SOCIALISTE -...

4
ANNEE. N. 11.298 ABONNEMENTS t 22 13,8 0 5004 43 Ir.: I an 02 fr. SOCIALISTE MOMROMMmammemmia Rédaction et Administration 38, Rite Roquelaine TOULOUSE TéL 0.43 - C. C. postaux 3.279 BUREAUX A PARIS s 28. rue Feydeau 12. Arroadissementl - Téténhone s Gulmtbera 76.58 01.21 25 CENT. PLUS LE GOUVERNEMENT S'OCCUPE DE LA CRISE VITICOLE. PLUS ELLE S'ACCENTUE. VENDREDI II AVRIL 19311 AINSI APPARAIT LA VERTU DES MESURES PARLEMENTAIRES DEVANT DES CRISES ECONOMIQUES. AUTANT EN EMPORTE LE VENT. ALLIE DE M. MARIN IL mordue une Petite aventure ami- sante. L'autre jour, excédé des reproches que s'adressent tous les partis au mo- ment des deutièmes tours de scrutin, J'ai cru opportun d'indiquer que les socialistes 3 étaient toujours prononcés pour la proportionnelle, et que là était le remède. je demandais à MM. Daladier el Louis Marin ce qu'ils en pensaient. M. Marin a répondu dans son dis- cours de Nancy: Présent, . Là-dessus, EEre Nouvelle écrit tranquillement: o L'alliance Marin. PoolFaure... a Me voilà donc avec une nouvelle trahison républicaine sur les bras! j'essayerai de m'en consoler. Dirai-je toutefois à mon confrère radical que je ne suis pas le premier a m'être rendu coupable dite crime! je Ms inertie, si je ne m abuse, en fort honorable compagnie. Avant la guerre. la V croisade u en fa.. de 1 R P. '1 't ' , hunes, par des hommes venus de tous les horizons politiques. Nous y étions représentés, les so- cialistes, notamment par Jaurès et Sembat. Les radicaux avaient un por- fe-parole con. et respecté de tous, M, Ferdinand Buisson. . Ni la-République, ni la laïcité 'né. laient trahies alors, parce garces pro. portionnalistes s'étaient mis d'accord avec des réactionnaires sur la réforme électorale. J'en ai fait beaucoup moins qu'eux. j'ai tout simplement rappelé que le Parti socialiste, jusqu'à ce qu'un con- grès national en ail décidé autrement, a la proportionnelle à son programme et que tous les membres de notre grou- pe parlementaire l'ont fait ratifier Par leurs électeurs. Pour ie moment, je ne discute pas Je la valeur du système. je trou. .itremen -due 'Veux qui nom accusent de connivence avec la droite parce que nous sommes fidèles à un article de notre programme et aux engage- ments pris devant les électeurs, utili- sent de singuliers nu de 'polémi- que. FAURE. UN INSTANTANE DE LONDRES Au grenier alun r M. Baia. ; derrière luir M. 1.1. Donasna, minime de la marine. lu Won momeMOIdee 'POU?,E liée- Se de sénateur, qui ont eu lieu au- jourd'hui, ont été marquém par des antes de violence de toutes sortes, malgré le déploiement de forma <fières extraordinaire; un électeur a été abattu d'un coup de revolver. Trois hommes armés de revolver ont bonté d'enlever un conseiller muni- eu Une bomlc, qui n'a faiu. que peu de dégâts, a éclaté nu dommile d'un homme politique. 1,,,z deux éandidats étaient M. De- Dors, sénurane Jeeouek, fille d'u'le.ttetr,malomâer Aime Lorgworth, fille de l'ex-pré- Plident Roosevelt vil a prie Part eahuiegne éleeiorale. Les denx lantlitlate sont Imstiies à ln, a S.m. 1)1t, iis.Nations et an Tribun. bsTet: ler e,,:e.t.e,.1,0 te: 'rarr- ea, rie la personnalite des candidata qae du passion. politiquee oc P., La Matinée parlementaire A LA CHAMBRE La Politique du Vin Séance du matira Paris, 10 avril. I. séance est ouverte à 9 h. 00, sous la présiden. cle M. Edouard Mono:311e, vice-pri. sident. La Chambre reprend la discussion du projet de loi portant miaPtion de mesures detinées à améliorer le n.rohé des vins. On se rappelle que la Chambre avait refusé, hier matin, de disjoin- don l'amendement Giturnet, domande maintenant au Parlement de se prononcer sur son amendement ainsi conçu : r, II est interdit d'im- porter, de vendre, de détenir en-con de la vente, sauf pour la distillerie et la vinaigrerie, de vins de coup, ge renfermant moins de 8 degrés d'alcool réal ou une somme lcool moisir inférieure à 12 degrés. s Est considéré comme rivée com page tout vin résultant du mélange par un oammerçant de vins biffe ,rents entre eux par la provenance. « N'est pas considéré comme vin d 10,0-c I '1 g t d vins ayant droit sono même appel- lation d'origine ou confondus dans un même eiripient en vue du trans- port de la cave du récoltant au °haie du négociant. r. De manie n'et pas considéré .mme coupage le mélange de originairee d'un canton et des com- mune dépendant des cantons trephes du canton d'origine dans une même région lorsqu'il est d'un usage local, loyal et constant de mé- langer de nus en vue de la vente. PAMPRE. La commission des boissons, par 10 voix contre 2, à re- poussé l'amendement dans la forme que lui « donnée M. GaGumet. estime que oc texte porterait la plus grave atteinte à la lai du br jan- vier 1930 qui .uvegarde les Intérêts légitimes de toute la production bancalsn et qui a donné d'excellents résultats d'après l'avis des Associa- fions viticoles de France et d'Alge- rie et celui des organisations .m- meroiales intéressées dans la ques- tion. B. PERRON. Votons l'amende- mont Gaumet, qui supprime la PM, me au degré, prime qui constitue un privilège pour le vine du Midi, et qui améliorera la qualine des vins de coupage. o M. CHAUTEMPS. Il n'y au rait .aucune raison de reirm le pro- jet en question si l'amendement Gaumet était adopté. Cet amende- ment a, en effet, un objet tout parti- culier r La loi du ler janvier a été discutée avec une hâte inconedérée ; elle a eu des répercussione fâcheuses auxquelles on n'avait pas songé. Pourquoi dono no pas vouloir Pa- mender aujourd'hui I La loi de /en- vier devait avoir pour but ..ntiel d'interdire la vente des vins anor- maux. Un ae.rd était intervenu sur oe point entre les viticulteurs avant In vote de la lei, mais en dehors de la question du degré. La loi, parlant de 9 degrés, a done rompu cet ..rd ; c'est pourquoi, tout en rendant hommage à Potion sincère de transaction de lu co. mission, je voterai l'amendement de M. Geumet qui répare une don in- justice de la loi de janvier en fai- sant resp.ter le droits légitimes don vignerons de ma région. BARTHE. Le t,exte de la com- mission donne entiêre satisfaction à ces droits légitimes. M. G. BAZILE. Je demande à mes collègues du centré, dans un but de conciliation, d'aeoopter le texte de la commission. M. ROUX, commissaire du gou- vernement. Les vins non coupés ne sont pas touchés par la loi de janvier 19VO. Quant au texte de la commission il est extrêmement libé- ral et on ne peut, en vérité, aller plus loin. Si l'on descend pour les vins de coupage de 17 6, 8 degrés dei 5 millions d'hectolitres qui vont en- trer immédiatement dans le coupa F. DAVID. L'al.ol va être .heté à 200 francs el revendu 150 ; c'est doua une subvention déguisée que l'on accorde à l'agriculture. Dans tout colas que devient le con- sommateur I Il .t indispensa.ble, avant tout de ne pas toucher à la loi do janvier 1930 : je demande à M. Gaumet de retirer son amendement. M. l'abbé BERGEY. Il y a dams ce débat des intérêts complexe en peu, mais an-deseus doit planer l'in- térêt général de la viticulture fran- çaise. Or, il me semble que des dis eussions no.. celles-ci ne servent p. toujoure utilement renon.. des vins à l'étariber. Que l'on n'a.entue done pas loi les divergencee d'opinion et que l'on donne l'exemple de l'union nationa- le autour d'une question vita/e. M. ESCALIER, directeur des con- tributions inciireete. La loi de janvier 1930 aura pour effet de en des inopérante pour l'avenir la pro- duction des vins de mauvai. quali- té m :nais pour le présent elle agora ve plutôt la situation Puisque ces vins augmentent les st.ks. Et c'est pourquoi le Projet nenni eît pensable. Si do. la Chambre décide d'a- baisser le degré de 9 à 8, les dépen- ses auxquelles le gouvernement va se trouver .ncluit se reproduiront l'an pr.hain. Il y a là uno situation sur lagurrile In ministre des finances m'a chargé de faire les plus expresses réserv.. Guumrt maintien cspcodusu son amendement, qui est mis aux voix. Après pointage, l'amendement de M. Gaumet est adopté par 027 voix conter ruq. BARTHE. L'amendement qui vient d'être adopté, porte un coup funeste à la politique qui a consisté prendre les mesures nécessaires pour chasser du marché les mauveris vins et enlève au projet actuel une grande partie de sa portée. Séance levée 6. midi quinze. Pro- chaine séance cette aprèsmidi, à, 15 h. 30. AU SALT La Loi de Finances Paris, 10 avril. La séance est ouverte à ln heures, sous la priai' roua. de M. Renault, vice-préeid.t. LA PEREQUATION DES PENSIONF L'assemblée poursuit l'exament de la loi de finances en dis.tant l'ar- t. 1 ' pensions Le k-U à' 1,1 rar S t'éol le rétablis.ment du texte voté 'e' au In Chambre, mondifié par la com- mission du Sénat, texte qui ineitde la péréquation automatique des peu- 'iletre ami Reboul défend un amen dament analogue à celui du général Stuhl. REBOUL. Les revalorisations énéralou des traitements doivent en louve justice s'accompagner do re.a- lorisations générales des ont, ;bite. » M. Ch, Dumont, rapporteur géné- ral, combat oee propositions. Son rô- le est ingrat, mais imnérieux. La dette viagère, qui atteint aujour- d'hui dix milliards, ne eesse dr end. tre d'année en enflée. Par rapport à 1929, l'augmentation et eu 1930 de 908 millions. La péréquatrin au- tomatique des retraies sur la hase des traitements de demain coûterait 975 millions tout d, suite et plus d'un milliard dans quelque années. Le général Stuhl retire son amen- dement, et crlui de Rabaul se re- pens.par kre voix contre 60, - _ Puis l'article est adopté avec la rédaction de la commission des fi- nances. Il porte le numéro 57 bis. Enfin, l'assemblée s'ajourne à cet après-midi 3 heures. La librairie du Parti a été cambriolée hier La « Librairie Populaire s, qu'ad. ministre notre camarade Ferretti et gui est, on le sait, un des seelees. du Pont,t a étê cambriolée hier. Un ou des malfaiteurs se sont In- troduits, entre midi et quatorze heures, dans les pièces du 2/ étage du 12 de la rue Feydeau où elle est installée. Ils ont pu y pénétrer sans effraction et, une foie ti l'intérieur, da ont, à raide d'une pince-monset- gneur, forcé les tiroirs. I/ ne semble pas, t première vue, que des !ivres aient été emportés. Toutefois, les monte-en-l'air se sont empares d'une somme de 1.530 francs que contenait le tiroir-caisse. En mitre, Ils ont fait main Vases sur toutes les Mefs qu'ils ont pu trouver. Une enquête est ouverte. Le mouvement de la population en France pour 1929 Le sous-secrêtariat d'Etat da réoeb. nornie nationale communique la statis. 'M000ue/11e de la Por..flon 'es 90 départements d'aérée les reéis. Les de l'état-civil ,Résu/tats provient- ees do l'année 1620, Nombres absolve 1928 Me Mariages 339014 331441 divorces 18 855 19 353 e;aissances d'entants déclarés vivants .... 745.3/5 72350 Aort-nês 20174 27.812 'cris au-dessous d'un ors 68./00 68.401 nées d'un an et plus 607.010 F71.703 Dives au total 675.117 741.104 60001. de naissances 70.005 12.564 Proportion par 0000 habitants de la copulation évaluée au milieu de cha- que année ,onveatta marlés sea 11e 7laissances d'entama fleelsrés vivants m. 177 /65 an.dessons d'un en . 21 LES PROVOCATIONS AU HM RE Contre les social-assas- sins, la journée de Lens sera digne de celle de Champi- gny Il faut faire front Les travailleurs des Pas-de- Calais se souviendront que pour abattre le capitalisme, IL FAUT PASSER .SUR LE CORPS DE LA SOCIAL. DEMOCRATIE !... L'EnglUatn'es":10.Nord, La "soupe 'populaire" change de local On démolit actuellement te risil édi. (tee on était distribuée aux clochards, ,Tês des Arts et Matera, ta soupe nombres Le service de distribu- tion des eoleee surs Pr000e500m9g installa dans un 1W/tet505e qui Ore couvrait dans Le trisme nunziter Dans les Commissions PAS DE SCRUTIN DE LISTE Paris, 10 avril. La .mmission du suffrage universel a repoussé le principe de /a proposition de loi de M. Bénezet, qui constituait le eedin de liste majoritaire. Elle a d'autre part entendu M. Tardieu sur la proposition de loi do M. Soulier, relative à l'extension du droit de vote k l'Indigénat algérien poIre los élections législatives Le président du Conseil h longue- , , , ment exposé pour quelles raisons examen de conscience, n'hésitait pas gouvernement ne pou eit accepter orme.. qu'..o. a bien teérité -de principe de cette Prebisition. la viticultime,.quoi je me garderui I/ compte réaliser certainm réfor- de contredire, ne voulant pas être mes à l'occei. du centenaire de rangé au nombre de ces incroyants. de ces iconoclastes qui ont nié ou Mais pour l'extc.ion du droit de méconnu l'ceuvre que notre grande vote aux indigénes, attendra de association symiicalo a accomplie ...naître /es rennes des maya. depuis vingt-trois ans Je me conte. ris ta commission spéciale qui foie terni de répéter au risque de Bonne au ministère de l'Intérieur. troubler quelques âme, sereines Silo prop.itio:n de AL Souda, ne' queles efforts de la C. G, V. pour avant cela en discussion, il st éviter la crie actuelle et la rés.- dr rait obligé de la combattre, e ne semblent pas jusqu'a ce juur voués un grand succès. Le syndicalisme d'antichambre je' mais été un syndicalisme fructueux. La commission de 1 enseignement y a enco. beaucoup faire pour a adopté la proposition de loi de M. sauver la viticulture, et les trois , . vents m.n.s S s p syndicats confédérés ne sauraient se In dissimuler. Qu'ifs prêtent l'oreille aux murmures qui s'élèvent autour d'eux. Cos mu n, murmures sont bie bêlas I des ocritiques intéressém in car la plupart des vignerons, n'ayant pas les moyens de travailler Pour In gloire, sont s intér.s. bien vendre leur vin. Peut-être convion- draitil que notre étatmajor viti- solo, après eum félicité de son action d'hier, se demande s'il doit mat uord,' noue boiaenotooenneprortdearnsner,,/a des buts nouveaux. Il seroMe de plus en plus certain que les mesures d'ordre législatif ou gouvernemen- bal, dont on nous bourre le crâne depuis d es mois, vont rester inopé- rantes. Je l'ai dit et réIM tel au Pets, 9 -- Au projet de loi moment même où /a simple annonce de la commission de l'enseignement de ces mesures M'ait provoqué, dans sur la fréquentétion s.laire, M. nos régions, une atmospluk d'opii. Croies. a déposé l'article addition- mienne qui fut, hélas I de courte nul suivant durée. de crains que l'événement ne e La fréquentation scolaire est fa- me donne que trop raison. Et c'est cilitée et en.uragêe dans les écoles pourquoi je me permets de redhe publiques et privées par la Caiee encore une fois aux dirigeants de la des écoles. o C. G. V. : Croyez-vous vraiment ré- L'honorable député du Nord lest/. souder la orise viticole coups de fie en ces ternies sa proposition lois et de décrets 2 Ne sentez-vous II convient que la caisse des ime- pas que toute volte agitation autour les puisse faciliter es encourager la du Parlement et du gouvernement fréquentation scolaire dans toutes restera vaine tant que noon n'ab.- les écoles euxq.11es les parents, en fierons pas le vrai terrain des solo' vertu de l'obligation scolaire ont le lions effeeives, c'est-à-dire l'organi- droit de confier lems enfants sation du marehé des vins par I. producteurs eux-mêmes 2 Pile reviens aujourd'hui sur cette question, c'est Mie nombre da viti- culteure m'encouragent de tous côtés le foins. Ce sont, Il est vrai, de petits viticulteurs, qui ne flgra- rent pas dans les conseils d'admin.. /ration de /a C. O. V., mais qui apportent régulièrement kses coin- sm leurs cotisations et qui ont mis 0e 011e Ils er,bse,anutco_up u Pour les clercs de notaire eux «une telle for. syndical tres éphémères. Ils pensent que le e pourrait être mieuS emp/oyée qu'en vainee instances auprès de mode- Sur Pinitiative de la Fédération principe de /a coopération, qui s'est Nationale Autonome des C'en. de déjà affirmé si heureusement dans nubien de France et d'Algérie dont notre Midi viticole, pourrait être In silo est. Paris (3e) rue Saint- appliqué à la °ente du vin et de Martin, 325, notre camarade Etien- l'alcool, comme il Pest déjà ne Antonelli. profeseeur la Fa- vinification et â la distillation. malté de droit de Lyon, député so- ils pensent que la C. 6. V, a le cialiste de la Brute-Savoie, a Miro' droit et même le devoir de prendre sit le 29 mars dernier sur le bureau en cette matière une initiative de la Chambre des députés, une pro. qu'aucun groupement ne saurait position de loi créant une caisse de aborder avec plus d'autorité n1 avec retraites et d'assistance pour les plus de force. lis attende it do. tous les jours que wêlêve de os 'IeE7ies do ° e A*Iiteruni et M. le docteur grand conseil des vignerons le mot Chauveau, sénateur de la te-d'Or d'ordre, le Programme d'anion /11.1 tons deux rapnortimbe de la loi dm bouleversera peut-être nos routines augurantes sociales, l'un à is Cham- mais qui Seul Pourra nous libérer tore l'autre au Sénat, ont accepté de d'une umlétion gui devient Min«. rapporter /a proposition de lof, et mortelle. LE TRAITEMENT DES INSTITUTEURS MALADES ve PO caisse de solidarité pour les mem- 'teints d n ee re1721ienefib trareNe uje longue dur.. Cette caisse de solidarité doit as- ...ur pendant uno durée de dix an- nées le traitement de tous les mem- bres malades de l'enseignement quelle que soit lour maladie. LE STATUT DES VOYAGEURS 13E COMMERCE Paris, 9 avril. La commi.ion du travail a adopté le urine. de le proposition de loi de M. Lamoureux tendant à instituer le statut légal des voyageons représentants et pied.. siu commerce et do l'ind.trie. LA QUESTION SCOLAIRE LA SUPPRESSION 10,11 SECOND TOUR DE SCRUTIN M. Charles Lambert, député du Rhône vient de déposer sur le bu- reau de Chambre, une 1.'0P.M., de loi tendant suOPrimer,le deu- xième tour de scrutin Pour les 8100,lions législatives. AUTOUR DE LA CRISE VITICCLE L'OEUVRE NÉCESSAIRE ON RASE GRATIS, RESIGNATION. CONTEMPLANT LA LUNE ROUSSE. LA C. G. V. ET L'ORGANISATION COOPERATIVIE DE LA VITICULTURE, UN PRINCIPE A METTRE EN UVRE. Les journaux bien pensants, qui Leur attente sera-t-elle déçue ? ont pour fonction de verser une Faudra-t-ii gubn marge de la C. G. apaisante .momille au bon peuple V., et malgré son inexplicable iner- drdent et indolent, ces journaux, tir, un autre mouvement se crée, se toujours bien informés, nous annon. développe pour assurer le salut d cent depuis trois mois une é reprise /a vigne méridionale ? Ils sont dot' pr.haine des affaires sur le mar- nornbreux /es hommes résolus obi des vins. La loi du fer janvier entrer dans cette voie Le jour où ils d'abord, la taxe unique ensuite, et pourront grouper leurs volontés fer- ont. aujourd'hui la distillation mes, leurs efforts méthodiques, une gatoire, doivent, selon leurs dires, nouvGle féconde naîtra, provoquer une renaissance de l'asti' qui aura, je Easmre, mêMe deraot vite commerciale entrainant une des trois cents administrateurs de la hausse 100000m vers des nrix rému- C. G; V., d. animateurs dévoués "et nérateurs Ainsi un barbier astucieux compétents. s'attira une nombreuse clientale en La vente coopérative [bovin et de afilebant un jour, à porte de sa l'alcool, voilà le vrai, le seul moyen boutique, qu'il raserait gratis le len- d'accroître et d'assainir le marche demain.., et de rendre à,000 -bons produits, avec la certitude d'un écoulerinent Les viticulteurs sourient, de ce leur deur nouveau rasoir. Ils sourient triste- Glande. A quand l'organisation de Ment ot restent plongés dans une ce,,apte coopé,,,,, Tons les douce torpeur. a crise passera, disent Petits e moyens vignerons latte]. leu réuigoé,a, eemine, IPantres en' dent avm impatienee, et ils s'et.- Pessé.. Patient., 7-a. Prer(ee enn° nent bon droit du silence .de /a interviendra sans doute en notre C. G. V, sur cette question capitale. feven.r.. Elle se chargera les Il n'est donc oas inoportun de rap. emo°1 tYee, Ieurifilnetdennstdesen;,;-.2 ce,pnwediretes. rticnt.ea.L raient faire nos législateurs) et ouvirière. et. socialiste a mis - depuis ainsi, l'équilibre rétabli, le vin re- dempn: on bilevien.dra sen Pr'. nerInst me': L'émancipation des travail- Ions et comptons sur la lune ronsse.., leurs- sera l'oeuvre des travailleurs Tel est 10 raisonnement simpliste eus-mômes s Vignerons du Midi et dont se cententent queignes en'''. d'ailleurs, 'taisons de cette maxime tranquilles. D'autres, plus inquiets, 000 vivulr se i,,bmandent si, en dépit de tous les 21 eénlilé conLingentements naturels ou arti- VIGNERON. ilciels, le marché des vins ne va pas rester encore et pour longtemps .P. O. Au moment nû renvo1: sous la maîtrise du grand commerce cet article 17 avril), /a Chambre n'a qui, avouons-le, est solidement Ms- pas colore discuté /e projet de loi tallé dans la place. Mais ceux.la se déposé par le gouvernement en vue réconfortent la pensée que nos de la distillation d'une partie des intérêts sont vigoureusement &Pen- vine restant en envoi, les livraisons dus auprès d'un gouvernement dont n'étant obligatoires que pour les j 'pus la bienveillance à noire égard s5ist vitlioculteurs qui ont réculté en 1929 déà. affirmée en maintes alabres, pl do-010 hectos, avee un rende- Et,nuis, enfin, g la C. G. V... La mont supérieur 50 hectos l'hem Mes lecteurs savent que je ne fais pue grand fond sur ce nouveau livéyen. de véseidre la crise. I/ sera inopérant, cameli bus ceux .qui l'ont preédé, parce qu'il n'attaque pas le ma/ daux sa racine. Mais le débat qu'il va 'provoquer sera très intéressant, si j'en Juge par ',opposition qU'a déjà manifes- tée la C. G. V. et par lev protesta- tions qui se sont affirmées dans la presse. On a parlé de e solution démagogique »... un bien, gros mot pour une si petite affaire, ime qui en dit long sur l'esprit de sacrifice des s grands de la terre D, Je con. sacrerai à cette question mon Pro- chain article. VIGNERON. La découverte de la neuvième uraète 'etre &ohé Inantre te dome de tma ervotoire de Lowell, en Arisons, d'où L'on a découvert la 9. Panés du système solaire. Pourquoi ils baissent L'éditorial de la Volonté eAcemine silos suite des élections de dimanche les motife de la régression radicale et de l'ascension socialiste Ire radicalisme n'apporte h l'opi- nion même pas un semblant de duo trios ou d'explication du temps pré- sentet encore moi. un plan venir. Il et tourné exolueivement vers le passé, ers « son passé ». Les dieours radicaux d'aujourd'hui sont à nu prliNdentiquest aux dscerr: rnr'ennue's gLéren atletnrsdrapai7s-guerre, qui crt ecer':Irtti?er,lre lul"- moitié raient-elles s'en satisfaire 5 lie n'est pas seulement sa t.tique que le ra- dicalisme doit revi.r. C'est,. pro- tiford'eune 'duogreilmr snesr. n.. xerrnes cosm ALGÉRIE, e6 ESPAGNE, an MAROC te. A. O. F. et en AMÉRIQUE DU SUD par AVION. OPAPAGM. OGNERALE AtIlOPOSTA62 02, hm« des CluxesEl.vsica Tahaboaa, e 52-03 ihanda..«..e....ts >mem de ma Textes et Chiffres CE QUE DISENT LES CHIFFRES Un de nos «mie de élan (Haute- Garonne) me fait observer avec jus- te raison toujours d propos de Bergerac que Simounet n'avait pas d se désister puisque le comm. niste s'était retiré de la lutte en 1. vete du socialiste, contrairement d /a tactique ordinaire de aon porli, et pour abattre l'ex Pool Hardy consi- déré comme un rénégat. Or le com- muniste avait obtenu 11391 voix. Ajoatéea aux 83713 de Simounet elles faisaient un to.1 de 8067 contre seu- lement 7878 an radical. Cette réfle- xive de notre camarade eet /are je. &ciente. le crains qu'elle ne produi- se pat cependant grande impression auprès de certaine de nos Mus car- tellistee, qui sans doute préfèrent les voix radicales d celles des cons. munistes. J'en connais même gui crieront encore et déshonneur si l'un des nôtres est *mugis élu avec le cancours communiste. Mali pour l'ensemble de nos mili- tants, le rappel de ces chiffre+ eat plein d'intérêt. L'EXEMPLE DE APTE On a lu hier dans « Le Populaire ei continent les journaux de droite de la région de Montpellier avaient soutenu le candidat radical-socialiste do « La Dépêche r et de la rue de Valait. Si ce candidat avait été élu, la rue de Palois et La Dépêche s raient-ils exclu,' l'auraientils re- jeté 1 Il ent bien clair que no, Pas plus qu'ils n'auraient rejeté M. Gourgon s'il mit été élu contre Léon Blum, l'an passé, d Narbonne. Pourquoi donc noue demandenvite de prendre vis..Avie des nêtree des aemeeions poile épargnent, aux cou- nagiez de cirez eux.? A SAINT-CIROeM A Saint-Cirons, ut se sont enfin résolus d faire leur devoir. Mais ça été dur. On ne pourra poa dire Ove ce fut spontané. Le candidat lui, est irréprochable. Mais on ne peut poelrmea dire dleueirlis ad D" êp'êrcgZe'i,7" Noue avons dit hier,' comment le comité e.sécutif avait télégraphié au candidat do surseoir d son déaiage- ment sous indiquer le moindre motif de cet atermoiement. Quant d « La Dépêche 0, elle a moolré Tifcette 1 aire un embarras See réticencee étaient Ceuta: inex- plicables qu'inattendues. Pendant la campagne électorale en effet, elle n'avait pas enturerehé d'aux tre dada que celle de la discipline, Perme.és que non candidat arrive- rait en tête, elle triait d Masaud cha- que jour 'o Si noua arrivons opine vous nous noue désisterons pour voua 3.. (J'était du reste l'intention du par- ti socialitte de suivre, Id comme par- tout, la tactique de discipline. Et la campagne s'est déroulée dans une at- mosphère de courtoisie rare. Jamais la moindre injure, ni au parti radi- cal, ni à son candidat. Cependant au lendemain du scrutin, « lb Dépê- clee » demi nuis e « Mais sera-t-i/ facile de réeser l'union de touton les forces de gau- che après /es outrages, les calom- nies que les sooial-mazaudistes on8 divers:é sur nous tons î (Numéro die Inerai 8 avril, édi- tion de d'Ariège). Or, je le répète, jamais campagne ne /ut plus correcte de .tre Part. Et Dépache s ne peut citer le snoind,e outrage d l'égard des siens proféré soit verbalement, soit par écrit. Vingt-quatre heuret après, la mê- me « Dépêche », écrivait « J'insiste simplement sur l'indis- pensable nécessité des réparations morales tris légitimes oui s'impo- (1u».rviri. ro de mercredi 9 avril, édi- tion de l'Ariége). Et dans reeprit de l'auteur ces , e réparations » pour des ic outrage, imaginaires, étaient la condition d srplir préalablement var let so- eudistes pour que les radicalsrc ap- portent d notre candidat tout leur p en effe t. encore eeen.'n, caéreea,o ,utra. Et pour montrer n que ce concours e La Dépêche publiait d la suite es réserves préeitéea, le télégramme suivant adressé par la rue de Valois au comité radical de Soins-Girons s VOus prions attendre pour pren- dre décision, instructions du comité dépendant d'attitude s.ialiste (Même menéro de mercredi 9 avril). ° i P g:oi"a0 o,1-on bissé'Iadi signifie ssésle ser p.rrait n'y avoir point désis- tement I Same doute hier la rue de Valois a autorité » le désistement. Mais gui pourra la remercier et remercier ,La. Dépêche s de leur Seule les radicaln,e du cru, ont en le geste instinctif et loyal. Ce gui prouve (m'entre lee chef. et let troupes la différence de menta- lité cet grande. Léon ITUDELLN. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Transcript of SOCIALISTE -...

Page 1: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930_04_11.pdf · ANNEE. N. 11.298 ABONNEMENTS t 22 13,8 0 5004 43 Ir.:

ANNEE. N. 11.298

ABONNEMENTS t22 13,8 0 5004 43 Ir.: I an 02 fr.

SOCIALISTE MOMROMMmammemmia

Rédaction et Administration 38, Rite Roquelaine TOULOUSE TéL 0.43 - C. C. postaux 3.279BUREAUX A PARIS s 28. rue Feydeau 12. Arroadissementl - Téténhone s Gulmtbera 76.58 01.21

25 CENT.

PLUS LE GOUVERNEMENT S'OCCUPE DE LA CRISE VITICOLE.

PLUS ELLE S'ACCENTUE.

VENDREDI II AVRIL 19311

AINSI APPARAIT LA VERTU DES MESURES PARLEMENTAIRES

DEVANT DES CRISES ECONOMIQUES.

AUTANT EN EMPORTE LE VENT.

ALLIE

DE M. MARIN

IL mordue une Petite aventure ami-sante.

L'autre jour, excédé des reprochesque s'adressent tous les partis au mo-ment des deutièmes tours de scrutin,J'ai cru opportun d'indiquer que lessocialistes 3 étaient toujours prononcéspour la proportionnelle, et que là étaitle remède.

je demandais à MM. Daladier elLouis Marin ce qu'ils en pensaient.

M. Marin a répondu dans son dis-cours de Nancy: Présent,

. Là-dessus, EEre Nouvelle écrittranquillement: o L'alliance Marin.PoolFaure... a

Me voilà donc avec une nouvelletrahison républicaine sur les bras!j'essayerai de m'en consoler.

Dirai-je toutefois à mon confrèreradical que je ne suis pas le premiera m'être rendu coupable dite crime!je Ms inertie, si je ne m abuse, enfort honorable compagnie. Avant laguerre. la V croisade u en fa.. de1 R P. '1 't ' ,hunes, par des hommes venus de tousles horizons politiques.

Nous y étions représentés, les so-cialistes, notamment par Jaurès etSembat. Les radicaux avaient un por-fe-parole con. et respecté de tous,M, Ferdinand Buisson. .

Ni la-République, ni la laïcité 'né.laient trahies alors, parce garces pro.portionnalistes s'étaient mis d'accordavec des réactionnaires sur la réformeélectorale.

J'en ai fait beaucoup moins qu'eux.j'ai tout simplement rappelé que leParti socialiste, jusqu'à ce qu'un con-grès national en ail décidé autrement,a la proportionnelle à son programmeet que tous les membres de notre grou-pe parlementaire l'ont fait ratifier Parleurs électeurs.

Pour ie moment, je ne discute pasJe la valeur du système. je trou..itremen -due 'Veux qui nom accusentde connivence avec la droite parceque nous sommes fidèles à un articlede notre programme et aux engage-ments pris devant les électeurs, utili-sent de singuliers nu de 'polémi-que.

FAURE.

UN INSTANTANE DE LONDRES

Au grenier alun r M. Baia. ; derrièreluir M. 1.1. Donasna, minime de lamarine.

lu Won momeMOIdee

'POU?,Eliée-Se de sénateur, qui ont eu lieu au-jourd'hui, ont été marquém par desantes de violence de toutes sortes,malgré le déploiement de forma<fières extraordinaire; un électeur aété abattu d'un coup de revolver.Trois hommes armés de revolver ontbonté d'enlever un conseiller muni-eu

Une bomlc, qui n'a faiu. que peude dégâts, a éclaté nu dommile d'unhomme politique.

1,,,z deux éandidats étaient M. De-Dors, sénuraneJeeouek, fille d'u'le.ttetr,malomâer

Aime Lorgworth, fille de l'ex-pré-Plident Roosevelt vil a prie Part

eahuiegne éleeiorale. Les denxlantlitlate sont Imstiies à ln,

aS.m. 1)1t,

iis.Nations et an Tribun.

bsTet: ler e,,:e.t.e,.1,0 te: 'rarr-

ea, rie la personnalite des candidataqae du passion. politiquee oc P.,

La Matinée parlementaireA LA CHAMBRE

La Politique du VinSéance du matira

Paris, 10 avril. I. séance estouverte à 9 h. 00, sous la présiden.cle M. Edouard Mono:311e, vice-pri.sident.

La Chambre reprend la discussiondu projet de loi portant miaPtionde mesures detinées à améliorer len.rohé des vins.

On se rappelle que la Chambreavait refusé, hier matin, de disjoin-don l'amendement Giturnet,domande maintenant au Parlementde se prononcer sur son amendementainsi conçu : r, II est interdit d'im-porter, de vendre, de détenir en-conde la vente, sauf pour la distillerieet la vinaigrerie, de vins de coup,ge renfermant moins de 8 degrésd'alcool réal ou une somme lcoolmoisir inférieure à 12 degrés.

s Est considéré comme rivée compage tout vin résultant du mélangepar un oammerçant de vins biffe

,rents entre eux par la provenance.« N'est pas considéré comme vin

d 10,0-c I '1 g t dvins ayant droit sono même appel-lation d'origine ou confondus dansun même eiripient en vue du trans-port de la cave du récoltant au°haie du négociant.

r. De manie n'et pas considéré.mme coupage le mélange deoriginairee d'un canton et des com-mune dépendant des cantonstrephes du canton d'origine dansune même région lorsqu'il est d'unusage local, loyal et constant de mé-langer de nus en vue de la vente.

PAMPRE. La commission desboissons, par 10 voix contre 2, à re-poussé l'amendement dans la formeque lui « donnée M. GaGumet.estime que oc texte porterait la plusgrave atteinte à la lai du br jan-vier 1930 qui .uvegarde les Intérêtslégitimes de toute la productionbancalsn et qui a donné d'excellentsrésultats d'après l'avis des Associa-fions viticoles de France et d'Alge-rie et celui des organisations .m-meroiales intéressées dans la ques-tion.

B. PERRON. Votons l'amende-mont Gaumet, qui supprime la PM,me au degré, prime qui constitue unprivilège pour le vine du Midi, etqui améliorera la qualine des vinsde coupage. o

M. CHAUTEMPS. Il n'y aurait .aucune raison de reirm le pro-jet en question si l'amendementGaumet était adopté. Cet amende-ment a, en effet, un objet tout parti-culier r La loi du ler janvier a étédiscutée avec une hâte inconedérée ;

elle a eu des répercussione fâcheusesauxquelles on n'avait pas songé.Pourquoi dono no pas vouloir Pa-mender aujourd'hui I La loi de /en-vier devait avoir pour but ..ntield'interdire la vente des vins anor-maux. Un ae.rd était intervenu suroe point entre les viticulteurs avantIn vote de la lei, mais en dehors dela question du degré.

La loi, parlant de 9 degrés, a donerompu cet ..rd ; c'est pourquoi,tout en rendant hommage à Potionsincère de transaction de lu co.mission, je voterai l'amendement deM. Geumet qui répare une don in-justice de la loi de janvier en fai-sant resp.ter le droits légitimesdon vignerons de ma région.

BARTHE. Le t,exte de la com-mission donne entiêre satisfaction àces droits légitimes.

M. G. BAZILE. Je demande àmes collègues du centré, dans un butde conciliation, d'aeoopter le textede la commission.

M. ROUX, commissaire du gou-vernement. Les vins non coupésne sont pas touchés par la loi dejanvier 19VO. Quant au texte de lacommission il est extrêmement libé-ral et on ne peut, en vérité, allerplus loin. Si l'on descend pour lesvins de coupage de 17 6, 8 degrés dei5 millions d'hectolitres qui vont en-trer immédiatement dans le coupa

F. DAVID. L'al.ol va être.heté à 200 francs el revendu 150 ;

c'est doua une subvention déguiséeque l'on accorde à l'agriculture.

Dans tout colas que devient le con-sommateur I

Il .t indispensa.ble, avant tout dene pas toucher à la loi do janvier1930 : je demande à M. Gaumet deretirer son amendement.

M. l'abbé BERGEY. Il y a damsce débat des intérêts complexe enpeu, mais an-deseus doit planer l'in-térêt général de la viticulture fran-çaise. Or, il me semble que des diseussions no.. celles-ci ne serventp. toujoure utilement renon..des vins à l'étariber.

Que l'on n'a.entue done pas loiles divergencee d'opinion et que l'ondonne l'exemple de l'union nationa-le autour d'une question vita/e.

M. ESCALIER, directeur des con-tributions inciireete. La loi dejanvier 1930 aura pour effet de endes inopérante pour l'avenir la pro-duction des vins de mauvai. quali-té m :nais pour le présent elle agorave plutôt la situation Puisque cesvins augmentent les st.ks. Et c'estpourquoi le Projet nenni eîtpensable.

Si do. la Chambre décide d'a-baisser le degré de 9 à 8, les dépen-ses auxquelles le gouvernement vase trouver .ncluit se reproduirontl'an pr.hain.

Il y a là uno situation sur lagurrileIn ministre des finances m'a chargé

de faire les plus expresses réserv..Guumrt maintien cspcodusu

son amendement, qui est mis auxvoix.

Après pointage, l'amendement deM. Gaumet est adopté par 027 voixconter ruq.

BARTHE. L'amendement quivient d'être adopté, porte un coupfuneste à la politique qui a consisté

prendre les mesures nécessairespour chasser du marché les mauverisvins et enlève au projet actuel unegrande partie de sa portée.

Séance levée 6. midi quinze. Pro-chaine séance cette aprèsmidi, à,

15 h. 30.

AU SALTLa Loi de Finances

Paris, 10 avril. La séance estouverte à ln heures, sous la priai'roua. de M. Renault, vice-préeid.t.

LA PEREQUATIONDES PENSIONF

L'assemblée poursuit l'exament dela loi de finances en dis.tant l'ar-t. 1

'pensions Le k-Uà'

1,1rar S t'éolle rétablis.ment du texte voté 'e'auIn Chambre, mondifié par la com-mission du Sénat, texte qui ineitdela péréquation automatique des peu-

'iletre ami Reboul défend un amendament analogue à celui du généralStuhl.

REBOUL. Les revalorisationsénéralou des traitements doivent en

louve justice s'accompagner do re.a-lorisations générales des ont, ;bite. »

M. Ch, Dumont, rapporteur géné-ral, combat oee propositions. Son rô-le est ingrat, mais imnérieux. Ladette viagère, qui atteint aujour-d'hui dix milliards, ne eesse dr end.tre d'année en enflée. Par rapportà 1929, l'augmentation et eu 1930de 908 millions. La péréquatrin au-tomatique des retraies sur la hasedes traitements de demain coûterait975 millions tout d, suite et plusd'un milliard dans quelque années.

Le général Stuhl retire son amen-dement, et crlui de Rabaul se re-pens.par kre voix contre 60, - _

Puis l'article est adopté avec larédaction de la commission des fi-nances. Il porte le numéro 57 bis.Enfin, l'assemblée s'ajourne à cetaprès-midi 3 heures.

La librairie du Parti

a été cambriolée hier

La « Librairie Populaire s, qu'ad.ministre notre camarade Ferretti etgui est, on le sait, un des seelees.du Pont,t a étê cambriolée hier.

Un ou des malfaiteurs se sont In-troduits, entre midi et quatorzeheures, dans les pièces du 2/ étagedu 12 de la rue Feydeau où elle estinstallée. Ils ont pu y pénétrer sanseffraction et, une foie ti l'intérieur,da ont, à raide d'une pince-monset-gneur, forcé les tiroirs.

I/ ne semble pas, t première vue,que des !ivres aient été emportés.Toutefois, les monte-en-l'air se sontempares d'une somme de 1.530francs que contenait le tiroir-caisse.En mitre, Ils ont fait main Vasessur toutes les Mefs qu'ils ont putrouver. Une enquête est ouverte.

Le mouvement de la population

en France pour 1929

Le sous-secrêtariat d'Etat da réoeb.nornie nationale communique la statis.

'M000ue/11e de la Por..flon'es 90 départements d'aérée les reéis.Les de l'état-civil ,Résu/tats provient-ees do l'année 1620,

Nombres absolve 1928 Me

Mariages 339014 331441divorces 18 855 19 353e;aissances d'entants

déclarés vivants .... 745.3/5 72350Aort-nês 20174 27.812'cris au-dessous d'un

ors 68./00 68.401nées d'un an et plus 607.010 F71.703Dives au total 675.117 741.10460001. de naissances 70.005 12.564

Proportion par 0000 habitants de lacopulation évaluée au milieu de cha-que année,onveatta marlés sea 11e7laissances d'entama

fleelsrés vivants m. 177/65

an.dessons d'un en . 21

LES PROVOCATIONS

AU HM REContre les social-assas-

sins, la journée de Lens seradigne de celle de Champi-gny Il faut faire frontLes travailleurs des Pas-de-Calais se souviendront quepour abattre le capitalisme,IL FAUT PASSER .SUR LECORPS DE LA SOCIAL.DEMOCRATIE !...

L'EnglUatn'es":10.Nord,

La "soupe 'populaire"change de local

On démolit actuellement te risil édi.(tee on était distribuée aux clochards,,Tês des Arts et Matera, ta soupenombres Le service de distribu-tion des eoleee surs Pr000e500m9ginstalla dans un 1W/tet505e quiOre couvrait dans Le trisme nunziter

Dans les Commissions

PAS DE SCRUTIN DE LISTEParis, 10 avril. La .mmission

du suffrage universel a repoussé leprincipe de /a proposition de loi deM. Bénezet, qui constituait le eedinde liste majoritaire.

Elle a d'autre part entendu M.Tardieu sur la proposition de loi doM. Soulier, relative à l'extension dudroit de vote k l'Indigénat algérienpoIre los élections législatives

Le président du Conseil h longue- , , ,

ment exposé pour quelles raisons examen de conscience, n'hésitait pasgouvernement ne pou eit accepter orme.. qu'..o. a bien teérité -deprincipe de cette Prebisition. la viticultime,.quoi je me garderui

I/ compte réaliser certainm réfor- de contredire, ne voulant pas êtremes à l'occei. du centenaire de rangé au nombre de ces incroyants.

de ces iconoclastes qui ont nié ouMais pour l'extc.ion du droit de méconnu l'ceuvre que notre grandevote aux indigénes, attendra de association symiicalo a accomplie...naître /es rennes des maya. depuis vingt-trois ans Je me conte.ris ta commission spéciale qui foie terni de répéter au risque deBonne au ministère de l'Intérieur. troubler quelques âme, sereines

Silo prop.itio:n de AL Souda, ne' queles efforts de la C. G, V. pouravant cela en discussion, il st éviter la crie actuelle et la rés.-

drrait obligé de la combattre, e ne semblent pas jusqu'a cejuur voués un grand succès. Lesyndicalisme d'antichambre je'mais été un syndicalisme fructueux.

La commission de 1 enseignement y a enco. beaucoup faire poura adopté la proposition de loi de M. sauver la viticulture, et les trois, .

vents m.n.s S s psyndicats confédérés ne sauraient seIn dissimuler. Qu'ifs prêtent l'oreilleaux murmures qui s'élèvent autourd'eux. Cos mu n,murmures sont biebêlas I des ocritiques intéressém incar la plupart des vignerons, n'ayantpas les moyens de travailler PourIn gloire, sont s intér.s. bienvendre leur vin. Peut-être convion-draitil que notre étatmajor viti-solo, après eum félicité de sonaction d'hier, se demande s'il doitmat uord,' noue boiaenotooenneprortdearnsner,,/a

des buts nouveaux. Il seroMe deplus en plus certain que les mesuresd'ordre législatif ou gouvernemen-bal, dont on nous bourre le crânedepuis d es mois, vont rester inopé-rantes. Je l'ai dit et réIM tel au

Pets, 9 -- Au projet de loi moment même où /a simple annoncede la commission de l'enseignement de ces mesures M'ait provoqué, danssur la fréquentétion s.laire, M. nos régions, une atmospluk d'opii.Croies. a déposé l'article addition- mienne qui fut, hélas I de courtenul suivant durée. de crains que l'événement ne

e La fréquentation scolaire est fa- me donne que trop raison. Et c'estcilitée et en.uragêe dans les écoles pourquoi je me permets de redhepubliques et privées par la Caiee encore une fois aux dirigeants de lades écoles. o C. G. V. : Croyez-vous vraiment ré-

L'honorable député du Nord lest/. souder la orise viticole coups defie en ces ternies sa proposition lois et de décrets 2 Ne sentez-vous

II convient que la caisse des ime- pas que toute volte agitation autourles puisse faciliter es encourager la du Parlement et du gouvernementfréquentation scolaire dans toutes restera vaine tant que noon n'ab.-les écoles euxq.11es les parents, en fierons pas le vrai terrain des solo'vertu de l'obligation scolaire ont le lions effeeives, c'est-à-dire l'organi-droit de confier lems enfants sation du marehé des vins par I.

producteurs eux-mêmes 2Pile reviens aujourd'hui sur cette

question, c'est Mie nombre da viti-culteure m'encouragent de touscôtés le foins. Ce sont, Il est vrai,de petits viticulteurs, qui ne flgra-rent pas dans les conseils d'admin../ration de /a C. O. V., mais quiapportent régulièrement kses coin-sm leurs cotisations et qui ont mis0e 011e

Ilser,bse,anutco_up

uPour les clercs de notaireeux «une telle for. syndical

tres éphémères. Ils pensent que le

epourrait être mieuS emp/oyée qu'envainee instances auprès de mode-

Sur Pinitiativede la Fédération principe de /a coopération, qui s'estNationale Autonome des C'en. de déjà affirmé si heureusement dansnubien de France et d'Algérie dont notre Midi viticole, pourrait êtreIn silo est. Paris (3e) rue Saint- appliqué à la °ente du vin et deMartin, 325, notre camarade Etien- l'alcool, comme il Pest déjàne Antonelli. profeseeur la Fa- vinification et â la distillation.malté de droit de Lyon, député so- ils pensent que la C. 6. V, a lecialiste de la Brute-Savoie, a Miro' droit et même le devoir de prendresit le 29 mars dernier sur le bureau en cette matière une initiativede la Chambre des députés, une pro. qu'aucun groupement ne sauraitposition de loi créant une caisse de aborder avec plus d'autorité n1 avecretraites et d'assistance pour les plus de force. lis attende it do.

tous les jours que wêlêve de os'IeE7ies

do°e A*Iiteruni et M. le docteur grand conseil des vignerons le mot

Chauveau, sénateur de la te-d'Or d'ordre, le Programme d'anion /11.1tons deux rapnortimbe de la loi dm bouleversera peut-être nos routinesaugurantes sociales, l'un à is Cham- mais qui Seul Pourra nous libérertore l'autre au Sénat, ont accepté de d'une umlétion gui devient Min«.rapporter /a proposition de lof, et mortelle.

LE TRAITEMENTDES INSTITUTEURS MALADES

ve POcaisse de solidarité pour les mem-

'teints d nee re1721ienefibtrareNe ujelongue dur..

Cette caisse de solidarité doit as-...ur pendant uno durée de dix an-nées le traitement de tous les mem-bres malades de l'enseignementquelle que soit lour maladie.

LE STATUTDES VOYAGEURS 13E COMMERCE

Paris, 9 avril. La commi.iondu travail a adopté le urine. de leproposition de loi de M. Lamoureuxtendant à instituer le statut légal desvoyageons représentants et pied..siu commerce et do l'ind.trie.

LA QUESTION SCOLAIRE

LA SUPPRESSION10,11 SECOND TOUR DE SCRUTIN

M. Charles Lambert, député duRhône vient de déposer sur le bu-reau de Chambre, une 1.'0P.M.,de loi tendant suOPrimer,le deu-xième tour de scrutin Pour les

8100,lionslégislatives.

AUTOUR DE LA CRISE VITICCLE

L'OEUVRE NÉCESSAIREON RASE GRATIS, RESIGNATION. CONTEMPLANT LA LUNE

ROUSSE. LA C. G. V. ET L'ORGANISATION COOPERATIVIE DELA VITICULTURE, UN PRINCIPE A METTRE EN UVRE.

Les journaux bien pensants, qui Leur attente sera-t-elle déçue ?

ont pour fonction de verser une Faudra-t-ii gubn marge de la C. G.apaisante .momille au bon peuple V., et malgré son inexplicable iner-drdent et indolent, ces journaux, tir, un autre mouvement se crée, setoujours bien informés, nous annon. développe pour assurer le salut dcent depuis trois mois une é reprise /a vigne méridionale ? Ils sont dot'pr.haine des affaires sur le mar- nornbreux /es hommes résolusobi des vins. La loi du fer janvier entrer dans cette voie Le jour où ilsd'abord, la taxe unique ensuite, et pourront grouper leurs volontés fer-ont. aujourd'hui la distillation mes, leurs efforts méthodiques, unegatoire, doivent, selon leurs dires, nouvGle féconde naîtra,provoquer une renaissance de l'asti' qui aura, je Easmre, mêMe deraotvite commerciale entrainant une des trois cents administrateurs de lahausse 100000m vers des nrix rému- C. G; V., d. animateurs dévoués "etnérateurs Ainsi un barbier astucieux compétents.s'attira une nombreuse clientale en La vente coopérative [bovin et deafilebant un jour, à porte de sa l'alcool, voilà le vrai, le seul moyenboutique, qu'il raserait gratis le len- d'accroître et d'assainir le marchedemain.., et de rendre à,000 -bons produits,

avec la certitude d'un écoulerinentLes viticulteurs sourient, de ce leur deur

nouveau rasoir. Ils sourient triste- Glande. A quand l'organisation deMent ot restent plongés dans une ce,,apte coopé,,,,, Tons lesdouce torpeur. a crise passera, disent Petits e moyens vignerons latte].leu réuigoé,a, eemine, IPantres en' dent avm impatienee, et ils s'et.-Pessé.. Patient., 7-a. Prer(ee enn° nent bon droit du silence .de /ainterviendra sans doute en notre C. G. V, sur cette question capitale.feven.r.. Elle se chargera les Il n'est donc oas inoportun de rap.emo°1 tYee,

Ieurifilnetdennstdesen;,;-.2 ce,pnwediretes. rticnt.ea.Lraient faire nos législateurs) et ouvirière. et. socialiste a mis - depuisainsi, l'équilibre rétabli, le vin re- dempn: on

bilevien.drasen Pr'. nerInst me': L'émancipation des travail-Ions et comptons sur la lune ronsse.., leurs- sera l'oeuvre des travailleursTel est 10 raisonnement simpliste eus-mômes s Vignerons du Midi etdont se cententent queignes en'''. d'ailleurs, 'taisons de cette maximetranquilles. D'autres, plus inquiets, 000 vivulrse i,,bmandent si, en dépit de tous les 21

eénlilé

conLingentements naturels ou arti- VIGNERON.ilciels, le marché des vins ne va pasrester encore et pour longtemps .P. O. Au moment nû renvo1:sous la maîtrise du grand commerce cet article 17 avril), /a Chambre n'aqui, avouons-le, est solidement Ms- pas colore discuté /e projet de loitallé dans la place. Mais ceux.la se déposé par le gouvernement en vueréconfortent la pensée que nos de la distillation d'une partie desintérêts sont vigoureusement &Pen- vine restant en envoi, les livraisonsdus auprès d'un gouvernement dont n'étant obligatoires que pour les

j 'pusla bienveillance à noire égard s5ist vitlioculteurs qui ont réculté en 1929déà. affirmée en maintes alabres, pl do-010 hectos, avee un rende-Et,nuis, enfin, g la C. G. V... La mont supérieur 50 hectos l'hem

Mes lecteurs savent que je ne faispue grand fond sur ce nouveaulivéyen. de véseidre la crise. I/ serainopérant, cameli bus ceux .quil'ont preédé, parce qu'il n'attaquepas le ma/ daux sa racine.

Mais le débat qu'il va 'provoquersera très intéressant, si j'en Jugepar ',opposition qU'a déjà manifes-tée la C. G. V. et par lev protesta-tions qui se sont affirmées dans lapresse. On a parlé de e solutiondémagogique »... un bien, gros motpour une si petite affaire, ime quien dit long sur l'esprit de sacrificedes s grands de la terre D, Je con.sacrerai à cette question mon Pro-chain article.

VIGNERON.

La découverte de la neuvième uraète

'etre &ohé Inantre te dome de tmaervotoire de Lowell, en Arisons,

d'où L'on a découvert la 9. Panésdu système solaire.

Pourquoi ils baissent

L'éditorial de la Volonté eAceminesilos suite des élections de dimanche

les motife de la régression radicaleet de l'ascension socialiste

Ire radicalisme n'apporte h l'opi-nion même pas un semblant de duotrios ou d'explication du temps pré-sentet encore moi. un planvenir. Il et tourné exolueivementvers le passé, ers « son passé ». Lesdieours radicaux d'aujourd'hui sontà nu prliNdentiquest aux dscerr:

rnr'ennue's gLérenatletnrsdrapai7s-guerre,qui

crt ecer':Irtti?er,lre lul"-moitiéraient-elles s'en satisfaire 5 lie n'estpas seulement sa t.tique que le ra-dicalisme doit revi.r. C'est,. pro-

tiford'eune 'duogreilmr

snesr. n.. xerrnes cosmALGÉRIE, e6 ESPAGNE, an MAROC

te. A. O. F. et en AMÉRIQUE DU SUD

par AVION.OPAPAGM. OGNERALE AtIlOPOSTA62

02, hm« des CluxesEl.vsicaTahaboaa, e 52-03

ihanda..«..e....ts >mem de ma

Textes et ChiffresCE QUE DISENT LES CHIFFRES

Un de nos «mie de élan (Haute-Garonne) me fait observer avec jus-te raison toujours d propos deBergerac que Simounet n'avaitpas d se désister puisque le comm.niste s'était retiré de la lutte en 1.vete du socialiste, contrairement d /atactique ordinaire de aon porli, etpour abattre l'ex Pool Hardy consi-déré comme un rénégat. Or le com-muniste avait obtenu 11391 voix.Ajoatéea aux 83713 de Simounet ellesfaisaient un to.1 de 8067 contre seu-lement 7878 an radical. Cette réfle-xive de notre camarade eet /are je.&ciente. le crains qu'elle ne produi-se pat cependant grande impressionauprès de certaine de nos Mus car-tellistee, qui sans doute préfèrentles voix radicales d celles des cons.munistes. J'en connais même guicrieront encore et déshonneur si l'undes nôtres est *mugis élu avec lecancours communiste.

Mali pour l'ensemble de nos mili-tants, le rappel de ces chiffre+ eatplein d'intérêt.

L'EXEMPLE DE APTEOn a lu hier dans « Le Populaire ei

continent les journaux de droite dela région de Montpellier avaientsoutenu le candidat radical-socialistedo « La Dépêche r et de la rue deValait.

Si ce candidat avait été élu, larue de Palois et La Dépêche sraient-ils exclu,' l'auraientils re-jeté 1

Il ent bien clair que no, Pas plusqu'ils n'auraient rejeté M. Gourgons'il mit été élu contre Léon Blum,l'an passé, d Narbonne.

Pourquoi donc noue demandenvitede prendre vis..Avie des nêtree desaemeeions poile épargnent, aux cou-nagiez de cirez eux.?

A SAINT-CIROeMA Saint-Cirons, ut se sont enfin

résolus d faire leur devoir. Maisça été dur. On ne pourra poa direOve ce fut spontané. Le candidat lui,est irréprochable. Mais on ne peut

poelrmeadire

dleueirlis ad D" êp'êrcgZe'i,7"Noue avons dit hier,' comment le

comité e.sécutif avait télégraphié aucandidat do surseoir d son déaiage-ment sous indiquer le moindre motifde cet atermoiement.

Quant d « La Dépêche 0, elle amoolré Tifcette 1 aire un embarras

See réticencee étaient Ceuta: inex-plicables qu'inattendues.

Pendant la campagne électorale eneffet, elle n'avait pas enturerehé d'auxtre dada que celle de la discipline,

Perme.és que non candidat arrive-rait en tête, elle triait d Masaud cha-que jour 'o Si noua arrivons opinevous nous noue désisterons pourvoua 3..

(J'était du reste l'intention du par-ti socialitte de suivre, Id comme par-tout, la tactique de discipline. Et lacampagne s'est déroulée dans une at-mosphère de courtoisie rare. Jamaisla moindre injure, ni au parti radi-cal, ni à son candidat. Cependant aulendemain du scrutin, « lb Dépê-clee » demi nuis e

« Mais sera-t-i/ facile de réeserl'union de touton les forces de gau-che après /es outrages, les calom-nies que les sooial-mazaudistes on8divers:é sur nous tons î

(Numéro die Inerai 8 avril, édi-tion de d'Ariège).

Or, je le répète, jamais campagnene /ut plus correcte de .tre Part.Et Dépache s ne peut citer lesnoind,e outrage d l'égard des siensproféré soit verbalement, soit parécrit.

Vingt-quatre heuret après, la mê-me « Dépêche », écrivait

« J'insiste simplement sur l'indis-pensable nécessité des réparationsmorales tris légitimes oui s'impo-

(1u».rviri.ro de mercredi 9 avril, édi-tion de l'Ariége).

Et dans reeprit de l'auteur ces ,

e réparations » pour des ic outrage,imaginaires, étaient la condition dsrplir préalablement var let so-eudistes pour que les radicalsrc ap-portent d notre candidat tout leur

p en effe t. encore eeen.'n,caéreea,o

,utra.Et pour montrer

nque ce concours

e La Dépêche publiait d la suitees réserves préeitéea, le télégramme

suivant adressé par la rue de Valoisau comité radical de Soins-Girons

s VOus prions attendre pour pren-dre décision, instructions du comitédépendant d'attitude s.ialiste

(Même menéro de mercredi9 avril).

° iP g:oi"a0o,1-on bissé'Iadi

signifiessésle ser

p.rrait n'y avoir point désis-tement I

Same doute hier la rue de Valoisa autorité » le désistement.

Mais gui pourra la remercier etremercier ,La. Dépêche s de leur

Seule les radicaln,e du cru, ont enle geste instinctif et loyal.

Ce gui prouve (m'entre lee chef.et let troupes la différence de menta-lité cet grande.

Léon ITUDELLN.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930_04_11.pdf · ANNEE. N. 11.298 ABONNEMENTS t 22 13,8 0 5004 43 Ir.:

911w

2

LA GRANDE CRISE DE L'U. R. S. S.

Vers le divorce entre le paysan

et la Révolution russeDécidément, l'Humanité - ses la

direction éclairée de Florimond Bonte- devi.t an journal humoristiqueElle publie, dans un même papier, lesremeiguements les plus contradictoi-0. sur la Russie, en avouant partiel-lement ce qu'elle niait hier, tout en re-produisant de nouvelles.., mettons,erreurs.

En voici Un exemple typique.'Dace, le sa.° de lundi dernier,

tere pourvoit lire hes ligner entrantes:Le mertehevid ASsenield ne ces.

Cas le Iseran/en, de déverse; anaitonsOnges sur la situation en U.B.S.B. Devant tee susses Butante...à dela sol/m./sana° la seMiragna d/.ment le sagermissameat dee ê00001rOler..11ectivru et te ...et afflux des

Ï:rez.u.e7 ri):7erit7ireVon"des erreurs bureaucratiques par le ma,siteste du F. C. du 15 mars, Ros.feldeontimus de présenter comme an aban-don de /a ponctue agraire soclaliste

(lee gens enrayés dee nouvell.tatoue. que nous etqui accordent de grandesavons tenai/tub/niest.auspaysans menasses des katiamses.

Mata n ne peut tremper que tes sosol-fascistes assassins d'ouvriers, car

clriG est diffnrente.ib'est-ce pas que c'est net et car&

gorique P Ainsi que doit k savoir tontlecteur de l'Humanité qui se respecte,je ne fais que déverser des flou demensongnn sur la situation en Russie.

- blair, pourquoi diable, la feuil/ecommuniste faitlelle suivre les lignescitéer du passage suivant

A la ourle des erreurs grossièresrectifiées à temPs, de nombreux Pay-sans aveuent ganté les kollehoses. Maisà gréseras.. a

Et de nouveau on nous annon. /egrand succte de la t collectivisation

le retour en masse des paysans quiavaient abandonné les kolhose.

c De r.nbreux paysms avaientquaté Ps kolhose a. C'est l'Humanitéque confirme ainsi ce que j'avais écritur la désagrégation des kolhase. Oùest donc mon ren.uge

Seulement, l'Humonsté te trompes tes causro ducs départ des pay-

Ce n'est pas â la suite des« fautes gtossièron it que les paysansont dé.sté les *allant, mais à la suitedu manifeste du as mars qui interditla contrainte en matière de coller-tivimtion. Tant que len communistespratiquèrent la manière forte, les pay-sne ont manifesté leur .thouslas.me e communiste. Dès que Staline eutrecesmu les fautes grossineea etmiaulé la cessation.de la collectivi-sation intégrale les paysam corn.ulmistes commencerent à abandonnerles golhose, dont un grand nombren'existait d'ailleurs, du propre aveude Staline, que am le papier.

Voilà la vérité, que l'Humanité nevert pas dire. Mais elle erre obligéede la reconnaître dans reteigne temps,

car la liquidation des Kolhose ne faitque commencer. Elle s'accentue dejour en jour et l'on ne peut pas pré-voir la limite à laquelle elle s'erre-Mea.

Autre chose .core. A la suite deStaline, l'Humanité reconnaît à pré-sent que la violence avait été employéeà l'égard ded paysans Qamid il yplusieurs mois, le Populeuse a déclaréque les soi-disant menuer de vio-lence contre les koulaks (pa)sens ri-ches) étaient en réalité des mesuresde terreur contre les paysans en gé-néral, l'Humanité nous représentaitcomas dru défenseurs des koulaks. Etmaintenant 7 Vligunassité dénonce les

erreurs gr.sibres autrement dit laviolence à l'égerd des paysans... Quidos avait menti ?

La politique de Staline était juste,proclame te frère Flosimmud, mals errl'appliquant, on Va dénaturée danscertains endroits... Mais oammmt sefait-il que dès le crnt de lapolitique de ecrilectivisatiou lePopulaire avait pu prévoir ces e dé-titanes ef Parce que ce ne sent pascl.« déviations parce que toutela collectivisation de Staline n'aété qu'une tmtetive désespérée debriser par la violence la résistance despey.ans contre la po/itique agraireda gouvernement

Les ouuéqumere que nous avonsset/indics se font à présent sentir.Par sa politique insensée, Staline adressé contre le gouvernement, contrela ville et contre la ré/ro/ut:on elle.même toute Ia masnu des paysans russes. Errer déjà le divorce définitif 7

Nous .pêrons que non I fIniri/n'y a pas bmucoup de temps à perdre.

Si un changement radical de la pu,lingue bolcheviste n'intervient pas, stsa politique économique ne . con-forme pas aux aspirations des PeY'ms et al te régime antue/ n est pas

démocratisé à brève échéance, le pay-san russe tournera définitivement ledos à la RévolMion, qui lui a donné,certes, la terre, mais qui l'empêchede la travailler comme il l'entend.

Le désarroi qui règne à l'heure pré-sente an 1;Year/in, la lutte qui se livreentre Staline et ses adversaires auBureau politique, le bruit - prées-turé, encore, me - de lachute imminente de Staline, prouventqu'à Moscou, on commence à se con'dan compte de la terrible catastrophequi s'annonce.

liais une révolution de palais ne se-rait pas une solution. Seule, Vin.,vention du prolétariat russe en vue deI, démocratisation du régime peut fairesortir la Révolution de l'impasse danslaquelle l'avelgtement et les mimesdu bolchevisme l'ont conduite.

O. ROSENFELD.

simished, fi avril, - Les armées une'

attintillettentent se nard deBasas de mâniere g tourner ms no-

orerl'ê: biglé. allemands erg/Misentla Mattanee et ont tait ereueer des gn ePurn dps descente dans anernimbees garnies de code de Suait sien/ ae tolontairea Oanani étaislenges et de blockhaus. Cititget."iu itterii1 .Jiiii":treit'utliteien le ocCet

La odsmiscs minden/m.1ton eérteistsdepuis roseau. de la carepeste de

S'obéissance elbile e pronorselefiel littit,tinnril ,tioreatt Celui-

. Igifeeà thieà:;lviole erneituarele contrevent/ rit

la elfua.I ''efido' arol'allegtt au 101o-If ledatitidift &Motte 001f do Meer,

Mer le bloc hétéroges dds renfles an

opposreant

les bolenevisants soutenus

â "Wiret,Stitt " "

Le Eire de la Millteehdtitutattg Mt Shed prènàe Il sériés.

mdSdnlouor Terme Sue Liang, d SU/ Il

Oett91tote. 2-i'àrà1neoual Plu Ou' Id gratifié 00e 1111 Mn dé

store e revere lee forces nordistes.mais le problème mandchou ad ex

tvreeme'eün ° 'fej:ettFiJsoutep. Y e n a(ITIne têoolittterthEità.

haî idtlignég an attablebalaub ban Il illpletnated Infeb.

»as, qui negactent un trade rie MO-e011Ir ilanailhtngent letenenti:r_ger a N onde tuUr e tspritY S yn,

rderrgteoàr1=Ures tro%'doyd.P:ot'd'a'tre. les éléments militait. JaPhilaMeilrleireSiteI>:ItlérArtedivig,t'dltilr.

Enna, an dit tete les saviets &S'UNI

Itou es qui en rem/urateselon corral/eu

['ire Preilegt s.'àéà *.-ààkàà à wiàhâààl

dbt, hotiblds ,philuqua Sui iS

totetsrlet

ne tilletighet ne gibet P.attendre.n es étadists prèchent

Pencessien Internadatale a op taitusage de son revolver un etantard

tiei,té et plusieurs autres bersonnes

liE PAIttapon, thab grève generale a été

thectelée Gomme manifestantuc da sytn:

tea'irotirrilergiiiieVerePmimas.. cm/pépiés dl Maudeau sam.

"eitor-letoterPee'etji

eFins

pElet Itoné biesidaid auralt tète/naphte dit;

is/dente.

de Etatt

éntardre tait âttiblir l'ordre,

Le fils cie ibtrulta a été condamne àHf mole ed prlson.

Une betteulleatrê6 West psodulfe an-a fa ponce et dés volotitao. de

dht qui rem/NI/Sent du set àa. Il y I en sept Mees..

MstattgeivisimmeL el ont = Ait .fitüti d'un

ileCinieri h'emttl,eir.;:i.,Flet','poutinach beriettS torstéltrs t pro.'terris, ieetiterS;CIttillgt°-°' °

51f flftdrlv000l 0111 été entgéeel timuniment celle de Id. Edouard Ortega yGasset.

Ci l'ePftotro*j etifeett."',--ditLa senènre est maintenue.

fISek'étleàâiLà`ii%Jeeted'il Unit via/ ,Sitra reCeagien em ri-muguraticti du Patata.. te. nesse

c:''eteigiretre'Vteinettirtilre.tellti à eb Sien

Lit ituod df M, sgiusu &tek.

-4trident triuMe leur éeliu «dna

Wegtenderriée-à

té Mta enia à Mis eoladitéd id Gdiétlierbt

,YargoVis, s au*, - Lei Ilartt riaFauché et du centre ont ,Prie nue,rdS

4'1'4' n,ce,t,tvi,,t Artr, t-demande.. a r s en1111000 de eraîtk""e""

Qin declelen k ce tolet e1!.t à,e;tneelruegunrirauveone.

and?: .delinKI:iteetColitelh SMatek. mainate, an PM-

liekligâttt% Plageettoirril'ef

A LA CONFERENCE NAVALE

Les conversations

franco-anglaises

continuent...

Londres 8 avril. - M. AristideBriand est arrivé h Londres t 15heures RE

Le ministre dés Affaires /Drang&res a êté ealud sur lecfeal de la gare

mide Vietnh par M. Dumesnil mi-nistre de la Marine ; M. de Bleu-.014 Ilmbas,sadeur de France h Lon.dent, et par les ntincip.x membresde la délégation française

A 17 heures 30, MM, Briand M Du.mesnil se sont rencontrés avec Mac-Donaid et Alexander. Le communi-qué officiel suivant a été remis itpresse, h l'issue de l'entretien î

« Les dé/eget/on, anglaise et fran-çaise ee sont réunies, cet aprèamidi,douaà iv =crioe Premier

COren'eerriheures 30 à 19 heur.. M. Briand afait connaître le résultat des con.verset.. qu'il avait eues t Radie,et, de son côté, MacDonald na misan courant des discussions trill Oreu lis entre temps à Londres.« La situation actuelle, telle qu'et-

te ré.sulte des entretiens entre /esdeux délégations, a été examinée. Ilest COnVer113 qu'une nouvelle réunionaura Den demain après-midi, à 17heures, pour continuer la recherchedes moyens qui permettraient &a-boutir h un accord h cinq. u

L'interprétmian da Part laLondres, 8 avril. - Dès In retour

à Londms de M. Briand, les conver-sations ont repris entre lest déléga-tions française et anglaise. 5111.Briand, Dumesnil, de Fleurieu,Massigli et Léger se sont rems.trés à la Chambre des Communesavec MacDonald, }tenders. etAlexander. L'entretien a donq nueheure et durai,. Il a porté, en pre-mier Leu, sas les questkins.Imiill.oues qui avalent fait Fobiet des dis-cussions de la semaine décolère. Lesdeux délégations ont constaté lenraccord sur une interprétation p/usr.trictive, dans t'avenir, du para-graphe 2 de l'article 10 du pacte dela S.D.N.qui prévoit, en cas d'ogres-clou, que te conseil a le devoir dere.mmander ans gouvernementsintéressés des mesures militairesPolir s'y GP/basch

Cette premiéte étape franchie, /esreprésentants ang/ate et françaisont examiné t'état des travaux de taconférence navale et les perspectivesqui s'offrent désormais pour leurconclusion si un accord entre lescinq grandes puissances navalesapparaît définitivement irréalisableIl, ont pesé à neerveau /es M.nvé-ciente crue présenterait nn traitéannuel If Frarlee et Pita% ne teraient pue pnebltt. MacItnnaldvivement insisté pour que de nou-veaux efforts fussent faits Sin d'es.=over encore d'aboutir h un traité àcinq.

LA CLASSIFICATIONDES SCUS-MARINS

Londres, 8 avril. - Après avoir d.cil/ d'enregistrer FimpossibiliD driver à un accord sur label/Lion nessous.marins, la psemiere commise/on

aissrdé cet apre.naidi l'étude du dê-placement unitaire dm sousmarins,I a suite de ianueile une résolution pro-posée par Alexander, premier tord del'Amirauté britannique, a été adopte,.Aux term,$ de ses dispositione

1, Le limite maxima du déplace-Ment umtaise do soil,learlas seraitde LOCO tortu.q. Par easept on, élimes pores. Ide

peartan censitaire Ide tridfde soue.magnes do plis de 2060 («hes silshé décesean, Mec mea I

9. Let traie super.snsmarted litgemedoivent être cou.., datte 1 tonnageglobal dee mn-marins allone It

1s'ann e h

nt11,1.55

A lit dematMe de M. Missi/ou, té Suredul, bien que jaugeant 2.8. tons, aéte tonsidéré codas entrant ex,

pué-000ore000

per

que 'ler Fran. eet ainsi autorisée ômec 000e en plue dl Salyout cosi..Medi prie/et/(ett* le Pretium. fie.nethietlan trantsiee /Venu% 0036 énthetlbre da eensmarins de grauduàcroisières

Sur ta que luede0

fuit/prie, ti. a

s"r f mrenrere)ga /hrige:s teritcpa II rpté lé, SM/fat/ut hiaaiii pottereleht dee cenefie de 6ponees.LÉS 11 RÊVagtlgig iimÈTIÉE

p11111 00001g, m,lIu,no le,1-ourablà mue ions.Inetung... .

Les Serpent/Se sigalnea mur,cesuSe nOtrape régies empirés du

irtYreirgrfelil, lendit %,l'Inerd

internat:0nm ans/11en. sot ten-u. les batimchts de guerre. de

O

jitttilet 9eàqiiimefiPVrà, gu'detedriteathlâtrPIIII'f.4.0eu

minOu, cet neernitt Poulet lin tendreIncapable dl daviguer. aatirsr7."rse rrrli&rit;gra etrreeren3e;î

elà4-.t-11ri

fie§g Lkoiàlner'r't'bct fi'nère, A hi let que Il Ienthe des puisglus et de .PaqUIPage toit asstmee,

e d tend ,e2.

arwiteâ gekeet,ettliitib r

Meg. DEvaitt la tribunal epal.re%.ezfreyx:11eetemme5

lits Iteett bonen,én lb,1,111:a

mie Tee PrOjectUe1 ed,onl aray1loft 5,

neDmétu . souMamelu ,Mitallel spi lie

tmued.egge.%1'aussitôt arrête.

LE MIDI SOCIALISTE

EN ALLEMAGNE

Le "bloc bourgeois"reste divisé

sur les réformes

agraire et financière$ avril. - La Conseil US

Ministres, réal eu soir, sous laprésidence de M. Braning, a adoptéle prog.tume de retenue ogre,.présenté par M. $chiele, miatetrede l'Agriculture.

Reicheteg eera saisi Messesment, mais il parait deuteux que legouvernement rétresisse à Muser en-tour de ce pinards/. une majariteau Parlantes

si en est de même de prograssfinancier du gosaiternent dont leReichstag a commencé sujourillaiiIn première leetnee. On annonce, eneffet, que ta commisseou du budget arepoussé au cours de en séance dece .1+, le projet d'impôt sur latabac et celui d'us tome sur leseaux minérales.

Si Ion ajoute 0 ces admettes dl-cuités Poppusitioa que rencontre teprojet d'augmentation de rimpetsur la trière, on peut se demandersur quelle majorité compte le gou-vernement pour Paire aboutir sonprogramme financier et fiscal.

Dans les milieux parlementaires,on s'attend à ce que le Reichstagsoit dissone d'ici quelques Mura, amoine qu'un ac.rd intervienne audernier moment. linjormation).

Das Il nard dationallstaBertin, 8 aval. - Le Comité exé-

cutif de parti allemand nations/s'est réuni na sir à Bet/in.

Après avoir entendu un exposé MieSL Hugenberg aut la situation poli.tique, el a adopté à O unanimité meré.lution daim laquelle il approuvel'attitude prise par M. Hugenbergau cours du débet de /a semainedernière et lui renouvelle sa con-fiance (Intormation).

In socialistes allemecés I

écleacLetLit coatlias oiselais

Berlin, 8 avina - Scheidemas etGraceiski ont prononce dimanche,lias rine réunion sociale-démocratequi .'est terme à Cassel, des dis,cours sur la situation politique dansIn Rech.

Scheidemas a dédarté notam-ment t

Le gouvarnnment nouveau est dansl'impossibilité de durer.

La s.l.-démocratie, 1001 a menl.l'orientation de toute la Politiqueétranger, se trouve actuellement ecar.tée du pouvoir, tendis nue ton pil.1,19nul 001 voIt Ovni,, I, bu 000,00

1tlhORhénanie, se etinv.t contraintsde conduire cette politique aune sa-noir Fils ateposeront d'une malorite.

C 'ui reit% Te'rr%Inj.7,`,1 ,'' n`ItleeedVo'PiMéret même de la République, soitvar de nouvelles Meulions, soit par /aconstitution d'un nouveau sonnetésede trrande coalition.

Gm.inslii, qui prenait la parolepour la première fois depuis sa rotraite, a examiné plus perticulibre-ment la situation politique de laPrusse. 110011 déclaré contre l'ap-plication de l'article 48 qui, .usPrétexte da taire passer des lois im-populaires, constituerait une vérita-ble atteinte b la Constitution. L'ore-lent e slohté 011111 ILliail coMhatire

Voc la méats énergie les p001015 Ioda...igues de M. Sthicie Sul eureleldpull censée.. Une migmentationconeidetalad dit prix de 116

Une motion a été adepIa aux ter-mes àe iseetteist bol soclet.deniotra-tes déclarent Baluor l'évent/M/1N detinuvolles élections te mn ne Memteneternt pee de donner Sr le sdnuedémocratie J'occasion qu'elle dairlrode livrer un nouveau combat pour'la démonsatig et lé É/détails)...

Lit vile

k

DMODY

QOARt. DE- lefEbPLE

Ce sera donc un veritable regel dêvoir les internationaux Baillette, Ri-

III uuiutéè lulbenitllunico doageum the ri,lasndirthilmdttorittux Bide.

Ies de FRP., (Saint-Cyôrieni

L' ediIrdenche-Matin an e dés

de apres-miau bas antes Jean-Jaunis.Esinf

desormêment aux réglementa

E.0pdront acquitter le mentant dela Fédération, les membres du Tl

11, allées Jean-Jsrés.er'' Il LA CHAretirées samedi an Siége T.O.E.C.

SPNALE SCOLAIRE

(Da noue uni/W.100n dTOULOUSE A UN CHAMPION

DE PLUSte. Violette, l'Aeoddrnia ria

Tonlonse, a bana le. faamiut d'Agru,reprise...nt l'Aeadârtre n .,ord..Ove 17 mann Incube emaie, en .Sa sue clou /mec), a 6 remis (deuxsuas/Et vela Ire Idole. Simonie»

France. le méritent. Fil/atonales donecans réserve. eux et M. Pune, nui ne !ama point menitge acs cOnrel ec a etMuse a en faim dut jouas de ms.,

emdement le plue fis le ph. rPortooll-!nier d.t onde a mie cl,, t,,,,00, elle

sua casant, le réeul.t.Bravo la VioletteCal devant un nombreux sulAis que

e.est déroulie la farde. Et le onblie n'alnullement été dieu puisque, à h. muta,moisit vas. une Peènesomme d auras von souvent. laplat bah de le saison.

M. Villa. d. Taches, qui lut un arbitreemaelle, da 14 0 1.. 30. . équipes

m, le ter.m. Hee te présentent dan. tfamesun

/. t,

ll

ConeTnr.ea, wva)reem.e. Luffwnel. em.

TrirrkSratu. rRaeem.gMerfirl trrrr.Fue., Lieu. Del.e.

. Bade.:Sensu

GuuellnSfie:7).rac.

1r * fre eS ryae.: CTRr eee.

1000. I. début. les équipa se tâtent, ad'un te. fraa. au: mimante-ans mé.ta Tartitr ,eumit .N but.vh

La Violette pan franchement à l'ana-tua. Dès boude Pradié. m. fres:deseee Bordeaux et S.d. dimme lotn1en mal..., pute manque de sen un dm,B2. deanee. Rama dormi du, mot.oms viole .., a Borde: touche denems bas,

tmeng sont un "et. trop ard...surtout Taurent e.t prié eepmer eino minium . Le Violette dominemanifestement surtout à la Imm., Mon-mené le hall, à tom mu. et eus ma-

eur m. Ihemu,,,,,-fautetpute lei virtuosité d'Aune. ou de

Sauner ro. endiguer lee elles vioNts.lé.iénhanne àI. tate d'oue eoélés,

feinte, tome, glisse dans dota. de sesadversaires et, noyé sur l'arrière. seese àMe... nui a en',,.vi, et marque.

Tarai! transforme.Les Bordelais, non découragés revien-

ne. der et Augra, puis Predié iéclutp-d Stasi, tanière viola. sauve super.

b'mentsitr Vitnetr. mantes. du bel/on en m.

r'rromremenm un. passe, troue et prenant

lee,bel

La Violes réplique pa une maanifionestemm Veyme-Conenene, tem, isVa,.sem en rasent, et s'est la no-temne.

En slanaèmn raide... la Violette quirab. un train d'ode. et se livre on.narre e atone les brav. d . desplue epornrs, qui encourage aussi las

te

sou-ieus,lser::... dont les réact .ions sont d,gereuses.

répond par une belle envolée de sestrois-mas, et Taum manque de ri. un

Ser maque da rouge., ConanencSante, trou. et marotte

Viébet, panss .

' iée MS. ems Pars fiteSeg -peu /61teetrips, dal Casigiiéne blés eervi,nom e. eus.. ou bél agie, eièrértré1 énemostrehmt.

loteu i 14 paide.Aue. . ébattre point 'femelle, en

0e leeialtbirPerBordeaux 6 sdnts.Sondsed tÉaSt Dierernerfient. éf

file dé icintal irs arentinne. D'adent riogee në t, euffieratattrnsdittàuà é/ avG4

pl urd.est Sir. et pas. amère. te.fiestas sdus ...vent le intnutt

SPORTIVE lezioi:itio ,Si,,a,,miin:r,,ett/,t, rcecn, deehe./..

refit SR. m. leu. &taquer rant Plus ef-ficaces tTautil ayant permuté au centré0000 Vas me/. et plue viro 10,1 ri,kb etentie rapidité.

Ceigne. mers. encore dé bel essai.Bou/Salé réagit d dora. pMidani les

di,dernière',minuta. man n. omit annuel.t'est Set ré e1 Pleisir que lois vinas de I emporter par 17 points à 6.Sortifs Touloasins out Émeris ln

OEhLdésignation du terrain de T.., Denetadoidenepoux y etre spider le quart ddullO do Championnat de Fronde quidoit opposer Paetael Chainpion déa,,,doo.: °dogon; da Bordelais.cette déeignation vient...o./pend.Ira efforts du grand Club Tbecistegni depuis pinsieurà annf. était Sb en ont manque ses. d me noce plot devre de tOncontree

Qotllmmun, ut s.bistes vtrut elotée 110 de. oint enuouroail,. 000e I, 0101s'affronter dim.., Sind Sei. de. Aunaie/ils. qui n'enflentL'interêtde cd grand match if. n,ohappera personne, car le va, in;

Ir,tn' -dll Meir' Mil ed./Mes eera nee urP. b8s Tnuntide osa fali ane hien talémi finale.Lés sportifs Toulousai. connais- ,e114, tilt,é.n. e,...d. /,,floa. féliciten aini: ré.

lima/tolua

Pas deeutétieron

ie. inà loorg &uni& triadbu, mené Con *suent itpus ',Omet& letentastitités sut II swgi., taprernière,' a lem mates 11,,hee

.O.ERià. VIRÉS, leupelar ..C.off.tt, ensui- fecleale, dg, ur,

John lb 'Ac/té salsan. les euneil - imomes, actlittate, sc'eletreetium-a'it''tgeuiratnais sur un terrain dé Tetitousé. 1-

er, anér''el'it ritren'"IéCiankran'indri ittc, urrirtr-lit reltéi chifeefief âme I, wai.

En résumé. victoire bien méritée de lbVirlérté. vol C04.48 hilliumitiait un ti-z,C.1118i rbeiéfif .401. Es./

odsurnd nié M Ville 'Iaebarei.Lee des mei°, peérOhr genit Ln meilleure équipe a gagné. Belle par.

nt sur garent fle /a. Sainte du jeu tie de 130,, Andras et Sander,coq seita confecHannév

En Pile dé hé ojborOf mete..,(bieTodatitid fdtintibmièrà Ont àèçfélthriàdit T.O.E.C. Irs loi., de 19 h pSe A 19 h. 80. nitr les Sinistrés

Truite le grAnde tribune otoiseIII fixée h 18 Dan. 25. I/ tel PrééPa pat suite dé l'Intérêt du Match LI LA,Gligitillit ilimenntne restera aucune plant de ttilittne roua LES Efé'VSte5à tenurle lb letit do matois AUX sinalltràtio,Eft"

dtinânHin Murs,, rios nappe/ferons ,pj, jos74 tal 06 h 4-111. grand,and. réseaux ont décidé daccég- 2

au ridé EXelehir lâce Artfeli /Isis der le gratuité du transport par dlisd, Sien bI, Iranier, 1110,, Char- V.0$ da détaxe aux envohe destinée e

essrinadi, ut $abliet. Robeie et SOU.dvaièrit furent frès brillants a 0110

de cohésionen a perde 0 bite perdsquoiqu'ayant admirablement proftté dutoute. le. oemetens offertes.

LM violets ont mereee mae. mole st

Séance de l'après-usidiLa séaner est ouverte Et ar h. la,

p., la presidence de la Bouin/asObambre poursuit le 1111001011niscussien

du projet de projet de lm relatif al'amélioration d nu mangé des vins

Par elltrOr de t'adoption de Pansu.dernent Mianmet, l'ancien article 1

mrdteRirer t111, m'étonnepis projet faisant appelsenst. ppel aux dus-

t/ du lireeor, jasent a conourse.. da 950 millione, n ait PesMd soumis à. la ansdirsieu de Cenases. Pour moi M projet actuel.ra mopetiant, parce qu'il ne pot-taa ue sur une quanti. suffisanted'h.tpolitres et qu il ne pourra paoetre appiiqui en tempe utile

Je ne voterai pue l'article 1 bie.M. BAZILLE. - Il y a simple-

ment un acte de solidarité à ...un-pli+ en faveur des viticulteurs enprovoquant la distallatmn de 4 mil-lions d'hectolitree et en déconnes.

. .smse I, morabd.M. CELLIE. - D est bien ente,

du que Pittat n'achetéoa que desvine de consommation cas e.ant

M. ESCALIER (goridni. uaire dgouvernement). - Vous pouvez y

rrreIt Oadel> développe un amend,e-ment,

M. CADIC. - Le Parlement o.epeut pas uniquems st donner tis-faction aux oiticulteurs du Midi.On noue repr.he esses souvent, euBretagne, de nous laisser rouler Parle Midi ; 11 10011 aussi filvoriser lesprodusteurs da .igle et de posnesde terre, ils subissent eux 00011 000crise très grave et qui élèvent, pourla plupart, dea familles trge nom-breuse. L. distilleries devt aientêtre au.i employées à décongestionner Ie marché de Oct denrées esemPiellement périssabies.

/d. F. DAVID. - Il ne s'agit pasd'établir un régime nouveau de l'a/-cool; C.0 sera lober d un autre pro-jet réorganisant l'offim de Palcoot,actuellement en instance devant leSénat. Mais, aujourd'hui, il s'agituniquement de faire disparaître dumarri. 4 millions d'hectotitr. demn qui pèsent sr les prof et dedonner de précieuse, garanties b laconsommation pour la qualité dproduits qui lui seront livrés.

Pourquoi done s'opposer au votedu projet artuel III y a là, un gestede solidarité nationale, de salut pu-blic accomplir dans l'intérêt de lapaix du nays.

BARTHE. - Le renvoi auxcon,misions aboutirait à l'enterrementdu projet. Si ron n'arrive pas I dé.congestionner /es chais des vitieu

ul-

Mn do Midi, dont la situatlen esttrbousvgrema,vnseiildep:iptrral. snig,sibuiievrer, podoers

la pli du pays. La responsa.bilité dela Chambre serait donc très lourdesi elle n'adoptait pas ce projet.

M« denmnatnAd do'EdSAUe en-voi Ionrniarieternme -

lei0F11.'BRUGERT. - L'on va dé-barrasser Il marche du vin d'unecreorptps.inim eaquatil d elloectf%trst_nm qui

marché de takool 1 D'un autrecôté, Il parait difficile d'empêcherMaman de dispose comme il l'en-tend. Le renvoi aux commissionss'impose. .

51, F. DAVID. - Le vote du pro-jet est .lutaire et urgent. Si on Mrenvoie aux coromisien. celtese-ei

:Sénat est déjà saisi du Ptorldemrred'ensemble dont a parlé M. Bob.salle. Je supplie la Chambre d'a,cemplir un acte salutaire et baillai-rang dent la nation lui sera reco,naissante.

DARTIPE. - La emnmissien ne

IGeselO'leegettiele e'o'ata1ft1"417oPrit'e'r'al Ldau'n'

Crie ifitietell à il loi de 19)15 sr lerégime de l'alcool, Je demande la

0121.1rtiUdfirir: devant. l'engagement for-..

/I est,precidd ess snesulreg

boit SM/steel/ du Midi et expédiée àtitre dé dong geatuits 100100e 15lit 'I /

sont applieables eut expéditions IX.pondant ceg etmelitiond et edr.sé.

De préfet h préfet ;do préfet Itr1011gSt do mare à préfet; de mal

de tir bib'

efige s

Lions bu groUpementS accrédit sdege réseaux à lourd fr1111 u1 Ilprée

',défet. esti f Intfird.Ce Minois peuvent étte n00000 SI

grandê vitésàn b lé& 56001 Mi de-,pigée pas Se kiloà _par émpédiliefe, lisdoivent Othe le petltd Vite-deealts Sdrit fuir poids SUpéreur.

Lit 005 1111011 Caltes par no0110 de ho befiéttleiérit ft0 dis la

gratUité,urLees.del,eel,nandesa. de détaxe

ég8 d ns un délai le 1.11mois eo4ter u fosir lie Ilexpédie

Ppur les transportà etfreludsen poss payé au réent ékpétiltéldt:iliteaupîuyées du rérénissd à 'lettré.

acido jos Die/Ondes en port dûau Mselm destinataitê, apPtlyéesrelcSisissel au destinalaite.

LE CENTENAIRE L'AI:GÉNIEUne expozilezerttespeetive

51 00111. 19 tocjI. ---let ahafhbrede dointnéred Marneiila a Mits.du con/mem/mei', ponde aspoeitioniStrisandoilvS, In centeriétre do l'Al-oeic, -et.t.tï s*ptlaitioS, Menibl. dans

talle d'hoitneur ff pétale f IlBeillred/ OnitiP1`191d Pl1.1.1 de Obism,cfc atheee mil présentent MI MolSatérIt, notantrhênt f005d'Ab

elnontent à 1581:1 et 15E, qiiiSont /. plus anciene detedinenteiSenelgreephoplen lue la enpittne de

rXret.taeXPêrfieltUealhrfpritP'réoctdruc do Beaufort en 1251 Les dnbutleé la rondo 1m et.1;1 différente500005e sett tonreègn â pat finedoit très remarquabb, d'eetampes

au Parlementmoi do ministre, accepte la disions.

LES ACHATS D'ALCOOLLo premier paragraphe de Parti.

elo prender sit adopté, al est ainsirédige t

r, A concurrence donc somme de2,50 millions à prélever sur les dis,pondledites de compte special altservice des alcools, l'Etat est aine-

meéder, jusqu'an ler 0.n.bel 1914 ta elee &Sials d'attenta fi.trent au moins 80 degrés et pore,nant exciusivereent de la nuse et,oeuvre do vM tel que celuisi estdéfini par tes décrets tendus en se.

ru°rti de la loi do ter sût 1905.M.Atès soutient Pamenderneat

roborilIt'eohats smnt

bord par des achats raide à Pana.,Me. Dans le ea9 où les récoltante .montreraient trop. exigeants, neeachats seraient effectués par la vuedes obligations imposées.

La suite de la discussion eot,voyée à une autre séance.

QUESTIONS OPIALFML'ordre du jour appelle une OUM,.

don orale de desnard-Ferron à DI,le ministre du budget °sternesChiffre d'affaires Page par leatrepreneurs de battage sur tes sa.Mires du personnel mis à tes dl,.

par lot cultivateursltivateurs et .1rib, eeux_o, sise que ees(repreneur, un fournissent quo leatechniciens charges de diriger lesmatériel.

M. BARETY sous-seerétaire OMSaux finance. - L'administration acru devear Materner ans entreprorneurs ia taxe st le chiffre /PMUras. Il est hors de doute que torequ'ils recrutent d. ouvriers à latâche ils doivent comprendre I. sa-laires dans leur chiffre d'affaire..

Dane le eas, où le cultivateur re.erute son personnel I ses risques etpérils, il n'a ris t payer.

L'ordre do jour apeene vole ene,thon de M. Brorn à M. le ministee deetravaux public, au sujet do délaiclans lequel il compte COMMell,e,les travaux de la percée des Poss.,Or Saint-Maurice à Weseerling.

M. FALCOR sous.secretaire &Etataux travaux publies. - Je répondeen demandant la discussion .mé-diate du projet de loi ayant pourobjet d'a.pprouver une conventionpa.én av.. la Conspegme doc ch,mins de fer de l'Est pour la Ponces-Sen de diverses lignes e.

11.11e projet de loi est adopté San.débat.LES EVENEME.NTS DE YE.N.BAYLE PRESIDENT. - Je suis saisi

de trois demandes d'interpellation de5101. Taittinger, Outrey, Moutet surles événements dYen-Bav.

Le débat sur I. événements deYen-Bay est fixé au pretnier vs,dredi amir la rentrée.

M. Léon Meyer réclame le votedes Assurances sesta/es avant lesvenantes.

M. Dalodier exige un débat aurles actions à vote

Après quoi M Gharribre décide dapoursuivre demain matin la disse.Sion du projet relatif aii marehaOnt vins et de discuter l'après.midila loi sur les eommerbants menacéed'expulsios

La séance 001 1000, 4 lg h. 30.

AU sEKATLa séance est ouverte à 15 heurns

sous la présidence de 51. Doumer.Le Sénat reprend la discussion de

Il lei de finances.Plusieurs articles sont votés au

uliblrot de l'indifférence générale,puis à l'heure de Papes la suite dela dise/Maton est renvoyée à demain10 Sur..

on s'attend à de qol Id dela, 101l'éeole unique ascite par la gratui-té de la clagse de sixième das IM,Mg/lament Secondaire, eornmencedemain.

Sue. 10001e b 19 heur..

en noir et en Couleur par des ima-ges d'Epintdt dont l'addyet résidesultont en ce «Mo montre com-ment étaient piésentSts à l'élémentpopuli/ire 1. granda événements dePhiettelee.

Sarlê;d

10 giL,7 /Ca,: dé

A tfolBefiett001411141001411141LehIlith tsehdoinadoire

'd4in'T n'Ia% lu r=ersune eficals05 st de 11.051.612.811 fr,en diminution de t89.210/349 ffan.Ont lafit ostria précédente., tes en'

ertre'il r r' rurtiitnrii'tailohfig!tri.rer 'poirj

II milornms 570.1.70n francs en

nIne mtelia'itgtIl 000.305,12$ 5510cr,

e rrLeé.-

ggree ritgr'Serf;8nel/int, prenédente. La proportion11000 110m In loi

AeekeEP.xEyR;StIgn.NNtEFArk.D

REPUBLICAINMitalind, If airil AS duhra

banquet dose en l'honneur de Pan-É,oen.

députa tériblieeln, Marcellij

pobeeo gï.,éuliIeulI 0e Stel sortais. Pg-rêstitflortg tint e14 dadtddo troue-d,oef 11111 do M. Édatiird brleeORS..

Un prélat radicalllier ont été célébrées les absence

dl1.0061100 de Oarcessiinne. IldeProbable quo le parti radical audeleedudo,rte

:crudnaSainntit; êt én tell, lue dé,

lleottodoioaletetioeo toed°^.oug les cafte de son dleeese.

thon/et en chairs pour auPPi,e,eurs rilialllea de voler et eas

,

Voter batte le eocialistCèle se pesait pour leo. deuxibe

tour lorsqu'il n'y avait. plue en tehg redtnte et sstalletes.

Ofi Slim à Mentit Se ingMut demain III, en muent,dl but éberlue que ffeetuit Un MM"homme

Nouvelles Internationales....Pos,...s.........esNsseceddecums........./

s sr

Une fois de plus Les autorités anglaises

la Chine est en proie surissent contre

a la guerre ctee les vslentaires !le nagent

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930_04_11.pdf · ANNEE. N. 11.298 ABONNEMENTS t 22 13,8 0 5004 43 Ir.:

Chronique de Tot!AuseNotre Tournée lv0s, qnc doc si loue pplaodir

dC Propagandeira t et 6 avril 1030 s'éiuit pue en prOg000e, lia For-

e-coton patente d In social aristo-rr000e de toscan vont tumnibovuse-m000 et rogeosemeat e altos, le pro-blème enrisl et 00000miqee

La eu 10000e maIn Aeoinrien en-voya dace lIe vordet lv ooquvtee toutpantois qui tr000pireol et s of000-010 t t.

Le vhaet d I' e Iroternetrinvaire'dleva, apOvl000000ot, marquantI vvttcoestneeve et. estes fis de rdro

si 000inmmmeat etroefortantepool l'avenir imntoniroex de no, idévot Orveade,

Ive t-datoe'otj nrgora'oére pue- In FA.die0000n ôaetroloegv de Le Ilnote-Gn-

ont nitrent pnetvnt le pins rit.aoedv,l000sdnnacasoi-desenoe Irepr0000r00000eolrueaedne coi sans

Tovisool eodrA CAFTERAS

(leotdree, samedi soie, Liliitree,Onnetet et Ants,rteii, ptireat la pot-voir dovant na ondotnira de lIn or-soeurs, ilinoies pool-va dir, anSont mima eénoad- qu'elle fat dèei- t)dci à la deeaièrr heure. Liant reenolivn de evmpnôhi000ln, ont co-ispurent tôt fait do 000qnérir leu 0000es

et l000qoe DellIle de Pelletort en-tonna lv peeniore 000plot do 1' le-torna0000iiie ,,, vo fat In calte 1001entière 01000 se levs et nove, l'liynoeedes tranaollones

lIno seoiroq d'eddie5 51 ses seclioo ole c000ve cool lIer leadéeeC net 000 ô

doiotnqeqv aprFo-esj,ldfia tIit)oLUtsU1.,sU5,pg

i°Àomnvniinrouonnonouo_,,0Loueaooaa000n000co,,00000e000

Peur, lai 40±5 o0±edo±U04o 000 e,ieOsn$50v 000 0000noolo,ono,nuua quo

$00, tut 04400 O1M04000cie Ot a00000sce00000 ra, o, 000n000 par osa pro-

pin4000000l ie0004nl ai colinot 0000tan 0000500 talon 04 (pin os P050000an0000 000 0 00 10404v, 0000000a000 tic00000000000 ±0 lOiOOoO 0e la loreoaeb000000000& la Solda ils Soutien

le'otro'i±iro id 0O101O. 00 0i,m00001r

Isasot qua éooatuot le monoe na leu droteetle'oouieoole f, l'cmone°ps.

'toouoo qui suait I.. Et veto itrit 01000 ovt00010 Llvllv

5e 001 t i00000000 0010i00000 p40 t'40000 l°it te' t P1011. voit-

local 51 pao O nosoet vol-mIel 0010 o00i1le. -Socle. oe0000vace g ove eual,ncaonça Il aient toton, il y n 0000f-0000ras, 0' 000at00000, peit portent, dv onlait pour foies oiopvl à In 0000teoeet point demonlooe qn'rnec Foots qoisort s'impooer aux asporatroot d'avJeune 000000v et qui vain e,rldstaioo 1mdeore000rnox de l'linn000e 0010, nelient être qu'on 000d Poeti, te

l,esl000vleeaos pr000qué 10cr voso-rio sonprhr fer màliiveil, et de,

eoeotpnthieertt de Sfontqiqnt tore-roe, voies tel,,o sororror une te se-

vise trot roc les boette ole t, 1000eeqooreretr'rete,rionre evesrot brillant-iront idpartoa

dliv nniler rode-A GttEFttrf30l

000aicen de Clreoodn lot piviot..mat riocesor, Frondée par 000e, on-enaraolr Proet, oro'Ooeovlorvt Ciainnvetv55 Cueooèoa slle enneovanot mnitets lesepa Ii000000lable qnj tenu re-

Iran dore non de vonciervrrnropoobio-volte, plus de 400 aodotenet pren-- - l,qe'faeivittrrtttt'e bi Ireoiretoox

A AUSSOEI4NE

Tels brfle eêronloeridre oneis eteOnt, de Coeovbsreieeg de M000isa.

ville, loi FalOts iloientôrnut soi,-°'ilosonqbrs± teslro do Cnrorolour-

rien, peloiolr. aeviell dv OioelorvolA000eonne) ri oie POo-villOr (frillil.

Snmoss, fane,, exposé Clair etpelois montre let 100011010e eonsd-qoenret dr Iv eiloolion loonoerlqqnnetuelle, pr'Ovrelo tro,e à toue teeprioeipooexrnpe-0100einvlt du rotronetrl'allo,eev prloidé per Tseoiirn, f rie-moer let ltvr,triio d'orlmioi,leelieubio L Il, cool prtsirientn vn morebrea01 boulIn Iti nooditeoes à dilsieeertout les Innenaoe bourgeois, proe00 lire oie lot ioorntrx vomi Cistre01001 Cool )re teoolt à dire Is 10101e cd'p116 toi proofélseiot,

tee lrraeooe vo .000 pas ri mIe quoT,rv'lrre-, itt h le Iriirroor. 11 mdl 0een setbofvrlivn ole se 110000e obvint00 si soroqlorerix 000dilooit'r, rrfi000Ploosirirra ralnmnira que 01es ad,er_Soie, sreoi air in noire aiIm soviet eé-FOrliè0000eet el croIe, cire le croit-lIster u 10,0 brrr, 014 pveitlnlo et (levIre snoilivl'nt lotlrrnrvt 10010001

Aven Cliriqoornen et nrées'os, 11otOceil la eilosltoe prlil'000r 0v,100ollo, o ovine l'oeil ro do gronloeperloeioenlairo, noolysaot en parentourler ses dinereeo peoporill-et enteneur dol reorrdt vtrieole. II tort-Ore (liro crier pst-01 rOI 15 50001 0101fIlon) neeittoevl le rr000noir ponton etvorace tee teiol00000et t te Fevrtiroe

Port, gel sait 000te000r ma boonocos oient lot revOient, oge rias boomcet en tout i ibm lotelovoren en 001000ev 10cr, 0004elrtsrerpvevits.10e e'roolioeoe doo, le tenodo - OIt sirroet envoile le devoir' orudirl.

t-et' 1000 scellent entlnlltter 000r dé-lrr'tre terre lvl000'lr potil'noo,n eteIders 11100,1 '10 Joellre et 00 Fou-lerrltotoor,osles ponr leq,nl 000es

ri'nr,oirii,tee, eputl00000lrsrreente selqeot l'une' s) oie naIltoqI lrotle'tr.

lii, enrtr'o,liebeort', le 1110550, P6.rl,sol, dlst000tte popvlalrt lacE ri.cote d'eerevssr les tee' t rrsieooro,Potinant lei truies de MCi'S. Il Pc'0-lord 000e tonne 1,0111 5501 sepeot'l-ever' la po'oeiriéli lorib'nbdorllo, Pet011011cv fort mste,°rvile ares Iroel-denin Pbreivr,n, de lis svmmrrvef'rtooleo iOdin 000e loi celle,

110 5 elealot n's 500010te peio,n nonertloloile le, tilt, et eonfoeolee sole

5es dn,e t selle de.o-Jeoedt ,uovenls tIr l'lrtterevlir,oelr. (le 001Toue e. toue pooe0010 lu p000le sot Ors broie serein psnr te pet-li .01)0.

e0000e00eo Doiriore, Sorooaao et An- linle et ponr s t000irro d'Aoire000e_

POUR LES INONDESConit officiel toufoush

oNpaÎ PI1)ITIEME 6,1611111 moot d'ieleetselS et dot ilOor PerlesQonio fa0te l'Eghor Sorat.Ffaa-

Lvnt.Tn0000( mouiSe- ieorel,00éi

ionné i t.tôts li'. o st. tdoomvis Iyaivoep,00(0 le.; M. Vol ,

'' Cetneefonitror, Présidovt lIts Pi6010vIt

lied lino f dePrnd11eoi000rt,1,000fO,,Pielolt-SiT' Peodon, bOb; 0-1°ollie' dot dB 15 300100e PetOn-01 ±541 10,

voliroleeltpiiemlledis leulel dl,blbrtiiSO (r. M (p rtiueiodeê 101000 101 'Ontul dieu Colon peBOédiOotSe

Mile foroedt 50 10,1 )511e Sleorrsotr sol; b,l*O.Itd,40Ionraille Vefete$5eev, 500 1r, i dolepif-eoodee$ldvesreoufi10Dee-ebvveoavo 'l'olaf B000rel 1.211.171M(oie, 5, roi Pherode, Il tILt uerp,lv. ecs ds Pnailns 10 1om .SVII oteUlS o°s(1RtCtlIIthJlibSlf

UI - Mln Ltlluts SINIITCEF

eoioepooPeeevop1oSrnloo dre Sorovoro, 1100 le.; Cholood, do broc e In±iiinni dr Benovnie s de555.1 555 èrsesso et M arr tteyrvond. 10 relIse de Cltàtes000si lvii tatoul-000 li Ilrnioyi, de l'Inot OuI tOOi' ire qu'il versot dism'ove h rooeeolireste et Mn e Geoeirpe, 0301e, Bote. 000 oloretele de Midi, Ove redoOlOOa1et, nl,01 de ou bec, 100 In; Itivo,, do 02 p- cmi ave Ire pria 001nrlle-soeur0 de eenlrtrooee d'agrovultu nient rolbotoiet 0e tel inel1001t teIn, 100 In.; Mile Pateeil, e,isi5.oi0e qniroenl Oc lB IrseOs te, dlpoer.de bolnriqrie, 000 le.; 51. LOflim,,é,

- n cr0 lIerbeolvorbol d'setleuteubr in eenrootr, Les eorrmo OS FoiIcI -Il 1f o Lista 4db 100001111e roBe M. leoor000treoO 10iol6 rdf. Ao ia1i ttrT0 M. L'blnelotOn diCeOlenr do tydt'

l0ttO'rfb loimniil de lB Cité Ouvrit reliSes eerodneilnrloi:5 5 Tvitlo1l. III tu.

1_0M la rtlon de ChtbBgnita, è t)hiIrtoe.Listes pnlerlelrotoot. o 1.110.005 lis I lolsbéeèl,

CONOEII. DE PlSCBbSiOMitlESTotal à on joue.,.. 1,100.105 00 DE TOLILOUSE

Les CovIrlil001 oIs Pt'td'ttoeeieCaSI' LISTE de II Ville de TonlOote. indopondllbe'

515d0100o5 011110 50 hI hi htO5

00 d

lii I°

loal0I C,iEOri1' Soviilo e Le Lnqnellcoter Ouf - (0000es teuFioistere Inr' - S010e troiliteli à ItoséolI o 30 somme glbuIr de dsnx mille trieRA,1tl r°I eoit0 15 Sf06 oie erecetlrrel ils tertio ioeti-(1000101 do T.O.E.C. 0 485 50. J loti.SCiPlino cc ne pdr le SpbrdIolI des

5eléns fa MIdI, Id troireil de meus lessiIiem000oO, t lé des lIvret dupor''°oeo0s lovndf t (.7111 b'. o

e Le5 orelrul les Oiiglooiieeld In lloate-Gsronoe 71, col lohoil.

. Poels 11h00 deeseooerll 11.010

t:- OyodiroI noeIlttèoé,es nexnirsse, ptp ein5

lot-t IMeltôt Celée ettlO O 160

000riert I'lliooimee'. 51 te.rires et 000'ro'iees dos tohuet,

000nr001ILCtllr.- le. O des T.C.II.T. r 201 le.

voioiVPeoleo?iOrO000ioSerente edebIthhnlle.n5. e

le.

'eiilol lttlbi M. iololitte 110151011

lIe sideol In ts000no'I le Pmnd'Beeft-oors meorobo ils Il Çohtmivsioo rsé-.000tine dot tiroOild OeSelri0o0lol dOi(0ooet ISIS tioiololi, n oèPoi pri e0e.tellenmrtb rI s ri lItIn, In audiilnt 6$nille bOboS.

CHARMANTES MIDINETTES- qel rid.tis4ito

Pon,erv-i li oI,,tts 1, roO,e beau ssj,Ooe,LI Be.eOOs disse, eso Itt, 50,. l,d,r.Elle 5,0 Oses ltoe,tOsv qi'll '0550 15(010.Iii., 00ols, ISIS 100555, 4*, t,,i.o. Streteoti.

Concours Régiona' Aguicote

de 'loulouseZOo 01 un 40 avril

(las qoivasiae t peies once ipe-du L00000rs £00510-

Loi otgiiouie Ui 000,5,0055 nul 505-

005upn, si Ores 51 dola, tOut 15 Coursl.iS,ion, dicos eaataeds, qns es mutiltepatét se plut osspeetntoivs Siemei5 eooçotsei et htr000000a, 000eoitue-eu nov dvi pins belles an dm pluseooisplttee eopneetione du poogria mu

La 00mb5 do, suiooauolelIde 50e la Prsie,s dre Poltres,00000000dm 15e boorno, les 000ni letpoveies,00, impnesaoss sé1)e d tele'nittee où toute les rvevs Ileotesdses nos pape srroot r'evrfeent.ées,et dot aen0005 de rgnieoltooeo. d'api.moitons oit de produit, d'ongles md-mule et 000IOvle,

PIqe de loto anioqoux sost issoeitocoi Coovooee-P,opooitioin,

L500viOéeihposepssscsnrsee tinMo.i,os do l'Agebealtuve, e, ose Ocra.ne. à Touloni,.

SWIIES s SI'CILS.oSe s. Tors 155embOIt, misS enrorlur f, crie airais

ÇA ET LAEeteipoemeet lerterntottre

Cr01 ev 000r roevrIradi 10 10 h. 101.qu'ours lino, no tht,lloe do Copilotela ron00000iealonn de M. Be'sebroiveio0inr0odieee100m oie 1'Ouole Vs_110500, 100010e broChe de Tnri,ve,toor l'meorigeeioeol 100looiqne. II poolventres ne lobs 0000 1110e (011f psmIn 000e'seveéleeiol d'Fbtt de breton.onnment lonhnbnnv 1100v Irs eroinurotlioe,lee peofe(0sioo000ellns qui 60eos une lIée tnon1000vlo de le nie etds laobuvuld de oe, dIti'l'sternrotstillée.

A celte s00000. qaf cet esloilvo,1001 iOeili, torool jour'tivooni?moemrotles Or-trois siilvom rIes t000les do 500e,trrolrvs, les r0010res, In, put-cet, etIvoire loi prrnonoet pool o'lot00en-sent aon etr000t de l'oonogeortonerrl.

ion Elutlitter000loi INGLEEIO1IT,,llr000tbn, eompertrv( ooloellrrnnnion sooeebs sono pro000ilouL C'est laloreoro'e irrOfo 10101e 't le trente dis.tivrl'oo de Inna cr01100 oie loouleeedes tisoon en mIme lnmov que duteoorvenolnvie al vomopolruso bld-geint en 01100m.

blrro(tm,nevvolensrllvormnit doeo,r-te, boioolrbor-1 noros nt-00eOCCt le, ploieloelsu Ivrililé, de poirmevi.

ISIS. TROVFST!PiPO OMIS IISOUINI lUT

5,0 Ole olronln onrenoli I e-oeil àlb hvi 0m on orîll dci 5100(00e,dtn, ion notons In Geen) 110101. omet-loi. 6000(14 1mo ilornin Colovionb u 054evet 0000n rlontn 0000 des plus lori?.7001m On lu 00100v.

1-ne d000n g'er rie, nopas e°Iutss(jqslv sooltrutoles 1,000 000te,ie' Iltooihe obole feu ostseoomstt 45f

nOces ri doive ruvr10toa ieepeerahle.-'O- OtolOttil os e ollobeib000é sus anvis.

liroln tin tort Inline eodl?icets sis vs.

du mollo I tomstrr_vit In dIIl) doc IolomOrinole. desottolreinô dos Clulouin, dru In000cte.drs Meetieii001otlo. rbs.., ilesest sulOro 000010000 do MM. b 600énal Vin.cool. sotnmorootssi( s f eetqoo 0x00.,rl,ioo', mui5rnhe 00, 57e Cotr'pt. p01.uidevl ; 10 p'eo-etl l,neeirn de lIn-o-cotre-4m Cole,eiste, repritrvlont leoblat ereo,reodooi no dort 11 tIr7oorpr d'etevrro ; 0000es 11'00ronstl-

pue, et ueooer, 50 101 Penon rrPenohib

loovehe000loo au, eolooie, ri pooeaotdonror 010v dois nootoeio(S.

00 55 pelsetf .iietoesiveeseril 1tee ris d'oCtroI III (teorges lien

eS 1,61 dc ,eesed55eto chlaieof O10

lois d'Onttnt o 11, Ropmund 11000 rololo de nord I100eorit',

ter' prit d'hosoterorr t Mvii', M, et5511es Sbires crs,epn de n elloeeol0u,

tee prie, haie lieo Lreptt eo ciii.,error ; le pora MIle (lumt(lvet on 50-hrnf*eSOI 30 pmiti Sbreee Eut-111e, noMore I die prise 04mo h),onmool enrlrnornbfol 5e pneu o usoro le Lanroee151511e GvtB 00 lmuoraieinve ; Su pOISOStnbe SoMio)Seo ma Ibrteroine O Inpere 01mo 00100,,, en srr,mul&.

(let eto eert000et000 o Mitre Is Mi'00000e 10lorO ni do 5101mO Mmv et 15,BoegO de 0000eIphtb, se 400100000Olsienil .oibliveliqoonl Mee, dl MIles060tOi, 1) urIhèdi. Oopnlud, 8100110Aolyr, ri l,notd(co ' 100000, pIcoloitt boviecae tatou; 'Iseo0 Booet'dlttlàettleesn, eu Itrdftite; de Vill00000', OnIoulais oo'i,br; Couirion eu tlittde; SI.L000p, en Tdvitieene. CII.., 06 80

and n mboe I oileen000l00000vduol les oerlosntlllét te rOSe 5001por0000uma mollet toi tirs 0010015-

ilrbet t)telmhhimbes, dIa Algirienoreltoto 3401 dO (ltooOOe, oInt IloloalOsroborles au corps do ht-anse et IrasfrrOtinOl ee-ofloee dO io010mo 0001-Joltlmoorot noIheoli001n, 01v..,

Lot imneoièeet subi pat 60f nsoeoee000e0000t bons e'rOorrPeoeeO Iraslet Irloeslie rroral'ilOOIlrt cl In ju.r0 n III toIt eooibtreoeel.

.qpele lu ditbribOlIOO dol loem.5508es la vmoIr dOt tobof-tor'priteo500000sllt000l do nortbmeot 101e dvtotlèoO déneès pon Ire rosoeterlinlslb 15 trille0 ICI tootIl0001t. lu p00556régloetle et poeir'eObOs t otlu 000InOedée os OOppléhonot d1side et derentoereot.

e0 osotlOtIi001 cotIl-lon t pmomen° Il PIllé dIt datorroetOeltreloobu pli' l'emolsnn SnollS,hte ded000 joie évlsssnhhêe,

,lonolo'tov bomiil mur 80v s fessé cf.qIlIlteol Icol dol lerrtopellns laipIons lnletorei et on O'rel robin IfSJtersbes 00 pou 500110, voIla 10 coeurisbn, d'aluné potet 00m fumeller loirelIt, bort v nrloeol Ide rlisenleot00 1001e sort mt0000eeors noie 1m eS.OevIna i000dttlmns ont tons tpmna.'nés,

llrort Ioienulnrroe r, evrtoplv.rsoedo00 bnle'lntob Soi ldlOItItIoone 51 case000eroormeols eu hirévodee( de 00SuoiIté, SI, tome 000001 nI o roi orgsoisabpotie Mité, de tOog rm, 'b'sed r

illhlvos, Berdèe, eeevvdl pIe 501,5.Or, o, 1000cr, Leneognne, Eoealono oi,I000i.11Os, PnillurIr, Drnrllt, EnFoer Ce'drell, 51 LouaI,

Nooli, Ditonombne 13 avril, vs.ermhlro, ginéi-ale os nrigl, 5, pluaeWtlsut t le Isisurs poi0001es

LE MIl)b SOCIAL!81E

DANS LA RUE CURS & COFEHENCESl'Avemoube gleréralo eaatat010e qOO

QUI L'A TROUVE llloTolOE POPULAIRE DE TOIJLOOJSIo loura lie-o li dimanolne 1100 o oou-

Dons l'opebt midi du 04 mors dee- Preersomoi du con,, eut.Iii mu000ipsl, 000cohlel n Toolooen, en, bIo Edo n-db O troncs ets mi000t as tu0 surs lieu auisnd'he0 omdovdo. à eat, deos la colle do I'olneiouos ra.boeson esttes.l dos Postes, Mmv ho 20 hiore,. t l'uovr000e Fmnlid As, m'enose. eneLekeeel.l.

Psrolsih,eeelssboio.sasas Sluoliu, domoueoot9 ou Clé'ioeuco-nanuoe, t 000,i005 na vus na-nais pies o ma puionet 000 0e,

00000iro eu oe doue ou_cor À. 005 1..Aicrous dvumnnotoua sis teouusiils

a'apsat 5504 Isole S ne jeoc au lot,'resu des tpssm, Mens Matinporté plutsie contooi0000nn petsenl. tloe ooq001s 001 nooeu-tv ou les

ABSENCE MISE A 0110100EMieorniti moto, aies e h. 00, 15e.,

Ciao t ouyum, on at,, t èaeiste, pou-ce v.squirol, doinooiioo, rus dot t' tle-ace,, 00, n IonIsé soc in tublr do lu000uiv,, prodaeit qe'elle te e000aità en obombre soloOt à 10601e tapé-

sou Cou t main 000l000ot lu eus . pse Coiu,lnodboounoeo de aIS Ie000os eu tillota doboouqoe.

Quelques tuot001s après, evpleosetsoosnn,eblieotteeodooau toteltedos linoes qu'rlio 50pioiin vA lorsqn'ella a su lutnio de vo0000io, sllvO ooasl.s.00 qu'il avait d'iaporn.

50m pinoaoo, 00m eanoite est an'neeoe uo ±OtOcOOltiuOo,. du lue aeprl.

LE MoOJtOUE ILEVIENT CHEF.Mercredi oostiv, ocre 1f heures,

Muios Bttlulds Vergé, go aat, doote.ranI 00e Baylsr Ou, quo Iaimoimurrbe sur la pleol da Copitois, sOle ddponollrr de con poeteInilI'foeeusnt nos somme dt 4 lv. et 050i0000es remr0100r 00 o0005t.

Sue pisiule, 00e 50 uote 051 ou-nerle au 000iunmaois du 1er toeva.dionotfitot

dl CuOOtoes, no lereosise (retet, ter

Ceets Zioosutiirs O Iluin,n IV os lesC,or,,d0s. 0000000,0 r Ceoeosnoioiopls. As-no-te IIooeal.mo Le vuinrs ds Poioistemorere do TomIons, o Merr de 0i.Ovo IV

o-cors .o.rdo'our O Leoie XV Iniisslr Oo,,eplis, d5 CsI,,. dieomsOOeo'0m ooiOrISli rMmlOolrv omeos O',,,soi', Duo ds Fi,, (o-os,; CmO'es lI? Ms000esOerivo. pomniur.

ArroserA Inhumé-riteLe Jao.vsar da Colouohiois s. ose

P'orrrs Cauio,.L,oi,ee mm000iio,

Le F,,,io. es 1a Murs de liioses&Soi-

AU DOMINOlier Msderse

Rseedes.nuet, de. les. nhios

La ve sociaisteCROUPE DOS TROl8-CUS

01m,r, e,eoo,o,l s le iendoedl IlEva.0,s.,se I. ..arlieor. do sorire

Ls.,eréielr.,DOatre

La ve syndicaleLots SIIInETE 001115E

La ,out'ltrigndien SubIS vi l'uauelCoorloge. de lu eboerOe, 001 000dOot 000r000005e000 ooal0000rs an s000tiE

L.., P,o(0e, la ana rou(0op5;18... E000aamd 10 aoa, ga;oohlor ,o Croneiso° losoeeoeodionl duo Sso'oeued

P.... Btouel, 1f vus, etsmcoonoj 1000 pablirorve000nddo de la enllsIpols o Tnu100nin. vis I uulooeo COITES 21, rom de Bemoisomt

Apple mnqodho de M. I erhrd do lu ____ Cuo,roeere mo,rioouimrendrn00isq 5n000e00055 OtOéobcoig

GRAND MEETINGo°u5 t Aa Cuoiuuodvo Emplxyoe al t000cnoon La Vie Sportwe

me dr- 500000e, et 10000e en libaretl dot Spodaotta Loofodviéepronotobre. 10ERVICE8 PLSLIC8

Le n0000nd bi., PaoO, Soute. P000lme 1RAMWAV4ou b)hioorolo, dibouO s 10 mui,ot GAZ - ELECTSSICITSId'ureét de 001er 0011,. eutrort dot su.toelsulion le Pepnioiee, oStO 00000bovn Le CesatIl Ioioeio'ndoml 0000 eononsde puetioipulion à ne mdme col, t oeqivlve vu muoee omgeor.d sire-

D'eulr, peet, tee vvnomls I,,,, pu. Cul q rI ouru 1,00 1,for et P.. ltoouI, vos mr(mnsnul000u mmmdi 10 dccii 1000 u Ii 10,00ev

GUIDON 8AINT-CY0I101Ildoearls G000-c, rme1000v dos

donner O'qoo,reL'nor000co demOtielperuoeeui

vant do prol oolle do Veemiee SoiDuolcp t 1,0001111 leoeeas0000 situe les nsoloor,o opnnoodo;00001m lot 000iltne repunol000et bi'ap-vol dot ne nuiootoors

O oolueonoeeouhsooldoanolnirrodl,eno, e(unndenolevpervibre lent orounolirduliomonior Pu

sslln du C000sne0050bme. O' ,:M. Iamhuorlrpim André, pilote eo;t. drots la puro1e leu eoraneede, otrer, itrmenrtnl mer des Pyrèede,, 03.

A, RICHARD, oyndiovb llectsiabtd,MOISIT SOUCIER eaoeéouiot géodvs,l do Csmild Iv.

Id m-00 es I heurt II t ey du si tt0 vo se ont orS 110010m I IlIlo Dette S (I I'Zeuo. 09 000, dom,,ietvt rue Se-00v- S. PONDUES, sterlbvie, proérti rOc mosan ddorolants et uun roon idreviodes. en II ,nnoohovmle d000l le nom 0000sedol. 5e.I tlleoosl suéiloe,ovl note l'Ele'on des Spodiooie novlédrr- tlosdooeoue des eoneereeleognv. lohappo 050-0001 boy geasde pues de115 brrrleveo'iI oie le iiboiee, eo 'soi le vOs dc (s Slouno bleeonav. toet dols l000ile Pol'Ior mIe 131000. oorrcn,o. purinoif d'amiloosoa pic bil0000Pool de le Coboretrsilo.- bol d 1 5'' noS soi son, do Club, 0, 00000e do leoin esmoenoirs

lie 001 PIe , t ot' N I d I Tri P àtu'dCteeaioi , rt1 t- I m do

1,011ev r,n'dlsrles.' ge sI permes ieolr,eoe. o ooiluen odlboielie et veodoils dut' 00000 , le rosée dot liouavlsi qoes lot

Iv corps eu diSSout s 010 lrnvr' peosusorom, qu'un point oie dd000't not 00m lieu bmooé. .0 poeblre eonmntu 0e r-.,orobrpool4 à ,O, domiCile k l'uids d'e ' f 0.14 h. 00. 0v éuos le o-tt,0000rboeirie, o,ressrprL'n dvOe ove 05m uollr e,rIono'os leu. Pompe, 1°ooahiteens, mtruye0j soinTe eebdotdvtioloe, ois ,nouol 5000us beo -

AOOtUtNTRetegogés 'osqa'o no iooin r

le etrdrno5ol8oieL ilL5 I orlur'sot sors modo, rouF votrotltguliov aoouériehlr elablio Ive Ronnm.rrl b'o cpi Puni Don-o, Sus' le nOie iruqrqoir de iv o.e'roou,ao.Bapoeti, lauelotioobole 01e le0000sou dea 50e-, les rompeoiblon 0000 lvi 011005. bOs-Morov, Lrtoutu1000n ton MIles slso-vents ri llsnte'rmi Esoennunonduoba pIe le rlrrsullroe Lu.00uo. aéoonnilos 'in la oie pur l'tloeorolieou eus, Lahille, lInO, bbnboou, obila, ses dàtsee plrsmssaers es Seoitro lorispoe Aube. deoloourrul 500 booet000rg iis.tb do ,,l.s l'Sont erusvdicuoiooe, Esonve J. Lovuno A, Alctdiv. Per. cooatee,t ta nue d'ss doobéc 'su.5e±e,erboy, sa 505.10ev de 51, JaillI, ou emeoine pIn, vtoupnellea 10 e , Wua boàodol A., 'Vtv OJtsdel I pot. Eoe peBle siettsss fr0 .005,1,0.stilvmeue,ervr do bmu,uvoets, loues. n voeu ises.o '05005 es.l,nbrs .5, hase. dbeh. Vssoésvmbel A.. toron dom (1.5.IT0 liagu de lSuntutobs,e elsot(s s lu

ISer,seso oo,suse de 5rerslmse '10vde 10511 ; rose tut oiprrOneao,meiobaloptessier.

La foe't. rembroetlro toreme rolol.eieeoemrsr.s5 reoni.00 oses 0mo, s000op_isesetd de Id-mers et de nisestst', 0101Oeil livneteroo, à nec seebtrussrt la'-vivre qui es eusinot rogne I., oldoes verre, 0055 pes'nrt,t d'aisIselo'oe,me.reor'l le jenurse tOtems f-' 1001e, lu.eso doon t, noir oie ii. le Mmii, do5551e Slenetceari, En goisie de brr Un-015, le', elosels SOlsrOn Or, polIluesme. rIe, oselpe ,sir,uoi, don tnool.Ire. es In goenbenu loIlma rises# pueIres nonoses 5008cr,. ici if lesdroileonreoeem 1051 te restorrls, sons 0 Or-eoegeee ils sert ternIr. 5551m (0400001manus deSSous emstoste am.o 10508e,ir,s stmeelvgnme Uogsrsoe. Iv, prlilolmtunovOisme. n5 101 luogisomoot up_plei001ie, In srolOmorutt à hait sonofr0 moleals 0C 00000 IlioSOeu050 cl100', rIO tes OlIves.

T.0 1000mO iOio brem'roioi puise tossé, tin orlomrevotulioa r tI.000ir00000Itobo Is't (1epinv10 ml o0u1 "se50e T'

0,rs°1ei

ohy 1020)1 I 510 dl00

ItuIbolb ml'O,u b 1ln'vot solo 1.

f, s do. reloinoro soi oalteoos. 00,05. NOlié Evoàae, prbnideut so. eulpiib Iran lu 00000quO mnoiveiooln.VSOCIVAILI,plf A 10rt

ou db h 10 l I bit SSmov ,tee I B lino E ovo Cil o. lb' III t t-lb I

ttloismov O à Miun Tlovuoi roos 101m, Osdue in 00e 1 Isburro,o Avourtnvee labo ééotérul o Rotas Pool, eecnitno. aber des peoomit en ,olo0100l 001moM, n 0000,eea dv 'soi 010,01 M. Self. , 0e adb000l o Aiodrt Losils, treeonior. Ira diorre tsoméron du progreeme

r nid, es, des PmrO,.Vsru, 4o5.orce de car- ' r0 00 5'.osomigsia, le Oagby o plonloame ars 00011700es m000000u

doovior. no em do soosea so.O umn4,ns rOr 0es 5,5 1em . ,je

' 1,01, Aorrseuq Joua I tlrstioa tan- deaoneépn000ies.5500m Oum I lIes lesml 0, 4,3 A.5 OObl

,o ni1g o lu B m SP 't IVI

Le I l.1mpt5uI

Ile vvs,d, B00000g uruorale oc nom u . ' tomeoso Ioe'olm,rror de pbeen rI dr

010001.tlTAT.CIVIL. Noinun000n b 000-

rIO Lornir Laeort, rue doles 0000_çnio; Eupône 000ev EssIeu, noe doSoperrnaleèonO ; Suouvooe Morie -Lonios vurrua, mur dv bmoprrboeoo.mou t Aan, Merie Rspmondv EsbrI-

°110 0000 0e dm JA IPIRTEMEffl p 0,001t'p

lots " ASSOCIATION 10ES ANCIENS rua 0000bolla;MorlSo Au oioultn

Dodre de ions o Comme. seedu dv vet' COMS0ÇI'ILINTS NON PENSIONNES JvIimi(v Ioosuo, soevue de la 0500.en', Dtd,lre, leomomn000ee t mrredrs. 11E TDUI.OIJSR ET teE 10101e o Merle Slt0000eoils Roi'.

COSTIIS M I emLois ISAIJ'l'E OAEO25°,C 0e-Isp h

S d en I r, Tore lot ACO6.P °l

il v0tt.ul f tI .1or 01

e C 10- d h eieé ' L00000 Oltrie Cemile Ded000,

LAVIL IES SOCIÉTE 01

12 20 Sr,vé ,nor0Atd1Rpm0dSlres

-L 1105' Toc 0000 ' 01000±. 000ruvl Tlieomul I Mur,,.dssomrueinot de-broie mIre .dtsaieas ,°°°°5 ' ' ' s'teorovs e,onnemoe t-rio, s on,, roc

10 d lI. I o ovo roi ev iim h 13 1 1838 L III Td E?goy

g1

MonoS5 r Cinhrlrt ,leoo Vo-100 s_5,1001, dleeteooino, rue de 800pombn.gourvo cl Augootiru Tonohoel. mi.eagico. b Lneôos.

de L'000nn, o pvn en' olr000rpo pur "°' "°" --------Ilvsoégssioe, ?Iuioue Vulvite. Ilauso50,110 do Iv eoeoboeo de eu illi'mvOov. f-va, lv 000orle l'uOOreSOd)oel C , 000rttr, 000ragpi Ofeidls, Sovlsso-,lavt0000Solr easilmrilo pne le elitof- lOOvOtbec, 500f Ioii'n 010 Spuihoat lb55r00eeot. Teenide ttmrhnu, 00.0 estIror Ri000000 En000l, 30 oct. do. Sooeiotn luuin'000s lu Puqooeolie ; lt'soinuln Lboriosoe,moonreent este 107.5cm, 51, un eeroi. (0000eao, sem050ainu do. Pyod,rol de Logeaeeeie0 Ilosselt. (Slessorsi Puas-O edt h'Plnroomul de, 111101mo, eS eo. bit, Ceoeesle, Ilesenod, lIbres, Cteboe.Revis n000eums. S r'os ol'A,vIvrIibs. C000c, moodbalvo tin Spodivat ilote me. Lentes. Derr)eon, Blodngnnre1

010e sollr do ohon, la t-sr,oioeumlbo gm000enpe. Clleili0i Adeen 500'., ni.,..ea05uSe psy M. t,um000pun eye,t A, Eirmuno, ema,Otodre rIo Pmudoaot leinlraire o 'e,leasn. Brui, lioe,l'ait ave csnn000rrinle, qirvi 000'omrnoir de l'Eletomidieu, onde, Mo,vsbmuoo, Crmeel,aeieo. Ive-srnr sIs, rlor-eel o 1010 b or enmioot e base, torOns va 15es la mrtevoho.on tteli000oeeut dmvonl In phst-. '' ri. coco lI heo,em,.moole 0000mooL EÔIm130C DU 'I'IOAVrSIL Iole0000000l Lise0 Ovo enoo,ie (voile) o1-m nlsrn°eI son veo élu blusse' :11 Ou iteioaodo r -, oLeloa Jolie,, Colomue Apitlïrle, Cen'y n Ogoimmool eu oneos 000r'dIOt OOnr000,00 .iUerl (0000e n,em,Our,O neilot Ltspcsb, Voutoacu Drop es,de psresoeer. smr'nolmorsi itleenn0000 000eldveo 000mo S°sosooeolv Tiorool, Sf0015 .1.10e,DOolbo mnldritlo Foot- lof 40es ,,t 1000es et dae0000,e0001 0,001,0e ev DoIboo Gonooubio, l'orouodom Allemit,oiuloniohilooi. ohonlluooi oonOoeu. etc memoisohotonoce 3050050 (tUInies. Caoololle Slororl,

M.'.i'000LT 10AMEIOFaIt nl lldi 'sZ00oee tdootsrtrvi tous 01e I vios (tyvIssIe EmoloouarIt. Tno'tr 10 eus lvervbmer, deooem. Iooaota do 000avuboe leu, Aoiohr sso.eoibro

rumb ooioamlo,e BI_iv eirn 010101 fr10 pane mises. PROVIDb.°OIiO, 5POIOTIVEtSblorSeI d'erleeee 'ole M. C0000lor, S odocol dos b,0000uer,. RlunOoe 55- 'EOIlloOOOOPsl)IP.Jogo d'isslr,elloe b Tunbooee s ltd ± dl obi bonI t 10h. 30. lobeIi'obl8 poc 'Or 1er-1-lcd 010 le 10lbeoIS, tuaone ois nlssome du 27-i-318, b PI.

losu dl lOI de f.r0r O Mt Eocu,lh,o, Msi 0,ndioei des oheooeolrme lE. G 'o-1. an 5000eoo" oiSgo, 0000 0es Sprre'lu,mu F001,0 si Feilhsde Blues binrer. le, 0000r,o do, mortier, ,evdosoée , 000 l000lvn.orrl Ibm In Soer. Disposi005 à

- ,vor,dO 02 anvil. à 10h. 30. Eou,ee du es' ' d(0'B(0pii'1io il n sol000.Dsensues déoàio,, O r,00dee. Lv

e,dsPonsneumrt,odestse,eds.Cheerltan, 0000ddfrd, IModil, - tecrnm

CONSA3IJBS DE O1EDACTEURA LA F0.EFEC'I'LIRE me élrrllbelos. Le buvenu f-e l'A, I.vstrlhe ' Bvuucbiainl o

Suloil-MO-bot udrs'eiiblo. i e0O0Obio mnfOemu toue Ils soreel000 dard, O O h, 30 o

Cestillou de Soiti-lillol. O,Iloo u000,00d. Ponv,1 Aud,é o qln 1 eat000klée gIslenhe nonoellm, Slarlory I Aoo,und I (iu,ricviO ; Sepa.

1o'll Is ID,J., M CC M b a h1

I d md tibl 0 I E vi 14 Sou S t 'il 1 1 10 h

rleI.bn,r MM. Cm.si100i Monroe., Delta, dl, sac dol 10011010. S ers récolons, ,uronl coronI sou-lest r MIle PareleSo Msreue000eO M. Cavai, F'sulertimble soirs Mini,m,rs. - Lv tOn le rvoirsdioabm000 deo Alt-0,0'. Ale'sot Aoeoereo Mils Eesé,s Resés M. t Cuoeeil d'udnnieieleuvieo vals, les porlee huent Ioaetevste I Adtnesints,lu-ole Pesés bIlles 111010 Ielrette.plsorlo, sooiétsieos qo000, peervvsseo,norrosse 11mev.. Moirealcos 20550es o 51M, lins in dimevotie 50 do 10 00r0u-m hTinhul Fevvoo,,. °dllo000 Bons,. V,d,rl- midé an siose, vi, nmseoio de Ctioi MURETh,o loto,.., Tonn d:olvsl ls,r 1,o,n mes mali bl-Eooh, AOOICqI.E 0l'ORTIVE IIIUII0TAI.doilhso lss,» Paomaln 000e la dooio4eods de lu Xli. -- 1110510v 00 ssïr ,nrsdredb à

Oeil r lesoidl, s 7 5. nI......... 0m100I,ot et 000eoiger' 10 I,. II. tos,stioime.

I LI I'oolreso,inio. Eduuioadeedi à o le. e0, n, sites, Iroos000e

ITerbuai. I'réseoes iadisiomvsuhl,.'r- lrerrnrmrs de I.isaessstsre 'r. I Fédénsteiun e0 .lseori,oeiou des rIe'

4, lisse lrssubllssl, C - ES!, lUe ibSisisoS rrurodfds. -' Let, membres ets

cOSlRnt'oeltS $1111155 AIREI

N

lA s IIT.CA U DE RIS

I'RIIIUNAL CuJBltlni,o-5ONNLL.lAudiruar do lii esrtll.

frein ollairre 5055 lolmOl', 0e Connedo colle oo.dieuov r

l'unr trompmrie 1er- lv q000nolé fusBais ails re toole. 1m 40cr AstuionFilS, àgé de 48 oes, tu001ogen, à

La s00000eiploo(0 0 10000,- don y I

Sriul.I000boo. rob 000dui000 0 10 Ontoi000rse0000000me 0000vbv etstencluse opelot le roonion doeeior délai,

Il n été dêoidi qte le EuuqiosO ss.noot biro lv tlimus±mho lev i000s. Ceos

00000f pentu

-

,deioov'oiiuu dec dboodobroo de )'ou- '°.l,f"000mvjs Emil D......ngf Osfooerbevniélldeeornsnemoitoelnl._ 25 IOn, ,alesniolr(0,àStiot-tltte,bmos,Vorteooeot eoiui,eO,ve avril doo,ou rtn,ndi'dssaootl,-E'néP...,évi'dsohs eu 000u0000t do en 1m. On à il bIO 21 sot, tbeoeeOarirs, deteetraal à Vo.do esniue ou .ibgs, refO do Tbrédbro belles, poiors,uisqe 00cr e,00r I St.lenSee,all, rinre de Coput010. 000dene, 5. 23 mues deroiber, 1, 0m'

COamnlo dey Miuiu Anj000. somblr 01 drom,ceeeool000nrmroeoed'hoirendeeibi O se h. 45, oPau(ue. pooll dua 100psel joli lIns bleus,a.Qnoutenne impntetnntai oo000sooaet la er,osuriemméet Pesvçeisr Tatou I0001m

OO ii h. 10, e0pélibioo, nom hahebvi Lususboo vi elargunroto Do.

liège, 1, nemuus des Mioimsee, pop o 2, dsvobm 00eIre Mmoopers Tnolorieuiss, T005

lot membeva pnmtiaipast san diver.ses ronces ininisbcviolln.e o-o Cédé.ralos,sost avosét un ltmisnso oe pour I'Itope de Ldgnroio tenuleu le asmedi 10 avril à 00 b. 15, ni,

010g,, volé DrOp,dIts ,Srrdton des Froeopateo, de

l'Arer,or. - Les ,uaoubrrs noalle vIretraités 000st 1usd5 10 nec moi SYOODICVI D'INIIIA'IIIVE,00100mom que l'nonumbloo 4,000005 soIr 000drrfi II unril, à 8 hmueov,sOotttaOe,nura lieu dimaaeho bu oc In ,ulir dr ha moine, uuseaobléoveril rmsmunl à lu bgavse, ,alIe do glnlootr do nyndictl il'Oiotiouue docodé Monos, arusdse du Copdeols. Soiel-Cuodros et da Comm0000s.

Oduido, O'oint.e'.,oiriee,. - C, env0 Be00000rlhomeut do, berreo ; roui.odoovios gdvéeoho de Ir», Irs ,404. mu,,ecohoan tom oniportuomme- -

luivre h 9 h, 10, eil0go do aloi, t,r-vanne de la PntOo.d'Oie. Dvroièuesiost0000ioros Crue lu au0000 dis Ieo,.nos Espoies de dimnoohe pnoobuime,Esinlue dos lioeeoso; tdnninoi000.

Poabeou,. Fébe'Clnt. Ce mie htl heure,, sevrmbhée glnéeolm Ciao,,pi3O00t do ,ilcsm tu &nbr engage.mente poor le eire000 dri 3,0e r, 0e.

nies et f,, oirrn,rt iotruit, BrooriesOehiosocos ;,ulnnieuiosdeoonrsnon

-. Le norooseb brou 00100, 050 de44 ans, rstboole,sr. ses, dumirile lInostrelveto d'avoir 050 sraeoéeeesésrsm001i 00 neoset vsshropnm000ioro,sil'idru lOto, vol oondumvt b 48 loeueee

f'i,resse e-ossilrsbo et pobdi,torm, 0,01roodumous o F.., à tOI tee,,es do'enroule 1 11.... 50 Cm-uses d'ameo'Ie,trios troue scan sers,e pour In ilolil,rbiSfnueOsd'ome,fepetniomonsr,

HARMONIE. Lors mseir000seovepoilu nI' mn 005 noargo,rm d'esn'nermt, le u'0lOéilinn gdelr,inernobmvov.frrdi.

t.UI15 0 55

18011X15061 SOSIE1O.0 ABTISTI-010E ID I'ROP'tT LrE0 1100100ES1)11 1011)1. - Cmmmm It 00000 5mO,fois, Sole evmble .0U 05180m 000,100rovOn000s, melgré Iv u'n'000rI Ori000.50m de speel0000e, gel 5000 00,10,0100000; puobvol moi lie vol pu se.font-eec; nvor0000n Olé oblrgl denetr,trr do n000do, nI On 10011 edool,o Bis roprOlO pIvreol o s'ont Ir000 é3otIiOIO ove fo,t de ploe.

S O lI. 38 iu mne,goe monboipaloootomer eom premier me00000 melOo I0000 boie, vin oppl000i, m00000 1000.pur Ir nno'rou or lève pI 10 nbireuo olelOruIo do (l507000 ourle 00000le don05001 000doOdov, almold 00,0 jols.lento, il y u lb deo élimvala cool,.eouln prnor Foemo, mie yollO om'inicot

Eo'ouo pour leI éliont vo Ireromoilrmn. l. 0001 0000000 Ims potilveI lien duos leu eboanle eolne,", de 1031 mm Mrclnrl, or enomormo cml oStr,u-ont, lino polar inlIluir eoeo ouis S10,oebe omigr u esI snpén1000eo.monb001rrl,reldo; 000e en rvb100i upd.ourle h Sllla Peinie, opus pnes&Io onvo-ui lemiu-rnm001 d'aotàtoo. ave 0,0'lion louofailr et qubi bec sore noslvotd'élrguooe 0100e d'unterbbd, mile brou'So on, fIger purtetuome 00 tIlle001001, tael grtoieu.tr 01m-ou 10 rÔle

-

EIOUtIUIEStEOJ0UN005SES DOCIAL.I10TE6 Ii. P.

f O.). - Slévsboo de 1000e hIe 00000'bmos In uui000di 12 s,riI 1030, souesr do perS. dort le terrébmmo, O 7000ren 30 0000005e.

Ovdrr do ions r

modsdeuoavs; Bemito 1mo b1boou,lot- 6 oucil l'Amirnhr, roonouil le' .qdhelovn rI mdhlnross

IDi3Oorseies

Club Oloospin de T000luose, fi t000t ds 000iet di tOudueien de la so,,Omèse nIons ietéresseeee à srsioro oh' 000roive e 1_'Linonoipuir-im de 000'teocri Im molols nol Pst- I à I. gutens.

D0m000ho l000hrie, 14.0.55. ne. Ceuiom,ivr s La tIaPpe rt te.çvtt 1.. SIsp15ets de h'Uaioa Spurbios. Peyaoos n I S000srs,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930_04_11.pdf · ANNEE. N. 11.298 ABONNEMENTS t 22 13,8 0 5004 43 Ir.:

g9econe!int;,

I.*

\,

N0vARconne jnrin 91

Cliniçue du

sue j 150

Docteur BOBO

Consultations Mas le» ie.°isis dumfelle d lau

Aucun enfant ne peut être em-ployé, n1 être admis dans les à.,blisseanems industriels et commer-ciaux et leurs dépendances, de quel-que nature qu'ils soient, publics ouPrives, talques ou religieux, mêmeS'ils ont un caractère d'enseigne.ment professionnel ou de bientai.mince, avant Cage de 13 ans recel..

Toutelms cet fige est abaisse à12 ans pour les enfants munis ducertificat d'études Primaires et musid'un certificat d'aptitude physiqaau travail délivre par un médecincharge d'un service publie.

Cette règle a été édictée pax la 'cldu S novembre 1892. Mais pendantlongtemps elle ne s'est appliquéeque dans l'industrie et tee établis-sements commerciaux n'y étaient pasassujettis.

Il y avait la une grave lacune dela réglementation du trayait Ellee nié heureusement comblée par uneloi en date du 30 juin 1928.

Aujourd'hui la règle de l'âged'admission au travail s'appliquedans le commerce aussi bleuiesdans l'industrie et l'un ne constateplus cette situation paradoxale ada trop longtemps existé l un enfantqui n'avait pas l'âge minimum Marerefuse à l'usine, mais te lendemain21 entrait pour traVailler dans leMagasin d'a côté.:Le moyen de contrôle de l'âge de

l'enfant est constitue par un livretqüe le maire de sa résidence esttenu de délivrer gratuitement à. sespère, mère ou tuteur. Le patron lut-mime peut le faire établir dans lasmêmes conditions. Sur ce livret sontportés les nom et prénoms de l'en.

(ma sien que la date et le liensa naissance et son ddmicile

Lorsqu'il s'agit d'un enfant da12 ans, le livret, en plus des roueagnements ci-dessve doit porter .'in.dication de l'existence des deuxcertificats exigés: certificat d'étudesprimaire5 et certifiret d'aptitudePhysique.

L'enfant doit etre p.ourvu de sonlivret jusqu'à Page de 18 ans, S'ilne l'a pas il lui est légalement im-possible de se faire embaucher.

A ce sujet une question a étéposée aux tribunaux le livret est-il propriété absolue de l'enfant et le

der parle

émitcett l'Or:1%el'enfant le quitte dans des condi-tions qui MI paraissent controlsusaux prescriptions du Code du cru-

Les tribunaux ont tranché cettequestion en affirmant le droit for-mel de l'enfant sur son livret etl'obligation pour le patron de le luiremetffe lorsqu'il rompt son contratde travail et quelles que soient lesconditions de cette rupture.

L'équité d'une telt, jurisprudenceest incontestable. Si le patronluge lésé par le jmne homme ou lajeune fille qui cesse de travaillerpour lui, c'est aux tribunaux qu'ildoit 4 'mander justice et il ne luiappartient pas d'appliquermente cette sanction inadmissiblequi consiste à condamner le coupa-ble présumé fi rester sans trayaitfaute du livret qui lui permettraitde s'embaucher ailleurs.

CHAILLE.

Le Gouvernement contre los Retraites

L'OFFENSIVE moins pour le moment, on doive s'enDE M, CHARLES D1JMONTCONTRE LES RETRAITES

Cette ci unir s'.t &sen ,ilya environ un an, et nous l'avions si-gnalée à nos lecteurs, ne leur lais-.. P. ignorer que ce n'était qu'undébut et qu'elle reprendrait arec plusda vigneor u moment que jugeraitle plus opportun le rapporteur et/lésai de la commission des fin...du Sénat.

Il faut croire que ce moment op-portun est venu, car l'attaque de M.Charles Dumont contre I revendi-cations des retraités revêt, à l'heureactuelle, une large ampleur.

Les esearmourees ont débuté parlos artiole do Ludovic Reade. ftd'autres puai _i e. dans un certainnombre de journaux de province quinous ont ébé signalés.

Mais le morceau de résistance étaitpréparé de longue main et M. Char-les Dtunont l'a réservé pour son rap-deM général ms le budget de 1930

Les bonnes feuilles de ce rapport,Mut 'particulièrement celles concer-nant les retraites, -- ont été somma-niquées m temps utile à la presseet celle-ci depuis tt Le Tempsjusqu'au ilév il Economique » de

Billiet, de l'Union des Intérêts,Economiques a commencé .n or-drestration mai ira se répercuta. enprofondeur dans le pays, avre l'es-pair, de la part de ceux qui la diri-gent, qu'elle e.itera publi-que contm les retraités et les fon.taonnaires.

J'ai hi, avec toute l'attention qu'el-le méMte, la partie du rapport deM. Charles Dumont, réservée h l'étu-de car los pensions (33 pages peurles pensions civils et militaires) etie n'ai qu'un regret, c'est qu'il nenous soit pas po.ible d.e la publierdas la présente tribune.

Cette étude, qui constitue une do-cumentation intéressante, est tout àfait suggestive. Non seulement, 51.Charles Dumont est nettement hosts,le à la péréquation automatique etmême toute révision nouvelle despensions, non seulement il croît pos-sible de réduire le nombre des pen-sionnés et d'apporter une modifica-tion profonde au régime er des ser-vices actifs , mais il ajoute, en con-clusion, cette phra. typique : « Uneétape vient d'être parcourue qui a

9 milliards de francs sont prévusau budget de 1930 pour le servicedes pensions eiles et militaires, SUne pent lire question de discutes lespensions militais., légitime tributaux combattants pour les sacrifices

étoilelargement profitable aux rets.- consentis par eux dans leur chairtés de l'Et. Sons réserve de quel- et dans leur sang, on peut, sana sa-ques rectifications, il semble, qu'au crilège, trouver que les pe.ions ce.

FEUILLETON DU r. 1110f r

tenir au point où on est actuelle.men arrivé.

Et l'on peut constater qu'au coursde la dimumion qui vient de s'ou-vrir devant le Sénat, M. CharlesDumont a profité de toutes les oe-casions pour faire entendre le mêmeson de cdoche.

C'est l'exécution méthodique d'unplan qui se poursuit et, il faut biendire, que cette entreprise trouve unaccueil favorable auprès dus séna-teurs, puisque la disjonction de Par-tiale 57 bis, concernant la péréqua-tion automatique des pensions n'aété désapprouvée, paraît-il, b lacommission des finances du Sénatque par deux voix.

On peut d'autant plus s'étonner decette attitude que n'est le Sénat qui,ra 1913-1924 a fait triompher contrele gouvernement de l'époque, le die-ceps de la péréquation integraff.

Alien convient-il de rechercher /avéritable cause de cet étrange revire-

nt"c.tt're'r réside,1!, ocetZ

gère comporte 9 milliards de eseditdans un budget qui en totali. 30milliards, Et M. Charles Dumont,avec certains de ses eollègues, veu-lent enrayer l'accroissement de cechapitre du budget.

Or, les crédits de la dette viagèrecomprennent principalement, lespensions de guerre (4 milliers 556millions) et les pensions civiles etmilitaires (3 milliards e2.0 millions).Et comme d'après le rapport mêmede M. Otaries Dumont, s la dettedes vraieu pensions de guerre esthors et au-dessus de la disecussionc'est aux retraites des anciens fonc-tionnaires civils et des anciens mi-litaisve que s'attaque le rapporteurgénéral.

Voilà, la véritable raison de tmtel'orchestration dirigée oontre les re-vendications des retraités. Et le Re-mi/ Erenomique de M. Billiet, l'ex-sénateur, qui doit «voir renservéd'amicales relations ares M. Du-mont, ne nous l'envoie pas dire. Ilécrit carrément dans son artiole detête t

III

Le Chevalier de Maison - Rougepar Alexandre DUMAR

fut dit fut fait. On °hercha lenotaire, on retrouva l'acte, et surl'acte le minci et le domicile du cou-pable. A/ors Santerre m'a tocs pa-role, il m'a désigné pour l'arrêter.

Et cet homme c'était le oheva-lier de blaimaRouge ?

Non pas, son complice seule-ment, c'est-h-dire probablement.

Mais alors comment dis-tu quevous allez arrêter le chevaler deMaison-Rouge ?

Nous allons les arrêter taxaensemble.

D'abord, connais-tu oe cheva-lier de Maison-Rouge ?

A merveille.Tu as door son signalement ?Parbleu I Santerre me l'a

donné. Cinqj pieds deux ou trois

Pou, Dise 1 dis-jo h Santesseen le tirent à part, vons êtes tousbien embarrassés.

C'est vrai, répondit.il, nous lesommes.

Cette maison a été vendue,p'eSt-ce pas ?

II y a quinze jours ?(Misse jours ou trois semaines.Vendue par devant un notaire ?Oui.Eh bien f g faut chercher chez

tous les notaires de Paris, savoirlequel a vendu celle maisra et sefaire Communiquer l'acte. On verra(fessus /a nom et Io domicile del'acheteur.

A la bonne heure I c'est unconseil cela, Mt Senterre, et voilapourtant un homme qu'on accuse pouces; cheveux blonds, yeux bleus,d'être un mauvais patriote. Loris, nez droit, barbe châtaine; d'ailleursLorin I je to réhabiliterai, ou le dia- je l'ai vu,ble nie brûle. Quand ?

Bref I continua Loch], oe qui Aujourd'hui même,

I t 1

Spectac oustee ta Vie Ouvrière et oc a seI n orna alla e edtvites Font trop lourdes pour notrelandfft.

Nous comprenoue fort bien queles parlementaires n'osent pas tou-cher au droit sacré des snobs. com-battants et ce n'est pas nous qui lesen blameson.

Mais I. pouvoirs oubli. n'ontpas eu le courage de faire rendregorge aux profiteurs de guerre pourpouvoir soldes avec plus Wei...les dettes que le pays a contractéesvivis-bruis des anciens combattants,nous n'admettons pas qu'ils tententde réduire le chapitre de la detteviagère en refusant aux retraités,anciens serviteurs de l'Etat, ce

quisleur est nécessaire Pour finir mode-tement, mais dignement, une viequ'ils ont consacrée h eervir honnêtement la yeti..

Si des sacrifie. doivent Etre con.sentis en faveur des anoiens embat-tants, ils doivent l'être par Mus lescitoyens, en proportion acre leursmoyens d'existence, mais il seraitprefondément injuste, pour ne pasdire odieux, de faire supporter auxseuls rebellés de l'Etat Ire con..quencvs d'une situation budgétairequi, demain peut-être, sera difficile.

M. Charlis Dumont, qui s'est évasdé de son ancienne fonction de pro-fesseur pour tenter sa chance dansdes postes, plus lucratifs ne devraitcependant pas avoir oublié ce qu'aêté et ce qu est encore la vie d'unfonctionnaire.

Quand un homme entrait dans unecarrière administrative, il renonçaità tenter la fortune qu'il surrenttrouver da. le oomerce,Ire carrières libérales, etc... Il se ré-signait à une rio plus modeste,inoins riche d'espérances, tout celapures qu'il avait la perspective d'uneretraite,

ta retraite était la compensationde celle

e°';uiqtn ctrérligi:"tro.p, de mi'me qu'on perd trop souvent de vueles retenues que s'impose te fonctionmire sur ses modestes appointementsafin de contribuer, pour sa part, àcette réalisation.

Vous faites claironner parle presse, M. Charles Dumont, que les char-gus actuelles d. retraites sont deprie de 4 milliards, mais vous négli-gez de faire ressortir par cette même

fortortrIrtets7dIn mixe

ll'un milliard comme retenue desfonctionnaires et comme .ntributionégale de l'Etat-Patron.

Si toutes ces retenues étaient etavaient été capitalisées, les chargesde l'Etat pour nos retraites .mientaujourd'hui, non pas supprimées,11`.19 singulièrement réduite.

Este. donc notre faute si l'Etatn'a pas el être prévoyant alors quenous avonset 'être, même quandnous étions rétribués à des taux dé.Meer. et manifestement insuffi-sants

Mais le sujet n'est pas épuisé etpuisque °ertenss ont voulu l'ouvrir,ils nous trouveront devant eux pourIn débattre da. toute son ampleur.Nous leur montrerons ce qu'on faith cet égard les pays étrangers et no-tamment l'Allemagne.

S'ill faut reprendre la campagne de1913-1924, no. la reprendrons auxcôtés de nos eamarad. retraités.

En attendant, nous ne perdons petsde vue l'objectif immédiat. La dom-mission des finances du Sénat a re-pris l'amendement Denais; il faut lefaire rejeter et faire reprendre Pas-aille 57 bis sur la péréquation auto-matique et lEndemnité d'attente te/qu'il avait été voté par la Chambra

Ig bataille sera engagée sur cepoint au Sénat môme et elle sera se'prise devant la Chambra

Les retraités constatent qu'en sai-son de la dévalorisation de la mon-naie, de la hausse du coût de la vie,dm conditions d'existenre qu'il ire.porte d'assurer aux fonctionnaires enactivité, les pouvoirs publies ontprooédé h plusieurs revalorisationsgénérales des traitements.

Ils demandent pour les marnes rai-sons qui s'appliquent h eux commeaux fonctionnaires en activité. quecoite revalorisation générale sucre.sic dus traitements s'aerempagne deLa même revalorisation de leurs re-traites.

Leur cause est rigoureusement jus-

Avre eux, no. la défendrons detoutes nos forces et avre tous

noenmoyens, en attendant la plus gra-a buliile que yout nous livrer M.

Chasles Dumont mr le régime de nosretraites et pour laquelle il peut êtreboiemspteerûr...qu'il au2.

ares le

P. NEUMEYER. I

Tu l'as VIIEt toi aussi.

Maurice tre.aillitpolit homme blond qui nous

a délivres ce matin, tu sais, celuiSoi commandait la troupe des mus-catinsmus-catins qui tapait si dur.

C'était dom lui ? demandaMaurice.

Lui-même. On l'a suivi et onl'a perdu dans /es environs du domi-cils de notre propriétaire de la ruede la Corderie; de sorte qu'on pré-sume qu'ils logent ensemb/e.

En effet, s'est probable.C'est sûr.Mais il re semble, Loris, ajouta

Maurice, que si tu arrêtes ce soircelui qui nous e sauvés ce matin,tu manques quelque peu de recomnaissance.

Allons donc, dit Loris. Est-oceue tu crois qu'il nette a sauvéspour nous sauver ?

Et pourquoi done ?Pas du tout, Ils Staimt embu.

ailés II, pour mlever la pauvreIféloise Tison quand elle passerait.Nos égorgeurs les gênaient, ils sonttombés sur nos égorgeurs. Nousavoxo été sauvés par contre.eoup.Or,-comme tout est dans l'intention,et que l'intention n'y était pas, jen'ai pas à me reprocher la pluspetite ingratitude. D'ailleurs, vois-

UN DEMI-SIECLE DE MILITANTISMESOCIALISTE

--..

Joseph Schreyera quitté Paris

Quel' est le camarade, parmi lesanciens du Parti, qui ne connaît laphysionomie caractéristique, Vils etexpressive, aux yeux brillants d'In-telligence et d'esprit, de notre boncamarade Joseph Schreyer, le vété-non du groupe socialiste allemandde Paris ?

caiSe, eie'rrecrette ââ %errer gr''dsr:sont dépensés sans sri moment detessiture, ni de défaillance, depuisbientôt près d'un demi-siècle. A Présde 70 ans, on le trouve toujoursaussi alerte, aussi rempli d'initia-tive, qu'a. jours lointains où, jeu-

e employé de banqueh Breslau, il/ostsh SCHREYER

dherait en 1881 â la section duarti socialdémocrate de sa villeMaleJoseph Schreyer, originaire d'une

f mille de banquiers de Silésie, n'e-t it certes paa venu au silo.e dansn milieu particulièrement lavera,le eu socialisme. Cela ne l'empê-

chait pas d'adhérer au Parti h Pagee 19 ans, en même temps qu'il en-

trait comme petit employé de ban-ne, dans une des grand.. efir-

mes s locales. L'année suivante, saI mille l'envoyait à Paris pour ému-

les leLa n2mis des révolutions a,

comme on amielait alors en Allema-ne la ville -de la Commune, exerça

t ut de suite une grande attractionus son comr et son emelt. Il de-ait

ye revenirnombreusesmaintesanbresfois et

yde npes-

er d sosista., s'y sentant autant chez

toi qu'en Allemagne.Rentra cependant en 1383 dans

n2itPaTpeeln'i gne vràuondant ia première organisationyndiente « libre a fou socialiste)es employés de banque, se dupes-ant sans compter, alors que lesonditions, créées l'un la y loi unit

socialiste a de Bisinarck, rendaienta lutte narticulièrement dure.

Le fluer. 14 fr. La miede 3 fleao. 40 6. (franco 80 fr.)

Honora de l'amitié de militantstale que Bebel, Liebknecht, Bern.trie et Paul Singer, on le trouvaittoujours au premier rang fane tou-tes les batailles II était un descréateurs de ce remarquable théâ-Ire populaire berlinois, la FerleVOlksbUehue, qui a combiné lespréoccupations esthétique. et théâ-tralee les plus nobles et les plushardies, aves aile constante Pte.-cupation

A partir de 1903, Joseph Séhreyervint résider en France et eon aeti.vité se manifeste au sein de ce

gr Club de lecture Brelans. alle-mand e de Paris où il retrouve desmilitants de premere ordre tels queLés Fr.ckel, cet admirala/a rem-battant de l'Idée, ce petit ouvrierbijoutier Mraéllte hongrois, dont laCommune de Paru avait fait sonministre du travail, tels que le re-gretté Paul Trapp, au Otto Pohl, 5x51représenta depuis la Républiqued'Autriche àMoscou, tels que Grum-bac/à les citoyennes Grumbach etTony Sander.

Schreyer était le lien vivant entreles ouvriers allemands de Parie etIra principaux représent.ts dia su-cialisme français. Des hommes telsque Jaurès, Vaillant, Paul Lafar-gne; Marée Sembat, Jules Guesde,Ph. Landrieu pour ne parler quedes disparus l'accueillaient tus.jours avec confiance et sympathie. Ilétait d'ailleurs adhérent à un gras-pe de la S, F. I, 0. C'est sous soninitiative qu'a quelques mois de lacataetrophe, la grande et puissanteChorale Ouvrière de Mannheim ve-nait se faire entendre au Trocadéro,au cours d'une inoubliable manifeu.lotion artistique et mcialiste. AvecOtto PMI et Fritz Adler il avait or-ganisé une e Union Internationaledes Socialistes de langue allemandeàl'étranger tr.

La guerre mondia. et Papi...-guerre l'obligèrent bnrtuonnmrmnAllemagne il y milita de 1914 â1926. En /927, il revenait en Franceet reprenait son activité au sein dunouveau Groupe socialiste de lan-gue allemande à Paris où I/ étaitpour les jeunes et arden. adhérentsle vivant symbole d'un passé gl.Mena.

Son état de santé et surtout desdeuils de famille cruels ont obligél'ami Schreyer a'rentrer en Allema-que. Son départ sera cruellementressenti par ses camarades qui ap.préciaient beaucoup son active col-laboration h. leurs travaux

Les militants de la Fédéèation dela Seine et du Parti socialiste (S.E.I.O.), parmi lesquels ne comptaitque des amitiés, ne seront pas moinscontrariés du départ de ce vétéransi sympathique.

Les uns et les autres espèrent quemalgré son âge et sa santé ébranléeIl pourra bientôt revenir parminous.

Jean LONGUET.

DISSOLUTION DE SOCIETE

Amr 'remue d'un acte eous signaturepuivé, fait à Toulouse ha 30 mers 1930,enregistré ars bureau de Toulouse t2' A.C/le 8 .11 1930, volume 24, folio 5.mua 59: MM. Fauran jomph et AnCecuclls ont declaré dissoudre purement etamplement, à compter du Pr avril 1930,la société à reaponsabilia limitée diteSociété Française d'Outille., ayant aonsiège à Todoua, rue Cuise, té, au

cap,nuie 25,110 francs. conantuée par tdevant 313' Bouvier, notaire àTmebs.s. le

tu, Maurice, le point capital c'est lanécessité; et il y a néc.sité h ceSur nous nous réhabilitions par uncoup d'éclat D'ailleurs, j'ai relitiffdude toi.

A rte ?A Santerre; il sait que tu com-

mandes l'expédition.Comment cela ?Es-tu sûr d'arrêter les soupa.

Ides 9. a-til dit.Ont ai-je répondu, si Maurice

en est.Mais se-tu sûr de Mauriac. ?

depuis quelque temps 1511x111,Ceux qui disent cela se trom-

pent.; Mata-tee ne tiédit pas plusque moi.

Et tu en réponds ?Comme de moi-même. Alors

j'ai 0355fssê chez toi, Mais je ne raipas trouvé; j'al pria ensuite ce eh,min, d'abord parce que c'était lemien et ensuite parce que c'étaitcelui que tu prends d'ordinaire;""b, je Val remontre, te von1 seavant marche I

victoire en chantantNous ouvre fa barrière_mon cher Lorin, J'en suie dés..

aéré, mais le ris me 550eP. lemoindre août pour Cette expédi-tion; tu dires que tu ne m'as

pasrencontré.

20 septeabte 1927. La liquidation est AineM. Fautas, Fan des associés. Do oui-

Ledi de ce a.cte s été déposé à dussesdee greffes du tribunal da comme. etde Pence de puis de Toutoune. le10 mmil 1930.

7sWiteSOÇIALISTEf-'-e or, reg. 1*.e. r/tileg.i amer s DARRICALt.

Irupo.ible I tous nos homm.t'ont vu.

Eh bien I tu diras GUO tu m'asrencontré et que je n'. Psiêtre des vête..

Impo.ible encore.Et pourquoi celaParce qUe cette fois tu ne seras

plus un tiède, mais un suspect... EtIn sais ce qu'on en fait des sus-pects : on /es conduit sur la placede la Révolution et on ies invitecuber la statue de la Liberté; seu-lement, au lieu de saluer avec leobaPeau, ils saluent avec la lite

Eh bien I Lorin, il arrivera cequ'il pourra; mais en vérité, celate paraîtra sa. doute étrange, oeque je vais le dire la ?

Lorin ouvrit de grands 5155 etregarda Maurice.

11h hies I reprit Meuriee, Jesoie dégoûté de la vie_

Lorin éclata de rire.Bon I dit-iI; nous muantes en

bisbille avec notre bien-almée etcela nove donne d. Idées mélanco-liques. Allons bel Adonis I redeve-nons un homme, et de là nnus pas-serons au citoyen; moi, au contrairee ne suis >mus meilleur patrtote

que lorsque je suis en Monilia avecArtlithnise. A propos, Sa Divinité ladéesse Raison te dit des millions dephares gracieuses.

THEATRE DU CAPITOLE. Demain

samedi. à 20 h. 30, soirée de gelsbénéfice de le Cela. d.. Ecole.. M. Vil,labelle de.. Le Dam Manda B. maM.. halé-G.4ot, CéIr,d, HonnIèretMM ROM., Albony.

Dimenehe en tartiné., à Il heures,

dernière repréaentation des . Maitre.

Cbanteura de Nuremberg Y Y

Marsa., Gélard M54.Léon Lailitte, Peel... Alba, TOM,Mouche. Cases.. Churs du théâtre duCapitole et d. le Chhurnredreure Icentsaquante exécutants).

F. soirée. a 20 h. 30. Pour tee adieu.de M. Vair/J..1, Hante mec

Y.kowhy., strick4r Mm. Tdbr,Alborre.

Location ouverte pour samedi, su péris-ml. du théâtre.

Pour dimanche. vendredi matis, e If h.

saitureedulegude,,,,,«

'Wein du Capitole

SAMEDI

Bines., 20 h. Rdean. 20 h. 30

Soirée d. galaau bénéfice de la Cet.. des

toile,M.Catalan.DANS

LA DAME BLANCHEMM, Rome., Albany, Parais.M.. Latté -Gellmt, Glissé

Hamar...

Chef d'aches, M. Weerserent.enameaserersesse.amespenemennenesa

GAUMONT- PALACECal/mONS FRANCO.FILIN

TOUS LES JOIJIISMatinée, 3 h.; Soirée, 9 h.

TOUJOURS ÉES MEILLEURSFILMS

Cette semaineL'ADMIIRelle aleittrISSANT

Le premier grand poèmede l'éeran

e UN FILM HMUAIN

Sur scène tulula MINTY etFred 01/RISTHIANdans /eurs créations

Lee Actualités soeur. et- parlantes françaises -

Prix habituels des plaresen matinée

est toujours prudent de louerd'avance

Loaation permanentede 10 h. à 20 h.

Tout es que M'avait dit San.

LE 7RIAIVOIV 3h, el h. Le triomphe du film français

LES 3 MOUSQUETAIRES dr.,,1(en entier lu eausua *Lance)

illILTR 810tre. eattreacetileme. umatestenefeseitaGÉRARD et LOLA TESI t=21.,:t.rdree'reeinlele

Tu la remercieras de ma part.Adieu. Lorin.

Comment, adieu 1Oui, je m'en vais.Où vas-tu ?Citez mol, parbleuMaurMo, tu te perds.Je m'en moque.Maurice, réfléchis, ami, réflé-

chis.C'est fait.Je ne t'ai pas Mut répété...Tout. quoi ?

terre.Que 1'51-11 dit ?Quand Je t'ai demandé COMme

chef de l'expé,ditiOn, il M'a ditpresse garde 1

hianriceA moi ?,Oui. Meurtre, atell 510x15,iont6, va

bien souvent clans ce quartier-là.Dans quel quartier ?Dans celui de Maison-Rouge.Comment I s'écria Maurice,

55,155,1par ici qu'il se cache.0v le présume,me du moins, puis-

que &est per ici quo loge son com-plice présumé, l'acheteur de la mai-son de /a rue de la Corderie.

Faubourg Vidor ? domandeMaurice.faubourg Viner.

Ies de ToulTHEATRE DES VARIETEe-----`,

ce mir vendredi rrenl, ca,darne fera m. début. dam c'`vre du sena Le Boemmarmable diatribution t Ganl'Odéon i Gandy Ilareardd'Amman. Germe, PoHjima et Saim-Georres,(lady. Debreine. Eméry j

Denain samedi. à 20La Porteuse de Pains é

tonde. Isrehet Pada. M. Grad. Mea 'MAr,nain, d'Auronville, Albert 1.1.4.Georges.

Location ...verre.AUX NOUVEAUTES.

&mutante mare',"taisiate Damante: dix-hasi. Denain'. wirle.

Rideau, 20 h. 50,PARAMOUNT. 19 j

21 heures. sMon Curé ch.attractions

GAUMONT-PALACE.et 21 heure.. s Ombres blead,sma...attractions.

LE TRIANON. A 15 hatoattractions.21 heures,s Les Trois Matanae,;;

LE ROYAL. A 15 hj,,2t Prieonnier, de la mOntZ,

COSMOGRAPH. A il teesemant du Derby e, eaauéea 4

Le Secret du jade

AIJ ROYAL

PRISONNIERSIl DE LA MONTAGNEpeimme

M N

CURE_CHEZ >104

'MAN»Ficrem/bNOPELa comédie la pie gaie, la plutouchant, la pins humaine et hmicas jouée, jamaie Tee et en.due à Fera, c'est on film

PARAMOTTIIT

ESens mena chensom

Mn MOUE ET MON CABANON

GOOD BYE MY LADY LOVEdessin animé sonore

ACTUALITÉS PARLANTESParements et Fox Moyietene

RED FREDmonocseliate comique

Le meilleur speemcie de Torde.»

21 °fr. ,r1-:;.--,1;":ujr`.:',trayait facile. tomerenflée.

&rire taANVIN, 23, Fauboaa SapéePARIS (le)

pla:;:it'r:re:i-r-r-merrrrzer"."0et faites inscrire y

RÉCLAMEZ 1111 Carnet de Boni'doo'suTcp'e:ii7F L'EPARGNE slivresceatiar'nisetEpARGN coliifinneteasleau

os ye cas lidén Carnet fin DomU0

bo.; Et, dans quelle rue du

15aus la vieille m. Saiele

or

mies.Ah I mon Dreo I M eie

Maurice ébloui comme Per na AIdt, il Porta sa main sas S.'`A

Puis au brut d'un Icem", I

commepouffant cet Rte°avait appelé tout son course

Son (lai? ditil,Maître tanneur.Et sen nom IDixmer.

61

é 4-Was LE MIDI SOCIALISTE

'DROIT OUVRIER

Le livret de travail des enfants

saint pur assure longue lie Faites une cure !

Salseparcillc rose se - D

le meilleur et le plus scientifique des dépuratifs

isanalexateuseihe DESS.,1ESEMerOeta. Minet ft, ite. 4. Remua TOULOUSE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés