revue de presse 2009 de la sexothèque

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REVUE DE PRESSE 2009 - Association des Petits Débrouillards de Lorraine Sidaction : 's'exprimer et s'explorer' SEXOTHÈQUE Vosges Matin Saulxures-sur-Moselotte 30/01/2009 http://www.vosgesmatin.fr/ Organisée par l'association "les petits débrouillards de Lorraine, l'animation dite "Sexothèque" a été appréciée par la jeunesse. A partir de modules ciblés, les adolescents ont pu se renseigner et s'exprimer de façon plus précise.

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Les articles 2009 de la sexothèque

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Sidaction : 's'exprimer et s'explorer'

SEXOTHÈQUEVosges MatinSaulxures-sur-Moselotte30/01/2009http://www.vosgesmatin.fr/

Organisée par l'association "les petits débrouillards de Lorraine, l'animation dite "Sexothèque" a été appréciée par la jeunesse.

A partir de modules ciblés, les adolescents ont pu se renseigner et s'exprimer de façon plus précise.

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Le CFA pionnier de la prévention du Sida

SEXOTHÈQUEVosges MatinArches06/02/2009http://www.vosgesmatin.fr/

Les jeunes du CFA profitent, une semaine durant, d’une exposition sur les maladies sexuellement transmissibles

M. Fremont, directeur du CFA d'Arches, M. Nasson et toute l'équipe enseignante accueillent pendant une semaine une exposition pédagogique animée et interactive.

Cette action est financée par le Conseil général.

La sexothéque est un outil éducatif innovant, de prévention et d'information active sur la thématique de la sexualité, animée en permanence par un animateur. Emilie, itinérante en Lorraine, est ainsi venue hier au-devant de son public de jeunes apprentis en formation au CFA d'Arches.

Les objectifs de cette action sont d'informer et de sensibiliser les jeunes sur les dimensions biologiques mais aussi sociales de la sexualité, les inciter à être critiques et réfléchis sur leurs comportements sexuels et favoriser leur accès à la culture scientifique et technique sur la thématique de la sexualité.

Un pôle "équipement et mode d'emploi" explique l'anatomie et le fonctionnement des organes génitaux masculins et féminins, un autre pôle ""métamorphose ou transformation" complète les connaissances sur la croissance, la puberté, le développement et la maturité sexuelle (les organes internes et externes, caractères sexuels primaires et secondaires, les hormones, la personnalité…) mais aussi un pôle laboratoire où les questions les plus taboues sont enfin posées.

Eviter les infections

Ici, les jeunes apprennent à éviter les infections sexuellement transmissibles comme le Sida (moyens de transmission et de prévention, comportements sexuels et hygiène intime…) où là encore, des jeux interactifs leur permettent d'évoluer, d'apprendre et de comprendre la nécessité de la prévention.

Grâce à cette action, les jeunes vont être conscients des dangers, vont acquérir les connaissances essentielles à leur protection et à celle des autres. Le CFA montre l'exemple à suivre avec le slogan " mieux vaut prévenir que guérir".

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Prévention santé sur la sexualité

SEXOTHÈQUESanté magazine 02/01/2009

La Fondation d’Entreprise Prévadiès participe au financement d’une exposition itinérante par l’association « Les petits débrouillards de Lorraine ». Au moyen d’animations, de débats participatifs, la Sexothèque abordera l’anatomie, la reproduction, les moyens de contraception, la prévention des IST et du SIDA pour informer et sensibiliser les jeunes de 13 à 25 ans. Pour obtenir plus d’informations, le blog : http://blog.debrouillonet.org.

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La sexualité abordée au collège Saint-Clément

SEXOTHÈQUEVosges MatinMartigny-les-Bains 06/03/2009http://www.vosgesmatin.fr/

Les maladies sexuellement transmissibles, les grossesses non désirées et les IVG justifient l'exposition sur la sexualité proposée en ce moment aux collégiens.

"S'explorer et s'exprimer". Tel est le thème de l'exposition interactive sur la sexualité qui est proposée aux élèves de 4e et de 3e du collège Saint-Clément toute cette semaine.

Émilie Baudez, animatrice de l'association "Les petits débrouillards de Lorraine", est présente pour répondre aux questions, donner des informations et entraîner les élèves dans une démarche de réflexion scientifique.

À l'âge où les adolescents s'éveillent à la sexualité, on ne peut que saluer l'initiative du collège, le but de cette exposition étant de les inciter à être critiques et réfléchis dans leurs comportements sexuels.

Cette exposition permet ainsi aux collégiens de découvrir des stands ludiques et de réaliser des expériences scientifiques qui vont leur permettre de mener une réflexion sur les comportements à risques. Les sujets qui préoccupent les jeunes, comme le sida et les hépatites, sont abordés.

Prévention et information

Le thème de la sexualité nécessite d'être abordé, face notamment à la recrudescence du nombre des IVG (interruptions volontaires de grossesse) ou des grossesses précoces non désirées chez les jeunes filles. Qui ne se souvient pas du cas de ces jeunes adolescents anglais qui ont fait l'actualité il y a quelques semaines ?

Cette exposition est un bon moyen de prévention et d'information sur le sujet.

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La vie affective contée par les jeunes

SEXOTHÈQUEVosges MatinRemiremont07/03/2009http://www.vosgesmatin.fr/

Les jeunes adolescents venus du quartier du Rhumont ont activement participé à ce stage

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CFR de GugnécourtGugnécourt14/03/09http://www.cfr-gugnecourt.com

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Information et prévention au CFR avec l'association des petits débrouillards

Les petits débrouillards de Lorraine ont installé leur atelier-exposition intitulé "sexothèque" dans les locaux du CFR pendant toute la semaine du 02 au 06 mars 2009.Cette association de culture scientifique et technique dispose d'une antenne sur Epinal depuis deux ans. Actuellement, elle sillonne la région avec une exposition sur la sexualité, exposition qui a été créée modulable et interactive et s'adapte à l'âge des élèves. Elle est toutefois interdite au moins de 12 ans. Elle accueille des groupes de vingt-cinq personnes environ durant 4 heures sur trois espaces bien différenciés : s'explorer, s'expérimenter et s'exprimer.Sous forme de manipulations, de questionnements ou sous forme de jeu, les élèves et adultes présents au CFR durant cette semaine ont pu bénéficier d'une information riche, variée, et complémentaire des programmes de leur formation.Initiée par Jennifer Gogien, formatrice d'expression et de communication au CFR, et animée par Emilie, salariée de l'association des petits débrouillards, la "sexothèque" a permis aux jeunes de s'exprimer, de questionner, de mettre fin à certaines idées reçues et de répondre à nombre de leurs questions. Il existe en effet un manque cruel d'information pour cette tranche d'âge exposée à tous les risques sexuels associés (MST, SIDA, grossesse non désirée, etc).La "sexothèque", concept novateur, est complémentaire des programmes d'information des organismes spécialisés (planning familial, AIDES, etc).Prochainement, la "sexothèque", s'installera dans les locaux de l'IME de la Voivre à Epinal et de Châtel-sur-Moselle, et s'adaptera à un public de jeunes handicapés.

( D'après l'article de Vosges Matin du 18 mars 2009)

SEXOTHÈQUE

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Une sexothèque au centre de formation

SEXOTHÈQUE

Les petits débrouillards de Lorraine sont venus installer leur sexothèque dans les locaux du CFR.

Cette association de culture scientifique et technique dispose d'une antenne sur Epinal depuis deux ans. Actuellement, elle sillonne la région avec une exposition sur la sexualité, exposition qui a été créée modulable et interactive et s'adapte à l'âge des élèves. Elle est toutefois interdite au moins de 12 ans.

Elle accueille des groupes de vingt-cinq personnes environ durant 2 h sur trois espaces bien différenciés : s'explorer, s'expérimenter et s'exprimer. Sous forme de manipulations (mise en place d'un préservatif par exemple) et de questions (Depuis quand l'homosexualité n'est plus un délit en France ?) ou sous forme de jeu, les élèves de première BAC et de première BTS ont pu bénéficier d'une information riche, variée et complémentaire des programmes de leur formation.

Initiée par Jennifer Gogien, formatrice de français et de communication au CFR de Gugnécourt et animée par Emilie, salariée de l'association des petits débrouillards, cette sexothèque a permis aux jeunes de s'exprimer, de questionner, de mettre fin à certaines idées reçues et de répondre à nombre de leurs questions. Elodie admet : " je ne connaissais que les principaux moyens de contraception, on nous parle toujours des mêmes !" ou encore Estelle qui "se rend compte que les droits de certains groupes de populations sont très récents."

Il existe donc un manque cruel d'information pour cette tranche d'âge exposée à tous les risques sexuels associés (MST, SIDA, grossesse non désirée, etc).

La sexothèque, concept novateur, est complémentaire des programmes d'information des organismes spécialisés (planning familial, AIDES, etc). Prochainement, la sexothèque s'installera dans les locaux de l'IME de la Voivre à Epinal et de Châtel-sur-Moselle, et s'adaptera à un public de jeunes handicapés.

Ophélie, Floriane, Julie, Elodie, Alexandra, Chloé et Estelle ont choisi de créer un roman-photo pour parler de prévention.

Vosges MatinGugnécourt18/03/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Vosges MatinBulgnéville02/05/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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La sexothèque informe les adolescents

SEXOTHÈQUE

Durant deux journées, au sein de la maison familiale et rurale de Bulgnéville, Émilie Blandez, animatrice pour l'association "Les petits débrouillards dans la Lorraine" présentait une exposition pédagogique interactive sur le thème "La sexothèque, s'explorer et s'exprimer".

La sexothèque, qui est un outil éducatif et de prévention, a plusieurs objectifs : informer et sensibiliser les jeunes sur les dimensions biologiques et sociales de la sexualité ; les inciter à être critiques et réfléchis sur leurs comportements sexuels ; favoriser leur accès à la culture scientifique et technique sur la thématique de la sexualité ; favoriser leur participation et l'émergence de projets locaux autour de la thématique et accompagner des projets locaux déjà existants.

L'importance de cette animation est d'établir le dialogue entre les jeunes et Emilie Blandez, c'est ainsi qu'étaient abordés librement en réponses aux questions des élèves : l'anatomie, les maladies sexuelles, l'ovulation, les préservatifs féminins et masculins, le respect des autres…

Le jeu, le travail en groupe, les ateliers spécialisés, les lectures disponibles, les expositions, permettaient de travailler ces thématiques : "équipement et mode d'emploi" (physiologie, fonctionnement du système génital et production des gamètes), "métamorphose ou transformations" (croissance, puberté, développement et maturité sexuelle), "IST, à toi de jouer" (transmission et prévention des infections sexuellement transmissibles, Sida), "le choix est grand" (fécondation, transmission de la vie, moyens de contraception), "liberté, égalité et sexualité" (sentiments, jeux amoureux, sexualité et loi, homophobie, sexisme)…

Ces deux jours ont été très positifs pour les élèves. Tous sont d'accord pour dire : " On croyait tout connaître, mais on se rend compte qu'on ne connaît presque rien. C'est donc très bien, on a beaucoup appris."

Cette exposition itinérante, reste dans les Vosges jusqu'à la fin 2009. Elle sillonnera ensuite un autre département. Renseignements pour les Vosges au 03 29 35 46 55 ou sur [email protected] ou sur http :\\apdlorraine.free.fr

Les adolescents ont participé à de nombreux ateliers destinés entre autres à les informer sur les dimensions biologiques et sociales de la sexualité

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Vosges MatinSaint-Amé05/07/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Les jeunes de l'IME s'informent

SEXOTHÈQUE

Durant une semaine, au sein de l'institut médico-éducatif (IME) de Saint-Amé, une exposition pédagogique interactive sur le thème "La sexothèque, s'explorer et s'exprimer" a été mise en place. Cet outil éducatif et préventif a pour but d'informer et sensibiliser les jeunes sur les dimensions biologiques et sociales de la sexualité et de les inciter à être critiques et réfléchis sur leurs comportements sexuels. L'importance de cette animation est d'établir le dialogue entre les jeunes et c'est ainsi qu'étaient abordés librement en réponses aux questions des élèves : l'anatomie, les maladies sexuelles, l'ovulation, les préservatifs féminins et masculins, le respect des autres.

Les jeunes de l’institut médico-éducatif sont venus parler de sexualité en toute liberté

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Vosges Matin08/09/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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La sexothèque connaît une première réussie

SEXOTHÈQUE

Belle initiative que celle prise par le service médico-social de l'Esat (ancien CAT), à l'instigation d'Annabelle Sellier, monitrice d'éducation, en collaboration avec Marie Vallée, éducatrice, qui avaient convié l'association des Petits Débrouillards pour une exposition ludique : "La sexothèque : s'explorer et s'exprimer".

Quarante personnes, divisées en 8 groupes, se sont ainsi porté volontaires et ont pu découvrir cette expo composée de trois modules. Primo, un centre de ressources, espace de rencontre et de médiation pour consulter livres, ouvrages scientifiques, affiches, BD… servant à développer et élargir cette thématique. Le second module, sous forme de laboratoire, permettait à chacun de découvrir, à travers des maquettes de corps humain, l'appareil génital de l'homme et de la femme, une stratégie de prévention en matière de maladies transmissibles. Le dernier permettait aux groupes de répondre à des questions, de s'informer, de découvrir l'histoire des droits de l'homme et de la femme en matière de sexualité, de "tordre le cou" aux idées reçues ou encore d'accrocher des dessins réalisés au cours des séances. Durant toute la semaine, ces groupes ont pu débattre sur des thématiques comme le fonctionnement du système génital, la croissance, la puberté et la maturité sexuelle, la transmission et la prévention des MST ou du sida, la fécondation, la transmission de la vie, les différents moyens de contraception et enfin, les sentiments, la sexualité et la loi, l'homophobie ou encore le sexisme.

Rappelons que l'Esat Adapei accueille 132 travailleurs handicapés déficients intellectuels légers à sévères, âgés de 18 à 60 ans, capables d'occuper un poste de travail encadrés par un moniteur dans différents domaines.

Les travailleurs de l’Esat ont pu, à travers des jeux, s’informer et s’exprimer sur la sexualité et les sentiments

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Vosges Matin27/09/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Mutualiser pour mieux informer et prévenir

SEXOTHÈQUE

De nombreux organismes étaient dernièrement réunis du côté de la Maison des associations pour une journée d'information toute particulière. C'est à l'initiative de l'association les Petits débrouillards qu'a été montée cette journée d'échanges autour du thème de l'éducation à la vie affective et sexuelle. "Nous avons mis sur pied une journée de mutualisation des outils pédagogiques liés à ce thème, afin de s'enrichir des modes de travail et des expériences des différents organismes présents aujourd'hui", explique Adèle Kalde, chargée des projets santé au sein de l'association des Petits débrouillards de Lorraine. Le Sidaction, le centre social du plateau de la Justice, le service santé de la mairie de Saint-Dié-des-Vosges, AIDES 88 ou bien encore "Les héritières de demain" sont autant d'entités venues discuter des outils qui pourraient être mis en commun pour sensibiliser la population adolescente, à l'image notamment de la sexothèque, un projet mené par les Petits débrouillards et qui propose une exposition pédagogique animée, interactive, modulable et itinérante sur le département, qui connaît un joli succès.

Les représentants de plusieurs organismes travaillant sur le même sujet ont organisé ensemble une journée d'information sur l'éducation à la vie affective et sexuelle.

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Vosges MatinRemiremont08/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Sexothèque à l'école : s'explorer et s'exprimer

SEXOTHÈQUE

Le foyer des élèves du collège du Tertre abrite cette semaine la sexothèque du département, destinée aux élèves des classes de 3e. Outil éducatif innovant, de prévention et d'information active sur la thématique de la sexualité, la sexothèque sillonne le département depuis le mois de novembre dernier et est destinée, outre aux collèges, aux lycées et maisons familiales et rurales.

Les jeunes sont souvent démunis quand il faut parler sexualité. Il existe un manque cruel d'information pour cette population confrontée aux premières expériences, c'est pourquoi la sexothèque est une action de proximité qui va au devant de son public. Les élèves ont découvert une exposition pédagogique animée et interactive, sous la houlette d'Alexandra Ancel, animatrice au sein de l'association des Petits débrouillards de Lorraine, une association de culture scientifique et technique, épaulée en cela par Estelle Pierron, assistante sociale, ainsi que de l'infirmière d'établissement et de professeurs.

Au programme, la découverte de trois espaces bien distincts. L'espace exploratoire est un lieu d'exposition interactif, qui est composé de différents modules pédagogiques, avec manipulations et expérimentations sous formes de jeu. A l'espace laboratoire, avec l'animatrice, les jeunes réalisent quelques expériences ludiques sur une thématique choisie, par exemple, des petites expériences sur les différents moyens de se protéger. L'espace dialogue est un espace de rencontre et de médiation, où l'on consulte livres, vidéos, brochures de prévention et autres jeux, ce qui permet à chacun de se sensibiliser à la recherche documentaire et de se familiariser avec certains ouvrages techniques et scientifiques.

Les jeunes sont intéressés et attentifs aux explications d'Alexandra Ancel sur le fonctionnement de la sexothèque

LA l'espace dialogue, chacun et chacune peut s'exprimer librement.

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Vosges MatinRemiremont08/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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SEXOTHÈQUE

L'objectif principal d'une telle exposition est " d'informer et de sensibiliser les jeunes sur les dimensions biologiques, mais aussi sociales de la sexualité, et bien sûr à être critiques et réfléchis sur leurs propres comportements sexuels." Elle permet également de faciliter l'accès à la culture scientifique sur la sexualité favorisant par là même la participation à des projets locaux sur cette thématique.

La sexothèque, concept novateur à destination des jeunes, va poursuivre son chemin dans les différents établissements du département jusqu'à la fin du mois de janvier.

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Vosges MatinSaint Dié-des-Vosges13/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Baumont, le lycée où l'on parle de sexe

SEXOTHÈQUE

Masturbation, fellation, éjaculation. Voilà des termes qu'on n'a pas plus l'habitude de lire dans les colonnes de Vosges Matin que d'entendre dans une salle de classe. Eh pourtant, ce sont bien eux qui vont résonner toute la semaine du côté du plateau de Saint-Roch.

Car le CDI du lycée Georges-Baumont a installé hier matin dans sa salle audiovisuelle, à l'initiative des Petits Débrouillards de Lorraine, une sexothèque. Un peu comme une ludothèque, une médiathèque ou une discothèque. Bref, un lieu dédié à une activité précise : là, c'est le sexe. Parents, rassurez-vous. Baumont ne se livre ni à l'acte d'amour, ni à la débauche. Même si les notions de plaisir ou d'orgasme sont abordées sous toutes les coutures et sans tabou.

Le but du jeu est simple : permettre à chaque élève de savoir de quoi il parle, que ce soit à travers un grand jeu de l'oie ("peut-on imposer un acte sexuel à un partenaire qui n'en a pas envie ?"), le jeu du vrai-faux ("la masturbation rend sourd" ; "les règles, c'est impur" ; "l'acné c'est contagieux" ; "la taille du pénis, ça compte" ; "mettre un tampon c'est perdre sa virginité…"), une étape "déguisement" avec un slogan original à trouver… Voilà pour les pôles qui sont encadrés par des enseignants et l'assistante sociale Lucie Lallemand. Alexandra, animatrice spécialisée de l'exposition pédagogique animée, se réserve les phases les plus délicates, comme guider l'élève dans la mise en place d'un préservatif, qu'il soit masculin ou féminin.

Et là, y a plus d'mâlin. Toutes les réparties plus ou moins élégantes et poétiques qui accompagnaient les informations transmises par l'animatrice sont ravalées : l'heure est grave. Ils partaient avec un petit côté "je sais tout" mais se retrouvent penauds lorsqu'on leur tend un phallus en plastique et un préservatif. Autour de la table, on s'épie, on s'observe… et on se rassure : non, finalement, le copain d'à côté n'est pas plus doué.

Durant toute la semaine, les élèves du lycée Georges-Baumont, prioritairement les secondes, vont fréquenter la Sexothèque.

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Vosges MatinSaint Dié-des-Vosges13/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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SEXOTHÈQUE

C'est là tout l'avantage de la sexothèque : on s'informe, on apprend, on essaie. Destinée avant tout aux classes "entrantes" comme les Secondes, elle cible les 15-17 ans qu'elle initie aux dimensions biologiques mais aussi sociales de la sexualité. Une tranche d'âge particulièrement sensible, souvent en manque d'information que ce soit sur le corps humain et les effets de la puberté, les méthodes contraceptives, les infections sexuellement transmissibles…

Cet outil pédagogique de prévention et d'information, qui a reçu l'approbation des personnels de santé comme des professeurs de l'établissement, s'ouvre cependant aux internes d'abord, puis à tous les élèves volontaires, durant cette semaine. Parce qu'une petite piqûre de rappel ne fait de mal à personne.L.C.

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L'écho des Vosges16/10/2009

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Vous avez dit sexe!

SEXOTHÈQUE

Durant toute la semaine la Sexothèque s'est installée au Collège le Tertre au foyer des élèves et propose plusieurs modules à destination des collégiens de troisième, qui sont accueillis chaque matin au foyer des élèves où la Sexothèque a pris ses quartiers d'automne.

Elle fournit un outil de réflexion et de culture sur la sexualité en général afin de répondre aux interrogations des adolescents qui ne s'informent médicalement que lorsqu'ils sont déjà confrontés aux problèmes liés à leur sexualité souvent à risque ou par la pornographie. De plus, il est important de savoir que ce sont les 12/25ans que représentent 50% des nouvelles contaminations par le virus du SIDA.

La Sexothèque, qui est à l'initiative de l'association des « Petits Débrouillards » est animée par un animateur spécialisé, une infirmière et une assistante sociale. Ces objectifs principaux sont au nombre de cinq :Informer et sensibiliser les jeunes sur les dimensions biologiques mais aussi sociales de la sexualité ;Inciter à être critique et réfléchi sur les comportements sexuels ;favoriser l'accès l'accès à la culture scientifique et technique de la sexualité ;Favoriser la participation et l'émergence de projets autour de cette thématique et accompagner des projets locaux déjà existants.

La Sexothèque, telle qu'ont pu la découvrir les collégiens du Tertre mais aussi les lycéens de Camille Claudel également accueillis au Tertre (l'après midi), comprend trois espaces : un espace de modules interactifs réservés aux manipulations où les jeunes sont autonomes et deux autres espaces de découverte et de recherche, dédié aux expérimentations et un espace ressource, forum, débat.

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L'écho des Vosges16/10/2009

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SEXOTHÈQUE

Ainsi tout au long de la semaine, les collégiens de troisième et les lycéens de Camille Claudel ont pu bénéficier d'un approche globale de la sexualité atour de 5 thèmes principaux :Équipement et mode d'emploi ( anatomie et fonctionnement des organes génitaux) ;Métamorphose ou transformation (c croissance, puberté, développement et maturité, personnalité)IST à toi de jouer : principales Infections Sexuellement Transmissibles et SIDA, moyens de transmissions ;Le choix est grand : reproduction et différents moyens de contraception féminins et masculins...Liberté, égalité, sexualité : plaisir, désir, sensualité, sentiments et jeux amoureux, la sexualité ailleurs, la sexualité et la loi, la sexualité et toi, les courants artistiques, la sexualité dans le monde, les genres...Une ouverture très importante sur la sexualité, encore trop difficile à aborder pour un ombre d'entre nous, un moyen de protéger nos adolescents en les informant.La Sexothèque, qui est programmée dans notre département depuis janvier 2009 et qui tournera jusqu'en début 2010, sera de retour à Remiremont au Collège Charlet début décembre. (A.K).

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Vosges Matin?/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Nouvelle présidence à l'école

SEXOTHÈQUE

N'ayant plus d'enfants en collège, il semblait justifié à Luiza Creusot de passer le flambeau de la présidence. Agnès Martin prend donc les rênes de l'association.

Les membres de l'association indépendante des parents d'élèves du collège Jules-Ferry (AIPE) étaient réunis en assemblée générale vendredi à l'espace Marcel-Parmentier et à cette occasion ont changé leur bureau. " Après quatre années passées à la présidence, aujourd'hui n'ayant plus d'enfants au collège, je me dois de passer la main. Ces années ont été tout à fait intéressantes pour moi. J'ai travaillé en fort bonne et efficace compagnie", a expliqué Luiza Creusot. Sylvie Levalleur quitte également le comité, pour les mêmes raisons.

Un nouveau comité a donc été constitué. Agnès Martin prend la présidence, Benoît Grosjean devient vice-président, Pascale Schoeffter est secrétaire, Annick Thomas trésorière et Marielle Amet, trésorière-adjointe.

La liste pour les élections au conseil d'administration du collège a également été élaborée. Dans l'ordre : Agnès Martin de Ramonchamp ; Benoît Grosjean de Saint-Maurice-sur-Moselle ; Marielle Amet de Fresse-sur-Moselle ; Annie Maillefer de Fresse ; Chantal Chevrier du Thillot ; Nathalie Bochet de Saint-Maurice ; Pascale Schoeffter du Thillot ; Lydie Louis du Thillot ; Sylvaine Rigollet de Saint-Maurice ; Annick Thomas de Bussang ; Marylène Laurent de Saint-Maurice ; Bénédicte Demange du Thillot ; Sandra Parmentier de Bussang et Michèle Martin de Ramonchamp. " C'est très intéressant d'être au conseil d'administration du collège. Ceci permet de découvrir l'établissement de l'intérieur", a commenté Luiza Creusot.

Lors de l'assemblée générale ont été également évoqués les projets avec la participation des petits débrouillards de Lorraine pour une prestation intitulée : la sexothèque qui a déjà été proposée dans le secteur. L'association espère des aides mais le conseiller général, président de la communauté de communes, maire de Ramonchamp, François Cunat a expliqué : " Les subventions ne peuvent assurer la totalité de l'aide. Il n'y a pas de soutien financier de l'Éducation nationale. Il aurait fallu que cela entre dans le contrat d'objectif du collège. Alors nous pourrions amener des compléments."

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Vosges Matin?/10/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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SEXOTHÈQUE

Le conseiller général en a profité pour souhaiter : " Bon vent à la nouvelle équipe", ce qu'avait également fait Jean-Claude Côme, maire du Ménil. Le conseiller regrettant par ailleurs que : " Le fonctionnement du conseil d'administration du collège ne se fasse pas dans des conditions idéales, ajoutant envers les adhérents : avec une bonne présidente, un bon bureau il faut aussi des troupes motivées."

En questions diverses, Benoît Grosjean a regretté que : "La carte Zap ne soit pas utilisable pour les voyages scolaires !"

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Les petits débrouillards au centre de formation

SEXOTHÈQUEVosges MatinGugnécourt21/11/2009http://www.vosgesmatin.fr/

L'association des petits débrouillards, association nationale scientifique, a une démarche très pédagogique de sensibilisation.

Une animatrice de cette association, Alexandra, est venue animer un atelier intitulé "La sexothèque : s'explorer et s'exprimer", au Centre de Formation Rural de Gugnécourt.

La sexothèque est un outil éducatif innovant de prévention et d'information active sur la thématique de la sexualité.

Cette année, l'atelier s'est étoffé, plus de malles pédagogiques, plus de livres et une activité sur le droit des femmes et des homosexuels.

Sous forme de jeux interactifs, de centre de ressources et de jeux de plateau, il s'agit de faire tomber des idées reçues, d'informer sur la contraception ou les IST (Infections Sexuellement Transmissibles).

Chaque classe a pu participer à cet atelier sur une demi-journée, principalement les élèves de premières années, puisque c'est la deuxième année que cette association intervient au Centre de Formation Rural de Gugnécourt.

Les élèves du CFR ont participé à l’atelier animé par l’association des petits débrouillards.

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Le B.A.-BA de la sexualité

"Que connaissez-vous comme moyens de contraception ? Ou peut-on trouver la pilule du lendemain ?" Les élèves de seconde bac pro du lycée Viviani hésitent un peu avant de se lancer. L'animatrice de l'association "Les petits débrouillards de Lorraine", organisatrice de l'exposition sur la sexualité, met à l'aise le jeune public. "Il faut appeler un chat, un chat". Parler simplement, ne pas hésiter à s'exprimer sur des sujets souvent tabous à la maison, c'est tout l'objectif de cette "sexothèque". Si les jeunes ont joué majoritairement le jeu des questions-réponses, hier, ils n'ont pas pu s'empêcher de rire au moment de la démonstration de la pose d'un préservatif féminin… "Tu te vois mettre ça", interroge une jeune fille. "On peut le mettre plusieurs heures avant le rapport sexuel", poursuit naturellement Alexandra Ancel, animatrice scientifique au sein de l'association, devant un jeune public attentif qui pensait à tort qu'on pouvait être davantage protégé en superposant deux préservatifs. Autant d'a priori que l'animatrice, la documentaliste, l'infirmière et plusieurs professeurs, ont balayé d'un revers de la main au cours de trois ateliers organisés dans le cadre du comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté. "Eduquer à la vie affective et sexuelle, informer, sensibiliser à la protection contre les infections sexuellement transmissibles"… autant de points qui ont constitué le fil conducteur de cette exposition. "Il y a un réel besoin d'information lorsqu'on sait qu'aujourd'hui, les nouveaux cas de sida concernent surtout les 15-25 ans", explique Alexandra Ancel. Sans compter que le nombre d'interruptions volontaires de grossesse explose littéralement. Une information précieuse dont ont conscience les lycéens : "c'est le seul moment où on peut en parler", explique Margaux, en seconde bac pro. Un lieu privilégié pour lever les doutes et les incertitudes. Mais également découvrir de nombreuses choses sur l'anatomie masculine et féminine au cours d'un des ateliers, consacré aux manipulations et expérimentations qui fut l'occasion également d'en savoir un peu plus sur les droits des femmes et des homosexuels.

Marie BLUTTE

SEXOTHÈQUEVosges MatinEpinal21/11/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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La sexothèque est un outil éducatif innovant, de prévention et d'information active sur la thématique de la sexualité à destination principale des ados.

Autant le dire dès le début, on est en dessous de la ceinture. Voilà un thème qui, en général, laisse libre cours à la pensée de chacun. Des images, des mots que seule l'imagination met en branle. À l'adolescence, une kyrielle d'informations passent au vu et au su de tout le monde. Les copains parlent de sexe, chacun y allant de son couplet. Les filles s'isolent pour raconter des choses qui en feraient peut-être rougir plus d'un. Bref. L'association des Petits débrouillards de Lorraine a eu l'idée de créer une sexothèque pour répondre aux interrogations justifiées des ados. Et des adultes. Différents ateliers à l'espace Robert-Schuman ont durant toute la semaine égayé pendant trois heures plusieurs classes pour cette exposition pédagogique itinérante et ce, en partenariat avec le service jeunesse de la Ville et Kafé. Alexandra Ancel, animatrice au sein de l'association, explique : "Nous informons et sensibilisons les jeunes sur les dimensions biologiques mais aussi sociales de la sexualité. Nous les incitons à être critiques, à favoriser leur accès à la culture scientifique sur la thématique".

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Sexothèque à Schuman

SEXOTHÈQUEVosges Matin02/12/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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3 en 1 Trois espaces (avec une sonorité bien choisie !) sont là pour les jeunes : s'explorer, s'expérimenter, s'exprimer. L'exploratoire est un lieu d'exposition interactive créé pour se sensibiliser à la thématique de façon autonome. L'anatomie est passée en revue et les idées reçues font l'objet d'un atelier. Le laboratoire est un espace d'échanges et de manipulations collectif permettant de sensibiliser à une démarche interactive. On y parle contraception, modes de transmission du sida, préservatif,… Enfin, le centre de ressources est un espace de médiation pour consulter des livres, brochures, DVD sur la vie affective et sexuelle.

Passer l'info Alexandra Ancel a déjà fait tourner la sexothèque avec son association dans de nombreux établissements de la région. Au début, la réaction des gamins ou des ados est toujours la même : "Les plus jeunes, ricanent, rigolent, font des blagues ou pouffent dès qu'on parle de sexe, de masturbation ou de vagin". "Les lycéens, eux, sont un peu plus gênés de parler face à leurs camarades, même s'il n'y a évidemment aucune obligation de parler. Ici, on est vraiment dans un espace de libre expression. Certains viennent pour écouter. Certes. Mais notre objectif est de faire passer l'info". La trentaine d'élèves par séance manipule, regarde, observe, pose des questions, même les plus intimes "sur la chose". Un atelier met aussi en avant les droits des homosexuels depuis 1750 et ceux des femmes disposés sur des soutiens-gorge plus affriolants les uns que les autres… L'initiative est louable, car peu d'informations existent vraiment pour cette tranche d'âge exposée à tous les risques sexuels comme les infections sexuellement transmissibles, le sida, les grossesses non désirées et qui génèrent 200 000 IVG par an en France. Les jeunes ont rêvé de cette expo, la sexothèque l'a fait !

SEXOTHÈQUEVosges Matin02/12/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Durant 3 jours, du 3 au 5 décembre, l'association des Petits Débrouillards de Lorraine a convié ses partenaires professionnels, associations et institutions, à l'IUFM, afin de débattre sur la question de l'éducation à la sexualité, sous forme de conférences, expositions, espace dialogue, avec différents intervenants. Jeudi dernier, Mélanie Charbonneau, chargée de mission prévention jeunes Sidaction, a animé une conférence-débat sur l'état de santé des jeunes Français, avec l'inauguration de la sexothèque "S'explorer et s'exprimer", une présentation des dispositifs financiers "Promotion de la santé" avec Françoise Eber Bouffier, coordinatrice du GRSP de Lorraine et de Marie-Agnès Pierrot, correspondante régionale du programme européen Jeunesse en action.

Cette conférence était suivie dans la soirée d'une représentation de slam avec Aly Wade de l'association Yela soul. Le vendredi, direction Nancy où tous ont pu visiter l'exposition "Homme-Femme, de quel sexe êtes-vous ?" avant de débattre sur la mixité filles-garçons avec Adrien Zerbib, animateur départemental des Francas 54 et d'assister à une démonstration-animation "Moyens de contraception et IST" animée par Jocelyne Pantus Joly, sage-femme au centre de planification de l'hôpital Villemin.

Dans la soirée, les participants ont pu assister à une pièce de théâtre-forum "Adolescence, sexualité, respect" à Tomblaine. Samedi, une conférence-débat était organisée avec Bérengère Kolly, présidente de l'attentive, doctorante en philosophie à l'université de Paris I et Norah Lounas, sexologue clinicienne sur le thème "Liberté, égalité, sexualité". Dans la soirée, une exposition du village associatif où les différents porteurs de projets : centre social du Plateau de la Justice, service promotion de la santé de la ville de Saint-Dié, Aides 88, l'Attentive, Sidaction… se sont retrouvés pour échanger.

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Des expositions à partager

SEXOTHÈQUEVosges MatinÉpinal11/12/2009http://www.vosgesmatin.fr/

Différentes expositions avaient été mises en place autour de l’éducation à la sexualité

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Mme Ringenbach, infirmière au collège Charlet, est aux petits soins des élèves. Grâce à ses efforts, et à ceux de cinq professeurs, la sexothèque a posé ses valises dans l'établissement pour une semaine. Les 100 jeunes de 3e ont pu découvrir successivement cette animation-exposition interactive proposée par l'association des Petits débrouillards de Lorraine. Depuis trois ans maintenant, elle forme les adolescents à la sexualité et au respect de l'autre. Comment ? En s'appuyant sur trois ateliers variés : le labo, l'exploratoire et le centre de ressource et documentation.

Au labo, on parle contraception, protection et infections sexuellement transmissibles. Côté expérience, les ados mettent en pratique ce qu'ils ont appris sur le mode d'emploi des préservatifs masculins et féminins.

Melle Ancel, animatrice de la sexothèque, explique comment elle procède pour amener les jeunes à se livrer : "On fonctionne toujours en petits groupes pour établir un climat de confiance et on s'appuie sur des jeux pour créer le dialogue."

L'exploratoire contient de nombreux ateliers qui permettent aux élèves de s'explorer, de s'expérimenter et de s'exprimer en toute autonomie. Un quizz info-intox sur les idées reçues concernant le sexe, une comparaison poussée de l'ovule et du spermatozoïde, des jeux sur l'anatomie, une activité sur la chronologie des droits des femmes et des homosexuels, un mur d'expression, une cabine de photos… Bref de quoi donner des réponses pratiques aux nombreuses interrogations des ados.

Si toutefois il reste quelques points sombres, les élèves peuvent alors se tourner vers le centre de ressource et documentation. Celui-ci met à disposition de chacun des brochures, des encyclopédies, des jeux, des vidéos pour approfondir une thématique abordée. "Cela permet de développer la curiosité et ça familiarise l'ado avec des documents scientifiques", complète l'animatrice.

Nicolas L e Port

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La sexothèque a accueilli cent élèves

SEXOTHÈQUEVosges MatinRemiremont14/12/2009http://www.vosgesmatin.fr/

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Durant trois jours, l'IUFM accueillait des journées d'échanges sur les informations indispensables sur l'éducation à la sexualité en direction des jeunes

Parce qu'il existe un manque d'informations cruciales pour les jeunes qui rencontrent les premiers émois et expériences sexuelles et se trouvent exposés à tous les risques associés (IST, Sida, grossesse non désirée... ), des journées d'échanges ont été mises sur pieds sur le Site d'Epinal de l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres d'Epinal. Durant trois jours, l'association des Petits Débrouillards de Lorraine avait invité ses partenaires (professionnels, associations et institutions), afin de les sensibiliser et d'entamer avec eux un dialogue critique en direction des institutions locales sur la question de l'éducation à la sexualité.Pour cela, un village associatif était dédié à l'expérimentation, à la sensibilisation et à l'échange de pratiques. C'était également l'occasion de découvrir la diversité et la richesse des projets des acteurs locaux.

Trois espaces étaient ainsi à la disposition des visiteurs :D'abord un Centre de documentation ressources qui répertorie les outils pédagogiques à disposition sous différents supports. Ce sont avant tout des outils pour permettre d'engager un dialogue avec les jeunes. Cet espace est ouvert au Docteurs, professeurs, sexologues, animateurs...Un second espace, exploratoire mettait en valeur le socle commun sur l'appareil génital, cassant les idées préconçues et ouvrant plusieurs modules animés par des responsables.Enfin un laboratoire ouvrait la place à l'exploration grâce à une pédagogie active mettant en relief les différents moyens de contraception avec en fin de parcours une évaluation.

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L'éducation à la sexualité : si on en parlait

SEXOTHÈQUEL'écho des VosgesEpinal18/12/2009

Différents ateliers étaient proposésUne des conférences débat : « Liberté, égalité, sexualité ! »

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Des conférences débat étaient également organisées sur l' « Etat de santé des Jeunes Français » ou « Liberté, égalité, sexualité ! », avec des intervenants de qualité très impliqués dans les sujets qu'ils dévoilaient... Des soirées enrichissantes permettaient d'aborder différemment le sujet : « Les mots pour le dire », représentation de Slam ou théâtre forum XV « adolescence, sexualité, respect ».Bref un excellent moyen pour les personnes concernées d'échanger et de découvrir d'autres moyens d'aborder ces sujets encore trop tabous.

A. Lallemand

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L'éducation à la sexualité : si on en parlait

SEXOTHÈQUEL'écho des VosgesEpinal18/12/2009

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On connaît la bibliothèque, la vidéothèque, ou encore la médiathèque, mais la sexothèque, non ! Et pourtant, cela existe ! Il s'agit en fait de ce que l'on appelait communément à une certaine époque, l'éducation sexuelle !Et pourtant cela existe ! Il s'agit en fait de ce que l'on appelait communément à une certaine époque, l'éducation sexuelle !L'association des petits débrouillards est allée à la rencontre de tous les élèves du collège René Cassin durant la semaine dernière. Par classe, les collégiens sont allés d'atelier en atelier, tous aussi ludiques les uns que les autres en abordant le thème de la Sexualité : la contraception, les risques de maladies sexuellement transmissibles, etc.

La Sexothèque est un concept novateur et met à profit les compétences des structures. Elle va au- devant de son public de jeunes adolescents. Il est clair qu'il existe un manque cruel d'informations pour cette population jeune dont les expériences sexuelles débutent en moyenne à l'âge de 17 ans à tous les risques associés (IST, SIDA, grosses non désirée...). Les programmes d'actions menées autour de l'éducation à la vie affective et sexuelle, ont pour objectif de diminuer l'incidence de la séropositivité, d'intégrer l'éducation à la sexualité au sien des programmes scolaires et de réduire le nombre de grossesses non désirées et notamment le nombre alarmant d'IVG chez les mineurs (200 000 par an depuis 10 ans)!

Une semaine sans nul doute riche d'enseignements et à laquelle les élèves ont très bien participé.

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La sexothèque s'invite au collège

SEXOTHÈQUEVosges MatinEloyes22/12/2009http://www.vosgesmatin.fr/

LLes élèves ont participé à différents ateliers dans le cadre de la sexothèque, un projet initié par les petits débrouillards.