Radio Plans N°496 1989-03

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lECHllt

duProtocoleuxB\lications

ilFONMAA0 WgdÊ -,Jgg W .rtenglrclut P

rps -&ppelù27 Noise stéréouformatD2MACacarte

Uneélécommande:alimentation

DI|/EBS54 Infos

90 Counier- ErratatnfosCOntparticipéà ce numéro

J.Alary, . Capo,F.deDieuleveult,G.de Dieuleveult,.Gueulle,M. Gérard, .Lefèbvre,C. Maignot, . Paret,R.Schnebelen.

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WmËtræfiffiffiffiffisffiffitË6ffq&pfuffiffiffiWwffiffiwæmwæ

(31Moduleelayeurtappels

mH,#ffir#4,-cË € commentnotreg ^ & - ,-EÊaË7 ûeVlateUfO'aDDelS

pouvait tre acilenrentransformé

numéroterdistance urune ignetéléphonique.

ennrelayeur permettante

Il importe ependant'éviterque@@

factureUn ièssimplemodulesuppté-mer*âiiôestcæalteFapportera sécuritéoulue,u@elaprocédure'appel,

AvantaEes etincanvénientsdu relayage d"appels

q i la.déviation d'appel.q est une*J teclrruque desormars large-ment utilisée, le rr relayage Dn'est pour sa part employé quede façon très margdnale- A notreconnaissance, parmi les matériel.sdu commerce, seuls quelquesdéviateurs non agréés offrentcette possibilité...

Ouoi qu'il en soit, l'idée mérited'être approfondie, car de multi-ples applications sont au rendez-vous 1

Selon notre définition person-nelle, un (relayeur d'appelsD estun appareil permettant de numé-roter à distance sur une ligne(départ)) en appel.ant une ligne<artivéeD aboutissant au mêmeendroit.

Un tel équipement (une ligne(mixteD et une ligne ( spécialiséearrivée D)se rencontre de plus en

rgi l'1û

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Æffi#ÆF#ÆpH##

plus fréquemment, surtoutdepuis I'avènement du MINITEL,et n'est guère onéreux (majora-tlon de (50 % de l'abonnement).

L'avantage majeur du systèmeest que les communications col:l-teuses peuvent être imputées au

compte deIa ligne n départ t) du

relayeur, quel que soit le posted'où on appe11e,mais il y en ad'autres : par exemple la mise àdisposition en tout point denuméros accessibles seulementdans certaines région, où I'exten-sion artificielle des possibilitésd'une ligne à a service res-treint )), voûe même < l'évasiontarifaire )) (1).

En général, on emploiera unrelaveur Dour utiliser à domicile

(1)Un appei transatlantique peutcoûter moins cher si on le faittransiter par Londres, même enpayant les deux communica-t lons...

la ligne du bureau, ou au bureauIa ligne du domicile.

L'inconvénient est qu'en I'ab-sence de toute protection, n'im-porte qui peut appeler la ligne< arrivée D et obtenir la tonalitéde ia ligne a départ r.

Egalement, dans l'état actueldes choses, il faut choisir une foispour toutes entre la fonction ( re-layeur ), et la fonction rr dévia-teur )) : il faut passer sur placepour modifier ce choix en bascu-lant l'interrupteur < INT D, àmoins de Ie munir d'une horloge.

ËJ*c rs*dj{$Ei"d*s,tefr,irei.aæffiær*afe

l" e perfectionnement proposé-ÇL#

ci consiste à configurer I'ap-pareil en ( déviateur rr (ce qui neI'empêche pas de faire fonctionde transmetteur d'al.arme en casde besoin), et à télécommanderson passage en mode < te-

Iayeur )) Iorsqu'on souhaitera uti-liser à distance la ligne < dé-part )).

Le principe est simple : en

appelant la ligne ( départ )), quiest en général mixte (départ etardvée) et dont le numéro peutêtre en liste rouge, un simplecoup de sonnerie fera basculer ledéviateur en mode < relayeur lpour une minute. Pendant cetteminute, le numéroteur sera inhi-bé, ce qui permettra d'obtenir latonalité en appelant le numérode Ia ligne rr arrivée r qui, lui,peut fort bien être public.

Il faudra donc enchaîner ces

deux appels relativement vitepour pouvoir se servir durelayeur: la probabilité qu'unnon-initié arrive à utiliser le sys-tème est très faible, car le retouren mode a déviateur l est évi-demment automatique en fin deconversatlon.

Le schéma de la figure I réunitun détecteur de sonnerie, à bran-cher en parallèie sur la ligne B(départ), et un monostable réglésur une minute environ. Celui-ci

fait conduire un transistor chargéde court-circuiter les pointsr INT r de la carte ( déviateur tr.

Une constante de temps estintercaiée entre le détecteur desonnerie et le monostable afind'éviter les armements intempes-tifs sur les tintements parasites :il n'y a donc normalement paslieu de connecter le fil d'antitinte-ment (ATB), mais nous I'avonstout de même prévu au cas où...

Un voyantLED permet de

signaler que I'appareil est enmode ( relayeur )l : i1 doit resterallumé environ une minute aprestout coup de sonnerie sur laligne B.

. . . . . . . . . . . . . .

È

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tlofreeæ*tpose r téiépÊcæniqueimfuersef

Figure 2

Figure 3

fr ea-r 'sæi+m F re ûi6fa:d3

e nouveau module se câblesur un petit circuit imprimé

dont la figure 2 donne le tracé, etla figure 3 l'implantation. Sesdimensions sont harmoniséesavec ceues des précédents modu-les, ce qui permet au systemecomplet (quatre cartes) de tenirtout juste dans un Petit rack ESM(ET 24/04) avec trols Piles Plates

et deuxpiles rondes (sauvegarde

mémoire).

Le branchement de ce moduleest foÉ simpl.e, en parallèie sur Iecircuit existant : deux fils pourI'alimentation, deux autres pourla ligne B, et un seul pour INTpuisque la masse est déjà raccor-

dée. L'interrupteur < INT D peutrester en place, en parallèle, afinde permetre un éventuel ( força-ge r du mode n relayeur )) sansnécessité de télécommande.

Cela peut être nécessaire si onsouhaite utiliser le relayeur pouractiver. vérifier. ou modifier à dis-tance un ( transfert d'appelsFRANCE TELECOM Dsur la LigneB : en effet, si celle-ci est ren-voyée vers un autre numéro, onne pourra pas la faire sonner pourarmer Ie relayeur avant de passerà la programmation. Bien évidem-ment, les heureux possesseursde trois lignes (iI y en a l) pour-ront utiliser une Ligne < C r pour

armer le relayeur en lieu et placed e l a ( r B ) )

On pourrait d'ailleurs imaginerque la télécommande du relayeurse fasse non plus par té]éphone,mais par radio (CB) ou EUROSI-GNAL : Ia sortie du récepteur detélécommande devrait alors rem-placer Ie transistor de I'optocou-pleur CI51.

#ps? s.9 â .r'$i?

vec ces quatre modules, lelecteur est armé pour expéri-

menter toute une vadété de< services nouveaux l de sesdeux lignes téléphoniques, etpour s'en servir avec profit s'il enprend 1a responsabiiité. Rappe-lons en effet qu'il s'agit là dematériel non < agréé PTT )),dontI'usage doit en principe êtrelimité à des lignes pdvées. Toute-

fois, comme les servlces atnslcréés n'existent pas sur le réseaupublic (tout au moins sous cesfoImes), la question du choix nese pose guère : pour en profiter,il faut se prendre par la main

Patrick GUEULLE

'omenclature

ÆésrsfaneesS%112W

RsrRsz

RssRs+RssRsoRsz

1,5ko220Q

10ka2,7kQ7 2 k Q1 M A7,2k9.

tonde*safeurschirrxiquesX6 V au MNSi

1 FF 160 V plastique100 pF10 [tF1.0nF

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ïrarsisfeirs

Tsr BC 107

#ircuits fit,égrés

CIsr : 4N25Clsz : 40178

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Zener 5,6 V1N4004LED rougeLED rouge

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8eCAETF ï'ill"ilTE

BROADCASTW; -,*MMI.INICATION9.12À\RIL 1989 PARISPARC ESEXPOSITIONSELAPORTE E TRSAILTES

Novembre8 mise urorbite eTDF . Décembre8 mise ùrorbite 'ÀSTRA.Les 0desugrand archéuropéene400millionse éléspectateurs'ouvrentuxndustdels

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flIED',AVEC89

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-Le r NGSE,Ilsont

Il ne faudrait pas penser que tous1es mois nous allons nous ( far-

cir D le travail de réducteurde

têtes effectué pour vous ici Nonpas qu'il fût désagréable derépondre immédiatement auxnombreuses et brûlantes deman-des - bien au contraire -, mais cen'est pas très sérieux : nous vousmijotons. un programme Parfaite-

devos ignesaudio,

ment structuré et ( POF )), vousdéstabilisez le fragile édifice par

d'émouvantsappels téléphoni-

ques... Ça ne se fait Pas, surtoutquand on sait que l'auteur estprêt à chercher avec vous Ia solu-tion de vos problèmes et à s'in-vestir comme s'ils étaient deve-nus 1essiens( Je râle un peu, par princrpe,

dedeux

sur e LCP188M,maisen

mais je voudrais dire publique-ment MERCI à tous les lecteursqui appellent: en deux ans deIigne directe avec eux, je n'ai euque des joies et que des satisfac-tlons. AUCUNE ombre autableau : des échanges d'idées,de bonnes adresses, d'étatsd'âme parfois ou encole desdépannages magiques, mais

a sériedesmodulesu ormat commencéeilvadeux sevoit

- L e t de ous esversi0n

oerformantversion du fameuxLNG188M -mais

r i : l i j Ê7

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ÆtrÆÆ$$Ætrd#trTOUJOURS d'agréab1estants. ))

tns-

nr#,ç.Ëi&Yous commencerons par le&W noise-gate stéréo. Sonschéma est donné à la figure l. I1présente de nombreuses analo-gies avec Ie LNG 188 M, pourtantun certain nombre de différencesimportantes ies distinguent :1- cette version est stéréopho-

nlque2 _ les entrées et les sorties ne

sont pas asservres par un

réglage de gains combinéscomme pour le LNGiI n'y a pas d'indicateur desmodulations d'entréesI'indicateur < gain réduc-tion )) ne témoigne plus quede I états au lieu des 12 pré-sents sur le LNGil n'y a pas de veûouillagepar relais des entrées-sortiesquand Ie module n'est pasalimentéune alimentation externe es ti n.l i eôên ê âl"rl ê

3 -

4 -

5 -

6 -

7 - il n'y a pas d'entrée de com-mande extérieure (KEY).

Ces quelques différences n'enfont pas un sous-produit, bien aucontraire. Ces modules corres-pondent en effet très exactementà 1a majorité des cas de traite-ment dans des ]iqnes( connues )),et en poste fixe,

Si par exemple vous souhaitezinsérer un noise-gate sur cha-cune des entrées d'une console,la formule EUROPE est Ia mieuxadaptée puisque Ia moins coû-teuse et la moins encombrante,bien que bénéficiant des qualitésde son grand frère.

Idem sur les sorties d'un multi-piste : finies les bagarres, pen-dant les mixages, avec les voiesdont la modulation est disconti-nue.

Si par contre vous voulez unoutil ( universel rr, il faudra voustourner vers ]e LNG, ou encorevers la compilation en rack 19',2 U comprenant toutes les possr-bilités : limiteur, compresseur etnorse-gale.

Ce sera à vous de choisir, etpour vous faciliter Ia tâche nousallons voir de près les différencesénoncéesprécédemment.

D'office. ces modules sont sté-réDhoniques et les idéessées ne font pas appel à ceC'est donc qu'il es tles rendre MONOeffet, si l'on regarde Ie schon constate que la

produire un signal monoptfoni-que qui sera analysé pour cfiéerou non le signal de commdnde/ l ' ^ r l r 'ô r+ r i Yô ^ô h ^ r t ô

Donc,pour ( passer

en mo4o)) ,

il suffira de ne pas monter Iqe etICro.Pour IC:, il n'est pas posqiblede le couper en deux, maig onpourra profiter de sa présêncepour disposer d'une seconde sor-tie avec un niveau différent de lapremière, par exemple (de mêmeen entrée avec ICa. Mais ce n'estpas tout... Si vous montez Iqe etque vous retiriez Roe, l'enûréeRIGHT devient une très aimàbleentrée KEY Pour couronner letout, en montant ICro (ce qui

revient à faire la version stéréocomplète sauf Roe),vous poufrezrécupérer ie signal KEY surRIGHT out, et ce dernier Feraaussl traité par Ie noise-gate(avec bien évidemment lesmêmes régiages que ceux ét4biisDorrr la VOre LE-F 1'.

Encore une idée : si vous sou-haitiez une commande extérieureKEY agissant sur les voies LEFTet RIGHT (en stéréo), il suffiraitde ne monter ni Roeni Rer, et deplacer sur Ie châssis arrière uneentrée de commande reliée parune résistance de 10 KQ à la bro-

che 2 de ICrr. Dans cecas, il ne

serait plus possible d'exploiter lacarte mère proposée en fin de cetarticle, et il faudrait utiliser desconnecteurs à cosses associés àun câblage traditionnel.

Pour commander par dessignaux logiques une entrée KEY,la façon la plus simple est encorede piloter un petit oscillateur quiserâ désactivé par un zéro logi-que (en supposant qu'un 1 repré-sente le passage de la modula-

tion).Ces quelgues idées ne repré-

sentent qu'une petite partie desmilte adaptations possibles deces modules à vos exigences per-sonnelles, et sont juste lancéesafin de vous prouver la souplessedes cartes qui vous sont offertes.Mais nous vous faisons confian-ce Allez, encore une ( pour laroute ))... C'est la modulationd'une voie qui commande l'en-trée KEY, et dans la ligne LEFT

passe votre vieille réverb à res-sorts, avant qu'el]e ne soit ré1n-jectée dans la console. Vousvoyez ce que cela donne ? Plutôtsympa de lui < couper la chique len douceur quand la modulationcesse, non ? Certains d'entrevous doivent voir désormais d'un

deEn

r9ô

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.$ifærb*-gæfæÉ*iedeef e*n*c,*;ressenr féFréoyæram*f furope

autre ceil l'entrée KEY duLNG 188 M, qui les avait désar-çonnés au tout début.

Parmi. les autres différences

avec le LNG, nous avons cité I'ab-sence de ( tandem rr des gainsd entrées-sorties. Il est bien évi-dent que nous ne pouvions placerdans une surface de 4 cm par 10I'intégralité des commandesoffertes par le LNG. Il a donc fallutrier, et cet avantage est le pre-mier à avoir été décapité. La rai-son en est simple : ces modulesétant placés dans des lignes dontle niveau est connu, il est faciled'intervenir directement dessuspour les adapter correctement.

Comment faire ? C'est assezsimple : tels qu'ils vous sont pro-posés, ils sont calés au bon vieuxOdB = 775 mv. Si vous voulezchanger de standard, deux solu-tions vous sont offedes : agircomme pour le LNG 188 M, c'es t-à-dire intervenir sur le gain del'entrée et sur celui de la sortleafin de conserver le 0 dB pourI'analyse ; soit profiter de l'oppor-tunité qui existe ici grâce à ICrr.En effet, Ia rr monophonisation ))

des signaux dans cet ampli per-met de modifier Ie calage du cir-cuit d'analyse, sans toucher auxgains unlté établis d'odgine dansIes entrées-sorties.Ainsi en don-nant 10 dB de gain par exemple àICrr, on Passera au standard- 109 dB, bien connu sur de nom-breuses machines grand Publicou semi-professionnelles- Cetteformule est simple et efficace, carelle n'intervient pas sur ]e niveaude bruit et permet de changerrapidement de régime. Il suffit de

se dire : < à la sortie de ICrr leniveau nominal doit être de775mV. Si on dispose de 10 dBen dessous il faut donner 10 dBde gain, si on a 10 dB de plus ilfaut retirer 10 dB dans ICrr rr .

Cette solution n'empêche Pasde jouer également sur 1e gaindes amplis de sortie dans le casd'une ( remise à niveau Dperson-nalisée. Si vous deviez traiter unsignal au standard - 10 dB et lecommander par une modulation

KEY à + 4 dB, il vous suffiraitd'écraser ICrr (ou ICs)de 4 dB. Eneffet, comme dans ce cas la voieLEFT dispose d'un gain unité,elle est bien adaptée à tous lesstandards et seule I'entrée KEYest à toucher. Ayez le réflexe< audio rr Pensez d'abord aux cir-

cuits qui vont s'intercaler dansvotre (vos) ligne(s) principale(s),et faites en sorte d'y éviter latorture de vos précieuses modu-

lations" Jouezplutôt sur la partie

< analyse )) du système dans lamesure du possible.

Un dernier exemple pour fixerles idées : vous entrez à - 20 dBvous voulez sortir à + 4 et com-mander l'entrée KEY par 0 dB.Mine de rien, vous allez donnerici 24 dB de gain dans la ligne...et ce n'est pas rien Le VCAétant placé en avant-dernier dela chaîne, si on modifie le gaindans IC:a le souffle ( non-com-mandé r sera résident. Il vaudrait

mieux donner du gain avant, soit24 dB dans ICr. Conme I'entréeKEY est autonome, Ie odB de1'exemple 1ui convient parfaite-ment, I'affaire est donc conclue.Pourtant... il serait judicieux decouper la poire en deux et d'agirainsi : + 4 dB et * 20 dB dansICr. 4 dB dans ICs a ne modifie-ront pas de manière notable lesouffle résident, par contre entre

20 et 24 dB de gain dans ICr, ladifférence est perçue quand lahôr t_ê ê<i ^ r1\ rêr tê

Il faut donc à la fois tenir

compte des étatsouvERT et

FERME au moment de la déci-sion. Nous sommes âu royaumedu compromis

Parmi les autres différencescitées, on constate effectivementI'absence totale d'indicateur demodulation d'entrée, et le pas-sage de 12 à 8 seuils pour GAINREDUCTION. ( 3, 6 , I , 12, 15 lont été remplacés par ( 3, 10 D,et la valeur 80 n'est plus mesu-rée. Ceci ne devrait pas poser degraves problèmes, car il ne faut

pas perdre de vue qu'il est tou-jours permis d'affaiblir de 100 dB,même si I'indicateur est au maxi-mum de ses possibilités à partirde 70. Ceci nous amène à vousfaire remarquer que nous n'avonsabsolument pas touché aux cir-cuits situés au centre du schéma,et qui s'appelaient DCG dans 1aversion LNG. Toutes Ies possibili-tés de réglages sont donc conser-vées et présentes en face avantcomme 1eprouvent les photogra-phies.

Seule la disparition de l'indica-teur de modulation est un peuregrettable, mais la place man-quait sérieusement en façade etnous souhaitions garder à laconstruction proprement dj.te lasimplicité qui la rende accessibleà tous. Comme ces modules ontpour vocation d'être iIIsérés dansles endroits ( connus r, il suffirade faire confiance aux indicateursplacés en amont.

A disparu également Ie rebou-

clage des entrées-sorties Parrelais, et par voie de conséquencela temporisation d'allumage Unmodule non-alimenté ouvriradonc la voie. En cas de Panne, ilfaudra soit supprimer I'insertiondans le bloc de brassage, soitremplacer le module défaillantpar une carte assurant le bou-clage (la première solution étantde loin la meilleure et la moinscoûteuse).

La clé placée en façade Permetde supprimer I'effet, Par mise au

0 V des entrées de commandedes VcA, ce qui conduit à lesforcer au gain unité,

L'alimentation extérieure estcommune à tous les types de car-tes. Ainsi se promène sur la cartemère une distribution LIGHT'

Ê#

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, l

Figure 1

inutilisée pour Ie double limiteurdécrit précédemment. maisexploitée cette fois par I indica-teur. Comme pour 1es tensionsAUDIO, LIGHT dispose de sa pro-pre régulation sur chaque modu-le, et il suffira de fournir à la carte

mère une tension non stabiliséed une vingtaine de volts environ.Nous vous proposerons une ali-

mentation adéquate un de cesjours dans un coi n de page, maisplus pour harmoniser le look devotre rack que pour vous tirerd un mauvais pas : deux transfos

permettent de disposer en toutde 3 tensions de 15 à 18 V alter-natifs (1.5A), trois redresseurs,trois condensateurs de 4700 ltF40 ou 63 V. et I affai re est règlée.Partant du principe que ce genred objet a bien peu de chances de

tomber en panne, nous vous pro-poserions volontiers de fairel économie d une paire deconnecteurs, et de placer plutôt5 fiches ( banane D sur le cadreardère du module. A vous de voir.

Avant de passer à la réalisationpratique, notez s il vous plaît

qu une grande partie de ce quivient d être dit pour le NGSE(Noise-Gate Stéréo Europe), seraapplicable au LCSE (LimiteurCompresseur Stéréo Europe) pré-senté plus loin. I1 s agit plus eneffet d une philosophie de recon-

version au format EUROPE, qued une refonte tolale des principesadoptés dans les précédents

numéros. C est ainsi qu au pre-mier abord le non-initié aura biendu mal à distinguer un moduleNGSE d un LCS.Esi la face avantn est Dâs Dosée. FAITES DONC

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TRES ATTENTION de réunir Ie

bon trio, schéma - cartes - nomen-

clature avant de commencer laconstruction. Vous allez vite com-prendre pourquoi nous levons ledrapeau rouge.

 ?i;dar q;ii;;*:;:.i,:-i.i:c;ir;l itr'<li j- :,ir'f es photographies ous mon-

trent que chaque module estconstitué d'une carte pdncipale(22Ox I0O), et d'une beaucoup

plus petite porteuse des drivers

de LED.Le circuit imprimé Principal est

donné figure 2, la Petite carte

figure 3.

Cette dernière sera commune

aux deux réalisationsproposees

dans ce numéro. Elle ne permet-tra pas de ce fait, une différencia-tion des modules. Tout se passe

sur la grande cârte, et dans un

endroit bien précis : admettonsque l'on coupe le dessin en qua-

tre secteurs identiques et que

l'on ait les potentiomètres à notregauche. Dans ce cas, on peut direque le secteur en haut à gaucheest spécifique, c'est-à-dire qu'il

est câblé ici ( DCG )).Le secteuren haul. à droite englobe lesentrées et le mélange MONO,celui en bas à droite les VCA, lesamplis de sortie et les régula-teurs, enfin en bas à gauche ontrouve le jeu de comparateurs del'indicateur GAIN REDUCTION.

Ces préclsions peuvent vousparaître superflues à la premièrelecture mais vous en compren-

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drez I'importance dès que nousaborderons le LCSE.

La construction de I'ensemblene pose aucun problème si I'onveut bien noter ceci :

Les deux VCA (ICzet IClo) sontmontés sur un support commun

de 2 fois I broches soit 16. Nousavons adapté l'implantation de lasorte afin de simplifier le travailet éviter la découpe d'un support16 broches, étâpe indispensablepour ICrs. Le cran matérialisantla broche 1 des DBX devra êtretourné pour les VCA vets Rzo, r,zz,38et pour }e détecteur RMS versCsr.

Le circuit étant réalisé surépoxy simple face, il ne faudrapas oublier les straps, notam-ment celui placé précisément

sous le support commun à ICz etICro, ni celui qui se cache en bor-dure de Czo, ôté Czs.

Les photographies étant faitesà votre intention, usez-en large-ment... Elles vous permettront decomprendre la liaison éléganteentre Ia carte driver et la base aumoyen d'une bande de jumpers,et de voir qu'il faut un écrou deplus pour placer correctement lacarte driver.

Cette dernière esL lenue de

l'autre côté par SW1, modèlewrapping dont les pattes on étécourbées et plantées dans Ie cir-cuit (le rétrécissement visible surle prototype ne se produira plus :les trous admettant SWr on étéécartés sur le dessin qui vous es tproposé).

La figure 4 vous présente laface avant en LEXAN qui habillele porte cartes TFANSRACK.N'oubliez pas de fixer les deuxpièces en plastique noir aumoyen des deux vis fraiséesAVANT de la coller Sans cette

précaution vous seriez condam-nés à rendre ces dernières appa-rentes, ce qui serait dommage.

PRECISION MECANIOUE : uneparticularité concerne la relationface avant/potentiomètres. Eneffet, les trous dans la façadesont percés à 10 mm, mais lespotentiomètres sont montésSANS ECROU. ils sont juste sou-dés sur la carte, et le canon filetétraverse Ia face avant maisaffleure seulement. Ceci permet

de monter des boutons de petitdiamètre, comrne nous I'avonsfait.

da: ffG$'ff

IIe doit d'abord commencer'; i par... un examen visuel com-plet et attentif du montage, puisun positionnem.ênt à mi-coursede tous les ajustables. L'étude aété menée de sorte qu'alimentéedans ces conditions, la carte soitproche du réglage optimum. Maisn'allons pas trop vite

Il vous faudra faire un petittour vers ie paragraphe traitantde la cârte mère et de ses

Figure 3

. '96

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connexlons pour travailler dansde bonnes conditions.

Alimentez et injectez un signalà 1000Hz, 775 mV sur I'entrée

RIGHT et observez la sortie demême nom, après avoir pris laprécaution de mettre SW1 surOFF (levé). Contrôlez immédiate-ment les tensions +/- AUDiO etLIGHT. Avez-vous pensé à lier0V AUDIO à 0 V LIGHT (indispen-sable) ?

Il vous faufra ensuite constaterque vous ne perdez pas plusd'1.dB entre I'entrée et la sortie,puis vérifier immédiatement Ctu'ilen est de même pour la voie

droite (RIGHT).Puisque vous êtes sur la voie

droite, restez-y et ajustez AJ3 afind'obtenir une distorsion minimaledu VCA. Cette opération néces-site I'emploi d'un distorsiomètreque tout le monde n'a pas lachance de posséder. Si c'est votrecas, aissez AJr à mi-course, maissurtout ne I'utilisez pas pour par-faire un transfert IN/OUT et com-penser une perte d'un demi dB,ce n'est pas son rôle

Vous venez de vérifier et règlerquoi ? : La partie AUDIO dumodule, soit entrées symétrl-ques, VCA bloqués au gain unitépar SWr portant les entrées decommande à 0V et amplis desorties. Il reste à faire un toutpetit contrôle audio : vérifier qu'àIa sôrtie de ICrr un signal audioest présent, sans perte ni gain(Rer/Ree Rer/Rar 1).

a Dès cet instant, Ies réglagesrestant sont spécifiques auNGSE '

PlacezSWr sur ON (baissé).Injecter 10 mV et ajustez AJ?

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pour obtenir 0,27 V sur test L,puis AJo afin de trouver 2,7 Vsur test 2.

- Règler ensuite AJs pour mesu-

- Mettez RANGE à fond à droite

et obtenez 420 mV aux bornesde Czr,et ce à I'aide de AJ 6.

- Profitez de cette situation pro-

visoire pour allumer exacte-ment la led -70 de f indicateurGAIN REDUCTION, grâce àAJz.

- Portez enfin la tension aux bor-nes de Czr à 600 mV, toujours

avec AJ6.C'est terminé pour NGSE,passons donc à LCSE.

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&=trÆ$;F$ÆFg##.#*.aa*pr"a"esseci" *{"4i"éo"Ër*rnrs*

our cnanger un peu, nous

vous présentons en Dremierlieu la face avant à la figure 5.Bien que très proche de Ia figu-re 4, on distingue malgré touttrois différences fondamentales,mises à par les références :1 - l'étalement du seuil (THD)2 - RANGE est devenu RATIO3 - les LED ne témoignent plus

des mêmes valeurs.Un rapide regard sur le schéma

figure 6, permet de constaterqu'une grande partie est com-mune avec le précédent module :seule Ia zone centrale diffère. Lelecteur qui connait bien leLNG 188 M et le LCP 188 M iden-tifiera vite les points communs etreconnaitra immédiatement lenouveau ri Cceur l puis 1es fonc-tions DCG et DCC.

Ici, c'est I'intégralité des fonc-tions DCG qui est offerte enfaçade à I'utilisateur. Commecette partie est déjà connue deslecteurs et que le reste est identi-que à ce que nous venons de

voir, nous allons foncer droit aubut.ATTENTION : les repères descomposants diffèrent parfois d'unschéma à l'autre, même pour cer-taines parties communes. Nevous trompez donc pas denomenclature

Avant de passer à la réalisationpratique, nous devons attirêrvotre attention sur le fait qu'unepartie des possibi.lités de com-mande KEY (exploitant la voieRIGHT) est applicable ici. Toute-

fois, à part limiter une ligne enfonction du niveau d'une autre,nous ne voyons vrarment pasd'intérêt à ce genre de manæu-vre. Pour passer en MONO, lepdncipe est identique au NGSE :il suffit de retirer cette fois ICs etICro.NOTA : le choix de la voie gauche(LEFT) comme voie principale encas de monophonie, est unevieille tradition que I'auteur per-pétue mais qui n'a pas de justifi-cation technique connue.

ÆeiæfÉÉ;,,r-æcÈea,{",Str

ÉPR€mme nous l'avons dit, il fau-k dra préparer une carte DRI-v_Eixde L_E;ustrlctemenr loenrr-

Figurè 2

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que à la figure 3 (les nomenclatu-res s accordent sur ce point pré-crs) .

La seconde carte est visible

figure 7. Comme vous le consta-terez certainement, il existe degrandes similitudes avec la figu-r<> , et si nous effectuons undécoupage en secteurs commenous I'avons fait plus haut, c'estle coin haut-gauche qui est trans-forrné intégralement. Toutefois,d'autres points par-ci, par-là dif-fèrent de ce que nous avons vu :ne vous laissez pas abuser parles ressemblances.Elles sont cer-taines, ma.is plus dangereusesqu'utiles pendant la construction.

A titre d'exemple, regardez lesens des cliodes entourant IC15,figure 2.

Les grands principes d'assem-bl.age ne sant pas remis en ques-tion: le montage des drivers es tstrictement identique au NGSEet les précis;ionsmécaniques rela-tives au montage des potentio-mètres. touiours d'actualité.

Ile débute de la mêmemanière que celle du NGSE.

Aussi nous vous demandons deretourner en arrière pour les pre-m i À r o c  f a n a c

Nous avions pris le soin de pla-cer ir I Dès cet instant les régla-ges restant sont spécifiques auNGSE a r. .Arrêtez-vous donc Ià ,et revenez nous voir pour conti-nuer :. Réglages spécifiques auLCSE .- Mettez SW1sur ON, et injectez

10 mV après avoir pris soin deplacer ATTACK et RELEASEsur ( fast r, RATIO sur 30/1 etTHD sur -40.

- Règlez ensuite AJs pour mesu-rer entre 1,5 et 3 mV (maxi) surles broches 3 des VCA (le strapsitué ent:re Czeet Czsservira deh ^ i h + . 1 ô , - - . r ' t - \

- Portez 1e niveau d'injection à300 mV, et règlez AJ4 Pour que

le niveau en sorLiesoit comprisentre 10 et 12 mV, mais pasinférieur en tout cas à 10 mV.

- Modifiez le niveau d'injectionafin de :mesurer sur les bro-ches 3 des VCA 72 mV et aius-tez AJ2 pour que la LED - 12s'allume iuste.

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Figurc 6

Votre construction est Prêteaux essaisd'écoutes.

PRECISION quant aux nomen-clatures: si vous trouvez( V 25 V )) après la valeur d'un

condensateur chimique celavous

indique qu'il s'agit d'un modèle àmontage Vertical.

Carte mèreou vous avons PréParé unecarte mère Permettant de

recevoir jusqu'à 8 modules, maisextensible ou réductible à votreguise. Le circuit imprimé estdonné à la figure 8. Comme iln était pas possible de I'imprimer

en entier dans notrechère revue,

iI présente une coupure volon-taire en biais, indiquant qu'à cetendroit il est permis de Placer2 connecteurs supplémentaires.

L'implantation montre égale-ment six exemples, et mentionneles affectations de chaque câble.

Une photographie vous Présentela maquette de I'auteur (faite endouble face, même tracé recto-verso), montrant Ie princiPe decâblage : Ies câbles traversent lacarte aux endroits repérés sur le

Après, c'est à vous de voir'..TRANSRACKpropose des Protec-tions arrières pour ses modèlesCHALLENGER 1, qui sont desplaques de tôle destinées à êtrefixées en bout des flancs du bac.

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R 7 0

Bien que prévues pour un autreusage, elles permettent un mon-tage de jacks isolés ou de XLR.Nous en reparlerons, mais pensezquand même que si vous envisa-gez de mettre en série des modu-les, il sera plus judicieux decâbler de connecteur à connec-teur que de passer par des jonc-

tions externes inutiles.

ServicesLa fidèle rubrique SERVICES

2

met à votre disposition circuitsimprimés et faces avant adhési-vées, qui vous garantiront unfonctionnement parfait et uneesthétique irréprochable.

Conclusion

If o ? voici en possessiondesu trols modules reclames. mals

bien avant que vous ne lisiez ceslignes (en novernbre 88) despetits malins ont demandés un

DE-ESSER et bien d'autres cho-ses encore I

Comme nous ne savons rienvous refuser, il y a de grandeschances pour que nous complé-tions la collection prochainement.D'ici Ià prenez soin de vous etn'oubliez pas le LCNG 189 S :Limiteur Compresseur, Noise-Gate Stéréo en râck 2 U, toujoursdans RADIO-PLANS.

Jean ATARY

1 A

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37

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BEALISAIIOII-Nomenclature

Résistances

R r : 1 0 k Q 1R z : 1 0 k Q 1 7 oR s : 1 0 k Q 1 7 oR a 1 kQR s 1 k QR e 1 k QRz 1 kOR e 1 k QR s 1 k QR r o : 1 k QR r r : 1 k OR r z : 1 k QR r s : 1 k O

R r a : 1 k QR r s : 1 k QR r o : 1 k OR r z : 1 k QR r e : 1 k QR r e : 1 k QRzo 47 kQRzr 330 kQRzz 5,6 kÇ2Rzg 3,3 kç)Rz+ 680 QRzs 680 QRzo 680 QRzz 680 Q

Rze 680 QRzs 680 ORso 470 QR s r : 1 k QR:z : L80 QR s s : 4 7 QR t t : . 2 2 k Q1R s s : 1 0 k QR se 1 0kO 1R g z : 1 0 k Q 1Rse: 22 kç) 7R r s : 4 7 QP.qo 22 kç2 7 o/o

R a r : 1 0 k Q 1

Ptaz' .2.2k9 'Ra: 68 kQR a a : 1 0 k Q 1Rqs 39 kQP.sa:2,2]xç) Roz 4,7 kQRez 100 O Roa 47 Q

R+e 22 kç) 1 Roa . 7QkÇ) 7 o/o

Rqs 22kQ 1 F.as:10 kQ 1

R s o : 1 8 0 Q R e o : 1 0 k Q 1Rsr : 390 Ç2 Roz TOkf2-1

Fisz 22O kÇ2 Roe 10 kQ 1

Rs: : 150 kQ Rog 3,3 kQRsa, 22 ç2 Ptzo 22 k'Ç27 o/o

Rss 10 MO Ptzt ' .22kQ 7

Rss 470 kQ Fttz 22k{2 7 o/oRsz 33 kQ Rzr : 3,3 kQ

Rse 10 MQ Fita 4,7 kÇ)

Rss 220 Q Rzs 4,7 kQ

R e o : 1 k Q R z o : 1 k QRor : 10 kO L o/o Pttt : 330 kÇ

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stéréoet

NÔ 96 39

Condensateurs

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CgCr oCrrlJ72

\J13

Crew20

Czz

v24

tr25

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\J2A

ÇzglJ30

Csrw32

C: r

(,34

Css

tu47

 J42

Ca:C++

ICz

.LU4

IU6

l l J8

470pF27pF1 0 p " F 6 3 V10 LrF 3 V27pF1 0 p F V 6 3 v1 0 p F 6 3 V2 2 O g F V 2 5 V0,1 rF100pF 25 V47OpF27pF47O F1 0 p F 6 3 V1 0 F F 6 3 V27pî

0,1pF100prF 5V0,1pF100tr.F 5 V1 0 p F V 6 3 V1 0 U F 6 3 V10prF 3V220 llJ'V 25V0,1Fr '2 2 0 V F V 2 5 V1 0 p F 6 3 V1 0 p F 6 3 V1 0 p F V 6 3 V1 0 p F 6 3 V

1 0 p F 6 3 V27 pF1 0 p F 6 3 V22O tF25 V0,1pF0,1pF0,1pF1 0 p F 6 3 V1 0 [ F 6 3 V0,1pF220 1tFV 25 V0,1pF47O F22O1tFY 25 V

0,1pF

Régulateurs

Rg tRg,RggRg,

7805+ Rd.7815+ Rd.7815+ Rd.7915+ Rd.

Circuits ntégrés

NE 5534dbx 2150

NE 5532"îL 072TL 072TLO72TL 072TL O72

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Figure 3

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stéréoet

Nomenclature

Résistances

R r :à R zz :R é s i s t a n ce sidentiques à la version NGSERzt : 4,7 kQ + 330 Ç2Rza 200 QRzs 200 QRzs 200 QRzz 2OOÇ2Rze 100 QRzs 100 QRso 100 QRsr 100 çJRsz à Rar : Identiques à laversion NGSE

lormat

ICg : NE 5534ICro dbx 2150ICu : TL 071ICtz : IL 072

ICrg : TL 071IÇtq '.TL 071IC:: : dbx 2252

Diodes+ LED

Dr : LED5 mm ROUGEDz : LED 5 mm ROUGED s : L E D S m m R O U G EDa : LED 5 mm ROUGEDs : LED 5 mm ROUGEDo : LED 5 mm ROUGEDz : LED 5 mm ROUGE

D e : L E D S m m R O U G EDs : ZENER 7,5 VD r o : 1 N 4 1 4 8D r r : 1 N 4 1 4 8D r z 1N4148D r : : 1 N 4 1 4 8D r a : 1 N 4 0 0 4D r s : 1 N 4 0 0 4D r o : 1 N 4 0 0 4

Potentiomètre(P11,axe court)

R q z 1 0k Q 1Re: 270 QR a a : 1 0 k Q 1R + s : 0 k Q 1R a s : 1 0 k Q 1R a z ; 0 k Q 1R a a :1 0 kO 1Rns 3,3 kQP*so 22 kÇ) 7 o/o

Rt : 22 kÇ2 7 o/o

R sz :2 2 kQ 7Rs: : 3,3 kQRsq 4,7 kQRss 4,7 kQ

R s o : 3 3 0 k QR s z : 1 0 QRse 180 kQRss 4,7 kQR o o : 4 7 0 k Qtt61 : JJ }tSZ

P.az. 22 Q

Ror 10 MQRoq 10 MÇ)R e s : 4 7 0 k QRoo 3,3 MQRoz 180kQR o e : 1 k QRog 180kÇ)Ptzo 22 kÇ2Rzr 100 kQ

Rtz : 47 Ç2R z : : 1 0 QR z a : 1 0 QRzs 100 QRta '. 22 kÇ)Rn '.4,7 kÇ)P:.e 47 S2

P r : 1 0 0 k Q A

Pz: 47 kQ AP t : 2 2 k Q AP+ : 22k9- A

Ajustables

A j r : 4 7 k Q T 7 Y AA j z : 1 0 k Q T 7 Y AA j s : 4 7 k Q T 7 Y AA j r : 4 7 k Q T 7 Y AA j s : 4 7 k Q T 7 Y AA j o : 4 7 k Q T 7 Y AA j o : 1 0 k Q T 7 Y A

Transistors

Tr à Tg:BC 557

Divers

Connecteur1612 4AC mâlePorte-cartes CHALLENGER 1,8TE + blindage (220) + cadrearrière3 boutons Rittel d13 + 1 d1512 supports, 8 broches + 2 de

16 brochesSWr : KNITTER MTA 106 D +écrou molettebande de 12 jumpers

1 colonnette MF 15 + écrous +1 Picot (point test)CIs + face avant pour NGSE

Condensateurs

Cr: à Cs: V alêurs de conden-sateurs identiques à la versionNGSE

Co 0,1 pFCz : 0,1 pFCe : à Cro : Valeurs de conden-sateurs identiques à la versionNGSEC r z : 1 0 p F V 6 3 VCre 100 VE/25VC * : 2 7 p FC æ : 1 0 p F 6 3 VC z t : 2 2 O p F V 2 5 VCzz Q,I 1tFCz: : 0,1 pFCza 0,1 pFC z s : 1 0 u F 6 3 V

Czo 10 1.tF 3 VCzz 0,7 ;tFCza 220 1lF25 YCzs 0,1 pFCeo 470 trtFC l ; , : 2 2 O F F V 2 5 VC:z ; 100 ptF25 V

Csr 0,1 pFC:a 0,1 pFC o s : 1 0 p F 6 3 VCse 27 pFC s z : 1 0 p F 6 3 VCse 0,1 pFC:s : 10 pF/63 VC a o : 1 0 p F 6 3 VC + r : 1 0 p F 6 3 VC + z : 1 0 p F 6 3 VCa: 220 pF 63 VCar 10 ptF63 VC a s : 1 0 p F 6 3 V

Régulateurs

R g r : 7 8 1 5 * R d .R g z : 7 8 1 5 i R d .R g : : 7 9 1 5 * R d .

Circuits intégrés

ICr : NE 5534ICz à iCro: Circuits intégrésidentiques à la version NGSEIÇrr : TL Q72I C r z à I C r g : T L 0 7 5ICrq : dbx 2252ICrs : TL 072

Diodes+ LED

Dr à Ds : LED 5 mm ROUGED r o : 1 N 4 0 0 4D r r : 1 N 4 0 0 4D r z : 1 N 4 0 0 4D r s : 1 N 4 1 4 8D r q : 1 N 4 1 4 8D r s : 1 N 4 1 4 8D r o : 1 N 4 1 4 8

Potentiomètres

Ajustables

A j r : 4 7 k Q T 7 Y AA j z : 1 0 k Q T 7 Y AA1 s :4 7 k f / ' T 7 YAAje : 47 k9-'1 7 YAA j s : 4 7 k Q T 7 Y A

Transistors

Tr à Te:BC557

Divers

Identique à NGSE sauf faceavant LCSE

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GartedécodeurMAC

f;ir':'.'

De nombreuses hypothèses

émises, jusgu'à l'utilisationclnq canaux.

Souhaitons gue laexpérience de Canal 10aux futurs opérateurs. Lepectateur, même passif

menr qul manque parlorsoDérateurs : Canal 10. Telromandie. Europa... Unetion d'activité après quelqumois et à peine 70 abonnésrelève véritablement d'une trèstrès mauvaise étude de marché.

En 89, la multiplicité dessions est teue (Iue lasera rude. Un ooérateur s'sera. non Das avec desDas (le gamme - ce creneaudéià bien encombré -mais

gamme et d'autant plus s'il veut

que sa TV soit une PAY TV. Onest déjà bien loin de 84 et de sonpaysage audiovisuel en fricheayant tant contribué à la réussitede Canal *.

Voilà donc les dernières nou-velles et lês inévitables commen-taires qu'elles suscitent.

Le bus IM.

IM est une abrévlation d'InterMe-tall ; ce bus a été conçu pourcontrôler tous les circuits de 1'en-

semble Digit 2000 à partir d'unprocAsseur.Via ce bus, le proces-seur envoie ou reçoit des don-néeq des circuits périphériquesadressés. Le processeur est maî-tre et tous les circuits adresséssont esclaves.

BEAUSAfl0il

MAC tplus articulièrementeD2,

VCV2133,MCU 632, ans ettesecondeartie, ous llons border

Iangage (surPC)deparamètrage,pour inir par aréalisationpratique e acarteD2MAC.Avantdepasser atechnique,

nous llons ousdonner uelquesnouvelleseTDF1.; ; - - t - . ,

ùlgnalonsussl ue tepulseu,

ffien

respectivementituéesur77243,75et1302,75 Hz,polarisationorizontale,

Des nouvelles de TDFI

TDF 1 est à poste et fonctionnetrès bien. Techniquement touts'est merveilleusement bienpasse ; quant aux programmesqui seront diffusés, c'est uneautre histoire. Si les déIais techni-ques se sont raccourcis, il semblebien que certains autres se soientallongés. Les pourparlers avec les14 candidats potedtiels conti-uent, ou plutôt recommencent

et on ne devra compter sur aucunédtable programme avant finévrier, date à laquelle la Sept

ura probablement ouvert les88 on annonçait un

pour la Sept, deux canauxCanal + et le dernier pour

les deux seulesdes émissions en

et un canal pour la Sept.

ans otre récédent

avonsaitquelquesrappelsur essystèmes

puisdécortiquéekit decircuitsITT r DMA2270, MU 485,

le fonctionnementubus M

D2MAC SCANSATet 2,

NO 96

avec des émissions haut

43

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BEAUSATIOIILe bus IM comprend trois

lignes : identification, horloge etdonnées. La fréquence horlogeissue du processeur doit êtrecomprise entre 50 Hz et I7Q k}Iz.Les lignes d'identification etd'horloge sont unidirectionnelles,du processeur vers les circuitsesclaves. La ligne de donnée estbidirectionnelle. La bidirection-nalité est due à une sortie à drainouvert. Les résistances de chargeentre les lignes et I'alimentation+ 5 V sont externes et leursvaleurs comprises entre 2,5 kOet 10 kQ environ. Le diagrammedes temps d'une transactioncompiète effectuée sur I'IM bus

est représenté à 1a igure 19.L'échange démarre sur 1e ront

descendant de la ligne ID, quiindique I'envoi d'une adresse.Simultanément I'horloge passe à]'état bas et le premier bit estémis sur la ligne de données. Leshuit bits d'adresse sont ensuitetransmis et avec le front montantde la ligne d'horloge sont stockésdans les circuits esclaves. A la finde l'octet d'adresse, le signald'identification repasse à fétat

haut; à cet instant1es circuits

esclaves examinent l'adresse etreconnaissent que le messageleur est ou non adressé.

Simultanément le ou les cir-cuits esclaves reconnaissent s'ils'agit d'une écriture ou d'une lec-ture puisque ces opérations sontcorrellées aux adresses. A uneadresse donnée, il ne peut y avoirque lecture ou écriture.

sont alors transmis soitcesseur vers les circuits(écriture) soit d'un circuitvers le processeur (lecture)

Le bit de plus faibletransmis en premier. Latransaction est signaléeimpulsion négative sur leID qui permet ledonnées transférées.

Si, à une adresse donnéeplusieurs bits ne sontses. le Drocesseur devraet ne pas tenir comptevaleur en lecture.

La carte D 2 MAC et I'impri-mante peuvent cohabiter sur lemême port parallèle sans problè-me. Les informations en formatbus IM ne seront comprises quepar 1acarte D 2 MAC.

Fonctions du logiciel

Avant d'exécuter IMB.EXE, ons'assurera Ctue le fichierCONFIG.SYS contient la com-mande suivante :DEVICE = C: . . . . . . . ANSLSYS

Pour bon nombre d'entre vous,ceci est une évidence ; cela l'étaitpour nous tant que nous n'avionspas rencontré un certain nombrede machines tournant avec un

fichier CONFIG.SYS réduit à saplus simpie expression : COUN-TRY = 033

Après cette précaution élémen-taire, le logiciel IMB.EXE pourra

tourner soit seul pour essai soitassocié à la carte D 2 MAC pour

védtablement charger les regis-tres des circuits ITT. Le câble deliaison entre le PC et la carteD 2 MAC est constitué de4 conducteurs ; côté PC noustrouvons un connecteur DB 25mâle et côté carte un connecteurDB 9 mâle. I1 n'y a, en principe,aucun moyen de se tromper maisen cas doute on se référera auschéma de la fignrre 20.

Le programme pouvant êtreIancé avec ou sans la liaison, exa-minons son fonctionnement. Lapremière page, menu principal,

comporte les informations sui.-vantes:Réglagedesparamètres mageRéglagedesparamètressonCharger es valeurspar défaut

Sauver es valeurg en cours

pro-

s estde la

une

des

n o uutili-jre 0

programmationLogiciel de

e logiciel deIMB.EXE. que nous

conçu, permet 1eparamétous les registrescircuits utilisés.

Ce logiciel simule ununidirectionnel, du PC

e d edes

IM

carte D 2 MAC. Ceci signifiest seulement possible de

qu'il

mettre des valeurs du PCDMA227O, le VCU 27I'AMU 2485 mais qu'il n'possible de lire certainstres : notamment les 206contenant les informationsves à l'audio (loi de etprésence audio). Ceci n'en rien sur le bondes voies audio. Cet étatn est pas une erreursimplification puisque lamission utilise la sortiedu PC. Dans une version àcontroleur 8052 AH BASIC ceIte

lecture pourra être possible

s l eEI

pasgis-210

mente fait

unerans-allèle

Le processeurensuite I ou

d'horloge et un ou

ûansmer16périodes

deux octets

F1F2F3

F4

' . 1 _ i

RP-EL N 496

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CartedécodeurD2MAC

: i :

t : I

t;,,

; . . k ; - ' e 1 :

--

, '..;;.

Les écrans obtenus avec le logiciel IMB-EXE,

Charger es valeurssauvées : F5Impdmer les valeursen cours : F6Fin du programme : F 1 0

En appuyant sur la touchefonction F1 on accède véritable-ment au logiciel de configrurationdes circuits. Avec Fl on s'adressedirectement au processeurD 2 MAC DM'A 2270 et à traversce même processeur au

CU 2133 et au générateurd'horioge MCU 2632. Avec F2 onaccède à tous les ccefficients ducircuit audio AMU 2485. Lorsqueous les paramètres sont correc-ement figés : F1 et F2, ils peu-ent être mémorisés en appuyantur la touche F4.A la prochaine utilisation, il ne

era plus nécessaire de chargerchaque paramè-

tre mais tous lesmémorisés seront chargésuns après les autres en appusur F5. Pour un bon fonctiment, tous les paramètressibles par les touches de fonctioFI etF2 doivent prendre la ouvaleurs ad-hoc. Un tableau résumera ces valeurs. Avantdécouvrir ce tableau,

tous les paramètres sont à zéro.Après ia sélection du paramètreà modifier, les touches plus (+)et moins (-) agissent directe-ment sur 1avaleur.

Simultanément ]a nouvellevaleur est envoyée sur le portparallèle en format bus IM. Pourmémoire, il apparaît au momentde I'envoi, sous le numéro de

page, l'adresse du registreconcerné et 1avaleur envoyée.

Le retour au menu général estdû à F10.

Touche de fonction F2.

F2 s'adresse aux 36 coeffi-cients de I'AMU 2485, répartissur trois pages écran.

De la même manière que pourFl, on passe d'une page à I'autrepar Page Up, Page Down, d'unparamètre à I'autre par flèchevers le haut, flèche vers Ie bas et

d'une valeur à I'autre par + ou -.A chaque instant les comman-

des utilisables sont inscrites dansun cadre récapitulatif, en bas àdroite de 1'écran.

Le fonctionnement des touchesF4 et F5 a déjà été précisé, on

le mode de fonctionnement FlF2,

Touche de fonction Fl.

Fl permet laconfiguration de

séIection et77

répartis sur 5 pages écran.passage d'une page à I'autre s'effectue grâce auxPage Up et Page Down.

Dans une page, la sélecti.onparamètre à modifier s'efipar les touches flèche vershaut et flèche vers le bas. Si

possédez un écran couleur,coefficient en cours de modification sera noir sur fond rougeque la page est bianche etcàractèrès

-noirs. A 1'oriqiné,

les valeurs mémorisées par Fn'ont pas été chargées par F5

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BEi|LISi,TIf/IIvoit donc que ce logiciel a étédéveloppé pour que son utilisa-tion soit extrêmement simple.

Tous les lecteurs Ie désirantpourront

seprocurer

]e logiclelIMB.EXE en envoyant une dis-quette vierge formatée ainsiqu un étui adéquat pour envoispostaux dûment affranchis.

Que I on se rassure, e D 2 MACne s adresse pas seulement auxpossesseurs d un PC mais à tousavec prochainement la publica-tion d une carte 8052 AH Basic.

Schérna de principe

LT ous avons maintenant tousfI les eléments pour découvriret comprendre le schéma de prin-clpe de la figure 21. La descrip-tion détaillée du fonctionnementdes circuits doit aider à la com-préhension du schéma. Le signalD 2 MAC est clampé à 1aborne 35de IC 2. Le signal est numérisésur / _brts vu a vb, et trransmrsau DMA 2270. Le DIJÀA 270effectue le lri : son, données,chrominance et luminance.

ADrès traitement, la luminance

reto-urne au VCU 2133 (L0 à L7).Les deux signaux différence decouleur sont transmis du DMAvers le VCU en un multiplex de4 fois 4 bits (C0 à C3). APrèsconversion D/A et dématriçage,le VCU fournit les signaux R, V,B. Des filtres passe-bas à 5 MHzlimitent la bande. Lorsque lessorties R, V, B sont chargées Pardes résistances de 75 ohms, I am-plitude des signaux atteint 1 voltcrête au maximum.

Le DMA délivre en outre la syn-chronisation composite.

Les données relatives à I audiosont temporairement stockéesdans une mémoire RAM dYnamrque : IC 5. Après traitement dansle DMA, les signaux sontenvoyés, via le bus S, au Proces-seur audio : AMU 2485. Le circuitAMU peut, après traitement, dé1i-vrer jusqu à quatre voies âudiosimultanées. Bien que la commu-tation puisse se faire Par soft, ona prévu sur la carte un inverseur

permettant la sélection de I uneou I autre voie stéréoPhonique.L horloge à quartz X2 n est uti-

lisée que pour I audio.En association avec Ie DMA,

IC 1 : MCU 2632 génère I horlogeprincipale qui cadence Ie systè-me.

Intertace avec Ie récepteurTV SAT

En sortie ,l un démodulateur,

de quelque type gu il soit, nousdisposons d un sj.gnalen bande

de base.Ce signaln est ni désac-centué, ni f iltré, ni réaligné.

Dans les transmissions en PALou SECAM, e signal en bande debase regroupe vidéo et audio.Dans ces récepteurs nous avons

R 1 3

RP-ELN.496

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CartedécodeurD2MAC

donc I habitude de rencontrer ensortie du démodulateur des cù-cuits de filtrage. Pour la vidéo ontrouve un circuit de désaccentua-tion conforme à l avis 405 du

CCIR suivi par des filtres passe-bas limitant Ia bande vidéo à5 MHz. Finalement le signalvidéo est réaligné-cl.ampé avantd attaquer le téléviseur. Pour lescircuits audio nous rencontronsdes filtres passe-bande sélection-nant lâ ou les sous-porteusesaudio.

En D 2 MAC, le problème estbeaucoup plus simple puisquef interface démodulateur-déco-deur D 2 MAC ne nécessitequ une désaccentuation. Leschéma de principe de 1a figu-re 22 montre une solution pourrelier par exemple la sortie dumodule Sharp à l entrée du déco-deur D 2 MAC. Ce circuit es t undérivé de l interface de sortie durécepteur TV SAT décrit précédemment.

Figure 22

Les circuits de réalignementsont suppdmés puisque cettefonction est réalisée par leDMA227O. Le gain de l amplifica-teur NE592 est réglé de façon àce que I amplitude du signalD 2 MAC atteigne 1 Vcc en sortielorsque celle-ci est chargée par7 5 Q .

La courbe de désaccentuationD 2 MAC diffère de la désaccen-tuation en service en PAL ouSECAM. La configuration en Tshunté est conservée mais on uti-lisera Lesvaleurs du schéma de lafigue 22. La courbe de Ia figu-re 23 donne I aspect de la désac-centuation

D^ E

9 ô+ Pi i

: DR ûS À

c

DU

e Ë dN ô P

E I E

ÉRs soRnÊ // PcL 6

* 5 V D I G

L7DI G

1 A . 4 3 2 u t A z

RP.ELN.496 47

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BEALISAIIOIIRéalisation pratique

ô râce à la haute intéqration\f dss gilgLlils ITT. Ies îuatrecircuits participant à la fonctiondécodage D2MAC : DI|/'IA 2270,vcu 2133. AMU 2485. ]l/{CU2632et la mémolre dynamique 64 K 1s'implantent facilement sur unecarte double face d'assez faiblesdimensions : 145 x 130 mm.

Pour cette carte, Le tracé despistes coté soudure est donné àla figure 24 côté composants, àla figure 25 et I'implantati.on descomposants à Ia figure 26. Lafigure 27 repère les composants

CMS disposés coté soudure.Bien évidemment Ie câblage et

l'équipement en composants nepose aucun problème mais puis-que nous sommes dans le chapî-tre réalisation pratique, prenezbien note de quelques conseilspratiques-

sur les cartes PC est assez rnhabi-tuel dans les revues de vulgarisa-tion mais dans un avenir prochenous devrions le rencontrer de

Ètgure zé

Le circuit DMA 2270 est uncircuit à 68 b'roches et le boitierest d.u type PLCC. Ce type deboitier fréquemment rencontré

tibt

aa

-I

48

Figure 24 - Circuit imprimé cÔté soudures

RP-EL 49 6

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plus en plus fréquemment. Pource circuit, il est préférable de pré-voir un support PLLCC 68 bro-ches: ce que nous avons fait.Peu de distributêurs tiennent ce

support en stock et nous avons,après de nombreuses tentatives,découvert un support chez RadioMJ .

Si I'insertion du circuit dansson support est aisée, son extrac-tion I'est beaucoup moins sansI'outil adéquat. Toute la panopliede vos tournevis d'horloger ris-que d'y passer si vous omettêz,dans le circuit imprimé, en regarddu boitier, un ou deux trous dediamètre 3 ou 4 mm qui vousfaciliteront la tâche en cas d'ex-

traction du DMA 2270. On pratyquera avant la première insertiondu circuit, un ou deux trous selonle modèle de support. Les circui.tsVCU 2733, AMU 2485 et lamémoire RAM dynamique serontmontés sur des supports dual inline conventionnels, mais le cir-

cuit générateur d'horloge M2632 sera soudédirectementla carte.

Avec les fréquences den jeu, les découplages ont

coup d'importance. Pourraison tous les pointssont découDlés Dar dessateurs CMS - composantsmontage en surface - Leprès possible des broches d'mentatron.

Les deux régulateurs de7872 et 7805 seront montésdes refroidisseurs en Ument à ce oue montre les DLa dissipation dans le12V est d'environ 1,5Wla tension d'alimentafion va

L5V et environ 3W dans leteur 5V.

Mise sous tension.A la première mise sous

sion, seul le générateur dest en place,ceci permet lation des court-circuits d'

CartedécodeurD2MAC

tion, des inversions des conden-sateurs de découplage et enmesurant la tension aux brochesd'alimentation on décèle leséventuelles coupures de pistes.

Si la valeur du courant d'ali-mentation est telle que I'onpuisse conclure que tout va bien- inférieure à 100 mA -, onpassera à l'étape suivante qui

consiste à placer les circuits surleurs supports respectifs. Dansces conditions le courant maxi-mal consommé atteint environ500 mA et Ia répadition de Iaconsommatlon est la suivante :D M A2 2 7 0 : 1 0 0m AVCV 2L33 : 130 mAAMU 2485 : 200 mA

MCU 2632 : 50 mAL'étape suivante consiste à

connecter la carte D2MAC à sonenvironnement extérieur :- sorties R, V, B, synchro, com-mutation lente et commutationrapide vers le téléviseur.- entrée D2MAC en provenance

I tf, la aa aa

a aa aa ca a

c a a a aa a a a a a

c c o i . . . 3t

. . . 3a l a a aa a c a a

a a a

o

a ca a a. : t t

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a a a a c c a a a a a a a a aa l c

a a a a o aa a a a a a

a aa ca aa aa aa aa

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a a

a a

a a

a

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caIac

a

. i lc

a a

Tt ' la c

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a

a

c

RP-EL NO 96

Figure 25 - Circuit imprimé côté composants.

49

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nEALtSAfl0ild un signal D2MAC désaccentuénon clampé, 1V crête à crête,revoir Ie schémade la figure 22.- entrée bus IM vers le PC simu-lant le processeurcentral et ( sti-

mulant )) e bus InterMetall-revoirle schéma de la figure 20.

QueIIe source D2MAC.Des générateurs de mires

D2MAC (Schlumberger Instru-ments) commencent à faire leurapparition, mais c est une denréerare et lê bon vieil adâge est véri-fié : rare et cher. Il est évidem-ment beaucoup plus simple d uti-liser les émissions de test diffu-sées par le sateuite TDFI.Comme nous I avons précisédans notre précédent article, cesémissions peuvent être reçuessur une station de réception 10,950-11, 700 GHz. Les seulesconditions concernent un éven-tuel filtre en sortie du LNC et lalimitation de la fréquence de I os-

cilateur local dans le changeurde f indoor unit.

Avec du matériel standard, iln y a pas de problème sauf si ledémodulateur est slrnthétisé et

le programme non prévu pourdépasser 11,750 GHz avec unoscillateur local à 10 GHz dans leLNC.

Pour TDF e/ou Astra, desantennes de faible diamètre peu-vent convenir: 40 cm pour TDF,60 à 90 cm pour Astra. Pour lessatellites de télécommunication1,20 m minimum. Bien évidem-ment, ce choix nous ne pouvonsle faire pour vous ; chacun jugera

selon ses propres critères: inté-rêt, coût, situation géographique,visibilité etc.

Nous n attendrons pas votredécision pour continuer et noussupposerons dons qu une

antenne est pointée en directionde TDF 1. Cette antenne est égui-pée soit d un LNC 10, 95-11,

7 GHz soit d un LNC DBS 11, 7-72, 2 GIJz. Résultat : après démo-dulation, vous disposez d unsignal D 2 MAC. Après démodu-lation ce signal est désaccentué

et amplifié et l âmplitude vautsensiblement 1V crête à crête àI enûée du décodeur D2MAC.

A ce stade des manips, com-mencera Ie védtaltrle travail deconfiguration des cùcuits. Ons aidera bien sfir du tableau réca-pitulatif de la figure 28. Dans cetableau certains ccefficients nepeuvent prendre qu une seulevaleur, celle-ci est indiquée clai-rement et il est précisé que lefonctionnement n est corect quepour cette valeur et nulle autre.

L avantage du logiciel est biensûr la faculté de modifier facile-ment cette va,leur, mesurerI étendue du désastre, et finale-ment reprogrammer ie bon cæffi-cient. Le logiciel a été conçu de lamanière la plus exhaustive possr-

Figure 26 - Implantation côté composants.

50 RP-EL NO 96

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bie ; à cause de cela tout estpermis, même un paramètragedes plus farfelu inhibant totaie-ment le fonctionnement.

Si les coefficients sont confor-

mes à ceux du tableau précédem-ment cité, son et image serontprésents et vous découvrirezenfin le D2MAC.

Les essais avec des émissionsen provenance de TDF 1 seronteffectués de préférence avant18 heures. Au-delà de cette heu-re, on ne disposera que des miresde barres, la plupart du tempssans signal audio.

La meilleure surprise vient dela qualité du son. La dynamiquepresque comparable à celle d un

compact disc est surprenante etinhabituelle. L image est sansconteste meilleure mais noussommes encore loin de la hautedéfinition. Pour vous en convain-cre, et si vous en avez Ia possibili-té, prenez une caméra, injectez

directement les signaux R, V,aux entrées R, V, B du téCeci revient à supprimer les

CartedécodeurD MAC

Compatîbilité dessystèmes MAC

Cosorico, nous sommes lesmeilleurs avec le D 2 MACpaquet. Ce genre de réflexion

relève franchement d un chauvi-nisme mesquin et ridicule.I r 4 q L > d v v r r q uv

- les premières études sur leMAC sont anglaises.- le son D 2 est dri au CCETT.- dans la version profêssionnel-le, les circuits sont réalisés par laSOREP, Thomson, ScS, Matra-Harris.- pour la version grand public,les circuits sori.t soit d origineallemande ITT soit d origines

multiples : Nordic VLSI, Plessey,Philips.- la promotion du D2 est dueaux Allemands et Français.- anglais et scandinaves sontdes ardents défenseurs du C etdu D.

sous- ensembles codage (danscaméra ) et (décodage dans

téléviseur).L expérience vaut la

d être tentée. Nous ironsplus loin : cette expérienceêtre tentée si I on désirecier les qualités ou défâuts deou tel type de codage.

Si à la transmission directeV, B on associe 2O/2O,quelledoit-on donner pour lestypes de codage ?essais, R, V, B, PAL ou D 2 MAvous permettront de noter

notre aide. Ouelques tuyauxgré tout : regardez bien lesrayures des chemises deslistes, en Pal, en Secam puisMAC ; le cross-color ace n est déjà pas si m a1 et cun premier pas vers la TVHD.

RP-EL NO496

Figufe 27 - Implantation côté soudure (CMS).

5l

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NEAUSATIOIIPrenons donc l'habitude de direet de penser que les normesMAC, C, D et D2 sont européen-nes.

Le kit d'évaluation que nous

venons de vous proposer dansces pages précédentes n'est vala-h lê ô rê l e c \ zc tème

D 2 MAC. Ot nous avons précisé,au début de cet article, que Ieformat vidéo était le même pourtous les membres de la familleMAC, et c'est cela entre autrequi donne un avantage au systè-me .

Dès que vos manipulatronsseront concluantes, ayez donc lacuriosité de pointer votre

antenne sur ECS 5 positionné à10 degré Ouest et de caler votre

démodulateur à 1180 MHz polari-sation verticale.

A cette fréquence on rencontreIes émissions de la NRK (Norvè-ge) en CMAC. La synchronisation

n'est pas possible, c'est évidentpuisque cette information pro-vient des données transmises ennumérique eL que ce formaL detransmission est justement diffé-rent. A I'aide du logiciel IMB.EXEagissez sur le premier paramètreVCO adjustement. Une valeurcompr ise enLre 127 et -127,convenablement choisie, vouspermettra de synchroniserl'image en ligne et de constater,s i vous n 'en ét iez pas persuadé,que Ie format vidéo est vraimentle même. Cet essain 'est pas des-

tiné à vous donner une émissionsupplément"aire puisque Ia syn-chronisation n'est due qu'à uneégalité de fréquence et de phasede courte durée entre le signal

reçu et le VCO à 20,25 MHz.Dans un prochain numéro nous

aborderons le remplacement duPC par un système à microcon-trôleur 8052 AH Basic. Viendrontensuite plusieurs essais dépen-dant des disponibilités des cir-curts.- D]I/I'A2280 circuit intégrémulti MAC, C, D, D2 développépar ITT sur la base du D]l1dA 270décodeur D 2 MAC. Ce circuit secommute automatiquement surI ô êr .h ^ ârÀ ïôôr l

- t r ' IV1710, MV L720, MV 1730

T1

TA

J 1 1fL2r1 3

T 1 5

BLD

Arigmênt of th]è 20.25 h{z

Dlsable PLI outputDtsâbl€ PLL ôutpùtDtsâbrè PLL ôltpùtsaÈurârion v âdjlsrôenrSaturatlon U adjustrêntLlna d€lay âdjustnen resorution of the 20,?5 1,1H2Lura contrast âdlustnênrDisable synchro outputs (pins 50-53,54^60)D i sa b :e c ra mp i n s o u Èp u t (p i n 4a )

cb ro i a o u tp u t s (p tn s 2 1 -2 4 ,2 7 ,3 3 )

stând âlone operatioôChrohâ output nuttiplêxDisâblê GRAY éôdê ôônvèrter inpùr signal (pins J9-46L u n a f t l t e r se re é t i ô ôch r6 â t i l t e r se l è c t i o nHo r l zo n tâ r b l â n k i n s d è l â y a d j us t {p i n s 5 0 -5 2 )co h p o s i t é syn ch ro n i 2 a t i o n d e râ y â d j u sr (p i . s r)Pâcket âddress seleêtion chann€t IPâêkêt âdérêss sèlection êhan.el 2

sèlection chânner 3Pâcket àdd.ess s.lectton chânner 4Dâta grôuP tYPe selection

ôi$ble S-AUS outputs (prns 64 66 67)Au d i o c l o ck . r i l ch (p i n 65 )Audio êræk iréê r ôniÎgsôùid s0bset sêlectiôn

Fq têst only

Disablé effor concealnen

ê h ro h â i ô te .p o l â t i ô n f i r t ê .Disâbrê digitâr êr36piô9 (vid€ô)Dtsablè dtgital craapin9 (dâta)seêrh clf @â syrchronizâtion bitNois€ invarte. enâb1evidêo i.put sêrêôtcôdê bils tor piêtfÊ t.ube ârignnêntEêân êrrênt red étiônBrightnèsscltôÎr wôrk9ê réd

LktM.ô€ âddêr scttôhCutôft',voltase greenHhite d.ive greenB1ânkths pursè dtsâb]ècutoff voltâs bl€

Ldtiâê âdd.r shift

Ext*nâl R€B êôntrâstDt€âb]ê doubre satn

|.ufriMnê. êôDtr.strhit. cf..Àt ...str|g vo1t.9.

l - 2a, +r211{ r , 2 , 4 >

I o , 1 ]i o , 1 lt o , 1 l

t o , 6 5 lI o , é 5 ]Io,ao ]t o , 6 3 li o , 1 ll o , 1 lto , 1 l

t o , lI 0 , 1 1t o , 1 lt 0 , 1 1t o , lt o , r lt o , r l

IO,r27)( o , r 2 7IO , lt o , t li o , l1o,71I o , 1 5 ]t o , 1 lt o , 1 lI o , r ]I o , 1 ]t o , r lt o , 7 )t o , r lt o , 1 ll o , 1 l{0 , 1 1t o , 1 l[ 0 , 1 ]I o , 1 ]t o , 1 lt o , r lt o , 1 l[ 0 , 1 ]I O , l l{ 0 , 1 1i o , 1 l( o , 1 j

I o , 1 ]i o , 1 lt o , 1 ]t o , 1 lI o , 7I o , 1 ]

( o , 2 5 5 1to,255llo,r27 )t 0 , 1 1 /

lo,255l[ 0 , 1 2 7 ]1 0 , 1 1

[o,25s]LO, 21)I o , 1 ]

I O , 6 4 1[ o , 1 ]I o , 1 ]

[ 0 , 2 5 s ]io,255lto,255llo,25sl

ô

5

0

t

1

1

1

r21

72 7

32

1

120

50

2

2

L1

I

t27

0

o

0

I

52

Figure 28

RP-ELNO 96

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CartedécodeurD2Mac

QB : 22OnFCtq 220 nFCrs 10 pF/16VCro 10 nF

Ctt : 22 1sF/76Vtarrtale en //

Cæ : 22 1t"F16Y tantale en //C:rCrg 10 nF/CMSCzo 10 nF/CMSCzt : 2,2 LtF/16VCzz 2,2 fLF/16VCzs 10 nFCza 10 nFCzs 10 nFCza 47OpF/CMSCz t : 4 7 O P F / CM SCza 47 yr/16V

Cze.47 t1/16VCeo 10 nF/CMS

C:r : 10 nF/CMSCsz 10 nF/CMSCtt : 22 pFC:a 150pFCrs : 150PFC:o 150pFCsz 10 pF/16VC:e 1000 ttF/16VCsg 1000 $F/16 VCqo 220 uF/25 V

Semiconclucteurs'It : 2N2222T z : B C 5 4 8 BT e : B C 5 4 8 BT q : B C 5 4 8 BT s : B C 5 4 8 BDr : 1N4148

Circuits intégrés

ICr : MCU2632ICz : VCU 2'133ICs : DIJÀA2270ICa : AMU 2485

I C s : 4 1 6 4 - 1 5ICa : LM78L2ICz : LM 7805

Se/fs

DiversXr : 2O,25QMHz KV GXz: 78,432MHz KV GJ1à J? : embases RCAJs : embase DB 9 femelleKr : double inverseur Pour Cl

ensemble de circuits Nordic VLSI,Plessey, Philips, prévus pour 1aréalisation d'un décodeur Multi-MAC.Ce qui revient à drre que ce sujetne s'épuisera pas facilement.

A I'heure actuelle nous ne

savons pas quelle version ITTlivrera, probablement la ver-sion 34 gui a été utilisée dans cetarticle. La dernière version est la39 et les intermédiaires 35 à 38n'ont pas survécu. Sachez quetoute version disponible supé-rieure à la 34 est compatible avecle circuit proposé.

ConclusionLe numérique a déjà fait son

apparition en production ; avecle système MAC, il fait uneentrée fracassante dans ledomaine grand public qu'est laTV. Ce n'est bien sûr qu'undébut, et des plus Prometteur.

Même si cela Peut Paraître unpeu grandiose et démesuré dansune revue d'électronique desti-née aux amateurs (avertis), gar-dons à I'esprit que les systemesMAC, si tout se Passe commeprévu, devrait donner à I'EuroPeune longueur d'avance dans la

course à la TVHD.Dans cette course, le specta-

teur attentif remarquera que cer-tains paramètres ne relèvent quetrès peu de la technique

François de DIEUTEVEUTT

Norll

Résistances5 Yo

Condensateurs

C r : 1 0 n FCz : 10 nF/CMSC: : 10 nF/CMSCq : 220 nE'Cs

: 22OnFC o : 1 0 n FCr : 10 nF/CMSCa : 10 nF/CMSCg 220 nF CMSCro 10 pF/16 VCrr : 10 nFCrz 10 nF

Rr : 4 ,7 kQRz : 4,7 kQR: : 4,7 kQRa 4,7 kÇ2R s : 1 0 0 QR o : 6 8 k QRt : 4,7 kÇ2Ra 4,7 kQR s : 6 B k QR r o : 1 k QR r r : 1 0 QR r z : 1 0 QR r a : 1 k QR r a : 7 5 QR r s : 3 3 QRro : 1.kQ

R r z : 7 5 QR r e : 3 3 QR r e : 1 k QR z o : 7 5 QR z r : 3 3 QRzz 10 kQ

% W

Rz: : 4,7 kQRzt : 470 S)Rzs 6,8 kQ

P.za 22 )R z z : 1 k QRze 270 kç)Ptzs 270 kç2R : o : 3 3 QRsr 4,7 kQR r z : L k QR r s : 7 5 QR:a 100 QRss 120 kQR s o : 7 5 QR:z : 750 Ç2Rss 1,5kQR:g : 750 ÇJR+o 1,5 kQRar : 750 Ç2Rsz 1,5 kQRa: 4,7 kQRaa 4,7 kQ

RP-ELNO 96 53

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iltF0sHD Micro Systèmes :L'espace qualité

HD MicroSystèmes st e nomd'une société que les habitués de

nos colonnes associeront rapide-ment à la distribution de compo-sants pour l'électronique. Im-planté à la Garenne-Colombes,cet annonceur propose en effetdes produits très classiques dansle domaine du linéaire et unegamme par contre beaucoup plusétendue et variée en logigue,ainsi qu'en connectique, mais sesactivités ne s'arrêtent pas là... Lapartie la plus importante de I'ice-berg est constituée par le dépar-tement micro informatique.

Celui-ci est situé au 40, rue Jules-Ferry, toujours à La Garenne,dans des locaux achetés et réno-vés par la société. Les bureauxs'étendent sur 150 m2, e matérielest en démonstration dans unhall d'exposition de 45 m2, uneaire de stockage complète l'en-semble. Ce matériel quel est-il ?En pafiie, ce sont des ordinateurspersonnels, des compatibles, deI'XT à I'AT 386. Du micro de tableau portable à écran plasma(1). Ilssont distribués sous la propremarque HD Microsystèmes. Tou-tes ces machines sont équipéesd'un BIOS officiel et Ie systèmed'exploitation MS-DOS est vendusous licence Microsoft, la pdodtéest donc donnée à la qualité.HDM distribue également lagamme ATARI ST et un portaleEPSON compatible. Ces distribu-tions impliquent un engagementau niveau du S.A.V- Toujours auniveau du matériel, HDM est dis-tributeur officiel EPSON, MAN-

NESMANN TALLY, PLUG pourles impdmantes. Toutes les car-tes et sous-ensembles (Moni-teurs, drives, claviers...) permet-tant de constituer un ordinateur( à la demande )r sont disponi-bles, ainsi que 1es câbles, 1aconnectique et les pièces déta-chées.

Ajoutons à ce1a, es fourniturespour le matédel informatique (leconsommable); papier, listings,

(1) La gamme comprend 4 versions xT àI MHz (dont un portable à cdstauxliquides), B compatibles AT3 avec,selon le s versions : des h orlogês à618/7OMHz ou 20 MHz, des disquesdurs de 20 à B0 Mb, des écrâns stan-dards, monochromes ou couleur, desécrans à cdstaux liquides ou àplasma.

étrquettes, rubans, papier pourté1écopieurs...et le mobiliêr spè-cialisé, ex.: suppofis d'impri-mantre.

Côté soft, HDMdiffuse de nom-breux produits, certains sont

d'ailleurs de grands classiques(Word 3, Windows, Multiplan,Lotus, DBase, Rapid File...) d'au-tres moins connus sont spéciali-sés en compatibilité ou gestion...Çitons aussi les logiciels de PAOVENTURA et BYLINE. La sociétéHDM travaille en étroite collabo-ration avec la chambre desmétiers des Hauts-de-seine (au-près de laquelle HDM assure lerôle de conseiller technique), ceci

permet au département de pro-poser des stages d'initiation à lamicro informatique (stages rému-nérés).

Enfin, une section ]ibrairie, peuimportante certes, car ne compor-

tant pas plus d'une dizaine detitres, mais composée d'ouvrageschoisis pour leurs excellentesperformances, offre à la clientèleI'assurance d'acquédr de solidesbases pour exploiter avec effica-cité leur système. Riche de l'ex-périence acquise au contact dumarché de la distribution grandpublic des composants, activitéqu'elle assure toujours du reste,HDM peut s'engager avec séré-nité sur celui professionnel de lamicro informatique.

HDMTét. 47.87.35.27

T an s ormateur s tor iquesISKRA France annonce la dispo-

nibilité d'une gamme de transfor-mateurs toriques d'un rendement

moyen de 90 o/oet couvrant ]espuissances de 15 à 500 VA.Comme tout todque ces transfor-

mateurs disposent d'un doublesêcondaire repéré vert-noir et bleu-rouge dont les tensions s'échelon-n e n t d e 2 x 6 V à 2 x S S V s e l o n l apuissance. Les tolérances encharge sur la tension de sortievarient de 15 pour les modèles15 VA à 5 pour le modèle500vA.ISKRA France S.A. :27, rue des peupliers - Bat. A -

92000 NanterreTé1. (1)47.60.00.29

Un chargeur ur:iversel :Ie TAP BOX

Efficace et ergonomique, lenouveau chargeur présenté parFRIWO, le TOP BOX est réelle-ment universel. Il permet en effetde charger en 14 H maximum(charge lente) tous les accumula-teurs suivants : LR 20, LR 14,

LR 6, LR 03 et LR 61 .Grâce à un dispositif électroni-que, Ie TOP BOX interromptautomatiquement la charge lors-que les accumulateurs sontrrpleins D évitant ainsl toute sur-charge, ce gui augmente Ia duréede vie de vos ({batteries ,.

Le TOP BOX est garanti un anet répond à toutes les normes desécurité actuellement en vigueur.Hormis le TOP BOX, FRIWO pro-pose toute une gamme de char-geurs et d'alimentations enficha-

bles sur le secteur, ainsi que lesbatteries d'accumulateurs NiCdde format courant.

FRIWO est importé en Francepar POSITRON.POSITRON :27 rrae des Deux-Mathilde93800 EPÏNAY-SUR.SEINETé1. 48.29.50.84

54 RP,ELNô496

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lECHllt

commentnpouvait rocéderuchoix 'unmoyen ecommunicationanse cadre 'une

Progressivementous ousavons

entraînéersun certain

Commeous ous 'avonsaissé

entrèvoir,elui-ciossèdeenombreusesualitésue ousmettronsnévidenseoutau ongdesprochainsrticles.

Souventous vons tiliséun on

imagé ourévoqueres hoses

sérieuses,uiourd'hui,tindevous

Bus12

II

Leprotocle

rester(

(

) .

En afind'éviterde airedes autes e

lebus,

d'étudier t à fond e

Sans utre deprocèset pourrait ous emblerébarbatif possiblet,sachant effetde

lassitude très nous vons devous résentern in 'artisleun concret uenous

réutiliseronsara suite t enSombresdoncepremier raigrandproblème

- commentransmettree buszCet mettre neuvredes

aussi ous ousdonnerons desélémentse

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applicationéterminée,

( standardrdeBUS yantpour

présentere onctionnementubus

I2Cdans ousses étails, ous e

BP-EL 49 6

variantes,

soi?de 'I2Cdu r n à l a

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Comme dans toute histoire, ilfaut un début et nous allons com-mencer par mettre nos pendulesen synchronisme en utilisant levocabulaire qu'il convient (voir

encadrés).

Confïgurationmatérielle des étagesreliés au bus

ftes exemples de schémas|/ électriques de configurationd'étages réunis physiquement aubus, sont donnés aux figures 1 et2 . '

Aussi surprenant que celapuisse vous paraître, une trèsgrande partie de la force de cetype de bus réside dans le choixde cette configuration

Elle est très simple et pour-Îanf,...

Prenons une loupe et exami-nons de plus près pourquoi.

Les deux Iignes SDA, SCL sontchacunes BI-DïRECTIONNELLES(entrante et sortante) et sontconnectéês à la Ugne positived'alimentation au travers de

résistances ayant pour missiond'assurer une double fonction decharge et de rappel (dites de pull-up), Rp.

Au repos, lorsque les transis-tors ne sont pas conducteurs, lebus est dit < Iibre , et ces deuxlignes sont < relâchées r à ]'étatHAUT via les résistances.

Le choix de la configuration desortie (collecteur ou drain ouvertselon les cas) permet (et tous lesautres composants reliés au busdoivênt le permettre) de réaliserla loncrlon 11 :uAËLll-

Le fait que I'on réalise simulta-nément sur une broche unicrue

56 BP-ELÀIÔ96

TECiil

l'entrée et la sortie d'une infor-mation (SDA (ou SCL)) permel; aucircuit lui-même de s'auto-espionner, c'est dire de pouvoirvérifier si à sa propre sortie il y abien I'informat ion éIectrique quelui-même voulait y voir afficher.

Ceci peut vous sembler totale-ment déraisonnable mais c'estgrâce à ce type de subterfugequ'il nous sera possible par lasuite de réussir la synchron:isa-tion et I'arbitrage entres diffé-rents maîtres

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8U$12C t Ie

Conséquences de Iaconfiguration

r Chargeabilité ndu bus IZC

En ce qui concerne la ( char-geabilité rr - nombre de circuitsque l'on peut relier au bus - denombreuses questions nous ontdéià été posées.

Chargeabilité statiquePour y répondre, il faut

le champ de réflexion- Enne sachant combien, coquand... seront électriquem

oDérationnels les différentscuits reliés au bus, i l estsirire de tenir compte de I'tualité du cas Ie plus dCelui-ci correspond en fait à lach.argeabilité maximale deriint que Peut supporter le

RP EL N. 49657

sistor de sortie (toutes technolo-gies confondues : BIP, CMOS...)(ordre de grandeur choisi dans laspécification de 3 mA). Ceci per-mettrait de définir, dans Ie cas

d'une tension alimentation de5 V, la valeur minimale des résis-tances de rappel à environ 1KÇ2(la valeur max. n'étant pas criti-que est laissée à votre bon gofit)- voir figure 3.

Chargeabilité dynamiqueAïe, aïe, aie, les soucis recom-mencent I

Oue de discussions à ce sujet.Pourtant tout est bien indiqué

dans la Bible selon St I2C (spécifi-

cation du bus I2C de RTC/PHI-

LIPS) mais il est vrai que pourretrouver ses petits, il faut 1'éplu-cher dans tous ses moindresrecorns.Différents paramètres sont àprendre en considération pourdéfinir cette fameuse chargeabi-lité dynamique :

1) la valeur maximale dutemps de montée (1 ps) que peu-

vent prendre les signaux sur SDA

et SCL (cette valeur est Prlncipa-lement liée à la valeur maximaledu débit - 100 kbit/s - mais

elle est indépendante du débitutilisé).

2l Ie fait qu'il pourrait y avoirde connecté sur le bus un (des)

maître(s) fonctionnant au débit]e plus élevé.

3) la valeur max. de la capacitéde sortie d'un circuit élémentaire(20pF) .

Si l'on ne prend en compte que

1a valeur max. du temps de mon-tée, il est aisé de définir quelle

est Ia valeur max. de la capacitéde charge équivalente du bus.

I

7"i7

/rLx. BS

7

/

o 4 8 1 2 1 6voo v)

Figure 3 - " Chargeabitité. statique.En ordonnée valeur de RP (minimum)en k9.

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Le résultat de ces calculs esrdonné par la courbe de la figu-re 4-

Très fier de soi on peut doncconclure que 400 pF représentent

une chargeabillté max. soit de 20circuits à capacité maximale de20 pF soit que I'on peut déporrerun circuit (de 20 pF) à 3,8 m en lereliant avec du câble à 100 pF/mètreArrêtons un peu ce genre de rai-sonnement (pas totalement fauxmais un peu simpliste) car il estconnu de tous :

1) que tous les circuits ne sontpas à la valeur max. de 20 pF

2) qu'il est facile de réduire Lestemps de montée, quand on en a

envie en ( bufferisant rr les sor-ties, diminuant ainsi les valeursapparentes des résistances desorf,1e, e que nous ne nous prrve-rons pas de faire dans nos réalisa-tions futures.

Transfert d.esintormations

e transfert des informationsest très spécifique au proto-

cole du BUS I2C.

Comme dans tout protocolestructuré, il comprend :a des définitions des niveauxelecf,noues tlAU l et Ë4|ja des ionditions de fonctionne-menta des conditions de changementd'étata des conditions de validité desdonnéeso des conditions de déDartSTART et d'aûêt STOPa des formats de motsa des formats de transmissiôn

AJr .orc'nncr (pF' Figure 4 - Chargeabthte dynaDtiqùeËn ordonnee valeur maximumde Rp en ka.

l l

lignes ê

iII

i cr'angemeit

o des procédures d'acguitte-mento des procédures de synchroni-samono des procédures d'arbitrage

Avant de nous attaquer concré-

tement au transfert lui-même,examinons quelles sont lesvaleurs électriques des niveauxHAUT et BAS.

Ça commence déjà malDu fait qu'une grande variété

de composants, de différentestechnologies (NMOS, CMOS,BIP...), peuvent être connectéssur le bus, les niveaux logiques

Condition de changementsd'états et de validité des don-nées

Ces deux conditions sont inti-mement liées et il est raisonnablede prendre la ligne d'horloge SCL

pour référence. Dans ce cas ondéfinit :

Validité d'une donnée :Une donnée est considérée

comme valable lorsque la lignede données SDA est ( stable ))(haute ou basse) pendant que ]aligne d'horloge SCL est à son étatHAUT (figure 5).

soa

scL r it - l

'0' (BAS) et '1' (HAUT) ne sontpas fixés et dépendent de lavaleur de la tension d'alimenta-tion appliquée réellement au cir-

curf,.Il est à remarquer que lors-qu'on fait attention à la cohé-rence des niveaux dans un systè-me, ceci donne de Ia souplesse àla conception sans la pénaliser,ce qui sera le cas de notre réalisa-tion dans laquelle nous resteronsconventionnellement alimentésous des tensions de 5 V et 12 V.

Revenons maintenant au trans-fert

Conditions defonctionnement destransfertsPrincipe de base :

Une impulsion d'horloge estenvoyée à chaque fois qu'un bitest transféré.

Changement d'état :Quel que soit le niveau (haut

ou bas) de la ligne de donnéesSDA, sa valeur ne pourra changer

que lorsque la ligne d'horlogeSCL est à l'état BAS.Conditions de départ START etd'arrêt STOP

A I'intérieur du protocole dedéfinition de 1'I2C, les situatlonsqui régissent ces conditions sontUNIOUES. Il est à noter dès main-tenant que ce sont des CONDI-TIONS de départ et de stop etNON des BITS DE DÉPART et deSTOP(figure 6) .Condition de START :

Cette situation a lieu unique-

ment lorsgue la ligne de donnéesSDA passe de ]'état HAUT à l'étatBAS tandis que la ligne d'horlogereste à l'état HAUT.Condition de STOP :

Cette situation a lieu et unique-ment lieu lorsque la ligne de don-

58 RP-ELNO 96

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EUS12Ctle

, s l

STAÂTcoNorïroN

Figure 7.

nées SDA passe de l'état BAS àl'état HAUT tandis que la ligned'horloge reste à l'état HAUT.A tout qela il faut ajouter les com-pléments suivants :. les conditions de START et deSTOP sont toujours créées par lemaîtrea le bus est dit occupé après ian n r r l i i i a n d â . 1 Â h â r i

ale bus sera considéré commelibre un certain temps (bien défi-ni) après la condition de STOP.

Examinons maintenant les FOR-MATS DES MOTS ET DESTRANSFERTS DES DONNÉES

Fomat des motsChaque mot transmis sur la

ligne de données SDA doit avoirune longueur de 8 bits. Jusque 1àrien de particulier et ceci permet-tra de traîter directement lesmots reçus à I'aide d'un micro-contrôleur standard.

Les données contenues dansle mot sont transférées avec le-trrt e Dords ort (lvlblj) en rere.

La slgnification de chacun desmots transmis sera définie lorsde ]a définition du format detransmission.

Format des transfentsChaque transfert commence

par une condition de STARTChaque mot transmis doit être

suivi d'un bit d'acquittement.

Le système récepteur peut, sli lle désire, forcer l'émetteur àrnterrompreson émission entre deux msuccessifs afin d'effectuertâcbe jugée par luiment Dlus Drioritaire. Pour

Signification de chacundes mots durant latransmission

quer cela à l 'émetteur, le récep-teur doit forcer (maintenir) auniveau BAS la ligne d'horloçieSCL. Dès qu'il relâchera la lig4ed'horloge, celle-ci remontera etindiquera à l'émetteur qu'i] peut

continuer son transfert (figure Z).

Le nombre de mot transmis loisd'un transfert est i[imité.

Chaque transfert se termine

par une condition de STOP géné-véê nâr lê 6âî i rê

Le huitième bit (LSB) de ce pre-mier mot a une signification parti-culière (figure 8).

I1 est baDtisé ( R/W bit ,) (( lec-ture/écriture )r .

11 sert à indiquer la directionque vont prendre les données cir-culant sur 1ebus :

un < zéro l indique une trans-mission d'écdture du maître versI'esclave.

un ( un rr indique une demande

de données (ce gui revient en fait

à vouloir faire une lecture de don-nées que détient I'esclave).

Lorsqu'une adresse est

envoyée, tous les composantsprésents physiquement sur lebus comparent les 7 premiers bitssulvant la condition de START àleur propre adresse. Si celle-cicorrespond exactement à Ia leur,ils se considèrent corrlme adres-sés. Le circuit adressé attendalors sagement la transmissiondu 8. bit (R/W) pour savoir s'ildoit se considérer soit comme un( esclave récepteur Ddans lequelon va écrire soit comme un ( es-clave récepteur r à qui on va

demander de lire et d'envoyer cequ'i1 a dans son petit ventreExaminons maintenant en détâi.lcomment sont constitués les bitsd'adresse.

Evidemment, n'importe quipourrait faire n'importe quoi : tel

1) le premier mot transmis est( I'adresse de I'esclave r que lemaitre souhaite sélectionner.

Cette adresse a une longuetude 7 (sept) bits.

Figurè 8.

59

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constructeur, telle fonction, telcircuit, telle adresse

Chacun pour soi, I2C pour touset on trouverait dans le com-merce un répertoire d'adressestotalement anarchique |

Heureusement, af in d 'évr tercela, un ( IzC Committee r veilleà coordonner les allocations desdifférents participants du CIub I

Partant d'une part du principetant de fois pratiqué du ( pour-quoi faire simple quand on peutfaire compliqué )) et d'autre partqu'il est toujours bon de laisserdes portes de secours à un systè-me, on se rend vite compte quesouvent dans un même système,

on est appelé à utiliser plusieursfois le même type de circuits(RAM.. . ) .

ll devient alors nécessaired'avoir des adresses différentespour de mêmes types de circuitsafin de pouvoir avoir accès parti-culièrement à l'un d'entre eux.C'est donc notamment dans cebut qu'il a été décidé qu'une par-tie des 7 bits d'adresse serait fixe(les 4, 5... bits de poids forts) etque Ies autres seraient < modi.fia-

bles ).Remarquez bien que den n'est

dit sur Ia manière de les modifier.Ces bits peuvent être modifiablessoit par ( hardware ) logique ouanalogique soit par logiciel ou...IJqr r r l r rvvr Ls q uur .

Le nombre de ces bits variablesdépend en fait plus du nombrede broches disponibles sur leboîtier du circuit que d'autreschoses

Par exemple un circuit qu i

aurait 4 bits fixes d'âdresse et 3bits < configurables ))permettraità un concepteur de disposer surun même bus 7 petits frères d'unmême circuit (figure 9) mais à cesujet et avant de quitter ce para-graphe, nous souhaitedons cou-per court à certains cris que nousDercevonsdéià...

i.-.-.i,..........--,........-SÎA8T ADORESSR/W ACK

coNotTtolY

8P-EL

sodie oiné€dém0t0 r

STARTcoNolTloN

Figure 11.

Cri no 1( Avec sept bits d'adresse on

ne peut adresser rrque r 128 cir-cuits dont les adresses sont diffé-rentes avec ce protocole D.

Vous allez peut être dire quecela est largement suffisant pourvous. Eh bien des fois, pour d'au-tres, non

Aussi rassurez-vous,nous vousdonnerons des idées pour fairebeaucoup mieux et ainsi, parexemple, ceux qui voudront fairede superbes panneaux d'affi-chage géants à LED ou LCDauront tout loisir d'assouvi.r leursoif dévorante de circuits inté-grés.

Cri no 2( Avec 3 bits programmables,

on ne peut disposer que 8 circuitsd'un même type sur le bus )) .

Ici aussi, il exis te beaucoup de( ruses )) pour en mettre bienplus, par exemple en multi-plexant temporellement cesfameux bits ( reconfigurables )).

Certains schémas simples per-

mettent d'adresser plus de 300circuits d'un même typeEt puis juste pour sourire un

peu, on peut très bien aussi seservir du contenu du messagetransmis à un circuit pour qu'ilauto-reconfigure sa propreadresse I On a même réussi àrendre des circuits totalement

fous, ces derniers ne sachânt pluscomment ils s'appelaient Ill

(d'où I'appellation HIC 2C -

Oui elle est très mauvaise etalors).

Il existe aussi des adressesspéciales concernant ( l'appelgénéral >, et ( le mot de start ))que nous examinerons plus tard.

2) les mots qui suiventl'adresse n'ont pas de significa-tion particulière.

Ils sont codés sur 8 (huit) bits.(fignrre 10).

On peut résumer globalement

leur fonction en disantqu'ils

transportent des données.Très souvent les données qui

sont présentes dans les mots qu isuivent immédiatement I'adresseont un sens plus orienté vers l'or-ganisation interne du circuit com-mandé (mot de sous-adresse, destatut. de commande.. .) mais iln'y a pas de règle générale et cesagréments sont définls type partype.

Puis viennent ensuite les motsqui contiennent des données, des

valeurs au sens strict.Comme nous vous I'avons pré-

cédemment indiqué, le nombrede mots transmis n'est pas (surson principe) limité. 11 dépendd'une part du type de circuitauquel on s'adresse et d'autrepart au fait qu'en pratique on estbien obligé de se limiter car si on

r - 7 \ , / 8 \ , l ' - 7 U ,6 \ J " \ J l ^ i-

i P t

oÀTA acK sroPcoNorTtoN

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BUS 2C t leprotocole

ne faisait que transmettre desdonnées à un récepteur particu-lier, on ne ferait rien d'autre..

AcquittementComme vous avez pu le remar-quer sur les fi$rres, entre chaque

mot transmis il y a une procédured'acquittement.

Pour bien comprendre cettefonction et la puissance gu'ellepossède, il est nécessaire de bienanalyser son principe.

Conditions de fonctionnementLa) le transfert de données avecacquittement est OBLIGATOIRE.1b) un acquittement doit avoirlieu après chaque mot transmis.2) I'impulsion d'horloge (]a 9e)pendant laquelle Ie composantrécepteur devra renvoyer aumajtre son acquittement estengendrée par le maître qui alui-même le contrôle du bus. (fi-gure 11).3) pendant que le composantémetteur (le maître) envoie sonimpulsion d'horloge, iI devra lais-ser simultanément libre sa lignede données SDA préalablement< relachée rr à l'état HAUT.

Condition d'acquittementCeci étant, pour gu'il y ait

acquittement, i1 faut que le com-posant récepteur mette à l'étatBAS la ligne de données SDApendant que la iigne d'horlogeSCL est HAUTE et dite ( stable n.

Non acquittementDans tous les autres cas de figu-res de < non acquittement )), ilfaut définir des procédures d'ac-tion bien répertoriées.

Afin de bien nous faire compren-dre, donnons deux exemPles Pré-

a) le récepteur étant en train determiner une tâche réalisée en( temps rée1 r (écriture d'uneEzPROM par exemple) ne Peutou ne veut accepter la donnéequi se présente et, voulant ainsimontrer son vilain caractère àI'émetteur, fait exprès de laisser1a ligne de données SDA telleque I'on vient de la lui Présenter,c'est à dire à fétat HAUT.

Le maître comprenant ce refus(( non acquittement ))) a tout loi-sir d'envoyer une condition deSTOP pour abandonner ce récep-teur bien élevé mais récalcitrantet en profiter pour s'occuper d'unautre à accueil plus sympathique.

EviderrLment les fâcheries n'étarùtque de courtes durées, il pourlare-essayer de temps en temÉspour seloir dans quelles dispos[-tions so trouve ce récepteur po4r

continurer ou reprendre le trans-fert.b) deu:rième cas de figure phisdélicat mais d'emploi fréquent :le maître (vous savez, celui q{igère I'horloge) est ( récepteur D(il viênt de demander par exem-ple à une mémoire de lui fairleparven.r son contenu).

De pitr son travail spécifique, [.1se peut que Ie maître veuille faiiecomprendre à I'esclave émetterlrqu'il désire arrêter le transfert.

Pour cela en n'acquittantpals

Ie dernier mot trânsmis par I'ed-clave, iI signifie à ce dernier dlebien vouloir relacher la ligne dedonnées SDA afin que le maÎtrlepuisse fournir une condition deSTOP.

1l existe bien d'autres Procédlt-res Ctu:i détaillent les échangesdu bus I2C notamment lors dqscas de figures comportant Plq-sieurs maÎtres présents sur llebus. II serait trop long de voqsparler aujourd'hui des procédu-

res de synchronisation et d'arbl-trage cnJ.iont été définies. Norlsferons le point dessus lorsquenous eD aurons besoin.

Petite' récréationOuf Voici nous en avons fi.{ti

(mome::tanément) avec la signi4i-cation des pdncipaux mots êtnous r/ous sommes déjà trèsreconnidssants de votre couragë.

Aussi, en guise de conclusioFret de récréation, pour imagêr

tous cos principes, nous allorisnous irrtéresser concrètement àce qui se passe dans le cas d'utrrcircuit rjpécifique.

Afin de ( voir )) comment celafonctio:nne, nous avons choi5id'utilis 3r un circuit d'affichage ( )à LED car, tout d'abord ça peuttoujours servir, et de plus nor+savons décidé de I'utiliser par lasuite.

Nous avons choisi de prendriecomme support le cùcultSAA 1Cr64 ui commande 4 digi{s

- 7 segments plus Ie point - àLED.

Il esl. simple d'emploi, sa fonç-tion étêrntprincipalement ( passl-ve D.

Nous avons dit ( passive )) cârsa fonction réside à 99 % des cas

de son emploi en un ( esclaverécepteur D que I'on ne feraqu'écrire.

Maintenant que vous nous pra-tiguez depuis quelques temps,

vous vous demandez bien à quoipeut servt le I o/orestaîL ?Un circuit d'affichage peut

avoir, sous certaines conditions,un soupçon d'intelligence ; c'estpeut être beaucoup dire mais iIpeut avoir été n dressé D pourvous prévenir si, par hasard,quelqu'un lui a sournoisementcoupé son alimentation et vousindiquer de ce fait (en devenantun < esclave émetteur D) quefaute de combattant, il ne détientplus

aucune informationà affi-

ctrer,La famille des SAA 1064 (car

ils peuvent se reproduire - dansun montage bien sûr -) réPondau nom charmant de: 0111oxx(.)

Comme vous venez de leremarquer nous avons tronçon-ner son adresse en trois Parties :0111 partie fixe de Ia famillegénérique SAA 1064lXX partie configurable du cir-cuit que, par exemPle, nous

allons choisir égale à : 010(.). ce bit représente le contenud; R/W R i : W:o)

Dans notre cas d'écriture ce bitsera à 0son adresse spécificrue seradonc : 0111 010 . soit 76 en Hexaet Ia condition d'écriture: +0soit 0 en Hexa.

L'octet à transmettre sur lebus : 0111 0100 soi t 76 enHexa

La spécification du circuitSAA 1064 nous indique que les

mots suivants représententd'abord un mot d'instruction puisun mot de commânde.

Le mot d'instruction corles-pond en fait, pour ce circuit, àune sous-adresse dont nousparlerons plus tard. Pour simpli-fier aujourd'hui, nous admettronsque ce mot est égal à 000 enHexa.

Le mot de commande décritI'aspect visuel souhaité par l'utili-sareur.

Par exemple dans Ie cas d'un

affichage dynamique (duplexé) etavec le courant max. circulantdans les afficheurs ce mot doitavoir pour valeur :x171 0777 soit 77 en Hexa

Les quatre mots suivantsreDrésentent le contenu des

BP-EL .496 61

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valeurs que chaque digit doit affi-cher.

Le contenu de la séquence detransmission sera donc le sui-va n t :

Conclusion

l\f ous voici arrivés à Ia fin de celI long préambule qui va vouspermettred'avancer ers

a réali-

sation d'un ensemble commandépar le bus I2C.

Nous avons pensé qu'il étaitpréférable de bien vous faire assr-

miler tout ce genre de philoso-phie avant de vous tremper com-plètement dans un système quiaurait le mérite de fonctionnermais sans que vous ne sachiezpourquoi

De plus I'axe Domotique surlequel nous mettrons I'accentétant par principe tellement ( in-dividuel D, nous avons estiméque ceci était nécessaire afin quechacun d'entre vous puisse, pa rla suite, repersonnaliser à sa

convenance certaines réalisa-tions et en toute connaissancede cause.

D. PANET

RéférencesbibliographiquesSpécifications Techniques I2CRTC- PhiliDsComDosants.

ACOUITTEMENT

DU RECEPTEUR.

P

START ------

ADRESSE -- __

MOT. INST,--

VALEURS

iltF0sEutelsat, contimela réservationde 49 répéteurs Eutelsat II

L'Organisation européenne de

télécommunications par satellite,EUTELSAT II, annonce la signa-ture des contrats de réservationde 49 répéteurs EUTELSAT II,gârantis par des cautions nonremboursables. L'Organisationest également en train de finali-ser le plan d'attribution des répé-teurs dans les quatre premiersSâtEIIitES EUTELSAT II dEmoyenne puissance qui devraitêtre approuvé ce mois-ci par leConse.rl es Sionatairesd'EUTEL-SAT.

Parmi les u ilisateurs de lacapacité EUTELSAT II, figure Bri-tish Satellite Broadcasting (BSB),détenteur au Royaume-Uni de lafranchise pour exploiter un satel-lite de radiodifiusion directe degrande puissance et d'une

licence pour fournir des servicespar satellite point-à-multipoint.Le 31 janvier, BSB a conclu uncontrat de location de cinq anspour un répéteur sur un satellite

EUTELSAT II.

BSB a I'intention d'utiliser ulté-rieurement cette année son pro-pre satellite pour des serv ices detélédiffusion directe au Royaume-Uni. Sa filiale. Datavision, se pré-pare à exploiter des services pri-vés de télévision destinés à desgroupes fermés d'usagers en uti-lisant des canaux de radiodiffu-sion de données associés. Dansun premrer temps, ces servicesseront acheminés sur Ie satellitede BSB. Toutefois, étant donné lademande prévue, cette sociélé a.en outre, décidé de louer un rèpé-teur entier sur EUTELSAT II-F3,qui sera lancé en

'1991et placé à

160 Est sur l'orbite des satellitesqéostationnaires.

Patrick Scott, dtrecteur des ser-vices par satellite de BSB, adéclaré à propos de cette réserva-tion sur EUTELSAT II : r BSB .achoisi EUTELSAT parce qu'elle

est en mesure de fournir unecapacité Lotalementprotégée, eny ajoutant les services d'uneorganisation expérimentée. Noussommes très satisfaits d'avoirobtenu une réservation. ))

Andrea Caruso, directeur géné-ral d'EUTELSAT, a égalementdéclaré : ( La décision de BSB defaire appel à EUTELSAT confirmela solidité de l'Organisation entant qu'exploitant de satellites etde services multiples, capable de

satisfaire les besoins à court,moyen et long terme de sa clien-tèle. EUTELSAT est et demeurele meilleur choix en Europe.

62 RP-ELNO 96

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[f,n,te€Éfid$ææffiffidæffiffiæfrËqffie&nfim#nrffitr&wg

{ {

la ndomotique.

Dormotique ettélécatntmande

l' e but de la < domotique )) estfu d'automatiser et télécomman-der un maximum de fonctionsdans Ia maison, soit en localgrâce à un boîtier de poche, soità distance par téiéphone ouMINITEL.

Pour pouvoir commander n'im-porte quoi de n'importe où, il estclair qu'un véritâb1e réseau localdoit interconnecter les équipe-ments des différentes pièces.(nous y viendrons)

Assr:z facile à prévoir lors de laconstruction d'une maisorr ne\r-ve, le r:âblage nécessaire pose degros problèmes lorsqu'il s'agit dieI'adjoindre à une installation exis-

Entre le ( tout manuel )) et le( tout télécommandé )) existe, ànotre riens, un juste milieu accês-sible à I'amateur dans de bonnesconditions.

L'auteur n'est guère convaincu(et il n'est pas le seul...) de I'ulti-lité de commander la lumière dÊsWC dr>puis le garage ou la salede séjiour, tandis que I'on doit

tout de même pouvoir faire quel-ques mètres à pied pour régler lechauffage

Il est par contre fort utile depouvoir répondre au téIéphoneou ouvrir la barrière depuis n'im-porte quelle pièce en cas debesoin.

O.uelc[ues fonctions < vitales D

ont tout intérêt à être comman-dées par un code particulier com-posé au cadran ou clavier despostes téléphoniques intérieurs(voir notre série spécialisée), dontl'un peut fort bien être ( sansfil r.

aplupart estélécommandes

circuitsntégrés

Assezoûteuxtpasouioursfaciles rouver,es omposantsereprésententependantasI'uniqueolution,urtoutans ncertain ombre ecas elevant e

67

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ffi,;ldffi;F'Ëd"lrl+çg'

Les commandes ( secondai-res )) que sont, à notre avis,I'éclairage, les volets mécani-ques, la chaînes HIFI ou la TV, lacafetière ou l'aération peuventêtre traîtées en ( semi-1ocal r.

Entendons par là que I'on peutsouhai.ter ne pas avoir à se leverpour aller manæuvrer un bouton,

mais que celui-ci n'est situé qu'àquelques mètres de distance,dans la même pièce.

Adaptons donc un récepteur detélécommande (éventuellementassorti d'un variateur de puissan-ce) à chacun des interrupteursque I'on manæuvre fréquem-ment, et prévoyons un émetteursimple à deux canaux seulement(marche-arrêt, plus-moins, mon-tée-descente, etc) que l'on pourra( pointer D vers le récepteur qu'ils'agit d'activer.

Les diodes émettdces d'infra-rouges actuellement disponiblesoffrent une directivité très suffi-sante pour un tel usage, à condi-tion que puissance d'émission etsensibilité de réception ne soientpas exagérées.

Le même émetteur pourra deplus servir, occasi onnellement, àcommander un projecteur de dia-positives (sans < fil à la patte )))ou le système d'alarme lorsqueI'on rentre ou sort,

A conditon d'être peu coilteux,1e boîtier émetteur pourra alorsêtre construit en plusieurs exem-plaires, un pour chaque occupantdes lieux, pour qui il sera un vérr-table < sésame )) remplaçantavântag,eusement un gros trous-seau de c1efs.

" " i , ' . , ç r _ , . ; 1 a - ' - 1 . . , -= .

L l . i ; r : , r ' . , : r : ^ i I

":' , n codage numérique com-. : plexe (donc corhteuxà mettre

en ceuvre) ne se justifie vraimentquç qauù

lorsqu'une < inviolabilité rr

totale estrequise (serrures de

voiture, accès à des locaux proté-gés, etc) .- lorsque le récepteur doit dispo-ser de multiples canaux ou fonc-trons.

Pour deux canaux n'exigeantpas une sécurité de coffre-fort,une solution analogique peutdonner de très bons résultats, àcoût sans commune mesure-

On peut en juger à I'examendu schéma de l'émetteur, dont leprincipal composant est un sim-

n r â h h h ^ â n â h r r ê . r â . i â b i f e l300 mA en sortie et raisonnable-ment stable en fréquence, il peutattaquer directement une LEDinfrarouge à forte directivité.

Deux touches à deux inver-seurs chacune se chargent d'unepart d'alimenter l'ensemble,d'autre part de fixer la fréquencede relaxation du

555(figure

1).Vous avez compris que c'estcette fréquence des impulsionsinfrarouges (environ 15 kHz âvecnos valeurs) qui sert de code

Pour que la diode travaille dansde bonnes conditons (rapportcyclique optimal), il est néces-saire que les fréquences des deuxcanaux soient assez prochesI'une de l'autre : on évitera ainslune différence de portée pour lesdeux ordres.

A nous donc de concevoir un

récepteur suffisamment sélectif,ce qui ne pose pas de gros problè-m e :

La figure 2 montre que deuxdécodeurs de tonalité LM 567suffisent pour reconnaître nosdeux fréquences et pour piloterdirectement les relais de sortie(relais miniatures à deux inver-seurs utilisables à volonté).

Les 567 exigent cependant unniveau de signal bien supérieur àce que fournit 1a photodiode(BP 104 SIEMENS à filtre infra-

rouge incorporé). Un préamplifi-cateur est donc prévu, utilisantun amplificateur opérationnelmonté de façon à présenter ungrand gain à 15 kHz etune impé-dance d'entrée convenable.

De nombreuses référencesconviennent, mais I' idéal est leTCA 335 (entrée darlington) deSIEMENS.

j::il,lii::t;""r,.,:;.i;i..i.r::,i .r'',:ii':l-i',iïr;ii;f

::r' ' émetteur se câble sur un,ri.,i rès petit circuit imprimé des-siné à ]a figure 3, et prévu pourI'implantation de la figure 4. Ce

.r;..q

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*___Sdee_sé{e#qgffiry4l:dtqË_q{Sq#,tiryrj{gffg#e

tracé a été spécialement étudiéen vue de I'utilisation de deuxtouches à double inverseur demarque MEC. Ces composantsfabriqués au Danemark et impor-tés en France par ORBITEC méri-tent d'être mieux connus en rai-son de leur surprenante sou-plesse d'adaptation: sur unmécanisme de base qui peut être

de type fugitif ou ( pousser-pous-ser Dpeuvent s'adapter de multi-ples modèles de capuchons dontcertains disposent d'un voyant àLED.

Leur double inverseur à pou-voir de coupure élevé et à trèsnette sensatlon tactile leur ouvreà peu près tous les domaines dela petite commutation, depuis les

interrupteurs < marche-arrêt Djusqu'aux claviers téléphoniquesou informatiques.

Leur seul inconvénient est unpdx supérieur à celui des touchesordinaires, mais dans notre oas(2 pièces ) la différence est mini-me .

qu'elle soit dirigée vers I'avantlorsque l'émetteur est tenu dansune position permettant d'action-ner commodément les touches.

Le récepteur se monte pour sapart sur un circuit impriméconforme au tracé de Ia figrure 5et câblé selon la figure 6. Il

Figure 3

Bien évidemment, notre mon-tage accepte n'importe quêlstypes de poussoirs fugitifs à dou-b1e inverseur, mais il serait dqm-mage de ne pas faire connaissan-ce.. .

Le module est suffisammentpetit pour se loger, avec sa pile,dans un boîtier de poche. Onorientera Ia LED de façon à ce

pourra être logé, avec son alimen-tation (pile ou secteur) dans tou-tes sortes de boîtiers ou incor-poré dans un appareil existant-Dans les deux cas, on veillera àce que la photodiode soit biendégagée et orientée dans ladirection la plus probable deréception des signaux de l'émet-teur.igure 4

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trffÆ$f$Ærd#tr

Figure 5

Seul l'émetteur comporte desréglages : un potentiomètre ajus-table pour chacune des deux fré-quences, qu'i] suffit de régler defaçon à obtenir le collage durelais lorsque Ia touche corres-pondante de l'émetteur estactionnée. On fignolera le réglageen éloignant graduellement

l'émetteur, mais en le gardantbien pointé vers le récepteur, carles diodes infrarouges modernessont assez directives.

En lumière douce, Ia portée del'ensemble peut atteindre quel-ques mètres, pour se réduire àdeux mètres environ sous uneIumière intense (tubes fluores-cents notamment). Il est trèsrecommandable de cacher à ladiode réceDtrice les Doints lumi-

Figure 6

neux placés près du boîtier récep-teur : un simple petit morceau decanon judicieusement placé esten général suffisant.

Plusieurs récepteurs identiques peuvent normalement fonc-tionner dans une même Piècepourvu qu'ils ne soient pas situésdans Ia même direction par rap-n^rr À l 'émê+iêrrr

Lorsqu'il s'agira d'utiliser lescontacts des relais des récep-teurs, on se souviendra que lesinverseurs doubles permettentdes montages intéressants:auto-alimentation, verroulllages,inversion de marche, etc.

On notera également que lesdeux canaux offerts ne sont passimultanés: l'appui sur les deuxboutons de l'émetteur à la fois ne

fera coller aucun des deux relaisdu récepteur. Cela est inhérentau pdncipe même de codage utili-sé, mais constitue une sécurité

appréciable: onne risquera pa s

de commander deux actionsnotorrement incompatiblescomme par exemple, les deuxsens de rotation d'un moteur ,

Conçu à I'origine pour desapplications ( domotiques D, cepetit ensemble de télécommandeparticulièrement économiquepourra servir dans une multituded'autres domaines n'exigeantpas la sécurité du codage digital.Nous pensons en particulier àtoutes sortes de jouets ou même

de matériels pour illusions ou far-ces et attrapes: certainementune idée à creuser

PAtIiCK GUEULLE

Résistâlirces 6 Yo 1/2 Wsâuf mentiafi contraireRt '.2,7 kQRz : pot. ajustable 22 kQR3 : pot. ajustable 22 kQ

Rq : 47 Ç2 Rto : 3,3 kQR s : 4 7 O R r r : 4 , 7 k QRe 4,7 kQ Rrz 56 kQR z : 1 2 0 k Q R r r : 1 0 0 ORe 3,3 kQ Rra 6,8 kQRs : 120kQ Rrs 5,6 kO

Ç o nd en sa teu r s ë h rn ques1t V au MKH1tA V

Cr : 100 pF. Cs : O,22ptF.Cz: 4,7 r t î . Cro 10 nF.Cs : 4,7 1t".FCn : 4,7 1tF.Ca : 1 nF. Cp'. 0,47 tùÇs : 4,7 1t"F Ctz : O 22 1tFCs : 2,2 pF. Cr+ : 10 nF.Cz : 1 tr.tF. Crs : 4,7 1tF.Ce : 100 pF. Crc O,47ptE

tirtuits intégrésCL : LM 555CIz : TAA 865 A ou 765 Aou 761 A ou 861 ACk : LM 567CIa : LM 567

Autre $ s e rn -c ott d u cteu rsDt : LD 274 ort LD 277Dz : BP 104

Divers2 poussoirs 2 contacts ravail1 piie 9 V avec clip2 relais selon besoins

7t PP-EL \ l r . i96

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'7.=

Ut o$

Circuits linéâirqs

L F 5 6 . . . . - . . 4 3 , 0 0 . . . , 9 0L M 3 0 8 . . . . f f i . . . 6 , 4 0L M 3 1 1 . , . . . L O g O , . . 4 , 4 0L M 3 1 8 . . . . . . 2 2 3 é . . 1 4 , 9 0L M 3 2 4 . . . , 1 r r 4 o , . . 4 , 0 0L M 3 3 ô . . . 2 5 , 6 e . . 1 r , 0 0L M 3 5 8 . . . . . . 1 7 3 n . ._ 4 , 2 0L M 3 8 0 . . . . . . 2 + 0 . . 1 5 , 0 0  M 3 9 0 0 . . . . 2 r . . , 1 3 , 0 0t a A 7 2 3 O t l . . r € r P t t . . 5 , 6 0

t l a 7 4 - t . . 1 4 É o . . . 5 , 0 0NÊ 5534 . . . â€fô. 16,60NE 556 ær€S . . 9,80sas 0600 57r€€ . . 34,ooT B A 8 0 0 . . . . . 1 6 , æ . . . 9 , 9 0t B A 8 1 0 . . . . l A : € e . . . A , 4 AT B A 9 2 0 , . , . E p A . . 1 1 , 4 4T B A 9 7 0 , . . , . 5 4 É O . . 3 0 , 0 0T C A 6 5 0 . . . . . 4 9 æ O . .3 2 , 0 0TOA 1034= . . 3€dO.. 16,60TDA 10s4 . . . a€?€€ , 18,00lDA 2OO2 . . . 24.Êè .14,90l D A 2 O O 4 . . . . * p O . . 2 6 , 4 0TDA 2030 . . . Af rO . .11,54r l o ? 4 . . . . . 2 4 p 4 , , , 9 , 9 0T L 0 8 2 . . 1 € 0 . . , 5 , 9 0T L 0 8 4 . . . . . . 4 p 4 . . . 9 , 4 0u a a 1 7 0 . . , . , 3 t F û . . 2 6 , 5 0xR 2206 CP . . f+,ûO. . 65,00

Régulâtêurs7 4 0 5 . . . . . . 1 2 9 V . . . 5 , 4 07 4 0 6 . . . . . . . . 1 2 . 8 0 . 6 , 0 07 4 0 8 . . . . . . . L ? € Û . . 6 , 0 0

7 a 5 0 9 . . . , . . 1 + € € . . . 6 , 0 07 A 1 2 . . . . . . . 1 â â 0 5 , A O

1rânsistors2 N 2 2 1 9 . . . . . 4 p . . . 3 , 4 O2 N 2 9 0 5 A . . . 3 Æ O . . . 3 , 2 02 N 2 9 2 6 . . f f i t . . . 3 , 4 02 N 3 0 5 3 . . . . . a é ô . . . 3 , 6 02 N 3 0 5 4 . . . . 9 , ? € . . . 8 , 8 02 N 3 8 1 9 . . . . . 4 , O O . . . 4 , 0 02 N 3 9 0 6 . . . . ô é e . . . r , 2 02 N 4 4 1 6 . . . . l + , r J O . . 1 2 , 0 0

lês Trânskrors

Connecteurs BO B 9 m à l e à s e t u æ O . . . 8 , 5 0

s o o d ê r . . . . 8 7 € e . . s , o o

s e n i r . . . . . r A r O . 1 2 , 0 0

souder . . 238a. 11,50

. *30 14,00

soudê. . . ?9Po .14,00

Capots ourconnecteursBp o u fO B 9 . . 1 & O O . . 7 , 2 Op o u r B 1 5 . . . 1 9 É € . . . 4 , 4 0pour OS 25 lA,ÛO , ,4,40p o u .D B 3 7 . . . , æ 0 . . 1 6 , 8 0

Conn€ct6urc DIN

prastiquê180' 5:5O:. . ,3,7OolN 5 broches emellêsplasl ique 80' È,eû. . . .5 ,4oEnbasèDIN 5 broches emelesh é t a l . . . . . . . 5 r a c , . . 4 , 8 0

s o u d e r . . . . . . a r a t 5 . . 2 , 5 O

lemel le soude. f r6 . . . .2 ,5O

i e m € l l ê. . , , , . ? â g - . . . . , 7 0

Connecteurs INCH

p l a s i q l e . . . . + 3 O . , . 2 , 1 O

plast ique . . . 3 ,9ô .2 ,1O

f ê m e l ê . . . . . . Ë 0 . . . . 3 , 5 0

Connecteurs JACK

s r é r é o . . . . * â o . 4 , 4 o

Mono 5t€û 4,2o

s tp

Rodio

rnf

TTL 74LS XX7 4 L S O O . . ù 8 8 . . . 2 , 2 074 LS 0r 4.ttd, , . 2,2O7 4 1 S 0 2 . . . . . * O . 2 , 2 O7 4 t S A 3 . . . S t t O . . . 2 , 2 O7 4 1 S 0 4 . . . . t â ô . . 2 , 2 07 4 L S 0 8 . . . . . 1 A - p O . 2 , 2 O7 4 1 S 1 0 . . . . ç 5 O . . 2 , 3 O

TTL 74 HC XX? 4 H C O 0 . . 3 B e . . . 2 , 5 0J 4 H C 0 2 . . . . 4 . A D . 2 , 5 01 4 H C 0 4 . . . â ô . . . . 2 , 5 07 4 H C 0 6 . . . . 4 â O ' . . 2 , 5 07 4 H C 1 0 . . . 4 . â 0 . . . . 2 , 5 0' t 4 a c 73 . . . . 8 â 6 . . . . 4 , 5 O7 4 l l . 1 3 2 . - Ê & O . . . . 4 , O 4

cMoscD 4001 . . . . x€o. . . 2,00C O4 0 0 2 . . , . 3 1 6 € . 2 , 0 0c o 4 0 0 7 . . 3 â o . . 2 . 2 0c o 4 0 0 8 . . . . . w . . . 4 , 5 0c o 4 0 0 9 . . . . + , 5 0 . . . 3 , 0 0co 4010 . . r ,€o. . . 3,50c o 4 0 r l . . . . 9 6 0 . . . 1 , 4 0

c o + s r o . . . . 2 e 0 . . . 5 , 8 0

Supportsde circuits ntégrés

Tulipea b r o c h è s. . æ 0 . . . 2 , 3 01 4 " . . . . r , 6 0 . . . 4 , 1 01 6 " . . 6 - 0 0 . . . 4 , 6 01 8 " . . . . 6 t 9 O . . , 5 , 4 02 0 " . . . . + , 5 0 . . 5 , 9 02 4 ' . . . 9 4 0 . , . , 1 , 1 028 ' . . . 1.frO .4,2O4 0 - . . . 1 4 i Û O . . 1 1 , 5 0

Résistances ouchê cârboneFésisrênce1/4w,.ô.. . . 0,25Âési$ance/2W e,4O... .o,3oÊésistancew +t€O. .0,60

Trâhstormateursur étriers

2 n 9 V . æ O . .2 \ 1 2 V . . a Z , A O .

s v . . . . 6 + , ? 0 .

NOUVEAU60 Résistances

de 3,3 ohmsà 360 Kohms

Pix | 9,OOF

68000 pl 1600 V

33000 pr 400 V100 nf 16 v

Pr ix:9 ,00F

Condensateurs

0.1 mr 630 v

22Omt t6 v

Prix 9,0OF

1 2 V1 5 Vr a v

1 2 V1 5 V

O,uartz1 MHz . . 59t€O. s5,003,2J MHt 2g€O . . 9,OO3,58 MHz . . 54æO . 11,oo4,00 . . . . * i0 .12,oo6,55 . . . . . 59,<rO. 12,0010,00 3€tÛ0. .12,0026,66 . , 1È O . . 15,0027,OO .. 1A 0 .15,003a,666 7g€0 . 70,0094,00 .. 1 l+p0 113,00

Gra.d choit de valeuG de quôrlzpourCB disponibles partirde 15,0O au ieude 9,OO

. . . . J3,êO. . 15,002 6 1 9 5 . . . . 3 4 . € 0 . 2 5 , 4 4

:,.r;::3Jùi";."j:':$"*ti*ry

ffir'

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u.;i,t.: '*ijirlfl;+f

Srâ :i ". R F-i;.l- .. :l f+' '' '', ',

=;+ :-lj ; ,Ë ' ; ;{H+\ , ' l ' " ,'

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RÆfirufi-ffifimimfifireffi#ffiffififififfiËffiauffiofi Ëfi.tms+m-æ-fiffififiiæ

espiles u esaccumulateursrechargeablesontd'unusage niversel ans

toutesescatégories'équipementsportatifs uautonomes.élas,eur

alimentationecteur,tabiliséetrégulée.Rien 'empêchevidemmentemonter n égulateure ensionentreunepileet ecircuitqu'ellealimente, t c'estprécisementequenousallons aireCependant,outn'estpassisimpleles égulateurslassiquesconviennent alà cetusage our

lequeleur endement nergétiqueFortheureusement,es omposantsexistentourésoudreeproblèmeetouvrira voie de rèsnomDreusesppucauons...

stabilité n ension st rès oind'égalerelle 'une onne

ii-,"*e :';Ë.i.;h" ";i:...,i+lt i*,:s"'é* a:jat,*'e .il*c'ïa+i;lu;it*"tr

'5 a figure 1 reproduit Ie schéma,:LJ du stabilisateur de tension Ieplus simple possible : une diodezener polarisée par une résistan-ce. Rien n'empêche évidemment

de I'utiliserentre une pile et un

circuit quelconque mais son prin-cipal défaut, déjà sensible lors-que l'énergie provient du secteur,va vite se révéIer rédhibitoire:pour fonctionner correctement(c'est à dire avec un bonne effica-cité de stabilisation), la zener doit

être parcourue par un courantd'au moins une dizaine de mil-liampères. Ajouté à une consom-mation ( aval )) de quelquesdizaines de milliampères, ce chif-fre est fort acceptable. Il ledevient beaucoup moins devantquelques milliampères, et plus dutout si le circuit alimenté neconsomme que quelques centai-nes de microampères

Ce cas se rencontre couram-ment avec des montages réalisésen CMOS : les décodeurs d'aPPeIsélectif de poche ou ( pagers D,par exemple, doivent offrir unetrès longue autonomie sur despiles ou des accus d'encombre-

se évèle éplorable.

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,:,gË"l,fr;,filfd

ment minimal. Paral]èlement, ilest souhaitable que leur tensiond'alimentation (en général 5volts) soit aussi stable que possi-ble, même par des températuresextrêmes.

Pour couronner le tout, commele courant dans la zener ne doitpas trop varier, il faut que la ten-slon de batterie soit supérieurede quelques volts à la tensiond'utilisation : il faut donc ajouterun ou deux é]éments de pile enpure perte

Les choses ne vont guèremieux avec 1ê montage régula-teur à < transistor ballast D de lafigure 2 : même si le circuit régu-

lateur (généralement un circuitintégré, mais parfois une simplezener) est très performant, il fautque 1a tension d'entrée dépassela tension de sortie d'au moins 2volts, cette fameuse rrmarge derégulation r). Et c'est un mini-mum I

Le régulateur intégré ( 3 Pat-tes )) 7805, largement utilisé etde performances fort satisfaisân-

tes dans les situations courantes,est précisément réalisé selon ceschéma: i l < consomme r doncau moins 2 volts, et absorbe, pourses besoins propres, de 4 à 8milliampères. Nous ne pouvronsdécemment pas I'utiliser pour ali-menter à partir de six piles 1,5 V,un décodeur CMOS réclamant400 UA sous 5V (nous reparleronsd'ailleurs prochainement de cesuperbe composant d'appel

sélectif...)C'est alors que nous avonsdécouvert le LM 2931 dans unedocumentation de chez NATIO-NAL

Ë,,ci:L,:"1"":t?;",Ëil:: r i.c

"t-E"l;;"i* ;1,1+;:" n ;;,r#,*' . ' ; , , l . ' i . : " : :

k"- e LM 2931, qui existe en ver-*.À sion fixe ( 3 pattes )) (5V) etajustable (a 5 pattes rr),n'a guèreque I'aspect extérieur en com-mun avec les régulateurs classi-ques : sa consommatlon Propreest garantie inférieure à lmA(nous avons mesuré dans les400 [A sur notre échantillon), etil se contente de 200 mV de plusen entrée par rapport à sa sortie.

II permet donc d'alimenter unmontage consommant 600 pAsous 5V à partir de quatre pilesalcâlines < LR6 rr 1500 mAh pen-dant 1 500 heures, soit deux bons

mois avec une totale stabilité detension, meilleure que celleofferte par les piles au mercure.

Le cas échéant, cinq élémentscadmium-nickel de 1,2 V peuventêtre substitués aux piles, leurcharge étant entretenue par descellules soi?ires,par exemple I

Tout cela n'empêche pas quece régulateur esl, capable de four-nir des pointes de courant de100 mA et plus (piles alcallnes etaccus n'en sont pas à cela près)si nécessaire : ce pourra être lecas si un récepteur d'appel sélec-tif, normalement en veille, reçoitle signal qu'il attend. Il pourraactionner un avertisseur sonoreou faire coller un relais quelcon-que.

Ajoutons encore que leLM 2931 accepte jusqu'à 26 vol.tsen entrée (60 en pointe) et estprotégé contre les inversions depolarité : un simple jack à cou-pure suffira donc pour substitueraux piles une batterie extérieure(par exemple de voiture) ou unbloc secteur.

Ces caractéristiques assezexceptionnelles sont obtenuespar des moyens auxquels I'élec-tronicien moyen n'a guère accès

(transistors multicollecteurs, parexemple) comme en témoigne leschéma interne reproduit à lafigure 3

On y voit aussi les divers boÎ-tiers proposés pour les versionsfixes et pour la version aiustable.

C'est cette dernière que nousutiliserons, car elle Permettra derésoudre une grande variété deproblèmes pratiques de 3 à 24volts et de quelques dizaines demicroampères à plus de 100 mil-liampères, avec protection contre

les surcharges.

.9ÈæË;l:;æ* s;: i.e*.Érysi'ij' e schéma de ia figure 4 n'est"i1.lpas plus compliqué que celuid'une alimentation à régulateurigure 2

ii l : L j7t

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ÆtrÆéd$Ætrd##

( 3 pattes Dclassique, si ce n'estque les valeurs de résistancessont nettement supérieures : ilfaudra d'ailleurs augmenter R2 si

on souhaite dépasser 8 V à 8,5 Ven sortie (au départ d'une Pileminiature de 9 V).

Le condensateur de 100 PF ensortie est impératif, et on Pourrasans crainte augmenter sa valeursi on Ie souhaite. Notons toute-fois qu'avec une consommatlonde quelques centaines demicroampères en aval, celui-ciintroduira un net effet de < réser-voù )) : le montage restera ali-menté pendant un temps nonnégligeable après la couPure deIa tension d'entrée...

Il est souhaitable qu'il s'agissed'un modèIe au tantale, qu jgarantira le maximum de Perfor-mances à ce régulateur, mêmepar les températures extrêmesauxquelles peut se trouver sou-mis un matériel portatif.

Le circuit imprimé de la figure5 a été spécialement dessiné afind'être logé dans les rainures d'unboîtier plastique HAMMOND15984. D'origine canâdienne etdésormais bien distribué en Fran-ce, celui-ci est de fort bonne qua-lité et convient à merveille Pourun usage ( de poche D.Cette dis-position laisse un maximum deplace pour des piles ou accus

.FÊ

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ffiifl+,ffiilïiiÈiÈT€:+ffi

; : 5 : i. l

trii;i:

'tffi+g*e'=ffiiffiqrÆ"ffifi"B.æeæf

eI Rack stunemaintendue ousesél-ectroniciens.inforrnaticiensui

hésitentncoreraccorde:resextensionse eurcruà eurchèreunitécentrale.Ouelquesuvragest denombreux

articles nt déjà raitécesujetmaisil sembleraitu'ungrandnombred'entre-vousttendent ncore neapprocheouce t complète,compréhensiblear ous,pourfoncer nfinen outesécurité.C'este butquenousnous ommes

compagnie.

En juillet 1988, nous vousavons proprosé p Power. Cettealimentation particulièrementadaptée au domaine informati-que (rappelons qu'elle est compa-tible PRM4 grâce à I'amabilité denotre confrère Wallaert), est 1'élé-ment indispensable au succès denotre projet. En septembre, nous( tâtions 1e errain Den vous pro-posant cette fois d'équiper un

rack Europe et de ( régler élé-gamment vos problèmes d'exten-sions )), puis nous avons attenduvos réactions.,.

Dès Ie mois d'octobre vousréclamiez Ia suite, certains d'en-tre-vous nous écrivant très genti-

fixé etquenous ouhaitonsvivement tteindre nvottie

ment ( je suis sr:rrque vous nousferez vivre une aussi belle aven-ture que Sao t.

Ces ]ignes écrites débutnovembre vous convient effecti-vemenL à une belle aventure qu itient compte de vos désidérataet se résume en 3 mots : SECURI-TÉ, COMPRÉHENS]ON, SOFTadaptés.

La SECURITE, comme nousl'avions dit pour p Power, est larègle d'or de notre approche etnous n'en démordrons Pas. NousIaissons aux aventureux richissi-mes Ia possibilité de tracter unevoiture avec une fine corde dechanvre. Ce n'est pas dans le

chapitre de la sécurité que nouscomptons vous faire vivre l'aven-ture. . .

La COMPRÉHENSION. VOuSaimez comprendre ce que vousfaites. C'est normal, et nous ensommes TOUS Ià, soyez enconvaincus La méthode adoP-tée par les ( INITIES ) est sou-vent déroutante Pour le nouveauvenu. Nous tenterons donc

d'aborder Leschoses simplementet clairement afin que tout ceuxqui le veulent Puissent entrerdans Ie jeu.

Les SOFTS. Sans eux, les PIusbelles histoires s'enlisent... Héoui Amis spécialistes, l faut Par-

7?

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Figure 1 - Schéma complet de la carte * Decoder '.

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ÆdÆf,rye?qi,HiU:ïl*i

et IC2. Le rôle de ces derniers estde bufferiser les lignes. Il serventà la fois de tampons et de buffers,permettent ainsi de disposer d'unnouveau bus d'adresses totale-ment identique à l'original, maisrajeuni. Les circuits utilisés icisont unidirectionnels, et lessignaux ne pourront donc transi-

ter que du CPC vers nos futuresextensions.Sur chaque nouveïle ligne

d'adresse s'effectue un préIève-ment qui aboutit à un ensemblebarbare constitué de résistances,d'inverseurs, de switches et descircuits IC3 et IC4. Les schémasétant souvent plus complexesque les fonctions effectuées,voyons d'abord la fonction.

Cet ensemble est destiné àcomposer un décodeur d'adres-ses prétendu UNIVERSEL, tant

que faire se peut. Les circuits IC3et IC4 sont de simples compara-teurs. On met un signal d'un côté,un autre de I'autre, si ils sontidentiques la sortie bascule. Sim-ple et efficace. En fait, c'est tluitcomparateurs qui sont inclusdans Ie même boitier, et la sortiene bascule que si TOUS les com-parateurs constatent des égali-tés.

ii èst très important de bienassimiler à la fois le principe,mais également les conséquen-ces d'un tel type de décodage,que nous serons amenés à utili-ser sur chaque carte. Nous allonsdonc nous y attarder un peu.

Retournons un instant au sché-ma, et voyons les élémentsentourant IC3. Tout d'abord il

faut admettre que 1es appella-tions P0. O0. mentionnées à I'in-térieur du pavé sont un peudéroutantes, car en effet P0 etQ.0 sont les deux entrées du com-parateur 0 et l'on peut indifférem-ment entrer en P et amener laréférence en O ou vice et versa.Ainsi, pour des raisons d'implan-

tation du circuit impdmé, nousavons profité de certaines facili-tés, qui se traduisent sur leschéma par des croisements dis-gracieux. N'en tenez pas compte,et rappelez-vous seulement queP et O sont deux entrées identi-ques (donc permutables) et que

seul le fait de présenter sur cespaires des états identiques per-

mettra un basculement de la sor-tie marquée clairement par l'éga-lité P = Q.

Cela étant dit, nous constatons

que la ligne d'adresse bufferiséeA0 arrive sur une extrémité d'uninverseur. L'autre extrémité estportée à 1 grâce à la résistanceR8. Le commun, quant à lui estrelié à l'entrée O0 de IC3. L'autreentrée (P0) est portée à 1 par la

résistance R32, mais pourra pas-ser à 0 si le switch DS1 est fermé.

Imaginons un instant que cettecellule est seule et que son avis

suffise pour faire basculer la sor-tie 19 de IC3. Dans ce cas,quellessont les possibilités offertes (fi-gure 2) :L) si I'adresse A0 est appLiquéesur O0, on pourra vérifier les deuxégalités suivantesA0 : 1 si dsl est ouvertA0 = 0 si dsl est fermétrès intéressantes pour décoderavec rapidité et aisance uneadresseprécise.2) si A0 n'est pas prise en compte(nous dirons inhibée), I'entrée O0

est portée à 1 par R8. Si vousavez suivi, vous devez avoirtrouvé que pour respecter l'égali-té, il faut absolument que P0 soitaussi à 1 donc DS1 ouvert. Sicette condition n'est pas respec-tée, le comparateur refuse l'éga-lité ce qui en soi ne serait pastragique s'il étai t seul.. . maisc'est la conjugaison des 8 égali-tés qui commande un bascule-ment en sortie, donc si une seuleest figée plus rien ne peut fonc-tionner.

En résumé, on peut donc savoirsi une ligne d'adresse est à 0 ou à1, mais aussi lui permettre devoguer elrtre les deux états, et ceen inhibant le comparateur inuti-lisé par mise à 1 de ses deuxentrées. I{otez qu'il eût été possi-

ble aussi de porter les deuxentrées à 0, comme nous le ver-rons le mois prochain.

Supposons une adresse recon-nue sur les bits A0 à A7, la sortiedevrait basculer I Eh bien pas

encore, il reste une condition àremplir: que I'entrée G de IC3soit portée à 0, sans celà tintin.Mais c'est super, nous pouvons

donc utiliser IORO directement,puisqu'il passera à 0 dans le casd'une commande vers le port

t l : E i l . , r i i

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u Æas&;dS deoder'

d'extension : il faudra à ]a foisque l'adresse soit correcte ETque l'on ait demandé la ligneavec le pod. Dans ce cas, la sortieP: O consent à basculer etyaùDe vruur d v.

Mais nous n'avons traité que lamoitié du mot d'adresse, et i1nous faut encore vérifier que ABà 41.5 sont conformes. Rebeloteau moyen d'un second compara-teur (IC4) dont cette fois l'enrreeG sera validée par le résultat dupremler tour...

Vous avez compris que toutdevra être parfaitement reconnuexact pour qu'enfin la sortieP: O de IC4 passe à zéro et

fournisse un signal nouveau,appelé par les auteurs : TR(transfert).

Indiquons au passage à ceuxqui rêvent la nuit de serrurescodées, que deux comparateursde ce type font un joli travail:une clé à la place de IORQ et il nereste plus aux indésirables qu'àfaire un double et à trouver votrecombinaison parmi 65535...

Mais revenons à TR. Ce petltmalin va désormais prendre Iaplace de I'ex IORO, car plus per-formant et sélectif. Adieu IORO,bonjour TR, nouveau témoind'une demande d'entrée-sortiecombinée à une sélectiond'adresses (ou de grouped'adresses).

Suivons son trajet. I1 passe parIC5 mais nous en reparlerons.TROIS directions principalesnous importent :1o l se convertit dans iC6 et per-met d'allumer Ia led LD2 quand il

est actif (allumer est un biengrand mot), et génère un pointtest sur la sortie 2 de ce mêmecircuit.2. il passe au travers de IC8, quin'est autre qu'un buffer unidirec-tionnel comme ceux utilisés enIC7 et IC2. Ainsi gonflé, il estdonc raccordé à ]a broche ( utili-sateun qui devrait recevoirIORO.3o ] se mélange avec les signauxWR et RD provenant du CPC,créede nouveaux signaux compositesappelés TRW et TRR qui sontderechef bufferisés et prêts Pourla bagarre. Mais... ils n'étaientpas prévus sur le bus UTIL Et

les quatre lignes CS alors, nousne les avons pas placées unique-ment en décoration. I1s occupe-

ront donc les affectations CSl etcs2.STOP les auteurs WR et RDc'est quoi ???WR = WRITE : écriture, RD :

READ = lecture. Ces deux signauxde COMMANDE permettent desavoir si votre unité centraleattend une lecture ou une écri-ture sur le bus des donnéeé. AinsiPOKE et OUT activeront tous lesdeux WR et PEEK et INP sollicite-ront RD. Si vous avez lu attentive-ment depuis le début, une petitelumière doit s'éclairer dans votretête: IORQ faisant la différenceentle PEEK et INP ou POKE êtOUT, les reconnaissances suivan-

tes sontpossibles

:POKE : pas IORQ, WR, adressequelconque : pour la RAMOUT : IORA. WR. adresse recon-nue : c'est pour ie port Exp.PEEK: pas IORQ, RD, adressequeiconque : pour la RAMINP = IORa. RD. adresse recon-nue : c'est pour le port Exp.Comme nous avons combiné lapremière simplification TR :

adresse reconnue -f IORO, celaconduit à :POKE pas TR, WR . . . . . . . . . . . AM

OUT : TR, WR, . . . . . . . . . . . .or t EXPPEEK: pas TR, RD . . . . - . . . . . . .AMINP = TR, RD, . . . . . . . . . . . . . . .or t EXPEnfin, ]a seconde combinaison :T R W = T R + W R e tTRR : TR + RD fait que :POKE : pas TRW . écriture RAMOUT = TRW ... écriture port EXPPEEK = pas TRR .... ecture RAM

INP = TRR ....... ecturepofi EXPLe ménage est fait d'entrée... ouplutôt en sorties.

rrMais pourquoi alors garderTR D - dira le lecteur attentif -

( puisque combiné à RD et WR ilsemble que les composites TRRet TRW suffisent ? n. Excellentequestion à laquelle voici répon-se : certains ICs ou < pavés Dgèrent eux-mêmes les combinai-sons ADRESSES RECONNUES+ IORO + RD ou WR. Le 8255 estde ceux-ci et nos signaux compo-sites ( faits maison )) le déroute-raleff.

Puisque nous en sommes auxquestions pertinentes, signalonsaux lecteurs que leur CPC génèredes signaux IORW et IORD, com-posites de IORO + WR et IOR-O + RD, mais qu'ils sont internesà la machine et non accessiblessur le port d'expansion. Lesingrédients (IORO, WR et RD)sont fournis, nous n'avons en faitqu'ajouté à la recette tradition-nelle, la reconnaissanced'adresse(s).

Vous avez bien entenduobservé que dans la foulée WR etRD se font muscler par ICB I

Autant utiliser les pouvoirs de cepavé, MAIS il va falloir apporterune petite retouche à la calte defond de panier, publiée page 56du numéro 490. En effet, i] vafalloir ouvrir le circuit entre lesconnecteurs de DECODER Pourles deux lignes WR et RD, commele montre la figure 3. Q.uatre

o oo oo oo oo oo o

o . oo oo oo oo oo o#

Figure 3 - Modification de ]a carte de fond panier : à gauche, la nouvelle vèrsiôn, àdroite I'ancienne-

riP i:L I'j :1S$ Ef

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trd#gffi#-EWtrEFÆÆtrÆ

petits coups de cutter bien Pla-cés, et vous pouvez ( Peler )) esdeux pistes en trop. Pensez à iefaire avant d'engager la cartedecoder.

II ne reste plus à voir que leslignes de données. ICs s'encharge et avec quelle élégance ICapable de bufferiser dans lesdeux sens (entrées-sorties) desmots de I bits, de disposer d'une

clé prioritaire(G)

et d'une indica-tion de direction, voilà 1'outil idéa1à insérer dans nos précieuseslignes. Piloté par TR sur I'entréeG, ICs restera dans son troisièmeétat iusqu'à ce que TR passeenfin à 0. A ce moment, le signalRD donnera son avis sur le sensdes transmlssions: si iI est à 1les données peuvent aller du CPCvers les extensions, s' i l est à 0lesens est inversé et ]e CPC( écoute les cartes externes )) .

Pour en finir avec le schéma,vous constaterez que la 1ed LD1est seule raccordée à I'alimenta-tion interne au CPC : elle témoi-gnera que le CPC est activé. Tousles circuits présents et à venirsont ou seront alimentés pa ru Power.

f -.tg,.4si "er{:l r"ir:

îJ' e tableau figure 4, donne en,F"*hexadécimal et en binaire, les128 adresses disponibles à I'utili-sateur. Le but que nous noussommes fixé est de faire une pré-sélection et non un décodage surune adresse. En effet, le déco-dage d'une adresse précise sefera en deux temps: DECODERva se charger de vérifier qu'on

est bien dans la zone utilisateur.Si c'est le cas, chaque carte pro-cédera au moyen de son déco-deur d'adresse personnel à unerecherche d'appel. Si on voulaitillustrer ce principe, on dirait queDECODER est le gardien d'unimmeuble, chargé de ne laisserpasser que les habitants de celui-ci, à I'exclusion de tout autre.Chacun ensuite, au moyen de sapropre clé ira se faire reconnaître.

Pourquoi donc avoir établi undécodeur de précision, capable

de reconnaître une adresse parmi65536, alors que son travail défi-nitif consiste à en admettre 128 ?

Pour deux raisons. La premièreétant que Ie décodaged'adresse(s) est extrêmementimDortant et oue nous avons

voulu le rendre accessible à tous.A cet effet, nous vous présente-rons deux cartes. L'une dite VER-sIoN ÉDUCATION (c'est très à Ia

mode), comporte toutes lespossi-

bilités du schéma et permettraau débutant de se familiariseravec les finesses du système. Laseconde étant câblée pour ledomaine réservé sur CPC, seracelle retenue par tous ceux quiconnaissent parfaitement les loiset limites du décodage, et veu-lent aller droit au but.

La seconde raison de ce choix,est de permettre à qeux qui dis-posent d'autres machines équi-pées 280 de récupérer l' idée et

d'adapter le prédécodage à leursystème, chaque machine ayantdes adresses réservées différen-tes. A ce sujet, signalons que lapartie ( décodage fin r que nousinstallèrons sur chaque carted'application sera AUTONOMEet donc modifiable ou adaptablesans bouleverser totalement lescircuits constituant I'applicationproprement dite.

Penchons-nous donc sur letableau, et voyons comment se

distinguent les quatre zonesd'adresses autorisées. Toutd'abord, il saute aux yeux que lesbits correspondant à F (415, 14 ,13, 12) sont toujours à 1. Il es tdonc évident que ces 4 lignesseront reliées aux entrées descomparateurs, et que les pointsde comparaison seront portés à1, donc DS 16, 15, 14 et 13ouverts.

II nous est ensuite permis 8, 9,A ou B. Le second groupe de 4

bits est manifestement découpéainsi : 1.O.x.x.Cela veut dire queles deux bits < forts r seront figésrespectivement à 1et 0, alorsque les deux plus < faibles lpourront prendre indifféremmentles valeurs 0 ou 1, ce que nousmentionnons par x. Facile à'résoudre avec notre système dedécodage : pour L, I'adresse serareliée au compârateur et sa réfé-rence portée à 1, pour 0 idemmais la référence sera évidem-ment 0, enfin pour les deux x, les

comparateurs seront inhibés(P = 1, O: 1, l igne d 'adresselibre).

Le troisième groupe de 4 bitsne peut prendre que les valeursE ou F. Celà se manifeste par :1.1.1.x.Les trois lignes de poids

çèj

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t,Back ACdécoderl"i_

t8t0 UU 1000110000f8Él llll 10001l00001

fSfl : lill 10001l000$fStI : 1111000ll0 00llfSil : llll 1880110100Itt5 : llll 1000110101f8t6 llll 1000tl00ll0rStI tlll 1000llt 0rllFEINllll 1080110000t8f9 llll 1000l10 00lt8l{ : llll 1000110010flt8 : llll 1000ll0 l0l1ttf0 : llll 1000ll0 1100,

llil 1000t10 l0l

ltu 1000110110llll 10001t0 lI1

; 1111010 io0000: 1Ul 0l0Ulo 0001: 1l1l û10 il00010: l1l1 tlû ll1080ll: Ull 1010ll00100: 1l1l 0t0 l100l0l: llll l0l0 llS 0ll0: llll lû10Ulo 0U1: llll 1010ll0 1000: 1l1l101011000l; tlll 10t0 ll01010: llll l0l0 l10 0ll: UU 1010 10U00: l t 1010ll0 ll0l

: Ull 1010lt01110: 111i0t0 110ll l

tât0fâEl

fnt2FâT]fâi1fÊt5frf6tâI7tât8ttt9

. âtttttEtrtcttt0

tâttfrtt

tlt0 : ll11 00l1110000t9Ê1llll 1001ll0 0001fgtl : 1l1lA0l 1l0004f9tJ llll i00l l100011

, Fft{ 1ll1 00l 1l00lû0tlt5 : llll 1001ll0 0l0tflt6 :.1lll 00l ll0 0l$rttl :. lu l00l ll0 0lllt9t8 llll l0t11ll01080tfft i ll111001110001t9tt r lUl l00l ll0 1010f9t8 llll 1001ll0 1011ftt0 : ll lg0lUlOU00tlt0 : llll l00l1ll01l0l

t9 t : lllt l00l1ll01110fgEt llll 1001110lrl

llil 10rt lll 0000llll lûll llll 00011111olt lIil 0010ltrt l01t tlt 00ilrfir l0ll llll 0100l11l 0r1 lll û01l11l 0ll llll 0x0l1l110ll lll 0l1lllll l0ll llll l0û0

llil lSll lll l0û1llli 10ll llt 1010ill1 10ll11ll 01l11110ll llll ll00llll lolt ull llot11ll 0t1 llt ll10Itlt l0lt l lt llll

llll 1Bl0lll 0000 r8mllll 1010lll 00ûl f|ll1l1r1010lll 0010 f8r?11ll$r0 xll 00x f8rillli 1010lli 0100 r8t111110l0 lrl 0l0l fBf5llll l0t0 llt 0ll0 ftt611ll 0t0 lll 0llt F8r7llll l0l0 lll 1000 f8f8

llll 1010ilt l00l flf9llll l0l0 llt 1010 f8fâllll 1010ll 10ll frf8llli t0l0 ll1 1100 tEFclllt 1û10lrt i101 f8t011110t0 llr u10 t0ttlltl l0l0 lll llll fEff

f9f0 l1l11001lll 0000lgfl : llll l00i lll 000tf'f? : llll l00l lll 0010f9tJ UU t00l lll 00llt9ti : llll 1001tll 0100Irf5 : litl 1001111101flf6 : llll 10$lllt 0ll0t9f7: lll 10Sl1ll0l1lI9f8 lllt 1001lll 1000

l9F9: lll l80l lll l00lF9fâ llll 1001lll l0l0f9f8: lll l00l lll l0llf9f0 Ull 1001lll ll00ttt0: UU 00l 11l 101t9tt : ll111001l1l1ll0tlff : i11t1001lt1 1111

llll 1000lll 000011ll 000lll 0001lul 1000l110010llll 1000llr 0011111000llr 0100llll 1000lll 01011lll 1000l 0110lltt 1000lll 0llttllt 1000ltl 1000

lllt 1000lll l80lllll 10001l11010lllt 1800il 1011llll ltoû lll ll00llll 1000111011111000111110lllt 1000llt tlll

Itf0tSFlt8F2tat,t

t8t{f8f5f8f6ttfTfffE

fSitt8tâttrEtStcf8f0ftttfStf

tBt0 :111 0ll1110000fltl : UU t0ll ll0 0001FBE2llll l0ll lll0 0010fBtJ:UU 10rt ll000tltltl : 11110ll l100100flt5 llll l0ll lll0 0l0lt8t6 llll lou t1l00ll0fltl : llll t01t ll0 0lU . .tSil : llll l0ll lll0 100ûFStl XU l0ll 111000lf8[rl llll l0l1 ll0 l0l0

'IltB: llll l01l ll0 1011,fStC ll11 01l 1l0 l00

f8ft

tSttfStt

tlt0 : l11l1011l10 l01

tStt lltl l0ll 1tl0 l10rBtt lltl l0ll l1l0 lll

de propagation, 40 ns restentcompatibles avec le timing du

Iléalisation pratique

I\1fous vous réservons oour la| t [ _ .r l| Î ln, un petlt sorl Lres sym-

pathique et instructif que vous aconcocté notre compère et amiAlain CAPO, permettant desélectionner une adresse ou ungroupe d'adresses et de visuali-ser graphiquement à la fois iesconséquences de vos choix eL a

façon de( SWITCHeT et DIPer Dla verslon ÉDUCATION.AvanL, nous allons construire

la carte.Deux choix vous sont proposés,

comme prévu : la version EDU-CATION entièrement configura-ble, et la version dite CPC, figée

. FâfOi l i l :f $ ? :ftft :ftflftf5rtf6ftfTftri

nf9FâTâFâT8fâfctAt0t r t t :fâfF :

Figurê 4 - Liste des 128 adresses disponibles.

1,de poids faible sera libre et

r associé inhibé.quatrième quartet de 4peut s'écrire x.x.x.x. car on

F. Les quatreseront

Nous entendons déjà lesposer Ia question

pavécomparateurs il

pas possible de traîter lafaut 9,

IORQ, donc pas de gaspilla-

.Par ailleurs, on peut aussi sela question du cumul des

puisqu'il faut quedeux comparateurs aient

pour qu'une opé-

temps

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dans les zones d'adresses autod-sée .

La figure 5 présente la carteEDUCATION et son rmplantatron.

Le connecteur soudé ici corres-pond à < SEND r du tableaupublié page 52 du numéro 490.La figure 6 correspond à la cârtede retour, appelée ( RETURN ))

dans le même tableau.Ces deux cartes sont face à

face, côté cuivre vers I'extérieur,ce qui explique les rotations derepérage des DIN 41612.Elle sontliées entre-elles par des jum-pers : un de 25, un de 3, un de 2et un de 1. Ouelques straps per-mettent de les réaliser en époxy

simple face.Il n'y a pas grand chose à dire

au niveau de la construction, sice n'est qu'il faudra Pratiquer untrou de forme carrée dans la pla-que ( RETURN )), afin de laisserlibre l'accès aux switches et auxinverseurs, comme le montrentles photographies.

Pour ceux qui le veulent, uneautre carte < SEND rr est donnéefigure 7. C'est la version dite( CPC )), avec un câblage figépour les zones d'adresses autori-sées. Elle aussi sera liée à la pré-cédente carte RETURN par lamême série de jumpers.

MécaniqueI1 n'y a rien de plus simple que

d'assembler les porte-cartes

CHALLENGER. Toutefois cemodule est particulier, puisque

comportant deux connecteursface à face. Il faudra donc réduireles entretoises fournies de sortequ'elles passent de 22,5 mrr: à

16,5 mm. Pour ce faire, onrognera 2,5 mm de chaque côté,car si I'on coupait 5 mm à une

extrémité, il ne resterait Plus de

taraudage pour les vis fixant les

connecteurs.Pour la face avant, un exemple

est donné figure 8.

Figure 5 - Cl èt implantation de la carte éducation.

MICBO,IIIFOBMA

o

c

J

 

E

tEF

o

EEE

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Les progtammesLes prochains numéros de

RADIO-PLANS verront des lis-tings destinés à < faire tourner ))

des cartes d applicatlons spécifi-ques mais aujourd hui, ce n estpas le cas. En effet, rien ne sertd écrire ou de lire des donneessur des extensions encore inexis-tantes. Nos deux listings sontdonc consacrés à la configurationet au test du décodeur.

Le premier s appelle CONFIG.BAS, ii est visible en fignrre 9. Ceprogramme affiche les quatrezones d adresses utilisables, oùvous choisirez le groupe que vousdésirez décorer. Pour ce faire,vous entrez I adresse de début,puis l adresse de fin. La saisie estfiltrée afin de ne laisser passerque les caractères autorisés. Si lalimlte supérieure est plus petiteque la limite inférieure, il faudraentrer à nouveau les deuxvaleurs.

Ouand la saisie est effectuée,le programme passe les adressessélectionnées en vidéo inverse. 11se peut que la zone ainsi forméedépasse les li.mites que vous avez

fixées. Celà est normal et unpetit

exemple va vous I expliquer .Adresse début = F8E0Adresse fin = F8E4

En vous reportant au tableaude correspondance HEXA/BINAI-RE, vous pouvez voir que le bit 0(]e plus à droite) passe de 0 à 1entre F 8E0 €t F881. Idem pour lebit 1 entre F8E1 et F882. Le bit 2varie. lui. entre F8E3 et F8E4.Ces trois bits sont donc inhibéspour le décodage: ils peuventprendre les deux valeurs possi-

bles 0 et 1. En écdvant cetteadresse en binaire, cela nousdonne :

F 81,11,1, 1000

E ?717Q oxxx

Si les trois x sont égaux à zéro,on obtient F880, et si ils sont à 1,c est l adresse F8E7 qui apparaît.En analysant toutes les combinai-

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MICBO,IilFONMA

  r r

Fidure6 - Cafte. Return" côté cuivre.

sons possibles pour ces troisvariables, on balaie une zone deFBEo à FBE7, et c'est celle-ci cfuipasse en vidéo inverse. Bien

entendu, si cette zone ne vousconvient pas, vous pouvez entrerd'autres limites, ou demander Iavisualisation.

CONFIG vous propose alorsune visualisation graphique de laposition des switches et desstraps sur la carte. A gauche,nous trouvons les switches desélection à 0 ou à 1, avec 1a cor-respondance pour les straps. Adroite sont représentés les inver-seurs de prise en compte du bit

d'adresse, toujours accompagnesde la version straps. 11ne vousreste plus qu'à configurer votrecarte de Ia même manière.

Oue vous ayez opré Pour laversion < éducation r ou Pour ledécodage câblé, ce Programmevous permettra de bien saisir lespossibilités et les limites du sys-ième de décodage utilisé. Deplus, avec quelques modifica-tions, il resservira dès le moisprochain pour décoder cette foisles cartes d'applications, et serad'un grand secours Pour connaÎ-tre les adresses des ( ChiPSelect ))...

VERIF. BAS est en figure 10.Comme son nom I'indique, ceprogramme va vérifier la bonneconfiguration de votre décodeur,et par la suite, celle des cartesd'extensions.

En agissant sur les toucheshaut et bas de déplacement ducurseur, vous faites varier

I'adresse affichée au centre del'écran (à noter que celle-ci nepeut sortir des quatre zones Per-mises). Si l'adresse visualisée cor-respond à une adresse autoriséepar le décodage, la LED du signalTRANSFERT s'allume faible-ment.

Vovons ce qui se Passe quandune adresse est décodée. Lesiqnal TR va commander Ia LED,mâis I'unité centrale ne l( s'arrê-te )) pas sur cette adresse, et fait

entemps partagé une foule d'au-

tres choses. Ainsi, Ia LED ne Peutiamais prendre la brillancce quebermetirait un simulateur Passif,mais sert toutefois de témoinsans contestation Possible.

Au cours des tortures Prati-quées régulièrement sur 1es

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& rDtc0otn

+ CPC

+ AD R

Figure 8.

les auteurs ont cons-phénomène curieux:

qu'ayant rétréci la zone de(par

exemple unique-les adresses paires), a LEDprésenter une très faible

pour les adressesn'auraient pas dû être recon-

près un contrôle scrupuleuxpassif, ils ont bien

que parfois le CPCceftaines adresses

libres, et qui étâientreconnues par le déco-

accompagnées de

que la

FB uniquement, et pastoutes les adresses de ce

ïls ont donc placé unsur une

carte d'application, et adressécette dernière dans un endroitdouteux avec TR pour validation.

Ce fut effectivement une

débauche de décodages intem-pestifs, et l'applicâtion lumineusecommandée de ceLte manièrerèagissait de façon aléatoire,manif estement incontrôlable

10 coNFIG_A^S * AC 0€CO0ÊR AC Sof 1939 *2030 ' Ecran de Dresentaaion. 4 0 Y O O f ? | P e t \ . C o 1 - r a J r a L i o . ; r À B ( 3 6 I : À c D E C O D É R . : - À B ( 6 9 ) ; C5 0 r r ' o v F , 3 a 0 : o R A v r 3 9 , 3 a 0 r o c é w 6 3 9 , 6 0 : D R A kO , 6 0 : O F A iO . 3 S O0 M O V E , 3 a O : D R A $ 3 9 , 3 4 0 : O R A W 3 9 , 6 0 : D R A W ,6 0 M O V E , 6 2 : D R A I {6 3 9 . 6 2 : D R A t i 3 9 . ô : D R A r , r . ô : r5 L rP O V F0 , 3 4 0 : D R A V T3 9 , 3 a 0 r o C é W 3 9 , 6 0 : D R A kO . 6 0 : O R À W ,6 0 y o v F 0 , 6 2 : D R A ' {6 3 9 . 6 2 : D R A W 3 9 , 0 : D R A W . O : O R A y t , 6 21 - 0W I N D O \ { + O , 2 , 2 2 , 2 3 , 2 4 : t { I N D O W * 1 , 4 , ? 9 , 3 , 2 1i 4 r N D O { * 2 , 4 o , . r 9. 1 9 , 2 3 , 2 4a 0 '90 ' Àf l ichase des ad.êsses auror isees1 0 0 C L S + o : C L S * 1 : C L S + 2

C)u'enconclure ???

f I est évident que dans cetteI zone, le couplage de WR ou RD

est indispensable, MAIS per-sonne n'en parle et on trouve desouvrages proposant des applica-tions ignorant WR et RD, sansrestriction pour Ia zone FBxx. II

I l9 l9 l r1=9 ro 3i LocarE*1, t*2o45, 1 pRrNr{I zone,rsrFg{ x+1 ) :N€Xr1 2 O r O R a d - ê f a E 0 l O B f A F Fl 3 0 tF (a d ÀND 2 5 5 ) :o THEN a d :a d +&Eo3 O I . r a d À . , 1 D 5 5 ) - O - F E N a d i a d - a E O30 tF (ad ÀND 255) :o THEN ad:ad+&Eo1 4 0 G O S I J B 1 0 : P R I N T + 1 , l i E X O { a d , 4 )

3 7 O C L S $ l : C L S $ 2 : F360 swl ô:CHR$ ?11

, o o i n v = c H q r r 2 r r , + , n s r r s + i ' - c x À i i z o ô r . "_ - _ '

l ' 0 i n v : i n v + c r r R s2 3 0 r " ' + c d R t ( 2 3 0 + - - , C H R S ( 2 3 0 l1 0 i n v l $ : i n v l s + c H R $ ( 2 3 0 ) + " + c H R $ { 2 3 0 ) + . - - " + c H R$ ( 2 3 0 )4 2 0 j n v o t : C H R 9 ( 2 1 1 ) + + C H R g ( 1 5 4 ) + C H R ô ( 2 0 9 ) + " '4s0 invo$: ) nvo$+cHig{ 230 )+" - , icHR$(230)+" "+cHRs{23o)

360 ' V isqa l isa ion graphiqu€3 / o c l s 4 1 : c L s ' 2 : P R I N T * . . S p C ( | 3 t S k . o r S -a p s ; g p c t g ) i I N v . o u s - a D s : p R t N T r I3 € O s w 1 $ r C R $ r a r | ) 4 C H R 6 ( 1 5 4 ) - "- C L R 5 ( 2 0 9 J + ' + C H q g ( 2 3 0 ) ^ " - C H R 6 ( 2 3 0 )

: :9 :9*gl l l i l l l l ^ ,.- i9f i9i l i4) ic.^r l f ?9sr*. *crai iàsoi*-"raHÀ;iraô;.

a 3 0 r a v o g = r n v o $ r C H R $ ( 2 3 0 ) +. - c p R g ( 2 3 0 ) - " - r O ] p t , { 0 I i $=SPACE$ l0 l lsk1s-SeActs( l O + nvo$+spACEg( O45o I1$=SPACÊ${ o +swl9+SPAcEg{1O +i ôvj g+spAcEg( iO460 r 0$=sPAcEç(10) rs{o9+spÂc€g ( 1o)+. inv1g+spÂcE$( 1o

800 lF (ad ÀN Doo lF (ad ÀND 255)=0 THEN ad:âd_8Eo6 1 0 G O S U S 1 0 : P q I N T * 1 , c i : H E X $ ( a d , 4 ) : càzo exr .A3O RETURNs40 'a50 a,oDE : El.lD

" rN i rsE"4 o l i g = s P A c E g i l o ) + s w 1 g + s p a c E g ( 1 0 ) + i h v o g + s p a c E $ { i o ) + c H R s ( 2 4 2 ) + "N H I B € "4 5 O 1 $ = S P A C Ê $ { 1 O ) + s w t 9 + S p A C E g { 1 0 ) + i ô v 1 g + S p A C E $ ( 1 0 ) + C H R $ ( 2 4 2 ) + ' S E L E C T460 r0$=sPAcEç(10)rs{o9+spÂc€g(.10)+.inv1g+spÂcE$(10)+cHRg(242)+.E ECTO'4 ? 0 F O F * = 1 5 T O 1 1 s l g P - l, rao PRTNT*1 "A"+StR$( ix) ; I1 $490 NEX- f500 adx:adi XOF ads5 1 0 F O R * = 1 0 T o o S I E P - I :5 2 0 P q l N T t l , a " + s T Ê $ r i B ) ; : I F i c . = 9 T H E N R I N y r l , ;5 3 0 l F ( a d x A N D 2 ^ 1 s ) : 2 ' i x T H E NP R l N T n l . l i s : G O T O 5 5 o5 4 0 1 F ( a d i A N o 2 ^ i x j = 2 ^ i x T H E NP R l N T t t l , l l $ E L S E P R I N T + 1 , t 0 $550 NE\T5 6 0 L O C A T € 7 , I : P R I N r H E X t ( d 1 , 4 t : L O C À T E ? , 2 : p q I N r H E X g ( a d s , 4 )

s 7 0 P R I \ T d 2 , " { r À ) J r . è s e I e c L I o n , ( a ) u i t r s r "540 q$: INKËY$: IF qS." " INEN 5SO ELSÊ q$=Upp€R9(q$) . l590 rF q$= À" THEN 90 EISE rF qg: O" THEN A5o ELSÊ GOTOsa o

  3,-:i?,n"':;; ';"î:i,;ï:i3;t;ï,??.1'iit"iti,oo,uu',,,6 3 0 y X = ( a d a N o 1 5 ) * 3640 LOCAJÊ{1,XÈ,Y*:REÎURN

'660 ' s/P de sa is ie de t':ts .:{i-3ie:i;:ffi.I;.inËi,;?tk'::,n+=i:i::t11gr:5.sï;iR3)HEN

Tll;;Tlt;;Iililliiliii,'es6'::,rr' ïlttl:ll..o.,no.i;i i:ik;ii:i:lns:lllili,'*,t'x,r+. ttftilrll.,o,,no,o,uo; ; ; ; - i ; ; ; : : ô i a i à q e , = ; i ; r r u e r P R r N lq g i : â d g = a d + q g : G o r o6 07 5 o P R I N T H R $ ( : : G O l o 7 3 07 6 O RETURN6O RETURN

1 7 0'

7SO ' S/P dê sel€ct ion/d€sêlect ion des adressês790 FoR ad=adi To ads

150 NEXTl 6 0 '

1 o S a r s r e e L â f f i c h a g e d e s I r h l L e s140 c lS+0:CLS*2i ;ô ËÀ i i l ; : ; ; ; ; " . . .

debu : F ; :pqrNT+2, ,ou RÊruRN pour qu j t ler " :cosuB ;6 02 O O F q $ r C N R $ r ' 3 ) T H E ' {3 s 0 E L S Éa d d = v a L ( 3 + â d $ ) | p R I N T : C L S r 2 : p R N T r 22 l O o R I N , " A d r Ê s s e f r r : F : : p R I N t a 2 , o u R E I U R \ s i m € n e a d . ê s s ê : G O S U B 6 02 2 0 I E o $ = C t q t { 1 3 ) ' H E N

a d f : a d d : p F I N T a d $ E L s E â d f : v À L ( s F " + a d $ )230 IF adf<add THEN GOaO 1702 4 0 â o i = & F F F F : d s = 3 ô250 FOn ad=add to adf

?99 IF (ad AND 255) :0 ÎHEN êd:adla€o270 adi :âd i ANô ad240 âds:ads OR ad29O NEXT

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http://slidepdf.com/reader/full/radio-plans-n496-1989-03 64/71

est vrai que ceux-ci sont plutôt

versés CPC 464 et que nos essaisont été faits sûr 6728 ??

La seule certitude que les

auteurs peuvent vous transmet-tre, est qu'une application placéeà certaines adressesparticulièrescommençant par FB et ne pre-nant pas en compte RD ou WRpour être validée, sera incontrôla-krlesur 6128.

Ils n'en di.ront pas plus pourI'instant et continueront leursexamens. Si les lecteurs ( bran-chés D ont une explication, qu'ilsaient I'amabilité de nous la faireconnaître. Par exemple, le phéno-mène se rencontre-t-il stll 464

sans DRfVE ? Avec DRIVE ?C'est intéressant, car si vous

ptêvoyez ( légalement )) uneapplication en FBE1 ou E4 ouE6... etc sans tenir compte deWR et RD, vous courez à l'échectotal (sur notre 6128 du moins)

Vous voyez chers Amis quetout ceci est passionnant, mêmeles choses incompréhensiblesmomentanément. A1ary, le < har-deur rr de service a planché aumoins t heure sur une erreurtoute

simple: quand il a tracé le

dessin du circuit imprimé, il agaffé et au lieu de découpler IC4,il a placé le condensateur entremasse P = O de ce même circuit.Sur simulateur ça marche, surCPC c'est nettement moins bon...

Conclusion

lf e mois prochain, nous verro:nsJ|l comment exploiter VERIFpour tester 1e décodage de notrepremière application.

Elle sera < lumineuse r, per-mettra de piloter 32 sorties, etcomportera son propre ( ecran ')de visualisation.

A bientôt.

Alain CAPO et Jean ALAI{Y

Figure 7 - carte CPC - fiqée -.

MICNO,IilFONMA

o

J c

 

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Rack AC décoder

c

o

o

dr

Inlos

Condamnation MINITEL

Alcafiaz 611 est une clé électro-nique destinée à interdire les utili-

sations abusives du Minitel.(Exemple 6 15Sexe...)II autorise,pendantune durée et

un nombre de fois limités, l accès à7 services télématiques dont l an-nrrâ irô 6 lô^r r^h i^ , rô

Les services autodsés, a duréeet le nombre de fois imités, I accèssont très facilement programma-bles par le propdétaire.

Tout service non programmésera interdit. Alcatraz 611 vouspermet de définir un crédit deconnexions au préalable et d en

calculer Ie coût à chaque instant.Alcatraz 611 est construit engrande série autour d un micro-contrôleur masqué en technolo-gie CMS, ce qui explique son rrèsfaible prix : 680F H.T.

SOCLEMA - PARIS SARL 15, rued Estienne d Orves - 92130 Issv-les-Moulineaux France.Téléphone : (1)46.38.04.04

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Ei,fll|1iNHTNM8,TETTII

Tout sur lePSB t6lo

Parmi I'immense vadétédes circuits intégrés de

claviers téléphoniques àmémoire, nous avonssélectionné pour nos réaLi-sations lê PSB 8510 de Sie-mens. Nous avons déià euI'occasion d'expliquer lesraisons de ce choix, guenous n'avons pas lieu deregretter : cette série d'ar-ticle nous a valu un abon-dant courrier prouvant quenous répondions véritable-menl à-un besoin, Lettresd'amateurs, évidemment,mais aussi d'industriels du

té1éphone à qui nous som-mes heureux d'avoir pufaire découvdr ce compo-sant original et peu connu,et même à des techniciensde FRANCE TELECOMComme quoi nos travauxsont appréciés fort diffé-remment dans les bureauxpadsiens et dans les ate-liers des hommes qui, surIe terrain, ( relient leshommes 0...

Nous avons ainsi eu Ieplaisir d'apprendre que

nos montages, nullementagréés, sont cependantappréciés par Ies Profes-sionnels de la question,qui ne se pdvent Pas deles utiliser dans I'exercicede leurs fonctions quitte ànous suggérer à leur tourd'autres idées à creuser

11 nous faut cependantpréciser quelques détailsqui ont fait I'objet de nom-breuses questioûs :

Ou se procurer lePSB8510?

Voilà bien le problèmemajeur auquel se heurtentnos amis lecteurs lorsq'u'ilsdécident de réaliser cegenre de montages, qu'il

Comme rous I'espé-dons, vous avez été nom-breux à réclamer duPSB 8510, ei vous en avezobtenu: il y en a chezMAGNETIC FRANCE ETprobablement ailleurs,mais pas forcément Par-tout. Comme quoi, les Pro-duits que nous utilisons nesont pas introuvables,faut-i1 encore vouloir lesdistribuer.

Nos lecteurs Profession-nels et les revendeuls Peu-vent s'approvisionner, Parquantités, auprès des dis-tributeurs officiels SIE-MENS qui devraient leurréserver Ie meilleuraccueil. Certaûls lecteursnous signalent même avoirpu se fourni à I'unité chezde tels grossistes, mais ilne peut guère s'agir là quede dépannages sonsentisà titre ponctuel.

PSB8510-3 uPSB8510-2

Toutes nos maquettesont été réalisées avec desPSB8510-3, et i l va de soiqu'il est préférable quenos lecteurs s'en tiennentstrictement à ce choix.Toutefois, des occasions

présenterPSB8510-2,peu plus

interdits au type 3, grâceà un clavier touches sup-plémeiltaires.

Utiliser 1e type 2 dansnotre clavier du N" 491ferait donc perdre unemémoire, mais gagnerquatre codes Pouvant êtreutùes par exemple en télé-commande.

Dans le composeur um-versel des No 491 et sui-vants, la seconde mémoiren'est pas utilisée, les tou-ches ABCD non plus : I'in-terchangeabilité est doncpratiquement totale, à Partde légères différences debrochage au niveau des

entrées de programma-tion.

La figure I reproduit lebrochage du PSB8510-3,et la figure 2 celui cLuPSB 8510-2 : la broche il odessert la quatrième

colonne du clavier dans laversion 2 (voir Iigure 3l),mais est une entrée deprogrammation dans laversion 3. Comme rrous Ialaissons ( en l'air r, iI n'y apas de problème

L'absence d'une entréede programmation sur laversion 2 limite cependantla flexibilité de ce compo-sant vis-à-vis des normesinternationales : la figu-re 4 détaille toutes les Pos-sibilités de ( réglage ) cLu

PSB8510-3, alors que la

Figure 1 Figure 2

r l l l - l I| . r zo3 1 :3 ; I r 4 ? - l ( r ; : 1J l l Fo \ ( r ro \l l l l - r l L

peuvent sed'utiïser desverslon unrécente et assez largemerltcompatible.

La pdncipale différenceest que Ia version 2 ne Pos-sède qu'une mémoire (ledernier .numéro composé)contre deux Poul Ia ver-sion 3. Par contre le tyrê 2est capable de générer 1escodes_DTMF< A, B, C, D rr

1 " , 1 . , " i , =Figure 3

'?,.1,:'

P 5 Ê 9 5 1 0 - 3

Y2 Y9

Y 1 X I

o 5 c 1 x 2

0sc2 x3

cE x4

OlI IF FLAEH,TDÊC

DEFAUT I. IA5ôUAGE

P'eea a- 2

\2 I' YE

Y 1 x 1

o E c \ 2

o 9 a 2 X 3

C E X 4

oTnF É-LAsH.'6EcOEFAUT IIêEêUACE

+vDD - s5.

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BROCHES

7 2 0 9

rapportcyclique

endécimal

modepar

défaut

fréquenceimpulsions

décimalesIIz)

duréeflashing

(ms)

générationde

pause

0I

00I

xXxIoII

xxxxXxX

1 . 5 :1 . 5 : 11 . 5 : 71 . 5 : 11 . 5 ;7 . 5 : 1 -'1

.5: 'L

d

o.c)

1 0l o

1 81 01 61 81 0

1 01 01 01 01 01 0

1 0L oI O

1 8201 0l o

1 8

1 0

180180180300300300300

80120180300

80720

300180180180180300300300300300

OUI

NON

OUI

NO N

0Ix00I

x

o0I0

IIIIIII

1 . 5 :1 . 5 :1 . 5 :1 . 5 :2 : 72 : 12 :'J-

F

x0Ixx00II

X

X0I0I0I

o000o0000

2 : L2 : 72 i'1.2 : 12 : 72 : 72 :2 : ' L2 : 7

O.c)

broche libre

cellesPSB 8510-2, compati-

Enle flashing de

ms, non . modifiable,pas aux normes fran-

(mais nous ne l'ùtili-pas dans notre com-

:

Dlocne /, quant aplus qu'à fixerpauses, ce qui

pas une. grandedans l9 cadre

broche à *Voobroche à-Vss

broche libre

DTMFûéquencesocales)DECIMALappon :1 66-33ns s)DECIMAJ,apport ,5 1 60-40 s)

brocheTà*Vpopausesoe

s sI

pausesutomatiquesntrepremiershifftes

ïJii Jroche à- Vss

broche ibre pâsdepausesutomâtigues

flashinq 00ms

. . - . . : .

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Ef///ifrilTfrM8TETTUNS

Errata etinformations AC

Ouelques ereurs trouventtoujours moyen de se glis-

ser dans nos lignes et nousallons réparer les dégats,mais nous donnerons aussides . nformations et desaméliorations relatives à

SAO,etC...

Cedaùts d'entre . vousont rencontré des problè-mes d'impression avec leshardcopies proposéesdans le numéro 484 deRADIO-PLANS; COPY.SCH et IMPCIAO- SCH.

La plupart du temps -exceptées Ies erreurs duesà la saisie -, I'impdmanteeftectue des sauts de ligneplutôt malvenus. En fait,celà dépend de la configu-ration de celle-ci : quandon envoie un retour chadot(CR), certaines machinesenchainent automatique-ment par un saut de ligne(LF).^

Nos programmes en-voyant par défaut les deuxcodes, il suffit de suppri-

mer l'envoi de LF pour quetout rentre dans I'ordre.Mais, car i1 y a un mais :Un lecteur ayant modifiélui-même le fichier a eu lasurprise de voir que le pro-blème éapparaissait lorsd'une impression en Plu-sieurs passes. Nous noussommes aussitôt penchéssur Ia questlon Pourdécouvrir ceci ;Ouand on effectue plu-

sieurs passes sur Ia mêmeIigne, il est nécessaûe de

revent au-début de celle-cipour la recouvrir unedeuxième fois (ou plus). Laseule possibilité de retourau début est d'envoyerCR... Si I'imprimalte estmal configurée, elle provo-que un saut de ligne qui

déshonore votre dessin.1o Votre impdmante dis-pose d'un switch nomméCR & LF (ou une appella-tion approchante) : bascu-lez-le de façon à ce que lesaut de ligne ne soit Pas

automatique.2" * Si la configwation devotre machine n'est Pasmodifiable par switch,insérez la ligne suivantedansAC. BAS.

375 F w$ = S$.w$ : I$ THEN

Version turbo

Certains lecteurs nesavent pas encore que lêsdisquettes coûigées par

Ies auteurs leur Permet-tent de bénéficier dè 50 %de réduction sur la versionTURBO. En outre, pensezà demander la dernière

m i s e à j o u r à M I C R O L O -

Ouelques-uns voient deserreurs ou des problèmesquand il n'i en a Pas IC'est ainsi qu'on nous a

reProché d'annonier 7Kopour les écrans de présen-

taiion alors qu'ils faisaientL7 Ko, d'où difficulté demodifications par manque

de place (il ne reste que3Ko de libre).

Disons tout d'âbordqu'e{fectivement les pre-miers écrans faisaient bien7Ko, car ils étaient compi-lés- Si nous sommes reve-nus aux écrans classiquesd.e 17Ko, c'est que te 464n'admettait pas les retoursen anière de MEMORY.

Pour modifier un fichierpour lequel ù n'y â pas laplace de caser un BAK,c'est très simple : au

moment de sauveg:arder, ilsurur uv LdPer

lera, ( nom du fichier ) :save ( nom du fichier t)

Passons maintenant àdes sujets plus récents, en

Accord no 492

Figure 1

Figure 2

92

OI

FO R

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http://slidepdf.com/reader/full/radio-plans-n496-1989-03 69/71

et avons trouvé unequi marche et qù.i

pas tout.

I donne |:schéma, et li t

la carte modifiée.nous faut en fait sépa-

MINITEL etOP3, pas de pro-

par contre pourtrouver une

dif-de celle mise en

et qui n'appartien-qu'au MINiTEL.

solutions sonï

Vous avez construit latDans ce cari

il suffir:se prendre sur I'aliûlPuisque nousr

de la versiorLune

Ie texie : le cir-impdmé est tracé poul:

FEMELLES e1;un mâle + un femelle.

Votie MINITEL dispose

de B à 15 V en brochesuffira de la.

pour la ramenetMais

un.permettant de reve-

les liaisons directes

ACCORD.AMSCOMpies de fichiers CPCPC).

3). Vous pouvez égalementmonter un tout petit

transfo et un redresseur,ou encore une pile de g V.

Dans tous les cas, il fau-dra porter la résistance Rgà 1KQ. Notez égalementque nous avons ajouté unediode 1N4148 entre bâsede T2 et masse.* Dans le no 492 de novem-bre, page 86, deuxièmecolonne, chapître 3 (oppo-sition du modem), il man-que une partie de la phra-se. En voici I'intégralité :

( Ceci n'est pas un modeFULL DUPLEX (transmis-sion simultanée dans lesdeux sens et à la mêmevitesse), mais plutôt duHALF DUPLEX (échangesalternés), avec voie princi-pale à 1 200 bauds et voiede retour simultanée à 75bauds.

" Toujours page 86, lrecolonne, lire ( oû retlouveune scrutation... D et rlonstructuration.

* Dans le no 493 de décem-bre, page 102, premièrecolonne (fonctionnementdu serveur), les auteurs se

( emmêlé les

crayons ,. En effet, aprèsl'envoi d'une page, lademande de status dumodem est ên ligne 3 080et non 2 010. De même,c'est le code &h71 qui

estattendu, et non &h59.

" Page 101, au parag:rapheFONCTIONNEMENT, IAdactylo a du croire à unefaute de frappe et a sup-pdmé le caractère de soulignement indispensableentre le nom d'une pageet son numéro :exemple à suivre :PAGE 01.PGE

Pensez à coûiger systé-matiquement pour ne pasoublier, sinon le serveur nefonctionnera pas collecte-menr.* Page 1.02, 90 ligne, lire( I:jOSSeSSeUI) et non( Plofesseur )).

Limiteur noise gatemono

No 491 . page 31, inver-ser les références T1 et T2sur 1e schéma ainsi quedans la lomenclature page40.

Pase 39, R42:22Ô kç)erR96 =22 kQ 7 o/o.

La procédure de réglagecompode une phrase

N" 493 * page 79 inver-ser les référencesT1 e112,idem dans la nomenclaturepage 87. Changer égale-ment F 42:22OkQ etP.96. 22kQ 1 o/o, maisaussiR86: 5 .6k4 + ,470 Q. Onpeut , également mettre2 12KQ en parallèle.

Page 86 .nR54= 10Q.

Page 80, figure 3, c'est1ç) par mV €t non 2 comme

indiqué.

Infos

Le serveur publié dansla re\,'ue est en activité lanuit (après 22 h 30) au76.7. 69,24.49.08. Si vousvoulez voir ce qu'il vousest possible de faire surPC et sur CPC {voir article( LA REVANCHE '),. rap-pelons que le coût de. Iaconsultation corespond. àcelui d'un appel normal,

avec Le tarif de nuit. Cen'est pas Ie 36.15- Par ailleurs, la sociétéMICROLOGIC et lesauteuls ont décidé de faire

Ef/IIETIffrffi TETTII(co-sur

LUXE.L€S POINIS A €T A

AL'X ÊORNES DE CT3

1N 4 ' 14 a

NO 96

Figure 3

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7/22/2019 Radio Plans N°496 1989-03

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EAMNWN8flEftr/frlun effort supplémentairepour .les abonnés. deRADIO-PLANS. En effet, ilétait déjà prévu de propo-ser tous les fichiers pour

CPC (serveur, éditeur, etc)publiés dans la revue, eioffrir aux trente premiérsle circuit imprimé dedétection de sonnede.

Nou.s êIlons faire plus :d'abord ce seront les 60premiers qui recevront IeCI, et sur I'autre face de ladisquette, vous trouvereitous les programmes rela-tifs au rack d'eitensioos,pour DECODER (N..496) et32L (N.497 er 498).comme lès disqueties des

CPC coûtent cher, .autantles remplir Bieri évidem-ment, Ie prix ne changepas : c'est un cadeau ami-cal (Iâ référence de cettedisquette est p-RP).- Il se Trouve égalementdes lecteurs qui souhai-tent profiter des offresspéciales réservées auxabonnés, et qui envoientleur^demande d'abonne-ment à MICROLOGIC.C'est faisable, mais éta-blissez votre qhègue

d'abonnement à l'ordre deRADIO-PLANS, celà évi-tera des prouesses de

comptabilité: Micrologicvous fera paryenir votredisquette par retour decourier et donnera votrechèque d'aboùnement au

service concerné. MERCI àvous.Voiià, nôus pensons

avoir fait le tour des cho-ses à mettre au point etbien enterdu nous implo-rons votre clémence pourles erreurs. Mais n'oubliezl)as guand même que letéléphone en ligne directeavec Alary reste à votredisposition : un doute, unconseil, une adresse... Sivous appelez après 22 h 30.vous ne vous ru[rerez pas

et les maquettes qui( toument ) ne sont pasIoin du combiné.

ll n'est pas impossibled'ailleurs que nous met-lrons en roure un serveurdlinfos (eFata, conseils,précisions). Bien entenduil serait ouvert égalementà nos confrères Vo.usserez tenus au courant entemps utile.NDLR : La rédaction, demême, implore votre par-don pour Ies erreurs

qu'e1le aurait laissé passerlors des corections.J. ALARY et A. CAPO

-LeMAN'X102,a version coromiqueou tous.a Pouragarnrneâboratote-enseigneEent- LegénérareurDA9020. e0,2H2 2MHZ- l,es MANIPA et V, ampèremètle l voltmèheer boit iel MANIX.I Pow espincesmpèremétriques,plus e20modèles)- ta sédeD, modèlesusqu'à 000 ,2000 et 3000 , s0rtie A ou 5 A,

TraditionperpétuéeCDA roposeussi

-Des onuôleurspécialisésmégohnmètre,ésistancee erre...)- Le systèmeCANAM mesure e bruit, éclaiJemeni,ùmidité, empéta-ture...)-Desboîtesde résistance, limeltationsstabilisées, scilloscope,trcbos-

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monoou ri-calibles.

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pourde très anciens umérosnonsansnousposJ à;5-problèmes),i est préférableourdes

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BO1{DE COIUIMANDEésrervé à la IfENTE AUNUMERO

(mêttre necroixdans a casedesnuméros emandés)Sommairedétaillédans chaquenumérode anvier

Numéros isponibles Je règle asommede :

470 471 472 473 474 475 - 2n F nâr nr rmérôF-t F-t f t f t T. l tr- lt l t l L-_l t--J Lr - lfrâncô alê ôôru

à l'ordrele BADIO-PLANS

parE chèquebancaireE chèquepostal sansnoCCP)

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Vous avez apprécié cette revue, suivez le guide et partagez les vôtres…

Comment faire le vide dans vos placards, contribuer à la collecte du vieux

papier et emmener votre bibliothèque (Et celle des autres) en vacances sans

payer de surtaxe à l’aéroport.

Chapitre I : Découpage.

Pas le choix, un bon massicot capable de couper 100 pages (Ca existe ?) ou une latte, de préférence

en métal, un bon cutter et un support pour épargner votre table de cuisine…

Chapitre II : Scannage.

Si vous ou votre patron avez un scanner recto-verso qui converti en pdf passez au chap. III.

Sinon il vous faut au minimum un scanner avec chargeur (Ou être insomniaque). Il est important que

le programme de gestion du scanner soit convivial. Pour éviter/réduire les images fantômes du verso

de la page qui apparaissent par transparence augmenter lumière et contraste de 10-15 %, ça aide

beaucoup.

Scannez toutes les pages (1 pdf par page) impaires dans la directory 1 et renommez le début du

fichier (FileRenamer fait ça très bien, increment, step 2, start from 1) : 001, 003, 005… 055. (Par

exemple). Retournez le paquet, scannez dans la directory 2 (A l’envers, la première page scannée

sera la dernière du livre!) et renommez à l’envers (FileRenamer : decrement, step 2, start from 56) :

056, 054, 052… 002. Transférez les deux directories dans une directory commune et fusionnez toutes

les pages en un seul fichier avec votre prg favori. (PDF Tools de Tracker Soft fait ça très bien).

Tous les prg cités sont en version d’essai sur eMule ;-)

Chapitre III : Partagez.

Sur Rapidshare & co c’est bien mais encore faut-il trouver les liens et avoir la chance que les fichiers

n’aient pas été effacés… à la demande des éditeurs ! Torrent faut chercher beaucoup aussi, eMule il

faut un peu de patience mais on trouve tout et tout de suite. Merci de soutenir eMule. Si vous avez

des (vieilles) séries genre : Bateaux, Voile Magazine, Motor Boat, Neptune… merci ôssi, ça se fait

rare.

Au boulot…

Pour lire les revues un programme léger et très complet : pdfXchange viewer (Pro). A configurer par

défaut dans « affichage » : Afficher 2 pages en vis-à-vis + Afficher la couverture en mode vis-à-vis.