, il existe deux groupes de matériaux. Le premier groupe est celui des matériaux d’isolation étanches à la vapeur tels que le verre cellulaire, polystyrène extrudé (XPS) ou le polyuréthane (PUR). Ils se présentent sous forme de plaques rigides sur lesquelles se place directe-

ment une finition intérieure. Le second groupe est celui des matériaux d’isolation perméables à la vapeur tels que la laine minérale. Dans ce cas, il convient d’installer, en plus, entre l’isolation et la finition, un pare-vapeur conti-nu ou un frein vapeur.

Quelle épaisseur ? Contrairement au remplissage d’un mur creux, en cas d’isolation intérieure, vous n’êtes en principe pas limité à une épaisseur précise. En ayant recours à une isolation plus épaisse que la largeur du mur creux classique, on obtient des prestations thermiques supérieures. Mais plus l’isolation intérieure est épaisse, plus le risque de condensation interne et d’autres problèmes est grand. Si vous souhaitez, par exemple, que votre façade soit aussi bien isolée que la façade d’une construction neuve actuelle, avec des matériaux d’isolation classiques, il vous faudra environ une épaisseur de 14 cm pour obtenir une valeur U de maximum 0,3 W/m²K. Dans ce cas, vous devrez remplacer les fenêtres et les plafonds, sols, murs intérieurs devront bénéficier d’une rénovation en profon-deur. En pratique, le choix se porte généralement sur une isolation d’environ 6 cm (pour une valeur U de maximum 0,6 W/m²K). L’épaisseur idéale de l’isolation dépend du risque de condensation.

En savoir plus ? La VEA (Agence flamande de l’énergie) a édité une publi-cation pratique bourrée de conseils pour ceux qui sou-haitent isoler leurs murs extérieurs. ‘Binnenisolatie van Buitenmuren’ (Isolation par l’intérieur des murs exté-rieurs), une réalisation du CSTC en collaboration avec la KULeuven est à télécharger gratuitement sur http://www.vlaanderen.be/nl/publicaties/energie. La Région wallonne a développé une brochure compa-rable avec le projet Isolin, comportant un outil de calcul Excel. La brochure et l’outil peuvent se commander gra-tuitement sur http://energie.wallonie.be

L’isolation par l’intérieur n’est pas la méthode la plus évidente pour isoler des murs extérieurs. Cependant, isoler de l’intérieur est par-fois la seule possibilité lorsque l’isolation du mur creux ou l’isolation par l’extérieur ne sont pas envisageables. Si vous souhaitez procé-der à une isolation par l’intérieur, à quoi faut-il faire attention ?

Une toiture à ferme s’isole en comblant l’espace entre les chevrons d’une couche de panneaux d’isolation non revêtus. A cet effet, il convient de découper les panneaux 1 cm plus large que l’entre-distance entre les chevrons, et de les coincer entre la structure du toit. Toutefois, les chevrons n’ont géné-ralement qu’une hauteur de 6 cm, ce qui est actuellement loin d’être suffisant comme épaisseur d’isolation. Il faudra donc apposer encore une couche et – pour maintenir le ma-tériau à sa place – fabriquer une sorte de cadre comportant des chevrons en bois supplémentaires. Posez les chevrons du côté intérieur transversalement sur les chevrons existants. Si vous posez simplement les chevrons sur les chevrons exis-tants, un pont thermique se formera. La deuxième couche d’isolation se pose croisée de sorte que les joints et interstices de la première couche d’isolation sont recouverts par une autre couche d’isolation. Cela empêche les fuites d’air.

Isoler une toiture à ferme Les fermes de toiture sont des poutres en bois de 15 ou 18 cm de hauteur, verticales, allant du bord inférieur du toit jusqu’au faîte du toit, contre une poutre transversale reliant deux murs. En cas de toiture à ferme, l’espace entier entre les fermes est rempli de matériau d’isolation, jusque contre la sous-toiture. Cette première couche permet déjà d’obtenir une épaisseur d’isolation de 15 ou 18 cm. Toutefois, les fermes mêmes for-ment des ponts thermiques. Pour les supprimer, et en outre pour assurer une isolation plus épaisse, vous posez transver-salement sur les fermes un chevronnage complémentaire, et vous coincez ensuite des panneaux d’isolation semi-rigides

ou rigides entre ces chevrons. Des fermes d’une hauteur de 18 cm combinés à des chevrons de 6 cm génèrent alors une épaisseur d’isolation de 24 cm. Au lieu de construire une structure en bois supplémentaire entre les moises, il y a moyen de mettre en place une isolation de toit épaisse à l’aide de tiges de suspension qui ressemblent à de petites flèches aplaties. Vous y fixez par dessus aussi bien l’isolation que le pare-vapeur. Vous ne devez pas plus installer de structure en bois complémentaire si vous utilisez des profils en métal à embout télescopique que vous pincez entre les moises. Cette solution est plus onéreuse, mais elle vous épargne tout un travail de prise de mesure et de sciage.

N’oubliez pas le pare-vapeur Le point à propos duquel en pratique la plupart des erreurs sont commises est celui du pare-vapeur. Un pare-vapeur doit empêcher à la vapeur d’eau que nous produisons à l’intérieur de la maison de s’infiltrer dans l’isolation et de se condenser

lorsque la température baisse. L’humidité est un grand en-nemi de l’isolation, car une isolation humide isole nettement moins. Placez donc toujours un pare-vapeur immédiatement après isolation.

Le matériau utilisé comme pare-vapeur importe peu pour autant qu’il soit étanche à la vapeur. Sur certains matériaux d’isolation, un film en aluminium faisant office de pare-va-peur est déjà fixé en usine. Dans ce cas, veillez à placer le pare-vapeur du côté chaud (le dessous). En cas de matériau d’isolation sans écran à l’air/pare-vapeur, il convient de fixer par après un écran distinct. Agrafez l’écran à l’air contre le dessous de la structure portante en bois. Veillez à ce qu’il n’y ait aucun vide ventilé entre l’isolation et l’écran à l’air. Faites chevaucher les joints d’au moins 5 cm, de préférence à hauteur de la structure portante. Le risque que l’écran à l’air se déchire sera moindre. Veillez également à un bon cloison-nement étanche à l’air avec le gros œuvre. Très important, il convient de bien colmater joints et bords.

Vaut-il mieux isoler du côté extérieur ? Au lieur d’isoler du côté intérieur, il y a également moyen d’isoler à partir du dessus de la construction de toit, donc par dessus les chevrons et fermes. C’est ce que l’on appelle un toit sarking. l’avantage en cas de rénovation est qu’il n’est pas nécessaire de retirer la finition du côté intérieur et que – du fait du bouclier d’isolation ininterrompu – il n’y a pas de ponts thermiques. évidemment, le dessus de la structure de toit subit une intervention radicale. le placement d’une toiture sarking n’est pas réalisable par le particulier.

Page 12: Supplément commercial. Construction

12 conStruction & RENOVATION PUBLIREPORTAGE

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À moins qu’elle n’atteigne le niveau E54, une habitation neuve doit à partir de l’an prochain générer une quantité minimale d’une ou plu-sieurs sources d’énergie renouvelable. L’installateur Mario Ramont de Sleidinge a en tout cas voulu donner le bon exemple dans sa propre maison. Il a installé un système hybride geoTHERM de Vaillant – com-binaison d’une chaudière murale à condensation et d’une pompe à chaleur murale – et a constaté que c’était impeccable. La régulation intelligente choisit en effet automatiquement la source d’énergie la plus effi cace, l’installation étant alors aussi avantageuse qu’écologique.

Le mot ‘hybride’ vient du grec et signifi e ‘mélangé, de dif-férentes origines’. Un système de chauffage hybride est un système combinant différentes sources d’énergie entre elles. Le système que Mario Ramont a installé est la combinaison d’une pompe à eau sol-eau murale et d’une chaudière à condensation. La pompe à chaleur extrait la chaleur du sol et chauffe la maison de Mario jusqu’à 3 kW. La chaudière murale à condensation chauffe l’eau sanitaire et assure le complément de chauffage lorsque la demande de chaleur excède 3 kW.

Jusqu’à 25% en moins de consommation énergétiqueUn système de pompe à chaleur sol-eau extrait la chaleur

du sol, soit par le biais d’un réseau horizontal de canali-sations enfouies à une profondeur d’environ 1,5 m dans le sol, soit par le biais d’une sonde placée au moyen d’un forage dans le sol jusqu’à une profondeur déterminée. L’installateur a opté pour la deuxième possibilité. Mario Ramont : « Jusqu’à aujourd’hui, c’était avec les forages en profondeur que l’on obtenait toujours le meilleur ren-dement mais l’investissement coûtait cher. Ce système hybride permet en un seul forage de générer un bon ren-dement et le coût de l’installation complète baisse en fl èche. »Une seule pompe à chaleur sol-eau de 3 kW ne suffi t gé-néralement pas pour chauffer la totalité d’une maison, d’autant plus s’il fait -10°C dehors. « C’est pourquoi, une ecoTEC plus a été ajoutée. Cette chaudière à condensation reprend à son compte le chauffage lorsque la pompe à

chaleur n’en vient pas à bout. J’ai également un boiler solaire qui produit l’eau chaude sanitaire, un auroSTEP plus 250, mais en hiver, il n’y arrive pas tout seul et la chaudière à condensation vient en renfort. »La pompe à chaleur et la chaudière à condensation sont couplées entre elles grâce à une régulation intelligente. Sur base du besoin en chaleur mais également en fonc-tion du prix du gaz et de l’électricité à ce moment-là, la régulation choisit automatiquement la source de chaleur la plus avantageuse avec le rendement le plus élevé. Le système de chauffage consomme ainsi jusqu’à 25% en moins d’énergie qu’un système comportant uniquement une chaudière à condensation.

Refroidissement passifQuand il fait chaud, le système peut en outre garantir un refroidissement passif, et cela par le biais de l’eau dans les canalisations du chauffage par le sol. « En été, l’eau que nous pompons passe par un échangeur à plaques », poursuit Mario Ramont. « Et ainsi, sans pour autant consommer de l’énergie en plus, le chauffage par le sol est alimenté par de l’eau ayant la température du sol au lieu d’eau chauffée, et il fait tout de suite 3 à 4 degrés en moins dans la maison. » Le système hybride geoTHERM de 3 kW convient pour les maisons équipées de chauffage par le sol et dont le besoin en chaleur ne dépasse pas 10 kW. Pour rendre l’installa-tion encore plus écologique et économique, il est possible de compléter le système hybride d’un boiler solaire (par exemple le Vaillant auroSTEP plus).

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Page 13: Supplément commercial. Construction

Vendredi 22 novembre 2013 supplémENT à L’AVENIR 13

Lancez maintenant votre offensive hivernale

C’est l’automne, le moment idéal pour mettre votre installation de chauf-fage en condition optimale. Accordez également une attention suffisante aux robinets et canalisations d’eau. Mieux vaut prévenir que guérir.

L’eau gèle à 0 °C. Une isolation simple est susceptible de re-tarder le gel de quelques jours, mais est insuffisante en cas de gel intense ou prolongé. Veillez donc à ce que la tempéra-ture dans tous les locaux contenant des canalisations d’eau soit toujours supérieure à zéro degré. Si ce n’est pas pos-sible, vous pouvez, en cas de gel, placer un ruban de chauf-fage électrique ou une résistance de chauffage autour des conduites. Gare aux conduites synthétiques : elles peuvent fondre sous l’effet de la chaleur. Pensez également aux robinets et aux conduites extérieurs dans ou contre les murs extérieurs froids, surtout si ceux-ci sont exposés au vent du nord. La maison est-elle inhabitée en hiver ? Fermez l’arrivée d’eau. N’oubliez pas au préalable de vider toutes les canalisations. Pour ce faire, ouvrez tous les robinets avant de fermer le robinet principal.Que faire si les canalisations gèlent malgré tout ? Si tout à coup vous n’avez plus d’eau courante, le raccord de dériva-tion est peut-être gelé. Dégelez la partie à l’intérieur de la maison au sèche-cheveux, en commençant par le robinet principal. Faites des mouvements constants d’allée et venue avec le sèche-cheveux. Si le compteur d’eau ou le raccord de dérivation est gelé hors de la maison, prenez contact avec votre compagnie de distribution de l’eau.De même, si une partie de l’installation intérieure est gelée, un sèche-cheveux peut s’avérer très utile. Fermez le robinet principal, commencez avec le sèche-cheveux au point de prélèvement et descendez vers le robinet principal. Lorsque les canalisations sont dégelées, ouvrez un tout petit peu le

1 Faites entretenir votre installation de chauffage par un professionnel et ne laissez aucune chance au CO.Un chauffage correctement installé et entretenu convenablement offre un rendement plus élevé, avec pour résultat une baisse de la consommation et de la pollution. Le risque d’empoisonne-ment au CO diminue également. Les causes principales d’em-poisonnement au CO sont une mauvaise évacuation des gaz de combustion et une absence de bonne ventilation. Faites donc régulièrement contrôler votre installation de chauffage par un professionnel.

Si vous effectuez des travaux en vue de remédier aux risques d’intoxication au CO dans votre maison, vous pouvez deman-der la prime d’amélioration auprès de la Région flamande (info : www.wonenvlaanderen.be). Pour autant que les conditions soient remplies, celle-ci s’élève à 250 euros pour le placement d’un appareil de chauffage de l’eau sanitaire avec chambre de combustion fermée ; 500 euros pour la construction/rénovation, réparation ou adaptation d’une cheminée et 1.000 euros pour l’installation d’un chauffage central ou les transformations me-nant à celui-ci.

De nombreuses administrations locales accordent une prime d’amélioration complémentaire. La province de Flandre occiden-tale octroie ainsi une prime de 100 à 500 euros pour le rempla-cement d’appareils de chauffage non sécurisés contre le CO dans la salle de bains ou la salle de douche et/ou le remplacement de poêles à charbon. Plus d’info sur www.premiezoeker.be. © FERO

© CORBIS

2 Protégez vos robinets et conduites d’eau contre le gel.

robinet principal. Pas entièrement, car les conduites pour-raient céder. Assurez-vous d’abord qu’il n’y a pas de fuite avant d’ouvrir complètement le robinet principal. Si vous ne parvenez pas à dégeler la canalisation, il n’y a rien d’autre à faire alors que d’attendre des températures plus fa-vorables et que les canalisations se dégèlent d’elles-mêmes. Dans ce cas, mieux vaut laisser le robinet principal fermé si vous n’êtes pas à la maison ou si vous allez dormir. Vous évi-terez ainsi que votre sol ou votre cave se trouve sous eau lors d’un dégel soudain. Si, après une période de gel intense, le dégel est annoncé brusquement, soyez d’autant plus vigilant aux éventuelles fuites d’eau. Contrôlez surtout les pièces non chauffées et n’oubliez pas le robinet extérieur. Pour être sûr que vous n’avez pas de fuite(s) cachée(s), relevez le compteur d’eau avant d’aller vous coucher. Faites la même chose le lende-main matin. Si vous constatez une consommation alors qu’aucun robinet n’a été ouvert, c’est qu’il y a une fuite ca-chée. Appelez sans tarder votre installateur. Vous trouverez un professionnel dans votre région, notam-ment sur www.vinduwaannemer.be.

Page 14: Supplément commercial. Construction

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1. Choisir Les matériaux de gros œuvre et solutions de Wienerber-ger sont connus dans le monde entier pour leur esthétique, confort, sécurité et durabilité. Les blocs pour murs intérieurs, briques de parement et tuiles et pavés en terre cuite sont com-mercialisés sous les noms de marque Porotherm, Koramic, Terca et Desimpel. Dans les showrooms à Londerzeel et Cour-trai, pas moins de 600 briques de parement, blocs pour mur intérieur, tuiles et pavés en terre cuite sont exposés, classés de façon très claire, et disponibles dans toutes les couleurs et structures possibles.

2. Apprendre Dans le ‘Walk of Building’, vous vous familiarisez avec la construction d’une maison. De grandes maquettes vous mon-trent l’aspect des briques de parement, blocs pour murs inté-rieurs et tuiles, une fois placés. Vous en apprenez également plus sur les techniques de maçonnerie, constructions de toit, matériaux d’isolation et systèmes de toit. Pour en savoir da-vantage sur les revêtements de façade et les toutes dernières nouveautés, rendez-vous à l’’Innovation Wall’.

3. Combiner Dans des présentoirs spéciaux, appelés ‘combinateurs’, vous pouvez placer l’un à côté de l’autre les matériaux de gros œuvre qui retiennent votre attention : des briques de pare-ment, tuiles en terre cuite, profi ls de fenêtre au mortier de join-toiement. Vous voyez ainsi ce que la combinaison donnera en réalité. N’est-ce pas à 100% ce que vous voulez ? Remplacez

tout simplement un ou plusieurs éléments jusqu’à ce que le résultat réponde parfaitement à vos souhaits.

4. Emporter Vous trouvez également dans les showrooms des échantillons de la gamme complète de briques de parement, tuiles et pavés en terre cuite de Wienerberger. Vous pouvez les emporter chez vous afi n de réfl échir mûrement votre choix, bien au calme.

5. Conseiller Tant les bâtisseurs/rénovateurs particuliers que les profes-sionnels de la construction reçoivent dans les showrooms une réponse professionnelle à toutes leurs questions. Qu’il s’agisse de PEB, de prix ou d’adresses de référence : des professionnels vous fournissent documentation et conseils techniques.

Les matériaux de gros œuvre sont aussi importants que la fi -nition intérieure. Ne vous lancez donc pas à la légère. Pour vous aider à choisir, Wienerberger a imaginé un concept de showroom proposant tous les matériaux de gros œuvre sous un seul toit : briques de parement, blocs pour murs intérieurs, tuiles et pavés en terre cuite, …

Wienerberger

Tout pour le gros œuvre sous un seul toit

Showroom Courtrai :Kapel ter Bede 88,8500 KortrijkTél.: 056 24 95 88Showroom Londerzeel:A12-Koning Leopoldlaan 1,2870 Breendonk.Tél.: 052 31 10 10Egalement ouvert le samedi• Lundi, mardi et jeudi, de 9h à 18h.• Mercredi et vendredi, de 9h à 19h.• Samedi, de 9h à 16h30.

Parc d’expo pour pavés en terre cuite aussi à Londerzeel Le showroom de Londerzeel dispose actuellement aussi d’un parc d’expo pour pavés en terre cuite, tout comme le showroom à Courtrai. Vous y décou-vrez les multiples possibilités créatives des pavés en terre cuite, et de plus dans des circonstances idéales, à l’air libre. Vous constatez tout de suite l’infl uence qu’ont soleil de plomb et pluie battante sur la surface des pavés.

Parc d’expo pour pavés à Londerzeel

Briques de parement:Innovantes et tendance

La gamme de matériaux de gros œuvre dans les showrooms est actualisée en permanence. Venez découvrir les toutes nouvelles briques de parement dans les collections Iluzo, Wasserstrich, Linneaus et Marono.

L’Iluzo est maçonnée selon la méthode classique, avec une couche de mortier de 12 mm, mais du fait de la cavité sur la face de pose de la brique, le résultat ressemble à de la maçonnerie collée.

Typique de la série de briques de parement Was-serstrich Special, le format ultra long et fi n de même que la structure usée, irrégulière. Cet aspect luna-tique est à la fois robuste et tendance.

La Linnaeus est une brique de parement étirée à la machine, légèrement nervurée et rabotée. Cette brique de parement innovante offre de multiples possibilités créatives pour des projets contempo-rains.

L’aspect de la Marono est à la fois uniforme et ru-gueux, robuste tout en étant raffi née. Grâce à leur structure et à leurs formats, ces briques de parement offrent de nombreuses possibilités architecturales et elles créent à chaque fois un effet fascinant de sur-faces changeantes

Page 15: Supplément commercial. Construction

Vendredi 22 novembre 2013 supplémENT à L’AVENIR 15

Nouveautés

Vous souhaitez publier votre propre magazine concernant la construction ? C’est possible. Surfez sur www.deceuninck.be, effectuez deux choix parmi 6 styles, deux choix parmi 6 reportages et deux choix parmi 6 domaines d’intérêt. Vous obtiendrez alors un magazine de 76 pages que vous aurez vous-même composé avec des articles concernant les matériaux, les économies d’énergie, la décora-tion, les innovations ainsi que quelques reportages sur la construction et l’habitat. Le résultat de votre travail de rédacteur en chef pourra vous être envoyé

en digital ou en version imprimée, directement à la maison, le tout gratuitement. Étant donné que vous devez opter pour 2 styles, 2 reportages et 2 centres d’intérêt parmi un total de 3x6 possibilités, vous avez un choix de contenus dans le magazine parmi 3.375 possibilités. Vous obtiendrez ainsi une couverture, mais aussi un contenu personnalisé – à vos propres noms et pré-noms – et vous serez également repris comme étant le rédacteur en chef du magazine.

La nouvelle collection de douches Axor, la marque design de Hansgrohe, met l’accent sur les tuyaux et les éléments de raccord qui, normalement, se trouvent dans les murs. Le pommeau de douche et la douchette à main ressemblent à un entonnoir renversé, tandis que les boutons de contrôle sont stylisés pour augmenter le ressenti. La collection a été créée par le trio suédois connu sous le nom de Front, trois femmes qui possèdent dans leur portefeuille client des marques telles que Moroso, Porro, Kvadrat,

Moooi, Established & Sons ou Swarovski. Leur travail peut être admiré dans des collec-tions permanentes se trouvant, entre autres, au MoMa à New York. Le prix conseillé pour le tuyau de douche Axor Front avec un pommeau de douche de 240mm de diamètre : 2.178 € TVAC. L’in-tensité de l’eau peut être modifiée au moyen du bouton de sélection situé au centre du pommeau. Vous avez ainsi le choix entre Rain (17 litres par minute) ou RainAir (16 litres par minutes).

Robin Urzeel représente la septième généra-tion de la famille Urzeel, professionnellement impliquée dans l’entretien des arbres. Il a suivi une formation en horticulture et c’est rendu à Eindhoven pour une spécialisation en dendrologie (la chirurgie des arbres). Quand un arbre est malade et ne peut être sauvé, il le transforme en œuvre d’art grâce à la sculp-ture, la gravure et le polissage. L’arbo-art ou l’art sur arbre, comme il l’appelle. « Je permets à l’arbre de poursuivre sa vie » explique-t-il ; « même si c’est d’une autre manière. » Dans un premier temps, il crée un modèle brut à l’aide d’une tronçonneuse. Cela lui permet de ressentir la forme de l’arbre et de se laisser inspirer par les irrégularités du bois.

Il ne dessine pas un concept à l’avance. C’est le bois qui détermine la forme que prendront les choses. Certains modèles sont carbonisés au chalumeau, rendant le bois noir, mais lui conférant surtout une protection naturelle. Dans d’autres cas, il polit le bois ou combine les deux techniques. Les nœuds, tiges et autres racines sont transformés par Robin Urzeel en œuvres d’art pour l’intérieur ou l’extérieur. Depuis peu, il expérimente de nouvelles techniques pour créer des bijoux. Les travaux de Robin Urzeel sont visibles lors de Bois & Habitat, stand 4115a.

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Arbo-art

Les tuyaux augmentent l’attractivité

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Page 16: Supplément commercial. Construction

16 conStruction & RENOVATION

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Choisir les matériaux appropriés pour le gros oeuvre n’estpas évident. C’est cependant tout aussi important que leparachèvement intérieur. Le gros oeuvre constitue en effetl’ossature portante, mais aussi la carte de visite de votre maison. Qualité, esthétique, prix et confort jouent ici un rôletrès important.

Pour apporter une réponse claire et étayée à toutes vosquestions, Wienerberger, connu pour les marques Terca, Koramic, Porotherm et Desimpel, a mis au point unconcept de showroom nouveau et unique.

Vous pourrez:• y choisir parmi plus de 600 briques de parement, tuiles et pavés enterre cuite présentés dans des situations de pose réelles.• vous y informer sur la structure, la construction et les solutionsesthétiques.• y composer vous-même, grâce aux ‘Combinators’, les combinaisonsappropriées de briques de parement, de joints et de tuiles terre cuite.• y emporter les échantillons que vous préférez dans notredépartement échantillons.• y être conseillé par des réponses professionnelles à toutes vosquestions en matière de gros œuvre.Découvrez dans ce journal les atouts uniques du concept de showroom de Wienerberger ou, mieux encore, venez y jeter un coup d’œil.

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Date présumée du début des travaux: 2013 2014 plus tard

Vos données peuvent être enregistrées dans le fichier des sociétés indiquées. Si vous ne le souhaitez pas, cochez cette case : ❍ (loi du 8 décembre 1992 relative à la protection de la vie privée)

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