SOCIALISTE -...

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SDIZIni0 N.1612. ABONNEMENTS Rad.« es Mme./ion:tien Se, Rue Rée:nein:ne - TOULOUSE 4g - (lemme Cham» plenum t fereepe Telaiene. En si- 9 Meta. fr. mois 23 fr, BUREAUX A PARIS 45. Rue Trévise, 46 (111/V eébee se .ssg"e'en2efe'M""nsa aueaseaaeam e eaeameeelemael="asesaa MMMM MM aeena NO SOUVENIRS Mai 1871. La férocité do la reprossion bourgeoise Chaque année, nos camarades pa- risiens organisent une manifestation de pieux souvenir au mur des bédé- rés du Père Lachaise, où tombèrent, 28 mai 1871 les derniers combat- tants de la Commune. Ce témoignage de fidélité s'adresse non seulement aux fédérés qui oeil combattu jusqu'à la dernière minute, mais à la multitude de ceux dont le sort fut, postérieurement au 28 mai, décidé par les commissions martiales I un la fantaisie du président tenait lieu d arret de justice. Rappelons d'un mol les évène- ments Depuis le 3 avril 1871, jour ois M. Thiers encore sous /e coup de la violente émotion que lui avait cau- sée /a journée insurrectionnelle du 18 mars, et animé d'une haine féroce, implacable à l'égard de la popula- tion parisienne commença les hostilités contre la Commune, jus- qu'au dimanche 21 mai, où la trahison livra Paris aux Versaillais, la lotte, entre les deux armées s'était déroutée pour ainsi dire, en rase campagne. Dès l'entrée des Versaillais à Pa- ris, la résistance de la Commune s'organise dans /es oses, derrière les barricades, et i/ fallut à l'armée de M. Thiers une semaine entière pour réduire la force prolétarienne qui, pendant 2 mois et demi avait tenu en échec le pouvoir dictatorial dont l'an- cien ministre de Louis-Philippe, le triste héros de la rue Transnonnain, était l'urne.Les fédérés perdirent 2.500 tisonnes derrière les barricades. Mais après le combat, on en im- mola le décuple au moins. Mac-Ma- bois avoue 14.000 cadavres ; l'édilité parisienne déclare avoir délivré 17500 permis dlnhumer. Combien furent enfouis, sans autre forme de procès, au pied des murs où les bal- les venaient de /es coucher ! Cossa- Lira furent incinérés dans les case- mates des fortifications ! Combien fusillés sur la route de Versailles et à Versailles méme ; et enterrés sur place ! A la Roquette, du dimanche 28 au lundi 29 mai, il y eut 1907 exécutions; à MUZALS 400 sont passés par les armes. Maines tueries à Mente Militaire, au parc Monceau, à la rue des Roziers, à l'Ecole Polytechnique, aux gares du . >lord et de l'Est, aux casernes Dupleix l et Lobau, au jardin des Plantes. Les fédérés étaient jugés par une . tour matiale con/posé de 2 ou 3 of- ficiers, auxquels s'adjoignaient quel- ques volontaires de la garde natio- nale. Les inculpés défilaient à la file t devant le tribunal. L'interrogatoire, pour chacun d'eux, durait à peine une . Minute a Avez-vous pris les armes ? Avez- vous servi la Commune ? Montrez Vos mains ? a , Et c'est tout. Sans attendre de ré- ' len", /9 juge, sur la mine du patient, bigre de son caprice, prononçait le verdict. 9and verdict ? Le e Gaulois a le klit : " Après le jugement, le président les fait passer par la droite ou par gauche, suivant leur degré de cul- Pabilité. Ceux qui sortent par la droi- t] saut dirigés sur Versailles, dans ,e,_'-'9,9xeie de prisonniers conduits à tIt9 Y. Ceux qui sortent Par la eu- die sont f.iné& ,,entraînés et immédiatement Oh ! il n'y eut pas que des hommes el des [manses atteints par cette furie de meurtre. Des femmes, des jeunes Ifilles, des adolescents, et jusqu'à de lotis petits enfants prirent place de- ;Vent les pelotons d'exécution. 9.: e J'ai vu, écrit Camille Pelletan, 99oltir de /a Cour martiale le diman- rite 28 mai, à 2 heures de l'après-mi- lli, six enfants conduits Par 4 99r q,..ts de ville. L'aîné des enfants avait O Peine 12 ans, /e plus jeune à peine Il 999. Les pauvres petits pleuraient 9 passant au milieu de la haie for- e Par la foule. « A mort, à mort ! l9ie01 ces bêtes fauves. Cela ferait islusurgés pour plus tard ! a Le " Petit des enfants était nu-pieds 9s des sabots, n'avait que son pan- ne sa chemise, et pleurait à es larmes. Je les ai vus entier caserne Lobau où ils fix- ités. » "s ces martyrs meurent avec un q,., ge stoique, auquel les adver- esous obligés de rendre hons- 11,aPetit Moniteur du. 29 mai écrit e 1..8 condamnée montrent autant SOCIALISTE d'insouciance que d'énergie. Forces de franchir les cadavres de ceux qui ont été fusilles avant eux, ils /es en- jambent en faisant une pirouette et commandent eux-mêmes le feu. Parlant des femmes, Sarney ocra dans le Gaulois e du 13 juin e Toutes celles qu'on a vu exécuter sommairement par /es soldats fu- rieux, sont mortes l'injure à la bouche avec am rire de dédain, comme des martyrs qui accomplissent, en se sa- crifiant, un grand devoir. Paris était un abattoir. au tuait pour tuer, pour un men, pour un mot, pour un geste, pour urie ressemblan- ce, sur une indication de /a foule en délire. Nouvelle Saintilltarthele- my ! Et l'abattoir f aisait le charnier. Les fosses n'étaient ni assez nombreuses ni assez larges ; on enfouissait des cadayres partout. Thiers, exultant, écrivait à ses pré- fets J, Le sol est jonché de leurs cadavres ; ce spectacle affreux ren- dait critique l'était sanitaire. On re- douta la peste. La presse s'émut. Un journal écrivait e Il ne faut pas que ces misérables qui nous ont fait tant de mal pen- dant leur vie puissent nous en faire après leur mort. » Cette crainte mit un terme aux tue- ries, Mais plus longues se firent les fi/es de catifs achenainés vers Ver- sait/es. Ceux-lit aussi subirent les pires vexations, et s'ils avaient échappé au verdict de la Cour martiale, ils ris- quaient de tomber sous les coups de Gallifert passé maitre dans l'art de massacreur. a Dimanche matin, disait le Trico- lore du 30 mai, sur plus de 2.000 fé- dérées, 111 ont été fusilées dans les fossés de Passy, et ce dans des cir- constances qui démontrent que / victoire était entrée dans toute fa maturité de la situation. e Que ceux qui ont les cheveux blancs sortent des rangs, dit te général de Callifet qui présidait à l'exécution a. Et le nom- bre des fédérés à tête blanche monta à 111. a A la porte Maillot, le nombre de fédérés massamés de la même ma- nière monta à 150. Quand les cotonnes des prison- niers arrivaient à Versailles, elles étaient accueillies par le e beau mon- de » accouru comme au spectacle. Les malheureux prisonniers étaient insultés invectivés, frappés par /es cannes de la racaille dorée qui vi- sait surtout les yeux. Ces scènes immondes provoquaient le degout des correspondants des journaux g . « Quelle différence y a-lit alors, écrivait le o Times a, cistre les par- tisans de la Commune et ceux du gouvernement de Versailles ? Après la traversée de Versailles, le camp de Satory, terme provisoire avant les pontons, avant le bagne ou le peloton d'exécution. Près de 40.000 arrestations furent faites. 10.000 condamnations furent prononcées ; 30.000 prévenus furent renvoyés après un emprisonnement préventif qui avait duré plusieurs mois et parfois phisieurs années. Les exécutions ne prirent fin que courant 1872. Nous avons tenu à rappeler cm faits pour un double objet d'abord Issue nous associer au tribut de pieux hommage mn réunit chaque année, au mur des Fédérés les organisations pro etamennes de Parus, et ensuite, pour en tirer un enseigneinent. Le 18 mars 1871, la bourgeoisie française incarnée par M. Thiers et le gouvernement issu de l'Assemblée nationale eut, pour la première fois, conscience de la force pro/étariemae. STSMINIMMUNINNECtsnoOlIONMEIMIS3 ........ ............... ....... eoameaeeemaesaaaaaaaaasasaaessa ...... CHERON REVIENT DE LA SEMAINE NATIONALE DU CIDRE Votas n'amie= nus ose petite place poar moi.., mon ami Je vous en prie, Monsieur le Ministre, monte. donc . un de Plue un de moins... A cette naissance, elle opposa une autre force, et elle vainquit parce que mieux organisée, plus que les forces naissantes de la Commune. Elle n'eut pas a l'égard des vaincus le geste de générosité et de clémence qu'appelle le pardon. Elle fut impitoyable dans la répression ; elle se vautra dans la volupté de la vengeance, et fit muter le sang des innocents. La bête que représentait M. Thiers avait eu peur. Dès que le sentiment :.bilu danger fut passé, elle fut inexo- Que ceux de nos camarades trop prmsés ou égarés par des théories Peu en rapport avec le bon sens, ré- fléchissent. La batte ne doit être en- treprise que si la victoire est abso- Minent certaine. Et la victoire ne leur appartiendra qua la condition ex romali sté s n tdPI er'cosne Mqu'ils atu, 'el st de la bataille 'dcisievne, ertrr'ern tomurleeun profit de la victoire par une pro- duction conforme aux besoins, et par Une répartition équitable de cette production. Pour atteindre ce but, l'unité de la classe ouvrière doit se faire sur tous /es terrains politique et éco- nomique. C'est le souimit, qu'en ce jour an- niversaire, je formule en /n'inclinant bien bas devant les martyrs de la Commune. E. BILLIERES. Ancien Adjoint au Maire de Toulouse. A RETENIR pain NOUS, LA GUERRE EN CE MO- MENT, EST - IMPERIEUSEMFAT REMUS- !WEB PAR LES INTERETS DE L.1. FRAN- Cli ici' PAIS LES BESOINS DE LA DY- NASTIE. Pau/ de Cassagnac, 13 juillet 1871. Vous Me demandee si nosis n'aimerions pas mieux être les sujets de Gag/aune Suie tes libres- eoncitoyens de M. Grévy? MAIS SI ! PMI de Mes:musc, 1865. A la Chambre, Si. Poincaré amit fait d'intéressantes déclarations à propos de l'occupation de la Ruhr il s'était prononcé avec force contre toute idée d'annexion e Si nous sommes entrés dans la Ruhr, ci-tal dit, ce n'est point pour nous y instal- ler définitivement, ni pour annexer une population qui lie parle pas no- tre languie, qui n'a pas le même sang: nous y sommes entrés pour étre payés. a Ces déclarations enregistrées, il mins faut revenir h cette séance de la Haute-Cour, qui a été marquée par un coup de théâtre. Par 148 voix contre 101, le Sénat sest refusé h devenir un tribunal po- litique pour juger le procès fait aux comMunistes. Sur ce vote, M. Poincaré a donné sa démission ; il a déclaré que le Sé- nat venait de lui donner une marque de méfiance et qu'il le désarmait vis- à-vis de ceux qu'il avait renvoyéa. devant sa haute juridiction. Sur les instances du président de In République, M. Poincaré est reve- nu sur sa décision et a consenti à garder le pouvoir. Le ministère Poincaré continue. Mais il faut espérer qu'il tiendra compte de la leçon que lui a donnée la Haute Assemblée. Alors que le mênte M. Lescouvé, qui siégeait hier comme ministére mec, no poursuivait pas les gens de t'Action Française pour un com- plot peut-être autrement sérieux, on convoquait la Haute-Cour pour con- naître de faits nullement établis re- prochés d un groupe de communis- tes I Le Sénat n'a pas voulu se prêter à cette besogne. Il a déclaré en se déclarant niconipetent, que le » con- cours de sa justice a été mal à pro- pos réclamé. Le .Sénat n'a pas voulu provoquer une agitation qui ne pouvait servir qu'aux partis de réaction ; il n'a pas voulu que l'on se servit de lui pour montrer le o spectre rouge v aux electenrs timorés. Aux fleures troubles le Néttn1 « été le refile de l'esprit républicain ; il vient de prouver encore qu'il à la garde de nos institutions et de nos libertés publiques. Le pays lui sera reconnaissant de cet acte de courageuse indépendance et la Maori pourra servir non seule- ment à nos goaveruaats inaiS otussi aux électeurs. - LE CAPITAINE FONCK, DEPUTE, DISAIT L'AUTRE JOUR 'AU, PETIT BLEU s SI NOUS VOULONS, DANS QUELQUES ANNEES, LORS DE LA PROCHAINE GUERRE, TENIR TETE L'ALLEMAGNE.... ON NE PARLE PLUS LA ,PROCHAINE GUERRE o COM- ME D'UNE HYPOTHESE, D'UN RISQUE HYPERBOLIQUE, MAIS COMME D'UN EVENEMENT ATTENDU, NECESSAIRE INEVITABLE. A REBROUSSE-POIL EEMISSIONNERONT-ILS Il ta g amis, 0 SeineM-Oise es en Seineln, N'One, dm Mecham partielles. /9, en janvier Prochain, ben nombre da &Muse sénat...lime se. ent eppe/do a dam de nouveaux 182re Conseil, ou à renouveler les mande5 des titulaires actuels. Tom kis:. entremis un sialent rt10.7021rtent stnuee Onneo poliiique do 8loc Nation.I. astatunsat, t, talion,,suissue. 0055 po., mi, oins dame, que o brait taud d'oc geste sue M André Tardieu, dirsdeur de e Eche Palace% d miel met à faim tientel II de-osaient:mei pour se porter d neuve. cent lm eau.., afin deserear, dieu, de barrer ta route à .14. Franklin.Bouillan, si ace, ii.e présente. Mais rien n'est moino civets Il n'est pro sûr non ab:, que MM. finnl de teeeenet et de Mamie sandent O cbaadoaner /a Sénat. Sem doute, te Pciaa-Bourbon /sur con. viesadmit n'es, mais tenteront-ils l'aventure du suffrage universel 7 s** POINCARE S'EN F..., IL N'EST PAS PRESSE M. Peirioard 0 fait devant la Chettbre un dis. sumo Vineent dseral q toc, nombre de précitions. Les précisians de notre camarade ne justifiaient gué, r=ptitaiona du président da Conseil. Mais la medenO acemilli atm enthousiasme des phrasea sonores, comme deo conques Mdes. Nees ainenons jusqu'a ce que l'Aile. magne nem. paie. Nam ne sommes ras ara. e .ss,,4 M. Peinturé me aPplairdisse. ments de la Chambre. La ihdme do tont le discours nait teltrimi elis content, content. tido content- Naus aidons déjà entendu cette formule. Elle n'a pee Ondé bonheur d la France. 18011.414 s HERVE M. Francois Arago no manque pas de depuis que le veulerie dune ChAisbaa innommable a comme ses marcquaries par et attire du In, pur et simple. Au premieo ara. 4ille M. Gustave Hervé, dont la nissts fourbie à PElesée, aelamé la grena homme du Riva Ne liane Num. calomnier Arago l Non. Le vérité sate c...e d suffit eoar aaro Gama. Hercd de marquer en raaora, d'au mot dégené, jumpiod la remalutionnada intégral de jale. sa tombé depaio qu'a dis re..e.,,é da r Pont Parisien ;RIMANCHi3 gz MAI 1923 (Correspondance particulière du Midisocialisteh La séance d'ouverture Hambourg, 26 mai. Le congrès s'est otivert ce matin, dans l'immense salle de la Gewerkathaus, superbement déco- rée. Après un admirable concert, écouté par les quelques sept Cents délégués et une foule de plusieurs milliers de cama- rades hambourgeois, la séance s est ou- verte sous là présidence de We/Is (Alle- magne) et Bombe (France). Le citoyen Seuterisg, Président de. ForganisatiOn politique du Grand-Ham- bourg, souhaite /a bienvenue aux con- ressistes au nom de Plus de 100.000 hommes po Anduemmit organises. Il retrace les efforts que l'organisation locale a faits pour l'organisation du Congrès. Il cite des détails charmants, comme celui des jardiniers de Finlande envoyant un bateau entier chargé de flems pour la décoration de la salle. 11 én cite d'autres, moins édifiants. comme les tentatives répétées des communistes musai troubleu: la séance (disons en pas- sant qu'ils n ont en noueuse facon réas. si). Il promet que son organisation ne né- gligera aucun effort pour emPecher que le militarisme pn.sienne ne relève la tate Au Congrès de veiller à ce qu'aucun autre militsrirn, ne prenne sa place. Le bourgmestre Stalles parle ensuite au nom du Sénat de la ville libre. Son discours qui s'écarte un nen de la laa- nalité générale de ce genre de haras- gue, renferme, malheureusement sur les questions les plus délicates, dcs affirma- tions que l'on s'étonne un peu denses' dre. ici. comme I iOnocence dei toute Issue, quant à la guerre, dans le chef du peuple allemand. L accueil fait à cette déclaration est au moins froid, même dans le public allemand. Can entend ensuite Oudegeest, d'Ams- terdam, qui parle au nom de Hoternatio- rale syndicale d'Amsterdam, dont la présence ici n'est pas l'un des évène- ments les moins heureux du Congrès. Il déclare l'unité rétablie. Si elle avait pu etre réalisée en 1918. et meme dam le domaine syndical, on en aurait éprouvé les olue horions effets. Il se fclicite que l'unité se réalise sur le terrain de la dé- mocratie. Elle est indispemable; à la prospérité du mouvement syndical, qui ne saut vivre ni sous ta dictature d'un homme. ni sous celle d'un parti. Il dé- fend en termes excellents la thèse de /a cooperation etroute. en tonte indépen- dance des organisations politiques, syn- dicales et coopératives de la classe ou- vrière. WELLS prononce /a première adresse Présidentielle. Il définit le but et la méthode : par l'éducation politique à la majorité, Par la majorité à la prise du oouvoia par la mise du pouvoir à l'organisation de la démocratie industrielle. au socialisme. Il rappelle à son tour que ce qu'il s'agit de fonder. n'ont l'Internationale de le paix et de la démocratie. dressée con- tre taus les impérialismes, y compris l'impérialisme communiste et jimpéria- lisme fasciste. BRACKE, à son mur, insiste sur ta né- cessité de s entendre entre socialistes de tom les pays pour assurer la paix du monde. li salue /a résistance pacifique des travailleurs allemands à l'occupation de la Ruhr. La première tâche de l'In- ternationale sera de résoudre ce problè- me oui est comme j.in raccourci du pro- blème de l'impérialisme et de la guerre. Il fait acclamer les vieux militants de l'Internationale, Grenlich. Axelrode: Bernstein, Kautsky. Il ternisse au milled des acelamations Par le mot d'Anatolie France l'Union des travailleurs fers /a paix du monde. ki se produit un gracieux incident Un groupe d'eofents apporte au Cangréa une corbeille de fleur, et demandent à Insu /es congressisics de dire à leurs en- fants que les petits allemands les regar- dent comme des frères et des sueurs. AN FR, au nom du comité d'organi- oation, demande que les commissions -chanZées de la vérification des mandats et des statuts soient réunies aujourd'hui les autres demain. LA DELEGATION BELGE Elle est ainsi composée Vandervelde. de Brouckère. Van Rom broeck (bureau du Conseil général), ci- toyenne Spaak Conseil général), Leen (Fédération bruxelloise), Troclet, citoyen, ne Deiardin et Sainte .(Fédération liégeoi- se), Hubin (Huy), Riérard (Mons), Vole- kaert et A/ex. André (Soignies), Jeu' oisonet citoyenne Claire f3aril (mutuali- tés- citoyenne Pets (Comité d'action lé. minine-. Palau (Conseiliers provinciaux et communaux), Van Walleghern et I. Delvigne (métallurgistes), Dejardin et Claim (mineurs), A. De Mets et Segiers (textile), Marneffe (alimentation), Denise Durand (Mutualités féminines). C. Huy, mara (Fédération anversoise). Se sont fait excuser Boudas, Scias, J. \Vanter, reterno en Belgique par la grève des cheminots. Le premier jour. les Belges ont tenu, sous la présidence de Louis de Brou- ckère, une brève mais fructueuse séance de travail au cours de laquelle de ont discuté à nouveau le projet de statuts de l'Internationale reconstituée. A la pétis tion de principes disant que l'Interna- tionale groupe les partis étui vejent la suPPression du mode capitaliste de pro- duction et accentent la lutte des dusses comme moyen, Robin a proposé d'aies- ter, pour nous distinguer nettement des communistea. une formule orpliquant l'organisation de ls démocratie politique, la con,ultation régulière du S U. Tous les Belges, tout en voulant faire de l'In' ternationale. une résliré vivante et agis- sante. ont /e souci d'éviter que de» Paya n'avant pas les saapqnsabilités que noue PETITS BILLETS Au-dessus de la mêlée Réveil républicain LE CONGRÈS Di HAMBOURG Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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SDIZIni0 N.1612.

ABONNEMENTS Rad.« es Mme./ion:tien Se, Rue Rée:nein:ne - TOULOUSE 4g - (lemme Cham» plenum t fereepe

Telaiene. En si-9 Meta. fr. mois 23 fr, BUREAUX A PARIS 45. Rue Trévise, 46 (111/V eébee se

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NO SOUVENIRSMai 1871. La férocité do la reprossion bourgeoise

Chaque année, nos camarades pa-risiens organisent une manifestationde pieux souvenir au mur des bédé-rés du Père Lachaise, où tombèrent,

28 mai 1871 les derniers combat-tants de la Commune.

Ce témoignage de fidélité s'adressenon seulement aux fédérés qui oeilcombattu jusqu'à la dernière minute,mais à la multitude de ceux dont lesort fut, postérieurement au 28 mai,décidé par les commissions martiales

I un la fantaisie du président tenaitlieu d arret de justice.

Rappelons d'un mol les évène-ments

Depuis le 3 avril 1871, jour ois M.Thiers encore sous /e coup de laviolente émotion que lui avait cau-sée /a journée insurrectionnelle du18 mars, et animé d'une haine féroce,implacable à l'égard de la popula-tion parisienne commença leshostilités contre la Commune, jus-qu'au dimanche 21 mai, où la trahisonlivra Paris aux Versaillais, la lotte,entre les deux armées s'était déroutéepour ainsi dire, en rase campagne.

Dès l'entrée des Versaillais à Pa-ris, la résistance de la Communes'organise dans /es oses, derrière lesbarricades, et i/ fallut à l'armée deM. Thiers une semaine entière pourréduire la force prolétarienne qui,pendant 2 mois et demi avait tenu enéchec le pouvoir dictatorial dont l'an-cien ministre de Louis-Philippe, letriste héros de la rue Transnonnain,était

l'urne.Lesfédérés perdirent 2.500 tisonnesderrière les barricades.

Mais après le combat, on en im-mola le décuple au moins. Mac-Ma-bois avoue 14.000 cadavres ; l'édilitéparisienne déclare avoir délivré17500 permis dlnhumer. Combienfurent enfouis, sans autre forme deprocès, au pied des murs où les bal-les venaient de /es coucher ! Cossa-Lira furent incinérés dans les case-mates des fortifications ! Combienfusillés sur la route de Versailles et àVersailles méme ; et enterrés surplace !

A la Roquette, du dimanche 28 aulundi 29 mai, il y eut 1907 exécutions;à MUZALS 400 sont passés par les armes.Maines tueries à Mente Militaire, auparc Monceau, à la rue des Roziers,à l'Ecole Polytechnique, aux gares du

. >lord et de l'Est, aux casernes Dupleixl et Lobau, au jardin des Plantes.

Les fédérés étaient jugés par une. tour matiale con/posé de 2 ou 3 of-

ficiers, auxquels s'adjoignaient quel-ques volontaires de la garde natio-nale. Les inculpés défilaient à la file

t devant le tribunal. L'interrogatoire,pour chacun d'eux, durait à peine une

. Minutea Avez-vous pris les armes ? Avez-

vous servi la Commune ? MontrezVos mains ? a

, Et c'est tout. Sans attendre de ré-' len", /9 juge, sur la mine du patient,bigre de son caprice, prononçait le

verdict.9and verdict ? Le e Gaulois a leklit :

" Après le jugement, le présidentles fait passer par la droite ou pargauche, suivant leur degré de cul-Pabilité. Ceux qui sortent par la droi-t] saut dirigés sur Versailles, dans

,e,_'-'9,9xeie de prisonniers conduits àtIt9 Y. Ceux qui sortent Par la eu-die sontf.iné& ,,entraînés et immédiatementOh ! il n'y eut pas que des hommesel des [manses atteints par cette furiede meurtre. Des femmes, des jeunesIfilles, des adolescents, et jusqu'à delotis petits enfants prirent place de-;Vent les pelotons d'exécution.

9.: e J'ai vu, écrit Camille Pelletan,99oltir de /a Cour martiale le diman-rite 28 mai, à 2 heures de l'après-mi-lli, six enfants conduits Par 4 99rq,..ts de ville. L'aîné des enfants avaitO Peine 12 ans, /e plus jeune à peineIl 999. Les pauvres petits pleuraient9 passant au milieu de la haie for-

e Par la foule. « A mort, à mort !l9ie01 ces bêtes fauves. Cela feraitislusurgés pour plus tard ! a Le" Petit des enfants était nu-pieds9s des sabots, n'avait que son pan-ne sa chemise, et pleurait àes larmes. Je les ai vus entier

caserne Lobau où ils fix-ités. »"s ces martyrs meurent avec unq,., ge stoique, auquel les adver-

esous obligés de rendre hons-11,aPetit Moniteur du. 29 mai écrite 1..8 condamnée montrent autant

SOCIALISTE

d'insouciance que d'énergie. Forcesde franchir les cadavres de ceux quiont été fusilles avant eux, ils /es en-jambent en faisant une pirouette etcommandent eux-mêmes le feu.

Parlant des femmes, Sarney ocradans le Gaulois e du 13 juin

e Toutes celles qu'on a vu exécutersommairement par /es soldats fu-rieux, sont mortes l'injure à la boucheavec am rire de dédain, comme desmartyrs qui accomplissent, en se sa-crifiant, un grand devoir.

Paris était un abattoir. au tuaitpour tuer, pour un men, pour un mot,pour un geste, pour urie ressemblan-ce, sur une indication de /a foule endélire. Nouvelle Saintilltarthele-my !

Et l'abattoir f aisait le charnier. Lesfosses n'étaient ni assez nombreusesni assez larges ; on enfouissait descadayres partout.

Thiers, exultant, écrivait à ses pré-fets J, Le sol est jonché de leurscadavres ; ce spectacle affreux ren-dait critique l'était sanitaire. On re-douta la peste. La presse s'émut. Unjournal écrivait

e Il ne faut pas que ces misérablesqui nous ont fait tant de mal pen-dant leur vie puissent nous en faireaprès leur mort. »

Cette crainte mit un terme aux tue-ries, Mais plus longues se firent lesfi/es de catifs achenainés vers Ver-sait/es.

Ceux-lit aussi subirent les piresvexations, et s'ils avaient échappé auverdict de la Cour martiale, ils ris-quaient de tomber sous les coups deGallifert passé maitre dans l'art demassacreur.

a Dimanche matin, disait le Trico-lore du 30 mai, sur plus de 2.000 fé-dérées, 111 ont été fusilées dans lesfossés de Passy, et ce dans des cir-constances qui démontrent que /victoire était entrée dans toute famaturité de la situation. e Que ceuxqui ont les cheveux blancs sortent desrangs, dit te général de Callifet quiprésidait à l'exécution a. Et le nom-bre des fédérés à tête blanche montaà 111. a

A la porte Maillot, le nombre defédérés massamés de la même ma-nière monta à 150.

Quand les cotonnes des prison-niers arrivaient à Versailles, ellesétaient accueillies par le e beau mon-de » accouru comme au spectacle.Les malheureux prisonniers étaientinsultés invectivés, frappés par /escannes de la racaille dorée qui vi-sait surtout les yeux.

Ces scènes immondes provoquaientle degout des correspondants desjournaux g .

« Quelle différence y a-lit alors,écrivait le o Times a, cistre les par-tisans de la Commune et ceux dugouvernement de Versailles ?

Après la traversée de Versailles,le camp de Satory, terme provisoireavant les pontons, avant le bagneou le peloton d'exécution.

Près de 40.000 arrestations furentfaites. 10.000 condamnations furentprononcées ; 30.000 prévenus furentrenvoyés après un emprisonnementpréventif qui avait duré plusieursmois et parfois phisieurs années.

Les exécutions ne prirent fin quecourant 1872.

Nous avons tenu à rappeler cmfaits pour un double objet d'abordIssue nous associer au tribut de pieuxhommage mn réunit chaque année,au mur des Fédérés les organisationspro etamennes de Parus, et ensuite,pour en tirer un enseigneinent.Le 18 mars 1871, la bourgeoisiefrançaise incarnée par M. Thiers etle gouvernement issu de l'Assembléenationale eut, pour la première fois,conscience de la force pro/étariemae.

STSMINIMMUNINNECtsnoOlIONMEIMIS3........ ............... ....... eoameaeeemaesaaaaaaaaasasaaessa ......CHERON REVIENT DE LA SEMAINE NATIONALE DU CIDRE

Votas n'amie= nus ose petite place poar moi.., mon amiJe vous en prie, Monsieur le Ministre, monte. donc . un de Plue un de moins...

A cette naissance, elle opposa uneautre force, et elle vainquit parce quemieux organisée, plus que les forcesnaissantes de la Commune. Elle n'eutpas a l'égard des vaincus le geste degénérosité et de clémence qu'appellele pardon. Elle fut impitoyable dansla répression ; elle se vautra dansla volupté de la vengeance, et fitmuter le sang des innocents.

La bête que représentait M. Thiersavait eu peur. Dès que le sentiment

:.biludanger fut passé, elle fut inexo-

Que ceux de nos camarades tropprmsés ou égarés par des théoriesPeu en rapport avec le bon sens, ré-fléchissent. La batte ne doit être en-treprise que si la victoire est abso-Minent certaine.

Et la victoire ne leur appartiendraqua la condition exromali sté s ntdPI er'cosne Mqu'ilsatu, 'el st

de la bataille 'dcisievne, ertrr'ern tomurleeunprofit de la victoire par une pro-duction conforme aux besoins, et parUne répartition équitable de cetteproduction.

Pour atteindre ce but, l'unité dela classe ouvrière doit se faire surtous /es terrains politique et éco-nomique.

C'est le souimit, qu'en ce jour an-niversaire, je formule en /n'inclinantbien bas devant les martyrs de laCommune.

E. BILLIERES.Ancien Adjoint au Maire de Toulouse.

A RETENIRpain NOUS, LA GUERRE EN CE MO-

MENT, EST - IMPERIEUSEMFAT REMUS-!WEB PAR LES INTERETS DE L.1. FRAN-Cli ici' PAIS LES BESOINS DE LA DY-NASTIE.

Pau/ de Cassagnac, 13 juillet 1871.

Vous Me demandee si nosis n'aimerionspas mieux être les sujets de Gag/auneSuie tes libres- eoncitoyens de M. Grévy?MAIS SI !

PMI de Mes:musc, 1865.

A la Chambre, Si. Poincaré amitfait d'intéressantes déclarations àpropos de l'occupation de la Ruhril s'était prononcé avec force contretoute idée d'annexion e Si noussommes entrés dans la Ruhr, ci-taldit, ce n'est point pour nous y instal-ler définitivement, ni pour annexerune population qui lie parle pas no-tre languie, qui n'a pas le même sang:nous y sommes entrés pour étrepayés. a

Ces déclarations enregistrées, ilmins faut revenir h cette séance dela Haute-Cour, qui a été marquéepar un coup de théâtre.

Par 148 voix contre 101, le Sénatsest refusé h devenir un tribunal po-litique pour juger le procès fait auxcomMunistes.

Sur ce vote, M. Poincaré a donnésa démission ; il a déclaré que le Sé-nat venait de lui donner une marquede méfiance et qu'il le désarmait vis-à-vis de ceux qu'il avait renvoyéa.devant sa haute juridiction.

Sur les instances du président deIn République, M. Poincaré est reve-nu sur sa décision et a consenti àgarder le pouvoir.

Le ministère Poincaré continue.Mais il faut espérer qu'il tiendracompte de la leçon que lui a donnéela Haute Assemblée.

Alors que le mênte M. Lescouvé,qui siégeait hier comme ministéremec, no poursuivait pas les gensde t'Action Française pour un com-plot peut-être autrement sérieux, onconvoquait la Haute-Cour pour con-naître de faits nullement établis re-prochés d un groupe de communis-tes I

Le Sénat n'a pas voulu se prêterà cette besogne. Il a déclaré en sedéclarant niconipetent, que le » con-cours de sa justice a été mal à pro-pos réclamé.

Le .Sénat n'a pas voulu provoquerune agitation qui ne pouvait servirqu'aux partis de réaction ; il n'a pasvoulu que l'on se servit de lui pourmontrer le o spectre rouge v auxelectenrs timorés.

Aux fleures troubles le Néttn1 « étéle refile de l'esprit républicain ; ilvient de prouver encore qu'ilà la garde de nos institutions et denos libertés publiques.

Le pays lui sera reconnaissant decet acte de courageuse indépendanceet la Maori pourra servir non seule-ment à nos goaveruaats inaiS otussiaux électeurs. -

LE CAPITAINE FONCK, DEPUTE, DISAIT L'AUTRE JOUR'AU, PETIT BLEU s SI NOUS VOULONS, DANS QUELQUESANNEES, LORS DE LA PROCHAINE GUERRE, TENIR TETE

L'ALLEMAGNE....ON NE PARLE PLUS LA ,PROCHAINE GUERRE o COM-

ME D'UNE HYPOTHESE, D'UN RISQUE HYPERBOLIQUE,MAIS COMME D'UN EVENEMENT ATTENDU, NECESSAIREINEVITABLE.

A REBROUSSE-POIL

EEMISSIONNERONT-ILSIl ta g amis, 0 SeineM-Oise es en Seineln,

N'One, dm Mecham partielles. /9, en janvierProchain, ben nombre da &Muse sénat...lime se.ent eppe/do a dam de nouveaux 182re Conseil,ou à renouveler les mande5 des titulaires actuels.

Tom kis:. entremis un sialent rt10.7021rtentstnuee Onneo poliiique do 8loc Nation.I.

astatunsat, t, talion,,suissue.0055 po., mi, oins dame, que o brait taud

d'oc geste sue M André Tardieu, dirsdeur dee Eche Palace% d miel met à faim tientel

II de-osaient:mei pour se porter d neuve.cent lm eau.., afin deserear, dieu, de barrerta route à .14. Franklin.Bouillan, si ace, ii.eprésente. Mais rien n'est moino civets

Il n'est pro sûr non ab:, que MM. finnl deteeeenet et de Mamie sandent O cbaadoaner /aSénat. Sem doute, te Pciaa-Bourbon /sur con.viesadmit n'es, mais tenteront-ils l'aventure dusuffrage universel 7

s**

POINCARE S'EN F..., IL N'EST PAS PRESSEM. Peirioard 0 fait devant la Chettbre un dis.

sumo Vineent dseral qtoc, nombre de précitions.

Les précisians de notre camarade ne justifiaientgué, r=ptitaiona du président da Conseil.

Mais la medenO acemilli atm enthousiasmedes phrasea sonores, comme deo conques Mdes.

Nees ainenons jusqu'a ce que l'Aile.magne nem. paie. Nam ne sommes ras ara.

e .ss,,4 M. Peinturé me aPplairdisse.ments de la Chambre.

La ihdme do tont le discours nait teltrimielis content, content. tido content-

Naus aidons déjà entendu cette formule. Ellen'a pee Ondé bonheur d la France.

18011.414 s HERVEM. Francois Arago no manque pas de

depuis que le veulerie dune ChAisbaainnommable a comme ses marcquaries par etattire du In, pur et simple.

Au premieo ara. 4ille M. Gustave Hervé,dont la nissts fourbie à PElesée,

aelamé la grena homme du Riva Neliane

Num. calomnier Arago l Non. Le vérité satec...e d suffit eoar aaro Gama. Hercd de

marquer en raaora, d'au mot dégené, jumpiodla remalutionnada intégral de jale. sa tombédepaio qu'a dis re..e.,,é da r Pont Parisien

;RIMANCHi3 gz MAI 1923

(Correspondance particulière du Midisocialisteh

La séance d'ouvertureHambourg, 26 mai. Le congrès s'est

otivert ce matin, dans l'immense sallede la Gewerkathaus, superbement déco-rée.

Après un admirable concert, écoutépar les quelques sept Cents délégués etune foule de plusieurs milliers de cama-rades hambourgeois, la séance s est ou-verte sous là présidence de We/Is (Alle-magne) et Bombe (France).

Le citoyen Seuterisg, Président de.ForganisatiOn politique du Grand-Ham-bourg, souhaite /a bienvenue aux con-ressistes au nom de Plus de 100.000

hommes po Anduemmit organises.Il retrace les efforts que l'organisation

locale a faits pour l'organisation duCongrès. Il cite des détails charmants,comme celui des jardiniers de Finlandeenvoyant un bateau entier chargé deflems pour la décoration de la salle. 11 éncite d'autres, moins édifiants. comme lestentatives répétées des communistesmusai troubleu: la séance (disons en pas-sant qu'ils n ont en noueuse facon réas.si). Il promet que son organisation ne né-gligera aucun effort pour emPecher quele militarisme pn.sienne ne relève la tateAu Congrès de veiller à ce qu'aucunautre militsrirn, ne prenne sa place.

Le bourgmestre Stalles parle ensuiteau nom du Sénat de la ville libre. Sondiscours qui s'écarte un nen de la laa-nalité générale de ce genre de haras-gue, renferme, malheureusement sur lesquestions les plus délicates, dcs affirma-tions que l'on s'étonne un peu denses'dre. ici. comme I iOnocence dei touteIssue, quant à la guerre, dans le chef dupeuple allemand. L accueil fait à cettedéclaration est au moins froid, mêmedans le public allemand.

Can entend ensuite Oudegeest, d'Ams-terdam, qui parle au nom de Hoternatio-rale syndicale d'Amsterdam, dont laprésence ici n'est pas l'un des évène-ments les moins heureux du Congrès. Ildéclare l'unité rétablie. Si elle avait puetre réalisée en 1918. et meme dam ledomaine syndical, on en aurait éprouvéles olue horions effets. Il se fclicite quel'unité se réalise sur le terrain de la dé-mocratie. Elle est indispemable; à laprospérité du mouvement syndical, quine saut vivre ni sous ta dictature d'unhomme. ni sous celle d'un parti. Il dé-fend en termes excellents la thèse de /acooperation etroute. en tonte indépen-dance des organisations politiques, syn-dicales et coopératives de la classe ou-vrière.WELLS prononce /a première adressePrésidentielle.

Il définit le but et la méthode : parl'éducation politique à la majorité, Parla majorité à la prise du oouvoia par lamise du pouvoir à l'organisation de ladémocratie industrielle. au socialisme. Ilrappelle à son tour que ce qu'il s'agitde fonder. n'ont l'Internationale de le

paix et de la démocratie. dressée con-tre taus les impérialismes, y comprisl'impérialisme communiste et jimpéria-lisme fasciste.

BRACKE, à son mur, insiste sur ta né-cessité de s entendre entre socialistes detom les pays pour assurer la paix dumonde. li salue /a résistance pacifiquedes travailleurs allemands à l'occupationde la Ruhr. La première tâche de l'In-ternationale sera de résoudre ce problè-me oui est comme j.in raccourci du pro-blème de l'impérialisme et de la guerre.

Il fait acclamer les vieux militants del'Internationale, Grenlich. Axelrode:Bernstein, Kautsky. Il ternisse au milleddes acelamations Par le mot d'AnatolieFrance l'Union des travailleurs fers /apaix du monde.

ki se produit un gracieux incident Ungroupe d'eofents apporte au Cangréaune corbeille de fleur, et demandent àInsu /es congressisics de dire à leurs en-fants que les petits allemands les regar-dent comme des frères et des sueurs.

AN FR, au nom du comité d'organi-oation, demande que les commissions-chanZées de la vérification des mandatset des statuts soient réunies aujourd'huiles autres demain.

LA DELEGATION BELGEElle est ainsi composéeVandervelde. de Brouckère. Van Rom

broeck (bureau du Conseil général), ci-toyenne Spaak Conseil général), Leen(Fédération bruxelloise), Troclet, citoyen,ne Deiardin et Sainte .(Fédération liégeoi-se), Hubin (Huy), Riérard (Mons), Vole-kaert et A/ex. André (Soignies), Jeu'oisonet citoyenne Claire f3aril (mutuali-tés- citoyenne Pets (Comité d'action lé.minine-. Palau (Conseiliers provinciauxet communaux), Van Walleghern et I.Delvigne (métallurgistes), Dejardin etClaim (mineurs), A. De Mets et Segiers(textile), Marneffe (alimentation), DeniseDurand (Mutualités féminines). C. Huy,mara (Fédération anversoise).

Se sont fait excuser Boudas, Scias,J. \Vanter, reterno en Belgique par lagrève des cheminots.

Le premier jour. les Belges ont tenu,sous la présidence de Louis de Brou-ckère, une brève mais fructueuse séancede travail au cours de laquelle de ontdiscuté à nouveau le projet de statuts del'Internationale reconstituée. A la pétistion de principes disant que l'Interna-tionale groupe les partis étui vejent lasuPPression du mode capitaliste de pro-duction et accentent la lutte des dussescomme moyen, Robin a proposé d'aies-ter, pour nous distinguer nettement descommunistea. une formule orpliquantl'organisation de ls démocratie politique,la con,ultation régulière du S U. Tousles Belges, tout en voulant faire de l'In'ternationale. une résliré vivante et agis-sante. ont /e souci d'éviter que de» Payan'avant pas les saapqnsabilités que noue

PETITS BILLETS Au-dessus de la mêlée

Réveil républicain LE CONGRÈS Di HAMBOURG

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raesaosassa2

avons, ne nous imposent des décisions et'des règles dont vraiment nous ne pour-i.ons noua accommoder. On se reavientcie ce cangeas d Amsterdam. où /a seule;voix d'an japonais a fait Perider la ba-lane, els,. lequestion de la participa-iim au pouvoir.

Valsez-vous. disait C. Huysmans,mas la voix e la délégation Pola-Zatat:mus oblige à voter contre le ...Pola défense nationale en cas d'ogres-'sign ?

'Les Belges se sont montrés, en géné-ral, favorables à l'admission d'une fem-me au sein du Comité exactaif de t'In-Minationale. On voit que nous ne soin-:mes Nt, tellement contre... les BlancsBonnets

LE PROGRAMMiE DES FETESET EXCURSIONS

Le Comité local crorganisation du con-grès a particulièrement soigné le proegramme des délassements et en a soi-gné la valeur artistirne. 11 y aura ralereprésentation de Fidelio à l'Opéra,concert dirigé par Muck, oui est l'un desradia/ms elhefs d'orchestre allemands,ana 'visite da Port en bateau, etc.

DANS LES COMMISSIONSLa Commission des huit heures adop-

te une résolution de DelvigneMg-dés français engageant les partis àfi/Me:aire allez ,eau /es résolutions deFlaternatIonale syndIcale d'Amsterdamet la ratification dm conventions deWashinaam.

La commission pour la lutte centrerimparialiame, diurge Bauer, Engber,Barra.. Hilfeasling et Huysmans de pté-parer le texte général ct confie à Bratis-oheid, Blum, Vandervelde, Webb, Mo-digliani, Brantiim et Troelstra la raclac-tn du textile de la résolution sur lesréparations et l'occupation de la Ruhr

La cammission des mandats refusaIladmission du parti socialiste natiotalKlefacz de Tchéceslovagaie, mais leposé allai-remet de ce marne paysIrma aussi l'exclusion de Winter Tu-oie, de Sonkeep do parti socialiste tchè-que Cette demande sera repoussée.

PIERARD.

Deuxième séance publiqueHambourg 26 mai. La deuxième

ramme publique s'est tenue aujourd'huiseas la présidence de Wallhead.

Ca vota d abard une protestation con-tre la maclera/1-010n des socialistes aé-voltnionnaires russen. t'Aichinger appas-ta /e salut des socialistes hongrois em-prisennas et persamités par la terreur

lênclee. Au coma du débat sur la réac-tion mondiale, Abramvitch dénonça ladiatature soviatiaue, Modigliani, Rem-plumant les évanements italiens constata que partout. afin d'enriaaehe; la nais-sance du simili-famisnos, k socialismedoit conquérir, même partiellement lepouvoir

Au cours du débat sur la législationsmink, a H, TIonaas (Angleterre), da-feuaant lu _ralsolatica, fit observer smeceux sari invarnent constamment le trai-té de Ver aille', oublient rasade de cetraita relatif aux hait heures Ln résolu-tion fut votée.

Le Courrier des Loyers^

Une décision graveUn prinsipal locataire réforma de

guerre est en droit d'opposer à la de-mande de son sous-locataire relativeà den locaux caramemiaux sa volonté

'habites les dits boues osce, sans avoirà justifier de motif légitime. Ainsi ena- décidé le juge de paix de Riegle, parles motifs suitrants

e Attendu quld rasulte des débats quehi Bosniens, rélanné ae guerre, voulauthanéficiee des dieositams de l'article 4de la lui du 31 mars 1922, a donna con-ga Polar le 31 eliFensbre 1922 à M.Cauaiet, son sous-locataire, pats" un loscal à usage commercial. sis ville de Ris-ale, local que Passions a déclara êtrenécessaire à sari hahitation personnelle.Que Caubet, saut en reconnaissant quePassims est réforma de entoure, mates-te à celui-ci le droit de rentrer en pas-session du local loué, matif pris de ceque Bastide 4 de la loi du 31 mars 1922vise uniquernem les locaux à usage comaramstal t que Passiaes n'a nul besoindu local loué pour son habitation, eteue cost uniquement dans le but d'êtreshfisagraable à son locataire qu'il lui don-ne conga.

Attendu nu if est recensait par toutesparties que Passioes est talonné defemme que, au sagard de son sem-lo-cataire. il est un véritable propriétaire

r, Attendu que rien dans l'art. 4 nespécifie que seuls les locaux à usagedhabitation peuvent être serais, que aucontraire le dit article acarenence par

Les prorogations prévues à l'article 56de la loi du 9 mars 1918 cessera. ara-tre opaosables. etc. Or. nous rap-portant à rasade 56 de la lei du 9 mais19/8, nous lisons que les proragatiaasgai y sont prévues s appliquent I. Amlocaux à usage commercial, industriel ouarofessimmel 2. Aux locaux à usagedisbitatioe. Les locaux à usage canasmerda' sont donc visés par l'article 4de la loi da 31 mars 1922.

e Attendu eue de tout ce que dessus,il résulte que Passices, réforma de guerreest en droit de rearendre le local par haInné à Coulons. Que Caubet est mal ve-nu à s'Y opposer. Qu'il y a lieu de debout, Mt. Courbet de aa demande depsepagatien et de le condamner aux dé-

ens_Par ces motifs

e Jugeant contradictoirement et cadre-aine ressort. dnànusarrelc Caubet de sademande de prorogation comme malBardée, déclarons régulier en la forme etyalable au fond, /e conga donna à (fanbat, par Faute entra indiciaire du 4 mai012

a Duo,cs qu'il sortira son plein et entint efifet et que le bail d'entre partiessure résilié à compter du 31 décembre1922

a Couda/rasons M. Caubet aux dopent'kanaks. etc.

aja pourvoi en cassation ayant été for-mé par m. Caubet, centre ce iugement,In Commission supérieure de Cassationa saleté le dit pouraol par erl'é., du 9cambre 1922.

La solution est donc définitive.

Le Centenaire de Pasteur

La Vie d'un Grand SavantDes voix autorisées vont dire dans la

France tout ce mie l'humanité doit àPasteur. Pas un détail de ses travaux,Pas une de ses découvertes ne serontlaissés dans l'ombre. Mais la genèse dusavant paraît avoir été moins divulguée.Or, c'est es étudiant In vie des grandshommes qu on surprend et qu'on expli-que souvent le secret de leur génie.

Louis Pesteur naquit de parents hum-bles, dans une modeste maison de Dale,le 27 décembre 1822, à deux heures dumatin. San père, leanalosePh Pasteur.ancien soklat de l'armée d'Espagne, faitchevalier de la Lamina d'honneur le 12nmrs 1814, après la bataille de Bas-sur-Aube, exerçait péniblement le métier detanneur.

En 1815, il avait épousé leanne-Etien-nette Roqua dont les parents, originairesde Marnoz, localité située à une lieue deSalins, étaient ardiniers.

Le premier maître de Pasteur fut ring-Mutera de l'école primaire anneléecollège d'Arbois. L'enfant était bon,mais non excellent. élève et l'on ne peutamer ses nremières années des légendesqui s'établissent autour des petits prodi-ges.

Un ami rle la moisas paternelle, lePrincipal du collège d'Arbois, M. Rama-net, devina, /e premier, en Louis Pas-teur, /es rnalitas simples et fortes quiétaient la fond Marne de sa nature. Ilexerça une influence dacisive sur la roc-relie riede son élève et finit ras lui faireentrevoir la perspective de lEcole Nor-male. L'acolier rivait seize on, quandpartit pom Paris Un officier de la gardemunicipale qui venait souvent à Arboisse proposa comme aorrespondant

imine homme. 11 s'aPPelait Barbier etavait le grade de capitaine. Il logea sonprotégé au quartier Latin. repasse

airsFeuillaatines,à la pension Barbes, tenuepar un Franc -Comtois qui rOduisait lesfrais do logis pour ses compatriotes.

Mais le notiveau fardier de la pensionBechet fut bientôt mis d'une incumblenostalgie qui lui rendit tout trasaii lm-Possible. Un matin de macabre. losephPasteur vint rechercher son Ela eralment sons doute qu'un titra modeste deProfesseur au collaae d'Arbois serait plusfacile à obtenir qu'une chaire au Collègede France.

Le 29 août 1840. Louis fut reçu hoche -

lier ès-lettres. à Besançon. L'année rani.k proviseur do collage raya/ de

Franche-Comté, M. Réioéeaod loi nroposa la situation de maître supplémen-taire, qu'il accepta. Dans ces nouvedesbosctiaes cari lui rapportaient vingt-qua-tre francs par mois, il altos charga defaire repasser aux canadidats bacheliersles mathématiques et la physique.

Le 13 août 1841 il subissait à Dijon,l'examen du baccaloréat ès-sciences et,bien que rem. n'obtenait, peur la 'hime aue la note El médiocre a lI e 26août, a était déclaaé admissible à BEcoleNormale, le quatorzième me vingtaresx.Enfin, au mois d'octobre, il reprenait lechemin de Paris

M. Barbet voulut bien recevoir sonancien pensionnaire et ne Ici faire payerque le ticar de la pension, à laconalitiande poses aux jeunes élèves, une fais Parjour, de six à sept heures du matin, desinterrogations sur les methérnatimes élé-mentaires.

L'illustre Balard eut l'heureuse penséed'attaches Pasteur in con labmataire Cechoix praserva le normalien d'aller ensei-gner le physique au lycée de Tournon.

La Révolution ale l648 emplit d en-thmuslaiene /e muse savant. Une Rélamas généreuse et haternalle avecmastine. peète, conducteur drapeeples,était faite mus k eadaise. Il 9 emalafut garde asti-mal. e Co sont de beauxorale sublimes éaénernents eue ceux quise déradent ici, sous mies yeux, écri-vait-il alors à son père, et, s'il le Blasa,je me battrais avec courage Pour la sain-te caase de- la Répulshoue.

Il nese battit ras. mais lm joua le 28aima 1848, il vint déposer sur On autelalevé or centre de la place du Panthéon,le montant de ses modestes &anomiesreprésentées par la aman, de mat da-mante francs.

Après ces jos/TM/es a'eaaltation, Pas-teur revint à son lalsoraroire et corranen-ça la langue série de ses travaux sur lacristallegsaphie qui maretaa le début desa remmené,. Professeur de physique auLycée de Dijon, puis à la Faculté, deStrasbourg, paie. à la nouvelle Facultédm Sciera:es ale Lille, il se Pt.6satMa mouepremière fois à l'Académie des Sciencesdans I. section de rainéraloaie. Maitigré lerapportalogieua de Senarmont, il n/ob-fini anus nombre de tinta mststfisantgotte être élu Peu après, il fut nommésdrainistrateur de FEcole Normale et di-recteur des études scientifiques. Il avaitalors abordé l'étade des fermentations.A la fin de 1...62, il posa pour la secondefois sa candidature à l'Académie desSsiences et, le 8 dace/rame il lm éluaprès avoir obtenu 36 suffrages sur 60votants_

Le 19 ostobra 1868. au retour dameséance où il avait /u le travail d'un Ita-lien sur les résultats obtenus en Italieest appliquant les méthodes pasteurien-nes dans le traitement de /a maladie desvers à soie, il tomba brasq.uement para-lysé. A la suite de pariades de calme etd'agitation, d'alternatives d'espoir et dedétresse, un mieux définitif survint.

Aptas 1870, il aborda l'étude des allertons contagieuses soi le Préoccupaient.La maladie mi lavait si cruellementéproavé et niai avait brutalement fauchéparant les siens le rendait salua indinévers les mathears des autres.

En 1873. une candidature inattenduelui fut offerte à l'Académie de Médecine.L'ayant acceptée, il fut élu à une seulevoix de majorité 1 Qaand ses collèguesle virent arriver d'un pas un peu traî-sont et s asseoir au pupitre numéro 5, ilsne se doutaient guère eue ce timide al-lait être le plus grand révolutionnairede la milaecine. Ils ne songeaient 1.0doverpmpe oug moues qu'il allait déchaî-ner. ni aux soutaaines dards qui de-vaient illuminer len batailles Prmlaairies

Un instant. en 187. la politique trou-Ma sa vie. Il eut l'ambition de siéger auSénat. jules Grévy, le futur arésident dela Rapablique, fit campagne contre lui

LE MIDI

et il ne réunit me 6, veut, alors qué seSadversaires en obtenaient 891. -

Lorsque Littré mourut. Pasteur, nes:raillé pat quelques assit. se laisse emtratner et posa sa caadidature à l'Aeeelemie Française. L'illustre chimiste' .1.-BDlleftais, son ancien maître, et Nisetdavaient été choisis par Pasteur Pourses parrains académiques le Mur de lamance solennelle. Ce fut Renan ma leisut le nouvel élu

11 s'éteignit /e 28 septernare 1894. Lamort le prit doucement. sans secousseau milieu des siens et de ses disciples.à quatre heures de l'après-midi.

M. Millerand commémore à hile

le centenaire du grand savant

L'ARRIVEE A DOLEDirk, 26 gruE A 8 In. 50, le train pré,

sidentiel entre en gare de Dente. Il pleut.Néanmoins rallumée est grande auxabords de la gare. M. Millerand et les ne-nistres sent reçus par les autorités. Annom des parlementaires du Jars et de laroltrrl,rtinfa 15f, that.. Bérard Tema auprésident un album cg sant réunies lesreproductions des nombreux souvenirs dePasteur relgieusement camservés dans /escatiesnon' M. Millerand va nisiter. Puis ilprocédé rapidement in la présentation Octautorités ainsi qu'A celle des représentantsdes corps savants spécialement délégnésGeorges Gay., de l'Académie Françoise.A LA MAISON NATALE DE PAS'rEUR

Le président descend d'auto à l'entréede la rue Pasteur, trop étroite orme laisserpenser 10 culture, el aaang in pied la petitetraistes qui vit nailre Pasteur. Acnne115 nusud/ star lre membres Mo ta familia-du en-mut le rrestdent patetre dans themblemaison bâtie en pierre poreuse êt dont ila fallu étayer le9 planchers en prévisiondes visiteurs nembreax qui s'y pressentaujourd'hui.

Des mitograplies, sont ka dans demvitrines, et ausi quelques instruments faits

ar lui pour demandrer ses expériencesria Mistallisation.

Le président passe ensuite sur la terras-se dela maison d'ola l'on une vue superbesur le canal des rameurs.

Oesearte officielle se sena ensuite aucents Saint-Maurice où se trouve le mo-nument Pasteur. l/ est 10 heures.

DEVANT LE MONUMENT

IL et Mme Vallery-lledni, qui avaientfait au président les honneurs de la nui-son Pasteur l'entourent encore sur l'estra-de nui a été stressée sur l'Esplanade deSablée, que domine le Pasteur de bre.s.

Dans le demi-cercle taira par les ham-pes des drapeaux des nations represmtéesdes petites filles, vêtues en blanc, oppor-tune une offrande rte ilenrs effeuillées.

Des diseurs retenliumir. Mais hé/as !

la pluie redouble. M. Dumont, député, /onele génie que le monde remercie chaque

M. Daelain, au nom des inutiles exprimela gratitude des blessés do guerre à lascience qui les sauva.

ALLOCUTION DE M. -LEON BERARD

M. Léon Bérard prend ensuite le Parole.Le maison

o naquit Pasteur est run des lieux /esohm vénérables qu'il y ait au monde, leministre Léon Ineurd mc demande s'il n'ya pas lieu de chercher dans ses commence-ments des signes de prédestination.

o On ne ecounre, Cependant au-emi présage siens les premiers ans de Pus-tour. Aucun signe extraordinaire. Pas mê-me des staries de taxation, avertissementsalutaire eux amateurs adatioés à releverdes aptitudes pour °parer des classements.

Lanfmt était réfléchi etsensiale'

al-fenils et grave, et voilà précisément teutle mystère, et voilà le vrai tmèse., cor sesera la grandeur et l'incomparable beautéde son destin de se roi/mettre -à 10 rats..de /a servir d'me -ferveur ale-lèse, d'ac-croître son domaine natte tointer à sen loinpremières et de renouvelles sons aucuneallure d'inspiration visible, ta vie de laSeielnee et les conatitions du vrai o.

M. Léon Besant, qui évosine le senvenide Claude Bernard, dui amitysa et défmilos conditions de l'expérience nue Pasteurdevait mettre en action. Vérifiant tout ceque le grena ph,vsiologiste mait seulementpressenti, il n'antre ensuite l'unité dés tra-vers si divers de t'enterre.

Arme-Su avoir admiré que Ilmearne Md arenouvelé rart de guérir. n'oint jennis ap-pris la médecine. M. Léon Bérard caneluti

O Proclamer que daman doit è la scienceann intérêt et sen servira, rassi le artilleurhonamme que ms ;missi., dédier à lamimmire dr, Louis Pasteur, témoin fiéroï-pue de la raison française en uni tout unormoie se plaît P reconnaître oe MIE a eudc meilleur et de plus grand.

Sou, la pluie qui tombe vesse, M. Mil-lerand, tête nue, s'avance et dépose au piedtin ntonutnent Une grande pubes verte ce-pendant due les fillettes jettent des ileumpar brassées.

L'HOMMAGE DE L'ACADEMIEAu nom da l'Académie Frugaire, M. Caere..

Gorau mon. Biome nad... et Melk. «i-on. rem hypon'ese tomme un lireardeur aimaon mione, main ne moomoLoor mem à tettetentation de croire les choeca parce que l'on veutqu'elles ecient.

Il voirlmta eus rhumillté de Pasteur, mou.,en 1683. norme les dolman &larmes d'one mincisration qu'il ne cro.it pas mériter. /I raPPrtiesen di..am à l'Académie. où il euccédait àaaag, s, ranime a sairitialime élesé du «vendsavant.

Le cortège ee rend à l'haultal installé dan onoadre eatereemie as boat de es amel des Ton-na. qui beigne la ss,icon natale de Ftseteur.

Au banquet, 5,1 Pi,re, maire de Dole, err-a pane, du ea joie de l'homeswge rendu

qajo.dthm pet le Inonde enties, au eé,entant de la marna enneope.

Le mut du mure en frequmnenentM. Milleornd ureoeine no laures emInne la

skire mandnie de Pasunr.Le eortne se rend ensurte à la gare as milieu

due ovations de la ropulation.Le vain tarésidemiell part à 15 heures pour

Lons-lesSouhales.

L'Hommage des NationsA L'ECOLE NORMALE

Parie, 26 maL Loa 506 déléoniés nonersvenus à Paris mar la erearrianematiesi do tente-ma. da Pastan m mot rendu., à /(1 h.. esccen-rampé. de M. Peeett, paradent da censeil ma,niciteed, du Mon, Reta m de M. .4pre11. reatee, de Male netersele estsérietue,

EDE DES FEUILLANTINESArorèS une viaa au laboateire, la coriage

Peet rende rue dee Fouillaartine, où M. Peada

SOCIALISTE tgamspasearai ,tratetataamtataanadaseastrataaales.

président do cone,/ munitipal, a innugusé uneplaque sommés...Mye scellée sus l'école an-mutule. à le placé oit se trouvait luccrrsnlalspension L3arbet, ois Pasteur vint une pnuiièreMit en octobre 1838, afin MY anhaver eee étuidessec.deiten, mals rhofe te mal du pays le fitpartir clés le mots de fievente. I/ y rentra en10.51,0343 pour enrayer se ara:amine à Modemalade.

A L'HOTU DE \unsA leur arrivée à l'Hôtel de vêla les repsésoo

s des remisas é:rangée. soni au,.ra dan,e nassai. des Lames. 'des An etodos Sciences,

où Ils apPoensat leurs sa...mes sot le Livre d'or.Ils sont ensuite conduits da, La sale, s rie. Fétes

où trounent réunies de ambre:Ise. personnmami niiltielira,M Patch, précident du conseil municipe sa-

lue les hommea Pomme, ven. do toos laapelas de l'univere s'aseccier h la glorification del'illustre raya.

Il rappelle les souvenirs de Passeur à Paris,où il ersamenen ser expérience. où On sou-te, des Ince si poesionnantee contre Filma-rame, les préaisrés, le sceprtciwne.

M. jaillerd, préfet de la Seine, s'assopie à cethommage tetttin ts la vie de Pasteur.

Un concert a lieu ensuite.

ans la Ruhr---------

Des troubles et des sabotages

LA REPONSE ALLEMANDEaman, 80 La Gazette de Ber-

lin à midi publie t'information suivamteia Les grandes lignes de la réponse al-

lemande ont fait lenjet d'un nabat aucours de la,saantre tenue h,. Par le llabi-

La résultat sera discuté avec les chefsde partis, u

antre temps, un des pointa les plus es-sentiels pour la delsoration qui mit être

!r.:edaele"Gre'"ri;re:,:z.zunt.,%;r1iris alternative s Antan par ses représen-tants qu'elle 'était absolument disaosée àfournir, sous une larme la liant et qui se-rait à fisse sous In. par une loi. la cau-tipn qui lui est néeessaire pour garantirIlion allemande.Celte caution ne peut Io. ..en &Te

chiffrée, rnaia elle COrrespand aux somates0.0 la 13/30Verli/O00.1 allemand conederecomme supportableS, après une examenminutieux et en teimnt cinq., mir tOuteeMs abjections élevées par l'étranger contrela dernière offre sllmande.UNE LETTRE OU PARTI TRAVAILLISTE

Loueras, al mai, Le conseil nationaldu iucti IravadhSte indépendant vit,. «a-dresse, au sujet ores eparat.ons, une let-tre aux arealiste nuanças et belges, qui...nue QU appel au prolétariat Centrela violence maneriste il la syram.e.

Elle couque le gouvernement Ivnçaisd'avoir repoussé les offres' allemandes etblûme le ministère des affaires étrangèresbritanniques dans sr-récente façon d'agiravec ou soviets.

LUS 11{OUBLU.S A BOCHLin

Bochum, 26 mai. Aptes Dortmund etGelsenkirchen, la ville de Bochum a In

sOn Mur k theinte do eroublcs, ce quidonne à croie quo les amtatann se dêPla-sent d'une vaille a l'autre pour prourquerdes soulèvements et créer deS

Hie apK.s-midi, iro man-leStants ontpris d'aSsrat le battaient de la police. plot-misera cerMatmnistes Ont été blesses autOugs de l'action. les comumnStes out li-vré ...si is,tot aux laceras dia jomnamxbourgeois, Ii en est résulté un chintest avenles 00Mleing qui ancsnnna,i II, police de laville.

CONTRE LA GREVE

Essen, 26 mai. A la suito de la réunioncommuniste enviergeant la greve générale.une conférence des conseillers ouvrierad'exploitation a en le st a la ..jom,ê, lessonseillers se sont preancés contre rappelS la grève. aucune tendance gréviste nu selaient actnellemerli sentir, selon eux, dansles usines du distriot.

NOUVELLES ssrissrussos GREMINOTS

Dusuldorf, MI suai. -- Gomme suite àl'ultimatum signé du général Degoutte, en-joignant aus cheminots de reprendre letravail élans les la houros, les exputsionsont commencé, hier auot. clan, les terri-toires Otsucés.

A lausseldorf, à stg heures, trente copul-ions avaient déjà été appliquées; les ex-

pulsée ont quatre jours pose déménager;les clefs des logements flagrant etre réoni-s. aon auturités cro.upation.

L'EXHDUTION DE SUEILJPGI2TTEllDusstlelorf. 26 mai, ada runtrqu'on pré-

sente Oct ..tes do sabotage de Ifine8 en Peu,fréquents et qui, commis sur la voie fer-rée, mettent h 1001 instant la vit Ms voya-geurs en danger, les autorités d'o.upationOnt été daoa l'obligatien de faire savoir,par toue les modes possibles de putalicile,que ces actes criminels étaient posantesde peines pouvsM aller jusqu'à la airat.

Cet avertissenamt zieute ;tour la pre-mière fois, de recevoir 8011 application enRuhr.

Ge matin, au petit jour actilagetter,chefd'un bande qui orgenise al exécute les sa-botages de voies ferrées, ainsi que de nom-breux mitres aetes criminels, a été exé-cuté.

ENCORE DES SABOTAGES

Dussadorf, 25 i.e 23 mai, unehomhe n aclaté entre Dureastruir et A-tore-n-eh, à la frontière de la none rouleuse.

La 1.emotive hast le pied est Lres en-dommagée tin rail est radula sur deuxmétres de longueur ci la. ellattlerrienpeut être amarre qu'en utilasant la deu-nneme vole.

Au dépôt des machines d'Osterfeki 11000belge), un obus de 420 a été trama dans1% stols:le cambial destine ...enter

Des sanerirms ont été prises par l'auto-rité belge.

La nature de l'engin qui Brovoqua l'ex-plosion de leuhrort n'a pu encore être dé-terminée. Trois vessions sont paposees

a Ce serait un bus de Met est hre lamepar un un anenaverfea selon la déclarationd'un sOldat qui avait nettemc'unt entendule sifflement du projectile dent l'air;

2. Da minas dérasantes taisaient heurtélas filets placés. dans la riviere afin de pro-téger I. barrages contre les attelants:

S. Aucun fragment d'expleaf n'ayant étéretrouvé, on suppoàe mur ce .flernier, cons-titué par une torpfile, h propulseur, auraitÉrlate non pue er anx.t. Mata en aval de

On fit remarquer -toutefois que la miviles faaant un couda à cet entrait unetorpille h propulthje automatique auraitheurte le rivage tt produit une large brè-che ao hen de son exulosion.

Ouoi gna'il en soit, la navigalMn n'a pasété interrompue.

L'enquête se amrsurt,

La denier° des Champ:ons de FranceRugby

LA DERNIERE DES CHAMPIONSDE FRANCE

Aujoun'hui la raison de nts4Dy va être d8-a a eume par un match

eensationtel que nous devone. nota pus à /a F.F. EL, male au Sine Toukomin.

Los chernso, ce France co.re quinze e asdont uno douzaine d'internationaux authentiqueàet trois sgectionnée qui valent Is, autiee. de l'a-vis unanime. Ça vaudra mieux que le ...h seniche tout d'abord imaginé p.an k cemelle mon

.1,ede de querra.n manitou. de la Félénti,Cr match eg merl à celut que none offrit le

S.d. Fan pamé de, des conditions anolonenet à la metée, époque.

On mit que le leste esquissé lau rasse meOc S,de était sans précédent et qu'il

eemsne à donner au public totelousain le meatacle d'une Coupe de France nen officiai:le, puisnon la Coupe de France (champion de Francecontre Equipe Péationele) avait été sounimie.

Dé.' l'an passé le match du 30 avril fut pes-sin... Celui d'apjound'imi le eera cemdaerneartan même degré.

Les d'arpion. de Fran, présenteront Io méneéquipe oui a ioué k 13 mai dernier à Paris etqui a gagné. Seul Pépion enoom hle.é ne imera

il

Pceec ...soles la cCMPCSitiCII I

Attige amena: rra...masa : Dearam, Nou-s.. Bordes, jaUréfel, demis : Gale, Barges;aven, Larrieu, Prévue, Bioosso, Lubin, Famé,arrea, Dam., Mao.L'enuipe des as a pourra bien s'nuedis une

e Sélect/en R.m de la France c. A la vérité,R.ingmen et Basques set veront nom,. Maisman. ttcee aheence, l' équipe sera sur levolet. Et nul ne pourr. rapreter les absentspuinue tous la. présents vaisdr,t les absentsa.quals nournit nanno.

Fm volai do reste la ormlomMien pratalleAnicree Clenumn traMenonts Mme, Cm.

Ince, Salan,, asyrefamea, donnis Borimuer.Dourot, morts Lens., hnverti.e. Siosa, O...-eayst, Canne, Bernm, Rivière,

Réserves t 00nc (»al Oen. (Londriert.Arbit.On le voit c'est le dessus de Pm.,La Iode ne en.quera pm de venir a...1,d.

une dernière Pn /es meurs elle.,. C'est ni,devoir. surent ai on coneidère que certains û',,,tue eux ne repasseravr plus sur les grounds.Cest le cm amlout de Jaurnuy, qui vient araeaaas do H., r.O.11t endoweer le maelotet car peur la dernière fola. Ce loyal nt

toue. ne peut pas int. sans que toutYoulou. lui prodigue ses cheleuteuses none.

Sea autres oscarteles mai le méritera. S'il ra eu pour le terrain de la finale des diesussiondes ealculs. des manteuvres quelconques préjudi-ciables au public méridien:1i les joueurs My sentPsur sien, ne eauraicnt mar. lis e. dà,..11,1" à Paris devant sa man hostile, dé-ployer chu Or tran ne leur en aurait falluIci . En outre, le nit qu'eue. d'eux ne boaicdaman ume rc nésenter demut noua,

qt, mérin qu'on le ondisnaLa publie Osolauan.5 amseeiera tour cela, et

srimorenrd sera ai vibrant cote les cheMpiercet /ems :ratas en amatrom un immortelna.

Pria des places. Popukires. 2 fra roui un.4 fo; cimente nolune. 8 fr.; numératém, 10 fr.

Lnoannn ?none rio Seareierlai du Staço, 1,

Plane Marahun,

L4 ITNSION GRECO TURQUE

La veillée des armes en Thrace

Pnsrr,itnsOaloeOu reçoit de Salonique ledépit:elle suivante t

Les officiecr de l'état-major du colonel Plas-tiras, du colonel Gonatae, le ministre da laeèee.e sont aerivés hier mis et repartent pourle front manche leur ciertumelement.

s Acrteud'hui, les bateaux ds int doSala-nique ont été réquisitimmés par /es s.orttéslitaires.

e On croit à dee évènemeno, geasssne dénieala avent mite joues.

e Si la manse éclate elle aura mai de merthcuiter onh/le ra feta mas roplaninetne immésdia., avec les moles divisions arreaùetmem mes les su,sentes s.

ANDIONOPLE EV ACUE

Imnares, 26 mas On reliermhie d'Athénéeque la mmularion tivilo tuque a nuoué Auch,naph.

L'INTRANSIGEANCE D'ANGORAlaralres, 76 mei. On mandc de Cuesta -

D'après des inf....ans recuclilies à meil-

leure rom.. le nou.reen.nt demeu,sirrét3uctible en ce qui ceemerne le estée,. de.Muet-anone deeneedne par la Grèce,

loi, la situation .t considérée comme dee

ee. csittaaes

LA PAIX EST FAITE1-00sanne, 26 niai. Après une séance

qui a dure de 15 heures et demie à 18 hemreg et quart, un moard est intervenu, enprésence des chefs des délégations Alliés,entre les représentants de la Grèce et dela Turquie.Vrai arl,bs .1exilltéelaroe tus- st turprIalxisiit.es qui

le Cabinet S. Baldwin

est définitivement constitué

Londres, 20 moi (Communiqué officiel).sent raintstres constituent a cabinet britanniqueproprement dt, qui subit les modifications aui.smies

M. Stanley Bathaven rmnplace !VI. Bonn Lou.M. Alac Ken, minime M. Ba,dwin con..

chancelier de l'En:Figuier.Lori Robert Ceci/ entre dans le cabinet .rnme

lord do sceau privé.Une rtentaine d'aune. ministres (3. an Par-

ticipant ms a. cabinet. à e,oir 1, ministresO. l'aéronautque, dee paneions, des Umm, Ptt"blies, l'attorney général, le (mélinite: général, lesnemertetaires O, Feemasraime. dao eelemies,

affairn érmmereo, da l'Iode. de In suette,en., ne C11311Cilt paS.

M Jonson Reka demain sécrétoire finanolan

Trias s,

Deux jounesfilles sont reçues

à l'agrégation de médecine

LA VIE SPORTIVE

Le soit, dant len salons d, 12fintel do peutriLlaï!!rit:t

Or utcehasel2C, A''ctÎê.

e.n.1,000do sympathie de nouveauxpon péan hnnée prochaineet SUrP rie r à ims.

CycihruiteBORDE A UX P Ris

.eA1.2 >entoure où tonna

La, massés "ana." 133:31113man.. deleassille aven la--ma run,llsraneamme la course dimmbionridere à num do CLatelleraMaltée pente semée ene.,,,,,tomobilm, dm ménnicien

és tnnment sur mt 'pal-Cotesspammrs et atm.. d earim,.

M issi, a jean Bramer. Le ligney a tenté la chance oveoJean Alavoine Rommin Bellone,hese., Le ble, eiel Kemal, a ace Z...trplette composée de Monet, Mana ,Automote a désigné Barthélemy et jacq,;,,`,''enén Lanze est représenté pot Denwn,

Quel sers le vainqueur ?

Ionrap,I,que jc ne me cens pas le counessol.cent la mei., parce que

des titres plus cate muets.. lm., Plitentlirlever 1, 28 Bordeaux-Paris.

Eu aaa, as pas faim de islam a reaceois.gaatiant de l'en demies Francia Pesées qa,par -son dernier Paris-Tours, perdu eumchat4par une crevaison dans le dernier quart d'heme démontre qu'il était ortuntenent en 124 bonameute,.

Mois 1-hys pourrait bien infirmer taro tin.

BOXECRIQULKILBANE

leuit jours I peine nana ség. du chamaimrut ds monde des poids plumes on; se dimu.tem samedi 2 juin, au « Polo Groused s de New.

or . entre none coaapamote Cm, et Jota./Kilhane. 13-upuis pi, d'un mois et dem. Csiout

inelié hi, mtreogne, e Monsen aux or.virons de New-Ymit, ott 11 Centra/ne en Cm...este d, span..-partners asnérkalas et de Mariaet Ponte,

SO. manne. 1222ane s'est sabota, en vue eltece combat le concours du fameux manages ensé.rirait, Dan Mc Ketrick, qui s'Inn, de la pe,natation du chatupiern d'Europe.

Un peu de toutUKOlicoptése Craitchen a fait hier un vol de

9 mime.. Une commiesion manique de Fartanautique doit aller étudies cet. performance.

Da Tosin C...ou an déroule aujourd'huide.ilane Onos do nos d'Italie cydiste.

Dem., qui bettit Peul Friteh ar damspionne de Francs militaize de beare, rencontre.in,u, mercredi prochain, à Warg...

La liorganisalionde la Cour de Indice'

Para, 26 nui. M. Cnho, note des oser,a, rojohadre demain le Président de h Ré.

a, rama son arama, <lamé na mernbaOn a., edams da réunir aine la docuMenten.....sireè l'élaboration do projet de lai .ntotO une réenanisation de la Cour de justice.

Dès son 0000m, Pms, le mode desclearance. la docustmanton ainsi rein. edégagera lee di acoi,sr néa,'rt-tnr do ona.i.

La minispre tommeava sema ime nominé. .speeinn comenaee dc tion nen de menames endslaquelle ferant vesisembloblement pende lee Prt:sidents des somme,e, de lésidation t-noir Or

la Chembre et du Sleat, ainsi sa Ie preèaasidem ai. lu Cota. de Canai., fi mis. de no

conolunno nornormilea tete comoniorion

ornedora ainrs à la rédaction d'on me, le

On rakis., élans Ventinmse dc 'que Ir gartle des son,, entend pourstuvveinera La réalhation de on Prellstaenme, dan réaoadan l'sania moto., 45

PETITS FAITS

UNE FEMME ENERGIFWESaite-Enesr, 26 a. Ou dieroceiose.,ér

ferme, sanie aa V.epo. commune O, San.'tia-leares. a lardé de mers de «mars satranse. aelle-ei est taiseuse se dtavaa

pat la faner, non menu.,Cmi ma," Psa la samaname nes à h sesalon da parquet de Montbrison..

UNE GRIVE D'OUVRIERS BOULANGER,

Paria, 26 moi. eerain nenmare landangera arminien.om au syé2é00

tem de talimenistion oni voté le

la grève génésele réalonsle sard'imatduo' plus eu moins arasai sus 01i/

Mam, Vend., Pontoise. Sainttes Odéon, ComPinne, Meaux, etc.

lls cm décidé. en outre, d'obéir au mat a t.

the du

LA LIGNE AFRIENNEPARIS-BORDE-4e t

MADRID-LISBONNE

Lisbonne, 26 cia, kl. LatémaQum Bordentou ce mat, a .4 h. onarrisé à Lidomme oit il . insinué .md

rien, ParieBordesuadvtadnd-Liabonneenre ultérieurement motoruée inaceica 'X'.O,, Spi. Il a emprunte ri,Boaottaa, Vittoria. VailadeliA sen estivée à Lisbonne,essart,rs de la République PoII rimera <Mill ervrl

Lon doit quitter Lisbonne lo 29 ol'i,:drol

ààààà da ima. se rendant à Parie 0.1

Bordema.

ENCCWE UN VOL DANS UN RAel%e,

Marseille. -- A l'arrivée da

venant de PallS, A. a.,environs de Paris,saire dela Mme 0100, Pentre Dijon et Avistior,bé son portefeuille contes 'bleue

francs et uro c.nst de chèque

Il neige !Paris, 26 mai. De. imam filles. Mais 1oéCandei a Thé, Sen, viennent d'être &chu-

tées admiseibg,, au coorcouss d'masegtertera de

médaci.s.Mils Thérèse Onsiis, ale do e.é.d se.H. lAn'lno`l

eot Parisienne. Ano,enne chef do clinique à la amené r refroidissement con.

F.ulté de Mo.peRier. elle s'est eenseerée teéreue, la neige eat

atéaliana dee eniente. tes hauteurs ...miasmes, à à!""

Mêle Zoé Canne eot nrl4iaoi.. do Tordeuse. 900 mètres environ.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Chronique de ToulouseSur la Jettruee Pasteur

Pasteur est glorifié aujourd'hui dans laF' once entière. C'est sa journée. C'estaussi la journée du travail. Les discoursaffieiels exaheront sa vie et chanteront

loaange..famms leur émotion ne T.c-,gt,gndra à égaler celle du peuple qui detee les coins de l'univers remercieraPasteur. Son uvre est bien française.mais elle appartient aussi à I Humanité;elle est humaine taarce une françaiac

Sa gloire est pure et radieuse. Il ne Papas acquise l'épée en mains en menantau massacre des cohortes guerrières. Lamort n'a pas été son auxiliaire, ragentde mn renom. Il l'a traitée comme sonennemie implacable et grâce à Pasteurson empire a été diminué.

Je n ai pas la sotte prétention de ré-vé/er Pasteur Sa célébrité à l'heure on-belle dépasse les bornes de notre Payspour rayonner à travers le monde. L'éta-blissement de vignettes postales à soneffigie, contribuera encore à /a grandir.fin ne pouvait faire oeuvre plus utile quede k prendre pour emlaRme, ene. il don-ne une idae juste de la France fière deses fils dévotlés à cette patrie supérieurequ'on annelle l'humanité. On nous accu-se de chauvinisme. montrons aue noushonorons ceux qui parmi nos concitoyensaimèrent l'humantié.

Ceci dit, je voudrais plus simplementchercher dans la vie et Fceuvre de Pas-teur une leçon exemplaire de travail etdc dévouement. Puisque c est atnonr-d'hui aussi la journée des laboratoires, jevoudrais rappeler à cc suies les idéesqui lai tenaient au cur.

proor amuit /e 27 décembre/822 à 061e dans /a Jura. Sen père ou-vrier tanneur travrékit ardemment pourassurer l'avenir de ses enfants. Pasteurdébuta à l'école primaire et grâce à sesefforts réussit à entrer à « la grande'ace& Normale o. Le père redoublait dezèle pour subvenir aux besoins croissantsde son fils, car il était sans fortune. Pas-teur était /a constante préoccupation deson père et i/ confesse « qu'il lui doittout ».

Pasteur s'était élevé Par le travail etil avait cherché à Prouver Pur son suc-cès oue les sacrifices de ses parents n'é-taient Pas vains. San père, bien qu'ou-vrier. lui avait donné le goût de Ia cul-ture intellectuelle car les loisirs que luidonnait son métier il les employait à lirehemcoup et à s'instruire sans cesse. Luiqui était un manuel il avait ,a passion dusavoir et de l'étude. Il cultivait son es-prit en même temps qu'il exerçai: sesmuscles au dur métrer du tanneur. Pas-teur n'était pas riche et il avait des soeurs« Tout ce que je possède, disait-il, c'estune bonne santé, un bon coeur et ma en-Ptlion donc l'Université r lui qui ne pou-vait consacrer une fortune à répandre lebien être autour de lui ce qui doitêtre le seul usage de la richesse yconsacra son ta/ent.

Pasteur avait le culte du foirer pal.-nel. Avec le dévouement au Bien etl'amour de ha Science ce frirent le charmeet k passion de envie.

Sa vie est un exemple de probité:scien-tifique et dc désintéressement. // ne tra-vaillait pas pour acquérir une fortune, iltravaillait à dimaper les nain de I Inv.Inanité, et ce/a sans arrière-acasae. sansespoir de basse ou Cent lui quidonnait ce conseil aux Etudiants d'Ealinabourg cTravoillearaprrsénféea,letravail amuse vraiment et seul profite àI homme. au citoyen, à la Pater', a il au-rait du ajouter et « à l'humanité. n.

San carrare est et sera prenable. carelle appartient non seulement au présentmais encore à l'avenir. Il a trouvé la mé-thode efficace et are D'autres suivront lavole Qu'il a ouverte en l'élargssant etl'améliorant. Le mérite de Pria:, tracéerevient intégralement à Pasteur et la gloi-re de ses élèves les docteur, Rmx et Cal-mette ne fois que grandir la glaire :man-testée da. maître.

Pasteur nous dit qu'il avait Loueur,rien n'est plus vrai. Il soignai, les richescorasne les pauvres et lorsru'il le' aaaitluiais il n abandonnait casses malades.41 faudrait citer en entier cette mArrgable

pr, qo est le tettle au petit Gueyton.asteur le savait orphelin et <l lui envoie

un mandat, modeste il est vin', suas les'avants ksour jamais été descaafitearales carnets médicaux n existaient .-spe temps là. Autimois les favorisés deia fortune appelaient /es savants autourd'eux pou rles faire vivre dans l'aisance.Aujourd'hui, ils se désintére.sent d'euxet les méeègea rte pensent qu'A créer desa boumes n vertigineuses pour las prin-ces du poing ganté de cuir. Meure plu-trat la science peau me vive un boxeur!

Aussi l'Etat est aujourd'hui réduit àmendier en or ses savante besogneux etnes laf<notoires en cétresse. L'heure estsa'itique, la science est en péril faute..nrgent. Pasteur les aimait tant tes cherslaboratoires qu'il faut en araa honneurdonner largement aujourd'hui.

Donner pour les laboratohea c'estprendre une assurance contre 1a maladie.Pasteur disait que les laboratoires étaienta les temples de !Avenir. de la Richessevs du Bien-être «

Tout cela vadt bien quelques petits an-arifices. En donnant mur les recherchesscientifiques c'est aider ceux qui suiventPasteur à faire mieux et plus cue lui enmarchant les yeux fixés sur ces horizonsOC:rivent. que Pasteur n'a fait cm'entre-voir.

Les hommes de science ne connaissentque des épreuves. Ils luttent causse desPréjugés et lorsqu'ils les ont vaincus dehouveracx obstacles se dressent devantemp ils se heurtent à des difficultés detomes sortes dont la plus impérieuse an-.utcrhrri est la question d'argent.

, anode Bernard n'avait MM, Ishuro-lnrse DUlune cave humide et Hesse. Ceiut là que l'atteignit la maladie qui devaitremporter

Le is sale

:Chair..

qu on le' aide. Aujourd'hui lorsque vo.trouverez les quêteuses donnes pose leslaboratoires. voua donnez pour l'huma-nité et prouve.. en même temps quevous avez le culte des grands hommes etdes grandes choses. P étudiant répu-blicain.

Le mystère

de la rue des FilatiersStellet, commissaire de ',cilice à la ne

brigade mobile était allé à Paris sur com-mission rOgatoire <de M. Signoret pour in-terroger la femme de Limoury, sur la par-ticipation possible de ce dernier à lassas'sinat de la vieille resatière.

On se souvient en effet qu'au cours desdébats en cour d'Assises, sur l'agression dugarçon de receitm le ministère public ré-véla que te mouchoir qui avait serviétouffer /a vieille rentière, de la rue desFilatiers avait ammrtenu à Limoury.

C'est fe sen/ <Mite qui pouvait étayerIhneiripatim de Limonny dans cet assassi-nat.

Ce n'était peut-être pas suffisant devantles dénégations de Linhauey. Le mouchoirpouvait avoir appartenu lu Limoury et avoirété utilisé par on tiers qui l'aurait trouvéou qui l'aurait emprunte Per enernItle.

titis la femme do Litneuny qui n'avaitpas osé parler par crainte de représaillestant que son mari n'était pas condamnépour l'agression Mugarçon de recettes aparlé depuis.

M. Stellet a recueilli ses déclaratioasElles paraissent imPortantes.

M. Signoret a fait part de ces déclara-tions Limoury qui avait été extrait deIv prison St-Michel dans l'après-midi obieret conduit à l'instruction.

Limouzy a continué à Mer et a protestéde son innoncence. L'instruction contioe.

Le mystère de la rue Reclusane

L'instruction de cette affaire Ma pas en-cure réussi a établir si le vieil herboristea été assassiné.

Le rapport de M. le professeur Sorel con-clut à la possibilité d'un crin. ou à /apossibilité d'un suicide.

Lopinion publique dans le quartier St-Cyprien se passionne pour cette affaire ausujet de laquelle circulent les bruits lesplus contrastes 00m,

D'une manière générale soue croit pasau suicide et on invoque notamment, pourécarter l'hypothèse de suicide, /es croyan-ces de M. Dieu& qui était un catholiquefervent et qui passait pour un saint. Maiscela ne prouve pasqu'il ne soit p. suicidé.

On dit aussi que indigent qu'il parutil ne l'était pas et que ce n'est pas la mi-

quaère i a po le désespérer.La plupart dru veiSinS :croient à l'aasas-

sine, mais ne Umm& aucune précisionqui permette d'affirmer qu'il y ait en as-sassinat.

ÇA ET LACHEMINS DE: FER DU SUD-OUESTLa Compagnie des chemins de fer du

Sud-Ouest a transferé son siège secal dela gare floguel au &liner° 45 de la rue desPres, à Toulouse, oft se trouvait déjà lestem social de la SoCiéte des traMways deToulouee.

De plue, elle a notifié à 'Mt le directeurdes pestes, des télégraphes et des .1M/to-pesa Toulouse, un exploit d'hululer l'in-vitant faire suivre -à cette nouvelleadresse tous les plis, telagramffies, ainsique tous soles et docuMen. à l'adressede la Con<pagnie des chamins ne fer duSud-Ouest et d, mn administrateur direc-teur.

Par le Mit de eette mesure, au sujet delaquelle l'administration ,fera sans <Mutetes plus .expresses réserves, I. correspon-douces earmsees a la gaie Roguet et quiOnt trait a J'exploitation du réseau ris-quent. <Ment. par erreur, ire acheminées 05rue des gras,

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Mer<Y, inge etc paix, ministère public 51.Moreau, mnmissaire dé greffienM. Cassagne. Le tribunal a rendu 35 jus.-ments concernant les affaires1 suivantesracolage défaut de visite snitaire, violen-t:es légères, pénétrer sur le marché avant/heure. passege bicyclette sue cOntre-aller travaux sans alitOriStili011, etc...

COUPS ET VIOLENCESHier soir, à 0 heures, le nominé GarciaMmuct, lugé 31 ans manuvre, rue Ré-

e/usene, Si, déclara qu'au moment où ilsortait d'un bar situé rue Denfer-Roche-reau, 48, of: du reste i/ n'avait pas con-sommé trouvent trop élevé le prix des con-sommations un individu qu'il ne commitpas et duquel, il a donné un vague signa-larent a bondi sur lui et lui a porté plu-sieurs coups de poing au visage et un mut:de piett sur le jembe gauche.

Procès-verba/ a été dressé el une notede recherches a été trasmise A la sûreté.

VOL DE BEURRESur phtinte vie M. Laeombe, négociant

6, rue de Rennes, et après une surveil-lance exercée par les agents de la snrchl.Fourtmageat et Stépanacci AE. le commis-nuire de police a mis à la disposition deM. te procureur de la Mme/W.

I. Lc nommé Mgn 00,1aiaPierre, ef de fa-brication cher M. Lacombe, qui dérobaitdepuis le mus de mgrs tous les Salles draxà quatre kilos de beurre à son patron.

2. lia demoiselle Marquehasse JoSéphine,ru cOmplice, qui revendait ce beurre.

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l'honneur de rappelembues administrés,afin de les mettre en garde contre deserreurs regretta.bles, que les déclarationsde décès ne peuvent être reVilea OIOOdans les bure.sso de r Etat-Civil à la Mai-rie, conformement aux articles 77 et 78du Code Civil et du Décret du 15 avril1919.

1/ rappelle, en autre, qu'aux tern-es dePartiale 97, chap. 4, de la loi munici-pale Ou 5 avril 1884, l'Autorité MPnici-pale régle le soude de transport des per-solaes décéSées, les inhumations et ex-.hamadasn et qu'en conséquence elle àseule le droit de fixer les heures des con-vois funèbres.

S'adresser pour tous renseignementsconcernant ks convois funèbres, au Ser-vice Municipal des POITIOC3 Funabres, 34.rte Pncponoeibesu. Téléphone II-40, canse charge de toutes démarches mimasdue Alinistres des dignes cuites.

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Après avoir escaladé avec un entrainendiablé le pic Saillant, d'où le brouil-lard malheureusement ne leur a pesrois de jouir pleinement du splendide pa-norama que l'on découvre par tempsel5ir de cs poim élevédes Eclaireurs sontredescendus gaîment vers Fronsac, asPromettant bien de recommencer /e PhliUtôt possible, une semblable expédition.

Nous croyons savoir, que pour répon-dre à cc déeir, notre section des Pyré-nées centrales se propase d'organiser prodminement nue excuraion à la montagneSt-Cauclinoise.

Derclière MmeAccident d'aviation

TROIS VICTIMES

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Clan,Des avions de Immhardement premit leueval et effectuaient une reumnnaMsance, lorsqugl'un d'eux arrivé à 60 mètres de hauteur virabrummement et tomba, s'écumant sur le sol.

Des treis occupants, le /filme. /e serges.Roéskeit 26 ans, marié, /MM d'un enfant, a'eattué sas le nec,. Lee deux autres. te méta..sien F. André, de L dame 21 et le barnbandieein,entpe, niasse 22, ont été <remportés lu l'hapitatdans un état grave.

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