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Un Noël enchantéIl est loin le temps où, enfants, la simple idée d’attendre Noël nous rendait heureux durant des mois. Pour nous autres, grandes personnes désenchantées, la préparation des fêtes

serait même plutôt une corvée. C’est un peu trop vite oublier que la

tradition fait quand même bien les choses : non, Noël n’est

pas qu’une longue liste de choses à faire et de babioles

à acheter… Ce rituel, qu’on le célèbre de façon religieuse ou laïque, est avant tout l’occasion de se réunir en famille pour vivre tous ensemble une jolie parenthèse de

bonheur…© Thinkstock

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Le choix de la cohérenceLa première règle impéra-tive est de ne pas s’éparpiller en piochant au hasard dans ses cartons de boules et de guirlandes. Ce n’est pas pour rien que, face à une personne portant des vête-ments bariolés qui ne vont pas ensemble, on lui fait re-marquer qu’elle « ressemble à un sapin de Noël » ! Le maître mot ici s’imprime en lettres capitales : C-O-H-É-R-E-N-C-E. Alors que la multiplicité des teintes devient très vite indigeste, la sélection de deux ou trois coloris permet au contraire de créer une harmonie agréable à l’œil. Quant aux nuances de tons à privilé-gier, tout dépend de l’effet que vous recherchez.

Une couleur, une ambianceTraditionnelle mais efficace, l’alliance de décorations rouges (rappel des pommes d’autrefois suspendues à ces mêmes branches) avec le vert naturel du sapin réu-nit encore aujourd’hui de nombreux suffrages. Et pour ajouter un peu plus d’éclat, quelques ornements dorés complètent élégamment

l’ensemble.Aux tons chauds rou-geoyants, vous pouvez pré-férer des couleurs froides mais douces. Les nuances bleues nuit mêlées à l’argent ou au blanc, confèrent un aspect féerique au sapin, comme une invitation à s’immerger dans la magie de Noël… À l’inverse, une dominante de tons crème mariés à des boules jouant la transparence, dégage une impression de pureté apai-sante lorsqu’elle agrémente un arbre blanc artificiel ou, pour un effet plus subtil, pâli à l’aide d’un aérosol et de cheveux d’anges.Il y a enfin ceux qui sou-haitent mettre en relief le caractère festif de Noël. La combinaison de l’or et de l’argent, rehaussé de guir-landes lumineuses dans les mêmes coloris est alors de mise. Effet « bling bling » ga-ranti ! Pour réellement bous-culer les codes traditionnels, il faut enfin oser le violet et le rose qui, savamment mêlés à une pointe de doré, apporteront une touche ex-centrique à votre fête.

Savoir doserL’harmonie d’un arbre de Noël ne se résume cepen-dant pas à ses couleurs. La disposition tout comme le

nombre des décorations, entrent également en ligne de compte.À défaut d’un schéma d’assemblage type, il est du moins nécessaire de départager les guirlandes, des boules et autres pen-deloques, afin de ne pas écraser le conifère sous un amas d’accessoires. À titre d’exemple, vous pouvez ainsi sélectionner une ou deux guirlandes bien four-nies et une autre lumineuse, qui créeront une conti-nuité en s’entrelaçant dans les différents niveaux du sapin. Quelques ornements – boules rondes ou ovales en fonction de la hauteur disponible – habilement sus-pendus sur l’extérieur des branches suffiront à parfaire le tableau.Ces diverses recommanda-tions doivent, bien entendu, s’adapter aux décorations que vous avez stockées au fil des années à la cave ou au grenier. Reste que, pour éviter l’impair, il faut accep-ter d’en laisser une grande partie dans les cartons et ne pas hésiter à changer d’ambiance d’une année sur l’autre, de sorte que ces parures puissent à nouveau susciter l’émerveillement de vos enfants.

La décoration du sapin, une question d’esthétiqueTout le monde le sait : les goûts et les couleurs ça ne se discute pas ! Néanmoins, afin d’éviter de désagréables commentaires polis mais gênés de vos invités souf-flant timidement que votre sapin a le mérite d’être « original », il n’est pas super-flu de recueillir quelques conseils pour réussir la décoration de votre conifère.

Chaque année, à l’approche de Noël, c’est la même ren-gaine : petits et grands rem-plissent le Caddie de calen-driers de l’Avent, faits de chocolats industriels, qu’ils auront fini d’engloutir bien avant la date fatidique. Et pour ne pas être pris la main dans le sac en plein délit de gourmandise, ils auront pris soin de rabattre les petites fe-nêtres du calendrier, comme si de rien n’était… Pour une fois, faites dans l’originalité en fabriquant vous-même cet objet tant convoité ! Même avec deux mains gauches, c’est possible. En « Avent », c’est parti !

Des tas d’idéesLes idées ne manquent pas pour confectionner à peu de frais son calendrier de l’Avent. Les magasins de loisirs créatifs regorgent d’accessoires, de tissus, de boîtes à décorer et les possi-bilités sont presque infinies. Avant de vous rendre dans un magasin près de chez vous, vous pouvez vous inspirer des diverses créa-tions que l’on trouve sur le net. Pour les moins doués, laissez-vous tenter par les nom-breuses boîtes

en forme de maison ou de sapin numérotées que l’on déniche dans le commerce. Vous aurez la structure de base, il ne vous restera plus qu’à les décorer avec de la peinture, des paillettes, des décorations de Noël, du masking tape etc.. Les plus créatifs réaliseront aisément des calendriers de l’Avent en tissu, en carton, en origami, avec des boîtes d’allumettes, des boîtes de conserve, des enveloppes ou des cartes postales qu’il suffira de cus-tomiser avec des perles, des pompons, des rubans ou des motifs autocollants. Vous pouvez aussi suspendre des pochons numérotés à votre sapin, à des branches de bois disposées dans un grand vase ou disséminer un peu partout les objets dans la maison. Pour faire plaisir aux en-f a n t s , orga-ni-

sez chaque jour une chasse au trésor en leur donnant un indice pour retrouver la case perdue.

Comment remplir son calendrierUne fois votre calendrier de l’Avent terminé, il vous restera à le remplir. Et pour cela, vous n’aurez que l’em-barras du choix. Si, à l’ori-gine, les calendriers étaient remplis d’extraits tirés de la Bible ou d’images pieuses, cette solution risque de lais-ser vos petits bouts sur leur faim… Quoi qu’il en soit, pour garder l’effet de sur-prise, garnissez-le à l’écart des enfants qui pourront ainsi découvrir chaque jour

ce que les cases leur réservent.

Bien sûr, vous pouvez op-

ter pour les clas-

siques

friandises ou chocolats qui raviront les marmots mais certainement pas leur den-tiste. Optez plutôt pour des petits objets à thèmes choi-sis en fonction du caractère de leur destinataire : des gommes et des tampons pour les bricoleurs, des savons et des vernis pour les coquettes, des tickets de manège et des billes pour les grands joueurs. Pour les adultes, des petits mots doux ou des photos de famille seront générale-ment appréciés. Il est aussi possible d’y glisser des petits cadeaux, des places de ciné-ma ou de spectacles, un bon pour un déjeuner, des bijoux fantaisie… Évidemment, le but n’est pas de se ruiner

avant les fêtes mais de per-sonnaliser ces présents

en fonction de la per-sonne à laquelle ils

s’adressent.

Un calendrier de l’Avent fait maisonTradition qui marque le début du mois de décembre, le calendrier de l’Avent permet aux petits comme aux grands de patienter jusqu’à Noël. Mais cette année, oubliez les chocolats et réalisez vous-même votre calendrier.

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Les fêtes de fin d’année, et en particulier le Nouvel An, sont l’occasion de sortir ses tenues les plus chics et de s’autoriser un maquillage de star. À cette époque de l’an-née, toutes les fantaisies sont permises à condition de ne pas tomber dans le make-up faux pas. Mais pour briller de mille feux, tout le monde n’a pas les moyens ni le temps de s’offrir une mise en beauté de pro. Voici donc quelques conseils pour être au top et dans la tendance avant de réveillonner.

Un teint de pêcheTout bon maquillage, qu’il soit festif ou non, doit com-mencer par le teint. Pour camoufler les petits défauts du visage, rien ne vaut un bon fond de teint qui couvre sans asphyxier la peau. Pour masquer les cernes et autres marques de fatigue, on compte sur l’illumina-teur, toujours bien pratique. Cette année, la tendance est encore au naturel. Nul besoin donc de forcer sur la poudre : on privilégie le teint nude et l’on se contente de rosir les pommettes pour un petit côté poupée russe…

Un regard profondSi vous souhaitez vous concocter un maquillage de fêtes qui reste dans la tendance, cette saison, les yeux se teintent de couleurs chaudes comme l’orangé, le pêche ou le chocolat. Faciles à porter, ces nuances s’adaptent à la plupart des carnations. Les plus clas-siques préféreront sûrement l’indémodable smoky eyes pour un regard charbon-neux. Il reste une valeur sûre pour un maquillage de réveil-lon. Mais pour le rendre un peu plus festif, on n’hésite pas à choisir des fards à pau-pières plus irisés ou à déposer quelques paillettes au ras des cils. Ensuite, on met le pa-quet sur le mascara ou alors, soyons fous, on s’autorise

des faux cils, véritable parure pour vos yeux. Si vous n’êtes pas très à l’aise avec la tech-nique du smoky eyes, optez pour une ombre à paupières blanche ou dorée en version pailletée. Classique mais tou-jours chic. Une fois vos yeux maquillés, n’oubliez pas de bien dessiner et de structurer vos sourcils.

Une bouche glamourAvant d’associer votre smoky eyes à une bouche rouge pétant, rappelez-vous les conseils de Cristina Cordula, madame mode et beauté du petit écran : « Ma ché-rie ! Maquiller les yeux et la bouche, c’est vulgaire ! ». Alors si vous avez un peu trop forcé sur le fard à paupières, gardez une bouche naturelle, simplement mise en valeur avec un gloss transparent. Le but n’est pas de ressembler à un sapin de Noël, même si on reste dans la thématique. Si au contraire, vous avez choisi de souligner plutôt vos lèvres, rendez-les glamours avec un rouge adapté à votre carnation. Cette saison, le bordeaux est aussi à la fête.

Des paillettes en-core des paillettesQui dit maquillage de fêtes dit forcément paillettes. Dans le vernis, sur les yeux, dans le mascara et même sur le corps, elles s’invitent partout. Bien sûr, vous pou-vez décider de les associer à votre mise en beauté mais elles feront aussi leur petit effet appliquées sur le corps, notamment sur les épaules ou le décolleté. Sur le visage, elles se posent sur les pom-mettes comme un blush, au ras des cils ou sous l’arcade sourcilière. Mais les cheveux ne sont pas en reste non plus car les paillettes viendront aussi sublimer une jolie coif-fure de soirée. Voilà, vous êtes désormais la plus belle pour aller danser…

Une mise en beauté de fêteNoël ou le Nouvel An approchent et vous avez déjà choisi votre tenue ainsi que les escarpins qui vont avec. Mais quid de votre maquillage, Mesdames ? Pour les fêtes, on dégaine les paillettes et les fards à paupières, en évitant toutefois de ressembler à une guirlande…

Tradition gastronomique incontournable en France, le foie gras règne en maître sur les tables de fête. Pour-tant, les cuisiniers amateurs considèrent souvent sa pré-paration comme un défi, et préfèrent donc l’acheter tout prêt. Dans les faits, pour le confectionner, rien de bien compliqué cependant, si ce n’est quelques gestes à acquérir. Il faut également disposer d’un certain temps devant soi : l’élaboration de cette recette réclame une certaine patience et le foie a besoin de reposer pour déve-lopper toutes ses saveurs. Dans l’idéal, on passera donc derrière les fourneaux une ou deux semaines avant la dégustation, sauf dans le cas des cuissons minute.

La méthode poêléeDans un premier temps, il va falloir choisir quelle pré-paration culinaire va venir

couronner votre réveillon. La recette la plus simple, quoique peut-être la plus coûteuse, est le foie gras poêlé. En effet, pour conser-ver son intégrité et garder une bonne tenue, celui-ci ne doit pas être déveiné. On coupe simplement des escalopes assez épaisses (au moins un demi-centimètre), avant de les disposer dans une poêle bien chaude. Le foie réduit beaucoup à la cuisson. Pour limiter les dégâts, il faut alors le retour-ner rapidement dès qu’il se met à grésiller, renouveler l’opération plusieurs fois, et le retirer du feu dès que la graisse commence à fondre. Ainsi, la chair demeurera rosée à cœur. On peut éga-lement déglacer la viande au champagne pour récupérer les sucs et obtenir une sauce très festive, que l’on épais-sira éventuellement avec un peu de miel.

Opération déveinagePour préparer une terrine, un foie gras au torchon ou une conserve, il va falloir passer par la fameuse et ter-rifiante étape du déveinage. Concrètement, on com-mence par séparer le foie cru en deux lobes, ce qui va permettre de repérer la veine principale. Il va falloir la retirer en tirant dessus dé-licatement. Il faut suivre son tracé pour parvenir à délo-ger toutes les veines secon-daires. Pour ce faire, on va inciser à intervalle régulier avec un couteau pour lui dé-gager le passage. L’opération est minutieuse et réclame beaucoup de patience. Tou-tefois, si le foie se brise, les morceaux se solidariseront de nouveau à la cuisson.Une fois la viande dénervée, on l’assaisonne (sel, poivre, sucre, mais aussi zestes d’agrumes ou fève tonka râpée par exemple, au goût de chacun) avant de procé-

der à la cuisson. Pour faire un foie gras au torchon, on va la rouler très serrée dans une étamine, attacher les ex-trémités puis la plonger dans de l’eau frémissante pendant une quinzaine de minutes.On peut également tasser le foie dans une terrine, l’arro-ser d’un vin blanc (sauternes, champagne, gewurztrami-ner…), d’un vin cuit ou même d’une eau-de-vie, puis le laisser mariner toute une nuit. On l’enfourne ensuite à basse température et on le fait cuire lentement au bain-marie.Terminons sur une Lapalis-sade : la conserve a l’avan-tage de se garder très long-temps. Il faut simplement veiller à ce que les bocaux soient bien propres. Une fois remplis et correctement fermés, on les plonge dans l’eau bouillante pendant une heure, puis on les stocke à l’abri de la lumière.

Version veggiePour les végétariens, sachez qu’il est également possible de préparer des substituts de foie gras, ou « tofoie gras », à base de tofu fumé. On peut parvenir à recréer la texture du foie, tout en parfumant le plat à l’aide de champignons et d’épices. Cela permet à ceux qui ne mangent pas de viande de partager un moment convivial avec les carnivores, en toute bonne conscience.

Fabriquer son propre son foie gras constitue un défi que bien des apprentis cuistots vont s’appliquer à relever pour Noël. Si la préparation n’est pas aussi complexe qu’on le pense, elle nécessite beaucoup de minutie.

Je fais mon foie gras

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Tandis que les petits Français attendent sagement que le traîneau du Père Noël survole leur maison, les enfants islan-dais, eux reçoivent la visite de treize Pères Noël ! Ces treize frères, appelés les Yule Lads, arrivent un par un, du 12 au 24 décembre, puis partent, un par un, du jour de Noël jusqu’à L’Épipha-nie, le 6 janvier. Dans leurs poches, point de cadeaux, mais des mauvais tours à foi-son ! Il faut avouer qu’ils ont reçu une piètre éducation. Leurs parents, Grýla et Lep-palúði, étaient des trolls très méchants : l’ogresse enlevait des enfants dans son grand sac de toile. Même Jólaköt-turinn le chat était mal éle-vé : si jamais vous n’aviez pas reçu de vêtements

neufs en cadeau, il déchirait les vieux de

ses griffes acérées. Heureu-sement, cette sinistre famille a aujourd’hui disparu, mais leurs garnements continuent à faire des farces dans les campagnes chaque mois de décembre, avant de repartir dans les hautes terres pour une année entière.Stekkjarstaur arrive le pre-mier : on peut l’apercevoir tandis qu’il descend de la montagne sur ses jambes raides qu’il est incapable de plier. Son jeu préféré consiste à effrayer les moutons.Son frère Giljagaur surgit le lendemain. Il file aussitôt embêter les vaches et voler dans les seaux la mousse de lait qu’il aspire avec délice.Puis vient Stufur. Court sur pattes, il porte une longue

barbe blanche et pleine de miettes. Et pour cause : il adore chiper les plats pour se régaler des restes de viandes et de fritures.Son frère Þvörusleikir, lui, se contente des cuillères, qu’il lèche avidement. Cela ne suffit cependant pas à le nourrir : il n’a que la peau sur les os !Quant à Pottaskefill, il se fau-file à son tour dans la cuisine pour passer en revue les pots et les conserves dont il racle le fond.Askasleikir, pour sa part, se montre prudent. Il se cache sous les lits et attend que les habitants se couchent pour s’emparer de leurs en-cas.Hurðaskellir n’est pas gour-mand : rien ne l’amuse plus que de claquer les portes pour réveiller en sursaut les dormeurs et leur faire peur !Skyrgámur voue une passion au yaourt, qu’il engloutit en douce jusqu’à s’en couvrir la moustache.Bjúgnakrækir, lui, préfère les mets qui tiennent davantage au corps, c’est pourquoi il dérobe subrepticement les saucisses quand on s’apprête à les fumer.Indiscret, Gluggagægir colle son nez aux fenêtres en quête d’un butin dont il pourrait s’emparer. Mieux

vaut bien cacher ses trésors quand ce larron rôde dans les parages !Avec son grand nez et son odorat affûté, Gáttaþefur repère de loin le pain de Noël, qu’il engloutit en une bouchée.Astucieux, Ketkrókur re-nâcle à se salir les mains. C’est donc avec un crochet qu’il subtilise la viande au nez et à la barbe des hu-mains.Quant au dernier frère, Ker-tasníkir, il suit les enfants pour leur voler leur bougie et les laisser pleurer dans la nuit !Voilà qui sont les treize filous de Noël. Une fois tous réu-nis, ils festoient ensemble, partageant les délices qu’ils ont chapardés le temps d’une journée. Chacune de ces fripouilles repart ensuite à son tour, dans l’ordre où elles sont arrivées, et les hu-mains reprennent enfin une vie normale, sans portes qui claquent ni placards vides.

Les treize Yule Lads islandais

Si nous devons nous conten-ter d’un seul Père Noël, les Islandais, eux, en ont treize. Voleurs, gou-lus, teigneux, ces fripouilles ont plus d’un tour dans leur sac à malices…

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Un conte de Noël islandais

1/ Qui doit rejoindre sa sœur Marie-Cécile pour le réveil-lon, à condition bien sûr que l’ascenseur se décide à marcher ?A. Marie-Ange Musquinb. Katiac. Pierre Mortez

2/ Dans Love Actually, quel célèbre acteur comique fait une apparition, fabriquant un paquet cadeau avec des pétales de roses et des bâtons de cannelle ?A. John Cleeseb. Benny Hillc. Rowan Atkinson

3/ Que déteste le Grinch ?A. Les chants de Noëlb. La bûche de Noëlc. Les cadeaux de Noël

Boules et guirlandes au cinémaVous ne ratez jamais une rediffusion de la bûche et vous répétez à tout bout de champ que « rien que d’avoir pensé que c’était Noël, c’est déjà for-midable » ? cela suffira-t-il a prouver que vous êtes incollable sur Noël au cinéma ?

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Noël sur grand écran

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1/ réponse A : Il s’agit bien sûr de Mme Musquin, interprétée par Josiane Balasko. Dans le film Le Père Noël est une ordure, elle se retrouve coincée deux fois dans l’ascenseur et joue de la trompette pour attirer l’attention des locataires.

2/ réponse c : Rowan Atkinson, connu surtout pour le person-nage de Mr Bean, incarne ici Rufus, un vendeur trop zélé.

3/ réponses A, b et c : Les trois. Incarné au cinéma par Jim Carrey, le Grinch est un monstre vert qui déteste Noël et tout ce qui s’y rapporte. Il vit en ermite et décide de gâcher le réveillon de Whoville.

4/ réponse b : Dans Maman j’ai raté l’avion, toute la famille est tellement excitée à l’idée de ce voyage en France qu’elle prend l’avion sans Kevin. Celui-ci va garder la maison et la protéger contre les cambrioleurs avec beaucoup d’astuce.

5/ réponse c : Un mogwai que Billy baptisera Gizmo. Son père l’a dégoté dans une petite boutique tenue par un vieux Chinois. Mais attention, dans Gremlins, il y a des règles : il ne faut pas exposer le mogwai à la lumière, ne pas le mouiller et, surtout, ne jamais lui donner à manger après minuit.

6/ réponse b : Dans le film du même nom, un petit garçon em-barque dans le Pôle Express pour aller vérifier que le Père Noël existe bien.

7/ réponse A : Maman poule, Molly Weasley a tricoté deux pulls où figure l’initiale des prénoms des garçons : un cadeau qui dé-çoit Ron mais qui touche beaucoup Harry, qui n’avait jamais rien reçu à Noël.

8/ réponse b : On ne compte plus le nombre de films et de séries inspirés d’Un chant de Noël, qui raconte l’histoire d’Ebenezer Scrooge, un vieil avare poursuivi par les fantômes des noëls pas-sés, présents et à venir.

9/ réponses b et c : Dans Piège de cristal, John McLane est confronté à des cambrioleurs qui tentent de se faire passer pour des terroristes. Deux ans plus tard, toujours à Noël, il doit faire face à de véritables terroristes dans un aéroport.

10/ réponse A : Niko, le petit renne est un film d’animation euro-péen sorti en 2008.

4/ Où la famille McCallister s’apprête-t-elle à passer le réveillon quand elle oublie le petit Kevin à la maison ?A. À San Franciscob. À Parisc. À Barcelone

5/ Quel cadeau de Noël l’inventeur Randall Peltzer offre-t-il à son fils Billy ?A. Un big footb. Un gremlinc. Un mogwaï

6/ Quel train permet de se rendre chez le Père Noël ?A. L’Orient Expressb. Le Pôle Expressc. Le Transsibérien

7/ Dans L’École des sorciers, quel cadeau Mme Weasley envoie-t-elle à son fils Ron et à Harry Potter ?A. Des pulls tricotés par ses soinsb. Un jeu d’échecc. Un hibou

8/ Dans quel film Bill Murray se retrouve-t-il soudain plon-gé dans un conte de Dickens ?A. Tout… sauf en familleb. Fantômes en fêtec. Miracle sur la 34e rue

9/ Qui vient gâcher le Noël de John McClane ?A. Le Père Fouettardb. Des cambrioleursc. Des terroristes

10/ Quel est le nom du petit renne qui s’entraîne à voler pour retrouver son père, membre de la brigade du Père Noël ?A. Nikob. Rudolfc. Vaillant

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Un conte de fête en rouge et orPour les fêtes, on se trans-forme en Petit Chaperon rouge au pays des princesses. Abandonnant panier d’osier et forêts obscures, on soigne notre total look rouge en l’agrémentant de rutilantes dorures triées sur le volet. Brodequins lamés, colliers de pampilles mordorées et larges étoles moirées nous entraînent dans leur sillage enchanté. De petites filles malicieuses tout d’incarnat

vêtues, nous voici devenues les reines du bal. Qui sait si, sur notre chemin, loin des crocs acérés du Grand Méchant Loup, nous ne finirons pas par croiser le Fa-meux Prince charmant qui nous attend depuis si long-temps ? À moins bien sûr qu’on ne lui préfère le très sexy Bûcheron, ce hipster avant l’heure, qui, bien plus d’une fois, a su nous mettre en émoi ?Pour être sûre d’attraper la

bonne proie, on soigne en tout cas son maquillage. Cette mise en beauté façon rouge et or impose un teint très soigné. On abuse du correcteur, on force sur les teintes nude, et l’on n’oublie pas, bien sûr, de se repou-drer le bout du nez. Sur la palette des fards, on choisit des teintes chaudes comme le brun, le bronze ou le cui-vré que l’on contraste avec des nuances plus sombres de

bleu canard, d’améthyste ou d’émeraude. Sur la bouche, on opte pour un rouge vif tout en légèreté, histoire de ne pas surcharger notre look de conte de fées éthéré. Ne reste plus qu’à se relever les cheveux en un chignon savamment négligé que l’on agrémente d’un précieux headband orné de feuillages dorés ou de pierreries rou-geoyantes… Oh, le grand méchant look que voilà !

Rubis sur canapéVous allez pouvoir croquer à cœur joie dans les canapés de foie gras sans craindre d’y laisser votre rouge à lèvres. Tout en transparence, ce lipgloss signé Artdeco habillera vos lèvres de jolis reflets rubis pour une bouche chic et pulpeuse.

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Prise sur le vifOsez le rouge jusqu’au bout des pieds avec ces escarpins multibrides à talon proposés par les 3 Suisses. Sexy en diable, ils électriseront vos tenues de fête…

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Poussière d’étoilesL’inoubliable vapo-poire de nos grands-mères est de retour ! Enveloppez-vous de magie avec cette version ultra-fémi-nine où le traditionnel parfum a cédé la place à une vaporeuse poudre paille-tée. Imaginé par Sothys pour sublimer nos tenues de fêtes, ce voile d’or illu-mine visage, cheveux et décolleté dans un nuage de sensualité.

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Dans vos petits souliersSi vous êtes plutôt du style réveillon intime, osez ces slippers de princesse signés Chatelles. Cendrillon n’a qu’à bien se tenir : une fois minuit passé, même le Prince Charmant n’y trouve-rait rien à redire si vous les gardiez aux pieds !

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Rythm and blouseS’il fallait un uniforme pour les fêtes de Noël, ce serait bien ce joli chemisier rouge brique à l’imprimé très rythmé. On le porte sur un bustier noir et or avec un pantalon fuselé et une paire d’escarpins hauts pour un look rock and glam à souhait.

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