SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus...

14
IMULATEUR D IEILLISSEMEN IENTRAITANCE LIE OCIAL PARTAGE P AGOGIE RAPPROC R TOLERANCE ECH GER EMPATHIE 1 bis Bvd COTTE 95880 ENGHIEN LES BAINS 02.32.58.13.34 - [email protected] www.ipad-alep.fr

Transcript of SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus...

Page 1: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

SIMULATEURDEVIEILLISSEMENTBIENTRAITANCELIENSOCIALPARTAGEPEDAGOGIERAPPROCHERTOLERANCEECHANGEREMPATHIE1 bis Bvd COTTE 95880 ENGHIEN LES BAINS

02.32.58.13.34 - [email protected] www.ipad-alep.fr

Page 2: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LE SIMULATEUR DE VIEILLISSEMENT

Les importantes zones d’ombres sur les notions de bientraitance dans l’accompagnement du

grand âge, nous ont amené à créer en 2008 un nouvel atelier de formation :

le Simulateur de Vieillissement.

Nous vous projetons dans la perte d’autonomie, en simulant les gandes déficiences

motrices et sensorielles liées à l’âge, dans les actions du quotidien.

Chaque personne étant différente, cela rend parfois compliqué sa prise en

charge. Chaque aidant doit s’accaparer ce qui lui est utile pour faciliter

ses rapports avec le grand âge, et développer sa tolérance.

Je veux faire plaisir à un grand âge en l’emmenant au restau-

rant, car il a toujours aimé cela, je fais de la bientraitance.

Je viens avec une voiture de 1,20 m de haut garée contre

un trottoir de 20 cm.

Il refuse de monter et il est frustré, j’insiste, je

fais de la maltraitance, cela se décline dans

toutes les actions et gestes du quotidien

du grand âge.

Dans ce cas dois-je changer mon

véhicule, ou y aller avec un

proche du grand âge qui a

un monospace, ou aller

à pied dans un restau-

rant à proximité ?

Page 3: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LES TROUBLES DE LA VISION : l’AGE ET LA VUE Avec l’âge, le corps s’affaiblit, la personne contracte

de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient

inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience

visuelle. Au moins 13 % des personnes âgées souffrent

de troubles de la vision plus ou moins importants, et

plus de la moitié des personnes hébergées en maison

de retraite présentent un handicap grave en la matière.

Le déclin de la vue est d’autant plus rapide que l’on

évolue dans un environnement qui exige beaucoup

de la vision : lecture, tâches professionnelles,

écriture requièrent une bonne acuité visuelle

et une marge d’accommodation importante.

Aujourd’hui le trouble de la vision est aussi lié avec l’âge à

de grandes pathologies touchant une majorité d’individus

en France.

Simulateur devieillissementIPAD - ALEP

Prix spécial du jury aux Trophées du Grand Age 2009

Page 4: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

La cataracte se caractérise par une perte progressive de la vision qui, le plus souvent, affecte d’abord la vision de loin. Cette opacification du cristallin (la lentille située à l’intérieur de l’oeil) met en général plusieurs années à s’avérer gênante.

La personne devient légèrement myope, la vision devient floue et les couleurs apparaissent plus ternes (mais le cerveau tend à compenser ce phénomène).

Petit à petit, la vision se voile et la personne devient plus sensible à la lumière : elle est facilement éblouie par la lumière des phares en conduisant la nuit.

Parfois, la personne se plaint de «voir double» d’un œil. Cette baisse de l’acuité visuelle est en général bilatérale, à peu près symétrique.

La cataracte est essentiellement liée à l’âge.

« Elle touche plus de 20 % de la population à partir de l’âge de 65 ans, et plus de 60 % à partir de l’âge de 85 ans. »

Sa fréquence est en augmentation constante dans les pays industrialisés du fait de l’allongement de l’espérance de vie. C’est une réussite de la chirurgie oculaire pouvant restituer une fonction visuelle quasi-normale, aujourd’hui plus de 600 000 opérations sont effectuées tous les ans en France.

Vision normale Vision floue Sensibilité à la lumière

LES SIGNES DE LA CATARACTE

Page 5: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LES SIGNES DU GLAUCOME CHRONIQUE

Le glaucome chronique est la forme la plus fréquente de glaucome. Il se traduit pas une augmentation de pression intra oculaire. Elle peut rester sans symptôme perceptible pendant dix à vingt ans.

Rarement, la personne peut ressentir des douleurs sourdes (comme une pression au niveau des yeux), un larmoiement et des maux de tête.

Après plusieurs années, les symptômes visuels du glaucome chronique apparaissent, signe d’un glaucome déjà avancé.

Le patient ressent une perte de vision à la périphérie du champ visuel, alors que sa vision centrale (qui permet de lire, d’écrire et de reconnaître les visages) reste longtemps normale.

On parle alors de vision tubulaire (comme à travers un tube).

« Un haut degré d’hérédité est lié à cette pathologie, un dépistage précoce est nécessaire car le glaucome se stabilise mais ne se guérit pas . »

En France on estime que plus d’un million de

personnes seraient atteintes de glaucome.

Vision normale

Glaucome

Page 6: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LES SIGNES DE LA DEGENERESCENCE MACULAIRE LIEE A L’AGE (DMLA)

En France, près de 1,3 million de personnes sont atteintes de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).

Cette affection oculaire prive celui qui en souffre de sa vision centrale. Elle empêche ainsi de lire, de

conduire ou de regarder la télévision. C’est la première cause de malvoyance chez les personnes âgées de

plus de 50 ans.

Diminution de la sensibilité aux contrastesD’abord vous pouvez avoir l’impression de manquer de lumière pour lire ou écrire. Les images peuvent vous paraître plus ternes ou jaunies.

Diminution de l’acuité visuelleVous pouvez également ressentir des difficultés à percevoir les détails. La baisse de l’acuité visuelle peut intervenir de manière rapide.

Déformation des lignes droitesVous pouvez aussi percevoir les lignes droites comme déformées ou ondulées.

Apparition d’une tache sombre centraleEnfin, vous pouvez percevoir une tache noire ou grise (appelée scotome) devant l’œil, qui vous gêne pour distinguer les éléments.

Vision normale Déformation de l’image

Perte de la vision centrale

Page 7: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LES SIGNES DE LA DEGENERESCENCE MACULAIRE LIEE A L’AGE (DMLA)

La DMLA sèche, qui représente 80 % des cas et se traduit par un affaiblissement de la vision centrale (au centre du champ visuel). Les couleurs restent visibles mais les détails sont flous. Souvent, les premiers signes passent inaperçus, en particulier si l’autre oeil est en bon état.

La DMLA humide, au cours de laquelle la perte de la vue est beaucoup plus rapide. La partie centrale du champ de vision s’amenuise et finit généralement par disparaître complètement en laissant une large zone aveugle.

« Un des premiers signes de la dégénérescence maculaire humide est l’apparition de lignes qui ondulent au centre du champ visuel.»

Si vous notez des zones de votre champ visuel où il vous semble voir moins bien, si vous avez des difficultés à lire ou que les mots apparaissent irrégulièrement flous, ou si vous percevez une zone noire au centre de votre champ de vision, il est indispensable de consulter rapidement un ophtalmologiste. Cette forme d’atteinte visuelle doit être détectée et traitée le plus tôt possible afin de freiner ou de stabiliser l’évolution de la maladie car à ce jour aucun traitement ne guérit de la dmla.

La DMLA est une maladie de la rétine liée à l’âge. On en distingue deux types :

Page 8: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

RESSENTI

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

CONSEIL

Page 9: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LA PRESBYACOUSIEQUAND L’OREILLE VIEILLIT AUSSICe phénomène d’usure de notre système auditif est parfaitement naturel mais est accuentué par notre

comportement et certains facteurs de vie.

Il est vécu par plus de 6 millions de Français, et produit un certain isolement.A partir de 50 ans, deux personnes sur trois deviennent presbyacousiques. Et près de la moitié se coupent de toute communication parce qu’elles suivent difficilement une conversation. Mais moins d’une personne sur 5 qui devrait être appareillée l’est effectivement.

Dégradation irréversible donc définitiveQuand vous faites un effort pour comprendre, comme pour une langue étrangère, c’est que votre audition n’est déjà plus tout à fait normale: petit à petit certaines fréquences deviennent imperceptibles.

Cette altération des facultés auditives vient du fait que les cellules ciliées de la cochlée, dans l’oreille interne, sont progressivement détruites, par les traumatismes sonores certes prématurément et, plus généralement, en raison du vieillissement qui touche l’organisme tout entier. Ce qui est perdu l’est définitivement puisqu’il n’existe aucun traitement de la dégénérescence de ces cellules: environ 15 000 par oreille.

Notre audition s’effaceD’une façon moins marquée qu’une déficience visuelle, la perte de l’audition a des inconvénients non négligeables. Bien entendre permet de mieux se protéger, des dangers de la vie en règle général: hormis un rôle de communication, d’échange et de partage et l’oreille est aussi un organe d’alerte. Ne pas entendre empêche, de participer aux conversations, de « faire du lien », d’apprendre. Par ailleurs, le cerveau, moins sollicité parce que privé d’informations, perd peu à peu la faculté de les traiter.

On perd d’abord les aiguës, c’est-à-dire les voyelles, particulièrement en milieu bruyant, et comme les consonnes (qui « sonnent avec » les voyelles) deviennent alors peu sonores, le message paraît ne plus signifier grand-chose : le passage du son au sens est compromis. Le cerveau ne percevant plus certaines fréquences, réorganise ses neurones, leur attribue d’autres tâches, ce qui contribue à la déformation de l’univers sonore et à une difficulté encore plus grande de décryptage des signaux. D’où l’intérêt de dépister tôt ces troubles de l’audition.

Page 10: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LA PRESBYACOUSIEQUAND L’OREILLE VIEILLIT AUSSI

Page 11: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

RESSENTI

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

CONSEIL

Page 12: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

LA PERTE DE MOTRICITE, LA LIMITATION DE FLEXION ARTICULAIREL’arthrose, maladie des articulations, est très fréquente chez les personnes agées. Elle apporte lot de

douleurs et de difficultés à se mouvoir. Cette pathologie nous contraint dans l’utilisation de nos membres

et ainsi dans de nombreux gestes de la vie quotidienne

Qu’est-ce que l’arthrose ?L’arthrose est une maladie due à une usure précoce du cartilage des articulations. C’est la plus fréquente des maladies articulaires. L’arthrose touche plus souvent les femmes que les hommes, bien que chez les personnes âgées la maladie soit presque aussi courante chez les unes que chez les autres. Le risque d’avoir une arthrose augmente avec l’âge, vraisemblablement parce que le cartilage se régénère moins bien chez les personnes âgées. Progressivement, le cartilage disparaît pour laisser l’os à nu. Les articulations des mains et des poignets sont les plus souvent atteintes, ainsi que celles des hanches et des genoux.

Les douleurs caractérisent la maladieLa maladie se caractérise par des douleurs mécaniques qui augmentent lorsque l’articulation touchée est en mouvement. Ainsi par exemple, la marche devient douloureuse en cas d’arthrose de la hanche...Les personnes atteintes souffrent généralement le jour, lorsqu’ils sont actifs, et de plus en plus à mesure que la journée avance. La douleur s’atténue, voire cesse, lorsque l’articulation est au repos. Aujourd’hui les traitements visent surtout à alléger la douleur des patients.

Néanmoins sur le long terme, l’arthrose provoque des déformations des articulations, surtout visibles au niveau des mains et des genoux. La maladie évolue de manière variable d’un individu à l’autre, sans que l’on sache aujourd’hui déterminer les facteurs de cette évolution. Les lésions arthrosiques sont cependant irréversibles. Outre les déformations, le malade atteint subit un raidissement des articulations limitant la flexion qui peut devenir invalidant.

Page 13: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

NOTE

Page 14: SILATERDE IEILLISSEENT · de nouvelles maladies, souffre de maux qui lui étaient inconnus jusqu’alors. Parmi ces maladies, il y a la déficience visuelle. Au moins 13 % des personnes

ALEP

Pré

vent

ion

- 3, R

ue A

nato

le F

ranc

e - 7

6000

Rou

en -

Agré

e Fo

rmat

ion

cont

inue

11 9

5 04

721

95

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. . .

. .