Si la ligne de Desvres m'était contée Aodietlin.free.fr/pdf/PALL36.pdfAvant de parler de cette...

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LE MENSUEL D'INFORMATION DE SLPM GROUPE USINOR Cette période de rentrée de sep- tembre est propice pour faire un point rapide sur l'évolution de SLPM. Toutes les actions engagées per- mettent, aujourd'hui, de constater une amélioration très sensible dans l'ensemble de l'entreprise ; ceci grâ- ce, principalement, à l'engagement et à la part de travail que chacun d'entre nous a pris dans le vaste chantier de reconstruction et de ré- orientation de SLPM. Cette volonté de réussir notre projet d'entreprise a été perçue très nette- ment à l'extérieur, par nos clients et fournisseurs, et à l'intérieur de notre Groupe. Le crédit de confiance qui nous est accordé a considérablement aug- lenté, générant une attente encore "plus forte : que SLPM devienne, dans son secteur d'activité, le centre de services le plus performant. Maintenant, SLPM se voit confier - sur le plan commercial et industriel - le pilotage, la coordination et la ges- tion de l'ensemble des feuilles de SOLLAC, secteurs automobile et électroménager exclus. Cette décision entraîne, de fait, le rattachement des lignes de déroula- ge de Desvres et de Fos-sur-mer à notre périmètre. Que chacun mesure bien l'impor- tance de ce nouveau défi que j'ai relevé, pour SLPM, me sentant as- suré de vos efforts et de votre ad- hésion à ce nouveau projet. Hubert Renard Si la ligne de Desvres m'était contée A u sein de DCS (Direction des Centres de Services), le leadership de la feuille a été confié à SLPM. La concrétisation de ce leadership au niveau in- dustriel revient à confier à SLPM la gestion des lignes de déroulage qui étaient dans le périmètre SOLLAC : celles de Fos et de Desvres. La Région Nord de SLPM re- prend la gestion de la ligne de déroulage de Desvres. Avant de parler de cette ges- tion, faisons un peu de géogra- phie et d'histoire. SOLLAC DESVRES se situe dans le Pas-de-Calais (62) à 15 km à l'est de Boulogne-sur- Mer. Son histoire : C'est sur un fonds de dom- mages de guerre qu'en 1958, Les Ateliers de Galvanisation de Bruay montent une ligne de galvanisation en continu, sur le site qu'ils ont racheté en 1935 à une société de plaques de Fibrociment. En 1967, ZIEGLER, Société Anonyme fondée en 1919 par Charles Ziegler, absorbe les Ateliers de Galvanisation de Bruay. Dix ans plus tard, la so- ciété ZIEGLER entre dans le groupe SACILOR. En 1986, une direction commune est nommée à la tête d'USINOR et de SACILOR. En 1987, USINOR SACILOR crée une branche produits plats : - avec une société principale : SOLLAC, au sein de laquelle est créé un département "produits re- vêtus", - et des filiales. Cette même année, GALVANOR et ZIEGLER fu- sionnent pour former le nouvel ensemble GAL- VANOR ZIEGLER, filiale de SOLLAC. En 1988, SOLLAC absorbe GALVANOR ZIEGLER. En 1989, naissance de SOLLAC DESVRES Ses effectifs : 119 personnes au 01/01/97. Sa superficie : 60 630 m 2 dont 17 485 m 2 couverts. Sa production annuelle : ca- pacité de 250 000T/an. Son activité : galvanisation de bobines LAF (épaisseurs 0,6 à 1,5 mm) et de bobines LAC (épaisseurs 1,5 à 5 mm). Ses installations : - une ligne de galvanisation qui constitue l'outil principal, - deux outils annexes : un skin pass et un four de recuit - deux outils de parachèvement : une dérouleuse et une refendeuse. suite page! Editorial - "• Si la ligne de Desvres m'était contée ! M. Concurrence loyale Portraits de femmes é> Mémo social - Mouvements 99 Qualité - Sécurité - DIADEM

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LE MENSUEL D'INFORMATION DESLPMGROUPE USINOR

Cette période derentrée de sep-tembre est propicepour faire un pointrapide sur l'évolutionde SLPM.

Toutes les actions engagées per-mettent, aujourd'hui, de constaterune amélioration très sensible dansl'ensemble de l'entreprise ; ceci grâ-ce, principalement, à l'engagementet à la part de travail que chacund'entre nous a pris dans le vastechantier de reconstruction et de ré-orientation de SLPM.Cette volonté de réussir notre projetd'entreprise a été perçue très nette-ment à l'extérieur, par nos clients etfournisseurs, et à l'intérieur de notreGroupe.Le crédit de confiance qui nous estaccordé a considérablement aug-lenté, générant une attente encore

"plus forte : que SLPM devienne,dans son secteur d'activité, le centrede services le plus performant.Maintenant, SLPM se voit confier -sur le plan commercial et industriel -le pilotage, la coordination et la ges-tion de l'ensemble des feuilles deSOLLAC, secteurs automobile etélectroménager exclus.Cette décision entraîne, de fait, lerattachement des lignes de déroula-ge de Desvres et de Fos-sur-mer ànotre périmètre.Que chacun mesure bien l'impor-tance de ce nouveau défi que j'airelevé, pour SLPM, me sentant as-suré de vos efforts et de votre ad-hésion à ce nouveau projet.

Hubert Renard

Si la ligne de Desvresm'était contée

A u sein de DCS (Direction des Centres deServices), le leadership de la feuille a étéconfié à SLPM.

La concrétisation de ce leadership au niveau in-dustriel revient à confier à SLPM la gestion deslignes de déroulage qui étaient dans le périmètreSOLLAC : celles de Fos et de Desvres.La Région Nord de SLPM re-prend la gestion de la ligne dedéroulage de Desvres.Avant de parler de cette ges-tion, faisons un peu de géogra-phie et d'histoire.SOLLAC DESVRES se situedans le Pas-de-Calais (62) à15 km à l'est de Boulogne-sur-Mer.

Son histoire :C'est sur un fonds de dom-mages de guerre qu'en 1958,Les Ateliers de Galvanisationde Bruay montent une ligne degalvanisation en continu, sur lesite qu'ils ont racheté en 1935à une société de plaques de Fibrociment.En 1967, ZIEGLER, Société Anonyme fondée en1919 par Charles Ziegler, absorbe les Ateliers deGalvanisation de Bruay. Dix ans plus tard, la so-ciété ZIEGLER entre dans le groupe SACILOR.En 1986, une direction commune est nommée àla tête d'USINOR et de SACILOR.En 1987, USINOR SACILOR crée une branche

produits plats :- avec une société principale : SOLLAC, au seinde laquelle est créé un département "produits re-vêtus",- et des filiales.Cette même année, GALVANOR et ZIEGLER fu-sionnent pour former le nouvel ensemble GAL-

VANOR ZIEGLER, filiale deSOLLAC.En 1988, SOLLAC absorbeGALVANOR ZIEGLER.

En 1989, naissance deSOLLAC DESVRES

Ses effectifs : 119 personnesau 01/01/97.Sa superficie : 60 630 m2 dont17 485 m2 couverts.Sa production annuelle : ca-pacité de 250 000 T/an.Son activité : galvanisation debobines LAF (épaisseurs 0,6 à1,5 mm) et de bobines LAC(épaisseurs 1,5 à 5 mm).

Ses installations :- une ligne de galvanisation qui constitue l'outil

principal,- deux outils annexes : un skin pass et un four de

recuit- deux outils de parachèvement : une dérouleuse et

une refendeuse.suite page!

Editorial - "•Si la ligne de Desvres m'était contée ! M.

Concurrence loyale

Portraits de femmes é>Mémo social - Mouvements 99Qualité - Sécurité - DIADEM ~Â

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Les investissements :Chaque année des investissements sont réalisés,mais le plus marquant fût celui fait en 1993 : ledéplacement de la ligne de déroulage et sa mo-dernisation complète.

Ses particularités :La ligne de galvanisation de DESVRES se dis-tingue des autres par son aptitude à galvanisersur support épais, c'est-à-dire directement à par-tir de bobines àchaud.Bien que plus pe-tite usine de SOL-LAC, cela nel 'empêche pasd'être aussi l'unedes plus belles - lapropreté des ate-liers où le bleu etle jaune dominentsurprend favora-blement - mais aussi l'une des plus performantesen matière de qualité et de sécurité.

Qualité :Deux exemples récents illustrent l'obsession dela qualité chez SOLLAC DESVRES :- le combat contre la rouille blanche (qui appa-raît dans une bobine galvanisée lorsqu'il y acondensation, ce qui se produit si la tôle est plus

froide que l'air et si l'air est humide).> Etude du problème par un groupe de tra-

vail. Puis investissement de 100 000 F (abon-nement aux bulletins météo, un hygromètre, descanons à air chaud et beaucoup d'attention) àcomparer au 600 000 F de dégâts occasionnéspar la rouille blanche en 1995.- l'ouverture d'un laboratoire de métallographie(étude de la structure et des propriétés des mé-taux et de leurs alliages), afin de pouvoir véri-

fier que l'adhéren-ce du revêtementest parfaite.

Sécurité :Au 01/06/96,DESVRES totali-sait 2 450 jourssans accident avecarrêt soit près de7 ans. Résultat dûaux efforts quoti-

diens mais également à beaucoup de préventionet d'éventuelles formations pour une meilleureutilisation des appareils.

SLPM et SOLLAC DESVRESA partir du 1er janvier 1998, tous les produitsexpédiés sous forme de feui l les depuisDESVRES auront le label SLPM.A noter que le déroulage de feuilles à SOLLAC

DESVRES représentait pour 1996 : 35 000 T.Longueur mini/maxi : 800/12 000 mmLargeur minimale : 500 mmEpaisseurs : 0,5 à 5 mmPostes : 2 x 8 h discontinus (3 x 8 h éventuelle-ment).Pour réaliser cet ob-j ec t i f , à par t i r du15 septembre toutesles commandes defeuilles saisies habi-tuellement par le ré-seau de ventes SOL-LAC dans le SIC(système d'informa-tions commerciales) le sont dans DIADEM, etla ligne de déroulage de DESVRES est équipéed'écrans informatiques donnant les informationsDIADEM, exactement comme une ligne de dé-roulage de SLPM.

Actuellement, une équipe d'informaticiens et deformateurs est en œuvre pour préparer cette ges-tion.

Colette Leclercq, Jean-Paul Petit, Denain

Merci à Yves Golioî, Communication SOLLAC

DESVRES, de son aide précieuse pour la ré-

daction de cet article et le choix des photos.

Concurrence Loyalenez SLPM, les commandes desous-traitance sont traitéesconformément à la sacro-sain-

te NORME ISO 9002. Pas de prob.,BOB ! Mais la pratique révèle que laméthode de gestion retenue n'est, àl'évidence, ni la plus simple, ni lamoins onéreuse. Le Comité dePilotage Etablissement de Basse-Ham y a vu là une mine importantede progrès à exploiter et une activitéintéressante à développer.La logique soufflait à nos oreilles derechercher les causes de dysfonction-nement qui nous pénalisaient cheznotre prestataire. Le bon sens quant à

Septembre 1997 ©SLPM1, rue des Fortes-Terres - Zone Portuaire

95310 SAINT-OUEN L'AUMONEResponsable de la publication : Hubert Renard.

Rédacteur en chef : Jean-Louis Thil.Comité de rédaction : Jean Boluda, Aline Chajmowkz,Valérie Diaz, Yves Conte, Philippe Martin, Yvon Pihen.

ISSN 1258-5246Conception • réalisation : Cap Pacific 01 47 57 50 60

lui nous rappela simplement ce sageet ancien adage : « II est plus facile devoir la paille dans l'œil du voisin quela poutre qui se trouve dans le nôtre ».Comme nous hésitions, il poursuivit :« II vaut mieux d'abord balayer de-vant sa porte,etc... ». O.K. !O.K. ! C'estbon, on y va !Nous avionscompris qu'il nenous lâcheraitpas comme ça.Une rencontrefut programméele 23 juin entre des responsables derétablissement de Basse-Ham et ledirigeant du secteur Grenaillage desEtablissements D'Huait. Le premiercontact s'est avéré fort enrichissantpour les deux parties. Après la visite

commentée des installations, les par-ticipants ont exposé leurs difficultéset contraintes réciproques.Un des intérêts de cette réunion futd'avoir permis à nos voix de sortir del'anonymat et ainsi d'améliorer nos

rapports à venir.Autre intérêt :elle a permis dedégager un cer-tain nombre depoints qui,après étude, de-vraient per-mettre la miseen place d'une

Charte Produit Service entre les deuxétablissements. Résultat : une priseen charge de nos véhicules facilitéeà leur arrivée aux EtablissementsD'Huart ; la relivraison directe duclient possible au départ du façonnier.

Basse-Ham pourrait faire l'économied'un contrôle lourd ainsi que d'untransport. A suivre donc.Pour ma part, je veux surtout conser-ver le caractère novateur de la dé-marche qui a "agréablement" surprisnotre "confrère". Outre l'ouverture,l'honnêteté et la transparence deséchanges, il convient de souligner lacertitude de tous les participants quenos compéti t ivi tés respectivesavaient plus à gagner d'une union desefforts et des compétences qu'en exa-cerbant la concurrence.Les bonnes idées ne coûtent pas pluscher que les mauvaises, dit-on.L'avenir nous dira si bon sens et in-novation constituent un cocktail qui adu peps.

Daniel Zehren, Basse-Ham

NDLR : Mais qui est BOB ?

ERRATUMToutes nos excuses à Lucien Meyer, responsable d'Exploitation de la Région Nord, qui a été "oublié" dans lalégende de la photo de tous les participants à la lre formation Topomaintenance (PALL n° 35, page 2, 2e rang).

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Mouvements

LYONLES PIONNIÈRES

Laurence Bras, seule femme Déléguée CommercialeDepuis combien de temps êtes-vous commerciale ?14 ans.

Pourquoi avez-vous voulu "prendre la route" ?Pour vivre une nouvelle expérience. "Commençant" àmieux appréhender le travail d'assistante commerciale,j'aspirais à connaître autre chose, à parfaire le métier decommercial métier "ludique" que j'apprécie.

Comment êtes-vous perçue par vosclients ?C'est peut-être à eux qu'il faudrait po-ser la question...

Pensez-vous qu'il y ait une différenceentre vos collègues masculins et vous-même aux yeux de vos clients ?Vraisemblablement, ils n 'ont pas lesmêmes réactions ou comportement. Parailleurs, il y a 10 ou 15 ans, je n 'aurais

pas été demandeur pour ce poste, du moins dans le do-maine de la sidérurgie.

Combien de kilomètres faites-vous par mois en moyenne ?De 1500 à 2000 km environ.

Le fait de "prendre la route" a-t-il changé quelque choseà votre vie de famille ou à vos relations avec vos col-lègues ?Non, si ce n 'est que ma nouvelle activité me mobiliseénormément, d'autant que j'ai beaucoup à apprendre.

Comment décririez-vous en quelques mots votre mission ?Représenter au mieux SLPM ; obtenir des parts de mar-ché : volume + rentabilité.

Encouragez-vous vos collègues féminines à suivre votrechemin ?Sans aucun problème !

SIÈGE

Christelle Borgne, lre femme cadreQuel est votre rôle dans la Société ?Le rôle de Responsable de la Comptabilité Fournisseurscomprend plusieurs aspects :- Contrôle de l'enregistrement et du règlement des fac-tures d'approvisionnement des marchandises, de trans-port, d'investissements et de frais générauxou Achats Divers.- Participation (active) à la conception, audéveloppement et au suivi des programmescomptables informatiques : Achats Divers,Saisie des Heures, dossiers d'améliorationquotidiens.La comptabilité analytique m'est revenuetout naturellement (car liée aux AchatsDivers) ainsi que le suivi des budgets.Au sein de l'EAT ComptabilitéFournisseurs / Comptabilité Générale,nous favorisons la polyvalence, ce qui induit un investis-sement personnel dans ce sens.

Elue première femme cadre SLPM, quelle a été votre pre-mière réflexion ?Ma réaction, tout d'abord : de l'émotion face à Jean-Louis Thil, alliant le geste à la parole : « Je suis très fierde serrer la main de la première femme cadre de SLPM ».Cette poignée de main symbolise les efforts fournis, uneconfiance et une reconnaissance mutuelle, une fierté par-tagée.A la réflexion, cette phrase est lourde de passé et d'ave-nir :- un passé "machiste" : j'ose prononcer le mot que vousdétestez, Messieurs ! Je reconnais (et vous vous en ré-jouirez !) que le s femmes n 'auraient pas pu, pour des rai-sons morphologiques évidentes, faire de la Sidérurgie cequ 'elle a été et ce qu 'elle est aujourd'hui. Mais avouezque les femmes n'envahissent pas les fauteuils de direc-

tion, les Comités de Direction ou les Conseilsd'Administration !!!- un avenir prometteur...

En parlant d'avenir, pensez-vous que SLPM ouvrira sespostes à responsabilité aux femmes ?Oui, le message a été lancé en octobre 96par Hubert Renard. C'est une chancepour vous Mesdames, mais aussi pourvous Messieurs qui pourrez apprécier lesqualités des femmes dans leur prise dedécision, leur organisation, leur appré-hension du travail, ... Elles vous ferontprofiter de leur sensibilité, de leur hu-manité et vous les "chouchouterez ", j ensuis sûre.J'espère sincèrement que d'autres

femmes deviendront bientôt cadres SLPM.Alors, Mesdames, à vos marques, prêtes, foncez !!.'Messieurs, à vos marques, prêts, abandonnez-vous !!!

NB : Christelle nous a chargés d'un message : « Un petitcoucou à Laurence Bras, devenue DéléguéeCommerciale. Bravo, Laurence ! »

» 26 ans.» Diplômée d'Anglais des Affaires de la Chambrede Commerce franco-britannique (1993) et del'Ecole Supérieure de Commerce de Lille (1994)

» 1994 : missions financières, budgétaires,commerciales à SLPM Lyon.

» 1995-96 : comptable de SIDERMETALAtlantique, filiale à 100 % de SLPM.

» Depuis novembre 96, au Siège de SLPMen tant que Responsable de la ComptabilitéFournisseurs (DAF).

Effectif au 31/07/1997dont Effectif à temps partiel(RTA/TPC/RPA) : 15 %

464

•DÉPARTS- GHELLA Christine IBasse-Ham/Cial)- FELTIN Daniel IBasse-Ham/Exploitation)- HIUARD Frédéric (Basse-Ham/Exploitation)- BECKER Bernard (iyon/Exp/o/Monj

- LABOUIÀIS Jean-Pierre (Le Havre/Cial)- ROCHER Claude (le Mans/Exploitation)

•ENTRÉE- GALLETAntony (St-Nazaire/Exploitaiionj

•MUTATIONS- MOSCATO Eric IPontoise/Cial àDenain/Cial)-FERRANTI Robert (Siège/DIN àLyon/Qualité)

•NAISSANCEPantoise/ExploitationBenjamin KONG-MEE né le 16/7/97

Effectif au 31/08/1997dont Effectif à temps partielIRTA/TPC/RPA):15%

461

•DÉPARTS• CHIPON Sylviane (Siège/DAP)• lÂBOULAIS Suzanne (St-Nazalre/Cialj• GUERRERO Josiane (Lyon/Exploitation)• SAPALY Dominique {Lyon/Exploitation)•DONON Philippe ISiège/DAF)

•ENTRÉES• SOW Amadou IPontoise/Exploitationj• MBtMBA Nseke pantoise/Exploitation)

•MUTATION• FLOIRAC Séverine (Bordeaux/Gaiau Havre/Cial)

•MARIAGEDenain/'CommercialEric MOSCATO le 28/8/97

MEMO SOCIALVous avez des enfants nés après le31 décembre 1973 oui poursuiventdes ETUDES SUPERIEURES, lesInstitutions de retraites CAPIM-MEC et IRPSIMMEC vous infor-ment de la reconduct ion desbourses d'études pour l'année sco-laire 97/98.Ces aides sont accordées selon cer-tains critères liés aux ressources.Vous avez la possibilité d'avoir deplus amples renseignements enprenant contact avec votre corres-pondante de paie ou par Minitel3614 code GMINFO.Ne tardez pas à vous procurer ledossier de demande, si vous pensezpouvoir bénéficier de ces bourses.Toute demande devant être formu-lée impérativement avant le 31 oc-tobre 1997.

Yves-Gérard Conte, Siège

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Formidable î PSG 5 - Bucarest 0Le tout récent gros titre du journal L'Equipe célébrait la victoire du PSG faceau STEAUA BUCAREST par 5 buts à 0.Pourquoi parler de la Ligue des Champions de football dans un article Sécurité ?Pour féliciter toute l'équipe SLPM qui, par sa volonté et son opiniâtreté, a, elleaussi, relevé un challenge et peut, à ce jour, titrer :

Formidable ISLPM 5 (mois) - Accidents avec arrêts 0

De mémoire, la Société n'a jamais pu se réjouir d'un tel résultat !5 • 0 ne relève pas du hasard mais d'un véritable changement d'état d'espritet de responsabilisation de chacun de nous tous. Ce score est la représenta-tion d'un objectif précis mis en place en début d'année, multipliant les ac-tions offensives contre les risques en se mettant dans des situations de dan-ger aussi rarement que possible.Aujourd'hui, ne relâchons pas notre vigilance alors qu'une étape importantea été franchie. Quels que soient nos espaces de travail, intensifions en équi-pe nos actions pour continuer à faire progresser le niveau de notre Sécurité.Je compte sur nous tous pour réussir. Michel Doussaint, Siège

0,6r

0,3

S O N D J F M A M J J A0,0

Taux de gravité sur 12 mois glissants

TG

S O N D J F M A M J J A

A partir du mois de septembre, la représentation graphique des taux de fré-quence et de gravité est transformée.Les courbes représentées sont le résultat de l'évolution de nos taux sur les 12derniers mois (le mois en cours "chassant" celui de l'année précédente). Onappelle cette forme de calcul : les 12 derniers mois glissants.Pour rappel, vous trouverez ci-dessous la méthode de calcul des chiffresSécurité. Elle est identique dans l'ensemble de la C.E.E., tous corps d'étatconfondus.Taux de Fréquence (TF) = Nombre d' Accidents du Travail avec arrêt x 1.000.000sur 12 mois glissants

Taux de Gravité (TG) =sur 12 mois glissants

Nombre d'heures travaillées

Nombre de Jours d'Arrêt x 1.000

Nombre d'heures travaillées

Audits AFAQ : sources d'améliorationD'octobre à décembre, l'ensemble de SLPM va être audité par l'AFAQ(Association Française d'Assurance Qualité).Le rôle de ces audits est de démontrer que nos systèmes Qualité vivent ets'améliorent grâce à deux outils essentiels :- les actions correctives et préventives- les audits internes.Les actions correctives et préventives contribuent à l'amélioration par l'éli-mination des causes réelles ou potentielles de non-conformité. Quant aux au-dits internes, ils permettent de détecter les non-conformités.L'AFAQ, représentée par des auditeurs, joue le rôle de nos clients ; c'est-à-dire qu'ils regardent les différents moyens mis en œuvre pour satisfaire nosclients.La Qualité étant un domaine très concret, pensons toujours à apporter despreuves tangibles à ce que nous disons. Chacun d'entre nous, quel que soit sonniveau, est acteur du système Qualité et participe aux améliorations.Les audits AFAQ constituent des regards extérieurs sur nos systèmes qui vontnous permettre de réaliser des actions de progrès.

Philippe Martin, Siège

Machine de production

DIADEMAfin de sécuriser les don-nées production et indus-trialiser le développement,le service informatique amis en place un projet degestion d'environnementcohérent.Avant : pour modifier unprogramme, l'informati-cien le récupérait de l'en-vironnement production(espace de travail dédié aux utilisa-teurs) vers l'environnement de déve-loppement (espace de travail dans le-quel le programmeur intervient surles programmes).Les programmeurs travaillant dans lemême espace, il y avait risque deconflit entre deux modifications.Après modification, le programmeétait transféré dans l'environnementtest. Pour bien tester, l'utilisateur abesoin de son contexte habituel(menu, imprimante,...), ce qui n'étaitpas le cas puisque les tests se fai-saient sur la machine de développe-ment.La mise en production nécessitaitl'arrêt des utilisateurs ou l'interven-tion de l 'équipe informatique leweek-end.Après : comme la machine de pro-duction est dédiée aux utilisateurs,

Machine de développement Après

tous les environnements de ce dernieront trouvé place (production et test).La machine de développement a étérépartie en 3 environnements :- référence : base d'analyse et pointde départ du processus de dévelop-pement.- développement : un environne-ment par développeur permet les mo-difications de programmes sansrisque.- intégration : le programme amé-lioré est transféré dans cet espace. Lechef de projet vérifie la conformitédes adaptations au cahier des chargesutilisateur, et à la logique globale deDIADEM.Grâce à ce projet, nous avons amé-lioré la qualité des développementsinformatique et abouti à la traçabili-té de tous les développements.

Baki Shimi

PONTOISE

Du sang neufQui est Lionel Mulard ?J'ai 26 ans. J'ai suivi pendant 3 ansune formation d'Ingénieur deProduction et de Maintenance parapprentissage. J'ai appris mon mé-tier sur le terrain chezTREFILEUROPE, filialede la Branche AciersSpéciaux d'Usinor. J'aien particulier mis en pla-ce la Topomaintenance etune maintenance préven-tive sur un parc de ma-chines. Puis je suis partifaire mon service national.Comment êtes-vous venu chezSLPM ?J'ai postulé à une annonce pour êtreResponsable de VEAT Maintenancede Pontoise. Je suis donc arrivé le 20mai dernier.En quoi consiste votre travail ?Ma première mission a été de prépa-rer les entretiens du mois d'août, encollaboration avec Philippe Auroy-Peytou, le Responsable Exploitationde la Région IDF/Normandie, etMichel Doussaint, de la DirectionIndustrielle. Il a fallu définir les tra-vaux à effectuer, contacter les sous-traitants, établir un planning des tra-

vaux pris en charge par le personnelde Pontoise et par les sous-traitants.En août, j'ai géré la réalisation destravaux, veillé au bon approvision-nement des pièces détachées et assu-

ré le respect des consignesde sécurité. Et j'ai aussigéré l'imprévu...Et maintenant ?Je dois remettre en parfaitétat de marche la ligneAuxmet pour la fin deVannée. A moyen terme,je dois mettre en place la

Topomaintenance suri'Auxmet, ain-si qu 'une maintenance préventive surles ponts roulants et sur la ligne. Jedois également mettre en place uneGMAO (Gestion de la MaintenanceAssistée par Ordinateur).Vous n'allez pas vous ennuyer ...Oh, non ! Mais j'ai la chance d'avoirune bonne équipe ! J'ai PhilippeBarré, qui est un spécialiste desponts, Mohamed Mokhtari etStéphane Jollois, qui ont une bonneexpérience de VAuxmet, et PatriceFunffrock, qui maîtrise la partieAchats pièces détachées que l'on vamettre dans la GMAO. Ensemble, onva faire du bon boulot.