RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ÉCOLE...

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES B-131, B-133, B-231 ET B-237 ÉCOLE GUILLAUME-VIGNAL RÉF. CSMV : 025-025-44886 DEVIS DE MÉCANIQUE ÉMIS POUR APPEL D’OFFRES

Réf. SNC-Lavalin : 652821 SNC-LAVALIN INC. 455, boul. René-Lévesque Ouest Montréal (Québec) H2Z 1Z3

Téléphone : (514) 514-393-1000 Télécopieur : (514) 866-0795 Internet : [email protected] Le 21 février 2018 Préparé par : Jean-Pierre Houlné, ing. Mécanique

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Réf. SNC-Lavalin : 652821 Rév. 0 : émis pour appel d’offres (2018-02-21) Ce document ne doit pas être utilisé à des fins de construction

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COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN SECTION 00 01 10.01

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES MÉCANIQUE

B-131, B-133, B-231 ET B-237 LISTE DES SECTIONS

ÉCOLE GUILLAUME-VIGNAL

CSEM PROJET : 025-025-44886 Page 1

NO SECTION DISCIPLINES DESCRIPTION

201

8-02

-21

00 01 10.01 Gén, Pb, V, R Mécanique – Liste des sections 0

00 01 10.02 Gén, Pb, V, R Mécanique – Liste des plans 0

DIVISION 01 – GÉNÉRALITÉS

01 11 00 Gén, Pb, V, R Instructions et clauses générales 0

01 11 01 Gén, Pb, V, R Instructions et clauses particulières en mécanique 0

01 33 00 Gén, Pb, V, R Documents et échantillons à soumettre 0

01 33 00 Gén, Pb, V, R Annexe A – Liste des documents à soumettre 0

01 33 00 Gén, Pb, V, R Annexe B – Dessin d’atelier 0

07 84 00 Gén, Pb, V, R Ensemble coupe-feu 0

DIVISION 22 – PLOMBERIE

22 05 00 Pb Plomberie – Exigences générales concernant les résultats des travaux 0

22 11 16 Pb Tuyauterie d'eau potable et non potable 0

22 13 17 Pb Tuyauterie d'évacuation et de ventilation – Fonte et cuivre 0

22 13 18.01 Pb Tuyauteries d’évacuation et de ventilation plastique à être enfouies dans le sol 0

22 42 01 Pb Plomberie – Appareils spéciaux 0

22 42 03 Pb Plomberie – Lavabos, cabinets d’aisance et urinoirs – type commercial 0

22 42 20 Pb Plomberie – Baignoires et douches – type commercial 0

DIVISION 23 – CVCA

23 05 00 V, R CVCA – Exigences générales concernant les résultats des travaux 0

23 05 48 V Systèmes et dispositifs antivibratoires pour tuyauteries et appareils de CVCA 0

23 05 29 Pb, V Supports et suspensions tuyauterie et CVCA 0

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B-131, B-133, B-231 ET B-237 LISTE DES SECTIONS



NO SECTION DISCIPLINES DESCRIPTION

201

8-02

-21

23 05 49 V Systèmes et dispositifs parasismiques 0

23 05 53.01 V Identification des réseaux et appareils mécaniques 0

23 05 93 V Essais, réglage, équilibrage CVCA 0

23 05 94 V Essais sous pression réseaux aérauliques 0

23 07 15 Pb Calorifuges tuyauterie 0

23 31 13 V Conduits d’air métalliques basse pression 0

23 33 00 V Accessoires pour conduits d'air 0

23 33 14 V Registres d'équilibrage 0

23 33 15 V Registres de réglage 0

23 33 16 V Registres et clapets coupe-feu et de fumée 0

23 37 13 V Diffuseurs, registres et grilles 0

DIVISION 25 – RÉGULATION AUTOMATIQUE

25 05 00 R Contrôle centralisé – Exigences générales 0

25 10 00 R Contrôle centralisé – Équipements de réseaux de commande centralisé 0

25 30 00 R Contrôle centralisé – Instruments et équipements terminaux 0

25 90 01 R Contrôle centralisé – Séquence d’opération narrative 0

LÉGENDE DES DISCIPLINES

Gén. Entrepreneur général

Pb Sous-traitant en plomberie

V Sous-traitant en ventilation

R Sous-traitant en régulation automatique



B-131, B-133, B-231 ET B-237 LISTE DES PLANS



Réf. SNC-Lavalin : 652821 Rév. 0 : émis pour appel d’offres (2018-02-21) Ce document ne doit pas servir pour des fins de construction.

No de

dessin Titre Rév.

M001 LISTE DE PLANS, LÉGENDE ET PLAN CLÉ RDC ET ÉTAGE 00

M002 PLOMBERIE – EXTRAITS LOCAUX B-131, B-133, B-231 ET B-237 - DÉMOLITION 00

M003 VENTILATION ET RÉGULATION AUTOMATIQUE – EXTRAITS LOCAUX B-131, B-133, B-231 ET B-237 -

DÉMOLITION 00

M004 PLOMBERIE – EXTRAITS LOCAUX B-131, B-133, B-231 ET B-237 - CONSTRUCTION 00

M005 VENTILATION ET RÉGULATION AUTOMATIQUE – EXTRAITS LOCAUX B-131, B-133, B-231 ET B-237 -

CONSTRUCTION 00

M006 PLOMBERIE, VENTILATION ET RÉGULATION AUTOMATIQUE – DÉTAILS, DIAGRAMMES ET TABLEAUX 00

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN MÉCANIQUE SECTION 00 11 00

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES INSTRUCTIONS ET CLAUSES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 GÉNÉRALES



Réf. SNC-Lavalin : 652821 Rév. 0 : émis pour appel d’offres (2018-02-21) Ce document ne doit pas servir pour des fins de construction

1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire

.1 Contenu de la section :

.1 La présente section précise les instructions et clauses générales communes de mécanique des divisions 01, 22, 23 et 25.

1.2 Mise en contexte

.1 La Commission scolaire Marie-Victorin souhaite procéder à la réfection des salles de toilettes B-131, B-133, B-231 et B-237 à l’école Guillaume-Vignal.

1.3 Définitions

.1 L’entrepreneur est l’organisation qui signe un contrat avec le propriétaire pour exécuter l’ensemble du travail montré aux plans et devis. L’entrepreneur doit donc fournir, ériger, installer et mettre en service tous les éléments décrits aux présentes.

.2 L’entrepreneur a recours à des sous-traitants pour certains travaux, mais ceux-ci opèrent sous la responsabilité et la surveillance de l’entrepreneur comme si ceux-ci faisaient partie de son organisation. Il est donc le seul intervenant habilité à avoir des communications, demandes, etc., avec le propriétaire ou ses professionnels.

.3 On utilise également l’expression « entrepreneur général » pour désigner l’entrepreneur.

.4 Lorsque l’expression, par exemple, « entrepreneur en plomberie » ou « sous-traitant en plomberie » ou « sous-traitant de spécialité » est utilisée, il faut comprendre qu’il s’agit de l’entreprise choisie et retenue par l’entrepreneur pour exécuter certains travaux spécialisés.

.5 Le propriétaire est la personne ou l’organisme pour qui les travaux sont exécutés ou son représentant dûment désigné.

.6 Le professionnel signifie l’architecte, l’ingénieur, le consultant, les consultants et professionnels. L’architecte, l’ingénieur ou celui qui a la responsabilité de concevoir l’œuvre en tout ou en partie et d’en coordonner l’étude et la réalisation.







1.4 Références et exigences réglementaires

.1 Code de Construction du Québec, Chapitre 1 – Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada 2010 (modifié).

.2 Code national du bâtiment – Canada 2010 (modifié).

1.5 Plans et cahier des charges de mécanique

.1 Toutes les conditions générales et conditions de travail exigées par les architectes et le propriétaire s’appliquent aux ouvrages de mécanique.

.2 Le contrat d’Appel d’offres –fait partie intégrante des présents documents.

.3 Les cahiers des charges en mécanique, les plans, les annexes, les réglementations de la main-d’œuvre font partie intégrante de la présente section et en régissent les travaux.

.4 Les plans et devis servent à guider l’entrepreneur et les entrepreneurs spécialisés en ce sens qu’ils indiquent le nombre et l’emplacement approximatifs des appareils et accessoires qu’il fournira, installera et raccordera. Il est de sa responsabilité de vérifier l’emplacement final et les dimensions exactes des travaux des autres divisions et sections et d’effectuer, sans frais supplémentaires, tous les changements ou allonges des courses requis.

.5 Le propriétaire peut, avant ou pendant le cours des travaux, changer l’emplacement des sorties et appareils dans un rayon n’excédant pas 4 000 mm de l’emplacement original, sans frais supplémentaires, pourvu que ces changements soient faits avant la mise en place de ceux-ci et ne nuisent pas au bon fonctionnement des systèmes.

.6 Aucun supplément pour divergences entre les différents plans et mesures prises sur le chantier ne sera accordé.

.7 Lorsqu’il y a non concordance ou contradiction entre les documents de soumission et/ou à l’intérieur d’un même document, si les documents ne sont pas suffisamment clairs et/ou si les documents portent à interprétation, l’entrepreneur et/ou l’entrepreneur spécialisé devront en aviser l’ingénieur sept (7) jours avant l’heure d’ouverture des soumissions; sinon, il devra comprendre que les exigences les plus sévères s’appliquent, et il entend, de ce fait, exécuter les travaux selon l’interprétation finale de l’ingénieur sans frais supplémentaires.







.8 Les cotes des élévations, des vues en plans et des détails de construction indiqués aux plans et devis dans le but de représenter la construction existante proviennent en général de documentations existantes. Par conséquent, l’entrepreneur est tenu de faire les vérifications appropriées, car aucuns frais ne lui seront accordés pour les différences entre les dimensions réelles et les dimensions montrées aux documents.

.9 Toutes implications devront être portées à l’attention de l’ingénieur avant le début des travaux de fabrication.

1.6 Responsabilité des travaux

.1 L’Entrepreneur général est responsable de l’exécution de tous les travaux mentionnés et décrits aux cahiers des charges et sur les dessins. Toutefois, les travaux mécaniques doivent être exécutés par des entrepreneurs spécialisés (qualifiés) pour ces travaux.

.2 Sauf indication contraire de la part de l’Entrepreneur général, les travaux indiqués dans les différentes sections de devis mécanique seront effectués par les entrepreneurs spécialisés indiqués.

.3 Tout changement fait aux plans et devis, sans l’autorisation écrite du professionnel, rendra l’entrepreneur concerné seul responsable du mauvais fonctionnement des systèmes. Il sera responsable de tout défaut qui pourrait survenir dans l’espace d’une année après l’acceptation finale des travaux.

.4 Aucune rémunération supplémentaire ne sera accordée pour le déplacement de conduits et d’appareils installés ou non qui sera jugé nécessaire à cause de la structure ou de toute autre considération normale.

.5 En s’engageant à exécuter le travail décrit par les plans et le cahier des charges, l’Entrepreneur reconnaît et accepte que les plans et le cahier des charges ne contiennent pas une description ni même une mention de tous les accessoires, détails, menus ouvrages, etc., qui sont requises pour l’exécution complète du travail et il s’engage à accepter la décision du Professionnel quant à ce qui doit être fourni et quant à la façon d’exécuter le travail pour satisfaire aux exigences des plans et du cahier des charges.

.6 L’Entrepreneur qui, au moment de l’exécution des travaux, constate qu’il y a omission ou divergence entre les plans et le cahier des charges doit immédiatement en aviser le Professionnel, par écrit, qui émettra une directive pour clarification ou un changement si nécessaire.







.7 Tous les travaux doivent être exécutés parfaitement, et l’installation de tout article devra être exécutée afin de garantir une facilité de lecture, de calibrage, d’accès, d’inspection et de réparation des équipements et accessoires installés. Le Professionnel exigera le déplacement de tout article installé sans égard à la présente clause, et ce, aux frais de l’Entrepreneur exclusivement.

.8 L’Entrepreneur doit fournir, installer et raccorder tous les matériaux ou accessoires nécessaires à une installation complète même si ces derniers ne sont pas montrés spécifiquement aux plans et devis.

.9 Les noms de spécialités mentionnés dans l’identification d’un dessin ou sous la rubrique titre du dessin ne servent qu’à faciliter le travail de chaque section et ne doivent pas être considérés comme limitatifs.

.1 Tous les appareils, accessoires, équipements, tuyauterie, etc. doivent être installés, raccordés et mis en opération strictement en conformité avec les directives et les recommandations les plus récentes des fournisseurs.

.2 Lorsque les plans et devis ne montrent pas le détail des accessoires requis ou le raccordement à faire pour l’installation d’un appareil, c’est que les recommandations du fournisseur de l’appareil s’appliquent à l’installation en question, et ses accessoires et raccords font partie des plans et devis comme s’ils y étaient mentionnés spécifiquement. Si l’Entrepreneur a quelques doutes, il doit soumettre le cas aux Professionnels dont la décision sera finale.

.3 S’assurer de la présence du représentant du fournisseur pour attester la conformité de l’installation, lorsque requise.

.10 Exécuter les travaux inclus aux plans et au cahier des charges en conformité avec les codes et règlements qui régissent les travaux du présent projet; il s’agit des codes et règlements émis par les autorités fédérales, provinciales, municipales et autres autorités compétentes.

.11 Exécuter les travaux conformément aux exigences particulières des compagnies de services publics et des entrepreneurs autorisés d’électricité, de gaz et de téléphone.







.12 Se conformer aux codes, règlements et exigences sans rémunération supplémentaire et défrayer tous les coûts relatifs à l’obtention des permis requis.

.1 Le Professionnel se réserve le droit d’interprétation des plans et du cahier des charges de mécanique. S’il y a désaccord entre les plans et le cahier des charges de mécanique en ce qui a trait à la quantité, à la qualité, à la nature ou au prix de certains ouvrages ou matériaux, l’Entrepreneur utilisera pour préparer sa soumission la solution la plus dispendieuse et devra présenter sa soumission en conséquence. Un crédit sera accordé au propriétaire si une autre solution est adoptée lors de la construction

.13 Les parcours des tuyauteries et de conduits de ventilation ne sont pas localisés avec précision sur les dessins. Ceux-ci sont représentés sous forme schématique et sont indiqués comme chemins de tuyauterie et de conduit. L’Entrepreneur doit prévoir leur passage le plus près possible des plafonds des salles de mécanique ainsi que leur passage dans l’entreplafond des autres pièces et/ou corridors.

.14 L’Entrepreneur doit inclure dans ses travaux la conception du chemin exact de ces systèmes, les percements nécessaires, les coudes et la longueur de tuyauterie jugés nécessaires, les supports et les accessoires, ainsi que la coordination avec tous les éléments nouveaux ou existants d’architecture, de structure, de mécanique et d’électricité du bâtiment.

1.7 Produits équivalents et de substitution

.1 L’article montré au plan ou tableau au plan ou si inexistant, le premier article (produit de référence) mentionné dans la liste des produits acceptables tient lieu de prescription et définit les critères pour ce qui est du rendement ou de la performance, de la qualité du matériel/des matériaux et de la qualité d'exécution, et que s'il est fait mention d'une norme de référence, il doit être considéré comme un complément à cette dernière.

.2 Si le soumissionnaire souhaite présenter sa soumission originale avec un appareil mentionné comme produit équivalent (autre que le produit de référence), il devra par la suite se conformer aux stipulations suivantes :

.1 La demande de produits équivalents par l’Entrepreneur ne se fera que lors de la période de l’appel d’offres et la demande devra être soumise cinq (5) jours ouvrables, avant l’ouverture des soumissions.







Si le produit équivalent est accepté par la CSEM, un addenda sera émis lors de l’appel d’offres.

L'entrepreneur devra joindre avec sa demande, un tableau comparatif des caractéristiques principales de l'appareil ou du matériau spécifié comme produit de référence et de celui qui lui est proposé en équivalence. Ce tableau devra comprendre toutes les données relatives à l'encombrement et aux caractéristiques propres au genre d'appareil ou de matériau, ainsi que le crédit applicable s’il y a lieu. À cet effet, une copie de la soumission pour l’appareil ou les matériaux spécifiés en produit de référence ainsi qu’une copie d’une soumission pour les appareils ou les matériaux proposés en équivalence devront également être jointes au tableau comparatif.


1.8 Évaluation des modifications au contrat

.1 La valeur de tout changement au contrat est déterminée selon un coût réel basé sur une estimation détaillée où sont énumérées les quantités, le coût unitaire réel, soit le coût du prix de liste et le rabais réel obtenu du fournisseur, le temps de main-d’œuvre selon des barèmes reconnus et le coût unitaire de celle-ci incluant toutes les charges sociales prescrites par la RBQ, le coût des charges pour les équipements. Ces coûts supplémentaires seront diminués des coûts évités incluant la main-d’œuvre.

.2 Pour tout changement, un coût de surveillance (contremaître) pourra être considéré seulement sur la base de la différence de temps alloué dans le calendrier général de la construction pour l’exécution du travail impliqué.

.3 Pour des travaux où des dessins de fabrication ont été préparés, soumis et vérifiés par l’ingénieur, un temps de dessins correspondant à 10 % du coût du matériel de base dont ces dessins tels que tuyaux, tôle fabriquée, etc. font l’objet sera alloué.


1.9 Paiement

.1 Aucun paiement ne sera accordé pour des équipements et/ou matériaux entreposés au chantier. Ces équipements et/ou matériaux devront être fixés à leur localisation finale avant de procéder à leur paiement.







1.10 Acceptation provisoire ou achèvement substantiel des

travaux

.1 L’ouvrage est achevé substantiellement lorsqu’il est prêt à être utilisé aux fins auxquelles il est destiné et l’ingénieur reconnaîtra que l’ouvrage est substantiellement complété lorsque l’entrepreneur aura fait la preuve, et ce, durant une période de cinq (5) jours de civil consécutifs, que les conditions des pièces demeurent à l’intérieur des critères de performance définis au cahier des charges.


.3 Avant d’émettre un certificat d’achèvement substantiel des travaux et de faire une visite d’inspection finale, l’ingénieur exigera, entre autres, de l’entrepreneur :

.1 Que ce dernier démontre à l’ingénieur que tous les systèmes et réseaux fonctionnent selon les critères de performance énoncés au cahier des charges.

.2 Que ce dernier démontre à l’ingénieur que toutes les séquences automatiques de contrôle demandées au cahier des charges sont opérationnelles et peuvent fonctionner de façon répétitive.

.3 Que ce dernier produise une demande par écrit

.4 Une liste de défauts sera élaborée suite à la visite finale pour la réception provisoire des travaux.

.5 Les systèmes de prévention et de lutte contre les incendies, tels que le système d’alarme-incendie et les indicateurs de sorties, devront être fonctionnels avec les certificats associés.

1.11 Acceptation finale et achèvement des travaux

.1 Le certificat d’acceptation finale sera émis par le propriétaire à l’entrepreneur lorsque tous les travaux auront été complétés, selon les termes du contrat et à la satisfaction du propriétaire, c’est-à-dire corrigé tous les défauts, remis les certificats d’acceptation des diverses autorités. Les paiements seront exécutés selon les termes du contrat et après que l’entrepreneur aura satisfait aux exigences énumérées, payé tous les frais de permis, etc.








.3 Une installation mécanique est considérée complète quand le tout est en opération, les contrôles fonctionnent parfaitement, les pièces d’équipements sont identifiées, la formation complétée et les plans « tel qu’annoté par l’entrepreneur » et manuels d’instructions sont remis au propriétaire.

1.12 Procédure et calendrier des travaux

.1 L’entrepreneur devra se référer aux documents d’architecture et suivre les étapes de construction établies par l’architecte et le propriétaire concernant le calendrier et la procédure des travaux.

.2 Le contrat d’Appel d’offres – fait partie intégrante des présents documents.



B-131, B-133, B-231 ET B-237 PARTICULIÈRES




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section précise les instructions et clauses particulières communes de mécanique des divisions 01, 22, 23 et 25.

.2 La présente section s’applique conformément avec la section 00 01 10.1 – Liste des sections de devis.

.3 La présente section s’applique conformément avec la section 00 01 10.2 – Liste des plans.

1.2 Documents/échantillons à soumettre pour

approbation/information

.1 Au début des travaux l'ingénieur exigera de l'entrepreneur tous les documents ou/et informations mentionnés à l’article 1 de l’annexe A « Documents exigés de l’entrepreneur ».

.2 Soumettre les documents et les échantillons requis conformément à la section 01 33 00 – Documents et échantillons à soumettre.

.3 Les matériaux et les appareils doivent être conformes aux exigences générales concernant les produits du devis de l’architecte.

1.3 Coordination entre les sous-traitants et dessins

d’intégration

.1 Afin d’assurer une entière coordination de tous les travaux des métiers en mécanique et en électricité du bâtiment, en relation avec l’architecture, des rencontres de coordination se tiendront avant que tous travaux soient exécutés sur le chantier par les présents métiers. Le coordonnateur sera le sous-traitant en ventilation. Celui-ci devra intégrer sur ses dessins de fabrication et d’installation, les composantes et conduites des autres métiers de mécanique et d’électricité sur des vues en plan avec hauteur de montage; le tout sous la surveillance et responsabilité de l’entrepreneur général. Ces dessins seront préparés sur support informatique et mis à la disposition de toutes les spécialités. Au fur et à mesure du déroulement du chantier, les dessins seront révisés et mis à jour. Advenant que le sous-traitant en ventilation n’ait pas l’expertise nécessaire pour exécuter ce qui précède, il devra engager à ses frais et sous sa responsabilité, un spécialiste en la matière qui poursuivra son travail au besoin jusqu’à la fin du chantier.







Chaque corps de métiers devra exécuter ses travaux en respectant ces dessins. Advenant des ajustements rendus nécessaires par un manque d’un ou l’autre des intervenants, celui qui aura causé cette situation en sera responsable vis-à-vis les autres métiers.

.2 Le sous-traitant en plomberie a priorité sur les autres entrepreneurs pour passer ses conduits. Cependant, l’ingénieur aura le droit d’intervenir s’il est jugé que le sous-traitant en plomberie refuse de tenir compte des exigences des autres ou retarde les travaux.

.3 La coordination et les vérifications mentionnées ci-dessus seront faites par l’entrepreneur et ses sous-traitants avant de commander chaque appareil, ainsi qu’avant de commencer à exécuter un travail. Si une difficulté se présente, il devra soumettre le cas aux ingénieurs avant de commencer le travail. Si cette vérification n’est pas faite par le sous-traitant et qu’une difficulté se présente, et que le sous-traitant doit subir des frais additionnels pour la surmonter, ces frais seront à la charge du sous-traitant concerné.

.4 À moins d’indication contraire, on doit fournir les accessoires nécessaires permettant de compléter sur place l’installation des éléments qu’il a fabriqués.

.5 Aucune indemnité n’est accordée pour le déplacement de conduits, boîtes, équipements, etc. nuisant à la bonne exécution des autres travaux ou à l’apparence générale.

.6 Chaque sous-traitant coordonnera ses ouvertures, ancrages, supports et autres dispositions requises pour l’installation des ouvrages mentionnés et obtiendra des informations requises à temps pour ne pas retarder l’exécution des travaux.

1.4 Électricité

.1 Les travaux d'électricité doivent être effectués conformément aux prescriptions de la Division 26 et selon les prescriptions des paragraphes suivants :

.1 La responsabilité du fournisseur et de l'installateur des appareils et installations électriques est décrite au tableau des moteurs, appareils et commandes qui paraissent sur les dessins ou au devis d'électricité; par ailleurs, la responsabilité du fournisseur et de l'installateur des appareils et installations mécaniques est décrite au tableau des appareils et installations mécaniques qui paraissent sur les dessins de bâtiment ou au devis de mécanique.







.2 Se reporter à la Division 26 pour connaître les prescriptions relatives au câblage et aux conduits de commande, sauf en ce qui a trait aux conduits, fils, câbles et connexions associés à un réseau/circuit fonctionnant sous une tension inférieure à 50 V, pour des éléments appartenant à des circuits de commande prescrits aux divisions mécaniques et illustrés sur les dessins de mécanique. Se reporter à la Division 26 pour ce qui est de la qualité des matériaux et de la qualité d'exécution des travaux.

1.5 Dessins d'après exécution

.1 Documents à conserver sur place :

.1 Fournir un (1) jeu de dessins de mécanique et y indiquer, au fur et à mesure, tous les changements apportés au cours de l'exécution des travaux aux matériaux et appareils mécaniques, aux systèmes de commande/régulation et au câblage de commande basse tension.

.2 Reporter chaque semaine les renseignements notés sur la copie des dessins reproductibles de manière que ces derniers montrent les systèmes et appareils mécaniques tels qu'ils sont effectivement installés.

.3 Utiliser un stylo à encre indélébile de couleur différente pour chaque réseau.

.4 Garder ces dessins sur place et les mettre à la disposition des personnes concernées à des fins de référence et de vérification.

.2 Dessins d’après exécution :

.1 Avant le début des opérations d’ERE (essai, réglage et équilibrage de réseaux de CVCA, section 23 05 93), compléter les dessins d'après exécution.

.2 Identifier chaque dessin dans le coin inférieur droit, en lettres d'au moins 12 mm de hauteur, comme suit : « DESSIN D'APRÈS EXÉCUTION : LE PRÉSENT DESSIN A ÉTÉ REVU ET IL MONTRE LES SYSTÈMES/APPAREILS MÉCANIQUES TELS QU'ILS SONT EFFECTIVEMENT INSTALLÉS ». (Signature de l'Entrepreneur) (Date).

.3 Soumettre les dessins à l’ingénieur aux fins d'approbation, puis apporter les corrections nécessaires selon ses directives.







.4 Effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage des réseaux de CVCA avec, en main, les dessins d'après exécution.

.5 Soumettre les copies reproductibles des dessins d'après exécution complétées, avec le manuel d'exploitation et d'entretien.

.6 Soumettre un exemplaire de chaque dessin d'après exécution et les incorporer au rapport définitif portant sur les essais, l'équilibrage et le réglage des systèmes et des installations.

1.6 Transport, livraison, entreposage et manutention

.1 Emballage, expédition, manutention et déchargement

.1 Transporter, entreposer et manutentionner les matériaux et les appareils conformément aux instructions écrites du fabricant. Livrer les matériaux et les appareils au chantier dans leur emballage d'origine.

.2 Respecter les procédures, les précautions et les soins décrits dans les fiches signalétiques.

.3 Ne pas employer de matériaux ou des appareils endommagés ou périmés.

.2 Entreposage et protection

.1 Protéger les matériaux et les appareils contre les intempéries et les dommages susceptibles d'être causés par la circulation des personnes, du matériel et des véhicules.

.2 Protéger les matériaux et les appareils contre tout dommage.

.3 Entreposer les matériaux et les appareils aux températures et dans les conditions exigées par le fabricant.

.3 Livraison

.1 Livrer les matériaux et les appareils en bon état, dans les contenants intacts et clairement identifiés du fabricant portant la marque, le type et, le cas échéant, l’étiquette ULC ou UL.

.2 Coordonner la livraison des matériaux et des appareils en fonction de la date d’installation prévue afin de minimiser le temps d’entreposage au chantier.








2. PRODUITS

2.1 Matériaux et appareils

.1 Les matériaux et les appareils doivent être certifiés CSA. Dans les cas où l'on ne peut obtenir des matériaux ou des appareils certifiés CSA, soumettre les matériaux et les appareils de remplacement aux autorités d'inspection avant de les livrer sur le chantier.

.2 Les panneaux (tableaux de commande/contrôle) et les ensembles de composants doivent être assemblés en usine.

3. EXÉCUTION

3.1 Instructions des fournisseurs

.1 Tous les appareils, accessoires, tuyauterie, etc. doivent être installés, raccordés et mis en opération strictement en conformité avec les directives et les recommandations les plus récentes des fournisseurs de l’appareil.

.2 Lorsque les plans et devis ne montrent pas le détail des accessoires requis ou le raccordement à faire pour l’installation d’un appareil, c’est que les recommandations du fournisseur de l’appareil s’appliquent à l’installation en question, et ses accessoires et raccords font partie des plans et devis comme s’ils y étaient mentionnés spécifiquement. Si l'Entrepreneur a quelque doute, il doit soumettre le cas aux Professionnels dont la décision sera finale.

.3 Les raccords, les joints flexibles, les coussins antivibratoires, les supports, l’isolation thermique, le revêtement insonorisant, les soupapes ainsi que tous les accessoires requis selon les instructions et recommandations du fournisseur de l’appareil, même s’ils ne sont pas mentionnés aux plans, devis et addenda, doivent être fournis et installés correctement selon toutes les plus récentes normes en vigueur et exigences relatives à ces normes.

.4 Lorsque requis, ou indiqué formellement dans le présent devis, s'assurer de la présence du représentant du fournisseur pour attester la conformité de l'installation.

3.2 Retouche et remise en état des revêtements de

peinture

.1 Effectuer les travaux de peinturage conformément aux sections de peinture de l’architecte.







.2 Appliquer au moins une couche d'apprêt résistant à la corrosion sur les supports/suspensions en métal ferreux ainsi que sur le matériel fabriqué sur place.

.3 Apprêter et retoucher les surfaces dont le fini peint a été endommagé, et s'assurer que le nouveau fini correspond au fini original.

.4 Remettre à neuf les surfaces dont le fini a été trop gravement endommagé pour nécessiter seulement une couche d'apprêt et des retouches.

3.3 Peinture pour éléments mécaniques

.1 Les produits de peinture énumérés dans la Liste des produits approuvés du MPI (Master Painter Institute) peuvent être utilisés dans le cadre des présents travaux.

.2 Tous les produits de peinture doivent provenir du même fournisseur.

.3 Tous les produits de peinture doivent contenir un maximum de 250 g/L de COV, conformément à la norme Green Seal GC-03 – 1997.

.4 Le colorant à peinture ne doit pas contenir de glycol ou tout autre produit toxique.

.5 Tous les finis de surfaces devront être de 20 % à 30 % lustré pour fin d’entretien.

.6 Des produits de peinture avec un contenu recyclé sont préférables lorsque la couleur spécifiée est disponible pour ce type de produit.

.7 Les peintures d’apprêt doivent être conformes à la norme CAN/ONGC-1.119 2000 et approuvés par le fournisseur du matériau/élément à apprêter.

.8 Appliquer chaque couche de peinture de manière à obtenir un film continu d’une épaisseur uniforme selon les spécifications du fournisseur de produits de peinture.

.9 S’assurer de la compatibilité entre les produits d’apprêt, de finition et les matériaux à être peints.

.1 Produits acceptables :

.1 Sico série Écosource,

.2 Benjamin Moore série Eco Spec,







.2 Équivalents acceptables :

.1 Pittsburg, Behr, CIL.

.10 Surfaces à peindre

.1 Chaque entrepreneur spécialisé devra appliquer une couche de base (couche d’apprêt) à métal sur tout l'équipement ou les supports d'équipement en fer non galvanisé. Avant de quitter les lieux, il devra retoucher la couche de base à tous les endroits où elle a été endommagée.

.2 La couleur de la couche d'apprêt de la tuyauterie noire devra être noire

.3 La partie coupée ou perforée d'appareils, équipements ou supports galvanisés sera peinte de Galvicon.

.4 À moins d’indications contraires, ne pas peindre les produits finit en surface tels que :

.5 Produits en acier inoxydable, laiton, peinture-émail cuite au four, aluminium, porcelaine émaillée, stratifié de plastique, verre, tuile ou surface de brique, nom d’équipement et/ou plaque signalétique.

.6 Les couches de fini font partie du contrat de l’entrepreneur. Les entrepreneurs en mécanique devront cependant veiller à ce que les portes de visites de toutes sortes, incluant les panneaux ouvrants des convecteurs, soient peintes dans la position ouverte afin d'assurer la liberté de mouvement.

3.4 Percements

.1 Se tenir responsable de la localisation, de la dimension et de l'établissement de toutes les ouvertures et bases de béton nécessaires à l'exécution de son travail.

.2 Lorsque les tuyaux, conduits ou caniveaux, etc. traversent des éléments de charpente coulés sur place, fournir et installer dans les formes, l'équipement nécessaire tel que manchons, insertions, etc. avant que le ciment ne soit coulé.







.3 Lorsque les tuyaux, conduits, etc. traversent des éléments de charpente fabriquée, déjà coulée ou existante, inclure dans sa soumission le coût du perçage. Les réparations seront faites par l'entrepreneur général. Si de tels percements ne sont pas praticables en chantier dans les dalles préfabriquées, faire prévoir des ouvertures à l'usine.

.4 Dans le cas où le percement d’un plancher est exécuté après la coulée, placer dans le trou le manchon approprié avec trois (3) goujons de support qui l’empêchent de glisser dans le trou. Sceller étanche à l’eau l’espace entre celui-ci et le béton avec un produit approprié et approuvé.

.5 S'il y a impossibilité ou négligence de fournir et installer ces manchons, insertions, cadres en temps ou qu'ils ne sont pas localisés précisément, assumer le coût du perçage et les réparations s'en suivant.

.6 Consulter l'ingénieur en structure avant d'exécuter des percements de planchers, murs et plafonds, poutres ou toute autre partie de la structure et en obtenir la permission.

.7 À moins qu'autrement indiqués sur les plans, tous les percements et ouvertures de 150 mm Ø et moins seront exécutés par le sous-traitant de la spécialité et coordonnés avec l'entrepreneur général et l'ingénieur en structure. Les percements ou ouvertures de plus grande dimension seront exécutés par l’entrepreneur général.

.8 Prévoir toutes ouvertures pour le passage des tuyaux, conduits ou caniveaux, de façon à permettre l'expansion, la contraction ou l'isolation, selon le cas. Dans le cas d'une ouverture sur le toit, prendre toutes les précautions nécessaires pour en assurer l'étanchéité. Fournir et installer tous les supports d'acier nécessaires à l'installation de l'équipement, tuyauterie, etc.

.9 Tous les percements exécutés qui ne serviront pas et les ouvertures devenues inutiles devront être bouchés par le sous-traitant qui en est responsable au moyen de béton coulé et/ou de matériaux ayant les mêmes caractéristiques que les planchers et ou les murs qu'ils traversent.

.10 Exécuter les percements dans les murs et dalles de béton avec une perceuse à pointe-de-diamant. Aucun outil à percussion ne sera accepté afin de percer les dalles de béton et les murs en béton.







3.5 Retenues parasismiques

.1 Chaque sous-traitant de chaque spécialité sera responsable de la conformité des systèmes de protection parasismique.

.2 Se référer à la section 23 05 49 – Systèmes de protection parasismique.

3.6 Boulons d’ancrage, ancrages et gabarits

.1 Fournir les boulons d’ancrage et les gabarits nécessaires, lesquels seront installés aux termes d’autres divisions.

.2 Tous les ancrages installés dans le béton après la prise du béton seront conçus pour résister aux efforts sismiques tels que HLT, HSL ou Kwik Bolt de Hilti ou équivalent approuvé. Fournir à l’ingénieur la fiche technique de chaque type et modèle d’ancrage qui sera utilisé.

3.7 Portes d’accès

.1 Prévoir des portes d’accès permettant d'accéder au matériel mécanique dissimulé pour le faire fonctionner, le vérifier et en faire l'entretien.

.2 Lorsque ces portes doivent être installées dans des cloisons ou des plafonds finis, elles doivent être fournies et installées conformément au devis de l’architecte.

.3 Portes montées d'affleurement, mesurant 600 x 600 mm dans le cas d'un trou de visite et 300 x 300 mm dans le cas d'un trou de main, à moins d'indications contraires, s'ouvrant à 180°, à angles arrondis, munies de charnières dissimulées, de verrous à ouverture par tournevis et de ferrures d'ancrage.

.4 Matériaux :

.1 Type 1 – Régulière

.1 Matériau : acier de calibre 16 avec couche d’apprêt électrostatique de couleur grise.

.2 Charnière dissimulée.

.3 Verrouillage à tournevis plat.

.4 Dimension : 610 x 610 mm ou tel qu’indiqué aux plans.







.5 Installation sur des murs ou plafonds de gypse.

.6 Produits acceptables : porte architecturale avec rebord dissimulé CTR « Contour » de Cendrex ou équivalent approuvé.

.2 Type 2 – Coupe-feu

.1 Matériau : acier enduit de satin calibre 16.

.2 Catégorie : B, 90 minutes ULC/WH.

.3 Conforme aux normes : ASTM E 152, NFPA 252 et ULC-S104.

.4 Charnière continue de type piano, ouverture 165°.

.5 Verrouillage : avec barillet à clé.

.6 Dimension : 609 x 609 mm.

.7 Produits acceptables : porte résistante au feu non isolée PFN ou équivalent approuvé.

.3 Dans le cas de surfaces particulières telles que les carreaux de céramique ou le marbre, utiliser des portes en acier inoxydable présentant un fini satin brossé ou poli, selon les directives de l'ingénieur.

.5 Installation :

.1 Situer les ouvertures de façon à permettre l'accès aux éléments dissimulés.

.2 Situer les ouvertures de façon que les trous de visite ou trous de main, selon le cas, soient facilement accessibles.

.3 Le mode d'installation est prescrit dans les sections pertinentes.

3.8 Nettoyage

.1 Nettoyer le matériel et les appareils mécaniques, nouvellement installés.







.2 Nettoyer l'intérieur et l'extérieur de tous les éléments, appareils et systèmes, de mécanique, et passer l'aspirateur à l'intérieur des conduits d'air et des appareils de traitement de l'air.

3.9 Protection

.1 Au moyen d'éléments appropriés, empêcher la poussière, la saleté et autres matières étrangères de pénétrer dans les ouvertures des appareils, des matériaux et des systèmes.

.2 Assurer une protection de tous les matériaux contre les intempéries.

3.10 Gestion et élimination des déchets

.1 Trier les déchets en vue de leur recyclage.

.2 Placer dans des contenants désignés les substances qui correspondent à la définition de déchets toxiques ou dangereux.

.3 Manipuler et éliminer les matières dangereuses conformément aux règlements régionaux et municipaux.

.4 S'assurer que les contenants vides sont scellés puis entreposés correctement, hors de la portée des enfants, en vue de leur élimination.

.5 Évacuer du chantier tous les matériaux d'emballage et les acheminer vers des installations appropriées de recyclage.

3.11 Essais

.1 Le représentant du propriétaire utilisera certains appareils, matériaux et systèmes, aux fins d'essai, avant même qu'ils aient été acceptés. Fournir la main-d’œuvre, les matériaux et les instruments nécessaires à l'exécution des essais.

.2 Se conformer aux prescriptions particulières de chacune des sections mécaniques.

.3 Donner un préavis écrit de 48 heures de la date de chaque essai.

.4 Ne pas calorifuger ni dissimuler les ouvrages avant qu'ils aient été éprouvés et approuvés par l'ingénieur.







.5 Effectuer les essais en présence de l'ingénieur.

.6 Assumer tous les coûts y compris ceux de la remise à l'essai et de la remise en état.

3.12 Formation du personnel d’exploitation et d’entretien

.1 Fournir les outils, les matériaux et les services d'instructeurs qualifiés pour assurer, pendant les heures normales de travail, la formation du personnel d'exploitation et d'entretien quant au fonctionnement, à la commande et régulation, au réglage, au diagnostic des problèmes, au dépannage et à l'entretien des appareils, matériaux et systèmes, avant l'acceptation de ceux-ci.

.2 Soumettre à l’ingénieur et au propriétaire, 30 jours avant la date prévue de commencement de chaque formation, une proposition de formation accompagnée d'un horaire détaillé, y compris un court aperçu du contenu de chaque volet.

.1 La proposition doit comprendre le nom du formateur ainsi que le type d'aides audiovisuelles qui seront utilisés.

.2 Elle doit également indiquer la correspondance de cette formation avec les autres programmes de formation en mécanique et en électricité.

.3 Soumettre les rapports de formation au plus tard une (1) semaine avant la date prévue de commencement du programme de formation.

.4 Les systèmes, appareils ou équipements suivants devront faire l’objet d’une formation :

.1 Système de régulation automatique (voir division 25);

.5 Le matériel didactique doit comprendre, entre autres, le manuel d'exploitation et d'entretien, les dessins d'après exécution et des aides audiovisuelles.

.6 Lorsqu'il le juge nécessaire, le propriétaire peut enregistrer ces démonstrations sur bande vidéo à des fins de référence ultérieure.







3.13 Ensemble coupe-feu et compartimentage

.1 Chaque sous-traitant de chaque spécialité sera responsable de la conformité et de la qualité des scellements coupe-feu et scellement général.

.2 Se référer à la section 07 84 00 – Ensemble coupe-feu.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN SECTION 01 33 00

REFECTION DES SALLES DE TOILETTES DOCUMENTS ET ÉCHANTILLONS

B-131, B-133, B-231 ET B-237 À SOUMETTRE

ECOLE GUILLAUME-VIGNAL



1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section précise les exigences générales communes de mécanique des divisions 22, 23 et 25.



.1 La présente précise les exigences et les procédures générales relatives à la soumission des dessins d’atelier, des fiches techniques et des échantillons expédiés par les Entrepreneurs en mécanique au Professionnel aux fins de vérification.

.1 Ne pas entreprendre les travaux avant que les documents et/ou les échantillons soumis aient été vérifiés par le Professionnel. Ces exigences sont complémentaires aux prescriptions du Propriétaire relatives aux dessins d’atelier.

.2 Aviser le Professionnel par écrit des dérogations qui s’y trouvent par rapport aux exigences des plans et du devis technique, en précisant les raisons de ces dérogations et ceci, au moment de la soumission des documents.

.3 Considérer que l’Entrepreneur ne sera pas dégagé de sa responsabilité à l’égard des dérogations aux exigences des plans et du devis technique, même si le Professionnel a vérifié les documents soumis, exception faite du cas où ce dernier accepte par écrit une dérogation spécifique.

.4 Aviser le Professionnel par écrit des changements effectués autres que ceux exigés par ce dernier, lors d’une nouvelle soumission de documents et/ou d’échantillons.

.5 Les Professionnels disposent de dix (10) jours ouvrables pour la vérification des dessins d’atelier à partir de la journée de réception du dessin à son bureau.







.2 La présente précise la portée de la vérification des documents par les Professionnels :

.1 Introduire une étape intermédiaire du contrôle de la qualité dans le déroulement des travaux, sans pour autant constituer un ordre de changement aux plans et au devis technique.

.2 Vérifier la disposition générale de l’équipement et du matériel seulement.

.3 Assurer, à l’aide d’annotations qui ne sont pas limitatives, que les exigences minimum utilisées lors de l’élaboration du projet ont été respectées.

.3 Les quatre (4) annotations sur le tampon de vérification de l’ingénieur sont :

.1 « AUCUNE CORRECTION SIGNALÉE » signifie que l’entrepreneur peut procéder selon son dessin.

.2 « FAIRE CORRECTIONS INDIQUÉES » signifie que l’entrepreneur peut procéder selon son dessin et en tenant compte des annotations ajoutées par l’ingénieur; la copie du dessin devient la copie officielle et l’entrepreneur n’a pas à resoumettre le dessin.

.3 « CORRIGER ET SOUMETTRE À NOUVEAU » signifie que l’information contenue sur le dessin est incomplète ou que le dessin est incomplet, illisible, etc., et que cette information ne permet pas à l’ingénieur de porter un jugement sur la conformité avec les plans et le devis; dans un tel cas, l’ingénieur pourra indiquer sur le dessin les points que l’entrepreneur devra préciser ou compléter avant de resoumettre le dessin.

.4 « REFUSÉ » signifie que le dessin concerne des matériaux ou des ouvrages non conformes aux plans et aux devis; dans un tel cas, l’entrepreneur devra transmettre à l’ingénieur un autre dessin qui concerne ce qui est demandé aux plans ou au devis.

.4 La présente précise les responsabilités de l’Entrepreneur avant la soumission des documents pour vérification.

.1 Vérifier si les dessins d’atelier et les fiches techniques sont conformes aux plans et au devis technique quant à la qualité, aux caractéristiques et à l’encombrement.







.2 Corriger les dessins d’atelier et les fiches techniques si nécessaire.

.3 Approuver les dessins d’atelier et les fiches techniques.

.4 Coordonner chaque soumission des documents requis avec les exigences des travaux, des plans et du devis technique. Considérer que les documents soumis individuellement ne seront pas vérifiés tant que les renseignements connexes ne seront pas disponibles.

.5 Soumettre les dessins d’atelier, les fiches techniques et tous les échantillons requis dans un délai raisonnable et selon l’ordre approprié pour ne pas retarder l’exécution des travaux. Ces retards ne constituent pas un motif valable pour demander une prolongation du calendrier des travaux ou de la période contractuelle et aucune demande à cet effet et pour ce motif ne sera acceptée.

.6 Inclure avec le bordereau d’expédition les fiches d’identification des dessins d’atelier avec les renseignements suivants :

.1 La date.

.2 Projet

.3 La désignation et le numéro du projet.

.4 Propriétaire (client)

.5 Entrepreneur général (incluant son adresse courriel)

.6 Sous-traitant (incluant son adresse courriel)

.7 Fournisseur

.8 Spécialité (discipline)

.9 Le numéro de la section du devis technique.

.10 Vérification de l’ingénieur (tampon)

.11 Tout autre renseignement utile.

.12 La fiche d’identification des dessins d’atelier est incluse à la fin de la présente section. Cette fiche doit obligatoirement être







remplie, pour chacun des dessins et retournée à l’Entrepreneur, à défaut de quoi ces derniers ne seront pas vérifiés.

.5 Les dessins d’atelier et les fiches techniques doivent montrer ce qui suit :

.1 Les détails de montage.

.2 Les dégagements nécessaires pour permettre l’exploitation et l’entretien de l’équipement et ceux nécessaires à la manœuvre des portes de visite.

.3 Les détails de détails des socles, des supports/suspensions et des boulons d’ancrage.

.4 Les puissances des systèmes et appareils, le cas échéant.

.5 Les certificats de conformité aux codes pertinents.

.6 Les données relatives à la puissance acoustique des systèmes et appareils, le cas échéant;

.7 Les courbes de performance avec indication des points de fonctionnement.

.6 La présente précise la portée des responsabilités de l’Entrepreneur après avoir reçu les documents vérifiés par le Professionnel. Selon les annotations indiquées sur les documents, ne choisir que l’une des trois actions suivantes :

.1 Corriger les documents rejetés par le Professionnel ou resoumettre de nouveaux documents respectant les annotations indiquées; ne pas commander d’équipement et/ou de matériel et ne pas débuter l’exécution des travaux impliquant cet équipement et/ou ce matériel.

.2 Commander l’équipement et/ou le matériel et exécuter les travaux en tenant compte des annotations mineures du Professionnel, mais resoumettre les documents corrigés pour vérification finale par le Professionnel.

.3 Effectuer la distribution des documents qui ne contiennent pas d’annotations du Professionnel, commander l’équipement et/ou le matériel et exécuter les travaux d’installation.







.7 Avant de faire parvenir les dessins d’atelier à l’ingénieur pour vérification, l’entrepreneur devra :

.1 Numéroter chacune des pages.

.2 Pointer tous les équipements et/ou accessoires faisant partie du dessin d’atelier.

.3 Vérifier si les dessins d’atelier sont conformes aux plans et au devis quant à la qualité, aux caractéristiques et à l’encombrement.

.8 L’entrepreneur sera responsable de la reproduction des « fiches de présentation des dessins d’atelier » et des dessins d’atelier en quantité suffisante pour tous les sous-traitants et leurs fournisseurs ainsi qu’une copie additionnelle pour le propriétaire, une copie additionnelle pour l’architecte et les copies additionnelles pour les cahiers d’exploitation et d’entretien.

.9 La fiche d’identification des dessins d’atelier dûment remplie et annexée à son dessin d’atelier doit être soumise en une (1) copie, format électronique, PDF couleur, haute qualité et envoyée à l’adresse suivante : [email protected] avec copie conforme au représentant de SNC-Lavalin désigné lors de la réunion de démarrage en prenant soin d’indiquer dans l’objet le numéro du projet SNC-Lavalin concerné et, si connu, le nom du directeur de projet.

.10 Les dessins d’atelier et les fiches techniques soumis par télécopieur sont inadmissibles et seront refusés.

.11 Qualité : les dessins d’atelier seront fournis par courriel sous forme d’un original en format électronique PDF, aucun dessin d’atelier ne sera accepté sous forme de télécopie pour des questions de clarté.

.12 Aucun dessin d’atelier ne sera examiné s’il n’est pas soumis suivant la procédure décrite.

.13 Conserver un (1) exemplaire annoté de l’annexe B « Dessins d’atelier – Fiche de présentation » et des dessins d’atelier sur les lieux des travaux, et s’assurer qu’on pourra toujours y avoir accès aux fins de référence.







2. PRODUITS

.1 Sans objet

3. EXÉCUTION

.1 Sans objet





CSEM PROJET : 025-025-44886 ANNEXE A


1. DOCUMENTS EXIGÉS EN DÉBUT DE CHANTIER

* Ces exigences doivent être complétées avant la première demande de paiement.

Date de transmission

1.1 Entrepreneur général 1.1.1 Liste des sous‐traitants et leurs coordonnées

1.1.2 Liste des fournisseurs avec les adresses et personnes à contacter

1.1.3 Liste du personnel attitré au projet et leurs coordonnées (contremaître, estimateur, patron/chargé de projet)

1.1.4 Ventilation détaillée des demandes de paiement des entrepreneurs spécialisés ou sous‐traitants

1.1.5 Preuve d’assurance

1.2 Plomberie 1.2.1 Licences et qualifications

1.2.2 Liste des sous‐traitants et leurs coordonnés



1.2.5 Délais de livraison des équipements à fournir

1.2.6 Preuve d’assurance 1.3 Régulation automatique 1.3.1 Licences et qualifications




1.3.5 Délais de livraison de tous les équipements à fournir

1.3.6 Preuve d’assurance 1.4 Ventilation 1.4.1 Licences et qualifications




1.4.5 Délais de livraison de tous les équipements à fournir

1.4.6 Preuve d’assurance 1.5 Calorifugeage 1.5.1 Licences et qualifications












1.6 Équilibrage des réseaux hydrauliques et aérauliques 1.6.1 Licences et qualifications




1.6.5 Preuve d’assurance 1.7 Nettoyage des conduits d’air et des systèmes 1.7.1 Licences et qualifications





2. DOCUMENTS EXIGÉS EN COURS DE CHANTIER JUSQU’À L’ACCEPTATION PROVISOIRE*

* Ces exigences doivent être complétées avant la demande d’acceptation provisoire (préalable pour l’obtention de celle-ci) en vue de la réception des travaux avec réserve.


1.8 Entrepreneur général

1.8.1 Calendrier détaillé pour les mises en route et le nettoyage des systèmes, les travaux d’équilibrage et la mise en service

1.8.2 Certificats de vérification et d’essais des systèmes

1.8.3 Tous les rapports de visite de l’ingénieur paraphés comme étant corrigés lorsque des déficiences ont été signalées

1.9 Plomberie

Dessins d’atelier (complet)

1.9.1 Rapport complet de vérification et de mise en marche pour chaque équipement

1.9.2 Dessins et calculs de protection parasismique scellés par un ingénieur tel que prescrit à la section 23 05 49

1.9.3 Rapport de conformité des installations parasismiques scellé par un ingénieur tel que prescrit à la section 23 05 49

1.9.4 Liste des formations données avec date et signature des participants

1.9.5 Liste des pièces de rechange et preuve de transmission de celles‐ci

1.9.6 Rapport de laboratoire sur la qualité d’eau potable tel que prescrit à la section 22 11 16








1.10 Régulation automatique


1.10.1 Le plan de mise en service

1.10.2 Le nom du responsable de la mise en service

1.10.3 Le rapport détaillé de la mise en service

1.11 Ventilation


Plan d’intégration effectué sous la gouverne de l’entrepreneur en ventilation en coordination avec tous les autres corps de métier selon les instructions de la section 01 11 01

1.11.1 Les rapports d’essais d’étanchéité des conduits d’air

1.11.2 Un rapport complet de vérification et de mise en marche pour chaque équipement

1.11.3 Dessins et calculs de protection parasismique scellés par un ingénieur tel que prescrit à la section 23 05 49

1.11.4 Rapport de conformité des installations parasismiques scellé par un ingénieur tel que prescrit à la section 23 05 49

1.11.5 Liste des formations données avec date et signature des participants

1.11.6 Liste des pièces de rechange et preuve de transmission de celles‐ci

1.12 Calorifugeage


1.13 Équilibrage des réseaux hydrauliques et aérauliques

1.13.1 Les rapports d’essais d’étanchéité des conduits d’air

1.13.2 Les rapports d’équilibrage hydraulique et aéraulique complets (sans déficience) tel que prescrit à la section 23 05 93

1.14 Nettoyage des conduits d’air et des systèmes


1.14.1 Le rapport complet de nettoyage 3. DOCUMENTS EXIGÉS POUR L’ACCEPTATION FINALE DES TRAVAUX

* Ces exigences doivent être complétées en vue de l’acceptation finale des travaux.

Dates de transmission

1.15 Entrepreneur général

Toutes les listes de déficiences des entrepreneurs spécialisés complétées et contre‐vérifiées par le contremaître du projet.







Notes importantes :

Une signature du chargé de projet et du contremaître sera exigée pour attester que les travaux sont complétés.

Lorsque l’entrepreneur général aura confirmé que les déficiences sont complétées à 100 %, l’ingénieur fera une inspection finale des travaux avec ce dernier et avec le propriétaire. Si d’autres visites sont requises suite à des correctifs non complétés, les frais impliqués seront retransmis à l’entrepreneur général.

1.16 Plomberie

1.16.1 Liste de déficiences complétée à 100 % et paraphée par le chargé de projet

1.16.2 Lettre de garantie

1.16.3 Manuel d’exploitation et d’entretien complété et accepté par l’ingénieur

1.16.4 Dessins conformes à l’exécution

1.17 Régulation automatique





1.18 Ventilation





1.19 Calorifugeage




1.19.4 Le certificat de conformité (Annexe C) dûment signé

1.20 Équilibrage des réseaux hydrauliques et aérauliques





1.21 Nettoyage des conduits d’air et des systèmes







CSEM PROJET : 025-025-44886 ANNEXE B


DESSIN D’ATELIER - FICHE D’IDENTIFICATION (Cette fiche doit être complétée par l’Entrepreneur)

ENTREPRENEUR :

Responsable :

Téléphone : ( ) Courriel :

ENTREPRENEUR SPÉCIALISÉ :

Adresse :

Responsable :

Téléphone : ( ) Courriel :

SPÉCIALITÉ (discipline) :

Dessin d'atelier no : Nombre de pages :

Délai de livraison (après vérification) :

DESCRIPTION DU DESSIN D'ATELIER :

Référence au plan :

Référence au devis :

Section : Article :

Page :

DISTRIBUTEUR :

Adresse :

Responsable :

Téléphone : ( ) Télécopieur : ( )

PRODUIT SOUMIS : DESSIN ÉMIS POUR :

Tel quel

Équivalent

Substitution

Vérification

Information

Coordination

Autre :

RÉVISION DATE D'ÉMISSION

REMARQUES :

Vérification de conformité

Nature et étendue de la vérification

Conformité aux spécifications des plans et devis

Autre :

Cette vérification ne constitue d’aucune façon une vérification détaillée et complète de la conception.

Aucune correction signalée

Faire corrections indiquées

Corriger et soumettre à nouveau

Refusé

Signature Ingénieur Autre Date

Nom N° membre de l’OIQ

La vérification de ce document est restreinte à la nature et à l’étendue indiquée. Elle ne dégage d’aucune façon la personne ou l’entreprise qui l’a préparé de ses obligations de quelque nature que ce soit.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ENSEMBLE COUPE-FEU

B-131, B-133, B-231 ET B-237




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Définitions

.1 Compartimentage coupe-feu: matériau ou combinaison de matériaux utilisés pour conserver l’intégrité d’un élément coté au feu en assurant une barrière efficace contre la propagation des flammes, de la fumée, de l’eau et des gaz chauds à travers les ouvertures dans les éléments fonctionnels de murs et de planchers cotés au feu.

.2 Scellement général : matériaux utilisés pour assurer l’étanchéité à l’air, à la vapeur et à l’eau des équipements et matériaux de systèmes mécaniques lors des installations à travers les ouvertures dans les éléments fonctionnels de murs, de planchers et autres.

1.2 Description générale des travaux de la présente

section

.1 Chaque sous-traitant de chaque spécialité sera responsable de la conformité et de la qualité des scellements coupe-feu. À cet effet, il devra retenir les services d’un spécialiste pour sélectionner les systèmes coupe-feu et spécifier les produits requis pour garantir cette conformité.

.2 Seuls des systèmes coupe-feu, homologués selon la norme canadienne CAN/ULC S115, pourront être utilisés dans les éléments suivants :

.1 Transpercements complet ou partiel d’une séparation coupe-feu, pour le passage de conduits, de tuyauterie et autres installations techniques. Ces transpercements à travers des séparations coupe-feu se retrouvent dans les éléments verticaux (murs et cloisons), dans les éléments horizontaux (assemblages de plancher et plafond) et dans les murs et cloisons des gaines techniques verticales.

.2 Transpercements répétitifs de plomberie à travers des assemblages de planchers ayant une résistance au feu spécifiée. Ces transpercements se retrouvent dans des installations de baignoires, douches, aérateurs et autres pièces de plomberie.

.3 Pour le scellement général, calfeutrer le pourtour de tous les éléments suivants, selon les règles de l’art.

.1 Appareils de plomberie.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.2 Grilles, registres et diffuseurs installés sur un mur, une cloison ou un plafond en gypse.

.3 Tout autre élément mécanique traversant un mur, une cloison ou un plafond en gypse ou en bloc de béton.

.4 Se référer aux plans d’architecture pour connaître les types de cloisonnement coupe-feu.

1.3 Références

.1 Exigences d’essai : ULC-S115-M ou CAN4-S115-M, « Standard Method of Fire Tests of Firestop Systems ».

.2 Les Laboratoires des assureurs du Canada (ULC), à Scarborough, exploitent la norme CAN4-S115-M sous leur propre désignation, ULC-S115-M, et publient les résultats dans leur répertoire des indices de résistance au feu, le « FIRE RESISTANCE RATINGS DIRECTORY », mis à jour annuellement.

.3 Les laboratoires des assureurs Underwriters Laboratories (UL) de Northbrook IL exploitent la norme ASTM E-814 sous leur propre désignation, UL 1479, et publient les résultats dans leur répertoire des indices de résistance au feu, le « FIRE RESISTANCE DIRECTORY », mis à jour annuellement. Les essais UL conformes aux exigences de la norme ULC-S115-M reçoivent l’homologation cUL et sont publiés par UL dans leur répertoire « Products Certified for Canada (cUL) Directory ».

.4 Les laboratoires Warnock Hersey (Interteck) évaluent également les systèmes coupe-feu conformément à la norme CAN/ULC-S115.

.5 Directives « Guidelines for Evaluating Firestop Systems Engineering Judgments » de l’International Firestop Council.

.6 Exigences d'essai : ASTM E 2174-01, « Standard Practice for On-site Inspection of Installed Fire Stops. » Méthodes normalisées d'inspection au chantier de systèmes coupe-feu installés.

.7 CAN/ULC-S102-M, « Standard Test Method for Surface Burning Characteristics of Building Materials ».

.8 Tous les principaux codes du bâtiment : local ou régional dont le code de construction du Québec.



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.9 NFPA 101, « Life Safety Code ».

1.4 Contrôle de la qualité

.1 Un représentant direct du fournisseur doit se trouver au chantier lors de l’installation initiale du système coupe-feu afin de former le personnel de l’entrepreneur aux procédures de sélection et d’installation. Cela se fera conformément aux recommandations écrites du fournisseur publiées dans la documentation et les dessins détaillés.

.2 L’entrepreneur devra apposer l’autocollant d’homologation du système à côté de celui-ci pour fins d’identification et d’inspection. Tous les scellements jugés non conformes devront être repris sans frais supplémentaires.

.3 À la fin des travaux, l’entrepreneur devra fournir une lettre de conformité du spécialiste retenu attestant qu’il a inspecté visuellement les systèmes coupe-feu et qu’ils sont conformes à ses exigences. Cette lettre est un préalable pour la réception provisoire des ouvrages.

.4 L’installation d’un système coupe-feu doit respecter les exigences des éléments mis à l’essai selon CAN4-S115-M ou ULC-S-115-M et qui assurent un indice de résistance au feu conforme.

.5 Les matériaux et les méthodes coupe-feu proposés doivent respecter les codes ayant juridiction.

.6 Les éléments coupe-feu ne rétablissent pas l’intégrité structurale des cloisons et éléments porteurs et ils ne sont pas en mesure de supporter les surcharges et la circulation. L’installateur doit consulter l’ingénieur en structure avant de percer un élément porteur.

.7 Dans le cas d’éléments coupe-feu pour lesquels le fournisseur ne fournit aucun assemblage ULC ou cUL homologué, le jugement d’un ingénieur du fournisseur, dérivé d’éléments similaires cotés UL ou soumis à d’autres essais, sera présenté aux autorités locales ayant juridiction, qui devront les étudier et les approuver avant leur installation. Les dessins de jugement des ingénieurs doivent respecter les exigences décrites par l’International Firestop Council (7 septembre 1994 et amendements ultérieurs).



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1.5 Éléments à présenter

.1 Documents à soumettre :

.1 Preuve de formation signée par les participants.

.2 Fiches techniques numérotées, comprenant les détails des systèmes coupe-feu utilisés selon tous les types d’applications spécifiques au projet.

.3 Dessins d’atelier de tous les produits utilisés dans les systèmes coupe-feu utilisés (fiches MDSD).

.2 Présentation des données sur les produits : devis des systèmes coupe-feu et données techniques du fournisseur pour chaque matériau, y compris la composition et les restrictions; documentation des systèmes ULC ou cUL à utiliser; et directives d’installation du fournisseur conformément à la section portant sur les dessins d'atelier.

.3 Lorsque aucun assemblage ULC ou cUL n’est disponible pour un élément, fournir des dessins détaillés et numéro d’identification du jugement de l’ingénieur du fournisseur. Le jugement d’ingénieur doit préciser le nom du projet et le nom de l’entrepreneur qui installera l’élément coupe-feu décrit.

.4 Présenter des échantillons et des fiches signalétiques fournies avec les produits livrés au chantier conformément aux prescriptions de la section portant sur les échantillons et les fiches signalétiques.

1.6 Qualifications de l’installateur

.1 Engager un installateur expérimenté qui est agréé, certifié ou autrement qualifié par le fournisseur du coupe-feu comme ayant reçu la formation requise pour installer ses produits en conformité avec les exigences. Celui-ci fera l’installation et/ou supervisera l’installation des produits de compartimentage coupe-feu. Le fait qu’un fournisseur accepte de vendre ses produits coupe-feu à l’entrepreneur ou à un entrepreneur engagé par lui ne confère pas à l’acheteur les qualifications requises.



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2. PRODUITS

2.1 Généralités

.1 Assurer le compartimentage à l’aide d’éléments compatibles entre eux, avec les substrats formant les ouvertures et, le cas échéant, avec les éléments pénétrant l’élément coupe-feu dans des conditions de service et d’utilisation telles que démontrées par le fournisseur du produit et fondées sur des essais et l’expérience de chantier.

.2 Fournir pour chaque élément coupe-feu les éléments nécessaires pour installer le matériau de remplissage. Employer exclusivement les composants précisés par le fournisseur du coupe-feu et approuvés par l’agence d’essais qualifiée pour les éléments coupe-feu désignés.

.3 Les produits coupe-feu doivent être ''coulés en place'' (partie intégrante de la coulée de béton) ou ''installés après''. Fournir les produits ''coulés en place'' avant la coulée de béton.

2.2 Fournisseurs acceptables

.1 Sous réserve de la conformité avec les éléments d’ignifugation des transpercements et des joints dont la liste figure dans le répertoire « U.L.C Fire Resistance Directory – Volume III » ou le répertoire « UL Products Certified for Canada (cUL) Directory

.2 Le fabricant doit avoir à son emploi des Spécialistes de la Sécurité Incendie en mesure de fournir un soutien technique au chantier, afin d’effectuer, par exemple, la certification des entrepreneurs et la sélection des ensembles coupe-feu.

2.3 Matériaux de compartimentage coupe-feu

.1 Les produits de scellement coupe-feu sont énumérés partiellement dans les sous-articles qui suivent. Ils sont décrits de façon générale. Tous ces produits sont complémentaires aux systèmes coupe-feu

.2 Employer exclusivement des produits coupe-feu ayant subi des essais ULC ou cUL pour des conditions particulières de construction cotée au feu et se conformant individuellement aux exigences concernant le type d’élément fonctionnel, le type d’élément pénétrant, l’espace annulaire et l’indice de résistance au feu.



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.3 Éléments coupe-feu scellés en place, à installer avant la mise en place du béton, servant avec les tuyaux non combustibles et les tuyaux combustibles de plastique (tuyauterie fermée ou à l’air libre) traversant un plancher de béton : les produits suivants sont acceptables :

.1 Manchon coupe-feu à sceller Hilti CP 680 / 3M Fire Barrier CAST-IN DEVICE (plastic pipe devices) - dispositifs coupe-feu coulés pour tuyauterie en plastique.

.2 Utiliser l’adaptateur d’aération selon le fabricant (3M ou Hilti), lorsque utilisé avec un système d’aération « sovent ».

.3 Boîtier pour drain de baignoire Hilti CP-681 / 3M Tub Box CAST-IN DEVICE.

.4 Manchon coupe-feu à sceller Hilti CP 682 pour usage avec les tuyaux non combustibles. for metal pipe / 3M Fire Barrier CAST-IN DEVICE (metallic pipe devices) - dispositifs coupe-feu coulés pour tuyauterie métallique.

.5 Produit équivalent figurant dans le répertoire « U.L.C Fire Resistance Directory – Volume III » ou le répertoire « UL Products Certified for Canada (cUL) ».

.4 Mastics et produits de calfeutrage pour usage avec les éléments non combustibles, comme les tubes d’acier ou de cuivre, les conduits rigides en acier et les tubes électriques métalliques (EMT) : les produits suivants sont acceptables :

.1 Calfeutrage coupe-feu intumescent Hilti FS-ONE / 3M CP-25WB, IC-15WB, FB 3000WT.

.2 Calfeutrage coupe-feu autolissant Hilti CP 604 / 3M FB1003SL

.3 Mousse coupe-feu Hilti CP 620 / 3M FB 2001 (RTV Foam)

.4 Calfeutrage coupe-feu flexible Hilti CP 606 / 3M Firedam 150+

.5 Calfeutrage coupe-feu élastomère Hilti CP 601s / 3M FB 1000NS, FB 2000, FB 2000+

.6 Produits équivalents figurant dans le répertoire « U.L.C Fire Resistance Directory – Volume III » ou le répertoire « UL Products Certified for Canada (cUL) ».



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.5 Mastics et produits de calfeutrage pour usage avec les conduits de tôle comportant des volets coupe-feu. Les produits suivants sont acceptables :

.1 Calfeutrage coupe-feu élastomère Hilti CP 601s / 3M FB 1000NS, FB 2000, FB 2000+.

.2 Calfeutrage coupe-feu flexible Hilti CP 606 / 3M Firedam 150+.


.6 Mastics et produits de calfeutrage pour usage avec les conduits de tôle sans volets coupe-feu. Les produits suivants sont acceptables :

.1 Calfeutrage coupe-feu élastomère Hilti CP 601s / 3M FB 1000NS, FB 2000, FB 2000+.

.2 Calfeutrage coupe-feu flexible Hilti CP 606 / 3M Firedam 150+.



.7 Mastics et produits de calfeutrage intumescents pour usage avec les éléments combustibles (pénétrants consumés par la chaleur intense et les flammes), y compris les tuyaux métalliques isolés ou gainés de CPV, les câbles ou faisceaux de câbles flexibles et les tuyaux de plastique. Les produits suivants sont acceptables :


.2 Mastic coupe-feu moulable 3M MP+ / Hilti.


.8 Colliers coupe-feu ou dispositifs s’attachant à l’élément autour d’un tuyau de plastique combustible (réseaux de tuyauterie fermés ou à l’air libre) mis à l’essai à un différentiel de pression allant jusqu’à 50 Pa : les produits suivants sont acceptables :

.1 Collier coupe-feu Hilti CP 643N,CP 644 / 3M FB ULTRA PLASTIC PIPE DEVICE, ULTRA RC PACK.



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.2 Bandes coupe-feu Hilti CP 645,648 / 3M FS-195, Interam ULTRA GS, RC-1.


.9 Matériaux employés pour les pénétrations complexes ou de grandes dimensions faites pour permettre le passage de plateaux de câbles, de plusieurs tuyaux d’acier et de cuivre, de barres blindées dans des chemins de câbles : les produits suivants sont acceptables :

.1 Mortier coupe-feu Hilti CP 637 / 3M MORTIER.

.2 Bloc coupe-feu Hilti FS 657 / 3M PILLOWS Self-Locking.

.3 Mousse coupe-feu Hilti CP 620 / 3M RTV Foam.

.4 Panneaux coupe-feu Hilti CP 675-T / 3M CS-195.


.10 Matériaux non polymérisants et pouvant être pénétrés de nouveau, pour usage avec les pénétrations complexes ou de grandes dimensions faites pour permettre le passage de plateaux de câbles, de plusieurs tuyaux d’acier et de cuivre, de barres blindées dans des chemins de câbles : les produits suivants sont acceptables :

.1 Bloc coupe-feu Hilti FS 657 / 3M PILLOWS Self-Locking

.2 Panneaux coupe-feu Hilti CP 675-T / 3M CS-195


.11 Pour des ouvertures vides pratiquées dans des séparations coupe-feu verticales ou horizontales, où des pénétrations futures de tuyaux, conduits ou câbles sont à prévoir, les produits acceptables sont :

.1 Bloc coupe-feu Hilti FS 657 (pour murs et planchers).

.2 Bouchon coupe-feu Hilti CP 658T (pour murs et planchers).



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.3 Dispositifs coupe-feu 3M. Pass-Through Devices (pour murs seulement).

.4 Dispositifs coupe-feu 3M. Putty Sleeve kits (pour câbles seulement).

.5 Manchon coupe-feu à sceller Hilti CP 680 / 3M Fire Barrier CAST-IN DEVICE (plastic pipe devices) -pour planchers seulement.


.12 Pour les transpercements d’une cloison coupe-feu, prévoir un système coupe-feu possédant la cote F selon la norme CAN ULC S-115 indiquée ci-dessous :

Indice de résistance au feu de la cloison

Cote F selon ULC ou cUL requise de l’élément coupe-feu

30 minutes 20 minutes

45 minutes 45 minutes

1 heure 45 minutes

1,5 heure 1 heure

2 heures 1,5 heure

3 heures 2 heures

4 heures 3 heures

.1 Pour les pénétrations de tuyaux combustibles (PVC-DWV par exemple) dans une cloison coupe-feu, prévoir un système coupe-feu possédant une cote F selon la norme CAN ULC S-115- (lorsque mis à l’essai avec un différentiel de pression de 50 Pa entre les faces exposée et non exposée) qui soit égale à l’indice de résistance au feu de l’élément pénétré.

.13 Pour les pénétrations dans un mur coupe-feu ou une partition coupe-feu horizontale séparant un bâtiment distinct (tel qu’un garage de stationnement considéré comme bâtiment distinct), prévoir un système coupe-feu possédant une cote FT selon la norme CAN ULC S-115 qui soit égale à l’indice de résistance au feu de l’élément pénétré.



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2.4 Matériaux de scellement général

.1 Matériaux de scellement pour application autre que compartimentage coupe-feu selon les indications de l’article 1.2.2 de la présente section. Les matériaux de scellement doivent être adaptés à l’isolation acoustique, résister à la moisissure, contenir une quantité inférieure à 250 g/L de C.O.V., pouvoir être peints et pouvoir être en contact avec le PVC. Les produits suivants sont acceptables :

.1 Tremco Acoustical Sealant.

.2 Tremco Tremflex 834.

3. EXÉCUTION

3.1 Préparation

.1 Vérification des conditions : examiner les aires de travail et les conditions dans lesquelles les travaux seront exécutés et identifier toute condition pouvant nuire à une exécution correcte qui respecte les échéanciers.

.1 Vérifier que les pénétrations ont les dimensions requises et que leur état permet l’application des matériaux.

.2 Les surfaces sur lesquelles on appliquera un matériau coupe-feu ne doivent pas comporter de saletés, de graisse, d’huile, de rouille, de laitance, de démoulant, d’hydrofuges ou de toute autre substance susceptible de nuire à sa bonne adhésion.

.3 Fournir une protection temporaire afin d’empêcher que les matériaux coupe-feu ne salissent les surfaces adjacentes.

.4 Respecter les recommandations du fournisseur touchant les conditions de température et d’humidité avant, pendant et après l’installation des coupe-feu.

.5 Ne pas procéder avec les travaux avant que toutes les conditions inadéquates aient été corrigées.

3.2 Coordination

.1 Coordonner la disposition et la sélection des dispositifs coupe-feu scellés en place avec le métier responsable pour les travaux. S’assurer que le dispositif est installé avant la mise en place du béton.



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.2 Le métier responsable doit assurer un espacement adéquat de la tuyauterie installée au chantier afin de permettre l’installation sans interférence des dispositifs coupe-feu scellés en place.

.3 Se référer aux plans d’architecture pour connaître les types de cloisonnement coupe-feu.

3.3 Installation

.1 Exigences réglementaires : installer les matériaux coupe-feu conformément aux répertoires « ULC Fire Resistance Directory » et « UL Products Certified for Canada (cUL) Directory ».

.2 Instructions du fournisseur : respecter les instructions du fournisseur touchant l’installation des matériaux de protection des transpercements et des joints de construction.

.1 Calfeutrer les trous et les cavités résultant des pénétrations de manière à assurer un joint étanche à l’air et à l’eau.

.2 Consulter l’ingénieur technique, le directeur de projet et le fournisseur des volets avant d’installer des éléments coupe-feu homologués ULC ou cul qui pourraient nuire au bon fonctionnement des volets coupe-feu dans les conduits.

.3 Protéger les matériaux installés sur des surfaces où il y a circulation.

3.4 Contrôle de la qualité au chantier

.1 Avant de cacher ou de recouvrir un élément, examiner le calfeutrage des pénétrations afin de s’assurer de l’installation conforme.

.2 Permettre l’accès aux zones de travail jusqu’à l’inspection par les autorités responsables de l’application des codes.

.3 L’inspection des transpercements coupe-feu doit être réalisée en conformité avec la norme ASTM E 2174 « Standard Practice for On-Site Inspection of Installed Fire Stops » ou d’autres normes reconnues.

.4 Exécuter à cette étape les travaux de réfection et de réparation des coupe-feu endommagés par le découpage ou la pénétration par d’autres métiers des éléments coupe-feu déjà en place.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.5 Installer un écriteau de mise en garde à proximité de toutes les ouvertures de grande et moyenne taille susceptibles d’être pénétrées de nouveau. L’écriteau doit comporter les renseignements suivants :

.1 Un avertissement indiquant que l’ouverture a été ignifugée.

.2 L’élément coupe-feu employé (ULC ou cUL).

.3 La cote F ou FT.

.4 Les produits coupe-feu utilisés.

.5 Le nom et le numéro de téléphone de la personne à contacter en cas de modification ou de nouvelle pénétration de l’élément coupe-feu.

3.5 Ajustement et nettoyage

.1 Enlever les équipements, les matériaux et les débris; laisser l’endroit propre et intact.

.2 Nettoyer toutes les surfaces adjacentes aux trous et joints calfeutrés en éliminant tout surplus de matériau coupe-feu et toute saleté en vue de l’avancement des travaux.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN PLOMBERIE SECTION 22 05 00

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES EXIGENCES GÉNÉRALES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 CONCERNANT LES RÉSULTATS

ÉCOLE GUILLAUME-VIGNAL DES TRAVAUX



1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section précise les exigences communes à la division 22-Plomberie.

1.2 Références

.1 Le tout doit être conforme au Code national de la plomberie – Canada et aux exigences des autorités municipales.

.2 L'équipement électrique doit porter une étiquette de l'ACNOR, ainsi que celui de l'ULC certifiant qu'il répond aux normes d'essais de ces organismes et qu'il a été inscrit sur leurs listes d'homologation.

.3 Association canadienne de normalisation (CSA)/CSA International

1.3 Étendue des travaux

.1 Plomberie

.1 Les travaux de plomberie doivent être exécutés par un entrepreneur spécialisé, sous la responsabilité de l’entrepreneur général.

.2 Les travaux comprennent, sans s'y limiter, la fourniture, la manutention, le transport, la mise en place et l'installation de tous les systèmes et accessoires décrits plus loin et/ou sur les dessins, le tout devant être opérationnel.

.3 Modifier les réseaux existants d'eau potable froide et chaude pour raccorder les nouveaux appareils sanitaire et appareils spéciaux. Faire l’installation telle que montrée aux plans, incluant les accessoires requis.

.4 Modifier les réseaux existants de drainage sanitaire et d’évent sanitaire comme montré aux plans. Les pentes, la localisation, les radiers des réseaux de tuyauterie envisagés doivent être révisés en conséquence et au besoin.

.5 Fournir et installer tous les accessoires.







.6 Procéder à l’identification de la tuyauterie, des équipements et autres accessoires, conformément à la section 23 05 53.01 – Identification des réseaux et des appareils mécaniques.

.7 Procéder aux essais, réglages et équilibrages des réseaux conformément à la section 23 05 93 – Essai, réglage et équilibrage de réseaux de CVCA.

.8 Percements selon la section 01 11 01 – Mécanique –Instructions et clauses particulières.

.9 Scellement coupe-feu et compartimentage selon la section 01 11 01 – Mécanique –Instructions et clauses particulières.

.10 Fournir et installer les fixations parasismiques conformément à la section 23 05 49 – Systèmes de protection parasismique.

.11 Fournir et installer les isolations antivibratoires conformément à la section 23 05 48 – Systèmes et dispositifs antivibratoires pour tuyauteries et appareils de CVCA.

.12 Au début des travaux de démolition inclure toute la coordination requise avec la Commission scolaire pour aviser et interrompre les services, de vidanger les réseaux touchés par les travaux. À la fin des travaux, procéder au remplissage des réseaux touchés par les travaux.

.13 Obtenir tous les permis requis.

.14 Effectuer le calorifugeage de la tuyauterie tel que prescrit dans la section 23 07 15 – Calorifuge pour tuyauterie.

1.4 Travaux connexes

.1 Solins-membranes.

.2 Peinture.

2. PRODUITS

.1 Sans objet.







3. EXÉCUTION

3.1 Manchons

.1 Installer des manchons aux traversées d'ouvrages en maçonnerie, en béton et des constructions coupe-feu, ainsi qu'aux autres endroits indiqués.

.2 Utiliser des manchons faits de tuyaux en acier galvanisé de série 40 ou en acier inoxydable 304 cédule 10.

.3 Dans le cas des murs de fondation et là où ils font saillie sur des planchers, munir les manchons, en leur point médian, d'ailettes annulaires soudées en continu de 40 mm.

.4 Laisser un jeu annulaire de 13 mm entre les manchons de traversée et les canalisations ou entre les manchons et le calorifuge qui recouvre les canalisations. Dans le cas des murs et planchers coupe-feu, le jeu annulaire est spécifié en fonction du système coupe-feu choisi.

.5 Pose :

.1 Aux traversées de murs en maçonnerie et en béton et de dalles sur sol en béton, installer les manchons pour qu'ils soient d'affleurement avec la surface revêtue.

.2 Dans le cas des autres types de planchers, installer les manchons de manière à ce qu'ils dépassent la surface revêtue de 50 mm.

.3 Avant de poser les manchons, en recouvrir les surfaces extérieures apparentes d'une bonne couche de peinture riche en zinc conforme à la norme CAN/CGSB-1.181. Non requis si les manchons sont en acier inoxydable 304.

.6 Remplissage des traversées :

.1 Pour toute la canalisation d'eau et de drainage qui passe à travers un mur de fondation ou un plancher situé sous le niveau du sol, l'espace entre le tuyau et le manchon sera rempli avec une garniture "link-seal" tel que fabriqué par Thunderline Corp., Wayne Michigan (Corrosion Service Co., Ontario). La garniture consiste en une large courroie avec des liens entrebarrés en caoutchouc, le tout assemblé avec plaques et boulons. En serrant les boulons, cette garniture augmente en diamètre et bloque de façon hermétique l'espace entre le tuyau et le manchon.







.2 Ailleurs :

.1 Prévoir un espace pour la pose d'un matériau ou d'un élément coupe-feu.

.2 Veiller à maintenir le degré de résistance au feu exigé.

.3 S'assurer qu'il n'y a aucun contact entre les tubes ou tuyaux de cuivre et les manchons ferreux.

.3 Prévenir tout contact entre les tuyaux ou les tubes en cuivre et les manchons de traversée.

.4 Obturer provisoirement tous les orifices au cours des travaux.

.5 L'ingénieur devra être avisé lorsque des percées seront nécessaires à cause de l'impossibilité d'avoir posé des manchons ou de la négligence de l'entrepreneur de les avoir posés au préalable.

.6 Remplir les manchons mis en place en vue d'un usage ultérieur d'un enduit à base de chaux ou d'un autre matériau de remplissage facile à enlever.

3.2 Rosaces

.1 Rosaces métalliques monobloc ou biblocs, articulées, pour tuyauterie traversant des murs, des planchers et des plafonds dans des espaces non finis.

.2 Rosaces en acier inoxydable dans les espaces finis.

.3 Les rosaces métalliques posées dans des espaces non finis doivent être revêtues de peinture.

3.3 Niveaux

.1 Avant de procéder à l'installation de toute tuyauterie d'eau, d'égout et autres, vérifier tous les niveaux indiqués sur les dessins de façon à s'assurer que les pentes requises peuvent être obtenues. Le manque de ce faire et d'aviser l'ingénieur des erreurs trouvées sur les dessins rendra l'entrepreneur responsable de tout changement nécessaire et ce, sans rémunération additionnelle.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES TUYAUTERIE D’EAU POTABLE

B-131, B-133, B-231 ET B-237 ET NON POTABLE




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire

.1 Contenu de la section

.1 La présente section vise la tuyauterie en cuivre et/ou en acier inoxydable, de branchement d'eau potable et non potable, de la tuyauterie d'eau chaude, d’eau chaude recirculée et d'eau froide à l'intérieur du bâtiment, de la tuyauterie noyée dans des ouvrages, à l'intérieur d'un bâtiment, et celle enfouie à l'extérieur du bâtiment (p. ex. entre la source d'alimentation en eau potable et le compteur d'eau situé à l'intérieur du bâtiment).

.2 Définitions

.1 Eau potable : propre à la consommation humaine. Correspond à de l’eau dite domestique ou adoucie (selon le cas).

.2 Eau non potable : non propre à la consommation humaine. Correspond à de l’eau dite de laboratoire, d’animalerie, de procédé ou adoucie (selon le cas).

1.2 Références

.1 Code national de la plomberie – Canada 2010 (CNP) avec modifications du Québec.

.2 Limite de plomb à 0,25 % pour robinetterie selon les normes CSA B125.1 et B125.3.

.3 American National Standards Institute/American Society of Mechanical Engineers International (ANSI/ASME)

.1 ANSI/ASME B31.9, Building Services Piping.

.2 ANSI/ASME, Boiler and Pressure Vessel Code :

.1 BPVC Section V : Non Destructive Examination.

.2 BPVC Section IX : Welding and Brazing Qualifications.








.1 CSA W178.1, Qualification des organismes d’inspection en soudage.

.2 CSA W178.2, Qualification des inspecteurs en soudage.



.1 Soumettre les documents conformément aux prescriptions de la section portant sur les dessins d’atelier, fiches techniques et échantillons.

.2 Les dessins des items suivants doivent être soumis pour vérification :

.1 Type de tuyauterie.

.2 Robinets à vanne.

.3 Robinets papillon.

.4 Robinets à bille.

.5 Robinets à soupape.

.6 Clapets.

.7 Tamis.

.8 Joint d’étanchéité (« gasket »), boulons et noix.







2. PRODUITS

2.1 Réseaux d’eau potable (cuivre)

NORMES DE TUYAUTERIE ET ROBINETTERIE

DIAMÈTRE SPÉCIFICATION (*) DESCRIPTION MATÉRIAUX ET NORMES

DE À A.S.T.M.

TUYAU DN 15

DN 15

DN 100

DN 50

Cuivre Ecroui Type L en barre

Cuivre recuit Type K en rouleau

Tuyauterie hors-sol

Tuyauterie enfouie ou noyée

ASTM B88M

ASTM B88M

ASSEMBLAGES DN 15 DN 100 Soudure à étain/Antimoine 95-5

RACCORDS DN 15

DN 100

Cuivre Forge

Bronze à souder Bronze à visser

Bronze à bride

Selon ASME B 16.22

Selon ASME B 16.18 Selon ASTM B 16.15 classe 125 et 150 Selon ASTM B 16.24 classe 150 et 300

ASTM B75

BOULONS Acier inoxydable robuste ASTM 193, grade B8

GARNITURE Épaisseur : 3 mm (1/8") EPDM 150 psi DIAMÈTRE

SPÉCIFICATION (*) DESCRIPTION

DE À

ROBINETS À VANNE (2) (4)

DN 15 DN 50 Classe 125 à visser Nibco T-111-LF, Jenkins 810J, Kitz 24

DN 65 + Classe 125 à brides Nibco F607RW-LF, Jenkins, Kitz (lorsqu’indiqué aux plans)

ROBINETS À BILLE (2) (3) (4) (5)

DN 15 DN 50 Classe 600 à visser

Bille et tige en acier inoxydable : Nibco T-585-80-66LF, Jenkins, Kitz

DN 65 DN 80 Classe 600 à visser Nibco T-580-80-66LF, Jenkins, Kitz

ROBINETS PAPILLON

(1) (4) DN 65 + Classe 200 « lug type » Nibco LD-2000, Jenkins, Kitz

CLAPETS DE RETENUE (4)

DN 15 DN 50 Classe 150 à visser Nibco T-413-Y-LF, Jenkins, Kitz

DN 65 + Type « wafer » Nibco W-920-WLF, Rite, Prince

ROBINETS DE

VIDANGE À BILLE (4)

DN 20 – Classe 600 à visser Nibco T-585-80/66-LF-HC, Jenkins, Kitz

ROBINETS POUR

RÉSEAUX MIXTES

D’EAU POTABLE

ET DE

PROTECTION

INCENDIE

Conforme NSF « Lead Free », FM, ULC et supervisés : Victaulic type papillon modèle 7B2, DN 65 à DN 250, rainuré, complet avec brides 744. Si localisé en amont d’une pompe incendie, robinet à vanne, OS&Y, à brides Nibco modèle F-607-RW, Zurn 48FF.

NOTES : (*)La classe indiquée est le minimum (1)Organe de manœuvre pour type papillon : DN 100 et moins à levier, DN 150 et plus à engrenage (2)Les robinets jusqu'à DN 25 pourront être soudés (3)S’applique également pour l’installation aux manomètres, filtres, évitement, etc. (4) Avec certification NSF : suffixe LF pour « Lead-Free ». Pour les réseaux d’eau potable, la robinetterie sans plomb

s’applique à l’eau destinée à la consommation soit : évier, lavabo, raccords de cuisine, distribution d’eau (fontaine), robinets d’arrêt, clapet, mélangeurs thermostatiques, etc.

(5) Lorsqu’un robinet à bille supérieur à DN 20 est utilisé comme robinet de vidange et/ou de purge, fournir et installer un mamelon fileté et un bouchon à son extrémité.







DIAMÈTRE SPÉCIFICATION (*) DESCRIPTION MATÉRIAUX ET NORMES

DE À A.S.T.M.

TUYAU DN 15

DN 15

DN 100

DN 50

Cuivre Ecroui Type L en barre

Cuivre recuit Type K en rouleau

Tuyauterie hors-sol

Tuyauterie enfouie ou noyée

ASTM B88M

ASTM B88M

ASSEMBLAGES DN 15 DN 100 Soudure à étain/Antimoine 95-5

RACCORDS DN 15

DN 100

Cuivre Forge Bronze à souder Bronze à visser Bronze à bride

Selon ASME B 16.22 Selon ASME B 16.18 Selon ASTM B 16.15 classe 125 et 150 Selon ASTM B 16.24 classe 150 et 300

ASTM B75

BOULONS Acier inoxydable robuste ASTM 193, grade B8

GARNITURE Épaisseur : 3 mm (1/8") EPDM 150 psi DIAMÈTRE

SPÉCIFICATION (*) DESCRIPTION

DE À

ROBINETS À VANNE (2)

DN 15 DN 50 Classe 125 à souder Classe 125 à visser

Nibco S-111, Jenkins 813J, Kitz 44 Nibco T-111, Jenkins 810J, Kitz 24

DN 65 + Classe 125 à brides Nibco F607RW, Jenkins, Kitz (lorsqu’indiqué aux plans)

ROBINETS À BILLE (2) (3) (4)


Bille et tige en acier inoxydable : Nibco S-585-70-66, Nibco S-580-80-66, Jenkins 202SJ, Kitz Nibco T-585-70-66, Nibco T-580-80-66, Jenkins 201SJ, Kitz

ROBINETS PAPILLON

(1) DN 65 + Classe 200 « lug type » Nibco LD-2000, Jenkins 2232, Kitz 6122

CLAPETS DE RETENUE


Nibco S-413-Y, Jenkins 4093J Nibco T-413-Y, Jenkins 4092J, Kitz 29

DN 65 + Type « wafer » Nibco W-910 ou Nibco F-918, Rite, Prince

ROBINETS DE

VIDANGE À BILLE DN 20 – Classe 600 à visser Nibco T-585-70-66-HC, Jenkins 201CSJ, Kitz 68C

NOTES : (*)La classe indiquée est le minimum (1)Organe de manœuvre pour type papillon : DN 100 et moins à levier, DN 150 et plus à engrenage (2)Les robinets jusqu'à DN 25 pourront être soudés (3)S’applique également pour l’installation aux manomètres, filtres, évitement, etc. (4) Lorsqu’un robinet à bille supérieur à DN 20 est utilisé comme robinet de vidange et/ou de purge, fournir et installer un

mamelon fileté et un bouchon à son extrémité.







2.2 Exécution

2.3 Application

.1 Instructions du fabricant : se conformer aux recommandations écrites du fabricant, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à la mise en œuvre des produits, et aux indications des fiches techniques.

2.4 Installation de la tuyauterie

.1 Installer la tuyauterie conformément aux exigences du CNP.

.2 Assembler la tuyauterie au moyen de raccords fabriqués selon les normes pertinentes de l'ANSI.

.3 Installer la tuyauterie de distribution d'eau froide au-dessous de la tuyauterie de distribution d'eau chaude, de recirculation d'eau chaude et de toute autre tuyauterie d'eau chaude, et à une certaine distance de celles-ci, afin de pouvoir maintenir l'eau froide à une température aussi basse que possible.

.4 Sauf indication contraire, raccorder la tuyauterie aux appareils sanitaires et autres conformément aux instructions écrites du fabricant.

.5 Tuyauterie à enfouir

.1 Pour la tuyauterie d’évacuation à être enfoui dans le sol, installer la tuyauterie à enfouir sur un lit de sable propre, lavé, d’une épaisseur de 150 mm, façonné de façon à pourvoir épouser la forme des raccords et des embouts femelles des tuyaux à emboîtement. Respecter la pente requise, les lignes et les niveaux indiqués. Remblayer et compacter avec une couche de sable lavé de 150 mm d’épaisseur ou selon les indications.

.2 Plier les tubes sans les plisser ou sans réduire leur section utile (diamètre intérieur). Utiliser le moins de raccords possible.

2.5 Raccords diélectriques

.1 Généralités :

.1 Doivent être compatibles avec le type de tuyauterie à être jointe et possédant la même classe de pression.







.2 Partout pour joindre des tuyaux faits de métaux différents.

.2 Tuyaux de DN 2 et inférieur : raccords-unions.

.3 Tuyaux de DN 2-1/2 et supérieur : brides.

2.6 Soudage de la tuyauterie

.1 Cet article s’applique à la tuyauterie d’acier inoxydable de gros diamètre utilisé pour les réseaux d’eau potable.

.2 Qualification de la main-d’œuvre

.1 Retenir les services de soudeurs qualifiés détenant un certificat délivré par l’autorité compétente pour chaque procédé de soudage employé.

.2 Les inspecteurs doivent posséder l’expérience et les compétences définies dans la norme CSA W178.2.

.3 Les procédés de soudage doivent être enregistrés conformément aux prescriptions de la norme CSA B51.

.3 Procédures de soudage

.1 Pour chacun des procédés de soudage ou de brasage, l’Entrepreneur doit soumettre les documents suivants :

.1 Procédure de soudage ou de brasage (description de la méthode);

.2 Résultat de l’essai (par rapport à la procédure);

.3 Qualification du soudeur (par rapport à la procédure).

.4 Exécuter les travaux de soudage selon les exigences du code ASME B31.9 – Building Services Piping.

.5 Électrodes : conforme aux normes CSA pertinentes de la série W48.







.6 Inspections et contrôles effectués par un spécialiste

.1 Des inspections et des contrôles doivent être effectués par un spécialiste qualifié aux termes des normes CSA W178.1 et CSA W178.2, approuvés par l’ingénieur.

.2 Les inspections et les contrôles doivent être effectués conformément aux exigences du code B31.9 – Building Services Piping.

.3 Contrôles visuels : examiner toutes les soudures réalisées sur la circonférence extérieure et, si possible, sur la circonférence intérieure de la tuyauterie.

.4 Si une soudure est rejetée lors du contrôle visuel, effectuer les réparations requises selon les recommandations de l’inspecteur.

.5 Soumettre à une nouvelle inspection et à de nouveaux contrôles les soudures ayant été réparées ou reprises, et ce, sans frais supplémentaires.

2.7 Robinetterie

.1 Isoler les canalisations de dérivation ainsi que les canalisations d'alimentation des matériels et des appareils sanitaires au moyen de robinets-vannes, vannes à papillon et/ou robinets à tournant sphérique selon les indications.

.2 Équilibrer le réseau de recirculation au moyen de robinets à soupape à dispositif de réglage protégé. Une fois les opérations d'équilibrage terminées, marquer la position des robinets et la noter sur les dessins d'après exécution.

2.8 Essais sous pression

.1 Effectuer les essais pendant quatre (4) heures à une pression correspondante à la plus élevée des valeurs suivantes, soit 700 kPa ou à ½ fois au-dessus de la pression maximale de service.

.2 La pression doit être maintenue stable pour une période minimale de deux (2) heures. À la demande de l’ingénieur, les essais peuvent durer jusqu’à une période de quatre (4) heures si la pression n’est pas maintenue correctement.







2.9 Désinfection, rinçage et nettoyage

.1 La désinfection des réseaux d’eau potable doit être effectuée par une entreprise spécialisée dans le domaine. Effectuer le nettoyage des tuyauteries avec une solution alcaline chlorée selon les recommandations de l’entreprise spécialisée afin d’éliminer tous les dépôts organiques tels que : limon, biofilm, graisse, etc. Vider complètement les réseaux, puis les remplir de nouveau avec de l’eau propre potable et rincer pendant une période de huit (8) heures. Vider et remplir à nouveau les réseaux, laisser ensuite reposer l’eau pendant 24 heures puis prélever des échantillons d’eau sur chacun des tronçons. Soumettre les échantillons au laboratoire désigné qui en fera l’analyse. La qualité de l’eau doit être conforme aux lignes directrices pertinentes concernant l’eau potable, établies par les autorités provinciales. Rincer les réseaux pendant deux (2) heures supplémentaires puis prélever un autre échantillon sur chacun des tronçons aux fins d’analyse.

.2 Une fois les travaux de désinfection terminés, soumettre à l’approbation de l’ingénieur les rapports du laboratoire d’essais sur la qualité de l’eau domestique.

.3 L’entrepreneur en plomberie doit fournir et installer toutes les soupapes, tous les raccords et toutes les pompes temporaires (incluant le raccordement électrique temporaire) pour l’exécution des travaux de décontamination, de rinçage et d’analyse.

.4 Les réseaux d’eau potable ne doivent être raccordés à aucun réseau d’eau non potable.

2.10 Inspection préalable à la mise en route

.1 S'assurer que tous les éléments du réseau sont en place avant de procéder au rinçage, à la mise à l'essai et à la mise en route.

.2 S'assurer que le système peut être vidangé complètement.

.3 S'assurer que les surpresseurs fonctionnement correctement.

.4 S'assurer que les antibéliers pneumatiques et les compensateurs de dilatation sont installés correctement.







2.11 Mise en route

.1 Mettre le réseau en route une fois

.1 Les essais hydrostatiques terminés;

.2 Les travaux de désinfection terminés;

.3 Le certificat d'épreuve délivré;

.4 Le système de traitement de l'eau en marche et fonctionnel.

.2 Assurer une surveillance continue pendant toute la durée de la mise en route.

.3 Mise en route

.1 Mettre le réseau sous pression et purger l'air.

.2 S'assurer que la pression est appropriée pour permettre le bon fonctionnement du réseau et empêcher les coups de bélier, la détente de gaz et/ou la cavitation.

.3 Mettre en service le système de traitement de l'eau, tel qu’adoucisseurs (s’il y a lieu).

.4 Amener lentement la température de l'eau dans le chauffe-eau domestique à la température de calcul.

.5 Prévoir les mouvements de contraction/dilatation de la tuyauterie d'eau chaude (distribution/alimentation/recirculation).

.6 S'assurer que les dispositifs de commande, de régulation et de sécurité favorisent un fonctionnement normal et sûr du réseau.

.4 Corriger les défectuosités décelées à la mise en route.

2.12 Contrôle de la performance

.1 Échéancier

.1 Procéder au contrôle de la performance du réseau une fois les essais hydrostatiques et les essais d'étanchéité terminés et le certificat d'achèvement délivré par l'autorité compétente.







.2 Marche à suivre : s'assurer que le débit et la pression de service sont conformes au débit et à la pression calculés.

.1 Effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage du circuit de recirculation d'eau chaude.

.2 Régler les régulateurs de pression lorsque le débit de puisage est au maximum et la pression à l'admission, au minimum.

.3 Procéder à la stérilisation de la tuyauterie d'eau chaude, afin de lutter contre Legionella (réseaux de distribution / alimentation / recirculation).

.4 Vérifier la performance des régulateurs de température.

.5 S'assurer que le réseau satisfait aux exigences en matière de santé et de sécurité.

.6 Vérifier le fonctionnement des dispositifs antibéliers. Ouvrir un (1) robinet, laisser couler l'eau pendant dix (10) secondes puis refermer le robinet rapidement. Si des coups de bélier sont ressentis, remplacer les dispositifs antibéliers ou recharger les antibéliers pneumatiques. Faire de même pour tous les robinets de puisage et tous les robinets de chasse.

.7 S'assurer que la qualité de l'eau satisfait aux normes et que l'eau ne contient aucun résidu de nettoyage ou de rinçage.

.3 Rapports

.1 Soumettre les certificats des essais de pression et de débit effectués sur le branchement général, attestant que ces paramètres sont conformes aux exigences.

2.13 Exploitation

.1 Coordonner les exigences en matière d'exploitation et d'entretien, y compris le nettoyage et l'entretien des produits, des matériaux et des matériels utilisés dans le cadre des présents travaux.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN TUYAUTERIE D’ÉVACUATION SECTION 22 13 17

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ET DE VENTILATION

B-131, B-133, B-231 ET B-237 FONTE ET CUIVRE




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise la tuyauterie d’évacuation et de ventilation en fonte et en cuivre.

1.2 Références

.1 American Society For Testing and Materials International.

.2 ASTM International Inc.

.3 Association canadienne de normalisation (CSA)/CSA International.



.1 Fiches techniques

.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que la documentation du fabricant concernant les adhésifs.

.2 Les fiches techniques doivent indiquer les caractéristiques des produits, les critères de performance, les dimensions, les limites et la finition.


.4 Raccords, joints mécaniques et à emboîtement.

2. PRODUITS

2.1 Matériaux/matériels durables

.1 Teneur en COV d'au plus 30 g/L, selon la norme Green Seal GS-36 selon le règlement 1168 du SCAQMD.







2.2 Tuyaux en cuivre et raccords connexes

.1 Tuyaux d'évacuation des eaux sanitaires, d'évacuation des eaux pluviales et de ventilation, du type DWV, destinés à être installés hors sol : conformes à la norme ASTM B306.

.1 Raccords

.1 Raccords en laiton moulé : conformes à la norme CAN/CSA-B125.3.

.2 Raccords en cuivre forgé : conformes à la norme CAN/CSA-B125.3.

.2 Soudure tendre : étain-plomb, 50/50, type 50A selon la norme ASTM B32.

2.3 Tuyaux en fonte et raccords connexes

.1 Tuyaux d'évacuation des eaux sanitaires, d'évacuation des eaux pluviales et de ventilation, en fonte grise de classe 4000, de diamètre nominal égal ou supérieur à DN 50, destinés à être enfouis dans le sol, et raccords connexes : conformes à la norme CAN/CSA-B70, et recouverts d'une couche d'enduit protecteur.

.1 Joints

.1 Joints mécaniques (M.J.)

.1 ASTM C564 ou Garnitures de compression en néoprène ou en caoutchouc butyle : conformes à la norme ASTM C564 ou CAN/CSA-B70.

.2 Colliers de serrage en acier inoxydable.

.2 Tuyaux d'évacuation des eaux sanitaires, d'évacuation des eaux pluviales et de ventilation destinés à être installés hors sol, et raccords connexes : conformes à la norme CAN/CSA-B70.

.1 Joints

.1 Joints mécaniques (M.J.)

.1 Garnitures de compression en néoprène ou en caoutchouc butyle et colliers de serrage en acier inoxydable.







.3 La marque de commerce, le diamètre, la date de fabrication et le signe de la CSA seront estampés sur toute la longueur du tuyau.

.4 Tuyauterie sanitaire

.1 Installer des accouplements série 2000 (Tyler) pour les DN 50 à DN 150.

.2 Installer des accouplements série 4000 (Husky) pour les DN 200 à DN 250.

.3 Installer des accouplements série 2900 (Bi-Seal) pour les DN 300 à DN 375.

.4 Tous les joints supérieurs à DN 100 qui sont situés sous le niveau de la rue seront retenus à l’aide de brides d’élévation maintenues ensemble à l’aide de tiges filetées (sauf pour les tuyaux enfouis dans le sol).

.5 Tous les regards de nettoyage qui sont situés sous le niveau de la rue seront retenus à l'aide de brides d'élévation maintenues ensemble à l'aide de tiges filetées.

.5 Raccords d’évacuation sanitaire

.1 En fonte grise de classe 4000, recouverts d’un enduit bitumineux. Munis de cran d’arrêt pour le positionnement des accouplements. La marque de commerce, le diamètre et le sigle de la CSA seront coulés dans le métal, conformes à la norme CAN3-CSA B70-M1997. Pour les tuyaux de DN 50 et plus, de marque Bibby-Ste-Croix ou équivalent approuvé :

.1 À bouts unis (MJ).

2.4 Tuyaux en acier inoxydable de type 316 cédule 40 à

joints vissés ou cédule 10 à joints soudés

.1 Cette tuyauterie est requise dans le cas où il y a des pompes élévatrices (sanitaires et/ou pluviales et/ou de ruissellement). Pour la robinetterie et accessoires, voir section robinetterie.

.1 Localisation : refoulement des pompes jusqu'au raccordement au drainage à gravité.







2.5 Joints mécaniques

.1 Accouplements standards de série 2000 pour tuyaux et raccords en fonte grise à bouts unis (MJ)

.1 Joints mécaniques avec garniture en néoprène, renforcis d’une gaine d’acier inoxydable de 0,008 pouce d’épaisseur, munis de collier de serrage en acier inoxydable T-304, conformes aux normes CSA-B70-97, CSA-B-602 et CAN/ULC-S102. Série 2000 de Bibby-Ste-Croix tel que fabriqué par Tyler.

.2 Accouplements heavy duty série 4000 pour tuyaux et raccords en fonte grise à bouts unis (MJ)

.1 Joints mécaniques avec garniture en néoprène, renforcis d’une gaine d’acier inoxydable ondulée de 0,016 pouce d’épaisseur, munis de collier de serrage en acier inoxydable T-304 avec boulon hexagonal 3/8 de po serré à 80 lb po conformes aux normes CSA-B70-97, CSA-B-602, ASTM C1277-94, UPC-IAPMO, FM et CAN/ULC-S102. HUSKY SD-4000 de Bibby-Ste-Croix tel que fabriqué par ANACO.

.3 Joints pour tuyaux et raccords en fonte grise à emboîtement (HUB)

.1 Joints de compression en néoprène de type BI-SEAL série 2900, conforme à la norme CAN3-CSA-B70-M1997, CSA-B-602, tels que fabriqués par Bibby-Ste-Croix.

.2 Plomb à joints et étoupe, conforme à la norme CSA-B67-1992.

.3 Composé de calfatage à froid PC4.

.4 Accouplements entre les tuyauteries en fonte grise à bouts unis (MJ) et les tuyauteries en cuivre de type DWV

.1 Joints mécaniques avec garniture en néoprène, renforcie d’une gaine d’acier inoxydable de 0,008 pouce d’épaisseur, munis de collier de serrage en acier inoxydable T-304, conformes aux normes CSA-B70-97, CSA-B-602 et CAN/ULC-S102. Série 2400 de Bibby-Ste-Croix tel que fabriqué par ANACO.







.2 Raccords en fonte filetée pour recevoir l’adaptateur mâle en laiton. Employer un composé de jointement de tuyauterie approuvé ou du ruban à 100 % de téflon.

.3 Soudure au plomb et étain 50/50, conforme à la norme ASTM B32-89.

3. EXÉCUTION

3.1 Application

.1 Instructions du fabricant : se conformer aux recommandations écrites du fabricant, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à la mise en œuvre des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation

.1 Installer les éléments conformément aux exigences du Code national de la plomberie.

.2 Boucher les tuyaux et raccords à l’aide de bouchons ou de capuchons de façon qu’aucun débris ne s’introduise à l’intérieur pendant les travaux.

3.3 Essai

.1 Faire l'essai sous pression des tuyauteries enfouies avant de procéder au remblayage.

.2 Soumettre les tuyauteries à des essais hydrostatiques pour s'assurer qu'elles ne sont pas obstruées et que la pente est appropriée.


.1 Regards de nettoyage

.1 S'assurer que les regards sont accessibles et que leur tampon de visite est situé à un endroit approprié.







.2 S'assurer qu'une tige de dégorgement insérée dans un regard peut se rendre au moins jusqu'au regard suivant. S'assurer que les siphons sont bien amorcés et qu'ils conservent leur garde d'eau.

.2 Tuyauteries d'évacuation des eaux pluviales (descentes pluviales)

.1 S'assurer que les grilles bombées en toiture sont bien fixées en place.

.2 S'assurer que les déversoirs de régulation de débit sont de dimensions appropriées et qu'ils sont installés correctement.

.3 S'assurer que des moyens ont été prévus pour permettre les mouvements de la toiture.

.3 S'assurer que les appareils sanitaires sont bien ancrés en place, qu'ils sont raccordés au réseau et bien ventilés.

.4 Actionner les robinets et les réservoirs de chasse et faire fonctionner chaque appareil afin de s'assurer que l'évacuation se fait correctement et qu'il n'y a pas de fuite.

.5 Réseaux enfouis : effectuer les essais avant de procéder au remblayage; procéder à des essais hydrostatiques destinés à confirmer les pentes et le libre écoulement des eaux.

.6 Vérifier si les siphons sont bien amorcés.

.7 Poser une étiquette d'identification appropriée sur les différentes tuyauteries (notamment, évacuation des eaux pluviales, évacuation des eaux sanitaires, ventilation, refoulement pompe), avec flèches de direction à tous les étages, conformément à la section 23 05 53.01 – Identification des réseaux et des appareils mécaniques.

.8 Regards de nettoyage : se reporter à la section 22 42 01 – Plomberie – Appareils spéciaux.

3.5 Évent

.1 La tuyauterie horizontale de ventilation doit avoir une pente de 1 mm par mètre vers les réseaux verticaux.

.2 Prolonger les évents jusqu’à 600 mm au-dessus du toit.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN TUYAUTERIES D'ÉVACUATION ET DE SECTION 22 13 18.01

REFECTION DES SALLES DE TOILETTES VENTILATION PLASTIQUE À ÊTRE

B-131, B-133, B-231 ET B-237 ENFOUIES DANS LE SOL




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise la tuyauterie d’évacuation et de ventilation plastique à être enfouies dans le sol.



.1 Soumettre les documents et échantillons requis, conformément aux prescriptions de la section portant sur les dessins d’atelier, fiches techniques et échantillons.



.2 Raccords et joints.

2. PRODUITS

2.1 Matériaux/matériels

.1 Teneur en COV d'au plus 250 g/l, selon la norme Green Seal GS-36.

2.2 Tuyaux et raccords

.1 Tuyaux DWV, destinés à être enfouis dans le sol, conformes aux normes suivantes :

.1 CAN/CSA B182.2/B182.7/B181.2.

.2 Tuyaux en PVC DWV cédule 40 (CSA-B181.2).

.3 Tuyaux en SDR-35 DN100 et plus pour le pluvial (CSA- B182.2/B182.7).







.4 Tuyaux en SDR-28 DN100 et plus pour le sanitaire (CSA- B182.2/B182.7).

.5 Tuyaux en SDR-28 DN100 et plus pour le combiné (CSA- B182.2/B182.7).

2.3 Joints

.1 Adhésif à solvant pour joints de tuyaux en PVC : conforme à la norme ASTM D2564.

3. EXÉCUTION

3.1 Application

.1 Instructions du Fournisseur : se conformer aux recommandations écrites du Fournisseur, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à la mise en œuvre des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation

.1 Installer les éléments conformément aux exigences du Code national de la plomberie.

3.3 Essai

.1 Faire l'essai sous pression, selon les prescriptions du Code de la plomberie, des tuyauteries enfouies avant de procéder au remblayage.

.2 Soumettre les tuyauteries à des essais hydrostatiques pour s'assurer qu'elles ne sont pas obstruées et que la pente est appropriée.



.1 S'assurer que les regards sont accessibles et que leur tampon de visite est situé à un endroit approprié.







.2 Ouvrir le regard, appliquer de l'huile de lin et le refermer hermétiquement.

.3 S'assurer qu'une tige de dégorgement insérée dans le regard peut se rendre au moins jusqu'au regard suivant.

.2 S'assurer que les siphons sont bien amorcés et qu'ils conservent leur garde-d’eau.

.3 S'assurer que les appareils sanitaires sont bien ancrés en place, qu'ils sont raccordés au réseau et bien ventilés.

.4 Poser une étiquette d'identification appropriée sur les différentes tuyauteries (notamment, évacuation des eaux pluviales, évacuation des eaux sanitaires, évacuation des eaux combinées, ventilation, refoulement pompe), avec flèches de direction à tous les étages ou à intervalles de 4.5 m (la plus petite de ces deux valeurs devant être retenues).

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN PLOMBERIE - SECTION 22 42 01

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES APPAREILS SPÉCIAUX

B-131, B-133, B-231 ET B-237




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise les appareils spéciaux de réseaux de plomberie, matériaux et méthodes d'installation connexes.

1.2 Références

.1 American Society for Testing and Materials International (ASTM).

.2 American Water Works Association (AWWA).

.3 Association canadienne de normalisation (CSA)/CSA International.

.4 Santé Canada/Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).

.5 Plumbing and Drainage Institute (PDI).

.6 National Sanitation Foundation/American National Standard Institute (NFS/ANSI).




.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation du fabricant concernant le matériel et les appareils prescrits.

.2 Les fiches techniques doivent préciser les dimensions, les détails de construction et les matériaux de fabrication des appareils et du matériel prescrits.

.3 Soumettre les fiches signalétiques requises aux termes du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT), lesquelles doivent être conformes à ce système.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.4 Les fiches signalétiques doivent préciser le taux d'émission de COV des adhésifs et des solvants, pendant la mise en œuvre et la période de cure.

.2 Dessins d'atelier

.1 Les dessins doivent montrer ou indiquer les matériaux de fabrication, les finis, la méthode d'ancrage, le nombre d'ancrages, les dimensions les détails de construction et d'assemblage et les accessoires pour le matériel et les appareils.

.3 Certificats : soumettre les documents signés par le fabricant, certifiant que les produits, matériaux et matériels satisfont aux prescriptions quant aux caractéristiques physiques et aux critères de performance.

.4 Instructions : soumettre les instructions d'installation fournies par le fabricant.

.5 Les fiches doivent comprendre ou indiquer ce qui suit :

.1 Une description des appareils spéciaux, y compris le nom du fabricant, le type, le modèle, l'année de fabrication et la puissance, le débit ou la contenance.

.2 Les détails pertinents relatifs à l'exploitation, à l'entretien et à la maintenance des appareils.

.3 Une liste des pièces de rechange recommandées.

2. PRODUITS

2.1 Drains de plancher et drains de plancher entonnoir

.1 Appareils décrits dans les tableaux aux plans.

2.2 Drains ouverts et entonnoirs

.1 Fournir et installer tel que montré aux plans, tous les drains ouverts avec ou sans entonnoir, selon les indications aux plans, pour le déversement des renvois indirects.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.2 Les drains ouverts servant à recevoir les renvois indirects des évaporateurs des appareils de refroidissement, seront constitués d'une cloche de DN 75 dont le rebord sera à 150 mm du plancher fini.

.3 Les entonnoirs seront fabriqués en cuivre et seront de la dimension requise pour recevoir les renvois s'y déversant, sans éclaboussures. L'espace d'air entre l'entonnoir ou le drain ouvert et l'extrémité du tuyau de renvoi devra être conforme aux exigences du Code national de la plomberie – Canada. Les extrémités des tuyaux de renvoi seront biseautées à 45°.

.4 Chaque drain ouvert ou entonnoir sera muni d'un siphon « P » à garde d'eau profonde (ou comme autrement indiqué aux plans). Les drains, les entonnoirs et les siphons seront chromés lorsqu’installés apparents dans une pièce finie.

2.3 Regards de nettoyage

.1 Produits acceptables : Zurn Z-1446, Watts série CO-480-RD.

.2 Équivalents acceptables : Wade, JR Smith.

.3 Pour plancher non fini (trafic lourd) :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en fonte antidérapant pour trafic extra-lourd avec vis de blocage. Produit acceptable : Zurn modèle Z-1400-HD.

.4 Pour plancher fini (trafic lourd) :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en fonte avec placage en bronze nickelé antidérapant pour trafic extra-lourd avec vis de blocage. Produit acceptable : Zurn modèle ZN-1400-HD.

.5 Pour plancher fini :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en bronze nickelé antidérapant avec vis de blocage. Produit acceptable : Zurn, modèle ZN-1400-SP.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.6 Pour plancher fini avec tuile de céramique :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en bronze nickelé antidérapant avec vis de blocage. Produit acceptable : Zurn, modèle ZN-1400-X-SP.

.7 Pour plancher fini avec tuile de vinyle :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en bronze nickelé avec retrait pour terrazzo et vis de blocage. Produit acceptable : Zurn, modèle ZN-1400-X-SP.

.8 Pour plancher fini avec terrazo :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en bronze nickelé avec retrait pour terrazzo et vis de blocage. Produit acceptable : Zurn, modèle ZN-1400-Z-SP.

.9 Pour plancher fini avec tapis :

.1 Regard du type virole à embout mâle en fonte Fusotec 300 robuste avec vis en laiton et bouchon conique fileté en ABS; complet avec couvercle rond ajustable en bronze nickelé avec marqueur pour tapis de blocage. Produit acceptable : Zurn, modèle ZN-1400-CM-SP.

.10 Pour colonne :

.1 Regard de colonne avec bâti en fonte Fusotec 300 et bouchon de nettoyage en ABS étanche à l’eau et au gaz. Produit acceptable : Zurn, modèle Z-1445.

.11 Pour colonne, avec couvercle d’accès rond mural :

.1 Regard de colonne avec bâti en fonte Fusotec 300, bouchon de nettoyage en ABS étanche à l’eau et au gaz et couvercle d’accès rond en acier inoxydable fixé à l’aide d’une vis centrale. Produit acceptable : Zurn, modèle Z-1446.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.12 Pour colonne, avec couvercle d’accès rond pour plancher :

.1 Regard de colonne avec bâti en fonte Fusotec 300, bouchon de nettoyage en ABS étanche à l’eau et au gaz et couvercle d’accès rond en bronze nickelé antidérapant. Produit acceptable : Zurn, modèle Z-1448.

.13 Aux fins de course :

.1 Regard de fin de course en fonte Fusotec 300 et bouchon de nettoyage en ABS étanche à l’eau et au gaz pour installation à l’extrémité d’un tuyau. Produit acceptable : Zurn, modèle Z-1449.

2.4 Amortisseurs de chocs (anti-coup de bélier)

.1 Protéger les installations de plomberie contre les chocs hydrostatiques au moyen d’amortisseurs monopièces, composés d’un piston, de joints d’étanchéité ou membrane et d’un boîtier en acier inoxydable ou en cuivre. Tout amortisseur devra porter le sceau d’approbation CSA.

.2 Installer des amortisseurs de chocs :

.1 Sur les canalisations d’alimentation reliées à chaque appareil sanitaire (lavabo, évier, cuvier, douche, cabinet d’aisance, urinoir, etc.) ou à chaque bloc d’appareils sanitaires sur une alimentation commune.

.1 Produits acceptables : Sioux Chief série Hydra-Rester, Watts no 15, PPP série SC.

.2 Au sommet des tuyaux verticaux d’eau chaude et d’eau froide.

.1 Produits acceptables : Sioux Chief série Hydra-Rester, Watts no 15, PPP série SC.

.3 En amont des soupapes de contrôle à fermeture brusque telles que les vannes solénoïdes.

.1 Produits acceptables : Sioux Chief série Mega-Rester, Watts no 15, PPP série SC.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.3 Fournir et installer des trappes d’accès pour les amortisseurs non accessibles par des plafonds suspendus ou des comptoirs d’appareils.

.4 Des chambres d’air construites à l’aide de tuyau ne seront pas acceptées comme équivalent. À moins d’indication contraire, aucun amortisseur ne devra être apparent.

2.5 Clapets antigaz d’égouts

.1 Appareils décrits dans les tableaux aux plans.

3. EXÉCUTION

3.1 Instructions du fabricant

.1 Conformité : se conformer aux exigences, aux recommandations et aux spécifications écrites du Fournisseur, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à l'installation des produits et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation

.1 Installer les appareils selon les exigences du Code canadien de la plomberie et des autorités locales compétentes.

.2 Installer les appareils de plomberie spéciaux conformément aux instructions du Fournisseur et aux prescriptions formulées.

3.3 Regards de nettoyage

.1 Installer des regards de nettoyage au bas des colonnes d'évacuation des eaux usées (chute et renvoi) et des descentes pluviales, aux autres endroits mentionnés dans le code pertinent et à tous les endroits indiqués.

.2 Installer les regards de nettoyage d'affleurement avec le mur ou le plancher fini, à moins qu'il s'agisse d'un montage au sol et qu'il soit possible de les atteindre, aux fins d'entretien, à partir d'un endroit situé sous le plancher.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.3 Le diamètre nominal des regards de nettoyage montés sur les collecteurs principaux et les colonnes d'évacuation des eaux usées doit être égal à celui de la canalisation, mais en aucun cas supérieur à DN 100.

3.4 Robinets de puisage et robinets de vidange

.1 Installer des robinets de puisage/vidange au bas de toutes les colonnes montantes, aux points bas des réseaux ainsi qu'aux endroits indiqués.

3.5 Amorceurs de siphon

.1 Installer un amorceur de siphon dans le cas des renvois de plancher et de tout autre appareil indiqué.

.2 Installer les amorceurs de siphon sur les canalisations d'alimentation en eau froide reliées, dans chaque cas, au plus rapproché des appareils sanitaires fréquemment utilisés. Les amorceurs de siphon doivent être dissimulés. L'installation de ces appareils doit être approuvée par l’Ingénieur.

.3 Munir les amorceurs de tubes en cuivre malléable et acheminer ces derniers jusqu'à un avaloir au sol.

3.6 Mise en route

.1 Les prescriptions des Clauses générales et particulières du présent contrat font partie intégrante de la présente section.

.2 Mettre le réseau en route, y compris les appareils spéciaux, une fois

.1 Les essais hydrostatiques terminés;

.2 Les travaux de désinfection terminés;

.3 Le certificat d'épreuve délivré;

.4 Le système de traitement de l'eau en marche et fonctionnel.

.3 Assurer une surveillance continue pendant toute la durée de la mise en route.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




3.7 Essais et réglages

.1 Les prescriptions des Clauses générales et particulières du présent contrat font partie intégrante de la présente section.

.2 Effectuer l'essai et le réglage des appareils spéciaux une fois

.1 Les défectuosités décelées à la mise en route rectifiées;

.2 Le certificat d'achèvement délivré par les autorités compétentes.

.3 Réglage

.1 S'assurer que le débit et la pression mesurés correspondent aux paramètres de calcul.

.2 Faire les réglages lorsque le débit d'écoulement ou de puisage correspond 1 au débit maximal ou 2 à 25 % du débit maximal, et que la pression est 1 au maximum et 2 au minimum.

.4 Renvois de plancher

.1 Vérifier le fonctionnement de l'amorceur de siphon.

.2 Amorcer la garde d'eau à l'aide de l'amorceur de siphon. Régler le débit selon les conditions existantes.

.3 Vérifier le fonctionnement du dispositif de chasse.

.4 Vérifier si la grille est bien en place, si elle est accessible et facile à enlever.

.5 Nettoyer le panier à sédiments.

.5 Portes de visite

.1 Vérifier les dimensions et l'emplacement des portes de visite par rapport aux éléments auxquelles elles donnent accès.


.1 S'assurer que le tampon est étanche aux gaz, qu'il est bien fixé en place et qu'il est facile à enlever.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.7 Amortisseurs de chocs (anti-coup de bélier)

.1 S'assurer que les amortisseurs de chocs installés sont de type approprié et qu'ils sont correctement mis en place.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN LAVABOS, CABINETS D’AISANCE ET SECTION 22 42 03

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES URINOIRS – TYPE COMMERCIAL

B-131, B-133, B-231 ET B-237




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section porte sur les appareils sanitaires et leur installation.

1.2 Références


.1 CSA B125 (ASME A 112.18): Robinetterie sanitaire.

.1 On ne doit pas utiliser des brasures et des fondants contenant plus de 0,2 % de plomb à la masse s’ils doivent être en contact avec l’eau potable. Les alliages métalliques en contact avec l’eau potable ne doivent pas contenir plus de 8 % de plomb.

.2 Les raccords et composantes servant à transporter de l’eau pour la consommation humaine ne doivent pas contenir plus de 0,25% en teneur de plomb en poids lorsqu’évalué selon les prescriptions de la norme NSF/ANSI 372.

.3 Les équipements et accessoires visés par le chapitre 9 de la NSF/ANSI 61 doivent être conformes à la norme CSA B125.

.2 CSA B45 (ASME A 112.19) : Appareils sanitaires.

.3 Normes de conception sans obstacles tel que défini au Code de construction du Québec, chapitre 1.

1.3 Dessins d’atelier, fiches techniques et échantillons à

soumettre pour vérification/information




B-131, B-133, B-231 ET B-237





.1 Tous les lavabos et leur robinetterie associée.

.2 Tous les éviers et leur robinetterie associée.

.3 Tous les bacs de nettoyage et leur robinetterie associée.

.4 Tous les cabinets d’aisance et leur robinetterie associée.

.5 Tous les urinoirs et leur robinetterie associée.

2. PRODUITS

2.1 Appareils et accessoires

.1 Appareils sanitaires : fabriqués conformément aux normes pertinentes de la série CAN/CSA-B45 (ASME A112.19).

.2 Robinetterie et accessoires connexes : fabriqués conformément à la norme CAN/CSA-B125.3 (ASME A112.18).

.3 Robinetterie apparente en laiton chromée.

.4 Nombre d'appareils et d'accessoires et emplacement de ceux-ci selon les fiches en annexe de cette section.

.5 Tous les appareils installés doivent être du même type et provenant du même Fournisseur.

.6 Toutes les robinetteries et tous les accessoires connexes installés doivent être du même type et provenant du même Fournisseur.

.7 Produits acceptables : (voir la description des appareils aux plans).

.1 Appareils :

.1 Zurn, Crane, American Standard, Kohler, Novanni, Kindred, MAAX, Mirolin, Acorn, Willoughby, Stern Williams.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.2 Robinetterie :

.1 Zurn, Sloan, Cambridge Brass (Delta), Powers, American Standard, Chicago Faucet, Toto, Hansa, Symmons.

.3 Tuyauterie d’alimentation :

.1 Zurn, McGuire, Brasscraft.

.4 Siège de toilette :

.1 Zurn, Centoco, Bemis.

.5 Bâti porteur :

.1 Zurn, Watts, JR Smith.

.6 Bonde/Siphon/Trop-plein :

.1 OS&B, McGuire, Zurn, Powers.

3. EXÉCUTION

3.1 Application

.1 Instructions du Fournisseur : se conformer aux recommandations écrites du Fournisseur, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à la mise en œuvre des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation des appareils sanitaires

.1 Hauteurs de montage

.1 Hauteur de montage des appareils en général selon les recommandations du Fournisseur et/ou selon les indications aux plans de l’architecte.

.2 Hauteur de montage des appareils muraux selon les indications aux plans de l’architecte.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.3 Hauteur de montage des appareils de conception accessible : selon les Normes de conception sans obstacles tel que défini au Code de construction du Québec, chapitre 1.

3.3 Réglage

.1 Se conformer aux exigences relatives à la conservation de l'eau prescrites dans la présente section.

.2 Réglage

.1 Régler le débit normal de manière qu'il corresponde au débit calculé.

.2 Régler la pression d'alimentation en eau des appareils de manière qu'il ne se produise pas d'éclaboussure à la pression maximale.

.3 Dans le cas des robinets de chasse, faire les réglages nécessaires en fonction des conditions existant sur les lieux.

.4 Régler les minuteries de chasse des urinoirs.

.5 Régler les robinets de chasse automatiques des cabinets d’aisance et des urinoirs de manière à éviter que des chasses non nécessaires se déclenchent durant les heures d'inoccupation des lieux.

.3 Vérification

.1 Vérifier la chasse des cabinets d’aisance et des urinoirs.

.2 Vérifier l'état et le fonctionnement des aérateurs.

.3 Vérifier le fonctionnement des brise-vide et des dispositifs antirefoulement dans toutes les conditions de service.

.4 Vérification des mitigeurs thermostatiques

.1 Vérifier les températures de consigne, les sécurités ainsi que le fonctionnement des appareils.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN DOUCHES SECTION 22 42 20

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES TYPE COMMERCIAL

B-131, B-133, B-231 ET B-237




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section porte sur les douches et leur installation.

1.2 Références


.1 CSA B125 (ASME A 112.18): Robinetterie sanitaire.

.1 On ne doit pas utiliser des brasures et des fondants contenant plus de 0,2 % de plomb à la masse s’ils doivent être en contact avec l’eau potable. Les alliages métalliques en contact avec l’eau potable ne doivent pas contenir plus de 8 % de plomb.

.2 Les raccords et composantes servant à transporter de l’eau pour la consommation humaine ne doivent pas contenir plus de 0,25% en teneur de plomb en poids lorsqu’évalué selon les prescriptions de la norme NSF/ANSI 372.

.3 Les équipements et accessoires visés par le chapitre 9 de la NSF/ANSI 61 doivent être conformes à la norme CSA B125.

.2 CSA B45 (ASME A 112.19) : Appareils sanitaires.

.3 Normes de conception sans obstacles tel que défini au Code de construction du Québec, chapitre 1.






B-131, B-133, B-231 ET B-237





.1 Toutes les douches et leur robinetterie associée, incluant le mitigeur thermostatique.

2. PRODUITS

2.1 Appareils et accessoires

.1 Appareils sanitaires : fabriqués conformément aux normes pertinentes de la série CAN/CSA-B45 (ASME A112.19).

.2 Robinetterie et accessoires connexes : fabriqués conformément à la norme CAN/CSA-B125.3 (ASME A112.18).

.3 Robinetterie apparente en laiton chromée.

.4 Nombre d'appareils et d'accessoires et emplacement de ceux-ci selon les fiches en annexe de cette section.

.5 Tous les appareils installés doivent être du même type et provenant du même Fournisseur.

.6 Toutes les robinetteries et tous les accessoires connexes installés doivent être du même type et provenant du même Fournisseur.


.1 Appareils :

.1 Zurn, Crane, American Standard, Kohler, MAAX, Mirolin, , Acorn, Willoughby.

.2 Robinetterie :

.1 Zurn, Sloan, Cambridge Brass (Delta), Powers, American Standard, Chicago Faucet, Toto, Hansa, Symmons.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




3. EXÉCUTION

3.1 Application

.1 Instructions du Fournisseur : se conformer aux recommandations écrites du Fournisseur, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à la mise en oeuvre des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation des appareils sanitaires

.1 Hauteurs de montage

.1 Hauteur de montage des appareils en général selon les recommandations du Fournisseur et/ou selon les indications sur les plans de l’architecte.

.2 Hauteur de montage des appareils muraux selon les indications sur les plans de l’architecte.

.3 Hauteur de montage des appareils de conception accessible : selon les Normes de conception sans obstacles tel que défini au Code de construction du Québec, chapitre 1.

3.3 Réglage

.1 Se conformer aux exigences relatives à la conservation de l'eau prescrites dans la présente section.

.2 Réglage

.1 Régler le débit normal de manière qu'il corresponde au débit calculé.

.2 Régler la pression d'alimentation en eau des appareils de manière qu'il ne se produise pas d'éclaboussure à la pression maximale.

.3 Vérification

.1 Vérifier le fonctionnement des brise-vide et des dispositifs antirefoulement dans toutes les conditions de service.



B-131, B-133, B-231 ET B-237




.4 Vérification des mitigeurs thermostatiques

.1 Vérifier les températures de consigne, les sécurités ainsi que le fonctionnement des appareils.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN CVCA SECTION 23 05 00






1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section précise les exigences communes à la division 23 – ventilation.

1.2 Références


.2 L'équipement électrique doit porter une étiquette de l'ACNOR, ainsi que celui de l'ULC certifiant qu'il répond aux normes d'essais de ces organismes et qu'il a été inscrit sur leurs listes d'homologation.


.1 Il est important de noter que la localisation des équipements montrés aux plans est approximative et devra être vérifiée sur les lieux, avant de commencer les travaux.

.2 Ventilation :

.1 Les travaux de ventilation doivent être exécutés par un entrepreneur spécialisé, sous la responsabilité de l’entrepreneur général.

.2 Les travaux d’enlèvement des réseaux de ventilation dans les secteurs des travaux doivent être exécutés par l’entrepreneur spécialisé en ventilation, tels que demandés aux plans et tels qu’exigés aux prochains sous-articles.

.1 Les entrepreneurs doivent inclure tous les matériaux, la main-d’œuvre, l'équipement, les outils, la machinerie, le transport, la manutention, le hissage, la surveillance et l'entreposage temporaire si requis, pour exécuter et compléter d'une manière expéditive, substantielle et satisfaisante tous les travaux de démolition décrits ci-dessous et/ou montrés aux plans. Les entrepreneurs devront prendre connaissance des







lieux et du système existants de ventilation avant d’entreprendre les travaux de démolition.

.3 Les travaux à effectuer en ventilation comprennent, sans s’y limiter, la fourniture de tous les matériaux, la main-d’œuvre, l'équipement, les outils, la machinerie, le transport, la manutention, le hissage, la surveillance et l'entreposage temporaire si requis, pour construire, exécuter et compléter d'une manière expéditive, substantielle et satisfaisante tous les travaux décrits ci-dessous et montrés aux plans :

.1 Fournir et installer tous les conduits d’air de ventilation, de requis au projet et tels que décrit à la section 23 31 13, incluant la suspension parasismique décrite à la section 23 05 49.

.2 Fournir et installer tous les diffuseurs, registres, grilles, persiennes, prises d’air et sorties d’air, de tous les réseaux de distribution, d’alimentation et d’évacuation d’air de montrés aux plans.

.3 Fournir et installer tous les registres d’équilibrage, registres de réglages, et registres et clapets coupe-feu, de spécifiés dans le présent devis, et de montrés aux plans et/ou de requis pour un équilibrage optimal.

.4 Fournir et installer tous les conduits d’air flexibles, conformément à la section de devis 23 33 46 « Conduits d’air flexibles », et tels que montrés aux plans.

.5 Effectuer les essais d’étanchéité des conduits de ventilation tel que prescrit.

.6 Identifier les réseaux et les équipements selon les prescriptions, conformément à la section 23 05 53.01 – « Identification des réseaux et des appareils mécaniques ».

.7 Les travaux de ventilation ne comprennent pas les travaux de régulation automatique, décrits à la division 25 du présent devis. Néanmoins, fournir et installer les registres manuels, et installer les volets motorisés, fournis par la division 25.







.8 Au début des travaux de démolition et de construction, inclure toute la coordination requise avec le représentant de la commission scolaire Marie-Victorin pour interrompre les services. À la fin des travaux procéder au redémarrage des systèmes de ventilation concernés.

.3 Essai, réglage et équilibrage de réseaux de CVCA

.1 Les travaux d’équilibrage doivent être exécutés par un entrepreneur spécialisé, sous la responsabilité des sous-traitants de chaque spécialité.

2. PRODUITS

.1 Sans objet.

3. EXÉCUTION

3.1 Autorisation de mise en marche des systèmes

aérauliques

.1 Obtenir de l’ingénieur l’autorisation écrite pour la mise en marche des systèmes aérauliques, et ce, même pour les tests préparatoires. Les mesures de protection de maintien de la propreté exigées devront demeurer en place jusqu’à l’obtention de cette autorisation. L’ingénieur se réserve le droit d’inspecter les conduits avant de donner cette autorisation.

.2 Effectuer la mise en marche en présence et sous la supervision d’un représentant du manufacturier.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES CONNECTEURS POUR CÂBLES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 ET BOÎTES (0 -1000 V)




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise les socles en béton, les supports et les suspensions pour les tuyauteries, les conduits d'air et autres installations mécaniques; elle ne vise cependant pas les dispositifs et systèmes de protection parasismique.

1.2 Références

.1 American Society of Mechanical Engineers (ASME)

.2 ASTM International

.3 Factory Mutual (FM).

.4 Manufacturer's Standardization Society of the Valves and Fittings Industry (MSS)

.5 Laboratoires des assureurs du Canada (ULC).

.6 NFPA.




.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que la documentation du fabricant concernant les supports et les suspensions. Les fiches techniques doivent indiquer les caractéristiques des produits, les critères de performance, les dimensions, les limites et la finition.

.2 Dessins d'atelier

.1 Soumettre des dessins d'atelier dans le cas des éléments suivants :

.1 Socles, supports et suspensions.







.2 Raccordements aux appareils et à la l'ossature du bâtiment.

.3 Assemblages structuraux.

.3 Instructions du fabricant

.1 Soumettre les instructions d'installation fournies par le fabricant.

2. PRODUITS

2.1 Description du système

.1 Exigences de conception

.1 Le supportage des tuyauteries doit être réalisé selon les recommandations du fabricant, au moyen de pièces, d'éléments et d'assemblages courants.

.2 Les charges nominales maximales doivent être déterminées à partir des indications visant les contraintes admissibles, contenues dans les normes ASME B31.1 ou MSS SP58.

.3 Les supports, les guides et les ancrages ne doivent pas transmettre trop de chaleur aux éléments d'ossature du bâtiment.

.4 Les supports et les suspensions doivent être conçus pour supporter les tuyauteries, les conduits d'air et les appareils mécaniques dans les conditions d'exploitation, permettre les mouvements de contraction et de dilatation des éléments supportés et prévenir les contraintes excessives sur les canalisations et les appareils auxquels ces dernières sont raccordées.

.5 Les supports et les suspensions doivent pouvoir être réglés verticalement après leur mise en place et pendant la mise en service des installations. L'ampleur du réglage doit être conforme à la norme MSS SP58.

.6 Tous les supports des tuyauteries (froides ou chaudes) devront être à l’extérieur du calorifuge.

.2 Exigences de performance

.1 Les supports, suspensions, plateformes et passerelles doivent être calculés pour pouvoir supporter les surcharges dues aux séismes.







2.2 Généralités

.1 Les supports, les suspensions et les pièces de contreventement doivent être fabriqués conformément aux normes ANSI B31.1 et MSS SP58.

.2 Les éléments faisant l'objet de la présente section doivent être utilisés à des fins de supportage seulement. Ils ne doivent pas servir à lever, soulever ou monter d'autres éléments ou appareils.

2.3 Suspension pour tuyauteries

.1 Finition

.1 Les supports et les suspensions doivent être galvanisés ou revêtus d'un enduit riche en zinc après fabrication.

.2 Les éléments doivent être galvanisés par électrodéposition ou par immersion à chaud.

.3 Les suspensions en acier qui entrent en contact avec des tuyauteries en cuivre doivent être cuivrées ou revêtues de résine époxy.

.2 Éléments d'ancrage pour suspensions fixées à la semelle inférieure d'une poutre en acier

.1 Tuyauterie froide ou chaude de diamètre égal ou inférieur à DN 50 et conduits de ventilation, étrier en « C », en fonte malléable, conforme à la norme MSS-SP58, type 19, homologué par les ULC. Utiliser une lamelle de retenue si la charge excède de 100 kg.

.1 Produits acceptables : ANVIL, fig. 86 et 89, CCTF Corporation, B-Line.

.2 Tuyauterie froide ou chaude de DN 65 et plus : étrier pour poutre, en fonte malléable, conforme à la norme MSS-SP58, type 28 ou 29, homologué par les ULC.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. 292, CCTF Corporation, B-Line.







.3 Éléments d'ancrage pour suspensions fixées dans des ouvrages en béton

.1 Support en coin encastrable, en acier galvanisé, conforme à la norme MSS-SP58-2002, type 18, homologué par les ULC pour la tuyauterie de diamètre DN 20 à DN 200.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. 281-285, CCTF Corporation, B-Line.

.2 Plaque en acier au carbone avec étrier, pour montage en applique, avec écrou à œil, sans soudure, en acier forgé, et au moins deux chevilles expansibles et deux boulons pour chaque suspension.

.1 Produits acceptables : ANVIL : plaque fig. 49, écrou à œil fig. 290 et cheville expansible conçue pour résister aux charges sismiques, CCTF Corporation, B-Line.

.3 Tuyauterie chaude de diamètre égal ou supérieur à DN 150 : sellette de protection pour tuyauterie recouverte d'un calorifuge.

.1 Produits acceptables : ANVIL, fig. 160 et 166, CCTF Corporation, B-Line.

.4 Éléments d’ancrage pour suspensions fixées aux poutrelles en acier

.1 Tuyauterie froide ou chaude de diamètre égal ou inférieur à DN 50 : plaquette d'appui en acier, avec deux écrous de blocage.


.2 Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 65 et tuyauterie chaude de tout diamètre : plaquette d'appui en acier avec deux écrous de blocage, attache soudable en acier au carbone et écrou à œillet en fonte malléable.

.1 Produits acceptables : ANVIL : plaque d'appui, fig. 60; attache soudable, fig. 66; écrou à œillet, fig. 290, CCTF Corporation, B-Line.

.3 Pour les gaines de ventilation, utiliser un étrier en « C ». Lorsque la charge excède 100 kg, utiliser une lamelle de retenue.

.1 Produits acceptables : ANVIL, fig. 92 ou 93 et 89X, CCTF Corporation, B-Line.







.5 Assemblages fabriqués en atelier et sur place

.1 Suspensions à rouleaux.

.2 Supports en acier.

.6 Tiges de suspension : filetées, conformes à la norme MSS SP58

.1 Les tiges de suspension ne doivent pas être soumises à d'autres efforts que des efforts de traction.

.2 Tige filetée, en acier au carbone, au fini électrogalvanisé.


.3 Des éléments d'articulation doivent être prévus au besoin pour permettre le mouvement horizontal et le mouvement vertical de la tuyauterie supportée.

.7 Éléments de support : conformes à la norme MSS SP58

.1 Pour tuyauteries en acier : éléments en acier au carbone noir galvanisé.

.2 Pour tuyauteries en cuivre : éléments en acier noir au fini cuivré.

.3 Des boucliers de protection doivent être prévus pour les tuyauteries chaudes et froides calorifugées.

.4 Les éléments de support doivent être surdimensionnés.

2.4 Éléments de support

.1 Les éléments de support seront noirs ou cuivrés ou galvanisés selon la description.

.2 Tuyauterie froide en acier ou en fonte, tuyauterie chaude en acier, à mouvement horizontal de moins de 25 mm; suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, homologué par les ULC.








.3 Tuyauterie froide en cuivre, tuyauterie chaude en cuivre, à mouvement horizontal de moins de 25 mm, suspendues sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, au fini cuivré.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. CT-65, CCTF Corporation, B-Line.

.4 Tuyauterie chaude suspendue, en acier et en cuivre, à mouvement horizontal de plus de 25 mm, suspendue sur tiges de 300 mm de longueur ou moins : étrier à rouleau conforme à la norme MSS-SP58, type 41 ou 43.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. 171 ou 181, CCTF Corporation, B-Line.

.5 Tuyauterie chaude suspendue, en acier et en cuivre, à mouvement horizontal de moins de 25 mm, suspendue sur tiges de 300 mm de longueur ou moins : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, homologué par les ULC.


.6 Tuyauterie chaude en acier et en cuivre, supportée par le dessous : socle à rouleau conforme à la norme MSS-SP58, type 45.


.7 Tuyauterie non métallique : étrier réglable conforme à la norme MSS-SP-69 type 9.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. 97c, CCTF Corporation, B-Line.

.8 Type de supports :

.1 Des supports à rouleaux devront être installés dans les cas suivants :

Cas no 1

Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 60 °C et plus, lorsque la tige de suspension est de 500 mm ou moins. Cependant dans le cas où la tige a plus de 500 mm, il faut que le rapport entre la dilatation du tuyau et la longueur de la tige de suspension soit supérieur à 1:24 (0,041) pour y installer les supports à rouleaux.

Exemple : expansion 50 mm, tige 1 000 mm, rapport 1:20 (= 0,05). Dans ce cas, il faut des supports à rouleaux.







Cas no 2

Sur les réseaux de tuyauterie opérants entre 43 °C et 60 °C lorsque la tige de suspension à 300 mm ou moins. Cependant dans le cas ou la tige à plus de 300 mm, il faut que le rapport entre la dilatation du tuyau et la longueur de la tige de suspension soit supérieur à 1:24 (0,041).

Produits acceptables :

Supports à rouleaux suspendus par tiges.

Diamètre incluantl'isolant

ANVIL Quantité de tiges

par support

DN 25 à DN 750 171* 2

DN 65 à DN 500 181 1

*Cas no 3

Lorsqu'il y a mouvement à la verticale jusqu'à un maximum de 40 mm d'expansion, ajouter les ressorts fig. 178 en utilisant le support fig. 171. Le choix des forces de ressorts sera en fonction du poids de la tuyauterie et de son contenu.

Cas no 4

Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 43 °C et plus, lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers angles ou autre genre de membre métallique.


Diamètre incluant l'isolant ANVIL fig.

DN 200 et plus 271

Cas no 5

Sauf dans les cas mentionnés ci-dessus, les supports seront du type avec ajustement vertical.


Diamètre incluantl'isolant

ANVIL Quantité de tiges

par support

Tuyauterie horizontale 260 1

Tuyauterie verticale 261 –







2.5 Colliers pour colonnes montantes

.1 Tuyauteries en acier ou en fonte : colliers en acier au carbone noir galvanisé, conformes à la norme MSS SP58, type 42, homologués par les UL.

.2 Tuyauteries en cuivre : colliers en acier au carbone au fini cuivré, conformes à la norme MSS SP58, type 42.

.3 Tuyauterie non métallique : collier en acier au carbone conforme à la norme MSS-SP-69 type 8.

.1 Produit acceptable : ANVIL, fig. 261c, CCTF Corporation, B-Line.

.4 Boulons : conformes à la norme ASTM A307.

.5 Écrous : conformes à la norme ASTM A563.

2.6 Sellettes et boucliers de protection

.1 Bouclier de protection pour tuyauteries calorifugées (froide, tempérée et chaude)

.1 Bouclier en acier avec fini galvanisé.

.2 Pour les tuyaux de 32 mm et moins, fournir et installer des boucliers de protection seulement.

.3 Pour les tuyaux de 32 mm à 125 mm Ø, fournir et installer des boucliers. Le calorifuge sera fourni et installé par l’entrepreneur en calorifugeage.

.4 Produit acceptable : ANVIL, fig. 167, CCTF, B-Line.

.2 Sellettes (Saddles) pour tuyauteries calorifugées (froide, tempérée et chaude)

.1 Sellettes en acier noir

.2 Pour les tuyaux de 150 mm et plus, fournir et installer des sellettes.

.3 Pour les tuyaux munis de supports à rouleaux, peu importe le diamètre, fournir et installer des sellettes.







.4 Produits acceptables : ANVIL, fig. 160 à 166A, CCTF Corporation, B-Line.

2.7 Suspension à ressort, à portance constante

.1 Ressorts : en acier allié, conformes à la norme ASTM A125, ayant été soumis à un grenaillage de précontrainte et à un contrôle par magnétisation, dont les caractéristiques suivantes ont été éprouvées, à savoir la hauteur libre, la hauteur sous charge et la raideur (écart admissible de ± 5 %); un R.E.M.C. (rapport d'essai du matériel certifié) doit être fourni pour chaque ressort.

.2 Adaptabilité à la charge : de l'ordre d'au moins 10 % en plus ou en moins par rapport à la charge préparée. Les réglages doivent pouvoir être réalisés sans outils spéciaux et ne doivent pas influer sur la course du ressort.

.3 Des butées de fin de course doivent être posées au sommet et au bas des ressorts.

.4 Une échelle de mesure de la charge doit être prévue pour les réglages effectués sur place.

.5 La course totale des ressorts doit correspondre à la course réelle majorée de 20 %. La différence entre la course totale et la course réelle doit être d'au moins 25 mm.

.6 Des échelles de mesure individuellement étalonnées avant livraison doivent être prévues de chaque côté des suspensions. Le registre d'étalonnage doit être fourni.

2.8 Suspensions à ressort, à portance variable

.1 Mouvement vertical entre 13 mm et 50 mm : suspensions à ressort unique précomprimé, à portance variable.

.2 Mouvement vertical supérieur à 50 mm : suspensions à ressorts doubles précomprimés, à portance variable, les deux (2) ressorts étant montés en série dans un seul boîtier.







.3 Les suspensions à portance variable doivent comporter des butées de fin de course à position réglée en usine. Un certificat d'étalonnage doit être fourni pour chaque suspension.

.4 Ressorts : en acier allié, conformes à la norme ASTM A125, ayant été soumis à un grenaillage de précontrainte et à un contrôle par magnétisation, dont les caractéristiques suivantes ont été éprouvées, à savoir la hauteur libre, la hauteur sous charge et la raideur (écart admissible de ± 5 %); un R.E.M.C. (rapport d'essai du matériel certifié) doit être fourni pour chaque ressort.

2.9 Supports pour appareils

.1 Lorsqu'ils ne sont pas fournis par le fabricant des appareils, les éléments destinés au supportage de ces derniers doivent être fabriqués en acier de construction. Soumettre les calculs avec les dessins d'atelier.

.2 Fournir et installer tous les supports métalliques nécessaires pour les appareils, échangeurs, réservoirs et accessoires mentionnés dans les plans et devis, de la présente section.

.3 Ces supports seront faits de profilés métalliques soudés et construits selon les règles de l'art, ainsi que selon les normes des codes provinciaux concernant ces travaux. Ce travail devra être exécuté par de la main-d’œuvre qualifiée.

.4 La charge des appareils sera transmise par des fers angles ou autres à des sections métalliques horizontales et de là, à des colonnes d'acier munies de plaques d'ancrage ou selon ce qui est montré aux plans.

2.10 Suspensions pour conduits d’air

.1 En général, les conduits seront suspendus au moyen de tiges conformément au chapitre 5 de la norme SMACNA précitée.

.2 De plus, on devra se conformer aux restrictions suivantes :

.1 Il y aura une suspension d’un côté au l’autre de chaque joint transversal de conduit.







.2 Espacement

.1 Conduits rectangulaires

.1 Les éléments de suspension seront conformes au tableau 5.1 de la norme précitée. Cependant, seules les tiges seront acceptables, et leur diamètre minimal sera de 6 mm (1/4") et l’espacement maximal entre les suspensions sera de 2 400 mm (8').

.2 Conduits circulaires

.1 Les éléments de suspension seront conformes au tableau 5.2 de la norme précitée. Cependant, seules les tiges seront acceptables, et leur diamètre minimal sera de 6 mm (1/4") et l’espacement maximal entre les suspensions sera de 2 400 mm (8') pour les conduits lisses et de 3 600 mm (12') pour les conduits spiralés.

.3 Type de suspension

.1 Tous les conduits seront suspendus au moyen d’une paire de tiges avec fer en « U » en tôle pliée ou cornière en acier profilé au laminoir.

.2 Les caractéristiques seront conformes au tableau 5.3 M, mais en respectant la limite inférieure de 62 kg pour chacun des trapèzes.

.3 Pour les conduits ronds, utiliser des ceintures avec oreilles repliées en fer plat profilé au laminoir avec oreilles pliées et percées et une paire de tiges.

.3 Les tiges sont munies d’écrous filetés. L’usage d’écrous à ressort n’est pas accepté. Les broches ou bandes ne sont pas acceptées.

.4 Les accrochages à des éléments de structure d’acier seront réalisés au moyen de fers « C » préfabriqués avec boulon de serrage, semblables à ANVIL, fig. 92 ou 93, CCTF Corporation, B-Line.

.5 Pour tout support soumis à une charge de 100 kg ou plus, les installer avec une lamelle de retenue fig. 89X.

.6 Aucun dispositif « Friction » (Spring clip) ne sera accepté.







.7 Les boulons de scellement seront du type à expansion et munis d’un écrou d’accouplement pour y attacher la tige de support.

.8 Aucune tige d’ancrage ne sera retenue que par le pontage d’acier. Cependant, si le pontage est à être recouvert de béton, les tiges d’ancrage pourront être installées à travers celui-ci et repliées à 90° à 20 mm minimaux au-dessus de la tôle du pontage avant la coulée.

2.11 Boulons d’ancrage et gabarits

.1 Fournir les gabarits qui permettront de déterminer l'emplacement exact des boulons d'ancrage.

3. EXÉCUTION


.1 Conformité : se conformer aux exigences, aux recommandations et aux spécifications écrites du fabricant, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à l'installation des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation

.1 Installer les supports et les suspensions conformément aux instructions et aux recommandations du fabricant.

.2 Lorsque les tuyauteries sont susceptibles d'être soumises à des surcharges (efforts imposés par le fonctionnement des soupapes de sûreté ou surcharges dues à des secousses sismiques), les suspensions doivent être munies de dispositifs de retenue, d'amortisseurs, de stabilisateurs servant à éliminer les mouvements de la tuyauterie dus au déplacement du fluide à l'intérieur de celles-ci, et d'autres dispositifs similaires.

.3 Lorsque des tuyaux ou des gaines traverseront des murs, plafonds et planchers de salles de machine, l'entrepreneur en ventilation devra prévenir tout contact avec la structure en laissant au moins 25 mm d'espace libre entre celle-ci et la gaine ou le tuyau. Cet espace devra ensuite être scellé avec de la fibre de verre bien compressée et ensuite insonorisé avec un enduit résilient et imperméable d'au moins 25 mm d'épaisseur.







.4 Dispositifs antivibratoires

.1 Munir les tuyauteries de dispositifs antivibratoires aux pompes, aux chaudières, aux appareils frigorifiques, aux tours de refroidissement et aux autres endroits indiqués.

.5 Colliers pour colonnes montantes

.1 Assujettir les colonnes montantes indépendamment des canalisations horizontales auxquelles elles sont raccordées, au moyen de colliers de serrage et de chevilles de cisaillement soudées sur la colonne montante.

.2 Serrer les boulons au couple courant.

.3 Dans le cas des tuyauteries en acier, poser les colliers au-dessous d'un accouplement ou d'une cheville de cisaillement.

.4 Dans le cas des tuyauteries en fonte, poser les colliers au-dessous d'un joint.

.6 Éléments d'ancrage pour suspensions fixées dans des ouvrages en béton

.1 Fixer les éléments (plaques et étriers) dans l'ouvrage en béton au moyen d'au moins quatre pièces d'ancrage, une à chaque coin.

.7 Fixer les suspensions à des éléments d'ossature. À cet égard, fournir et installer tous les éléments d'ossature métallique supplémentaires nécessaires s'il n'y a pas de supports structuraux en place aux points de pose prévus ou encore si les douilles d'ancrage ne sont pas disposées aux endroits requis.

.8 Utiliser des suspensions à ressort à portance constante aux endroits suivants :

.1 là où le mouvement vertical de la tuyauterie est de 13 mm ou plus;

.2 là où il faut éviter que des charges soient transmises aux tuyauteries ou aux appareils qui y sont raccordés.

.9 Utiliser des suspensions à ressort à portance variable aux endroits suivants :

.1 là où la transmission de charges aux tuyauteries ou aux appareils qui y sont raccordés ne présente pas d'inconvénients;







.2 là où la variation de portance prévue ne dépasse pas 25 % de la charge totale.

3.3 Espacement entre les supports et les suspensions

.1 Tuyauterie de réseau de plomberie : respecter les exigences indiquées dans le Code canadien de la plomberie.

.2 Tuyauterie de réseau de protection incendie : selon les exigences du code de prévention des incendies.

.3 Tuyauteries de mazout et de gaz de diamètre nominal égal ou inférieur à DN 15 : un support/suspension tous les 1,8 m.

.4 Tuyauterie en cuivre de diamètre nominal égal ou inférieur à DN 15 : un support/suspension tous les 1,5 m.

.5 Un support/une suspension à au plus 300 mm de chaque coude.

Diam. nominal tuyauterie (DN)

Diam. tige (mm)

Espacement maximal :

tuyauterie acier (m)


tuyauterie cuivre (m)


tuyauterie non métallique (m)

Jusqu'à 32 10 2,1 1,8 1,2

40 10 2,7 2,4 1,5

50 10 3,0 2,7 1,5

65 12 3,6 3,0 1,8

80 12 3,6 3,0 1,8

100 16 4,2 3,6 1,8

125 16 4,8 4,2 1,8

150 19 5,1 4,2 1,8

200 22 5,7

250 22 6,6

300 22 6,9

350 25 6,9

400 32 6,9

.6 Tuyauteries aux extrémités rainurées par roulage et à joints flexibles : selon les indications du tableau ci-après, en comptant au moins un support/suspension à chaque joint. Le tableau s'applique aux tronçons rectilignes sans concentration de charge et dans le cas desquels un mouvement linéaire complet n'est pas nécessaire.







.7 Pour les tuyauteries de diamètre nominal supérieur à DN 12, se conformer à la norme MSS SP69.

3.4 Suspensions pour conduits d’air

.1 Sangles de suspension

.1 Installer les sangles de suspension conformément aux exigences de la SMACNA.

.2 À utiliser dans le cas de conduits d'air circulaires ou ovales de diamètre égal ou inférieur à 500 mm, en même matériau que celui utilisé pour le conduit mais de l'épaisseur immédiatement supérieure à celle de ce dernier.

.2 Suspensions à barre (type trapèze)

.1 À utiliser dans le cas des conduits dont le diamètre ou la plus grande dimension est supérieur à 500 mm, selon la SMACNA.

.3 Cornières et tiges de suspension

.1 Munies d'écrous de blocage et de rondelles.

.2 Cornières en acier noir retenues par des tiges en acier noir la SMACNA les indications du tableau ci-après.

Diamètre conduits (mm)

Diamètre cornières (mm)

Diamètre tiges (mm)

Jusqu'à 750 25 x 25 x 3 6

De 751 à 1 050 40 x 40 x 3 6

De 1 051 à 1 500 40 x 40 x 3 10

De 1 501 à 2 100 50 x 50 x 3 10

De 2 101 à 2 400 50 x 50 x 5 10

2 401 et plus 50 x 50 x 6 10

.4 Espacement des suspensions : selon les exigences de la SMACNA.

.5 Dispositifs de fixation des suspensions

.1 Pour fixation dans des ouvrages en béton : ancrages à béton, préfabriqués.







.2 Pour fixation sur des poutrelles en acier : étriers ou plaquettes d'appui en acier, préfabriqués.

.3 Pour fixation sur des poutres en acier : étriers préfabriqués.

.6 Lorsque les éléments de protection contre le séisme sont requis, ils remplacent les supports de suspension.

3.5 Installation des suspensions

.1 Installer les suspensions de manière qu'en conditions d'exploitation les tiges soient bien verticales.

.2 Régler la hauteur des tiges de manière que la charge soit uniformément répartie entre les suspensions.

.3 Fixer les suspensions à des éléments d'ossature. À cet égard, fournir et installer tous les éléments d'ossature métallique supplémentaires nécessaires s'il n'y a pas de supports structuraux en place aux points de pose prévus ou encore si les douilles d'ancrage ne sont pas disposées aux endroits requis.

3.6 Mouvement horizontal

.1 L'obliquité des tiges de suspension résultant du mouvement horizontal de la tuyauterie de la position « à froid » à la position « à chaud » ne doit pas dépasser 4° par rapport à la verticale.

.2 Lorsque le mouvement horizontal de la tuyauterie est inférieur à 13 mm, décaler les supports ou les suspensions pour que les tiges soient à la verticale en position « à chaud ».

3.7 Réglage final

.1 Supports et suspensions

.1 Veiller à ce qu'en conditions d'exploitation les tiges de suspension des tuyauteries soient en position verticale.

.2 Équilibrer les charges.







.2 Étriers réglables

.1 Serrer l'écrou de réglage vertical de manière à optimiser la performance de l'étrier.

.2 Resserrer le contre-écrou une fois le réglage terminé.

.3 Brides de fixation en « C »

.1 Fixer les brides en « C » à la semelle inférieure des poutres conformément aux recommandations du fabricant, et serrer au couple spécifié par ce dernier.

.4 Fixations pour poutres

.1 À l'aide d'un marteau, assujettir fermement la mâchoire à la semelle inférieure de la poutre.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN SYSTÈMES DE PROTECTION SECTION 23 05 49

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES PARASISMIQUE

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1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Normes de référence

.1 Les exigences du CNB 2005.

.2 ANSI B31.1, « (SI), Power Piping, (SI Edition) ».

.3 ANSI/MSS-SP-58 « Pipe Hangers and Supports - Materials, Design and Manufacturer ».

.4 SMACNA « Seismic Restraint Manual Guideline for Mechanical Systems ».

.5 « VMG Seismic Restraints Technical Data ».

.6 NFPA 13 « National Fire Protection Association – Installation of Sprinkler Systems »


.1 Les travaux comprennent d’une façon générale le calcul, la fourniture, l’installation, la surveillance et la responsabilité de tous les matériaux et de l’équipement nécessaire aux mesures parasismiques pour les travaux de tuyauterie, de ventilation et leurs équipements connexes :

.1 Les calculs et les détails d’installation des mécanismes parasismiques pour être conforme aux normes demandées.

.2 La fourniture des mécanismes parasismiques et la livraison de ces équipements sur le chantier sont à la charge de la présente section.

.3 La surveillance de l’installation de tous les mécanismes servant aux mesures parasismiques et la présentation d’un rapport de conformité.

.4 Les mécanismes parasismiques comprennent, sans s’y limiter, les contreventements des supports des tuyaux de mécanique et des équipements tels que ventilateurs, ventilo-convecteurs, pompes, échangeurs, etc.



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.2 L’Entrepreneur doit engager un Fournisseur d’expérience pour concevoir, fournir et surveiller l’installation de toutes les mesures parasismiques.

.3 Le Fournisseur des mesures parasismiques est responsable vis-à-vis l’Entrepreneur de concevoir, fournir et surveiller l’installation des mesures parasismiques. Il demeure responsable de l’intégrité structurale des mesures parasismiques.

.4 Le Fournisseur engage un ingénieur spécialisé en conception parasismique pour effectuer les calculs et approfondir les détails d’installation des mesures parasismiques.

.5 L’ingénieur spécialisé doit, à la fin des travaux, écrire une lettre expliquant que les installations parasismiques de tuyauterie et de ventilation-climatisation ont été faites et respectent toutes les normes en vigueur.




.2 Fournir les dessins d’atelier des mesures parasismiques et les calculs.

.1 Pour chaque appareil, fournir :

.1 L’identification;

.2 Le nom du fabricant et le modèle;

.3 Les dimensions physiques;

.4 Le poids;

.5 La localisation du centre de gravité (indiquer si la localisation a été obtenue du fabricant de l’appareil ou supposée);

.6 La localisation et le nombre de points de fixation;



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.7 La localisation du centre de gravité des points de fixation (lorsque le centre de gravité est différent de celui du centre de gravité de l’appareil);

.8 La vitesse de rotation (s’il y a lieu);

.9 La fragilité sismique des composants internes de l’appareil.

.2 Les calculs des boulons d’ancrage indiquant :

.1 Le type de boulon, fabricant et modèle;

.2 Le diamètre;

.3 L’enfoncement dans le béton;

.4 La force de compression du béton;

.5 L’espacement minimum entre les boulons et les arêtes du béton;

.6 Les capacités appliquées et permissives en cisaillement et en tension;

.3 Les types de mesures parasismiques pour chaque appareil et indiquer les caractéristiques des câbles et des membrures rigides.

.3 Identifier les éléments suivants visés sur la documentation du fabricant, soit :

.1 Éléments d’ancrage;

.2 Éléments médians;

.3 Éléments soutien;

.4 Colliers pour colonnes montantes;

.5 Sellettes et demie-coquilles de protection;

.6 Pièces de contreventement.



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.4 Concevoir, préparer et fournir les dessins d’atelier incluant des dessins démontrant le type d’éléments de protection parasismique et leur localisation.

.5 Fournir les méthodes de calculs utilisées. Les dessins d’atelier doivent être scellés par un Professionnel membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

1.4 Mesures de protection parasismique

.1 À moins d’indications contraires, les mesures parasismiques devront être conçues et choisies pour répondre aux exigences de la dernière édition en vigueur du Code National du Bâtiment du Canada et de son supplément.

.2 Les ancrages doivent être conçus pour respecter le coefficient de risque (IE) de 1,0 applicable aux bâtiments autres que la catégorie élevée et la protection civile (catégorie de risque moyen) en tenant compte des caractéristiques du sol ainsi que la valeur de réponse spectrale de l’accélération applicable à la région du projet.

.3 Les ancrages doivent être conçus pour respecter le coefficient de risque (IE) de 1,3 applicable aux écoles, centres communautaires, installations de stockage et fabrication de produits toxiques/explosifs/dangereux (catégorie de risque élevé) en tenant compte des caractéristiques de sol ainsi que la valeur de réponse spectrale de l’accélération applicable à la région du projet.

.4 Pendant ou après le séisme, le matériel fixé doit rester en état de fonctionnement, comme dans les conditions d’utilisation normales. Les exigences obligatoires sont que les mesures parasismiques empêchent les systèmes et le matériel de mécanique de causer des blessures aux personnes et évitent au matériel de se déplacer de sa position normale pendant un séisme.

.5 Le Fournisseur des mesures parasismiques doit obtenir, de la section de mécanique concernée, tous les renseignements relatifs aux appareils, tuyaux, conduits de ventilation et équipements nécessaires aux calculs des mesures parasismiques (poids, type de fluide, nombre, isolation thermique, course, espacement entre les supports, regroupement sur des supports trapézoïdaux).

.6 Le Fournisseur des mesures parasismiques doit obtenir des Fournisseurs de chaque appareil et équipement les caractéristiques nécessaires pour les calculs.



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.7 Toutes les mesures parasismiques doivent être entièrement intégrées et compatibles avec les exigences de réduction de bruit et les systèmes antivibratoires du matériel électrique et des systèmes connexes, comme spécifié sur les plans et ailleurs.

.8 Les calculs et les détails d’installation des boulons d’ancrages et des mesures parasismiques devront être approuvés par un ingénieur spécialisé en conception parasismique. Les calculs de l’ingénieur devront être soumis pour vérification.

2. PRODUITS

2.1 Généralités

.1 Toutes les mesures parasismiques doivent être entièrement intégrées et compatibles avec la conception mécanique et de structure du bâtiment. Elles ne doivent pas entraver le fonctionnement normal des systèmes de mécanique.

.2 Les Fournisseurs des mesures parasismiques doivent offrir des isolateurs de vibration, des amortisseurs sismiques intégrés et séparés, du matériel de fixation des câbles et d’autres systèmes de fixation provenant des Fournisseurs qui produisent régulièrement le même matériel.

.3 Les systèmes de protection parasismiques doivent être en mesure de s’opposer aux forces dans toutes les directions.

.4 Les attaches et les joints de fixation doivent pouvoir résister aux mêmes charges que les dispositifs de protection parasismiques.

.5 Pour les contreventements longitudinaux, l’attache au tuyau et au conduit de ventilation doit être obligatoirement directe sur le tuyau et le conduit (sous l’isolation thermique).

.6 Les fixations parasismiques sur les tuyaux et les conduits de ventilation doivent être compatibles avec les exigences en matière d’ancrages et de guidage des réseaux de tuyaux et de ventilation.

.7 Des ancrages à expansion mécanique de grande résistance doivent être utilisés pour fixer les mesures sismiques aux structures de béton. L’utilisation d’ancrages et de fixations posés au pistolet cloueur est interdite.



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.8 L’utilisation des supports en fonte, faits de tuyaux filetés ou autres matériaux cassants est interdite.

.9 Les dispositifs de protection parasismiques ne doivent pas gêner le fonctionnement des dispositifs coupe-feu ni en compromettre l’intégrité.

.10 Lorsque requis, pour éviter le flambage, des raidisseurs sur les tiges de suspension devront être ajoutés.

.11 Tout tuyau de fonte, de vitre ou autre ayant des joints mécaniques avec bagues et vis de serrage supportés par des supports de plus de 305 mm (12 po) devra être muni de contreventements parasismiques à tous les changements de direction de 90 degrés et plus. Les joints des tuyaux montants devront être stabilisés ou avec contreventement entre les planchers.

.12 L’espacement maximal des contreventements parasismiques devra être de 24,4 m (80 pi) dans le sens longitudinal et de 12,2 m (40 pi) dans le sens transversal. Les calculs des mesures parasismiques peuvent nécessiter des longueurs plus courtes.

.13 Méthodes et mesures de contreventement pour les gaines de ventilation :

.1 Méthodes selon les recommandations de la SMACNA et la norme NFPA approuvées par le Professionnel, basées sur les efforts établis selon le CNB.

.2 Cornières et profilés de structure.

.3 Système de retenue de câbles incorporant les passe-fils, les étriers et les autres pièces de quincaillerie pour assurer l’alignement des retenues et pour éviter que les câbles ne plient aux points de connexions. Incorporer le néoprène dans les connexions des câbles afin de réduire les charges d’impact.

2.2 Élément médian (tige de suspension)

.1 Tige filetée, en acier au carbone, au fini noir et électro galvanisé pour salles mécaniques, raidisseur en acier forgé.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. 146 ou équivalent approuvé.



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2.3 Élément de support

.1 Tuyauterie froide en acier ou en fonte, tuyauterie chaude en acier, à mouvement horizontal de moins de 25 mm; tuyauterie chaude en acier, suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58-1983, type 1.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. 260 ou 260 ISS, ou équivalent approuvé

.2 Dans le cas où la FIG 260 ISS de Anvil serait utilisée, la sellette de protection FIG 167 n’est pas nécessaire (voir détails d’installation du Fournisseur).

.2 Tuyauterie froide en cuivre, tuyauterie chaude en cuivre, à mouvement horizontal de moins de 25 mm, tuyauterie chaude en cuivre, suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable conforme à la norme MSS-SP58-1979, type 1 au fini cuivré.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. CT-65, ou équivalent approuvé.

.3 Tuyauterie chaude suspendue, en acier et en cuivre, à mouvement horizontal de plus de 25 mm, tuyauterie chaude en acier, suspendue sur des tiges de 300 mm de longueur ou moins : étrier à rouleau conforme à la norme MSS-SP58-1979, type 43.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. 181, ou équivalent approuvé

.4 Tuyauterie chaude en acier et en cuivre, supportée par le bas : socle à rouleau conforme à la norme MSS-SP58-1983, type 45.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. 271, ou équivalent approuvé

.5 Tuyauterie non métallique : étrier réglable conforme à la norme MSS-SP-69, type 9.

.1 Produits acceptables : Anvil, fig. 97C, ou équivalent approuvé



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.6 Type de supports :

.1 Des supports à rouleaux devront être installés dans les cas suivants :

.1 Cas no 1 :

.1 Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 60 °C et plus, lorsque la tige de suspension est de 500 mm ou moins, mais dans les cas où la tige a plus de 500 mm, il faut que le rapport entre la dilatation du tuyau et la longueur de la tige de suspension soit supérieur à 1:24 (0,041) pour y installer les supports à rouleaux.

.2 Exemple :

.1 Expansion 50 mm, tige 1 000 mm, rapport 1:20 (= 0,05). Dans ce cas, il faut des supports à rouleaux.

.2 Cas no 2 :

.1 Lorsqu’il y a mouvement à la verticale jusqu’à un maximum de 32 mm d’expansion, ajouter les ressorts Anvil fig. 178 en utilisant fig. 171 de Anvil. Le choix des forces de ressorts sera en fonction du poids de la tuyauterie et de son contenu.

.3 Cas n° 3 :

.1 Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 43 °C et plus, lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers angles ou autres genres de membre métallique.


Diamètre incluant l’isolant Anvil

50 mm Ø à 1 065 mm Ø 271



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2.4 Collier pour colonne montante

.1 Pour tuyauterie en acier ou en fonte : collier en acier au carbone, au fini noir, conforme à la norme MSS-SP58-1983, type 42, homologué par les ULC.

.1 Produit acceptable : Anvil, fig. 261, ou équivalent approuvé

.2 Pour tuyauterie en cuivre : collier en acier au carbone, au fini cuivré, conforme à la norme MSS-SP58-1983, type 42.

.1 Produit acceptable : Anvil, fig. CT-121, ou équivalent approuvé

.3 Tuyauterie non métallique : collier en acier au carbone conforme à la norme MSS-SP-69, type 8.

.1 Produit acceptable : Anvil, fig. 261C, ou équivalent approuvé

2.5 Sellettes et boucliers de protection

.1 Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 1-1/4 : bouclier de protection pour tuyauterie recouverte d’un calorifuge à haute densité avec pare-vapeur continu.

.1 Produit acceptable : Anvil, fig. 167, ou équivalent approuvé

.2 À noter qu’en aucun cas, une tuyauterie froide ne doit être appuyée directement contre un support.

.3 Le responsable de cette section doit fournir les sellettes à l’entrepreneur responsable de l’isolation de la tuyauterie. Ce dernier devra installer les sellettes et fournir un morceau de bois entre la tuyauterie et la sellette pour les tuyauteries de gros diamètres. Se référer à la section portant sur le calorifugeage.

.2 Tuyauterie chaude de diamètre égal ou supérieur à DN 1-1/4 : sellette de protection pour tuyauterie recouverte d’un calorifuge.

.1 Produits acceptable : Anvil, fig. 160 et 166. , ou équivalent approuvé

.3 Les sellettes et boucliers de protection ne seront pas obligatoires seulement lorsque la FIG 260 ISS de Anvil est utilisée.



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2.6 Supports des appareils

.1 Fournir et installer tous les supports métalliques nécessaires pour les appareils, échangeurs, réservoirs et accessoires mentionnés dans les plans et devis, de la présente section.

.2 Ces supports seront faits de profilés métalliques soudés et construits selon les règles de l’art, ainsi que selon les normes des codes provinciaux concernant ces travaux. Ce travail devra être exécuté par de la main-d’œuvre qualifiée.

.3 Supports non fournis par les fabricants des pièces d'équipement : ces supports doivent être fournis et installés par le Sous-traitant. Ils doivent être fabriqués en acier de charpente. Concevoir et soumettre les calculs structuraux scellés par un ingénieur en structure ou possédant les qualifications requises avec les dessins d'atelier pour vérification par les Professionnels.

.4 Le Sous-traitant devra fournir et installer tous les éléments de supports supplémentaires requis afin de relier les supports de tuyauterie, conduits, équipements ou autres à la structure du bâtiment.

.5 Les éléments des supports en acier des pièces d’équipements, tuyauterie et conduits, exposés aux intempéries doivent être galvanisés à chaud après la fabrication.

2.7 Éléments d’expansion

.1 Fournir des raccords flexibles à l’intérieur de 610 mm (24 po) du haut et du bas de chaque colonne montante. Si une colonne montante intermédiaire excédant 915 mm (36 po) de longueur est présente, installer un raccord flexible au haut ou au bas de cette colonne.

.2 Dans le cas de tuyauteries traversant des murs de béton ou de maçonnerie, installer des raccords flexibles des deux (2) côtés du mur (c.-à-d. deux (2) raccords). Dans le cas de tuyauteries traversant des joints de dilatation dans un bâtiment, fournir un raccord flexible dans le joint ou près de celui-ci.

.3 Dans tous les cas, il est permis de ne pas installer de raccords flexibles sur la tuyauterie dont le diamètre est inférieur à 88,9 mm (3 ½ po).



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.4 Installer des coudes flexibles aux extrémités des chutes des boyaux (peu importe la dimension du tuyau).

.5 Produit acceptable : Saflex de Mason, ou équivalent approuvé

Note : Les raccords Victaulic ou Gruvlok peuvent être considérés comme des raccords flexibles lorsque ces systèmes sont acceptés au devis. Voir section portant sur la tuyauterie hydronique.

2.8 Garnitures en caoutchouc

.1 Fournir et installer des garnitures entre la tuyauterie de cuivre et chaque élément de suspension de façon à éliminer tout contact enter le cuivre et le fer. Cette garniture dépassera de 25 mm de chaque côté du collet.

2.9 Conduits de ventilation

.1 Pour les conduits de ventilation/climatisation, installer des dispositifs d’ancrage et de stabilisation (entretoises) conformément aux prescriptions du guide « Seismic Restraint Manual: Guideline for Mechanical Systems », édition 1998, tel que publié par SMACNA, basés sur les efforts établis selon le CNB.

.2 Pour tout le réseau de ventilation : les attaches plus longues que 305 mm, mesurées à partir du dessus de la gaine jusqu’au bas du support, doivent être contreventées dans le cas des gaines rectangulaires avec espace libre de plus de 0,56 m², et pour gaines circulaires ayant un diamètre égal ou supérieur à 710 mm.

.3 Les supports doivent être solidement attachés à la gaine, à une distance maximale de 50 mm à partir du dessus de la gaine, avec un maximum de deux (2) vis en métal de type N° 10 (ANSI).

3. EXÉCUTION

3.1 Espacement entre les supports/suspensions

.1 L’espacement entre les supports/suspensions ainsi que le diamètre des tiges de suspension doivent être conformes aux plus strictes des exigences précisées aux alinéas 3.1.1.1 à 3.1.1.6 ou dans le tableau ci-après.



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.1 Tuyauterie pour réseau de plomberie : selon les exigences les plus strictes du Code canadien de la plomberie, du code provincial pertinent ou des autorités compétentes.

.2 Tuyauterie pour réseau de protection incendie : selon les exigences du code de protection incendie pertinent.

.3 Tuyauterie en cuivre de diamètre nominal DN 1/2 et moins : un (1) support/suspension tous les 1,5 m.

.4 Tuyauterie de gaz de diamètre nominal DN ½ et moins : un (1) support/suspension tous les 1,8 m.

.5 Tuyauterie cannelée à joints souples : selon les exigences du tableau ci-après, en comptant au moins un (1) support/suspension à chaque joint.

.6 Tuyauterie à extrémités rainurées par roulage, à joints flexibles : selon les exigences du tableau ci-après, en comptant au moins un (1) support/suspension à chaque joint.

.7 Un support/suspension à moins de 300 mm de chaque coude horizontal.

Diam. nominaltuyauterie

(DN)

Diam. tige (mm) Espacement

maximal : tuyauterie acier (m)


tuyauterie cuivre (m)


tuyauterie non métallique

(m)

jusqu’à 1¼ 10 2,1 1,8 1,2

1½ 10 2,7 2,4 1,5

2 10 3,0 2,7 1,5

2½ 10 3,0 3,0 1,8

3 10 3,6 3,0 1,8

4 16 4,2 3,6 1,8

6 22 5,1 4,2 1,8

8 22 5,7

10 22 6,6 12 22 6,9

Note : Pour la tuyauterie verticale, attacher à chaque étage, mais au plus à 125% de l’emplacement horizontal.



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.8 Tuyauterie pour réseau de plomberie de diamètre nominal DN4 et

plus, attachée à la structure de toit : un (1) support/suspension à chaque poutrelle lorsque la course est perpendiculaire aux éléments de structure, ou au moins depuis deux poutrelles lorsque la course est parallèle aux membrures de structure.

3.2 Pose des supports/suspensions

.1 Décaler les éléments d’ancrage des suspensions de manière à ce que les tiges de suspension soient bien droites lorsque le réseau est en service.

.2 Régler la hauteur des tiges de suspension de manière à ce que la charge soit uniformément répartie entre les supports/suspensions.

.3 Attacher les éléments d’ancrage des suspensions aux nœuds des poutrelles d’acier.

3.3 Pose des mesures parasismiques

.1 Ne pas souder les contreventements parasismiques directement sur les supports et les renforts servant au transport des tuyaux de mécanique.

.2 Installer les dispositifs antivibratoires conformément aux instructions des Fournisseurs et régler les plots de façon que les appareils soient de niveau.

.3 Lorsque les dispositifs antivibratoires sont boulonnés au plancher, utiliser des rondelles antivibratoires en caoutchouc.

.4 Pour les équipements installés sur dalle et de grandes tailles, des éléments de suspension ou d’attaches murales peuvent être ajoutés à la stabilisation.

.5 Dans le cas où des isolateurs de vibration sont utilisés pour des équipements suspendus, alors installez un système de stabilisation antisismique par câbles.

.6 Bien vérifier sur le chantier que les boulons d’ancrages, que les diamètres des insertions (chevilles), que la profondeur des enfoncements dans le béton et que la longueur des soudures sont conformes aux dessins présentés et suivent les instructions.



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.7 L’ouverture autour des boulons doit être de 1,59 mm (1/16 po) maximum plus grande que le diamètre du boulon.

.8 Les points d’ancrage dans les dalles de béton devront être éloignés des bords et arêtes du béton, suivre les recommandations du Fournisseur des ancrages.

.9 Attacher les câbles au matériel suspendu au plafond de telle façon à ce que la projection axiale des câbles ne dépasse pas le centre de gravité du matériel.

.10 Installer les câbles en utilisant des passe-fils, des cosses d’assemblage et les autres pièces de quincaillerie appropriés de façon à assurer l’alignement des dispositifs de protection et prévenir le pliage des câbles aux points de fixation.

.11 Orienter les câbles de fixation du matériel suspendu au plafond pour qu’ils fassent environ 90 degrés entre eux (dans le plan) puis les attacher à la dalle du plafond de façon à ce qu’ils fassent avec cette dernière un angle ne dépassant pas 45 degrés.

.12 Dans un même contreventement, toujours utilisez des entretoises identiques (ne pas utiliser une entretoise rigide avec un câble).

.13 Toutes les mesures parasismiques devront être vérifiées, suite à la mise en service des systèmes de mécanique, afin de s’assurer que les espacements libres recommandés soient obtenus. Pas plus que recommandé, car la fragilité de l’appareil pourrait être affectée. Faire les ajustements, lorsque requis. Bien s’assurer que les amortisseurs parasismiques n’occasionnent pas de courts-circuits aux isolateurs de vibration s’il y a lieu.

.14 Un dégagement d’au moins 25,4 mm (1 po) doit être prévu entre les dispositifs de protection parasismique et tout autre matériel et élément de service.

3.4 Critères d’installation des dispositifs parasismiques

.1 L’ingénieur de conception du système de protection parasismique doit s’assurer que l’installation du système de protection parasismique par l’entrepreneur respecte les exigences de son rapport de conception.



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.2 Les dispositifs parasismiques ne doivent pas nuire au fonctionnement normal du bâtiment ou de ses composantes techniques.

.3 Les diffuseurs dans les faux plafonds des corridors d’issue doivent être ancrés au plafond suspendu ou à la structure du bâtiment.

.4 Les luminaires fluorescents dans les faux plafonds doivent être retenus à la structure au moyen d’un câble d’aviation de calibre 16 ou d’une broche d’acier de calibre 12 au moins aux deux coins opposés.

.5 Tout luminaire de type pendulaire doit être retenu à la structure au moyen d’une fixation flexible – câble ou filin d’acier – ayant une charge admissible au moins égale à deux fois le poids du luminaire. De plus, le luminaire doit pouvoir osciller sur 45° sans risque de toucher à quoi que ce soit.

3.5 Installations

.1 Procéder à l’installation des fixations parasismiques de chaque système électromécanique tel que décrit dans le rapport de conception.

3.6 Formation du personnel exécutant de l’entrepreneur

.1 L’ingénieur de conception du système de protection parasismique a la responsabilité de s’assurer que l’entrepreneur et son personnel ont la compétence requise et a reçu la formation nécessaire pour réaliser une installation du système parasismique qui respecte les exigences de son rapport de conception.

.2 L’ingénieur de conception doit s’assurer que l’entrepreneur et son personnel tiennent compte des problématiques suivantes :

.1 La dilatation et la contraction thermiques de la tuyauterie.

.2 La vibration des composantes techniques.

.3 Les ressorts et les amortisseurs utilisés pour supporter les composantes techniques.

.4 La protection de l’étanchéité de la membrane de la toiture.



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3.7 Contrôle de la qualité sur place

.1 Inspection et certification des dispositifs et systèmes de protection parasismique.

.1 Une fois les travaux d'installation terminés, les dispositifs et systèmes de protection parasismique doivent être vérifiés par l’ingénieur concepteur.

.2 Remettre le rapport de conformité une fois que les déficiences ont été corrigées (si applicable).

.2 Documents nécessaires à la mise en service

.1 Le rapport de conformité doit être remis à l’ingénieur-conseil avant la mise en service du système.

.2 Une fois la certification terminée et le rapport accepté, remettre un exemplaire complet du dossier de projet revu et annoté de manière à montrer les conditions d'après exécution.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN IDENTIFICATION DES RÉSEAUX SECTION 23 05 53.01

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ET APPARELS MÉCANIQUES

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1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Exigences visant l'identification des réseaux de tuyauteries et de conduits d'air, de la robinetterie et des dispositifs de commande/régulation, les modes et les éléments d'identification utilisés, y compris l'emplacement de ces derniers et les méthodes d'installation connexes.

1.2 Références

.1 Office des normes générales du Canada (CGSB).



.1 Soumettre les fiches techniques relatives aux produits prescrits dans la présente section, y compris les pastilles de couleurs.

.2 Échantillons

.1 Soumettre des échantillons des plaques signalétiques, des plaques d'identification et des étiquettes, ainsi que les listes des légendes proposées.

2. PRODUITS

2.1 Plaques signalétiques des fabricants

.1 Plaques signalétiques en métal ou en stratifié, fixées mécaniquement aux pièces de matériel par le fabricant.

.2 Les inscriptions (lettres et chiffres) doivent être en relief ou en creux.

.3 Les renseignements ci-après, selon le cas, doivent être indiqués sur les plaques signalétiques.

.1 Appareil : nom du fabricant, modèle, dimensions, numéro de série, puissance, débit.



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.2 Moteur : tension, fréquence du courant d'alimentation, nombre de phases, puissance, type de service, dimensions du bâti.

2.2 Plaques d’identification des réseaux

.1 Couleurs

.1 Matières dangereuses : lettrage rouge sur fond blanc.

.2 Autres matières : lettrage noir sur fond blanc (sauf indication contraire dans le code pertinent).

.2 Matériau et autres caractéristiques de fabrication

.1 Plaques de 3 mm d'épaisseur, en stratifié ou en aluminium anodisé blanc, au fini mat, aux coins carrés et aux lettres alignées avec précision et gravées à la machine jusque dans l'âme.

.3 Formats

.1 Selon les indications du tableau ci-après.

Format numéro

Dimensions (mm)

Nombre de lignes

Hauteur des lettres (mm)

1 10 x 50 1 3

2 13 x 75 1 5

3 13 x 75 2 3

4 20 x 100 1 8

5 20 x 100 2 5

6 20 x 200 1 8

7 25 x 125 1 12

8 25 x 125 2 8

9 35 x 200 1 20

.2 Maximum de 25 lettres ou chiffres par ligne.

.4 Format selon l'emplacement

.1 Plaques de format numéro 5 pour les éléments terminaux et les tableaux de commande.

.2 Plaques de format numéro 9 pour le matériel situé dans les locaux d'installations mécaniques.



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.5 Identification des appareils et des réseaux visés par le Système de soutien en matière d'entretien préventif (SSEP) de TPSGC

.1 Système d'identification principale/de provenance/de destination.

.2 Locaux de matériel et d'installations mécaniques

.1 Plaques d'identification principale de format numéro 9.

.2 Plaques d'identification de provenance et de destination de format numéro 6.

.3 Plaques d'identification d'éléments terminaux et de tableaux de commande de format numéro 5.

.3 Autres endroits : formats appropriés.

2.3 Identification selon le système existant

.1 Identifier les ouvrages ajoutés ou améliorés selon le système d'identification existant.

.2 Lorsque le système d'identification existant ne prévoit pas l'identification des nouveaux ouvrages installés, ceux-ci doivent être identifiés selon les prescriptions de la présente section.

.3 Avant d'entreprendre les travaux, faire approuver par écrit le système d'identification par l’ingénieur et le propriétaire.

2.4 Identification des tuyauteries

.1 Le fluide véhiculé dans les tuyauteries doit être identifié par des marquages de couleur de fond, par des pictogrammes (au besoin) et/ou par des légendes; le sens d'écoulement doit être indiqué par des flèches. À moins d'indications contraires, les tuyauteries doivent être identifiées conformément à la norme CAN/CGSB 24.3.

.2 Pictogrammes

.1 Le cas échéant, les pictogrammes doivent être conformes aux exigences du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).



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.3 Légendes

.1 Lettres majuscules de hauteur et de couleur conformes à la norme CAN/CGSB 24.3.

.4 Flèches indiquant le sens d'écoulement

.1 Diamètre extérieur du tuyau/calorifuge inférieur à 75 mm : 100 mm de longueur x 50 mm de hauteur.

.2 Diamètre extérieur du tuyau/calorifuge de 75 mm et plus : 150 mm de longueur x 50 mm de hauteur.

.3 Flèches à deux pointes lorsque le sens d'écoulement est réversible.

.5 Dimensions des marquages de couleur de fond

.1 Hauteur : suffisante pour couvrir la circonférence du tuyau/calorifuge.

.2 Longueur : suffisante pour permettre l'apposition du pictogramme, de la légende et des flèches.

.6 Matériaux de fabrication des marquages de couleur de fond, du lettrage (légendes) et des flèches

.1 Tubes et tuyaux de 20 mm de diamètre ou moins : étiquettes en plastique, autocollantes, hydrofuges et résistantes à la chaleur.

.2 Autres tuyaux : étiquettes en toile plastifiée ou vinyle, autocollantes, à revêtement de protection et à sous-face enduite d'un adhésif de contact hydrofuge, conçu pour résister à un taux d'humidité relative de 100 %, à une chaleur constante de 150 °C et à une chaleur intermittente de 200 °C.

.7 Couleurs de fond et légendes

.1 Lorsque les couleurs de fond et les légendes ne sont pas précisées, se conformer aux directives.

.2 Couleurs des légendes et des flèches : se conformer au tableau ci-après.



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Type de tuyauterie à identifier

Abréviation des étiquettes

Couleur d'identification

primaire

Couleur d'identification secondaire

Eau chaude potable EAU CHAUDE POT. Vert Aucune

Eau froide potable EAU FROIDE POT. Vert Aucune

Gaz propane GAZ PROPANE Jaune Orange

Air comprimé respirable 1207 kPa A.C. 1 207 kPa Vert Aucune

Air comprimé respirable 31030 kPa A.C. 31 030 kPa Vert Aucune

Condensat 552 kPa CONDENSAT 552 kPa Jaune Noir

Eau, incendie EAU INCENDIE Rouge Blanc

Eau, extincteur automatique EAU EXTINCT. AUTO Rouge Blanc

Arrivée d'eau réfrigérée ARR. EAU REFR. Vert Aucune

Retour d'eau réfrigérée RET. EAU REFR. Vert Aucune

Eau brute EAU BRUTE Vert Aucune

Eau froide EAU FROIDE Vert Aucune

Eau distillée EAU DIST. Vert Aucune

Eau déminéralisée EAU DEMINER. Vert Aucune

Eau d'alimentation du condenseur EAU ALIM. COND. Vert Aucune

Eau de retour du condenseur EAU RET. COND. Vert Aucune

Arrivée d'eau potable ARR. EAU POT. Vert Aucune

Retour d'eau potable RET. EAU POT. Vert Aucune

Arrivée d'eau chaude domestique ARR. EAU CH. DOM. Vert Aucune

Recirculation d'eau chaude domestique

RECIRC. EAU CH. DOM. Vert Aucune

Alimentation‐chauffage à l'eau chaude jusqu'à 120 °C

ALIM. CHAUF. EAU CH. Jaune Noir

Retour‐chauffage à l'eau chaude jusqu'à 120 °C

RET. CHAUF. EAU CH. Jaune Noir

Alimentation chauffage à l'eau chaude glycolée

ALIM. CHAUF. EAU CH. GLYCOLÉE

Jaune Noir

Retour‐chauffage à l'eau chaude glycolée

RET. CHAUF. EAU CH. GLYCOLÉE

Jaune Noir

Alimentation en eau surchauffée plus de 120 °C

ALIM. EAU SURCH. Jaune Noir

Retour d'eau surchauffée plus de 120 °C

RET. EAU SURCH. Jaune Noir

Eau d'appoint EAU APP. Jaune Noir

Eau d'alimentation de chaudière EAU ALIM. CHAUD. Jaune Noir

Retour d'eau de condensation RET. EAU CONDENS. Jaune Noir

Condensé pompé CONDENSÉ POMPÉ Jaune Noir

Purge PURGE Jaune Noir

Eau traitée EAU TRAITÉE Vert Aucune

Saumure SAUM. Vert Aucune

Eaux usées EAUX USÉES Vert Aucune



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Type de tuyauterie à identifier

Abréviation des étiquettes

Couleur d'identification

primaire

Couleur d'identification secondaire

Égout pluvial ÉGOUT PLUV. Vert Aucune

Égout sanitaire ÉGOUT SAN. Vert Aucune

Égout unitaire (combiné) ÉGOUT UNIT. Vert Aucune

Évacuation d'acide ÉVAC. ACIDE Jaune Noir

Évacuation d'eau radioactive ÉVAC. EAU RAD. Jaune Violet

Aspiration frigorigène (inclure le numéro du frigorigène)

FRIG. ASPIR. (numéro)

Jaune Noir

Échappement de moteur ÉCHAP. MOTEUR Jaune Noir

Mazout (indiquer le numéro) MAZOUT (nº) Jaune Orange

Vapeur (indiquer la pression) VAP. [___] kPa Jaune Noir

Huile de graissage HUIL. GRAISS. Jaune Orange

Huile hydraulique HUIL. HYDR. Jaune Orange

Air d'instrumentation AIR INSTR. Vert Aucune

Essence ESS. Jaune Orange

Gaz de pétrole liquéfié G.P.L. Jaune Orange

Gaz naturel G.N. Jaune Orange

Chlore CL Jaune Noir

Azote N Bleu Jaune

Oxygène O Jaune Orange

Vide Vide Vert Aucune

Air comprimé pression manométrique égale ou inférieure 700 kPa

A.C. [___] kPa Vert Aucune

Air comprimé pression manométrique supérieure à 700 kPa

A.C. [___] kPa Jaune Noir

Gaz carbonique CO Rouge Blanc

Évent (plomberie) EV. PLOMB. Vert Aucune

Évent EV. Jaune Noir

.3 Réseaux de gaz naturel et de gaz de pétrole liquéfié :

.1 Peindre tout le réseau. Ne supprimer, avec l'approbation des autorités compétentes, la désignation et les flèches dans les aires habitées que lorsqu'il n'y a aucun risque de confusion.



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.4 Identifications à apposer sur les profilés (T-BAR) de plafond :

Serpentin (rectangle rouge) Trappe d'accès (rectangle bleu) Boîte de fin de course (cercle rouge) Volet coupe‐feu (cercle bleu) Robinet d'arrêt (cercle jaune) Contrôle (rectangle jaune)

2.5 Identification des conduits d’air

.1 Lettres de 50 mm de hauteur et flèches indiquant le sens d'écoulement du fluide, de 150 mm de longueur x 50 mm de hauteur, marquées au pochoir.

.2 Couleur : noire, ou d'une couleur contrastante avec celle du conduit.

2.6 Identification des appareils de robinetterie

.1 Étiquettes en laiton à inscription poinçonnée, en caractères de 12 mm, peints en noir.

.2 Fournir, pour chacun des réseaux, des schémas fonctionnels de format approuvé, avec diagrammes et listes des éléments étiquetés, précisant le type d'appareils de robinetterie, le réseau, la fonction, l'emplacement ainsi que la position normale de fonctionnement des éléments.



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2.7 Inscriptions unilingues/bilingues

.1 Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en français.

.2 Les inscriptions en anglais et en français doivent être marquées sur une seule et même plaque d'identification, étiquette, etc.

3. EXÉCUTION



3.2 Moment d’exécution

.1 N'entreprendre l'identification des réseaux et des appareils que lorsque les travaux de peintures intérieurs sont terminés.

3.3 Installation

.1 Sauf indication contraire, identifier les réseaux et les appareils conformément à la norme CAN/CGSB-24.3.

.2 Fournir les plaques d'homologation ULC et CSA requises par chacun des organismes respectifs.

.3 Identifier les réseaux et les appareils selon le SSEP de TPSGC.

3.4 Plaques d’identification

.1 Emplacement

.1 Les plaques doivent identifier clairement les appareils et/ou les réseaux de tuyauterie et elles doivent être posées à des endroits où elles seront bien en vue et facilement lisibles à partir du plancher de travail.



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.2 Cales d'espacement

.1 Sur les surfaces chaudes et/ou calorifugées, prévoir des cales d'espacement sous les plaques d'identification.

.3 Protection

.1 Ne pas appliquer de peinture, de calorifuge ni aucun revêtement sur les plaques d'identification.

3.5 Emplacement des éléments d’identification des

tuyauteries et des conduits d’air

.1 Sur les longues tuyauteries ou conduits d’air dans les aires ouvertes des chaufferies, des locaux de matériel et des galeries techniques : à intervalles n'excédant pas 17 m, de manière qu'on puisse en voir facilement au moins un à partir de n'importe quel point des aires d'exploitation ou des allées.

.2 Aux changements de direction.

.3 Dans chaque petite pièce où passent les canalisations ou les conduits d'air (au moins un élément).

.4 De chaque côté des obstacles visuels ou aux endroits où il est difficile de suivre le tracé des réseaux.

.5 De chaque côté des séparations, comme les murs, les planchers ou les cloisons.

.6 Aux endroits où les tuyauteries ou les conduits d'air sont dissimulés dans une saignée, un vide de plafond, une gaine ou une galerie technique, ou tout autre espace restreint, aux points d'entrée et de sortie, et près des ouvertures de visite.

.7 Aux points de départ et d'arrivée de chaque canalisation ou conduit, et près de chaque pièce de matériel.

.8 Immédiatement en amont des principaux appareils de robinetterie à commande manuelle ou automatique, sinon le plus près possible, de préférence du côté amont.



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.9 De manière que la désignation soit facilement lisible à partir des aires d'exploitation habituelles et de tous les points facilement accessibles.

.1 Perpendiculairement à la meilleure ligne de vision possible, compte tenu de l'endroit où se trouve habituellement le personnel d'exploitation, des conditions d'éclairage, de la diminution de visibilité des couleurs ou des légendes causée par l'accumulation de poussière et de saleté, ainsi que du risque d'endommagement ou d'avarie.

3.6 Emplacement des éléments d’identification des

appareils de robinetterie

.1 Fixer des étiquettes au moyen de chaînettes ou de crochets « S » fermés en métal non ferreux sur les appareils de robinetterie, sauf sur ceux qui sont reliés à des appareils sanitaires ou à des radiateurs de chauffage, et sauf s'ils sont à proximité et à la vue du matériel auquel ils sont reliés.

.2 Installer un exemplaire du schéma fonctionnel et de la liste des appareils de robinetterie, encadré sous vitre antireflet, à l'endroit déterminé par l'ingénieur. Insérer également un exemplaire (en format réduit, au besoin) dans chacun des manuels d'exploitation et d'entretien.

.3 Numéroter dans l'ordre les appareils de robinetterie de chaque réseau.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ESSAI, RÉGLAGE ET ÉQUILIBRAGE

B-131, B-133, B-231 ET B-237 DE RÉSEAUX DE CVCA




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise les opérations, les méthodes et les exigences concernant l'essai, le réglage et l'équilibrage (ERE) des réseaux et équipements d’eau potable, des systèmes et des appareils de ventilation.

.2 Les opérations d'ERE sont des opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage destinées à assurer aux différents systèmes un fonctionnement conforme aux exigences énoncées dans les documents contractuels. Les opérations d'ERE comprennent également tous les autres travaux décrits dans la présente section.

1.2 Qualification du personnel chargé des opérations

d’ère

.1 Lorsque demandé par l’ingénieur, soumettre dans les 90 jours suivant l'attribution du contrat la liste des personnes qui seront chargées d'exécuter les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage.

.2 Soumettre la documentation permettant de confirmer la compétence et l'expérience du personnel.

.3 Les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage doivent être effectuées selon les exigences de la norme régissant la qualification de l'entreprise et du personnel responsables de celles-ci.

.1 Associated Air Balance Council, (AABC), National Standards for Total System Balance, MN-1-2002.

.2 National Environmental Balancing Bureau (NEBB) TABES, Procedural Standards for Testing, Adjusting, Balancing of Environmental Systems-1998.

.3 Sheet Metal and Air Conditioning Contractors' National Association (SMACNA), HVAC TAB HVAC Systems - Testing, Adjusting and Balancing-2002.







.4 Les opérations d'ERE doivent obligatoirement être effectuées selon les recommandations et les pratiques suggérées dans la norme retenue.

.5 Afin de satisfaire aux exigences contractuelles, se conformer aux prescriptions de la norme retenue visant les opérations d'ERE et utiliser les listes de vérification et les formulaires qui y sont proposés.

.6 Se conformer aux prescriptions de la norme retenue concernant les opérations d'ERE, y compris la qualification de l'entreprise et du personnel chargés des travaux et l'étalonnage des instruments de mesure utilisés.

.7 Se conformer aux recommandations du fabricant des instruments de mesure concernant l'étalonnage de ces derniers lorsque celles-ci sont plus rigoureuses que les recommandations énoncées dans la norme relative aux opérations d'ERE.

.8 Les prescriptions de la norme retenue concernant l'assurance de la qualité, notamment les garanties liées à la performance, font partie intégrante du présent contrat.

.1 Dans le cas des systèmes ou des composants non couverts par la norme retenue concernant les opérations d'ERE, utiliser les méthodes mises au point par le spécialiste chargé des travaux.

.2 Lorsque de nouvelles méthodes et exigences sont applicables aux exigences contractuelles et que celles-ci ont été publiées ou adoptées par l'autorité responsable (AABC, NEBB, ou TABB) de la norme retenue concernant les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage, les exigences et les recommandations ainsi définies sont obligatoires.

1.3 Objet des opérations d’ère

.1 Faire l'essai des systèmes pour vérifier s'ils fonctionnent de façon sûre et appropriée, pour déterminer le point réel de fonctionnement et pour évaluer la performance qualitative et quantitative des appareils, des systèmes et des dispositifs de commande/régulation connexes, et ce, à charge nominale, à charge moyenne ou à faible charge, cette charge étant réelle ou simulée.

.2 Régler les appareils et les systèmes de manière à ce qu'ils répondent aux exigences de performance prescrites et à ce qu'ils puissent interagir de la







façon prescrite avec les autres systèmes connexes, et ce, dans des conditions de charge et de fonctionnement normal et de secours.

.3 Équilibrer les appareils et les systèmes de manière à ce que le débit corresponde à la charge sur toute la plage de fonctionnement.


.1 Effectuer tous les travaux pour les opérations d’essai, de réglage et d’équilibrage des réseaux et systèmes aérauliques montrés aux plans et/ou décrits dans les sections des divisions 22 et 23 du présent devis, tels que :

.1 Système d’évacuation des salles de toilettes.

1.5 Exceptions

.1 L'essai, le réglage et l'équilibrage des appareils et des systèmes régis par des normes ou des codes particuliers doivent être effectués à la satisfaction des autorités compétentes.

1.6 Coordination

.1 Prévoir du temps, à l'intérieur du calendrier des travaux de construction, pour les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage des systèmes (y compris les réparations et les reprises d'essai), lesquelles devront être terminées avant la réception des travaux.

.2 Mettre à l'essai, régler et équilibrer chaque système distinct, puis chaque système en relation avec les systèmes connexes, dans le cas des systèmes asservis.

1.7 Revue des termes des documents contractuels relatifs

aux opérations d’ère

.1 Revoir les documents contractuels avant le début des travaux de construction et confirmer par écrit à l'ingénieur que les prescriptions visant l'essai, le réglage et l'équilibrage des appareils et des systèmes ainsi que tous les autres aspects relatifs à la conception et à l'installation de ceux-ci sont appropriés et permettront d'assurer le succès de ces opérations.







.2 Revoir les normes et autres documents de référence prescrits et informer l’ingénieur par écrit des méthodes proposées dans les documents contractuels, qui diffèrent de celles décrites dans les normes ou les documents de référence.

.3 Pendant les travaux de construction, coordonner l'emplacement ainsi que l'installation ou l'aménagement des dispositifs, des appareils, des accessoires, des ouvertures et des raccords de mesure nécessaires à l'exécution des opérations d'ERE.

1.8 Mise en route des appareils et des systèmes

.1 À moins d'indications contraires, suivre la procédure de mise en route recommandée par le fabricant des appareils et des systèmes.

.2 Suivre toute procédure de mise en route particulière prescrite ailleurs dans la division 23.

1.9 Fonctionnement des appareils et des systèmes

pendant les opérations d’ère

.1 Faire fonctionner les appareils et les systèmes pendant le temps requis pour l'exécution des opérations d'ERE et pendant le temps exigé par l'ingénieur pour la vérification des rapports d'ERE.

1.10 Début des opérations d’ère

.1 Aviser l'ingénieur sept (7) jours avant d'entreprendre les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage.

.2 N'entreprendre les opérations d'ERE que lorsque le bâtiment est en grande partie utilisable, soit lorsque :

.1 La réalisation des plafonds et l'installation des portes, des fenêtres et des autres éléments de construction pouvant influer sur le résultat des opérations sont terminées;

.2 La pose des produits d'étanchéité et de calfeutrage ainsi que des coupe-bise est terminée;







.3 Les essais de pression, d'étanchéité et autres essais prescrits dans d'autres sections de la division 23 sont terminés;

.4 Le matériel nécessaire à l'exécution des opérations d'ERE est installé et en bon état de fonctionnement;

.5 Les installations mécaniques et les systèmes électriques et de commande/régulation connexe pouvant influer sur le résultat des opérations d'ERE sont en marche et que leur bon fonctionnement a été vérifié, ce qui touche notamment les éléments ci-après.

.1 Protection thermique du matériel électrique contre les surcharges, en place.

.2 Réseaux aérauliques

.1 Filtres en place et propres.

.2 Conduits d'air propres.

.3 Conduits, gaines et plénums étanches à l'air dans les limites prescrites.

.4 Ventilateurs tournant dans le bon sens.

.5 Registres volumétriques et volets coupe-feu et coupe-fumée en place et ouverts.

.6 Ailettes de serpentins, propres et redressées.

.7 Portes et trappes de visite installées et fermées.

.8 Bouches de sortie installées et registres volumétriques ouverts.

1.11 Écarts de réglage par rapport aux valeurs théoriques

.1 Effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage des systèmes jusqu'à l'obtention de résultats ne présentant pas plus que les écarts suivants, en plus ou en moins, par rapport aux valeurs théoriques.

.2 À tous les systèmes de CVCA: plus 10 %, moins 0 %.

.3 Aux unités terminales de CVCA : plus 5 %, moins 5 %.







1.12 Écarts entre les valeurs mesurées et les valeurs

réelles

.1 La précision des appareils de lecture doit correspondre, à plus ou moins 5 % près, aux valeurs réelles.

1.13 Instruments de mesure

.1 Avant de commencer les opérations d'ERE, soumettre, à la demande de l'ingénieur, une liste des instruments qui seront utilisés, avec leur numéro de série.

.2 Étalonner les instruments conformément aux exigences de la norme ou du document de référence le plus rigoureux relatif aux systèmes de CVCA ou autres soumis aux opérations d'ERE.

.3 Étalonner les instruments dans les trois (3) mois qui précèdent le début des opérations d'ERE. Fournir à la demande de l'ingénieur une attestation d'étalonnage.



.1 Avant d'entreprendre les opérations d'ERE, soumettre ce qui suit : la méthode proposée pour effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage des systèmes si elle diffère de la méthode décrite dans la norme ou le document de référence retenu.

1.15 Rapport préliminaire

.1 Avant de soumettre officiellement le rapport d'ERE à l'ingénieur, soumettre, aux fins de vérification et d'approbation, un rapport préliminaire dans lequel doit être indiqué ce qui suit :

.1 Les détails concernant les instruments utilisés;

.2 Les détails concernant la méthode d'ERE employée;

.3 Les méthodes de calcul employées;

.4 Des récapitulations.







1.16 Rapport d’ère

.1 La présentation du rapport doit être conforme aux exigences de la norme ou du document de référence retenu, visant les opérations d'ERE.

.2 Les résultats doivent être exprimés en unités SI dans le rapport, et ce dernier doit comprendre ce qui suit :

.1 Les dessins à verser au dossier du projet;

.2 Les schémas de principe des systèmes visés.

.3 Soumettre à l'ingénieur, aux fins de vérification et d'approbation, trois (3) exemplaires du rapport d'ERE, en français présentés dans des cahiers à anneaux D comportant des séparateurs à onglet.

1.17 Vérification des données

.1 Toutes les mesures enregistrées sont susceptibles d'être vérifiées par l'ingénieur.

.2 L’ingénieur se réserve le droit de demander des tests de vérification sur le site pour confirmer les valeurs du rapport présenté. Ces tests pourront aller jusqu’au plus grand des deux (2) nombres, soit 40 points ou 20 % du total des points de lecture du projet.

.3 Advenant que les résultats de ces tests démontrent que moins de 95 % des tests de vérification effectués diffèrent des valeurs publiées dans une proportion excédant la valeur permise à l’article « Écarts de réglage par rapport aux valeurs théoriques », le travail au complet, pour l’ensemble du projet, devra être repris sans frais et sans inconvénient pour le propriétaire. Ceci peut impliquer des travaux de nuit, de fin de semaine ou durant des périodes déterminées par le propriétaire.

1.18 Réglages

.1 Une fois les opérations d'ERE terminées à la satisfaction de l'ingénieur, remettre en place les gardes des organes d'entraînement ou de transmission, fermer les portes et les trappes de visite, bloquer les dispositifs de réglage en position de fonctionnement et vérifier si les capteurs sont réglés aux points de consigne requis.







.2 Marquer les positions de réglage de façon permanente; ces dernières ne doivent pas être effacées ni recouvertes d'aucune façon.

1.19 Fin des opérations d’ère

.1 Les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage des systèmes ne seront considérées terminées que lorsque le rapport final aura été approuvé par l'ingénieur.

1.20 Systèmes aérauliques

.1 Les opérations d'ERE doivent être exécutées conformément aux exigences les plus rigoureuses énoncées dans la présente section ou dans les normes et les documents de référence pertinents de l'AABC, du NEBB, de la SMACNA, de l'ASHRAE.

.2 Procéder à l'essai, au réglage et à l'équilibrage des systèmes, des appareils, des éléments et des dispositifs de commande/régulation prescrits dans la division 23 des systèmes, des appareils, des éléments et des dispositifs de commande/régulation suivants :

.1 Se référer aux plans de mécaniques pour l’étendue des travaux.

.3 Les personnes chargées d'exécuter les opérations d'ERE doivent être habilitées à fournir les services prescrits, selon les normes de l'AABC ou du NEBB.

.4 Les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage des systèmes doivent être effectuées sous la direction d'un surveillant habilité à fournir les services prescrits, selon les normes de l'AABC ou du NEBB.

.5 Les relevés à effectuer porteront notamment sur ce qui suit, selon les systèmes, les appareils, les éléments ou les dispositifs de commande/régulation visés : la vitesse de l'air, la pression statique, le débit, la perte de charge (ou chute de pression), la température (au bulbe sec, au bulbe humide, le point de rosée), la section des conduits d'air, la vitesse de rotation, la puissance appelée, la tension, les niveaux de bruit et de vibration.







.6 Les points de mesure, dans le cas des appareils, seront notamment situés aux endroits suivants, selon le cas :

.1 à l'entrée et à la sortie des registres, des filtres, des batteries de chauffage et de refroidissement, des humidificateurs, des ventilateurs et de tout autre appareil provoquant des changements de conditions;

.2 aux régulateurs et aux dispositifs et appareils commandés.

.7 Les points de mesure, dans le cas des systèmes, seront notamment situés aux endroits suivants, selon le cas : aux conduits d'air principaux, aux conduits de dérivation principaux et secondaires et aux conduits d'alimentation des éléments terminaux (grilles, grilles à registre ou diffuseurs).

1.21 Autres exigences concernant les opérations d’ère

.1 Exigences générales applicables aux ouvrages ou travaux décrits dans le présent article.

.1 Qualification du personnel chargé des opérations d'ERE : selon les prescriptions énoncées à l'article traitant des systèmes aérauliques.

.2 Assurance de la qualité : selon les prescriptions énoncées à l'article traitant des systèmes aérauliques.

.2 Conditions de pression dans le bâtiment

.1 Régler les systèmes et les appareils de CVCA ainsi que les dispositifs de commande/régulation connexes de manière à obtenir les conditions de pression prescrites en mode de fonctionnement en tout temps.

.3 Différentiels de pression interzones

.1 Régler les systèmes et les appareils de CVCA ainsi que les dispositifs de commande/régulation connexes de manière à obtenir les différentiels de pression d'air prescrits, et ce, quelles que soient les combinaisons de fonctionnement normal des systèmes et appareils en cause.







.4 Systèmes de contrôle de la fumée

.1 Vérifier le fonctionnement des registres et des volets coupe-feu et coupe-fumée, des détecteurs faisant partie des systèmes aérauliques prescrits dans la division 23.

2. PRODUITS

.1 Sans objet.

3. EXÉCUTION

.1 Sans objet.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ESSAI SOUS PRESSION DES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 RÉSEAUX AÉRAULIQUES




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise l'essai sous pression de conduits d'évacuation d'air, directement ou indirectement reliés à du matériel de traitement de l'air.

1.2 Références

.1 Santé Canada/Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT)

.1 Fiches signalétiques (FS).

.2 Sheet Metal and Air Conditioning Contractor's National Association (SMACNA)

.1 SMACNA HVAC Air Duct Leakage Test Manual, 1985.



.1 Rapports des essais : soumettre les rapports des essais délivrés par des laboratoires indépendants reconnus, certifiant que les produits, matériaux et matériels satisfont aux prescriptions quant aux caractéristiques physiques et aux critères de performance. Les données et les résultats sur les essais sous pression doivent être présentés selon les prescriptions ci-après.

.1 Soumettre à l'ingénieur la formule et les formulaires proposés de présentation des rapports au moins un (1) mois avant la date prévue de la première batterie d'essais. Ne pas commencer les essais avant d'avoir reçu l'autorisation écrite de l'ingénieur.

.2 Préparer le rapport faisant état des résultats des essais et le soumettre à l'ingénieur dans les 24 heures suivant la réalisation des essais. Le rapport doit indiquer ou comprendre ce qui suit :

.1 Un schéma de l'ensemble du réseau;







.2 Un schéma de la portion du réseau mise à l'essai, montrant les emplacements témoins;

.3 Les pressions statiques requises et obtenues;

.4 La pression différentielle mesurée par le diaphragme aux emplacements témoins;

.5 Le débit de fuite réel et admissible (L/s) aux emplacements témoins;

.6 La certification authentifiée des résultats.

.3 Inclure le rapport des essais dans le rapport final d'ERE.

.4 Certificats : soumettre les documents signés par le fabricant, certifiant que les produits, matériaux et matériels satisfont aux prescriptions quant aux caractéristiques physiques et aux critères de performance.

.5 Instructions : soumettre les instructions d'installation fournies par le fabricant.

.6 Rapports des contrôles effectués sur place par le fabricant : soumettre les rapports prescrits.

2. PRODUITS

2.1 Instruments d’essai

.1 Les instruments d'essai doivent comprendre ce qui suit :

.1 Un ventilateur capable d’assurer la pression statique requise;

.2 Un tronçon de conduit avec prises de pression montées sur un organe déprimogène (diaphragme ou plaque à orifice) étalonnées, et positionnées de façon précise;

.3 Un instrument de mesure du débit compatible avec l’organe déprimogène;

.4 Les courbes d’étalonnage des organes déprimogènes utilisés;







.5 Une manchette souple à raccorder au réseau de conduits à l’essai;

.6 Des bombes fumigènes pour les inspections visuelles.

.2 La précision des instruments d'essai utilisés pour mesurer le débit et la pression doit être de l'ordre de 3 % en plus ou en moins.

.3 Soumettre les détails des instruments d'essai qui seront utilisés à l'ingénieur au moins trois (3) mois avant la date prévue de la mise à l'essai.

.4 Les instruments doivent être étalonnés et le certificat d'étalonnage doit être remis à l'ingénieur au plus tard 28 jours avant le début des essais.

.5 Les instruments doivent par la suite être étalonnés de nouveau tous les six (6) mois.

2.2 Tolérances relatives à l’étanchéité du matériel

.1 Pour ce qui est du matériel tel que les boîtes VAV ou les batteries de chauffage en conduit, le taux de fuite acceptable est de 3 %.

3. EXÉCUTION



3.2 Portée des travaux des essais sous pression des

conduits

.1 L’ingénieur exigera des essais d’étanchéité sur les réseaux de conduits d’air de chaque système conformément à la présente section. Tous les types de conduits (rectangulaires, spiralés, ronds ou ovales, etc.) seront mis à l’essai et cela pour chaque classe de pression. La longueur des réseaux mis à l’essai représentera approximativement 20 % de la longueur totale du réseau.

.2 L’entrepreneur en équilibrage devra remettre les rapports d’essais complets incluant les calculs détaillés des surfaces de conduits.







.3 Advenant que les essais ne rencontrent pas les normes applicables, il devra refaire de nouveaux essais après que les travaux correctifs de l’entrepreneur en ventilation soient apportés. Les frais supplémentaires pour la reprise des essais seront facturés à l’entrepreneur général, lequel réglera les coûts avec l’entrepreneur en ventilation.

3.3 Marche à suivre

.1 La longueur maximale des conduits mis à l'essai doit être fonction des caractéristiques du matériel d'essai.

.2 Les tronçons de conduit mis à l'essai doivent comprendre ce qui suit :

.1 Des raccords, des dérivations et des piquages.

.3 Reprendre les essais jusqu'à l'obtention des pressions prescrites. Assumer les coûts des réparations et de la reprise des essais, le cas échéant.

.4 Se reporter au HVAC Air Duct Leakage Test Manual de la SMACNA pour effectuer les calculs relatifs aux différentes parties du réseau.

.5 Colmater les fuites qui peuvent être détectées au toucher ou à l'ouïe, quelle que soit leur incidence sur le taux de fuite total.

3.4 Tolérances relatives à l’étanchéité des conduits d’air

.1 Les tolérances prescrites ci-après sont exprimées en pourcentage du débit total du réseau. Lorsqu'on procède à l'essai de tronçons de conduit ou de parties de réseau, le taux de fuite acceptable doit être proportionnel à celui établi pour l'ensemble du réseau et ne doit pas être supérieur au taux de fuite total acceptable.

.2 Lors des essais effectués sur les conduits ou réseaux de conduits mentionnés ci-après, le taux de fuite acceptable ne doit pas dépasser les valeurs suivantes.

.1 Petits réseaux de conduits jusqu'à 250 Pa : taux de fuite acceptable de 2 %.

.2 Boîtes VAV et conduits situés en aval de ces dernières : taux de fuite acceptable de 2 %.







.3 Grands réseaux de conduits basse pression jusqu'à 500 Pa : taux de fuite acceptable de 2 %.

.4 Réseaux de conduits haute pression jusqu'à 1 000 Pa, y compris les conduits situés en amont des boîtes VAV : taux de fuite acceptable de 1 %.

.3 Les résultats des essais doivent être évalués en fonction des deux paramètres de base suivants, c'est-à-dire la surface efficace du conduit et la pression à l'intérieur de ce dernier.

3.5 Mise à l’essai

.1 Soumettre les conduits d'air à des essais d'étanchéité avant de poser le calorifuge ou avant de les dissimuler de quelque façon que ce soit.

.2 Procéder aux essais lorsque les produits d'étanchéité mis en œuvre sont bien secs.

.3 Procéder aux essais dans des conditions de température ambiante non susceptibles d'altérer l'efficacité des joints et des garnitures d'étanchéité.

.4 Procéder aux essais des manchettes souples reliées aux boîtes VAV.


REFECTION DES SALLES DE TOILETTES CALORIFUGES POUR

B-131, B-133, B-231 ET B-237 TUYAUTERIES




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Calorifugeage des tuyauteries et accessoires connexes.

1.2 Références

.1 ASHRAE Standard 90.1, Energy Standard for Buildings Except Low-Rise Residential Buildings (IESNA co-sponsored; ANSI approved; Continuous Maintenance Standard).

.2 American Society for Testing and Materials International (ASTM).

.3 Conseil national de recherches du Canada

.1 Les épaisseurs d’isolation indiquées au tableau de l’article 3.4 sont selon le Code national de l’énergie pour les bâtiments – Canada 2011 – Révisions et errata – Novembre 2013.

.4 Santé Canada/Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).

.5 Association canadienne de l’isolation thermique (ACIT).

.6 Laboratoires des assureurs du Canada (ULC).

1.3 Définitions

.1 Aux fins de la présente section, les définitions suivantes s'appliquent.

.1 Éléments « DISSIMULÉS » : tuyauteries, conduits et appareils mécaniques calorifugés, situés au-dessus de plafonds suspendus ou dans des vides de construction inaccessibles (plancher, entreplancher, mur, puits, etc.).







.2 Éléments « APPARENTS » : éléments qui ne sont pas dissimulés (selon les prescriptions). Lorsque des éléments sont installés dans des structures constituées de matériaux ajourés et que ces éléments sont visibles à partir du plancher, ces éléments doivent être considérés comme « apparents » (tel que les salles de mécanique, locaux techniques, puits horizontaux, corridors de services, vides de construction accessibles, etc.).

.3 « RÉSEAU » signifie tuyauterie y compris les accessoires, garnitures, etc. tels que soupapes, coudes, pompes, tés, etc., qui sont incorporés.

.4 « DOMESTIQUE » signifie potable et non utilisé exclusivement à cette fin.

.5 « EAUX USÉES » signifie toutes eaux d'évacuation sauf les eaux pluviales.

.6 « AVALOIRS » signifie drain de plancher, drain de toit, entonnoir, etc., reliés à un tuyau d'évacuation d'eaux usées, ou à une tuyauterie d'eaux pluviales.

.7 « CONDENSAT » signifie eau résultant de la condensation de la vapeur ou de l'air refroidi à travers un serpentin de refroidissement ou non. À cette eau, peut être ajoutée de l'eau adoucie, de l'eau potable ou de la vapeur sans qu'elle perde sa définition.

.8 « ÉPAISSEUR DE CALORIFUGE » : correspond à l’épaisseur d’isolant requise pour couvrir l’ensemble des composantes des éléments à calorifuger tels les brides, les boitiers, les regards d’accès et de nettoyage, etc.

.9 « ACIT » : Association canadienne de l’isolation thermique.

.10 CRF : Code Rectangular Finish.

.11 CPF : Code Piping (Plumbing) finish.







1.4 Documents/échantillons à soumettre pour approbation/information


.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation des fabricants concernant les produits. Les fiches techniques doivent indiquer les caractéristiques des produits, les critères de performance, les dimensions, les limites et la finition, y compris les données ci-après.

.1 Une description des matériaux, y compris le nom du fabricant, le type, le modèle.

.2 Soumettre les instructions d'installation fournies par le fabricant.

1.5 Assurance de la qualité

.1 Le manuel de standards de qualité pour l’isolation mécanique de l’Association canadienne de l’isolation thermique (ACIT) ainsi que ses additions et amendements, doit être utilisé comme une référence standard et fait partie du devis du présent projet.

.2 L'installateur doit être un expert dans le domaine, posséder au moins trois (3) années d'expérience probante dans la réalisation de travaux de type et d'envergure correspondant à ceux décrits dans la présente section et posséder les qualifications exigées par l’Association canadienne de l’isolation thermique (ACIT).


.1 L’entrepreneur en calorifuge doit s’assurer auprès des autres entrepreneurs de la nature des tuyauteries et équipements à calorifuger.

.2 Prendre connaissance de l’ensemble des plans de mécanique pour déterminer la nature et la localisation des travaux de calorifuge.

.3 À moins d’indications spécifiques contraires, les calorifuges « DISSIMULÉS » n’ont pas à recevoir de chemisage autre que celui intégré en usine. Par contre, les joints doivent être parfaitement scellés.







.4 À moins d’indications spécifiques contraires, les calorifuges « APPARENTS » doivent recevoir un fini.

.5 Fournir et installer tout le calorifuge et le chemisage requis sur les réseaux existants à modifier et nouveaux de tuyauterie conformément aux plans et au présent devis.

.6 Fournir et installer le calorifuge et le chemisage des tuyauteries existantes sur une longueur d’un mètre de chaque côté des points de raccordement des nouvelles tuyauteries à l’existant.

.7 Cette liste n’est pas limitative et ne dégage pas l’entrepreneur de ses responsabilités de fournir une installation complète et conforme aux règles de l’art.

.8 À l'exception des éléments identifiés ci-après comme n'étant pas à isoler, l'entrepreneur en calorifuge doit isoler thermiquement toutes les tuyauteries ainsi que les accessoires, les composantes et les équipements s'y rattachant, incluant la robinetterie, dispositif antirefoulement (DAR), et les raccords (brides, etc.), même si ceux-ci ne sont pas spécifiquement identifiés aux articles de la présente section.

.1 Éléments à ne pas isoler :

.1 Dans un espace chauffé situé à l'intérieur du bâtiment :

.1 Tuyauterie chromée.

.2 Tuyauterie de drainage sanitaire sauf lorsque localisée dans les murs en blocs de béton ou si autrement indiqué à la présente section de devis ou aux plans.

.3 Tuyauterie localisée à l'intérieur des cabinets de chauffage sauf si autrement indiqué aux plans.

.4 Tuyauterie d'évent à plus de 5 mètres à l'intérieur de l'enveloppe thermique sauf si autrement indiqué aux plans.







2. PRODUITS

2.1 Caractéristiques de résistance au feu

.1 Selon la norme CAN/ULC-S102

.1 Indice de propagation de la flamme : au plus 25.

.2 Indice de pouvoir fumigène : au plus 50.

2.2 Matériaux calorifuges

.1 Les fibres minérales dont il est question ci-après comprennent la laine de verre, la laine de roche et la laine de laitier.

.2 Le coefficient de conductivité thermique (coefficient « k ») ne doit pas dépasser les valeurs prescrites à une température moyenne de 24 °C, selon les essais réalisés conformément à la norme ASTM C335.

.3 Calorifuge portant le numéro de code ACIT A-1 : gaine rigide moulée, en fibres minérales, sans enveloppe pare-vapeur posée en usine.

.1 Gaine en fibres minérales : conforme aux normes CAN/ULC-S702 et ASTM C547.

.2 Coefficient « k » maximal : conforme à la norme CAN/ULC-S702.

.3 Produits acceptables : Manson/Alley K, Johns Manville, Knauf Fiber Glass, Owens Corning.

.4 Calorifuge portant le numéro de code ACIT A-3 : gaine rigide moulée, en fibres minérales, avec enveloppe pare-vapeur posée en usine.

.1 Gaine en fibres minérales : conforme aux normes CAN/ULC-S702 et ASTM C547.

.2 Pare-vapeur : conforme à la norme CGSB 51-GP-52Ma.

.3 Coefficient « k » maximal : conforme à la norme CAN/ULC-S702.

.4 Produits acceptables : Manson/Alley K avec chemise FSK, Johns Manville, Knauf Fiber Glass, Owens Corning.







.5 Calorifuge portant le numéro de code ACIT C-2 : matelas de fibres minérales avec ou sans enveloppe pare-vapeur posée en usine.

.1 Matelas de fibres minérales : conforme aux normes CAN/ULC-S702 et ASTM C547.

.2 Pare-vapeur : conforme à la norme CGSB 51-GP-52Ma.

.3 Coefficient « k » maximal : conforme aux normes CAN/ULC-S702 et ASTM C547.

.4 Produits acceptables : Manson/AK Flex avec chemise FSK, Johns Manville, Knauf Fiber Glass, Owens Corning.

.6 Calorifuge portant le numéro de code ACIT A-6 : élément flexible en feuille ou tubulaire, en élastomère unicellulaire.

.1 Coefficient « k » maximal : conforme à la norme CAN/CGSB-51.40M80.

.2 Calorifuge certifié par le fabricant comme étant exempt d'agents susceptibles de provoquer des fissurations par corrosion sous contrainte.

.3 Pour application sur des éléments à calorifuger soumis à des températures de service entre -40 °C à 80 °C, selon les applications spécifiées.

.4 Système Armafix de Armaflex pour isolant de tuyauterie tubulaire.

.5 Produits acceptables : Armstrong, Armaflex, Rubatex.

.7 Calorifuge portant le numéro de code ACIT A-2 : bloc ou douelle rigide moulé, en silicate de calcium, aux formes appropriées aux besoins des travaux.

.1 Élément calorifuge : conforme à la norme ASTM C533.

.2 Calorifuge conçu pour pouvoir être enlevé et remis en place périodiquement.

.3 Produits acceptables : Johns Manville, Sproule.







.8 Éléments calorifuges préfabriqués, amovibles

.1 Caractéristiques : permettant le libre mouvement des compensateurs de dilatation et pouvant être enlevés et remplacés périodiquement sans risque d'endommagement du calorifuge adjacent sur les items suivants :

.1 Installer aux compensateurs de dilatation, dispositifs primaires de mesure de débit, brides et raccords-unions reliant les tuyauteries aux appareils desservis aux corps des soupapes de réduction de pression de vapeur et aux purgeurs d’eau de condensé de vapeur.

.2 À installer également sur la robinetterie si cette dernière n’est pas calorifugée selon la méthode standard en fibre de verre ou en élastomère.

.2 Description

.1 Calorifuge, produits ou dispositifs de fixation et enduits de finition : correspondant au complexe calorifuge adjacent.

.2 Chemise : toile résistant à des températures élevées.

.3 Produits acceptables : TexFab VTEX 500 ou 1000, Prodimax PRO-500 ou PRO-1000, IPI Isolation thermique Isotex.

.9 Calorifuges haute densité

.1 Fournir et installer du calorifuge haute densité pour tous les tuyaux de 32 mm à 125 mm Ø. Coordonner l’installation du calorifuge avec l’entrepreneur en plomberie/chauffage.

.2 Le calorifuge doit être à haute résistance à la compression, approprié aux conditions de service, lorsqu'aucune sellette ou aucun bouclier de protection du calorifuge n'est prévu ou lorsque qu’utilisé avec une sellette et que l’isolation écrase sous le poids de la tuyauterie.

.3 Le calorifuge doit couvrir toute la surface du bouclier.

.4 Le calorifuge doit résister à la compression et être approprié aux conditions de service du réseau de tuyauterie.







.5 Se référer au tableau de la PARTIE 3 pour l’épaisseur de calorifuge requis.

.6 Produits acceptables : Foamglas, Industry modèle PSH, Buckaroos modèle 2550FS.

2.3 Produits accessoires

.1 Ruban : en aluminium, autoadhésif, renforcé, d'au moins 50 mm de largeur.

.2 Colle contact : à prise rapide.

.1 Teneur en COV conforme à la norme Green Seal GS-36 ou au règlement 1168 du SCAQMD.

.3 Colle pour chemises en toile de canevas : lavable.

.1 Teneur en COV conforme à la norme Green Seal GS-36 ou au règlement 1168 du SCAQMD.

.4 Colle pour calorifuge portant le numéro de code ACIT A-6

.1 Produits acceptables : Armstrong, Armaflex, Rubatex.

.5 Fil d'attache : en acier inoxydable de 1,5 mm de diamètre.

.6 Feuillards de retenue : en acier inoxydable de 0,5 mm d'épaisseur, d'une largeur de 19 mm.

.7 Système calorifuge pour support avec l’utilisation de calorifuge tubulaire portant le numéro de code ACIT A-6

.1 Produits acceptables : Système Armafix de Armalfex, Armstrong, Rubatex.

.2 Épaisseur de calorifuge : selon tableau de la partie 3.

2.4 Ciment isolant

.1 Ciment d'isolation thermique et de finition

.1 À prise hydraulique ou séchant à l'air, sur laine minérale, selon la norme ASTM C449/C449M.







2.5 Chemises et finis

.1 Chemises en polychlorure de vinyle (PVC)

.1 Gaines moulées monopièces et feuilles, conformes à la norme CAN/CGSB-51.53, préformées selon les besoins.

.2 Manchons calorifuges et coquilles prémoulées pour robinetterie, raccords, coudes et accessoires apparents et dissimulés : pièce unique prémoulée et épousant les formes du calorifuge.

.3 Les joints longitudinaux et les joints de section devront être chevauchés de 50 mm.

.4 Couleur : correspondant à celle du revêtement de peinture adjacent ou celle choisie par l’ingénieur.

.5 Température de service minimale : -20 °C.

.6 Température de service maximale : 65 °C.

.7 Perméabilité à la vapeur d'eau : 0,02 perm.

.8 Épaisseur : 0,38 mm.

.9 Fixation

.1 Adhésif à solvant compatible avec le matériau calorifuge, pour sceller les joints et les chevauchements.

.2 Chemises en toile de canevas

.1 Toile de coton d'une masse surfacique de 220 g/m2, à armure unie, enduite de colle calorifuge et ignifuge, diluée, selon la norme ASTM C921 et approuvée ULC.

.2 Colle calorifuge : compatible avec le matériau calorifuge.

.3 Chemises en aluminium

.1 Selon la norme ASTM B209, avec enveloppe pare-vapeur.

.2 Épaisseur : feuilles de 0,50 mm.







.3 Finition : surface lisse.

.4 Jointoiement : joints longitudinaux et transversaux coulissants, à recouvrements de 50 mm.

.5 Raccordement : couvre-joints matricés de 0,5 mm d'épaisseur, avec garniture intérieure posée en usine.

.6 Feuillards de retenue et cachets : en acier inoxydable de 0,5 mm d'épaisseur, d'une largeur de 19 mm, posés à intervalles de 300 mm.

.4 Chemises en acier inoxydable

.1 Nuance de l'acier : 304.

.2 Épaisseur : feuilles de 0,25 mm.

.3 Finition : surface lisse.

.4 Jointoiement : joints longitudinaux et transversaux coulissants, à recouvrements de 50 mm.

.5 Raccordement : couvre-joints matricés de 0,5 mm d'épaisseur, avec garniture intérieure posée en usine.

.6 Feuillards de retenue et cachets : en acier inoxydable de 0,5 mm d'épaisseur, d'une largeur de 19 mm, posés à intervalles de 300 mm.

.5 Fini émaillé au latex

.1 Pour calorifuge portant le numéro de code ACIT A-6.

.2 Produit acceptable : Armaflex WB à pouvoir couvrant de 10 m2/L, Armstrong, Rubatex.

3. EXÉCUTION









3.2 Travaux préparatoires

.1 Ne poser le calorifuge qu'une fois l'essai hydrostatique du réseau (tuyauteries et appareils auxquels elles sont raccordées) terminé et les résultats certifiés par l'autorité compétente qui aura assisté à l'essai.

.2 S'assurer que les surfaces à recouvrir de calorifuge ou à revêtir d'un enduit sont propres, sèches et exemptes de matières étrangères.

3.3 Installation

.1 Réaliser les travaux selon les instructions des fabricants, les prescriptions de la présente section et les exigences des normes nationales pertinentes de l'ACIT.

.1 Matériels chauds : selon le numéro de code ACIT 1501-H.

.2 Matériels froids : selon le numéro de code ACIT 1501-C.

.3 Matériels souterrains : selon le numéro de code ACIT 1501-U

.2 Appliquer les enduits de finition en au moins deux (2) couches.

.3 Si l'épaisseur de calorifuge nominale requise est supérieure à 75 mm, réaliser l'ouvrage en deux couches, en décalant les joints.

.4 Poser le pare-vapeur et appliquer les enduits de finition sans discontinuité.

.1 Les supports et les suspensions ne doivent pas percer le pare-vapeur.

.5 Supports et suspensions

.1 Pour ce qui est des supports et des suspensions, se reporter à la section 23 05 29 – Supports et suspensions pour tuyauteries et appareils de CVCA.

.2 Les supports doivent être installés à l’extérieur du calorifuge.







.3 Poser un calorifuge à haute résistance à la compression, approprié aux conditions de service, à chaque extrémité des joints antivibration ou flexibles afin de pouvoir fixer convenablement la tuyauterie en conservant les lignes verticales et horizontales.

.1 Produits acceptables : Foamglas, Extol, Buckaroos/model 2550FS.


.4 Poser un calorifuge à haute résistance à la compression, approprié aux conditions de service, pour toutes les tuyauteries de 32 mm et plus.

.1 Produits acceptables : Foamglas, Extol, Buckaroos/model 2550FS.


.5 Poser un calorifuge avec système de résistance à la compression, approprié aux conditions de service pour la tuyauterie isolée avec un calorifuge portant le numéro de code ACIT A-6 de type tubulaire.

.1 Produits acceptables : Système Armafix de Armalfex, Armstrong, Rubatex.

.6 L’ingénieur ou le représentant du propriétaire peuvent à tout moment informer l’entrepreneur général, l’entrepreneur en plomberie/chauffage et l’entrepreneur en calorifuge des déficiences concernant les endroits où un isolant est écrasé. Dans un tel cas, l’entrepreneur en calorifuge et l’entrepreneur en ventilation seront dans l’obligation de reprendre les travaux à la satisfaction de l’ingénieur ou du représentant du propriétaire.

.6 Éléments calorifuges préfabriqués, amovibles

.1 À installer selon les recommandations du manufacturier.

.7 Calorifuge en élastomère

.1 Garder les éléments secs. Réaliser des recouvrements selon les instructions du fabricant. Faire des joints étanches.







.2 Prévoir un pare-vapeur selon les recommandations du fabricant.

3.4 Tableau – Calorifugeage des tuyauteries

.1 À moins d'indications contraires, le calorifugeage des tuyauteries comprend également le calorifugeage des appareils de robinetterie, des chapeaux de robinets, des filtres et crépines, des brides, des raccords, des coudes, des tés, etc. qui sont incorporés.

.2 L'épaisseur de calorifuge doit être conforme aux indications du tableau ci-après.

.1 Les canalisations d'alimentation desservant les différents appareils ne doivent pas avoir plus de 4 000 mm de longueur.

.2 Les canalisations apparentes desservant des appareils sanitaires, de même que la tuyauterie, les appareils de robinetterie et les raccords chromés ne doivent pas être calorifugés.

Tuyauterie Temp. °C

Code ACIT

Diamètre nominal (DN) de la tuyauterie et épaisseur de calorifuge (mm)

Jusqu'à 25 de 32 à

50 de 65 à 100

De 125 à 150

200 et plus

Vapeur 15 psig 100 – 121 A‐1 38 38 50 50 50

Vapeur 15 à 120 psig 122 – 177 A‐1 50 65 65 90 90

Vapeur saturée > 120 psig et surchauffée

Plus de 177 A‐1 65 65 75 90 90

Retour de condensats 61 – 93 A‐1 25 25 38 38 38

Retour de condensats sous pression

94 – 121 A‐1 38 38 50 50 50

Eau alim. chaudières Via réservoir de condensat

A‐1 25 25 38 38 38

Eau alim. chaudières Via dégazeur A‐1 38 38 50 50 50

Eau chaude chauffage 61 – 93 A‐1 25 25 38 38 38

Eau chaude chauffage (et radiant)

Jusqu'à 60 A‐1 25 25 25 38 38

Eau glycolée chauffage 61 – 93 A‐1 25 25 38 38 38

Eau glycolée chauffage Jusqu'à 60 A‐1 25 25 25 38 38

Alim. et recirculation eau chaude potable

Intérieur A‐1 25 25 38 38 38

Extérieur A‐1 65 65 75 90 90

Eau mitigée potable A‐1 25 25 25 38 38

Eau réfrigérée ou eau glycolée

5 ‐ 13 A‐3 25 25 25 25 25

Eau réfrigérée ou eau glycolée

Moins de 5 A‐3 25 38 38 38 38

Eau chauffage tempérée Jusqu’à 41 A‐1 25 25 25 25 25

Eau refroidie tempérée Jusqu’à 41 A‐3 25 25 25 25 25








Code ACIT



50 de 65 à 100

De 125 à 150

200 et plus

Réseau des puits géothermiques hors sol

Moins de 5 A‐3 25 38 38 38 38

Eau réfrigérée fontaine

A‐3 ou A‐6

25 25 25 25 25

Alim. eau froide potable

A‐3 ou A‐6

25 25 25 25 25

Alim. eau froide potable (avec pare‐vapeur)

C‐2 25 25 25 25 25

Fluide frigorigène, gaz chauds, liquide, aspiration à l’intérieur et non apparent

Plus de 5 A‐3 25 25 25 25 25

Fluide frigorigène, gaz chauds, liquide, aspiration à l’intérieur et non apparent

Moins de 5 A‐3 ou A‐6

25 38 38 38 38

Fluide frigorigène, gaz chauds, liquide, aspiration à l’intérieur lorsqu’apparent et localisé à l’extérieur.

Plus de 5 A‐3 25 25 25 25 25

Fluide frigorigène, gaz chauds, liquide, aspiration à l’intérieur lorsqu’apparent et localisé à l’extérieur.

Moins de 5 A‐3 ou A‐6

25 38 38 38 38

Descente pluviale hors sol C‐2 38 38 38 38 38

Évents sanitaires dans l’entretoit et jusqu’à 5 m à l’intérieur de l’enveloppe thermique (avec pare‐vapeur)

C‐2 25 25 25 25 25

Évacuation groupe électrogène Diesel autre que carneau et cheminée

A‐2 65 65 100 100 100

Évent de soupapes de sûreté des réseaux de vapeur et évent des réservoirs de condensé

Jusqu’à 100 A‐1

38 38 50 50 50

Évent, régulateurs de pression gaz naturel ou propane, jusqu’à 5 m à partir d’un mur extérieur ou du toit.

A‐3 25 25 25 25 25

Tuyauterie d’huile, jusqu’à 5 m à partir d’un mur extérieur ou du toit.

A‐3 25 25 25 25 25








Code ACIT



50 de 65 à 100

De 125 à 150

200 et plus

Tuyauterie de prise d’air de combustion des appareils au gaz naturel ou propane.

A‐3 50 50 50 50 50

Évacuation des gaz de combustion des appareils au gaz naturel/propane, jusqu’à 5 m à partir d’un mur extérieur ou du toit.

Jusqu’à 90 A‐3 25 25 38 38 38

Évacuation des gaz de combustion des appareils au gaz naturel/propane, jusqu’à 5 m à partir d’un mur extérieur ou du toit.

91 ‐ 100 A‐3 38 38 38 38 38

.3 Finition

.1 Tuyauteries apparentes situées à l'intérieur : chemise en PVC.

.2 Tuyauteries apparentes situées dans des locaux d'installations mécaniques : chemise en toile de canevas.

.3 Tuyauteries dissimulées situées à l'intérieur : aucun sur les appareils de robinetterie, les coudes et sur les raccords.

.4 Tuyauteries situées à l'extérieur : chemise en aluminium.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES CONDUITS D’AIR MÉTALLIQUES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 BASSE PRESSION




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Conduits d'air métalliques à basse pression, matériaux, joints, accessoires et méthodes d'installation connexes.

1.2 Références

.1 American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers, Inc. (ASHRAE).

.2 American Society for Testing and Materials International, (ASTM)

.1 ASTM A480/A480M-03c, Standard Specification for Généralités Requirements for Flat-Rolled Stainless and Heat-Resisting Steel Plate, Sheet and Strip.

.2 ASTM A635/A635M-02, Standard Specification for Steel, Sheet and Strip, Heavy-Thickness Coils, Carbon, Hot Rolled.

.3 ASTM A653/A653M-03, Standard Specification for Steel Sheet, Zinc Coated (Galvanized) or Zinc-Iron Alloy Coated (Galvannealed) by the Hot-Dip Process.

.4 ASTM A653/A653M-04a, Standard Specification for Steel Sheet, Zinc-Coated (Galvanized) or Zinc-Iron Alloy Coated (Galvannealed) by the Hot-Dip Process. (Metric).



.4 National Fire Protection Agency Association (NFPA)

.1 NFPA 90A-02, Standard for the Installation of Air-Conditioning and Ventilating Systems.







.2 NFPA 90B-02, Standard for the Installation of Warm Air Heating and Air-Conditioning Systems.

.3 NFPA 96-01, Standard for Ventilation Control and Fire Protection of Commercial Cooking Operations.

.5 Sheet Metal and Air Conditioning Contractors' National Association (SMACNA)

.1 SMACNA HVAC Duct Construction Standards - Metal and Flexible, 2nd Edition 1995 and Addendum No. 1, 1997.

.2 SMACNA HVAC Air Duct Leakage Test Manual, 1985, 1st Edition.



.1 Fiches techniques : soumettre, dans le cas des éléments suivants, les fiches signalétiques requises aux termes du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).

.1 Produits d'étanchéité.

.2 Ruban d'étanchéité.

.3 Joints préfabriqués de marque déposée.

.4 Détails de fabrication conforme à la SMACNA pour chaque type de conduits, chaque dimension et chaque classe de pression, incluant :

.1 Le calibre de tôle;

.2 Les types de joints;

.3 Les types de renforcement;

.4 Les attaches de suspension;

.5 Les détails de raccordement;

.6 Les détails d’embranchement;

.7 Les références aux articles et aux figures utilisés pour la conception et la fabrication des conduits.







2. PRODUITS

2.1 Produits d’étanchéité

.1 Produit d'étanchéité : pour conduits d'air, à base d'eau, ignifuge, résistant à l'huile et pouvant supporter des températures allant de -7 °C à 93 °C.

.1 Produits acceptables : Duro Dyne WB-S2, Foster, Hardcast Carlisle.

2.2 Ruban d’étanchéité

.1 Ruban d'étanchéité : membrane de fibres de verre, à armure lâche, traitée au polyvinyle, de 50 mm de largeur.

.1 Produits acceptables : Duro Dyne FT-2, Flexmaster, Foster, Hardcast Carlisle.

2.3 Ruban d’aluminium

.1 Ruban d’aluminium : autoadhésif et renforcé, de 75 mm de largeur.

.1 Produits acceptables : 3M, Impérial, Cantech.

2.4 Garniture

.1 Garniture d’étanchéité

.1 Produits acceptables : Tremco, 3M, Hardcast Carlisle.

2.5 Supports et suspensions pour conduits d’air

.1 Supports et suspensions : conformes à la section 23 05 29 – Supports et suspensions pour tuyauteries et appareils de CVCA.

2.6 Protection coupe-feu

.1 Des cornières de retenue doivent être posées autour des conduits (volet coupe-feu et/ou coupe-feu/coupe-fumée), de chaque côté des cloisons coupe-feu.







.2 Les conduits ne doivent pas être déformés par le matériau coupe-feu ou par la mise en place de ce dernier.

2.7 Étanchéité des conduits d’air

.1 Selon les exigences formulées dans le HVAC Air Duct Leakage Test Manual de la SMACNA en plus des exigences de l’article « Classes d’étanchéité à l’air » de la présente section.

2.8 Classes d’étanchéité à l’air

.1 La classe d'étanchéité à l'air des conduits doit être déterminée selon les données du tableau ci-après.

Classe

d’étanchéité

Scellement

requis

Classe de

pression statique

A Tous les joints transversaux,

longitudinaux, les raccordements et

toutes les pénétrations à travers la paroi

des gaines : scellés au moyen d’une

garniture et d’une combinaison d’un

produit et d’un ruban d’étanchéité.

Plus de 750 Pa

(3")

B Tous les joints transversaux,

longitudinaux, les raccordements et

toutes les pénétrations à travers la paroi

des gaines : scellés au moyen d’une

garniture et d’une combinaison d’un

produit et d’un ruban d’étanchéité.

500 Pa (2") à

750 Pa (3")

C Tous les joints transversaux, les

raccordements et toutes les pénétrations

à travers la paroi des gaines : scellés au

moyen d’une garniture et de ruban

d’aluminium selon le type de conduit

(circulaire ou carré).

Les joints longitudinaux : non scellés

500 Pa (2") et

moins







2.9 Conduits d’air et raccords (basse pression de 500 PA et moins)

.1 Conduits rectangulaires et ronds (joints du type longitudinaux) : en acier pliables permettant de former des agrafures, selon la norme ASTM A653/A653M, avec zingage Z90

.2 Épaisseur, fabrication et renforcement : selon la SMACNA.

.3 Joints : conformes.

.4 Coudes à angle arrondi

.1 Conduits rectangulaires : coudes à rayon standard, rayon de courbure à partir du centre du conduit correspondant à 1,5 x la largeur du conduit.

.2 Conduits circulaires : coudes à grand rayon; rayon de courbure à partir du centre du conduit correspondant à 1,5 x le diamètre du conduit.

.5 Coudes à angle vif – Conduits rectangulaires

.1 Conduits de dimension égale ou inférieure à 400 mm : coudes munis de déflecteurs simple épaisseur.

.2 Conduits de dimension supérieure à 400 mm : coudes munis de déflecteurs double épaisseur.

.6 Raccords de dérivation

.1 Conduits principaux et de dérivation circulaires : entrée sur conduit principal à 45 degrés avec raccord de transition.

.2 Des registres volumétriques doivent être placés dans les conduits de dérivation, près des raccordements au conduit principal.

.3 Les dérivations principales doivent être munies d'un aubage directeur.

3. EXÉCUTION

3.1 Généralités

.1 Exécuter les travaux conformément aux exigences des normes pertinentes de la SMACNA.







.2 Éviter d'interrompre la continuité de la membrane pare-vapeur du calorifuge en posant les sangles ou les tiges de suspension.

.3 Assujettir les conduits verticaux conformément aux exigences des normes pertinentes de la SMACNA.

.4 Prévoir des joints fragilisés de chaque côté des cloisons coupe-feu.

.5 Poser le matériau coupe-feu en évitant de déformer les conduits.

3.2 Normes de propreté des installations en ventilation

.1 Mesures particulières à prendre avant la livraison des matériaux

.1 L’entrepreneur sera responsable de prendre toutes les mesures nécessaires de façon à protéger les réseaux de conduits contre la poussière de même que contre toutes les substances susceptibles de salir l’intérieur comme l’extérieur des conduits et des accessoires.

.2 Avant leur envoi au chantier, nettoyer, laver et dégraisser complètement en usine l’intérieur des conduits et des accessoires pour tous les réseaux de ventilation-climatisation.

.3 Pour les surfaces poreuses, celles-ci devront être exemptes de poussière ou de débris non adhérents et elles devront être soumises à une inspection visuelle.

.4 Nettoyer les composantes et accessoires des systèmes avant leur expédition au chantier.

.5 Tous les conduits et accessoires des systèmes de ventilation-climatisation devront être livrés au chantier avec leurs extrémités scellées par des membranes de scellement.

.2 Mesures particulières à prendre lors de l’installation des matériaux

.1 L'entrepreneur en ventilation devra prendre toutes les mesures préventives afin que l'intérieur des nouveaux équipements, des composantes et des conduits de ventilation soit exempt de poussière et d'huile après leur installation sur le chantier.







.2 Les membranes de scellement ne seront enlevées qu’une à la fois lors de l’installation de chacune des sections de conduits. Tout conduit ou accessoire livré au chantier dans un état qui, au jugement du professionnel, du propriétaire ou du gestionnaire de projet, ne respecte pas les exigences de cette section sera immédiatement identifié comme devant être enlevé des lieux du chantier par l’entrepreneur.

.3 Durant la pose des conduits, le scellement à chaque extrémité des gaines sera laissé en place par l’entrepreneur jusqu’à ce que le prochain joint soit effectué.

.4 Tous les diffuseurs et toutes les grilles de retour devront être protégés par une membrane de scellement après leur installation.

.5 Toute activité susceptible, selon le jugement du professionnel, du propriétaire ou du gestionnaire de projet, de générer de la poussière et/ou des saletés et/ou des contaminants pouvant nuire à la qualité de l’environnement du projet devra être exécutée à l’extérieur du périmètre de l’édifice.

.3 Mesures particulières qui seront prises après l’installation des matériaux

.1 Le gestionnaire de projet mandatera un laboratoire indépendant pour échantillonner les conduits d’air selon les méthodes prescrites par la norme ACR de NADCA relative à l’évaluation, au nettoyage et à la remise en état des systèmes de CVC – 2013.

.2 Si, au final de l’analyse du laboratoire indépendant, les résultats démontrent que les conduits ne respectent pas les critères énoncés dans la norme ACR de NADCA relative à l’évaluation, au nettoyage et à la remise en état des systèmes de CVC – 2013, un nettoyage de conduits sera exigé, selon les recommandations de l’expert retenu par le gestionnaire de projet.

.3 Les systèmes devront être échantillonnés à nouveau suite au nettoyage.

.4 Si le nettoyage s’avère inadéquat, les portions de conduits contaminées devront être remplacées par des conduits neufs.







.4 Mesures particulières qui seront prises après l’installation des matériaux

.1 Tous les conduits d’air seront nettoyés tel qu’exigé par la norme CSA Z317.2-10.

.2 Le nettoyage devra être effectué.

3.3 Scellement des joints

.1 Appliquer le produit d'étanchéité sur la face extérieure des joints, selon les recommandations du fabricant.

.2 Noyer le ruban dans le produit d'étanchéité, puis recouvrir le tout d'au moins une couche du même produit, selon les recommandations du fabricant.

3.4 Essais d’étanchéité des conduits d’air

.1 L’ingénieur exigera des essais d’étanchéité sur les réseaux de conduits d’air. Ces travaux seront faits par l’entrepreneur en équilibrage, sous la responsabilité de l’entrepreneur général.

.2 L’entrepreneur en ventilation doit prévoir qu’il aura à obstruer des conduits ou des embranchements pour que l’entrepreneur en équilibrage exécute ses travaux.

.3 Advenant qu’il y ait des correctifs à apporter aux scellements des conduits, de nouveaux essais seront exigés. Les frais pour les reprises des essais seront à la charge de l’entrepreneur général, lequel pourra réclamer ces frais à l’entrepreneur en ventilation.

.4 Se reporter à la section 23 05 94 – Essai sous pression des réseaux aérauliques.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ACCESSOIRES POUR

B-131, B-133, B-231 ET B-237 CONDUITS D’AIR




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Matériaux, matériels et méthodes d'installation associés aux accessoires pour conduits d'air, notamment les manchettes souples, les portes de visite, les déflecteurs et les raccords de diffusion.

1.2 Références



.2 Sheet Metal and Air Conditioning Contractors' National Association (SMACNA)

.1 SMACNA - HVAC Duct Construction Standards - Metal and Flexible, 2005.




.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation du fabricant concernant les produits suivants :

.1 les manchettes souples;

.2 les portes de visite;

.3 les déflecteurs;

.4 les bossages et les raccords servant à recevoir des instruments d'essai.

.2 Si requis soumettre les fiches signalétiques requises aux termes du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT), lesquelles doivent être conformes à ce système. Les fiches doivent indiquer le taux d'émission de COV des adhésifs et des solvants, pendant l'application et la période de cure.







2. PRODUITS

2.1 Généralités

.1 Les accessoires doivent être fabriqués conformément aux normes HVAC Duct Construction Standards de la SMACNA.

2.2 Manchettes souples

.1 Éléments métalliques d'extrémité : éléments en tôle galvanisée de 0,6 mm d'épaisseur, auxquels la manchette souple est liée au moyen de joints à agrafure double.

.2 Manchette souple

.1 Tissu de verre enduit de néoprène, ignifuge, auto-extinguible, pouvant supporter des températures se situant entre -40 °C et 90 °C, d'une masse volumique de 1,017 kg/m3.

2.3 Portes de visite

.1 Conduits non calorifugés : portes à double paroi (construction sandwich), en même matériau que celui utilisé pour la fabrication des conduits, mais de l'épaisseur immédiatement supérieure, laquelle ne doit cependant pas être inférieure à 0,6 mm, avec bâti en cornières métalliques.

.2 Conduits calorifugés : portes à double paroi (construction sandwich), en même matériau que celui utilisé pour la fabrication des conduits, mais de l'épaisseur immédiatement supérieure, laquelle ne doit cependant pas être inférieure à 0,6 mm, avec bâti en cornières métalliques et calorifuge rigide, en fibres de verre, de 25 mm d'épaisseur.

.3 Garnitures d'étanchéité : en caoutchouc mousse.

.4 Pièces de quincaillerie

.1 Portes mesurant jusqu'à 300 mm de côté : deux loquets pour châssis, avec chaîne de sûreté.

.2 Portes mesurant entre 301 mm et 450 mm de côté : quatre loquets pour châssis, avec chaîne de sûreté.







.3 Portes mesurant entre 451 mm et 1 000 mm de côté : une charnière à piano et au moins deux loquets pour châssis.

.4 Portes mesurant plus de 1 000 mm de côté : une charnière à piano et deux manettes manœuvrables de l'intérieur et de l'extérieur.

.5 Dispositifs de maintien en position ouverte.

.6 Hublots en verre de 300 x 300 mm de côté.

2.4 Déflecteurs

.1 Déflecteurs double épaisseur, de forme aérodynamique, fabriqués en usine ou en atelier, conformes aux recommandations de la SMACNA et aux indications.

2.5 Bossages et raccords pour instruments d’essai

.1 Éléments en acier de 1,6 mm, zingués après fabrication.

.2 Éléments constitués d'une manette à came avec chaînette et d'un tampon de dilatation en néoprène.

.3 Diamètre intérieur d'au moins 28 mm; longueur convenant à l'épaisseur du calorifuge.

.4 Garnitures de montage en néoprène.

2.6 Raccords de diffusion à emboîtement ondulé

.1 Raccords coniques, en tôle galvanisée, à volet verrouillable.

.2 L'épaisseur de la tôle doit être conforme à celle des conduits ronds.

3. EXÉCUTION


.1 Conformité : se conformer aux exigences, aux recommandations et aux spécifications écrites du fabricant, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l'entreposage et à l'installation des produits et aux indications des fiches techniques.







3.2 Installation

.1 Manchettes souples

.1 À installer aux endroits suivants :

.1 côté admission et côté refoulement des éléments et des ventilateurs de soufflage d'air;

.2 côté admission et côté refoulement des ventilateurs d'extraction et de reprise d'air;

.3 aux endroits indiqués.

.2 Longueur des manchettes souples : 150 mm.

.3 Distance minimale entre les éléments métalliques d'extrémité lorsque le système fonctionne : 75 mm.

.4 Installer les manchettes souples conformément aux recommandations de la SMACNA.

.5 Lorsque le système fonctionne,

.1 les éléments métalliques situés à chaque extrémité de la manchette souple doivent être bien alignés;

.2 la manchette doit avoir un peu de mou.

.2 Portes de visite et hublots

.1 Dimensions

.1 635 mm x 432 mm dans le cas d'une porte de visite.

.2 203 mm x 127 mm dans le cas d'un trou de main.

.3 305 mm x 152 mm dans le cas d'un hublot.

.4 Selon les indications.







.2 Emplacement

.1 Aux endroits requis pour permettre l'accès aux registres d'évacuation de la fumée et aux volets coupe-feu.

.2 Aux endroits requis pour permettre l'accès aux registres de réglage du débit d'air.

.3 Aux endroits requis pour permettre l'accès aux dispositifs nécessitant un entretien périodique.

.4 Aux endroits requis, selon les exigences du code.

.5 Aux endroits requis pour permettre l'accès aux batteries de réchauffage.

.6 Aux autres endroits indiqués.

.7 Une porte de visite doit être installée sur chacun des plénums de prise d’air et/ou renvoi d’air.

.3 Bossages et raccords servant à recevoir des instruments d'essai

.1 Généralités

.1 Installer les éléments conformément aux recommandations de la SMACNA et aux instructions du fabricant.

.2 Les disposer de manière à faciliter la manipulation des instruments.

.3 Poser des traversées de calorifuge au besoin.

.4 Emplacement

.1 Mesure du débit d'air

.1 Côté admission des ventilateurs d'extraction muraux ou montés en toiture.

.2 Côté admission et côté refoulement des autres ventilateurs.

.3 Sur les conduits principaux et les dérivations principales.

.4 Aux endroits indiqués.







.2 Mesure de la température

.1 Sur les prises d'air neuf.

.2 Sur les boîtes de mélange d'air, aux endroits indiqués.

.3 À l'entrée et à la sortie des batteries de chauffage/rafraîchissement d'air.

.4 En aval de tout point de rencontre entre deux veines d'air convergentes de températures différentes.

.5 Aux endroits indiqués.

.4 Déflecteurs

.1 Installer les déflecteurs conformément aux recommandations de la SMACNA et selon les indications.

3.3 Contrôle de la qualité sur place

.1 Inspections effectuées sur place par le fabricant

.1 Prendre les dispositions nécessaires pour que le fabricant des produits fournis aux termes de la présente section examine les travaux relatifs à la manutention, à l'installation/l'application, à la protection et au nettoyage de l'ouvrage, puis soumettre des rapports écrits, dans un format acceptable, qui permettront de vérifier si les travaux ont été réalisés selon les termes du contrat.

.2 Services du fabricant assurés sur place : retenir les services du fabricant, qui fera sur place des recommandations quant à l'utilisation du ou des produits, et effectuera des visites périodiques pour vérifier si la mise en œuvre a été réalisée selon ses recommandations.

.3 Prévoir des visites de chantier aux étapes suivantes :

.1 une fois les produits livrés et entreposés sur le chantier, et les travaux préparatoires et autres travaux préalables terminés, mais avant le début des travaux d'installation de l'ouvrage faisant l'objet de la présente section;







.2 deux fois au cours de l'avancement des travaux, c'est-à-dire une fois ceux-ci achevés à 25 % puis à 60 %;

.3 une fois les travaux achevés et le nettoyage terminé.

.4 Obtenir les rapports d'inspection dans les trois (3) jours suivant la visite de chantier, et les remettre immédiatement à l'ingénieur.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES REGISTRES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 D’ÉQUILIBRAGE




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Registres d'équilibrage identifiés « RE » aux plans, destinés aux installations de ventilation mécanique et de conditionnement d'air.

1.2 Références

.1 Sheet Metal and Air Conditioning National Association (SMACNA)

.1 SMACNA, HVAC Duct Construction Standards, Metal and Flexible-2005.






.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation des fabricants concernant les produits. Préciser les caractéristiques des produits, les critères de performance et les contraintes.

.1 Si requis soumettre deux (2) exemplaires des fiches signalétiques requises aux termes du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT), lesquelles doivent être conformes à ce système.

.2 Les fiches techniques doivent porter sur ce qui suit :

.1 Lames;

.2 Levier d’opération;

.3 Système de verrouillage.







2. PRODUITS

2.1 Registres répartiteurs d’air

.1 Les registres doivent être fabriqués conformément aux normes pertinentes de la SMACNA.

.2 Registres à lame(s) faite(s) du même matériau que le conduit d’air mais de l’épaisseur normalisée immédiatement supérieure à celle de ce dernier, avec dispositif de renfort approprié.

.3 Lame(s) faite(s) d’une (1) seule épaisseur de tôle.

.4 Tige de commande avec dispositif de verrouillage et indicateur de position.

.5 Tige de forme destinée à empêcher cette dernière d’entrer dans le conduit d’air.

.6 Mécanisme de pivotement constitué d’une charnière à piano.

.7 Lame(s) à bord d’attaque replié.

2.2 Registres à un seul volet


.2 Registres à volet fait du même matériau que le conduit d’air mais de l’épaisseur normalisée immédiatement supérieure à celle de ce dernier, à rainure en V assurant une meilleure rigidité.

.3 Forme et dimensions conformes aux recommandations de la SMACNA, sauf pour ce qui est de la hauteur maximale, laquelle doit être de 100 .mm

.4 Secteur de verrouillage à rallonge convenant à l’épaisseur du calorifuge du conduit d’air.

.5 Paliers d’extrémité : intérieurs et extérieurs en bronze.

.6 Cadre en profilé fait du même matériau que le conduit d’air dans lequel le registre est monté, et muni de butées d’angle.








.1 Nailor : rond modèle 1090 et 1890; rectangulaire modèle 1870 ;

.2 Trolec : rond modèle V8R, V12R ou V18R; rectangulaire modèle V90SB ;

.3 Ruskin : rond MDRS25; rectangulaire MD15 ou MD25.

.8 Équivalent acceptable: S.O.

2.3 Registres à volets multiples


.2 Registres faits en usine d’un matériau compatible avec celui des conduits d’air dans lesquels ils sont montés.

.3 Volets opposés, de forme, d’épaisseur (du métal) et de fabrication conformes aux recommandations de la SMACNA.

.4 Hauteur maximale des volets de 100 mm.

.5 Paliers constitués d’une broche sous coussinet bronze.

.6 Tringlerie de commande à secteur de verrouillage avec rallonge, convenant à l’épaisseur du calorifuge du conduit d’air.

.7 Cadre en profilé fait du même matériau que le conduit d’air dans lequel le registre est monté, et muni de butées d’angle. Cadre à bride ne réduisant pas la section libre du conduit.


.1 Trolec série MB ;

.2 Nailor modèle 1820 ;

.3 Ruskin modèle MD35.







3. EXÉCUTION



3.2 Installation

.1 Installer les registres aux endroits indiqués.

.2 Installer les registres conformément aux recommandations de la SMACNA et aux instructions du fabricant.

.3 Installer des registres d'équilibrage dans les conduits de dérivation dans le cas des réseaux d'alimentation, de reprise et d'extraction d'air.

.4 Monter un registre d'équilibrage à un seul volet dans chacune des dérivations reliées à une grille à registre ou à un diffuseur, et le placer le plus près possible du conduit principal.

.5 Installer les registres de manière à prévenir toute vibration.

.6 Installer les dispositifs de commande à des endroits où ils sont bien visibles et accessibles.

.7 Les corrections et les réglages seront effectués par l'Ingénieur.

3.3 Essais

.1 Les essais doivent s'étendre sur une période d'au moins 2 jours et ils doivent permettre de démontrer que le système fonctionne selon les prescriptions.



B-131, B-133, B-231 ET B-237 DE RÉGLAGE




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise les registres de réglage destinés aux installations de ventilation tel que mentionné ci-dessous. Cette liste est non limitative :

.1 Registres d’opération isolés à volets multiples (RM);

.2 Registres antirefoulement (RG);

1.2 Références

.1 « American Society for Testing and Materials International (ASTM) »

.1 « ASTM A 653/A 653M-[04a], Standard Specification for Steel Sheet, Zinc-Coated (Galvanized) or Zinc-Iron Alloy-Coated (Galvannealed) by Hot-Dip Process ».

.2 « Underwriters Laboratories of Canada (ULC) ».

.3 « AMCA 500-D - Laboratory Methods of Testing Dampers for Rating ».





.1 Registres d’opération isolés à volets multiples (RM);

.2 Registres antirefoulement (RG);

.3 Compatibilité des matériaux : règle générale, fournir et installer des accessoires pour conduits d’air en matériau identique à celui du conduit sur/ou dans lequel l’accessoire est installé.







2. PRODUITS

2.1 Registres d’opération isolés à volets multiples

.1 Registres identifiés « RM » aux plans. Si aucune identification aux plans, exigences applicables aussi à tout registre d'opération exposé à des températures d'air inférieures à 4 °C.

.2 Le cadre doit être isolé sur au moins trois (3) côtés;

.3 Registre à volets opposés ou parallèles selon les indications;

.4 Configuration du type attaché au conduit.

.5 Volets interreliés en aluminium extrudé, comportant des garnitures d'étanchéité en vinyle extrudé et des garnitures latérales en acier inoxydable à ressort montés dans un bâti en aluminium extrudé. Aluminium de calibre 12 minimum.

.6 Les lames avec nervures de renforcement et cavités, isolées de mousse de polyuréthanne de 25 mm d’épaisseur doivent être de 150 mm de largeur montées sur des tiges pivotantes hexagonales d’aluminium DN 7/16 poinçonnées dans les lames. Chaque lame doit avoir à chacune de ses extrémités une extrusion de caoutchouc pour l’étanchéité.

.7 Extrusions de caoutchouc continues sur la totalité du pourtour intérieur du cadre. De plus, un joint d’étanchéité de caoutchouc doit être installé afin d’assurer l’étanchéité avec les lames d’extrémité.

.8 Les coussinets doivent être constitués d’un coussinet intérieur de Celcon fixé à la tige hexagonale qui pivote sur un coussinet extérieur de polycarbonate inséré dans le châssis.

.9 Tringlerie de commande : installée à l’extérieur de la circulation de l’air, dans le châssis. La tringlerie doit être constituée de tourillons, boulons, bras de manivelles usinés en atelier et de tous les autres accessoires nécessaires.

.10 Performance : le taux de fuite doit être inférieur à 15,2 l/s/m2 contre une pression de 0,25 kPa.

.11 Fournir toute la quincaillerie nécessaire (axe de renvoi, coussinet à palier, etc.) lorsque plusieurs sections de volets sont raccordées.








.1 Tamco série 9000;

.2 Nailor série 2010/2020-IB;

.3 Trolec série VAPI-MB;

.4 Ruskin série CDTI -50;

.13 Équivalent acceptable : S.O.

2.2 Registres antirefoulement

.1 Registres à fonctionnement automatique par gravité, identifiés « RG » aux plans à lame unique ou plusieurs lames, en aluminium, à contrepoids ou à ressort de rappel, selon les exigences.

.2 Cadre en profilé, en aluminium extrudé de 2,3 mm d’épaisseur.

.3 Lames en aluminium extrudé de 1,2 mm d’épaisseur avec garniture en vinyle assurant une bonne étanchéité.

.4 Paliers : roulements synthétiques.

.5 Brides de raccordement : les registres de type à insérer dans les conduits ne sont pas acceptables.


.1 Nailor modèle 1370/1380;

.2 Ruskin modèle BD2/A2.


3. EXECUTION









3.2 Installation

.1 Installer les registres aux endroits indiqués.

.2 Installer les registres conformément aux recommandations de la SMACNA et aux instructions du fabricant.

.3 Sceller les joints des modules à registres multiples à l'aide d'un produit d'étanchéité à base de silicone.

.4 Installer un panneau de visite près de chaque registre. Se reporter à la section 23 33 00 – Accessoires pour conduits d'air.

.5 S'assurer que les registres sont bien visibles et accessibles.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES REGISTRES ET CLAPETS

B-131, B-133, B-231 ET B-237 COUPE-FEU ET DE FUMÉE




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 La présente section vise les registres et clapets coupe-feu et coupe-fumée nécessaires dans les réseaux de ventilation-climatisation tel que mentionnés ci-dessous. Cette liste est non limitative :

.1 Registres coupe-feu;

.2 Registres coupe-fumée;

.3 Registres coupe-feu et coupe-fumée combinés;

.4 Clapets coupe-feu.

1.2 Références

.1 « American National Standards Institute/National Fire Protection Association (ANSI/NFPA) »

.1 « ANSI/NFPA 90A, Standard for the Installation of Air Conditioning and Ventilating Systems ».

.2 « NFPA 92A, Standard for Smoke-Control Systems Utilizing Barriers and Pressure Difference ».

.3 « NFPA 92B, Standard for Smoke Management Systems in Malls, Atria, and Large Spaces ».

.2 Laboratoires des assureurs du Canada (ULC) »

.1 CAN4-S112, Méthode normalisée d'essai de comportement au feu des registres coupe-feu.

.2 CAN4-S112.2, Méthode normalisée des essais de comportement au feu des clapets coupe-feu situés dans les plafonds.

.3 « ULC-S505, Fusible Links for Fire Protection Service ».







.3 « Underwriters Laboratories (UL) ».

.1 « UL-555, Standard for Safety, Fire Dampers ».

.2 « UL-555S, Standard for Smoke Dampers ».





.1 Registres coupe-feu;

.2 Registres coupe-fumée;

.3 Registres coupe-feu et coupe-fumée combinés;

.4 Clapets coupe-feu;

.5 Servomoteurs;

.6 Liens fusibles;

.7 Joints de rupture (détails de conception).

.3 Compatibilité des matériaux : règle générale, fournir et installer des accessoires pour conduits d’air en matériau identique à celui du conduit sur ou dans lequel l’accessoire est installé.

2. PRODUITS

2.1 Registres coupe-feu

.1 Registres coupe-feu de type B ou C, homologués et portant l'étiquette ULC ou UL, et conformes aux exigences du Commissaire des incendies du Canada (CIC) et de la norme ANSI/NFPA 90A. Le comportement au feu des registres doit être évalué selon la norme CAN4-S112.







.2 Registres en acier doux, fabriqués en usine, conçus pour ne pas diminuer la résistance au feu des murs ou des cloisons coupe-feu dans lesquels ils sont montés.

.1 Registres coupe-feu présentant un degré de résistance au feu minimum de 1 1/2 heure, à moins d'indications contraires.

.2 Registres coupe-feu de type à fonctionnement automatique, présentant des caractéristiques nominales de charge dynamique convenant à la vitesse de l'air et à la différence de pression maximale auxquelles ils peuvent être soumis.

.3 Registres coupe-feu montés sur charnières à leur partie supérieure, excentriques, ronds ou carrés; de type à plusieurs volets sur charnières ou à volets pivotants couplés; à guillotine; de dimensions calculées pour que ne soit pas restreinte la section des conduits dans lesquels ils sont montés.

.4 Registres conçus et construits de manière à ne pas réduire la section des conduits ou des ouvertures dans lesquels ils sont montés

.5 Registres actionnés par un lien fusible, avec contrepoids permettant leur fermeture et leur verrouillage en position fermée lorsque le mécanisme est déclenché, ou avec une commande de fermeture totale à ressort antagoniste lorsqu'il s'agit du type à plusieurs volets ou à enroulement, monté en position horizontale dans un conduit d'air vertical.

.6 Bâtis de montage en cornières de 40 mm x 40 mm x 3 mm sur tout le pourtour des registres, de part et d'autre des cloisons ou des murs coupe-feu traversés et conçus pour recevoir un scellant coupe-feu et coupe-fumée. Se référer à la section portant sur le compartimentage coupe-feu et scellement général.

.7 Registres coupe-feu munis d'un cadre/manchon de traversée en acier inoxydable installé de manière à ne pas nuire au fonctionnement du registre et à ne pas interrompre la continuité du conduit d'air dans lequel il est monté.

.8 Cadres/manchons de traversée en acier inoxydable munis de cornières de montage périphériques fixées de part et d'autre de la traversée du mur ou du plancher. Dans le cas des assemblages plancher/plafond ou plafond/toit présentant un degré de résistance au feu, les conduits doivent être acheminés conformément aux normes pertinentes des ULC concernant les traversées.







.9 Registres coupe-feu installés de manière à ce que l'axe du plan de l'épaisseur de l'appareil corresponde à celui du mur, de la cloison ou de la dalle de plancher dans lequel ou laquelle il est monté.

.10 À moins d'indications contraires, registres installés selon les détails indiqués dans le document intitulé « Install Fire Damp HVAC », publié par la SMACNA, et dans les instructions du Fournisseur concernant les registres coupe-feu. Se référer également aux détails sur les plans.

.11 Installer une porte de visite à côté de chaque registre.

.12 Ensemble complet pour application sur réseau à haute pression aux endroits où la pression statique est égale et supérieure à 1 000 Pa. Tous les joints des cadres doivent être soudés en continu de façon à éliminer complètement les fuites d’air et assurer une étanchéité parfaite des réseaux.

.13 Produits acceptables : Controlled Air Manufacturing Ltd., type C pour haute et basse pression suivant l’endroit, Nailor, Ruskin.


2.2 Registres coupe-fumée

.1 Les registres coupe-fumée doivent être homologués pour une résistance au feu requise par le degré de résistance au feu du plancher ou du mur ou de la cloison coupe-feu, minimum de 1 ½ heure et une température de 121 °C. Il doit porter l’étiquette UL ou ULC et répondre aux exigences des dernières normes NFPA-90A, 92 A, 92 B, UL-555S (coupe-fumée) et des autorités compétentes.

.2 Cadre construit en acier galvanisé de calibre 16 d’une profondeur de 127 mm. Coins à 45° et renforcés par des angles. Lames de 152 mm de large et centrées aux 140 mm, de construction en acier galvanisé double paroi avec un profilé aérodynamique de calibre équivalant à 14. Volet de type à lames opposées d’une configuration d’interverrouillage des lames afin de fournir une étanchéité complète contre les flammes et la fumée, lorsqu’en position fermée, et ce pour des températures allant jusqu’à 1 095 °C. Les volets nécessitant des joints d’étanchéité afin d’éliminer les fuites à des températures élevées et pour maintenir leur classification ne sont pas acceptables. Les arbres hexagonaux, à friction ou pression ne sont pas acceptables : ils doivent être vissés de deux (2) boulons aux lames, à chaque







extrémité et ce, afin de maintenir une bonne connexion entre l’arbre et la lame. Roulements autolubrifiés de type oilite® bronze. Articulations sans aucune maintenance et dissimulées dans le cadre à l’extérieur du débit d’air, construites d’acier plaqué de calibre 12. Les bordures d’étanchéités doivent être construites en acier inoxydable.

.3 Registre coupe-fumée pour conduits ronds ou rectangulaires, de type à plusieurs lames articulées ou lames couplées. Les dimensions de l'ensemble doivent être calculées pour ne pas restreindre la section du conduit, selon les indications. Conduit étanche à l'air selon la classification du conduit où le registre est installé.

.4 Sauf indication contraire, l’ensemble registre coupe-fumée doit être complet avec manchon étanche de calibre 16 minimum, intégré au registre et installé à l'usine par le Fournisseur. Les manchons doivent excéder de 150 mm minimum de chaque côté du mur ou du plancher.

.5 Registres en sections multiples lorsqu'installés verticalement et que les dimensions excèdent 914 mm x 1 219 mm, ainsi que, lorsqu'installés horizontalement, et que les dimensions excèdent 813 mm x 1 219 mm. La dimension maximale pour une section multiple est de 3 658 mm x 2 458 mm.

.6 Les servomoteurs doivent être de type électrique. Ils doivent être installés à l’intérieur ou à l’extérieur du manchon selon le cas. Les servomoteurs devront être installés et évalués en usine, selon la dernière édition UL555S, pour des températures jusqu’à 121 °C. Les servomoteurs doivent inclure un ressort de rappel interne. Les mécanismes à ressorts externes au servomoteur installés au chantier ne sont pas conformes aux normes UL ou ULC et ne sont pas acceptables. Le système d’ouverture et de fermeture doit être actionné trois (3) fois en usine afin d’assurer une opération adéquate. Il doit comprendre un dispositif classifié selon les normes UL ou ULC et réagissant à une température de 121 °C pour actionner le servomoteur afin de fermer le volet et de maintenir la position des lames, et ce, lorsque la température atteint le niveau maximum de dégradation de l’ensemble volet et servomoteur.

.7 Se référer à la section portant sur les produits d’étanchéité.

.8 Taux de fuite conforme à UL555S Classe I, à 121 °C.








.1 Modèle deux (2) positions ; Ruskin FSD 60;

.2 Modèle modulant : Ruskin FSD60M.


2.3 Registres coupe-feu/coupe-fumée combinés

.1 Les registres coupe-feu/coupe-fumée doivent être homologués pour une résistance au feu requise par le degré de résistance au feu du plancher ou du mur ou de la cloison coupe-feu, minimum de 1 ½ heure et une température de 121 °C. Il doit porter l’étiquette UL ou ULC et répondre aux exigences des dernières normes NFPA-90A, 92 A, 92 B, UL-555S (coupe-fumée) et des autorités compétentes.

.2 Cadre construit en acier galvanisé de calibre 16 d’une profondeur de 127 mm. Coins à 45° et renforcés par des angles. Lames de 152 mm de large et centrées aux 140 mm, de construction en acier galvanisé double paroi avec un profilé aérodynamique de calibre équivalant à 14. Volet de type à lames opposées d’une configuration d’interverrouillage des lames afin de fournir une étanchéité complète contre les flammes et la fumée, lorsqu’en position fermée, et ce pour des températures allant jusqu’à 1 095 °C. Les volets nécessitant des joints d’étanchéité afin d’éliminer les fuites à des températures élevées et pour maintenir leur classification ne sont pas acceptables. Les arbres hexagonaux, à friction ou pression ne sont pas acceptables : ils doivent être vissés de deux boulons aux lames, à chaque extrémité et ce, afin de maintenir une bonne connexion entre l’arbre et la lame. Roulements autolubrifiés de type oilite® bronze. Articulations sans aucune maintenance et dissimulées dans le cadre à l’extérieur du débit d’air, construites d’acier plaqué de calibre 12. Les bordures d’étanchéités doivent être construites en acier inoxydable.

.3 Registre coupe-feu/coupe-fumée pour conduits ronds ou rectangulaires, de type à plusieurs lames articulées ou lames couplées. Les dimensions de l'ensemble doivent être calculées pour ne pas restreindre la section du conduit, selon les indications. Conduit étanche à l'air selon la classification du conduit où le registre est installé.







.4 Sauf indication contraire, l’ensemble registre coupe-feu/coupe-fumée doit être complet avec manchon étanche de calibre 16 minimum, intégré au registre et installé à l'usine par le Fournisseur. Les manchons doivent excéder de 150 mm minimum de chaque côté du mur ou du plancher.

.5 Registres en sections multiples lorsqu'installés verticalement et que les dimensions excèdent 914 mm x 1 219 mm, ainsi que, lorsqu'installés horizontalement, et que les dimensions excèdent 813 mm x 1 219 mm. La dimension maximale pour une section multiple est de 3 658 mm x 2 458 mm.

.6 Les servomoteurs doivent être du type électrique. Ils doivent être installés à l’intérieur ou à l’extérieur du manchon selon le cas. Les servomoteurs devront être installés et évalués en usine, selon la dernière édition UL555S, pour des températures jusqu’à 121 °C. Les servomoteurs doivent inclure un ressort de rappel interne. Les mécanismes à ressorts externes au servomoteur installés au chantier ne sont pas conformes aux normes UL ou ULC et ne sont pas acceptables. Le système d’ouverture et de fermeture doit être actionné trois (3) fois en usine afin d’assurer une opération adéquate. Il doit comprendre un dispositif classifié selon les normes UL ou ULC et réagissant à une température de 121 °C pour actionner le servomoteur afin de fermer le volet et de maintenir la position des lames, et ce, lorsque la température atteint le niveau maximum de dégradation de l’ensemble volet et servomoteur.

.7 Se référer à la section portant sur les produits d’étanchéité

.8 Taux de fuite conforme à UL555S Classe I, à 121 °C.


.1 Modèle deux (2) positions ; Ruskin FSD 60

.2 Modèle modulant : Ruskin FSD60M.


2.4 Clapets coupe - feu

.1 Clapets coupe-feu : homologués et portant l'étiquette UL ou ULC; comportement au feu évalué selon la norme CAN4-S112.2.







.2 Clapets fabriqués en tôle d'acier d'au moins 1.5 mm d'épaisseur, avec isolant sans amiante de 1.6 mm d'épaisseur homologué par les ULC, et articulés sur charnières et goupilles protégées contre la rouille.

.3 Clapets du type normalement ouvert, se fermant sous l'action d'un lien fusible conforme à la norme ULC-5505.

3. EXÉCUTION



3.2 Installation

.1 Installer les appareils conformément aux exigences de la norme ANSI/NFPA 90A et selon les conditions d'homologation des ULC.

.2 Réaliser les travaux sans diminuer le degré de résistance au feu des cloisons coupe-feu dans lesquelles sont montés les appareils.

.3 Une fois les travaux terminés, faire approuver toute l'installation par l'autorité compétente avant de dissimuler les éléments qui ne restent pas apparents.

.4 Installer une porte de visite à côté de chaque registre. Se reporter à la section 23 33 00 – Accessoires pour conduits d'air.

.5 Coordonner les travaux avec ceux qui sont effectués par l'installateur de matériaux coupe-feu et pare-fumée.

.6 Monter les appareils là où les portes/panneaux de visite, les liens fusibles ou les servomoteurs seront visibles et facilement accessibles.

.7 Installer des joints de rupture de conception approuvée de part et d'autre des séparations coupe-feu.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES DIFFUSEURS, REGISTRES

B-131, B-133, B-231 ET B-237 ET GRILLES




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Sommaire


.1 Grilles et grilles à registre de soufflage, de reprise et d’évacuation d’air, diffuseurs et grilles linéaires de types domestique et commercial.

1.2 Références

.1 « ASHRAE 70 – Method of Testing for Rating the Performance of Air Outlets and Inlets ».

.2 « ANSI/ASHRAE 113 – Method of Testing for Room Air Diffusion ».




.1 Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation des fabricants concernant les produits. Préciser les caractéristiques des produits, les critères de performance et les contraintes.

.2 Les fiches techniques doivent préciser ce qui suit :

.1 Le débit;

.2 La portée du jet et la vitesse terminale;

.3 Le niveau de bruit;

.4 La perte de charge;

.5 La vitesse au point de rétrécissement maximal (collet);







2. PRODUITS

2.1 Généralités

.1 Produits dont les caractéristiques répondent aux exigences indiquées en ce qui concerne le débit, la perte de charge, la vitesse terminale, la portée du jet, le niveau de bruit et la vitesse au point de rétrécissement maximal (collet).

.2 Les traversées de cloisons coupe-feu pour les grilles, registres et diffuseurs doivent être munies de manchons en acier fixés à la charpente conformément à la norme NFPA 90A.

2.2 Grilles et diffuseurs

.1 Bâtis

.1 Bâtis en acier standard avec joints apparents soudés et joints à collets aux angles.

.2 Bâtis en aluminium ou galvalume avec attaches mécaniques et joints à onglets aux angles.

.3 Garniture d’étanchéité sur tout le pourtour.

.4 Cadres de plâtrage pour retenir les bâtis en place lorsque ceux-ci sont installés dans une cloison ou un mur en plâtre ou en panneaux de gypse.

.5 Cadre de montage-enduit pour les bâtis selon les prescriptions.

.6 Dispositifs de fixation dissimulés.

.7 Dispositifs de manœuvre manuels et dissimulés pour registres volumétriques.

.8 Dimensions, débits et caractéristiques spécifiques : selon les indications aux tableaux sur les dessins.

.2 Couleur selon les directives de l’architecte.

.3 Produit acceptable : EH Price, Titus, Nailor.







.4 Équivalent acceptable : S. O.

2.3 Produits manufacturés

.1 Les grilles, les grilles à registre et les diffuseurs fournis doivent être de mêmes types et provenir du même Fournisseur.

3. EXÉCUTION


.1 Conformité : se conformer aux exigences, aux recommandations et aux spécifications écrites du Fournisseur, y compris à tout bulletin technique disponible, aux instructions relatives à la manutention, à l’entreposage et à l’installation des produits, et aux indications des fiches techniques.

3.2 Installation

.1 Installer les grilles, les grilles à registre et les diffuseurs conformément aux instructions du Fabricant.

.2 Fournir et installer tous les fer-angles et toutes les attaches nécessaires en acier de façon à ce que le poids des grilles et diffuseurs ne soit pas supporté par le plafond.

.3 Là où les éléments de fixation sont apparents, utiliser des vis à tête plate et les noyer dans des trous fraisés.

.4 Prévoir tous les raccords, éléments de transition et tés de plafond suspendu, additionnels et nécessaires à l’installation et au raccordement des grilles et diffuseurs. Ces raccordements devront être solides et étanches.

.5 Coordonner l’installation des grilles et des diffuseurs avec les travaux des autres corps de métier, particulièrement en ce qui a trait aux détails architecturaux de finition et de scellement.

COMMISSION SCOLAIRE MARIE-VICTORIN CONTRÔLE CENTRALISÉ SECTION 25 05 00






1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Prescriptions générales de mécanique

.1 Les sections 00 11 00 « Mécanique – Instructions et clauses générales » et 01 11 01 « Mécanique – Instructions et clauses particulières » s’appliquent.

.2 Cette section a pour but de déterminer le matériel essentiel pour la régulation et le contrôle de tous les équipements électromécaniques, ainsi que de définir les éléments de performance d’un système d’automatisation centralisé du bâtiment avec communication externe.


.1 L’entrepreneur en contrôle fournira et installera les contrôles pour tous les systèmes montrés aux dessins de contrôles ou décrits dans ce devis. Il fournira toutes les pièces requises pour obtenir l’opération décrite même si ces composantes ne sont pas montrées aux plans.

.2 L’entrepreneur en contrôle fournira et installera un système d’automatisation centralisé avec interface utilisateur, communication externe (modem) et interface web et raccordera tous les points de d’alarmes ou de troubles des différents équipements même si ces composantes ne sont pas montrées aux plans :

.1 Cabinet de chauffage électrique et contrôle de pièce;

.3 Programmation de toutes les séquences de contrôle de la présente section et/ou fournies lors de la construction.

.4 Gestionnaire et interface utilisateur.

.5 Programmation de l’interface utilisateur.

.6 Toute la régulation électrique tel que décrit aux plans et devis de contrôle se rapportant aux travaux de plomberie, chauffage et refroidissement ventilation et contrôle automatique à l’exception de ceux spécifiquement indiqués comme faisant partie d’une autre section.







.7 L’installation électrique complète, c.-à-d. conduits, câbles, boîtes de jonction, etc. se rattachant au système de régulation, tel que montré aux dessins et décrit au devis, ainsi que tous les raccordements électriques nécessaires aux différents centres de commandes des moteurs ou démarreurs, le verrouillage entre les démarreurs des ventilateurs, pompes et autres contrôles.

.8 L’alimentation électrique des panneaux de contrôle locaux, lorsque requis, à partir des panneaux de courant fournis par la division électrique de tous les systèmes montrés aux plans et devis.

.9 Fourniture et raccordement de tous les équipements de mesures et de régulation requis pour les systèmes de ventilation (voir section 23 05 00) incluant les manomètres de filtres, des sondes de température, d’humidité, de pression, actuateurs, accessoires de lecture de débit et contacteur/relais pour le contrôle des ventilateurs à bas voltage.

.10 Fourniture de tous les actuateurs des volets motorisés.

.11 Fourniture et installation de tous les thermostats, sondes de température, thermostats raccordés aux contrôleurs numériques.

.12 Tous les équipements et accessoires qui ne sont pas installés par les sections 22 et 23 devront être installés par l’entrepreneur responsable de la présente section. Tous les travaux doivent être coordonnés avec les sections mentionnées.

.13 Une fois les travaux complétés, l’entrepreneur devra remettre une (1) copie papier ainsi que les fichiers informatiques en format « Autocad » sur CD représentant le plus fidèlement possible les travaux « tel que construit ». Si plus d’une (1) copie de plans doit être fournie à l’effet de cette clause, les copies additionnelles seront aux frais de l’entrepreneur, tel que mentionné à la section 23 05 00.

1.3 Ouvrages connexes

.1 Ventilation Section 23 05 00.

.2 Alimentation électrique Section 26 05 00.







1.4 Propositions

.1 Chacun des soumissionnaires devra fournir, avec son offre, une proposition détaillée décrivant tous les éléments du système. Sur un tracé schématique, on devra indiquer et décrire les corrélations opérationnelles qui existent entre ces dits systèmes.

.2 De plus, chaque soumissionnaire devra décrire, dans sa proposition, comment son système est en accord ou en désaccord avec chaque section de cette spécification. Il fournira avec sa proposition un document de concordance et non-concordance avec chaque partie numérale de cette specification

1.5 Responsabilité unique

.1 Les contrôles automatiques décrits ci-après seront fournis et installés par un seul entrepreneur, ci-après appelé l’entrepreneur en contrôle.

.2 Les systèmes de contrôles automatiques seront complets, incluant tout matériel, main-d’œuvre, équipement et service requis pour une installation complète et en bon état de marche.

.3 Le système de contrôle sera installé par le personnel régulier de l’entrepreneur en contrôle.

.4 Tous les matériels et appareils utilisés seront des composants standard, fabriqués régulièrement pour le système décrit dans les présentes ou pour d’autres, mais non de conception spéciale adaptée à ce projet. Tous les systèmes et les composants auront, en régime normal, été mis à l’essai et éprouvés de façon complète.

.5 Le système d’automatisation devra être d’une architecture complètement modulaire permettant l’expansion par l’addition de la mémoire d’ordinateur, l’addition du logiciel d’application et par l’addition des appareils périphériques et du matériel sur place.

.6 Le système d’automatisation devra être accessible en communication de l’extérieur du bâtiment soit par ligne téléphonique par modem ou par Internet via un réseau informatique interne.







1.6 Matériel par d’autres

.1 Les démarreurs électriques seront fournis par la section 26 05 00 à l’exception de ceux montrés aux plans et que l’entrepreneur en contrôle doit fournir.

1.7 Filage électrique

.1 Tout filage de contrôle, filage d’entrebarrage et tout filage nécessaire pour donner l’opération spécifiée sera fourni par l’entrepreneur en contrôle et sera protégé par des conduits à parois minces EMT ou rigides dans le béton.

1.8 Dessins d’atelier

.1 L’entrepreneur en contrôle devra fournir des dessins d’atelier détaillés pour approbation, avec copie reproductible sépia, avant de commencer tout travail d’installation. Il devra fournir le nombre de copies requises par l’ingénieur.

.2 Les dessins d’atelier incluront les schémas de contrôles, les listes de matériel, les séquences d’opération et les plaques d’identification.

.3 Les schémas de contrôle seront faits de façon à montrer assez d’informations pour permettre une interprétation de l’opération sans autre document. Indiquer sur les schémas complets des appareils de régulation, l’emplacement, les numéros de modèle, le pourcentage de gain et de priorité, les modalités et la gamme de réglage du point de consigne, de l’action intégrale et de la bande proportionnelle, les programmes de passage d’un mode de régulation à un autre, les canalisations d’air comprimé et les schémas de câblage.

.4 Fournir les tableaux de robinets et de registres en précisant la dimension, la forme, le débit et l’emplacement de chacun. Si la dimension varie de plus de 10 % par rapport à celle prescrite, obtenir l’approbation de l’ingénieur.

.5 Fournir la documentation technique relative à chacun des éléments des systèmes.

.6 Soumettre pour examen, un dessin détaillé de la disposition du panneau de régulation, l’illustration graphique des appareils et le montage proposé.







1.9 Instructions d’opération

.1 À la fin des travaux, l’entrepreneur en contrôle devra fournir les instructions d’opération en quatre (4) pamphlets contenant les dessins d’atelier « tel que construit », les instructions d’opération pour chaque instrument et les instructions d’entretien détaillées.

.2 L’entrepreneur en contrôle enseignera au personnel du propriétaire, jusqu’au moment où il sera familier avec l’installation et l’opération des contrôles automatiques, soit deux jours pour deux membres du personnel. Ceci inclura une démonstration de chaque partie de la description d’opération pour chaque système.

.3 Les diagrammes de contrôles encadrés seront installés près de chaque système contrôlé.

1.10 Plaques d’identification

.1 Des plaques d’identification en plastique laminé seront fournies pour tous les indicateurs et interrupteurs, etc., sur la face du panneau de contrôle et sur tous les instruments à l’extérieur du panneau, sauf pour les thermostats de pièce.

.2 Du ruban plastique flexible peut être utilisé pour les instruments à l’intérieur des panneaux.

.3 Le lettrage de toutes les plaques d’identification sera indiqué sur les diagrammes de contrôle et sera approuvé par l’ingénieur.

1.11 Garantie

.1 Les systèmes de contrôle seront garantis contre toute défectuosité du matériel ou de la main-d’œuvre pour une période de douze (12) mois.

.2 La garantie inclura toute réparation et remplacement de matériel et la main-d’œuvre requise pour réparer toute défectuosité qui apparaît durant la période de douze (12) mois.

.3 La garantie inclura tous les appels d’urgence durant les heures régulières, avec un temps de réponse de vingt-quatre (24) heures après notification par le propriétaire.







.4 La garantie devra commencer quand le système aura été approuvé par l’ingénieur.

1.12 Services

.1 L’entrepreneur en contrôle devra fournir tous les services, c’est-à-dire entretien préventif, requis pour les contrôles durant la période de garantie. Cet entretien préventif inclura une inspection complète avant la saison de chauffage et une inspection complète avant la saison de refroidissement.

.2 Fournir les données qui doivent être incorporées au manuel d’entretien prescrit à la section 23 05 00/26 05 00.

.3 Aux fins d’acceptation des ouvrages, fournir une caution totale d’exécution couvrant la période stipulée ci-dessus.

.4 Fournir les renseignements à porter au dossier conformément aux prescriptions de la section 23 05 00.

2. PRODUITS

.1 Sans objet

3. EXÉCUTION

3.1 Généralités

.1 Faire installer les systèmes et leurs commandes par des ouvriers qualifiés possédant un permis émis par la Province de Québec.

3.2 Installation

.1 Généralités

.1 Tous les contrôles doivent être installés et ajustés par des techniciens compétents, régulièrement employés par le fabricant. Tous les appareils de contrôle doivent être facilement accessibles pour réparation et réglage. Installer tous les appareils de contrôle dans des cabinets (type « Unitized Cabinet »).







.2 Attacher les bulbes et les capillaires solidement en place à l’aide de crochets en cuivre à l’intérieur des gaines de ventilation. Une porte d’accès est prévue par une autre section, dans la gaine pour en faciliter l’inspection.

.3 Tout appareil de régulation installé sur une conduite de ventilation isolée thermiquement doit être pourvu d’un support métallique approprié fourni par la présente section.

.4 Dans les pièces finies, encastrer les contrôles dans des boîtes métalliques avec devant muni d’un cadre servant à couvrir le joint entre le métal et la construction attenante. La construction doit être d’un modèle approuvé.

.5 Advenant que la présente section retarde dans la pose de ces boîtes et qu’il faille briser la construction, la présente section en contrôle demeure la seule responsable des réparations.

.6 La position des thermostats ou des sondes de pièce montrée sur les dessins est approximative et donnée à titre de référence seulement.

.7 En aucun cas, le thermostat ou la sonde de pièce ne doit être affecté par le soleil ou toute autre source de chaleur, de froid ou de courant d’air.

.8 Lorsqu’installé obligatoirement sur un mur chaud ou froid, le thermostat ou la sonde de pièce doit être muni d’une base isolante ventilée fournie par la présente section.

.9 Installer les thermostats ou les sondes de pièce à 1,5 m (5') du plancher fini.

.10 Ne jamais installer les thermostats ou les sondes de pièce au-dessus des interrupteurs, rhéostats, gradateurs ou tout autre appareil de contrôle pouvant dégager de la chaleur.

.11 Les panneaux de contrôle ne doivent présenter aucune débouchure béante inutilisée.

.2 Raccordements électriques

.1 La présente section doit fournir et installer les panneaux, les contrôles, etc., et autres appareils propres à sa spécialité. Elle doit fournir et installer les conduits, câbles et boîtes nécessaires au raccordement complet de tous les appareils propres à sa spécialité.







.2 Se conformer aux exigences du devis d’électricité pour l’installation des conduits, des boîtes de jonction, de la filerie, etc.

.3 Le calibre des conducteurs servant exclusivement aux circuits de contrôle sont les suivants :

.1 120 V : calibre minimum no 14 AWG;

.2 24 V : calibre minimum no 18 AWG.

.4 Les calibres des conducteurs de contrôle doivent être tels que la perte de tension est inférieure à 5 % de la tension d’alimentation.

.5 Dans les plafonds plénums servant de retour d’air et dans les endroits non exposés aux dommages mécaniques, la présente section peut installer du « plénum câble » si elle en obtient l’autorisation des autorités concernées.

.6 La mise à la terre de toute l’installation de l’entrepreneur en contrôle fait partie de ce contrat et doit être faite selon la section électrique.

.7 Tous les raccordements électriques 600/347 V sont la responsabilité de l’entrepreneur en électricité.

.8 La présente section doit faire l’installation à 120 V monophasée des panneaux de contrôle locaux, lorsque requise, aux circuits identifiés pour le raccordement des équipements de contrôle.

.9 Tout filage de contrôle, filage d’entrebarrage et tout filage nécessaire pour donner l’opération spécifiée sera fourni et installé par le fournisseur des contrôles et sera protégé par des conduits à parois minces « EMT » ou « Rigide » dans le béton. Des moulures en surface de type ¨Wiremold¨ ou Hubbell 500/700 pour câbles seront permises aux endroits inaccessibles.

.3 Installation

.1 L’installation comprend : les schémas de principe électriques, câblage sur le chantier et en atelier, tuyauterie pneumatique, main-d’œuvre, surveillance, calibrage, mise en route et vérification, le tout pour une installation en ordre de marche.







.2 La présente section est responsable de l’installation de toutes les composantes fournies par elle et nécessaires au bon fonctionnement du système. Elle est, de plus, responsable de tout le câblage requis pour les raccordements électriques aux démarreurs.

.4 Essais, épreuves et calibrage

.1 Calibrer tous les appareils de commande, appareils de détection et autres.

.2 Simuler toutes les conditions de gel et vérifier les fonctionnements des contrôles. Ces mêmes contrôles doivent être également vérifiés lorsque la température extérieure est inférieure à -18 o C (0 o F).

.3 La présente section doit apporter une très grande coopération dans les épreuves et réglages des appareils et des systèmes des autres sections qui entrecoupent celle-ci.

.5 Mise en route

.1 L’entrepreneur en contrôle, l’installation du système complétée, devra procéder à la mise en fonction de son système.

.2 Vérification du système de contrôle.

.3 Mise en marche du système avec les systèmes électromécaniques en fonction.

.4 Durant la phase de vérification du système, le responsable des commandes devra exécuter, sans s’y limiter, les étapes suivantes :

.5 Vérifier le calibrage de tous les contrôleurs, thermostats, etc.

.6 Vérifier l’opération de tous les actuateurs.

.7 Simuler toutes les boucles de contrôle et ajuster les paramètres.

.8 La phase finale de mise en route devra se faire sous la supervision des représentants du propriétaire.

.9 Au cours de cette étape, les systèmes sont en fonction, sous la supervision des représentants du propriétaire. Le responsable en contrôle effectuera les correctifs et ajustements afin d’obtenir un système fonctionnel et sécuritaire.







.10 L’entrepreneur en commandes doit exécuter, à ses frais, les ajustements et modifications requis afin d’optimiser la séquence de fonctionnement.

.11 La mise en route terminée, démontrer le fonctionnement du système de contrôle.

.6 Réseau de contrôleurs numériques

.1 Concevoir et installer le système de façon à ce qu’il fonctionne pendant une panne de courant.

.2 Raccorder les contrôleurs numériques sur des circuits d’urgence.

.3 Alimenter les mémoires des contrôleurs numériques par des batteries ayant une autonomie de 72 heures.

.4 Aucun système spécial n’est prévu par d’autres sur les circuits d’alimentation électrique des contrôleurs numériques. Les contrôleurs numériques doivent donc être conçus pour que la mémoire de fonctionnement ne soit pas affectée par les variations possibles sur le réseau d’alimentation électrique ou les émissions RF.

.7 Entraînement du personnel technique

.1 Une fois le système approuvé et remis au propriétaire, l’entrepreneur donnera 4 heures de formation à celui-ci et à toute autre personne désignée par lui, un maximum de cinq (5) personnes.

.2 Cet entraînement se fera sous forme de cours dont le programme doit être préalablement approuvé. L’agenda sera comme suit : explication des diagrammes de régulation, description des appareils et contrôleurs et simulation sur les systèmes de différents événements.

.3 Fournir cinq (5) copies de tous les documents de formation.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ÉQUIPEMENT DE RÉSEAUX DE

B-131, B-133, B-231 ET B-237 COMMANDE CENTRALISÉ




1. GÉNÉRALITÉS

.1 Les appareils de commande et de régulation doivent être conformes aux indications et aux prescriptions ci-après.

.2 Sauf indication contraire, les appareils doivent provenir d'un seul et même fabricant, installateur lequel doit également les installer et en assurer l'entretien.

.3 Une fois installés, les systèmes de commande et de régulation doivent être mis hors circuit en toute sécurité en cas de panne.

.4 Tout câblage indiqué ou prescrit pour le système de régulation automatique relève de la présente section. Les appareils pré-câblés ou à tuyauterie incluse faisant partie des monoblocs prescrits ne relèvent pas de la présente section.

.5 Le système comprendra des panneaux de gestion maître (PGM) avec modem, les contrôleurs numérique, l’interface utilisateur. Tous les éléments du système devront être conçus en vue d’un fonctionnement autonome. Le contrôle devra toujours avoir lieu au plus bas niveau du système. Les communications entre les panneaux de gestion maître et le poste de travail seront assurés par un réseau local à haute vitesse. Tous les nœuds de ce réseau local seront homologues. Il ne sera pas nécessaire que l’opérateur connaisse le numéro d’identification ni l’emplacement d’un panneau pour visualiser ou contrôler un élément. Les régulateurs seront continuellement scrutés par les panneaux de gestion maître, afin d’obtenir une mise à jour continuelle des informations concernant les points et les alarmes.

.6 LA CSMV a présentement deux (2) fournisseurs en commande et régulation à l’école. Le contrôle de la températrure des classes (avec unités terminales de chauffage/ventilation) est fait par des boîtes de mélange sur technologie Delta. Le contrôle du système de ventilation des classes et du gymnase est sur ancienne technologie Johnson Controls (Metasys). Le contrôle de la température des locaux (ailleurs que dans les classes) est fait par des thermostats pneumatiques d’origine Johnson Controls, agissant sur des robinets de contrôle pneumatique deux voies N/F, montés sur le réseau de tuyauteries de chauffage à l’eau.







.7 Toutefois, les manufacturiers SIEMENS TECHNOLOGIE DU BÂTIMENT LTÉE, SOCIÉTÉ DE CONTRÔLE JOHNSON S.E.C. et REGULVAR INC. seront considérés à proposer des équivalences. Ceux-ci devront démontrer la preuve d'équivalence à la satisfaction de l'ingénieur et du client. Les critères suivants non limitatifs devront être respectés :

.1 Les logiciels et les fiches techniques devront être en francais

.2 L’accès opérationnelle devra être au 5 techniciens de la Commission scolaire des Grandes Seigneuries.

.3 Fournir une formation de 40 heures.

.4 Tous les points existants et nouveaux devront être raccordés sur les nouveaux contrôleurs et relier au réseau de la Commission scolaire des Grandes Seigneuries.

1.2 Normes de performance

.1 Le système devra être conforme aux normes de performances suivantes. Le fournisseur devra faire la démonstration des performances de son système devant l’ingénieur avant l’acceptation du système.

.1 Mise à jour des graphiques. Le système devra afficher un graphique comptant 20 points dynamiques et toutes les données courantes en moins de 1 seconde.

.2 Réponse aux commandes. Le délai maximum entre la commande d’un élément binaire et sa réaction devra être inférieur à 2 secondes. Les éléments analogiques devront réagir en moins de 2 secondes.

.3 Analyse électronique des éléments. Tous les éléments du système devront être analysés au moins une fois toutes les 45 secondes. L’analyse donnera toutes les valeurs anormales et toutes les propriétés spécifiées par l’opérateur.

.4 Délai de réponse aux alarmes. Le délai maximum entre le déclenchement d’une alarme au niveau d’un élément et sa transmission au poste de travail ne devra pas dépasser 30 secondes.







.5 Fréquence d’exécution des programmes. Les applications personnalisées et standards devront pouvoir être exécutées au moins une fois à chaque seconde.

.6 Transmission de plusieurs alarmes. Les alarmes devront être transmises aux postes de travail du réseau local à moins de 5 secondes d’intervalle.

1.3 Système à commandes numériques directes

(panneaux de gestion maître) (contrôleurs numériques)

.1 Fournir un système de régulation automatique, type à commandes numériques directes (DDC), comprenant des panneaux de gestion maîtres et contrôleurs numériques autonomes et spécifiques localisés aux endroits stratégiques du bâtiment en quantité suffisante pour rencontrer les besoins du projet et du bâtiment. Système de régulation automatique, type à commandes numériques directes (DDC).

.2 Panneaux de gestion maître

.1 Il devra avoir accès à l’ensemble des données des régulateurs d’applications du projet. La mémoire du panneau devra être suffisante pour contenir son système d’exploitation, sa base de données et les outils nécessaires à la programmation. L’utilisation de la mémoire ne devra pas excéder 75 % de sa capacité à l’intérieur du présent projet.

.2 Le panneau de gestion devra utiliser les services d’écritures et de lectures du standard 135-95 ASHRAE/ANSI pour l’intercommunication avec les objets BACnet/IP.

.3 Le système d’exploitation multitâches du panneau de gestion devra gérer les signaux d’entrées et de sorties des communications pour permettre le partage des informations réelles et virtuelles entre les divers régulateurs, exécuter les stratégies globales de régulations, permettre la surveillance centrale ainsi que le déclenchement des alarmes.







.4 Le panneau devra être en mesure de composer automatiquement et de répondre automatiquement à un système à distance par modem ou réseau intranet/internet. Les points du site qui passent de l’état normal à l’état d’alarme ou tout autre événement significatif devront aussi être en mesure de lancer la séquence de téléappel afin d’établir la communication et transmettre leur état d’alarme. Le panneau devra inclure un utilitaire pour la transmission d’appels alphanumériques à des téléavertisseurs.

.5 Le panneau de gestion devra continuellement vérifier l’état de tous les processeurs et circuits de mémoire. Si une panne est décelée, il devra :

.1 Adopter un mode de panne prédéterminé;

.2 Transmettre une alarme;

.3 Afficher la carte d’identification de la panne.

.6 Fournir des voyants DEL de diagnostic pour l’alimentation électrique, les communications et les alarmes. Le panneau de gestion devra être conçu en fonction d’une éventuelle expansion et d’une architecture future.

.7 En cas de coupure d’alimentation, le panneau devra conserver tous les systèmes d’entrées-sorties de base (BIOS) et les informations de programmation en mémoire durant au moins 72 heures. Si une batterie de secours est utilisée, elle devra être remplacée à la fin de la période de garantie. Le fabricant du système devra fournir la plus récente version du logiciel et du programme à la fin de la période de garantie. Il devra inclure une horloge en temps réel.

.3 Contrôleur numérique

.1 Système de régulation automatique, type à commandes numériques directes (DDC), comprenant des contrôleurs numériques autonomes et spécifiques localisés aux endroits stratégiques du bâtiment.

.2 Contrôleurs numériques locaux complets avec modules d'entrées/sorties, quincaillerie, logiciels, réseau de transmissions de données, etc.







.3 Chaque contrôleur numérique composant le système est relié aux autres contrôleurs numériques via le réseau de transmission des données qui sert à la communication.

.4 Il doit être possible d'ajouter sur le réseau de transmission principal des données, des modules du type « node » permettant l'addition de deux réseaux de transmission de données intermédiaires séparés. Cette addition permet d'augmenter la distance utile du "réseau" de transmission des données ainsi que d'augmenter la quantité totale du nombre de contrôleurs sur celui-ci.

.5 Afin d'assurer un fonctionnement intégral de chaque contrôleur numérique, chacun de ces dernières comportes le logiciel, pour pouvoir contrôler les activités qui lui sont propres sans avoir recours à d'autres éléments du système.

.6 La panne d'un contrôleur numérique ne doit pas rendre les autres contrôleurs numériques inopérants et ne doit pas affecter l'information et les activités rattachées à ces autres contrôleurs.

.7 Chaque contrôleur numérique doit pouvoir fonctionner indépendamment des autres contrôleurs numériques reliés au réseau des transmissions des données.

.8 Tous les modules de contrôle qui seront fournis et installés devront être de type Native-BAC Net de classe 3.

1.4 Centrale de commande et de gestion (logiciel du

poste utilisateur)

.1 Généralités

.1 Fournir et installer une centrale de commandes et de gestion permettant l'interface entre les contrôleurs numériques et les opérateurs extérieurs.

.2 La centrale devra se raccorder et être compatible avec le réseau des contrôleurs numériques (voir la section Systèmes à commandes numériques directes (DDC).







.3 Système de construction modulaire permettant d'adjoindre ultérieurement des périphériques, des canaux de communications et du logiciel sans changer l'équipement de base.

.4 Le système pourra être utilisé simultanément par plusieurs personnes. L’opérateur devra avoir accès aux données du système au moyen d’un code d’accès. Plusieurs utilisateurs pourront simultanément avoir accès à toutes les données valides du système. Un opérateur devra être en mesure d’accéder à toutes les données valides du système à partir de n’importe quel poste de travail.

.5 Fournir un système d’exploitation multitâche concurrent.

.6 Le logiciel devra fonctionner sur Microsoft Windows.

.2 Fonctions de la centrale de commandes

.1 La centrale de commandes doit pouvoir assurer les fonctions suivantes relatives à l'automatisation de l'édifice :

.1 Comporter un programme de surveillance en temps réel de tous les points assignés aux fonctions d'alarmes.

.2 Pouvoir lire ou modifier tous les points entrées/sorties, paramètres, cédules et programmes résidant dans les contrôleurs numériques.

.2 La centrale de commandes doit pouvoir accomplir les tâches suivantes :

.1 Affichage sur écran et/ou relevé à l'imprimante

.1 Du mode de fonctionnement;

.2 De la valeur analogique de chaque point;

.3 Du relevé des états;

.4 Du relevé de toutes les alarmes;

.5 Des graphiques couleurs des systèmes;

.6 Des données du système;

.7 Des données sur écran;







.8 Du relevé de tous les points.

.9 Tracage de courbe à l’écran.

.2 Fonction de commande

.1 Marche/arrêt;

.2 Mise sous sécurité contrôle des accès;

.3 Vérification réarmement;

.4 Redémarrage des systèmes après une panne de courant.

.3 Fonctions automatiques

.1 Rapport des alarmes numériques;

.2 Rapport des alarmes analogiques;

.3 Programmation horaire;

.4 Affichage du temps réel;

.5 Sortie sur imprimante des nouvelles alarmes;

.6 Sortie sur imprimante des retours à la normale;

.7 Commandes selon un événement (alarme, départ, etc.).

1.5 Entrées et sorties des données

.1 Les capteurs d'entrées-sorties et les dispositifs devront permettre une entrée-sortie des signaux précise, sensible et sans bruit. La sensibilité des entrées de régulation devra être élevée et doit correspondre au gain de la boucle pour une régulation sensible et précise.

2. PRODUITS

.1 Sans objet.

3. EXÉCUTION

.1 Sans objet.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES INSTRUMENTS ET ÉQUIPEMENTS

B-131, B-133, B-231 ET B-237 TERMINAUX




1. GÉNÉRALITÉS

1.1 Exigences générales

.1 Les sections concernant l’étendue des travaux et les exigences générales s’appliquent intégralement.

.2 Fournir tous les points de captage à distance et l’instrumentation requise pour un système de gestion d’énergie complet. Toutes les sondes doivent posséder une précision conforme aux spécifications qui suivent. Hystérésis, temps de repos, plage, seuils maximum/ minimum, etc. doivent aussi être pris en considération pour toutes les applications des sondes et des contrôleurs.

.3 Tous les instruments d’une catégorie particulière doivent être du même type et provenir du même Fournisseur.

.4 Tout le matériel externe doit être complètement à l’épreuve de la corrosion, toutes les parties internes doivent être assemblées de façon étanche, à l’épreuve des chocs, des vibrations et de la chaleur.

.5 Utiliser des boîtes de raccordement standard pour les conduits.

.6 Conditions de fonctionnement : 0 C à 40 C avec humidité relative entre 10 et 90 % (sans condensation) à moins d’indication contraire.

.7 Fournir les instructions du Fournisseur concernant l’installation de l’équipement fourni. Tout l’équipement doit être installé selon les méthodes et procédures recommandées par le Fournisseur et les règles de l’art.

.8 Lorsque la mention « Fournisseur des PLC » est incluse dans la liste des produits acceptables, elle doit être interprétée de la façon suivante : un produit répondant aux spécifications dudit article est acceptable s’il se retrouve dans les catalogues du Fournisseur des unités PLC proposé par le Sous-traitant.

.9 Toutes les sondes de température, d'humidité et de pression doivent être amovibles en quelques secondes.







2. PRODUITS

2.1 Transmetteurs

.1 Généralités

.1 Ces transmetteurs seront dotés des éléments électroniques nécessaires pour assurer une transmission linéaire tout au long de la plage de transmission. Ils seront de construction robuste et installés de façon à permettre un accès facile. Ils seront compatibles avec les contrôleurs.

.2 Sonde de température de pièce

.1 Les sondes de pièce où il y a de la climatisation seront du type DDC. Elles devront être raccordées au contrôleur numérique via le réseau de communication dédié à communication sans fil.

.2 Installer dans toutes les pièces climatisées, ventilées et chauffées.

.3 Les sondes devront être munies d'un potentiomètre indépendant permettant un réajustement local en mode occupé ou remise temporaire en mode occupé (à être déterminé par les séquences de contrôle).

.4 Pile de secours intégrée.

.5 Produit acceptable : RW-TP02-02 de Régulvar.

2.2 Thermostats électriques (électronique) de pièce

.1 Les thermostats de pièce auront les contacts de voltage de ligne, unipolaire, contact deux pôles et auront une échelle d'opération de 5 à 30oC.

.2 Les thermostats devront être fournis avec affichage à cristaux liquides affichant la température de pièce.

.3 Les thermostats installés dans les zones de services devront fournis avec boîtiers transparent de protection permettant une ventilation adéquate de l’appareil le tout avec barrure. Ils devront être fournis avec une clef unique pour l’accès de tous les thermostats.







2.3 Relais de plinthe

.1 Fournir les relais triac et 2 panneaux d’une capacité de 40 relais triac pour la modulation des plinthes électriques (prévoir les charges selon le panneau de distribution électrique 3A & 3B).

2.4 Produits acceptables

.1 Stelpro Type RCC, Panneau Cristal CCTP- 30A et relais CCT-30 ou équivalent.

2.5 Plaques signalétiques

.1 Les plaques signalétiques seront conformes aux prescriptions de la section 25 05 53.01.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES SÉQUENCE D’OPÉRATION

B-131, B-133, B-231 ET B-237 NARRATIVE




1. GÉNÉRALITÉS

.1 Vérifier avec le Propriétaire afin d'obtenir tous les calendriers d'évènements et l'horaire des différents modes et en faire la programmation.

.2 Tous les paramètres d'opération tels que points de consigne, données de tableaux de réajustement, gains proportionnels, intégraux et dérivatifs, etc. doivent être programmés comme des variables afin de permettre leur modification aisée sans avoir à modifier la programmation.

.3 Tous les gains proportionnels, intégraux et dérivatifs doivent être ajustés jusqu'à ce que chaque boucle de contrôle soit acceptée par le Professionnel.

.4 Chaque moteur doit posséder un paramètre programmable permettant la remise en marche séquentielle de tous les moteurs lors du retour de l'alimentation électrique après une panne, et ce, afin d'éliminer les surcharges à ce moment. Le Sous-traitant devra faire approuver par le Professionnel les paramètres qui seront programmés et faire la démonstration que la séquence est respectée au retour d'une panne.

.5 Le Sous-traitant doit inclure dans sa programmation un paramètre programmable, pour chaque moteur raccordé au panneau de distribution électrique d'urgence, permettant une remise en marche séquentielle de tous ces moteurs lors du démarrage de la génératrice, et ce, afin d'éliminer les surcharges à ce moment. Le Sous-traitant devra démontrer au Professionnel la fonction de la programmation.

.6 La fourniture, l'installation et le raccordement de tous les relais électriques, inter verrouillages, convertisseurs et autres accessoires requis afin de respecter les séquences d'opération décrites dans cette section sont la responsabilité du présent Sous-traitant.

.7 Toute transition d'un point de consigne ou mode d'opération à un autre doit se faire progressivement afin d'éviter les opérations brusques. Cette transition doit s'effectuer suivant une période de temps ajustable selon l'application.

.8 Toutes les alarmes relatives à un système doivent être désactivées lorsque ce système est à l'arrêt. De plus, un délai ajustable doit permettre le retardement de l'activation de la fonction d'alarme au départ du système. Toutes les valeurs de débit données aux plans et dans la présente section ne doivent pas être considérées comme exactes. Le Sous-traitant doit relever les valeurs exactes sur les plans de ventilation.


RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES SÉQUENCE D’OPÉRATION

B-131, B-133, B-231 ET B-237 NARRATIVE




2. SÉQUENCES NARRATIVES

.1 Les séquences d’opération devront permettre de contrôler tous les équipements reliés au contrôleur numérique et à la centrale de commande. Les dessins d'atelier devront inclure une séquence d'opération conforme aux dessins. À cette étape, l'entrepreneur sera assisté de l'ingénieur surveillant pour établir tous les points de consigne, les horaires d’opération, les points de surveillance, les boucles de contrôle, ainsi que les graphiques de présentation et d’historique. Les séquences à prévoir sont :

.1 La gestion et les horaires d’opération des systèmes électromécaniques ;

.1 Prévoir une séquence d’abaissement des températures de pièce en mode inoccupé avec départ optimisé.

RÉFECTION DES SALLES DE TOILETTES ÉCOLE...

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