Rappel aux épouses

8/14/2019 Rappel aux épouses

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Ô toi ma « sœur de la bonne 'aqida »

« Fais savoir aux femmes que tu rencontreras que le fait d'obéir à leursmaris et reconnaître les droits qu'ils ont sur elles équivaut au jihâd, et

peu nombreuses sont celles qui le font.

Maintenant que tu sais cela, occupe toi donc de préserver les forces de

ton mari pour qu'il combatte les ennemis d'Allah et ne l'épuise pas parton " jihad" la maison !

!a femme doit obéir à toutes les demandes de son mari pourvu qu'elles soient licites "elle doit préserver sa personne et les biens qu'il poss#de " elle ne doit pas le heurter en

prenant l'air sév#re ou en adoptant une attitude qu'il n$aime pas. %e sont là les droitsmajeurs que le mari a sur sa femme.

&l(â)im rapporte d'apr#s '*+sha

« -e demandai à l'nvo/é de 0ieu 1234 6728 9 :2; qui a plus de droits sur une femme. <l



me répondit « =on mari .

-e lui demandai « >ui a plus de droits sur un homme ? <l me répondit « =a m#re.

!'nvo/é de 0ieu 1234 6728 9 :2; a confirmé aussi en ces termes

« =i j'avais ordonné à une personne de se prosterner devant une autre, j'aurais ordonné àla femme de se prosterner devant son époux.

n outre, 0ieu a dépeint ainsi les bonnes épouses

« !es épouses pieuses sont obéissantes et @ardent dans l'absence ce que 0ieusauve@arde A =ourate B Cerset DB E

ar le fait qu'elles « @ardent dans l'absence , il faut entendre qu'elles préservent leurs personnes et les biens de leurs maris. Gels sont les traits les plus nobles auxquels unefemme puisse prétendre. %'est par la présence de ces traits cheH l'épouse que la vie ducouple perdure et réussit.

In rapporte que l'nvo/é de 0ieu 1234 6728 9 :2; a dit

« !a meilleure des femmes est celle qui, lorsque tu la re@ardes, te réjouit, et qui, lorsquetu lui donnes un ordre, t'obéit, et qui, lorsque tu t'absentes, @arde sa personne et préservetes biens.

n outre, proté@er ainsi son mari est une forme de combat sur le chemin de 0ieu.

<bn '&bbâs rapporte

Jne femme vint trouver le roph#te 1234 6728 9 :2; et lui dit « K nvo/é de 0ieu L!es femmes m'envoient te questionner. 0ieu a prescrit aux hommes le jihâd s'ils sontatteints, ils en tirent une rétribution et s'ils sont tués, ils vivent aupr#s de leur =ei@neur, à

jouir de l'attribution qui leur est faite. >uant à nous autres, les femmes, nous prenonssoin d'eux " notre question est donc la suivante quelle est notre part dans tout cela ? !'nvo/é de 0ieu répondit « Fais savoir aux femmes que tu rencontreras que le faitd'obéir à leurs maris et reconnaître les droits qu'ils ont sur elles équivaut au jihâd, et peunombreuses sont celles qui le font.

%e qui montre l'importance de ce droit, c'est que l'<slam associe l'obéissance due au mari

à l'accomplissement des obli@ations reli@ieuses et à l'obéissance à 0ieu .

<l 1234 6728 9 :2; a dit é@alement



« >u'une femme accomplisse ses cinq pri#res, jeMne son mois, préserve son sexe etobéisse à son mari, et on lui dira Nntre au aradis par la porte que tu veux LN A Oapporté par &hmad et atGabarânî d'apr#s '&bd arOahmân <bn '&Pf E

ar ailleurs, c'est essentiellement la désobéissance des femmes à leurs maris qui leurvaudra d'entrer en nfer.

0'apr#s <bn '&bbâs l' nvo/é de 0ieu 1234 6728 9 :2; a dit

« In m'a montré l'nfer et j'ai vu que la plupart de ses habitants étaient des femmes quiavaient été in@rates envers leurs maris. >uand vous aveH toujours été bons pour l'uned'elles et qu'elle voit de vous une seule chose qui lui déplaît, elle vous dit N-amais,

jamais je n'ai rien vu de bon de ta part. A Oapporté par &lQu)hârî E

&lQu)hârî, Ruslim et &hmad rapportent, d'apr#s &bM (ura/ra , le hadith suivant

« !orsqu'un homme invite sa femme à parta@er sa couche, qu'elle refuse et qu'il passe lanuit irrité contre elle, les an@es la maudissent jusqu'au matin. A Oapporté par &lQu)hârî, Ruslim et &hmad E

%eci étant, une épouse ne doit obéir à son mari que si la demande de ce dernier estraisonnable, la r#@le voulant que «les créatures ne sont pas tenues d'obéir à un ordre, s'ils'a@it de désobéir au %réateur , en sorte que si son ordre constitue une désobéissance,elle doit refuser de l'exécuter.

Fait é@alement partie de l'obéissance due au mari, le fait qu'une femme s'abstienned'accomplir le jeMne ou le p#lerina@e suréro@atoires ou sorte de cheH elle, tant que sonépoux ne lui en a pas donné l'autorisation.

&bM 0âPMd atGa/âlisi rapporte, d'apr#s '&bdallâh <bn 'Jmar , que l'nvo/é de 0ieu1234 6728 9 :2; a dit

« <l est du droit du mari d'exi@er de sa femme qu'elle ne se refuse pas à lui, fussentilsassis sur une monture, et qu'elle ne jeMne pas un jour entier sans sa permission, à moinsque ce ne soit un jeMne obli@atoire. =i elle jeMnait mal@ré tout, elle commettrait un péchéet son jeMne ne serait pas accepté. <l est é@alement du droit du mari d'exi@er de safemme qu'elle ne donne rien de ce qui se trouve dans la demeure conju@ale sans son

autorisation. =i elle le faisait, il tirerait une rétribution divine de cela et elle se char@eraitd'une faute. lle ne doit pas non plus sortir du domicile du mari sans sa permission, sielle le faisait, 0ieu la maudirait, ainsi que les an@es de la col#re, jusqu'à ce qu'elle serepente ou retourne cheH elle, et cela, mSme si son mari est un injuste.



Jne femme doit refuser à qui déplaît à son mari l'autorisation d'entrer cheH lui.

T&mr <bn al&hPas al-ushamî rapporte ces propos prononcés par le roph#te 9 :2;1234 6728 au cours du p#lerina@e d' adieu, apr#s qu'il eut @lorifié 0ieu et qu'il !ui eutadressé des louan@es

« -e vous invite à traiter vos femmes avec bienveillance. lles sont comme des captivesdans vos demeures et vous n'aveH pas d'autre droit sur elles, sauf si elles commettent unacte répréhensible. 0ans ce cas, cesseH d'avoir avec elles des rapports conju@aux etheurteHles sans les brutaliser " mais si elles vous obéissent, ne leur chercheH plusquerelle. %ertes, vous aveH des droits sur vos femmes de mSme qu'elles ont des droitssur vous. Cous Stes en droit d'exi@er d'elles qu'elles refusent à ceux qui vous déplaisentl'autorisation d'entrer dans votre demeure et de s'/ installer. t vous deveH en revancheassurer leur nourriture et leur habillement.

« Jn Stre ne doit pas se prosterner devant un Stre humain et si cela était faisable j$ordonnerai à la femme de se prosterner devant son mari car il a un @rand droit surelle U&hmedV

&icha ne cessait de conseiller aux femmes de prendre soin de leur mari et d$Streconsciente de leurs droits sur elles.

lle estimait que ces droits étaient si important et si @rands que la femme était appelée àessu/er la poussi#re des pieds de son mari avec son propre visa@e.

& ce propos, elle dit en s$adressant aux femmes

« K femmes L =i vous savieH quels droits vos maris ontils sur vous, vous n$hésiterieH pas à essu/er la poussi#re de leurs pieds par vos propres visa@es .

Jne femme vint consulter le proph#te 1234 6728 9 :2; sur une affaire

<l demanda « stu mariée ?

lle répondit « Iui "

<l demanda « %omment te comportestu envers lui ?

lle dit « -e ne manque à aucun de mes devoirs tant que cela m$est possible.

&lors le proph#te 1234 6728 9 :2; dit « rends @arde à ton comportement envers lui caril est ton paradis et ton enfer.

!e proph#te 1234 6728 9 :2; a dit



« CouleHvous que je vous informe sur vos femmes qui iront au paradis ?

Wous disions « >ue oui, K messa@er d'&llah ?

<l dit « lles sont fécondes et @entilles, quand elles sont en col#re, insultées ou quandleur mari sont en col#re contre elles, elles disent Coici ma main dans ta main et je nedormirai que quand tu seras satisfait. .

<l 1234 6728 9 :2; dit aussi

« Goute femme qui demande le divorce à son mari sans aucune raison valable ou forteraison, sera privée de l$odeur du paradis U&tGirmidhiV.

<l 1234 6728 9 :2; dit aussi

« !a vie est un bien et le meilleur bien de la vie est la femme vertueuse URuslimV.

<l 1234 6728 9 :2; dit aussi

« Grois éléments font le bonheur de l$Stre humain et trois éléments font le malheur del$Stre humain.

!es Xers sont !a femme vertueuse, une habitation convenable, et une bonne monture.

!es Ye sont Jne mauvaise femme, une mauvaise habitation et une mauvaise monture

U&hmedV.

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