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L’Armada Productions 11, rue du Manoir de Servigné 35000 Rennes 02 99 54 32 02 www.armada-productions.com Contact / Aminata 02 99 54 32 02 06 68 60 32 02 [email protected] RICK LE CUBE de Sati L’ODYSSÉE DE RICK LE CUBE RICK LE CUBE ET LES MYSTÈRES DU TEMPS Dossier pédagogique

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  • L’Armada Productions

    11, rue du Manoir de Servigné35000 Rennes02 99 54 32 02www.armada-productions.com

    Contact / Aminata02 99 54 32 0206 68 60 32 [email protected]

    R I C K L E C U B Ed e S a t i

    L’ODYSSÉE DE RICK LE CUBE RICK LE CUBE ET LES MYSTÈRES DU TEMPS

    D o s s i e r p é d a g o g i q u e

  • S O M M A I R E

    PrésentationLe genre « road movie »Le film d’animationPistes à suivre autour du spectacleLe son dans le spectacleLe son dans le filmExtraits sonoresRessources pédagogiques

    p. 3p. 4p. 5p. 8p. 10p. 11p. 12p. 13

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    L’Odyssée de Rick le Cube est un road movie audiovisuel où l’on suit l’aventure de Rick dans une succession de tableaux et d’ambiances diffé-rentes. C’est à travers un film d’animation réalisé par Jesse que nous suivons le voyage initiatique de ce petit cube qui a été entièrement modélisé par le biais de logiciels informatiques.

    La bande sonore du film d’animation est réalisée par Erwan, musicien. La dimension sonore du spectacle est riche puisqu’elle nous permet à la fois de découvrir des morceaux joués avec des instruments de musique et des brui-tages réalisés en direct sur la scène à l’aide de différents objets disposés dans des bacs transparents.

    Rick et les Mystères du temps nous présente la suite des aventures de Rick et nous permet de le retrouver là où nous l’avions quittés dans le premier spectacle. Les spectateurs embarquent dans un nouveau voyage insolite à travers différents mondes étranges qui ne manqueront pas de les séduire, même sans connaitre le spectacle précédent.

    La musique, l’animation et les bruitages sont là encore au coeur du spectacle. La principale nouveauté de Rick et les Mystères du temps reside dans l’utili-sation d’une nouvelle technique: le film d’animation est cette fois-ci réalisé en 3 dimensions. Ce dossier propose des pistes pédagogiques qui peuvent être utilisées pour les deux spectacles

    PRÉSENTATION

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    Le choix du genre road movie permet de faire un spectacle dans lequel on voyage à travers différents paysages avec chacun leur ambiance sonores et visuelle particulière.

    La succession d’ambiances éveille le spectateur à la dimension de voyage ini-tiatique : pourquoi le voyage est-il intéressant ? Qu’est-ce que le personnage découvre à travers son aventure ? A quoi est-il confronté? Quelles leçons peut-il tirer de ses experiences ? Le spectacle vous donne-t’il envie de voya-ger ? Pourquoi ?

    Dans le spectacle, la musique et le film d’animation sont pensés ensemble. Jesse et Erwan travaillent en étroite collaboration pour que la synchronisation entre les mouvements du personage et les bruitages/les musiques soit parfai-tement coordonnée.

    Voici quelques films qui appartiennent à la lignée des road movie cinémato-graphiques :

    LE GENRE ROAD MOVIE

    • « Le Vilain Petit Canard » de Hans Christian Andersen• « L’Age de Glace » de Chris Wedge et Carlos Saldanha• « Là-Haut » de Pete Docter et Bob Peterson.• « Le Magicien d’Oz » de Victor Fleming• « Easy Ride r» de Dennis Hopper.• « Paris Texas » de Wim Wenders.

    Le spectacle peut aussi être présenté comme une évolution moderne du ciné-concert traditionnel. A l’époque du cinéma muet (1890), un orchestre accompagnait systématiquement les films. Il peut être intéressant de montrer aux enfants un ciné-concert traditionnel, comme « Les Temps Modernes » de Charlie Chaplin pour les amener à observer les differences par rapport au ciné-concert de Rick le Cube.

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    Les films d’animation peuvent être réalisés avec des techniques différentes et les méthodes ne cessent d’évoluer en fonction des innovations technolo-giques et des cultures propres aux pays.

    2 DIMENSIONSDans la spectacle L’Odyssée de Rick le Cube, les artistes ont crée les images sur ordinateur et ont travaillé sur une technique qu’on appelle le collage nu-mérique.

    Cela consiste à prendre des éléments en photo pour ensuite les découper sur l’ordinateur afin de refabriquer un décor avec ces différents éléments.Cette technique permet de créer des images qui ont plusieurs textures, à la manière d’un patchwork, avec plusieurs motifs. Le film d’animation de L’Odyssée de Rick le Cube est donc réalisé en 2 dimensions : dimension de la largueur, et dimension de la longueur. Dans les films d’animation en 2D , il n’y a pas de profondeur ni de relief.Les premiers jeux video par exemple, étaient realisés en 2D. Pour créer les personnages, on les dessinaient en se souciant de deux axes seulement. Cela donne un effet “d’applatissement”. L’intérêt de ce type de composition est qu’on peut choisir les éléments fixeset les éléments mobiles pour créer de l’animation sur l’écran. C’est ce qui donne un rendu de décor fixe, un peu comme au théâtre.

    3 DIMENSIONSDans le specatcle Rick le Cube et les Mystères du Temps, le film d’animation est réalisé en 3 dimensions. Contrairement à ce que l’on peut penser, les films d’animations en 3 dimensions n’ont rien à voir avec les films que l’on peut voir avec des lunettes 3D au cinema.La 3 dimension désigne une technique particulière de réalisation. Pour réaliser un fim d’animation en 3D, on créee des personage par le biais de logiciels informatiques en se souciant non seulement de leur longueur et leur largeur mais aussi de leur profondeur. Ainsi, on peut donner du relief au personage. Cela permet alors des mouvements de camera autour du personage que l’on peut voir sous tous ses angles.

    Quelques films d’animations realisés en 3D : Là-Haut, Wall-E, Toy story, Rata-touille, Cars…

    LE FILM D’ANIMATION

    Technique de réalisation

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    Sur cette première image on peut voir une réalisation en 2 dimensions, les éléments ont été collés sur le paysage comme des photos.

    Sur cette seconde image, on observe que le personage de Rick a été réalisé en 3 dimensions, on voit qu’il a du relief. La paysage a également de la pro-fondeur. On observe aussi le travail effectué pour render les ombres realistses. Le but est alors que les éléments apparaissent comme ils sont dans la réalité.

    Une comparaison en images pour bien comprendre la difference entre la 2 dimensions et la 3 dimensions

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    L'idée est de passer à la pratique pour mieux comprendre comment on créé une image animée, pour réaliser ce que représentent le travail des artistes et le temps nécessaire demandé à l'animation.

    Comme dans tous les films, l'important est de respecter les différentes étapes :

    Pour la création des personnages, un conseil : créez des pantins avec des attaches parisiennes qui permettent de

    faire des mouvements à l’image.

    A FAIRE EN CLASSE : Création d’un film d’animation

    • Création du scénario• Mise en place du storyboard (def : découpage du scénario

    d’un film où chaque scène est illustrée par un ou plusieurs dessins. Celui-ci permet de se repérer sur les scènes-clé et de garder le fil de l’histoire une fois en place sur le tournage)

    • Conception des personnages et des décors (selon le mode de prise de vue choisi, possibilité d’utiliser toute sortes de matériaux).

    • Si c’est un film muet, il peut être important d’y ajouter des onomatopées pour souligner les actions.

    • Mettre en place le décor dans un lieu dédié.• Installer le matériel de prise de vue• Décider des responsables des mouvements des person-

    nages.• Commencer la réalisation photographique image par image.

    Une fois tout les éléments en main pour passer à la réalisation, suivez ces étapes :

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    Il est nécessaire de visionner des films pour se faire une idée représentative de la diversité de la production des films d’anima-tion. Voici une très courte sélection, de quoi donner envie d’aller plus loin. Pour accéder à ces films – ou extraits de films, il est possible de les trouver sur le site Youtube.

    • Dessin animé, image par image (Blanche Neige et les Sept Nains, Walt Disney, 1937).

    • Film d’animation en volume (Mary & Max, Adam Elliot, 2009)• Film d’animation en papier découpé (Le Conte des Contes,

    Youri Norstein, 1979). • Stop motion (Western Spaghetti, PES, 2009).• Peinture animée (Muto, Blu, 2008)

    1 DECOUVERTE DE PLUSIEURS FILMS D’ANIMATION

    Il est important de pratiquer pour bien saisir le travail de création.

    • Fabrication d’un thaumatrope (explication page suivante).• Réalisation d’un flip book avec les dessins des élèves (ou

    folioscope : livret de dessins qui, feuilleté très vite, avec la persistance rétinienne, donne une illusion de mouvement). Il faut imaginer un dessin animé assez simple et les faire tra-vailler avec des calques. Cela accélère la production et per-met une plus grande ressemblance.

    • Montage d’un stop motion (film d’animation conservant l’idée de l’image par image avec une captation des images faite avec un appareil photo).

    Activité possible : lors du visionnage des ces films, demander aux enfants quelles ont été les techniques utilisées.

    PISTES À SUIVRE AUTOUR DU SPECTACLE

    IDEES DE TRAVAUX PRATIQUES A REALISER EN CLASSE2

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    Création d’un stop motion avec les pantins des super-hérosL’idée est de colorer et de fabriquer son super héros avec les pantins donnés à la sortie du spectacle. Créer un ou plusieurs décor(s) pour le(s) personnage(s) et imaginer une histoire courte à mettre en scène. Avec un appareil photo, la saisie image par image des mouvements du pantin permet de comprendre le mécanisme de l’image animée. Il existe des logiciels très simples d’utilisation et des sites internet qui permettent de monter les images en ligne.

    Découverte de la relation image/son dans un film d’animationEssayer de comprendre le champ lexical des ambiances visuelles. L’intérêt est d’analyser les éléments mis en scène pour créer des im-pressions de danger, de peur, de rêveries, de joie... Cet exercice joue sur la relation image et son et permet de comprendre comment des sentiments sont créés à travers une histoire.Possibilité de faire cet exercice sur un film court d’animation.

    Conception de l’objet :

    • Imaginer un dessin avec deux parties distinctes (un jongleur et ses balles,unchatetunesouris,unpoissonetunbocal,del’herbeetdesgomettes). Les dessiner et calquer sur deux carrés distincts.

    • Utiliser des couleurs vives pour que cela fonctionne davantage.• Superposer les deux feuilles et vérifier si elles se complètent bien (par

    transparence).• Mettre de la colle sur le bâtonnet et les deux feuilles et les fixer en-

    semble.• Faire tourner rapidement le bâtonnet entre les mains et regarder les

    deux images se superposer.

    Le thraumatope est un jeu d’optique que l’on crée en dessinant deuximages différentes qui se superposent sur les deux faces d’une mêmefeuille. En le faisant tourner rapidement, les deux dessins se superposent créant une illusion de mouvement.

    Matériel : • 1 feuille blanche coupée en

    deux carrées de même taille• 1 baguette en bois• 1 bâtonnet de colle• De quoi mettre en couleur les

    dessins

    PISTES DE TRAVAIL A FAIRE EN CLASSE3

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    LE SON DANS LE SPECTACLE

    La multidiffusion :Une des particuliarités du spectacle Rick le Cube et les Msytères du temps, est l’utilisation de la multidiffusion.Pour aider à discerner les différentes composantes de la bande son du film d’animation (bruitages, musique jouée en direct, sons d’ambiance pré-enre-gistrés), les différents sons sont diffusés à partir de différentes sources, diffé-rentes enceintes positionnées dans la salle.

    • La musique est diffusée par les enceintes qui se trouvent de chaques côtés de la scène, face au public

    • Les bruitages (déplacements de Rick), proviennent d’enceintes disposées à gauche et à droite de l’écran.

    • Les sons d’ambiances viennent de devant et derrière les spectateurs.

    • L’objectif est alors de rendre cette diffusion mouvante et vivante, pour plonger les spectateurs dans le spec-tacle.

    Il est nécessaire de visionner des films pour se faire une idée représentative de la diversité de la production des films d’animation. Voici une très courte sélection, de quoi donner envie d’aller plus loin. Pour accéder à ces films – ou extraits de films, il est possible de les trouver sur le site Youtube.

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    LE SON DANS LE FILM

    « Passer d’entendre à écouter »

    Il s’agit dans un premier temps d’éveiller les enfants à l’écoute, aux sons, de faire prendre conscience aux élèves des bruits qui les entourent : dans la rue, à l’école, dans la forêt, près d’une route… On peut de même jouer aux journalistes sonores en enregistrant des sons (moyens de transports,etc). On peut profiter des déplacements de la classe dans différents endroits pour fermer les yeux et écouter (le visionnage du film «Rouge comme le ciel» peut servir de déclencheur à la curiosité sonore, voir ci-dessous).

    Des objets qui accompagnent notre quotidien peuvent révéler, grâce à de nouveaux gestes, des possibilités musicales étonnantes : on peut les transformer en « corps sonores ».

    Quelques exemples (parmi une infinité !) : Métal : tige filetée, grille, tôle, roue de vélo... Plastique : tuyaux semi rigides, bouteilles plastiques, ballons de bau-druche... Autres : bocaux de verre, bouteilles de verre, coquilles Saint-Jacques, coquillages, clous, graviers, pots de yaourt...

    Le geste du bruiteur aura beaucoup d’incidence sur le son : frottement, roulement, souffle, etc...

    A FAIRE EN CLASSE :

    Que ce soit des dialogues, des voix, de la musique ou du bruitage, le son au cinéma donne la vie aux images. Comme Rick le Cube donne à voir la réalisation sonore en live, il est im-portant que les enfants profitent de ce spectacle pour suivre sur scène les musiciens et tentent de saisir l’importance des matières dans le rendu sonore.

    Un film qui permet une belle entrée dans l’univers des sons est « Rouge comme le Ciel » de Cristiano Bortone. Ce film, inspiré de la vie de Mirco Mencacci, un des ingénieurs du son les plus talentueux d’Italie, a été primé de nombreuses fois dans des festivals liés à l’enfance. Il peut per-mettre de s’initier aux bruitages du

    cinéma, s’éveiller à l’écoute des bruits, et montrer des astuces du brui-tage, de la pêche aux sons... Intéressant à visionner avant le travail de recherche de sons, de nom-breuses pistes d’analyse sont possibles.NB : La partie sur les bruitages se situe surtout dans la 2e partie du film.

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    Ce court-métrage humoristique donne un exemple de bruitages rigolos faits avec des objets insolites du quotidien (klaxons, jouets «pouetpouets» pour enfants) et avec la voix. Un fond sonore enregistré d’oiseaux en pleine na-ture est également présent pendant tout le film.

    Attention, Il existe de nombreuses versions de ce « For the birds ». Voici un lien possible :http://www.youtube.com/watch?v=MOiyD26cJ2A

    L’excellente chorale slovène Perpe-tuum Jazzile montre des possibili-tés de bruitages impressionnants en chorale. Ici, elle met ses talents en oeuvres dans un spot publici-taire pour de l’eau en bouteille.

    lien : http://www.youtube.com/watch?v=M0h9cb32RIc

    « Music for one apartment and six drummers » est un court métrage dans lequel la frontière entre bruit et musique est très mince. Les seuls sons créés sont issus d’ob-jets du quotidien qui créent une ryth-mique.

    Activité possible : Les élèves peuvent essayer de trouver ce qui a été utilisé pour chacun des bruits.

    EXTRAITS SONORES

    « For the birds » : court-métrage de Pixar

    « Radenska » par Perpetuum Jazzile

    «Music for one apartment and 6 drummers» de Ola Simonsson (Extrait à choisir sur internet)

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    RESSOURCES PÉDAGOGIQUES

    • « Réaliser un film d’animation en classe », Claire Pailarhey, col-lection Approches, 2009.

    • « Le Cinéma d’animation », Bernard Guénin, collection Les petits cahiers, CNDP-Les cachiers du cinéma, 2003.

    • « Les effets spéciaux », Réjane Hamus-Vallée, Les cahiers du ci-néma, 2004.

    OUVRAGES PEDAGOGIQUES

    CENTRES DE RESSOURCES• Cinémathèque françaiseLa Cinémathèque française est une association créée en 1936 et re-présente une des archives les plus célèbres dans le monde grâce à la richesse de ses collections.

    • L’équipéeL’équipée est une association qui milite pour le développement du cinéma d’animation qui propose plusieurs actions pédagogiques tout au long de l’année ainsi qu’un festival sur le film d’animation. Son site internet est bien renseigné et possède un lexique des métiers du cinéma en volume. L’objectif est de faire comprendre à l’enfant les principales étapes de fabrication d’un film d’animation en volume, en mettant en avant les 10 métiers et outils qui les composent.

    http://www.lequipee.com/fr/outils_pedagogiques/

    • Motion GraphicUn site qui présente un ensemble complet de fiches sur l’animation avec des fiches pratiques, des conseils en techniques, des analyses de dessins animés, des liens vers d’autres sites voisins.

    http://www.motiongraphic.net/index.htm

    • AnimatoPour comprendre de manière simple le procédé de fabrication d’un film d’animation, Animato possède plusieurs vidéos qui montrent bien l’évolution et la construction à partir de différentes techniques d’ani-mation.

    http://www.saunalahti.fi/~animato/

    • Flipbook.infoPour découvrir davantage l’univers du flipbook, petit livre à animer image par image, ce site en recense plus de 6000.Il suffit de cliquer dessus pour découvrir un petit film.

    http://www.flipbook.info/index2.php

    SITES INTERNET