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Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute 1 Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute Station hertzienne de Pierre-sur-Haute 11.804 La station hertzienne de Pierre-sur-Haute. On distingue les deux tours militaires, la tour relais de TDF au centre, les bâtiments de vie, ainsi qu'une hélistation. Construction 1961 Contrôlé par  France Effectifs ± 20 Coordonnées 45° 39 11 N 3° 48 30 E [1] 45° 39 11 Nord 3° 48 30 Est [1]

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Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute 1

Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute

Station hertzienne de Pierre-sur-Haute 11.804

La station hertzienne de Pierre-sur-Haute. On distingue les deux tours militaires, la tour relais de TDF au centre, les bâtiments de vie, ainsi qu'unehélistation.

Construction 1961

Contrôlé par  France

Effectifs ± 20

Coordonnées 45° 39′ 11″ N 3° 48′ 30″ E [1]45° 39′ 11″ Nord3° 48′ 30″ Est [1]

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Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme

Géolocalisation sur la carte : Loire

Géolocalisation sur la carte : France

modifier [2] 

La station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute est un site de trente hectares voué aux communicationsinterarmées françaises, situé sur les communes françaises de Sauvain et de Job, la limite entre les régionsRhône-Alpes et Auvergne traversant la base et le massif de Pierre-sur-Haute étant le point culminant du départementde la Loire, à 1 634 m[3]. En périphérie de sa vocation militaire, le site comporte une tour hébergeant un relaishertzien civil appartenant à TDF[4] surmontée d'un radar de la direction générale de l'Aviation civile (DGAC).La Croix de Pierre-sur-Haute est située dans la partie de la station relevant de la commune de Job.

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Histoire

La station de télégraphie optique à ses toutdébuts, à côté de la croix.

Sur les terrains que l'armée française a achetés en 1907 et quideviendront ce site, elle construit en 1913 un télégraphe Chappeconsistant en un modeste bâtiment en pierre surmonté du dispositif decommunication optique[4].

Lors de la Guerre froide, en 1961, l'OTAN donne à l'armée françaisepour mission de construire l'une des 82 stations de son réseau detransmission, le réseau ACE High (Allied Command Europe). Son nomde code est FLYZ[5]. À partir de 1974, la responsabilité du site passede l'armée de terre à l'armée de l'air. Dès 1988, l'OTAN envisage ledémantèlement du réseau ACE HIGH avec comme conséquence la

création de nouveaux plans de fréquences nationaux.

La station hertzienne de l'OTAN utilisait des liaisons radio troposphériques et du matériel américain : soient desbonds radio de l'ordre de 300 km, les plus longs atteignant plus de 450 km (entre la station du sommet de Mossy Hill— UMSH[5],[6],[], district de Virkie, dans le sud de l'île de Mainland dans l'archipel des Shetland, Écosse,Royaume-Uni, installation fermée en 1991 — et celle du pic Lysenuten — NLYZ[5],[6], à Vindafjord, comté deRogaland, Norvège). La puissance nominale d'émission qu'assurait un klystron était 10 kW.[réf. souhaitée] En raisondes caractères des transmissions troposphériques, ces liaisons fonctionnaient en diversité spatiale et de fréquences.La station de Pierre-sur-Haute qui servait de relais entre, au sud, celle du Lachens (FNIZ[5] — qui domine le campmilitaire de Canjuers aux confins des départements des Alpes-Maritimes, du Var et des Alpes-de-Haute-Provence)et, au nord, celle du Mont Août (FAOZ[5] — à Broussy-le-Grand dans le département de la Marne), reposait surquatre émetteurs de 10 kW chacun (deux par sens de liaison) et sur seize récepteurs (huit par sens de liaison).Le site dispose de groupes électrogènes qui le rendent autonome en cas de nécessité[4]. Dans les années 1970, uneligne moyenne tension (15 kV) fut créée et l'OTAN remplaça ce matériel par une centrale électrique comportantdeux groupes à temps zéro[7] de 450 kVA.[réf. souhaitée]

Pour assurer le contrôle du trafic aérien, un radar secondaire avec interrogation sélective, dit « mode S », a étéinstallé sur la tour hertzienne de 55 m appartenant à TDF[8]. Le radar de la DGAC est opérationnel depuis le 18 août2009[9],[10]. Ce radar a connu des dysfonctionnements en raison des fortes chutes de neige[11].

RôleLa station de Pierre-sur-Haute appartient à l'armée de l'air française et dépend de la Base aérienne 942 de Lyon-MontVerdun, à 80 km du site. C'est l'une des quatre stations hertziennes de l'axe nord-sud, communiquant en permanenceavec les trois autres : Lacaune, La Borne à Henrichemont et la base aérienne de Brétigny[12]. Elle relaie donc lescommunications interarmées, portant principalement sur le commandement des unités opérationnelles. Ainsi, sil'arme nucléaire française était utilisée, il est possible que l'ordre de mise à feu transite par ce relais[4].Elle dépendait du Commandement air des systèmes de surveillance d'information et de communications (CASSIC)depuis sa création le 1er juin 1994, puis, à compter du 1er janvier 2006, de la direction interarmées des réseauxd'infrastructure et des systèmes d'information (DIRISI) et de sa direction centrale au Kremlin-Bicêtre[12],[13].Dirigées par un major, une vingtaine de personnes se relaient sur le site pour son fonctionnement ainsi que pour sadéfense : électromécaniciens, mécaniciens, cuisiniers[4].

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Infrastructures

Antennes militaires de Pierre-sur-Haute.

Implantation et accès

Snowkite au sommet de Pierre-sur-Haute. Enarrière-plan au centre, la tour de

télécommunications (non militaire) de TDF,surmontée du radôme de la DGAC.

La station est implantée sur un terrain de trente hectares partagé entreles communes de Sauvain et de Job, la limite entre leurs départementsrespectifs, la Loire (région Rhône-Alpes) et le Puy-de-Dôme (régionAuvergne), traversant le site. Son périmètre est parcouru par une hauteenceinte en bois et en métal, les militaires et employés accédant à lastation par l'héliport et par une route de quatre kilomètres interdite à lacirculation civile, depuis le col du Béal à 1 390 m d'altitude. Cetteroute est inutilisable lors d'un enneigement de plus de deux mètres : lavariante pour parvenir à la base est alors le chemin des crêtes praticableavec des engins à chenilles[4], celui-ci étant doté de poteaux guidant lesusagers même en cas d'épaisse couche de neige. Le site est égalementaccessible depuis la station de sports d'hiver de Chalmazel par letéléski de Pierre-sur-Haute, qui monte à proximité immédiate dusommet où est située l'installation militaire, alors même que la route qui y mène pourrait être fermée.

Installations de surface

Les infrastructures les plus visibles sont deux tours en béton d'une trentaine de mètres de hauteur qui assurentl'émission et la réception hertzienne depuis 1991. Chaque tour a la même fonction. La deuxième tour sert en cas dedéfaillance de la première[14]. Cet équipement est prévu pour résister au souffle d'une explosion nucléaire[4].

L'ensemble des bâtiments représente à peu près 1 500 m2 de surface construite[4]. Quelques bâtiments servent degarages et de lieux de vie, avec cuisine et salle de restauration et chambres. Ils sont reliés par environ 400 mètres detunnels qui évitent en hiver, surtout les plus froids, des déplacements à travers plusieurs mètres de neige[4].

Installations en sous-solLe cœur du site est la partie enterrée, vouée aux traitements des messages : à raison d'au moins deux Mb/s, lescommunications provenant des tours sont analysées, puis y sont redirigées pour être transmises où il convient[4].Les installations en sous-sol sont classées comme « infrastructure de haute sécurité », sous protection nucléaire,bactériologique et chimique. Dans le jargon militaire, le site est dit « durci » : par exemple, il dispose d'une enceintede béton armé avec protection vis-à-vis des impulsions électromagnétiques par une cage de Faraday, les locaux sonten surpression, certaines salles sont « propres »[4].Le sous-sol est pourvu d'une autonomie en eau et en électricité ainsi que d'une climatisation autonome[4].

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PolémiqueLa chaîne de télévision régionale TL7 avait diffusé, fin 2004, de nombreuses informations relatives au site, dans lecadre d'un documentaire autorisé par l'Armée de l'air[15].Début mars 2013, la direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI), service de renseignement de la policefrançaise, demande à la Fondation Wikimedia, dans le cadre d'une enquête préliminaire pour « compromission »conduite par la section antiterroriste du Parquet de Paris[], la suppression du présent article concernant la stationmilitaire (créé en juillet 2009), parce qu'il contiendrait par exemple certains « taux de résistance de matériaux »[16] etplus généralement « des informations militaires classées relatives à la chaîne de transmission d'ordre de mise à feunucléaire »[17]. La Fondation refuse la suppression totale de l'article et demande à la DCRI de préciser les passageslitigieux pour cibler les modifications[]. La DCRI refuse, et convoque alors Rémi Mathis, président de l'associationWikimédia France, qui dispose des outils d'administrateur sur la version francophone de l'encyclopédie Wikipédia.Mis « en garde contre le risque d’engagement de poursuites judiciaires »[17], Rémi Mathis supprime l'article le4 avril et en avertit les autres administrateurs. Cette suppression paraissant contraire aux règles et aux usages del'encyclopédie[18], l'article est restauré dès le lendemain par une contributrice résidant en Suisse, elle aussiadministratrice. L'association Wikimédia France proteste en diffusant un communiqué de presse en français[19] et enanglais[20].L'action de la DCRI et ses suites provoquent une attention médiatique nationale et internationale, entraînant un effetStreisand sur l'article, augmenté depuis, créé dans plusieurs autres langues, et largement consulté[21],[22],[23],[24],[25].Le Syndicat des commissaires de la Police nationale (SCPN) évoque alors, sans que cela engage la DCRI,l'éventualité d'un blocage de l'article par décision judiciaire : « Nous avons des moyens juridiques en France, ilfaudrait que les différents opérateurs internet reçoivent l'ordre judiciaire de bloquer l'accès aux pagesconcernées »[26], précise le secrétaire général du syndicat, Emmanuel Roux[27],[28]. Reporters sans frontières (RSF)déplore ce qui semble « un précédent regrettable »[29].• Voir aussi : Wikipédia:Affaire de Pierre-sur-Haute

Notes et références

Notes[1] http:/ / toolserver. org/ ~geohack/ geohack. php?pagename=Station_hertzienne_militaire_de_Pierre-sur-Haute& language=fr& params=45.

653071_N_3. 808447_E_type:landmark[2] http:/ / fr. wikipedia. org/ w/ index. php?title=Station_hertzienne_militaire_de_Pierre-sur-Haute& action=edit& section=0[3] IGN - Réseau Géodésique Français, site 6317901 (http:/ / geodesie. ign. fr/ fiches/ pdf/ 6317901. pdf)[4][4] .[5] . Carte montrant la localisation des stations françaises FAOZ, FLYZ, FNIZ et FROZ, britannique UMSH et norvégienne NLYZ, dans le

réseau ACE High.[6][6] . Contient une carte créée par l'OTAN, aujourd'hui déclassifiée.[7] Les groupes électrogènes dits « à temps zéro » démarrent automatiquement en cas de coupure et sont associés à un dispositif d'alimentation

sans interruption comportant notamment un ensemble de batteries et un onduleur qui permet de suppléer aux groupes pendant le temps de leurdémarrage. La coupure électrique dure donc « zéro seconde » d'où le nom de ce dispositif.

[8][8] .[11][11] .[12][12] .[13] Le Commandement des forces aériennes (CFA) stationné à Metz a absorbé en 2007 le CASSIC et en 2008 le Commandement des forces de

protection et de sécurité de l'Armée de l'air (CFPSAA), ces deux anciens commandements devenant des brigades sous les ordres du général commandant les forces aériennes, le CFPSAA devenant alors la Brigade des forces de sécurité et d'intervention (BFSI). De ce fait, les activités militaires de la station de Pierre-Haute seraient désormais sous l'autorité directe du Commandement des forces aériennes, devant le chef des armées le président de la République et son ministre de la défense. Toutefois d'autres réformes dans la chaîne de commandement des armées ont eu lieu dans le cadre de la réforme Armées 2000, et le site relèverait plutôt des missions de l'actuelle Direction générale des systèmes d'information et de communication (DGSIC) (http:/ / www. defense. gouv. fr/ portail-defense/ ministere/ organisation/

organisation-du-ministere-de-la-defense/ organismes-dependant-du-ministre/

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la-direction-generale-des-systemes-d-information-et-de-communication) créée en 2006 et elle-même placée depuis février 2011 dans unedirection interministérielle ayant des compétences tant militaires (pour les systèmes de communication de la défense) que civiles (lerenseignement intérieur, notamment pour la DCRI).

[14][14] .[16][16] .[17] « La DCRI accusée d'avoir fait supprimer “sous la menace” un article sur Wikipédia » (http:/ / www. liberation. fr/ societe/ 2013/ 04/ 07/

la-dcri-accusee-d-avoir-fait-supprimer-sous-la-menace-un-article-sur-wikipedia_894252), Libération, 7 avril 2013.[18] « La Wikimedia Foundation est habituée à collaborer sur requête judiciaire avec les autorités des différents pays de diffusion de Wikipédia.

Elle reçoit des centaines de demandes de retrait de contenu chaque année, et coopère de son mieux pour régler ce genre de problèmes lorsqueles requêtes sont claires et juridiquement motivées. […] Wikimédia France ne comprend pas et n’admet pas que l’on utilise intimidation etméthodes expéditives contre un bénévole œuvrant pour un accès libre et gratuit à la connaissance pour le plus grand nombre. […] Cesintimidations ne sont certainement pas nécessaires pour faire respecter le secret militaire en France et cette vision d’un internet à régulerbrutalement n’est et ne sera jamais notre vision et celle partagée par les contributeurs de Wikipédia. »  Association « Wikimédia France ».(http:/ / blog. wikimedia. fr/ la-dcri-menace-un-administrateur-de-wikipedia-pour-supprimer-un-article-5477)

[19] « La DCRI menace un administrateur de Wikipédia pour supprimer un article » (http:/ / blog. wikimedia. fr/la-dcri-menace-un-administrateur-de-wikipedia-pour-supprimer-un-article-5477), blog de Wikimédia France, 6 avril 2013.

[20] « » (http:/ / blog. wikimedia. fr/ dcri-threat-a-sysop-to-delete-a-wikipedia-article-5493), blog de Wikimédia France, 6 avril 2013.[21] C'est l'article le plus consulté de la Wikipédia francophone les 6 et 7 avril 2013, selon les statistiques de consultation de Wikipédia en

français (http:/ / wikiscan. org/ date/ 20130406/ pages)[22][22] .[23][23] .[24][24] .[25][25] .[26][26] .[27][27] .[28][28] .[29][29] .

Références

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Sources et contributeurs de l’article 7

Sources et contributeurs de l’articleStation hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute  Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?oldid=92045974  Contributeurs: 2A01:E34:EF10:C720:FCEA:D723:A968:5166,2A01:E35:8A4C:E540:B5BE:AA0D:EDA7:DA3E, A2, ABACA, AOPG, Alþykkr, Ange Gabriel, Anne Bauval, Artvill, Authueil, Awkiku, Ayack, Azurfrog, BTH, Barbe-sauvage, Biem, Birdie,Bob08, BonifaceFR, Bouchecl, Brunodesacacias, Cantons-de-l'Est, Caron, Caylane, Cenarium, Chandres, Chelnar, Creasy, Critias, Croquant, Csame, Ctruongngoc, Daybatsu, Dgermain,DiMoNiAk, Duch, Enrevseluj, Eoulou, Eric-92, Euterpia, Fabrice Ferrer, Felixggenest, Floflo62, Fluf, Fylip22, GAllegre, Galvanoplastie rédhibitoire, Gemini1980, Gergovie, Gonzolito, Gratus,Hector H, Hercule, IZARRAZACHARIE, Jacques Ballieu, Jean-Naopléon, Jibi44, Jmax, Jules78120, JÄNNICK Jérémy, Kanabiz, Kontoreg, Kormin, L'amateur d'aéroplanes, Langladure,Laurent Jerry, Laurent76, Lebrouillard, Letartean, Lomita, Loreleil, Ludo29, Lysosome, M@rco, Manuguf, Marc Mongenet, Matpib, Mattho69, MeTa111iCa, Michel Abada, Mraynaud,Murthag06, Necrid Master, NemesisIII, Nicolas1981, Nicoliv(38), Nnemo, Oblomov2, Oliv0, Olivier45, Ottawakismet, P-e, Peter17, Pierre-Yves Schanen, Pixeltoo, Poleta33, Prométhée33, Pyb,Qvsqvs, RamaR, Reychstan, Rhadamante, Rome2, Salsero35, Schutz, Simio, SniperMaské, Starus, Styxyn, Sylvhem, Thierry Caro, Thémistocle, Tibauty, TigH, Tonymainaki, Totodu74, Verdyp, Vlaam, Wikijoe, Xavier Sylvestre, Xic667, Yelkrokoyade, ~Pyb, Épiméthée, 27 modifications anonymes

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