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Cette période de l’année préside traditionnellement à la présentation des projets qui sont conduits dans les classes depuis plusieurs mois. Restituer ces travaux est l’aboutissement d’une dynamique qui a permis aux élèves de s’approprier des domaines artistiques et culturels, dans le prolon- gement des apprentissages de la classe, avec le plus souvent l’appui de partenaires et bien sûr l’accompagnement des professeurs, qu’il s’agisse du spectacle vivant, d’arts visuels, de littérature, de musique, du patrimoine ou de culture scientifique et technologique. Inscrits dans le parcours d’éduca- tion artistique et culturelle, ces projets contribuent à la formation et à l’épa- nouissement des élèves, à l’éveil du sensible et de la créativité. Ces moments de valorisation constituent des temps festifs avec l’ensemble des élèves, de la communauté éducative et des familles, offrant ainsi à tous le plaisir et la joie de partager l’engagement éducatif d’une année qui aboutit à une réalisation offerte au public. Brigitte Quilhot-Gesseaume, Déléguée académique à l’éducation artistique et à l’action culturelle Agenda mai 2014 n° 8 recto - verso 26 mai 11h : Comité de suivi du nouveau rectorat - salle du Conseil 14h : Comité stratégique du numérique - salle du Conseil 17h30 : Olympiades de mathématiques - salle du Conseil 2 juin 9h : RED restreinte - salle du Conseil 3 juin 18h : signature Convention avec Auto- nome de Solidarité - salle des commissions 4 juin 10h : réunion de cadrage du colloque inter-académique - salle du Conseil 5 juin 9h : CODIR - salle du Conseil 10 juin 14h : CTS - salle du Conseil 11 juin 9h30 : Mercredi de la mobilité - salle du Conseil 13 juin 9h30 : CODIR - salle du Conseil 16 juin 17h30 : CPU - salle Bidou Arts et culture : florilège de fin d’année Editorial Agenda culturel Consultez l’agenda arts et culture mai-juillet 2014

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recto - verso n°8, mai 2014

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Page 1: recto - verso n°8

Cette période de l’année préside traditionnellement à la présentation des projets qui sont conduits dans les classes depuis plusieurs mois. Restituer ces travaux est l’aboutissement d’une dynamique qui a permis aux élèves de s’approprier des domaines artistiques et culturels, dans le prolon-gement des apprentissages de la classe, avec le plus souvent l’appui de partenaires et bien sûr l’accompagnement des professeurs, qu’il s’agisse du spectacle vivant, d’arts visuels, de littérature, de musique, du patrimoine ou de culture scientifique et technologique. Inscrits dans le parcours d’éduca-tion artistique et culturelle, ces projets contribuent à la formation et à l’épa-nouissement des élèves, à l’éveil du sensible et de la créativité. Ces moments de valorisation constituent des temps festifs avec l’ensemble des élèves, de la communauté éducative et des familles, offrant ainsi à tous le plaisir et la joie de partager l’engagement éducatif d’une année qui aboutit à une réalisation offerte au public.

Brigitte Quilhot-Gesseaume, Déléguée académique à l’éducation artistique

et à l’action culturelle

Agenda

mai 2014 n° 8

r e c t o - v e r s o

Directeur de la publication :Hélène Bernard, rectrice de l’académie de Toulouse,chancelière des universitésConception et réalisation : Direction de la communicationResponsable de l’édition : Marianne BouziguesRédaction : Vincent PalermCrédit photo : académie de Toulouse

26 mai11h : Comité de suivi du nouveau rectorat - salle du Conseil14h : Comité stratégique du numérique - salle du Conseil17h30 : Olympiades de mathématiques - salle du Conseil

2 juin9h : RED restreinte - salle du Conseil

3 juin18h : signature Convention avec Auto-nome de Solidarité - salle des commissions

4 juin10h : réunion de cadrage du colloque inter-académique - salle du Conseil

5 juin 9h : CODIR - salle du Conseil

10 juin14h : CTS - salle du Conseil

11 juin 9h30 : Mercredi de la mobilité - salle du Conseil

13 juin 9h30 : CODIR - salle du Conseil

16 juin 17h30 : CPU - salle Bidou

Arts et culture : florilège de fin d’année

Visites du chantier du nouveau rectorat

Editorial

Visite du 15 mai 2014

Jardin public – 15 mai 2014

Visite du 18 mai 2014

Entrée rectorat

Les visites sont organisées par campagne selon l’avancement du chantier de façon à montrer des espaces les plus avancés possibles. Les dates sont communiquées par courriel aux chefs de bureau des services concernés par chaque campagne, qui inscrivent les agents sur un formulaire en ligne. Ainsi chaque bureau peut s’organiser pour envoyer des «émissaires» visiter les futurs locaux. Attention, il s’agit de visites de chantier et les consignes de sécurité devront être respectées ! Jusqu’au 12 juin, la DLG, DEC, DPE, DAJ, DESUP et les corps d’inspection sont concernés. Les autres suivront.

Sans attendre les visites, chacun peut aujourd’hui se rendre dans le jardin public qui jouxte le futur rectorat, une promenade agréable avec l’arrivée des beaux jours !

Agenda

culturel

Consultez l’agenda arts et culture mai-juillet 2014

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C’est pour répondre à cette problématique que le comité de suivi a monté un groupe de travail auquel participent 12 représen-tants des services, 2 membres du CTS, 1 membre du CHSCTA, auquel sont invités le médecin de prévention et la DASE. Le groupe de travail s’est fait accompagner par Jean-Julien Urbain et Michel Tosi de la so-ciété EMA, qui suit les administrations et les entreprises sur ce type de sujet complexe. Après 5 séances de travail, une notice de recommandations pour l’aménagement des bureaux à destination du comité de suivi est en cours de production : Alors ? Quelles orientations sont retenues ? .Un premier constat : nos positions de tra-vail actuelles sont largement améliorables. Un rapide état des lieux dans les services fait par le groupe de travail s’est avéré très parlant : tant sur la dotation matérielle que sur la façon dont nous avons organisé nos espaces de travail. Souvent la dotation comme l’aménagement est le fruit de l’his-toire et de l’improvisation générée, soyons francs, par le manque de moyens, mais pas seulement : notre comportement ou le manque de discussion autour de l’aména-gement dans un espace partagé sont aussi en cause. Il est même possible que nous ne

nous rendions plus compte que notre posi-tion est mauvaise parce que notre corps s’y est adapté. Paradoxalement, par habitude, certains d’entre nous y sont très attachés, mais à quel prix pour leur santé !La position de travail idéale ? Elle est avant tout personnelle mais il faut comprendre qu’elle découle de critères objectifs et sub-jectifs. Les critères objectifs de l’ergono-mie d’un poste de travail dépendent d’élé-ments environnementaux (lumière, bruit, mouvements) et d’éléments individuels (poids, taille, âge, sexe, …). Le groupe de travail s’est assuré que les critères objec-tifs soient pris en compte dans l’aménage-ment : orientation par rapport à la lumière naturelle, qualité des fauteuils permettant des réglages fins pour s’adapter aux dif-férents besoins personnels, espace per-sonnel de rangement fermant à clé, etc… Ces éléments figureront dans la notice de recommandations. Les nouvelles dotations informatiques vont aussi dans le sens d’une meilleure ergonomie (écran réglable en hauteur). Les critères subjectifs et les per-ceptions individuelles, quant à eux, sont difficiles à prendre en compte et renvoient parfois à certaines idées reçues d’ordre professionnel, social, affectif…

Quels espaces de travail pour le nouveau rectorat ?Le nouveau bâtiment a été voulu sans «open-spaces», ces ensembles paysagers de plus de dix bureaux qui sont encore souvent installés dans les nouvelles construc-tions. Néanmoins le bureau individuel reste l’exception, l’espace partagé de 2 à 6 personnes la règle. Comment faire en sorte que cette contrainte soit la plus confor-table possible ?

La décision d’acheter du mobilier neuf pour le nou-veau rectorat permet de penser l’aménagement dès le départ et de répondre, enfin, à certaines attentes dans ce domaine. Alors ne rêvons pas, tout ne sera pas possible… tout doit passer sous les fourches caudines du budget. Cependant, le groupe de tra-vail a pris soin de démêler ce qui relevait de critères ergonomiques objectifs de ce qui relevait de per-ceptions individuelles souvent loin du souci ergono-mique. Il a pu faire ressortir des principes clairs et apporter ainsi au comité de suivi les priorités qu’il faudra décliner dans l’ensemble des espaces de travail. Certes chaque local aura son aménagement en fonction des missions qui y sont exercées et de sa position dans le bâtiment, mais les grands prin-cipes devront être respectés de façon à rendre ces espaces partagés les plus confortables possibles.

3 questions à Jean-Julien Urbain et Michel Tosi, de la société EMA :1/ Quels sont pour vous les défis à relever dans ce type de projet d’aménagement ? C’est un jeu de poupées russes, où l’appropriation du projet par les utilisateurs en serait le chapeau. Cet intérêt ne peut se développer sans des signaux forts d’une direction, comme un traitement équitable et ergonomique des positions du travail, ou l’ouverture de la réflexion avec ceux qui en seront les acteurs. Pour nous, le meilleur expert des conditions du travail est celui qui les exécute tous les jours.

2/ La notion d’espace de travail ne va-t-elle pas bien au-delà du local où chaque agent est affecté ?Oui en effet ! Avec la miniaturisation des outils infor-matiques et de communication qui favorise la mobilité, nous assistons à un déplacement de la notion de «bureau» qui n’est plus simplement le lieu où l’on

4 principes en exergue pour le groupe de travail :

1/ Assurer une dotation matérielle équitable

2/ Mettre de l’ergonomie et du confort dans les positions

de travail

3/ Organiser des espaces modulables

4/ Offrir des espaces collectifs confortables

Zoom

écrit (de la bure que revêtaient les scripts du moyen-âge). Chaque agent aura la possibilité de prendre à sa «charge» l’usage de l’ensemble du bâtiment au travers des différents temps du travail, les salles de réunion, les bureaux de réception, les points de rencontres, les espaces de pause ou de restauration.... et n’oublions pas l’environnement extérieur que sont le patio ou le jardin mitoyen. 3/ Vous qui avez un regard extérieur, quelles sont les forces et les faiblesses du nouveau rectorat ? L’évidence est de parler des conditions de travail actuelles qui sont hétérogènes et souvent dans des lieux qui ne sont plus adaptés au travail et en particulier au temps passé devant un écran informatique. Les espaces sont grands, très bien éclairés par des ouvertures généreuses, des matériaux de qualité avec une écriture architecturale sobre et respectueuse de l’environnement. L’enjeu sera sur l’ani-mation du bâtiment (de par sa longueur) et la capacité de chacun à s’inscrire dans cette «nouvelle vie de bureau». La signalétique et l’aménagement des locaux auront à ce titre leur contribution.

3 questions à Florence et Patricia, membres du groupe de travail.1/ Qu’avez-vous retenu de ces cinq séances sur les espaces de travail ?Le GT nous a permis d’obtenir une information précise et complète sur les aménagements du nouveau site du rectorat. Nous avons travaillé sur l’ergonomie du poste de travail et l’importance de l’environnement (lumière, son, gêne visuelle): des notions bien comprises qu’il faudra mettre en œuvre. L’expression des gestionnaires a été libre et leurs probléma-tiques qui diffèrent selon les services ont été entendues.

2/ Qu’avez-vous le plus apprécié dans ce groupe de travail ?L’échange avec des professionnels spécialisés dans ce type d’opération (aménagement des postes de travail). La ren-contre des collègues que l’on ne connait pas, que l’on ne croise pas car ils sont sur d’autres site. La prise de contact pour le futur aménagement, la participation active sur le choix des fauteuils, des bureaux. La visite du rectorat.

3/ Que pensez-vous alors des futures conditions matérielles dans le nouveau rectorat ?Le bâtiment est neuf et le mobilier est neuf et les problé-matiques d’ergonomie sont au coeur des préoccupations des gestionnaires et de la DLG. On souligne aussi que la modernité et la qualité des matériaux semblent au rendez-vous. On notera même la présence de bois sur les plinthes, les encadrements de porte et des aménagements d’espaces verts dans les patios et les terrasses.

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C’est pour répondre à cette problématique que le comité de suivi a monté un groupe de travail auquel participent 12 représen-tants des services, 2 membres du CTS, 1 membre du CHSCTA, auquel sont invités le médecin de prévention et la DASE. Le groupe de travail s’est fait accompagner par Jean-Julien Urbain et Michel Tosi de la so-ciété EMA, qui suit les administrations et les entreprises sur ce type de sujet complexe. Après 5 séances de travail, une notice de recommandations pour l’aménagement des bureaux à destination du comité de suivi est en cours de production : Alors ? Quelles orientations sont retenues ? .Un premier constat : nos positions de tra-vail actuelles sont largement améliorables. Un rapide état des lieux dans les services fait par le groupe de travail s’est avéré très parlant : tant sur la dotation matérielle que sur la façon dont nous avons organisé nos espaces de travail. Souvent la dotation comme l’aménagement est le fruit de l’his-toire et de l’improvisation générée, soyons francs, par le manque de moyens, mais pas seulement : notre comportement ou le manque de discussion autour de l’aména-gement dans un espace partagé sont aussi en cause. Il est même possible que nous ne

nous rendions plus compte que notre posi-tion est mauvaise parce que notre corps s’y est adapté. Paradoxalement, par habitude, certains d’entre nous y sont très attachés, mais à quel prix pour leur santé !La position de travail idéale ? Elle est avant tout personnelle mais il faut comprendre qu’elle découle de critères objectifs et sub-jectifs. Les critères objectifs de l’ergono-mie d’un poste de travail dépendent d’élé-ments environnementaux (lumière, bruit, mouvements) et d’éléments individuels (poids, taille, âge, sexe, …). Le groupe de travail s’est assuré que les critères objec-tifs soient pris en compte dans l’aménage-ment : orientation par rapport à la lumière naturelle, qualité des fauteuils permettant des réglages fins pour s’adapter aux dif-férents besoins personnels, espace per-sonnel de rangement fermant à clé, etc… Ces éléments figureront dans la notice de recommandations. Les nouvelles dotations informatiques vont aussi dans le sens d’une meilleure ergonomie (écran réglable en hauteur). Les critères subjectifs et les per-ceptions individuelles, quant à eux, sont difficiles à prendre en compte et renvoient parfois à certaines idées reçues d’ordre professionnel, social, affectif…

Quels espaces de travail pour le nouveau rectorat ?Le nouveau bâtiment a été voulu sans «open-spaces», ces ensembles paysagers de plus de dix bureaux qui sont encore souvent installés dans les nouvelles construc-tions. Néanmoins le bureau individuel reste l’exception, l’espace partagé de 2 à 6 personnes la règle. Comment faire en sorte que cette contrainte soit la plus confor-table possible ?

La décision d’acheter du mobilier neuf pour le nou-veau rectorat permet de penser l’aménagement dès le départ et de répondre, enfin, à certaines attentes dans ce domaine. Alors ne rêvons pas, tout ne sera pas possible… tout doit passer sous les fourches caudines du budget. Cependant, le groupe de tra-vail a pris soin de démêler ce qui relevait de critères ergonomiques objectifs de ce qui relevait de per-ceptions individuelles souvent loin du souci ergono-mique. Il a pu faire ressortir des principes clairs et apporter ainsi au comité de suivi les priorités qu’il faudra décliner dans l’ensemble des espaces de travail. Certes chaque local aura son aménagement en fonction des missions qui y sont exercées et de sa position dans le bâtiment, mais les grands prin-cipes devront être respectés de façon à rendre ces espaces partagés les plus confortables possibles.

3 questions à Jean-Julien Urbain et Michel Tosi, de la société EMA :1/ Quels sont pour vous les défis à relever dans ce type de projet d’aménagement ? C’est un jeu de poupées russes, où l’appropriation du projet par les utilisateurs en serait le chapeau. Cet intérêt ne peut se développer sans des signaux forts d’une direction, comme un traitement équitable et ergonomique des positions du travail, ou l’ouverture de la réflexion avec ceux qui en seront les acteurs. Pour nous, le meilleur expert des conditions du travail est celui qui les exécute tous les jours.

2/ La notion d’espace de travail ne va-t-elle pas bien au-delà du local où chaque agent est affecté ?Oui en effet ! Avec la miniaturisation des outils infor-matiques et de communication qui favorise la mobilité, nous assistons à un déplacement de la notion de «bureau» qui n’est plus simplement le lieu où l’on

Zoom

écrit (de la bure que revêtaient les scripts du moyen-âge). Chaque agent aura la possibilité de prendre à sa «charge» l’usage de l’ensemble du bâtiment au travers des différents temps du travail, les salles de réunion, les bureaux de réception, les points de rencontres, les espaces de pause ou de restauration.... et n’oublions pas l’environnement extérieur que sont le patio ou le jardin mitoyen. 3/ Vous qui avez un regard extérieur, quelles sont les forces et les faiblesses du nouveau rectorat ? L’évidence est de parler des conditions de travail actuelles qui sont hétérogènes et souvent dans des lieux qui ne sont plus adaptés au travail et en particulier au temps passé devant un écran informatique. Les espaces sont grands, très bien éclairés par des ouvertures généreuses, des matériaux de qualité avec une écriture architecturale sobre et respectueuse de l’environnement. L’enjeu sera sur l’ani-mation du bâtiment (de par sa longueur) et la capacité de chacun à s’inscrire dans cette «nouvelle vie de bureau». La signalétique et l’aménagement des locaux auront à ce titre leur contribution.

3 questions à Florence et Patricia, membres du groupe de travail.1/ Qu’avez-vous retenu de ces cinq séances sur les espaces de travail ?Le GT nous a permis d’obtenir une information précise et complète sur les aménagements du nouveau site du rectorat. Nous avons travaillé sur l’ergonomie du poste de travail et l’importance de l’environnement (lumière, son, gêne visuelle): des notions bien comprises qu’il faudra mettre en œuvre. L’expression des gestionnaires a été libre et leurs probléma-tiques qui diffèrent selon les services ont été entendues.

2/ Qu’avez-vous le plus apprécié dans ce groupe de travail ?L’échange avec des professionnels spécialisés dans ce type d’opération (aménagement des postes de travail). La ren-contre des collègues que l’on ne connait pas, que l’on ne croise pas car ils sont sur d’autres site. La prise de contact pour le futur aménagement, la participation active sur le choix des fauteuils, des bureaux. La visite du rectorat.

3/ Que pensez-vous alors des futures conditions matérielles dans le nouveau rectorat ?Le bâtiment est neuf et le mobilier est neuf et les problé-matiques d’ergonomie sont au coeur des préoccupations des gestionnaires et de la DLG. On souligne aussi que la modernité et la qualité des matériaux semblent au rendez-vous. On notera même la présence de bois sur les plinthes, les encadrements de porte et des aménagements d’espaces verts dans les patios et les terrasses.

4 principes en exergue pour le groupe de travail :

1/ Assurer une dotation matérielle équitable

2/ Mettre de l’ergonomie et du confort dans les positions

de travail

3/ Organiser des espaces modulables

4/ Offrir des espaces collectifs confortables

Page 4: recto - verso n°8

Cette période de l’année préside traditionnellement à la présentation des projets qui sont conduits dans les classes depuis plusieurs mois. Restituer ces travaux est l’aboutissement d’une dynamique qui a permis aux élèves de s’approprier des domaines artistiques et culturels, dans le prolon-gement des apprentissages de la classe, avec le plus souvent l’appui de partenaires et bien sûr l’accompagnement des professeurs, qu’il s’agisse du spectacle vivant, d’arts visuels, de littérature, de musique, du patrimoine ou de culture scientifique et technologique. Inscrits dans le parcours d’éduca-tion artistique et culturelle, ces projets contribuent à la formation et à l’épa-nouissement des élèves, à l’éveil du sensible et de la créativité. Ces moments de valorisation constituent des temps festifs avec l’ensemble des élèves, de la communauté éducative et des familles, offrant ainsi à tous le plaisir et la joie de partager l’engagement éducatif d’une année qui aboutit à une réalisation offerte au public.

Brigitte Quilhot-Gesseaume, Déléguée académique à l’éducation artistique

et à l’action culturelle

Agenda

mai 2014 n° 8

r e c t o - v e r s o

Directeur de la publication :Hélène Bernard, rectrice de l’académie de Toulouse,chancelière des universitésConception et réalisation : Direction de la communicationResponsable de l’édition : Marianne BouziguesRédaction : Vincent PalermCrédit photo : académie de Toulouse

26 mai11h : Comité de suivi du nouveau rectorat - salle du Conseil14h : Comité stratégique du numérique - salle du Conseil17h30 : Olympiades de mathématiques - salle du Conseil

2 juin9h : RED restreinte - salle du Conseil

3 juin18h : signature Convention avec Auto-nome de Solidarité - salle des commissions

4 juin10h : réunion de cadrage du colloque inter-académique - salle du Conseil

5 juin 9h : CODIR - salle du Conseil

10 juin14h : CTS - salle du Conseil

11 juin 9h30 : Mercredi de la mobilité - salle du Conseil

13 juin 9h30 : CODIR - salle du Conseil

16 juin 17h30 : CPU - salle Bidou

Arts et culture : florilège de fin d’année

Visites du chantier du nouveau rectorat

Editorial

Visite du 15 mai 2014

Jardin public – 15 mai 2014

Visite du 18 mai 2014

Entrée rectorat

Les visites sont organisées par campagne selon l’avancement du chantier de façon à montrer des espaces les plus avancés possibles. Les dates sont communiquées par courriel aux chefs de bureau des services concernés par chaque campagne, qui inscrivent les agents sur un formulaire en ligne. Ainsi chaque bureau peut s’organiser pour envoyer des «émissaires» visiter les futurs locaux. Attention, il s’agit de visites de chantier et les consignes de sécurité devront être respectées ! Jusqu’au 12 juin, la DLG, DEC, DPE, DAJ, DESUP et les corps d’inspection sont concernés. Les autres suivront.

Sans attendre les visites, chacun peut aujourd’hui se rendre dans le jardin public qui jouxte le futur rectorat, une promenade agréable avec l’arrivée des beaux jours !

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