Revue de presse Gens du Huit mai

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jean -francois pocentek « Une écriture de la mémoire. Jean-François Pocentek va vers l’ autre et nous restitue son histoire avec émotion et une profonde humanité et ceci dans une très belle langue. » Odile Bonnel revue InterCDI

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Revue de presse : Gens du Huit mai de Jean-François Pocentek

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jean -francoispocentek

«  Une écriture de la mémoire. Jean-François Pocentek va vers l’ autre et nous restitue son histoire avec émotion et une profonde humanité et cecidans une très belle langue.  »

Odile Bonnelrevue InterCDI

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Collection - La SentinelleGens du huit mai de Jean-Francois Pocentekparution mai 2010

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ÉDITIONSRevue de presse 2012

La Voix du NordCécile Legrand - Steeland

7 Octobre

AULNOYE-AYMERIESAssociation pour le donde sang bénévole sectiond’Aulnoye-Aymeries �Les besoins en sang total sontde plus en plus nombreux. Lapériode des vacances n’a per-mis de couvrir que les besoinsdes services hospitaliers et ilfaut maintenant reconstituerles stocks nécessaires pourmaintenir un niveau de réserveoptimale. La consommation deproduits sanguins a augmentéde 3,5 % au cours du premiersemestre 2012 soit environ40 000 dons de sang supplé-mentaires. Tous les volontai-res (anciens donneurs, don-neurs habituels et surtout nou-veaux donneurs) sont invités àse présenter le jeudi 15 novem-bre. Les collectes de plasmasont momentanément suppri-mées pour se consacrer audon de sang total.Accueil périscolaire ma-ternel � Vous êtes à la re-cherche d’un mode de gardeavant et (ou) après l’école pourvotre(vos) enfant(s). Une solu-tion adaptée à vos besoins :l’accueil de loisirs périscolaire.Un mode de garde permanent(pour les familles qui tra-vaillent) ou un mode de gardeponctuel (pour parer à tous lesimprévus). Il accueille les en-fants scolarisés des six écolesmaternelles d’Aulnoye-Ayme-ries avant et après la classe.Ouvert de 7 h 30 à 8 h 30 et de16 h 40 à 18 h 40 les lundis,mardis, jeudis, vendredis. Ilpropose des activités de dé-tente, d’éveil et de découvertequi permettent à l’enfant decommencer et de terminer lajournée à son rythme. Tarif : se-lon les ressources mensuellesnettes, de 0,61 € à 3,05 € del’heure.Rens. : Maison de la Petite enfance,rue Parmentier, � 03 27 53 25 50.

BACHANTHalloween � L’office des fê-tes et de la culture (OFC) orga-nise un concours de maisonsdécorées sur le thème d’Hal-loween. Les dix premiers duclassement final seront récom-pensés.Inscriptions en mairie avant le ven-dredi 19 octobre.

BERLAIMONTAmicale laïque � Assem-blée générale, le jeudi 11 octo-bre, à 18 h, dans les locaux del’amicale, place Mandron. Or-dre du jour : bilan moral ; bilanfinancier, bilan des différentesclubs ; bilan des activités2011/2012 ; perspectives2012/2013 ; questions diver-ses.CARAC � La section localede l’Union nationale des com-battants présente ses excusesaux adhérents et amis pour leschangements de dates (indé-pendants de leur volonté) desprochaines permanences de laCARAC prévues les 11 octobre,15 novembre et 13 décembre,de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à16 h 30, au local de la placeMandron.Possibilité de prendre rendez-vous au� 03 27 67 30 55

EN BREF

En 2010 paraissait « Gens duhuit mai », de Jean-FrançoisPocentek. Un carnet comme un« journal intime », fruit dequatre mois d’immersion etd’entretiens – denovembre 2008 à mars 2009 –avec les habitants du quartierdu 8-Mai, à l’époque pasencore « déconstruit ». Retour,avec l’auteur, sur cette« aventure humaine ».

PAR CÉCILE [email protected] « LA VOIX »

Jean-François Pocentek n’a jamaishabité le 8-Mai. C’est vrai. Mais,des semaines durant, il s’en est im-prégné. Au fil des rencontres avecses interlocuteurs, ses « témoins »,comme il dit. Ou plus simplement.« S’appuyer contre un mur, mar-cher dans le quartier… J’allais àl’épicerie acheter un truc dont jen’avais pas besoin. Je discutais. J’aimême pris le temps de m’ennuyer.On connaît bien un endroit quandon y a vécu le temps de l’ennui. »

Jean-François Pocentek n’a jamaishabité le 8-Mai. Et alors ? La ma-tière première de son livre, c’estdans les souvenirs des gens qui l’apuisée. Avec un mot d’ordre :« Respecter la parole des habi-tants. »

Eux qui, dans les premières minu-tes de discussion, soutenaientqu’ils ne se souvenaient de rien.Que ce qu’ils avaient à dire n’étaitpas intéressant. « Rien n’était ba-nal, rien n’était extraordinaire.Tout se valait, tout devait être en-tendu. » Lui n’a rien inventé. Ni lesmeilleurs souvenirs, ni les heuressombres. « Ce quartier a vécu desannées glorieuses, il fallait en ren-dre compte autant que la fin horri-ble et les choses très difficiles vécuespar les gens. Je n’embellis pas, je nenoircis pas. »

Cette « aventure humaine », il ladoit à une rencontre, un peu for-tuite, avec Françoise Hannappe, di-rectrice de la médiathèque. L’idée agermé d’imaginer un texte autourde ce qu’avaient vécu les habitantsdu quartier promis aux grues. « Cen’était pas un travail d’historien oude sociologue (…). Ce n’était pas unecommande officielle. Je n’étais paslà pour faire la communication de lamairie, dire que la médiathèque estextraordinaire. Ça a été une rencon-tre réelle avec les habitants. » Et unvrai partenariat avec la médiathè-que.

La récompense ? « Le plaisird’écrire ». Le souvenir « de vraissourires et de vrais coups de cœur »,aussi. « Je n’ai pas fait semblant

d’être là, les gens n’ont pas fait sem-blant de me parler. » Pas de faux-semblants, donc, dans cet ouvrageconstruit comme « un carnet in-time ». L’écrivain se rappelle aussila soirée de restitution du livre auxhabitants et du « retour d’émo-tions ». Il a encore la vidéo dansson ordinateur. « C’était la veilledu jour où devaient commencer lestravaux de démolition. »Il y a un mois ou deux, Jean-Fran-çois Pocentek est retourné au8-Mai. « J’ai marché dans le quar-tier. J’étais physiquement très déso-rienté. L’avant n’est plus là. On sen-tait une absence, sans mythifier lepassé. Comme si on avait gommé.On blanchit le tableau, on redessinemais il reste des traces de l’ancien.Tout n’est pas encore fait. C’est nor-mal. C’est un quartier que je senssans histoire, sans racines. Mais el-les vont se faire. »Jean-François Pocentek n’a jamaishabité le 8-Mai. Le quartier, pour-tant, l’habite encore. « Quand il ya, dès le départ, une réelle volontéde laisser la parole ouverte auxgens, alors la grâce se produit. » �

� « Gens du huit mai (et d’autres quar-tiers du monde) », 75 pages, de Jean-François Pocentek. Éditions La Contre-allée.

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« Ce quartier a vécu desannées glorieuses, il fallaiten rendre compte autantque la fin horrible. »

« Je n’ai pas fait semblantd’être là, les gensn’ont pas fait semblantde me parler. »

« La Voix du Nord » Avesnesest sur Facebook !Suivez l’actualité du secteuren nous rejoignantsur notre page. Rendez-vousà l’adresse suivante :

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Jean-François Pocentek, un écrivain queles « Gens du huit mai » n’ont pas quitté

INTERNET

RAIL & ACIER, UNE ÉPOPÉE COMMUNE

L’écrivain s’est attaché à dresser un portrait sincère du quartier,dans un jeu de clair-obscur littéraire.

« Gens du huit mai » a été conçu comme un journal intime, pat-chwork d’émotions et de souvenirs. PHOTO ARCHIVES « LA VOIX »

Vous voulez partager une photo, une anecdote,un souvenir à propos du quartier du 8-Mai ?

Après avoir abordé l’histoire du chemin de fer etcelle de Vallourec, nous nous penchons désormaissur le quartier de la place du 8-Mai : le quotidien, lesloisirs, les animations du centre social, la médiathè-

que... Envie de nous en parler ? Contactez-nous :

� La Voix du Nord, 3 rue Cambrésienne à Avesnes� 03 27 61 01 41 ou [email protected]

� Centre social et culturel Guy-Môquet, rue Mira-beau. � 03 27 66 54 32.

. AULNOYE-AYMERIES ET ALENTOURS 15

LA VOIX DU NORDDIMANCHE 7 OCTOBRE 2012

1309.

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c’est la pluie, le ciel bas, mais aussi une terre de migrants venus du soleil, Arabes ou Italiens, à cause du travail qui apportent avec eux leurs cou-tumes. Sylvie ne sait plus si, ici, place du 8 mai, elle a vécu les meilleures ou les pires années de sa vie, parce qu’il y avait le soutient des autres mais aussi la violence, la drogue qui l’ont rendue peu-reuse et méfiante. « Qui a menti Nordine ? Per-sonne. » et tout se brouille avec l’alcool, la combat syndical, les fins de mois difficiles, le licenciement, le chômage et les maigres allocations, la révolte contre les injustices, le mal de vivre qu’on essaie d’oublier « Mais ce n’est pas peine de trop touiller ce qui est du jus saumâtre ». Sur cette place, il y a aussi une bibliothèque où l’on vient lire, emprunter des livres ou des disques, faire « provision de rêve » ou faire des rencontres pour le simple plaisir de voir des gens ou des silhouettes de femmes. On y parle de soi, on vient y faire partager un peu de sa vie, les joies, les peines, les doutes, les deuils... . Il y a ceux qui restent et ceux qui chaussent leurs « se-melles de vent » parce que l’appel de l’ailleurs est le plus fort... et qui reviennent ! Ce n’est pourtant pas un lieu idyllique et la violence, parfois gratuite, s’y exprime aussi. Ici on lit les auteurs au hasard ou en respectant l’ordre alphabétique, c’est selon, mais il y a aussi les conseils et le sourire de « la dame aux livres »... Ce lieu va être « déconstruit » (pas démolis) mais malgré ce qu’en dit l’auteur il y a toujours un peu de tristesse dans ce mot, même si ce qui viendra sera plus moderne, plus fonction-nel... J’ai rencontré les textes de Pocentek par hasard sur les rayons d’un bibliothèque publique. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire (La feuille volante n° 414- 417- 420- 421) j’ai bien aimé cette belle écriture qui est le témoin de « semaines de collectage de paroles d’habitants », elle parle simplement de ces tranches de vie, des gens, de leurs malheurs et de leurs moments de bonheurs, leurs souvenirs, leurs secrets. J’aime cette petite musique des mots, cette nostalgie douce que j’ai retrouvées ici avec autant de plaisir.

Comprenez, « les gens de la place du 8 mai 1945», une date qui marque la fin de la deuxième guerre mondiale et qui s’inscrit probablement en lettres blanches sur fond d’émail bleu de la commune d’Aulnoye-Aymerie (Nord). Ce sont eux qui ont inspiré cet ouvrage à l’auteur qui préfère parler d’une « création » à partir de témoignages col-lationnés entre octobre 2008 et mars 2009, lors d’une « résidence » dans cette commune. C’est donc à la fois un livre de souvenirs, à la fois intimes et collectifs, des lambeaux d’enfance avec des images qu’on n’oublie pas « J’allais lui raconter tous les genoux écorchés, les chaises posées sur le devant des portes, les fils à linge décrochés quand le charbon arrivait... », un retour aussi dans un décor familier mais presque fantomatique « Les parpaings ont commencé de clore les yeux et la bouche des maisons des en-allés, pour que d’autres, en mal de logement, ne puissent venir y prendre refuge ». Dans ce « pays d’enfance » qui « a des allures de terre sacrée » on évoque des jeux où parfois on endosse la panoplie d’un personnage ( Un-deux-trois Cho-co-lat-Meu-nier – Zorro, Thierry la Fronde...), l’arrivée (tard, au bloc Havret) de la télé en noir et blanc qu’on allait voir chez un voisin ou qui marquait un mo-ment de la journée. « Trois bouts de musiquette et la boite à nostalgie se remet en route ». Tout n’est cependant pas idyllique et là comme ailleurs « le sublime a dû côtoyer le grotesque comme le rire tutoyait les larmes ». A travers les souvenirs des habitants, on remonte à l’après-guerre des bidonvilles, de l’entre-aide, de la solidarité, de la débrouille. On vivait simplement « oui, c’était une autre époque, Ginette... », puis c’est l’arrivée du confort avec le déménagement au bloc Havret, la rencontre d’anciens et de nouveaux voisins, un monde qui se recompose, comme avant. Et quand on quitte ce paysage pour quelques rares jours de vacances, ce n’est jamais pour longtemps ! Le Nord, c’est l’accent qui chuinte, la baraque à frites, l’usine, les jardins-ouvriers, la Sambre, le canal et les péniches qui passent, la messe du di-manche, la lutte des classes, l’école pour le enfants, le cimetière où l’on parle aux morts... Le Nord,

La Feuille volanteHervé Gautier

Avril

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Deux semaines d’animations et d’initiatives

LA MUNICIPALITÉ ET SES PARTENAIRES SE MOBILISENT EN FAVEUR DES DROITS DE L’ENFANT uatorze ans que la munici-palité d’Aulnoye-Aymeries, avec beaucoup de partenaires institutionnels et associa-tifs, se mobilise pour que les droits des enfants soient non

seulement reconnus mais surtout pratiqués.

Cependant, malgré d’importants efforts hu-mains et financiers consentis, des enfants ont faim, sont victimes de sévices corporels et/ou psychologiques, souffrent d’insuffisances, de négligences voire d’ « abandon » sur le plan de leur éducation en général. Notre commune at-tache un soin particulier à travers ses structures à veiller au bien être des plus jeunes.

Merci aux enseignants et aux animateurs du Centre Social du 8 mai, aux équipes du CAMSP, de Synergie, de la Maison de la Petite Enfance, des Bains-Douches, la Médiathèque qui se mo-bilisent toute l’année et plus spécifiquement à l’occasion des journées consacrées aux Droit de l’Enfants. Débat, jeux, expo, ateliers artistiques,

« musée à l’école »… figurent parmi les nom-breuses animations qui ont été proposées aux enfants. Au cours de ces 2 semaines de novembre, les animateurs, avec beaucoup de conviction et d’énergie ont mis en évidence tout ce qui se fait tout au long de l’année au béné-fice des enfants. Mais en 2010, l’équipe de préparation a souhaité donner, da-vantage encore, la parole aux jeunes eux-mêmes en organisant un concours de poésies illustrant ce que les jeunes imaginent en terme des « Droits de l’en-fant ». Huit classes ont participé : cinq de l’école du Sacré-Cœur, deux classes de Joliot Curie et une de Pierre Semard. Après délibération du jury, le

CP du Sacré-Cœur a été le grand gagnant du concours. Mais bien entendu, toutes les classes ont été récompensées par un jeu et un livre. Le succès aidant, les organisateurs affichent la vo-lonté de renouveler l’opération.

Q

Actualités Aulnoye info n°156 Janvier 2011

www.aulnoye-aymeries.fr

Le livre « gens du 8 mai » est paru

HISTOIRES SIMPLES DE GENS « EXTRA ORDINAIRES »vec la parution de l’ouvrage de Jean-François Pocentek, édition La Contre Allée, un livre s’est ouvert et une page s’est refermée sur l’histoire du quartier du 8

mai et de ses habitants.

Dernièrement, à l’école Anne-Frank, l’auteur de « Gens du 8 mai », Benoît Verhille, l’éditeur lillois, Françoise Hannappe, directrice de la Médiathèque à l’origine de cette « aventure » et le service de la Politique de la Ville ont or-ganisé une réception officielle pour remettre ce livre en mains-propres aux habitants. Cet ouvrage leur appartient, il raconte avec les mots de l’auteur, leurs morceaux de vie mêlés de souvenirs heureux, dou-loureux, de regrets et de générosité quotidienne entre ces « gens » de la place 8 mai, du bloc Havret et de la Commune de

Paris : « On était amis avec tout le monde. On était tous pareils, on était mélangés. C’est des mots comme solidarité, entente, entraide, je crois… On s’était fait d’amitié avec les gens, les gens d’ici, les gens d’ailleurs, les gens de plus loin encore ». Un témoignage parmi d’autres mais qui sont emprunts de la même lucidité : « les six années que j’ai passées là, avec mon mari, avec mes enfants, me font encore chaud au coeur. On vivait une entente formidable. C’était l’entraide. On ne gagnait pourtant pas énorme. Cette ambiance-là, vous ne l’aurez plus jamais, parce que les gens s’aidaient et qu’au-jourd’hui, ils se foutent les uns des autres... ». « Gens du 8 mai » est un ouvrage qui nous interpellent et que chacun devrait avoir

en bonne place dans sa bibliothèque pour ne jamais oublier ces gens, ce quartier. His-toires simples de gens « extra ordinaires ». Une page s’est refermée. Demain comment ça s’appellera ici ? Nouvelle place du 8 mai ?

« Gens du 8 mai »Edition La Contre AlléeEn vente 12 Librairie par Mots et Merveilles > rue du 145e RI à Maubeuge. Possibilité de passer commande à la Média-thèque d’Aulnoye-Aymeries. Bon à savoir : livre en prêt à la Médiathèque

A

JanvierAulnoye Info

infoinfoinfoinfoinfoinfoAulnoye

Ouverture du nouveau lycée équipé d’une salle de sport de 1000 places

0111

Magazine d’Information de la ville d’Aulnoye-Aymeries

Janv i e r2 0 1 1numéro 156156q

Le programme d’un été dans ma villeLire en pages 4, 5, 8.

Le Maire et le Conseil Municipal vous souhaitent une bonne année et vous invitent à la cérémonie des voeux, le vendredi 14 janvier 2011,à 18h30, à la salle Jean Lempereur

SportChampionnes les filles !Lire en page 5 AménagementLeclerc s’installera en centre ville

Lire en page 4

à la cérémonie des voeux, le vendredi 14 janvier 2011,à 18h30, à la salle Jean Lempereur à la cérémonie des voeux, le vendredi 14 janvier 2011,à 18h30, à la salle Jean Lempereur

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Locales / Avesnes sur Helpe 6 DécembreLa Voix du Nord - Marie Castro

Les habitants qui ont inspiré l’ouvrage « Gens du Huit Mai » ont reçu l’ouvrage-souvenir en mains propres, vendredi

Du côté des Lobjois-Dehaese, on est venu en fa-mille. Marie, la maman, Camille et Daniela, les filles et Dominique, la grand-mère ont toutes quatre raconté leurs tranches de vie, commune de Paris. Si la famille dans son intégralité a démé-nagé, chacune a un souvenir particulier. « Je me suis confiée avec un peu d’appréhension, mais cela a réveillé mes souvenirs de petite fille. J’allais sou-vent à la bibliothèque place du 8-Mai. le quartier va changer ... », remarque Marie. L’écrivain Jean-François Pocentek s’est inspiré des moments de vie récoltés pour conter les aventures de la place du 8-Mai.

Et c’est l’édition lilloise La Contre Allée s’est char-gée de matérialiser l’action.

« Notre ligne éditoriale « Mémoire et société » souligne les problématiques sociétales actuelles, qu’elles soient sous la forme de mutations ur-baines ou de friches industrielles, explique l’édi-teur Benoît Verhille. Il y a une dimension locale dans l’ouvrage Gens du Huit Mai, mais pas trop non plus. Cette problématique d’urbanisme qui change, l’attachement à un endroit se retrouve aussi ailleurs. Nous nous sommes intéressés à la double lecture de l’ouvrage. » Et le maire Bernard Baudoux de rappeler le projet d’écriture : « Ce livre est un cadeau pour la ville, pour les gens. On n’a pas voulu reconstruire le quartier et changer l’histoire sans que les habitants ne racontent la leur ! »

| MÉMOIRE |

Ils avaient participé aux entretiens qui ont donné naissance au livre « Gens du 8 Mai » écrit par Jean-François Pocentek, ...

cadeau mémoire du quartier aulnésien en recons-truction (notre édition du 3 décembre). Les habi-tants qui ont livré à l’écrivain leurs souvenirs de la Commune de Paris, la résidence Havret et la place du 8-Mai étaient présents, vendredi soir à l’école Anne-Franck. Ils ont reçu en mains propres le bel ouvrage imprimé et relié, entourés des élus du ser-vice de la ville, du maire Bernard Baudoux et de l’équipe de la médiathèque. Parmi eux, Patricia Macé (née Manesse), qui habite désormais Leval mais qui a passé son enfance au bloc Havret.

« Je me souviens surtout de l’entraide entre voi-sins, des enfants qui jouaient ensemble. On était entourés de pâtures, explique Patricia. Mais au fur et à mesure les gens ont déménagé de l’immeuble pour habiter dans les maisons qui se construisaient derrière. Les voisins ont changé, l’atmosphère aussi. » Si Patricia a quitté Aulnoye depuis plus de dix ans, à chaque fois qu’elle passe devant la résidence Havret, elle jette un coup d’oeil à l’ap-partement de la résidence où elle vivait avec sa famille : « Revoir les fenêtres de la salle à man-ger, des chambres, forcément ça rappelle des sou-venirs. » Alors, lorsqu’elle songe à la disparition prochaine du bloc, bâtiment phare d’un quartier qui sera « reconstruit, pas démoli », forcément, la Levalloise est un peu émue.

Patricia a vécu son enfance au bloc Havret, la famille Lobjois-Dehaese a connu la commune de Paris.

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Locales / Avesnes sur Helpe 3 DécembreLa Voix du Nord - Marie Castro

Ce soir, Jean-François Pocentek remettra « Gens du Huit Mai » aux habitants du quartier qui ont fait naître

le livre-souvenir

exemple les deux Sylvie citées dans l’ouvrage, celle qui « a vécu place du 8-Mai les meilleures années de sa vie », et celle, en revanche, qui « y a vécu les pires ». Qui a menti ? Personne. Les percep-tions, les sensations des habitants sont différentes et viennent apporter leur pierre à l’édifice dusouvenir du quartier avant qu’il ne soit « dé-construit (pas démoli) ».L’écrivain a couché ses mots sur le papier, mais en restant fidèle à la parole de ces gens qui se sont appropriés le quartier. « Ce qui était important, c’était d’avoir la confiance des gens, d’écouter leur partage d’émotions et surtout de ne pas trahir leurs propos. » Originaire du Valenciennois, l’au-teur a mené des expériences similaires aux quatre coins de la France.L’écrivain a choisi les morceaux de son choix et construit, à partir des éléments donnés, les person-nages et leur univers. « Tout ce que j’ai récolté en entretien ne donnait pas matière à histoire. En revanche, tous les témoins que j’ai rencontrés pourront se dire à la lecture du livre : «Ah oui, ça, on en avait parlé».À l’heure où le quartier du 8-Mai se refait une beauté, Gens du Huit Mai est un beau cadeau-souvenir qui restera dans les rayons de la nouvelle médiathèque. Un recueil qui plaira aux Aulné-siens mais saura aussi captiver les autres lecteurs, par sa plume accrocheuse, ses histoires émou-vantes ou rigolotes. Comme l’indique la citation de l’écrivain Michel Torga au début de l’ouvrage : « L’universel, c’est le local moins les murs. » Et Jean-François Pocentek de renchérir : « C’est très ancré place du 8-Mai mais les gens de l’Aude pourraient s’y retrouver ! »

| MÉMOIRE |

Le quartier du 8-Mai décrit et immortalisé sur le papier à travers les anecdotes ... et les tranches de vie de ses habitants, voilà ce que cache le titre du dernier ouvrage de Jean-François Pocentek, « Gens du Huit Mai », écrit en partenariat avec la médiathèque et le service « politique de la ville » de la municipalité. « Une création », comme aime le rappeler l’écri-vain collecteur de paroles qui a construit son ré-cit à partir de témoignages récoltés entre octobre 2008 et mars 2009, lors des premières phases de travaux dans le cadre de l’Anru. Ce soir, l’écrivain Jean-François Pocentek remettra le livre en mains propres, à la médiathèque d’Aulnoye-Aymeries, aux participants de l’aventure. Inutile de vouloir deviner qui sont Patricia, Sylvie, Dominique ou Driss, « j’ai changé tous les prénoms », précise Jean-François Pocentek en quatrième de cou-verture. Le bloc Havret, la Commune de Paris, la place du 8-Mai, la médiathèque, l’ancien café le Manhattan, à travers ce « carnet intime », ce sont ces lieux phares du quartier qui, par la parole des habitants revit sous la forme d’anecdotes : les parties de jeu « Chocolat Meunier » (rebaptisées aujourd’hui 1, 2, 3 Soleil), l’entraide entre voisins, les bavardages au moment de pendre ou dépendre le linge, mais aussi le bruit et les bagarres...

« À la fois Chicago et la Petite italie »

« J’ai rencontré des gens qui ont vécu des choses dans ce quartier, de la petite fille à la grand-mère. Le livre n’est ni tout rose, ni tout noir, le 8-Mai, c’était à la fois Chicago et la Petite Italie », ex-plique Jean-François Pocentek qui prend pour

Jean-François Pocentek a col-lecté une trentaine d’heures de témoignages qu’il a retrans-crites pour écrire l’ouvrage.

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| Hainaut |

Ce vendredi, à partir de 18 heures, la média-thèque d’Aulnoye-Aymeries accueille l’écrivain « collecteur de paroles » Jean-François Pocentek.

Il viendra présenter son livre « Gens du Huit Mai » (éditions La Contre Allée), né de rencontres

et d’ateliers menés avec les habitants du quartier aulnésien en pleine reconstruction. Si l’auteur a volontairement changé les prénoms des personnes qui ont apporté leur pierre à l’ouvrage grâce à leurs témoignages, les Aulnésiens retrouveront la place du 8-mai, le bloc Havret et feu le bâtiment commune de Paris.

Actualité / l’info en continu / Hainaut 29 NovembreLa Voix du Nord

Actualité / l’info en continu / Hainaut 2 DécembreLa Voix du Nord

| Hainaut |

Ce jeudi matin, à Prisches, l’antenne de la mé-diathèque départementale du Nord accueillait l’écrivain Jean-François Pocentek, auteur de l’ou-vrage «Gens du 8-Mai» ainsi Françoise Hannape, directrice de la médiathèque d’Aulnoye-Aymeries, structure à l’initiative du livre en partenariat avec la politique de la ville aulnésienne.

« Gens du 8-Mai » a été écrit à partir de la col-lecte de témoignages d’une trentaine d’habitants du quartier du 8-Mai, dans le cadre de la réha-bilitation de la zone qui englobait les résidences Commune de Paris et Havret ainsi que la place du 8-Mai.

Le livre sera offert, vendredi, aux personnes qui ont participé à sa rédaction, lors d’une réception à la médiathèque d’Aulnoye-Aymeries.

Aulnoye : «Gens du Huit Mai», le livre est paru

plus loin encore ». Un témoignage parmi d’autres mais qui sont emprunts de la même lucidité : « Les six années que j’ai passées là, avec mon mari, avec mes enfants, me font encore chaud au coeur. On vivait une entente formidable. C’était l’entraide. On ne gagnait pourtant pas énorme. Cette am-biance là, vous ne l’aurez plus jamais, parce que les gens s’aidaient et qu’aujourd’hui ils se foutent les uns des autres… ». « Gens du huit Mai » est un ouvrage qui nous interpelle et que chacun devrait avoir en bonne place dans sa bibliothèque pour ne jamais oublier ces gens, ce quartier. Histoire simple de gens « extra ordinaires ». Une page c’est refermée. Demain comment ça s’appellera ici ? Nouvelle place du Huit Mai ?

« Gens du huit Mai » Edition La Contre Allée en vente 12 euros source : Ville d’Aulnoye

Avec la parution de l’ouvrage de Jean-François Pocentek, édition La Contre Allée, un livre s’est ouvert et une page s’est refermée sur l’histoire du quartier du Huit Mai et de ses habitants. Dernière-ment, à l’école Anne-Franck, l’auteur de «Gens du Huit Mai», Benoît Verhille, l’éditeur lillois, Fran-çoise Hannappe, directrice de la médiathèque à l’origine de cette «aventure» et la Direction de la Politique de la Ville ont organisé une réception officielle pour remettre ce livre en main propre aux habitants. Cet ouvrage leur appartient, il ra-conte avec les mots de l’auteur, leurs morceaux de vie mêlés de souvenirs heureux, douloureux, de regrets et de générosité quotidienne entre ces «gens» de la place Huit Mai, du bloc Havret et de la Commune de Paris : « On était amis avec tout le monde. On était tous pareils, on était mé-langés. C’est des mots comme solidarité, entente, entraide, je crois… On s’était fait d’amitié avec les gens, les gens d’ici, les gens d’ailleurs, les gens de

Novembre - n°68Avesnois News

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Magazine Le NordChristophe Bonamis

DécembreÉDITIONSRevue de presse 2010

Action sociale et santé : des professionnels à votre écoute

ACTUSChèques APA :mode d’emploi

BALADEDes pains aux couleurslocales

ON AVANCE !DOSSIER

L E M A G A Z I N E D E V O T R E D É P A R T E M E N T

Deux nouveauxcollèges HQE font leur rentrée

À SECLINIl adore vous

sonner les cloches

DÉCEMBRE 2010 - N° 242ÉDITION MÉTROPOLE

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Collection - La SentinelleGens du Huit mai de Jean-François Pocentekparution Mai 2010

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Jean-François Pocentek, Gens du Huit mai

disputes, les drames, les bagarres, l’alcool, la dro-gue. Un très beau passage sur la médiathèque avec le sourire , la parole, la chaleur des « Dames aux livres ». Certaines anecdotes sur les habitués sont hilarantes !Une écriture de la mémoire : Jean-François Po-centek, attentif, va vers l’autre et nous restitue son histoire avec émotion et profonde humanité et ceci dans une très belle langue. Il est aussi l’auteur du remarquable Café des Immobiles chez Lettres vives. O.B.

Un portrait du Nord d’avant et d’aujourd’hui, le rouge de la brique, les frites-mayo, les bleus de travail, les chaises devant les portes pour discuter, les jardins ouvriers, la ducasse… L’auteur écoute, recueille, met en mots les récits d’habitants de quartiers d’Aulnoye-Aymeries qui ont été « dé-construits (pas démolis) reconstruits ». Tel celui du 8 mai où la médiathèque a dû faire ses cartons aussi. La solidarité, l’entraide, la débrouillardise, la convivialité, au café Manhattan, le marché du dimanche, l’épicier arabe… Mais il y a aussi les

Septembre -OctobreInterCDICahier des livres

livresSeptembre

Magazine Le Nord

Ce joli petit ouvrage narre avec nostalgie, ten-dresse et vivacité, la vie d’un quartier dans une ville du Nord, le Huit mai. Un quartier commeil en existe partout. Avec ses petites histoires, ses figures locales. Jean-François Pocentek, Valencien-nois de naissance, partage ses souvenirs, son ado-lescence avec une plume aussi incisive qu’agréable à lire.

Soirée littéraire à la médiathèque !

Originaire de l’Avesnois, Jean-François Pocentek collecte puis écrit des athmosphères et des souve-nirs. Sa plume sobre, concise et imagée porte une littérature à la fois très accessible, intime et – ne craignons pas de le dire - très bonne.

Il est notamment l’auteur d’une trilogie de textes courts : Le Café des immobiles, L’Ecluse des inu-tiles et La patience des goléands, ainsi que d’une série de « Cahiers », co-écrits avec des personnes dont il collecte la parole.

18 septembre20h59.come

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Ecoute-voirSeptembre

L’ Echo du 62 - Jean-Yves Vincent

L'est conme ch'cat,i'arké toudissu ses pattes

DOSSIER en pages 16 et 17

Sept. 2010- no111ISSN 1254-5171

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p. 10

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Thomas Simart

Catherine Gendrin